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Notice complète:

Titre : Le Gaulois : littéraire et politique

Éditeur : [s.n.] (Paris)

Date d'édition : 1910-05-24

Contributeur : Pène, Henri de (1830-1888). Directeur de publication

Contributeur : Tarbé des Sablons, Edmond Joseph Louis (1838-1900). Directeur de publication

Contributeur : Meyer, Arthur (1844-1924). Directeur de publication

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32779904b

Notice du catalogue : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb32779904b/date

Type : texte

Type : publication en série imprimée

Langue : français

Format : Nombre total de vues : 94503

Description : 24 mai 1910

Description : 1910/05/24 (Numéro 11910).

Description : Collection numérique : Arts de la marionnette

Description : Collection numérique : Commun Patrimoine: bibliothèque numérique du réseau des médiathèques de Plaine commune

Description : Collection numérique : La Commune de Paris

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k5347081

Source : Bibliothèque nationale de France

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 24/04/2008

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~sM!~ .R~y~~ ;<~i

-T~tl C'C'~C'

? -j[~

~ans.-mon~imagination un peu fo~le, avant {.<d'avoiï' admire les représentations, de ballets et opéras jùsses,'pour moi le mot ballet et J I.'épitHete'russe.évoqùaient des fêtes et des dànses~h'ayant~.aûcun' rapport avec: ce qu'elles sont en;j'eal!te'. Je me ngurais un tourbillonnement deblàncHeurs, une sorte de tourmenté de' neige, BQëlodi'euse~t bien. réglée, des ouragans de nd- cans.e.t;des scintillements de givre et-de. gel ,~rmi.des,-mollesses; de duvets d'eidèr et. de ~~gnes, des dpuceurs d'hermine, ennh quelque .ch<e, de gracia! et d'etincelant, une sorte "'de ballet pdlàire don-t .les étoiles pour ëxécuter leurs, pointes, leurs temps ~penches, ,leu.r5 revij?ements pu. leurs, jetés?battùs~lë5..plus ~triomphaux, couvriraient de diamants, Ïeurs ''përruques.~poudrées à frimas; et-s'habilleraient de je'në sais quoi de moelleux et d'immaculé 'pour 's'élevei: dans J'air, s'y suspendre et;reto~ '~bërj/ausN'/ silencie~usemëht: que Ja~het~ même, -<ians ~uh. enchevêtrement -~buaté. de' pas j impalpà~eset'surs. ~'é.tais loin, on le :voit, de soùpconner.la-splenJ '.d~r 'tout.~oriënMIe.des ballets~ russes; et leur '/a6péct.de tapis ~persan animé et. vivant cha- ;.que~ da~s:euT,~baqùe;ac~~ nls.de la tra.me, ~uhe_ des rosaces oH. des arabesques, un-'des/sign'ës m!ysM~ du 'pa.rterrë de'Iainëpû desbié'èt.M~~ par la' -u~nce~dB&~tDNes~ui~e"~ que" bar son type' physique et ses attitudes ou .5~t.alént&, a rincompaTabIe unité, à la surpre-naiite.~hârmbnie générale.. Aussi n'ai-je jamais regretté, en 'assistant, Tan dernier, a quelqu'un de ces beaux spectacles~mon rêve de Symphonie en blanc majeur.

L'auteur de la .S~?~pAo?Ke e~ &~Kc Mc~eMy, "Théophile Gantier lui-même, écrivait ceci !prs. .dé son-voyage'en Russie, à propos des ballets et. des opéras de Saint-Pétersbourg 'f Cette a-nnéa, Tamberlick, Caizolari, Ronconi, Mmes "Ëosio, Lbtti, Bernard!, Dottini, formaient une tetô ,de troup&' admirable Mme Ferraris, la .plus'-parfaite ballerine du monde depuis la re.'traite'de'CaTJotta Grisi, jouait un ballet comc posé'pour elle par Perrot, le chorégraphe sans rival. Se faire aipplaudir pour un pas, à Saint'Pét-ersbourg, n'est pas chose facile. Les Russes .sont très connaisseurs .en baHets et le feu de -Jours, lorgnettes est redoutable. Qui l'a subi' vie: .~néusement-peut être sûr de soi. Leur ConJ,seryatoire' de danse fournit des sujets remar.:quables,ét\un corps de ballet qui n'a pas son pareil pour l'ensemble, la précision et la rapi'dité, des évolutions. Là, pas de causeries, de ricanements, d'oeillades aux avant-scènes ou a j /TorchèBtre~ C'est bien le monde de la panto~mimed'où'Ia parole est absente. Ce corps de ~ballet est choisi avec som' parmi les élèves du ~Conservatoire. Beaucoup sont. jolies, tdutes'sont 'eunës'. ëf bien:; faites -et sayent: sérieusement -urB~t,Q~ leurar~ » 'îl:.ii~'a:.rien,~es~&t~ a.ëttë'. §Hp~éc.iaHo~.pourtant déjà'presque b~tor~uË~ rien: qu'à remplacer .le nom de. M. P.errot .par celui de M. Fokine et à.changer les noms des artistes d'alors dont, je l'avoue à ma honte; ''beaucoup me sont étrangers mais où sont les neiges d'antan?– par- ceux qui nous sont chers maintenant Nijinsky, Mmes Pavlova, Kqrsavina, Federoya, Egorova et tant d'autres à bon droit si connus qu'il serait trop long de les-énumérer, malgré rétran'ge grâce décès noms aux sons bizarres et doux.

"Mais le corps de ballet est toujours merveilleux et d'autres pieds agiles et légers ont suc~cedé~à-ceux qui sont désormais immobiles, et qu!, hélas;! ne danseront plus. Les théâtres impéria.u'x choisissent. toujours des leur en,fan-ce,.dès 'huit. ans, de jeunesa'rtistes. aux;quels on donne une bonne instruction-eh meme'temps qu'on leur apprend l'ar-t de mimer et.de_danser, et ils sont. un jour ad~mis~a.fatre partie de ces théâtres, .et. y.. restent jusqu'à trente-cinq ans, âge auquel on leur rend la li!:)erté..0n médit que l'admission à TOpéra de f.P.ei/arsboùrg de M. Nij insky ~fut UTi peu rëtar.dée..pafce qu'il ayait manqué son examen de mathématiques. Voilà bien le cas de retourner la phrase célÈbre et de dire « C'était un danseur qu'il fallait ce fut un calculateur qui~ l'obtint- )' La''plus,~rande'sag'€sse règne'en .général, paràît-i~pàrmuce monde pTesque~ailé les ~j&unes'-bàllerinës's'en'yont sagement se 'coucher après le sppc.tacle et retournent dans leur famille j,après~pir soupe de .g-âteaux et .de.Iait. Sduveht~ ~ei, pendant les répétitions printahières, elles se sont partage avec un plaisir d'enfant un beau panier cerises'à; quelque aimable attention. Quelquefois, ma!S rarement, on est mpins sage, et.ra.nnee.derniere.il y eut, a Paris, un. mariage ~sectët. un mariage sur la. pointé 'des.pieds.

On.'était déjà sage à l'Opéra russe du temps dé'Th'Gautier et la race bien parisienne des .rat9,d€ l'Opëra. n'existe point aux pays glacés ou bien les. rats-sbnt des rats tout blancs. La danse y'est yraiment'et seulement une. profession et. ~'uti.~art. Nous ayons vû~ d'ailleurs, avec qu'elle ''Re.rfectîon, .quelle passion, quelle sincérité," w ''c&ague danseur,'ou chaque acteur, même .chargé d'un rôle infime, accomplit'ce rôle;: la. foulé d'~aM-Te~&~e, par exemple, n'était pas uh': tas'compact- composé de figurants: se 'destinant simplement, toujours en tas, a faire unë.foule; elle était variée, vivante, ahimée,~ 'diverse, parce que chacun y apportait son ar-. '.dëur~ropre-,et sa secrète personnalité. .TjiéQphiIe Gautier ne devait pas songer, lorsqu'il parlait si élogieùsement des ballets du Nord, que sa GMeMe, sa célèbre GMeMe, revieh"drait dù~Nord à;Paris,~pour être présentée aux .Parisiens'du.vingtième siècle. Il ne doutait 'pas que M. Petipa, frère de ce chorégraphe ~fameux qui monta GM~He à Paris, en 1841, vivràit'.encoré à Pétérsbourg en l'an de grâce IQip et' que par lui se serait maintenue là-bas, 'au moins pour~Json ballet, .plus cIa6si~uemeht~,Toma~tique, si .ces mots veulent ~Ëién~pour.une'fô~ de compagnie Nous ".allons donc voir e~eMë, telle que l'applaudirent les belles dames'' du temps jadis, et ncus cher-cherons~Mnvolontairement ~dans quelque'loge,' derriëré le fantôme charmant de Musidora aux' yeux d'aigu'e-marine, l'ombre;du.brun Fortuhio.' -~Et;nous vérrons:'aussi ~a2a~e. LaLmusique~dë/Rimsky Korsakow évoquérR magiqùement tout ùnj.rêve on&ntal. qui se/réaliseràr de'.va.htTiôsyéùx.ravis", cé'séra une sorte de dranië chorésraphique;ou nous .pourrons ..applau4 ,di'r: le grand.: talent.de mime que possëdént~ aussi ces parfaits danseurs:~ 'Et ce sera un~ ï;- indescriptible f~ de-coulèûrs les' décoï-s~ et les costumes he .présenteront que des! .-t~intss'\franchés, violentes, hardies cohtrastes et camaïeux, de jaunes, d'oranges,' de verts, '-d'or.'de~pourpre, d'inparhat; de violet, d'ecar,Ia.te,' 'de.'Mëus.dè nuit d'outre-mer.L'Ie ;~saphir,rémera.ude, l'améthyste, le lapis, le.tii"bis,!la'.tûpazé'yetir6ht déleurs, teintés~de pier~-Mnes, sultanes., sultàn.s, euinj~ues, odalisques! étsadolescénts: 'Û-n'y~aura pas ."une seule nôte~ ~de;:blanc'-dans -'tout- ce ~ncert d'harmonies un~ '-ï'J~eu'l)~bares et. sauvagement'raMiné~ pas~ ~une setBé'nuitbIan'che parmi ces mille et une: nuit9.ien qué;dës:son~és. éoloùissahts -ou~ ~"sur« déroulement ~fàstù'eûx aux splendeurs {~ t/ L.

