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Titre : Le Gaulois : littéraire et politique

Éditeur : [s.n.] (Paris)

Date d'édition : 1911-02-26

Contributeur : Pène, Henri de (1830-1888). Directeur de publication

Contributeur : Tarbé des Sablons, Edmond Joseph Louis (1838-1900). Directeur de publication

Contributeur : Meyer, Arthur (1844-1924). Directeur de publication

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32779904b

Notice du catalogue : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb32779904b/date

Type : texte

Type : publication en série imprimée

Langue : français

Format : Nombre total de vues : 94503

Description : 26 février 1911

Description : 1911/02/26 (Numéro 12188).

Description : Collection numérique : Arts de la marionnette

Description : Collection numérique : Commun Patrimoine: bibliothèque numérique du réseau des médiathèques de Plaine commune

Description : Collection numérique : La Commune de Paris

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k5349858

Source : Bibliothèque nationale de France

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 10/03/2008

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I les Bdieaaff 1 ..«̃ -M. Brïaïiâ a;subi vendredi le plus violent -.ëssaut-de^sa carrière ministérielle,' et il en .est •so^tisv terriblement meurtri qu'il s'est demandé ̃ lui-mênië si son ministère était morfc pu vivant. ̃En- tout'- cas, son Existence, s'il: survivait- à 6a èlèssure; ne serait plus1, Qu'une .agonie. C'est. un iviatil^é- singulièrement précaire qu'une .maj|Ox-ité.jle seize y6ix.\ Lorsque les cabinets en arxi(vent à'çette "détresse; ils s'en vont .d'eux-anêmes; '.Bàhs. attendre^ coùprfté, grâce qui" les"; attend: '̃< M^Briand/ dàhsirétat- actuel des ̃choses, ne.. ̃ -Représente donc^qû/un pouvoir mort qù'napù- ^irantv C'est -sa: faute;? ll-avâit devant lui. une •car- >ïiére.vlongue;;facileret:sûre, è^ il- n'a tenu qua ?llui.dè.ia;siuyr:fe Au. lendemain de grève des if 'icheminpts^sài'situà'tiom;: dans .là Chambre, et. :-?-.yjdahs' le Vpàysîétait tout à fait triomphante. La-, s iplus; grande misère de nptVe. temps est la pénu- ;*ié d'hjpmmgs5. de gouvernement.. La brigue par- Jèrnientâiré' -y ï 'ait passer au banc des ministres beaucoup de iantôeties Lqui s'agitent et péro'- 'i 'tent,- mais dorit- foute- l'activité se dépense .eii. ̃ès^èt,en:bruit îmtilesrAucun d'eux, depuis ^̃3rè5lpngtènlps, | n'avait' donné s au^ay.s cette;:ré; ̃ 'i^c^ï<jrfenté^i^pr«ssio.nvque ses intérêtsi son' re-^ .^os, sa ..sécurité; sa'1 "vie économique et craque ^étaient Jéhj; de .bonnes mains, je' veux dire: 1 i 0ÙX: mains- d'un homme; -d'Etat. ;M. >Briand '•lavait fait' croire, qu'il? en- était un. Il avait 'su prendre dés décisions hardies pour pa;\T-er -au -mortel 'désordre causé par la grève ̃dœ'cnemins. de fer, et la façon %ès: crâne '<iont-ir bayait": justifié sa conduite devant l'effroyable hoûrvari des radicaux et des socialistés avait, encore ajouté un rayon à son au;.Téblé. Que ce soit fortune ou savoir-faire, lors-^ ̃ qii'un homme est monté h ce faîte, tout lui devient facile, parce qu'il a le pays lui-même pour cpllâborateùr. S'il trébuche et tombe, c'est qu'il ̃ i'àvpulii/G'est ce qui est advenu à M. Briand. Vll'y- a des hommes qui passent à côté des plus îiaii tes fortunés, faute d'énergie suffisante pourles saisir. Ce :fuf le cas de M. Rouvier hier 'c'est le 'cas, plus remarquable encore, de M. •J- Brïand aujourd'hui. 11 a manqué deux fois l'ocvcâsiôri 'd'êt'ré -ùh j'chèf, le chef innomé^ mais ̃•' -/appelé ̃̃d'-un'yœù' unanime par le pays désoriènté.La première, ce fut au lendemain des 'éléctibnâ'gériéralés, qui Oyaient été un triomphe pour lui. Il- se trouvait en face d'une Chambre ̃ ''̃ ^ouiiBnenve ô.u renouvelée,: qui attendait de lui ;soh: impulsion première et sa direction. Elle ;-l'ëût fidèlement suivi,: si dès lépremier jour il vl'-ayâit engagée dans la voie ;des réformes prati;ques; de l'économie, de l'ordre, de la justice et ̃ l'apaisement. La seconde, ce fut au lende'mainMeÙ'é.vénement que je viens de rappeler. vl^rèyé'^aé^Mns ^dé^fer -avait .frappé ile

p~ys d'ut~e,;immensë;angoasse Il vénalt d'enti~e=.

̃.̃^îï'laTéVolùtion^sbGiàle avec' ses 'ravages ët^es ;i"h'i3rreiars.ïï-^ppel?iit'de;'tbut'.son' vœu' un gour; ̃'•' ;yérnélnientrd'àutprité:. C'est à ce besoin primordiàlqji-'il' fallait répondre. ̃ •' ".̃ "r:X: "•.?* ']' ̃̃ ̃*̃ TJn.gouveThement, de quelque nom qu'il B'âppelle, ne gouverne que par l'autorité il- ne -ivit qù^eh elle-ét par elle. Cependant, comme le ̃ f mot ^prête aux équivoques, il est bon de l'èxpliflûer..L'autorité nedbit pas' s'entendre d'une. pratique oppressive et brutale, qui soumettrait fa' viepbiitique de la nation> au régime du bon ̃ plaisir c'est 'la tyrannie que- l'on confondrait ainsi avec elle, et l'on sait, Dieu merci, qu'un gouvernement peut être despotique, oppressif "̃et sectaire, sans avoir. pour cela l'autorité. C'est 1 sue l'autorité n?ést pas une méthode de gouver̃.nement c'est.ùne vertu.) Cette vertu dérive de l'institution dont le pouvoir est l'organe, des ^principes, des sentiments, des fins qui détermi-*ent son action. À tous ces titres, l'autorité était l'antithèse de' l'optique radicale et'^ socialiste.- C'est. donc contre elle qu'il fallait dresser son programme de gouvernement, et c'est contre eux qu'il fallait gouverner..

Eh, oui I .dieaif-on: dans, les couloirs, il eût ̃jriieuX'fait de procéder ainsi mais.il.ne le pou-: ̃tvait' pas. "Pourquoi donc ? W. ;Briarid pouvait ,ce qu'il voulait, du' moment qu'il possédait une; "majorité cpmpaçte, fidèle, et sûre,; groupée au-; vtour^de;iui.: Qui, pouvait le retenir;? Son socia-; ilismé ,dantan..?.,]yiâis l'expérience -qu'ir venait de faire du pouvoir et^de ses obligations, en ,1e.. ''dëgageant: de- bette gangue .démagbgîque,; lui' ̃ ^aHra.ït-'îâit.'a'p'par^aître: dès vérités' plus neuves «t;:fe devoirs plus .certains. Ses compromis- sions anticléric.aïes î Mais son voeu' le plus ai- rdent'Létaithd'pùyrir dans la république une .ère' ̃de récbnciliâtibn.et^d'apàisèment^. et -la condi-i ition.prê-mière.de l'apaisement, c'est -la' -cessation}. ~dé "la-: guerre, religieuse.- La composition; ;hé_téro-; gènie'dé sb'n e.aliinet ?.MaisiLayait su yrêmëdier? •̃ ̃- ̃̃ éin 'le ^léf aisatit ̃: lui-mëmë', et rien ne .'l'obligeait: ̃ ;-a le .'xéfaïre 'ayec-ces pièces" disparates et, ridi-' ̃" ;>ç"ulês.qui.luCdbnnent une physionomie-, si: pau,yrëi .Si-i^exërQicè du pouvoir l'a instruit et for-; Z'nïêi Tieii:<nfei lui interdisait d'y introduire une; méttiodénbu-yelleet conforme à ses leçons. -'Pourquoi;\iié l'â-t-il pas -fait ?: Parce'quë- M. 1 Briand est sûrtoutun virtuose. ;ïl met l'aL^oliîi-: •'̃ que. enT musique, -et comme il. en^ a tiré jusqu'ici des effets triomphants, il a subordonné ses con- ceptions et ses devoirs a la magie de sa parole Xi'est un dangereux mn âge La parole est serve, disaient nos anciens ce qui veut dire -apparem- ment qu'elle n'est qu'un instrument et ne peut être un guide La virtuosité de M Bnand au- rait produit d'autres merveilles s'il avait su la mettre .au service d'une politique volontaire, méthodique «t suivie Mais la volonté est le moindre de ses dons II ne ~manque pas de ré- solution, m même de bravoure à lav tribune 11 le montra supérieurement dans cette séance fa- meuse ou il fit tête à l'assaut furieux et hurlant des sauches déchaînées contie lui Mais il ne

lui en reste pas dans la conduite.

Sa faiblesse, -en certains cas, confine a. l'in-

cohérence II sait, par exemple, que les radi-

caux-socialistes -sont ses pires ennemis Ils cons- pirent ouvertement contre lui et ne rêvent qu'a- ie' mettre en pjeces L'interpellation* sur laquelle *• il a Irèbuché hier était une machination sa- vamment ourdié.-par eux, et J'affaire a été très intelligemment conduite Pour. donner le moins -̃de champ_ possible a sa maîtnse.*oratoire, les leaders avaient dépêché a la tribune deux uti-' htes sans relief et sans* renom Et rien n'était t:

plus misérable que la série* des griefs qu^ils ont

etaies. Ils s'étaient aperçus* qu'un ceitain nom- bre d'aneiens religieux sécularises étaient ren-

trés -en Fiance, qu'ils prêchaient, ^confessaient,

enseignaient,- et que des religieuses, ayant, oon- i

iormément à la loi, quitte leurs noms et leur

habit, s'étaient parfois reunies a deux pour aî-i

1er soigner des malades dans une épidémie C'é-J

talent la- des violations* flagrantes de la loi lai-5

que, tt cependant le gouvernenient rie poursuî-*

,vait pas Ou bien quand, d'aventure, le par-^

quet diaonnaii de poursuivre, fes tribunaux re--< ponda'aot parades ordonnances dejion-heu, des^

acquittements ou-dessamendes iidiçûles.~Quel,

scandale !,Et qùelîe responsabiïïté'J'* a >

QueJ pensez-vous que dût .répondre im chjf1 h

^3e gouvernement -ra daussis misérables lus

'tomes? C'est que les eongreganistes isolés et( sé-

cularisés sont, après tout, deè hommes, des ci-

t

^iens iraH^q^gvMîirM^P^:

icexJesjîutes^slésaSÊfii&M; M que le fait de':lefe^ouisui#&;pbuf >cejàtn>éûfâ

iété/qu'un féjnQbïgnage^ié 'basse' et ^tûjR'i^' njéf]

ehanceté. &est ;que,les^religieUse>; qui ::vbntj"

aans les mêines^eo\n'ditibns.J-s.oig"tiër'aes..ma^7-

des, en multipiiànt\;leuK.-ç^rîtë\.èt'enV4,^ù'aTit'J lerur vie, font une, .oeuvre 'sociale admirable, digne du respeçt:çt:deia reconnaissant deitôut.. le monde, sans acception^de pàrtisr.Si :M. Briand -1 avait envoyé cette, répliquefâyee.lè ton qû?iT fallait y mettre, à la tête, des iriterpëliatéursj toute la Chambre eût içlaté en applaudisse^ ments et la bande, dés carnassiers radicaux^-se- rait rentrée sous.terreV ̃ ̃̃'̃ v M.. Briand n'apas su s'élever à cette fauteur de pensée et de langage. Il estdeseendu-au niveau de ses accusateurs et? il a voulu, rivaliser avec eux de férocité. J'ai poursuivi a-t-il (dér :claré,.et il a éfalé.sur la tribune'le compte des poursuites qu'il avait prdonnée>. Ceja;fàit pitié; Simisérabie que- soit le régime auquel.il pré- side, il fallait garder quelque hormeux pour spi,sinon; de la. fierté, pour lui On se. défend1 pias en 'S'escrimant à. démontrer. qu'on 'a l'âme, faite comme, ces; loups-cerviers' du j aeobinismë et :dë- ̃la maçonnerie, et qù'onTsè:repaît.cbïnme eux de' cadavres. '̃̃ ̃ ̃ ̃ .̃̃' 'r-: -;̃ 'vvVi-: Cette liurniliâtion ne lui a, pas. profite^ et 'je m'en^félicife;. G'œLun.cas;édinant.>decjB,tte; justice immanente qu'invoquait autrefois Oambet- tavMi Briand,: au cours' de. ses deux ininistè.reSv n'a jamais connu qu'iin obsédant souci,' auquel ̃ il a; sacrifié systématiquement l'Etat, le gpuyeirf' nement, 3a justice, la libé^8è,la niorale', et j usq'u'à'ses.' propres' désirs c'est Ia:.peur de -se brouiller avec les radic.aùx-êocialistes'. Il s'est

allègrement1 accommodé'' de- sa | rupture avec .bs

vanciéns compagnons ;àe)-la^^̃Qç^à̃i.eJ;Ià̃i6^̃âëe^ ;)Be r orfipre ;:avé;p :les' àùt^s le paKalysaiïy \p'esfta ̃leur niaise. et féroce passion d'inquisiteurs qu'il réservait toutes ses complaisances. Il a vu hier le cas qu'ils en faisaient. La déconvenue, qu'ils viennent de lui. infliger est d'une moralité consoiante et d'une justice exacte. C^'est bien fait î Jules Delafosse

̃–

Ce qui se passe LA POLITIQUE y\

n DÉSARMONS 1 DÉSARMONS I

Je n'ai rien à ajouter à ce que vient de dire M. Jules Delafosse sur la. crise ministérielle, dont pn trouvera plus loin les détails dans 1 ar-, ticle.de M. Georges Fouçher, et je reviens à la diicussion parlementaire sur la. marine qui 1 a p.éiédéé. ̃̃' Tandis que l'Allemagne. augmente ses effectifs et donné à -sa marine de guerre un développement considérable, les pacifistes du Par-, lemént demandaient le plus sérieusement monde à M. Pichon de soumettre à la- conférence de La Haye un projet de désarmement.' M. Pichon, qui avait déjà combattu la veille une propositioHVsemblablé, rédigée, cependant, dé façon plus naïve, a répondu à peu près en ces termes :̃.̃ «Oui, oui, c'est entendu un jour ou l'autre, ^–plutôt l'autre ̃ nous1 étudierons yptre çpn-

•cèption.>» ':v '.•' ^̃̃vhr; ̃ ̃' ̃' 't'T'

.Cette motion n'est pas l'œuvre de députés su-

'balternes.j M. RenDu,;qui viceTprésidé la 'Cham-

balternes.; M: A qui p 'Cham-,

bré, l'a signée, .et aussi M. Charles Dumorit,; qui occupe' une "situation très importante, à -la commission du budget. Àux.'yeux de certaines gens, elle serait peut-: être acceptable, si elle, avait quelque chance d'être acceptée. Mais je ne vois pas bien l'Allé-,magne, qui développe en ce moment. ses. armements, licencier ses troupes et désarmer sa marine pour être agréable à MM. Dumont et Re- nou.

Notre marine est déchue du rang qu'elle, sr si longtemps occupé. ̃̃̃. Pour là; placer au même niveau que celle de' l'Allemagne, il faut dépenser beaucoup d'ar-, gent et surtout se' mettre à la besogne sans perdre de temps: N'est-il pas préférable, nous disent MM. Renou et Ch. Dumont, de forcer l'Allemagne, à abaisser sa puissance navale au niveau de .la nôtre ? De cette façon, l'équilibre serait rétabli sans que nous ayons à mettre la main à la

bourse. ̃

C'est, en effet, fort simple c'est; même trop simple, et je crains bien que dans cette affaire le tribunal de La Haye n'accepte pas. le rôle, d'honnête courtier, dont voudraient l'honorer. MM. Renou et Ch. Dumont..

Npus serions assurément 'plus à l'aisé- pour solliciter une réduction simultanée de tous les! effectifs militaires de l'Europe, mais nos pacifistes éroierit:ils; vraiment que la France vain-' eue, la Franjee.mutilée, ferait bonne figure dans» ̃le niondë.'sii'éllé se résignait' 'déi 'ihitiv'ément'à! la défaite;. au' démembrement; ?. ̃•̃ ̃ Lès traités que subissent, les peuples malhéu-; reûx p'euverit;toujours;être déchirés ou toùt'au" •moins modifiés. Une nation -qui ne s'abandonner pas elle-même,, un^paysqui travaille sans relâ-! -jché jà- i-ecpristïtueï* sa puissance- militaire aile? "drùit'de compter; sûr un "retour "de fortune:" Il y eut une heure dans notre, existence oùj nous ppuyions changer notre -.destin Il'Angle-J terre nous y conviait. et si notre armée n'eût pasi été désorganisée par le. général André, .notre! mariné par M. Pellètàhv il ribùs'était permis de; tout attendre, tout espérer: '.̃. ̃< A, i .Une, telle occasion; se réprésentëra-t^llé ? Je! l'ignore," mais alors. même. que' nous. sérions dé-j cidés^àne: jamais la faire naître, à ne jamais la; saisir' si, d'aventure; elle passait à notre portée,] nous pouvons proposer un désarmement, qui seiait la reconnaissance officielle de notre' déchéance. ''L. Desmoulins. v

<

ÉGHpS DE_PARTOUT

Dans un de nos récents .échos, nous avons mentionné que sept des1 membres actuels' de] l'Académie i française, dont M Etienne Larriy, ont 'été élèves du collège Stanislas `;

A ce propos, un de nos lecteurs, M, Serres de*

Gouzy, président duxonseil d'admmistiation de l'Ecole de Sorrèze, nous fait îemarquer-que M Etienne Lamy a également fait une partie de ses*

études dans ce célèbre établissement II y a été

élève, durant les années 1856, 1857 et 1858 jC'est!

^même en cette ~q"uahfé que "M Etienne Lamy a|

l15ien voulu, l'année^ dernière, présider la "djs-\

tnbution des prix aux'élèves de Sorreze II yi piononça, d'ailleurs, un discours d'une haute ` élévation de pensée et-d'une grande délicatesse

htterane. < .s- t

< Presque chaque jour nous apporte la nouvelle^ du départ prématuré de quelque officier supg-i rieur qui quitte le service actif en pleine vi-^ gueur intellectuelle et physique Hier c'était le) colonel de Mitry, -du 29° dragons,- officier des] plus distingués, qui prenait sa retraite, a peiaej âgé de cinquante-trois ans aujourd'hui c'^st lei colonel de ChatelperroniHeommanda.nt le 7? cui-3

` rassi a. L u àrty

rassiers, a Lyon, quijpart/a l'âge de cinquante-?

cinq ans t, <

Le colonel de Çhatelperron semblait prédes-l

>tîné aux plus hauts grades, tant par sathaute!

valeur professionnelle ."que parja brillante cai-^ îînère qu>l -a fournie "Sorti de l'Ecole de'guerre,! vil s^est distingue toufpjirticulîèrement péiîdant*

•Texpeditipn de Tunisie^ puis^ jap/es d.voirjQng-|

^temps servX à l'etairmÔDr dul coips diarméej Jîi'-Algérie, il a faif a ï'état-major.>îdu,^enéral^ Il iDodds, la campagne^d^Pahomey, au oours^dej

laquelle^ sa .belle conduite lui valut Ja croix'dB}

«la Légion d'iionneur. <

Ledépart'du colofiel de Cilatelperfon.-veçaijt1!

~t én|rgiguex^ ^^rd^utftotftciër; :«.nGQre^eune: 'ei/^elEl^ ^̃tr|s!^igôui^x^ '~r .t.Ts;amway.>des:-apàchesV; ji:&i fj- i' ̃ ̃: ̃'•'̃.̃; yJJès trayaiix considérables soiij ,en:voië 'd'exé^ cù|ipn,. acMènemept,dah's--nQtre;;b.anlieiiefisud|po^ri'dériver-i^Biëvre,hors;JRa.ris,rdans;uft coll; lecteur, en- ciment armé-, à- la surface duquel on aménagera une" route à; usage^ .dg.v-jramw/ay^ ,-̃ «îAdmiràble^rogrès-l .,»-. vous ̃ ̃ écrierez-yousj quand ̃ vous saurez ,que la. nouvelle voie: f grrée: traversera j'Gentilly et Arcueil jour aboutir au 'lieu' d.it; «' Moulin: de l'Hây », à: l'amorcé d.'une .magnifique, route sablée dont, la ligne se perd dans l'infini, des frondaisons.^ Mettons, une sourdine à notre enthousiasmer II £st" parfaitement exact qu'on est en train dë^ dépenser- plus d'un million pour, les ouvrages de -.viabilité en question, mais. mais, ça n'est pas du tout -pour le vulgûm pe'cus: que nous; sommes. C'est pour. pour messieurs les apa£ ches^Parfàitemènt' '̃' ? ,\o. ;-X j.V- '̃-̃̃ ̃; ̃' Les pauvres garçons en ont assez d'être'caho-tés,à l'étroit, .dans les déshonorants «• paniers.. ̃ à salade» çhargésideJ.esconduire;du DéiDôtdë; la préfecture; àdeiir- cas'tel de*FTesnes^AlPrs, ils ̃ pourront disposer, un de ces jours,; d'uni tram:̃ Avay". moelleux- qui ̃ les transporterai sans -heurt,' décrives, de. Seine à' la villégiature que leurs exploits -leur auront value., '̃̃̃ U.'paraît.;qué;le->pui)lîc sefa adimsi.aii.ssi -'à se servir..diidit tramway, mais, a des- heures spé; cialës.et.s'il reste.de la place •• '̃•'̃ :«; lia.. beauté de l'homme, c'est sa/Iaidieurl.. » ..r^; ,«i Le. sexe.jfort ne^sera jamais-, que le 'sexe; ,5Mid^:ï;tc^;etc..r©ui;ne les à -entendues, ces; /̃aimables^autant^qûe sentencieuses .maxâ.niesîÏ5>ii Ehbieri 1 ^oni.c^h-ti.sHhTT^dë^fegëndfrJlé^ fort a sa beauté, et voici celle-ci réhabilitée. C'est à la. cour de Paris qu'en revient la gloire. ̃ Réhabilitation judiciaire, s. v. p. Et ce, à prb,.pos. d'un enfant- D'un acQident de, voiture, -le. pauvre petit gardera, à 'jamais deux- cicatrices au long de l'appendice nasal, ce qui, comme bien on peqse,. n'est point pour l'embellir. Bah plaidaït'raTOQat; de l'auteur. de l'accident, préjudice esthétique,' qu'importe cela pour un homme La beaute' de l'homme, etev.. ,>– Comment, qu'importe s'écriait le demandeur, mais il est patent* ce préjudice I II est matrimonial, il est professionnel, il est électoral même,- parfaitement, électoral Rien .m'est impressionnable comme les foules;. Qui dira combien d'infortunés candidats seraient peutr être devenus de grands hommes d'Etat, si 'leurlaideur, régulièrement, ne leur avait, aliéné leurs électeurs. pu électrices I

Allez donc résister à pareil argument I Du coup, l'enfant obtient le droit à 2,000 francs d'indemnité et l'homme le droit à la1 beauté. Il ne reste plus qu'à passer du droit à la pratique. ̃

Nous annoncions récemment la prochaine suppression du bouton et de la ganse du collet des. officiers de l'armée" territoriale. C'est aujourd'hui chose faite bouton et ganse ont officiellement cessé d'exister et, désormais, il n'y aura plus aucune marque distinctive spéciale .poiir': les officiers de l'armée, de seconde ligné, qui seront^ au pbirit: dé.vue'de la tenue, sur, le. même pjed, que; leurs ̃camarades'^de J'^rmééràfe "tiv£ '̃̃'̃; :7V "'̃ -•;̃̃:̃̃ -'fr .̃'T'Z/X.'i:f"-yr^r' La .cirçul,aire .relative à cette mesjire* apparu hier au Bulletin officiel du ministère delà1; guerre'.

MASQUES. BLEUS

Nice, 24 février. La rentrée dans ses états niçoisf de S. M. Carnaval XXXIX' (la dynastie n'est pas près de finir) a été célébrée pars une première cavalcade populaire- et une première redoute, mondaine; Au dehors, à travers rues, et avenues' pavoîsées, l'habituel cortège précédé de gendarmes, accompagné de pompiers et flanqué de cavaliers, a longuement défilé pour. la joie de la foule qui applaudissait au passage de quelques chars vraiment très réussis.

On sait l'ingéniosité déployée par les organisateurs de ces fêtes du masque cette année, ils ont eude.fort joljes: trouvailles.

lis groupes- intitulés les « Ensoleillés, Nice et ses mefveilles », le « Char de Mme Carnaval », les ((Bandits ̃ de Pégomas «, la «Grève des midinettes », les « Cuirassiers de Bacchus », les « Oubliés de Chantecler » et mille autres fantaisies ont longuement promené leurs farandoles.de joie dans le fracas des fanfares, et Nice, dernier refuge des traditions carnavalesques, les a frénétiquement acclamés.

