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Titre : Le Gaulois : littéraire et politique

Éditeur : [s.n.] (Paris)

Date d'édition : 1911-02-21

Contributeur : Pène, Henri de (1830-1888). Directeur de publication

Contributeur : Tarbé des Sablons, Edmond Joseph Louis (1838-1900). Directeur de publication

Contributeur : Meyer, Arthur (1844-1924). Directeur de publication

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32779904b

Notice du catalogue : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb32779904b/date

Type : texte

Type : publication en série imprimée

Langue : français

Format : Nombre total de vues : 94503

Description : 21 février 1911

Description : 1911/02/21 (Numéro 12183).

Description : Collection numérique : Arts de la marionnette

Description : Collection numérique : Commun Patrimoine: bibliothèque numérique du réseau des médiathèques de Plaine commune

Description : Collection numérique : La Commune de Paris

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k534980c

Source : Bibliothèque nationale de France

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 10/03/2008

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«JOWBUI LE UAULQIS » EST h SRjttpS

TJtonaanïtéS. 'f.

Drameî&e g&ve. '='.

La Chambre.

-Coulisses politiques. j

A l'Extérieur:

".= Dernière-Heure. {-;

Tfos Informations.

Nos Correspondances de l'Etr^ngeï: LarSem&ine f 4>mpjidai^e. Lettres^de liondres, Bruxelles,

iSAênol-Ayres “̃? t >, i

XlXe Exposition internationale du Palais des

Beaux-Arts de Monte-Carlo. f

Les Premières « Après Moi »,'à' la Comédie*

£> ^Française. *•

Courrier des spectacles. Sports. tv. Déplacements «t villégiatures des abonnés do « Gaulois ». Feuilleton a La Patrie lointaine ».

.vvvvkiyw*vwwvvvvw^^

Pour tuer i

r~IVullé époque n~st.,peut·étresaus~u iôurnte de:

:a faillie, époque: n'M peùtcêtre aussi fournie de

.dï;ajnes.^et;i de < romans mystérieux .gue celle ;s'er E, ^nd$ht;àejd?9^ Durant; cé~~e~'décad~,

se

i,1î.!J^ùt:'esl passion, ^tout Test îone>f On se-:rue. aux- t -.c^ispirations,- politiques comme; aux spéculàr tions. financières ̃ on. est héroïque dans les ;ba- i ̃tâjl^s^ppiëst^frénétique dans ramour. On^çher- çhe ^^)le;plaisir ^.avec. ^fu'rie, on danse.,comme;en ̃ jun,, délire "rs.açré. !de;,même,ôn mange, on- boit, roh"jôue; et;, tout ce. temps, la France,; sortie à ̃jpeine:îdès/'affi¥s-de.-la Terreur, s'efforce avec

'ùiliei.; ardeur ïniwoyableiiisatisfaire une sprte.de

,urle;ardégé incroyable, à`satisfaire. u~ië sorfe,`de

:,rënpiîyeàu,: une' jeunesse plus, bruyante, -plus affamée/: jouissance, plus pénétrée d'àmbitionjqûe ae1 fut ep; aucun temps aucune autre .̃ligjinésse.lCei' n'est pas ^^sous: un, yent. de, volupté -jénéryanté qu'hommes et femmes^ s'enlacent 'i;yâaBS;;Vôubli'J:de's>:hyuFes:fùpçbr:ès<Qn a.pris une ."tellerfan^iliXrité.avecla mort qû' toutes les fêr ;(«s l'on. dirait son siège.; préparé.- En même i i'Jfcemps .qulà -l'amouri :pn se jette aux batailles, ̃ onjtjiïé^jet l'on se :f ai t tuer on n'a pas^ besoin d'êitê ^âDiilé en soldât.; pour être; b'raye et, aussi

bièn, .qué; ,éeux :ri~enant- .co.ntre.l'étrânger lâ,.

'.>. biên^ que ceux ..menant coptre-l'ékànger là.

Xgiiérréi rsur; le| frontières, -ont du; héros .ceux .qJûi,/pôùr"lèur''idëàl:.relig.îeùx. oùpplitique^-iont çàmpigpe contre la société nouvelle telle qu'elle

:̃̃ s'ést'o)pganisé.e. '̃̃ •̃•'̃; ̃ ?

-Qù^fceux-'àùxquels tin- à'pris leurs titres, leurs 'droijts^leurs biens, leurs noms et qui ji' ont' qu'à

-.• .grx^d:.péine' sauvé 'leurs ;têtes proscritesr aient

yeât'nïé/qu'ils tf avaient1 point'à ménager davàri^>; ;itagë" :lëurs adversaires qu'ils n'ayàiënt été méf liages :par..eux, rien de plus naturel^) Exigei- v.d'jéùx ;guÇils pra|iqiiàsse'nt Ijs, pardon des inj uf feà-jùsi^'àTeiMrciér dè^lâ^âvfeur grande leurs s sp^l^ëurs, et; leurs bourreaux, serait vraiment

~p ~.S~r,lp:~eü.dés~1 espraÿ,de: cha-.

;rit|. Lagùerre ëtçiit ouyèi^e les ujiis: àvarent,. ^.çioûr^armësles'sàbrësyjès fusils; îes -canons. et ̃; ̃lavguillotine;>les àutrès4es poignàrds,; les p'is̃'̃"̃̃tqlets', parfois, et avec quelles app.réh^nsionsl les .i^Gh'ihes^d^fernales. Celai ne ^va)pas tout seul de se "procuTer.ee qu'il faut pour fabriquer î«ne .très.simpJe machine et,i à coup, sûr,: est-il plus' aisé dépossédera soi une fonderie de cari nonsi: mais cela est réservé à ceux- qui. ont mis -la; main* sur le 'gouvernement et qui ont trouvé -préparées par le gouvernement d'hier les « supïêiiiës .raisons des rois ». Ceux qui sont jùsteJimeiït le gbuverhement d'hier ne trouvent donc ;jîlus.qpë des aminés 'de rencontre, celles qu!ils ^fabriquent, et si mal1, celles, qu'ils achètent, et gi cher, celles; qu'on leur. procure– étivoilà par gupiàls sont eux-mêmes le- plus vulnérables.

.V'j'-yu r>. :̃•;•"̃̃ ̃̃ .'̃̃̃;̃̃̃•̃;̃̃-̃

^Pourtant, il n'est que decoûipreridre .:̃ il y eut une^mentalité qui ne saurait échapper à qui ^f^cTîerchéy la; yérité rloyàte'mént;"et .ïihpar-' jtiajëmient. iT^our, ?tre et,, rester :de,son i parti j testronij tenu de se; fermer a'.ùx .arguments, et ..a,ùx,Hfaçonsj. dè^ penser des; adversaires? La

,is~e:de:: ieur convictitin n'est pôint- :éom=

*iia?e;?i:ç|ei* ieurV, conviction n'est point com-

î>ïiquée/.ét )• la; voici' sans 'doute:: Le trône 'ïiîa<p6irit"été^retïvéréé,il subsiste -le i-yôcàble ̃'J'^ààni ;.oiïs appelle -'leARjoI''a--çhàp^ë;;î.i-'la'4ynasjEié 4 fcôntuiu^ril n^y à lii Interruption,' ni* interrègne. ̃ ^BjOi-^ihëur est prisonnier au' Temple' sont ;;oncte est régent. Le Roi prisonnier meurt, son •Tprrçle:lt[î ;suceèdév ^^lè'B.oi'tràïléâvéclës'pûissàh-' ̃ *cfes''ÎStf àngèrlfe ,fet ̃cpmm'eaeïir-aîlié;; reçoit leurs! ^ëub'sideset leurs secours. Dirigeant l'àetiori se-! ^ldniië's'^lnëtrubtîdiisî g(§néfates 'ïqûHl ̃ à:Téçùës,>

T3na'is?dàiQS-la'piénitudë-des -attributions qûe'iui

"mais~daBS-la~lënitude-des-attributiohs qùedui

,^îifè're^ie;X4e;iteutena^^ Royau-î ,#JPV^ue:îàa;aidéde: e l'itrgent, des vaisseaux et des nommes que luv

?^Ôû'rju.l7sbJQ\alHë ,}e rof de Gràndë^Bretaghe.'i

IA ;;lk^érité^ ^eUii-ci; est^ riîs"ïïrpàteur,car les- ~Stuart ne-soht point -éteints en la ligne mascu- line, et ^e descendajtit'de-Jacques Ilr-flenri IX,'

e&Kyviv£ntj,: aprè5fl,a mor^de^s'ori frèïe\Ch^rles-]

Edp^ard, il a quitté la -barrette cardinalice'

pour ceindre la courpnne,,Mais s'il est l'usurpa-* tour, le Hanoyrien,' il' est généreux, plus gêné-: teux-iriême que ne fut"1 Louis'-XIV avec 5ac-

\queslIï;Louis"XV avec Charles-Edouard Jcar,'

'Ce' qu'il cherclie," cet n'est point, avec le désinté-1

ressèment des rois de France, restauration

d'un roî procédant dès mêmes principes que lui ,i professant la même .religion, appartenant à une'

famille constamment aluèe' à la sienne, mais;

Pané'antissem'ent d'uhe marine redeveipue redou-f table, l'abaissement d'une nation rivale, la défi-' nitiye abolition d'une puissance cplçniale qui ne. peut subsister'-que par le tfavaiKdes*-noirs. i ^Si, ïÇarmi les émigrés, quelques-uns, et non, "des momaresî ^comprenant que tel estjlé.bue poursuivi par les Anglais/la* plupart ne voient! 'qûël'objèt'prôposé à Ieur4oyalisme lerenver-i j. seînent'.du1 gouvernement usurpateur; criminel* effegicide, et cela suffit pour que' tout moyen

4 leur 'soit bon.

.Aipsî,,depuis 1795, soit en ^rance^ soit hors de> Prançe, -l'état de, conspiration devient > normal1

>gbur .les ^royalistes, \et il ne faudrait -point"

croire, surda-Ioi des librettistes de 'La Fille de*

'tyàdame'Angot, ique ce ïût pour rîr'e et qu'on ne^

risquât point sa tête. Seulement, on'iie visait Rbirî^falo^s'une personne5, ,parce> ((ue, da'ns le,

'Directoire^ on se fût trouve^pW la nullite-dej

^.céux tiuî.le composaient, dans.rimppssjbiUfé 'dè- phoisir la victime. i- ^-]

i\>' ,i ^s' ̃ia. i

«. A partir "'brumafrè an Vlîlriin -homme"'

s'éleva! contre 'lequel se conjurèrent, s'al-, lièirent,.mêm'ei' parfois,' les' deux, partis /éstrê- mes; "les^lapcs qui voulaient le*ïîîî,;ies rouges^

^qui^îêifaie/it l'anarchie. De.là les" situations les}

^̃pjusâncfQyàbles, les plus, tendues, «ar constanj-'

-ment,dans tes;scènes- de. mo'rt, intervenaient •* -•r.amouf,,la danse,- l'ivr*sse delà vie 'la plus" désirable des ivresses, celle qu'on sait étre-sans r

'léntiéiûVin.- i\ ̃'

^estêtres vivaient double, triple ;ils vivaiept.

.^surnaturels ,£t' passionnés et^l'on se/demànvâej

$prenyïer~d'eux pude leurs vainqïïeui^s l'hig-

H^<«re,esJt4-nsuffisante;j)o'ur^î&, peinarê elle ns^

fjsaurait-ientrer^dans les méanâres de^eurs âmes,

-pénçtrer lëurt-psyçhoîpgie, retrouver leurs dé-j.

•niarches objoures -et îes-situer-^ans'dés décors* 'îl/'faut'recbnsj:itûer,parfôis*-imaginer elïei "n^ 'que bien* peu d'informations sur îes'-côs-* jUfÊtesVles façons de" vivre, démanger, ae'ÏÏùr-

̃♦ h r^- i^

SM(ta~~

mir 8e ses fie^Siî]^ f.

c F ~pa ~t~ i~â~nts~~ï~ .nor~ `,

y

ÀTjMfcn eux ÏTiuD]âriïttV^!lustDï'ienia;les|pi|i3tsr

jettes mains liés parle document;, il n'i -l^ipîjt

de retenir que ce qu!il aHrouyé ^çrit, noiir^ur'ï blanc en quoiiiieûî-ei're'n'fôt-il qu'un, CAni- pilateur. A la vérité, cette: compilation, il; la rehe^ il l'éclairé,: il ̃ essaie d'y donner- 'là yie, mais il ne saurait suppléer^aux détails que :lje.

document lui refuse. Alors peut intervenir; le

romancier. Non content- de son excellent volume d'histoire<sur Thermidor, Charles d'Hèricault y avait joint sur le même idrame et- sou^ le même titre, deux volumes de romans qui, avec une exactitude 'minutieuse: et des prb.ba!bihtés curieusement déduites, transportaient lecteur dans le temps, dans le décor, au miliçia: des personnages, lui faisaient vivre la' journéjB.

dans'une bibliothfq'ue à-côté du" livre d'JtiistQirje que l'Académie a- couronné, et l'on ne sait ;tro)? si celuj-là n'est pas plus- vrai que celuîrci. 'f.;

'-̃.̃•*̃̃̃" ̃'•> %>l;

Georges Ohnet, délaissant les temps et les costumes modernes, entreprend, sur Tépoque^dii ` Consulat, celle-là même dont j'ai parlé, -tijaje suite de romans doifit/ le premier, intitulé]: Pour tuer Bonaparte, vient de paraître.4 ̃ A x\p~ ami de cinquante ans, il m'est permis de souhaiter la bienvenue sur ces terres je suis habitué et j'ai souvent Tegretté de.ne pû\iVoir courir à la billebaude sans, l'en, trave dit document. Georges Ohnet avait' cindevàiit" esquissé quelque partie: de l'Epopée dansjjn' drame, Z,e' Colonel Roquebrun'e, que jôùâ' ÇQquëlin, et qui obtint, à la Pôrte-Saint^artjli, ,uti" succès, retentissant,, mais il. n'avait, poînï"

.'jiis(i.u'ici, abordé le" rphian ̃•hi^tbriqu.e,Qr?'p;aù"r_

vejf primer- •avec; vraisembîance vcertains r-séntir" 1

;:ajients ^t B^rtainesjiassioiisf^a^éur .-donner à

-là^foisledécpr iquî leur côti vient étTatmosphère

qui lès fait naître, il fallait bien qu'il recourût à l'éppgue ou ils..étaieht endémiques. C'est à. La

çônsp~ratiori de la Mâchitie infernale. %il s'ést. ~t

conspiration de la~ Machine infernale qu'il s'est

attaché il il eti.a co n te les é p, isodes u t ~es a son

attaché et il en a conté lés épisodes utiles à son

..drame avec; une connaissance très approfondie des homrnes et des choses. Il a lu infiniment, et on serait embarrassé de lui en remontrer sur les mémoires publiés et sur les meilleures monographies. Ainsi a-t-il construit ses persôilnages", d'après; nature, les fait-il parler; avec* vraisemblance, leur donne-t-iirallaïé qui le'ùr: était habituelle, sabs ralentir un moment l'action romanesque^ le drames'entrecroisent l'amour et la: mort, dans une suite -scènes filées /avec cette -maîtrise que "déploya tant foisét sur des sujets si. divers l'âùteur du Mç,î-± lie de Forges. ̃ ̃ 'Hnë recule point devant l'obligation de metitrëenscènè le i Premier Consul lui-inêmej étroit: qu'il le montre conférant avec Péuché etrece].' Tant, les délégués^ royalistes; soit qu'il le représente échappant à la mitraille de la rùe.Nicàisë ;.iet prenant à^partie- son ministre de' la Poliee, il- f niesure ses paroles etleur donne ^presque unait". ̃ authentique.. On priverait le lecteur;: d'un ^plêLif .?;

r.siryéritableenlûi dévoilant lés secrets de Mme

p tiëjrebqurg et du cïtoyenLëclerc les raisons qui lui, rendront, sympathique: le terrible Sain^ Régeant et les pistes jusqu'ici inexplorées qui conduisirent Fouché à 1& retraite^ des complices de Georges, -Ou'il ̃ sache seulement que,' s^r î^ -;f ond heureusement présente :d'un tableau mstjof i'rîqiiieVs'àgiten.tj ppùrsiiiyis' par îés boïipi^rs lfes- .̃ftl^outé^^lie&x^t^i' 3^iui^"êf 'ÎjeàiM? ^qiai ;§'â|n^a^sqyi^iquiï^Utêrit. :?]

̃ .̃̃.̃•̃ ̃ rrèdêric îttèrsw'n' ̃

T ûe l'Académie française

Çfé qui se passe! LA POLITIQUE

̃ les; radicaux en déroute Le, parti radical, qui naguère dominait 4a Chambre et faisait marcher le ^pays, n'est plus t.s.i. toutefois nous en.devons croire certainsde ses organes qu'un groupe à la suite, une ^orte.d'annexë àlarmajorité gouvernementale^ -,V<lies' plus 'avancés du parti -montfenf les poings aux transigeants, mais ceux-ci ne' s'en montrent, nullement. effrayés et, dédaignant in- juresLëtïmehacesj-sHhciînerit' à- 45 'degrés de^

vant M: Briand.

II faut bien le dire: c'est.surtout dans l'opposition que le parti, radical a 'fait" à peu près 'figure" de gouvernement lorsqu'il à, pris le ̃pouvoir avec M. Léon Bourgeois, il s'est tenu de façon piteuse, et Ton sait comment, par quel ̃geste^'à la fois méprisant et souverain, le Sénjat l'a contraint regagner les ;bancs de 'l'ôppoâi-« tion, ̃ '•̃' '•̃̃̃̃ ̃̃ ̃ *:̃* !j '̃̃; 1'" ̃'̃ ̃'

̃-{ ';I'Ù -est ''̃ malaisé ̃̃ de; déterminer exactement ça sa

̃situation géographique.

-*j puand un .transfuge du centre-gauche \commë1 l'était \Vaîdéck-(Rôùsseàui quand un échap-J pé.4u'.parti socialiste le plus avancé epmme^ l'est en ce moment M. Briand,. règne et goù-; yerne.on ne: sait au juste si le parti radical le combat ou le soutient. ^Aufondt il/fait l'un. et. l'autre il attaque le goùyemement; dans les banquets et lui fait cor*;

̃tège'awtPalàis-Boùrbon/; ̃ -;̃

Iie3çongrès radical de; Rouen, il est vrai, :a interdit à ses adhérents toute compromission1 avec le régime bourgeois, qu'incarne, paraît-il,

M. Briand, mais on sait que les décisions des

congrès politiques n'ont pas force obligatoire. Les yeux, cependant, se fixent sur M. Corn-' bes. est-il ? Que fait-il ? Quels sont ses pro-

jets ? i

M. Cpmbes a répondu d'ailleurs brièvement à~ ces* interrogations mais sa réponse «st imprécise, ambiguë et, après l'avoir lue, on se de- mande s'il veut soutenir M. Briand ou le rem-'

placer.

Le parti radical est donc dans un grand dé-s sarroi et M. Berteaux, qui attaque le plus soù-1 vent le 'ministère avec violence, et parfois le' soutient1 non sans aigreur, ne sçiit donner

de la tête.

M. Briand, cependant, donne à ses amis d'ap-I parentes satisfactions, car il s'entoure surtout" de radicaux mais il paraît que les Lafferre.et, ,les Maurice-Faure n'inspirent aucune confiance!

à leurs coreligionnaires politiques.

Ce sont .des radicaux sans* rigidité, souples]

-comme il convient, et qui -attendent, pour -ex-'

c,~n:}~:il,~n,n~ ,~t,:ql.ll. PI.Qur.~el

primer leurs opinions, que M. Briand leur ait

-fait connaître ,1a sienne!

( Je n'y 'contredis pas, car je les ignore l'un et l'autre, et je me garderai de; formuler sur leur^

caractère une appréciation' que; je serais fort'

en peine de motiver.

iSe-crois cependant qu'ils ne démentent pas ee,

vieil aphorisme parlementaire* «Un radical;

ministre-est rarement un ministre radical. »

;L. Desmoulin&.

fCHOJS DE PARTOUT

M. Denys. CochinV de l'Académie" française,; qui-aioujours pïis'si courageusement la' défense'

des Cretois, a reçu hier, de la- Ganée, lextélé-'

=gramme suivant qui l'honore grandement*:

lr ̃ La Cernée;- 19 février.

"X.lA.ssemiilée.âes Hellènes' Bn Crète, *n séance pu-

bjique, jne. charge de transmettre" à vous,1 lîjllustre

poi^ieUène et ami, des Crelçis, ses;féb"citatîooiS les-'

pluélchaleureuses'à l'occagip^n de votre élection cora-

mç'membfè de l'Académie Ifànçàise. En m'âcquittant*

de cettôHache Ireg vcylpntiers, j'e vous prie d'agréer.*

aussi 'Jiues1 félicitations- &t 1 assurance de ma haute,

̃ cowsiaeiation. r > m

v > Le -président de d'Assemblée.

V > < Aristidès Krià«is: ̃-

c- Qn se rappelle quevloKj|è 'îa- nomination de,'

M. Henrv tWhîte"comme "ambassadeur" des I

f ,~ht~#~ l;Ttl~s;~»~'ârlç~l a a~re' i~s~'lt a' »v

;q~eâ.iV, ~1>s .é.~9,

·~â~i""de r,`~~t e~çe~ux repl~ëséittants~am~r3eê;y~:

â`Pary TV~~a6, xn'hdant;:le-v.ot~'pâ,~ ie ~grç

;S$g:dX-:i0»ë®iifé^ :;ety^ënagé^rî^6ij;!Bl;jaéJa;.r:ràé^B!ran^isrI^B.-v prouve -çnpbreyîâniikassade ;d;es ^Etats-SUnis»: On; an nonce ^^imâintexlan.t(ie«W^sliipgtonqueie;Çon^; ,:grès yient- de .voter cinq millionsside 'dollars à-

dépenser ̃ en dix ̃:ahhéè.si à! raison d&.çing cent

Emilie dollars par ann^e.-poùr ^raçîbat.. ou la ;çpnsttucti6n;;â^.i^îâen;çes-cpny^iiabjës-ài!X'.ré- présentants ^diplomatiques; et .consulaires des. >ËtatS'Uhis. à, ^étranger. L e crédit voté- ,spëcifi fe ;unë. dépense cent çinquan{è- raille; dollars pour chaque édifiéeV en jnoyénnèi ̃ .Ge vote n'a pas^ été /obtenu, .pependant, sans :une longue «t curieuse ,?:<jliscu.èsiom; curieuse, parce que pîûsieursrnemb'res du Congrue ne se; .sont pas contentes' de combattre vote çlu- crédit ils se sont déclaréè.'en principe; contre la représéntatio/i des; EtajbsrUnisj^, l'étranger;' « A. l'époque deylà f ondatibn l'Union- américaine, dirent-ils, nous .avions- '̃bçsoin' -AVoir des.'diplomates. accrédités à .réttanger.;J^I^iSi in.ajntenant, ayee lài miiltipliçaiio.n et le /perfectionnement dès moyens de comm.unicàtion, avec, le •f^léphqnej la télëgrapHiè/sanS'fil;^ .diplon^atès soiitr devenus, des i fonçtlonhaires inu- tiles.Ndus .dépensons annuellement ? deux cent miUe. dollars pouj1: loyers des résiâénces de nos .repMse^^fe.a^jir^jtiger^'C'ë^rdè'rargeh^içtl' par la;iêpêtre..)? -v-->- '̃"̃r. '^V,' fîéahïnoins; le. crédit de cinq mUlipns dëiflolv-

-̃lars'-â été vote àr une gfa>majoritë;: v

̃ '̃̃* "f .,•'̃̃ ̃'[̃.̃̃ \'i r-' "S'j'ïLi-Jxi \i '̃'̃ Ï-.

̃ La-^sâjiité^u maître ̃Ziepi.^v. 'h. 'ê^-h- i V: i ̃ :I

̃̃'NoÇre ^minetit ami le. grg|id:^s^giste. ^m^ iernet viept-de v;re^^T^ê^^j^$ùnë;^ê|treJ^ï Mine Fjélix Zïeirij gui donne l'es' meiïlejjir ës^ojii^ ̃>vëltes;:de/là -santé M ^b'r^àflfete'c^ ̃ :£& 7 « ^Cher maitrei '̃̃̃̃̃' '•' »A

#a^ vous remercie des souhaits gue .vous

fâ,i|es pour la santé de mon. mari. Il ne pe,ut; e faire,;lùi-m&me, ne sachant pas qu'il, a été. si çàyaliêrementeiitèiTépar les journau^. Coinnie le;iuijen,fàis chaque jour. la lecture, j'ai pu le luLçacher, craignant pour lui Témojtion qu'il en pourrait réssenUr.; Bientôtj je l'espère, il pourra reprendre ses promenades .'habituelles ses jàmibes- sont guéries, mais il est encore 'faible, vu sa longue immobilité.; ..̃: ̃ ̃ ̃"̃;̃»;̃- Recevez, Y monsieur, l'assurance de:, mes meilleurs sentiments. ̃ .-j ;r-

̃' ]ki< ̃̃ ̃ '̃̃̃'̃ ,M "A'Ziem. » ̃̃

| :Tôu'tle monde se réjouita de ces bônpès. nou? 'V6ll.éS; '"̃- ̃̃ ̃'̃ .'̃̃ '̃' ̃ ̃̃̃ "̃̃•î X'è^t samedi prochain ,qu'a;lieu le bal annuel a de Via Saint-Gyrierifie, association. de secoure -mutuels-de,s, élèves ..et- aneièpsréîèveside i'Eçole spéciale. r militaire, .que préside .le ̃ général 'j pointe r,, des'' Qarëts; Cette fête* qui, promet d'être ùjrie desplûsv;belles de Ta1 saison est dojn- h' ée;àû' profit des caisses secours, et, de bie.nr ;.f aisance-, de la:Speié,té.; -C ;ï;.»^ 'V-' .Ràppélons^ .quelles cartes ^p!'eritréejson.t',aùpr4x ;de; dix ".francs, .pojiiii:unerpçp^ohite.Aèt..4§^vi.ngtT. cï^iq:: francs pour trois persotines .de. -J'ai meipe farnUleV;; elles sont'idéjïvréés au^siégë de ;la-S.Qr'' cîétéV i-3, riîe de'; I^âborde, au- Cercle; militaire. ,pU;à_l,'|!G.ole: de Saint^pyr: En' outrai lin ^eipf' ̃Mç. :d|i: .<!Ç«i&e)î. ;nrunj6p§tiqn. ̃-̃jtieiiïdrair'^1:

1:,11n~e1 Çp'n~tlpgn~al~ ~e°~e~alp l~ulll~ 1~1~

;l.âprèérïni'dîv,|t:; |s>plt:ï'eù;res;i)Our ^âtisfàgireï

àp~éé~irridi '-sa ~'e~is'~eures,our ~s, tisf~treva~

~i~ût~s l~vémà~~ëS quS.:iut ~eropt,a ï!esséas .v.

ta- SaintTGyrienxie'eist Une ̃ des..Sociétés -de ̃ bienfaisance les plùs: intéressante, qui' existent !bieri; que- datant àè peu ''d'années, son succès s'es|Laf firme: dès le premier jour .et n'avait que grandir depuis .lors'. Elle.cdmpte parmi ses mefiibres.îâ presque totajité dés anciens- saint'cyrieris 'actuellement existants, .'et,' son œuvre, bien que d'une discrétion absolue, comme bienen pense, est. considérable.;

VISION BREVE

COMME AU TEMPS I>E CRÊBILtQN. J '̃'̃*̃ Qn a rappelé les costumes de théltre, les pantalons :&: l'orientale portés par^elquesvillustres leautés.du dixbuitîèmè; siècle, -Mais on -ne. s'est pas souvenu, xroyonsr no'^s.qûë le siècle; des paniers a vu des femmes, et.de plus 'élégante, société, porter, de .'̃ Véritables costumés' d'tommès. On trbuve.une, tfape de cette mode hèn. seulement sur ̃quelques, estampés du temps; mais dans.un Éa^ logue fort; peu 'connu > attribue à VM. de La' îopelinière et quiisstivraisemblablemeritîde'Crébillbii fils' '̃̃̃'̃. ̃ ;Madame 4e] JR..ô- .Et l'habit d'homme, dont nous ne parlons point> ̃qu'en djtes-.vous, r comtesse ? Vous en àvez'ûnVsans^dou^e;?,' :̃•̃ .̃̃ La comtesse: Quoi ? Un bibit'de cheval ?:Non,ie n'eh:ai>olnt'. ̃ ̃ "r.-

'Mmé de R.i;; .Taüt~ is' il:dntit wôus en' i faire un

'Mine de R.;i; –Tant pis;' Qlaut.ypusen'iaifè fàîre un

incessamment. Je Vçuà; enverrai !é: mien, ^vec mdn[ taïu leur; vous venez comme oela: est fait; cela est charmant; itoft^oomtesse.' Jrtoi,: je n'^fiaè gàère-mbnter à 'cjjev'aJ. ftjme 4ê. v1- Ni moi non plus •̃ mais qu'est-ce que cela; fait, ? Ons'habjlle: ;touj{)urs,;on;fait un: tour ̃d'allié: c'en est assez. pour; descendre ettpour.demeurer lé^resre

.du joiu; dansce déguTsepient.

;M:,iBomté^I:^e^ljiaWfe»'4oiiveât-~îl

VoushabilfeE-vcius'de la tête;aux pieds ,?, .V

Mme de R. –Sans/ doute i 'habit/ Vves£ :.e{ cu- lotte. On est cent fois plus jolie" elspliis piquante'. vous rei!çontr.iez.Mnifi;de L;dans: cet équipage,' indolente Jangour^eu^çpmme/oi»S;!a-:vayez:(laTis soin ém n^tuMl, voué ne la reconnaîtriez pas du 4oi4t;,ayec sa taijfe dégagée,' se6 cheveux- tressés,de. rubans Jaunes, son .tpetit chapeau à plumet retapé, ce n'est plus une femme, c'«st un petit garçon, yjli à" manger. L'auteur du dialogue, au surplus, laisse ua" peu plus loin percer son antipathie1 jour une mode -laquelle la grâce féminine pn le yit bien au théâtre «t aux cour-

ses ces jourskîi a plus à' perdre <iu gagner.

Lamagistrature s'acnemîner1ait:elle,elle aussi,

vers « l'action directe,»"?. ,j Le Palais se le demandait, hier, après le coup

d'Etat de-MM. les'juges suppléants.

J ~R~ 0.

Car ce fut un vrarGoup d'Etat Las de n'être

aucunement rétribués,' ces magistrats avaient1 soumis leurs doléances au garde des sceaux. "Accueil charmant du ministre; lequel renvoie à à' la commission des réformes, laquelle. renvoie- à Tan prochain pour discussion. C'était l'enterrement. Alors, en délégation, Us allèrent, hier .trouver le bâtonnier, de l'ordre' pour l'entretenir de leur intention de se faire,' "quoique juges, inscrire combe- avocats au ta-' bleau ou au stage. Et ce, pour gagner ïeur'vîe

en' plaidant. j.

On juge de l'émotion > f

im `lr; jûstic~; dtsàiéüfv les uns, Létti' .`

Simple justice, disaient les uns. ^Leurs

appointements ne coûteraient que 1QM&0 'francs, une'misèrej.C'est d'ailleurs légal' et' courant en province. Le'garde des sceaux «fetueû n'ètait-ïl pas lui-même Avoué et juge çuppléant ï

Anarchie et incohérence s'écriaient' les-î

nt,,

autres. Ces places gratuites, on neïes a que sur j demande, et jeqmbien,' pour en obtenir. fa-C veur/'abandonnerît; pour lajdié d'être .â^âris^ leuissirâRp'Qîntemeï}ts de province Alors'??À Et sî{ *le^juge-avocat doit, aux mêmes hbures'sîéger fer

plaider, lequel 'de ses' devoirs" trahira-t-jk?. 1

-Mauvaise blague, en tous cas"! conciliait un^ '̃avocat; (Si les juges se mettent à plaider, ils! jâflérDnt tout, car .les clients ne Voudfofat jamais!

croire qu'ils puissent se faire, mutuellement per-J

dl?e. "A^ors; il n'y a qu'une ressource d^mau-1

don,s.tqusàêtre juges-supgléante. -• |

/Resté'une vdix à entendre fce.l}é'du ministre,:

^C^stujaujourd'hui 21 'février, ;qu'aurûQt lieu/

dansiejgrand hall des expositions de la -Société -d'iiorficulture, rue de Grenelje^les élections du*

Jury de la. Société des aïtistes^françaîs.

"Qn.sait, combien ces ^élections promettent 5

d'être agitées -celte' année. Lesîn jçsunes'»-enten-î dent pénétrer ."dejforceoau leejn du jury. M.1

Sé,nôt,'mÈnibre;tieriQptijlutJt architecte de iaf

Sorbçnhèj .qui, présida, -pendant de longues An- 1 njes,:avfic,le.tact et;le.talen^ctu>n se^ppelle, f la Société des^artistes français, a bien Jvoulu,»

3 hJ~~7~ 7,

~~o,t~ire, ~yer sa~r;â~ ee ~rüpos; les zi~éeia-:

^tjqjni:a^\&iites;:i&S: .-> T^^4^X

adsr~a u~ ~e~lan. de h ~'ârs o. ùn .rs b-

i P^Ëâge -xfeeajiiou^^i-e^i^ce^n^iia^àpîè; '.Ces s :ji)r|)stes, ^lus^po'uVirpiB'arisi ue suËièsèrft-pas; ̃̃êxéepî.ion ̃•-fâijç des architectes/– '/les. ,eiwnen,s ;du jury. Us exposent comme. bon leur séjhbïé; et siJîesprit nouveau ne les anime plusi il faut avouer^ par contre, que cet esprit inspire bien fâcheusement certains « jeunes ». Croyez-vous qulà( lëinr âge, nous ne songions encore, denotre temps, qu'à jouir de la vie ? Mais, quoi ces jeupes.'gens nous somment aujourd'hui, à trente ans,,de;leur céder à bail, jusqu'à leur mort, gloire,, honneurs, fortune. C'est aller un peu vite.Et puis de quoi se plaignent-ils ? Sachez, qtfài'heiire actuelle il n'est pas un artiste ayant une certaine valeur gui n'ait reçu. de notre part •des encouragements, sous forme de commandes 1-Ëtat, de ̃ décorationSi de bourses de voyage; Alors;? ̃ ̃ Jeunes' artistes, prenez donc votre mal en pa-

tience ̃̃ -y-

Lef comité. -cpnstitpé^Bûus la présidence de M. JéaTi Béraiid, pour élever, au Père-Lachaise, un njonument.à la mémoire de ̃Guillaume: Dubufe,a déj à reçu des spuscripteurs-la somme

.12,000 jfrâncs,; .•̃̃ •̃ .'̃̃

Ce total sera certainement dépassé,* car le comité ^attend encore des souscriptions impor-

-̃iahtes:.v: >• -• ._̃

C'est M. Bàrtholomé qui est,1 comme on le.

jfiàitV.chargjè de réexécution de ce monumënti par

de g, de ce monument, par

lequelïsësjçpiiïrères de. Soeiété nationale; et ses amis qntîtëhù à honorer le souvenir de l' ar-

tiste/regretté;

:̃̃̃ ..#̃̃̃ .̃̃̃̃ ̃•

/.ypilà.j 'nîest pas ba»&lj;mais quii- natu-

.;|syénVg^i^^s. d., ut e-O,céa

N~rpment a',éü ~~éü;,è;i.u~ Etâts-ilnisi

aLos-^ngeles^'uri'Tbanquet plutôt original, un banquet- de condamnés ̃ mis en liberté sous, promesse ,de bonne, conduite.

Un ancien condamné, du nom de Mordaunt, réunissait; douze de ses pareils, aune même tablé, -sous la haute présidence d'un fonctionnaire, du .département des prisons. On a banqueté .fort gaiement et on a porté un toast à la libéralité du gouverneur qui avait autorisé ces agapes. ̃

On ajoute; même que la réunion fut si agréable,: qu'on se propose de renouveler souvent ces ̃petitès'-fêtes, en invitant tous les anciens condamnés de la région { ̃' "Pàrjtni' les, nombreux engagénients que MM. ̃ Isola .viennent de conclure pour la fin de la sai-' son açtu'elle; et le commencement de la saison prochaine;' nous relevons, par ordre alphabétĩ -que, les noms de Mmès Lucienne,' Bréval, Emma ,,Calyé,;]Vrarguerite Carré,. Lina Gavalieri, Marie Delnàî'Pélia Litvinnè, auxquels il convient ^d'ajouter légalement ceux de Mlle Lucy Arbell, ? âçtuellenienjt en: congé, qui reprendra le 1er mars son rôle deDûlcinée dans Don Quichotte,

-et;,de AlmeiMàrie ;Lafargue,, la superbe inter-

.prète du personnage de.Lygie dans QuôVadis, ̃ qui. va créer prochainement "Elsen, '̃'

La'*gïavë question de la mode.

'C;n/;a' singulièrement raison de dire que la mode est une question de personnes. Dès qu'on ^jvu,;paT exemple, lSs,f^n}eùi!és; iupes&uiôttès.; ispriant des m'éïlîëji'ir^è iiiaîs'onB, portées par lès

~~1~ëlé,~ë~nte~ ~lé l'ertea~n~:üink,Sai'nï:Di:

ïéUêr^ âjj^eWp^ëdi^teniëïit ^conquis par là'. noU'i .^ëlfô mode. C'fist-quei là-bas, la nouvelle jupe i-n'fvriehîdîâgrèssif. Parfaitement coûpëe, allant râyir,aux délicieuses patineuses, on ne s'àper;çpit que c'es'tune; jupe-culotté que.dans certains mouvements, d'ailleurs fort gracieux, du ska-

*&?&; kn ̃ ::̃ -•̃- ̃̃ '̃-̃^ ̃̃̃ ̃ ̃̃ •̃̃:̃ ̃ ̃̃

.• A TRAVERS LES LIVRES

̃ C'est un roman puissant et étrange, où. se mêlent- l'amour, et l'a passion politique, que Valet de.clifimbre, le magistral récit d'un terroriste, de M; Anton Tchékhov, le Maupassant de ̃ la-Russie. L'excellente- traduction de MM. G!' Sayitch et E. Jaùbert fut: très remarquée dans la Revue de Paris, lors de sa publication. l, NOUVELLES A LA MAIN

-:Au çlub^j Ce .n'est pas étonnant si je perds tout ce que je veux aujourd'hui je suis tellement

'gnppé/ .•.̃"̃'̃̃ ,•

Je vois; pas très bien l'influence de la gTjppe.s.ur ton jeu.

Mais si, j'ai la «.tpùx » dans la gorge, je he'.peux l'avoir en, main.

` ̃ Do Domina

MJTE3 S601A^ÉS 11 semblait que les rites du carnaval de Nice; îùsseiit:de'yeniis immuables. Les étrangers qui pnt cputumejd'hivërner sur la Côte d'Azur comrmençaient à;trôûver'que le programme des réjpùissàncës -;se reproduisait d'année en année :àvee uhy:pi6nbtdnie un peu: fastidieuse ils" se blasaient sur le plaisir de regarder des cartonnages défilant au son de la musique et même sur celui de se .jeter au visage du papier, du plâtre ou des fleurs, chaque projectile ayant, d'ailleurs, sa, date et son heure. Mais comment varier les divertissements Î^Les, « comités » ne savaient qu'inventer. Le parquet de Nice vint alors à leur secours. Il avait sous la main, comme l'on dit, un « beau procès criminel ». L'af- faire, déjà soumise une fois à la cour d'assises, avait été interrompue pour X supplément d'information ». En la faisant de nouveau juger aumoment des fêtes, on offrait ainsi au public, entre, deux batailles de confettis, le plus origi-

nal sdes intermèdes. `

Cet accusé récalcitrant qui ne veut pas qu'on le juçe/ feint d'innombrables maladies, et, pour mystifier ses confrères de la Faculté, prie son codétenu de faire chauffer le thermomètre au bec de gaz de sa cellule, ce jury qui reste en plan et contemple la cour, et les avocats empëtrés'dans le maquis, ces magistrats qui rendent arrêt ^sur arrêt et que de nouvelles « conclu•sipn's » obligent à aller et venir sans trêve entre la' salle des assises et la chambre du conseil, ces gendarmes qu'on envoie quérir le prévenu •gt' qui reviennent philosophiquement sans l'a- t-voir puj tirer de son lit, cette foule qui crie,

'tempêtent applaudit, voilà une. bonne, une ex-

'cellente. comédie. 'Le protagoniste est un terri- ble avocat. M* Pourquery, de Boisserin, le même qui fit un jour passer un si mauvais quart- d'heure aux remparts d'Avignon. C'est

lui" qui déchaîne le flot des procédures.

Les Niçois et leurs hôtes n'ont vraiment pas

à,se^plainjirel Une place à la cour d'assises 'doit coûter -plus cher qu'un balcon sur le passage des. masques. .?.

-Tout de.même, je "ne suis pas sans songer au -dénqueineht^qui pourrait bien être moins car- navalesque ijue le prologue. Puis je me de- mande si le.4ëvoir professionnel oblige un avo- cat" à' faire le jeu d'un simulateur avéré. Mais -'je cfains-cVâvoir l'humeur' chagrine «t il y a si longtemps jifue j'ai traversé le Palais

tïù 'Désabusé

':1' Vil;a. /a .ir. :a 1~

:w ~s.. -~crr~s "'c

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tSÉeHqïieïSàiitt-Dié-eii-fe^

.Nous, avons dit, il y a quelque :temps, à propos d'un livre unique acheté par un grand Jibràire," grand- bibliophile, aussi, > M. /JRahir, que lrAmériquë avait reçu son .nom de ce liyre, imprimé à Saint-Diéen 1507; ̃:̃ Le? Américains le: savent, et une association s'est formée.à New-York, sous le 4iom Saint-Dié- Society. Elle possède un organe: The Saint-Dié Prefs.: Ainsi :Ia ïplié petite ville -vosgienne est aussi connue' en Amérique que si elle, était voisine de New-York. Elle- le mérite: elle, la, marraine.' ̃ .̃̃ ̃

^Elle le mérite même doublement, car à Saint-Dié, qui. était un centre de leitrés, parut, en 1410, un livre écrit' par le célèbr.e Pierre d'Ailly, confesseur'-de Charles VI et légat du Pape. Dans ce livre, il est dit que «lé monde én1 lier est*hàbitable .et que, sans doute, d.'autres Jerres existent, encore inconnues de PEurope, mais non moins peuplées qu'elle, et que, pour y atteindre,. il faut sortir d'un port espagnol par un vent favorable».. i. Cette croyance était dévenue générale au temps de Christophe .̃Colomb. On réprésentait ce inonde, nouveau plein de richesses_ et de merveilles. On y entrevoyait même une .raysterieuseniontagne.au.pied.de laquelle s'étendait, fleuri et parfumé-, l'antique paradis terrestre. Sir Walter Raleigh- ne devait-il pas plus tard imaginer son

Eldorado sur les.bords de:l'Oréaoque.?:.