.~??69. :~&t{qu65, ~~h~tB.lagiTQ&ti&n,

''Mntm€sut.~B%tapiB~a~ëux"co~

trouvera tï'aaspdrtëe~u'~ ïond~mêmë d~J'~nent.~ e~iKous crjOirQnEL.'habiter: pour quelques hetn~es~ fëer.iqines;.I.a.j'marge 4'ù.ne miniature de'.I~erse,.

pu~Ie couvercle précieux d'une longue boîtes- de.

l~ue.J'ai/là devant les yeux"quelque5-unës,.(les.. aquarelles .dé Bakst représentant,les costp;mes.~ de ce ballfet. ces aquarelles spiit.d'uneîàntansie, d'une originalité, d'une hardiesse, vraiment étonnantes: Le même peintre a peint'les 'dëM)ra; et s'occupe la mise' ëh scène en même "temps qu'on lui soumet, chaque .échantillon d~étoîîe. Nul~ mieux -~que. ~ui, naturellement, ne ~peut compléter par les teintes animées des vêtements, les couleurs immobiles dont il. a composé; son tableau, dont ~es personnages doivent être: vivants. Des artistes,'plus' autorisés que mM eh ces matières, ont déjà dit à propos des spectacles de l'an 'dernier, la grandeur simple, de/ce~ décors dûs tour.à tour. à MM. Bakst, Béndis, Bilibme,.etc~ décors dans la'composition, desquels il n'entre aucun trompe-l'œil~ et où"l'ab.sence. ;d'or.nemen!ts..et de oom~licationa' inutilea arrive, pa!" ie ;dé'dain~ ~de certains .enëts;~ à -une ~emat'quable" '~uiissancëd'évocàtion;-ët.a laisser: toute sa ;force à la suggestion la. réalité; Ndus~rëtrauvërojis cela :et;aussi le goût et~'Ie. soin avec léqu~l~sant .arrangés "les..groupes~âe~personBà~~ ~e~~ d'habillement ~chaquë~ costùme7est\individuél, diiïère ttu~GOstume. voisi.n~tout-;en~'Ha~~ momsant ~àvec'iul~et~aë~ra.ppoi'taht,~ la; com-. position 'générale- on se-.rappeUe ;Ia. Ë~amme.

de jouges, du oeriee au pqurpre,;du'dêrn.ier<ta,

..bleau~d'ZM~K.e-re~~e.. '< ,Auxipremierés représentations de, BoMs~oM~OMHo~, le groupement :décette"mùlfitujdë'bi-. ~.garrëë;'{u,t~paràtt-il~ chose .peu fâMle.Qn~ m'a. ,,<~nte;,que\certai~~g.ura~ ;sE:. placer :d'apres.teûrs préférences amicales ou'. syjnpathique:s: 6t n'avaient~ pas, .comprj&.tqut d'abord qu'ils devaient, .pour les représentations tout au moins, ne fraterniser qu'avec ceux-là de.leurs camarades dont les habits s'accordaient avec la nuance des leurs .les'couleurs ayant leurs affections, comme les sentimentalités humaines.

Nous yerrons aussi L'OM~aM <Fe /eM, dont le sujets est emprunté à un de ces contes féeriques ou ~a~~as que les paysans se racontent pendant les longues veillées et qui, de veille ~n veille et de lèvres en lèvres, ont hanté immuablement, de siècle en siècle, la. mémoire/pourtant. changeante des hommes. La. musiquette L'OzseaM f~e /c! très éblouissante et,d'une grande virtuosité orchestrale, est d'un' jeune musicien Stravinsky, élève de Rirnsky-Korsakbw. Les O~K~a~M jseront des danses plus ou moins populaires de tous les peuples voisins de Rusr sie~ et nous retrouverons'tout l'orientalisme dont l'art russe est. toujours innuencë.'Ue célèbre Nijinsky y exécutera un pas siamqis'; onpeut nier que cela suit une création fort:pàr- ticulière et plutôt nouveHe Nijinsky ep..danseur siamois. Avouons que cela nous remplit de curiosité et d'impatience. Avec le Ca~na~, fantaisies ;de pantomime et de .ballet inspirées par la. musique de Schu~ ma'nh, nous'retrôuverons le; romantisme al~e'mand, que nous avions.goûtée déjà ayec; pA!Gë &pè6tacle.contrastepa-'avec lës'B~ .4t;so'~ptt;ejù6§'s.b~r~teë.dp~ J'àv<)~ur\m~-p~rj;, Mê'je~ f~i~ ~êr:" niërs, dignes d'être- offerts'en spectacle'âii'fameux shah'Schariar, au subtil Aladin, à ëurieuse Din'arzade, à l'illustre 'BoudroulHoudour et à toutes les'plus belles'sultanes'et~ à tous'Ies plus puissants-vizirs ;nousn6us;fpliciterons.de n'être pas les Calenders borgries, car nous n'aurons pas assez de nos deux yeux;pour admirerces rêvés vivants, dont nous "serons les Dormeurs éveillés'et émerveillés.' w Nous devons donc de grands mercis à MM. de Daghiiew et Calvocoressi, dont la baguette magique anime, pour la: joie de tous lés ajustes et de tous les lettrés, ces délicieux songes, et'grâce auxquels, nous. nous transporterons, par les beaux sbirs juin, dans les plus chatoyants et les plus merveilleux-des lointains jardins d'As:e.' l' 1_ Gérara tt-Hou~tIe Ce (~i_~ p a~s~ tA,OHT<<:UE' U&STATISTIQUE-A~BU BON' Les- ministres se sont Teums hier 'en conseil pour 'examiner « lés questions que ".Soulève: l'entrée enfonction de nouye.lle~Ch&mbre et le programme du~'travail qui' lui sera' pro- posé. "'L\ Quel- sera-ce programmé.? 'Ijes'.minisbr.es l'ignorent encore, .car il leur "îàùt àv.ànt' de le tracer– connaître l'avis, des'mentbre-s de la nouvelléGhambresurTje's diverses réformes qui seront sdu~vées au/cours de la législatu~ 'chàine. ;1. ..Un rédacteur du y.eM~M a interrogé a;cë sujet M. Bria.nd/et le/président, du conseU lui,, a. donne, l'assurance <[ue le gouvern.emént 'irait devant là' ChaMbre Tavec des vues néttés'et. précises sur tûus les'points esentiels. ,11 'ne iéhterà pàs~ de ruser, répudiera les moyens .dilatd.ires et n'esquivera, 'aucune des difncultés d~ la situation.. En résumé, le gouvernement ne sait,pa's éhcore'ce qu'il veut; mais il le veut av~ec une'fermeté dont nous serons à la fois surpris et ch&rmes. Les statastiques qui lui..serviront à. nxér's&s propres.opinj.Qns démontrent'que le pays n'~st pas en parfait 'accord avec, le,;gouvérnémént; sur les plus importantes des réformés promises.~ Le projet CàiHaux, tel qu'U a-été: présenté; par son auteur et .accepté par M.. Cochery, ne: réunira que 153 voix à Ià:ji6uvelle Chambre. ,Lés; partisana du scrutin d'arrondissement r sont 'a'u .nom'bre dé.'35, et. si on y ajoute ceux' qui acceptent ce mode'électoral aYéc:Ia.' péré- c quation dés circonscriptions, ce chiNre s'augmente de; 3~; unités, soit, au .total, 66! Par contre~U: y a 271 députés, acquis: a la représentation 'proportionnelle, auxquels, i il egf v permis. d'annexer 92 partisans~ de la réforme. électorale, naturellement opposés au scrutin de; -< clocher. Lé. dénQmbrement:des .voix obtenues .par les; candidats;' réclamant ~ë. scru tin 'dé liste avec! représentation prôportionnene indique 'de'fàcon~ claire qu'il existe dans: le pays un formidable~ .mouvement~'d'apinion ;én; fa;vpur de eètte~ rc-~ Uppmc.j'Lt~ ,r;L. ÛM<!<7'e MM~pns. ~'MC<ye een~ ~Ma)'aa<~?'oM éIscteuM.jse sont prononcés, en ené:t,,(pdur~ le.~projet M.~CbarJes Benoist, alors.quedes partisans, du ~<a<M ~Mo. obtenaient péniblement `: trois cent, cinquante-six mille Suffrages. C'êsMependant~le ~~a~M ~Mû qui a triomphé, et la.. Chambre nouvelle est .issue d'un, scrutin que l'immense majorité'des Français a solënn'el,Iement. répudié: ")' ;)La réforme 'scolaire, telle que la proposetM.

Doume'rgue, teHé:que"la':réclament les sectaires

de; l'extréme-gauche, n'a- pas eu 'gran<J succès. devant..lesurrra)ge;;univérsel. 7 .;298 députes nouveaux'ou anciens sont-parKsans de:la~ibert.é. de; renseignement, alors que' ;` 66; rseulemënt,sont'.favorables au- monopole d'Eta;t. 't' i.L' 11 est vrai: que 213~radicaux-sbcialistés L voa-' .draient.'quele~ écoles libres fusseht:SN~'z~eë; mais c€ux-Ia..Tië-.peuyént::rev!ëndiquer 'le~tre~ de!