Quaht.au premier bal costumé de la saison, donné à la villa T-hourët par le duc et la duchesse de Aiontèbellq, il' a été particulièrement brillant, et parmi les somptueux' travestissements sous lesquels évoluait à travers les sa- lons de leurs hôtes la foule des invités de marque, -plu-' 1 sieurs méritent d'être cités ̃ o' La duchesse de Bofano, En « Reine Hortense »°: robe groseille vgilée de tulle d |or et coiffure à turban. ^Wîss ̃Ware, étincelante de bijoux, en toilette Louis XV, f ornée de dentelles de l'époque.. > ̃Princesse. Paféplogu'e, en, « princesse ,de Lambalîg. "»'% jupe Planche1 Tecou verte d'une tunique en point «rl^aîgùille, rehaussée- de petits bouquets de rosé en •̃sàilni bleu, et- coiffure plumes bleu pastel.- .Générale -faire de Pallarès, dans magnifique- co&'tume jappnais de: « JVim'e Chrysanthème »; Mme Boblot, en- «Espagnole» jupe de. satin, cerise, châle ançièn':ma.gniflquement. brodé, œillets rouges dans les cheveux -et haut peigne. â'écàïlle. -i Princesse, Gagarîne, en délicieux « Ba"by », jupe courte! et cTièvéux défaits une poupée dans les bras. 'Mme Lànglôis.'en » Marié- Antoinette », costume ;exac-' itement reproduit" d'après le tableau de Mme Vigéeie- -brun. ̃ ̃̃ ̃ ̃. ̃ ̃ v- ? Pujsk toute une variété: de travestis Mme de Castex,; en « Arlequine » baronne-- de Meyronnet-Saint-Marc et; Mlles. Florès, en « Pierrettes »; Mlles d'Athanoux eti d'Hircqur^, en;«,Andalbuses »: Mlles Contes de£ucampi > :et de Bàrième, encostumes'Lpuis: XV « authentiquée )>, ̃provenant d'héritage de famille; M. de Richèbourg;- en « aide de camp; Napoléon ;Pr »; M. Soinmery, en « Arabe », prince Morouzi, en « clown blanc », comte d'Andelarre, en « habit 1830 », M de Belleville? en « Cagoule de satin »; baron de Mejronnet-Saint-Marc, en

« Tunisien »

J'en, passe et des plus reuasisl :.i' ̃" Et maintenant la parole, si j'ose dire, est aux confetti!

Bl de F y

Les.citoyens 'des Etats-Buis viennent 4 f '~é

Les citoyens des Etats-Unis viennent de f&ire

une découverte .sensationnelle Ils se sont

aperçus qu'ils n'avaient pas de nom v..

Lefe habitants de toutes les nations du monde, disent ils, ont un nom de peuple En d'autres 'termes, toutes les patries ont donne a leurs* en- fants un nom qui est bien celui de cette patrie .Nous auties, citoyens" des Etats Unis, nous n'avons pomt'de nom qui nous désigne parjîcu- lièrement -C'est intolérable "V

'Le fait est qu'il y a des -Anglais, "des Fran-

çais, des Russes, des Allemands, des Italiens,, = des «Espagnols, des Belges "ut même desfMôné| -gasques' Mais comment appeler les habitants1? "des Etats-Unis ? Yankees c'est un terme, presque injurieux Américains C'est iràpX

`P q ~l. hi's' ;C'est; ilé-' confoildre <t

vague -Et puis," c'est les" confondre avec les";

Fuégiéns'' et les Patagons Américains du*

Nord19 î C'est les mejttre au rangées Esquimaux

du' détroit de Behring

Alors Grave problème x Les grands

journaux de New- York viennent d'ouvj*n a ce'

su^et 0es concours Des noms "ont été proposés <

II en est un qui* a rallie jusqu'ici le plus giand* nombre des /suffrages Ce nom', c'est « Usôna. » Aù-premiei abord, célaVous a uni petit'an- cabalistique. TVlai's en décomposant le"

mot, pn trouve que « Usona » est tout simple-

ment^jformé par les initiales de « 'Umted'States i

'ment~brme''par~les ales de ~Jnited States:r

'of Ndrth America » fV t

̃ A la- véi ite, pette appellation «'n'emballe » past

le public new-yorkais 'Mais ^ir vous tiouvez*

mieux i

j Z~r~ r*

II existe a Londres un bajonnet, qui est un

''parfait gentleman et-qui est en même e temps1*-

^J'honiKie du mpnde qui afie^plus de puces 1 1

iTtianqùillisez-vèus, toutefois .cela-" ne signifie*

^pasique sir' W«.lter Rôthschila est couvert de

ke-éa-Hïsitë jne<Mï«ïa<Sle ï$ ^fiç^iigire, îî n'£i

^M^5&ënt^petitÈqiiBJ.dës v§të$ïoï\i}:pvi- pgniéntw s&ien tiflqûes,- çaiN^l 'jpiPssSdte ̃ la p.ius ̃belle colléetion -de puces qui: existe àii' morfcle, r^étqiii^est cp.mpôsée,de plus 3,000 spécfmens des -espèces les'pius- variées. ̃'̃" r' ̃ -"Et; po'urtantv; çè cplléetâonnèur acharné: était^ .^depuis quelque temps," 'en'proie àurieTviolëiité tristesse il ne pouvait arriver .a piquer, sur ses" écartons puce du' renard dés régions polaires, '̃une'- puce admirable ej,1 rarissime. Pris d'tihe inspiration subite, le îaronnet inséra une ah-: inonçe dans un journal canadien, et il eut enfin ̃>,la ;sàtis;fafctipn de. recevoir, -il y a quelques jours, dans une bouteille dûment cachetée, trois, splendides spécimens puces polaires, avec le ceriâfîcat constatant leur authenticité, qu'un brave Canadien lui expédiait- •; Transporte, de joie, sir .Wâlter Rothschild envoya' un chèque de trois mille francs au hardi trappeur, soit mille francs par pucei N'ést-ee pas piquant ? Quel est pays qui aura possédé le premier- un règlement officiel sur la circulation aérienne ? Nous vous le donnons en mille. C'est la Californie.' Le' Sénat et la ''Chambre -de- Sacramento. viennent d'être; saisis d'un projet de loi qui; assimile, en quelque sorte les aéroplanes aux voitures' automobiles.. En effet,' voici les deux paragraphes principaux de ce'- règlement, élabpré grâce aux conseils du Pacific Aéro-Club de San-^Fraricisco t ̃̃̃'̃Tqus les vénicules.aériensqlii se meuvent à r.aidejdMn moteur devront être inscrits: sur les registres" du secrétariat d'Etat et porter- un numéro matricule comme les automobiles :2?iL, Les aéroplanes .devront être "munis d'au vmoi-n&qiiatre feux ̃ :-un- au-milieuv' en- face du

W e ë nlô e à;.l' ri.~è~é`~ ~u à èha ne:

MM&g^ml^pl^^àMaci^

^es^xp^î^.aes^aeux'ples..Celui- de laile droite sera rouge et celui de l'aile gauche vert. Est-il 'besoin, d'ajouter que, ces çrescriptions auront pour signe tangible un impôt et des amendes ?.sCela va, sans dire; Le vieux rêve meurt .une fois de plus. L'homme n'échappera jamais a l'empire des choses de ce bas monde,1 et le ciel;qu'il s'est ou ve.rt,. comme par un geste -dlorgueilleux;- affranGhissenient, ne- lui .sera bientôt guère plus hospitalier que la. terre. On va. fêter, dans l'intiniité, lêjubilé artistique- de là-grande statuaire Malvina Brach, l'é- lève préférée, du- maître Gérômè, qui, depuis .trente ans, nous a donné.des œuvres uniques, d'une: audace- et d!une vérité qui s'allient à la grâce la plusi sereine et à. la plus authentique ^maîtrise. Elle, expose en ce moment, à l'Expositiori des femmes peintres et sculpteurs, deux charmantes petites œuvres L'Iris et La Paix. Nous espérons qu'une consécration, éclatante et officielle^ récompensera, l'effort incessant du sculpteur émment et delà grande philanthrope.' Les grandes maisons de couture dont les noms suivent nous communiquent la note suivante Nous réprouvons absolument l'exhibition des modèles, par des mannequins, sur l'es champs de courses. Nous. considérons comme de mauvais goût cet usage, qui compromet la dignité et le prestige d'une industrie essentiellement parisienne. r Signé Callot,' Chéruit, ̃Jîœuillét, Pàqinîî.-VPbiret/^Redfern^ RPûff,; saYorth.-» ;̃,•̃'̃ ̃rV.i;-i, '̃'̃i:vci.

'̃'̃̃ M •TRAVERS LES ÙVàES: V

Le comte Alfred de Chabannes La: Palice publie, à la librairie; Grasset, son premier roman Le Réveil d'une Ame, d'une pénétrante psychologie1. '.̃̃̃̃»̃ ̃ La même librairie publie, dans- la collection « Les Etudes contemporaines » Les Fonctionnaires,^? X.

NOUVELLES A LA MAIN

Un auteur. CDUvêiïement décoré, vient de1 donner' une pièce qui n'a pas de succès.' •"̃ Alors, il ne pourra pas porter sa décoration

̃ m

Dame I on porte une décoration sur un habit, sur un paletot jamais sur une veste. La dernière de Toto.

Monsieur, comment con jugue-t-on « haut» ?• Mais ce n'est pas un verbe,: mon petit, 'c'est un adjectif. t ̃" v- ̃'̃ Pourtant, papa nous' dit toujours que les socialistes ont le verbe haut.

."̃t Un Domino NOTES SOCIALES

̃i- '̃̃̃̃̃̃, -r-' ̃•̃̃-̃ .̃̃̃̃̃.<̃̃ '̃̃ k-̃:̃' y

IV existe erf-notre'temps.ùn être' chim!éHquë, toujours déçu, dont le sort fait pitié, c'est le pau- ` 'vre. esthète- qui défend la «-beauté de Paris ». Voilà un- personnage auquel la; destinée n'a pas prodigué les occasions d'.êtfe heureux Tout le monde, à la- vérité, l'approuvé, loue son courage, déclaré qu'il a raison. Il n'en va pas moins -de déboire, en déboire, ,et cbllèctiônrie les défaites.. ̃̃̃•̃.̃̃̃:̃ ̃ *• v II s' est plaint l'état où les ouvrages du; IVfétropolitain ont. mis les rues de. Paris, du gâchis,, des trous, des fondrières^ des chantiers, des pa-; lissades, des usines installées au milieu des pla-J ces et des promenades. La réponse a été que,-} vingt armées duràntj on allait,' pour «grands- travaux », continuer le gâchis, multiplier les chantiers et les palissades, déformer les rues jusqu'à présent épargnées II a accuse les ingénieurs de ne point se sou- cier du pittoresque et de sacrifier à leuis ali- gnements tout ce qui subsiste de la ville an- cienne et, pour une fois, les ingénieurs avaient consenti a ne pas raser une gentille maison a tourelle que Ttm voit dans Je Marais Tout de suite un conseiller municipal a redamé et ob-

tenu la destruction de la tourelle.

Il a demandé que^l'on ne dressât point dans les rues de Pans de grands poteaux métalliques

destines à supporter les fils des tramways élec-

triques Bien entendu, on lui a promis que tous

les, tramways sei aient- mis en iriouvement par <

un, système de ti action souterraine Allez voir, i sur la nveigauche, comment sont mus les tram-

JwâjVS desiquais et ceux de la rue de Rennes

'a II s'est jndigné contre le projet de construire

un pont en aval de l'île de la Cité il ne peut

souffrir que l'on cache a la vue des Parisiens

fe bouquet- de peupliers* du* Vert-Galant et les

piles du Pont-Neuf. Les Parisiens, du moins

ceux, de^plus-en plus rares, qui goûtent en se

promenant le charme du décor et des perspec-

-tîVes, ont prouvé q"u'il avait bien raison. Le con-

seil municipal a décide que le pont serait bâti.

sçELil enî-va ainsi toutes les doléances de

notre « esthète » 3e ne sais, pour ma part,' si le"

développement de la ville, comme l'on dit,

^n-exige pas parfois quelques sacrifices. Ces*

miestions>sont affreusement compliquées Mais\ ^sais bien' çpe pour n'avoir pass encore pris

Sgn parti dejâ'laideur du Pans de' maintenant i

et^pour sjabstemr de protester, il faut assuré- s

ment que cet feomme-ia'ne soit pas comme-moi i

,~IV° o e~s ~n

Le Salon d-e J'Epatani» Qu'on- nous pardonne le terme familier, «l'Epatant-»; mais 'le Salon annuel du cerclede la riië Boissy-d'Ahglas, « l'Union Artistique », est certainement plus connu par. ce. surnom, que son exposition justifie d'ailleurs, comme son installation et la qualité de ses;membres.. ̃ DeJous.lçs petits Salons. qui précèdent les grands Sa?Ions, celui-ci est certainement plus' éclectique, le plus sélectionné, le plus remarquable, le/plus délicieux et le plus eouru. -Dès v aujourd'hui, le. vernissage réservé aux membres du cercle attirera la foule la plus élégante. Plus une réception est fermée et plus on y veut entrer mais la vraie raison d'une telle; affluénee est l'abondance d 'œuvres re-i marquables, quelques-unes hors de 'pair, et l'ensemble reste unique par la moyenne des toiles exposées. Et puis, combien d'amis n'ont pas;ces. artistes qui sont aussi hommes ,du monde ? On les aime, on les estime on s'intéresse à leurs œuvres, et* d'aucuns, qui sont en effigie, ne sont pas fâchés d'entendre les compliments qui s'adressent au talent de leur peintre. ̃ -̃;̃̃ Nous suivrons le public: dans sa visite, le précédant de deux pas, pour lui signaler. les œuvres saillantes de cette exposition. ̃'•"̃̃̃̃'̃̃̃̃

̃Dès le petit salon d'entrée, au haut du grand escalier, on remarquera un bçau portrait- de' femme en noir, par M. de Ghabannes-La. Palice, élève de Benjamin Consr tant.. et de. M. J-P. Lauréns une Salomé considérant la tête de saint Jean-Baptiste, deM. Aublet, et Avant la soirée, de M. Sérendat de Belzim femme poudrée et parée pour le bal,- éclairée en dessous par un reflet du féu. ̃ ̃• ̃ ̃̃: ̃ Nous voici dans la grande salle et nous tournons vers,- la gauche pour.;admirer aussitôt un superbe portrait de' femme, assise dans un: parc, un 'livre jerrné entre les; doigts, et mélancoliquement appuyée, en regardant- dans Me .vague. Le portrait est;de.M.vMaxénce.; .< c'est dite'vsa perfection dans une manière un peu différente de ses iâutres^ôifesV* ̃ ̃: ï. ̃ r-y- Un Troupeau dans la neige constitue l'envoi de M. Gaston Guignàrd, qui ne. fait. rien sans marquer son merveilleux talent de paysagiste.

Mme A; nous ne pouvons dire le nom de. cette beauté un peu espagnole, dont, le maître Bonnàt nous' montre ici le portrait. Il rappelle de. loin celui de Mme Pasca.et de la comtesse Vandal; rarement M. Bonnat a mieux fait sentir les délicatesses ':dii visage' féminin. M. Friaht nous étonne par un genre il ne s'est, pas encore, prodigué; sa' Collaboration aux tons frais et séduisants, nous. montre deux jeunes femmes.collaborant à la rédàction;d'uiie lettre difficile. Probablement; il s'agit d'une réponse1, car la parade est souvent plus difficile que Pàttaquë. M^1 Priant a:. sans doute voulu marquer sa maîtrise dans tous les' genres.- ̃ ̃ -̃̃ ̃̃. Vf "̃•̃, .-lln.,portrait en tmste du marquis de .Traçy.par M., J.i Bôuchor, attire ensuite;tous les regards/: C'«s£ une merveille de relief et d'expression. On, peut en dire autant du portrait suivant, qui est de M. Weerts, dont manière rappelle celle des primitifs. :̃•• Le portrait de Mlle Y. 0. en noir, par M. DagnanBouveret, apparaît un .'peu sévère dans la pureté des lignes; le grand, artiste a certainement traduit une impression vraie, avec son habituelle maîtrise. M. Antonin Mercié n'a envoyé, qu'une petite toile -Diane au Vain, et c'est une délicieuse composition d'une tonalité exquise. M. Jacquier apparaît comme un artiste.de grand avenir, avec- son portrait d'évêque largement peint et. si vivant avec son sourire très fin, qu'on, le croirait aux prisés avec quelque Homais parisien. M. Jean Béraud la envoyé le; portrait du -peintre Troubetzkoï, petit portrait en pied,' très ressemblant. De M. René Billotte, Crépuscule, poétique paysage.

Voici un grand portrait de M. Gabriel Ferrier Mme et Mlle:de .Alvear. C'est -une -des '.telles œuvres de ce Sbt ?$Q,iï. Qp M;, pômerrè, un'ylgourè'ux -çt beau, portrait de' Jgarçonnef. iDe 'M.f- Lauth/: un impressionnant cportraitjde lêjn'mgrdeboût^é'n 'noir: ."De J^:f;-Mùéttiéifî:;une; àdpràbië ̃filfette'e'ssà'yànt ̃ d'arranger -'de^' ifleùrs dans r un vase, taT bleau minuscule et charmant; Encore -uh: très beau- portrait de femme, Mirie'-P' par M. -Gervex très belle ̃personne regardant de tendres orchidées qui s'épanouissent "dans un vase. M. Franc-Lamv aborde avec bonheur un :genre nouveau pour lui Petit lever, une femme sur le -bord du lit. La jeune fille que nous montre M. Courtois,, .tournée vers nous, dénote la plus sincère naïveté, en jnême temps quele talent de l'artiste.

Bien des peintres ont fait leur propre portrait, suivant en cela le conseil du sage :.« Connais-toi toi-même. » Peu d'entre eux ont mieux réussi que M. Wencker, qui s'est représenté la palette à la main, et dont nous admirons tout le talent.

̃̃ ̃ Un portrait de M. Marcel Baschet est toujours un événement dans ce Salon. Cette fois, c'est le marquis de Dionqu'il nous, présente,' mollement assis dans un fauteuil, ce qui contraste avec l'énergie du personnage. M. Roll semble avoir peint par délassement, pendant une belle journée d'été, ce qu'il avait sous les yeux à campagne := une femme assise, des enfants qui jouent, des chiens qui courent dans l'herbe haute, et un beau paysage. C'est de la vie, de la lumière et de la couleur. Mi'. Dawant nous montre un Américain collectionneur de terres cuites de. Tanagra et de vases étrangers. C'est un beau portrait psy-'chologique où se marque le faire souple et sincère d'un grand artiste.

M. Paul Chabas nous attire par.ses, toiles, quoi qu'il fasse. Cette fois, il nous séduit par: un portrait de femme souriante et si vivante qu'on croit lui parler; et rien n'est plus flatteur pour -nous, car sans, doute nous avons dit ce qui nous Vaut ce sourire. Quel dommage que nous l'ayons, oublié Très drôle est la fillette enfoncée, perdue dans un immense fauteuil, que nous montre. M. Guifand de Scevola. Peinture solide et "puissante.; Remercions M. Montenard- de ;nous: montrer -là Cueillette des; içUy'es noûs: croyons entendre Mireille au bbril de la mer'bleue, sous' les chauds rayons du soleil. La chasse est fermée M. Henri Tenré vient de l'ouvrir avec sa Messe de la SaïritHubertZ vivant tableau, où seuls; -les chiens- «ont absehts et avantageusement remplacés à îlintérieur de la chapelle rustique par les piqueurs qui portent: le. pain bénit,; entre le banedes' amazones eKcelui; dès 'chasseurs. Conservons précieusement ce joli tableau, car, peut-être voudra-t-o'n laïciser aussi ^Ià chasse.! Mais, comment s'y prendra-i-on ? '-Grand et- magnifique portrait de Mine G. R. par M. Aimé Morot. II fait, sensation.. ,̃̃'{̃ M. Clairin à. peint la Messe des paavre's'daàs la- fcathê-' dralede Séville, où, dans la demi-teinte des hauts arceaux, éclatent les ors des ornements et se détache la silhpuette: des pauvres. ̃̃' Signalons encore, les Etangs, de M. A. Nozal, le maître paysagiste; le portrait de Mme C. par M. Bordes; celui" du général: comte, de Chabot, par le baron J. de Vilrria-- rest; un portrait de. femme, par: M.; A..Vollon, et -celui; de Mlle Th. G. par M.' Maurice Boutet de";Monvel, i portrait si clair qu'il se détache admirablement "dans un. renfoncement de ce Salon gi j Avant de passer dans les petites salles,- on voudra admi- rer les œuvres de sculpture exposées dans le grand salon Elles ne sont pas nombreuses, mais toutes de grande valeur Nous commencerons par le maître incontesté M de Saint-Marceaux, qui nous montre toute" la puissance de son ciseau et; toute la finesse de son art dans 'un buste de Mme A M Le regard lointain, ombrage par- la chevelure, est remarquablement vivant, et les traits s'es- tompent avec une grande expression de douceur dans la grâce des lignes Mise en place d'honneur, cette œuvre est certainement parmi les plus belles. Contemplation, du même maître, est l'expression surélevée d'une pensée mjstique C'est l'ame cherchant a pénétrer les mys-

tères de l'au-delà

M Denys Puech expose le petit buste du prince Pierre de Grèce, physionomie intéressante, ou déjà se reflète un souci Bien-différente est la physionomie ouverte du duc de Loubat, dont M Puech a fait le buste en coshime de membre de l'Institut C'est un morceau de toute* beaute avec le buste du président Fonchon, par M Van der

Straeten. 'r: '4'

Une merveille aussi, c'est' let buste d'enfant, Mlle

Schneider, qu'expose M Antonin Caries C'est la grâce

enfantine au suprême degré et c'est l'art le plus parfait M d'Epmay, qui est à Rome en ce moment,' a -envoyé deux œuvres remarquables un petit buste bronze d'un Saint Jean-Baptiste, tel qu'on peut concevoir l'jsraehte de cefte époque, et la Fille de Silène, grosse fillette a che-

val sur "une chèvre, modèle découvert à Rome, monstre i

de chair oui n'a que peu vécu .et dont l'artiste a tire un `~

parti surprenant

rA

"Si nous passons maintenant dans les salles voisines, 3

nous trouverons encore aes œuvres de -peinture tout a fait l

remarquables le Berger d'AMla^de M Lauth; Ver-

sailles sous la neige, de M Guirand de Scevoja, Siste- ̃̃

ron, de M *A Nozal, et le triptyque" de M Fournier-Sar<

loveze la Croix Rouge pendant les^nonda'aons ûe Pans

œuvre ou le cœur et l'esprit ont autant de "part que le

talent ̃>̃ »-

l'éclatante Fantasia au -Maroc, de M.4Aime Morot, tabVâu

-qui pestera comme un des plus beauxjâù maître un Chïn 1

de musée de M. Uenn Ténre ,v 'uir'portrait ae fllléke,

par TA Wencker -portrait de M" Bu "Menil, aàr s

Weerîs une très belle marine de Mv Monfenara.'unTEXcel-

lent portrait d'iomme, M E ^St par M> Gervex^-of?-

cfi'neau, de M Le-Gdut-Gerard, la Mare deM. MÛënler,

i'iii|^[«,^eas/KTant3 ^*$3rfr|g|f*&^g'

Plus loin le CerjJbjamcnt, de M Jt Laurens de Waru!

tenue; golf, par M'rasftz: N.amùr:- ïe Mercure; qui *• ïseThbleT^Vôlâ^oT^^aé^s^ïca^rae'M^ t le portraif du baron L.îd'Aubïgny.pâr M/GàbrlelF,er- rier, et une œuvrede-m'aîtréVUe portrait, Ml- jHèrviéu, :3e l'Académie française, par M. Bonnat; La ressemblance est frappante, bien que dans; une; couleur sombre. 'i' La encore un grand cadre byàleqùi attire. l'attention Vv le portrait de Mme et: de Mlles Albert Duval, par M. Ablett. L'ensemble est dés mieux réussis et marquej avec la grâce des modèles, le talent rjémarqiiâble de l'artiste. Signalons encorer une .'heureuse vue de Venise, de M.; Marcel Cogniéd un paysage, de Mv Assezàt de Bouteyre un portrait de'femme, par le comte d'Amilly-' un fcull- dogg, par M. E. de Lastie; les Remparts de Cqrcassonne, ̃ par, M. F. Tavernier, et un charmant profil de femme, par M.. René Jourdain. }.

Toutes nos félicitations au Cercle de l'Union 'Artia^ tique. ̃' ̃ ̃ .̃̃•' Tout-Paria

M. BRIAND SE RETIRE

Demain le cabinet

sera démissionnaire

La Crise est ouverte. Qui la dénouera ?

PAR M. GEORGES FOUCHER

M, Bi;:and, qui, vendredi soir,; paraissait; à ^.peu^rès^idëcidé à rester au pouyoir, a changé 'd'avis dans la matinée; .d'hier' et- l'on peut, dès maintenant,, considérer le cabinet comme démissionnaire. Si 'cette démission n'est pas ençore, à cette heure, un fait accompli,, c'est que le président du conseil a tenu à ce/ que les obsèrrues du ministre de la- guerre ne soient pas .célébrées en présence d'un, gouyernernent simplement chargé des. affairés courantes. Ainsi convient-il d'interpréter la note suivante, communiquée, hier matin, à l'issue du conseil, par le cabinet du ministre de l'intérieur.

Le conseil des ministres a délibéré sur la siiuartion politique créée au cabinet par les scrutins qui ont eu lieu à l'issue de l'interpellation, sur les con-. grégations.

Cette délibération sera continuée lundi prochain dans un conseil des ministres qui aura lieu à une heure efdemie, après les obsèques du- général Brun. En conseil, M. Briand a fait connaître, au président de la république sa résolution de quitter le pouvoir et il en a exposé les -causes déterminantes, à savoir que la faible majorité obtenue vendredi par le ministère lui permettrait sans doute de vivre, mais non de gouverner que la ̃ situatian du cabinet, déjà très délicate, deviendrait, s'il ne se retirait pas, inextricable. qu'il se considérait, en effet, comme personnellement atteint que sa personnalité était trop discutée pour que pût se réaliser, tant qu'il serait à la tête, du gouvernement, l'union des républicains et fu'il ne voulait pas prendre devant le pays la responsabilité de. cette désunion.

La grande majorité des ministres s'est rangée à ropinipn de M. Briand /partagée d'ailleurs ̃̃̃ par ;ia plupart ,<des amis pprsorineîs du'-prési- .dënt^dù, cônëèil, et, si -là crise', ne doit è'oûyrir bfficiellenient que demain,, c'est seulement ^p'our les raisons de pure convenance que j'ai indiquées plus haut.