Eldorado' sur, les abords de. l'Orénoque?: .• /•• ̃̃. :]

Christophe Colomb eutconnaissançedu livre.de Pierre

^d'Ailly, cqrt(me;des récits^de Marco Polo qui, avait parlé de'lamer des Sargasses et.de ses algues «qui .enlaçaient lés navires et les retenaient prisonniers » ,1 Voilà donc une première inspiration venue de Sâiht-Dié. ̃' j MaisChristophe Çoîbinbrie 'marchait1, pas, avec'sa .:jcà- rayelle.ià la cOTquête^d'ùnnpuveaù/^onde.'ll/ayàit.'calçulélà circonférence dé' là; terre ûii tiers plus petite, qu'elle n'est, ;et c'est ep ̃ Asieyiaux' Indes, "qu'il -yoûlaît 'arriver s.. ̃ par .'ce cîiemin'.I! .cr.ut.toi^rars^mplçmen^d.ê.co'itye^t

.la\nDuvé}l.èrroute:djesl[n^ès;^ayëc;

;:màië ïl jnë. Mupidrinaïûn tpiiinentTîouveai:, ,ét dej4à -c& tiomi-d.ès^n^-fés^^rÂïi'ënque. ;Èn EspàgneV'on ap- pelle encore un Indiano un' homme qui â fait ifortuneen

Amérique. '̃.̃ ̃

̃; ;>«̃̃ ̃ •̃̃V;T'

Ce fut, on le sait, Americo Vespuci qui^ en 1502, 'dé- couvrit l'océan Pàcique àu-'de!àde l'Amérique -et- Inexistence d'un continent nouveau. Son mérite n'égalait peut- être.pas celui de son prédécesseur, mais il découvrait réellement « le nouveau monde », et c'est à' Saint-Dié qii'ûrié année après, la mort de Christophe Coloinb, Martin Wàltzemùllèr, dit Hylacomytus,' publiait^ avec la date àû,7 mai 1507, une.IjitrpcLuctio Cosmogmpfiiœ, à.la suite de laquelle il imprimait la relation des quatre voyages de VespùoeT C'est dans cette" cosmographie 'que ;Waltzemullèr propose, le premier; de donner' au nouveau continent nom d'Amérique, terre. d'Améric Vèspuce. 11 était en.celà l'interprète de savants chanoines de Saint-Dié, qui formaient alors le Gymnase' vosgien. ̃

L'ouvrage eut un grand .succès et le nom d'Amérique fut adopté par tous. Tel est Je parrainage Saint-Dié à l'égard de l'Amérique. ̃̃ La Saint-Dié Society- demande que.lîon pose uneplaïtùe sur la vieille' maison déodatienne où, suivant son exprésrsion, l'Amérique a été baptisée. Les Américains ont aussi décidé d'instituer, une grande fête annuelle enr l'honneur de leur marraine, et Saint-Dié, de' son côté, organisei pour la Pentecôte, une -cérémonie qui sera présidée par M. Pichon, ministre des affaires étrangères. ̃̃'̃

En1 même. temps, l'Amérique entreprend de faire connaître, elle dirait volontiers de faire découvrir, la-ville (Charmante quiiuî a donné son nom. C'est une juste reconnaissance: Cette ville lorraine est digne d'attirer les touristes, on pourrait dire les « explorateurs », quand il

s'agit des Américains; ̃

,v^ ]: -̃̃>?̃;̃̃; .'̃ '̃̃

Sur ;;les q"eitt ̃ riy.es ae'la M^urthe, SaintrDié s'étend 'au pied des -mont^Besi; les >$$& élégantes^ du monde. iLa. r AlèurSïeî. èiix; éaùK vives çrïrëniîss'tatës;:e?tic.i.;p.a«içur

flier^ën^felle^es.ranâs^r^

,fteiii~ iin 'làblêau. saisissant it.d^unë të;lle:ïine^<u'-n pTmr

̃ Voque là, comparaison avec maints -chef-d'œuvre Lèt qu'il' ` resté incomparable.. ̃̃̃ ̃'

On. descend la grande rue aux maisons un peu basses, percées de larges portes cochèées:'On. pàsse soûs dés arcades taillées dans ce beau grès rosé qui semble imbibé d'éternelle aurore..Les trottoirs, eux aussi, sont formés de, larges^ dalles Toses. Délice imprévu. pour le voyageur! Au lieu de la .sombre composition, si. molle sous' le soleil d'été, avec une si rude odeur .chimique, il rencontre avec jpie.isous les pieds; les belles et solides tranches de pierre vosgienne. -'̃ ̃ L'église étale une cascade de styles. J.3 décoration pseudo-classique du chœur, s'appuie aux arcades gothiques du. transept. La nef vient ensuite, romane avec .candeur. Certains chapiteaux' à; motifs humains -respirent une étrange beauté.

On. pousse une porte, .on aperçoit un cloître. Le noble et tranquille promenoir Il s'ouvre sur une pelouse par d'immenses baies à meneaux élégants, où la flamme quadruplée de l'ogive s'élève jusqu'à un trèfle de pierre. Contre le mur, dominant la cour, est appliquée une chaire à joli balustre. On imaginé quelque prieur accoudé devant une assemblée monacale aux crânes ras.

'•̃̃.̃ ̃ ̃ ̃;•' 'A1 ̃̃ ̃̃

De l'autre côté du cloître est une petite chapelle ren mâne qui remonte peut-être, au neuvième siècle. Œuvre pure Jamais la netteté drue et ronde des profils, laforme cubique efdrapée des chapiteaux,, l'épaisseur creusée des voûtes n'ont présenté une harmonie plus pleine' et ^bs- enveloppante! Perdue au bout1 d.'une petite .ville îottûîné; sous;de grands arbres feumides^au sein dès ielies^rjtta'ût tes montagnes, cette chapelle .romane'. est l 'un -des lieux du monde l'on1 sent' avec le plus de joie le lourd infin- teau dés soucis oi» dès.ambitlons. tomber sûr le; grès rosé des dalles, comme une, ombre.- .̃̃ Devant l'église, se dresse" un 'énorme, tilleul en juirie; Fen^u comme, si.sés-brasj «n4éfajllant, avaient révélé son ̃ coeur, il subslsle,. yigdureux'.d^bns.' Le'tronc fest tout iiêrisse clous. Aux -'Jours des processions^ on drapait dé-tapissëries.:Lés;vieux arbres- ohtiieiir histoire.' Et si eux-mêmes pouvaient la dire j En face de la cathédrale,, on voit là maiso'n 'deschaqoines. Les fenêtres du premier. étage sont ornées de qua-^ tre -têtes sculptées. Quatre désisàges de la:Grèoeont-ëté" conviéÈi par le génie du lieu. -Quatre sentences' latines résument la sagesse de ces hôtes. Dans la délicieuse ville rosé, il y a donc au moins une heureuse petite maison, toujours pleine de vrais amis. ~'out.Parb

TouirPaiit

A la Société

des Gens de Lettres On sait que S. A. le Prince Roland Bonaparte a fondé naguère à la Société des gens de lettres un prix annuel de trois mille francs. A cette libéralité, le Prince en a ajouté cette année une seconde de la même .valeur.

sont dbnc-dei~ priz,dé trôls.'m~lë:i'èà~nçs

Ce sont donc deux prix, de trois mille francs

chacun, que la Société des gens de lettres avait à décerner, dans la séance qui a eu heu hier. Les conditions dans lesquelles ces prix sont décernés les rendent particulièrement honorables pour les éprivains qui en sont jugés dignes. En'effet, aucune candidature ne doit êtreposée ce sont les membres du comité qui, de leur pro- pre. initiative, choisissent les candidats dont'ils soutiennent les titres pour les proposer ensuite' au vote de leurs confrères. Et d'après les ins- tructions formelles du Prince, ces prix sont des-' tinés à un homme-de lettres ajant déjà fourni un bel effort afin de l'aider à atteindre le plein-

développement de son talent et.de sa renommée.

Le comité s'est réuni à<cinq heures sous la pré-

sidence de,M. RenéTîoumic; de l^Académie fran-

çaise, président de la Société des gens de lettres.

S. A. le Prince Roland Bonaparte avait pris place en face de lui ayant ses' côtés les prési- dents honoraires MM. 'Paul Hervieu, Marcel Prévost, de l'Académie française Victor Margueritte, Abel Hermant, et les membres du comité MM. René Bazin, de l'Académie" française Pierre Decburcelle, Jules Mary, J.-H. Rosny, Paul Gaulot, 'Michel Provins, 'Auguste

Dotchain, etc.'

Au premier four de scrutin sont sortis les noms de MM. Georges Lecomte et Louis Ber-

trand, 'i.~ i

M,- Georges Lecomte, auquel on doit des œu-s

Vfes vigoureuses d'une belle santé littéraire et;

jmorale.: 'les Valets, Jes -Cartons verts, etc, a 'été en-outre président de la 'Société des gens1 de lettres, il abaissé le souvenir d'un inlas- sable dévouement, ̃ G. M. Louis Bertrand est "lé 'romancier du' Sang- des- Races et de l'Invasion*, l'un' des plus'bril-^ lâBts écrivains de ïa jeune. génération "et Mont^

^;lë ̃; ïe^^ûab^ jvta^^ 'd'évô'èg^ pittote$que

^tMënv^nîiu:a^îéé'tëu'rs.du;Gat^oîs.l

•LXPfîneè Roland Bonaparte s'estïinontré très

̃heureux .dei.ces -choix- et a/prïs-C'ongié de Ua So-

ciété ;des gens de lettres en ltii:-dôhnâiïtlliFçndez-

vous pour Tannée prochaine; <^ »a6n;âë3r^

commencer ». ̃ -̃'̃ ̃̃ A^ '"•:

,̃̃- ̃ ̃ ̃ rr- '̃"̃

de ^aris

̃̃̃̃̃̃ i. ̃ i' M

̃̃̃ PAR M. CORIOLÈS ..Bn ,ces claires et; fraîches matinées djavàtitprintemps, ou:quano*le soleil parcimonieux de.:

raprès-midi nous içonsent cette fàyeur^ c'est .;uQ:

plaisir réel r– e^si peu coûteux –'que faire un détour, Un :crochet: afin de. traverser, un jar- din, parc "square de nôtre capitale bourdonnante, du Jaruit des affaires, toute, trépidante de limousines et d'autobus, fsillonnée de. gens pr.es-,ses qui cburent'à la conquête -du fabuleux nié,tal, ou cruellement ̃éventrée par îles,: interminables trayaùiî; des. ingénieurs. On né' peut encore y flâner; y rêvasser, y cornposér dés rimes io'u y flirter, car.; la bise est aigrelette 'c'est: tout juste, en passant aux .Tuilefies'sil'ôh;pëut:^ar-" rêter <ieux minutes devant le "qandide'apprivoïse.ur' ihoiné'aùx, dô'nt'la jeiquét'teis'prnè.de'.puis 'uti' mois de ia dècqratiqnvdù Mërïte agricole. Mais,- eh sbmùi'e,: à défaut d'une hàîte en ces oasis quer sont -nos jardins publics, oh y gpûte, dès maintenant un semblant.de repos fugitif les premiers bourgeons- ne> vont pas tarder, à pointer, des pigeons .s'attardent sur. le sable blond des allées. L'hiver, père des grippes meurtrières, va bientôt nous quitter '-et le moment est procheles' bohèmes, les employés de ministère qui ne font pas de zèle, les amoureux .et les poètes, pourront s^asse.oir sur les bancs verts sans y attraper de rhumatismes ou de coryzas. ̃ ̃ Voulez-vous, lecteur, que nous les parcourions .avec .vous,, ces jardins.de Paris ? Certes, ils ne valent point les miraculeux, parcs. x>m-" breux'de Grenade, et de Majorque, que le délicat peintre et prosateur Rusinol a décrits d'un pinceau< aussi alerte que sa plume ;.cè n'est pas davantage la divine Forêt chantée. par Théodore: Rousseau et Jules DUpré ce n'est pas non plus- le fouillis inextricable et délicieusement extrême-oriental que la fantaisie du, "maître Claude 'Mohet. a créé à Giverny. Mais .il 'faut savoir.se contenter de ce qu'on a. Un jour viendra, peut-être, hélas I les «gratte-ciel ."»-.e"ny'ahiront les espaces libres de. Paris.. En attendant que' le « progrès social et' démocratique'» nous: en dote, attardons-nous, ;ayec des' cicérone avertis comme feu Riat ou notre subtil ami Robert Hénard, parmi les jardins et le? squares

de Paris..

̃ ̃ ̃•*̃̃̃ ̃̃. Chaque quartier, chaque arrondissement a sien. A tout seigneur, tout .honneur. Commen- cpns notre.promena.de par le Luxembourg éden «éjS;midine^tES:et^es étudiântg^ y?- A. Ï^[X ^^st;;ritali'ennèv'Mariè', de -Médicis' qui >le Qk écloïe,, cet ëdén^ ÏÏésireuse de recônstitûèî1 un 4es -jardins qu'elle avait connus dans sa' jeu-

nesse et qu'elle, avait quittés ̃avec regret-, fciê jar- ̃

din du Luxembourg fut dessine, -nous apprend Robert Hénard, en 1613. II. n'eut pas, au. début, ;les: mêmes proportions qu'aujourd'hui. Il bordait le palais édifié dans le goût, florentin par l'architecte Salomon de Brosse. « II est quelquefois public, quelquefois non, écrivait Sauvai en 1650, selon qu'il plaît aux princes qui logent au château dont il dépend. » J. Sous Louis XV, les jardins, les terrasses, les charmilles, les bosquets, quelque peu abandon-: nés, devinrent une de ces solitudes « que'la n'a-:tûre.et vétusté s'entendent à rendre magnifiques et «où aiment à fréquenter les philosophes ». On y vit passer Jean-Jacques Rousseau et Denis Diderot, celui-ci au temps. dur de ,sa jeunesse, lorsque, « avec une redingote de peluche grise éreintée par un dess côtés, des manchettes déchirées et dés bas de laine noire re-; cousus par derrière avec du fil blanc », les pochés vides, et-le ventre creux, ilcachait sa mélancolie dans les lieux les plus' écartés. Il y a juste un siècle,- le jardin- du Luxembourg fut-plusieurs fois le théâtre de fêtes données en l'honneur de l'Empereur. Lors du co'Ut rbnnement, les spectacles furent grandioses. « A une heure et demie, nous dit ,1e' Moniteur, deux corps de musiciens militaires', débouchant parla rue de Tour non, entreront dans le jardin en: jouant des airs. Une partie se placera 'rtiatia parterre et l'autre parcourra lès avenues.À trois heures, concert d'harm.onie.spusles^fénê-: .très .de; S..Â. I/le Prince Joseph,^ grahià- électeur: A. partir, de :qtetrë'hèùrés]'^hsës-et;'M;ai- ses.- A/sept' heures, les trompettes; /les tambours, et des ôoè'tf es annonceront. feu d'artifice.. » Éri 1855, le: jardin était d'une élëganoe raffinée. On y voyait-plus.de robes de soie et de.vJBlburs w :.que: de .jupes et-de,flchus d'indienne. Âujovird'hui, c'est sous l'ombre de ses platanes -que .nos. futurs notaires et médecins: de campagne' prennent leurs inscriptions. v `. Les Tuileries furent aussi, à leur origine, le « jardin de la royne », non Marie, mais Cathe- rine. C'est elle qui y fit planter, avec l'aide et les conseils d'Androuet DucerceaUj ces massifs de: coudriers, amandiers, merisiers, pruniers, ces quinconces de tilleuls et d'ormeaux, ces pièces v de gazon et échiquiers de verdure, ces ingénieuses fantaisies italiennes, rappelant les curiosi- tés pittoresques dont le cardinal d'Esté avait empli ses jardins de Tivoli le dedalïus, la fontaine, l'écho et la grotte. La grotte, oeuvre de Bernard Palissy, merveille fameuse entre toutes, fit pousser des cris d'admiration aux Pari- .` siens (dotntan.^Elle a disparu. U est même impossib'le de dire au juste.où elle se trouvait. ".o' Louis XIII chassa aux « Thiiileries^»: Le plus `:: mélancolique des souverains s'y exerçait à son- ` ner du cor, à dresser des faucons et des émeril- .o' lons "en compagnie d'Albert de Luynes, :que le jeune roi honorait, du titre de « maître de la volèrie du cabinet », en attendant d'en faire un connétable de France.- ~j. Olivier de Serres, puis Le Nôtre remanièrent

ce jardin illustre. Le Nôtre y creusa le bassin

octogone. Le marronnier historique du J20 mars servit, le 20 mars 1746, d'alibi à un peintre Joseph/Vien tout simplement qu'on, avait accusé d'avoir assassiné son concurrent à" l'Aca- démie royale de peinture (nos mœurs clémentes l d'aujourd'hui ne permettraient plus de sembla- bles affaires !) mais Vien prouva devant le'Châ- telet qu'au moment-où l'attentât se produisait, il étaitî lui, loin du lieu du crime. Il causait avec

une dame, la duchesse de Roncevaux, sous l'un

des marronniers du jardin des Tuileries. 'Ce v

marronnier, Vien le désigna d'autant miejix_que

.c'était le seul arbre qui'eût'îdéjà-des "feuilles. Vous voyez bien que le marronnier du*20 mars v

mérite nos égards puisque cet arbre vénérable ̃

a sauvé la-.vie d'un coloriste l

Vers fin du siècle dîxJiuitième,-la Cour se

donnait rendez-vous aux Tuileries.^U.nV.esta'nipe c

exquise de Gabriel de Saint-Aubin.. l?attestè.<

Sous la Convention, on y; planta des pommes de

terxe- et des,fiarâcotsJ-«î'pour 'la nourriture -du q::

peuple w.îRobespîerre fit édifier dans les,«arres

d'Atalante'etdeDaphnédeûx%émîcjçles'curu1-

laires destinés.à s_ervir"de -sièges 'aux-'vieillàrds"' *t

qui devaient'prlsîâer âûx'^êtes'.de^à jéu'tiessK'

Après Jes^Mé^me^ts^glqlies'gui'sejàérou- -?

lèrentTdàns l'enceinte 'dû vdeùX'pârc^laTîeStaji*^


ration «t le gouvernement de Juillet l'embelli- rent âe leur mieux, Les reines de la mode, les hlroïpes de Balzac adpptèrent pour promenade1, la ̃j^rr^sse des Feujil|ants. Plus tard, le prince impérial fit ses premiers pas au jardin des Tui- leries on y 'installa même des modèles de for- tific^iipns pour spn éducation militaire. v Puis 'arriva l'année terrible, durant laquelle,

mç-rpe et désert^ il fut converti en pajc d'artil-

lerie. Pendant l'effroyable nuit du 23 au 24

mars 1871. ses arbres, à peme revêtus de leurs

feuilles, projetèrent des ombres sinistres. Tout, aux 'alentours, n'étaat qu'embrasement, et le

parais de Catherine de Medicis s'abîma dans les/

flammes d'un irréparable incendie,

A

o ^'empereur Napoléon III, a écrit feu Quen-

P. Napoléon: Quen-

Iin7j3auchart, affectionnait la promenade des

Champs-Elysées. Les hommes de ma .généra-

tion* se rappellent l'avoir vu'souvegt, dans leur* enfance, passer en daump'nt, accompagné de L'Impératrice et du « petit Prince », celui-ci

"habillé en grenadier de la garde. La foule, en-

rajïi*t le saluait de ses acclamations. M;. Henri Lavedap, d$ns son discours de réception l'Ae§démie, a éyoqué cette époque de joie Vie se teintai de rosé, la France était iîonsi- dérée comme la première nation du monde, ojû Je-ceeur*vibrait à la rencontre d'un régiment de la garde, devant le bonnet à poil d'un grenadier

ou, le shako d'un voltigeur. »e M r~

Négligeons l'officrel Elysée ,où s'ébat, les.

îours de gardep-party, la noblesse radicdle-so-

ciahgje, déplorablement endimanchée.

X ^ialsQftsVau'iiameau de'Mpusseaux,; le fas^- ̃:4uJBûS^rç Mônceai^^ujourd'jiùi. Il date.de la fm çlu siècle, dewier^ je ïdurc .de' Chartres 'ayJyQt f ait construire, en 1778, une maison, de plftîs||i^6 devant laquelle fut dessiné un parc 'o^vl'p^s?éfforça\de;reunir tout ce; que l'art des-

jardins put imaginer de plus singulier ruines

?~Si ll1l,J~.lPMr de pl:u~ ~l~gphe! nnn, es:

;gôtàn'gûes; rûjîiesgrecques', péristyles' ornés ;dé:

'sta~e5; ~e ktosguès et': d'ôbélisqües,; bosquets,

osta^és, *4e kiosques «t d'obélisques, bosquets,

rujissèauxjîcabànëB et sentier s. '̃̃

̃̃̃̃̃ ̃ ^Là, bravant, les sâispijs^ ̃:

vL'a'.rosç jpjpflnd à nçîtjw.'By.ipîlieu'cies-gliçôns;

Et les "lémps, lfes climats .vaincus, par ces prodiges,

Sém^ent'.dé la. féerie «|)j}issr les. prestiges.

s'é.çrïÈrènr. peu çmphatiquemehi le dithyramT-

".P ,P. le dyram

biqû;|;gbB DéJilieV ':̃ ̃

^tié ae4êtes:-gala:ntês &'y -donnèrent eu Ter.re^çte^piarièj' àla ̃Fontaine la Nyiajphe ét'à

i'Ile ^.Fleurs O; ̃

̃ ;^jô,urd:hui,.surlès,C!h'ais^^ métal à res.Si^its^S'ppuTèntes riouftous surveîilènt; les .jeux

4njjio'pe'nts'j||i Jiabiés |j;ë;Courcelïës .et même des

~1~R9pè~ts,:q~s;b.p,bl~S ijé ese ~t m~qIedef?

Bfl|ig)ipU^sy ^près ÇarmontéUê,. Peréire et

iAlpiiând 'pïjit pasèë/pai" ̃

vV; f:-y: ̃ & ̃ y

La gîa,cè:noijis fait défaut pour déambuler. fcetteiipl| en ^ces pôpûlacières ButtéS-Chauihont ,qu'^ristait le .voisinage du gibet de Montfau-

.Hfcpn. ̃̃̃̃ ̃' ̃ ̃• ̃̃ ̃]

p'-anstperatique bois çle Boulogne, mériterait à|ui seul un volume et ce volume a été écrit. ÇlîÉLrlês 0t ̃̃– ypiià qui- nous raj eunit guère 'ièntretiht des fauves* (oui, des fauves !) à' Ma- idrjid, :npn loii^ sdu Pré-ôatelan, de sombre mémoire, Henri IV y instaHa une magnanerie, ̃ceiqui est plus souriant. Louis XV força le daim dans ieSjlpûrrés la fluette. Et les fêtes du Directoire à Bagatelle I Chacun av^c la même ardeur

̃ Veut se;rendrë ou l'amour l'appelle.

'̃'̃̃̃̃̃ C'est eu séjour du vrai bonheur,

̃ ̃ -(Et ce^ séjour. est .Bagatelle.. ̃̃ .dit un quatrain du temps, que je découpe dans

jpurnaV îë Th£.

J' ura' sou~'à,lité~ flâner- avec vous sous~ leà

Jlaurjajjg' ^uliaité; flâner1 avec, vous .sous, leà

réLmuré.s dùibpîé '4è Vincennés et rèvbir'aussi jnos jardins. intérieurs, Palais-Royal elle jàr;din flè l^Infante, le square du Temple et celui des ;^ïts-ët^Slëtiers, Ce sera pour une autre 6ẽJiÈa^sipn/ '̃̃' ̃ ̃ ̃ :'̃'̃ ̃

'^tendons paisiblement l'insknt de rejbindrè

nos: Villégiatures', nos jardinets aimablçs, de la

"bjiftîïeue, pu gelbjï.le mot charmant d'un poète j

IL nous/ est Jpisible «.4e partager avec Dieu le 'ëôin' de. cultiver les ffëùrs"». ».

,'̃̃ ̃/•̃ ̃' "̃̃ "'̃̃̃ CoriolèB

f !•̃̃ -̃»:•. -• ̃' ̃

i Relies w$m %-W^)

1.A_ L~~t~ >,

àluirnprç dés déçûtes matin et soir. ̃

•Sénft: à .B heures..̃̃*̃̃

'•Institut catholique à 5 heures 1/4, M. Constant î

Aforié *TMo'r. •'

:a paris

.iV^'Mi B.rjand, préside^ du conseil, a regti hier inatiri le inî'îiris.tre des travaux publics, le directeur, lès sousr.direèteurs et chefs -de service de l'Quest- ..Etat avec lesquels ij s'est entretenu dés mesures de réçrgaJïisatioii à prnûre sur ce réseau.

"^TT-t'assembléç générale de l'Œuvre des libérèeè Seî^liiÂt-LazaTe ..s'est tenue hier, à la mairie duprejiriièr ârrçn.<lis§çinent, sous la présidence de M. b^fànnier Busson'-Billauît et la viçè-présidehte Mme Barlhoù. '̃̃

•DANS LES DÉPARTEMENTS

i-JÏans le canton de SainVGêorges en-Couzari (Loire)i qui fut représenté jadis par M. Lépine, préfet 4e police, «tlors conseiller d'Etat, M. Puy, libéral est élu jOonseiller général par 1,136 voix contre î ,070

à hC Raynaiid,, radical.

sr– Dans le canton de Sainie-Enimie (Lozère), i ;.AL jDeltpurv libéral, est élu conseiller général par 4Î9 Vflix contr^ Î13 à M. Alagef, radical. Il remplace

iiui ràdicM-spçiàliste.̃

:]. JÇn^é ies gares de Sainl-Gemiain-au-Montr Hd?Qr;.e.t-$}iincieuXi près de Lyon, un -train de -mari <iliandjs,e^est, Arrôié, par l'explosion' d'un wagon

iplaJpiWî centre du çdnyçi et qui, renfermait. ^20. kilos

.<}e 'pi^çeSvd'ar'Uîiçe, L'explosion a ébranlé vitres et rïjig^piiis'àuhelieiaé à ronde., e-, ̃ ,A 'fùi '(&$£$ d'une violente discussion, Côn-ï .g^nyçntre jifine B. 'et éaïUlc, ûgee de vingt et-ùn ,$w; v$lç0 ^émpare:a'im revolvër.'On sèprécîpite |iir- çllé'nûur lui arracher r4'rme, mais lé'côup part t

̃̃; -et^ue^p^B; --̃ :-y: •. ./̃̃- -"r

4AÏ pn annonce, la ïnort hier, a Dijon; à rage He

Yqyative^vingi-quatré ans, du père du1 colonel TMôlli

1 dofigf'pn jse..krappe.lle Ja patriotique :attitude au moi jnept;;de;ia;:mbriiie£6n fils, au O.uadaî.̃ Le tribunal correcUonnel: -de -Doullens Con-i .j^amne, bier.lVl'iM. ancien secrétaire de 14 sous^ oréfeiture, en 1 fuite,, h deux ans ce prison, 100 francs «'.àm,énclë: et |i 3,000 ïfancè restitution pour vol

v^îftbjus;descphfiahçe;7v;; ̃ '4 .•̃̃•'̃

'̃{ t-M- X>ussault,: facteur ,à. Villeneuve-sur-Vonrie,'

estïa^aqué ia 'nuit 'dernière aia moment' où: il-sortûil

',e~t¡~~qué M au -momen

^ù'Iëyrjeau 4e poste 'siveè'ië courrier- igu'il Sortait à L'M'0fà'ty:$$$:$è?mù>\x et a, ^rnppé. jayecl-un tiers-f PSSSî iSpn^aigppssfeUr. gui,- atteint1 eu cœiir, est mort.

̃'̃•. ,jjp;Ç^t«»i'ùn.menHi^ïêr,- Legplief, trente-î

̃4gi^f .̃̃.̃̃>̃̃ >.a .• '.̃̃•- Y.r. :r- ̃;

v:, |#jC<irfn^de.Loct«dy,, est; jeté par :1a ::ieml

j)M* sûr $),.greve de P'onrrioi van, duas l'anse de Be^

«Qdet.'Le capitaine Caoudal se noje.

eçdet.~e cap)t<un'e .C~~dal note. r

LÇ& COURS

̃– Le -Princesse Louis d'Orléans et Bragance, belle-

îillç db UL. AA. RR- le Comte d'Eu et la Comtesse d'Eu -et ïille $9 tt. AA, RB. te Cjjmte de -Caserte et Ja -Com- _r tease de Caserte, a donne heureusement Î8 içur, è Çafi-H^s, à un second fils, qui portera les prénoms ^Lpuis^ -Qaston, Le: i)APi|nie cura Jveji dans quelques jours « la

--f Au ^firpjier samedi poétique tie Mwe C}i, <ie Pproai-,

»lP. <H»elquçs Jéljcgts poèmes furent gits'i^r Taille de,

Sarâçnt, fllqje fJiadys^i'Uuçiience, Aï- -Grandet, çtc- Btc,

Paroles poètçs présents, «uj hapard ̃

•îmM. Sylvjiin, ^minjsiie de Hdjh Joon Ramek^, Ro-

& Yaoar^gçp^ Caittorl;, poiate ^e pongy Puy,\Q"êe,

prlnoe 4e Cçwnoa-Liwca, Mijunac» efu>Haii}o B,ena^fljé,

Lucien f^ -^çtiure, I^Jqr O^lAPOûr.'Jj. Ppr;er, spio-

4esse-<Je Ma^allpn, «te i; -)'

«fiçgnnu au hsssfd One ^ssiçtajiçe nombreuse

Duohe^e de Çaroosjiîi,. fnnrqui^e de. Vassejol M*

Etiçnjie tumj'i fie 3 AçQpônfle frap$alSQ M* Ch<sram>

TOiuxpus et'marquisedArrgeiisoji, fomle-du Suïu de Lar

Croi- comte Bedel llu1,a3Bctrc, Mme? h}pb, Qpuge)- to-

ralme !io Sw4«j(uiMile Va$»PP5eo M«\eg Valgapiachi^

jMçUJJi Ç^w. Jiaïçuise tl«'=3elipy, Wroe &urel, 'cojn-

~'ies§e <}p A7ilie&on; inanimé d'Di^iano, M, Mflugeuol,

-et AtHç-J^ninne 0e ^Uere, 'M ^iflEùef; fyo,

t– y^pdisôt-ciecnJer^tV^ et JAme^Sriet, M. et Mme

)p*8ïl»JBn«Jjet^nt^ônpé.vjjft sojre^Artis'Hque-ïa« pro-

« -çrjton|>$$&1il»«jt}9 Bou/den-çiM rï^bQis, Je n6)për?i'

vpjs&H ipit afp lwigir^w? fc .ferfierf i* T9$Pt> WLÙf1-*

9&ft3fl^I.3f^S^«4fi jeUe^Uû^g Sjgurd, ^lle Igus^ 1

^W^X^JÇpfe^JS5ç?lse^3 ia«erpr>té *v«e"^eaù^

L n

thousiasmée, se précipitait au-devant du spuve- r

et de Jacques Norman^ M. Milope, un jeune ténor

italien, a<ty avec, une grande distinction ï'^îr dej'gtylasse,

̃> enfin fft. et A/ima*D|pu£jont*|o'ûé ayee pti{rainJ^jrevue de MM" Monïs et~3. Bndejopt-Offenbacit f La Femme. et

les ToUns. r

k JVI, et Mme Gastoqi Brunet avaient resgrye cette soire^

à lejirs amis du barreau Parmi les invites :? fl

M, et Mine du Buit, mV el^me Bourdillon, M.^aoul Roussel, M François Poncet.'tW et Mme Sureau,' M fl; Mtjw Fleur, M Sautoraûa.iW et Mlle Henn'Jiobort, M André halliei^, M TeriC, M et«Mm'e Mehncs&piv

\i MichL<l Pallelipr, M Flamand, M. et Itfmfe Gort&rd,'

'i ki e~ h?me L$:Bânaeer M:st >~e Berr3er :d''Aiqpjlel;l

M « Mme Le Bunizer, M et Aime Bonjei, $A, Manuel,

Fouicade, M el Mme Banets M et Mme du Bousquet, j

M et Mme Gldnduz, M Meàu.vSamt-Maic, M.' de Cham-'

béret, ete clc

Avani-hier, dîner chez M. -çt.Mme Jean de-îîeszke,

en l'honneur de S A I Je Granfl-Ducjisurde j^ussie et 4e la comtesse de Hphenfelsen. T^-es belle et intéressante au plus bgut degré ia ma-

rnée artistique donnée dimanche derijier par Mme

· ~lnt;e -art(stpctue `tipunee dlpiapche derg~er ~âr Mme

Triantaphyjjidègj -femme de M. Triantaphylhdes, avocat a

la^sbmvfl!appetr'ibouleyard MalesiheVbes. C'a1 été un vrai Ill' régal musical et dramatique pour les nombreux invités, qui n'ont pas marchandé Jeuis applaudissements aux interprètes, amateursjou artistes de tout premier ordre, les uns valant les autres Mlle Blanche d'Hendicourt, le comte de Germiny, le baron Henri de Bermingham et le virtuose violoniste ihellene M Ançmoyanni, premier prix

du Conservatoire. Les irpis premiers ont interprété, a la

pejfection Le Cçptt] et Une Nuit d'octobre M Anemoyanni, cet artiste si doux et si pathétique, a ému et

pharmé l'assistance, ainsi que Mlle d'Hendicourt, qui

îoint a son art de comédienne eménte une voix charmante et qui a chanté plusieurs morceaux, dont un avec accom- pagnemept âe violon et de piano Mme Triantaphylhdes, aidée de sa belle-soeur Mlle Triantaphylhdes, faisait les honneurs de sa maison avec une amabilité exquise. Reconnu M Mhps Romanos,,mimsfar6 de Giloc M Caçlamaflosj ^premier secrétaire fle r-.Ja légation princesse de Brànçovan', marquis: élr marquise d'priiapo, in^quise et Mlle de IVillëhèrmose", iiaj-onne <ïè 'Picrlot;' baron de Meùdel, MipeJ; Alexandre Dumas, comte d'Aigny» M. el: ^imà;de MQTOÙrgci,%JSIme ValEamacliî, Mme Sgouta,. yi.,«?m|(esse :fle '.toiU'SoPv Mme. GrimaîiélliVM,. et liïme .Michel ÇaramE^ps,- Mme Clado; M. el Mme Gaston Descharpps, M! ët-^më Pieri^Boys; M. et-Mme Eames VailJcart; >lme Politis, Mrtiè G.eovsiades, M. G. Fougères;, M: ̃ Fuïtn;«pnsul!d'Ati!riclie.; Q$onerEou, M. «t Mme -Alfred -Pick, M. Etnilc: Cotelte; M. Paul Ducaç, docteur Tambacopulo, M. Ghryssaphldès; M. Aubépin, M. Bardtia,M, ,Ado£5Jdès, tjpcteùt Portocali;- M- Çamppnaclii, e.tC.Ç.tC/ ;̃; ̃ ̃. .e.. ̃̃" 'Union; dçs- Femmes ide <Fi$noe (Groix-JRougé frari-

C~#üVS~' `:b~ .A:,ÇifÂrxtl~'E~

,~jdiân' des Fëmmes de ~Fr~tioe (Croix.-ROUgé fcari-

çaîse)^ La conférence dii mercredi ^février aura lieu :àu$iègè social, \29;: Chausséeid'Antiri, à quatre heures. Elle misera faite parié docteur Anthe1mé;Schwartz, agrégé, chirurgien Ses hôpitaux, surf: « Les plaies du poumon ». –'L'a dernière jsoirée"dé:'bîe.'nîajsançe donnée par la ((. pomë.dié;i>r4rî{ab:jè)pà;là saHe'Maialcoff ..a pté.yri gros Succès: 'rLss' scènes de^/i^.ia-'après,. Michel Provins, ôrlt été très applaudies, ̃ ainsi, que ïa jolie Noie Fleuriste, ] dêla'com^sse'dë Baillenai:Tie, et L'Invité, de XahrôL Par^thi les acteurs ihonjlfîns qui ont tenu des rfiles. importante, citons; iMmes.'ArifJ r.& -Bienàymé, Baequin, comtesse de Baiilehafche, ^Rpùllaud.À,. Payer,; Vignat, Mlles Cauche Lacoste et Friedberg- MM»- André 'Biihsymf, du Bps '^àînt-Ijeû; Blachèré, Bourdon, comte dé' Naii.rpis, Rotilland} "Tùjpiii et Turquet. Les fcel- ̃ les; voix de Mmes E. Deniau et t)ayri}lé des Es§ar.ts s'étaient fait entendre, ainsi 'que le chansonnier' Deniau. Reconnu dans la salle: ,Amirale Bienaymé; -Mme de .Payer, comte et comlcsse de NaurbiSj comte;, et ^omlesBe de Baillehaçhe, Mr et.Mçs Hart-^crg, M. Gaston Lemaire;; Mme et Mlle Saglio, Mme .et MlîéfLaÇtiiJ, baron et "baroppe de PlanK0r-Kîfps, MM. Moîsànt.^bûjiuy-Mozuel, <l)aronne de Gjrahdmàison, vicomtp de iPflllières, Mme et iMlle 'de L'acpslc, M. Blã Cfièrei etc. ̃/ '̃' •'̃̃ ;i: ̃̃̃'̃̃̃ ''̃'̃'̃ Le 'comité ide Jà:. Çroix-Rouge a 'donné, mercredi lS février, à Laval, dans l'intérêt de son œuvre, une granaej.Epir.ee musicale et -ïïttpraîre qui ne sera pas, croypris-ripus, de si 'tôt oubliée .dans la Mayenne. La saHe/dèsiêtës de i'hôtel de'iviilé, trop petite pour cbntenii''uri auditoire despius sélecte, a dû, toutes portes, ouverteis, s'augmenter des salles: voisines. `

La partie musicalç, organisée par' le marquis de Heere, a tenu ce qu'elle promettait avec des artistes comme: Mlle Xucie .Caflaret, Mme Lacoste et Mme .Rob'ët-Aùbert, hors de ipàir, dans ùri ̃ prbgraniîne de premier ordre. Le ^succès a été considérable. 1| était aussi méxité que préyii.; ̃

La pariiè "littéraire, organisée par Mme Pichon, 'débutait 'car im. lever de rideau: Par- un jour de pluie,, de Lôiûs 'Fprest, enlevé avec un trio remarquable par un .groupe- jeunes femmes et de jeunes gens de Société, dont l'entrain, stimulé par dès applaudissements continus, n 'a cessé qu 'avec la pièces et terminait la soirée par le Flibustier, de M. Richepin. Montée avec, un soin rnjnutieuxvfia'r -un metteur en scène qui, ;peut, rivaliser avecMes meilleurs professionnels* dans un décor. tout neuf, aux accessoires dé, l'époque, jouée par des' ama'teurs en costumes irréprochables de fraîcheur et d> vérité, figuration comprise, la 'belle comédie, aux "puisjsants ̃ alexàridririsu.qtii chantent 'iarmerHl 'tine ̃̃ voix ^i Jma^ gistsrale, a. fait le ^lus;^rand effet.' Les" brivps-'oM-'Êou;: Jîgnë ies^lus.'b'ëaox-'pàsstfgesî étyles -larmes qui voilaient ̃ tous lés yeux prouvaient assez qu'une émotion "sincère faisait .battre .tous les •cœurs- à-funisson de. ceux des artistes qui se donnaient corps et âme dans les scènes les plus' calmes- comme dans celles où la passipn les faisait vibrer tout, entiers. Il faudrait détailler ja pièce pour déxérner à; chacun l'éloge qu'il mérite; Disons simplement que tous ont été parfaits, aussi bien Marie-Anne (Mme Pichon) et Janick (Mme de Vaubemier), que Legoez (commandant Pichon),- Jacquemin (M. Dulong dé Ros> nay) et Pierre INI. Ràmard).

̃ Le résultat surprenant d'un pareil effort artistique 'doit encourager de nouvelles tentatives.

CONCERTS ET CONFERENCES

A Spciëté artistique des amateurs..

Le marquis de Mpntferrier fera, samedi proefiain, pouf les sociétaires, dans la ealle de la Comédie Royale, une conférence sur « la, Danse ». La conférence sera accompagnée de projectipns photographiques et suivie de danses exécutées par Mlles .ChaslesTet Meunier, de l'Opéra,. et M. jPierre Margueritte,

Mme Madeleine Lemaîre adonné, ces jours derniers, un five- o-'clock musicar *t littéraire en l'honneur des « Unes internationales ». On y entendit: la baronne Pierre de Bourgoing, Mme de Velder, Mlle Alvi et Mlle S. Nova, MM> Simondet, et Desplànques;

Reconnu dans l'assistance;: .Baron de Çpntenson, baronne P. de Bourgoing, baronne de Plaûkçr-IÇlàps, Mmes Louise Abéma, Roger Miclos, R. Daugennes, V. de Saint-Pomt, Parmentier de Courçelles, Stçllà-Qeudekct, Helking, G, Granger, de Sirgùe, JeqnniPè; 4^ Villefs, etc.

̃̃ petit carnet -r- La comtesse Marcel de Jouff roy d 'Abbanâ vient de mettre heureusement au monde/ à Alger^ une" fille, qui a reçu ,1e nom de-Françoise. v •̃̃ :̃̃ ̃̃̃̃ :'1. 'Mme Gàèton :de Quérézieùx a .heur.eus'emerjt"mîs au ̃ mpjide ùa iUsqui^à reçu'le prénomme Henri, -t- 'Hieri à l'Opéra, twUe cjiatnbrée pour les 'Maîtres, Chanteurs. ^,R.ecpnnuî. ̃.> ..k 5(, ̃• ̃ ,-̃̃. ̃̃ Duc ;et- .duchesse do Graraont, comte et "comtesse "Gyli ̃dcnstolpçi lej.muiistre.de -Orèce, duchesse de LaMotheHoiiaaticourti, pi-jnce- et. princesse de Fû'ucigny-Lucinge, prince et princesse pogâlien fie Paueigny^Lucinge, in»r.ijuis et. marqùisç '4e pérùlle, Prin'çe'sse .Lucien Murât,

prince et' pnncessb de; Tpnnay-Çlitirerïte,r niaçguis et

ntarquise deP Praeomtal, côiniè~ comtéssé `J.~d'ftïn:

•marquise de Pmcomlal, comte" «t- comtesse 'J.' d'Ara-

mon.ismar.QUîSi'JVît marquise d'Argenson, marquise de

Muti, comte el '.comtesse J£. de FrancquevUIe, -comte et

'comtesse 'çlé"LùBêrsacV":bafon: 'éi' baronne Hotlirïgùèr, M. et Mme Fourni er-Sarlove?e, Mme Pongès, comte ci comtesse 3. de Segonzac, comtesse Louis de Gonfaut, comté et comtesse. Henri de"'Castëllane, "comte et .comtesse de BôijuUe, comte et comtesse A. Pastré; M. et Mine -Max RlOr.v-liérand, baron et içronne ucfebvre, Mlles de: Béthmanni"" dè'Montèlîeilo, Mme Achille Fould, Mme Louis Singer, Miss Roact,1 Mv-ct-Mme Péiit-Délctiet, marquis de Casa-Riéraj comte de Reilhac, marquis de MausËapiMS,! comtes -de ,'Gabriac, ̃ MM, Saïnt-Hilaîre, vicomte. do iMpntreun, comte Mk d'Alsace, MM, d,e Sairit-Andrç,: yiàbêrt, bâjrôn 4e Çantûlause, MM âe La Torre, N'ico- lppoulo, etc

De Palerme.