~noyateurs~~c~~dep.uis:lohFiemps' 1 eijséigné

ment Ubre est ~spumis~à doutés 'lés: tracasseries' ` .uyent;.in~ntér Jes~erveaux~gï~s~ë~ °:

~p~9j~U~pi~ïn§peG~uï'~

rttOhnaiMs. -1 f'

~l~~ul~~e~ttestaUstiqûe~aîlleuj~ Rcielle–quesiM.BriandvButJ~mal~ programme .conforme a,u'vfBu ~ctù~ays, ~1 lui. faudra nous emprunter'lé nôtre, à quelques cté.tails près. Je doute ~u'il s'y résigne. .Quoi qu'il 6Ti soit, le .principe! cte la'proportionnalité a été si réellement, si impérieusement. ~fnrmé par les électeurs, qu'il'ferasàgëment~de s'y soumettre et de l'introduire dans sa métHoo.e de. gduverhemen,t, en attendant que la disso-, lution de la Chambre– dissolution qui, des aujdùBd'hui, s'impose~– lui permette:de'dégager sans équivoque possible le véritable sentiment du pays.–L.BESMOULiNS.. ~OS DE PARTOUT Les députes anciens et nouveaux sont venus hier en assez gra~d nombre au Palais-Bourbon. Pendant toutTàprès-midi, ce ne fut que présentations, congratulations'et échan'g'es sans nn de souvehirs déjà~lointains <les .diverses' péripéties de'Ia dernière: bat~ill~électoraîe.-Tout Ge monde paTlementaire~tait~a'~àjoie 4 lés: ancien reux d'être sôrfis'victonëux'dë la lutte~et de se retrouver un peu chez eux i;:les. nouveaux; les L <bleusN,-l'a;irëmbârràssé,-prësque;effaTÉ,~mais ~satisfaits-tout ~dë ~nlêm&\d'a'voir. pu conquérir Mâches de ce :paIà!S,~ Qbj et de' leurs convoitises. iaë'la reprise dès travaux,'ilhe:fut nullement question :.a.;demain les affaires'sérieuses Toutëfois, on -'ne '.saurait passer sous siiënce' un l)ruit;'qui s'est répandu'vers la 'fin de l'aprês- midi et.'qui a' ca:use une certaine -émotion. On L racontait,-en~effet,.quë~e,pr€sident;dë~aCham-~ bre actuel, M..HBnri Br'isson);aurttlt:un concufj~eh~-pour.'iel~âult.ëniï.~residehËél, et~im~ ajoutaient que ce-concurrent nB~sëràif~tuh'ëqHë~ Ml Ba.ul Deschanel; qui a déjà occupé non. sans~ L'une certaine.autorité' ces hautes/fonctions. On vient de .commencera sur le terre-pleins de l'église Saint~rançois-Xavië: les travaux ~du soubassement destiné à supporter le monument de François Coppée.. y f

La statue du regretté, poète sera, a la nn'de cette., semaine, transportée sur cet emplace- ment, en~attendant.Ia date. de son inauguration .qui vient d'être nxé&.au 5 juin prochain. 'i Nous avons don.he la description du monu- ment. Rappelons que le statU'aire, M.:André J de Ohastenet, a .représenté Fra.h.çois Coppée de- bout, 'dans une attitude familière; en veston, et ~Ia cigarette aux doigts. .Parmi les discours qui -seront prononces a. cette -cérémonie littéraire,, qui sera aussi la fête du souvenir, il y en aura un de M. Jean Richepin, de l'Académie française, président du, comité du'monument. Les deux poètes s'étaient connus chez Théodore de'Banville qui habitait une. petite .maison 'entourée d'un jardin, dans la rue de l'Eperon~ une rue dont les .vieux 'logis ont pour la 'plupart: succqmbé~sous la pioche des oujvriers dé:.'mblisseurs: Plus.ta.rd, ils se retrouvèrent chez Barbey d'Aurevilly, et c'est de cette époque que '.date la vraie et solide .affection qui devait les unir.. ,Nous avons dit, hier, que le capitàine~M~r-.

-bonnet et: Ip .lieutenant .Féquanf, dësFEcolë d'a-

;np~t ..tal ~r~P!?~ d:

~M'8~ ~S~. ëP~Pt~~ ~t~p~n~~

'c@u ,4e Taid' ~Kâ~hs~n~nn~aêroptène~-

Hp~tr~eu~ M.Ma~ing~, ~~ah~HeJ'a)~ mieux. Gomme le cieLétait particuliërémènt favorable, hier, à l'aube, il résolut de quitter Mourmelon et de s'en venir d'une'seule traite jusqu'à la ..place de~a: Concorde. A quatre.hëures, il' mettait en. marche son moteur Gnome, s'envolait et s'élevait aussitôt à quatre cents mètres environ.,Puis.-il. prenait franchement la direction de .Paris,, au-dessus des plaines, de la Ghampagne.Tout 'alla bien durant, cent cinquante kilomètres, et M. Martinet comptait déjà nous faire la jolie surprise de débarquer au pied de l'0b61isque~quand,.tout à coup, il ne reconnut, plus sa route. II dut se résoudre à atterrir. H se: trouvait alors près de .Tournan, à: dix kilomètres au' nord de Brie-Gomte-Robert, dans la Seine-et-Marne.'M. Martinet déçu mais point découragé, jura qu'il achèverait son voyage.ce matin même, si le temps le/lui permet-

tait.;

COUP DE CR~yp~ ANTOINE BtBESCO;

L'auteur de /cc~ues ~&ran, la pièce dont te~hëâtre Rëjane donne ce soir la ..première très attendue. Car on se souvient des débuts marquants .que M. Antoine BLbeseo fit à. t'Œuvrë. avec Le '/àtouï~ une remarquaNe étude de caMetère'Jes plus fines'et sùbtiies'-qûà)itës -d'anaiyse s'aDiaient heureusement à~ un sens tTès.vif du mouvement,.à «t'instinet'dMmatique )) etdonttesHceës ~utMDaru. ,0. "'est/pas p)us parisien/que' ce prantàis d'adoption,

d aii!eurs ê]eve et 'qui"~ë<:ut'~fou!durs /parmi hôus-t '.qui

montra,' des~'ado'escëhce, pour nos~ettrës !e goût~e~plus pa'ssi6hné'en"même temps qtfe1e'p)ùs délicatement raffiner Pourtant.e'est à son origine.sâns abutë.qu'it doit'uBe' ?§? spnnatitë .singulière, un charme fait 'd'en ne sait" quëi!ë amabilité a la foisempressëe~et~honchalante, <]ueile'sënsi-

;bitité ~yivë et. spontanée, quelle nervosité ardente et -ea-

lit" "~t iiée,u~lle i~rv.'osité 'ardtnie ,et

;prieieuse,/ .r/

Du~mondë'des lettres :en quelque'sorte par naissance' M: Antoine Bibe~cb 's'y est 'tait tout de su!të une place'

enviable–qu: grandira! r

Voici~ u.ne nouvelle qui ~noùs vient'<le Be~m et qui est n'cLvrànte dans sa simplicité. Donnonsla sans y changer ùn'/seul mot; sans y ajputer/ le moindre co.mmehta.ii'e h Berlin, 31' mai '1910; La souscription ouverte par :la a Sociétë 'des-Forges-des -Maîtres

alle'inàrids-s~ en l'hô~nnéûr l oûvri ~s

allemàjids en l'honhe'ur de l'ouvrier français,

Pierre Martdn,in.ventëur. du procède d'ac~erage qui porte son, nom, s'élève actueLlemeht'à 25,000 ma'rks.. Ce. chiffre, qui vient d'être salué par des atcclajnations à la dernière réunion, des Maîtres, .tenue à Duisbourg (province de Dusseldorf); peumettra de venir'en-aide à'ce gënie" malheureux, et; méconnu, qui est actuellement agéde.SSans.etsans.ressources. s-. Tout commentaire, .n'est-ce pas, serait su-

pernu

Votre amusante classincation:'des députes.Qe

.serait pas complète, nous ëoritun.ai'mablèlec-

t~.ur 'si p, nous ,P;1~-

jteur, s: vous n'y ajoutiez ces'noms, ~Migeant le-urs possesseurs à. s'occuper plus. spécialement <~rtaines catégories: de travailleurs., C'est ainsi que les éleveurs seront :'protëges: par MM. Bouvier, Baudet, L~boucq ''et Pou~'lain ceux qui.guignent l'hëcitage Dëlonclë, par :M, Héritier "les cui~iniejRS, par M. ~Roua-

het (canard" :rouennaise)'; les..ch'â.p~.Ij&rs~ p~r

M, ~Le HeNSsé les sylviculteurs, par'cMTvt. Brousse; Buisson, Des Bois, Fôr.est, Delah~yë~ les g-éologues, par MM. Dumon.t.~RocH~ Hi-~ mon'; les naturaljstes.pàr~M. Pytiion ;~ë5'.pa~ ;fujneurs,' pâT MM. Violette et -Fo.ugère :(recom- < mandons encore les amateurs de..palm€sè'M~L Viplette) Ues' antiquaires, .MM. Néron, et Si- .bnie les -maçons, MM. Maison, LachfHid lès .pécheurs,MM.' Bar,, Gbuj on, Rivière et'Golin

fies tail !<nirs, M. de Ch;ppëd.&l aine 'les agrir

oulteurs, ;MM; Vigne; dè'Ghambrun;Ch~u-: temps, Safrrazin les càvNiers,. MM. PouHàjn,'

:SeHe ~es\. chaleurs, 'ML'. Briquet les.'sculp-. f

teùps,pàrM..Pbt'ie,ete,

j domine on.le.voit. le jeu' n'est pas méchant,

,e,'on 1 p pas h,

il est varié â.l'innni et fait .oublier les horreurs' de.la'comète. ypic'4a. deuxième listë;=des abonnés 'a la sai- .so.n~jusse'de l'Opéra cpmme on le voit, ené continue.~ comprendre. les noms-'lës plus en" ,yue- du tout-Paris et de.jla colonie ;ëtraïïgère, et fait~.présagër, p9ur.lës:mardis; jeudis et sâme- ;dis.,de juin. des salles ~lendides.~ v

.0!ic})el~;marq~

MM: -d' RMhschiM frÈ'reB; 'comte de-. Gr&mé<l!y'~

comte'.de -Piol~nv, 'comi~sse 'de~alliffet; Gomte' T-~1."