Dans les couloirs de la Chambre, très aniimes, cette situation a fait l'objet, comme bien on pense, des commentaires les plus divers. Naturellement, les unifiés et les radicaux de la camarilla Berteaux-Pelletan exultent et ne songent même pas à dissimuler leur joie. Chez ces derniers, elle est d'autant plus vive qu-'il n'en est pas un, parmi eux, qui n'espère un portefeuille dans la combinaison de demain. Chez les 262 qui votèrent, vendredi, l'ordre du jour de confiance, les avis sont partagés. Briand a tort, disent les uns il a la majorité, une majorité de gauche, qui a déclaré nettement qu'elle avait confiance en lui il n'a pas le droit d'abandonner aujourd'hui cette majorité et de permettre ainsi à une minorité de. sectaires de présenter, bien à tort, le résultat du débat de vendredi comme un échec pour la po-. litiqùe d'apaisement.

Mais d'autres notamment parmi les amis personnels de M. Briand applaudissent sans restriction, à une détermination qu'ils ont, d'ailleurs, vivement conseillée. Et voici comment ils raisonnent

Assurément, le gouvernement pourrait rester aux affaires il a la majorité, cela n'est pas douteux. Mais il est également hors de., doute qu'il ne réussirait, le président-du. conseil ayant été, hier, sérieusement atteint, qu'à prolonger péniblement, -de'- quelques semaines peut-être, une misérable existence^ En s'en al;lànt aujourd'hui volontairement, alors que rien ne l'y ephtraint, il a le beau\ rôle et, par. surplus, il joue à ses adversaires le pire tour qu'il soit possible, en les plaçant, par son départ, en face d'une situation politique qu'ils seront, n'en doutez pas, impuissants à dénouer. ̃̃̃"̃̃̃ Tels sont les deux sons de cloche qu'on pouvait entendre, hierf dans le Salon de^la Paix, où l'on n'a pas manqué non plus de papoter,chacun suiva'ritjses tendances et ses amitiés, sur. le successeur probable de M. Briand: On ne sait rien, bien entendu I. on ne peut rien savoir, mais que deviendrait, si l'on; savait, le plaisir de pronos- tiquer? ̃ ̃ ̃̃'̃̃ D est un point, toutefois, sur lequel tout le monde paraît d'accord c'est qu'aucun des col- laboratems de M. Briand ne paraît désigné pour prendre sa place A la chute de M Sar- rien, personne ne doutait de ravènement de M. Clemenceau, et, lorsque tomba M Clemenceau, `, on eût éte fort «urpns de voir le président dela république s'adresser à tout autre qu'a M. r Briand .i. Aujourd'hui, rien de pareil. Il est, assurément, tel ou tel ministre qui pourrait deverfir président du conseil, et ]'ai entendu hie-r prononcer, de divej s cotéjs, le nom de M. Jean Du- puy Celui-ci ne serait pas mal accueilli, je crois, mais il ne s'impose pas,1 non plus qu'au-

cun de ses collègues.

Parmi les députes en vue, il en est un, sans contredit, dont la situation A l'heure actuelle, est

hors âe pan c'est M Delcasse Depuis qifil a `.

renversé, voila dix-hurt mois passes, M Cle-

manoeau, ^son influence, déjà très puissante, -•

s'est encore accrue président de la commis- `

sion de la marine, on l'a vu, hier encore, exer-

cer sur la Chambre une action considérable-,

président du conseil, il disposerait, semble4-il,

d'une majorité forte, compacte et imposante.

Voila ce que disent ses*amis de'la gauche radi-

cale, mais sans aller jusqu'à oser espérer que

M Delcassé sera appelé à rEysée'. M Pdlhères, K

en effet, a trop peur d'indisposer l'Allemagne: r;

r Dans la majorité qui a vote, vendredi, l'ordre V

du jour de confiance, on remarque, a côté du 7>

nom de M Delcassé, celui âe M. Milleranâ, et

M Millerand a également* ses partisans Mais'

il possède en M. Combes ̃un ennemi terrible -et »

c'est la une contingence' qui peut diminuer ses^

chances « < -j

Berteaux.fconsidère, certainement que la 0Î>

ténacité a~vxïc laquelle il a^mené'ltflcampagne' S*t>

contre M Briaiïd lui crëe'aJa succlssioa/dai-

-cehn^i des tiires^inûiscalâbles, «t lk)n";pêut ad- <

mettre, en effet,çqûe,>'il''ji^yàit^3aB^escomp1)ô>i*13-'

Je bénéfice de celte successi^iï ^1 aurait Âifr-p,

vaille mo|ns cojiscjencîeuse^ient^ &̃>} ous^rïr;,

MaîaM "Ber féaux a-vote'1 ̃b^éir^n^nauî.aY^^â.

minorate or^ il n'esl pasIpossible,pi!ete-n^OT5^


u. que s'arrête, après le vote de vendredi, sur un

des plus irréductibles partisans de la pplïtigae p

përËé\mtion~'reugieusè~*contre laquelle ^viént

de se prononcer la majorité», (Test dommage,

vraiment,* et j'aurais aime a yoir Ms~Bertëaux,

chef du gouvernement, aux prises avec les cheminots grévistes et Baboteûrs dont i^s'e&tv fait le

champion dans T-opposihon. Et puis, ayeG l'ai-

mable caractère <Ju on \m connaît, hous"auriôns quelques joyeux incidents de Séance en~peispee-

tive -f

Cependant, à la Chaitîbfê, 'aucun nom n'est

pionojîcé en dehors de ceux *I© MM.-Delc&sSô, Miller^nd et Berjeaux. Reste le Sénati qui paiaît devoir être appelé, d'après l'ppmion la plus répandue, & fournir le futui président du consejl II va de soi que, si "M. LéOn Bourgeois eta^t

k Pans, c'-est a lui .que* traditionnellement, on

6 adresserait tout ̃d'abord'1, mais M. Léon Bourgeois, comme d'habitude» est absent il voyage,

paraît-il, en îtahe. :?

De M Sameà, considéré comme un persan-1

ilage indispensable quand il siégeait au Palais-

L- Bourbon, personne ne parle plus depuis qu'il

est devenu sénateur, et M Gombês est impossr-

fcle parce que M. Gffmbes,

M. Raymond Ppmcare sera èerta.inem<?ht

ï~es~énti: jVlàis `odr'it'avou âS Ci'atttt de co-

pressenti. Mais, p'oiir n'iivoir jpàô craint de pro-

clamer hautelnent, entre autres vérités, tout

'l'odieux du pjOjet d'impôt sur le revenu, M.

JPomearé n'esi-il paâ catalogué maintenant

comme réactionnaire ?

Il y a'l;eu, semble-t-il, d'acorder plus de

chances soit à M Valle, soit à, M. Munis, qui furent, l'un et l'autre, garde des sceaux, celui- ci a côté M. Waldeck-Rousseau et celui-k dans le cabinet Combes. Le nom de M. Monis rencontrait hier de nombreux partisans, et l'on paraissait admettre comirîe possible un cabinet que constituerait le sénateur de la Gironde,

` en s'appuyant, à la Chambre, sui MM Del-

cassé^ Berfeeaux et Mrïlerand, qui prendraient 3es portefeuilles de la marine^ de^la guerre et des affaires étrangères n. ?t moins que M de Selves ne soit appelé a quitter l'Hôtel de ville pour le quai d'£tfsay. Beaucoup d'esprits £en§és se Tefuéetoi,, toutefois, a envisagei l'éven- tualité de la présence de M Berfceaux sur les bancs du gouvernement, a "quelque titre que ce soit, et cela parce que tout cabinet inféode a M. iBerteaux se trouverait dans Ja nécessité de pour- suivre, contre la volante formelle du pays, la

;̃̃.̃̃̃ réintégration des ''cfieminpts 'révoqués. ̃

'̃̃̃ ̃̃̃:̃̃̃ ';•v. ̃< A* '•̃.̃̃•̃ ̃ -La situation,; sommfe -ioute, est fort embrouil^ îée,.e%ron>peùti s'attendre à une crise assez' Ion-; :=jguë;Iî é$Vàjbrévoîr,cejpendaift, que çetfe crise '̃̃! ^e tiêhpûei'a. quand nïèinè'; mais Me cabinet ete: idèmâin^ùéP^iï^sBi^ V ilppsture peu/ényîâbie, ërï iàçV'dlùnè jGhàmbte isàns- yoîcjnféï sanis cabtéstàh', dont- ï&îjjléisse: augmente en ïp,î.sonvdireèfe' nombre dès gràu-, (p^ ;ët'-sous'-grèu^^ éanstit~uent t~ lÉs ̃̃' >}oufs eli dont Certains ijouTh4ui répûb'lièaltfs,' ̃ &ontTjAçli on, 'disaient, ,'vîiieri quelle était « niûre; } ipdur. Ja.iSissorùtion »ï ̃SËùnsrJdolpilê, aux yeux '(ie, -«nos poriïrèri^ c'est ^à;;M;Briïiiiq' que devrait ^tm: confiée, ;îe; cas éçhéàntj.^iTO:d,élîèk:të''iitiis$iqn<'M.aisipour'-bè^à.t.:«ii:adin6ttânt Wele iprésidënt la république se /décide jamais à pareille opération il eût fallu tout; d'abord, <jue M.; Briand^ie commît pis la faute énorme,; ;.̃' .inexplicable,- de supprimer d'un trait plutne,^ les considérant comîn'e ihèx'îStants,' les. groupes 'dèila adroite,, du centre "progressiste et du. socja-:V 'lisme^uhiîlê. 'Autant 'd'ire, puisque les bulletins jdé vrite de ces. âçux jé'nte députée "né coïrVpieat ̃jpàs,1.,4iie tes-âèiïx%nïs citç»nsçriptipns t[Ui les' v ont ëlus nje ^sbnt pas répi'iésentëes. Le procédé '̃pâbàîtra sansvdoûté excessif, ̃

é Georges Foùcbèr

̃v; ̃̃̃ .•!••̃ ̃̃

.;̃. lissï ibtéressaïH ïib.tèr quels ont été les yô-.

ïé~s dés `: él q ~t~d~tÓ~

̃ les dés quelque: deux "cents, débutes nouveaux

dont l'arrivée au Parlénie^t avait' été escomptée comjne -deVto't ïhfùseï un sang- ̃nouveau a la' ;Çham.bréryoi'bi lës:n'9ms;-3ç cfeux.qui ont voté rordrè;du jour cçinflânce|,c'est-à-dire pour le rnim's>ère r J GaiiçHe $,èmocralique^H- }0&. Çourçau,;pfelelis-' ` 'Fanîeïî,' PçiyssaTt, Feâq, Gilbert Laurent, Patureàù̃ ̃: Mir^anâé,Pi|rangeJj. "n: Gavchë'rdçlïcàle. MM. Ba'r, ̃Pëmiolï.e, :Bpuyiè^ ^rÈùbant-, Gàrpolv^avet^Daniel-tacdmb'e, Dûvaine, Deànellîer,. nonaaëï^/Hoîinortit, :'Lpth; ^Marc-Baiizet, -P«rreau-Pfja,dier, pichery,: Potié, iPytliqn, 'Voyer. 'Radicaux-socialistes. MM. Cutlpli, Delàroche-, Vernet, Dulrèche,' Durand, Duseyel, Fabre, Gpist'̃hau,'HBUzey,'Lorirny, Maisob, Malayiûlle, Noguès, Nouaud; -Paris, Perter (Vendée), P^rrîer: (Isère). Socialistes. MM. Corcilj Laguerre,- Landry, de ̃ Mon'ziey Paturet.

.Progressistes. MM- d'Ararûpn; Arçhambeàud, a'Argensoii, .Borihefous^ ChiaivQ, Crolarâ, Dahiélou,. Diar, TJubarle, Louis Dubois, Escudiër, Fougère, Pourniér:Sârloyè?e,- de France, Hennessy, Hùche'r, Lairolle, Léfçbyre du Prey, des Lyèns, "Mohiirofit, Pradet-Balade, Puglipsî-Gônli "(edrse)i Roulleaux-. Dugage,Seydoux^ Toy-Riarit, yanflailie. Indépendants. À1*M- Andrieux', Damoùr, Janm. -Action libérale. MM.. Çhappedelaine, Du- 'ïiionU.Nora}, Dutreil, Oiîictienhé. Non inscrit à un groupe M.- Heuzé.

'̃' .̃̃' à' ̃̃- ̃• v ̃ Ont voté contré le; niînistère:

Gauche: taàiraiei 'iÏM. André JHésse, Bjjùysen, •Bputàûâ, ,iCiiàp'uis (Jura), GhojiineV' Çuny,' t>àsp'arin, Mathis, Maunoury,.Ragally,Scnrtiîd.t,' Vèrïptr •- RadîcQÛx-socialistes. MM. Aîhïaï'di -Badùeil, Becays, -Bender mhône), .Charles, Gôshiet ^CoiïeÈ- .non, Gheiisi, GiÙette-Arimoridy, GpdarL, ̃Haûdps, '̃. Hôritier., Jaya^Le R^y.(N6rd)i Lpng, Mulyy,.M9rin, Nçii], Simônet (Saônê-et-Loir.ej, Thâlamas, Turmel, iVincent. ̃ ̃ Socialistes. 'A ^1. Rivière,. AùfeaShéûr, Uorrel, "Gain:uî:elvi.Favrè,E;?fenf Maliiiî'u, RnlnieVé, Paul Bon;icb.urrTou'raari, :.̃

̃ ̃ Socialistes unifiés. MM. :BariJie, Bouh'ûy-Xllèx, ©rizoh^ ..GaJjroL, D.ucanpnge, Ghesquîèr«, .Gouàé, <3ô- ̃ nîa,ux, ÏJûbert .Rpùgèfj ̃Làgfipailliprpi ̃ Lauche,' ̃MâTiettôji, ̃;Mistr«l,Néèk}ui%]Ei^fIiii=-'Dugéns1-Be'bo.al1 pingmef Rôbïiri,; Rognon, Roux-Gôstadan, -Sobin, Sixte Qbèhin. ̃;<̃- l ̃ Iïrôite, ^ÎM.:de;|la<^s,dé:Hêrcié;: .V' ̃V; ,'ijn certain nômbrl figurent, enfin,, dans les %^b'sltotipnnist%:et,lés r42:députéi; absents par

̃ ̃̃ '•̃ >. ;V. •̃ ̃ :>& i,: hi

̃;̃ ̃ ̃ ,̃̃̃̃ .pT»- ->̃̃̃- ̃̃; ̃ ̃̃; .̃̃;̃̃

̃̃"̃ .3'- ptjfvtët^ ̃ ̃̃ ̃ <)

''PftTle-Sàinl-Maikin.kS h. Jr répétition, gènèralev "de'L'Ënfaht déVÂmàùf; Se M.iHènry Bataille. ̃'̃̃ Cfiursîesû AutevA}- a-2.4ie.ureg.

'g P A`~R I 9

Par arrête du garde des steaUT, ^f Wa>ei

66t nommé sous-rhef "de bureau clu -cabinet du mi

nistre de la jijstjqe M^ i)eb&"v, 1 édacleur principal, .est Jiomtne souâ-chef de bureau affecté à la direction =.

du personnel '.1 .1

Noifs apprenons avec plaisir que M Lasies, i ancien député du Gerv est nomine inspecteur gendï al de la direction française de /Equitable des

Etats-Unis, Compagnie d'assurances aur la vie.

VANS LES DÉPARTEMENTS

Dans l'affaire du capitainp Maïix, re\ehue

devant la coin' de Rouen, après le rapport du oon

:seille>r.31>7eflan'l'â'ec~ât'âé~i~' y.ï~,d~e~,y,ïiridé~'üri=·i

sciller. MsN#eyron, l'ftjpca^ae -Mfirix d«piande -1 an i ntilatipn de, 1'ih.foriryatiori, des ^ocuaients de len-

̃quèti? utiles^ la défense ne iui^ant pas ét^ oojn-

tauniqués jLa couj l ejetle cps conclusions ÎÛurix ` Va en cas^ajion, affaue Envoyée ,< j J Le eèffre-ïo/t lfccolede Giigacm, près de `; Vèisafl?t?s, enfeinjé dans un placard, a elé enlevé

<v ïl contenait 5D0 liranes 'i .f

De«\ incpnd"ies t^uisent, hier, tiefi usines a liSaViTiê^ (i-ïaute'S-ÀlitfS), Ptùï>elle4 près jîe Bëlfort, ` $iuVour& clntalhe1; d'envi îers^è&ht réduits au ^chôfti&gp

tji Tjtiôhç^rofii prouve au jiied d'uq arbre,

r~sv~ë ~oi~ns té';ltôülethé tle". r üe "'ô

Ares de $ois&onsv ûi»c bouleiUe de flia«lipagne ca-

;h° e°:ëbrilëüâllt~ ~A:fiharic's'"czï tifltëfs.vie lïàri q'ué, t

tihè^eé ^btiltiwnt ^wO ir-anc| eu billéisMe baiîqud s

~a'~k~,4~4?,31 é ~ét~ tazE ~a0 ~né't' és,~e, l hab9f~tiotïv

*Ld tr&u\O3Î}* *Bl fflit^»àl50'-niè1tjei5-tie l'habïto&oii ̃

*Clu nbïnmbJf*rrajld, qnî vola!3,\)Ô0 îrsmo? au moue >

^e |PJoiTijôu-*t *pûas* îaifs <is&ièe3 4a sàrnanic jro-

̃chajjie «

–0e VjolonHnneideiils^e produisent Epinal

par ^ufto de iS^grov&vd^es iijftogi «]jljes On u dû, en

jvre\ifciorî de deîorares, mobiliser âpiK efiôadrons

de cliîiSiseujjs^a phgraif deilX'Cûmp^gqiesid'infante-

îiç (A de noïtibreui. gepdaunes Hiei^bagarJes «t

fcn^sLfttiôns- r\

f A ^nrâg,- sur le ^roar^éj^iie voilure «*§m-

balle ^lluiq Te^ïi^^epVer^e^s^t^giuè Veinent blés-

È"éei Çjô}isv'd];ins1!rp^it.>treï!graï$e. <* °

U '*&$$**&% f i

*-?-"i)e«ei3«i -too%ce ia mort d'un des plus*;

^ièïï^rlâ romtincierl^jââleîhagne, Knedrich Spiel^ ̃

nagen, ne a Magdebourg en 1828 On annonre, d au ^tre-parl, ldrmort de" 1 mt7 \pn Uhde, pemtfes alli -ynaad renommé, qui avait ett des pTcmier5atf€nter

une rénovation de la peinture i eligieuse ,*J£ s

A. B.

7~ <r y?*"

Mme Pgre? Caballêrd ritevra le^ dimatjctes de.

qiars, de quatre a sept heures > J

DANS ^E^pîfÛB >,

Hier, une heure de- ifliisiquè-cte^Ia «iÔffiteêse de

La Rochecantin Mme de La Torre a chante de ravissan- tes romances i usses et Mme Kutcherra a cte très ap-

1 plaudie dans différents airs

Dans l'assistance, reconnu t.

ÊVdibaSsaaear'dé îur^iQe^Ie miîufetre de Belgiq.up,

maTquis et marquise d ^o-genson, comtease de Durfou princesse de La loin d \u\ugne, nto Pkumailm marquise de Pracomtal tiion cl baionno do Boulrcu xpmtessgjde jPuyniukTt Mme -G L Bpclicsr, Xarohne de Ba>p, •>icdïntei«iu d'Arjuzon, maïquis et marquise de Casa Tuerje, cointes^o G UiamlDn de BrmiUcs comtesse

do Kni^âriou Mme et Mlle Aiarcolin Singei baron et

l)aTO7in^r! SejJUuiK Mmci-ct \Uto 6cr\eXj M et Mntc Vuill^t M et Mme CapicUo, comto d AnLoehe, marquis do Laborde, pjweq liançois da firoglie, comte Ernc^l de Goi^uac, M de Radwan, eto elc Dans leur belle résidence d'Angers, le vicomte et la vîcpirftesse R de Maquille viennent de donner un bal tort élégant, tiont les invités étaient `- •Comtesse de, Cl)ensq> comte et cûmtesse d 4.ntlip noise, tbmte et comtesse ëW Hillcnn niiirquis et maiquise de Kaigoà, comte at -comtetse do f uray, vicomW cl Mcomtctsc de Camlxiurs, comte et comtes^ Rçlail Iran, vicomte et Moomt^sso dp NonwvilJe, yiooiiaw et \icomtesse de Rcmë£, comte ci comtesse de, Roddlleci \ico;nte de lîlois, vicomte ot Mcomtosse djlumicrest comte de ChoijuèniS, binon et imronnr do Grutnullei comte et comtesse de liioiESia, cottile de btze iicc-mlc

du Tkîarûiaj elc .v"

VANS LES CERGLES Par suite de la mprt du ministre de la guerre, les /êtes et t>ai du Cercle Militaire sont remis a une aate non déterminée. 'r La dernière matinée, mardi, a été particulièrement brillante au Cercle Militaire Ouverture par un allegro du Quatuor en Te de Meñdelssohn, qui a été fexecute supérieurement par le qua- tuor Alberto Baçhmann, Joirson, de Rinancourt et Choi^ net. Puis ont été applaudis Mlle Alice Gautier, dans Souffrances, de M Fontenailles -(au piano, M Dubaix) et Damnation de Faust, Mlle Lokart, de Covent-Garden air 3e Mpic Baterfly; M Caland, de l'Opéra-Comiquë aubade du Roi d'Y s, de Lalo, comme inteimede, une Ta TentèUeYquï a été dansée admirablement par. /Mlle Mar-; gueriterOupré,? de J'Ôfiera, et -M. \Qulriaiilt,' dèîl.'Opéra'O)tnique, ''Euis Mlle; Sârah -'eiives, du théâtre ^olièfe, linê toute ieune artiste grand; avenir,. qui a dit à mer-. veille êès -Bouffons, àe '-M Zamacoïs elle vest. lav petite- fillè'de'râricienïdireéteur-'et la fille de M. Gaston:. Gliyes, ancien iamLtiîstrateuf- du théâtre deïla,Por.te-Saint-Martin.' Pour terrniner, une amusante fantaisie^ en un acte de M.; Ûpminiis^mttsîquë ̃parfaite de M. Ed. Mâthé Acaâejnic- Sketch, quia été interprétée avec beaucoup de succès par i iMllé Eugène 'Larivière et M-. /Gaston Barnïer; ̃ Grand; siçcçs :pour::toiïé les 'artistes et les accompagna-; ieurs MM:. Butène Priad'fet Ed. Jvlathé.- 'J Aï}j'(iurà''h'ui' àufa;iiéu, -au Cercle de- l'Union ;Ârtistiqlie, l'ouverture. de l'exposition annuelle de peinture et dé' sculpture'.1. •̃;••̃̃ '=̃̃-̃̃̃'̃ ̃̃̃̃̃ ̃̃ ;iL>exf!asï:ti|jn?rest^rai' Ouverte jusqu'au 24 mars, de -onze "heures a' qua^è "heures. ̃ 1 -Au Cercle. dèri 'iliriipri; a eu lieu le-, dîner de la'Sb-, •cjété d'histoîrç. diplomatique, ̃̃ Parmi. les 'cùnv.iy es r ̃ M.'Pithpn, ministre des affairas étrangères )M: Vbsnilch, ministre' de Serbie comte d'Haussonvàlle, marquis de -Revers.eaux, ,duc Lespare, yiéomte Cornudet, 'jiu'c de'Broslie, ïtinrquisde tAbarde, 'co-mtedé; Fôrbin, marquis de Mouslier, comté d'Vntioche, comte de Plancy,' etc., etc.v ̃̃̃.̃ 'if. ̃ ̃ ̃.̃:̃ ̃ CARNET DE LA GHARITB

̃ C'est c^rnme'.unTnerveilleuic Succès. que s'è'p.nohce la rnatjrièe gali qui sera/donnée le' vendredi 3 mars, àtrois heu>çs,: au 'th'ëâtre Réjàne, au profit du « Soutien França'is'», qsuyf e 'd-'assistance 'aux femmes du monde devẽ rjkes "malheureuses et' aux enfants. La duchesse de Lévis̃ ''Mirepoix!' pr^ideiite de'l'çeuyre, et le comité,, npus com:njtjii^uent la liste 'des 'nouveaux titulaires de1. loges et de fauteuils,' qui s'âllp.rige tous Jêsjoiirs. Les trois noms maglqueV:4e M.me Ëâviria, ia délicieuse cantatrice; du mai-tre Widôr "conduisant î'prchéstré, du grand pianiste Delaîpsse'fpnt^merveille.. ̃

Parmi les souscripteurs de tes jours-ci

̃ Duchesse d'Uzès, née Mortoanart prinicesse de Brancpvân, •Prin,c<issé 3\tuj'at, duchesse de .Oalrmstrti, .çow̃•,t&ssë'.de Itti^'int, 'èoiTite4se dé' Çhaum'oft^Quitry,, ̃m'arguise Âiodtne; pi^ncesse 'Pierre ̃̃ ffArenherg. 'iilar-1.quisé' du TïllëW harc-rtne Tossizza;- comle^e Oacquos. vd^Aramoîi, Mrne Anchdeacon, Aimé' Ernest .â'Haiïlefciyc,1 •' Mipc' Joseph-- Wenckef, comtesse de Heinach-Cessacr, ̃baron :R.-Ï>ospât.ys,- baronne de Neuilize' Mmo.J. Bon-1 ̃ nàrdeli cQintesse j-Jocquailt de Turtot; Mme Valsamaclii, comte et comtesse de Job, M. Fouroier-Sarloyèz-e, Mme A! de Gournay, vicômlesse de Q>oy,iîi'arqu4s et mar-: qiiiàé d'Ôriiaiio, comtesse Sala, marquise de Casaruerle, MniéL. Singer,' Mme de 'Noël. Mine J. Porgès, cbnïiesÊe :'àà Cari'àule, Mrs MarsliQÏÏ-Field, Mme F. 'Singer, "vicomtesse. R. de Petitevaie,1 -Mme Saint-Paul, comtosse d'Andlau, ̃ Mme Armand Paquin, comte et comtesse M. du Houssoy, i>aron et baronne de PlanUer̃ K-lape, baromie de Beau-verger, .M.' Mavrocordato, M. Maurice Dorlu, etc., elc..