Le supprbe yacht Pon$ est arrivé dans noJre port, ve- nant d'Egypte Son propriétaire, M. Joël, accompagné de M Salomon et de plusieurs invités, ont déjeuné et dîne au restaurant <Je la villa Jgiea. Un temps merveilleux: favorise, les îêtes du carnaval, ,et les ferventç du sport en profitent également pour se livrer matin et çoir aux joies du golf et du tennis Xes thés dansan^ et le skaung-nnk du Cercle des étrangers sont plus animes et plus suivis que jamais, et les bîljets s1enlèvent pour la /ete de charité de dimanche organisée sous Je haut patronage de Donna Franca Flono Un $&l d'enfants aura lieu le 28 février, avec de nom-

breuses surprises.

v MARIAGES

Mlle îRterrefte Carr ierr-Belleuse, fille du maître pas- tejhste -et de-Mme Pierre Camer-Belleuse, est fianeee a M. Georgeç >Bourgier, fjlsvdu sympathique directeur de larCoffipagme4!ass.urances La Grêle. Le marfago jie Mlle Marguerite Trubert av ec le comte de Gpmeillan sera célèbre 9 Saint-Augustin sa-

medi Drocnain, 25 lévrier.

IŒGBOWQIS -^Qn nous -annonce la mort-de la générale de Bovet, née Audëbert, deeedee hier après une lODgue et douloureus&

maladie, 1

Elte^étatj la mère^e .notre confrère Marie-Anne de Bovet, raajpguîse Guy de Bols-fjebert Esprit des plus distingues, Mme de Bovet avait elle- même écrit quelques livres charmants · Salon la votante #e ja défunte, les obsèques auront lieu

•gang la plus stricte intimité.

ir~>~ Nous apprenons la mort du xomte Xavier de Cha- ^̃agnac, cJievalî-Qr de la Légion tilhonneur, conseiller ré- ` iénenda.u-fi a labour des comptes, -»vice-president duOex- ̃ncie'^grîcole, decé^dans sa sojjtante-cinquieme année, en ^pn.tiQtel, ^8, JtHg^Je Varenne, Marie a JWHe Le Roy de, Vala,nglart, il laisse ^toxs enfants, le comte Gilhçrt Qe^

^liavagtiaç, la Vicon^esse^de Monchy «i ïa vicomtesse*

"Yj;es du HalgQuet. La 4ate des ofeseoues sera ultérieure- 1

3 ·

MONDANITÉS

-pert "VaileriaRodol,^ ^lorge, &e6a\rin, Gti Xacobte,

4bbé.deî^ll^l^un'̃Q^>i^5"Mù^<î. T'mUwfi-Ej'xnrjcJi, >{tne

ment -fic.ee. 1 r^

Mme H Maurice, grand 'mère de Mme Bobert dev

Lesfapi§, est decedeg enjon hôtel, a Valencieines, oans

sa guatre-vin§t-unièm'e *nnee

Les pbsèques aûrpnl,iieu f. yalençiennes aujourd1hui,

a dix heures et aemie^a l'eghse Saint-'A'iichel L'âbpoutp

sera donnée a Aùbry.'ipjopnetê de la défunte, le ûorps

sera dëppse dans le^Veau ip 4|à|mill$.î^ ^^s i

Mme Maurice etatfla fille dè^p|rlierl^fcien mite

? 4è*Valeaçlennes; veu.ye de MfJJ^Mauriél^cIeii f8S&&

i«e Tnth,-Saînt-Léger, décédé^l&vierilMp %f;

| > t Sa grande intelligence, la djM)nction"£J;ï .fclçvati^ral^

r^on caractère, sottjinêçujgaWeyb'arfJe iujJS'aient -fÊÊpèJ

? -i(ne Placs ^prépondérante à Vajenëlemiesrtâ i&a moûraigP t

S *|p dèuines?am'HèViSs plus m^les. tyW'

.'̃> Nous apprenons«{à montàg'^ All}gttli§ PltnvaJiafTjs

._du baron de Phnyal'leî de Is^paionû^wéè^ §ineçyj^&:

cécje, a J'age de vingt-irots anfe^Bârâ^e^ ou îîM&n-ji

plissait son service riïihtaïre. '•

Un service a ete cel&bre hier, a dix heurep, en la I basilique Samte-Clotiloe, pour le reppô jfe^^meïau Vi- comte Fernand de Bcnneval, ancien député, membre 0u cornue directeur, de Ja Croix-Rouge,-»president%deyâ So- ciété de la chapelle de la rue Jean-Gpujcn, élevée a la mémoire aes victimes de la catastrophe du Bazar de' la Chanté, au nombre desquelles se trouvait la vicomïesse Fernand de Bonneval Le deuil était conduit par le vicomte Bernard de Pon- neval, fils du défunte °

Vans l'assistance marquise de Bonne* al, comtesse de Donnerai, Lai on 4c Mackiui, gtnéi*i! comte de Gcl- mmy pnnee de Faucignj Lucmge duc d Aibulera, mar- quis de \adaillac, gcneial \jctfmte de Keidiel' piince de Laimi, contre-amirul comte do MonlCenana, marquji et maiqui.se de nuère, comte el «omle^e de I alegle, uuchttîûC de Reggio, géneial ba^on àt Vaulgrenant, pnncL Pieue d'Aicnbeig, comte de CliewHj marquis Costa de Beaurogurd, conilosse de Montsàu)inn, gCneial de JXpmcc, maiquiie de Juignc, douanière; cointtsse de Miramon-Karguci, douairière \icomlo de Flouun, gential Oaston de Lesf/pis, çomtcfase Maroife, inat-quis et marquise d'rgeiispu, comte Daru, comte 'et Cointcsse Boulay.dè la Méurthe, vicpmté de-fiourqùeuey, anoïquis et mûi-quise. de l^iijssey vicomte ,et] 'vicomtesse Albert Cùr«l, baron de -L'JSscalqDier, CQniiede.'Laugier-Vi!lars, baron" "cl baronne de TorjÈcplbmbe, M^ et Mnie Henry Coelun, MM.^ûlcé Auffray, E. 'Rqïana-/3o6selin, Vietor.de Valence, baronne de Granbey, comte et i.çomiesso. d'Espeuilles-Viceuce, marquise .de ̃ Ghabannes, comte Gramriiont; M. ci Mme AftiÊàôB/DùIatu'e^pmte •de Dpug'las, M. et Mme E. Bqcheiv marquise 'de Bois̃ gelin, conile et comtesse d.e VirJeui général de La.Bi'.û- hetJùrc, baron et baronne de Courçcl, vjcointe et i'icomtesse de S&in't-L-éori^M. «t-Mjne Diireau; olc.

L'absoute a été .donnée par l'âbbé Clëmerit, secrétaire de l'archevêché. ̃: :̃'̃:̃̃̃̃̃ ':̃̃-̃ ••1' L'inhumation- avait eu lieu à Issoûduh. ` Les obsèques de 'là- comtesse Bernàra'dë Montes- qpiourFezerisâc, née de Beaune, ont été-célébréésilier, ^1 dix heures, ̃ en .;l 'église Saint-Honoré d'.Eylïu: .i Le deuil était conduit par ;Ie- comte Lionel de'Mori- tesquiou-Fezensac, le comte Gaston de Montesquiou-Fezensapi ses fils, et les autres pa.rents. 1/ Dcins l'assislanpe'i.àùc et duchesse de Fczeiisac, marquise: de Moniesquibu-Fezensaç, pomle Henri- de :Mpntesguiou-Fezensae, duc de La' Rochefoucauld;' yiiEpnitB et vicomtesse- Paul dé.-Gliabû't; prïncQ^ et-! prinoeSse^dé FaucignyrLucinge, cpmlc Hûberl de Lu' :RDÇhefoucaùld, duc de Gûiche, princesse de-Lsr Tour d'Auvergne, marquiiso.de SamtrPaui; yieomte Jacques, Aymor ûe.La Chevalerie, prince La Tour d'Auyerg^e, baronet ba.roane do- Fpns'çolombo, marquis et marquise. ï.de J3rpcrjirinçe^lç l^cjj/Colon.Tia, marquis eLjiiaj-quîsé'au'Oiipzpt; r:diïç.rél duchesse rTAlbuféra, comté Jean-:deMontçb6ilo, duc^irt duçliesse fle Trévise, prince H; *fle-Broglie,général--vlcomTe de Kerdrël, comte «t comtesse Greffulhe, .MM. P6an de ^Saintr&ines; de Boislisie, Emile Pascal,, Piuil Mertian, Mme Lcghaitc marquis et marquiseSaintMaùnice Mohtcalm, comte Lonjuinais, M. et Mme -Paul ̃Mus^rus. vicomte et vicomtesse de La. Tour. du Pin, duc et dijehesso de La Bophe-Guyon, prince". 'AlêxdtHÏrà.aè Çammari-Chinmy, marquis ci marquise ''de MpriWyTiard, prince et princesse Carini Villarede, marquis'' bt rhaTquise d'Eyraguesi. prince. Gérard de Faiicigny-Lùcinge; comte et comtesse de Curforl, prince et princesse; .Capece-Zurlo, abbé d-e. Mïrampn-Fargues,. prince e't -priri» cesse R. de Lucinge, 'M. et: Mme Baudôh de' Mony, barpn et baronne de Baye, comté J;;de Monlebello, cpiritesse Pozzo dj Borgo,;g6iiéral de Fioineé,biii%on et baronne J. de Coral, elc. ̃ ̃. La messe a été dite par l'abbé Cauvigny, curé 'de Ballancourt (Seine-jet-iQ.ise), .et l'absoiij*. à été;dpnnée. par l'abbé Soulange-Bodin, curé de Saint-Hqnprê.d'Eyla.u. L'inhumation aur^. lieu au çimetièr^du' Eère-Laddaise. Ncus apprenons la mort de M.- Emile de Backer, maire de" Noprdpeehe (Nord),. décédé, '6, rue de Longchamp. Les obsèques seront célébrées vendredi prochain, à dix heures, en I'églisede Nqordpeene, oû.le corps.'và être transporté; de la générale k;Segretain;? née" Depaeuw, veuve du général de division Alexandre' Segrètain, déeédée, 14, bpùlevard:des Invalides,- à l'âge de soixantequatre, ans. Les obsèques auront: lieu aujourd'hui Mardi, en l'église Saint-Hilairej à Niort, leicorps sera inhymé de l'explorateur Louis-AÎphonse. P)n',ar.dj décédé àVBpu- lcgne-èur-Seine, à l'âge, de cinquantèThuît'ans. Les obî sèques ont été célébrées à Marquise (PaB-^ie^Calais)i ̃ .̃- Valfleurii

̃ ̃. ̃ ̃. -̃♦».. r^ »

r v,

A Gennevilliere, un curieux est tué accidentel* lement par un « jaune » que me- naçaient des « rouges »

BAGARRE TROIS AGENTS BLESSÉS Le sang a coulé, hier riiatin/ à'-GennevillierSj où les ouvriers de l'usipe d'automobiles CheT nàrd et Walker sojit efi grève depuis trpjs .§& mairies attaqué parles grévistes, un je,Uhé ouvrier c[e dix-neuf ans, Lépn-Paul;Moriier,r;qfuï continuait travailler, a, pour se défendre, 'tiré deux coups de revolver un «urieux, Je charare+ tier Benoist, a été mortellement attèirit^t cpitiipe' des agents intervenaient, attirés paï les détona-? tions, trois d'entre eux ont^éfé. blessés par le£ grévistes?quï téntaïëùt '̃'dé.lynÉhierH.e meurtrier^ Ce drame de la grève a produit la plus vive et la plus douloureuse émotion dans Jà, région de Gennevilliers fortement agi^ée.cesieraps der-j niers. Les grévistes avaient, eh effet; r^piu'âe; pratiquer avec acharnement la chaS|Se. aux .'rë-l nards et dès dimanche soir, au çours.d'ii'ne ié.u- nion tenue aux Grésillons, il avait, é^é convenu que: le lendemain matin, c'est-à-dire liier,' les « jaunes » de l'usine Gh'énàfd et Wàlker;seraiëht vigoureusement pourchassés.

M. Gayral, cbmmissaira de^olice-d'Asnières, a_yait été ayisé 4es projets des;gréyistes..Lé magistrat ïnçbiljsa ses :£jnquaptè 'alenis^qu'il^ai-* visa^en Hroip groupes! 'Ainsi,- >à>'sépt^ heures du matin, l'usine, et les rues adjacentes étaient étroitement surveillées. Les agents^ayaient $gfr\ lement pour mission dé. "protéger ies™hpn gré* vistes et de les. escorter jusqu'aux'1 ateliersT' Les dispositions' prisés parM. ïîayr'al^roublèrent'les ^grévistes; ;ils 'se fendirent compte im-: médiatein.ent de l'inutilité-, de; leurs ientatiyes ils.employèren{;une autre tactique. qui consistait t, à franchir indiviçluellêmènt les parrages de façon à gagner la rue' de- Paris. Ils y réussiT'eritJ. A l'angle de la rUe de Paris et^dëîa'rue dûBac,4 les, grévistes:' ainBi réunis se 'trouvèrent; tout à coup en;préseace de quelques jaunes ». quige; dirigeaient Vers l'usine 'Çhenàrd et'Walker> TJne.collislbnse procluisit. Elle fut'pronipte'et tragiqùeV -Le:: jeune Léon-Pàul! Monier,. un Tibn gréviste, fortement ^malmené, la ^figure -.011880-; glanfée, s'.ajma' d'un; revolver, et, «au -hasard, -tira; à -deux reprises dans ladi'iièetion âes.assainaùfc/' Aucun ceUx-cî ne fut' touché, màis^iès; deux balles avaient attèiiit un1 curieuxjHie charretier Benoist,' qui s'affaissa, tué'. ̃̃̃̃>: .:̃ "̃̃ Les grévistes fous de colère s'élancèrent sur Momer et s'apprêtaient à le lyncher lorsque les agents accouiurent ppur le dégager. Une nouvelle bagaire plus terrible encore que la pre mière éclata et trois agents furent grièvement blessés. ') L'e calme se rétablit enfin. Tandis que le corps du malheureux.charr«tier était iiansporlé dans une maison voisine, les agents blesses étaient conduits dans une pharmacie de la place Vol- taire. Et, sous bonne escorte, le jeune Momer était amené au commissariat de police. La, il fît le récit suivant Je travaille depuis deux ans dans la mai-

son Chënâid etV'Jal~ér' riion beau-frère ~s

son Chenard et Walker, mon beau-frere est t

également employé Lor-sque les « autres » ont- fait grève, je n'ai pas voulu les suivre et depuis quinze jours j'ai été souvent menace et înjuné"" On nous avait dit qu'on allait nous fane notre affaire et je n étais pas rassuré. » En quittant ma chambre, ne matin, j'ai mis dans ma poche un revolver -que m'avait donné, mon beau-frere C'était pour me défendre <ians.- le cas j'aurais ete attaque En arrivant a' proximité Se l'usine a-\ec des camarades, nous, a\ons été arrêtes près -de l'avenue de PaVis par| les giévistes. « He lâ-bas l nous ont-Us ci%ie,at « on ne travaille pas aujourd'hui, faites demi-, § » tour Plus vite que ça > f- » Sans les écouter, nous a\pus continué^ d avancer. Alors ils se sont précipités sur nousj çt nous ont frappés-acoupsde poing ïls étaient J plus nombreux que nous et pour leur ^échapper noue avons fait demi-tour4^L'un d'euK s'achar- nait sur mo;J3 mg « talonnait salement (stç)î

et'c~mn~e .ailaa jo.mber .âr-aû éûi~ bu"'el ,t

et comme j'allais iomber j'uîfiupeiir. Alois jex me suis rappelé que j'avais un revolver. Ca'm'a! fait commetm éclair. Je l'a) pris dans? ma pocheî

et j'aj tire dans-le^as [sic). s <

» Ah j'aur^s mieux fau\de ne pas faufi^par-1

tir le coup, n'esl-ee cas ? ftjafë je \,oijis jure que-

je. crojaispien qu'ils allaient avoir'xna peau us/

v l'avaient dit c}u reste « On l'aura le petit Mo-

l'avaient dit' du' reste. « ,0n q p.. t Mo-

•! mer, » iUçr&3nnisg'etais prévenu qu'ils m'en

voulaient p^jug^j^îuSMutr^? encore parce que

|pon bçau^^re esfl^ranême le beau-frere du

contremaître l'ugifilïf. »

i j^La p}usfg#nde ^ï^ion n'a cessé de régner,

f^idant touie la ]GHjnj|é a, Asnièrep et <y(ï£ïmfe^

||fiier^ Jl a fallu demander d'urgence oëg'^en

T<M*s de gfindannes^t'p'agiîpts, '•* >;

̃s Xlu côte;4e^>ôssail3.ânts, upe seuje arregfcaîionj

£ ^^teopfejB,3^jE dpUiprnmé Armand PouvM^

*4mfc auraîybjesSé; ljfgeîli Tondu, Sa mise en 3

l|§gï'té proylgpire dMrpîdpe par U Fontaine,

mmre d'AshiIffiSjS^Çs ë|p accordée.

,J 4?|kT, Hastrg^gg&pUnslnictiQn, a été côinrmsv

''«par }e parquet ptmrvsuivre pette affaire. *"1>

A. V.

«IAISRE BIS DÉPUTÉS

i

~~r° t~~6u st~ -'ir~ r c'o

"*̃ Le Budget dB l'instruction publique

i ifv **• > :¡.?.

i JL% question' des manuels scolaires s'est, trou- ̃ vée remise sur le tapis lorsqu'est venu en discussion le chapitre 93 du budget, conceirçant l'enseignement primaire M. Mahieu a trouvé la, en effet, l'occasion de présenter et de développer un projet de résolution invitant le gouvernement a rappeler au personnel de l'enseignement primaire « quo le droit strict de l'ins- tituteur est de maintenir dans son école, l'emploi des îiyres condamnés par les évêques et, qu'en^ ^aisanti il1 agit cqnf orméinent à l'esprit républicain et; laïque ». ̃ ̃' 'Bien éhfençlu; le" 'nïinisti-e de l'instruction publique, qui aàpepte le projet de résolution,1 6'en- g%e ajfairéYriêspeefèr «le libre çiïïojx » dés'ins- titutèûrs, en dseKqïs;de ïbute" influence politisé «treij|;ieùs.è. -•̃•̃̃ .>• Sir vous' voulez .tenir cette promesse., lui dit- -alors M: Dior, voits ne pouvez accepter-, eh taeme temps,; motion i de Mi' jMah.ièir, qui, "loin r:d?ad.$ç.ttre, avec ;vQùs, le' libre choix des. irianuels :-Vp&r. les instituteiiré, eplend; au contraire,'leurT:impos§r rej^ploi. des ̃.manuels ;Con- damnés. CJéstià, cpn'tinue^ï; Dior, une dçd-' tripe qui ^'ndà empêcTier rapidement et à semer ,Ja dhfision;^ lés familles et l'ingtïtuteùr^, çlçht'lë/. devoir laïque consiste pas à être1: antireligieux'. Plutôt que .Se' "sacrifier; les pères dcfa^miUeà l'instituteur, il serait beaùcôu'p plus Apolitique leur' donner satisfac- tion. ̃̃'̃• ̃ .'̃̃, Cela nJempêche pas, d'ailleurs, le projet de résolution d'être adopté par 3&0 voix 'contré

̃ 180. '̃̃ •̃̃ ̃̃̃ '̃̃-̃ '̃:̃̃.̃̃̃•:̃̃

'̃•:̃ •̃̃ ̃ -̃̃̃ ̃̃̃'•#.̃: •̃̃ *5!E-n ̃-voici un ^autre; dont .le sort.sera moine 'heureux, niais qu'il serait doublement fâcheux de passer sous silence. d'abord en;. raison de l'idée juste qui a présidé à. sa rédaction; et, en -seeond-lieui-parce-quei grâce à lui, nous avons revu à la tribune;' pour' la première' fois depuis que les élections dernières Font ramené au' Palais-Bourbon, son auteur,' M. Aridrieux, dont la' savoureuse éloguence tant de fois applaudie au cours ?des législatures d'ahtan, n'a rien perdu de ;sa fine .et spirituelle; allure. ̃t ,11 --faut; '-pour s'en rendre compte, avoir en-' tendu M. Andrie'ux, à quiLùri quelconque çoeiaHistereprochaitd'ayoir été* préfet de policé, in- voquer prescription trehtehaire' et ajouter1: ̃ –YSans doute, j'ai été préfet de police, to$t le mon.de. le sait tandis qu'on. ne saii pas toujours, qui fait ou a fait partie de police, à 'tel point ,qu'il. me serait impossible de rien aîfïr- mer, a cetégard; en céqùi concerne mon iiono;rable interrupteur.- •.̃ ;;̃̃̃ Qn ;a ̃̃ ri d'autant plus i 'prt-: que « l'honorable interrupteur », sans s'apercevoir du «bateau «, a cru devdjr. protester,' de toutes les forces ses poumons. ̃ qu'il n'avait- janiais « participé à une: -œuvre de police ». ̃ ̃' Mais laissons de côté cet incident et revenons au projet de résolution de ^[;. A,ndrièux, .projet tendant «à-. ce; qu'iL ne/soit1 désoriïifl|s teiïu au*- putf compte des 'ïnterventions parlementaires ̃ "dans. leaquestions de .tiomintitions du :p.ers6nriëi :de renseïg-némént primaire »;' ̃ .̃̃ ̃'̃;

̃^Ges.^înterventidps: parlementaires ^tkns; les

d les.

ilptnipâiticffts -dû ttprps;eiîseignant ^apparaissent^ ^#Sfe^i^v:4na,rJéjJx;ieo^^e^ i fétorj-attenî^ i J¥^» 'ûeÊ^évIques^aaiïs'l^clibix: de? manuels: '-C'est -tqiijbflrs; Suir 'pSrlë'nientairési' en .effet,.que s'adressent les, instituteurs, au dé* but:de leur carrièrecomme p_ôuflps promotions." ultérieures, et les parlemeûtâirés, ehiépondaht aux ;sol)icitatiô'qs dont ils sont l'objet, prêtent ainsila main a'des- aptes de favoritisme injusi titié. --Mais' ce n'est, pas tout, et' il y a d'autres interventions ;plus:. condamnables encore ce sont, celles qui 'aboutissent à des.déplac'emeritâ d office qui sont ordonnés contre le gré dés fn- téressés. •̃̃ ̃ Le« délégué' administratif « n'est pas morti décidément. A en croire, en effet, M. Aridrieuxj il existe,, dans presque- toutes les' communes, un personnage important, qui parle volontiers1 des intérêts de laa-épublique, dont il s'est constitué le défenseur.- ^L'influence qu'il s'arroge pesé lourdement sur tous les fonctionnaires des com* mùnes, surfout sur l'instituteur. Il écrit, au dé-i puté et les prétextes ne manquent jamai6 pou r frappér'ii insltitutéùr qui lui a déplu, tes prétextés eliang"ent, mais l'injustice -reste la-même; -En matière ûe déplacements d'office; ies abus poun- êtremoins fréquents,^ n'en subsistent pas moins, et ils subsisteront tant qu'onlai.ss^rales i instituteurs 'aux' -mains- dè"s; préfets, et qu'on 1 n'abrogera pas Ialoi de, 1854, qui a rétiré.laux ;i chefs hlérarcniÇues. le droij; de nomination. '-• ;Les,inStitutéurSi:ii: est vmi, ôflipensé- qu'ils < deyaient ,agir:eux-:mëme.s .ils ont-pris,- dans i leurs ^amicales, .l!engagémentdthonnèur~dé ne; 1 ,• pas recourirraux interyëntioris ^parïementairçs. i "^Mais l'engagement ^a^pas ^té^ejiu par tous Tét i

j ce sont ceux quj ne Vontpaj tehu qui .en ont le t

̃ plust)rofité;;paitîe quïïlecliaigip .desJreçpiriitiânRations slest; trpiivé .circonscrit, m' ̃̃ '>̃

^^Là^ésplutiôh^nse'n'â^pasipreduit les résul-

..tatSfjattendus, et c'est: pourquoi i; M.- Andr-ieux « :denjiande àla Chambre de la-f ortiïiér par une j < rrésélûtion corrélative. ̃̃̃ r-i: ';̃">?̃̃̃> *:̃̃̃̃̃ --• i .< .? -̃11 sfautj çqncîut-il,latesei^à''réxë(iûtiî 3a; libertéfdë ses cHoix puisque Lsëiil il ieji ai la res-

p,ou~suilïté; ,*a r t

Tout Bji rg trouvant à. faire .èJa^niotioaideM.! -Andneùx qtfuh eeul -reproche,, celui d'être .incomplète, r ça.r,il..seriait.désji^Lble-gu!au iieu-

•de'së'limitër au^ersonnerau^euVènséignëment

dë-se'~milerau'pErsonneI'du~eul'ehsëignëment'

primaire ëjle.s'étendîtèî tôufeMfë'aamin.istra-; tion, letoinistre, de l'iristiiction publique n'à; pas osé en.demapdpr l'adbptiph et q'éstjayèçVsdn; -assentiment.quë.iur la dernànde dû, rapporteur' elle a; été renvoyée par 291 vèix contre 237 fr la commission 4.e l'enseignement. Jusqu'à présent,

ce sont les radicaux qui triomphent, et le cabi-

net avec eux. Mais voici qu'entrent en scène les

socialistes, représentés par M. E]len Prévôt, et,

du coup; la physionomie du, débat va se modi-

fier considérablement.

Il s'agît encore d'une motion, dont voipi les

termes": Y.?;

La Chambre invite le gouvernement à déposer un

projet tendant à ce que les instituteurs et institu-

trices soient nommes desoimais pai ies inspecteurs

d Académie, après décision pnçe par le conseil des

înstil'uleuis-'puniaires du depai teraent 'assiste èes -délègues élus des instituteurs et institutrices j

préfet, dit M. "EU en Prévôt à l'appui de

^sa motion, n'est pas un fonctionnaire pé^agogi-1 1 cfïte et il importe, d'en toir avec up *onf ht dont' 'tout le monde se plaint.. J

Cependant, en raison des "problèmes soulevés

paç ce^te motion, M. Stefeg en. demande le renvoi ¡

à la commission de renseignement ainsi qu'il) i

%aent d'ê.tre fwt.pour la motjon Andneux et! M. Maurice-Faure appuie la proposifioB de M.'

-Steeg,' 'parce s qu'Ai s'agit expliquât-il/ d'une

que.stiqn'"gouverremehtale des plus graves.

Mais, 'dè'tous pqtes, le texle^de M. £lle.n ,Pré-

yôt ajalUé^tres proprement; de nonfbreufies i

sympathies <. 'L-

Je v,oi-erai cette' motion, déclare M. Miïïe-

"voye, p'our soustraiie les instituteurs a la politi-

que .j-'

Je votÊrai aussi, opine M. jauger, parce

^qu'elle *epond au vœu répété des instituteurs.

o iEtîionségalemerit, appuiqntMM, Bougent f

Paul Bdauregard, non que nous n'ayons des1 asserves a faire sur les moyens que propose M.' Ellen Prévôt,- mais parce que -nous sommes*

d'accord sur le'"but à atteindre, et qui estd'enle-

*jver aux préfets ia nomination des instituteurs.

'QuantiàM'. lîuÎBSon, il lui .semble difficile,, i

^noore^que ies projeta de résolution ne1u\ \ns-i

piieiH qu'une médiocre confiance,; de ne pÉ^s

a.coue}J,lïiï favmablement celui quj yisç à assurer

la nominatio^op?iïî^t|tule.urs dans dés coïïâf-

tioris de pàrîaitê^dSpendprice.

C'est à ce moment qiie M. Klotz, en l'ab-

jsSence du présiden||du consejl est intervenu '@ans le débat pbur- abjurer la Chajnbre de ne

'lias che.rcheF aséqgdger le gouvernement, quj

yjfen a pas délibéré^ sur une question aussi ̃

r^Teine perdue XCé renvoi à la cominission, ré-

̃clamé^iaRtle mïjïlstie des finances, a été r.e- -^poussé^jar 32i.yo;X contre ^47, et la motion plle-mêmè adoptée^au fond, par 368 voix con-

tre 91.^ C- %-u

Comme 1\T*Buîêson, ie pe crois pas beaucoup h l'efficacité des projets dg resolution.; m^

1 adoption de celui de M. Ellen Prévôt aura eu*

toutefois, ce double xésultat de meitre le mi-* ni&tre en échec -et d'obliger Al. Kîotz, s'il veut

être logique, d demander également, lorsque

viendra en discussion la loi de finances, 3e îen-

01 à la commission de l'enseignement de Î& motion Dçssoye, sur la « défense » de l'école laï- 1

que.

1 qepraea Fm;ffi«B -1

AUGMENTATION DU REVENU La Compagnie a Le Phénix » (entreprise privée assujettie au contrôle de l'Etat) est tr^r quemment désignée par les tribunaux et cours d'appel pour la constitution de rentes viagères. t La Compagnie « Le Phénix j> paye chaque an- née plus de 15 millions a plus de dix-neuf mille rentiers. Renseignements gratuits et cqrjf ideri- tiels au siège social, 33, rue Lafayette,' Pafig, ̃' et «hèz les agents généraux.- ̃'̃ ̃ '̃'̃ Coulisses politiques

La construction de deux cuirassés `

̃ LE DÉBAT. D'AUJOURD'HUI ° La Chambre; intermmpânt l'exaiiiten 'du tudg«t, doit^ discuter aujourd'hui dons sa séance de l'aprèâniidi le projet concernant la. mise en çonstructiob .parrihdusMe privée de deux nouveaux çjiirassél. ̃ Dan§ cegranci ûébat qùi'Va s'engager et qui occupera vraisemblablement plus d'une se arjee, de nombreux orateurs interviendront ^notamment, au nom du groupe. -unifié, M- Sembat,' qui traitera la question du pacifisme M. Jaurès, qui .deihàndéhit-deE garanties sur le .contrôle des dépenses, et M. Gouâe, qui parlera (les arsenaux.. :;̃̃• On -prévoit encore l'intervention de M. Chaumetj rapporteur du;budgét de la marine, député de la Gironde de M. Tliomson, ancien ministre de marine de M. Nail; député: de Lorient, etc.; e\c'. Il est certain, d'autre -part, que M: Delca'ssé, an- çien nnnisti-e des affaires étrangères, "̃présitleht' de la commission parlementaire.de la marine, prendra part à os débat:; M: Boue de "Lapeyrèrei ministre- de la marifley prendra la parole au nom' du gpuvernei- menU ̃ ̃ '"< ̃̃'̃ ̃̃̃ ̃̃ j II est possible qu'en fin de séance', Ja Chambre, abordant un autre sujet, soit amenée à se prononcer sur le projet de- Résolution dépose par M. Engçrand tendant à la nomination" d'une commission 'parle mentaire d'enquête sur les -accidents de ^hemms' dp fer. qui se sont fréquemment produits en ces derniers temps sur le réseau de l'Etat. Mais, étant donnée i'aiiîj^eùr que doit prendre le débat sur le programme na-yal, oh croît que M.. Engerand acceptera rajoùrnemënt à une date ultérieure', très rapprochûe, Ja discussion de 'sa/.inotioii. ̃"

̃ L'Ouest-Etat :M::P.uecli, ministre' des travaux publics, s>6t pré- senté -hier d&vant la commission paHèmentûire deè travaux publics, accompagné. -de' M; Clavcillc,^ nouveau directeur des chemins de fer. de lîEtat,. et de' M. Pontanéille^ directeur des chemins de fer.- Le ministre. a. tout d'abord donné quelques. explications sur les mesures qui ont 6té prjses. au conseil des niinistres de samedi r^latiyëinënt a la t^organisalidn des services du réseau de l'Etat et à indiquô PQur.quds motifs il ..a cru devoir se séparer dem.

Beaiigey. ̃;

M. Pueph a, ensuite parlé des nombreux accidents gui ;se sont produits depuis "plusieurs mois, sur ;rése.auet «fait connaître les différântesraisflns auxquelles ils ont pu être attribués j'il a riotainineht dit ̃quelques mots des « "̃̃Pacific et annonce qu'il avait envoyé à bord -dé ces locomotives Mn mgéméur chargé: drexaminer la visibilité des signaux "du haut de^GeSsnïachiriès; ̃̃̃̃̃.̃

M. J»ueeh a, en terminant, présenté m termes «haleur eux M. ÇlayeilLe: à la commission, ̃ La .cô.minissièn i .continuer'a.niëjcçredi 4?exàtneri^du projet, de. loi relatif' à; la réorganisation àtlriilniBira' ;i4vç;du,téseâu. .̃,• ;,̃ Les échéances du Mardi-Gras

̃Ees^dôputés:ûnïfi.ès avaient déposé une' prÔpôsï» iion .ayant pour .«jbjêt de proroger au 2 mars les é?heances. tombant le .28JévÀer, jour du jnardi gras, et le 1er mars.. f..Le ministre, du commerce :yient de faire êàvpif 7 qn&afiçepfircèltç proposition, jmais 6ous&ckieJr& ̃serve que'ia -prorogation 'des' écBéances ne pourra aller au delà du 1er mars.

̃̃'«"̃̃y^ ̃ *̃*• .,••! L'ALCOOL DE MENTHE DE RICQLÈS )> ̃Est. à la fois le dentifrice le pliis ëconomique et un digestif souverain. -|

A tmvetéiaJR

;̃̃ Leis papiers fie Waldeck-^Rbfi^ëaû

général de Négrier ̃ Le commanâant fyiarc^and

̃. Les. lettres, et. notes publiées; hier par'le;-j^<iim se. rapportent à la disgrâce du généraî-<îé -Né- grier et.au retour du cpmma;nda^t ^ardhahd^

aprês^son adh^irable^êxpéditiqn- eii Afrique;

C'ëst t`ou'o p .q

C'est toujours le ministre de la guerre ":qui ifesfe enacène,, et,,ç'est lui- qui, propose, fde frapper le général Négrier, dont tout Impayé saluaîya bravoure et les exploits. Il corivientide «itêr

toute la lettre du général de Galliffet àiM.^al-

deck-Rousseau. A douze ans distocl^llW est pleine .djenseignements. ̃= .>̃

,:• ;y. J P.aris, i9}uiHet4^99<,

Mon cher président et anij,- ̃̃ =•̃̃' ̃yT-f Le colonel du 10e de ligne/ en garnîeoja à' Àuxdnhe, ̃a.çst présenté jce;matûi à mon' cabinet «tfùt'mis par mor enidemaùre ^e répéter l'ailociifdon otfil avait .adressée le. samedi: 8 juillet ses officiers ï^uftis dans la isalle 4 honneur,

Voici ce qu'ijip^ dit ̃ ̃ « Par .ordre du-gériéraï'dé Niêgrîèr, ordrÊCrahs^ia1 aux généraux et colonels de la-l^divisjûndManttene, je suis chargé <ie vous"1 dire «d^en^^on^des1 îattàques dont^'armée est sviçtimê -depuis' aMaud lemps et.que -le-gpuvernément 'seïaïtJun dévojr?ae tolérer, les membres <3u conseil supérieur? de la: ̃ guerre ont décidé: qu'immédiatement après aue le f,onf & %.gft?^è-4^es,se,:çerait,prohon?é. sur» l'affaire Oreyfus, ils demanderaient. lu gouvernement les mesures quîl.cpmpfè pmdrerflônr Taire' cesser- les altèîques eontre; l'armée, et qu^ù/-pas^pù- al ne serait pas tenu compte de leur démarcHè' iés'1 membres du conseil supérieur' de' te guerre étaient

disposés à agir. •»

Je télégraphie au général -de Négrier de cesser

wute inspection pour ^e présenter devant moi Je

le questionnerai. Il ne peut mer, sans mettre en- cause et mjustement ses, subordonnés. Ltacte com- mis par lui est de la plus haute gravité. Au heud'a- paiser l'armée, il la prépare à l'indiscipline îl f lé-,

tnt le gouvernement aux yeux de l'armée, ete Au-

trit. ~r ..ée, t~ Au-'

cun ministre de la guerre ne peut tolérer de pareilîés excitations elles sont au plus tiaut degré un acte d'mdi^cipline et Constituent un (jauger.

`La mise'n d~s onibih~du ~en

La mise en disponibilité* du* général "âe Nécrier s'impose Cette mesure indispensable ne peut être pi ise que par décret du président de la république,

r~~grrer;ayent.:été:-par üécrét `nor>atué. PP Jq e,

iNégner ayant -ete par Secret nommé membre du

conseil supérieur de la guerre; «te.

Il me parait dono nécessaire d'informer ies fnfoîs- ï tres de ma résolution et de ne se présenter devant ie

«. président de la république qu'après «ne résolution

|iris& en conseil de cabinet r f

Je ferai -s'il est nécessaire, comprendre au prési-

dent e, p~Eendt'aü:

dent que si le préparateur d'un coup d'Etal n*6st pas i

frappé, le ministre de la iguerrerétant désarmé, se retirera ̃- ̃=>> Le général 3e Négrier îut'frappé'et la note officielle qm l'annpnçait rédigée de Ja main

mèms du général de Galliffet

Le général de Négner.elevé -par décret -de ses

fonctions 4e jnembre au conseil supérieur de (a guerre, chargé de .mission sp6c'ale. A en le tort très* grave de soi tir des limites nettement définies' denses

attributions et fait entendre aux officiers qu'il ins- ¡'

pectait des paroles imprudentes ^t de nature a met-

ti e en "doute, bien à tor^ Ja discipline de l'armée.

M, Waldeck-Rousseau modifia la dernière li- gne de cette jiote et remplaça « omettre en. douje,

bien à tort, \a. discipline,», par «xompromettre

la discipline ». r

Au «oimnencement d'octobre, le général de

Galljfïet écrivait a?on « président et ami » pour

constater la « tenuenrreprûchsble » dujgénerar.

de Negnet et proposer de lui reâonnet un cora-i

f

mând;em~pt:?. ~'ons r de is `J m t .'u

mandement.» Tous, « depuis Ja.mont* luggu'

Brugèr^ », jpecpgnaissaîenî « dçs qu$Ué£4e

'bYavbuVe .etJ1d^tràin*qàrplA^en,t aux lou-

i)f\j) · k.: '~Sa~ r .t,r.:r:hn q_ï r~ 4.

pes »., «TJne mBsure généreuse, ^jôut'ajt-al, fpra

T partie de leponfe et nous aidera à faire "-de

'A îaXitrfe'côté" quelques -sauvetages. «

Nous sommes au moment du retour du con^n mandant Marchand de Paçhoda. Ei'|es'« pa- piers .personnels » semblent indiquer que ce retour n'avait pas été sans causer des préoccu-

pations au gouvernement. Si 'bien que Te, géné-

ral de Galliffet écrivait a M. Waldectf-Rous-'

seau

~ltnn'.l?res~dent et a~ .` ~é~ldl: r

jvion résident et ami, Jell^L

Le commarifiani Marchand est venu ïïjç yw ce

fnatin Je crois Jjue si vous voulez causer av^c Jm

̃douoesment avec -du miel sur-ies ièvres, vous le

trouvereii très raisonnable

Essayez de le confier à luj-mème Mieux vaut

pas 1 arcqîer à une démission qui lui rendrait toute

isa libeitQ

JSTous, avons bien assez d'autres difficultés. Lea iroupes-n'attendcAt que le coup lié bouton,

Anutîès.

Le cpmmandant Guignet a comnaencé upg géuç d'articles très intéressants à propos ft6 publication des papieis de Walde&k-îl&usseâû,, Npps attendrons que ces -articles soient termi- nés pour les résumer. Cb, Dem~lll~

Ch. Demain* L*

y

A VExtêriènr

.t~~L

"r_J.

L66 négociations autour

du chemin de fer de Bagdad

r.if&. ttotrç jçpT?esponii&nt j)a,rticulier)

Bér in .i~tb rieï:

'"̃" ^erjin, l&,féyr;ier.

En attendant que les négociations avec Jls(. ̃Russie- soiçïit terinipées au sujet du- 4ant^ix accord– et l'on dit que nousieji' apprendrons, la nouvelle dans la préjnière quingaiiiieîàé.rriàrs 5

le,s milieu^ p^litiqfles. s'inqui|i|èht.jâes -pour-

parlers qui 'al&fajie'nt été efig^ë4,B.efitrirlà Tur-

quie, rAnglëj£pr©"ét ,j[a Fraiièeliral^ti^èmérîi là question dp;s' concessions ae'.ôbëiniiïe 'fer, ,jque ces; deux puissances rfclajrnent à la Porte. ':̃ Qr, \S]i\ faut en; croire rppinîbh exprimée %}% .WHnélmstrasse, ces .pûujtpâTlers sont sùjboïs* doftnés: a. îaîçqnMiiisi&ri %& l'accord qui devra infevfihir^0ntrèla^UMîuieS«t rÀUemâgne au sujet du chemin* de fer de Bagdad. Ces négo-i ciatibns se poursuivent à l'heure actuelle, mais n'ont pas encore abouti, et cela pour deux raisons d'abord, parce que le désistement àe la- Russie dans l'affaire du Bagdad n'est pas encore définitivement acquis ensuite] parce ^ue les Allemands, éônt décidés?: à- ne céder sur au-

cune des stipulations qu'ils avaient forrnulëea

des- qu'ils prirent position dans la queatiopr îitu

Bagdad; ̃̃̃̃̃-̃ :̃̃ .-̃̃ ?

Le point de yùe allemand a toujours été ? que fout accord ne ^pouvait ^être conclu qu'a- vec l'assentiment préalable de la- Turquie 2° le capital allemand prétend avon* première place dans, cette entreprise, qu'il' a préparée durant de ldngués anttéefe et mise' sur pied, Sur ce point, l'Allemagne saurait céder.l'Allemagne eâb d'avis qil'uné entente n'est pas urgente en ce qui concerne lés intérêts allemands, car seule la construction de la section de SOO kilomètres, aêtuëllejnent comrmencéei demandera plus de cinq à è\x ans. Tel est, encore aujourd'hui, le point 'de vue. de la chafaceilerie impériale. •" ̃ Aussi bien lés Allemands dêclarenMIS .qu'ils n'ont aucune raison der précipiter les événe- ments, càç « ils peuvent attendre ».'