'gë~!jt!{ ijaron~da~iMkde Dëux-Ofp, Baron~; 'ae~EHBzbourg;' M. '.Jây Gôù.ld, r ~.doctéuR ~ëumann,' vi~'eomie'.de Kergàrioù,'comte 'de Bërtiër, M: sde '~pe~a~aroniYëFbuld~M~e~o~akbTf; La ,1 Huer~ comte~ Relier, ~lle 'de Prëmicourt,' MM/ -de Rëszke, LilienUia:Gérante, Stern, Boume, Trèzef,. 'Germain, Dôrmem!, Max Lyon, AtmeTevis, Pessôt.L.QriHardRonâIdo, Hauser, Char!ier, Ëuard, Kiotz, .Laveissière, ReiHy, docteur Màdariaga.Pa-' cIiedo,~Dncbùr, Stoptordi Chère, Miebau, Etienne, Ochsë,Alb..Renault;'docteur Neeper, Lawrence, TL~KaKn, Tiskëwitz, Marghiloman, Parrish, Sànds,~ Stewart, 'Murray Potter,- Gilette Riou, Mme Gurnee,.M. Errazu, etc. ~S70JV BREt~B ~DÉJEUNER PEU BANAL

11 s'agit du déjeuner amical de )a Soeiëtë nationale d'acclimatation, dpnt~nous vous disions deux mots l'autre jour, vous savez bien, ce déjeuner dont .te menu eût ~fait ,1 reculer d'horreur l'illustre BriDat-Savarin) Eh bien, a eu lieu Mer, au buffet de !a gare de Lyon, et i) faut croire que ]a matelote ~e pythons avait sollicité ia curiosité de nos gourmets, car )'assistance était aussi nombreuse .que choisie. Parmi les. personnes présentes, citons S, ,A. -1. le Prince .Louis -Napoteon, MM. Edmond Perrier, directeur; du Muséum; de-VitIemorin,. comte ;d~Orf.eu!He,~Bebreui),Le,Fof't,Bte.. Rappelons~ composition~du menu L Omelelte d'oeufs d'autruche à ta Sobroàda Matelote de pythons ros6s de ~'thde .Tortues d'AJgérîe.s&ucepouiette Caze)ies"d'AMque, parcs,-Épics d'Algérie '.Ans6rine amarante Cœurs de datUer, cactées i' Terrines de corbeaux Pudding à ]a rhubarbe Glace comète FruHsexqtiqùese~fraiseB.' CafédecueiitettëRio-Nunez 'Vins .~Passons ;st)r tes. œufs d'autruche, quoique-exquïs, et .iiisdns deux. mots, de )ama<e<pte ~e pyt/tons 'msës. Ces /ythons/iryen~vait~èux (cbûtemq as~xceBts '~t~te'Sacdf'és ~vant-hier,'puïs\cohMiëneièosem.en~m nnës. Faut-it le dire? Ce n'est pas mauvais, !e:t;ython/ mais nous comprenons qu'on tui préfère l'angulUe. Dans l'Inde, c'est l'opinion contraire qui prévaut. De gns~us. Le rôti de gazette d'Afrique 'a emporté tous les ~suffrages. C'est une chair délicieuse, mais possédant un'gout sut genens. Je vous assure qu'on s'y fait admirabi~.nj.it. Le pâté de corbeaux a moins plu, néanmoins quëiqties convives en ont'redemande. Une dame près de taquj'te j'états placé me disait a ce propos: '< Et quand on s~ng~. monsieur, que ces vilains oiseaux recherchent les'champs de batailfe pour se repaître! Cette idée, ne vous~faite))e pas horreur ?)< 'Grâce à ma voisine, je n'ai pas touché'au pâté 'de cû)'beaux =L'ansérine.amarante est une sorte d'épinard exotique mais vive t'épinard national 1

En somme, ce fut un déjeuner exquis et où il se dépensa, de plus, beaucoup d'esprit, ou il se raconta bMuc.mp d histoires, gastronomiques mais, pour dire toute nntre pensée, nous doutons'que )a cuisine française adopte o&fmitivement le python rosé G. W.

Il'y à quelques Bernâmes, un compositeur bien connu, jamais à court de ritournelles, dî~ n&tt chez une.de ses amies. On avait servi, sur la table, un.ca.nard rôti, que découpait, avec art, la maîtresse de la mai~ son, s'efforçant, sans doute, d'en. ex-trair.e les trente-deux aiguillettes que le roi Louis XVIII. découpeur très habite, savait y: trouver~sans. difncutté.~ Tout à coup un petit plâtras se détacha du L plafond et vint tomber sur le canard. t ha du La dame s'excusa.: Oh t mon cher maître, je sms des&lee: M~iS madame, il n'y .a pa~ àë'quoi~~ ri.~oab&, ~cher. maitps, .~u~~e.. piaî~iuk a.~eu'. s .près vous s&ure& que j'aime ëeaucôupne &a.h8rijauxaolitëa[') Les philatélistes se préoccupent déjà du. Hou~ veau timbre~poste anglais qui doit porter i'ef~ ngie du sucoesseuT d'Edouard VII. Un projet dans. ce sens est actuellement a 1 étude. II est soumis à George V. Selon toute probabilité, la figure du nouveau souverain ang-lais sera tournée du côté droit, comme pour les timbres de la reine Victoria. 'C'est, d'ailleu.rs, eh AhgM&rre, une tradition d'altërMr les position s à chaque changement de règne. En tout cas, on peut être certain que le nouveau ~imbre-posbe. britannique offrira un caractère, très artistique.Car George V, nul ne l'ignore, est un philatéliste passio'nhé. II possède une des plus belles cogestions de timbresposte qui soit au monde. Demain, à l'hôtel Drouot, en une exposition particulière qui ne manquera pas d'attirer, les amateurs-de tableaux modernes, on verra la collection de 'feu Auguste Gaillard. d'Alger, collection que M" Lair-Dubreuil dispersera jeudi,à quatre heures, assisté de MM. Chaîne et S-tmoneon, experts. C'est une réunion d'œuvres délicatement choisies de MM. J. Bail, Beauquesnë, Boutigny, Chocarne-MoMau~ Defaux, Diaz.V. Gilbert, Grollerau, Huguet, Isabey, Marchetti, .Olive, Rcybet, Troùillebert, Yeyrassat, Ziem, et~. II y aura exposition pu.-blique jeudi, jusqu'à l'heure fixéepour les en'chères. .TM~ERS L~RES ET LES JOU.BNAU~: JT~eHMe ~ay?-an, roman par Hippolyte Tame r' PhHosBphe, historien et critique,, radmirable auteur possédait-il eneore.Ie don de s'expnn~er dans le genre si particulier.du roman? ,= ;A.en juger, par" l'œuvrë inédite,~mallieureu'sement inachevée, que'Ia librairie Hachette'publie avec une préface de /M; Paul Bourget, il semble que réponse la plus catégorique soit apportée à'cette question.. Eh des pages tour à tôu~railleuses ou mélancoliques, la jeune personnalité d'Etienne.MaYran,-collégien, intelligent, grave et sensible, sédu~a tousJes lecteurs épris du maître écrivain, qur n'a pas cessé d'être le plus grand rëmueur d'idées de ces cinquante dernières années. -'j J Po)'M-7oM~M~.convie les amis et les admirateurs d~ Auguste Rod.ih à un banquet, qu'il organise en l'.hon.neur de son. illustre 'collaborateur qui vient d'ê-ti~e élevé à la dignité de grand ofncierdela Légion d'honneur.

J MOUVELLES A LA MA!M

..Entendu ce dialogue: Je 'ne. sais qu'a ma montre .impossible a eUe~de marc.hër plus de huit heures par-jour. Vous ~l'aurez sans doute achetée chez un' horloger socialiste! 'UD',Domiem\ ~fOTES~S~tM~ Une.femme.B. .ménagèje~àNanterre, torturait'de mille façons, dl y'à trois ahs~son~petit garçon: Ellej fut condamnée à'dix mois de priBqn. Sa:prisôn faite, ellp ~rentra'aù 'logis/avec ,une très grande rancune~cohtre son;enfant et ~'redouMa de sévices à son égaid. Elle vient 'd'être condamnée à-nouveau à un an deprisoh'; .et 'cette fois -les juges, ont eu ridée,,qui,ne leur; :etait pas~ivenue il. y. a trois ans, de. confier le jeune garçon: à ~'Assistance publique. H-, n'y qu'à I<ss féliciter -car qu'une idée de bon sens ne meité'que trois ans à; naître' dahs\Ie cerveau~ ~un homme,' .c'est, une chose excessivement ~rare. ~~MàisuD.deiaUattire~nbn.àttentiMi.: L'avocat de la femme~B. I'a,.défendue, paraît~l.tres; br!HammB.nt ët:en~plai'dant. quoi: ? Voici, vbici -En'plaiidant l'M'~pqn~ caüsé dad-:` 'C~oNMMe. 'Âlibns.donc;' 'NousT~oila. L'irr~sponsa.Bnité',

deYâiE' inte ¢nir:~ iÎ: ap~a`itt'>né~6 'lsorivé

~deyai~ïn~ï~B~p~

avocat~Du'mpmëht~ùe/ des çrimi>: .nalistes cohtmùe~~e se placer.~ :ce jRGïnt

Vue II n'y a~cuipàbnite ~e :qùMd~ y a

conscience et il.n'y a responsabilité qMe.quan~ il y à culpabilité tous les prîmes commis en état d'ivresse ne Mmpteht.pàs. C'est l'évidence .même. Et donc l'avocat était fonde a! venir dire ? Cette femme n'a torturé son fils que quanfï elle était en état d'ivresse. Elle y était tous les soirs. Mais elle ne l'a mis en morceaux que quand elle y était. Donc.elle est absolument innocente. Si elle avait déchiqueté son garçon une .seM~e /OM étant à jeun, \jë serais le pré. mier, messieurs, à'vous dire Punissez-la Mais elle n'a été tortionnaire qu'étant ivre. Vous n'avez pas le droit de punir une irresponsable. Je vous défie de punir Ta femme~B. n Que voulez-vous que je vous d!se ? Il raîsonne tr~s.bien. 'Y dus m'objecterez que raiMpliquë'n'èst ~e êtrepasaussi'resppnsa~lë'quei'hommëa~ mais qu'il est beaucoup plus dangereux et qu'on .pourjait se placerià ce ppmt de -vue. Non, il paraît que se'placer à ce-point'de vue est horrjblemeht matérialiste. La culpabflité n'existe que si l'on a conscience du crime commis. Soit~; mais alors, ne, sera coupable que celui, qui en .commettant le crime en aM?-a <yM ~ewe ?Mo-

'~ë~ co?~eT/to?-~M7-

"'Eh,bien,`é,titie nous c'ést très- i cons-

~h bien~entre nous; c'est très difficile a cons-

ta~r, La~ plupart ~tes criminels vous diront "J'ai senti que cejl'était.pas.bien mais je vous jure que je ne l'ai senti que cinq minutes après..).