Parmi les premières places il ne. reste <juë quelques fauteuils à 40 et à 20 francs et deux ou trois loges de 'rezde-chaussée. Avec les places de foyer, "on peut faire des gracieusetés à des artistes ou à des jeunes amateurs de, "musique.

̃ Billets 40 fr., 20 fr. 15 fr. et 5 fr.

Location au théâtre Réjane, 15j rue Blanche; chez Durand et fils, éditeurs; 4, place.de la Madèleifie (de 9 à ll'h, et'de'2 à 6 h.); chez Grus et Cie, éditeurs, i place 'Saint-Augustin; chez Laudy, 224, boulevard SaintGermain; chez yilJeheuve-TUrron, 51, rue Sainte-Placide; la Soçléfé musicale, G. -Astruç' et Gis, 32, rue Loujslé-Grand,'fPaf]s, et aux èurepux 'du « Soutien Français », "42, rue du Bac.

PETIT' CARNET

'̃'̃' La Société dés Amateurs a la main heureuse. Comme -•le disait judicieuseinéiit' hier son président le comte Guy ̃âttlà Rpchêfoucaiild, au cours d'un avant-propos précédant Uné: causerie- sur la- danse, l'oràteUr, le marquis de •Montfefrier^est -habitué à faire salle comble-. "Hier, plu-: ̃ sieurs ̃spciëtaîresn'ont pas pu prendre place dans làsalle.. Eruditlpti. ainiai>i% servie par^ d'amusantes' anecdotes, aictip'n aisée, ;voiK-cïairé et puissante; tél!e;à été l 'imprés-, s^)h ùnahimpmeht'recuéillié par l'àuditoircsj; Un vif succès: 'égal.eftiè'nt' pour '̃des proiecVipns- inspirées par Ses -gra-; ̃vui'fs'éhorêgraphTques appartenant à Mlles Ghâslës qui,' àVec Mlle' Meunier, a'-été acclamée' dans (les dan'ses heureûsement rédotisfituëès, .entre autres une « second Em- pire » iaveçia criqolihe et le chapeau à bav.olèt.; Très applaudi aussi M- Çleite ̃Màrgùérïtte, ramatèur' réputé,1 qui aàiis'é en p'erfectiôh-. ̃ ̃" ̃

Lés sociétaires se sont 'donné rehaèz-vous pouf samedi' 1 p'rbehainr;)purdu; vernissage de leur exp6sition,au pavilvldn de I'Aleazar.r! ̃• r– La .vicomtesse Maurice 'dè-: L'Escale vient de. donner .̃h"eureùsemëhtlle^|our,.â Corapiègrie; à un fils, qui.rece.yra lè'pr^hom ïe Jrfiiçois, j.- Mme Louis de Seynes vient 'de mettre heureuse- .nient au monde ûneiille, <jui a reçu le prénom de Mo:; ;niquè. ̃̃ ̃ ̃' L'ë' grand violoniste compositeur S, Lïmonetti, de ''î-'pndresl^qëpasSag* à JPAris po'uï. se^rendre à.Ni'çe,' s'est' ;jjît ëiitenàre pliez. M. Lép,.Claretie,:devant Quelquès; in- :times, 'avec;' plus" vif succès, ainsi, que [les, 'au très artis-; tes Mrnés.Lina de Vârennes, Valèntïne verlaih,âu' Vaùr; deville; Jenny Pirodon, MMs- Gasîpn Paulin, Marcel Lat̃.tèS, etc.' '̃̃ ̃̃- ̃: .:̃̃' •' ̃•' ̃ MARIAGES Nombreuse et brillante assistance, hier, à midi, eh il^ghse Saint-AUgustin, ou 1km célébrait le mariage de ^Mlle Trubert, fille de A\. Etienne Trucert, deouté, \jce- -^résident'du conçejl'd'admuiistration de la Compagnie des chernms de fer Pans-Lvon-Mediterranee, decéde; avec le comte 4e Corneilhan :<- c Les témoins de la mariée étaient Al Jean Trubert, son frère, et le -comte Coat <Je Kerveguen, son heau- frere ceux du marie le baron Jacques de La Brousse tte Ve>raret, chevalier de !a Légion d'honneur, son oncle, et le yjçornte Louis' de .Corneilhan, son frère La niesse a ete dite paH'abbe ijnnon et -la bénédiction ¡ nuptiale donnée par i'abbejaum, cure ae lu paroisse, qui •« prononcé une charmante allocution. k

A Perîgueux, en l'église Notre-Dame^ vjpnt d'être

célébré le mariage de AI Jacques Wadal, -heufenait au

^9°<d'artîlleriei «vet ~Ml'e iMane <le loqueyssie, fille de

M Albert jle Logueyssie, ancien Î3eputë, ancien directeur du VayS décédé, et de Mme, née johnstqn La benêflic- Hon-ntjpfiaie a -été dopnee par le chanoîhe Chabôïsséau,

•cliré fle Ï^otre-Dame de Bourses

Lesltpmoms marie étaient M Nadal, inspecteur

̃dés ^finances honoraire, et général -de Castclli, com-

mandant ia 34" brigade d'infanterie.; deux, de la mariée

étalent M Vidal de Lajisun, clief d'escadrons au 8' cui-

rassiers, et M^Croisé de Pojircelet, ,/cheï d'escadron au

34° fëgiment d'artillerie, ses beaux-frères

NECROLOGIE °

La comtesse Berihe de blinchamp, dame de ia Groix

La La m.: ~a p, de.la .Croix

S )ié'çl~<gp:i:m~r¡te {J cMI de..B1i! "àde

Èjpilée d^utricljé, ('4§raç cJu^MÉnte civai de Bu!gar<e,

iyènt de s'éîeinjîre après de- longs fnôls de soufirances en- tourées -3ve^ Ifl $us capétienne ré$îgnatipn

^miss 4es sa* p^me jeunesse, auprès des Princesses

'a'ÔrJpatfs,, a Claremont, alors ^ifee îie ses tantes etaU

4ârhe 4'honneur çe^a~Jîeire Mai?e-Amelie, elle avs^t été

altacî«e J la Duchesse- â' Surpaie Après la mort *jy prè-

ma;uxee de cette Princesse, Mme de Clmchamp^resta

d&nè\d'JiûïinEur ^de iK nière, la Pripcesbejae Salerne, à

laquelle 'elle -eut ëfealernenf la douleur de fermer les yeux

"liciOuo d'Aumaie,, q'flî avait en haute"" estime le'c-jrac-3

tÈre et' l'inteljijgence vdfe. Mme.JJe Çhnehaînp., en n\Cme « iënîps qu'une ^rande^fepontiaissflnc^'?pour ^on dévoue-^

mêht ail? siens., lui confia le gou\ ern,ênienf de sa "mai i

son au'âïàteau^de Chantilly

La comle&sè de Clinchamp écrivait à ses heures, elle

a publie des « Souvenus » sur le Duc d'Aumale et, phis récemment, sur la eomtessc de Moptjoie, aame d'honnpur

de Madpme Àdtlaife, -7"xW'

>Mme ae Clmchatfip^-avait la jouissance de la villa- ï La Nonnefie, à Sa)tlt^irni;n, depuis la mort d\L Dm

â'Aùma~é"`',Cë#té.jplié" i â~tiüit don `lè.jérdüî;.fôtiçhe ~`Ç

q Aumale' Cette johe ifflbitationj dont le jardin touche cej

hiiraejKDuchesse^È'JGhartres/à 4jte(|>otti''adbnant -silfe

,%ïôhl%i parc de'-etifihtilly %? $$ A. > ~£*

iVdL>-a p&M;s!e, qut mu d'atorâs^ivÊ kfflé'de p\W xy

~c|ànip (mi& faculté^e se -înbavoîr, ^qgft« bientotM

^jo)e estait le pjreJffiipphpê^ùur Ja^feiliantp" femrnja

>îjM avait *bjiiervB*«oOnte]I g|lijce pleinl'Tet.jénhere )&%

^iM sesîtierhiers ffioisjtîe ne^lCS pod'vUll' %primfefc*ep

pjnaée 11 V a un an enSire tlleiqQs jiaif«it êes souvejîifï

flfl'exdîM «ntre.'antÉs la dêftiî&e visité âe-l'ImpéflE

̃tfîfe CjCrloite a GlBrlSnont, feïïnl so5'«êpart poUf 1§L

s ~e r t1é' `.` r ~-a. k 7 's'

'La comtesse Bêrthe.^è Cllnfehà'rnp'r gravait piûsr^è^

quatre-vaqgts ans, laisse des neveux, dont 1 qn, le comte

de Clinchamp, est chambellan, grand-maître des cérémo-

nies du Rot des Bulgares: Vl

La date des Obsèques n'est fias encore fixée

On anhonce la mort de^Mme de La Serre, liée Mélui'"

de Vadicourt, décedee au cfiateau d'Outrpbois '(Somme)

Eli- était la mère jde M tie La Serre, qtu a épouse AÛ1& de BeauviUe, de Al Pierre de La Serre, de Mme Boberl' 'i ae Fa> d'Athies et de la comtesse du Passage u Nous apprenons la mort de la marquise4e MaiUardoz ` Le Rue, dececjée à FnboUrg (Sulsâe), le février

Mercredi Ont été célébrées, a ^Saint-Lotliê de Vert

sailles, les obsèques du comte Roger de Bertier de Sau*

vignj

Le deuil éiait conduit pàT M Joseph d,'Hespel, le comté

A de Bertier de SaUvignv, le vicomte de Falenttn de Sam*

tenac le comte Pierre de Bertier ne Sauugny, le comté André de Berf'er de Sauvighy, le baron Jeari tle Falentirf tie Saintenac, M de Martin de Vnies, le vicomte de Bojs* -seson, MM âe Bèrtier de Sauvigny et le comte Henri de Bertier de Sauvign> L; Reconnu

ico;nie et \icohjtpssn de TragUier, /narrjiiis de f alon* dres comte et comtLÊse du Rlespis,fVicoml<? et Mcom* tfb e 0 d( La Hitie baron et baronne de LCspraass>ei comte de Persan, Tjcomtesso Ae Bitmont, comte d \rgeruse, ba/ran et baronne de Vilmarest J A Tulle est xiecédé Técemtnent Un Ht nos plus distingues confrères de la presse départementale M "Ernest Crauffon, avocat, directeur du journal Le Correzien II occupait une place importante dans la presse plébiscitaire et joua un rôle considérable dans la presse de son départe-»

ment.

Un service pour le repos de l'âme <îe la très regret1 tée Mme Biasy-Ma\ro, decédee à l'âge de quarante-sepf ans a, Nice, comme nous l'avons annonce) a été célébré hier matin, a l'église russe de ia rue.Daru, en présence de la famille et de plusieurs membres des colonies russe et grecque de Pans

Une messe sera dite defnàin lundi, à dix heures et demie, en l'eghse Sainf-Pierre de Çhaillot, chapelje de la Vierge,; à <la" Mémoire du lieutenant 'il'a'î'.tilïerle Pablo Daireaûx, décédé'Jà Bùènos-Ayreà à la'euitèd'uri accident de .cheval.: ̃̃:̃ v.: ̃; .?̃ ;,̃̃̃. -• ̃ Nous apprenons la inôrt i-'dè ̃̃M.-Àndï'é Giroùlt,, ,çHe- vàlier de .la -.Légion d'honneur, décédé à i-âgeidë spixant&, ,£ëpf;.ans.;IL était lg;-beaurpère; de M.>Lbuis iRénon, iprpfês-' saur Agrégé à Ja Faculté de ihédeçine,: médepiri'ide l'hOpir ̃

.tal^epker.jTère:-dfi.GustaKè\ôîrqult1ioonœiHer'giçnër'.r

•râl "delà ftlàncjie:be^'u-ffèré,çie-M^ È'Le Sôîioiér, avocat au cbnèeîl d'ptat'. et à'' ço'ûr de cassation de M. Eniile-yictor .Petit, meihbredé:la Société centrale dès. artistes français etdë la Sqciété:des sçiencesd'Âuîcérre,' dé-, céflé à Paris; à l'âge ̃ de soixànté^six 'ans. ̃ ̃ ̃ Un- 'service sera célébré demain lundi,, en j^iise Saint-Hohoré_ d'Eylau, pour ,1e repos de l'ange du b'sron Alban de Plinval, ingénieur agronome, dëcëçîê; à Bar-le^ ̃Duc, et inhumé à Bergères-sousiMontmiraiHMarne). '̃̃̃ Vfclfleury

♦– ̃ ^-i

L'Exposition de Rolné L'exposition- ''de. Romëj Qui va îs'ô'uyrîr ie 27 mars prochain, a 'été: -conçue dans une formule absolument nouvelle et origjiiaîe 'elle n'est p'ôyit parquée dans un coih:!de Gitë, elle a pour limités les murailles mêmes de1 la ville c'est donc Rome entière qui est l'Exposition et les visiteurs emporteront l'inpùliliâiple vision des trois Rome, naêlëes et' rjéunî^s dans une' même gloire..

En effet, la Rome Wntique est représentée à

la- promenade archéologique qui enferme, dans

la promenade h b q qu enferme, dans

une. ceinture de verdure, depuis le: Gapitole jusqu'à la voie Appienne, les ruines les plus augustes on la retrouve encore aux Thermes de Dioclétien, où a lieu -l'exposition- archéologique, toute pleine des merveilles du passé .latin. ̃ ̃

La Rome.jpà-pale revit dans .cet: admirable .château Sàmt-Ànge, qui contient dans ses, flancs puissants l'exposition de l'art .rétrospectif italien des quinzième et seizième siècles,; pour, laquelle; toutes les' collections particulières et tous les musées régionaux ont prêté leurs ehefs-d'ôeuvre. •̃̃̃ ̃La Rome moderne, enfin, figure -dignement près de la villa, Borghèse, .dans l'exposition internationale des Beaux-Arts, où elle étale dans son splendide palais et dans les pavillons -étrangers, toutes les -splendeurs de l'art J.' aujourd'hui. Et un peu plus loin, sur >les rives du Tibre,, traversé par un pont monumental, l'exposition ethnographique. donpe-;un extraordinaire panorama de l'Italie là, chaque province est "symbolisée par. des pavillons reproduisant les édifices" caractéristiques de chaque région on j voit. Venise et ses canaux'; le Piémont et ses architectures "pittoresques la Sicile et ses monuments arabes ou normands Naples .et Santa-Lucia le vieux quartier du port de Gênes, .les Marches, les Calabres,- .les. Fouilles, les Abruzses, et le tout est peuplé d'ai-tisans portant les costumes locaux et "se -livrant à leurs industries originales.

Nous donnerons dans quelques' jours le programme complet des fêtes qui feront de cette Exposition. -unique la plus -belle manifestation- d'art qui ait jamais été offerte au public. s. B,

̃> LA .• Jjj# É (pûlai fif ai La chapelle ardertte ministèhe ?de la guerre. ̃ La visite du personnel du ministère et des officiers de Paris

Le cerciieil contenant le cojrps du général Brun a été tr-arisporté hier matin sur un' çâtafalqup- élevé dans" le- salon d'attente du-' s'ous̃.seci'étai-r'e d'Etat'; M.' Jeân*Brun,'fiïs du défunt' Le général Ebéner, son chef de cabinet, et les officiers d'ordonnance, étaient -présents. à la translatiph. Le;çercueiï est recouvert d'un drap rnortuaî-Tè là'rné d'argent,- sur lequel on a placé le" c'ha-' peau à plumes -blanches/ la- tunique avec des épaulettes d'or, le peinturon et l'épée du géné:ral au pied du catafalguej quatre coussins sur ^lesquels sont disRps.és. les nombreuses djcçràtioris du défunt, notamment la plaque de:.grà!hdof fiçier de la' liégion d'honneur et le ^grândjço'r- don 'Sainte-Anne deTluësiei. Tout autoUï; dés cierges dllumég ,'a chaque coin se tient un officiel en grande tenue, qui est relevé d'heure en heure. Près du cercueil, un lampadaire soutient le fanion Voil'é de crêpe du ministre de la guerre, dont la flamme flotte au-dessus du cercueil. Dans l'après-midi, |put le personnel du ministère de la guerre s'est rendu en cortège a la chapelle ardente, il a défile dans le "plus grand silence devant le-catafalque En tête, le cabinet "mî)itaire du ,déïunt ministre puis» ve- naient le cabinet en jI, le-sous-seciétaire ̃d'ÏElat à 'c: la. gueue !V£' Noulens, étales membies de son cabinet, les officiers de l'état major parneuher, le personnel dés dîïférents^en îces état-rrîàjoi de l'armée, directions, etc etc En dernier lieu,

les officié disponibles de -la garnison Tout'

l'aurus- midi l'aiaimation a ete mtepse r^e

Saint Dominique" ~'r' x;

Veis quatre heures, le défilé prenait fin îl, lecommencei-a aujourd'hui de neûî heures du matins midi jettleux heures à Gmq-heures>du soir ,1e jaublic, sef a admis a \jsiter ^a chapelle

aident* oHi repose le défunt ministre de,lîi

guerre >

LA CEREMONIE DE DEMAIN

Les obsèques du général Brijh auront lieu de-

main matin, à aix'heure" Tçute la garnisôn^de

Pays y nssistgia, bdu~s les ôVdies du génirâl-

goiiTfeineur RJ§tingurv, assiste du MneçalvGai- er commandant sugeneur de Ja déf^gse, el-^u général Vayssière, commandant le déjpartemenit de la Berne. v

Les troupe^ rendront les honneurs la levée

du eoios, d l'hôtel dii ramisle^e, sur l&parûouV^

du cbitege, lelong dijiboulevard Samt-permain

et d<js quais, et a lagare d'AûsïérhtZ) o|i seïérà

~ë. ~al-"ét o~sMoh't-~oh&ncës'les .a~

le dcjilé ifinal et ou.fceiont prononces les dis- j

,cuurs. Cette -dernièfe" cérémonie' se *d6rùulerâ

dans une chapelle ardente qm .sera -installée^

ddnsvune-des salles de départ de la gare aus-'i

S: B.

sitôt les discours terminés, le cerGueil sera transporte «dans -yn fourgon spécial et partira pour-IWarmàftclfeç^ l .y. Le^ gênerai" ÏHserie/^rplusieurs Qffipiers qui

faisant .parlée de lSM%ia]Qr du gênerai Brun

.-acppmpagnef'Oht le èjifp^ jus.qu'à destination

^Ppus les oïnciers *8è;là réserve et de l'^wnéè.

témtonalc sont autoïi^S a faire partie dG|£or-

tepej funèbre, à conéNfûn, b)en eptendu^^u'1!3

soient daaeia ienueSgpï'ementau e "Ï^j

soae~t da s~ià t~~ué. ~:l~mentalr~ f,~ y-,

3Parmi Jîès bÇïirdîffie^ dé]à envoyées," 'fcitbns

fellës dâ1létal*>'fhlyora.e l'armée, du comte îïos-

tifenattdchê feilitairl^le'/ Russie de l'AerSJiau

qi^Shilitaiî-fo^le riîffiôB des sociétés deti^dfcs,

M^ailles toilfl^lJjtt etc! l J

Les condoléances Le i-oi Feniuitind 4e Bulganeo<i adressé à M Stâncidf^son munstre- a Paris le télégramme suivant Au cours de mon \o\age, jp rocois la nouy^Hf de ]amt>il du général Biun tiùs alllige du tn&to é\cf Jlémcnl qui pi n r~ 1a Frdncf d une tmincintr pr rson»-

t'alite roililailc, je Voiis charge tlYxpmher A M le

:pr:e~idenl'de lri-ré uG)"üé.,tikr. résid'talù'côïl~Ei~ l,~

président <le la réliubhque, m pro&iapnt tlu' conseil

des inimitiés et au gou\ ernement fiançaii, im^

smcèips oondoliSances Vous UsËiE>tere/ aux obsè- ques comme mon représentant Faites dtposoi1 mfe belle ooilrwitie en mon nom D'autre part, le roi Ferdinand a donné Tordre aux officiers bulgares actuellement a Paris d'as- sister aux funérailles Ci < Le général de Ladébat, chêî d'état-major de l'armËe, a lecu hier k dépêche suivante du ge néral Sôukhomlmofj ministre do la guerre de Russie

Viens .à`' ~rèndcë aa:fou ro é bu 1 è. ,déf

Viens S'apprendre ]a foudrovante nom elle l du d<5

ces au gênerai Brun Cette peile douloureuse qui ̃went îraijj>er l'armon amie se ressentira ausbt \ivenient donfi les J-angs de 1 armée russe Profoñdenent atlrisié, 3e vous prie, mon général, d'acoep- f pr les sentiments de condolcdjico les plus sincèi et de la part de toute 1 armée iusbe ainsi que de la mienne

Le ministre do Belgique a exprimé aii gou-

Le ministFe de e exprime au g

vernement français les condoléances du roi Al- bert et du gouvernement belge Le ministre Serbie a' fait une démarche semblable au nom du roî Pierre et gouvernement serbe. L'anv bassadeur d'Allemagne, le ministre de Suisse* l'attaché militaire d'Autriche-Hongrie sont alled porter au mm.isj;ere de la .guerre leurs condoléanoes personnelles. M Briand, président du conseil, a reçu cq sp?r sir Francis Bertié, ambassadeur d'Angleterre, quivlùi à présenté les' condoléances du roi d'An [déterre. M. Briàrid à. également reçu ûh grand nomjhre de télégrammes dohdolêan'cés, 'nétabi-l iment êîi ministre* des affaires, étràrigères d'Els-* ,.p^gitej deSidiMoharned El Habib bey, héritier j.présomptif du trône de Tunisie.̃

"̃̃̃' .̃'̃:̃ ̃' ̃: -̃̃ ̃ =''̃̃̃ '̃̃ ̃ L. N. ̃̃

Coulisses politiques Conseil des mihistres

Le ..conseil des ininïçtres,. hier, sous Ja.présidence de M. Fallières,, après avoir discuté là. situation', do

cabinet, s'est occupé de diverses ^questions. Le mi-,

nis'tfé des finaflçes a anppnçé que les pourparlers. reMifs à rempriint marbeairi sont à peu: près terminas.' ̃̃̃ .V-" ̃ ̃•̃. ̃'̃̃̃' ̃' .Le ministre -de; l'instmction publique e;£ntretenu Je êohseil des troubles qui. ont^eu lieu -à4'Uniyersité çllAlger. Il .a annpnré qiie JLog cours ;qnt repris le U février sans âupun incident (L'enquête ouverte à 'ce sujet se, pours'uît. i ̃̃' M,' Maiiripe-Pa;ure a fait décider que la chaire de physiologie générale, actuelleihent vacante au Musëum d'nistqiré naturelle, s'eïait maintenue et que. les présentations de candidatures exigées par la loi seraient provoque, es à bref- délai. Le ministre feé oqjpnjes.a commyjiiQ[ué un; cûblogramme du lieutenant-aoûyerneur de la Ç^le-d'Iyoire.faisànt savpir -que le détachement envoyé soiis la conduite de dgux, Qfficiers pour rié'tablir les comrnunicàtions autour de Sinfra a débloqué ce poste sans encombre le -17 février; Le poste dfe Bouafle, ;eitué 'cohi-me' Sinfrà, dans la région militaire et également bloqué à la;mode iudigène, s'est dégagé 'par sqs propre? moyens. ̃L'autorité' militaire confirme que la 6itua;tÀori n'est pas inquiétante et que les commerçants aotuellemgùt S. Sinfra ont été autorisés à; continuer surplace ..ïeii'rs affaires.

:Tib' autre paj-t, lin second cû-Dlogramme du -gouverneur général par intérim de l'Afrique équatoriale ̃annonce qué'-touè'les blessés du comliat de Dorpthé (Ouadaï) sdtit guéris; ̃

'H,;».

̃ ̃. ̃• ^-vjjjg-- ̃

LA SOIiéÉE

au

v jA ~'<~ <~ n <

Théâtre-Français · II. y a eii encore quelques incidents hier soir, la Comédie-Française, pendant la représentation d'Après moi,- 'où.- la salle était un peu plus attentive. Mais on peut dire., que de' ̃part et. d'autre, c'est-à-dire du. côté des manif estants comme du côté des agents chargés de rétablir l'ordre, il y avait un peu moins d'ardéur on se laissait conduire au commissariat- spécial et la police, à part.un cas ou deux, avait, pour ainsi dirai mis des gants!