Je m,e borne, bien entendu/ à ybus transcrire les propos-'que tienpënf Aujourd'hui les'hom-'

mçs politiques,

~»~L~, ̃̃'̃̃tiDrelei

incident: fr^noo-allemand démenti

On 'dément formellement,' dans îes milieux ̃' tSffl- Ciels, la -Bouvell«,. télégraphiée de Londres â Berlin, .et -dap^ès laquelle r an,. grave incident iratifiôîalïe- roand;se serait produit. Aucun fait n'est de nature à justifier ces bruits.

La santé du Pape

̃ ..Rpme,i, 20 -janjyj«?y ;'̃?

rl^ïPapë^mp^titem^taféîabli, a quitté ses, appar*

temenis,. prives.Y. ̃ ,'̃ ̃ ̃ ̃*̃ :P'ib X à repris ses- occupations ordinaires et à teç® ie secrétair-e d'Etat et ;.to maiordom© fjéjaubliqué argentin e -iL'e progrès et la richesse de Buênos-Ayrés ont fait augmenter le prix de tout. tJn détail fl y' a au centre de ia ville uni bazar fameux qui paie 'aanueliement un ioyer de plus d\ui million. 'Le® plias grandes fortunes du pays se eont' faites pw les «péçulationB de terrains les terrains du -centre' de ;la yilite.ïâij; une valeur énorme comme sH'ls renfermaient des mines de diamants. Il arrive' soiweïit que l'édifîce coûte moînsjqué le iol qui leeuppprte, ̃et temps est loin où-lès familles perdftien/t du terrain ipour ménager graàdeis cours. Aujourd'hui, 1b sol de, la ;capitalei est «ne matière -précieuse. Le ministre des finances a terminé l'étude 'Sel la situation économique et propose -d'économiser. 70 mil-Bons sur budget actueL

t'a 'gestion ^^du cônsjil génénal MoiinaiBalas, au-

torisée par le'jffi.sident tie la Répubyquë MgedHjie,

eu par 1 vs p ~md sncc~. -Lé .i

a eu ie-ply^ graajd succès. Le Conseil fédlrlïrçient

'de décider^ en session extraordinaire qui g.£èù' lieu hiér^ eoifi ̃ d-'autorisar lïmnortatioiv- de viandes > <xmgelées eh; quantité illimitée bœufs .par^moitiés et ̃quarts,: sans ^tetas,- jwumons et: entres <M^jaas .ançutoiis rentiers, sans tétas.- Le ^r^it pem- de-\3^1r :Cinq fmbû3 par cent k-iios.,Onéspèr«.queI'À^eiin-'bléeJéâlérWe,qui dpitee ré.qnir.jen mars Mùoirà *e

aroit.tf^|i"ajnp3, .•-

-̃"̃̃ ̃'̃ .'•" ̃ ̃ iifiîtoirtnô 3-|ae3'pBreoiniîès:qui.vôiit''i- la -Gomé^ie-j'fan* ̃ïÇaise^à^entirQu.ser ay:çéïèbre! Boeuf -èria-Modg les traditions 4e la haute cuisine française. ^^uart^HY^IiESTIN^'r-v > v J'in_8,pÙ8^é3; cof^s^; ïje nieïl^bur; ap^ii^ v ^̃^rès^

~T~ r~fi ~7~ r~q

Tenlpérature

JJne' i^pne 'd&^basse pression .persiste .eur» le nord «et Test; de, l'Europe. En France^'queiqufis ayer^ea ^9nt,-e^e^re'"jxrgbable,s daans Jq ijorâi<eati Hayefi^emjié- >,atùr^v^uie''deià^nwrnaile; v ,J Jîier/à'Paris, a>sé? b,ël|e journée, ïneijri. }û°.

-'BBP/«nft)aùèsèi''?6&"Tnîn:' -r -"•r.

i: '-i-r T^n'géxatijré pxjsë gur.^estterra'sses 4ii ;Cajsino de'Moiitè^arlo & dix iiei}re3 du matin, .+15?; à oudi, t+1^. Temps doux.

FAITS UU JOUR

Charité, –'Nous awns reçi^ pour Ja mère des djx

jenfaïita A^aonyme^ 20 francs.

Cofigrèjs l'Association nationale des -maires France. -̃* La première séance- de ce congrès a eu lien Juer, à deux trçm es et demie, à la salle d'Horticulture, sous la présidence du docteur Monprofjt,

députe et maire d'Angers .j-

Dans «on discours, 4e président a défini le but flu

congrès organiser la défense des libertés commu- nales pour lutter contre l'anarchie démagogique qui s'étend saiw» secousses mais rapidement. Le rôie

diu ^naJre est de ménager lea deniers des contribua-

bles -et 4e faire pauvre de liberté et d.e justice, fca concluçiop de son dtecours est que celui qui pale doit prdopnancer les dépenses, -«t que si l'on p*yfi,

on doit-étre servi et non asservi.

Le congrès a envisagé la création d'une- caisse d'assurances destinée à couvrir 4a responsabilité des maires en matière d'état-civiL Uneinolion a été

Adoptée dans ce sens <i l'unajunut^.

Pour les jorphehns de nos tfiann,s -pôclieurs. ̃

On 6p souvjieoWu naufrage des deux .geoleites bre-

wwves Derdiies coriK ei bien© en lslajade, l' lors de 'te» -demiere eatsgn de pêche. Cette catastrophe tit

cmquante-Qinq veuves et cent quatorze orphelins en

bas Age; Poav venir en aide £ ces infortunés doot

ates nguejn-a de Ubiver augmentent «nôare lea stfuï-

fr.aii'ges, une tombais artistique eera tiréfi ie lundi

.6 mare.

Comme toujours îes meilleurs de jios artistes ont

généreusement donné. Noue relevons les non» sui-

vants sur ta longue liste des donateurs M^î, Rodin. Besnard, J>eta4lle, Chéret," DagnaiHBouveret, Gmljeinet, "Lucien Simon, Collet, î^uebet, RoU,©. Merson; Dabadie, Descli, Gjimlfer, AVaîtner, Raïaeâii, Gaston tLatouohe, Dagnaus, Prunaer, Joubêrt, Jac- ques Simoo, Moqije, Connon, Lapparrç, Pa.u! Jle-

/iQuard.^fiijo^AladeJUie, BoucûorLJBruuet, Dejetuô,

.Antuojiisaén, Mauîra, Hech^rd, îilordant, Clîêlîerf

DeyiUe^ guau, -Çagee^ d'Argen^e, ."Barjbbïïfl, Bpqy-

gonr4ert ^e Kèrsolley,- Ham bêt9î^^<iWe^a/^is,


©eiïiière Heure

k. S~ "~i, ~SI: '7'

.Y' 5 r :ih 1 r 6 i. 1 S "{~<

^CHOSES. D'ANGLETERRE

Aux -Commi/nes L'incident du speaker

̃ > f" /• ^Ekindre's, 20 févneJ

~À~ëa.~e~lQngs' d~ba~Ïa. Ghambre~~ cbmmu-

Après de 'longs débats,* la Chambre des commu-

nes, par 311 vôii contre 8i, a suspendu pour une

semaine,,M Gmnell, député irlandais, qui avait vioh- lemment attaqué le speakei (président) de la Cham-

J bres. M WJedgwood, mculpé^du même délit, a fait

des ̃excuses que le speacker a acceptées < =

Crime mystérieux Suicide du coupable

Londres, 20" février.

a Dalheith, pendant 1^ célébration des noces d'ar-

^ent -de M Charles Hutchison, quatorze de jses

convives tombèrent giâvement malades.après avoir

>l bu du'eafé' <\

M Hutchison et un convive moururent dans la nuit. Une enquête ouverie montra quil j a\ait de;,

l'arsenic dans le café.

Un ntandat d'an-ét avait été lancé -samedi contre

le fiis.de la victime, John Hutchison, âge de vingt-

quatre ans Au moment celui-ci allait êti e arrêté aujourd'hui à Guernesey, il s'est suicidé en absor-

bant de l'acide prussique

E1V RUSSIE

Un^jncident étrange

J La L.igûe des névropathes

̃'y i:; ̃̃'̃̃ SaintPétÉrsliourg,\20; février^ \) >i)£p.ùis^piû?ieurs i\ jours -un- modne, ̃; nommé ^HisdpY, -se., tient en. prier.es, fsans, .dormir ni manger, dans

l'église de'^on monastère, Yh Tsàritzin, aitnedànt

̃ une réponse 'dû' Tsv- à télégramme dams ( lequel 1 U^eiriandai-t- que' le- gouvernement de la Sainte.-TRus- '̃\Metfûtipteicé;ëntire les:main,s:du' Saint-Synode, après .1 i ;QÙe icelûifci aurait été/pùrifié; et réformé.- ̃ .;̃̃̃ "-Ën^dépitr des- objurgations 4es évêgues' de -SaratOiH

^et de Toula, Hisdov refuse d'oibéir au SainWïynodë

«t de (juitte-r Tsantzin 'Y. ..j

Le^ouverneur d&Saratoff est arrive sur les lieux. Jl1-^ requérir clés stoiùas de Cosaques afin de maintenir uh© dizame de mule de sectaires de la

lague des jeunes névropatiie-s.

j

LE CONFLIT SINO-RUSSE `

Í' Quelques opinions allemandes

Berlin, 20 février.

"La Gazette de Voss commenjant la réponse de la

-Chine, à la note russe ne la considèrfe pas comme

-satisfaisante des concessions mutuelles rendraient peut-être -l'accord possible, mais la Russie ne parait ,pas vouloir céder II faut s attendre à ce que la Russie mette dans son jeu l'atout d'un ultimatum i<ii Tceghchc Rvnclsehbu, -au contraire, ^uge la ré-

'pônse conciliante la Chine, dat ce journal, montre

(du bon vouloir la situation internationale de la Russie s'améliorerait difficilement si elle ne tenait

^a'sîcom^tejde la^demandejus'tifiéejdejlûChine.

':Le\:Lp/£aîi Ànzeigèr ;annoncev;qûe- de' nojbhreuBes 9 ̃̃ _-f abriqûés\ de chaussures de ̃ Wëiszenféls ront: fenné îeûraïpprtes i à- laf suite" d'une grève. >i; '̃-̃

;Ï;S ïy; :JBA; -Hatïtl: [ç: [

'-̃'U 'j^irtàges r– ̃ incendies -Massacres ̃̃

'?. v- '•̃.̃̃*̃-̃' 1 Cap-Haîtièni20 féyriet j ̃

Les troupes .goùyernementales,-après'-ayoir reprisOùanamûithe:, ont saccagé' ;et,'br;ûlé;?lâ. ville, ̃:mas.sa-

iqrë'de ïiombreuxriabitHnta, maitrmté^un ^Français;

jcr~'de'nombreux-Habitànta, maltraité -un.

'M/jJe'ianVProSp'éfi, .tué; son fils' et.brùlé; sa.Tnaîsdn. Lés officiers sonfinipùisâants à'répripi^r les/dèsor-

̃̃(dres.; •̃̃̃̃ ̃̃̃ :•̃̃. ̃ •̃ ̃-̃̃̃

;Â';1-.A:ÔGi^P.È: D'IVOmf ;.̃

Vv VI Unpflsté français îmehacé

y;'= Cr;V" .-̃'̃ "'̃Côhlïki^i'.20..f#vrier/ ̃:

"t>4 annoncé, sous toutes réservés^ qu'une certaine effervescence régnerait en' pays <jOùros^;autourrtlui poste .de'Sihfra1 (côte ^ivoire); commandé1 .paT,' un sergent ^avec 'trente tirailleurs.' ̃ -Vv; r* Ceux «çômmejrçants^éumpéens'. ef un- certain nom- :Bré-1cl%;cflçn.me.rgftn-ts; indigènes se seraient'; mis sous. ^eiîP^otectignJdu postey;- t ,v.> u/Ci.

U TS M N BSTE~4T

jGraveâr incidehts à Ànijens

..̃.<i^g«# p^^Ji^r:Wl^i^al^Witf^;ien^iéu

̃:é'v^,ivî>'HJV^. :'̃ r. ̃̃̃ '^Ap^YT^-V Ties^încidents se^prpduisàièntdërnièrement. à l'École- de -médecine d'Ainièns où: des étudiants, à:là eiiite de^d^prilresc.oiitiniiëlSj-en vinrent à tirer des toup.sdê'-rCTÔlVCTdah's'ràmphithéâtre' de.dis*sec5dn. Cet amphithéâtre fut fermé par mesure disciplinaire. 'A1 la .suite de.ces incidents, trois étudiaiits,'1 M'M. Eastri, \Maillet et- Marçiiaiid, sont renvoyés devant le Conseil- de discipline de Lille auquel est rattachée l'Ecole de. médecine dlAmienis. ̃ ̃ .'• 0' ^Eh-attendant que le. conseil; de discipline, ait statué sur leur l cas,- lés1 trois- étudiants sont exclus de- Ï*Ècole et l'entrée de l'Hôtel-Dieu leur est interdite.

(Agçnce'Fottrnijèr;) ̃ .̃.̃̃:

EN CHAMPAGNE Le calme est complètement revenu >i" ̃; Châtons-sur-Marne, 20, .février. En •raison du;' cajmë;. qui règne; maintenant feri Ghampagrie, lè.^préfet.a rapporté son anrêtédù ^1 j anvier,<iui iiitérddisait feis attroupements et les, ebrfê^es à)Eperfïay et daiis'les' vlilages du vignoble j et il' â; sreiidu les pouvoirs: de police aux' maires." ̃vL%*yîgiérons de CurnaeijeSj réums aujourd'hui en un banquet, ont vot&iunordr* du jour dans lequel ilsVàdpeesent'leùKS'rem&rcieiEttents au préfet. et au gouyerfleménit,- i qui, r en' ̃ accordant satMac.tion va leurs justes" ire'ven.dicatioinsi ;«;. fera parçe-geste re-"natfare-dana leiîyigiiolflèjcihaaipenoiç, .une'dee'vgtoihés' de laiFrançe,' ai éî^èlJemenit;éjirouVé par lamisère, ̃lune.'èW'Cle.^nhëurlfet^depi^pérafe

~~i T~

vtJn Voeu; du cbhs^l générai d'I Ile-et-Vilaine ']" ^l'rt.fi.t- ^i' ̃̃:̃ i .s,Rennes, 20ïëvrier. Le conseiligénérJ3l;d:iil^-et-yilainë, .ému de la fféquenge de^.acciçents- se, produisant sur :rQue,st-Etat,; princip^lement:sur"i;a; iîgiie'.eonduisant à Rennes, a émis un-vœu invitant Iès;rèpré8entants,.=dès populatipns^ravefftiries'. a '4gir.énérgiguemëilt aùprès";4es ̃gpuy.pirs publics polir faire" cesser un, é"&trdë,cho- ses qui; a trop duré. ̃' ̃̃̃ '?.!̃̃ Lë-yœu!4éclare'eii; outre" qu'il ji'èst pas-eïiffisant à'avoif «haiîgé '$è du*«t.éur,imàis,u^l îaut^réferga- niser: le :se-rvicé: l'exploitation' de telle. manière, i qUe= les! chefs et les- sijbalter-nes, soient. rendus responsables et qu'yen dehors de toute action politique les ̃çhéïs: de seryîcie. puissent. en touteAliberté êten;: toutêtiu8tice--diriger;les.s^\fices;dpiit ils ontlaîrèsrl

-̃̃ ̃̃-̃• ̃̃̃̃̃̃ '̃' ̃ i'

-Le", prix du' billet" est de.,10 francs. -Les billets sont;

"délivrés aux bureaux 'de .L'Art et.-les Artistes, 23,1 ..quâi.'Voltaire, a.ux.peiisbnnes^ésireuses de. partici-: per.â.cette œuvre d-eciiari té. -̃̃ ̃ ."̃̃ '• 0. ̃ Poyr les chasseurs*. ;M." ̃ Raynaud; JmMislré-de: l'agriculture, devant -l'importance toujours croissante, des -questions.qui- touchent àilaichass.e, vient, de décider ie fair-e ;étudier, par- une. commission, •spéciale,; les; tdodificatiotis: à. apporter, aux lôis.et; fèglemerits intéressant -jl;è.x<erçice de. là: chasse,; de, façon à mieux les adapter; aux conditions,- éconoini-; ques-.açtpelle.s., et aux-, habitudes .çynégé. tiques,,et à;

irendrè^possiblè; .prpiëction effective; du, gibier, .et;

ïeï.TJépeupfemeni des. chasses,- notamment, des çhas-r

^es banales. "j. V

Cette commission comprend des membres du Parlement et des personnes particulièrement désignées1 par leur compétence _pour prêter leur concours au

mmis.tre en cette- circonstance.

JibuVELLES^MIUTAIRES

'Syndical doffwieTS –"Le ministère de la guçrre com-

muoique la note suivante L

Contrauemeni^u'oe^qu annonce un journal du soir,

le ministre de la guerre na aucunement donné l'ordre

,J.e p,a,,z

d'interroger les officiers au feujet de, la création d,un; syndicat- La nouvelle qui a\ait été donnée de la pro- chaine constitution djuh groupement de ce genre est*

d'ailleurs dénuée de tout fondement »

Victime du deiovr, 'Touchante cérémonie a lhOpi-

tel mihtajre "Desgenettes, a Lyop En présence de nom-

breux offiewrs, le jeune Steinhelmçr, infirmier, a reçu

fles mains du gènéial Guérin, commandant 1 artillerie

de la place de L\on, la. médaille militaire Dtant-dev&er- Î.

viqe a .l'bûpital, llétudiant aVait été blessé en soignant

un .m'alade ^çt -avait' subi' l'amputaliôn d'un bras Cette

jvuîtime du de\oxr est le, flis d'un officier d'admiaistra-i

Aioq de 1" classe du génie v j

FAITS _DI VERS

VU ENNEMI DES AGENTS

*Dans un déhit de la rue des Tr-ojs-Ports, un indi- > Vidu déporte taille -faisait, hier'-inatin, l'apologie de

Liabeuf et, d'Her.vjé, et déclarait que s'û VQyait.ûn.

agent il le tuerait. t

Do,, consommateur, M. <3eorges Chajnpfleury,

aerrufief, âge de ti ente ans, deoaeurant 20,irue Ûe*'

la*Moûtagne-Sàuite-Geneviève, enûuyé pari ciîtte,^

conïérant^ faite à^iavlte voix, pria 1 anarchiste de se

ponsabihte avec la-fej'meté nécessaire pour assurer la sécurité des voyageuis. (Agenck Fourmer )

AUX>ACIEUX BANDITS

Un coup extraordinaire de cambrioleurs v

Grenoble, 20 février.

Un vol audacieux a été commis la nuit dernière, à

Cldlas L'entrepreneui de 1 ecjaipfige électrique, M.

Coneard, s apercevant, vers une heure du matin, que la lumièie faisait complètement défaut, se leva en hâte et se pendit à son, usine située à cinq cenfe

mètres de son habitation il constata que les Iils

électriques avalent été coupés De retour chez lui, il se trouva face à face avec les -cambrioleurs qui s'enfuyaient après lui a\oir dérobe 20,700 francs dans son coffre-fort. M. Correard fit feu sur les bandits qui nposteient sans 1 atteindre, puis ils disparurent- avec leur butin T*

UOIJBSE INTERNATIONALE D'AEROPLANES

Les gouvernements français et 'allemand

refusent leur adhésion

On annonce de Berlin que le Club unpeual d'au-

lomobiles, dont on connaît les attaches officielles,

ne consent pas à donner son concours à l'organisa-

tion de la course internationale d'aéroplanes >Le

Club impérial d'automobiles estime que l'organisa-

tion- de; çe;tte /.çp,urse doit: çpnseriyer.. un, caractère

privé.. 1.V ,̃̃ ̃ ̃ ̃[̃' '.̃̃> ̃

V Agence. Hàyçis.. annoncè,que, les gouvernements P. frança^" et .âUerhand;, piit 'adopté là.niême attitude 'ènccè qui coricerhe içëtte 'épreuve" sportive.

Pe, ~t' ites. nouve es d a u1~

̃̃̃ ^Un^ dépêche t\ -de, Sydney, .• annonce que le ..prince Léopol4 B'atteriberg, arrivé hier'da.ns cette ville, venant de la Nouvelle-Zélande, est; gravement malade A Londres,' on déclare, au Palais,; n'avoii; aucune nouvelle de la maladie du prince :]̃; ̃ C'est demain que le Journal offtciéi,,àë, Lisbonne publiera le modus Vivendi entre la France et le Portugal, qui entrera1 immédiatement en; vigueur. A Moscou, hier, cent trente étudiants: ont .été arrêtesvet cinquante-cinq expulsés de la viller i r- ryl de Mqntpezat est «lu délégué du: conseil jSupeTaeui des colonies, pour l'Annam-Tonkin, par 1,2H voix, contre 956 à M. Doumer Au Cambodge, M. Vandplet est élu et au Dahomey M Dâlimier. Suivant l'agence Fourmer, une Ecole militaire d'aviation va être créée a Pau La ville met à la disposition de la guerre un tenam de 118 Hecta-

res .f:

De Constantine à l'Agence Fouradêr; V;Àii cours de manœuvres aux environs de Sétif,lè liieur î teorant Doasseau, du chasseuis d' Afrique, a fait une chute de cheval et stet très griôve-ment-blessé. Le tribunal criminel de Tunis a condamné à mort, hier, les Siciliens Liberio et Santo Giccin©llo',

et aux "travaux forcés: à perpétuité 'leur --frère.. Ma-

riano, pour avoir assàssihéi dans la plaine de^Mornag,; la fapailla,Gottbne4: composée de six personnes, dont.qua,tn? enfants. ̃- ̃; « Ji__ ̃ Mme: Jeanne-Marguerite Dalleroagne, ̃ dite

Addey,,dbnt ies démêlés avec M, Merlou, ancien mi-

dddeY, mi-

nistre des fineinces, e-çtat encore présents A la mér inôiré ,dé tous, a ̃ quitté hier! la maison centrale, de Rennes, bi elle purgeait. urie oondambation prononcée contre elle a* 14 suite du- drame du Vésinet,elle' bjeasft'Mriié' Ber-gér,- la nou!\relt9. amie/ de M.

;.Merldu" '/yr:\ -y"- '"̃̃ >

•'̃̃-i-i-En'.e3rt)1liqtianJt.'ià--uiïe' vo^siôéi-1 Mrne Martin, «le maniement d'un-' revolyër, Mine Renault,- 22, rue Pau\-sBert,'à 'Bàgholeti presse iavoloritairement but la gâchette te coup, part; une: balte atteint" à la t|tej:Mme^Maîipn,. qui^est.tuéegnet- v. ̃; li^– ?Ùiip«oninu, éleèammentïvétu^et paraissant âgé/de vingt-cinq ans, a tenté de se" sùioider,^ ^^boulevard^L«iiiiesi1:!en.-is;e: tirant une balle.1. de freypliver dmala/tete^ÀBeaùjôn.'

,w~ .)·r.

̃; Inforniations financières

v 1 lie ^;|riarché.de> Ne>ir-y^rk

̃'̃' (Par' câble spécial) '̃̃ •' r: ̃ /JNew-York, 2B.'févriea 1911'~ ̃ 'Marché' calmej mais ferme. ̃'̃.̃' ̃ ̃ Sur' la! bonne -impression de dernière, clôture^' la<?ote a débuté ferme, ^t. en. hausse. Pendant,. tout ievcoururit^dé^'la'journée, peu d'affaires furent .trai-' tées, jhais la tendance se maintint constamént ë la

haussel' ̃̃. ,», ̃ ̃̃'• i"

L'intiernatioriai Haryéstèr a déçla^ un'ojyidéiïcLe trimèstfierde: 1' 1/4 '0/0,' amenanrâaq!SÏ;le;aivideDH.e é, 5 6/0. La valeur a coté 120 dans lè;boiirant' de'la;

journée." ̃̃ ̃

%& clôture a été fermel^iux cours les- meilleurs de

la journée. ̃̃

J'a- Le nombre; des transactions '.& :'étê de 320,000 titres. ^:Oaûde Dutreil. '̃.

LES JOïïRNAUrDE CE MOT LES SOUVENIRS DE 1R. POINCARÉ t)é M. Marcel Hùtin, à&ns' l'Echo' de Paris, interview' de: M. Raymond, Pçincaré, qui. raconte commént;ilne,fit pas" partie,, en 1899, du cabinet Waldeok-Rousseau

J'ar ééfiôué "dâiis ma' tentative de former un cabinet de 'coinciHgtibn, d'une part, parce q\ie les radicaux-socialistes ne, voulaient .à. aucun prix de M. Barthou d'autré.pàr^ parce, qiie je ne voulais jx aucun prix, moi, d:un ispsjpijste a'ù, ïoiiiistèi'e. ,Le .samedi soir,, lorsque j'ai résigné mon mandat, je suis allé voir M. Waldeçk-Rousseau, qui allait être apelé par le président, et je lui ai dit que, je me mettais' à" sa disposition. Il m'a remercié. Mais.ceux de ses amis .qui .voulaient faire entrer- un socialiste' eçu' ministère ont mis le veto sur mon noiri. et il s'est- ebstériu de faire appel fi mon cbnoours.' G'èsî' seulement le lyndi- que,, sur 'les- instances spontanées de M. (veygues, il;s'éyisa. de, m'pffrir l'intériéuii dans un çabià'et' il' prenait lui:m6irie le .portefeuille de la guerre; avec '1e général de Galliïf et comme chef âè. cabine?t. Je, nelui cachai pas auè l'entrée d'un avocat, si grand ̃ qu'il fût,- au ministère jde la guerre, à la veille du procès de. fiennesy'me semblait inadmissible. Et j'ai prorioacé: le' mot, qu'il a rapporté dans ses, notes, de défi à. l'armée,

:̃̃ et le budget? '̃̃ '̃̃ j

-.De l&'PéKte.iRépûblique.; :i. -X De? procédés de:travail.de la. Chambre' sont. véritable-; ment lamentables. :Çans cette discussion du budget qui se prolonge au "delà .des limite? permises et qui, se traîne jusqu'à l'indéceiioë,' les prçrppsitions les plus hétéroclites viennent se igreffer eUsurgisseht .'tout1 coup comme des champigifons sous la rosée! du- matin. -Hier; en: fin se séance, fîous "avons eu '-un nouvel exemple de ce- triste chtiosî gêàëbatèur' des> plus, vaines, surenchères.. ̃- ̃"•̃ Hl L'OFFICIEL -̃' ,,Xe. JournqluQtficiel p,ublie ce, matin ̃̃Affaires. étTangÇreSi .Arrêté; instituant^ sous la pré-J sidençe^dé^M:. Paul Dçschanel' député., :ûrié .commission' chargée d'étudier modifications: qui pourraient être) apportées .*iix tarif s' des ̃̃- droits' A. tiëroevbir dans les. châncèlleniës +cuplomatiqùes" et'; consulaires. ̃'•'̃ ̃.̃̃'̃ ̃ '• ̃• ̃ ̃ >: <.̃̃ ̃̃ '̃̃'̃: » A,:

taire et déclara que'ismon.ùndes agents dont il avait lkiir de"falr-e;si',peu de" cas-saurait. bien le conduire:

̃ au,pbste., ̃ '̃"̃̃ ̃' •:̃

".yPoUr toute reprise, ;l^.ofome' sortante-un tieï-Sr; point" de's^: poche 'en frappa son contradicteur à la; figure; et à la-poîtrihe. '• '̃̃ Grièvement atteint,, M. Champfleùry, s'e;f fondra, en; poussait des cris jde, douleur 'ef-soriagressèur^s'en-l ..fuît à'toiites jambes. Mais.il fut. rejoint peu après: par des .agents <w conduit, malgré une résistance; acharnée; devant. M. Carpin,- commissaire de police:

çlil-Val-de^GrAçe. ̃ •. ivi •• -̃̃

;p;4st: un. comme? Alexandre -Robau,- âgé de- vingt-

neuf ans," terrassier, demeurant 14, ruê4e la Monta- gne^Sainte-Geneviève il a pris le chemin du Dépôt, tandis que sa victime était transpoitfç à l'hôpital Cochin dans un état grave En -effet, M ,Champfleury n'a pas r-ecu moins de vingt çt un couds de ti&ps-poînt. ie Voltage des tantiles

Très important pour la durée s des lampes Tan-'

taie P pes

vNe pas les survolter, c'est-à-dire prendre tou- jours 'dès lampes au vojfage exact du secteur Ainsi, à Pans 11Ç volts pour les secteurs Chchy et", rive gauche, 113 volts pour les ̃autres secteurs, 115 volts également pour les secteurs de la banlieue Vente Paz et Silva, 55, rue Sainte-Anne et che'z t tous les électriciens Demander catalogues des tapis chauffante par releotricité, des lustres hollandais, du Phérophone (Télepjhone prjvé )

t, x UJ^INCIDEM

Un certain nombre d'affiches de ta Comedie-Frûn- çaise, surries colonnes Moi «s, ont été recouvertes iier d'un placard reprodmsan,t,le Içxto^d'une l-eltre publiée par M Quslave Thery, dans le dçrjiier fasci-

cule de YŒuvçe tfi public a pu lire ces placards 5

nâ^amment dan^ les cadres reservés-de 1^ Comédie-i s Française, sur les boulê\ards et aux Champs-El\-

séBS.- ». "i `~.z

Les^-personnea qui possèdent des objets précieux, lels que bîjonzes d art, tapisseries, meubles anciens, porcelames' de Saxe et de Sèvres, même des objets à'partir du douzième siècle, trouveront à 'les .céder *jau comptant et au-dessus de leur valeur en s'adres- <

dérangeront s'il y a lieu* :t •*

» CAMBRIOLEURS JJA£QL>fcS s^ 1

•^M^jMonlsarrat, comimssair^e ajo^çe deJ^.in\ill3-

le-Ponî, recherche activement clfujc 'cambrioleurs ',s,

masqués gui, api es avoir pénétre dans le pavillon J habile a Brv-sm -Marne par une riche rentiÈrs^jyirne Laurent, ont s'^nfmr giAce au sang-ïroid'de la, ¡

gouvei nante Mme Marie Delorme i

Ces d'euv^malfaifeuis' sèiaient -venu^ à Brj-suj-, Marne dans une automobile, dont le garde-châmpè-

tr-e de la commune, M, Giudiçelli, aurait retenu |e

numeio <•%

Les diamants, les bijoux et les perles sont ton*

jouis achetés par «vMaxima i>, 1 ois, ^boulevar3

des Italiens (premier, étage], au maximum de lëiiï

valeur et au comptant. (Expertises et renseigne" 1

ments gratuits). } POUR LK VELVE DE LOGENT PÉRW Le préfet de police a remis îiver,' au nom de la fon-

dation Alphonse Pejrat, d Mme Périn, veuve de

l'agenfc-tuê à C-hampigny, une somme de 2,000 francs, qui, a été preîovËe- sur les revenus de la,fojidg,tion dont le capital s' élève' à la somme de 231,000 -francs.^

Paul Cauchois

à~sei~ire~i~eraises,Ci~IAE <

~lougeur3, nemplopez

rnHtHMpM9eaM,n'emp!o?MX~~T~

iiBIlL que la délicieuse StRiON

< r o ̃

Une grande Fête populaire

LA VILLETTE F

La fête familiale donnée dimanche après-midi par le comité royaliste du dix-neuvième arrondissement réunissait^ la salle Jeanne-d'Arc, quai -\almyS; plus de:l,500 personnes. lia :̃: comtesse ..de^.Gletmont- ̃̃, Tonnerre présidait. Grâce à elle, une distribution de jouets. et.de bpnhons.4ut faite .300. enfants d.ou- yriers. de, rarrondissemènt. i ? liJbus'; T.ècdhnJaissons ̃: dans; la salle- Mla ,90m- tèsse^de :Glemcfn>Tônrierre, .ïM-llesf de. ClermontTonnerfe, comtesse G. de Rohan-Chah^t,1 Mmes-Ja,- ger, Ei^ard, Halhauer,. Lot?,: Comte, y gui ont bien voulu" se charger de la distributton; des- jouets i: le cpmte: dV Clermont^Tonnerre, président du comité royaliste du djs-neuvièmë arrôhdissèihent opmte Gèôrgeï &astïuôn'de^ Saint-Victor, .président» des cœhitês^dé ift Seine :JilM. Lucien; Ja-ger; président du' comité éïectorâl'royaiiste dix-neuyièmte awondisêeiïi:eht;ët:délègué général des comiiésfdjé 1 arrondissement- Hèriri-: Bœringer,* président^ du' -comité royaliste' du dixième àfrondissçriient^HM.: et;Mme J Richard, du vingtième 'arrondissement- ;̃* Mm- Ludovic -Jsx&iyei' de Y Aicçotd- Spinal; Vilhois et;Steimètz, vibë-pfësidents comité dix^neuvième ar- .ïondissenieiit Halàauèr, Chaussard, \GurlyJ Lpte, Lorént^ér, .Bernard, -Vivier, ̃ B.<Sôu"iilQnj"-le.capi: taîné':Çourièt;: Albert' Râboûrdm: -le comité des ©améé royalistes du dix-neûyième arrohaissement|> la délégation des bouchersla V illette^ ete; /̃̃: "'La partie etincert, dirigée; par M. -F.: Leduc; a obtenu un vif succès. Un'poème à la co'îtitessè^e ° ̃ Clermont-Tomierre, de, M. Guy de' Rabulx, dit- par l'auteur, et une allocution "du comte de Clermont- Tonn:erre..terminentila .séance. ?Puis -la 'ô^tribution jouets et de bonbons 'esj faite aux enfants, et. cette -belle, fête; 'de: famille -s'achève, au- milieu -d.e la plus ït andhe; cordialité. >

Indus~pîe d'Eiât

̃ n ef Iiidusfrie jatrivéé

On sait, combien laf lutte est chaude à l'heure actuelle eritré}les partisans de;'rïndustriedEtat: et'eeux l,4ndustrie- privée..On afait dexsette question une. question politique plutôt; que de chercher quel" est le, véritable intérêt du rpays dans circonstance. M. Rousseau, rédacteur maritime du Temps, laissant de r ci&té' le- EQint deïvùepolîtiquev a étudié la question; et arfait ses fecherehessur les avantages- ou, les inconvé- nients de la construction par rEtat-oupar-lindustrie, et de l'accrpiss.ement.de Outillage de la marine, notamment en ce qui concerne 1 établis? sement^'ûne.iusine de ^mentation |gr, a, ^Guérignyï et en' a,cpnsigné lesTésultais dans une ̃6roêhûre intitulée P-Qùà sauver qWkW? Mêlions. .1.

r Voici la; conclusion çle cette brochure Eh résumé, -fl" n'est; pas. contestable .que' iesifavaux, dans les ateliers de l'Etat reviennent] plus,; eher^que dans .les, chantiers. privé, s. Les études du* comité: ^examen 'des;- comptes des travaux \de la marine en sont la preuve; i ̃ 11: iie -peut être contestéTion plus xrae- l'organisation. de'4a fabrication; dei'a^e^ ^Martin- à iGuêrjgny, .o-AW

une .opémUon désastreuse, ifiMaits. le, démontof

elle rapport Sêla oommi§sipnji:eniïueple cOnimnè,, Tous les documents, oïficiels .ou: non, provenant de'rétranger; prp.'uVen.tqiïé', l'acier cémenté1 est ;jm ihétai a son déclin et que!, par conséquent, les dépenses faites pour'"créef l'outillage nécessaire à Isa îairièation ne sontpàs susceptibles de. récupération. ''L'exécution du; projet ;du-: gouvernement aurait pour- résuftat de sUspendr e :tput .progrès en ce qui concerne la fabrication du métal decinrasse., On lit dans Army and NavyJoûrnalcLn l^janvier

1911-'

« Lésecrétaire de la marine des-'Etâts-Uûdè, M.

Mey-er,' s'est présenté, le 12 janvier dërm'er, ^devant commission des." Naval' affairs » dela-Chambre et a appelé'à nouveau l'attention du Congrès sur;le désastreiux: erfetque ia loi^es.huit heures .a produit sur la construction- des. cuirassés.. A ce,su]et, le.;ser i çrétatrea, enroutre, insisté sur il*. nécessité, ,de,rapporter la clispositipn du bill de-.l'aniiée. dernière, imposant "qu'un des.- deux cujraasés .autorisés soit construit dans un araénal. Ces .deux ^faitB,d après le1 secrétaire,- entraînent une augmentation1' du pnx de; la construction. dés navires de,20 30 0/0. il a déclaré qu'il a;ëté forcé de^ donner. l'ordre de suspendre les travaux, du. nouveau cuirassé; New-York,, dans l'arsenal de Brooklyn,, parce qu'il. avait, décou-. vert'qu'il coûterait a.u gouvernement ^millions Ij2 de plusâ,7fl0,Ô00 dollars), que -s'il; était .construit par l'industrie privée: II a- déclaré1 avec insistance qu'il ne serait' pas' capable deee limiter aux- crédits votés- par te 'Congrès pour le prograhiimé de la- dernière' ̃̃ année; si rarsfenal n'était pas exempté' de l'application de la lois de huit heures.Le secrétaire aexprimé l'opinion .que si le Congrès lui permettait de passer des marchés pour ,rla construction, -npn seulement des, navires; de laidernière annee,TmaJs aussi dë.ceùx à autoriser par, le bill de çéttejsêsëion,1

il sauverait1 5 ou 6' imitons de dollaôis; (2ff à 30 mil*'

fions' de'' fr'ftriçs): ppur; le 'pays.; » ̃[̃ -'̃

̃ On lit dàijs Armu -and ̃̃ Navy Jour/ja J< du- '28 «fanS

viër^1 -.Ji: ̃̃ ̃ "̃'i!

« La" commission,. recommande également' que sle/

Congrès, donner au secrétaire jMey.er, le po.uvoir.tae

constmire le-; cuirassé .Newr York autorisé dans^ a' dernière session, dans uo chantier privé, seçré-; taire ayant démontré.flu'il en coûterait au minimum; 8 miliions 1/2 de plus au gouvernement,1 enr-ràîàon! de loi dés 'huit -heures,; de construire, New-York- à'Bï*ooklyn. » <f '-•̃ ̃' ,s ̃' ̃ 1- y -a, de' -l'autre côté; dé* Atlantique,1 iUnvïninistre; 4 et une commission qui1 pensentque.lepremiercde-; voir, vis-à-vis du, pays sst -de donner, aux dépenses

le maximum d'effet utile; et qu'en agir autrement;ést

unrfiéel sabotage des jforids, de' la, défense natipnale.

-i'Çne peutexis.teri.ûne. autpé manîèfe:dè Sfoîf. pour, t ijpni:me;qu.i f^ë' sa' patrie. '•̃ s On ne peut que s'àssbciér à cette. conclusion et souhaiter que la France trouve un ministre, et; ̃ une. commission ayant un mêmersouci der ses!

̃: -.u :̃̃••. = ̃.•̃• •̃»•̃ &:& <

̃'̃; \y\ .i.ç:v

Sociftè te dp ÈraicB i

ÙUUiUtU ~ii~

:La quarante-deuxième session r annuelle -du congrès des Agriculteurs de France; en Tabsencei du manquis de Vogué, son président, a été,ou- verte'.par M. Blanchemain,- vice-président, qui: a parlé en ces termes ̃̃̃̃-̃ i Auimomenl d'ouvrir cette quarante-deuxième^ ses- sion de noire Spcieté, ma première pensée, comme 'la vôtre ô. tous, est de me tourner vers 1 absent, vers celui que'j'ai le périlleux honneur d'essaj eii de suppléer, vers ce vénéi é président que -nous entou-

roi~'de' notre'admiration' de ~hotre affectueux'attq-~

rons notre admiration, de notre affectueux -alta-

ohement et que nos acclasnations vont chercher su^

une terre lointaine (' ̃* K

Puisse le spectacle de cet Onem\ ou le savant ai-

mait ei surpiendre les palpitations de lîiumaïuté ses sources, l'iiomme dès «autes vues -saluera \e( t

pays d'aurore des lumières consolantes 4e £Evan-

gîle, -adoucir un cœur brisé par -ft affreux dluils1 et1 faire une oasis de ieconfort -qu semeur du progrès, du bien et du beau que rçclame cette grande So-

ciété des, agriculteurs, habituée à trouver -dans sa

parole le' seciet d une a.'clion toujours. Seconde 'et

plus ayide de J'entendre-cette année nous.travei- ie sons une période si douloureuse t

Quels que soient, en effet, les labeurs, la science

et l'art consomme de nos, variants 1 einueyrs -de la

terre de Fronce, l'absence la pénunë'des réedrtes

s'-est fait sentir dans un grand nombi-e de régions,

et' toutes jusqu'aux plus ncb.es- ont -souffeit » ï

Aussi >îes,eTforts de notre Société -doivGnme ten-

dre a réveiller 1<? courage de tous, et de£ plusjhuni-

bJes surfout, meta>er?^petits4culti>'at€urs, jouvueis,

agricoles

11 faut qu^ls sachent que notre sympaUiieya vers

-eu\ et que nous sommes angoisses" par leur souf-

riance i v J

Les éçieaves de JL910 ont eu. pour nous une're-f

percus'sioii p^lusiiautet Ne fut-ce -pas une*gloij e!pour? nolre'Sociéte de'voir^a înspirateur^etiaon «hèfïpre- 1

sider an1!- eecourables prodiges* îeaksés pai la

Croîic-Rouge *? «̃». k: 1

Ce qu'on na pas asse? su, c'est que, quelques-

mois avant le pei il -de ]<mvjçr, un. esprit sage, en ré-'

visant les statuts de -cette Société, a\ail -ajouté au\<

règlements de son^inttrvpi^t'on en temps de guerre

l autorisation dagU à^neure d,cs calamnds publî-

quefe Ce i>ré\ovajiJL des responsabilités de la\emr,

armé d'une pi u<LenCe si rare de notre temps1- c'était1 celui-là même qui rapprocha les trois Croi\-Rouges ` en -une seule, prête a >pans»r toutes les blessures de

laiFiançe/ c'était- le mdiïjuis de Vogué >

lltest bien de la lignée de ce.s grands citerons, les

Dromn~di4 Lhujs >çt les de Damp'erre, qui sa\-ent

que les peuples ne consolident leur destinée, mon-

thaïe qu'en imprégnant l^education de leui s fils d es- prit 'de foi, d'union et de sacrifice qu'il ne suffit pas des ressources de la science pour écartei des nations les catastrophes, qu'à certaines heures le pro- grès lui-même peut devenir pour elles une cause de péul plus -effarant et que nos pères étaient sages en ne se, contentant point de leur fragile expérience pour' protéger leui pays mais en <*hei chant leur appui plus haut et-en gravant1 au faîte du monument de 'leurs espérances la giande paiole tutélaire « jDigu protège la France » Un précieux dédommagement à nos épxeuves a été le succès de nos récoltes d'Algérie Beaucoup n'y constateront qu'une ample production matérielle traduite en espèces sonnantes ous, messieuis, vous aimerez à saluerr dissimulées sous les pampres et les moissons,, les tombes des vaillants qua y ont colonisé notre terre d'Afrique Qu'ils aient porté la tunique des soldats de Constantine et d Isly ou vêtu laijure-des tiappistes de Staouèh, vous aurez un retour d'hommage pour leur œuvre civilisatrice 1 Mais, du même coup, ce spectacle ne vous rend-il pas plus saisissante l'épopée nouvelle de ces conqué- rants du Tchad qui, disséminés sur un territoire presque aussi grand que celui de la France, y vont planter son' drapeau, 1 y font respecter que} que soit leur petit nombre' et,' lùttant;;jiisau%;inoiiri.r..cp*min!B' les1 'Fiegènsehuhrles Molli :lé's Delacommûnë, réveil- lent sur': dés' ferres* lointaines; ^fos colonies -de demain. le frémissant écho de victoires que l'Europe

̃n'entend'; plus, ̃

'< .-Puisse; cette évocation, du courage-, inspirer à' nos j ~ultivatèurs d~.ns, l'épreuvé .~a fidélité quand même au coin dé' terre qui leur a si souvent donné, le pain ;et celui de leur ..famille ̃ ̃̃'̃

C'est au > milieu d!appiaudissem«nts unanï-

C'est." au milip- pp una.nl'-

rn^s.qi^ ^président a.acheyé son; discoure que riqus, regrettons d& ne, pouvoir publier en entier, G. Pelco I

HOTEL, DE VÏLLË

HOTEL; PE VILLE

1 L'extension du. trolley. Le trolley vient. de. faire .une. nouvelle étape' vers le centre de Paris, étape modeste il est vrai, mais' qu'il convient de noter; ne fût- ce que pour.- 'bien;: marquer que les .mouvements 'de renvàhisséur, sont étroitement euryeillés- par; tous les^amis' de "la" beauté dg, Paris. ̃ -•rt.a~Compagnie des/tf^mways de l'Est-Parisien était, eir ipstf^ce^pAur; bbtenûvgue. le trolley fûtJadnûsiSjir les] quais ûëiHà riyeïigàUttie/; dep,îiis la-porte ̃^MÇl&ejji^ffllt:iQèï-ià.vÇ^»ïd:e;i se déplat-an^aûi sji^hisJ^Ête; à déplacer '%ès voies, desmaaière à .n'avoir. à> aménager qu'une seule rangée de poteaux masqués dans' les arbres et à installer des poteaux-candélabres capables ,de servir. à, la fois poûr^rèclaûiage électrique. et; pdurî-lîéclairage à gaz. ̃Quel accueil a été faif à cette demande ?Lel préfet la Seine l'exposé ainsi dans' le mémDire qu'il vient d'introduire au conseil. général,

Quelque répugnance' que mon administration éprjouye.à.admettre le. trolley, dans /les: quartiers du cénjtre, elle n'a pu -se refuser- à un examen approfondi de la question. Tout d'abord, elle a écarté sans discussion la section. comprise entre la placeSaint.Michel étfe pont, de la Concorde on ne saurait- songer-un seul instant à. installer le:, trolley sur cette partie des quais.