=.'Acquittez cet hti>nme=1 s'écriera l'avocat

–~Acquittez cet homme-là, s'écriera l'avocat

de la femme B. Ce n'est pas un inconscient, mais il l'était quand il a commis son erreur Irresponsable au moment du crime. Incondamnable I

Voilà Jusqu'où l'on va gvec théorie.derirresponsabiliM. Je, suis décidément pour qu'on déclare innocents tous les criminels après les avoir tous condamnés comme dangereux. j_ Un Désabuse ` ~/oc- ~ir/e~ Du Chat-NToif

au TTtôâtpe-Français

de~~S~?' ~maeois, l'auteur u'- ~ettr mer~eMeuM, ht sonner ses orem!erp<: r!m<'e u~r 7~ Se~n e~ M~e ~L~ appiaudi hier sur notre, première scène subventionnée débitait a]ors des S~SE~ piano de Selis'o~3 s'estaûssi

accoudé Mauriçe. Dorinay.. Ainsi,~ par deux-,brillants exeni-.

ples, il est prbitvé'qùe'la rùé Viètor=Mâésé était plus prti- v

che du'Taéatre.Fèançais:qu'on'a'àui'ëit P u `i! Y a .9 l4ue

vingt poser.-

On a souvent rappelé quel temps de 'euùe'ssé

de,bpheme bi'illahfé.fut`.cétte époqüé'oü le' .~t~ ellé,

~l P Pâsisien che~:des ai;t' .4s Pes.:Ilne 1~1 .ade.r

ôatm ~ut plus de sept étoales, ~'stéléva v flahs" té. Li~l

,Pft9~s ,.peM~ GBS~qstres fUi'ënt, tt~jss -dès

etoiles filantes, ,tcôp; éteint d'âutres aë:brïllè're~it

qqe;d~un~éclat~ ,trop, tot es~ 'b!'1!ler,e~t

9Ue,d,un eclat funarùbùleàque ·niàis-plüsieûrs-sorit'dèv~.

nus des constellations de première. grândeur: '7"

Ainsi J'astrplogue.gui les:décô y vrit .cetr arttste-itiqom'·

plet'gui ëtaif.tin,industriel`.avisé, cet admirâbÎe.moùt~ reur

de; taléàts qu'était le u gentilhomme., cabaretier » a ;bien

ménté,' 'la .littérature, Il, Pas été seulement le.

tuosé du boniment, et ses, trouvailles .tie furent pas. se

li;met<t des trouvailles d'expression. Çet homme la. co=

pieuse faconde 'possédait un don psychologique .qui lui,

faisâit.deviaer le talent, pressentir la valeur du poète, de

l'humoriste, du efoquëur de dessins. ott de notes 9 ù'on' 1 w

Présentait ou qu'il allait chercher en .un ;sixièine étage;.

pX~dS M?n?' S';?~ °°° 't"M,.f ,u,udF~t a'.

prétendait point; .et il n'est .pas; excessifqde: di é a flna

ss'e~ groupé: J'é .n'â ôint i

dit: chef d'école; ~.les`;" Çhat-noiristes ii: nt. tiivp.

voies très dnerses.; éâfèp'ts_dé,ls.piêrhe troupe; ,ils unt

guerroyé sans ordre de' combat; Chacun. a brûlé sa a poud v

a sa guise et quélqnés-uns'l'orit=é~'vbÿéé aux moines~n.

Mais, pour la p(upart, ils ont su èhpïsié.leurs cibles-, et le

plus agile; le plus robuste de.ces. ,`fràpès=tirëqts a deo~îs

reçu pour,prix de ses succès le plus;flatteùè,.dés.ûiliforr~sg i

vérts,

'verts. *t,f,,

Ils eurènt du mpins.des~tiaits. de la

fantaisie, le goût de la gaieté, l'esprit.Tandis' ue des

écoles Uftéraires édifiées' à grand. fracès, annoncées à a

coups de. grtisse.çaisse et au son.de cistres'prétentieuf x

ne nous ont rien ,apporté.de nouveau et .n'ont l

éuné trace de leur passage, le gronpp.dé Mont"aiartre des-

cendu dans 1a',plaine, a -lait de la bonne besogne et,a si!

produire dés ceuvres qui oht compté. C'est que; par ins-

et sans cesser d'etre fdrt modernes ils n'avaient pas

écarté, ces bohèmes de l'Ile-de-Françe, ,la tradition tran-

çaise;sriqalmenéevai!leùr's:`

` ..Boli'è~és~P Seùs.dôute;.ils'1'é voillaient'l'être,

.~St'SSË~ l etre,

ils eussent,é.t~, désolés de,ne pas, pàsser ùr l'êt

~"SM~ quyèlle Pût auX.libertés'

de-leù~,esprit, diffé'rait ve la vié des',liéros de:Mü er, et

s~~S~ différàierit de.Ro ôl

de ~Aiaicel. et de Schaunard P.our. de.pàrler. que d'un,

mort; Alphonse Allais étàit an hômrne." rangé n, .un ré-

gulier,, au. temps ou il haritait cés miliénx.que'1es bonr-

geois supposaient.volonhers.,abracadabraùts. Il habitait;

bien loin; bien haut,, dans le prolongement de.la habitait

Martyrs, un h"atel meublé: Certes çé n'était,point un lieu °

de. conférënces pour diplomates; ni un séjoui' ouraeuv

rainsroyageant,mcogmto;:màis Alpho.nse ~111ais viyait

ctirn~e'lè plus correct des.rentiérs ét:le plus im éccâble

des notaires: Jgmais il a'y cpnnùt l'importunité impeccable

cier qui insiste pôui· entrer dans le' cabinèt du _débiteu

ss~s~ colèi'e r · refus. de '~ss& par d incessants )

refus.

'sI les c~, ctiat=neü'istës u sbnt: si ~ien rc aréivés n, c'ést l

parce que, fantaisistes délibérés dans: létir art,. ils..ne

,furent pasaans-mesuré.,dans'.la~ réalité. .ils thénèren

grande vie,de raalléurs;.mais,ils üe:néglieérehf'.pâs` üüi' t

les tables du cabaret:de:Salis lèur~tâtilë iravail: Ils:nè

dilapidèrent:point:leur.verve en vains;'pro'éts 1 wil ne ne.di-

s~

n'est pas, e_n tram.u,v

Ceûx.m"emet: d'entre eux qui vüt leur' 'effort

oàt protivé combien cette jeunesse nâr~noise avait de

grandes.et puissantes curiosités-inteflectuelles: L'histo-

riographe futur du;Chat:Npir'=yr ~n écrira 1'histoire de

cette, maisoq,qüi sera l'histoiré: d'une;génératitin-de lif

''téi'ateûrs èt d'artistes:= n'écrir~ püs'sâns émotion la bi

,graphie': de ce Charles Ct'os,~qui. füy.üü viai poète..en

même temps.,qn' u un .scientifiqriew»`.de ,Valeur, im chi-

miste'audacteux, un trou4eur'étènüatit; :ce, Charles. Cros

gpi,:entre~deux.monologues~u~deü~ sobdets ïnventa un

téléphone et le premier-ph'ohôgcRphé.

Ç'est,âu'théatre què,s'illustrâ-b rysqueme~t ie.nortt de

M; hlaurice, ~Do,üùaÿ, déjà ré,v.élë;à'toés,lés°ârtiâteürs:d'

`prit,pac`7e,théâtrictilët d'oüibi~s.,du. C~iàf-Ntiic .C'èst. âtt

~g~&

` plauüir trés pièces ummén~emënt.'câcrisses, ét ce :~és v'

~mpur qui tut un si.jo]i succès d~~G.~t~etEa ~S~~S~

mée à'M: h5iguel Zamécois~ i'âûtëùr:`dé Bohèrrtos et,.des' r

~~S~s~ 3

-Il av prouvé ia fertilite de sa ueye, l'atsencë èt jâ; sôu-

P~se~e son sai, facile :ets=mtiUant~~ l

hon a. p)us ~vanëë- petits; poèmes ou ~~e'

J,OI1 P 'petits; :poè`inés- oùy~à. ritPe"

banv.t!esque ncoche, savoureuse-et cocasse'ë~rS ,~e et pittoresnue revues,: coLd~~Ss! ;ou, _I uahte est commentée ~vee. bonne .tumeur et ,ou la phrase pirouette, '~it par-une.oreste ono]e ou s'empanache d'un'tr:Gmphanfca)~our~ s~ rees..qu~iHêesâ~droit,~ p, énlévées comme des pochades par un pei.ntre~hattre de ses eMets Et aan~ toute, cette œuvre: court _~nreYqu: sembfe.. à tort 0.1 a raison, un ;peu i'ëeho des. rires-qui devient ré- jouir es eharmants.poètes;reunis.â-Ms,dan~ mâisori de Sahs. Majs une note~ptus Jarge;"plùs pittoresque D]us attendre et. d'une :poësie..ptus. p~onde~))it~es~~s .en;vers~e~M.:Zamacots; commet est arrive Dqnnay, pour M:. 'GamiH)ot, le i~ent~du-detieiëux iantaî- SiSte .s'élargit, et it .faut''fa!rë'jih effoM. de mëmoire pour retrouver dans.auteuractue}:Je'-chat-noinstë.:=Mais c'est. Thpnneur/au Chat-Noir ~d'avoir tavûrtse~e' ""dëpart~i"; si j ~eut-dire, .de .poètes doués,: sans: awir?tôuté~ 2