Dans la salle et. dans. les .couloirs, MM. Egar;'teler ei» Cabat étaierij; ;ïës commissaires de service, et Rï. Quichard, chef de la; division des .rechef ches. dirigeait' les agents èri bourgeois "pur les coins' broyants. ̃ '• :Les interruptions se sont faites aux: phrases habftuelles; telles que « Qu'est-ce qui- est irxéparable -Réponse « C'est; de dé^erterr», Al y a eu oepéMaht jinè .interruption1 'inédite.- ÈÂu moment la duchesse d.e'Mirail 1(iVille: Prô'vost) mojçitë.i.kviebl|i.Jiïj;iisïî!ie'iç Carlos (M; .Çf ranci- .yaj) l'e^ôalier qui' conduit .'âritage supé.riëur "Qu château et.flirtè'aTOcTui, un spectateur des: îauteuils s'est lèvent s'est mis à «hanterle ref-rain militaire La monteras-tùi là: côte' ?^» II alté immédiatement appr4hehdé.:i et reconnu, car il portait des 'moustaches; pds'tichës Vc^st M. Armand Hubert. ̃

Au deuxième, acte), un coup; /de. trompe, au-

Au deuxième acte), un coup'de. trompe, au

rpoment ou. Guillaume, valse- suicider puis, dans Ja scène, yàpïèhte. entre.. M: -Bargy ,-et: Mrne Bartet, une sonnette électrique se déclan- che et: dénonce son propriétaire^ qui, !6st.' remis entre les -niainsTdès agents.̃̃̃ Au troisième âçtey une seule interruptibn « Ar Brjixelles » ~= au 'moinèrit qû" GUiUaùmë:dit, « 'II faut que jf mJën. aille, loiii, loin. Toutes" ce.s interruptions, accompagnées dçdanéeînent de:;petits-papiers, fur-ënt suites d'arrestations au'.tptely il y a eu' treize imahifestapts^condùits .̃̃au?.posté- .̃••̃̃̃ .•̃̃ \v- ̃̃̃'̃ ̃ "Pendant le cours de la soirée, les- artistes, ont: recueilli les applaudissements du public MM. Le Bargv, Grand, Mmés BaTtet et Pieison ont été très fêtés La salle était comble, et la re- cette s'est élevée d 9,782 francs. i AUTOUR DU THEATRE-FRANÇAIS

La place du Thèâtie-Prangais, si calme d'or-

dinaire, avait, hier soir, l'allure d'un camp re-' tranche et, a certains moments, d'un champ de bataille. Manifestants en. colonnes et en groupes s'y.heurtaienkaux carrés d'agents, aux files de municipaux déployés en tirailleurs^ aux agents en -bourgeois opérant en \oltigeuis, et même^i la garde a cheval, qui, Suivant la stratégie or dijijaïrement réservée a la journée du 1" mai, '̃faisait la « promenade ». e DjGs cris, des chansons, mille bruits divers s'é- levaient de cette foule qui, d'une minute d l'autret ttefeilaït de l'avenue de l'Opéra a la rue de Rohàn, de la rue de Richelieu à la rue SainV Honof4? d'un terré-plem à un autre terre-plein, d'une Jcirasse /de café a une autre terrasse de 'café, éclairée, à elè certains moments par la lueur viye du magnésium que les photographes brûlaient sans discrétion. Le's autos, les voitures circulaient difflfcijjement entre tous ces inanjf es- tants, tqus ces curieux et tous ces agents. Spec-1 J,' tacje cûfieux qtié ceux quî assistaient à ia re- présentation d'Apres 'moi regardaient des fenê- j. tres Jcte lârComéclie-Prançaise, pendant les en-J

'tr'dCtes.. ç P `

Peu d'arr§stationSf;cependant, malgré tout ce

mouvement,-1 Ijgs age'nts ayant t-ecu l'ordre de

.é. ~éér _lés itiàiïiféstarits.vni~`m' dè~`" ` l

« déplacer » les manifestants, mais de~iie les. <

arrêter flue d,ans certains cas particulier^ Ils •̃ Qnt à peu près' observé les instructions reçues D'ailleuis, toûfc,4m étatjnajor ding-eaît les

« opérations « et M. Lépine4ui-même vint.'un

peu a\dril-la sorhedu théâtre, prendre leJcom-

mandement de ses troupes.

La.preinièr-e colqnne de manifestlhts arrive parja îue-âe Richelieu, vers -dix heures Les agents rapidement rassemblés s'élancèrent, et

la colonne fut dispersée Elle se reforme bientôt

et a eut sHnstSlîQ â)i%afe de lUniveis, qrïrdê> 1

vait êti«, duf^ntipjKe la sorrée, le quaitiê/ gë-'

néral de |a mamfèjMlon 0ne seule an estafaon fut opérée d ce moment, colle de M Guerm .^TDut d coup, letsô'mmissdiie de police bondit I Tenait aperçu sur.Jfe terre-plein qui fait face a; r^Comédie Française, deux" messieurs graves,. Ji[prtant chacun ^nj'ïusil en- handouliere et test

̃ftmit un énorme gëVolver dans chaqqe main On

"énirnene^au poste-ces hommes armes de façon "Èryedoutable et^là tout s'explique les armes. '•qïaientjbhSrgées de cartouches a blanc et ceux 1 q&i les^)SitieMuetaiBjit deux de nos confrereè

̃tfn'espÇit iâptîefix v

Un peu jSÏÛV tard, une forte coloïine d'étu-

diants, conduite par M Pujo, qui avait ét^ re*- lâché la nuit deimere, à trois heures mahnj> ambi que M Léon Daudet, vient rejoindre là' première au café de i Univers Ges jeunes .genss avaient répondu a 1 appel que M Pujo leur." avait adresse le matin même par- voie d'affiches,

et c est a pleins poumons qu'ils criaient « Gons-;

,et uéz:$. p p, ,Ç.. ~:ql.. btîaiêI1t Cons.:

puez Bernslein, deseiteui » Le café, envahi, n& peut contenir ces nouv \êaux awnants Les.agChtê chargent et en dispersent une pai tie A ce moment, M Maillot- chon, pjopnëiane du café de l'Univers, est invite par le commissaire de .police à enlever les tables et les chaises de sa terrasse II refusé en termes si énergiques qu il est immédiates ment arrêté et conduit au poste de ld rue Vilt ledo M et Mme Huck, simples curieuxt qui protestent, l'y suivent Le café est alors isolé la place pai un dûuhle r\ang d'agents et de gar:des, derrière lesquels les jeunes gens ne cesse? ront plus de chanter et de conspuer M Lépînei qui arrive a onze heuios et demie, fait dégager cette terrasse il en résulte une courte bagarre» avec chaises, tables et gens renversée. Les agents reçoivent -quelques chaises sur la tète et des verres vides roulent par terre et se brisenU Des barrages sont ensuite établis pour facilitei sortie du theâtie, qur & effectue tranquillement- tandis que des quatre coms de lu place montent les chants vigomeux pousses pai plusieurs cemtarnes de jeunes poitrines A l'intérieur du théâtre, on ne signalé que les arrestations de MM Hubeit, Mangnan, Postes* do Bouteiller, Gleret, Gross et Ruellan. LA CHARGE ÙE L'AVENUE DE L'OPERA Après la sortie du théâtre, RL Pujo "revient; en compagnie de M Maurras, au café de l'Unù .vers. Les manifestants lés acçlànierit et Ml Pujq prononce quelques mots. Les jeunes gens se fprjnént arqrs'é^cplénne, dont;MM. Pujo et Maùrfas ppeniiènt -la' tête, et" s'engagent 'dans ràVêniiede l'Ofiérk. Derrière eux, les agents se ̃massent, .en inênie ̃ temps q'u'e les gardes à. cheval £ë préparent à les '.suivre..A'1 ce'moment, deux coups de revolver, partis on rie ,ait' '.d'où, retentissent. instantanément, .Jes agents; chargent avec violence, rçfoularit les manifestants: dans :les rues. Thérèse, Baintë^Anne et Molière.^ Les'uns'tpm^ bènt, les autres foulent sous les pieds dès chevaux. M. Pujo est arrêté. L'un des jeunes gens- -M. Allain Mallet, test, blessé à-la tête d'un coup de poing ;.un autre, renversé/par le.vChe;yal*d'ùn garde municipal, se passe la jam-Èe.j.n .^tombant!- Ceux, des mânifestahis .qui purent se réformer plus loin en colonne arrivèrent jusqu'au. Cercle, rnili' taire,, ils. acclamèrent Farr' Siée. De nombreuses arrestations ont été opérées pendant la charge.

On neus informe, à deux Jieures du matin, "qu'aucune arrestation n'a été maintenue. Rectification nécessaire

̃'̃ .Eiï.nôtànt liieraiiatin lïriteryentiôn de M. Guy "de Cassagnac auprès des agents qui traînai éot un manifestant par Jes cheveux au ..Théâtre-Français, 1 nous avons ajouté; « M.' de Cassagnac fût interpellé de telle sort© par M. Guichard,. l'officier de ̃paix'iqu'il lui remit sa carte.» ije, distingué directeur de l'Autorité -nous; écrit à ce (sujet « Jein'aimullẽnient remis ma carie à ce personnage, car il eût été dans la nécessité, de me donner en échange celle qui l'immatricule sur les contrôles -de 5&rè.té. Je ipe><5ui-s borné à lui dire au 'moment 'oiV il s'avança ̃vers m-oi' pour s'excuser d'une grossièreté, qu'il adressait à travers moi- à- tous" les journalistes « Je ne vous permettrai' pas un mot de plus, monsieur .si vous, étiez de1 mon inonde, :v0us auriez déjà f ecu un soufflet ou deux témoins, Je-ne saurai? donc receYoir. de vous ni un© insulte, ni. une excuse. »

Autre .rectification ce n'est pas M. Noël Bar'dac, màis'M. Edouard Bardàc qui a été jarrêtë et relâché aussitôt, iwur -avoir protesté contre un outrage ̃ adressé aux mils. P. R.

̃ ̃ ^-i ̃

LA DANSE

Depuis quelque temps, il est souvent question de savoir si la danse est aujourd'hui moins à la mode qu'autrefois.' Nous nous sommes adressés à un de nos plus distingués professeurs, M. Henri de Soria, dont les salons.sont rue Paul-Baudry c'est le maître qui a le plus d'autorité au chapitre. Voici trente ans qu'il est à, la tête d'une maison; qui' a_vu passer -toute l'aristocratie et haute société ̃mondaine..

Il nous a dit que l'oii dansait toujours beaucoup. Les bals. d'aujourd'hui regorgent de monçle, trop même on danse plus maintenant qu'au cotillon. G'est ce qui fait un peu de tort à la danse puis, enfin, c'est aussi l'exclusivisme du bpstpn, danse très agréable, mais qui n'est pas assez variée. On1 danserait "quelques quadrilles, .qui, ont aussi leur charme ainsi notre vieux quadrille,- l'Américain, quand il est bien- dansé et non éçhevelé, est très amusant puis, enfin; lès Lanciers, qui1 apprennent à marcher et à se bien: tenir. Gn.parle beaucoup "du. Double tout le monde" veut le. connaître il est.bienj si •.on. conserve la. ^mesure d'une, bonne tenue, mais, la façon* dont on rapprend en •̃'̃ général, c'est-à-dire avec un; ,g;enre peu en .h. àrmohie avec le bon ton. de notre. aristocratie^est todt'àfait. opposé à Kl.de Soria. [.•• }' .& ̃ ̃

A r~ ~r~ a

les papiers de Waldeck-Rousseau w

La loi des congrégations et le Vatican 1 Le Malin publie, aujourd'hui trois docu-: .'inents ̃: un fragment d'une conversation.de M^ Nisar-d avec-le Saint Père, ie 10 novembre. 1900 un rapport sur un; autre entretien avec; /Léon;XiïI, du 20 janvier 1901 enfin, 'un.second rapport relatif va une entrevue ,-dè M. Ni- sard -avec: .le cardinal Rampolla. Ces trois do-,Cuments mettent en- plein relief l'incessarrte bonne volonfé du Saint-Siège et ses efforts pour éviter une rupture. La première note a paru dans lé,Livre jaune en 1901, mais incomplète,1' puisque le fragment publié hier est médit Le voici Le Pape a rappelc qu'il n'avait pas cessé d'inviler les catholiques- a <iccepter la république, mais uno îepubhque chieticnno, héritière des liaâitjoris et continuati ice du rôle dp la grande nation catho- lique qiïVst la FjancP, au tomoignagp même du gouvernement S il s agit désormais d'une républi- que prévaudraient l'esprit de ê>ecte et ies pas- sions <le<3' ennemis irréductibles de 1 Eglise et du thn&t'diushie, <ornraent poun ait-on attendra du

Som erjjm-iPontire qu'il conviât les Grpyants à s'y

râl 'er qu).lconwU les. (Jrpyan~à s'Y;

rallfer '?

Quelles <jue soient d'ailleurs les tristesses et les anMéte* du 1 heure présente, les sentiments du Saint Père poui la France ifont pas changé, et te* i maintien do son prestige et de la situation qui lui appartient dans i> mOndL demeure parmi les plus cheie^. préoccupations du Souverain Pontife J\4ais en pj£>bcm,e d éventualités aussi graves que

celles quil lui faut .envisdgei airjourdJuu, le Pape,

gardien supiôrne des drpiL? de l'Eglise," a ses de-, = vous duxqupls il ne faillira paS^ < C'est stir cette affirmation dont le Ion accehttiaif encoie la pottee que Léon XUl a particulièrement 'insisté au cours de 1 audience -qui a duré plus dJunY3

heure 'r.

Le 20 janvier, M Nisard a uh Bhlrelîen nou-

veau dune heure avec le Bape Léon XHI,'qui envisage certaines clauses tle la loi -6uf les as-^ ° 'Sociation? « plus spécialement au point7de vue î de la paix sociale dt des conditions dans les-, 'quelles la France doit se préparer aux detfoiïs t

que peut lui imposer le-déVtJoppement 'de lav

situation internationale J> <Le Saint Père rap- pelle son bon vouloir et l'efficacité de soniïiier- ventron lorsqu'on lui avait signalé téïîajns

abus II parle'ensuue de la question tleSNQoïm-

nations épiscopâles. i

Le Saint-TVr-e en a ^ris occasion fiour rappeler

Jgs principes qui dictent tes décrions en pareille v matièie 11 n'entend a aucun degré iniposer- -au 1 > -choïi du gouvernement det candidats hostiles A la ·

̃ république: ^ét-, p'arï.c.onseqvient réfracteirès ̃ à:;se'3 ̃ -pro^res^lireciions. Mais i|a ;ëte ::tr.ès. affecté de:vojr ̃'̃ »soupéîtré.à.:Jqn;lagren)eîit, dfnè^'esgè^pijn\jioia. ̃ ^ér.i^bleînfen't-irWigne^paj^îl;ii^à;cê.rtai^îé^ ̃ 'Lë^chef .de l'-Eglise ̃d*01éi^s1.:iç]j^.d;;U"a;1aé^qs^. ^tàipa.tipns, d^çyêguesj ;doitràe,pré6(piuper jitm. seule- ̃:4nentFdesvvèrtusii)ïivéé'sfj3è'la;d.i :;£rtissi des -futilités jûe càraçterey de* rpLjîiprïlé mofjïlet des .aptitudés'nccés's.aîres' à' une; mission- si iiàutë.' ^-Enfinv ïieuî jqtif ^phiS/iârd, :M/ ÎSisard;;rjûte, ̃ « l'acçènt, 'particulier de; tri^éësè etï.d'irjtens^

émôtto'n^»'du^càraipàl'-Bàmp.pïïa;'r '̃̃] 'v; ''̃"

4-j. Qe. rapport-est, lui^ajissi,«;nti"èremen.t. inépjii tV Le cardiflàl estVpréocçupé .de.jlarlituXtipn" qjie v

la discussion delà loi des-aesdciaiiôns crée'au

3aint--§iègè vis-à-yis de la France. ̃ .Le.. Pape] d'après ;;inJ,e;st^ae.i:p-lus.én: plus' affecté de ce qui lui. vient de France:; 11. avait reconnu., rè. ^ttommandéi ;appuyé- ̃i-laii-réj)ubîigvUe.fepjïimé constl- tuant un régime- acceptable pour'toù's, niodéré,' lj^ <'ié'ral,e.ss6ritie.lle.meht' comp.atibi.é-.avec:lës!ïpriînci-- pés du christianisme..Nul ne ,s'est mépris en France sur lés avantages, que la ̃république, tarit à l'intérieur -quià rex^érieur, a- mi retirer de cette at,;titude du .'Saint-Siège .̃- -,̃̃̃ ^v Le Pape ser'a-t-il :ibblig-j fiôr Gpiiïitetter àujpiiïqVh'ui '̃quïl s'est trompé e!a:'ci_iîsitlérant.3q\ie;; le gouvernement républicain pouvait' êlre\in";gotf&emém6rït;de liberté, de paix et d'union,, ami du' Saint-Siège ,?. Quel coup aurait été porté de nos propres mains à" une autorité que -nous-' avions intérêt a grandir,, ed proportion des services que nous en avon's reçus," de eeux qu'elle est appelée encore à .nous rendre ? Êfiïitj;- Cafdîn^l ïîanï.gpiîa signale les er)-! s.eigrie|n^riis qyi feé dégag.éht'd(3|;e'qui se passe à cette heure eh''Àngleterre,1 des. Conditions daiis lesquelles s'ouvre le nouveau règne,, de « I'inti-» mité chaque joiir plus étroite, plus éclatante qu'affichent les deux grands empires ^nos rivaux et- nos adversaires traditionnels. «. Trois semaines après* l'ambassadeur,. M. Nisard. allait avoir un suprême entretien avec Léon Xllï. Mais il serait difficile de ne pas reconnaître la dignité et )a- haute correction, dii Vatican, rnise en regard des procédés, du gouvèr-i nement français. ̃

r, Ch. Demainy

Sirop à L'Acide Phenique du Docteur Declàtj contre grippe, toux,, rhumes, ïnfluenza,. etc.- '–< '-»4 ̃'̃"• .'̃' C. i

.~i. ?– ̃

i-ES DECLARATIONS DU MINISTRE '.T "V OE LA GUERRE ALLEMAND Tandis que, pour deux, malheureux cuirassés dont nous voulons augmenter notre flotte, notië Parlement se livre, un interminable débat et nous montre une .fois de plus le spectacle écœù- rant de>son indifférence lorsqu'il- s'agit de la défense nationale, le Reichstag ypte à une majorité considérable la loi du quinquennat militaire, aui portera l'armée allemande, en temps de paix, de l'effectif actuel de 675,000 hommes, à celui de.714,Ô00-hommes. r II y a dans l'attitude des deux Parlemehts un contraste' sur lequel il serait cruel d'insister. Aussi bien n 'est-Ge-point-.de cela que je veux parler aujourd'hui, mais des discours que -provoque en ce moment chez nos adversaires la discussion du budget de la. guerre.• On a pu remarquer, en effet, dans les comptes rendus que nous en donnons depuis deux jours, que le nom de la France, y revient^avec vune ^singulière fréquence. Nous sommes Ie-spëc-.tre nui hante, semble-t-il, tous les cerveaux allemands. Ils ont beau dire que nous ne sommes plus qu'une puissance de « second rang » c'est encore à> nous qu'ils songent sans cesse, -c'est nous qu'ils craignent. G'est contre nous qu'ils augmentent leurs effectifs. C'est l'armée ..française, bien plus encore que la marine anglaise, qui les hypnotise. Nous aurions maùyaise grâce à nous en formaliser nous. ne pouvons qu'en être flattés.. Par contre, nous sommes davantage surpris lorsrrue nous lisons les, réflexions que le-rhinistre.de la sruerre s'est permis, dans son discours d'avant-hier, sur notre légion étrangère, Le gé-. néral de Heeringen a paru,. en effet, s'associer aux accusations calomnieuses que la presse pan^ germaniste a portées sur ce corps, dont .nous avons éprouvé le courage et, le dévouement et qui -T- le ministre allemand semble l'oublier- fait partie intégrante de l'armée française:. Nous avons donc le devoir de protester éner- r giquement contre ses propos et nous aurions le droit de nous en fâcheav comme les Allemands manqueraient pas de le faire eux-mêmes en admettant que la situation fût renversée, si les événements se chargeaient de nous fournir la plus savoureuse réplique..

En effet, au moment le ministre- déclarait avec indignation que les mauvais traitements dans l'armée allemande, étaient une monstrueuse calomnie, une dépêche, de Cologne annonçait que le conseil de guerre' venait: de se réunir pour juger un soldat qui avait dés&rté par suite des ̃«. mauvais traitements » que ses supérieurs lui avaient infligés, et le même jour on apprenait de Toul que six déserteurs, allemands s'étaient présentés à ia caserne dès ohaB^seurs à'.pied-pour signer leur engagernent .daïjs la légion étrangère, s'étant déclarés incapables de supporter davantage. la cruauté dont ils avaient été, l'objet de la part de leurs officiers^ Nous n'osions souhaiter une "meilleure répon&e à l'adresse du général de Heerjngen.»René d'Aral

La solution de J'affaire Savarkai-

lie ministère, des affaires étrangères; vient .de pu« blièr le texte de la sentence rendue par lé( .tribunal 'de La Haye, chargé de statuer sur V affaire « Bà^ vârltar,» '̃"̃: Savârkar est cet Hindou arrêté û'ainée {dernière par les autorités, françaises, à Marseille,! au moment où il s'était- échappé d'un navire anglais qui l'emmenait dans il'Inde pour être jugé.. II s'agissait de savoir $i le gouvernement, anglais,- auquel" il .•avait été a^emiè, ̃ était ..tenu de le restituer. aux. autorités françaises. Le tribunal a' conclu pâç "Ia-riégatiye.; -'• La misisôn italienne au couronnement du roî; d'Angleterre

-Rômè, ÏS'féyr'iei'

Le Rbî a Siéftnitïvë'ment désigné; le :duc';d'Aostet pour le reiirésenler.à Ia,ceréih6nie duxouroiinèm^ntf ttù roi d'Angleterre. ̃' ̃' '̃"̃"̃ ̃" La- duchesse d'Aoste,: qui" Va bientôt 'êtr'e retour de l'Afrique, accompagnera peut-être son-époux -'à .-Londres.- ̃ ..̃ ̃ Xa suite du duc sera composée plusieurs genêt raux -et amiraux.̃> .̃'̃• À.Un grand inombr* -de députes et sénafeurs.se ren- drpnt- également à Londres pour' assister, aux fêtes, du côuronnèinent. ̃̃̃ r

`< ̃ tiiUorniè

'̃* =– ̃' -̃̃̃̃̃̃̃̃̃»̃ -L- ̃̃ ̃vfa,.l- •̃•̃.u.j. ,i.i-

n~ A .~L~' <. E

La taxe sur les prospectus

Le conseil municipal, par une délibération Wii ûvait réuni l'unanimité de ses membres, avu.it décidé, comme on sait, de frapper d une taxe les pros-

pectus distribués sur la voie publique Le timbrage

de& feuilles ainsi visées devait êlie effectué facullalivement, au choix des parties, soit au moyen tl'empreintps apposées par Tadministl ation, feoit nu moyen de timbres mobiles apposés et oblitérés par les mtéresbôs eux-hiômes

La délibération, 4111 tlevait recevoir sori effet à partir du 1er îanviei 3911, ctait retlcc lettre morte, pai jsuito du refus de -collaboration des services ad- c ministratifs Le ministre d<_s finances objectait qu'en raison des difficultés d'ordre matériel dé- faut de locaux disponibles d 1 atelier général de Innbre pour Tinstallation de nbuveîles machines et de nbuveaux agencements son administi ation se trouvait dons 1 impossibilité absolue procéder à l'apposition des empreintes sui les prospectus Pareille fm de non-recc\on ùvaîl ete foi t mal ac- cueillie par le publie et pur no? édiies, qui se proposaitnt de reprendre le projet à la prochaine réunion

du conseil et d insister a\ ec plU0 d& vigueur encore `

sur lvurgence d une solution -si indispensable i l"hy-

iéiit? e~.la rn iseté .dè Paris.

Un service du timbre qui ne peut pas n timbrer », à quoi peul-il servir "> L'aammistfation'-ayarit fini pai sd rendre compte du tort que lui faisait une at- titude aussi sinacceplaMe, paraît dispofcéc ^naintit- noïit à donner satLafadion au vœu tiu «onserl mum- pal lout èft mtiintejîant qu'il ne jpelîl s.e -charger ïui-

mêmo de. rupposil^oii Qes empreintes shi* les prôs-

peclusj le jnmîsijc Aes finances se dèclar-e prêt a fabriquer les limbièa mobiles et à donner tout son coiigouts à la Vîlle pouf l'organisation «l la mise -en

iiam du service de timbrage par empreintes -Ce ser-

vice serait installe -dans les lpt-aux muDJcyja-ux et 1& personnel des linanceb se mettra àJa<iispositïoîi de

la Ville po'ur âisûrer la réalisation de la mesure

projetée

L'affaire des prospectus va donc être réglée cette

fois et l'aurait été beaucoup plus tôt, m 1 administra-,

tioh ^centrale avait coihnlence pal elle vient de

finir,

-> Sainî-Rêal j


r. ~r i

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C y k. 'f' `s,

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CHEZ LÊSJlAblGAUX ~:<

La réunion d'hîér soir* Iviffl* Berteàuxi Ché-

front 6rup|3i,^ï» de longs discours, posent

ieurs candidatures aux portefeuilles j

*A i'occasion'Ae l'annrvjKfidire de la révolu trou de

février 1S48, giande iciimoB, hier soïr, au gjrniibsfe Hu^géns les chefs du parti radical efcratUGaH eôbjaîistè étaient présents MM Berteaux, Messimy, tlheron, De&plas, Steeg, Painleve, Dallmiei1, Cruppi,' etc Après quelques môfe Ûe Ml Me&&im>, M -Berteanx a "plis Ta pai oie Ue son disûoûrs-pro-

ammè; ~iouà détâétiân~=les pass'üges ~süti~ants

gramme, nous détachons les passages suivants

« 3e salue avec une bi&n \ive joie ces comités

radiaaû\ et radieau\ocidlistf s de la^rave gauche,

car ils m'appai a"issent sous l' apparence ae hautes s coHîhes-BUrneBquïiJles îlottp au vent le drapeau ia- diéûx^de la république "démo ercîH que et sociale Mesurez Votre œuvre, -citoyens, et voyez si \o-u9

n'avez pas hèii d'en "etr-e fiera »«̃

» Notre parti es-t-îl mort "? Ah non il est \ivant,

bien vivant ,~]e n'en ^eux pour preuve qile la mani-

`: festktion politique de la Chambre, Mer, que la foule

de ^nifittùits qui se jnesse ici au]ourdlhui. Cartes,

on. a pu prétendre qu'il traversait une cuse mais nous, Ile ïibus fch1 plaignons pas, car c'est une crise de croissance, ?"

)L Notte parti a eu être un parti de combat lors-

tniTl^. VU se dresser contre lui les forces de la réac-

tion ou lorsqu'il se trouve en présence de dir<,ction4 politiques hésitantes faites d'atermoiements et de conoessiphSv.înaiB.il est et il ne peut pas iîe pas, âti-e,

unpàrirdëgçSitVeriiefflént. ̃̃ ̃>

e gg. em-e ~èi~ ~es ~eJ:~i~e~?