-j.»,.La. Compagnie» insistait- beaucoup pour que lé trplley. fût'tolérip. au moins jusqu'à la -place ^Saint^Mli chel j,.sur,c'e. point encore,, il. mVété impossiblede lui donner satisfaction, ̃̃ Par contre,- >, pour la partie •des,, quais comprise entre le pont d'Àûsterlitz et. le ppiit de» r^reheyeçhé, il semble; que la, présence ̃ du tjrolley-yiserait à' peine, s^sible,- les fils devant être «aiyiés dans les, ambres;». ̃ 'r,L\é trolley.. sera diinc.j autorisé., jusqu'au: pont de l'Archevêché, si. toutefois la proposition préfectorale est approuvée d'abord par- le conseil général et ratifiée ensuite: par le conseil municipal..

.Lie-trolley ne s'avancera, pas jusqu'à' la place de la Goncor.de. "Nous lVspérons. bien. -On' peut même pèrisèr que, pareille demande hîa été' faite que pour

faciliter 4e£ négociations. ̃̃ .̃̃. ̃ J

f v Saiht-Béai

ACADÉMIE DES SCIENCES

t ¡

Les rayons ^•Vi– (.^astronomie chez les anciens

·- 'bre:lijbre s

̃*£ 'y?- Héctidtvd'urmëmbre lïjbre

M. le. commàndâht*i)arget adresse une note sur.rargentùre directe de l'or par les rayons V; qu'il a.jon le sait^découverts. •̃ -i <[>̃. Jusqu'ici, on notait pas encore parvenu, malgré les nombreuses recherches, à faire adhérer ces deux métaux, sans une couche intermédiaire d'un autre métal.

Le commandant Darget a obtenu cette argenture par l'action de ses: nouveaux^ rayons. Il a placé une plaque photographique dans le bain révélateur, puis il a appliqué une pièce d'or, sur la couche sensible au: bromure d'argent, et tou- èhant! ensuite cette pièce -de monnaie avec im doigt duraiït une quinzaine de minutes, il a obtenu l'argenture, de la piècie du. côté du bromure d'argent. D'après le: commandant Darget, le doigt agit dans cette expérience à la manière d'une électrode dans Télectrolyse. e

M. Dastre présente un travail de M. le doeteur Maràge sur la-phonation et l'audition, puis ùhë note; de M. Maurice Piettre sur un sujet fort curieux de ;chimie .physiologique. L'auteur montre, en'ëffetj que dans certaines, conditions ̃pathologiques, la fibre musculaire ;perd, une partie de ses propriétés physiques élasticité, résistance â. la rupture, et subit une fonte cellu-- laire, parfois très avancée: ̃

T' l ̃' .̃̃

:M.:Termier. présente' une,, note de- M-. Léon Bertrand sur la géologie de la chaîne des Pyré^nées,dans région située au- sud -de'Mauleoh.1 î M; Bertrand retrouve- dans cette région les nap- pByde^charriàge.qu'il-a découvertes" et-décrites ï dans les Pyrénées "Orientales" et' Centrales. ̃ j-. M. Bigourdan, en présentant un ouvrage' sur l'astronomie ̃ i dont il est -l'auteur, -ènfre- dans d'intéressantes considérations sur "l'astronomie chez les anciens. Il rappelle, que c'est en Ghaldéë que, l'astronomie mathématique a fait son. appa-ï. L ration. ,Les.Chaldéens exceller ërit. dans la déter- mination ..dés périodes de, .révolution "de la lune': ` eides planètes^, et lès' résultats auxquels ilsparr vinrent sont réellement extraordmaires.* Ils arri-> i vèrent, même à-; calculer avecune: précision suffisante les éclipses de lune.̃• ̃ M.' ̃ Bigourdan a également mentionné les admirables travaux de l'astronomie grecque et' -notammeht'de l'illustre Hipparque, qui est re-> gardé comme le génial inventeur «de la trigono-1métrie, grâce à' laquelle l'astronomie put enfin, .progresser.' V '̃'̃̃ L'ordre, du jour appelle l'élection d'un mem-; ,:bré libre, en remplacement de M.J. Tanriery, décédëï /• ,̃̃ ̃̃ ̃ ̃ Plusieurs. candidats sont en présence. Ce sont -en première ligne, M.: Eugène Tisserand en. seconde ligne, M: Landduzy en troisième ligne,; i

et par ordre alphabétique,- MM. André Blondel,'

par,or. r-o p Blonde~l,'

rie Grammorit ei Paul Jânet. ,v De)ix.t6ùrsde scriitih, ne. donnent aucun ré- ̃̃̃̃ 'Sultat. au, trçisième,: M. Eugène^ Tisserand est. élu à. la majorité absolue: de 33 voix, contre M.; Landouzy,' qui n'enta- obtenu que 30.

M. Eugène Tisserand a dirigé longtemps

l'agriculture au ministère de l'agriculture et il v r

g le âu agriculture et, 1

a publié des études sur l'agronomie. ` < 'r.

r~ G. W.

La gare de petite vitesse du Havre incendiée

Le Hwrç^– Les chemins de fer de l'Etat jouent

i-de malheur, "bu laTnalveillance y sévit toujours, mal.

^gré-les rémtfrgi ations r Comme vou^ 1 avez annoncé ce matin en dermere hepre, un incendie a éclaté en pleine gai e de la pe tïte vitesse, à^ins un hall long de 150 raeli es environ, ̃

qui avait é(e i*mph de wagons contenant des ma > 1

bières diveises, notamnient du pétiole et de l'alcool

,raLe personnel de la gare a pu en sauver une cen- "laine, mais sjuatre-wngts ont été biglés On a pu en «loignei' un chai de poudre Les pompiers decou- "rurent, la Compagnie transatUnhque envoya sa' l' pompe à vapeur mais îl.n'a fallu songer qu'à pio < téger les A^tr^s liangai s cond e le feu

lhncendie'ii'a pu être éteint que ce matin ·

:l~j;icendi~'n~pu'éfréét~nt='quece'màtin/'

L,es dègats 'sont estimés à tiois millions de francs (

-dont' deux millions pour les marchandises le 1 este

pour les bâtiments *>t le matériel, qui sont complète-

meiit détruits ̃ i; J yJ

L'enquête arrevêlé que le feu'a pris dans un ca-'

jnion eîjaige samedi soir, de marchandises diverses,

^pour otre sortiJ ce .matin et garé près du bâtiment

incendie. .•

"c ̃> > ji c Paul Bartal (

r: f. y r `~ r 1:

DE L'ÉTRANGER

La Semaine

mondaine

A BRUXELLES

La vie mondaine est très animée. f J Le bal du concert Noble a ete extrêmement brillant Le Roi Albert est arrivé à dix heures quinze et s'est retiré a minuit et demi, après s'être entretenu avec un grand

nombre de personnes. Le ^souverain, qui était en grande

tenue de lieutenant général, était accompagpe du comte Jean de Mérode grand maréchal de la Cour; du lieutenant général Jungbluth, chef de la maison militaire., du, colonel de Ruette et du lieutenant Cattoir J Le cotillon Imal a été conduit par le prince Albert de Ligne et le comte Georges de BeauHort ~i,j <" On ne peut plus animée la réception dansante que viennent de donner le comte et la comtesse T'Kmdt de ` Roodenbeke, qui avaient au. nombre de "leurs invités duc et1 duchesse d'Ursel -marquis et marquise Impenali, comte et comtesse Gustave de Lannoy, prince Georges de Ligne, comte Louis de Merode, comte et comtesse Granville, comte Jacques d'Oultremont, comte et comtesse Juan d'Alcantara, comte et comtesse Fritz d'Huart, baron et baronne Max Pycke, comte et comtesse Etienne f Van der Straten Ponthoz, oomtesse Henri de Baillet-La- < tour, baron et baronne Cfa. de FierlanNDorner, vicom- tesse Adrien de Sousberghe; etc., etc. r Bal costumé, ces jours- derniers, chez le baron et la ` -baronne Pycke. Etaient présents: prince et princesse Al- ̃bert; de. Ligne,: prince: et princesse. Ernest; de Ligne.'coïnte et comtesse G.; d'Gultremont, vicomtesse de iSpoelberch, princesse. Isabelle de Ligne, comte et comtesse = A. de Borchgrave, comte et comtesse d'Oultremont, etc. ̃ T~ Le, baron, et la baronne Favereau viennent de donner deux réceptions dansantes qui ont été tout fait réussies. Parmi les invités;, comte et" comtesse de Montlaur,- comtesse Ch.; d'Asprempnt-Lynde.n, comtesse 'et Mlle* de Rotarée,- ibaronne et Mlle Albert du; Chastel, ̃ comtesse Ghislaine dje Bèrlaymont, comtesse et Mlle Adrien d'Oultremont, Mme. et Mlle'Kervyn, comtes Guy et Paul d'Oultremont; baron Jean: de Favereau, comte et comtesse de Clary et Aldrlngen, comtes Maurice et Robert de Chañgyi comte Baudoin de Bbusies, etc.r -< j.-r-'Le, bal-donné pan M. et. Mme Alfred Bmgmahn, dans, leur, iôtel du boulevard du: Régent, très bien fleuri pour: la., circonstance,' a été. superbe. Le cotillon- a été conduit par. M..Teddy Brugmann' et le comte Cornet de Ways-Ruart.. <M.; et .Mme. Joseph. Hamoir ont donné récemment, dans leur b6tel. de l'avenue. Rogier, un, élégant dîner suivi d-'une sauterie- qui Às'est terminée par un cotillon mené ave cbeaucoup d'entrain- par la gracieuse fille des maîtres de la maison, Mlle Marthe Hamoir, Le:colonel.,G: Page.Bryanj .ministre des Etats-Unis à Bruxelles,- vient de donner' iin! grand àîher' suivi de réçepton dansante. Les, convives, étaient le nonce apostolique et son secrétaire;JWgr dersérzana, comtesse de Hèmricourt de Gamine, M .et Mine Beernaért, baron- et baronne ̃̃ Van; derElst/ vicomte de Spoelberch, M; et Mine Edmond Carton de Wiart et un, certain nombre de membres du ̃corps diplomatique. Ont pris part à la réception qui a suivi: duc et duchesse de Ligne; prince Albert de Ugne, comte Guy et- comtesse Pauline d'Oultremont, comtesse ̃T-Kifit de Roodenbeke, comte, comtesse et Mlle de Montlaur,. le. ministre, de Roumanie ef Mlle Djuvara, vicomte et. vicomtesse. Joseph Duparç, marquise.' dé- La Bégassiere, baronne de Favereau, baron de Mévius, etc. 'A SAINT-PETERSBOURG

^iliiindi. dernier, 'le Grand-Duc Alexandre MicSaïlovxteh. et. la .Grande-Duchesse Xenia-Alexandrovna donnaient une soirée dansante, à laquelle assistaient l'Impératrice Marie, la Duchesse, Marie de Saxe^Cobourg-Gotha, les Grandes-Oucliesses Victoria, Ànastasie, j Marie et Olga; les princesses Marina- et' Hélène Georghiévna la duchesseLeuchtenberg, tous les jeunes GrandsiDucs et Princes de laîamille impériale, M. et Mine Stolypine le corps diplomatique et la jeunesse de la Cour. L'ambassadeur d'AUemagne et la< comtesse de Pourtalès ont donné un grand. dîner en l'honneur du Grand-Duc Constantin-Constantinovitch. La comtesse de Berchtold, femme de .^ambassadeur. d'Autriehe^Hongrie, vient de reprendre ses réceptions du mardi. L'amiral A., Osto..loppff a été victime d'un accident de traîneau en traversantla- perspective Newsky: il a une' jambe cassée et ̃plusieurs .blessures qui mettent sa vie" en danger. [ .Le deuxième hal- donné par la Duchesse Hélène de Saxe-Altenbourg a eu lieu au palais de Kam'enovstrov9ky qui lut la résidence favorite d'Alexandre I" et de l'Im- pératrice Elisabeth^AIexievna. Les danses et le cotillon, diriges par le baron de- Pritvitz.ise sont prolongés jus•îuf "iB^?11- ,La'Çrande?;puch.esse; Ànastasie Nicolaievaa et la.-Puohesse.iH^lène, de. Leuçhtenberg étaient préseht?A|in,si que toute la Cour et leTnombreux- officiers de- la

garde :unjp;érial^ ,•.•̃ ,>̃ S

̃ ï-i' ̃'̃̃; ̃̃>< “̃ :̃;̃:?-̃ ̃ -̃̃̃

-.̃ 'A, VARSOVIE :.̃ -A la « Besource »,.lebal « neigeux » a. eu un succès triomphal., La salle était transform.ee: en. paysage hivernal ̃ avec effets de neige et de lumière très réussis, et le coup d'œil; était charmant. j Noté princesse Xubbinirska,' princesse H..Radziwill, comtesse Joseph Potockà, comtesse Th. Zamoyska,' princesse Rosé. Czetvertynska, comtesses Charles et Georges Skarbeth, comtesse B; Tyszkiewicz, comtesse Braël-Plã ter, princesse Wowineska, comtesse Hareynska, Mme de Tabencka, comtesse. A. ^Zamoyska,- princesse M. Mirksa de. Reszké, princesse Th. Radziwill..

I.EN PROVINCE

̃ -•̃ !A BERLIN >'

/–Le, concert donné à la sàlia'Blûtlmër par Mlles Tfiérëse et Marguerite Laurent, violoniste et violoncelliste, a été couronné, d'un plein -succès.1 Les jeunes artistes ont été l'objet de chaleureuses ovations, .i ̃ ̃̃ Le programme, se composait, du. double, concerto de Brahms, du concerto de Mendelsohn,de la symphonie espagnole de Lalo, ces trois, œuvres exécutées avec accompagnement de l'orchestre Blûthner.

L'Empereur, accompagné ."dé la- Princesse VictoriaLouise, a assisté vendredi augrarid, bal queM. et Mine de.Bethmann-Hollweg ont donné au palais de la chancellerie;. ,v i Parmi les invités, au, nombre de deux cents environ: « Prince et la Princesse Eitel-Frédéric,- le Prince et la Princesse Aiiguste-Guillaume, la Princesse Adélaïde de Holstein-Glûcksbourg, le. Prince Joachim, la Princesse Fredénc-Léopold, la "Priscesse -Victoria-Marguerite, le Prince Geprges de Grèce, l'ambassadeur: comte de SzœgyenyJ-Mariçh, l'ambassadeur,, Mme -et Mlles Pansa 1. ambassadeur, Mme .et Mlle ffill, la duehesse.de Pless' la princesse Hermann de Solms-Braunfels, le duc et la duchesse d.'Arenbergi le prince et, la princesse Lœwenstein-Wertheim-Rosenberg; Mme et; Mlle, de Tirpitz' les' ministres d'Etat MM. \de.Breitehbach,- Sidow, baron de Schorlemer,; Lentze, baron de. Thielmann, le maréchal de la Gour-toaron.de. Lynctëer, les généraux baron de 'Lyncker.,et;.de B.œhn, etc.. L'Empereur es.t: arrivé, à Jieuf-heiires-et a tenu cercle sans interruption, jusqu'à^ onze heures: •̃'̃ Le prince Hermann de Hatzfeld-Wildenburg, ministre plénipotentiaire d'Allemagne au Caire; vient de se fiancer. :avec, Aille Marie, de Stumm, fille du baron' Ferdw nand Stumm et de, la baronne, née baronne de Hoffmann: -̃̃ En la cathédrale, de iMuns'ter vient d'être célébré le mariage de,. la princesse Augusta de Salin-Sahn- avec le comte Félix Droste de Vischéring, un des plus grands propriétaires fonciers de Westphalie. ̃'̃ ̃ ̃ ^.A-VIENNE, frès.brillant.. dîner^.samedi, chez.le duc d'Avarna, ambassadeur, d'Italie. Au nombre; des convives la princesse de-.Trauttma'ns'abrff," leVduç' etlà' duchesse de "Beau- fort-Spontin; la princesse Etélka OdescalchirÀndrassy, le prince Auguste de Lobkowitz, le ministre "plénipotentiaire de Roumanie et MmeMisu* le comte de TCuefstein, lécômteyHans de: Nostitz- Rîenék, le comté Joseph et la comtesse >( abrielle de Thiîn^Buqûoy/ » marquise Crescence de Pallavic.iiti, le comte Julès.et lâ;cpm'tessè,Thé-' rèse de Seilern-Pejacseyich, le comté et la: comtesse Cbarles.de Kageneck;'Mr,et jWrs Francis' Batchell'er et les'

membres de' l 'ambassade "d 'Italie. '•

Au château de Wœllan, en Styrie, viennent d'être célébrées les fiançailles diii comte Herwart d'Auersperg avec Mlle Marie d'Adamovich de Csepin

ROME

A ROME

Le prince Dolgorouky, ambassadeur de Russie, a donné un grand dîner diplomatique, et mondain dont les .honneurs ont été faits par la princesse de Bûlow, femme de l'ancien chancelier de l'empire d'Allemagne, le prince

Dolgorouky étant célibataire. s., v

M de JWûhlberg, ministre d'Allemagne près le Va- tican, a donné a la villa Bonaparte, sa résidence, un dînerc de gala en l'honneur du secrétaire d'Etat 'au ^aint-Siege," cardinal Merry del Val ` ` > Brillant bal chez le duc et la duchesse" de Terranova/ dans leur vilhno de la via Boncompagm S A R la Princesse Hélène de Serbie a honoré la fête de sa présence On a dansé avèb un grand brio jusqu'à trois heures du' matin Le bal a pris fin -par un quadrille fleuri (profusion, d'oeillets, de hlas, de rosés, de violettes] conduit par le duc de Mondragone On a servi après le bal un souper

par petites tables j. p. n~ `

A VENISE

Au foyer du théâtre Fenice vient d'être donné le'

deuxième the dgnsant de bienfaisance Le princë°°d'Ùdine"

était présent, et aussi les comtesses Persico délia Chiesa, ` SagYamoso, Campostella, Guisimian Recanari, Tiepolô,-1' Mme Paccagnella et sa flile, Mme Boiîetti et ses filles, corikesse-~Brandohn 'd'Aïlâa, Mme^-Mortara, comte Pro-

vara, M. Rocca, comte 'Nani 'Mocenigo, comte 'Venier, ·

etc etc.-7 s

Brillante récep'tîon''chez Mme Thérèse Paccagnells,

que sa fille aidait -faire les honneurs/ Toute la société.

élégante était là. comtesse A -Morosini et;sa Bile, le

comte et la comtesse^Garelli, la comtesse Nasali Rocca,

le comte et'la^ comtesse Balbi Vaher, la baronne Gaval-

gna et sa iille, le comte Viola, le»comte Castracane, etc.

Dîners" chez la comtesse Morosini, chez la comtesse Aibnzzi 'r~

A MONTREUX

M Lucien de Flagny vient de dojtmer dans >la* -salle des Têtes du Palace, ayee le concours7 de l'excellent ba- ryton Albert Nicoud, un récital de, pianojjui a remporté un éclatant succès Le public, des plus" seïçcts, a fait fête à cet excellent interprète de Chopin et de Debussy Ova-

tionsvet';rappels:Réconnu,dans l'aristôçrâhque assistance

tions et rappels ^Reconnu dans l'aristocratique assistance:

lord et lady Morris, Mme de Laurda.Je comte de Valette, MM Maurice Darlu, Germain,' d^sparbes, Ailles Traner- sini. ° ·`y.r.:

A ATHENES v

Un.grand dîner a eu lieu au palais royal pour le mi- nistre de France et Mme Deville Ont pris part a ce dmef le roi Georges, le Prince et la Princesse Andre-de Grèce, le Prince Christophe, tous les membres de la légation de France, Mlle JDeville, gênerai Evqoux, chef de la 'mission militaire en Grèce Mme Lacomble, sa 'fille f, tous Ie9 autres officiers supérieurs français, membres de cettelmfssion le représentant du Creusot, les dames d honneur de la Reine Olga, tous les hauts dignitaires du palais civils et militaires, et quelques officiers supérieurs' de J 'armée grecque Pendant tout le repas, la musique de la garnison d'Athènes se faisait entendre 'r A l'issue du dîner, on passa dans le salon à côté, le Roi, tout en prenant le café et en fumant avec ses invités s'est longuement entretenu' avec le ministre de France-et les officiers français A NEW-YORK Le grand événement mondain, avec le' mariage, de. lord Decies avec miss Vivian Gould a été le bal suivi de cotillon et précédé' d'un dîner de deux cents couyerfs' donné par le colonel 'Jofin Astbr, en son hôtel de la Cinquième avenue. Les figures du- cotillon étaient particulièrement ̃ variés lesobjetsdistribués,rd'une rare, élégance. Un instant: on: distribua des faveurs électriques qui, les, lumières étant baissées, suffirent à1 éclairer la salle de, bal > durant la. figure. II. faudrait citer aussi les éventails çhinoisj -les caricatures des ̃ dernières moSes. Les conducteursl; très habiles, du cotillon, étaient MM. Craig Wadsworth'etlHenryS;-tehr. ';̃̃̃̃. '_̃̃ V- y, ̃ ̃̃ A BUCAREST* ̃* v.n- >?"̃̃ i te général; Mano a! présidé la réunion i3e la société roumaine de géographie, qui a tenu sa séance splenn'élle à l'Athénée. Remarqué au bureau MAI. Jean Kàlmdéro, S. .Hepites." '•̃̃̃•' >• ̃ ,'v p: ̃ j -y.M -7..? Le docteur Ludwig- Ross, doyen des; médecins' et professeurs à la Faculté de Sassi, vient de mourir. Ses' obsèques ont eu lieu au; milieu d'une fpule; énorme. ̃ Universel. ̃̃̃

LETTRE |E_LOPRpS:f'

y -i

Nouvelles la famille royale. -Quelques

t~ouve)!es da fami)!e Y Q ,q

détails curieux sur le couronnement. Le « home ruie » de l'Irlande accepté par l'opinion. •' r- La fortune de l'Angleterre.

JLohdres, 19 février. 191Ï.J II y a, depuis quelque temps, une assez vio^lente épidémie de rougeole, à l'Ecole navale; de Dartmouth et le Çrince.de'Galîes et sqni frère, le. Prince Albert, ont été attaqués par ile niai. Fort heureusement, ils "avaient .déjà; tojas?4ea deux, eu cette maladie, qu'ils, n'ont contractée, cette fois; que sous une forme bénigne! ./Les deux princes sont maintenant en.pleirie.vpie de guérigon. ·

Par une coïncidence bizarre, l'Ecole navaie d'Osborne est également, en ce moment, un foyer d'épidémie de rougeole et une centaine d'élèves sont è! l'infirmerie. r, ̃ '̃̃ A Dartmouth, on a eu à regretter la mort de deux des élèvres. Parmi les événements "de la. saison1, urf des plus importants sera la visite, dé remp.éreur ̃Guillaume' et. de rimpératfice, ,qûi~vîehclrqnt assister à l'inauguration du monument cpmrriémpratif de la reine Victoria^, qui se dresse sur le Mail (Saint-Jame's Pàrk), en face du palais Buckingham. Cette cérémonie aura lieu très probablement. le. 15. mai et l'on se dispose à y donner un éclat, exceptionnel.. Les premiers dîners de, la saison auront1 lieu le 21 et le 28 février. Celui de mardi prochain, qui 'ouvrira la série des fêtes, de1. Cour, sera, selon la coutume, consacré presque exclusivement aux membres du corps diplomatique' .et aux fonctionnaires. Les Cours ne cVmmiéh'ceroot .qu'au mois de, mai, quand le deuil ;dé la Cour/aùrâ pris: fin- :il yen aura-quàtrë-âyant le couronnement. '̃"̃

,.̃̃•̃̃̃̃̃"̃- ̃

A propos, du cdùrorihèmènt.ll est maintenant t décidé que l'Allemagne sera représentée- à 'cette cérémonie par Prince. héritier 'et là Princesse, qui auront une' suite très restreinte, s comme, d'ailleurs, toutes les missions étrangères. -Ce sera comme en 1902, où l'on avait -limité le personnel des missions à cause, du. manque. de place. L'abbaye de Westminster, si vàste.qu'èile soit, sera à peine suffisante pour contenir. tous lès personnages: officiels et autres "invités au couronnement., ̃ En 1902, on né l'a jpas oublié, v les missions extraordinaires durent s'en retourner à cause de la- maladie du roi Edouard, qui fit:: ajourner le couronnement et lorsqu'il' eut enfin lieu;<au- mois d'août, les ambassadeurs et ministres :ac^crédités à la Cour de Saint-James seuls y assisetèrent. Cette fois,; il y 'aura et les missions spéciales et les ambassadeurs etministres.ces der-niers étant simplement^ dans la circonstance, des invités. -*• «-i On sait- que l'étiquette des Cours"ne permet pas qu'à un couronnement il y ait d'autre souverain que celui qui doit ceindre la couronne et c'est pour cela que les missions ont à leur tête des princes et des ambassadeurs extraor^ ̃ dinaires. Il y a même, à ce sujet, quelque doute ;sùr la possibilité de la présence 'h l'abbaye de la reine Alexandra, qui "a' été couronnée ;eri même temps ;qtf Edouard1 VÏÎ, mais par l'arche^ vêque d'York.. -i On a dit, à ce sujet,: et iby a, à cetiégarii, une tradition,, que si; le. Roidoit être couronné par 1,'arçheyêquè de. Canteribui^, .primat, iftér.ioyle, l'Angleterre, la ÎReine doit recevoir la' couronne i- des mains /de Sa Grâce :d!York/ primat 'd'Angleterré. ̃ ̃ ̃ ̃ ̃̃̃ r. t >-v. C'est, paraît-il, une erreur. eir!si- la reine Alexandra £t ̃ été couronnée pter l'archevêque ̃ dlYork, oela'.a: tenu au e désir gu'Elle et- le:R6i ont exprimé) et à: des circonstances- particulier .res. La légende est peut-être due' à ce que l'archevêque d'York est,, de par sasituationj chapelain, de toute reine d'Angleterre. ̃̃̃. ̃̃'̃•̃• .'̃ •̃ Et il n'est~ même' pas nécessaire que /le sou-;vèrain soit couronné par rarchèvêque de Cân-. ̃ terbury plusieurs rois d'Angleterre ont été couronnés' par liévëque de ?Londres,! et riotàfnT

ment' Guillaume- Illi .-̃̃ •îÀ;.

Pendant longtemps il:y eut une, rivalité: entre'

lès deux, archevêques anglais, .et' l'on '.prétend même qu'en une certaine occasion historique; Sa Grâce. d'York voyant, son riv.al, Sa_ Grâce de/: Cantèrbury, siéger ..sur le trône^êpiscopal, 'S'assît- sur les.gèhoùx son rivaiJ;poùf.rëclip-; ser. etyêtoùfïer.. Aujourd'hui, là'sitiiation respeetive des deux prélatsiest j bkn établie^, il ï L'archevêque de :Ca.nierb\iTy:{MelTopolitfi'nîis et- Prirnas' tôtiùi Anglîse) èst.le!premié^.dighi- tairerdë l'Eglise- anglicane ;^ir à 'le pas's'ur tout: ̃̃̃ le monde, sauf: les Princes .du .sang et ieé; ambassadeurs, et il. touche 375,000 francs par an. L'archevêque d'York {Prtrrias et Metrôpohtanus Anghœ) ne vient qu'en troisième rang, car le lord chancelier^ marche entre les 'deux arche-

vêques. Enfin l'archevêque d'York ne touche

que 250,000 francs Ce n'est pas tout encore. Sa Grâce de Cantèrbury est archevêque « par la Providence di- vine » Sa Grâce d'York est aichevêque < par permission divine » Jusqu'à une' époque rela-

tyemént récénté;, 'les prélats~ ânglais portàiéqt.

tivement récente, les prélats arglais poitaient

perruque^ comme les juges;, et le dermer?gui se

couvrit le chef de la perruque fut rafche.y"equB Howley, qui couronna la reine Victoria, en f838. Avant d'en finir avec les nouvelles relatives au couronnement, disons que, d'après le Tzmes, 'le roi George V portera à sprî couronne- ment le manteau de drap.d'or que, portait Geor-

ge IV à son sacre, le 19 juillet 1821., s

z ?.

S 'r~, ~"S 1 i~s h 1

"2 ~çx'~if~l~~ .T'¢>J~ t 9'f9k?~r.

Cette se.majuaB^ia-^Gfcmftir^ desjeommuQes^a

décreté^dajîg^e-pl^i^caîme./un amende-

ment àiTaac$ssJi!Siir^^È[uestioh du ^«,, home

rule,» .-çA lcPEha'mJjre^oiîiai'a^'asjeu' Ji^ signaler

le moindre, iincîdent^et. le ^éb.âtflîC'éle s^plut^t

terne dansée pubkc-^j^f.a<^te •mdn'ïérent.

Le iaît 'esj^a "notêr^/né ïut^ce^ue^ppjur^faira °,.

voir' le^chemih paTcdîiru.parisrogini^^iêpiljs*^

i8J3' A^cétte^p^oque^êQe^dUj^sihom^^é ?, V

discuter iig}ng^^fej^>^iéJtalJ^bn^[pBgiifi.z î-r

'ïious, il y aïqueJqiïës^afin^es^gpaïj'dio^^Sailg^:

d|ï3JAfîajr§rfMùmten|iiBt.yJe/«^^è>^4^^


considéré; par la plupart des Anglais comme

une cho.se désagréable que Ton ne, peut empê- cher, contre laquelle il faut protester, mais qui

est devenue, inévitable. t..

ISn attendant, les Anglais ont un sujet d'urje importance plus considérante, encore et d'un intérêt plus nnmédiat, c'est la réforme constitutionnelle et le Parlement Bill dont la discus- ii«n commencera mardi prochain, 21 février i M. Asquith a annoncé, avant-hier, qu'il entend faire voter ce projet de loi aux Conimunes dans'la première qujnzaine m.a.i et le sovimejr

tie aussitôt à \& Chambre des lords, de façon

que le sort de cçtle mesure soit décide, dans un sens ou dans l'aube, avant la date fixée pour le couronnement > Tel est le projet de M. Asquith II est cer- tain qu'à la Chambre re, des communes, en dépit d'Une -opposition <achai née, il fera voter la loi dans les délais qu'jl a fixés Mais à la Cham- bre des lords, le gouvernement est 6n mino- ntéj la discussion "peut se prolonger.'beaucoup plus que ne le pi oit le premier ministre, et il ne paraît pas prouvé, à Théine qu'il est que le Parliqmçnt Bill spit voté ou repoussé par les lords avant le oouionnement il est même des ` gens d'instinct sportif qui -sont prêts à paner que les débats continueront, h, la Chambre haqte, bien après le 22 ju.in. 'Ne parions pas1 et.

attendons.

`

D'après une. statistique ''officielle, publiée j hier, la' fortuné <japitaljsée du Royaume-Uni, en 1909, s'éleyait.à. six mjjl.iàrds sterlingiou cent eîâquan$e milliards. (Je Iraçes. r, ïlMécWssez' un. peu à. ce que .représenté! ce chiffre, ;dé cent- cinquante ;milliar'dS'l^G'esf .•éblbuissant.: ••̃ ̃ 'S; .̃• ̃̃̃ Et faut-il s'étonner, quand. deux: millionnaires anglais, sir William' Aquén, mort' le 31 oo- tobre dernier, et lord ̃Win'ters'toke, rnort.lé:29 janyier, "ont laissé à eux deux pïus.,de'46; ù>il-

fions; dé; francs ?.̃"̃̃

•̃̃̃- ̃̃ ̃?̃̃̃ Hûgb .Ciiesà ̃

:v LETTRE OlJ^EUISj;

Le voyage du Roi et de la Reine. La question des fortif ioatians de Flessingue et (e monde diplomatique, t-. Une Curieuse reconstitution historique.– Un Jordaens retrouvé. f: i ̃̃̃ ̃'̃.̃̃ ̃ :t Bruxelles, 20 février. La Reine Bst-partie;;il y aquelques jours, avec

1 leroi Albept^qùPrlà Riyiera,-i^alieftn.e, -pu;' ainsi

que 4e.cljàv4is;âûnonçé.J Leujs M^j^s se. sont installées non loin dé-Rapallo. Comme bn dé-- < sire>.4su(rtoutrqu.e .la, souveraine jpuisse-se,jepo's^r^-ôù.aoçhQisr.un endroit .tranquille, /.aux" 'en- Virons. ^antà-P^argh^erita-de-Liguf^ 'iijjjB/déli-. cielùsé-Tiétïiè.'ytlleTde'lâ/.prôyinceVÛe Gênés, sif- tuée près du 'golfe de ;.<:hiâvarî dans" un' site abrïté^du vent: Les médecins ont conseillé d'essayer i'-effet de' cette -'Tillégiatûre -et indiiqiié en niêmé temps t comme ."très: favorable un séjp'uj éh Egypte. Il ësfdoncfortipoSsible'que.làReiné ̃̃'&y j. rende dans quelque temps avec -sa -suite-, :pour-he '-rentrer en Belgique qu'au retour de belle! saisoni, c'est-à-dire dans -la seconde, moitié /d'avifil. ;'̃̃̃'̃ •̃̃̃̃̃̃: r ̃̃;̃/ ̃ ,̃-̃̃ •̃ ̃••.)̃

;k^v; .v. ̃&̃̃̃: -r ̃̃- -̃' ï,' ̃ {̃<

On /s'occupe- io.ujpur.* ici de la, gùestipn de^ forte de Messingue, ̃q'upiqtfon en parle = inoing maintenant dans Ja- presse.». Le- monde :diploinafciqiïe surtout s'intéresse maintenant^ -ce;. pçojét'dé loi hpllandaïs,1, qui a ^certainement causé qufekrué émdi dans' plusieurs chancelleries auropéennes -y* plus sans doute qU 'on n'a voulu î'4vou;è.i\ ̃.̃̃̃̃- ̃ ̃̃̃ '̃̃ ̃̃ .'̃ ̃' ;*̃ ̃ Evid^rnmenty personne; 'ne songe- â contester à la, Hollande le- droit dlagir ,elie?;, elle comrne bon lui semble, mais, à leur tour, les pays qui spnt ennuyés-parMla toufnure que prennent/ les chosesi peuvent,- à' l'occasion, ne. plus croire autç.pt qu'ayant 'wau'. désir de neutralité de nos voigins du Nord.' IL me revient,^ à ce- propos, un bruit^qui circulé avec persistance dans les sphères diplomatiques de plusieurs capitales ̃ on dit, sous lé; manteaUj .:que; certaines puissances .auraient l'intention, §i. le, projet, des' fortificaftipjp|s se', réalisaiti de proppsér de .transférer raij^ le'urs i le si^ge du tribunal arbitral internatiorial ..etjdè's «oriîérençes de la; Pâlx^v r .i,;ï,là, Je jrappelieFai a ce propos- qu'il-iut Jquéstioni lors 1av première conférence, de.\la réunir- $- Bruxelles ou à Là Haye*: ce fut cette dernière ville fluij'emporta. Èïle n'eut, jamais la:iaveur dés; diplp'rn.ates mais ejle-; regretterait étiorméi ment ?de ne plus ^êtiçe, pendant dé longues se.;mainès,; leur lieu â,e réunion. ï*pûr aujourd'hui^ çéiï'è.st;qu'<un bruit.1. ,•̃ ̃' Lè^' socialistes ont eu au. sujet de cette eontrio' Versé uiié idée assez curieuse1 qui faut qu'on' la signalé' unes délégation des membres. dés partis sôcikl.istës belge et hollandais se réunira 2'7 çô.rndis, à La Haye, pour, examiner et dis- cuter la question des fortifications. Que sorti-1 ra-t:il çé congrès au petit, pied î ,•̃ r.\i\y' l-& ̃̃ ̃ ̃ .̃̃̃" Viôiïlé Société bruxelloise la « Grande Hâr-^ ïnoîiiè organise tous, les ans Un bal costumé fort intéressant celui de Cette année présentera ilu point •de-vue, français un caractère vraiment cUrieUx. puisqu'il^ évoquera la visité, à Bruxelles^ de Napoléon Ier et de Marié-Louise, qui furent naturellement reçus en.grànde pompe. Les costumes seront scrupuleusement reconstitués f d'après les dôcunierits" du temps et d'après les ordonnances impériales1 1811 le musée d,e, ï Armée et lès collections française^ oiit été, mis à' contribution afin de réaliser urï ensômbleparf ait dans tous ses détails. ̃ ̃: Çfn des membres de la-: vieille 'société de laj bourgeoise bruxelloise représéïitèra Napoléon,1 qui fera son entrée accompagné de l'Impéra-' tfioe #t;suïvi d'une Cour brillante,: l'on re< marquera ̃̃ ̃̃ '̃̃. r; .Le rdiidè N?tples et la rèihë:GarPlme\ Junot ets :là duchesse d'Àbi3antès, le roi de Hollande, la; prificesse-Borghèse,- graildé-duchesse de TPs^ '̃: cane^jës. dames .d*hbnheur,.Mnie,'Récâmier'v maréchal I^febjrrè^lecprirîée; de Tàlîeyrand,5 les m'arécbaUx" et les hauts dignitaires. Ii. y aura- aussi' leipréfet^du département îidè.ia. Dyle et; ̃ bien d'autises personnages du temps; :• r '"Le trone ito^êrial sera dressé dans* la grande salle.j'qùi précisément est.dui;styl6 UËmpeteur et rimpéràtriGe prendront:: place [ après avoi r signé le. livre;, d'or.1 lls;âerônt:éntpUrés dësgro- gnards delà garde.̃: Le cortège défilera au son de la «Marche de; Vieille gajdtl »j a Veillons au. sàlùt- de l'Em-. -pire », et d.'a.Utre5: airs de, l'époque. On dansera; .des.'jnéTiuetsj.desipasse-^aiéds «t dès. rigodons L'ïllusion'séra sans douté'cpmpîète et offrira un .curieux; spectacle au roi! Albert j qui à/promls de. revenir ipût exprès;; d- Italie, pour .assister à cetle^ .cûrieuse'ïêté historique- ̃ ̃ ̃

<jli ^iént'dé: décpiiyric dans un, hôté^particu:-

lièr de province un tableau d'un des grands maî- tres flamands, dont on avait perdu la trace. Il s'agit d'une 'grande toile de Jordaens représentant Satnl Yves-, patron des avocats, dont une esquisse complètement achevée se trouve au musée de Bruxelles i C'est un rare bonheur de retrouver amsi des trésors trop "souvent ignores leurs propriétaires, qui n'en apprécient ni la puissance d'ex- prôssrôn ni,la Leaute. L'œuvre, d'un colons supèrbe çfuTune composition splendide, est dans

un parlait TêUt de conservation II est regretta-'

ble- qu'on ne l'ait pas retrouvée assez tôt pour •Ofii^elle pfjt figurer parmi la belle sëne des 3or-

daèns, à. l'exposition d'art ancien; l'été ôtermer,

̃ 'Charles VVoiil

LETTRE DËIÛeIÔS-AÎRES'

) iJ& < .v~

La propriété foncière dans, la capitale

'VENTES? BT HYPOTHÈQUES /J

Si les transactions qui ont polir» base la pro-

priété -foncière peuvent servir de baromètre pour apprécier le degré de prospérité générale, al ïautfcotlVefur, étaof donne le fésultatdes oçé-1 rajMna réalisées- -pendant <le mois de décemb'rej

dêrùier, qu§*î6 marché immobilier de Buenos

'Ayres s'accentue avec plus de fermeté et' que la'

"valeur <tés terrains îion eealement se mauitient,'

mais augmente "-proportionnellement avec ies

Leê renselgflements1 fournis" <i ce sujet par la'

direction, de lft s"taitsti£[ue municipale 'ladt-

dùentv, ppui*wles-889 îmnieubles vendus en de-

cemlî]r^iÔlO,'Tlh,e valedr de 59,886,73o,fel' pias-

'Jtïeai% 4jàut>les'9l6-^ropTÏétÉ& hypothéquéésj

15,270,-424,-77 piastres En comparant ces chu* îres avec ceu\,des ventes et des hypothèques,. du

même mois de l'année précéderiez on trouve

une augmentation L de ;L3,485,-8&3,65 piastres s-

pour les ventes et," par contre, une diminution

de 6,607,018,^0 pour les hypothèques. ` Ltes ventes d'immeubles dans la ville de Buenos- <\yres, durant l'année 1910, se sont éleyées à 41^,318,850,58 piastres, et ies ""hypothèques à 147,091,759,98 c'eSt-a-dire" 125,658,169,34~pias- .tres cle plu? que poui les ventes réalisées en 1909 et -36,846,782,00 piasties de plus que pour les hj pothèques effectuées pendant la même période

Én`com si~a` ~1 s vën s'fl ë é ~en écem~)j`~`

En' comparant les vendes opérées en décembre r

de ces deux années, on a les chiffrés suivantsDécembre 1.9JL0 3,889 propriétés, ayant une superficie de 2,377,842,95 mètres carrés, une H-' leur totale de 69,886,735,51 piastres et' un prix» t

moyen de 25,18 piastres par mètie carré.