~u. deye!oppemect;.de~Iëur onEuia)it~~ j

'Tout-Paris'~

1

~M~ :-w~

<j~t$ïi~

~M.CpMOt~a

PoUF une M~ rEM ~ï.~ art affirme une prodigieuse incomp.étence-~ vient de~prendre une initiati~ Il&uable..L'Etat (en r~pëce~ M. Dùj~din~Béaume~ :a ,com, maindé a um stattia-ije de talent un «.Monument aux génies,méeoninusN. r.. Cet édince commémoratif, exécuté par ban-t dowsky, sera érigé au Panthéon. 11 n'est quO juste, en effet, que soient honorés, a. côte de9 génies: qui ont rehaussé le nom français, ces! héros anonymes dont l'effort.nèJut paa.Téoqin" pensé par le rayonnement de la gloire. A quoi. tient la, ~éussite-~des hommes de.'ya~ leur, poètes, ~symphonistes, .sculpteurs; musi<< ciehs ?'A la qualité'; de leur. talent, sans .doute mais aussi des:contihgences indépendante~ de ce talent. Il y a. ceux qui ~.savent réussit'j et ceux q.m ~ne le;sa.veht~point.fl~e talent, certes~ ést-~necëssa~rè pbur;-s';imposer~ a, l'admiration dQ l'elitëet même delà foule. Ma.i6 il y a la ma-' nière. Pourquoi d'exquis prosateurs, comme cet Gérard de Nerval,' qu'on s'avise de découvrit! aujourd'hui, quarante années ;apr.ès. ga~mor~ 'n'ont-ils pas été~apprécié~ de~Ieurvivantf?;' Enig-< me que s&ulës peuvent expliquer sahs~douta l'absolue ignorance, l'indifférence totale des moyens, d'arriver ~chez~e suëtil et. déHcat :écnvai'nde.ze. Ce qui estvrai de Gérard'de Ner.vat yes~de vingt.autres createujs. Berlioz ne fut pas corn" pris Daumier,' Millet subirent, durant leur. -carrière, le plus inique: discrédit. On connnait Daumier, l'un. des pl.us grands peintres mo-< dèrnes, dans -les bepoghès de. la lithographie, où il excellait, d'ailleurs, et ses tableaux, -chefs-! d'oeuvre.d'émoti&h,, d'humanité, ne se ven-.daient pas pins que les pathétiques merveitlea de Jéan-~Fràhçbis Millet, végétant misérable-~ ment à ChaiMy et à Barbuzpn~ Le cas des ~n-! gures de Corot est particulièrement sa/isissant.' Rien n'est aujourd'hui plus goûté dans l'ceuvpe de ce maître que ses personnages'; féminins que le <' Salon d'automne l'an passé, et une actuelle exposition des K Chefs-d'Œuvre de l'Ecole française :ont remis à leur rang. .L'O~~ee du divin Corpt~ la .Z'<eMe si 'franchement peints, d'une' technique si neuve, et ~hardiment traditionnelle, font l'orgueil d~s, collections les plus aristocratiques. Lorsqu'elles parurent, on les railla, ~on les méprisa,, on les\refusa aux .Salons des crjtiquesd'ar.t autorisés les traitaient de. poupées .emplies de son Eternelle iniquité des. jugements humainsr: ~i* Le <r Monument aux mécôn.hùs 0 commémorera: aussi'les artistes -qui ont aimé leur',art jusqu'à lui sacrinër Iëur.\YÏë. Ainsi que~ 1~ s.ejehce, Fart a :ses héros et ses martyrs, qùront payé.-de leurs joùts l'âpre besoin de" laisser .~na œuvre impérissable.CéuK-Ià; Dbscurs ûu :illusrtres pionniers' mér~&etre ~môrtaljsés au ïnême' titre ,qnè. ~e~~Q~ts .et~.les ~marins 'anonymes .d~s/chaœps~S~àtailIë.~des ~mbats 'livrés Sur'Ies~conSnent~lû.l~ains'QU'~ lz~ mers..mëurtNèréS.G'ës~deA~ va.!êiireux ,qne-je .sou:haitei'ais,- a.- l'heuretriomph.ent:ant ''d'he.ui-eux peintres .à 'qui sourient

les.~ 'fa.~euï-s.du. sor.E~ rappeler la tragique et

g faye.uxs:du.-aor.£,,a;appsler,la tr,ayque et

:no.ble" désSheé. Deux noms. étrangers se prësentent d'abord! à notre .esprit. celui de'&iovanni Segantihi eti celui de Vassili.Verestchaguin~ -Segahtini mourut, la j:ta.l~tte au poin.g,~ &' !a. neur de l'âge, dans unëhumble:hutté instaUée

sur le~.sommet.du Schafbei-s', à trois mille me-

très d'à! titude, le 28~ septambre.-1899.. Segantihi dutta, sans';re.Ia&hepbur.'retracer les drames grandioses de la haute'montagne, les farouches connits.du'ventiavecles crêtes neigeuses, -lés spectacles sublimes que .les a-urores <t les crê~.puscûlës '.font eclbre dans 'FÂlbula. :II -est le poète de la'-vie alpestre' des pâtres'de l'Engadine il vivait parmi eux, aussi, durement quo ces humMes, étsLnt.lui-même-un ancien ~berger des environs de Milan. Il passa des hive.rs'g années.entières dans son modeste; chalet, de; la Maloja. A!or5,.que;tant de.:p6intres.de mohta.gnes, se bornent' à faire une Raison: de tourisme dans un confortable hôtel de'l'~berland.bu du Dauphiné, se-ser.vent du o lîodak-" et-tran.scri.vent ensuite-leurs notations; paisiblement, installés dans un atelier bien chauffé, Segahtini s'interdisait de poser iune touche sur la'toile -autrement qu'en pleine nature. « Tous les jours, nous conte un biographe, j'allais dire un hagiographé, même au.cœur de l'hiver, par des froids de vingt degrés, il:'quittait soh! chalet et, vêtu comme un explorateur pola'ire, lai poitrine cuirassée de boîtes.en fer 'blanc gar- nies de « charbons japonais il. s'en allait, par les solitudes, .glacées, .retrouver son tableau commence.'I~es couleurs gelaient sur sa palette. -Les. gros chiens .du mont 'Saint-Bëmà-rd, <uxmêmës, abandonnaient .la place. ~Sëgah~ni restait; lui,-des heures entières, peignant-avec acharnement.. H C'est- -ainsi que furent exécutés ses; tableaux les. plus. fameux, cette! y7'M<essa si impressionnante, que la mort seule l'empêcha de parfaire. r

Vassih .yassiiie.v~tch.Ve~stcaag.uine-n'est 'pas .moins digne d~àdmiràtion: Avant' d~être'Ie

peihtï'e des horreurs sacrées'.de la, guerre, Ve-

restcbaguine~à'vait fait son devoir 'de -citoyen.

~Au cours- de 'la. 'campagne russo-turque,- il sui-

vit au -feu/ses amis qui 'Se: nommaient .SkbbeLeff,;Kouropatkine .et. 'Sakaron:; :il participa 'à' la priser de. B'Ieynà embarqué, àux/ cotes de Skrydlôf,.sur un torpilleur, il ,se.abattit au premier rang-, lors de l'attaque d'un-1 cuiT~ssé ottoman,, et ) fut '~ri.evement blessera la' jambe, ~r'estchaguine; comme Tolstoï, avait ~donc vécu: la, guerre avant' de :Ia décrire,? ce qui

épnfère. à ses céh;lués,tôilès :`A rès lk ~atail è

confère a ses cel~bres.toilës~ a

ët'IeC/M~p'~e~a~M.oT'uti intérêt particuiièrementjémouvah.t, -Verë-stchagùine ne s'en tint pas la: Lorsque ~/vmsseau-a~iral'~

pa~~os~. s'abîma' .sous~ës flots, dans/la~ rade

sinistré de Port-Arthur, .'les sm~~vants vit~nt~

debout, .'aux côtes .de l'amiral ;Makharon,un

.vieillard .~ui ~.crayonnait :fié~'reusement sur "un calepin ~ëtait\Vass!~

,t'

~Qseph.Ve~et;!jàdts~~ fàisait-attâthèr ~aù .grund n~ât ;un' navire'pe&aa.nt. la~temEete

.Turner. etu~ia.uh incendie~n 'mer, .e~o

'.N~ra, maïs~!ballo'Me; .en~lein ~ûragan~sur une .ume ~éjnQix.J~~dtfv~ dans.uh: rë<:it d'histô~ën~cë~needot~~ épique Le 'Bërds e;t.Ijnt;êt.rë la.; viGtimé~<Ie baron ~ivant~Denon. ;pénd~cpmpa~'n6h~ .en' Egypte .desëinaitjlm e~gùis~esjrui~ pr.ès-du _~il, ~orsHu'une;.baRe;siMe'suT:on' album ~-c'était; ùh)Âràbe :qur.yënaif.'d.e;Jë ma~

gcait.s(~armël':Ije pet.~ jinstaht,

-epa.ule et tue J'~rabe~.EfcQma'é; plus'itard, 'on

lui- faisait, -remarquer ~uë;lighe1j:h6rizo

;tracee ,sur~:s&n;dpssih,n'étalt, toùi'a"faitî droite K~'est~Ia'.fQMta~-tép.lig~aDënOn~

satané Arabe, .il a ~iré trop'tôt;

.On vit souvent, lo~de.'lagijerJû'frànco~~ `3:

.sienn&up'~ivil'se~'lis'sëF~en~ `

''tiam i`:" Jçoxnbattapts:

:a.: Champig~y. nofanin~t.l.'ë~ VillMr~c'é-('

'iait;:l,'aquarelliste,nglais.~y~ney~

qu'on ramassa~ :da:Rs la.funebre trancneé;de ~u- zenyal/~e .~oMIë- He.nri;Segn'a.ul~ ~tuë~a,l'e1~ -< ~en)i,~lfe.§t.;Men~prob'abI~ ~fëuijle se~rouyaii 'plùs.un~roquis'aé'ëataillë.' L :du;au fusa~n.dëjl'au~ur~ âu°~âréçïiâl=P~zm~

'~eûx-là P'éla~t '~aa'Moins qu~


.$s~p~u~u'uàtt flu de~a ?3~n~~s=;

~su~n~ba~t 'pe'eMi ~nd~n~le~

'mp~'de.~r!~To~~onde~cbD~ ngeties~ ~dramatiques/de Ja~aiite .du .Pc~ee, .par.

B~nv~hnto Cëllini. ''N6us;;ën ~possédons le récit

iBie' -m'ainj 'de~B.~y~n~to lui~ênte~~ <' Le f~u prit' à mon .ate.liér~Ie tbi~'m~nq'u'ët 'ejïo.n.drer:.sur n<~5~j&a~~i;.t~lem&nt:q~ ma~~é ~a yig~Pur-de c~nstitutton, je 'n'y pu~~resis~r~a~ ~vre 'malice, °la" plus viq-_

,n 'c. J f'}~'fi., -7~s~ "J.. 'JO' Y' --dé

I~nte .que-.j'a~~j'aTtMis. r.ësM'nt.ie, ~empara ~dé

mot jet~econtra~mt~~e, jeter sur mon lit,

'vai!M.u.H"

j.~drea; y~r~Qcl~O.~liÙH.d'&usg~~r.M

'~r~y<!s lor~q~tÏ&~n~b~ 'colossal.