» MôMjeraèïidôlîs .donner eux agènte des Seryiceg

̃'̃. publies;^es;garaiities dé. :sécuritè. et de justice. dé: plus en plus' grandes. Nous entendons les intèresseï* au développement ;des seçviceB dont 41s ^assurent la- gestions-mais n'estai pjas évident quei.eelteirnétnade; conduit Botre_p;ai;ti frléWf denahnderï jôpùr la eontÎTf nuité fle'la "bôane -nijàrehè des services publics, une>; discipline dlautânt ©us iorte qu'elle aura été plus f

•librmenl côïïsentje ?<» ̃̃̃̃̃ ̃̃̃ ̃̃

̃ ayî. Gtiéron ^demande ensuite la reconstitution du

IBlo^c, ;(j qiii>rious apparaît. encore aujourd'hui comme t

le àetilînpîtéh de faiirfe succéder à une période û'm- cef tituâë"1p)pjitîque dés heures plus f éponfles 'Se rla.- îisafipÏÏs^éffecUvés i »." Puis M. Criippi fait cette de- clattitLon ï< Beaucoup :dé réformes?- ont été réso- lûeSiyJaiaïs%éa'Ucoupid'aUtres eriëbr^ restent a faire t Nous. VoùlonS^aiis/ Violence; -et; sans haine défendre^

la répjffilïquè'fcontïé 4es Calomniateurs; » :'`

̃̃-̃̃ A;p"fih,df ilairèunion,; l-^ssemb^èe a ëiflopté uitî lordjre' dtf jôUr a,y$: Henfres duquel îes^memb^es des cqmitéf ^p\ii>jiùaiiis radfçâiïx et'radicaiix-éocialis- .• itei^ ̃approuvant T les. déclarations dés orateurs, affir- imelll; ̃feUr' y^6ntJè^âe..|a^:Hriompn'êr,v'.par/ l'union ;• des ^ïéJjiû^UcaTnB.ùn^pxîlitigue sanï conjiproéiïssions

avec les, 4tîversa^*s'tayoùfe''et'c1ach^sVde;'Iia; r£pu-

:̃̃ iblique.ï- ;i-i.y!«sfâi: À1' ̃

M. Çhérâo, ,se .'lev-antijors, a propos?::&4''a9sem'- blée .dë;chàhtèrlàïMarsë^lfl.isé; et, donnèiit l'exem- ple, ^1 a:entdnné42iymriei que l^a&sembléeoa' chanté

•̃ ̃ avec IunS. :g:j.:V- y. -y. ̃̃̃.i ̃; ̃

UN#II|ÉEM SERB04îiLEMMD Le wiinî.sti'e de la guerre serbe et le minietre

'v'd'Âilemagne,à":B|igràdè

̃̃' .•̃ ̃]̃/̃̃'̃ ̃ "̃• ̃ .Belgrade,. 25 février.^ .s Xj'occas'ioû dés /débats relatifs, au crédit pouf; î'Qcquisitioii de,;battertes de montagne,, le ministre delaguécre, colonel Gpl^ovitcli, avait déclaré mercredi, ii.J^: Skouptcjaina..que le -ministre •d'ÀUemagne^s'ihtéressàit.p^rtipulièrement à-cette comman-; de..Le -îpmi.str.e. de là guerre a: expligiié hier.; qu'il. n'ayait.nùll^ménLt;eu rintention, enVfaisMt cette dé^j

elàrâtion,' 3e jeter suspicion sur le ministre, d' Al-'

clarâtién; jptér la ~spspi~ciân sur le nüzüstr~. d'Al·'

lemagne. ̃: y ̃ ,;̃ ̃̃ >

L^monistre d'AÏlemagne n'ayant "pasimuVé cette4 'explication satisfaisante, ;a fait pris.. du gouverne-: niient serbe une' nouvelle démarc.he très énergique. "'̃ ̃. Ij^minisJres'se,sontréunis.iQe.TOa.to exam~ ner'te'sitùation.On croij; que le ministre' de la' guerre donnera ea.démission. · ;j EN AUTRÏC^E-HO^GRIE A la Délégation autrichienne. La question

.'̃ V diii désarmement

:̃̃̃ Budapest,v25 lévrier.̃ ̃ '-̃ t^i 'délégatioMàTitrîcliïenne a 'adopté le budget des/ affaires étrangères, après, avoir r-epoussé la motioni: Stransikyidein.andant la suppression -du crédit des- ̃ >tfjié à;i'àm'bàssadéur d'Autriçhei -ppès te .Vatican. ` •La. côrpmissîôn^a, :iadpptè également une résolution ̃invitant formellement; le gouvèrnémfejit à appuyer <et^ favoriser, toutes les motions relatives à la ques- .;̃ tion ̃;d$sarmémen.t..

A PROPOS D'UN fli^H VERSAI RE i

ta place de Belfort en cas de guerre

r; BerUn, 25 fëvrieri rA\propbs.:(lu çpiarantièîne anniversaire dusièaé qe 'de iBelfort, la Deutsche fagei Zeitùng s'occupe de l'importance qu'aurait cette1 place dané une guerre

future,- s.;

'̃̃'̃ i Après 'avoir, regretté que Belfort ait été .conbervé à la •Prance.vie journal se console>,en pensant que, Strasboùj-g étant aux mains des, Allemands, la for- teresse Se Belfort, quelle.que soitsa valeur, n'est plue aussi, menaçante pour. l'Allemagne.

Cependant/ ajoute la feuille, allemande, "envahir la trouée de Belfort serait très difficile* ;;mais ce ne serait pas là que se jouerait la paftiedéçisiye. ^Celleci aurait-lieu eur la iigne dirôcte Metz-Paris. DANS W OS PORTS DE GUERRE A Toulon. départ de S'éscadre

̃ ̃ Toulon, 25 (février.

La première 'escadre, sous les ordres de: l'amiral. Beïlue, a appareillé hier soif entre onze toeures et demie et rfunuif pour' Viltefranche. .i '1 Le contre^torpilleur Fantassin qui ̃ &e trouvait avec la fôf ce navale a subi quelques avaries, 'fifest rentré -Toulon ce nïôtiri et sera visité cet après/ f

̃ midi.. .̃̃. ̃̃̃̃ ̃̃̃ ̃ ̃

̃"̃̃. :i Toulon,' 25 têvriel1,: 10 ïï. soîf. ̃ ̃̃̃'

jLe3:aVariefe survenues au contre-torpillêùr, F:Çtn^ ~tg.ssin bnt été, après examen, ̃ reconinies ̃très grà- =

"yeSi '̃>̃•.̃ '̃̃ :̃'̃ ̃̃̃ ̃ ̃- ̃

•LBrràid;d'enaur.ahee de 450 milles, âïiquel ont: été

'̃.̃ spurnis les sous-marins 'Àr-g'onaùieéi1 G.'iy-BiïésÏÏc

s'est jt^riminÊ oe-sôuv Les résultats! içn ontiété tr%

̃: 'satjsfaîsàhts< ̃̃ '̃; •'

ILE VQIr MYSTÉRIEUX I)E MÀRSEIliïll { Les cantines du capitaine. >- Aucun appareil

secret n'a été dérobé

̃̃:•̃; i- ';MareéâUe;V S5i"Jéviïëf;.

.̃i .;̃ i DiVir^;jbilïaiÉLUX 'ont' annonôé que deux ̃Xri.a.ïlèài

f} cantînés '̃ôyaièrij; été; volëefejen -gare d^1 Marseille, ïl' y

f î a quelquèè jtui's, à uii capitaine ̃d'artilleri&.eri tour-. née de ^érMi^tioJ^-aûébanpagné' d*un cb.eî aîmùrjer. OèS îfcîuîtines oht: été retrouvées ^défoncées 'dans tm.teriiain yagùe de la banlieue de Marseille. ̃

NOS INFORMATIONS

Température

Une nouvelle dëpiession s'avance sur le nordouest de l'Europe JBn France, des averses sont probables avec température voipine de la normale HLer, à Parife, i pluie, lherm. 14°. Bai*, en baisse,

£36 mm.

Température prise sur les terrasses du Casino

'de iManie-Carlo à dix heiii es du matin, +21° â~ midi, .+25°, Temps iadieux,

^AIT5^U~JOÙH ` v

UOuest-ELaî M. Clavenle, directeur des Ohe-

ïninô dB-feï de TEtat, a pfts pat-t, hier matin, <popr

M première fois, ^aux tiàvaux au conseil de réBeaii.

Au début de la seatice, il a Jaît connaît** ëon.ih-'

tentioai" bien arrêtée darrivei pai tous tes moyens passibles a la régulante du sei vice il s'-est déclaré f résolu à tenir compte de toutes les ^écloniations qui

Jm seraient ptcSentétP, et, en paîtifuhei/des îndi-

'cations et des vœu\ que pourraient lui tj:aniinettro les chambres de oammerce.

Sùte. Le 6e bal do la modiste, ad profit *ûe la caisse 'de secours immédiats aux modistes ouvfufer.es s

et emple-Vécs, aura heu le 4 maïs lÔlVflans. les bii*

ions du Grand-Hôtel, tous la présidence" de M Léo- pold Bedlan, piésident du conseil municipal de Pa- i ns H y aura une' distnbutioa d'objets «d'art et de fleuri aux invitées < < .r

Estampes du dix-littiliëme siècle Demain lundi s'ouvre, au salon d'ail dU « Prmieinps » (nouveaux ̃jpaga&irib), une interdisante exposition de gra^nur-es^

du dix-huitième slëcle des écbles française d an-

glaise. v -i

« NÔUVEllÈs R^UGlEUSESt

Mf/r ktnelle'à. la-Vtll-elte La**paKH3Se S?arit-Jac-' qup&Sain1rChJ*'st<'plie de la. VilletVe possède "-depius longtemps -Héjà un patronage de gdrçèfts Mais ^œuvTe

n'avait iiur, s'ûbuter, jusqu'il res âmiiers lèftips,

~'üiW' ufïiSàüt'riélaûi~é..xel ~k.1dï':l'ëtat`.d'B la

qùhin-Jûcal àïçuffisani, délabré Uel ttâit l'état de la

salle, d-ailleuts liidispetiÉable poui «es T^antons %mte

i pour iefe ,)vux en^cas de, pluie <gue la Compagnie <lu

gaz 4avBH^aranelïeraent refusé d y ^iisUmer^quoi -que«!e lût

bii AÎjâtûriBDt houveau --spanneiix *n& pratique <ienl

ii'êbB éûaûè^U, rue T-àndou (191 arr }, et J'ardievÊque dev

r

~r, s ;y .w'.

Renseignements ptis/Jtics^carilâûefi'nG contenaient

que des instruments de vérification et de poinçon-

nage d'armes d'inf&htexie, n'a\aïit aucun raraçlè^e-

'secr'et «t appartenant au chef armuner tpn avait

ég^iré son bulletin de bagage tout laisse supposM

qu'un vd-lèui4 I^ura-liquvé et^ûe l'on se troiïvo en

présence d'un simple vol.

v 1 ». »v ̃ ~].

Petites' nouvelles 4e la ^Uit

= Lesjléirôches de Lisbon'hts annoncent que dès

troubles gfaves^ont éclâfé à ^étûbal 1-es ouvriers sdht *n grève II v a eu des c&Uisions avec la troupe et il y a des viclimc* On envoie des renfort? de

Lisboimu. r \=.t~

,On mande do Saint Petersbourg ^[ue gou- vfernein&nt a ordonné â'lfîcor~p5per dans" in service

militaire actif les étudiants «xpulsés des écoles à

la suite, de la grève scolaire. fcv Nous ïivons reçu Iivés* eoîr jâ^épêcne sui- vante de La,Canee « Lne^nse'gSùvitSnèinentalé îenj, de pfe produirèi La situation adminjsli'auve efet critique I& » successeur de slffCtîarle^tDilÈe à lai Chambre des communes a été &lu nier* O'e^t M.

Wenle, libéral.,

L'ancien ministre libéral lord \VulVerhnmp-.

ton est mort hier a Londi es,

Unfe dépêche de Budapest à l'agence Four-

nier dit que 1 état de santé -de Mt Kossuth inspira

de grandes inquiétudes u

–La police de Bruxelles a arrêté hier.le nommé.. Julien Bqullourj^riginairede: Paris, 'qui avait Volé deux; autôiilobilés au préjudîce.-d'un Industriel, dTE-.vreuxi'; ̃̃ .•' '̃J;i? ̃;̃̃̃•̃• lie eous-'seçrétairé ifl'Ëtat' à la, guerre. Vieûi d'interdire tormeliement véritê.de l'alcool et surtout de l'absintha, dans les'ineêë et çeroles dessousofficiers. '̃̃̃'̃ "̃' tue nombre des élèves à«.dmettre & l'Ecole du service de santé militaire, à la suite du conèouis de

1911, est fixé à 120. >.t ~?

Par suite de la mort du.genëVal Brun, toutes les fêtés du Cercle Militaire -sont momentanément suspendues et ropbrtées à des dàles qui seront ulîé- iMeurement fixées fête ̃annuelle de l*ABÇocîataon^des'uicîens élèves de VIn&fitjlt national agronomique & eu lieu hier son Le" ministre de l'àgncultur-e &t lefmimstre des colonies, qui av aient promis d'y assiste^) <en ont éU- empûeilôs par la mort du généial Brun lue%Iov,iéul -?e îaiH'éfiiiô 4^n-3)ruit d'après» lequel ladmmifefmt;on aurait 1 intention de planter des arbres sur 1 avenue de l'Opéia,

-JLb cnar^é.de^New-YorM

(Par-«a% spécial)

New York, 25l fé\Tier

(La situation politiqu^ est calme, la "commission

̃finançièie du Senai n'ayant tait aucune oti]ection

au traité de'Técip'rocité avec.lfr Canada il sera présenté '&; cette Assemblée tel qu'il a été voté par la ̃Chambre çlesjreprésentants. .̃.̃ Les -jugëménts^de la cour suprême relafdfs'âù'Tôbacûoî Trust -'êt-çâ la Standard Oil Cy sont attendus nin JKicjïain lundi. ?P' £~*ï '>^ ï "̃̃ •'̃: Le nlar.c.héa. été fermé maïs lesi^îours^onWégère^ mentïàibït en^clôtuf-e.sp^l'jBffet île-réali^ljôns; lie nombre des transaclions a été de i,OOOjO00' titre?. Rapport 'fieb'dçmadaire des Bafl'qïiés psspeiées affiliées au Clearing Hom&;fe''l$ép)-¥Qrk. ̃ iLes réserves sont en augmeh'tatiôn.^d^environ 4,500,000 dollars, les avances. sont *:ôav diminution, d'environ 4,625,000 dollars, les- è'sjiecèssont en aug- meritation d'environ 4, 125/000 dollars, les- dépôts sont en diminution d'envdron,^5'VOOO.-doParSj le sur- plusi;des réserves est d'envirpn1. 40)000,000 de 'dol-

lars, i– Claude' Dutreil. ̃.̃̃<: 1.1 '̃̃

Jars'.

les: jQUNÂux^pr #mm ,j LA CRISÏ

il, Jaurès, dans VHumafytê-i t

Des problèmes de conduite d'ufne importance vitale se poseront dès demain à Ja démocratie et au p'rolétarie!f.Il faut,- paf:un ewnd. élfort; 'sortK-.rtlui; marate. /^Q.ute.éne^gi^ s'èriionce, '.pu to.ute .èspéraiijiee se dlespid. 43s la, Petite îlépub'iigue;.» ? Le .président -'du wconseil était -en ;àroit de cc-rapter sur tor-CoUatiorationi de-tous lés républicains éprJs d'idéal démotraliqn^ ;'U- «'ea1 t4iouye qui ̃'préfèrent Suivre .Mes :!TOles.- -les plus'' engag^mtes 'tië îà \oeinagpgie, sans se deinéîiderJ6ùv elles pauitrbinf les conduire,1 A-leùr aise. ̃Qu'ils jpr«noent taire' Tesponsabilîtés J

̃' Du -.Radical- ̃'• 'lie chef lîiçûi)testS du :parH radical et "ra'dîûaWocia* liste (M- Cotpb^) doit Ctre le màttre de l'heure.' La lourde jpèsponsâbuité. du', pouvoir incombe à notre parti. 11 appartient àecaï-clief, ou à un de ses lieutenants, à'«Q assumer la 'tâche. ̃.̃ ;e/M^ërè^er,.dansl'^ton7 '̃̃,̃ ̃̃'̃ En signjalant par son dêpaft le péril que, font courir ô la république les politibieas de la sunenchère, M. •Briaïia aocompMt iine .(çuy-ré pIub". 'lëccçide qu'en s'im1-mobilisant' darfe la pdssëssîOBl d'un' pouvoir .fainéant.- Du Rappel

On peut affuroer. qu.e, le procliainjininjistère. ne sera vlaïlè. e't;«ç^3feuçra Téaiisèr- nne;p6lilique d'actwii' nationale, laïque et démo&mti^ue, qu'a la condition formelle •d'être, ̃composé 'a 1'imagfe1. de iîn majoritâ de gaucîie, et, "pféiaidë par 'uW rêptMcàSn 'raâicai; ̃̃ ̃ rt De M. Maxime..Vuillaume, dans l'Aurore "'Ce iti'est qu'avec' là*icoflàï>b1ra!tiÔTi ":clfi tout le" parti' rë-' p.upKc^iia gue nous pouvons, aboutir. Le prochain' mioipièfié.'doîV-ètr^ un miniBtSie?d'unikm.. ̃ÇèM. ^laaMcë-Spronôi: dons la République 'fran-' çaise

M. Brland 'filen ira;t'iVÎ..Ou -,pç s'en ira:-t-il pas î<Cêd.eça-t-îl devianV'tee appétits déchaînés des «hasseurs de portefeuilles ? Ou- résistera-tftir à' la meute ? Gommé ndraÈ fie sommes p'oa'nt œeçus dans. les coriseils dés. Dieux, riofe îte pourripins' formuler "sur ce prohlème que des pOTJeçkuîes vagues. .̃•;̃ 'De ,M.: Pàùî-iiè ̃Câssagrtàc, idàns.. VÂ&t àrit è: S Nous -lie regretterons. >pdîat- Mi 'IMaiid -il eût fait,. ebus' lat. pression :de la gauche, tout te ouo Bûri'sueees-' •seur lera to\*cl''iciie. C'est itôûtë {a^fléreoicfi: ̃•- ̃; ;Les olàèques ddgéniéra.1 Brun seront les Sbsè^jùeB dû; ministère. Én«ùî'viiattt<îô èercueil de'eon collègue, le prë- isldent-du jconeeilisaiivra le pencueil de sa- propre politi-;

,<lùe..ï ̃̃̃̃ v. [ -,v

;A wpFmcitëU .'̃̃. ̃̃ Le;J.o^ftI;0|f^çte^pub̃iiẽce:;r^ypi:i! Justice. 'Sbirt' noihmés «onsèilier*: à teiïôûr MppêL deiPaiiiSi M.-îçliot, juge d.lifnstructSoii 'eu tribunal' de la ;SQî.lié; président de'éebtip'rt''Bii tribunal .^e-ila- Séiné; M.- Garreau, juge-'au.siege presiflént !Hû:oliâ!di>Pè ft-Ratiê." M. BèdorêZ, ùonçeillér à i&: cour "<J'app'ja, :djar' Paris, elï, ffèjnplaceîtîœt,.ae M.Landrjr\|dih)à^' ̃. ia 'Mteàité; ] tra-iiàux; publics. ~$l. 33araéinli|e)ich6f'!aâiQint-du. car

Jbinet du ministre des travaux publics des postes «t:ûés;

•lelégra.pt^siest ^mmé .chef dii cabinet.

Instruction publique. ̃AÎTôlé déclomntllvacantè la. chaire dé' physiologie, gehéràlp Muséum d'h.istqlife; iiaïiîrelle.. ̃ '̃̃̃̃ '̃̃ }. vâv- [:>

(Paris daignera le bteir et rmûUgiifer~lui-iH6me aûjouf< d'hui d'imanche.

On nie «aunut trop multiplier et «MfeouraEêr ta œli- Xres âe jeunesse, ûoinplémâit necessàiire de l'ôcole puWigue <?t si, ce quà Dieu ne pldfc*, en. tait d'enseignc- tneiiî les deTnjfeirs restes de liberté nous étaient ravis

supplément obhgu a l^ieole librCi

NOUVELLES NAVALES

line cérèmorup au mfyustèic de la manrtz Le baron Kunno, ̃ambassadeur du Japon, et le tbopilauie de frégate Mat^umurà, «ittaché i\m al, 'ont remis A l'amiral de Lapoyèie les ïnsigriKs ûu grand condoh de l'oidie iïrapeaUa,1! un Solc?l Lovant "que l'Cnipefeur â\i Japon1 vient de cdhffirer, -an ttmtagnage do eq hiauto estime,eu mlmstae da i& manne xle France Le baron Kunno a jxjnfe en mÊjn» temps, a l'aiftiraî de LapcMère ies îh-signes des distinctions cfc hautes

classes tlahb l&S oïârtis impériaux du Soleil lx?\ant et

du Trésor Sacré, conlérCs "pai 1 Lmpei cur -flu Japon au,

'vict-fl.itfuiail Hdwn-Ûùifbel, tmwoù aict d-cUit-raajùr gé-

n6lW.tle la manlnc 'au Vjoe-amijal flo MaloLlus, préfet

marjhîne <le Bnost ou cojQtre-aïiuial MoXef, chef -à'6Uxi-

^najoi1-* Jircet ? au ttipilaino do frugato Morhet, chef de

*ia 1" éeotion "«ie rétot^najol1 -gôtaoi'&l, et à quelques au\

troS oîficiea's de la marine tnan^aiSQ

*Cadre âe riscroe Lfe uûe-ainiral Mâï^ui^, jnspec-

Icui général du matônel, et'te coa4re-aimii-al Bauarv-

L-âcafitiftiertiî, i6cartu!)ftn.t «niMtvj fliieclour <lè 1 Ecoie su-

p6nt«ixi (te la marihe,*pâssiril ati teudre do reserve <

FAiTS^nryERS

LE SÛlClfiE D'Ûh 1GENT CHANGE

Un événement dont il n'y & que ^îen peu d'exem*

pies darîsles annales de la finance s^est piofliut hier, qui a douloureusement surpris -le ^tnondp de la Boujçse ̃. an^igent-de «hange parisien, VI Erhard, à

la suite d'opÈr-aftons^malheureuscs, s'ett t>uicidé

M'jïrhard^-dont les'liuieaux de la charge sont

situca 30, tup de Gramnlont, et le domicile par^icu-

bel 1% jue de Cèiiais, elait âge de^lrente-huit.ans Son amlnité lui avait conpilië de nombfeuses^syin-

patlue^i Très travailleur, il avait la reputatiQHj jus-

iiîiée ô?aîll.ÊUt16, ûe connaître -admirablement son

.difficile" tffêlier. r' ~i~

A -C'esl hier, aurmofûent-où lés^ents de change se

îéumssdiênl. autour de J,a corbeille? c'est-à-dire à

îiiîùl mMn^guelque^ jinnules.'qù'ils fuient avisés

àU"éuinde«e leur collègue et,~îmn\édialement, la

nouvelle se rep&aditvfiïinÊ toute la -Bourse

On ignore, •& rheme'ou'iious ccnvons'ces lignes,

le passif de la charge Eihaid on sait salement"

quelfes perles qu'elle a t>Jhies sont consicléjablts et que plus)cur,s maisons sont atteintes, non pas seule- ment au parquet, mais au^si en coulisse! ï,e de- >'

fiint <,tait loi iement engagé ,i:- t

"Les cu'conetances daiK. lesqupJlPs M Erhard a

pris sa fujiefele îesolution sont encore peu connues t,

oA rroit spulemoril-qij il -a mis fin è, <3e.s i ours -en son

cbalpdu de-Hautp-Maison, prôs do, Rambouillet

^"Nous ci oyons devoir encore ui&jstBr &ui lcxtifimo

jL<ueté d'évinemenls de ectie nature, dont Iej5ublic •ne saurait jsoûf fi îr, t£uoi qu'il -jïi'i^c, puisque, fl'a près les i^egjements de U compagnie des agents (le ` ;phange, le corps tout entier est i l'bponsable des en gâg&menté do chacun de sos> melnbiep Mais, ^nome avant que cette responsabilité eût olS établie légalement, la compagnie ne manqua jamais au devoir' moral qu'elle s'Hait depuis longteinpb impose de lemb-omser les cr^ancius de ses membiefa en àé-

con* itui e.

LN huioîU oÊroNn \n clir -s\Im L\z\nf

Le train 40i Venant de Mftflv, qui floit armer à i

la garé: Saul~ LazaFe a S h.:12 du matan; n a, pu;

la gare Saim>Lazare a 8 h 12 du malon, n'a pu,

hier, s'arrêter eomjMMement en entrant en garo et

a heurtcle buioir de la voie ^0 ̃<̃;

Larplùpart des ^o}̃agouJï. s'apprêtaient a descen- dre tt 'étaient debout dan& les compartew nts,, quel

qiics-tms même se tenaient sui les marchf pieds Jls

ïjîipht violcmnient projetée contienles parois -des

^dg*ons furent pi ^cip) tes sur les quais _,f;~

Gnfee vjsjugeurs ont été plUb oii Eaoin»s légèrement

blestés-Ç; &diajgp médical de la gare leur a donne

îfes sbïns iTécessaires Voici leurs noms ,S:

MM Clïalmette, de CÎarches, pjaic au front

Chaumiei 3e •Garthes, blessuie à la main gauche fl'OstmguôEj fle Garches, blessure d In, main droite,, Hoffmann, de Courba oio, plaie ù 1 œil gauche ïtouzaud, de Courbe\oie, blessuies à la main droite et au côld.idroH \ou\etle,.de la Garenne Rpzons^ confusions diverses Bozin; de Gai'.ches, douleurs iiife'rnos' Gùérin,- de Saint-Gloud, blessure '-au côté, droitV'Fédide, deMarh', plaie à mSdri'Xtroite, dôû- leojrs intarjies Rollin^ de Coiirbeyôife, ^lessùré jui; côté-drbit^ Guilléri;; de Courbevoie, confusions au.'