Décembre 1909 3?iÔ5 propretés, ayant une superficie de 2,604J237,9,7 mèjres carres, une va- leur de 46,450,881,86 piastres et un pnx moyen de 17,83 piastres -par. mètre carré.

,IJ v a donc, en taveur du dernier mois, une r

différence de1 724 propriétés, Une diminution de superficie de 226,395,02 mètres carrée et une augmentation de valeur de 13,435,853,65 pias- tres, ce qui porte l'augmentation du mètre carré à 7,35'piastres. Lies .hypothèques sont représentées par les chiffres suivants ̃Décembre Ï910 ̃ 915 'propriétés; contre 781en décembre 1909 r superficie, 523;590,7-if mètrescarrés, contre 411,329. valeur; i5,B70-424$77 piastres, contre 21,957^430,07. ;Il.y:a donc> en faveur de décembre. 4910, ;un excédent de 134 propriétés et 112,261, 71: mètres carrés," contre une diminution du montant total de 6,697;018,30 piastres. •' ̃ ̃ j 1 Le résultat suivait correspond aux. ventes et hypothèques réalisées durant' i'ânné;e 1910, çqm- parées 'avec celles de 1909 f: -v Veûtes'.eri 1910 J: .27,719 ̃propriéjJés;d'une; su- perfide de 13,972,157j35 mètres carrés et' d'une valeur de ;418,318,880,58, piastres, -contre 22,772 propriétés d'une superficie de'18,016,047,89mèr très carrés et d'une -valeur de 292,660j71i*2f piastres,* vendues l'anriée^réçèdenté. i La différence en faveur de Î9ÏÔ est représentée- par &j947 propriétés et' 125,65&,169,34;piastrès, contre 'Une diminution dé: ;4yp43,89p,5'4 mètres carrësMe superficie, ''̃ ̃ ̃ Le prix rnoyèii du mètre. carré d'éié\ «n i9j39, de 10,69 .piastres et s'est élevé A 29,93 en. 1910, c'estrà-aire que la propriété a subi une augmentatiùrji de: J9,24 piastres. par 'rnètre.c'arré^

w. I 'I.

"'̃ Hôtels d'émigrants en Argentine ̃ n existe à BuenQ^Tàyres.jine, excellente institution qui n'est pas' un dés moindres facteurs de l'émigration vers ce 'pays,' En.effet,;dèsi.son arrivée, tout' émjgrant est logé et. nourri gratuitement jusqu'à ce ;qu'iï ait. trouvé. un moyen quelconque de- gagnèr^sa Vie, "qu'il ait été mis en possession d'une'; portion de terre' à cultiver. ̃ ̃" '̃̃̃ ̃̃" ̃ ̃'̃̃' ̃L'ancien noièl dés "émigrârits manquait -de ̃ confortable aussi le directeur .actuel qe r.émigration'a-t-îl fait tous ses efforts pour activer l'achèyement du nouveau bâtiment qui doit le remplacer: r .iî' ̃ ̃ *•- pn> va procéder très prochainement à*l?inaur guration du nouvel hôtel, bien qu'il rie soit "pas complètement terminé, et, peuà-pêu, on ajô'u<tera les .diverses parties de cet' édifiée" Ce travail s'achèvera d'autant plus facilement que nous eritrons dans ,1a saison pil l'émigration^se ralentit;; Quoi cju'il y;.ait encore -des. amélior-a?tions.à.y apporter, c'est une, construction digne de la grande villequi.U'a- fait édifier, et la nouvelle direction de. l'émigration mérite d'être louée très sincèrement: ̃ .̃•̃•̃ [ ̃̃ La ville 'de Bahia Blahca procède également à la construction d'un Hôtel pour lés émigrants, dans but, de. diriger courant éinigrant vers. ce portât d'envoyer les arrivants de pré* férence vers" lés champs.: L'idée est excellente et, si l'en. peut arriver à procurer à chaque émigrant un terrain, à cultiver en lui en facilitant tle paiemeiit,; ainsi: que l'acquisition du ̃ matériel. nécessaire si l'on peut aider le petit capit-alisfce-a se rendre- propriétaire' sans $iffi* cultes uni:retatd^y'auçùn§i"s6i^ répartir le terrain dans les conditions les;: pl^ favorables à l'exploitatiorij. pn. réalisera -céjrfcài-? nement une oaûyré essentiellement hum.ani-? taire, qui en mêmefemps^sera un élément de; richesse future -.pour: .la région. Mais! le pro.blême de la colonisation reste toujoùrôëàns s'o^ lutiôn. On a -beaucoup dit et écrit à' ce sujet, sans arriver à une décision satisfaisante. L'émigration existé, c'est un fait,, elle est même très intense dans la République Argentine,; niais pou?' pU'éllê produise tout ce qtf elle devrait produire et pour qu'elle contribue, réellement à l'augmentation de la population, il faudrait que les colons s'établissent: définitivement-dans le pays, au lieu de repartir dès qu'ils ont amassé un petit péeule^çqmme cela se présente dans la majeure partie des .cas.. ̃ ;Getté grande, question mérite cl'êtrp étudiée sériéusemen'tj Léï\ certainement 1er nouvel ;hôteï dès ëmigrants est un. pas en avant dans une voie encore longue à parcourir. ""̃" -̃"•-̃ '"̃̃ m ̃̃ v J'ai pensé' bien souvent que. si les damôs fran-: çàises, qui ont atteint le record- du monde éti-l :£ier par leur amabilité, leur savoir-faire, leur manière de comprendre l'hospitalité .et'lerur. ;goût exquis 'dans., ràrfang^rriént .dev leur -;« home», si les^damés ftstriçàigës, Ûis-jé, àyaiëht ;:ën: letirfpoUVj0ir^l.a- lànipe d^adin: et qu'elles dussent trânsporreQs'à .leur gré. dans une mâiL sort quelconque de Buenos»Ayres<où:l'onyeô0it,: ieïlës seraient certaineinent -bien, étonnées et croiraient que le pouvoir' dfe famétisè.laiïipé •̃^aurait1 traiispqrté' eii rriëirie temps .gil'élî^s tout ^ûn quartier' de Patis^ pour. le .placer. raù ikïàte '.des pampas; oùj d'une de nos villes- de .«. sauvà- !gès .».! dâTj il.fâut-îe dire, helas !-on"nous.'con-: '.naitvijès'peîï': «ii^ Éurftpev Soit 'à; causer de-- notre. Indolence à forcer "l'attention,- spit^ h causé du- manqué de temps de la part des JP.arisienrtes, le; fait est qu'on ignore absolument jusqu'à quel. ppint-nos» daines 'argentines sèr sont -adaptées. a.ux couturnesJeurqpéennéSi.1 ,v ''̃'̃"̃ \'i- J'ai vu des Français ex0ëssivement:in§tiiuif,s ët-icti'stîngués/ qui arrifaiènt à BUén.Oâ-^yrjes. bien munis de renseignements. statistiques et' >Mstori~qués,' qui- cfoy&iëût-tout çortrîàîi^e; pâ.r^e q'u'ilsr avaient ltii1' siir ̃fiof,ré"pays': dé's~: Quantîtési de livrés techniques, ils n'étaient pas peu sur-, pris de se voir reçus dans de véritables palais,, où des domestiques en .grande livrée les. attendaient à' la porte de la rue pour les. introduire ;dans dessalons tapissés sdieries, ùù'lés fhaîtresSes de màispiiëj- vfituës aveb j.ê bon. goût ^e. plUs>afiinevlès^ac'çQmpagnaîént d#ns dés salles .a' manger d'une élégance et d'un luxé du meil-:

leur ton, et les faisaient asseoir autour de ta-

leur io et les -faisaient asseoi.r autour, de: ta-

bles qui, même à Pans, émerveilleraient par la magnificence de leur décoration florale, des: porcelaines et de l'argenterie qUi figurent à "tout dîner, quelque peu important qu'il soit Les habitations argentines lôr cèdent en rien aux françaises pour leur luxue,ux ôonîori Toutes *les grandes rriaiSons -ont leur maître d'hôtel, leur cordon-bleu, amenés de Paris à pnx d'or, et' qui confectionnent les mets les plus recherches Les domestiques sont stricte- ment stylés et les maisons sont «i parfaitement tenues" qu'on pourrait se croire à Londres, la correction a'-atteint son summum. w Ijes -fêtes, balB.et dîners -se succèdent durant toute- la" maison, etf les grandes familles rivali- sent entre elles de luxé et d'affabilité pour re- cevoir leurs hôtes. Parmi les familles qui don- nent le plus fréquemment des fêtes, on, peut 'Citer i, r

M Ezequiel flamos Mejîa, Mme Ana-Eha de

Ortiz Basualdo, M. Manuel Lainez, Mme Mana Uqsue de Alvear, M. Julio Pena, M. Eduardo Ohejero M- Andres Christop"hersen et une quantité d'autres -personnes 'dont* il serait im-(

possible de donner les noms ici ( >

Oêries, tous^'ces Français distingués, qui, avaient assisté dans leur pays a des -fêtes ma- gnifiques, ne s'attendaient guère a trouver dans1 un pays si lointain l'écho des moaes à peine» parues à 'Paris 'C'est que les" Argentine ont le don de sa voix apprécier le -beau et d'imiter -tout > ce qui est artistique et surtout toyt ce qui vjent du grand c%r$'eau-du içônde qu'est la Erartce

'Les Argentinsraiment beaucoup Pans' et enipnt

•pteçque une^ecjiode patrie. La preuve/en "est î

que tous ceuy qui y sont-venus une fois >%re-.

yaennept toujours avec plaisir. En retour, ilvest

tîéû&saa&e que lè£ Parviens «apprennent â con-'

*xigén»îes ^e dômatiâe.

naître ce beau pays, «encore très jeune, ma*? déjà très avarice au point de vue de l'élégance

çt du savoir-faire

¡/ J'invite toutes les élégantes Parisiennes T4 assister aux comtes de « Palermo », pour 'juger- de distinction de nos dames et de leurs 'toi- lettes, de la richesse de nos équipages, et de nos r autornobiles. Cela leur donrièra en même temps ,`s

f ,.4x: ;TI?{!I~ftr:51e;' °.

l'occdsion de se reposer de la \ue "fatigante dç^

Pans en respirant pendant qumze' jours lav buse saline, de fane un joli voyage, de connaître les bateaux transatlantiques, qui sont, de. véritables palais flottants, de se refidre compte

des agréments de la vie de bord, ej, surtout.

surtout de connaître notre terre argentine, qui ne manquera pas de4es enchanter. Je voudrais aussi appeler leur attention sur `, notre plage mondaine, appelée « Mar del Plata »: C'est que se réunit toute raristocra- tie« buonarense » pendant les, trois rrîois d'ét$. Cett-e station balnéaire, située dans un 'pay- sage féerique, possède les hôtels les plus somp-, lueux, des maisons particulières et des grands chalets construits avec un goût exquis -et meu- blés avec le plus luxueux confort. Pendant tout1 l'été on reprend," à Mar del Plata, la série des fêtes ̃'commencée l'hiver à

Buenos-Ayres

II y a un casino, dans lo gôrire de celui de Montie-Gailo, possédant une ;mmense salle à manger qui peut contenir 300 personnes. Au son d'un orehestre excellent, les dames dînent en grande toilette et les messieurs; ̃ en; habit. Tous- les" soirs, salle des fêt^s est illuminée pour dés ,bals| concerts,, cotillons, auxquels prend, part toute la jeunesse élégante. Les. salons de jeux "réunipsent^ 'autour de

roulette, du,ljao.carat,du i.trénfè-*t-c[uaràrité,

etc,' les personnes les plus distinguées de.' Ville:' “̃̃̃̃̃ .< :•:̃̃•̃. ̃̃ -î- ̃ Les enfants et les jeunes filles s'adonnent beaucoup/aux sports; de; toutes sortes gPlfyten- nis, ̃- croquet, patinage,' équitàtion^ çbndu'itë d'attelage, etc. '] -Z On fait aussi de très jolieè excursions aux' éri- virons. Plùsièurs'fàmîllès èe:réunirssenfét;paiv tent diàns leurs kùtos, généralement; anjènéés'^dfe Buënbs-AyreB et conduites- par leûrsv'prppriéi taires..j ̃ II y a un grand théâtreoti' jouent continuelle- ment (^excellentes, •trôypes, et mn?clu,b*-réçem- nie.Qtr-,ooristruit, qui 'est dernier -crfvdùi'cbnfort et de l'élégance: -C^st un cerclé émineniment sélect,- où; -les- membres §eu}s sont^admis et dont Taccès est très difficile.. ̃ En un mot,- Mar del Plàtâ peut rivaliser aveÇ les plages européennes les plus réputées.

'̃̃̃̃ ̃̃.JTacik^aî.ter^ •'

'̃̃ du ̃̃ :̃̃.<̃ .M.- (̃'̃ Palp de^: Beaox-Arts '< Monté^Cario i v '.stjite:;et";fin. .'̃ ̃ Avant de passer à foâçUlpttlre je iierié à sigiialer quelques gravures offrant1 un" f éeï intérêt.rParhil celles qui sont ^vraiment lï(Jrs"4e pair,: "trois -eajix- fortesdeM..ArâèneCh.'abariiaii Pesccit$¥i--edtf d'E* meraude, Qiuti â Boulogne, gùî !sé. reçommândenV .par deur: trait délicat et sûr. -J- La, ̃Lettre, litti'ôgra- plue originale, de G. Claude. –Deux- eaux-fortes Manuel Robbe.Èe^Afodéffe et Cdpirièt de toilette, .< d'un dessin nûnutieux, ferme' et modelé'. -–Canal à Bruges, La Bourrasque, Bords de l'Oise, ÇH.-L.. Hojidardj traités aveô- finesse et çrécisibû; Plu- sieurs autres eaUX-fortes vigoureuses et d'ùne^bëllë couleur, portant la -griffe de MM: Le Goût-Gérard^. Gaston, de taténey, Antoni, Bf oûet, ̃ Jour'dain'^Hugard, Le Riohe, MeunieiN-'Lûigini, Sitnori, Plàssei J.-F: Raffaelli, 'Lbir.NLafitte, L^brouche,- ^Fénce, Etienne, Gatier, Charlétv Cassiër^ François, ;éfe..4 SCULPIURE ET.OeiErSB'AHt:. '̃'̃ .,̃ "La formé féminine: est la dernière exprèssîçiii dé: beauté.1 Aussi tous les artistes se spnWls; tou? jours tourmentés- de ;reptt>àuir.fe eette cféa'tijre: mer- veilleuse. C'est pourquoi îeSatou (Je/Môrïtè'rÇarlo pullulé, chaique année, de nus féminins. C'est que ̃̃̃ le marbre s'accommodeeurtout destùrmèé"p"u'r-es et

himineuses dg, l,a, femme;Aux déessesif lé^narbre

blanc ;.apK,graijds lïomtnës et-.aù^Siérps.le.tjijonzç" qui accuse, plus -fermement la fcéauté niâlë: et1 vioj.lente.' Le marbré çoïiviexii'^ la ciiair, d(ç>nt ilsif mule la traréi.parénçè ft.ri^ûerc.eptiblg/'nigpsité.wt' Lès anciens employaient toute^^ï-tes de majp> res pour leurs. stéjués, les.,bois, les pierres, lest mè^ 1 taiix. "lis ont 'laissé dei'iiïefè-'d-œiÏTOé^én cèdre, éh' argentioen; ivoire, en "porphyre, en ^â'mbrë,;eii ̃ g?a* nit mais cependant ils ont'toujourâ,dohn6^a préféi ̃ r.ence, pqurJes statues de fçmmes^ à, leurs célébrée marbres ideParos.et d'Ëphèse, du mont Hypjetto-et de cette veiné. intarissable" du Carrare salis çesJM crelisêe depuis Jules /Cééét. Nous citerons tout d'abord M- fiényg Ptl'ecb, l*é"-s ̃ minent merilbre de l'Institut, qui pair son qHiyUé et ses oeuvres coûtpibue sfc ̃ puissamment, chaque anïiée,.au succès' du Salon' monégasque. ;^I1 expose notamment. fluatr* travaux d'un ciseau très-pûr Rouerie,, statuette marbre JfqnlçUsië, buste marbre "tc'uitë.'fX'W'ofè, statuè(t«. marbré,, et- deux. por trusts en bronze doré, apparaissent toutes les qualités de grâce et de vigueur du, rïiaitré -rèpSiè. De ;My -A, Câfli, Un nië^bré et $én± bronzes" Chloêi la grâce la plu'sftéïvéuse- 0Taphdle,,grtm^ de* belle, au la^fràlcheur dù-setitirrlehfvle dispuffr à svelte purelé. de la>fdrm^ et ̃Lè-Rhône^'brotae dMne admirable ciselure et d'un beau -stylé- ̃ De "$; Çariier-Tliomas, trois grqupes roarbre, dont Agonie, chien pleurant et hùrlantsur. le eofps |nasaimé d'une jeune, enfant* .v; De M. Henf i -tordier;: Nytnphtèqïtttèriildnt Her'cùle,- "d'une grftçé éxiquise et d'une Taejlé-Vçnùë; pé'us bronzes;: Ovnérdl •Lâh'hçs et ̃Â.'Ss&drchëbàlftT.dbei réunissant toutes lès; qualité^ m6tiyémM|'âti9Sï cieux^ abondance décomposition, fldesse dô-âétiàilsJ., M. Michel Gustave est un. sculpteur..dô fïûn'cK^ a-ace, spontané, ardent, dont le marbré -Brise de Mai est un flagrant témoignage. '̃'̃ Les; troi/s- envois de -.M;. :eh:;PérfQri,~Z)t^fti^stai{

tuette Ejiarbre. Suzanne^ statuette bronzé. •̃; $sm$i

le b.üsté b onzc montiént dé. vi uré t â~té

fltej bùsté if onze, montrent vigoureuses ;quahté.s(y d'èl-éeutiôTi .Cet ar]Ms,té hpas;paràlt;àttaquer: le mar* bre et lé bronïè aVéc une siipéMçip/t'6;^cçht^t,àiJîeÀ-

̃̃ t,èâ phtens.de "pergët, de^^ &të^$ ^0Ltâ&2&

Joire, ;ont du mouvéhîéilt 'e't dl rênêrgië.'t ':̃' -$ WJ ̃ Un dès grands méritésM) J.-W. Mèfigùe gStW travailler le smarbre .avec Uneaisanc^'etiUité'-SÔuplesse, incomparàtiles., BaUs &ignle,.çl:M$etiëïMv-t marbres. d.êlicatSj'oniseni.latouch.e de l^ïriisté -àjphà-? .que mflëxipn dU.-modël5(.à'eHaque trôït.de fa 19101,6»' sur toute, la jlrfacé de l'osaVre.. Le sculpteur facile et' ch'af njailt qu'est M. Bûéro -se i'etrdiK'é dans Versatiles, -isiàt'iië.tte Jmafbre'iîepréiT: ̃ seotanfr Mïil'lBiAiiWlflfeWfet sttëai-"gr'pttpâ? fnÉ-br^' Mars' et Sentis Ht De'-Wtôur. ̃'̃̃ ̃'̃ -̃•? ̃ .ï;ï*y ""̃' ï. ̃ ;i;.î/oi«pWi'de Mi'Gharpfintdër., f eprésetîté Unë'îèrnine assise, renversée dàn.s une pose^élicieiiâë. ̃ ',̃• ̃ ̃̃ '•̃'<>̃'̃* ̃̃ '̃̃ 'y\i('- .->V ̃ A. À signaler encore One grande; et beilestatuepia- tre, Bq'cchânle. de.M. A. Lapusty digne'de; toijs.les' éloge? Corilerhplalioit, tjê.'M. Marcel LeduCi étattie marbre savamment ètïêrmément'mqdeiée.' ̃ '<̃ Un remarquable .plâtre, de jsi.- ,-IL^Lcmiaîrev La; Source,- la fraîcheur "du Jsemiirieût leV cllspulç, à] la sVeltè pureté dé-ia formé ̃; ̃J- deiix^élicièux fitôh^! zes, Délassement et Coquetterie, ûe M. J. L6rie'\iÈ un groupe en. térxe ctiHei/La^Foiitsiiitfi, deM.iiim-' bard, ties vivant, très animé un nu très alti jant, voluptueux, poétique, An bord de -la Semé, de M F. Hachenburger une suggestive terre cuite Amour capfi/, de M, ,F. Boisseau onze bionzes îemarquables, d'un burin subtil et délicat, de M L Àlhot 5 un beau nji, VÀlsace, jgrôupe marbre, de Mi F Fmvre la figure' de la jeune femme a du mouvement et de Tériergie le modelé anatomique est savamment accusé Bt-lalêfe a une belle expression deux délicieuses «ilauie,tte3< marbre de M AI. Dr ouin-tîianchi, f)ise}eur et Pem \tc tie masques une staluettp exquise de gru.ee, Le Baiser, de M A baladin une grande sJiklilE plaire. Harmonie, de M .Sain Mari us, .très, Jhar,di-, ment tournée et d un beau style nvî.~Vprschnei- der =a* trouvé la -eiraplicité -et-4a -beauté dans 'son

groupe," McUatne, jl'itne h.abile^TCDny)o]sitîoi\J5 1^

qûatï-e' bronzes, Innocence ,-TtfeniFef, 'Vtïeclvmfî 1S30, et une terie cinltjf Busle« Evipire », de M"'G

Van ider btraeten, présentent cette ceitHude d'exé-'

cution qui convient à la statuaire .0 i=

qui convient 'j'

D'-autres œuvres encore '«.on t"â'un Ibèaa travail tin? ciselure délicate, Surprise, M -Hftsohfëld Polo, poney et Çhieïi d'équip'age^ bronze, de'M^O dlllhers Surprise, L Aurotç,'de M. L. J.eVass"eur, quatre iiscutls t>t qualie bronzes, de^îlle Ch iHqn

xîinot Rhinocéros, brônzg, de M "F Navellier*^

n ,= li~~> "M)''Æ.n~ u~ a

Mit\rl dlAïei, marbre, de1 M Pernod :-iroii> bronzés 1, de M -E Peyronnet dix bronzes délicieux t't a'un< fin burin, de M -P PluUppe un vase ïionze dor& >

rie M Quenard-: T emv\è" couchée, bronze, 4e M 4

Savine *ix bronza de ftl.} Gustave Dussai t, eïc

On attendu, avec^raisoa, gye dans le pirp dçs ·.

LiyreSj le lecteur patient découvre toujours queigue, beauté de kiême la tojle la plus confuse ren- ferme toujours quelque"coin lumineux, et, cortes.^a* Irouv ailîe est facile dans les œuvres de maîtres que'. Contient le. Salon, monégasque J'ai/ voulu Jiie coiifî-'

ner dans le rôle de chercheur deiperle,s, la ssauUit 4

d'autr-eé celui, inouis^anal j)eut-6tre, ,plus facile as-

sûrement de signaler les defauls v >

j-vi t^s K. de, M*rtohi.

Ghpoiiique te Triteiiâiix 'i¡:'

Cour d'assises dis At.PKs-MAnm'UEs L assassinat

de Tablronome Charlols ;h,-

I (£e xu)lre correspondant particv,hùr\ >

< Nice", 20 fe vi 1er,

̃̃ Cette ajfa^re aui a jusqu'au bo ît des h coups Le

Routeur grtngues a eu cette mut une violente crise

çaidinque qui a duré quatre heures el a failli, l'em-

porter" a4ou\wturô de l'audience ;~le docteur Malgat déclare ^ue l'état de 1 accuse est très grave i

On continue l'auditionnes témoins à décharge,

"au -nombre ^'une di/aine Je ne îetiens que Mme 1,

Biengues, femme de 1 dccu,sé Elle affirme que son

mari jje quitta pas Mmes ni h 26 mars ni dans la nuit du 26 au U7 Cette déposition donne heu à une

confrontation aus^i,, pénible- qu'émouvante du té-

moin avec son .ancienne domestique, qui maintient aussi énei giquçment sps affirmations contraues i M. Lairolle, député de Nice, avocat de la partie civile, commence sa plaidoirie, qu il continue a l'au-

dience de l'tiprcs-midi 11 demande un veichct sans

MiP A cette audience, la foule ctait plus compacte

hëbrê, ~q'ué le-, 1[(.fOu.le, -DËs 'b&Pragé§-: o~l:

encore que les joufs précédents Des -barrages ont

flûvêtiçeéta^l1? 'U^>témom qui, à la demande de la

^léfepse^ devait être entendu de "nouveau, ne pput

fntrèr, et -cïest à grand7peme que les 'jurés et les

pagfstTats qui foi ment-la fiour eux-mêmes ont pu

pénelier pu

*»A«mç heures, lejnipisLeré publie, M >Lafonsdu

Cltize^u, procureur de la république, commence son réquisitoire Mais une heure -api es, subjtoment indj's.posé, "il de"màndë'Jde Tefivôyér l'audience à der main.: ̃ ̃ ̃- ̃' [̃̃ Mi -Poùrquery- de Boisserin, qui présentera, la dé- fense du- docteur Brehgués, plaidera l'acquittement. II ne veut pas de circonstances.- atténuantes. Cest, suivant.lui, l'acquittement qui s'impose.

Âr' >'̃̃ -v. ]'. ̃̃ & ̃̃̃̃

NO-T,ES, ~D'UN: CUR,,IEUX

NOTES. a:: v. y

`

.̃; Hipr, à jja salle* 6 de lTiôtél broùdt, Ù" Georges •'Ri'- ;Lde,l; assis^de^.M^|panlos, TVlaiinhë.im et Eéral, :a

•idirigë ïa, prîéniïè^.v^càtiôn. 4e la -vente Martini. Il

̃ §'agissait;d'un6 ûnpqrtante. colleijtion d.'ôbj ets:' .d'art et.d;ameub>léràen't, ,-dje lableaux^étnQieija, 'et :jriç)<lerf iifis, ;dis;avUr€s,dôii;t''eVreste.,sef.À:4i#èrs;è."a'î-

ioupd'iiyi et dotnâin. L^premièj-e. journée a produftr r

:i3918iO;fr.(-y9'al,ies'prix';ies;plus.notÙjW î

L£;,GRÀv'tJjRES". Le Cdrqiiois épuise, épre'aye ayant H

-lettre, i par de Lîiupayi d'après Baudoiiiiir 2,020 ff. LajÇrucke: .cassée: et- ÙÊsçalade,' de DebuGOiirt .j

.̃ipreuyeê en. couleurs,' Ç,OQ0 fr.;X'JE*çtfrpoIéfte,, par

,7d.e/jLjaunay, d'après Eraigoriard, ^^Op'fjV Le J)é; ~éunér ~anG~ais; ,-par :Vidal, ;d'ij~r8s :I.ai~reincé,.

^'preyyéeiijÇÔiÛeurs^' 3,l,*jO*fr^' Diànà^ :VisçQi(ntess

Crpsèie^ gravée à"' la manière, noire; par Dikinsôiî,'

d'après Reynolds, 1,640 fr. Portrait de Lady Hàr iniltpn, par J.Rt Smïlli, d'après, Rpi^rieyV^lOO fr.'i

Sorirait dejsime dè':Saint-,Aubi%.T>ar A.' de'Saint-

Âubin, épreuve avant la -lettre, 1,360 francs.

̃ j Aquarelles, oquaphes. V.eftùs et .VA mdùr et

^riorripHe de Venus,' ëoùachë.-dè.'Gliarîiel' (dix-Iiui- taètne -siè;cie),:l,550 et i;9()0.ïr. ;u Elle aime A rire. », aquarelle d'Eugène Lafiîi, 2,600 ifr.ânçs,. ̃ Tableaux; –Le Duo' c/iamp^re,par. J^B. Désr liays, 2,000 fr. L'Enfant au PôliàhineUë^'Ècoléàe

~~Drouais,~8,200.fr:Pôr~lait.dit_Ço~nte.e;Prope_pce,

̃•'DrGiiais)-^f200-fr;- ̃P.orlraiLAuMov^le.^e^Pxo.'iie.nce,

de- Duplessis, 2,020 fr. Portrait présumé d'Anne- Henriette d'A ssail :jy/jpar'"He"nsius, 6y50.0_ fr^ vLe Départ pour la promenade? par Isabeyy^lOilOO.ifr. i; -i5*é6g,fEçole/4e,,Reyn.olds.f,25Q fr. Vase de. {leurs; ̃̃•' de' Van^SpaenddrifckV^ 3;450 fri- Danaé, par Ta$saertj 6,200 fr. Frifils etpièces d'or{èvrerie, pat" .Vollcmi'2,(}00;<'r.Le Bouque. t,. de ,P>A>, Wille, 20,500 francs Portraitlde Fern-rnè,. Ecole' française (dixiiu.i'ièrhe.siècïe)) j7,0op',fra.n,çs.: .i. Faïences' ET 'pùrceCaines.; Deux cornets, Ghîne,

4pp'qïie'KM'g-iKii'5)500'fr.u yas&j^Chine, même épo-!

ép~O,que Kazig~Fït;-5,500'fr; ;,`vnse,.Chine, ~éme épo;

gUe,â,ÔÛO" francs. :•̃ '.Dans une salle voisine 'siégeaient- M? Larb^pe-i ri6t?«tMs"Hub'ei't,aseistés de:M. Georges. GiiJHauiné,: oh-ïi payé 3;805 fr.iùnè paire de boucles d'oreilles; en 'iirillan.ti,8,12O,ifr.une peijdule. 'Wuis 'XVL en niâr-;

ibre;b.lanç et bsonzô'Cisêié «fdorfc •'

-v^^i^V:

LES PRIMlEBiS

CoM|DÏE-F'RA}{ÇAîsk Première 'représentation ;r

̃ Après' mp'.1: çièce'en" trois 'actes- de M. Hënr^-

Bernstein, ̃' ̃-̃̃ ..̃•̃ r "v

̃ T M:HeQry Bernstèin est l'iiotrime du 'théâtre violent. Mais je ne, crois pas' qu'il gût jàmâife gbUéâésori procédé aussi à réxtrême: gué -dans la- .trâgédi^ qu-il nous présenté aujourd'hui, .J,e;di£' îiiragédi^ c&r ^c'én est bien 'une que cette action' îinique," îeoridenséei' d'émotion -brutale, qui -se; 4éveioppjê^da:ns':r,ùni^/ de, temps et de, lïeu.i ^lela Vsé ^cohçentrk' -entre- tf qïs;* "perspnimêgs,. ̃ et îe ̃ rriiàlheur ̃ c'est; qu'aucun de" ceux-ci' 'ne, saurait nous, inspirer -de sympathie.. Ils sont' tous pus ou moins; odieux." Réels, :peufr;ëtre,; •mâis'âe triste réalité, et l'effet produit est sur-

tçiit ùrîreffet d'angoisse. ` ̃̃̃̃̃̃-̃

Ilyâ réception' au château éti rafiâfteur Guil^

laume.Bpurgfide, un de ces.usiniers qui brassent. les..gr^iides"'affàirését retiiuent ïèsr rnilliprlfe, la figuré: est,^ ^^d'ailleurs,. assez' transparente pour! pouvoir être reconnue t-t alors que les invités ̃se sont fTetiréS'i- -Guillaume; reàte.: iseul ,-avec le: jeu'nejarnes'Alçy et-sa mère.; Mme Aloy est la cornto'^ndifâire-la' :p}us importante de; L'uSine, QÙ^préàqiisÇtputé â'a fortune ëst'.engâgéeJ i Guiïlauifié- Bourgade poudrait, rnarïer James:

avec sà-pupilie, uhe- jéuné fille éharma,nte etftrès^

ri~ 3s 'Pupil 'est éii'~iable, niàij~ jàme's re-

riche.. Leimariage est enviable, mais James refuse obstinément -à- aucun prix ihiie se mariera.; Cette décision négative, qui. ne s'explique guère ètproyoque la colèrede Bourgadëi de tarde, pas à S'eip%ueK'JàMèsest!ànl^ fou dIr$ne; la féipnie .flé;B~QiirgôdéC- irènè.'a' .treiité-einq i âiis, lè\ <ès^ à:d,ôrâb,içrhè*qfi belle ̃' :et Son mafl ônî- eât'f;très: ,4pris' ÉUo .ne', /jamais

!aimêf;/«ôllèi- A'â^sitriplemérït .respecté, cpïhme;

drï;î respecte.- r l'idole.- Elle lé$'- ̃irrëproçhà-Dle, mUis -ljHeûre de: j la -crise est procheV-Helle 1 àîmë-|aMès';et fié 'liïl' résiste pas, :ce; qui.:nouâ. à^èpèf^la. ;ri: r;dû: prëipier -aot^, ^ne; ècènè de' ifésstôn'Vld'iih^ yrÔi.enc£ rare; ïà plus osée-mje je1' epronaiése; vCestV?la; çïUt^^ilank-'tQtttë •"exfolié i

K'F'H L'A~~ MN si 5 .4~1~ iY^i l·~e.

~t~ion~oussé6:à outrance ne-s~ :R't.1'1 ;1."

>lultio:n^p:o\issé^à outrance n.e::seraiVpas\tôléT!

j.*i?âble," ^iri^iitËÙr. m'avait eu .pour", interprète 3 Mlle 'B.artet,iqiii'"à:'fôrce de tact.iet.de pAssiprj

fi.VMë'p fait -aç'ô'ep'téi? -les choses les ;p' lus excessi*

,^ês^ r: i' ̃'̃'̃•P •" v" -v^-r ̃̃• ;;i --ÇecfV Ti'esJ»:' pvajl]lei4rs;^qi^:l'ès^îtîbfi/ éfï ;.lev.4rariie7 "éphim'eBfeO rVrîaiinèJht' ^d'^u: second ;açte? pour se \continù"er4:rëàns^viàt§r.7

sruptà'étiî^^ usqii'ftu; ?déri^e.£gièn.t;r jQPfJè tsfirt tèi

r-épaale's;Uh'rsonnagé^unijïu^;i|]iiii^

s.fûrmè^ cèV deux;«':derriièrs ae^esD en--û:nè,6GÏte i

-de «"fiioiïoiciguëï" oiï;lè^réi)liq;ùés%i«làissé&t.lâ

"pejiië'lè 'tem'lps #;rep7érï^ -piife^ïlf â Jà'un'~ef~~t j'tlçô~r£e~tàble, inaïs aussi une, impression de' fatigue' et'de monotonie;1 'i

< r r;

i :<̃̃̃̃ r: ̃: ;̃̃̃ >>;̃ :<:V ̃ ;̃-

̃ Bôsté ^eiib .dans son .uc,a.binet^clé irayâii en: t$te-à'-tê|e- avec la vénérable Mme Âlçy^ Bour-; gap!6 commence, sa confession inattendue oh le,

.croit j-içhe^ iLest JCAJn. .'et non .seulemeat.;6'est!

.sa fortune qui est engloutie dans de fausses spé-'culatioBs, «des tentatives d'âccapaïercîént, nïais aussi -tôutçsîles îofttunes à lui >conf îées. Mme Alôy est ruinée comme lui « J'ai commis des abus de confiance, 3ît-il, je suis un rniséiable, unz-voleur 1 J^suis un voleur U' II ne nous-reste rien. ,Dans huit jours, le marché s'effondrera et à mof on me mettra la main au collet. » .Que va-t-ihf aire ? Il lui reste deux ressources s'enfujr ou se tuer1? > 1 ̃ > II*' s'en ouvre à son confident et ami Etienne r Frièdjger S'enfuir, il ne le veut pas, c'est indi- gné de lui" il se tuera donc, son parti est bien pris* et déjà* d'une main fiévreuse, il manie le t revolver, qui sera l'agent de soji suicide, t

̃II ja'a qu'une seule préoccupation, un regret

^qui domine tous les autres Api es moi, pensë-

qu -h? les 'a. p i,. pense=-

t-il, que deviendra Irène ??? » il réfléchit):

«{Irène est jeune encore, elle est admirablement f

belle, j'ai sauvegarde les trois cent mille francs-

cle-sa dot qui sont à l'abfï. elle se remariera,;

elle refera sa vie; peut-être pourrà-t-elle encore

être heureuse'' en moufant je ,1a débarrasse

d'un 'souci et d'une honte, »

Et le voici, Je doigt sur la gâchette, prêt à pro- ¡

clamer'ï'wtaîna ralio.

II entend du bruit,' 'écoute, s'arrête sou-

dain, au jnilieu de la nuit, il voit Irène

qui doucement regagne sa chambre, peignoir flottant et cheveux «n désordre. Que signîîié ?

~tii'`.toi.?: :mïrïën.t~â: arëill~:

qui ne s'att&ndait pas a. renconfa"ei\son marâ,

s'-exeuse, "balbutie, se défend -mal, alors £[ue

Guillaume s'étonne.1 r ,t

Puis II profite de/3a rencontre pour expli-

quera l'épouse ce qu'il a fait et ce cru'il vaiair-e,

et o^st' une "nouvelle 'confession "qui, renverse TideiB1 Et a Irène, aussi^ il crie « Je^suis un

voIbult. < `

El ^jelle-oij se ^lamente à l'idée qu'elle a sa-

crifié,Bajeu.nes5è;à.ceifliornjne, qu'elle n^airoait

pas, mais qu'elle a vénéré, oujs^e laisse aller

à l'a-yeu de sa faute, n

^lors,f dc^ns l'esprit de i^urg-age désempâ"r|S

-p'erdu, "se reveiile,fsoûdairiv un ihstiijct ^e^a-

'iousïe.^l'a.* été tiompé pa-ricette^femme^tp^ïl aimait plus que tout au monde', à, laquelle îl-

consacrait sa dernière pensée, et il veut a tout

prix connaîtreie nom de, l'amant, -qu'Irène re- fuse de lui Inrer. Alors il se jette sur elle comme un fauve,, la martyrise, lui bfoie les poignets, la jette à ierre, sans rien obtenir. Notre émotion est des plus pénibles. Et la, il m'a' semblé voir passer 'un souffle de romantisme « Ah vous me faites souf- frir 1 » s'est écriée Mme Bartet, tout comme

l'eût fait feu Mme DorvaL

Le revolver rentre au tiroir et la « tempête sous un crâne » s'est ache\ée sans naufrage. Le nom de l'amant, le mari le connaît bien vite. C'est James Aloy, qui se trahit .lui-même avec une maladresse naïve Alors, James et JBourgade, comme deux avocats, développent leurs arguments en une double plaidoirie, oui, < une plaidoirie, â périodes, prononcée devant la malheureuse Irène effondrée^ s'appuyani, pantelante et silencieuse, au cha,mbianle de la cheminée. James plaidant l'amour, -Bourgade plai- dant la pitié, c'est en faveur de la pitié qu'Irène prononce son jugement. Elle s'en ira donc aveb Bourgade, dont une. amitié ministérielle p.r 0vtège la fuiteV achever tristement sa vie en quelque coin de', l'Argentine ou du Brésil.- ̃ i "̃̃ J'avoue que 'ce -dernier- acte -m'a déconcerté:, parce-qû'il-né se Tâttâché guère aux autres. intéressant dans, certaines de ses .parties, il est souvent déclamatoire' et. fil. arrive,' à «ri dénouement, plutôt' .imprévu.' .Si le drame .d'amour a une fin cruelle', mais que l'auteur ppuyait çrpife.asseTi rgénéreuse pour ^satisfaire ce qu'on appelle « public1 H% drarrié;d'aïgent reste en panne, et il y âdés geris:qui ont dit que j reyolyer n'ëtâit "pas' chargé; r [Après moï.ri>estï''pèut-êtreypâs la pièce' 'que- je préférerais:. dans le. tr^s'riphp. répertoire, 'de '• M. H' Bernstein,' mais ».jë 'dois' .reconnaître qu'elle contient. certaines s,eènes. qui sont loiri de" le déparer: V 'VV. ̃ < .Je.suis-âsse&èmbàrrasséipo.ur parler de l'i.i- terprétàtiôn. Ainsi que. je,,l'ai dit plus haut, elle se^ résuine gn .trois personnages. Il.'nîy. a-.guèrp à parler dès. figures" accessoires, qui sont "dé peu /d'importance, et' toutes; bien1 jouées^, comme ,touj'ours=à;Jà Colh.édie-Française Mme Blanche Piérsqn.'ët M. Bernard, sqiït .très -^udes^usdes deux silhouettes Mme AÏqy mëre et.ràmi Etienne Friedigér; 4- qui: leur, ont, été dévolues ,;f ça' n'en .ést;que ,rnieux.Mlles Pro- vost, Maillé et R'obihhe' n'ont qu'à montrer jleurs -jolis visages. Restent donc .Grand, Le 'Bargy et Mme Bartet. II m'a. semblé que Grand n'avait, pas la plénitudej.de se^ moyens hstbir tuels.; :il. m'a-, paru hésitant, ,gêiiej 'surtout,, au troisième acte. C'est sans doute, question, d'émoi- tion^ dans un, rôle.- nouveau.; Celui que joue. Bargy ;est écrasant à lui seul, ilf tient ;tbuté*la pièce :1e comédien doit être exténué. Il n'y paraît pas, c'est déjà énorme; Ila'de l'action réfléchie, de la fougue. Peut-être1 prend-il' un 'mu sa voix 'dans la gorge;. je crains que cela ne lui amène de -la fatigue; C'est, en somme, une création qui lui fait honneur; Quant1 à Mlle Bartet, plus jeune et plus belle que jamais, elle a été tout h fait remarquable, dâhs.ce rôle diffi-r. çile.oùles silences sont encore plus .compliqués que ié'dialogué, tour tour passionnée, indignéet pitoyable et; sincère 4 elle. a. joué de toute gamme eh virtuose. •̃ ̃ PçU? ^uqùegiiel La M6(lè iiu Thèatire i « Après Moi » à COmédie-Fj-ànôaise 1 II y eut une véritable petite .ëwéyterie jour de "là répétition, générale de la nouvelle pièce de* M. fiernsteini lorsque Mlle ^rpvqst.apparutï en jupe-culoHe.in'la scène de la'Coraëdiè-Ffàhçàisè^.li/la'is elle à* renoncé hier soir, h cette pariire;unpeurû-çp hardie pour.notre: première scène dramatigue et elle" portait tout simplement une" fort jolie robe du soir- '̃' '̃• iJ '̃'1">; -Toutes .les'. îifterprètëi triées moi sont du reste ha* bîllées avec un tact et un art extrêmes, -et il .eût été're4 grettable qu'une, note, dissonante "vînt '.rompre cette .telle harinonie. v, .̃'̃̃•̃. ̃̃̃ •' Mme ;Bartet,' toujours 'fidèle. bojicet.i^nouslâpçàraît;

d'abord,' dans uhe ëxqùiserobef soîr'ièn brôBérîe bleu-

acier, drapée isur rim- fourreau de '-Satin' et; éclairée l'idë' nœuds de, diamants, posés sur. yejour^ noir. Vient erisuité un merveilleux ^ésjmbillë.fiitd'iuie' sorte, de manteau oriental, -irpdé- de* mille. soies., différentes,, reposant'' 'sur une chemise' mousseline' chair, très iricr'us'tée.'dé fines dentelles. Enfin,: pour l'angoisse .du troisième acte, c'est uhe~ robe d'intêHëur en mousseline bleu-ardoise, entier rement brodée^ posée, sur, une gaze d'or vieilli. Mnie Piersôn, d'une' distinction toujours parfaite, revêt une élégante robe de dîner, à tunique de'tiillè noir, brordéé et enrichie' de'pierrefies, posée sut1; fond argent et s 'ouvrant.- sur un.deyant de4 fines malines. Elfe se pare ensuite d'un déshabillé de velours améthyste ofnél de m* tifs de passementerie.