'p~HejOHe de~~a~S~j~Za.ïujg.olo. Venise :rl~ùt empor~' ~H~u~S~q~ ~ri~Bêpa~.uo~a~eur surhumain :et' son disci..l~fav.cm~-I~a'~i.~ëdi~Ûu~ }~à~i~~s~it~ëôG~Ues-~st~s'nd~ ;er'~uD;e'Q~s~Tt. h, "+,' 'c,

,`°:'i?oùrv`en, ~i~eh7ï:~ au:x"~rTiste;5,xpJora,iéûrs

'Pbm" en ~.e'r' aux ~~isbe.s," explorate-urs

îr&n<?à!3~9~&~ha&~d'h~tt6ur, -ne f~-

dr~t-aci~r Maurt.C~Pott~qu'i nt.pa.rtië,e'n''i898,' a.e la intg~ion BpncJ'tan~s :en ~bys&i-

nie:et"'fut 'traitréuseïaeht t~ssassiné par .un i~

M~<

p4rit B, !Mt Mârt~iQ~ji-jctimeM~~cat~cly~me'

ahaiQ~e~acelUrqu'U~vaitnXé'sùr~atoiiû ? ` L~ àrtiste.s- q;ii~Q.nt ~rûQtër ains~Jes; chaleurs torrides-.de la.~rbu.ssg' ou" le..fr.oid mortel des g'Ia.ciers ô&t~Mûnjt~e~'Jd~Tios jours encore,, d'ihtr6pides,suc&es.settM. Un jeune peintre pé-' ters~ourgeoi~.du plus réel-talent, M. Schul.tz~,

oôH~ hiën~it rëceBHiieht, ~dans~Bon'ateliër, uMe

9'&rië'<:te~-ôi!e5 qu:e'6 Parisiens vont pouvoir,.

~ds.~hô'hu~tajne, ~mn~Pië ïi-teme. M.

Schùlt~ eet" allé'deux''foîs~larîférsbtfchèvâ-

~ét ~r .82 ~€gr~s 'd& 'lâtitud~t dans'ia mer ûlaciaJ~. au pays du ppinûë Charl€S,~dérriÈ!'e t'îlë c~ 'S~b~r~ ? n y a étudié et ~re~it'uë ndè~ih~nt'sur'lû. :toil~:la. ïnélâncolie' et détï-eEsé d~ aspects Jyriq~ès~ :qu'offMnt à'-TOeil ébloui

Ïè~ g'lac!ers '~e âàphu' translucide, les FéÔets :de

la îh6r< lemifoi~ment'-des icebe~s. M ctarte tnstalH~~d~ rair raTÉnë<; M; .Schuitze n~us

idn'Rai~'h''a~Oi~ 6t.é dérangé dans son travail que

~a.f la présenta.indiscrets {et ~qui eût pu de-

.'venirpeFiÏÏ'euM.~d66'grands ouM gris!

"H~t~U~tnènt, c~t~rtisi~-Ia est-revenu, bien yïv&!it; ~n~rgiqûe et résolu, des régions luit S~I .de .tnanuit, et il -îte'demandë qu'a y~rë- tëU~r, 'après'-s'êtM fait ëonsaûrer par' Pa~is

Corio~s'

~s de'. 'mots.

.A.JjOUt!NËE:

J~tttMt ca~)p!<7.ne à. 5 b. M. Pisàni La 'RëwInti~netrËgUse deParis S&Ct~e~eypo~sreHces 7 M. 1/2, Mn~uet an-

nud'au calais'(l'OfStty..

~Pc~e 8':1:4; premi~i'e reprësenta-

tt~'dëJttc~uc~tbran.'

'C~Mes.& NaMt-OUCM & 8 jtië.ùres.

M~S.DEP~RrjEÂ{BNr5.,

t,e recours ëh grâce forme par Vida! dit «~ppe~.)', ëyant été rejeté, ~'éxccuiioRCa.pii.ale aura 1M ce matin.~A'iger~" ~Quelques patrons spupcônnÉs d'avpir tour~i des~subsidep. aux grévistes de GraùIhet,pQ~r prd-

l()jiger !agrc\ leurs ùstne$, si.tu6cs en deHôrs de

Gràuthet, t~avaiHànt pendant que les autres c)iômaiënt, sont mie & l'index par t'unanimiLô du syn<ai6a~-patron.aH' Lo' concis de's.'pûstës '.Ptëvcrt,:de 'Lori~nt., 'd~ach~'a Se~pû.(AJrique'. occidentale), ayait Htu envp~:a.Vec une e~Qrte pour repar.cT un câble de .tbrnbouctou. 11 a disparu depuis )e 1" mai.' Le ministère. ~ent~dept'6vj3nir sa famiUe.- ––Lamarque, le chauffeur de la Drôme, -eat poursuivi par.le parquet de.'MontRe~ier pour quat6p~e'àtfèntat?;ta pudeur, commis dë.maFS a juin

1909.

.A Lamb&ze,'< près:'dB~5aiQt-Gimhs, Mme Humborg, ai)eint& de'ne~~rasil)eriie, iue son HIs âge

de neuf ans d'un coup de revolver, puis se loge trois

banësdansIe~ccEur. =~;

–Hier matm,~u lever'du'sol.eit, une.secousse

sisn)~que a et.6~rëssenHë&Àgde elle'a dure deux eec'ohdes. Elle se dirigeait du'sud au nord.

~~M~Ê~~

-LES~GOMÏS

-–S. A. R. le Due de Veddôme, ~evehanf de Londres, tat rentre hier~eui.Uy.' La visité du Roi de Bulgarie à la Cour de Belgique conserve un caractère strictement intime par suite du deuil des Maisons.royales de Bulgarie et de Belgique. M. StancioH, ministre de Bulgarie en Belgique, se trouve actuellement a son poste à Bruxelles.

S. A. 1. le Prince Youssouf Izzedine Effendi, revenu samedi de Londres, H a assiste aux obsèques du Roi Edouard Vil, v&être..notre'hQte toute .<:ette semaine. Le .i taron Claùzel, secrétaire d'ambassade à Constantinople, t )a mission spëcia.Ied'escorter l'héritier du trône ottoman, avec te capitaine de Brancion.~ Dimanche, te. Prince a ~assiste aux~courses de Longchamp, où'it aeté-jeçu par te prince d'Arenber~ et te marauis de Ganay. Soirée à Carmen, a l'Opéra-Çomiqu~. Hier, Son Aitesse Impériale a visite le musée du Louvre te m~tin. I! est atle à l'Observatoire dans l'après-midi. H assistait te Stur à la belle représentation de TMs, a l'Ùpëra. Aujourd'hui, it ira avec le baron Clauzel aux InvatMes et demain; à Fontainebleau. Ï,ËR AMBASSADES

*MMf lundtehëz !e gênerai et~à:e6mtesse Nostitz, en l'honneur Jde~S.~A, L le Duc Georges de Leuchtenberg. -'Reconnu. ~'Comte'et comtesse F..de Sônis,Comte et comtesse R.-de'-Leusse,-comt~ Waside~'iox, ~ne Jouine, .baron .de'. Bttthmg, princesse Wolkons~y. pi-ineesse Ra dziwiH, comtesse tueinmichet, ma~q~use Paulucci, M. et ~ne Joseph \Vid~er, général et Mme Winslow, Mme Dmyton, Mme, PkpcMe, marquis de; Bcmis..M. MaYi-opordato, M.-And~-É de pouqui~s. M..Sotda.tenkotf, M. et Mn~ de~KekJu'aou'. comte Broïl-Ia.h'r.~M. dc'Basity et I].;n'o)i. MéveadSfK, ji& ramS&'Made de Russie M.' Rodzitmhd, M.vo~pff,-etc." "'?' 'i .DA~S ;-Lï!OME Bot !eB juin ch'ez !a marquise de Barbentane, en ses salons ;de l'av.enue Bosquet.. .Matinées littëraires~t tnusicates ichez la baronne de Sardënt!esmërered)s25mai,8et22juin. Mme HëreDe recevra', de quatre à sept heures, lundi prochain 30 mai, à l'occasion de la signature du contrat desafilleav.ëeIe'cpmteHenrtdeMontideRêzé.. Avant-hier,~ matinée des plus élégantes ~ehëz le mar- quis et la marquise d'Argenson~ router 'dans le jardin. Puis :on a app)au'di''un oharmanti programme artistique. D'abord M, A~axime Lery,duVa~de~iIe,aditaveqbeaucoup de eout'et de,brio 'des poesies\de-Victor Hugo, ,TNeo-. pbite~.jCatitier;et;M.'Edmond Rostand. Puis là délicieuse comédie de M: Rostand, Pferroi' ~ut~teHre cf P<6rrof ~Ut ftt~à.éte {oupe avec: le p!u~grand:st:eces par'MUe-Maille, de'Ia' C6mêdie-Françaisë;.Mi Maxime.~Léry et .M.' P. Llu!s,.dutnêâtreAhtoicë. ~Mns't'assistance' 'Marquise del'-Mum, auc'-e~ duchesse- de~ Rolmn, 'ûuchessë.Estissac. princesse jëanhe 'J3onapdrt& tnarquise 'de.~ilenenve dubhçssë de LesparM,comtess& Edmond ûef.ourtates,'princesse Am6d6c de nrdg)ie,;pnncesse 1- .d'ATMiberg, Princesse Lucien-Murat~ duc de Gi'amônt. <nM'quise'dë-Tàltoyrand-Pe)'igord,M)ne LegfMit, duche&se de~uicHe.. m~'qttiso de..ViHefrahehe. comtesse de .Briey,

duchesse des ,C~r~~comt<~s~L.d'Aiuiign< marguise

de~oUgDac,'t)rincessë H;dB Pbtighac, cd'mte 'Aimery de 'La~dchëfducau~prr~essc~de~~Tour <l'A~crgne h6B PIemhaftm cbtntë6se~ber!de ~un~ marquise de SSgui', jnarquJS~èt"Mne~<L6vis-Mir'ël:)0)x. -)e Edouard An6)'é, ~comtesse;<:tQ:.RojMB,~bQmtesse'-S. do GontautBi~on~ prince et pl-jncesse 0. de BrogHe, jnarquisë.'d'Ev'ragues.~tme.Al~Ijonse~Giiuâet.Mme G. Ancel, c&mtessë

H.'de CasteUane, comte èt~comtesse F. de Sonis, comtesse

-de Durfort, comtesse':Georges-do'Moh'tesquiou, duchesse .de;;La.Roche-GuyoB, (!uc4]ës6B..(le.La Aiothe-Hondancourt, Brm'~6s~ dë.Jprov, comtesse .de Rohan-ChnIJot, ~M~<H.Schneid6r~.ma'rqut5e~ da' T3ëru)Ie,'M: o~ Mme MtMgLPrê&)st,.comle e~.Mmteësë G- ae'~tun, Mmo'.Gui~ -]&uiM..B.eer,'c<'mtMse Gabpe!. de- La~ tmqrqutS~t.marquisë~a~Moïlt~Bëlio. ~hérâi'eicëtDtes&e'No~ ht2,.p'rince et', p~hcesse d& M ~tu- d~uvergne~ duc e! dUChiesse?ae:ri'6vise,ductt.essë'd'Alëu~pra;' comtesse': A~