̃thoraxï: v' ̃: <- ̃'̃̃̃̃̃

L'état de ces. onze blessés ne présente aucune gra- \itq.- Tous, après avoir été pansés, ont pu regagner-

̃ leur :domicile.. ̃

M- Leroy,, commissaire spécial de ïa gare Saint;

Lazare, a "ouvert une «îqu&te pour recherchu les

causes de cet aroident 11 seinble i/sultei- des pre>

miûres constatations que c'est par suite de 1 humi

dite des rails que le train dOi, quittait entré en gare

ment et est \enu heurter 'vio-lemment le butoir fs i le'rïiame dC gfnneVilliers s

Les obsèques du chametici BcnoitJ ` Les obsèques du charretier Benoist, Mo d ùh Coup do revolver au cours d un mudtnt de giôve^ lundi dernier, a GenneVilliers, ont Uh célébrées mei ma- tinplà dix heures ;j

L'Union des syndicats de la Seine, la "Fédération

des ouvriers sur métaux et la Fédération du MU

ment avaient invite leiu-s adhérents u > assister en

masse -En prévision de %namfestations, 'un împor^

tant si^rtjee d'ordre, dmg6 par M 1 eurent,' seen

taire gcnéral de la préfecture de police, avait cté organisé Un escadron du 1er ( uirassiers et une compfignie du 119° de ligne se fcncùont en j>prmanence a la mairie d'Asnières et aux abords du -rimetitre

Àpiôs la cérémonie religieuse, des discours ont

été prononcés par -M Mesher, députe .de la Seine, et par plusieurs sr rretaire& de s\ndicat.

Il ne s'est produit .aucun incident., ̃

s:_ ,:>

-> CIÎRONlijUE' DU ™ù; •>. J

Un feu; 'de. 'cheminée s'est déclaré Hier, matin, a ïieuf^ heuT-èsi'-a.u'spusïsecrétariat des beauxrarts.j rue del- Valois^, dans les b,ure;aux du chef duconteniûe.us 'situés-au^cinquième' étage. i> ,A- >i Ce sont les, ouvriers fumistesï^du sbus-sécrétariàt qui ont éteint ce .commencement1 d'incendie. 1 -L-A';rà*m'êmè heWé, un incendie éclatait 55, bqu1' levar'd Carnot, à'Ivry, dans la fabrique de. produits' chimiques 'Poulenc frères. ̃

Les pompiers de l'usine attaquèrent vigoureuse- ment le feu,;qul avait pris naissance dans un1 ate-

Ijer'du'riéz-.dê-clxaussée ou, se' trouvaient accumulée

ljer'dü r~éz-.d,é-chaus5ée oü,së troû'vaieüt arc

une quantité considérable' de bonbonnes d'alcool,' d'éthar. et dé: benzine.- Bientôt, arrivèrent également lés pompiers de la1' localité, ainsi que ceux' de la caserne Jeanne-d'Arc. Sept lances'furent mises en Ijatierie et, à dix heures et. -demie, on était maître du feu.: '̃̃

II n'y a pas eu- d'accident de personne,. mais les dégâts "niatériels sont 'importants.' ̃ "̃̃ ;-•- En face, du numéro 33 de la rue Seérétan, le cable des tramways de rEst-Parisien:a brftlé, liier matin, "et est tombé sur la chaussée. La Compagnie a, immédiatement. fait. réparer ce câble. Aucun accident dé personne ne s'est produit; ̃̃ '̃; Enïin, dans -l'après-midi; un violent incendie ̃s'est déclaré à l'usine de M. Lucien Dulac, fabricant de lampes essence, 5, rue Carnet, à'LevalIois, |

Paul Caucttbjs

Les Parfumeries de GABÏLLA. Gds Magasina Venté en gros 25, Poissonnière, Paris

r<»; r: .̃̃̃

NOTES D'UM CURIEUX ;Quelquefe^rix>i6ejilement à noter.dansie.s,yentes: dMer Un panneau de tapisserie flamaïitie du seizième siècle, 1,200 fr. une pendule Louis XVI, marbre blanc et bronze .doré, 1,101 fr. une table.coiffeuse Louis XV, marqueterie de bois de placage, l:,000 fr.'1; une commode Louis' XVI, marqueterie de bois^dë rosé, ï,350 fr. une salle à manger Empire, acajou, -lustres ciselés et dorés, 2,150 fr. deux fau- teuils Régence, bois mouluré, anbusson, 1,605 fr. un saioii Empire, bois sculpté doré (canapé, quatre bergères, quatre fauteuils, six chaises)! 4,900 francs*

L. R.

̃ ̃ ̃» r– 7–r-r:

Ce qui ;dJStïïigU6 particulièrement

iiK)^pl!4e!i''t6usjleç autres dentifrices, c'est la propriété remarquable^ de recouvrir^ après le rinçage» Ja <atvîte/ buccale. d'une- CoUbhe micas-, scopique'inènt finë^ vmàis qùtind > làerûB anti- iseptiquement 'épàissei > dont Taçtibn vipersistè pendant Mes Meutes; entières. '̃̃̃̃ ̃ C'est pprécîseiaént la peTastaÔtë de cette action, que. nulle autre: préparation ne pôssèdëj qui donné à" tous ceux qiri ètnploîépt journellé- ment l'Odol, la certitude de se protéger la bouche 'Contre les effets pernicieux de tous les germes tle putréfaction et de fermentation qui détruisent les dents.

Mfliff floS SjfitfëS

« SOLÈA » K ROUEN

La rip'êtition générale ou « avanl-promière » de Soléa, drame lyrique en quatre actes et cinq 'tableaux, de M> de Lara, a eu lieu^ dans l'après-

midi 'd'hier, en présence d'-un public très^briln.

lant, ou les notabilités pausicnnes du monde «t de l'art figuraient en giand nombre. t L'oeuvTe a produit un& vive impiesbion. On^ "a particulièrement' applaudi Mme Magne, chaï-^ gée du rôle de Soléa, et^qui possède un magïnfty

qike.~oe~~ an' etu~ 'n Teinarcl,iÏablt~ t4lébl.dé~ ca"nt~

que organe et un Temarquacble talsnt-de canta-

trice et do tragédienne le baryton Sainprey^ qui Ja'it du personnage dp Rimabombas une- crêktion 4'un pittoresque extraordinaire, et le

ténor Gailhaî'dj qui repiesento avec vaillance

le cnevalier Lioncel.

Lès d^coi's, peints par M Rambei t, fiont tous

intéressants et curieux. L'immense panoiama

de la bataille na\ale est tout a fait saisiesant. -i

M. Mathieu e1ait à la tète de ^orchestre

L'auteur «£ ses interprètes ont été salués par

des applaudissements chaleureux. Les artistes

ont étéTappeles a la fin de chaque acte

première est fixée a lundi soir. Tout pér-

met de prévoir nn gtànd suGcèst §

Le Gaulois, qui a toujours soutenu 'la cause

d& décentralisation m tistique *et musicale,;

rendra compte de cette représentation." i

̃Matinées d'aujoutd'hui dimanche

Crfjin&âie-rranc&ise (1 li IjZ) Hetnam, Tx Couron-

ncment (^ 1 occasma du J.09' tinivrrsaire-t3t la naissance/

'lo Victor Hugo}. « i.

Opfra-Cotïiiqlip (1 Ji 1/2) Loaïsc^

Odcon(2 1i) V 4T\c&ïEnne

Gaité-Lj-nqucii h i/2) Les /ft/vjtMrtOts,

Mrah Uannliarat J2 h ) VAiplon.

\po\ïa (2 Ji.) ha Diipraèe

ijianori-IiMjquo (2 "li )- 2nsa. ? j"

\aûdepllc (g H. 1/2), G^irunasc (2 « ), Ato-lte Jl h 3'4 NOUVeûulA» {2 JiO, Uaitt&sanOa fi h 3/4), Ch&teM (2 h >, 4PalcUbiRoj.it (2Ji) Bouffe^ Pûrtelens (2 h j. MWSnfco {1 li '3/5), Ambigu (2 h ), -\nloint T2 li– 1/2), Ihôatre ,d§s

~,rts')(Q h 1)?~5-Dé7neeY~-1° h ); ucltre~ ~a~'& h.), G~aY~

iujffnol {S h iW Xlum (2 n), fhôâtre Aûfihel (3 hj ï

r..P ~CS. Qu

C*nsen<itçnifii2h 1/4) (H'stonoe.do la £vmM des ÇpH- ^oerls ^oùs la direrlion M \nâré Messager) BJ-

^rdnrae vSyraptiQnlo en la jBgbUio-\ on) Cantate h sîi

{pour toufe 105 -lenips {) -S Baoh) Mlles AlpUoW&uli&fct. T3n.geoi, MM PlaWondwi bt iDDipbuget Atitar, pûèmc is^uiphoniqup fRim&Ky'KoiBakoIf) XDu\orture du Cor- <naval RomutA (B( rliô?'» ̃ ^alle Gavô3u i3 b) tJS" fconcût LamDuteuv, èousla ïliraction tle M ChoviHard) Programme Ou\cit0ïe

li H t tmurw ri Doroih-ée (Schumini)'1 it/mpliome rtic

*nanc <[Si hunj mn) t- Conccito ppOr i)i&no (SchUrannn), jilT M Hmil Sauer A-ax tinilts W Dupn.fC) tnaveson triste (II Duparc) et au tluâcjitf (llœnUcl), par Mlle I-klene DcitipIIioi 1 hamar (Balalui cw)

w:oltéstliCi=~i'Eë l2 li;i'1121, t3ly.rhpip`j~xh ~ta~ a,Sa8la~:

̃12. Ji 1. La^uale B h ), < oncort Ma>ol (2 n ), (Saité Rochp-

c-ÎWuirt ,12 Ji.) ), ^pu\f.au-Guque (2 h 1/2 ûiqufi "MC; > tlranô (2 h 1/2), Gn*qtlc de Etons fi h. 1/2) spcûtafcles- La'èârtB^^haAçtisetLuii-fifltaalinép, i l'pfeo^

iion du409° nnnîvf rsair^ dê^aiiâib&ancc de \k\o]£.

Hugo, pionne ilnrnhm, avec le C<5jtronncmen^g&fH n&ra* ce hoir, polir compléter la journée du poetCj Les 33ûrg?aves uyee le Coutoimcnlvnt M. R Àlexandie jouem^DîjMi promiÈrc toi9,

dans Les burfltWùs, te lolejB'Otblert

Cceo^ à la Pbrte-Sauit-MaHiû, a huit heuré1^ *A_ quai-i ifèb <ad.ctom.cnt, répôhljon générale âë L En- fant ,df> V imou'Ts pièce on quatre dotes fle Henry Bataill? w Le:s portes de la salle seront fermées dès le lever •du rideau. T- '> t ̃ y. "*&?-̃ ̃ Demain" soir luiidi, p>ëmièfè (represfentatioû. ;.ï Lc; compositeur M. Gustave Charpentier travaille 'eh ce moment à une npuyelle œuvre qui sera la suite 'de EptuSis "et tpii s'âppèUéra JiMieri. ̃ 'Ajoutons- que Julien sera une véritable trilogie <jui occupera trois soirées, chaque subdiyisipn ayant d-eux.acte.s. Il,, •s-c pourrait qu'avarit:cetJ,ë;houveJlg>iï}anitestatiî)n son talent, M. Charpentier s^-iâëciaàt àr4iyr«r ml ï re M Poète, réa)i#e>i)dur lé>ÙiétVtre, ̃£*; j

.I. ,x v :?t::

A.u Gymnase,. les^flufôSux É'.ôi-t.-pal op|rt leuïft guichets hier soir. I^syîcçès^ë^Paj^es^l que la? salle était louée d^iVÉinç^u ^ftt.^tf'ÎJa'Si; «-^ \prè^ avoir donné V'Aiglon en matinéëj le théâtre SarahS3érnhàrdt donné" ce soir là. dél^ière "répré-" sentStion- de Là. t)ame:: que 'Camélias, %veb Mile Marâé-Lbuise-Den'ay-qùi^iâ obtenu -Tin frès beau'

6UOCfe^v; {̃££$&?.̃̃̃ ̃^̃̃^iS^^

Lfe comité tiu syndicat des auteurs fi'-est-r-éunî4iier- 6ous^a:;#Tés.idence,.ae^^h.éodôrefl6nrv.Etaj«n^ pi a^P8»i^.ii6^^ •M-auHcé' Desvailières, Erh.est Depréi^ji^'enTjleiié, <aiai|les7 Silverî^éhet-D:apCourï*et;P*tilïîyI<3nêoTisii]. A la suite dfevïa lectu^Mûï a .étéWan^a^vantjîa,; ncommission déjà SobïétéMes âuteurg'.dùiMpporjtidei MM. BerriMe-ëî Charva^yan^traitmfegâoqLiÏ4Ca-J lions des ?s;tatilts' propos éès»p.ar la cdïftfeission et le:: grdupeïaëfî études ;ââin^nisiïv!aîiv^s,^l|^coftii:tô:du syn-r dicat 'engagé tous.s&s'âàhérienls à voter ces modifi-; .cations, à r-assemhlép générale du- 6 mars prochain. r.. Ue comité' énten4;.ensuite. M. Jules Chances-venu^ pour ïùildévélopperg.]es principaux points, de;.Tap-; port qu'il compte soumettre à la comrnissiqn^âeà.aU; tteur5 au sujet.de. Ja -perceptions^ droits, d*aùteUr6;-

;dans l||flépffliiique Ar|entmeJ' /v.

.M. J-V t4 %?)<* "CyM: i: !^k'\

'ISpe'ctacieé'Se la"Beinajné" 'r

̃ !A l'Opéha-: Lundâi' Le Êirdcïe .^Mlles' Chenal Bailàe, Courbiërês- MM. MuratonB^ Oerdaà', Caj*ié,:Faliert,. Teis- ̃Bié,- Leqflten.; dansè^ Mlie AîdafBoik),. Mercredi ̃: Les '-MaUTes .Chanteurs ̃; de Nuremberg (Mlles; Ytoiiqb Gall,: Lèieuûe, MM,ïranz,Dfilin8}3,Bigaux, Journet,. Campagqiôla, Teissdé). –̃ Vendredi/ Le Crépuscule des Dieux (Mjlea M. Demoùgeot, Bourdon, Lapeyrette, Gall, LautcrBrun, Mali-, ̃.paùmae.Dubbis-tauger, MM. Van Cyck, Delèiéis, 'Peissié'.ïDviclofe); Samedi La DomnaUon dc~ Faust (Ma^^ôwicn;:MW A. Gresse, Franz, Gerdan). '̃̃ -.T' '̃̃

A la CoMÉDi&FnAiîOiïSBi.^tlinâl (metUnée) La Fleur MervcMrsute, Lundi [çoirée)>;>^»^jS. Moi. Mardi (maitméér Les Femmes-: savùmês; Monsieur de Pourteaugnac. Meiujrefli^'et =vendrédiv|. &ç& Marionnettes. Jeudtt (matinée) s MudemoisoUeïâejUi: SeMière Les Plaideurs. WdV-X6piréë)V|fVvlprès'Woî.medi Après Moi. ̃ •-̃ ;•'̃ 0 s y') -V ̃A L'ÔpjîuA-CoMiQUB.ir-ïiiiiidS (ma!^)-rï LaJcmê [UU& •Nioot-Và.uohèiot,- MM/KjanoéU, ̃ -Duppé La Fille du Rè* < aiment (Mies ^Tipliaine, Béiiza, MM., de Poumayrac, AzéTO). %${<*>$&̃ Le Roi^s Wile Nell y Map- tyl, M. YieùilUe, «Ole jtaflife-MM ^ens,ézy), Çaval-

icri~ .,Tl n tM é tvhle Mwtlnu-Luti,, k~'ab=

T3aTdu t110.Lit1~9)' M~9n n.{ Maith~u-'Lutz, ~M..Maa-

céll,, ~Lte. q''iphaine, 'MM: =Azéma;' ~Ca~ne~ve'). Màrdi

(sSirée)T Càïrhen (Mile 3fljwBi*& M^ S%gna5> ̃Mllé-Lu'cy'VaiElMn). -'Wéfcredà vLpSîse^Mîne^dviqa,, MM Léon Boylè; Mézy'Mllé"!eharboninei).– Jeudi'(ma-

VW&fus-Dragons deVilkirs (»»inei m Dd-

) L, es D' g,ruc, = Jeu'di ~soi~éé) :~Nelléps~,ét;Méti-

voyé de Pouiuayjttc Jeudi \so^e) y Pellêp,^ et M éhsancLe (Mme' "Marguerite Carré, MM^Jeai) HMm, H, Albers, 'Mlle Brobly,' M. Viemllé). ̃ Vendi^ai- Manon (Mme GenCTieye Vix, m ^Léon Beyle, .De^oye,vG^ œj. Samedi" «heures) Le Chaut. ^eraignd U'. Les Clas- r siques. Samedi (soirée-). Carmen^m\e ;Mérentiê, M. Salignac,. Mlie' Luey Ve-utton, .M.,Mézy). A l'Odéon Lundi (i" série du -l.unm^opuVàiive à prix

'réduits): ll~higénie: en Auttde he ,Pa~hu: Maz'di:;

VArltàenie (avec Torch£^e-ioloniie).' Mercredi. répétition, générale de Mère, Maud et -La Cour de Romã nin Jeudi', vendredi et teamedi Mère, Maud et ta. Cour de Rom'anin. Jeudi ^inatiriée) <; Le Misanthrope, coûléranco par M, Laurent Tàilhade..

Au Théâtre-Lyrique municipal, ue la :Gaité V Lundi (matinée) Le Barbier de Séville, Le Soir de Waterloo Lundi (soirée).: Hernani. –Mardi (matinée) :Don Quichotte. T- MflTUi (soiTfei Quo Vadis ? Mercredi: La Juive, Jeudi (matinée) :Qùo Vadis ? ̃̃ J«udi (soirée)! Le Barbier de Séville, Le Soir de Waterloo.̃ Vendredi Don Duicholte. Samedi La Barbier de bémlle,Le Soîr^de W.ateTloo.^ -• ^j A l'Apollo Lundi, nrâu'di, mercredi, jeudi; sàm'eâi ̃ €t '̃dimanche (matinée)-: La <-CiCorfc(ie.. Mardi ;(matiliée) et vendredi La Veuve Joyeuse. Au'Triako-n-Lybiqtje :Xundi'f Fra Diavolo. ^-Métâi*; Le Voyage de Suzeltc. Mercredi et r vendredi Zasa. Jeudi Miss- Helyclt. Samedi Manuelle Nitouche. >– Mardi (matinée) Girpilè-Girolla.

On sait qu« ï'asèèmbïéé "générale ̃SeÙS- Société 'îles- tuteurs, compositeurs et éditeurs de mufeigue, com- ine "nous l'avons dit du reste, aura lieu lundi ;pfq-.chain 27 lévrier en cette séance, on> doit procéder •a l'éjection partielle du rconseiï.. d'administration. iléus' savons $e 4rès 'bonne source ftue' hMtre1; Emile \Valdleiifel se présente aux suffrages de -ses cqnîrères. Nous sommes persuadés iqùe les :auteurs 'eties éditeurs s'empreèseroîitdèijoindré.'léàrs.A'otes ,'à'^eàx- fies musiciens, pour l'allier- ^eurs- suffrages sur lefnom de -ce vétéran succès,' qui aie ^era.pas sans apporter à la gestion de la 6ociété,râv.è.c l'eclat de'"ce nom, jfâ fompélenioe de-. musicien, -applaudi et averti à la fois.- ̃ > iÂutour "ûel&Veiive Joueuse. ̃̃ '] On à lu/ il y a deux?3ôurs,flâ flécision >du4ribUnal rolatîVeûlëiîVà.' la 'célèbre' dpéretie •ndùs'rappr'enons que MM.' Max Ëschig, de Fiers îét de;' GàU.laVët Viennent '(îéïrapper' ce jugement d'appel. ̃ Nous recevons ïa lettre suivante ï f Voulez-vous m'aidér à':rèitiCer:uk^Méui(-daat -ua-d^ vos confrères s'est fait i'éôho 'jde irfajïn'2 Mme RéjQTie et d'àulre part.,J'a£fàire à ̃ laquelle il est -Mme Réialiè' iBt d'autre part l"eflûirfi à" laquelle- il .est fait ̃allusion n'eslofiuilénTÈiU une-.e Baiêoti*utrioliiet»he^ te' mot « îr'ânco-'vientioi&e !»: ifeeçàiit ..plus exact- puisqu'il éîaéit en. eïfët- d'.urie ..série' flê" festivàLfe' ha' Mascotte ÛiroUd'GiroUa «t la Belle Uilimc voisineraient UAec 1a Princesse Bùllùr et la, Vtuve •Joyeuse. "Votre cordialement dévoué. Léon Poi&tëR.

\ltne Rj-nalâ, dont on a pu en maintes occasions

apprécier la belle voix, gréera wx rôle imponant

dfefsen, à côté de Mme Jvîane Laîai^ue et <de M.

Boulogne, a la Gàîté-L^rïqûe. i Suivant l'exemple déjà âonhé pai- (jûeiqcies »héâ> tries, il -a été décidé que Ja répétition générale, au théâtre Shakespeare, de Peines d'amour- petdues^ fixée au ïïiencredi 1er wiars, à; tiUit heures trois quarts, salle Fèmina, autaitlMMi,àhuiraUt ouverfs. Quoique «0.116 soirée sojt plus spécialement jéservéc à. la piessô cl aux abonnés, ah peut retenu des auîourd hui deS plïoes en location pour mercredi ainsi

Mxi pour jeudi fcoir, A Ffjnma, et 9, avenue de 1 0-

Vrl.u.' Y ~.8: .i' Y

M Mes Boùva^orgaîiiste deSt-Pièrro de Chaillot, `:`

nl.,Ju dB ` i':T~vJillé~.Btiùi~àl ~tait ün ë~èQllëüt.tüü

e&tmortlùer WL Jules H ouyal tétait un excellent rau*

sicien.^iô a Ttoulouse en lt!G7, al n'avait donG que 4-i ans 11 avait fait de sérieuses études au -Conservatoire vde Pûris,>a\ait obtenu un premier pi îv cl harmonie en 1889, un aceéfesij d'orgue en 1891 etwie mention honorable aUtoncouis de R-ome en 1S93 II a\^it éent pluBjeurs.ballels, uh drame huque, Bath-Seba un opéra-comique, Lo Cham- bre bleu&, on collaboration avec M Edoùa>â Noël une pantomime qu'i eut dus-uccôs.Cftâîiâ d habits et

de Tioînbi euses mélodies 1 r

À Lille, la tournée du Mariage dcAîlle Beulemans,

•direction iLeon P«>noi, vient de doniiBr au Kursaal

sa inutmeïne représentation devanttîùlc sklle cdmble~

ét ~n~i0 ~ia,sin~ `.`,âr lâ''c7iâi~üâü~é~`éoü'lé)3ië~rbè`l

et enthousiasmée par'ia charmante comédie 'belge

1 et par ïa Groupe rie premier ordre <jui ja jouait Depuis -quatre mqîsî $.ans Ug. relâchî^; celte 1ourn.ee,

habilement -adminîslrde par M. J. Nôdêlec, -uenifd'e

raMoiuir 4a Fa^ance, la Suisse et mîsace'-Lori ame

et, a |ncaisse la c6quette sSmmfi de<3&),Ô0D ïiancs.

fîelferlin ^> Richard fetraiiss est'paï-ti hier pour

Mil<in, ou il a^sisl^ra à 'Id^premièré Représentation

italienne ûu Cheïiïih&r a lii Rusa, qui auta iieu ii la

Scala 4e 1™ mai* i

^̃OT $30- DycKj le c^]<ïbr^ ^tor âj>nl les J>nerïiiers

~gtanas~uGcès.~àtëot~e 'l~Dc~fùè ~Ù~Mt&it son

grands Succès ^datent île Tewxjue -où ̃»! frétait son

t

concou^'aux Festspiele dc'Bayte'utli, -chantera tîet te

année le iôle de"Parsifal à Bayreutli.

A Aix-lflnGii^pellef> le .professeur 'AL SGhwïcke-

rath a mis au progiamme do son dernier concert de la âaifeon ha Bttmnaiion ûe Faust, qui a été chan.1t&e en français, avec le concoure de Mme Àilguess ào Moûtalanl dans le rôle de WURguLrite et de Mt Plamondon dans celui dé* Faust L'œuvre do BerIjok u obidiu ufiTsucc^é considérable,

M. Ghahapino, le grand artisie. russe, vient de

signer avec uïi fconsoi tihta tpû lui offi e la somnlo fie 500,000 iranes pDur^Uarante rep/teentaUjons qui fe& rëpartiKDnt .sur cinq ihbi^dp la iaisôn^roehame. t'-e&t, croyons-nous, le plus îoi t cachet qui ait jamais

été pavf àJin artiste eniEuiopè* :1: .1

<> U est pr-esque certain que M. î^èlîS de Wein' ^artnei, ancienHlirecteur^de 1 Opéf-a âe la Couf de Vienne, acceptera les fonctions Ue directeur mutwiûl .du Stadttheater do Hambourg Mi Lœwe-nfeW, di- jecteur de ce thèâtie, accordera à M de \Vemgarlher 16% congés WcesSdihP'3 pour aller dingér ft ,VA<<nn.er,lcs concerts, la Société ^hilharmontque, pour lesquels il a pris un engagement de trois ans. SPECTACLES DIVERS

Rappelons quet^YMy. Ferreros/lè ptîîit chef kijor'1

%hebïre mimaturej^lâtuera au^ujpitrdô -a la mAtinêbv ^'aujourd'hui, dàiife la* Rrvue^vs Folies-Bérifère, tinsi qu'a la matMéBYMceiHionncHtfrâOC mardi gl'aB, L dingera l'exécQH<%tîe tiois mor-oenuk d'orfehisir-é^ ^qui lui valent chaqafe âon unmcGes'Ctouralssaïït. Furay jouant lô^l&lie Manâiin* tïBffiî unël"eVde,(

yoilà un événejnent&ïû sV&t produit*ïaut^ soir.a

3a Boîte au moment d'entrer efL'jïcenfc, M3le Mode *Biamé fut prise a*uiié'>indi^pD'3itiQh^o'ûdaiKè^i viD- îente qu'elle dut abandonner 'èphïSle et que Fdrsy ̃fce dévoua pour la PéWipïaoen Le touche était envoie, i] est inutile dr lo dire. Aujourd'hui, tout est rentré dans l'ordre et Mlle Made Siamé,- complètement remise, a repris son rôle. -̃̃'•̃ A roccasion d,ea fétesi-la G^tfeRociiéçhouârt don* nera aujourd'hjiîf,éX.ap|èér|emtoi, à' deûîî. heures, deux matinées S&'fu'' Viens tivec"'?. la;reV"Ue si &£/ p}audiè,'avec la brillante mise ̃en-scèhe. eWaremafquablê interprétation habituelle Sèrjiùâ,BQUCOt,' Zaïque, Egmée, Dhômais, Davrigny, Suzanne Cheva-

vT ,~C~~R~I~~v.