Encore de Doucet ces deux ensembles très jians la note( .ainsi d'ailleurs que là; jolie, petite "robe, du 'soir, trèsiegne fille, portée par Mlle.Mai"le, et le décolleté cerise., recou;.vért ;d'uii; fourneau: de gazè; ,blàfl6iie::Wtit>Brôdé.nâ"cr,e.ef ̃ or; qui rehausse la beauté blonde de .AUié. Robinné. ̃ JeanoB iTounUet

Pourquoi ? Gomment, à pareille Jieure ? Irène,

GONGERTS

Concert Lamoufëux

La' fiôuVeâùté .d'iiier au concert Lâmouréux consistait ,enr première audition» à Paris (car l'œuvre a circulé en province déjà elle^a été jouée, notammenti. aux concerts :'que dirige :M. Rliéi;étBâtdri à Angers), d'unconcer/o'pour violon et; orchestre .de M; d'Ambrosio. L'œuvre manque quelque peu d'équilibre tonal, surtout; ̃dans premier .mouvementles .ëontinuellès^ progressions donnât plutôt ^^l'impression d'une improvisation s-atf'- violon- t|"uè d'une œuvres écrite. polyphonïquerûent' U'andèinië "p"6s'sède;. Viine jolie phrase iAën chantante1; ^âilegfùûnai est bien conStruiiet laisêe toute latitude ail viW tùose pour se laïrë^valoir,. te virtuose, M. ,Ge-: lpsô, a inis àl!interpréktipri:de/ce;concertdùrie irdeur toute méridionale sa sonorité manque1 ̃ dej plénitude etV l'abus du ̃ vibïaïb rïi'a sërtiblé' faire fort à l'expression. Il a été héânmoins assez bien accueillij. comme nie concerto; du? ireste. ̃ t-if'.w-»i;v- -̃̃ 'i '̃:̃̃̃̃- -Une caktâtrieê exotique, LMme-M(Ôtfô tràmp-i "czynskai- ,a: enveloppé" de: tsjùme: et; iîeî:gr;iBailîe1 \ÇloçhÈ:dfi-; M.. SaihtiS^nè^t !^îfirin^e\ Lalo.i't'apparitiQn, i'de;,cettei'ârtîstè:âii concert- = Lamouiieux^: néxsUmposaitiëyiâémment^pàsï^ i 1L6 concerto pour, piano eh majeurj dés

^ISfeu a. ,iStei^fel^^peiMaiày^anïS

gartner, avec de solides qualités techniques et aussi "Tïne 'réelle :çPfflprêhèMion'- musicale^ 'i- •'̃ L'orfchëStre'; •magistralement -conduit ^ar. M.1 Ohevillard,- a, dônn^' une remarquable": exécu-t tiondé'-là Vie .d'iin.,iîèrbs\ .cette .merveille' or- ̃ chesti'âle dëvrM: Richard Strauss -V il f-n'a-pàs! moins excellemment iréndu la cinquième sym- phonie de Beethoven qui avait ouvert la séance. Concert Colonne C'est à Mozart qu'tétait dévolue hier, au Ghatelet, la moitié du programme, avec l'ouverture de la Flûte enchantée, avec la jolie symphonae en majeur, à Yandantè expressif, au fyna\e spirituel avec le concerto en ta majeur, pour violon^ que M. Jules Bouchent joua, avec une yir- tuPsifé élégante, un son très pur et une-exquise grâce*" sensible.* Tl'fut très applaudi et dans la romance en sol, de Beethoven^ cet accueil cha- leureux s'est T-eîiouvelé. Le. regretté musicien Bourgault-Ducoudray ayait recueilli naguère des danses populaires'

grecques-, il les avait publiées pour piano, puis

orchestrées des deux fragments que 1VL Prerné fit entepdre hier, le second est charmant par son rythme «t le pittoresque de son "instrumen-

tation

II ne faudrait pas que l'Association' des con- ¡ certs Colonne présentât souvent des ténors i comme M Mariinelli pour compromettre le bon ° renom que trente-neuf ans d'exercice lui ont acquis Cet artiste, qui n'a' ni notes élevées ni ( notes graves, est apparu d'abord faible dànsi i deux mélodies de M Philippe Moreau, dont'Ia musique^ souligne- intelligemment jes yërs de^ M. Hubert Robert ypms,, dans la troisième scène du premier acte de la Valkyne^ qiie.Milp Daji-,

'iÎ1llfchahiIDt: e lu ;pl~

mas chantait avecjuj. Le publie aVsalue' ironj--

quement chez M. Marunelli une abséhôë" totale de style, des mouvements ralentis a plaisir. MlleBaumas, la'je'unè.pen^siohnaîre l'Opéra., t possède Uné^voix bien -timbrée,' a jgùî le'travail e"t l'eipêrience ajouteront de J'auto^îte ma\s comment VouJIiez-vbus qïj'-une débutante pût

«être £ sorj javanUige d côté d'unTpartanairs ci'

insutfisantî t .L,

A Concert Sechiari "*>

^.Mf Sechiari doijnajt hieç plusieurs nouveau- fs.^JG^tasse rapidement sur 1& Pierrot dp la inutegd'nn auteur ang-lais,' M- CranviJK13an-

-toël^qui ^lyappàrenté un peu trop avec M'A^j-

prenti sorcier, de M. Paul Dukas L'autre ceu- :` vie inédite élait les Danses des Otded-Nad, <|e M3sidore*oetXjara,I(Euv5-e érainemmÊPt-pitto- resque, tout d. fait bien venue,s'avère toute la volup té' orientale en desa-ythmes langoureux, et dont l'orchestration savoureuse et piquante, atteste chez son auteur une recherche fort inté- ressante avec une réelle personnalité. A ce con- cert, -s'est fait encore applaudir le pianiste Maurice Dumesnil qui, sur un Pleyel de superbe ',H sonorité, a joué avec cnaleur et ayee style la

quatrième concerto de M. Samt-Saens.

'• 1 Louis Schneider Courrier te Spectacles, LE NOUVEAU 'SPECTACLE DU GRAND-KjCIGNOIt Ce nouveau spectacle comptera parmi les °. meilleurs qu'ait jamais composés M. Max Maurey. Avec La Fugue Se Madame Caràrnûn un coup d'essai qui est un coup de maître M. il Pierre Jeanniot a renouvelé le drame policier, ir s'agi-dïiih:;imâri .qui, ayant": tuë sa ie'mnie^ au cours d'une discussion d'argent et Tâyairfc enfermée dans un coffré JEort,» se ivbit .dérn.asquê ip,ar.un«gent;;de;-la-;PPlice secrète qu'il prend. ̃̃ tour à:-tour.,po.m' un'.détective privé et pour, un àp'achë. Lorsque celui-ci a ouvert le coffre,-fort et que le cadavre de la victime est apparu, un .cri. 'd'angoisse «st "sorti, toutesles poitrines. On" ne s'attendait guère à voir M. Mquézy/Eon, prince du rire, marcher sur les traces ;dp_; .M. André de iiorde, prince de la terreur. Di-, çfiotpmie; guèl'aûtëùr de Tire-au-Flànc a. écrit ,:ayec;M: O. Jubin, estun drame noir, ou;pîutôt un drame rougedésâng,\QÙ sont dénoncés avec véhémepee les trafics immoraux auxquels p'héjSitent pas. à séVlivrer. certains médecins, èf chi-' nurgiéns, "rarissimes par bonheur. Un médecin besogneux s'entend avec un chi-. rurgien célèbre-pour opérer- une malade. atteinte d'une tumeur^ au- sein. tlJri examen iiisto- 1 logique a;proùvë:qûe la iumbur-n'était pas cancéreuse, mais le médecin, qui doit toucher 15,000 .francs- de -^commission; décidé que ï'opératipn.aura lieu. La patiente meurt sous le chlôroformé,.et sdiilmari se. jette. comme jin..fm;ieu?: ^sur Igs de'uXpraticj.ens', '̃"̃ ,:pichotornie,. qui .est mis en, scène avec- uri: ex- » traprdinaire, souci de réalisme, â remporté un- ̃ succès considérable/. ̃ "̃̃̃ ?•-• •• Ç'ort heureusement, pour; défendre les* nerf p tordus par rémotioh, il y ayati" Grand-Guignol^ quatre comédies d'une gaieté et d'une fantaisie" ̃inénarrables:1 ̃̃̃ ̃ ̃. ̃̃ ̃ "Rbmêo'i de M. ^-H. :Micb.ei,. est ilri jeyer jde

rideau <^C&, lîeniîpntrej de beaucoup, d'autres,; il

convient de- ce pais .manquer, t Les Mines .de Ganeffontein, de M. Elie. :de Bassan, nous initient à la façon dont se lance '̃'̃ une affaire| financière véreuse. Ces deux ta- bleaux, que traverse la foulé bigarrée des' clients, iCpùrtiers, /agents; de publicité, yaleiit par rôbservation et l'hûmpur. Ils ont été'/sar lues d'applaudissémehts nourris. ̃ Alcide Pépèt,' de MM. ^Armand Massard^et ét Alfred Vercoûrt, commence en drame et finit ën: vaudeville: C'est l'histoire d'un ivrogne qu'un rajpi de' café .recueille chez lui, ;qùi- y. meurt et qui, finalement, y ressuscite^ Le.dja- logue pétille dîesprit les situations sont les' pluSïimprévuesi.du monde. Ce fut' un des gros, succès de la soirée.

Le speÇtacle^se terminait ipar :Lè Chauffeur, le célèbre; petit acte de M. Max Maurey, dont la bouffonnerie, véritablement épique, a fait éclater dés tempêtes 'de' rires. ..Comme à. son ordinaire, la troupe du, GraridGûîgnol "s'est mdritrée plus, qu'exeellerjte, avec MM^^Tiinc; <Gréhan, Louvigny, Defresne^ Go- ..rieux.iNicôlei bernois, ;Guérard, Ratineau, avec '•" Mmes- Vatta, Marcelle Barryv Vallier, -Daurand et Month.il. •̃̃. En feé|ii|pëi Spectacle, çhatmant^t iyarîé, qui va faire des salles combles j'usqu'à. la .centième. etau^-dèla. B. D^pjffiRBJB. '̃̃i^f^q Ôivsaîr^uéllé' rpart**prïrent' ^^a'ù siicc6s:.rdu"'Wracïèr^ à J'Opérâ, les deux .principaux interprètes, ..Mlle" •Çhénâl et M. Mùrâtore ces deux artistes^si-remâEv ̃quables," partant en congé, à, la -fin du mois, ne chantérpnt.pjus '-leurs rôJes;dans ltopéra:de. MM. Georges Hue, Gheusi ètMèràné, que deux, fois en février,, y compris la représentation de demain soir. On doit donc se hâter; d'aller les y applaudir en même temps que leurs partenaires Mlles. Bailac et Goùrbîères,- M. Gerdân, qui chante pour, la première, fois demain le rôle de l'évêqùe' MM. Carrié, Fabert et Laquien. Dans. le .divertissement, Mlle Aida Jîpni continuera à tenir brillamment le premier emploi. "• Nous recevons la lettre suivante, .que jnona. noua-: faisons un devoir de, publier

̃ Monsieur Nicolet, .< n est 'absolument inexact que' ce. soit, «"sur sa^dè; mande a, que les directeurs de l'Opéra aient, autorisé"' Mme jCattrtJe, Mendès .àrse choisir un-choi^graphe.1 Ç'e'çt, au contraire, sur* la "mienne. VoiGivèa effet, un: extrait de-la réponse qu'à ce sujet, ̃jereçeyûis de. MM. -Messager, et-Broussaa, le mardt 14 « SuiyANT vome pésifi,. vous vous déchargeons du soin de minier le ballet « Espana, »: "̃' ̃ Agréez, monsieur Nicolet; mes plus disfingûëes ;salù-tations. '̃̃•̃.•"

~SmcgéL,

,• maîtresse de ballet de l'Opéra', <( M. :Ântoiné, directeur ;de l'Odédhi Vient d'arrêter comme il suit -lesrspectacles pour les jotlrsgràë's Dimanche, en matinée;- L'Arlésiënné en Soirée, Anla-p. Lundi, en matinée, Monsieur de Pourcettù- ,:gnac.î{représentatic-hs de M. Vilhert) et Le Pàchâ en sojrée, représentation -populaire" prix tédutys; · avec location Iphigënie en Aidide et Le Pacha. Mardi, gr^sj ren -matmée, Aîiïaï1 êtreoirée, L'Ar- lésierinë: 'V, .̃i'X.[.i.i-£'; î"ÎA$rès-de"màin^eildîf à. deUx%Bu'ré^^ itiâti.hé*é %>v&. t série •L%rlésier),neijïyec. le' concours desichoéurs çt'ii .de l'orchestre Edouàrd.Çolonne. r

Une triite^ttouyélle.'iiQii.s, pir.vïentvdi(.. gôj'fô: Jïlàijt-

DM >a.. n V ll u pa ~ent du lfé. J'Iten,

d'où un de .irtë"^© 'Mme Aniitf Judifjrî'èxqûiseebiiiëdiéliile', serait "dans ̃?̃:̃ ùii état ;de. santé qui' inspire à ison èntbùragede vivea. ..inquiétudes. '̃.v: ̃

.Mme Jûdic, nous;ie^avions/;s6.uf|r.àiVdèp'iii4qîiçI-

e'.t' s'üt> ci` e é oill'nrs rliù àt'strial `s. r

qU4'(tpçQi)s'dfe;cruejlç^ {joùlè.ui'-s, rhumatismales. $jir

V}e.-TopitééU.dè-'ses:.yoe^ p.opp`,lâ Côté';à;À;2;uï<ou lég;chauds f|^oâs> dii ^pljjil âuLHîdi ̃ devaient âmphef ufife^ att.énïlâti'oii à"sesThaû3f, HnÈ^s riéti'iié faisait prôvpk: une 'aggravati.dp- rsj soudaine

•^pàr;UQe:^sé;i3'Jui;ôirjiéA,i ,,i'i; '4 .,̃ ;V^A.

NbVs formo-hèdes'vÔ3uX;$pur la gûérisôn dë'Mme ^ttdic^ekKS^uhaUoiî^ apprenne, la conyalescence de l!inçqmparable créé, ;;tricè;de;aïai7is<2He Nilo^che. 'f ;Les iioûyelies dèlà'santô de M, yincent d'In'dy sont de plus en plus rasfeûraiitës île niàladé est hors dé- danger ;'màis"-3ièànihoiris' les médecins 'ne l'ont' encore autorisé ai à se lever- ni à- recevoir aucun vibitetir avant une dizaine de jouis (Dès que M Vincent d'Indy entrer a en convalescence et pourra sup- porter le voyage, if ira réparer ses forces dans le Midi, aux environs de '1 amaris. s La commission de la Société des auteurs et compo- siteurs dramatiques s'est réunie, hier, sous la présidence de M Paul Femef, pour préparer le progtamme de la sous-commission des études administratives,' gûî-dôtMeftir séante très prochainement. Cette sous commission doit en effet s'occuper du iiachat des chargés des deui. agents, qui est décidé en principe, et M Arthur Bernède a été chargé de rédiger sur la question un rapport qu il lira a ses collègues du -groupe1 admirustiatif.

M Pedro <3ailhard. ancien directeur de 1 Opéra, sei-a entendu aujourd'hui par Je groupe parlemen-

taire de^l'-ûrt populaire sur les théâtres lyriques et et

la dëcenrrahèation musiôale. '=. J

Mme--de*La1:orj'1 la jolte transfuge de 1"Ûpèra-G!p-

mique et de 1 Opéra, dolit orî n'axas oublié les nom-

.·. a 'ë`;~débuts~cè sétr dii'lh'ëà~rè 3

breux succès "fera ses débuts ce boir, au théâtre ly-

rique de là.'Gûite,"daiis le r^Jle de Dulcinée de Don

Quicliptle, aux jiOtes de i/lhl. Lucien fugêie et

Vanni Marcoux., v

Aux wiélù' :~J/ss Mtdîfieites viennent de réaji-

'ser en -vingt-quatre -beur-es près de 18,000 Irancs de

recettes, -i

A l'occasion âtç -jours -gra^ il ne sei a donné l

ü'.ùcié'sèüle;rriëiïli~ee `:l'a~tùsatë: o.ztiédic ile~lsd:

qu'une seule, marnée 4e l'anius^nle eemédie de M

Louis ArluS" s

Elle,aura-heu^djmanchp prochain 20 février

Bien entendu^ Lei*-Midlncll!>s ^erônt'jooees en ma-

tînêe^par toute l'atJmirablc troupe dxï -soir, nyaïit &

sa1ôlejMM« GUV-, MaxCeûrly et grince, Mmes Amé-

lie Diéterle, JvIiLtinguett et Germaine Reiiver. v i w:

Au Gymnase Papa 'vient de aéaliser, dans les jâix

premiers jpurs, un total de7rÊoell«s de 71J55 irr <50

«oit uae^imoyeane de 7, 175 drames par. fejirfiÈtenta-

tlion. -Ce résjfetat ^ffojuve andisoutaii^neat Je éuecèe

r


pm)~ëux~ë~a~!ci~6e.~médie;~e AlM,Robe~

prod^îeux de,îa délicieuse comédie de MM. Robert

de Fiers et G NA. 4e Càillav et

'?-t?'

1 1^ tîtéâtrç au Qymnase donnera samecli prochain,

h Quatre heures -et tienne, un Samedi de MatUune

£oas§cr|'à Tine «ausefie par M. G Ver4ucet sur 1&.

l^oriïiiiS§.e, ses poètes, ses çliansonn1pr.s anciens

etanoijlrnes- avec le cpncoyu^ de M. Andreyor,

MUç Ytfelte Andreypr, MM: CçTâs, Durëc, J.èmy,

Gg^et, J. #obe$ot, Mile Eug Lanvîèrè, MM rNoel

ÎA^t, Çaul Meunier, Mlles J. Melçjdla, Eug, Nau,

-Mm. ï^yân, 'Ballon, Mme Perducet, Mlles Irma

Perrotj de1 Fouzote. v ,1

'Au, tbpatre Réjane. '1'

L*#ijmin\gtralion du théâtre Réjanç nous prie p.

'd'ânnfcngÊr 4&e l'on peut, dès maintenant, l<wer>

au ïurêau de location pour les trois prepfi&res

matinées de L'Oiseau bleu, tjui auront lieu diman-

che, lundi et mardi,6, 27 et 28 courant.

Avec le nombre croissant des représentations, le

Buppès icmporte pai Le ieiMIomme -ne tiiininue

*aè ™*au"contraif e, le chef-d'œuvre de M de Poito-

Rièbe-i'pWinuo a-aitiipr au thé&tre de la Renais-

sance un public toujours auijsi pnlhous>iasle,qui,cha-

̃que soir, fait îele a res admirâtes artistes -que" sont

~"quë.soi~ îâitMte à'ces ~Imir~tés ~rttste%que''sont

Wmes ^Siçnene, Lanteline, Margel, MM Tarriûe et

Au Qiâlelet M, Fontanes vient de recevoir, pour

êtrejouée bu ûifout de la saison prochain*4, une pièce à grand spuctacle de MM Muuricc de Marsan et Ga- bifel Timmoi ;> La Course aux Dollars. <$e soir, à l'MhênÈe, centième représentation des

Bletts de l'AWioiw.

Au TtiÉâtre-Apollo La Divorcée s'annonce comme un $rès gros succès les trois ppemifei*s rededes sont aussi .belles que celles qui ont été réalisées par

Verne Joyeuse.

Le Mariage de Mtte.Beulenwns atteindra 'cette semaine,- aux BbutfësrÇâ138iénB;sâ,^5ti.? réiprjfsenlà- tiqû' et, lait çufieux, les recettes réalisées par ,'fcë suc- .cèlfgrptlîgfceux sont en progression constante depuis qu'ir-Bist installé dans'la- coquette sàllè de/H^ye MO"hsién^L,és matinées sQnt^parlicùlièrèipent couV riige^Tîimanch'e' dernier, :on'a~ eijeore refusé dii moiiQe,1 ét;là matinée de. jeudi prochain s'apiionoe cûiniiie eîdreipBtjîérit brillante. AU^si M. Lé.?)ri Ijoi^ riijr ̃ àrt-y décidé île donnpr, l'occasipn du miai'4i gras,1 lîfie 'Jinatinée' supplèment.air'e du.Mqriàde de itlëÏÏèidemans. •̃ ̃ «appelons :iqu.è Le. Train de. 8- heures Jï&t'&ii Té-, lêphpné.i les.»4eux immenses succès deJ'AmbigUi no

seriojil plus joués. ,quç jusqù]au mardi 28 .fÈvriêriiï-

eljis'Ai'àccasidn des jours- gras,' il y aura trois mê.

tiriées i,: les dimanches; iùpdi 27,,et:mafdi-28. 4 îikû^ëâtre Michel È'eét la 25< représentation VèUlëùr 4emdt\ la- triomphale comÊdiè de -M; Sacha ̃Guîkyi^ème parmi lés pliis reteniissaiils ,-sucGè? de ^s ̃dernières atinÉes, -rares ^ontles pièéës qili peuy^nti foitfnir un tableau de.'rèibettes atteignant «ne .nioyenné si constante -et srproobe" du ifîa^iilium.v DQiinpnsixnhmCexeTnples les recettes des ^trdjg pre^

piîgïs^ainedis^duvV-çiVteur de nuti, 4,208 h\, 44,209

et~~Zfr~ ctlelh&M~ g~ que ?D s

^â-'jjiillrièine ..leçon du,coiirs de-M. '-SïàUrice Donnà^uiirà^iieu demain; à deux- heures et demie, à, iSd(âê.£ê*^déB: ebriférences. Elle •sera ̃ consacrée', a' l'Eçote iïes Femmes], qu'il sera tout particulièreineiit

pi^lîit'ff'éntendre commenter par l'auteur -!d'4-

iHwnts, -*̃̃ .1-, ̃ .••̃•̃.

Cçtte-tîpnfërenee -sera/répétée jeudi prochain, h

deax heures et demie. ̃ '̃̃̃ .Veiiidjièdi prochain, à quatre heures et demie, "Î2*1 îVëtidfedi de la,: Parisienne causerie de Mime Màr-;

celle. Y-rveri i$ur « Lît^çonïme accessoire M théà-

V tre>tr:> ̃ i '̃"̃

li^ssofciatïori -professionnelle des artistes" musi-

cfàïê, ^djiiérehte; à la Fédération indépendante dii,' ^ptôot^e a tçniiiiiiér apfèeimidi, à la mairie du'.

diôèmé/arrphdis&ementjj -SQh aBSemblêe générale

que .pjp-é.sidait M." Désclianips, secrétaire dè.ja Pédé̃ itiëSjârtistés musiciens s'4taienfrendus nombrejiis

h ;çett^.féiinï6n' corpoi-fltive pour diséuter' jà'-régle-

mén^tion dès agences *t d-hygie.ne au théâtre. On à.iput d'Sbbrd ^ute';la:.l^fure-'du-çomp|fe'lrj6n'dù- moral dëd'Associaiion aujourd'hui en pleine prospé-

tît6:-y -'̃̃̃̃'̃. '̃>. ''̃ '̃̃̃̃'̃ ̃̃̃̃̃̃̃'̃ ̃̃̃̃'•'1 ̃̃ ̃'

Xa disoUesion. -s'est engagée; ensuite sur la qu'es*

Kôn dèil'hygiène au.théâ,t/Fe,Jquestion paesiojQrtànte '•

pô^rjîésvâpastfis .elle- 'a "fait U'objet :de pliisieurs

VOîù'x au qernier congrès dô'la'FédéyaUôriindêpehr. dante du ^ectacle-et a émule conEëil?munîcipai;où:! M: -Emile Màssafd lui a consacré, un rapporté très :docvjimentê. ̃̃̃̃̃ ̃̃̃.̃̃̃ ̃̃̃ /̃;̃ -̃̃•̃̃̃. --V ̃ ̃. ̃̃)̃

^si,conélusion.s de.:M. fîassard ont'éié-approij-

yéè;s ̃p_ay les artistes ttmsiciens <jui se ÏÊliciteèf;;de

p6,uypif augurer àèé Jojjrjs mèiileûrB danè des loges

et, à~>, iüi r d~.S. ,j9.u!-s'I1).llt~~r.s.ânà, e.tJ,.loz.e~

mentr-ïMfeillèes: ,.̃̃' ..̃ ̃

̃ Enîin,: l'assemblée, a: examiné' question. Be la n

jrégjenientaiion des agences; ̃̃̃

•' .,( >̃̃'̃.••- .̃̃ ̃̃̃̃̃ ̃̃ ̃ ̃

tà/ijtûeètièndeé répétitions générales ëSt à l'ordre

"dù^jbur.- ̃ •̃̃ ̃ ̃“̃̃ ̃ -̃,

Toutes les personnalités compétentes, directeurs, aufeure, critiqués, 'ont été sollicites de donner leurs aviSi-i^i,d?ài|lç'urBi-sont.«)ntradictoiJ!és.

Apf|sayçir- 'fait parler ies vivants, rie serait-il

.paà,|piquaïit de faire parler lesnjorts 7'Cesérait une

erigu^fâ assez originale. 'POu#oïis-la' par Alexandre'

DÛjnàs'i'. ̃̃ V ̃ ̃̃

1/ÈNTE sur saisie immobilière, le 6 mars; 1911, Iftîriidi et demi, au' irifaùnàl de Fontainebleau, BELLE PROPRIETE DAGRE«ECT 4 AWFOWAINEBLEAI' E W Cjiig minutes' de la gai« de Fontainebleau. Cotistruçi. récênteMbùt porilort moderne, eau,

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d'àVplri4leç'tricil;é.' Pêche. Chasse. superbe. ,Re-

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[[ ~5 .` r: .j,

1, ~1~~·· A·i.l~~ ~V~-

..y, 5 ï v,. n.r r. :p' k ·~ ·

FEUILLETON Dïï « ÛAULOIS » t;

̃ DU 21 FÉVRIER 1911

23 La Patrie

lointaine

'Au coQtjfaire, Giacomo Rumrao, sorti du col-1

lège,.$'ét$it jeté dans la lutte de "classes. Un

cam&rade lui avait ouvert la porte des sociétés

et appris a prendre part aux ipanifestatio^s sur

les joutes. G'est là. qui! avait reçu les premiè-

res Jegons de la réalité, «n étudiant les liommes

de plus preB, la réalité des besoins" de la douleur ¿ et de îa révolte qu'engendre le besoin. Sa voca-

tion avait été dès lors déterminée par ce qu'il

avait lu dans Jes~y«ux du voi$m qm «riait a ses

côtés cette vocation, c'était de combattre de_

combattre aji prbftt d^ toutefe les^victimes prêtes,

à la menace" pour fixiger.la«dtisîachon d'un be-

soin Giacomo -était entré dans la lutte de clau-

ses avec, l'ardeur <qui anime le soldât en pleinç,

mêjée surïe-champ de batajlle.

L.es DieéUngs, les manifest-atip^s, le pfecele, le^ ca€ér Jes yendeg-vous d'a,m|s'He4îf1<JPerffl^aient

pas cTecirapper un instant^uîC'^reQdement^.de

sd^t âjne sans icesse en i-éyoltej -d'entendi^les

yG5x"|lu x^ste du iÈfonde ^n.m6nTje ia^Lenpe. 3

Pièirp «> Giacomo se ijciiv^ieni ^odc Jaxulfr^

mm Wrd pdwt ^fftfme>^âfiag^fté de ^a

"Dubosc.

Voici ce que 1 jlhislre dramaturge éû) n'ait dans le

tome Yfli (page 10S)^ç ses si curieux \ti/tf}ifûnw&

C'eet toujQUr$ un tôïl d'inlroduire'meme scs>axni5 les

plus &ûj,s à ̃unevrepeutlo'h gen6jàle.Le jour de da rapre-

Mutation, Ils Racontent Ift' -pièce -ft'levirfitVOisini ou se

pnoniènent dans les çomdoioiîn pajlagt a haute \oi\ ej,

en toisant ciatmg i lem<s f>o\[oii s^ Je pârfluet

On DJsjeclora -les bpns conseils jiu<? iaslspooluleurs pou-

̃venj <!onuer D'abord, îiux njiejitions jjinéralefe, il -ebt

trop tjira pbui neceVoir des conseils împbi lants pujs,,

Jesijfons conseils, cûi^ qïu les donaent, &ont, da|îi| te cours dfi ropctitjons, ]es acteurs, Jes popipiejs, les niacliitiisteg, les çoxnptiTSCs, toùl,cê -mondp enflfi qui ^1t

u\x -tli^aire, et qui Suit 16'ilïBfitre Tflleù\ que ibi(s las ibfl-

cheliere e^kslUes et ions les académiciens po&ibles.

Et celui-là s*y connaissait.

{~st !~dihtràt)le'chanëon ~e~

La <}lu, que f&ra applaudh Mite Polahe, apf*s-dç-

mtun sqiï jeudi, a lft^37* reprefaentâlion 4es Trente Ans de Thèfriw au ihfiajie-conpeit dd X'X° Siècle, 138, boulevtujï rtc^. ^to^n^^fltaï}i Dp numéro, qui vaut un s-ï giarid succès à la charmante -artiste, co,m-

pléteVa ieieau programme classique qi}e nous n\ ons

pubhb. '7 Au théâtre Shakespeare i Parmi lestdi^-huit per-

soqnages &e3>einei> d'amolli nËiûues, |a<galonte co;

niedie «hsitfespjimërine qui "va^îra repfé&entôe ppur la pr'ê1niefî''to1i'*ep"Fjance*}'l»a'r la jeune troupe de

Al. Camille di> ^ainte-Eroix, salje Eemina, les mer-

ci edi ll"<?t}<3udigmais4911, on entendi a «onver&er

res quatre toupies d'omoui-eux /aineux Feiduiand

et U PrmcefcsC, Bnon'et Hosaluîè, iLoflgu&^illi4 et

Catherine, Damaine -et Mfliia, pr6ciij.sfeurs élôgante cIgs pjus \channants dialogues du dii.-huiliemc sie-

cIp.. '.j 4 >

Pour ces scènes décales et d un -charme sj(spé- cinl, leanttttre Pau! Vidal, auquel le llièaiie Shakes-

pcaie iloit dojà Jgs adaptat*ons^musicales de Cym-

behne, de Tfoïïus el Cresbimel <3e Covimc il vous

plaira, \ieni décrire une parUfion oichesU4e pi

clianl du pJus délicieux effot .scénique.

On peut louei, dparlu de celte s.emain<\ attx LuJeauT de Femina, 90, avenue des €hdïnp&'Eli sées, et 9, avenuë'de l'Opéra.:

Que tyqdis P à l'étranger ̃: -On jious télégraphie dfr-:

̃\Uenne" que la §!$* rèpr^sentijïôjï de Qiio Vadis '?“̃ viê^t 'a^oir lieu,- § ,l'.Opcr€i-popuJaire, devant une saliîe; iÇomble et àveo un sûéeès .aussi c6nsidérabî|î qu<î jour de la preniière. représentation. La:j'èjiç; site' Qiio VaUis '?) est aussi ̃çofliipjété ^rétrangir. qu'a. Paris et 'dans' toutes lés grandes villee cle

•France. .vii ̃ ,'̃̃ •'

̃ ,'vL*oeiivre va/prendrë un grai)d essor -en Amérique, flù la pïejïiièr'e rêprëseotation doit .ît-lï donnée aJ'O,pérà 4e Çhija<lélp])ie. 4]irès quoi, M.. tTammerslein

-noiis:èn promet une exepùtian hors depair pour l'ou-

Jveftureidu hbuvel; Ôjpiéra qu'il fait, construire Jt. Lçn-

.cires en ce moment. ̃ '̃̃•.

Mme Màgda. Le Gp|f vient /de remporter un ni^ gnifiqué succès à Tunis. E.lledonîiaape.sëllç'.Ae re- présentations ;et, dans, £tt ï'sça ̃«(.. dans T/iaW, ce

fut .pbuy,\bel(te;l)'elie: artiste i'oççàsiidû ;ïfùn; vrai -'11100»--

plié. Tfliiile public l'acclaniàel lâpr^se italienne et française --= est ùnahimà.'tt .dèclar|r qUe c1èsl.bne des plus belles voix qpi aient retenti, sur la scène du Gr^d-^éatre municipal. Lie premier 'banquet de; 1911. ^u « Çonlrôle » vient d'ayoU' lièuavecUn'éGlàt âahs. pré.bëaenU-.PÎus de soixante contrôleui'S -en *héj: •̃ de Tïqç .scènes; iiari'r l siennes étaient-prégents fit, delà Côfiédie-Française à lo, grande revue, tous avaient répoftdù h TappeL

,v. $PEÇT*ft^ divers i;

Université des r/lnnaics/Aùjourd'huij -tt:cin(j h'éù-

res Le Saldn de- Mnie àé Girûrritjï/conîérencepar

M.. Ji Ernésl-Charlès. “̃ «\-K; -y

̃•MaéslrO'inifljalure.̃ .'̃̃

Il h'estrien de plus invraisemblable que- la î*ajii-, dite ,a,vec laquelle un bruit, un- pûtin, une nouvelle 'se, fépandeijt idaïis Pai'ig. En trois ^Ourg,1 sans ïiul effort, de publicité,. VYilly Ferrer^er le, petit' chef. d'o'rçhe^lrè miniature, -a copquis 'Ja plus faiitiàsliçjue popu'làril'é/Tdut Pai'is .'fl-cjù çphnalt .-rf eté^ën ^jher-

vejflïe~'tey^uositéV'Ieiso^at'téjiÛt'ftaiissi-lâ'fan.

tàisîé avec lesquels, ce bàiribin .profligieux conduit,- dans la, Bépucldès ̃Folies-Èëv^jè^ç,è±&hùtlônjQtçlfeslrale dë:irqis morceanii: de rythmés très "différents. La maîtrise d'un si jeune enfant ravit les gâ- niinsde son Age, stupéfie les musiciens en rprwQmiG unanimement un ̃ enthousiasme qui 'se .traduit par des acclamations spèBtariées.'V; '̃' Ce swr, .a la Boite îi Fujrs^'dëhuti'aè' l'humoriste "Vainiel' dans -ses dernières *péatiottà;^tSO« reprôsen-

tàtipiï ^de- 1?H, 'revue de MM. R'. Meudpnné et C.-A. K

..Gàrpènlier,: èvee Mlles. Sphietryî'yvonne Maeleç,

Madë Siamé et içus les créateurs. Nouvelles acluàr Ut0 par les chansonniers EnthQyen,; Vihcerit ïfyspa, E:Wolff etMÉvistoainé,' ̃ 1 A'l'OlympiÉi} succès .graiiâjssantSpaur :Mtpkir.ià\ lâSj^phë» lés Douze Merveilles" du mprideet BeJiHni.

.A.propoB 'celui-ci, "voici là:)éltré qu'il nous ̃adressé:

̃ 'Monsieur, ̃•.

ït&S aiscu|siqas pt^.corfl(BiaUc^S;passioiuites'aux-'

quâlçs OQnnent. lieu, chaflue soir,, pies expériences de télépathie' à. l'Olympia, rao font un-dcybii1 d'en appelpr à /arbitrage' et -au verdict du mondé savant. Je prie donc lés médecins,1 les magistrats, les rcpréscntanls "de la presse et lou?.^çeux que. pcéoocupe la,6,ofiilion des phénomènes psychiques de vonir: contrôler mes expériences a la séance :privéc, <}'uri caractère" purement scientifique, que je donnerai par invitâtiôas h l'hôtel Continental, .le yeftdredi 2i courant, & cinq heures de ̃ l'aprèsmidi. J'y donne rendez-vous à ions més; oontradicteurs.

'Veuillez agréer,- ete. ̃̃ ;s

̃ ÉEtLINI.

I RENTES VIAGÈRES I ,11, est de .to.ute.-oécesstté,.gu'un:contiiat .dé.,r!enté.yia.gûre gftiL conclu aveo une Société M I dont la situation financière ne puisse être "contestée. C'est le cas"Be la ""̃

<fï~~M~B ~JfM Hïlb ?~ r

sdiiK'iK snssK vrnnm &ê$$ ni j vik himm.m;

I ̃•̃ "X ZTTtâïOKt; I I (Entreprise privée: assujettie eu contrôle de, l'Etat, 'jôiidée.; m 11857, ijet qui possède I I 113 MILLIONS' de garanties^ lÂsSociêté suisse assure le plus de reiitçs Sans 'son pâysl) .1 I Sécurité complète an cas de guerre; troubles politiques, I I la SOCIETE SUISSE ét^rtt aise en pays neutri. > I I' '̃, ̃"̃; V > t?oûr avoir Frs.l^DOO a^ renite jpntiûelle; ̃ il ;ia;ut verser.: ̃ *"̃"̃*̃̃ I

I A l'ilge de 50 ans^ l/2i.v.Frs-H*857I60.| À; l'âge 4e 6<J'.àns-'l/E.i"«.- 11.147 80 J

I A l'age;de'55 ans, 1/2- ,• 13.047 n\ A Ingénie 6^ ans^/£.i.3.240. 80 î| I ̃ \y, H'A;i^gë %è-wàfe;4Jz.ï.i.:t.iy-° ty$fy;-j- r y.r: ^:i I'. Envoi, de tous renseignements 6Ùr demande adresse S ^ia qîrecUôqi'- jpçitt^ià'.Fraiiçe- I I 57,-rue,;dé la Chaugsée^'AnUn; &. Paris. y[; v. :<ù- ̃̃j: ^.|

4^^ P¥s 'ifàiïP^tër le ^HîN^ »> O««8Pt Demande» d'emplois V;.

.mef.c~ai.~a, tB-«'Gaulata~ ~tO)KROM)~È. ~MMOB!L)ERE.B~

>- SDJTE

;a~ ..t:?

\ie héroïque chez>l*Jïomme mais î'un aimait

seulement la vie héroïque d'une classe, Pàutre seulement celle de la nation. Tous| les deux vivaient hors de leur personnalité éphémère et

de leur intérêt du moment tnais^l'un vivait

dans les générations de U patrie, l'autre dans la

génération actuelle. L'un; comme gn 3% -dit,

avait substitué à sçn égoisme régojsme dp sa

classe, `

Cès dëû~tei`me's, à èlés~sés'~t~n~tio~redréssè-

Ces deux termes, classes el nation, redressè-

rent insensiblement la tête dans leur,sTjQnversa- tions et leurs discûssiôfîs ils commàicèrent de se mesurer lîun a l'autre. Ruramo tut le pre^ 1 mier à Changer la conversation en discussion, la

discussion en affirmation r-

Un jour qu'Us, g'ejaient rendus «n ville, ils avaient parlé d'afcnitectuie avec Lloreniso Bç- ·

renga. Au retour, ils repurent ce sujet fit dis-

courureût sur les arts en général. Pietio préten-

dit que leur prospérité et leur décadence," dans

llhistohe des peuples, étaient mtjmement liées

aux pénodes'des gran.d'es'guerpes nationales.

-t- Et dés Tévélutioiis l, interrompit Gid-como

II en sortij, une discussion sur l'importance

des révolutions et des guerres iela$iyement à la

formation des civilisations ^humaines, sur la

valeur" "des «lasses et dejs nations 'GjaeornD

voyait, dans l'histoire, l'importaticc majeure de

la révolution et de la^classefPietro, l'Importance

majeure xieia guerre-el delà nation, JDurant des

~bùrs et des'']pùrp,' çe~ut ùne~utte~r~ ?? entre

jours et débours, ce lut unelulte trçS Vive entre

les deux-docjf,rines, les.deux-çuUures, Jes deux

consciences. ? J

^etro Buong.elmjflhfi ne'tarda pas^i. reconnat-

tre que leur amitié pouvâit-en^ouifrir il ne le voulait pas U commença de ménager ses^ af tir-^i

mdiiorisîpDur lajsserJle*hanip*iibï>e^. l'autreT H

mai~~ns~ni~r ~la~ssêr~le~liaJ~ibx~e~ a~tre I~.

riait intérieurement ^de -son --gilence -voulu,

.1. dl S~l' ~fee t OM,

,ï3i}and,^a5sle feu de^ps démonstrations, Gïa-

como vsaifr dexes hojrribles néologisinea iheorit ques transpertés selon le styie'jiut socialisme

^jentif ique ejjo^ihtant,' du wncret ,<dan^ l'aos-

tà]$it Pieko^ flljj jipssédait^'h.armdnieux -Jati- «

gage de ses5gèx«s^puriait^n son^efeur une °

HuSsiBë de*e, sèuïtrë^pparalssalt Jjêjne «ur son

Pour notie part, nous ne manquerons pas de-iiojjs S

ren4i e à rinvitatfon' de M. BellinL

G'est décidément une vogue inépuisable gue celle é

de Jtt mçns apec ?,, l'étu\celajite revue 'quUnomr phe depuis p^s4e cqit i epj^àfinlGjioas à la'^îilter RochechQuarXi't qojij. le succei» ï^t a»js§î grand qu'au premier soir Jl est juste de dir^ que jamais 'Sernus,

nouept, Zaigue, Alansuélle, DeJtihiune, îîshiee: X)1}Q-

m"s~~S. L'hpvu~ü~c;`v ~â'vü nv; .ë(c,`' ~ri'b~~ lus

mas, S Ctievuhor, Davrign^, etc. n'ont ̃61$ -plus

ajnùswi^s -où plus çjmrmairts, plus applaufli^ en tbiïb p&s, que dens ceftp exquise et luxueube Tevqe» y«os ,cojn!quçà ou a transformations, vues mili-

taires, maritimes, instructives* chasses aux pranis

~r

fauves, fines Comédies huipoi îsliques Ou senlim^n.

iajçs et grands drames nls^ferlques interprétés par les premiers artistes de Pai'iâ, tel est le nouVe^n f rbgi-am.me gui, tous les jours, s-auî le dimanche, de deux heures ei demie u six hem es, aUïrfliune foule fk'gonte an cinématographe- des grands maqosms

Puîayçil. Scènes choisies spécialement pour les Ta-

milles.