̃ ^M la già^S'u fe^esÉUfréél^ mTiitheatr.ei.le- ̃miTiajï^t à" dtiySdçmande ^'un ^©t^Ljid ftOflibrèTûe familles, faille .̃^Baiiiirifi^àislli d^neraJ'*Uno upîqùMïoatm^ejfi&e

ce spëaaclëï»udi"|)ro6liaïti 2;vcndrs au tiïeatre asfe^To-.

lies-l|j^àtî3ù^luseï^J:àe> Camille Le Seanêi ̃ -L6ol%feeur'vienirdè tenmirieï- la ^îriù'siqiîé-' dkine pantcmime^de^AlM. jQiarles Boucheron et? Guy,'feei^e." Titré Piefiot aviateur* ::v ''̃̃ S–^Le- àeinxeriimni&6', du'" Théâtre Killftstrê, la toëitle publioation "artistique" dirigée par âblfre" Excellent c'Sh.-

~~r~'é.â~l:~i'q?on~i' ,t,~nsnc_ré:~rttn, R'.Q.u~Jtolte~qui,,

tfiompbe au Théâtre Lyjuque de la Gaîtè. De nombreux poptT&itS:^des -aaiteuns, -dineoteuis -et «rtitelesi -una-planÉlu .en cpule,urs iSigp.ee P.jQ. Delaroche, reconstituant Ù^î^^bgiipiiineé 'dé'la 'i»ÈÇe;et îa photographie -tles a^'aaîmWSles décors-, ̃îont'- -^cè ;ftiuméf o -exceptîon-v- àei ̃ un docu&ent1 meâ,imablé pbur. vies >; 'ËibliothÊLiueB.

théâtrales. -J ̃ ̃' ̃̃ ̃̃ ̃'•̃•̃ 1 ̃̃' i. ,< '̃•.•=*

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'Gagné' par, quatre/ longueurs le troisième à quatre longueurs. ,(

Mutuel 56;-fr. Placés L'UnUvers, 20 tr, 50 5 Titingo-' tha, 14îri; &èvecb3ur!II,.1321v|4\/50.,i. Prix dé'- la' Scarpe (êteeple-ciiÔse' %Mi ^fran'es, ,£oÔ 'v mètres)

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"2;'TruoEëe', à M. ï.-È: 'Wsïënër (O'iiary). 3. Oui, àiM. G. sAshmun (Sexton).<̃ Non -placé 2 Coup de Mer (Drayton). •' ̃ =. ̃ Gagné par, s*x -longueurs le trcasiènïe 4i' une .longueur et demie.

-Alutuel 38 fr. :5i. Placés Césanne, 25 fr.; Jïuckee, ̃"Œ^ix -du-;CaïiibréÉis (stèeplè-chase/K vendre 3,000 trancs, 3,700 mètres). IV Le Trébûchety à M; G.Belleville (F. Hardy). 2. \Monkieur. Boiiiface, à M. J.-R.' 'Carmignânl \&. 3. Le,AOra[cle; à; M. -G. Petit (G. Sauvai). ̃̃ iNba- placés Hèrlomea" (Heath), Aramon (A.-V* Chap* man), Va Bon- Train II (P. Thibault), Matelot (A, LMaKfieX''T3iiaSimk)labï[F;,i.WilliûniB),îl(iùza,ei'S (Hqllobpne), ;.AUseitoiB, -^V. Thuàu) ^lihiuius (SV. Heoid), Matsôuyé "*(Gibbbris)rcab'riole,ir(G'Paï-frêniént); tombée. Gagné par dix longueurs le .troisième, à ti*pis Ion; s gueurs. •̃y/] ̃ .'•'̃ '̃̃̃:̃̃ -j .̃Mutuel": 73Ir;50. Places-: Le Trébuchet, 37 fr.; Mon- sietûp- BonUaap.^lïr. -Le Miraole, -1^50., ;:r. Prix de là, Fdoiiijre .{haies. 4,000 ̃ francs, 3,000 mè-

̃ très)- '̃'̃̃̃ ̃ ;s; ̃'̃̃ ̃ '̃" ̃

i: Savon, jJi ftï..S, Ti^ieèx-flJ;; Philippe). ̃ 4- 2. Consolaliâa, à. -M. ̃J.-<Aichdeacon';(R. --Salivai); ̃'< 3. Perey, hM. ïames Hennessy (C:'HaWlçins).: ,-i > Non -placés^ .Sulpicei^Heath)^ IxiDh,IV.;(Pearoe),! FiguL ranit- (Lavegimre), ,-Liicky Jap (G. Parlement), Schuyler. (NeWey),' Le^Lfem^D.iKaliley), Boutfe-la Rput-e.(LanGas- ,"der), Casablanca ̃ II- (F; *Sjrdy); Màxïma. H-(W. Héad), «ain.i'MTChel;II-lHoU6Bdiie), Saint Itist !Il fDrtiytdn). ̃ •Gagné 'par cinq:?longueurs le troisième a quatre lûbr^

"tueurs: ̃ ̃' ̃' ̃̃'̃ .'̃

Mutuel 74 -Ir. 60. Places ̃* SâVon; 16 fft; ConsMrftlbni -*15 <fl\P&icy,, 12 £r. ̃ ̃ .Prîx'ide.-lxS^e {haies, MMieap ̃ 5, ÛOtf francs, ^iOj)' jnètees) ̃ .̃.̃'̃ ̃• 1. Jiu Jitsu, i'i G.' Brattùessac <Wi- Head). '̃̃ B. -MuSifiia, -^M. G.*t3. pKousnBtzoff ^F,: Hardy). i 3. CioÊsoplyfiin^ià.- M. R. Cramai 1 (Larbey). ̃

Non placée. kiùHvcnal (D Kaili<y), Vaisseau Fantôme

,i(Healh)( San Benrio (R Sauvai), Ovyie (Hollobone), Seranne II (Soubagné), Ceflia (\-V. £hapman), Phaetoh JI <G «ail), tombe P Gagné par tixiiB longueur? le troisième n èïx lon- gueurs. Mutuel 1S4 If 50 'Plircs 3iu 4i(bui 43 -Ir.; Lauzuhâ, 57 Ir S0 Crossopblon, 37 -fr. Prik du l-îaitiûiil (steeple-chase 4,000 francs, -3,500

tneM'eÊ) ,E,. ,£• »

ï 5alomon, a M E-» n^clïorr (W; aïead). 2 Ch moine, a Mme Ricolti (D Kallej). 3 Segié, a bM Hi Sav (\ Bcnson) î\on vln<sCs Goa'ne Riin (Cougei-ot), Chaîabre (C Iïà#- 'ïinej, Sauvageonne O-B Nioieau), Radium (I3 T^ii- èault), Ld Wray %O Côùnor), Quid Novi (F. Williams*,

tombé ·

GagnS par irois longueure le troisième à une loh-

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La poule nen doublé a éle -gagOEi; pai* le comte H. rLundi Êï'fëxirser J911, a une heuré,^Pîax Caccîarî flian»

-diisap), î k_

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:C~ LES OBSI^UES DU MlteTRE »Ù LA GUEnRD

uft. (nous communique l

i Los mwmhies de l'Aêro-GlUb de France sont pn6S ,1iassl)5tier, demain lunfli, a ,dix neuïcé (du matin, aujf fiteèquos du ministre «lo 1j guelre, présidefit d honneur `

a-G! î'Afc C r tt de ee joindre à la délégation du comité

tic direction, qui déposera une couronne. » du'wmnti

i= SPORTS &IVERS

FOOTUALL?RIJGH~

C'est aUjourd huî, à Colombes, que sa ^lîëpUtéf a enffÔ

Stade Français et le Spolting i ultime l'encontre du Championnat de Pans. -Cette partie est impôt tante puié* que sofilsfeue conBaojeiu thajnpion, de Paris c&lui déâ deux advrirsalires qui .triomphera. •̃ ̃ lÀïoûp' d'envoiâéfs <3bhneiÀ deux heures et demies ` J CYCLISME ̃̃ ̃ iOO KlL0UÈTpE6;faËHRlêltK MOTOCyÉtËT^S ̃C'est fcet après-midi <juë Va se disputer au Vélodronia ,fl'Hiy.er,.iq Championnat de 10Û Mlomèlres derrière mo* Socyclelies/ ;̃̃ vj;, ̃̃̃ 'iliq'^tayers se mettwjnt;^ù{ligne;1! .Wallhour, Moraiij .CuiginéSid, Sérès ̃ et Lavalade.'A;-

A c&tdidu Championnat xl'HiVèa1-, iibtons r

.Les/sfiries du Prix Crôsnier-Lecomi/é., avec Friol, DU*, pïèjî.îpiipuy, Jaequelîn, Schilluig/Tîourlier, etc. ïËtiiiivgrand match' de landems entre les équipées -Dû* pre^Doèfflinger et Friql-JacqueUn.

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̃-̃ ̃ Cftiis.êrs de: 3* série

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"Si y '-s 'flans ~îè'& gares, sur les prom'enades pub"lî-< ques aussi, des bascules, qui vous donneront pour 10 centimes votre poids, Sur les bascules on tr,puye: Cette mention j- '̃•'̃- "̃' ̃'̃ « Qui souvent) fie:pèpe bien; ee' Connaît a>, i «Qui bien1 se connaît bien se porte». Cela est exact. Vous' n'ignorez- pas que tôuta'çer-' sonne bien portante doit peser autant de Mlogs que. sa- taille conipte de centimètres au-dessus d'un ̃ itjïèlre..Bne femme de.l-.ni. 55 doit donerpeser .55 ki- logs. Mme Alix AUibert, dont il va .être, question dans cet article, est d'une taille de 1 m-, 55 çnrviron, ̃-•̃ or elle aie pesait que 35 kilogs. Elle se portait, il est' y ̃vrai, très mai:Ellé"a:.âiCuvî le Iraitement des /Pilules ̃Pink, elle a été guérie et elle pèse maintenant son poids normal de 55 kilogs, 'signe qu'elle a trouvé' iune santé parfaite. N'allez pas déduire de» ce q.uî précède que les Pilules 'Pink engraissent. Noii, elles pendent la santé, .uniquement et toute personne en iidnne santé doit peser son poids normal co^nme -il est expliqué ci-dessus.. ̃ Mme Alix Allibert demeuré à Nîmes {Gand), 19,: 'rue des Tilleuls. Elle nous a écrit

« Mon mauvais estomac, mes, mauvaises- Vdiges- tions ont été la "cause du dépérissement de ma

santé. i\e mangeant .presque plus,ne dormant plus,- souffrant toutrle lemps ûe.. migraines, j'étais' devenue profondément anémique- J'étais devenue très ï^âle, je ne pouvais plus fiiire. mon travail,car j& «"a'àais plus de forées et je nsai-. grissais tous les jouirs* d'en étais arrivée à;ji<3 41eser que 35 kilogs. J'avais >suiyi -plùsiBurs traitévments; sans .euçcès. Moiv état restait toujours aussft mauvais. Je ne pouvais' .digérer «t je ne me nourrissais' pas., On to'a, con-. séillé d'èssa'yer les Pilules Pink, Je las ai prises et ine suis <ie suite sentie

îBifiux/J'ai retrouvé un: peu d'appcti.t et j'ai pu man- ,ger, avec' profit des aliments, lègejrs- d'abord, plus iQÛrds çiisuite, 'sans' incônyénienfe. U'ai sttivi ie'-îrâl- tement pendant .quelque1 temps et j Vai 'retrouvé.1 une Banié parfaite; Pour vous ^donner une idëè de iiion rétablissèinent, je vous dirav que.' jèfipè.s'e rnainte- 'mant55. fcilGgs, qùe^je suis' forte et itiisT-mori' travail' sans -fatigue. » ̃" Les Pilules Pink' sont souveraineiî Contre ï an&> 'aie, chlorose, -iaiblesse générale, nivaux- d'eatomac,: *inîgraines, névralgies, sciatique, rhtiinatismes. Elles s'ont en vente1 dans toutes l)3s pharmacies 'iet ail dépôt (Pnkrmaçie Gablin, \\S, rue Baliu,, .Paris' ''ï 3 'it. 50. la' -boîte, 17 fr. 50 les six bôîtes,: tfaneoV ̃• ̃ ̃̃'̃̃ ̃

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jgi-a\Bb Le Couttmnuuent «

OPERA-COMIQUE (Tel 105 76), 8 h. Manon,

-ODEON (Tel 811.42}, $ h. 3/i Anlat. J-y~

(THEATRE- liYRIQUE (Gaité) (Tél. 129 09), 8 h. 1/2.

k Don Quicfaptte ~<f "f~

[VAUDEVILLE flél, 102 09), 9 heures. La Famille Be-

(VA'RIET^S. (T<51 109 93), 8 h 1/2. La Partie d'Echecs

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̃ -;r ̃ ̃ i*.w-i ̃̃'̃, ''i^ <'< i' -.̃̃ ̃ ̃ '•* '• i ̃ y ̃ ̃ ̃ '̃•*

iiU'éïhiiie de l'Emf>ip^ hés premières Faillites de la î^elaublique V L>e Boulangisme– ke î)reyfusisme "L'Antisémitisme Ii(e T>aris d'hier et d'aujourd'hui Sa Wajesté l'Argent Son Altesse i- Presse Française Wa Conclusion i UN- VOLUME ©£ 450 PAGES •:̃.• Broché 3£r. $O |

BOURSE DE E>ARIS

"c .iParis, le 25 février,: 1911. f ILai Baisse' survenue tiier à New-Voft à la ̃'éxâté du reîus de 1* « Interstate Commerce "Çorhinission- » d'a.cçorder., dès ?augmeijta- ̃ itioiis de" tarifs aux? Compagnies, de, Ghenïiris' !de fer,! ^e-jouvâit ionanquer d'avoir uiïe,cër- Mtai'n'e répercussion'; sur notre place. 'Quelles qupi soient .les cort séquences, éyentuellés de icette 'décisioir; ̃ il! est incoritestablB' qu'elle ̃; lest tQilt au moins- l'indice d'un- état d'esprit it ;-̃̃ dans lés miliedp gouvernementaux, avec; ;?' lesquels Wall/Ste^t devra- fatalement comp--

'<̃"̃̃&?:.̃ ̃'̃̃"̃̃. ̃ ?; ̃̃̃ ̃̃ ̃ :;v

Après". ̃. IV « Intiirstatè. Commission7 >> ce.: '̃- 6er,4..peut-ôtr« aû|iour..desla- cour: suprême V de rendre des arrêts.' déîaj'oratiles; dans'; le,

procès; des: « Trusts »:; île marché doit; donc

êtreisura^dé trèïs près' et la plus grande ré^: eervë: semble s'i mposer & spn égar.d.. Telle >. «st. en, tout cas ^opinion qui. prévalait auâourdilui daijs nos ;,jrhilieux, financiers et. '.dont.oh, noyait, ptâs de, peine à retrouver là," ̃; .tracé dàMsVies liendaiicés hésitantes .•'et, lour r- nés .âela'Bourj se." C'est; une^çoïncjdence'.fa- chèuse 4. la vialle 'd^ùiti'e ;éiBission"-dë*Chẽ,mi^ dé'iéranîériieains-*r^-Frànce.. ï*$-ï- Eû^égardïà. :œqui pr^cèae eV;dàns?irçie:

icertaineumesiire.par sùitië -dévia liquidation,

.assez-: làbpriev tsè, 'dit-ont^çljï– agent' de' change, on a' fait peu d'affaires et les venjtes l'ont înooi itestablement emporté sur les achats De pl> as l'imminence d une crase mi- nistérielle J3 { tait pas faitp pour encourager les amateurs de la Rente française Par ailleiu s, depuis que les Industi îelles russes ont < essé de plaire, on s'occupe de plus en plus > des Caoutchdiitièi es, qui profi- tent de la h susse de la jnatièi e première Un mouv e ment assez împoi tant sur ce groupe de pâleurs ne serait pas impossible De leur cô'td les Mines semblent se réveil- Jer aussi i Elles étaient aujourdïiui l objet

d'achats de bonne qualité Ç

Marehe officiel

t Notre 3 0/0, très calme, abandonne une

fraction à 97 62 .~?"

Les To ndi» d Etats étrangers terminent en >géner al un peu au dessus de leur m ;\eau pré cèdent l'Extérieure est à 9G~15, ,1e Poi tuga? jb à 65 57, ie Serbe se maintient à

"87 80 ta ndis que le lure unifié xevient ù

64 AO, le Brésil termine h 91 50, les Bous de

Sao Pau ilo sont M mes à, 506 50

Parmd les Fonds russes, le 3 0/0 1891 et le 5 0/0 19) 36 dcmeui ent i espectivement a 83 é5 et 105 Î70, le Consobde s'mscrit à 96 50 en jnoins ralue 15 centimes et le i Ij2 0/0

11909 at >andonne 10 centimes fc 101 20

Les EtabUssementb de crédit sont îrréfiu-

iiens la Banque de Pans se tas^e à 1,83^

Ciidiio mobilier à 700 ,'pai contre, l'Uniûû

jpans, îenne ga^ne 4 points à 1,171 1 Au comptant, le Crédit foncier d'Algérie jet de lunifcie j éprend à £44, > la Banque irani za américaine Se raffermit à 522 et la Socm ^tô auxiliau e de crédit prend une nou-

r cpeltf avance à 621

A" u groupe étranger, la Banque ottomane

clôt ure à 706, la Nationale da Mexique est

légèrement réalisée^ à 1,125

J_,es adions ûeaios grandes Compagnies»

(de Chemins de fer demeurent slahonnan e"s

ai rns l'ensemble Ào "Nord et le Midws alour-

di' .saent cependxiiil un peu "a 1,530^60,035 ?'

iCaikïuns èspa^pls j-esislants s`;:

Ctest toujours la ïeimeté qui dpmïnetan

A 'Ojnpar/tim6nJ«idetla faction <îe Më&oppli-

ftainjSe^nsDjide à -654,4e Nord-Sud égale

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EXPOSITION GENERALE

VENT^lî au Palais Vde, Justice, àParis'lç-iS'-mars'1 1911, è yëux'b^ures.-MAlSON SISE A PARIS, RIJE B8CLAI]\WtLfËRS> IV0 1* Mise à prix 80,000 'frV- Revenu net envmjn 10,000 ̃ francs. S'adresser a M". Pierre Salats fils1,avpué,i. ̃ 43, r. du Cpliséfev et Cahon et Johanneau, avoues. MPf Af I i MT en. {GROS, maison en pleine; IlLullUAll I prospérité'; chiffreïd'aïfaires. eâj gradation ascendante,,a"çtueUement de 800,000 fr. laissant niet 50,upO'ir"r^çherche cpmmandite de 100,000 fr p. répojndr.e''à,ï'extension. Interêt,5. •.0/0; et participation dans;b^néfloes.' Excellente aHaire"- Union des Industries, '82', rue d'Hàuteyille.

de in& me que le Crédit l\oniw.isù 1,510 et le

vement dé- reprise,, à .633, la Thomson se. négocie activement'à 817. Les valeurs d'électricité s'inscrivent, en nouvelle avance- la Parisienne de distribu-- tion à 408, l'Électricité de -Paris à 563; -Tassement .des Industrielles russes la Sosnowice qui détachait aujourd'hui un coupon de 35 francs revient à 1;382,- ;la Briansk-

cote '393 aù'iieù de '400, la Bàltôû fléchit 'de

764 À 742. ̃ ̃. '̃̃ ̃V! ̃" Le RiorTinto se montre trèsferme àl,717: contre 1,714.; ̃- s

Marché en banque

Malgré- d'assez nombreuses réalisations,^ le. groupe des Mine? d'or -témoigne- de boniies ,disp6sitions. l'East ;Rand 181 £0 et la Goîdfields à 139 perdent chacune un demipoint, tandis que la Rand' Mines gagne;une ùn'itérà20î. -• ̃ ̃ \| '%es Diamantifères sont faibles >: 1^ -De- Beers rétrograde à 4711 on traite, la Jagers(fâhUein à;211. ̃' V. ^Métallurgiques russes en' réaction '"lai Mattzoff fléchit- 1,845 k l-S12,lia-.Hartinann de ï760'à 742, Platine 730 contre 736.. *3Les Phosphates tunisiens sont activement

;;ïjtàociés à 398.

̃-•'Fermeté, des valeurs' de caoutchouc- la- Fmancière s'inscrit à 337. la Malacca à 232, L TEastern h 66 50 I Au comptant, la Para Marajo s'avance à 11 50 demandes suivies en Aciéries du 1 Saut-du Tarn à 585, Forges Sosnowice

3,054, Minas Pedrazzini raffermie à 133,

Mercedes 50 75, 1a Compagnie aérienne e s'inscrit en bonnes tendances a 182 | RERARMOH INFORMATIONS FINANCIÈRES La démsHtn de Vlnierstate Commerce commis- sion La décisipn de 1 Interstate Commerce coainusacai, dans lfl' question de» tarifs de ohe-» mins de iter, n,a été connue qu après îa clôture

de la Bourse-de New York ̃> f

Elle refuse d accoraer aux Compagnies de che-

mins de fer, les augmontalions de taufs deman

déeb, soii^ans les Etats de l'Est sont dans ceux | de 1 Puest set jeguierl l'annulatioa de toutes les tuanoes de tant de transports soîlcitées Vasscnibléc da la chambre des mines du

Transuial -De Johanneshui g<m Times »

A. lèssemlrlcp générale annuelle de la chambre des nnnes du Ti ans\ aal, tenue ici hier, M Jîaanltom aj>assé en rewie les Jalte les plus împortants de Ï910 L industrie^ xnirueie, airil dit, pi end constamment de 1 importance la pio diicdûn annuelle' fl, pour la preimèie fois, paast 30 millions quelques-unes des anciennes Compagnies qui ont augmenté Jeurs travaux et de nouveaux producteurs ont eiC i écemment; ajoutes ot -d autres suivront bientôt v compas leç rames Brakpan Ecnoni Consolidated et Mod derJootem .f: J i Dans Ses districts en dehors du Rand 1 acti 1 \itô a ett trçs^erande les résultats tînt 616 mefl 4

îeure ort des lacilités de transports nouvelles les

unjélioiieroni eccore r ,a :L." ? Ljmpoi*taoc!è;ne)ative de l'mdustrje aunlere

du Tuuibvaal, par comparaison av«6 le reste du

niûndt a'ConslMnpient efé -plvs^wonoiaS^^i^'

189o ellQ Ctait de gl 0/Q, en 1905 de »7 0/0 et <en

J910, eljfc ja d^pmssé 34 0A> Aucun «ffort n'a>\

épargné «our employei les FuropLens^quand pi

est possible do le'-fsjre économiquement » Les lîais d exploitation de lajiroaucjion du du:

^aiwat^Larand oiit**éte d-envirun 02=0/0 et içs

di^aenTdesjâc 29 0,0 le .solde aj-ant 6té<absorM,

par 4es\JBipSt6 ,sur les jjuiéfjceo, lhntér&t des emprunts^et la dépense .du" compte capittil Le

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M~té6 d!ot';de.'1.'A a_Sud 55 ~Sès`et'Aclér: de.iaMarine l599. l~58 50

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5«/io 3«6 1S?6(or) S2 40 83 «6 Tramways *de lŒst panuden 58 So B8 Ori?fs?n^, lit ». US VB SBÙÛXFrS^ «» ♦">

4 1>î S)4X*189t 89 89' 7 50 Comp^énJîailwây îctUectr. 17t. 17C -S^nonv 428 Mj 420 js

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20, t PrniKgu.es -4 %/(Donanes) 49,156 492 go Gaz central "j » I 2«ijp 360 2 360 50 3 %2».h 375 37S 50

15 Ottoman Priorité Tombac 4 So 470.. iS 50 Gaz de Paris iOS 308 Anlr^%l«li 417 80 419 50 Sarag-Cuança 37175 371 i

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SOCIETES DE CREDIT », ,Y 't· >, -Pm 4^ «450 Poru^pn), 33» 340^

(, OVUlt ÏCO l/C wntuii », Co génér^^d'Eleçtrlcité 1335 1318 .> tordoae-Serffl Panmjs/s?» 3 7 50 307,55

14583tB|mque de Franoe. 408i .41^3 TSoc. génêr. éfectr. etlndustr. 200.' Spl^OonEt^ 340

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43 -Compagnie Algérienne "• 1320 us Edison (Comp. 'continentale] lOoO lOoK E ?~S:

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MericoM^I 184 -SOI' :183 .v HBarramà. | 1 i/4l .7;

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Terme || Zinc Comptant

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fermes .L.

Les Consolidés sans changement

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Valeurs cuprifères résistantes

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Banq<BatLml"Jl522 50 1522 HOiaiigea'Parisl 100 40l 100 40

BERLIN, 25 février

Mmanâ2$é\ «t 50 84 eoJiDresdnrBanfc lu 3/8 1,65 1/8

PrnESten$% 84 40 84^0 ftscontooom 197 3/8 198 3/8

Saxon ? $ J3 70 83 7a DeutscheBank SS8 7/8 269 3/8

Italien &•% ï J 3 BerLn.flandel. 171 3/8 172 1/î

fidenaora ̃ Bochnmer ̃ «34 -3/s «3s

Tore unifia, 94 3/4 94 5/8 Laura 173 1/2 174

Chem.antrfch. 1575/16 OS8 1/4 Harpener- 190 190 3/4 Ch-lomoards 19 1/3 19"7/S Chanaes'Parls 80 95 80 97

Iitstures. 179 1/4 17JJ 1 -v.

Le marché se raffermit sur les meilleures

indications de New 'V ork ~<

Les Consolidés sont inactifs à 8i 60

Valeurs de Banques soutenues Crédit

-mobilier 212 "3/8, Uiseonto 198 ïfi

Industrielles "fermes Bochumei 235, Har-

penern90 3/4.

'Vrgeni aa jour le jour 3 0/0

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MARCHÉ gN BANQUE DE PARIS

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