SEANCES MUSICALES

L'eminent piamsle M. Emile Sauor se lera enten-

dre dwnanebc prochain, aux concerts Lamouieui,. "dans le concerto de Sclmiïianp, MJ|e lielèpe DemeJUei interprétera Chanson tffslv, de Dupai c, a\ 1 air de Sersc d'Hœndel. Le programme comprendià, en «litre, la svm< phonie de SchuJn&nn <.t Yfianwr, de Bajakirew. -a Très Intéressant récital donné par M Marcel

Ciampi, ïundj 1^3 février, salle Pleyej. H a fort bien

üitéi~ ~C â eJ' 1 à, Q,

tntcrprelé la fantaisie chiomatlqua de J.-S Bach, }a sonate Appusswnata de Beeilioven, des cquvies dp Brahms, Mendelss-obn Chopin et enfin le Carnaval *e "SchUmann, qu^jl a délicieusement détaille PETIT COURRIER IjQ « Halle », sous la niCsidence do Mme B Dan- gennosî a doané au thetttrcMicHel, une de ses întejes.sanles.'repr^sonlations.– ̃ ̃• Enli-e autres pièces,, ôa b. tdrl applaudi un dr^nje eo^ deux-^cles ûe -Mme Jeanne Fùri^r La Pouîiçç,: dont ririlerprétation fut reniarqûajilê, a\*eci dans 'les'1 principaux rûles^M; Aurele :syflney, du thûaire ;Bé jjinè": M.

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1res)' ̃"̃

.l.fléljttnthe, iiM, J..Thibault, 4!2ff' 1/5 (1!35!1 1/14) {Vu-

gène). .•̃ >̃, ̃̃"̃̃' 'i-

"8;: Glaïeul,: à M:- F: Morin, ifH* 2/5(P. Djiubioljoû^

9: Ges ~i~ia' h i1, Cb~ébn~?i37~ 1i (G ç~ouii.

3: Gésiiemi,.a1M. A. Chérbn;%a7". 1/5 (Gucrouîl). -v

Non 'places Hoche (Meunier); Harpe: Eolieinie [L. Du-

{oui'),Goo4 Boy (Michaux), Herliejlerie (M. C. de Wazie-

̃jres),JGjatlus ((ïiumôrit),r'G6ncy (C. Daùbipliori), H6j«sa

:)rPicrü~d~, Gëisi â" ( L~' B'oüâét), GirouctLc ~P~in), .Gv'ü. 'I~

|C Picard),' Gelslia [~(L BoMet), GiroucUc (Pàïn), Gyric-

yeuse (BùUffai'd), Graville(M.' Adèlo), llenriade (M. ty, Capclle), Haydec (Linianf). î- ̃ ̃ Mutuel 71 lr. 50.' Places 'Hélianthe, 22 fr'; G0 -j Glaïeul, 155 fr.. 50 Gesaéi-ïa, 82 fr. 50.. Vi'U de- Doînfront (au trot atieié, a- réclamer 2,000. francs' 2, 000 mèlrcs) -t •l.Çleîidard,'àM,p.7«raàrd, 3'd2" Ho-IX'W''W)-\ïlàb land). ̃•̃ -•̃ •̃̃̃̃'̃̃,̃̃ ̃ i' ̃̃, ̃̃jii.ï g: Floréhcia.'L -M. î\V.*A. OoKliûi'st,:3'53" -3/6 (M. e.'F.V Ockhorel).. ':• ̃ -'»̃• ̃ r-: ̃ -i- c' 1 3, Eorson, 'II. M. R. Eally, 3'56" 2/5-(Çh,naBslgnyJ. -'̃ Npnplacés Avenir (M. Ç. de .Wftzièros), -Frosnay (Sain' rhartin), Fléuiv d'Avril .(Prospei'), Flotigiiçux (Tii'ard), Hùiroh (Sinibnâiid), Eglogue (Choissolel). ,•̃ Mutuel 29 fr. 50. Plaças.; Etendard, Tf fr.; Florénciài 1Q fr.; Forban, ,20, fr.jp. •• Prix Reynolds (au trot monli– 4,000 francs, 2,400 mèFl! Gehfesfto, & M. E. Marciïlaci 3'36" d'30" -1/5)' (Ber-

uardir~).

2. Goliath; u1:M."L.Encognère, 3'37"' g/5 (Huffhes). 3. Friandise" à 'M.' E.'BaSire^'aB" V5 (U Puîoûr). ̃Non places Girondole (Ed. James), Flèche d'Eau (O.

COMPAGNlEeÉHÊRALEOESVOITURESAPARIS

Sociétë^ùïohyme ait capital àe;èP,i 75;,5gQfr. Le conseil d'admiriislraUon de la Compagnie; générale d'es.!VQ'itures a Rfiris, dans sa séancedu 18 février 1911, â:fixé-à 11 Irancspar action le » dividende qu'il proposera à l'assemblée. générale des actionnaires. ̃.ppury.I'exerciçelOip. Avènare bel HÔTEL aveûue de Messiiie, 1,000VOOD A S'adresser MM. Bouts)'ët C 13.i.Tue Pasquier.

iyiHMHuUy^MriKjiiHiittBii '̃̃̃

̃ Recède BOUTerain pour>U?Gu6risiïriiipiae dèi|

lAUeoUûnidQPoltrineidèBllhumeB.Gripppil lMa»?lBQûfgé;i)pulenr«?IthttinàtUÎnbij«c'| ,i ̃]^^0^<o^r^BÙïJMmUlRjWMl||S^ I

> f~i;`.'Ph: ~:1'?.' ~i

triste visage émacïë. Il souriait en pensant que,

pour sa Science, lui aussi seseryait d'uniargon

analogue, Alors que pour exprimer l'inexprima- ble de sop^âme, îi usait d'une musique diyine Bientôt le propagandiste ressuscita dans Gia- como Rummo Pour complaire a. son ami et ne pas se^aire de peine à soi-même, Pieteo avait trouve un biais Au lieu de Je contredire dans ses affirmations, il lui demandait des renseignements sui les institutions} les hommes eUes choses du -socialisme. Un jour qu'ils se trouvaient au'jardm, Pietrointerrogea Giacomo sur les syndicats professionnels. L'autre parla longuement. Pietro l'écoute avec une grande attention, et demanda

s'il^vait quelques livres italiens et français, sut

cette matière, ajoutant qu'il les lirait volontiers. < Le lendemain, son ami lui en apportait plu- sieurs. A mesure que Pfetro en pienait connais- sance, île eh "formaient le thème deleurs cônver-

sations. "<' :?' ^v

Pietro montrait qu'il attachait une impor-

tance sérieuse a ces livres, dojit il gipprecjait ^a valeur flatté de cette estimations Giacomo e&- lebrait 'leurs" mérites Il exaltait }.» ^noiivejle

•école~du socialisme à laquelle il appartenait

l'école du syndicalisme dévoyait dans les syn- Kliçat* les germes du monde et de l'avenir, H vojaît^ce monde sortir de îja grève générale, et

il devenait éloquent par lavforce»de sa 'foi. <3r,-

TcoriiTue en raison des Jiabiiudes de sa vjc, jl ne

pouvait séparer l'éloquence du pïJQséJyUsnffe, il commenca^îespérfir qu'il"1 arriverait a. avoir quèlaue lieïïreuse influence sur Tesprit de^ojiï ami ̃. t M"tJnejfois^ejri™pH5tieuUer, il parla a\vpc une-

fofee extraôrainalie et avec Tin non moins ex-v

traordin^mîïdmoJir, en vue de le convertir. Ils,,

avaient tfauVune 'promenade^ s'étaient «ntrefe^

jtus.de ïevue mtégêis respectifs ei de mille cho? -ses"' mt§ressantes >• jamaisMejir amitié Ji'avàii «Gonnasuge Jieuce aussi Antrnie un "certain

^moment, "Pîetro avait faitnallus^on à son mal-

Miew-il^Tcait sen|i ^ne^astî-ictto^ a la^orge/

-aux âe^ces •aBs^ûtssdouîoureux' devenus olus*»-'

'L ~L":a~r'' 'âr.Fr~ P~t!~

BkéIjIb), FpoUHé (Eugène), OalAthee (D Picard), Marceau u

^Nîjvcu^, tlcmrra (C JJndr)

Mutuel V7 £r places Genteao, 25. fr. 00 Goliath,

3? fr Friandise, 27 fr, 50

fm de Iji "Vnrenno {au trot atlele 2,000 francs, 5,Sfi0

melres) 1

1 Fouflpe, à M C B)au, $'85" S/3 (134 3/4) (Saia-

-g Fixe, à M, Ch. SçlliJ, 4'83' 1/2 (Boulçy).

3 Giwioic^u }>l' >C. ,Macquart, ££&' 4/5 ^Prospei).

Kojk lïîapcs Fougère (Libcert), Goodness Queen (D sLe-

fiq); Grfiîjguçs ï^mV Qeorgjna JM L' Hçmîtiid), <J$n-

ane (UnirenU. 'Oiacjeui <W Sotirraubille M§), Fr^«o

vfoû (Visa);^Guetriè5efjCV-C Lcnjome), ^larwlise :j&ii î,

lyîufuol ^tl fr. 50,tmces Foudre, 46 {r. 50 FiKfe

17 fej^iBnadé, 5? fr.

Çrix'iîeaugo'Xau trot attelé 4.W ïrapes, 2,400 œe-

tr-es) J

j i Iliiîda, u M C Rousseau, 839' iy4 31' 1/3) (Prps-

2, tîme.tà M 3, t,eir)ojiiner, 340" 3/5 (Bouffa^).

3, ) igàm-u M Trélôusse-Mertort, 3'W" (Gif, Ua^signy)

^Spn placés Falinonth {M, Dôfonîtune), Cstiv (Pain),'

iPriiigueuse (Vjmi), Plaim^lle tHoliahd), DcunonnÈ ïM 1

foraïiol). Glen^Ua (Ed, BimesK'Eiourdi (Lipeerl), "Ehoch

|M» L Homard)

Mutuel i 80 It- Placés H^a, î^ fr. 50 Urne, 19 Ir. 50.;

figurorB5 îr '50 .?~t

-&• G. d'Jfyajêyina

l'i\l uisuvcnoH

ï Le bation,ûe-2ujlen, 1 Un «les fondateurs (Je l'\ulomo-

bile-CiUb fie Iyjinco, tt^on président dès le premier

30m s, îeçolt en()p 1& ijibun de la Légion d honneur

C'esl, tardKèijient, m juste récompense d'efforts jncegsoftis ei -qu'on no saurait oublier, qui pnt fait l'autojlipbil(bmc ce qujl jgét t)cm seulement en l'rance mais

daiib le nfonde cnliei. <

Cest a \u1î>mo'l$lle-Club de France et à son distingue président que 1 ingnslue française csl redevable r}u

développement loimidable do cette blanche de son ac-

tivité.

Spûrlsmau dans toute l'acception du terme, homme du monde, esprit cultiM1 1p baron do ZuxJen ft prGtd, au«c àubuts de ce qui n'etàil cilors qu un ^port. l'appui <3p ;tGule son aiiloriie, dp. ses relations et de sorracii-

jSalfc^ .À. '̃̃̃ .V.'i,^ ̃ ̃ "s.

C'est tout -ccly, que vient fort iuyjlemont rÈcompensor la erpi^ qu'il devrait pprlér ..depuis-' torl J.onglemjps déjà. .-̃ tlN DÇUli.̃ ̃̃' ̃ ̃ Mme .-Cuptave Riv^( femme dii sympaihique: arehileelc eti pljcf des baliipents: civils et palais nalionnux,, gui fut; jiisqu'en. iup9%oriimissair6 génpral dès jalons 1 âe rAiil£imQbïle,vïe#t de p'çrdi'e sa:nière,-Mme Lavayssc .<\è ChatçktUbtiîirg, "i)éc Amélie Borne de MartinjS- ̃ court' dêçWcc dansisa 6eisahte-seizièii}<; année, au chtf

z '̃̃ ̃̃̃̃" -4 *;V': ̃ ̃:̃• ̃̃•;̃•

it'm des Éme^-eiiteiHeftts de4'4iinnger fluivisilé Pà*

ris, c'est â.coup'çûr.lë ftoihprfc'èt lq-luiçe d.$s aùjoino-

gbiles.; Et 'ëatis -avoir besoin, J)our celai -d^tre 'connaisseur, il jn'û pas de peiliei iànt est fecnsible rêlégatiçe tle

leurs.. lignes, à distinguer que lçq plus belles d'entre*

jeurs.tignes, à distingua); que )~ pius betie? d'entre'

ces' VoiWres. çont: des ChûirrpTi1.. :xr-<-

Charrpn. ^ta; 7,' riie^rtipôre, a Puteaux.^MagasiûS M,

venleV'.?' ^ûe/de Paix, p. Paris.

:.v. :.̃̃̃:̃•• r X ̃' ̃

Co J)eut essay~r~ùx. oteU~M.l~on BoUÉe. ?. fue.jïe

:eçS,à;;Neu411y*s)ir-Seine; celte lameuse. 12 IIP Léon

iBplléé qui remporta au. dernier Salon de l-Àùtoniobile

jinssuçoes, tePtpent légitime: ̃.̃̃'̃• ̃ ̃ ̃ ̃<

'«̃«^̃i' '̃' -x" -1 ̃

C "iœ|r|atf' ,«aiûroôàês«P'ùlace. « Jes "derniers modelés' jie ia^

.Soctèté.AfercûdèSi «unis de carrosseries de fous €erir«sr- ef prÇls.à .livrer» ̃̃

l-QS au.lomobiii,sles.:iie;coyi'cnt' plus: d'aléas ctvconfiiilit' k Samsoii.lcUrô;chV;eloppcs à rechaper," car ils ont ^assurance de îvEcupfu'.br: largeivcnl le prix de ces rechapages. Voir son îioïi veau tarif. ̃" ̃̃• -x ̃̃̃̃̃

̃. Le?^ius\lieau calaloguis c'est ccflainetnent celui, edilë

par les >'c%brcâ .6 cylindres Rolls-Royce et qui cë^in»

̃voyô' ïur- semblé deoiabdâ adressée l'àgçliqQ -.fratiçaiso,

OD, avenue Hûcljé (Téléphone 5S5.O0).1 Rappelons ;uu:un atelier içiyec .pifcpes' de rêohângo -Rojlstfloyce sem'à'iia flispbsît'ion ,dep iiombréuk -spOrlsniôn qui idrculont sur'' es ̃ merveilleuses; voilures^ à la-mode. ̃ ̃ ̃. ̃̃•̃ AERONAUTIQUE ̃

.̃̃tîJCOIÏè -tN WBlÈEÀBW; >IIHTAipj3 ALLEMAND

'̃L'adinihistra.tipà miUlairc aliemande Vient de donner commande à la Société' Parsqval, à BiUcrfôld, d'tmiiouyçau1 dirigeable qui devra ôire livre dans :un. aélai do

éix m«s; ̃̃/̃̃ !lv ̃-̃ ̃

̃ha iiouvoau,Pjirs.çyaltmilitairc sera 111} pou plus grand que cquxîqul.sQ tj'pu'yont en;slaliou ù :Melz çt- à: Golo»,

gne cl ^dont- les mesuras moyennes. «ont les -suivantes

îôngùeuîY GS mètres scônlenance, 6,000 .mètres .GUbos.

ti. nacelle contiendra doux moteurs do lfiO HP -chaonu-

qui uoLiQnnerûnt deu^ JiÇl-ices à quatre' ailes semi-rigides. I,,e'- dirigeable 'prendra- une Vitesse "propre de 1G à Ï7;m6tre6 à la seconde, fout coniino le M. 3, arrivé récemment à Metss, 'fit'-lç VcfflKlin qui ̃ vient d'filrc coin- ihandé.1 Il sera muiiid^ippaj,;eWs,de: fCcepliop et de IrangçiSsion-de'.ljBlçgrapJiiè.éa.ns.fll,

J.j^ ̃̃̃̃ ^ÀTJfïW ̃ ;V

̃̃̃ M ^CJJ(T;DÈ -L'OUEST AtLBUAp ;>v ËùGoré- quèliju6s:d<Sl&te'uiV^preuve.'ttuk)i?gahîse le- CâiHél ;d^crOTClUbSrjie-.rÂ)leïnàgnfi du.SUdet qui se..

4is^te'i^-Suiitoc^S0.fc.aî.prpobp^ij_d,a^'l^plailiW!s;dù'

Lié' Blit. tic rorgàtiisa't^oà Jprtgistant*- a- éprouver l'ondu-

r'ajiœ et ;)npn: pas \q. 'vitessû ;-des; êp^arells, les étapes ̃'

quotidiennes ije.dépàJssefont points fiW Ijiloniôlrçs. Le'-i 1 Rhin fiera -traversé quatre fois: à MulHje'im, .Ça^lsruho, Manuheim et Wornis, Cljaquo étape cprap.orl'era un alîemesagQ-qUi ,esl fîxé'à Offcnbpurg pour la pfomici'ç étape, ù Mullhoim p'our la' seconde, àColmarpotir. la lrdisicme,:ù::VVisscmbo^rg poùiv la. quatrième, ù. Bruolh. ̃ sal pour- la Cinquième,: à. DarniBtadt pour la sixiêhie. et à Offçnbacli ou à Hpmboûrg pour la Ecptiôme étape.Les cûnQurréhts devront Gtrc.klo nationalité allemande et leur nombre ne devra pas dépasser le chiffre do' dix ou- douze. Un' seiwioo rnétcorolofiîq\ic: sera organise tout le long de i'itinérflire.;Lâ Soèiôtê Zeppelin enverra sur

~) ~5 Aee de~8oqoée.. ILteui abnèlent rwÏ.rendee h'6vtdmoé~

~jn~ Za Ndi.lon,, Jameis manant eàcur dl as ~e~olemenfa.

tisaean pr faté. pr~ltt 1S pouc'cent pa~ës 2 loia par Moie.

N'i~ti~ ` 1.e moitts ipitié ~nr ~fures de, 8patwe pdat

<N) sensn4canepe~aeprd~t~denbsetimbiaeiaoa

e.aéseais étipneisi3epcé de cause, mais étudiea la Notice é:plicpti~é qai est envoyée et et franco.

ùm~épt6:2~;àl~imüm;l00,000'ttE>1ïE91~I1t116~itlE,~l~ ~orel~Ciln~'h~(hw1f1111~

S~F~ e~

des Caves, Appa^e^epts, ^Locaux inon4és» etcJ

'w& LE LAURENOL n- 2

i {iB.%i1;lc/-8U1fc}.Ouprlque)

t#f 1|| pnisuat, pjM é^Dpmlquf, î» pins îtur|« pl« hdte à ttiahr ieilitlieftiilM

t ?é" I Ail DE 11 AI '"«o n inodopè; et c'est1 un d*8odoi»iBont complet 'j

v LE LAUnCNUL N 2 Sa pulpancS amteptùniB est absolut à$»h

̃r; V" -yS ^iGertlflçat fia Lalijprttoii* >lnndpaljii5tt) > -I ;̃••'̃ «6 vend j eiilJdtres 2 fr. ̃> O&aque Htre pouir 33 /liûnafi â'ean. j ') eï'*h BôVbpnnMjdé tB, "1.Or'2.O, 25, $BO Litres à prix plu* rtdutt*. ï j

~tOrP~ar5!t~ot~~o!5T'a!er~ B~r~~Sropot~~MtcM~~S~N

̃ ;t.i'\ -:̃ -V» j .̃̃̃,̃̃?" rA);.t: !J;. »'ro*: |fr';l {.yj. v.;j?IC-Vj.-{ ")

res, niais jion disparus Jptalement de§ larmes

avaient roulé dtas "Ses pran^llesj Giacomo e'é-

tait empnesse.dë le Gonsolôf

Retournés à la yillç, ils^'assireni au jardin.'

̃Jlummo éprouvait une grand^i»nïpaesion pour»

'son ami e.t, jehose nouvelle,, il. en re'sseWait aussi pour jCSiovianna, To\it^l'|un cofip.'fion'cteur- eut un sursaut d'orgueil- Sa fol,«'Èxsltanf àjift degré d'audace quM'n'avajt jamais atteint, lui

fit conceyoir lîesperance de Sonner à Son ~&nii

une 4rae neuve, QuahdJla cbïiversation^ portas

pur le syiidicalïsmej il sparla sveo vne si brii- lanteTéloquence, que la flamme aussitôt se 'com-

muniqua Pietro. Celui-ci attacha sur l'ora-

teur des veux dont le regard dirait l'émervejl- lement. Sa dose d'aitention était telle qu^l où-,

bhait sa douleur,

Giacomo .parla de4 l'union des travâiUeur^^ ïdftnB'Jes syiyii^ts il parla des^rolétairesqut

produisent la Richesse du monde, énergiques

361 djasiphnés cojxime les rnachmes de fer et de

'feii^mi'îls vàuygent "Son éloquence était crëa-

~u~gù'n~~iSg'ept. ~ën:éloqùëh~e ,çJ,' ,a~

trice^'à ïa ,voix, jes travailleurs surgissaient,' (,

trapsfoEmés£i£l}éiqfe. Elîe était sublimej malgréj

les restes heurtes, la \pi\ tonitruante, les le-

\res.$èGhes, lant lagiasslon jetait un rayonner"

meiit sur ïoutree qui émanait^de cette âme con-

vaincue, ,&ml 4tâit noble la religion qu'il avait

,9"<L, 1 ,,lgl.q.

fondée sur ses révoltes sur les naines qui.exis-

ftefit^ accuniulees dans lfe sang liumam, depuis des générations, Les travailleurs, Jes- homines 1

diffêl^nts 'dé^ui représentaient a ~ses yeux, la

"part« -d'avantages qu'il n'avait pas reçue,

'a~Qur:~ au ges~ fait i -n çival t -Pi ~'la~'sa'

,1'amqiîr quf-ne*]uî avait pas été doiinê, la sa-

tisfactîon refusée de ses ambitions politiques

ils représerilâignt tout ceq\iî, d,u tréfonds de son

egoisme humain, n'avaîljpas môme éle\é la voiïjà tra^çr^es années>»âans la clameur fu-

neuse^'des classes, ^t qui, cependant, y exis-

,tdit^enîerméJd|puis des siècles

Lés travailleujrs étaient-uoux qui agissaient,

qui vivaient pônr lui au deîd des limites de sa

vie et <ie sa sphère d'action "Mais il ne savait

pus cela, .il -ne -savait plus rien de hn-méme, fit il*tait^arh¥eaffl5mer les travailleurs pour eux

̃ AUTOMOBIL1SME

la ternuQ de l'épreuve deux dirigeables doitf 4'un ^la-

J-lonbem à Badea-Sacten, l'^uu-e iTFfm^tÇTt,

é ÏK LOCOUOÏION AÉaOSWiE

Le ^rpupe pafleraerHiilre de lai Jocomplloft aérienne

apnës avoM- eûiepdu le compte rendu tle^la délêgaiiçp

fil_fi n' -t" rrï4t im t id fid rj t ffipu la ~61v~

qui avajt txjgu mission ûo s'entretenir ayeo le général

Rpoues -sur rpr^amsohon des cainps d'aviatwo, Q.'M*

clde a'e^anyner, dans sa prophame «éance, les moyens

propres A- servir le dévâoppemen. de JocomQtio»

uejjjyiDe et à en pippager 3'laée,

tî'cpjnmandawt Poilacclu,Tec4i ensuite par le groupe»

a foui m les expjicahdns les plus «idtailléeç ot les pjiia

mlcrœfanlas sur la nouvpllo ^arte §é£pn*'ûU,qtfe dressée

:.tnt~~aata~R~Mu~~?~rt~ ,C¡s,

ï)nr^es^pins du;service geo^japliigue de l'atcaèe,

Vers

~~r-

TOUS LES CHAMPIONNATS

OhamplDitnfat de France pur route

ftbaïqjiipqii it de France sur piste Champîonn it (l'Eui'ope

tihampïQtinat du Monde .> '<- ont été rempprlés Sur biCycleLteiLA.#JRANÇAlSE MAnQUE DIAMANT

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îles aminés dit v. Gaulois >

Mïnes la baronne de Bot4ëmont, à Verstùltes,

Cojnte$se de fels, iv Cannes.

Baronne d^ Grainville, à Àrcachon.

Mawott© de Quîvièrès, à Nice. Cornleise de Tenouarn, au château de AJaitécreux-, WiM. A. pergeon, à Tums. Marquis de Êontatiès, :&u gâteau 0e Moiïlgéoffroy,

Crarile,-de Eejè, vè.Cajvnes. ̃.̃ c,

O, de, La Grbiidièré, au château de Ciiaatèpîe/ D'Hcbrsird de; S&int.'Sulpîçe, au cljâîéau 4e -ïpiiy,Et. Lézian, à'Nioe.

iMarquisd^ SÎBtiville-Biànclji, aiii'AVaQts-sûùs*Ka>"

Heiirî4M«mer, à Canneè. Maquis du. l^aç-Badens, S Lyon* .• )

-Léon RicaefVvûù cliiM^au dë'Malfard.

Arra;andS3auit-Vel, à Monfç-Carlo. ̃

JBlMKR^A*A|tt?!

Mmes la vicomtesse de ëoishûe. Marquise foi Cou-' roiinel. Cojnfes.se. Ferpand lie&îoato.ljyBIJp. ̃̃-r-

Marqiiisé de Moatescpiioû-Ï'eèënsac'douatfièrfi.1–

Do "Sâipte-Ànlie. De. Sa^t-Moriiii-Vaiosris-

'\7içoiQtess,e de Vélàrd. Baronne G&ëtaa de W&

Ciài-ést, ̃ ̃- ̃̃̃ ̃

MM. le éonite d'Aubigiieu. Barre. Comte Raoul de Leusse. Màrqui6 dô^îoy; SûSfcCyim PROGRAMME DES SPECTACLES

;• î'jMiAflDI SlFËVfitjËR pli ;i

̃̃̃! V' ;̃̃ ̃'].̃̃' TBHÈftTIlES

-OpERA'^Téb 307.^5). -Rjîîaçhe. 'H

Mercredi îiLê 'Miracj'e. 'V

Vendredi ;Aîda. ̃

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Mercredi %às Marionnelles.

'̃̃- Jeudis venttitiai, samedi ApreB ,'Mbi.

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Mellganae.' ̃

Mûrcredi Louise.

Joudi, samedi Pellcas et 4V{«ljsaqde.

Vendredi Wcrlher. ̃ y

ppËQN (Téï. ëll.4^; 8\o; 5/<; ^alah }' I .f ̃'

THEATRE. LVnit3ÙBiQaUe) fTél. 1S9.-09), 8 1^. «

Poil Quichotte. ̃ ̃ VAUDÉViLt,-Er(T51.- 102.09); 9 acUres. La Famille Be-

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seujs, avec un amour frénétique. Aussi, quand

il parlait des'ouvriers, il devenait leur prêtre,

fleur poète leur prophète. Cette .fois, deyant un t

seul homme, Il^parla comme -il l'eût fait devant

vne«nultitude.?Parce qu'il donnait la plus pn>

îô/iflB^ïtla plus pure substance W son cœur si

^ardentj ij avait perdu jusqu'à ses déplaisants

iiéo^ogismeSj "son 'éloquence jaîljjss&ît de la plus

pure*veme,vàe la plias, profQnp^^eg sources

'mêtnes de^^nusique. i

Il^conclutj f f,"

–11 faut^avpir foi dans ILascension des tra-

vailleurs Crois, ^ieJ,ro,f}prpi$d"*Ce ^ont Jes. meillfeurs 3e tips fr-èrès?îesçlûs forts, 'les plus généreux. Sîioi-même, tu as besoin de la force ^poûr" tes" ïji£esTïiatioiiai}5tes, fc'est en eux que

-̃tu 3a irouyeras. "La "générosité est-elle néces-

'̃saire a 4on^rèye, c'est -^rèsJcfieux q<«ie tu la -pourras puiBeci, faut avpir**foi dansTascen-

«lon des tiaYaUleurs Crois, Pietro, crois t Et

rois~ -~ie ro

rop"ds-Jk» compte que les grandes choses peu-

verji se faire; ay^çajuie ^eule plasse, av^cjin seul

sage lepeuple^et ta jeunesse .f-

Pietro le^seriS.dahs. %r,ftsjB» S'écriant

Meici vl ?Tç nf ouvres Jeg^u^;

w ^Ii'auîrë, transporiéVlus haufesBacore^irépéta Ge -sont Jes plus forts, Jes pîys ^éngreux t

Les jours smvapts, lis ïevinrent^iir^e m6me

sujet, discutèrent ^encore sucie syjw|ïcaushie.

Giacomo «tait -plein d'ardeur- pQur appjofuver

Pietro et, en nïême temps 'd'une âeliûaïeiâ'1ex-

? cessive prudence, afin 4e le^qnftredjfe^eTlmQJjns 1

[ possible, car il'^ avait réussi --a ^deposér-én''$<Jn

cœur une parîlo de lui-même^ ,-la Sneiûeuîe

aussij'aimait-il comme uri'père'aîme ^yivlfilg^

Un changeme/itrëéï se pioanïsit dans^ia^ans- cience-de 1Pietrô ,'pp\ir4a première fois, «1 re-

coniiut que la plus généreuse force"de*lîr nation

œnRutQU8laplus.;g6aer€use~orce~ë~t3âti6n'~

réside dans le peuple let dans "les, 'travailleurs.

Sa conscience -Ë^n^tr-ouva renouvelée "eVfécon- j

-dee.. «

Un jourr il annonçai^ fîiacomo

J'ai résolu retourner 43$* Italie, Viens

"avec mpi -Di ,*» *• j'

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sociediste une pâleur1 affreuse il n'avait jamais songé à retourner en Italie. Pietro demanda,:

Nepeux-tu pas ?

Je ne suis pas .lié ici. Ma, vie est libre. Mais que'ferai-je en Italie ? répondit Giacomo; Nous travaillerons ensemble. > Giacomo, exultant, consentit. Aussitôt il~

ajouta

Pouvons-nous -annoncer notre départ à' nos amis'?' '.s" ̃ ̃ ̃̃̃̃ Pietro acquiesça.^ .Quelques, jour s après, Cria-;

co^no courait porter la nouvelle a.ious les amis

de "Santa-Teresa '̃̃'̃ '•̃-̃̃ Rummo n'était plus, reconnaissable, tarit -il avait le cœur léger et content. Un sourire, dont lui-même ignorait la cause, errait sur ses le- vres et semblait àllùrnef des points d'or dans sa barbiche roussâtrë!1 Cette-. ingénuité,' (fiii J-:

couve au fond àe!Ï!âme des hoinmès; conv.ain- s;

eus, montait en ses 'yeux* y ^mettant ^plus deP- bonté et d'allégresse. Etvpourtant, jamais il ne lui était venu à l'esprit ^retourner en Italie.: Il pouvait demeuier en Ëûrôpefeornmeen Àmé- rîque, comme partout, parce quUI était seul ^lii ;̃'̃: inonde et portait avec 'lui tout son bien" un dernier reste du peu que lui avait laissé son pèie^ suffisantpour le pain quotidien et le gros-

sier vêtement, dont se contentait sa noble abs-

tinence. Le surplus qu'il glanait à JR.io-de-Jâ-

n§iro, al pourrait le glaner, en tout lieu, parti*

-fçuljèrement en Italie il n'avait cependant ja-

mais songe à retourner au pays natal. Ici, il le

savait, J v avait peu à combattre, faute surtout

d'adversaires ,.ceux qui avaient autrefois par'

tagé ses croyances étaient maintenant regardés

par lui ^cômme les disciples d'un vieux soeîa-

hsme dégénéré. Le, nouveau socialisme auquel

il s'était converti ne s'accrqjssait pas en Italie, 1 tandis-que, d'îiutre part, 1rs classes dominantes

paient molles, ies rouages du gouvernement `:

corrompus. >

Enrico CORBADINÎ/

(A cm!)//5.) i

iTraduitae ^teïîèn^oï-'Ma»'Efetas HQi3a$tîJtÉ4\

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•'̃̃̃ Paris; le 20 Iévri.€r'i91iV; 1 lia vseniaine a débuté dans d'excellentes fcqn'ditiori9. La séance d'aujourd1liul..a en ef- ̃'̃ ïet "été des plus satisfai^aiitëB, et des plùs.vàjluës assez appréciables oiitpja. être. enregistrées 3àiiis îa plupart dès çbmparti- ̃ mente, tant au parquet qu'en coulisse. Lïm- ̃ ppe'ssian que. le conflit russo-chinàis ,«erta.rMera pas à être aplani, et l'es avis plutôt" ençaurageants des places, étrangères, osnt l'air de vouloir stimuler énlin la spéculation, qui, jusqu'à1 présent, à cpi-elquea e^cepUons .prè^s;^

ne «arait pas<aubjusfe danB,.gueU| id]recji*«f-

Pa s,Lujust~e .o:

B'orieiLterTÔn.:a4ônc'.nidiité Jm^u'.par'touÇ-' Jriais dans des proportions 'bien- différentes.

.Cohimè d'hâiitucle,' quand le marcHé.^ést'^fejiv

̃ v-jrep_'rise,il- y a toujours Gertainé. groupçs^qùi

àttirfint iplusvspéçialeinent ràttentiqri.v TjsL -est notainnïént îè -cas:das:;Ind,usti!iètfeé?r4is- «es, pàami lesquelles la Maltzoff se disiingué par une envolée de près'de 8Q..points.

-• Oh. s'étonnait déjà, de lui: voir franchir le

icours :de. 1,800 et voici qù*elle approche à grands pas de 1,900. 6'arrêtera^t-.èHev.?.:

,ŒH&rtniann; avance aussi, .mais àyecplus'

de prudence, de même la, Sosnowioe. Les iFonds d'Etats russes, sont moins, actifs,. bien qu'ils accusent eux aussi une assez sensible plusrvalue. Il est- à >r>emajyjuer, toutefois? quite sont arrivés à un niveau tel, qu'a moin-s de raison toute particulière, il serait peut-être imprudent de les pousser davan-

tage

En dehors de cela, le principal fait du jour est la recrudescence d'activité, très légère encore sans doute, maiB assez signifiante pourtant, qui s'est manifestée sur le Rio II est vrai que le Métal a gagné une demi livre à Londres et que les indicationsde New- York > étaient meilleures:. Cela suf- lirait en l'espèce pour justifier Jes 13 pointsde hausse dont le Rio a bénéficié au]ourd hui Mais pour ceux qui suivent cette \a leur de près, et quoi qu on en dise, ils sont encore nombreux en Bourse, il seirible qu'un revirement -de la spéculation à son égard ne serait pas impossible En cou-

lisse, on a fait pas mal de De Beers et aussi

des (Nîmes. JLe marché de ces dernières pa-

raH en voie de se rélever, mais ce n-est peut-être après tout que la conséquence des

rachats nécessités par la réponse des pn-

ines à Londres

Marché officiel 'J.

Notre 3 0/0 est toujours délaissé à 97 r>5 Fonds dEtats étrangers généralement

ainéGbi~és (~âtériéure éspa`gtiolé se: cü&ï>i-

améliores l'Extérieure espagnole se mam-

itient aisément à 94 10, Portugais ferme à

fcj 90 -de même que le Serbe à 88 J 2, Turc

(unifié en gain de 0 10 à Qi 40

Légers progrès des iFonds ru=ses ConsoMé à 96 90 3 0/0 1?91 à 83 70, 5 0/0 1906 à 105, 50, 4 1/2 0/0 1909 è 101 30 l. Avance sensible des Fonds brésiliens ti 0/0 à 91 90 contre 91 65, Bons de Sao-Paulo

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[1,51s, Union nansienne 1,172, Crectit foncier U'Algérie et de Tunisie 644, Banque franfco américaine 528 Société auxiliane de cretlitGl?

'Fermeté de la Banque ottomane à 708 et

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d'iht.d.sit.dir.mge6u.simil. M.R.,l1r.Cherpy,

ffouvernarite; 'Allem.dÈs. iplaoe bv. jeunes- enf.

GouvernaJite~ veâ; L.À 9,~r.alneùve.

U Exçell. référenc. verb: L.A'.y 2^r, Salneùye.

^'ame^se.ule, quëlq.x rentes-, dem. situât, gouv. Int.

chez' pers. seule,' voyager Â. M., au^oulois."

~~t ^~t ï ̃ ~rr~r

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Cuivre Comptant 3 9 Fers (Midlesb )C> «9

Tçrmç BS 17 6 Plomb anglais 13 6 3 Etain Comptant 194 espagnol 13 2 6 Terme 188 15 Zinc Comptent -23 5< Marché calme mais ferme au vojsmage de bqujLdation v' Leè Cuprifères ont été lourds Ces Américains ont été fermes et en

fcausse

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fères ont été satisfaisants

Les Caoutchoucs ont été calmes | ROME, 20 février

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3% ,70 70 70 70 ttam-Medlt. U3Ï t3«* 4

Batt^aâllaDitllSlf 50 1315 |iCbaDges>Pansl 100 4! -10043*

~4`~tav l~i4 51 !9!5' ~yésPai?5 i·9'i! 106'~4E

BERLIN, 20< février J

aliemàndî*; 84 90 «4 80 JDresdn'Bank 164 3/8 IC4 1/8

TrB3eiea3% «4 80 84 70 Disço^toocm 196 1/2 197 1/4

Saxon "3 83 90 83 80 Deuts£beBank Î68 *3/4 2(8 3/4

ûallen 0^5 ̃ Bjrlla.Hand«L jji 3 Jîl 1/4

ExiÇiiean -y -j Boehnm^ M6 1/2 245 3/4

TurtamBs. -1 siV8 ii St» laort Ï7« { «33/4

^em.»Btrico. 158 1/4 ISS fcrçpener 3/8 jj, 7/g

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taem oUom S19"7a 2.18 75 flnandiaca 76 7S 7a Ferrelra »{= 50 2a0 50 Hanolootùlnt. 57 ïn ^S««k

«onaiaC-««lvM60 5380 ̃ Ks-Baaya Oeideahut, d g3 §0 JBaodHices ̃ 283 405»

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tab rciér verb ,P. C .«'gSjrue batril4)ïdièi

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Valetrmaît. d'hôt. conn. cuis., st>br«, .tfavaill.,

̃ 2-et 6 a..m. majs: A. P., -Il bis; y. Jean-Niëbt.

;frrès.b..valrm,d1i., 38 a., réf.' verb., rëcbiû: par ,1 maître, aemV .place. B. J., 77, r. de .Vâreniiiè.. Valet-maît. d'hôt., .29.;sa.lT68,d«n: pi., Voyag. :f: Bnes j-éfér.' Eçr.: .J.>C, ,24,-r. Mircmes^. ifaL-matt. dlh.30 a., oéhb.d.;pi;m. ou.M! seul I tr.c&ur.sérv. Réns. -ye'rb: .L.'H.93/.ay,Klébêrl' «en val.-maît. d'hQt., 29 a:, 1=75, b.arg., c.serv^ù fond,-d:.pl. Bi réf.'Emile,'62,gr:;S'-DominiqW yalet;maître- d'hôtel, 34 arisi r bnes référ. 5 à:

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V4d. Pl., olu'extr. Ec.: D. L.98,.bd

d. pl.ou extr. Ec.: P. L.98, ,bd Malesherbè|.

Valet ch.-maît. d'il. 30 a:, ci.sery., p^ppfeî.act.,

T Paris, ou. yoy.enç. ènpl: 3.-B.10;i'- Lesltcur:.

Valet xh.7maît. 41iôt.rec.: par maître; "dépite t e ̃ ;?', place; sër.lRéf. vârb.'L.D.J,36;;bd-S.t^Gèriftttin.1 Vàletjàe châmbre-maître d'bTôtel, demande; pTafe T ̃ Bonnes réfêrehc. :T5.B.; 49, "f.. Cbiircëlles.

:0-boDsy<il.-ch.naK. d'hôt;, 33.a.~ e. 4eurs serv.

2-bons yûl.-ch.-niaît.' d'hôt:, 33-a.j,' e. Jëurs servJ

,:à. fond. Tr:-b.réf. Û. H. ,49, .plY.>;Victo.f;H"SO-

Bpri Ivalel de. ch.-matt. d'hôtel, .32--aûs,id>; place, jbonnës références. PL $.64;, avjenûëjd'lénâ..

Valet ch:-m; d'^ôl- 33 a.lib:l?75;-tr.biïés:réf:,

-f demande place: Ecrire ]. P., 57, r; ae Pcnthien. Valét^rhàît^d^hôlél^rSO a' sbigrieùx.vinstr./deïinT I' pi. cliez:M''seul,; voyager. lTtenri,yau',fa'ttu,(<'i?- VALETS DE; PIED ̃- ̃' !w:V" Jne hme, ^3 a.lf72,; â; pi.' val. pied :ou 'ch::Tr. bnes référ. Ecr. M. b., 8, r.- Lalqeppaj's. Jne lime -23'a.i ân% 'pro^^rd.capitàin'ei'dî pï. vàl.,pied b.uch. –H. jB. :39, ;ap a^Aptiri:

Jne >hmft 17:ti. àrrîv."pr6v;Pa:pl/9Èili'iBh;"Mâ1tt

'plpa.Dbyiçrj-g^.r*ue .(àj.oly4es-Petits^6iitimps*. ^triiSme, 17 A'l'7.0,:d. -pi: a^mi!t.4'4iS0fltpI tl ;-ppj ses ̃par;ehls.' ;Lv .G; .214; f de "jiivolj-. ïfalct de pied, 18 à., grand,' l*76,"deiri;:iphic«. ..T'. Référ. verb. A. J. 24, av. de Tpùrviï.Ié. divers -v' Ditualions? d'avenir. –Les jeunes^ gens, -jeunes 13 filles et adùllesgui. se destinent ."aux. affaires Commerce, Industrie, Banque.etç., s'y feront '.rapidement-dVbelles situations s'ils spnî.murjis dès connaissances .pratiques iriais'pensabies:; lis lés acquerront a bref délai et àpeudè'frals"te.t auront l'avantage d'ôlre placés dans de bonnes. conditions s'ils s'adressent à l'Ecole Pjgiër, 19, boule-

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