<de :'Srampni 'et. i~e ~e~.O~m~t, ~amjRue', ef.~ .MIlE :T:)e

..Baye,-duphesse d~ j~gio, A~të~a~resGo,.comte <;om'

lte~Sâé,L:,dë~Lasj,e~ ~4jné.I,de 5n'inlvCr co te et,'

.se'L.,ag'L;asj[~ °~ N,

-es!otes$e;&ston 'ae;Mui]Ltesqujou,'M: j~ihovarv."mu]iN-. ~e'-de~Ro'tuû~nië'àMrmë~Rôger, vlc6]hfè.et~ .de'.Kersaint; ~uo de Massa., jcomte P.' ae-~oss~Bfiss~Cj'

M~Pjerre de NOI)iM~tomt6:3aGqHës' d~~PourtaIës, -mn~

~<crui.6~9:'Nejdonchet,;pj'ince N..ae Holienlohe, prine~~ï de ~:Bt'6g~e't.-Mtujnce Rdstand. marquis de MaMiieret

;co]~de't;!Gal<rt{[e,~M~<]p ~Eô(K[nifices.Qmtc B~de

.Purfort.omte ac}~~{anMui-i,c<}mt&:R..de-'Gontaut~Bi..

~M~ .~J:~

Meeeph~n'~restreinie, .ânTsa-dînër~ dans les salons de

'Lë'.Roux~eyjtiers. .I.

~annt~,ihvit&s. 'j-

.B~ce~prmc~s~StMë~ el cotriiessè d Inn.

co~~sse de~M~sëy, '.m~rqursè ae']cnë;);'e. ~eë

'jBon~jMtrte' '-eomte,.<t) Mmt~se' du 'D~ttët .de"GraviU6:.

:p!drqM!s;~t'marqujse''Bad~aM.~]D<~së ~u~~ èonL rtess~Puysegur.~omte."e~cômtëss8-de;Waz)er~ et' ~~A~me~Yic&~ie~de/~ërg'~o].]~ comte Louis 'de P<;ri~ -~M;~<Wnte5S€M:SaJverie,-comte et comtesse de piancy;" 'e~e~tM~n.e6~Mnne~(&ix~

:R~pJ~ehn,eomt~et com)essë,'Mâ rquiset~'M..et y

T~wBnn~ coppeïi~ 'Se Fonimay, eomt.e 'ei.

` `r~` "S¡'/ '<r: Pi, ,(,

corctt.esse.de l'nitërin- M/'et ;Ktme .de ~Bautnv. tiiirQn et~

baj'omie 'de Saint-André; harbn et bat'dhne <')e: ]''ons-'

~coJoni))s,cûmie-A' d6..Djvcnne,' prjuco.. et ~r~cesse de'.Urogti~ prince et princesse Gnntacuzcnc,)Mc~et; comtesse ~fe Mie'ulte. marquis et marqnise da~i~&iUac, .com~ e.t.-comt.essa.de Picur'eu..MM. C!)MX d'Est-ÀBg'c, conle A..de .E~euaeu, 't~LrdeJ-.&~mp)erj< Qm~Uj~jeorges;Manuël/Hësse:'etç. An, cours dë.'Ia..soij.éë~~5'~të~5s~titës $r~t)ns~ sur.les fuhéra)i)es.d'Eddù~H,.i~upÏion d~tMa, et M)ie. Eour4o!i et.jM. ~Pasqt3ëf, qut~nt.iait'~Fiaudir dans.des.airs de At. Alp.ssënet,~ë~xBe!ibM, dë'A~Mes- ¡

sager. Y.

Une -h'ëùre. de'mus~'tlé'~ns lUîttithite, ~.a~-hie'r,

chez !a vicomtesse dë"PSt)JHXt'

On a appjaudi.le \'ioJ§8î$te1~bu)S~~fèmb~t-:ë~~ga- niste A. CeUier dans des~~6~ù1tieM et Mme D.evisme, qai a dit' â'fa~it~B~e~S poÉ~es~ Reconnu:: Comtesso:8t. M]Jes:~G Noue, mai'quisë Sci:'i]Mt de.'Bons. j~mtesM GhM~e de Boa)~uy de GË~is, cornasse c~ ~{Uc. de..aicyriei~, Mme et.-MUe de Cadoùdat, comtesse .(te, .j'(;mMnm:f~~ourt,'?MrnG~G"-JûUt'ncl;~1tB6'< MnG'~HeK~DtfvaI:*c~ntg6sc~e TiodëHec; comlessc' MUe de Pevronny, con.ttcsse et M!)e de Lo Tour d~ Vit-(K),Mme Lacroix-, ~'iëonttë .et xiopmt~se' -fie; HaU- ntafd'Xt. ft Mrt'ë L.'ds La. Tr&niéï'vc,'baron de Coth- inam~'comie.ScribotdeBt)Hs. TrÈs;joH bal tio~nÉ 'dimahch6; '~2/ Chanlpë-Ët;'6ëe6, .paf:)a~.omtësse de tihome), Le cot!Uoh, pteil) 'd'ent~aiû, a été c6na~tpar"M~e'e''LhomeI avec'M.'de Èoismontbrun. Parmi ks~ansëÛMjfëtMârqttê: M)iGS'tlc CB~Î~ dû'SausstnG; dc-'ÈerUët' de Sativign~ de JBaH)put, Le;Hcuii de rrancquGViiie. de Le\'is?Mirepoix. Sch.eidc6)teî' d'o' M~-û!eQ'. de' Lo\tïeS' de Goyon, de. HeaùmOnt, de Guit<ù)t; dG"Gou]ainë, de "La MoNttcr&ve, de Martimp.rey, de Roycr) doIMdouvji)c, de Reiset, deBeaul')r6, de MieuUe, de S6)ages.

P6)'ttii)e6danM~ "Pi'thcc de Gr&y.' prMeè 'Ch'aries de'' L~ Tottf "d'AUVet-~no, marqu)& de Lesphia)-comtes de P'~igny,. de l~e&!'feu, de Mat-sa~dë Ponlo)-Potitca]'i'< de Jouvenal, baroh d'EMieeoyen\'d'Ail)ibre~t 'r[mr(})i!s ae C~sBu-Missac, baron ;de.Boug)ou, cotnte.-dQ Ght~'agOQCj vicomte du Dou<t

do GraviHe, comte de HeJset, ~M. Da)-h),.do Bernard, vt-

comtc de Uatnas, Vicomte do MonHùar;

H)er soir,- dinef'chei; !s cottite M ta comtesse du Bpurgde.Bùzas.Fn)i;le~.niy,itës: .Pr.ihnb. J\!nra.t, ummujs, .'et, imarqmse :de Gànay~. pt.'ii~ccsse de'La 'i'out''d'Âù\'6r~n6~. maj'quis'et inarquisë de PracomIM, viëomte 'et vicomtesse Vigfcr, M)'oH et baronne de Watdner, comt~. et comtesse Gérard de jGanay, <ic-ptc. L'intéressante ~êrie des. rëceptiôtts' af.tisHques jie M. et Mme Atcantér deBranm s'est clôturée Mer .par uns matinée dejs,plus briHantes-et dont l'attrait se.rehaùssatt d'tBUVrës.pûetidttes de ~më ta duenesse.de Rohan et d'ceuVres .musicales ,Acmahdb'dé ''Pûiignâc, mterpi-ëtëëjs parfauteur et jpar. Mtfe MarUte'GartGn, dont..te puissant t contratto a suscite ]'adnt)ratton.unanime. Des'(ieUvres'des: poètes prësents'a cette réunion, h0-' tamment Mmes Jane <a(ii!)eLMehdè6,. Prahc~ Hàfget, comtesse de Maga))on, A~. Berthet, MM. Lucien,Pâte, Seb.-Ch. Leconte, G. de Racines. PK.;Dufour,.A. de BBngy-Puyvaiiëe; 'Hënri'A!)orgé, Lestran~e, Fouràighatt, Lemercier d'Erm, F.ioDati.Paj'jnentiër, 'André Hèbtanc, André Bardet, Léon Neel, Tremoy, ont été. également dites par tes auteurs'où avec le" concours de M)[es Venini_, de i'Odêbn; ~UzanM Lor. Aadrëe Lestrange, et~e MM. Paul Rameau, Christian Schang, cte l'Odéon; Le Goff et Mistréhaut.

'Recbnnu'au hasard:'

-DuehcSM do-Hohun, Mtnn Landoùxy, remis et, eoHiesse

de Chabannes~La Palice, Mme et, Mite Stunistus Meunier, baronne 'do oBauhëu, M. et Mme Alfred Duquel Mme CatuDe-Mend&s.. M. et.'Mtfie Scb.-Ch. Lecbnte, baronne

Brault, et~tme B~rt.outde.SoIlero.~ ~onn.e.d~Coùno,

Brault"M. et l~l'louL de Dg,-

M. et Mme Hë!~ Sfti~tel, et Mn)e Hduinnd. Carton, M. et' Mine Lucien'Holmer, ~tm'eR cJe~Ko~hoff. Mnth'iot, Nussbaum, Sav.xarit. Bns.say.urnr' de Pêne, NicoUn rtaltG, Cai'ieron', Helin. Pa~in, dcLn Mônardiere. Armant) Coyon. MM. Emiie Wôrms, Charles db Poman'ols. Hdgene Figmere. André De)acom', Çh.r. CoUItn'tL .t. Du-

four, GtHitG, Eric Ku6$bau!lt, comic Normand, etc..

Le. prince et la princesse Vladimir Bâriatinsld, qui sont. actuellement a paris hôtes de A~me Guny d'AzërailIes, onfreçu dimanche passé, a l'ifô.tel.de Mme.Cuny, à Neuilly-sur~Seine, leursamis dans ta ptus grande intimité, étant

.donnÉ'Ieur.deùi).

.-Mme-Marie Boyer a'prête le concours 'de son'ar't'a!hsi que M. K.oubitsk~ ,de l'OpeM de Vienne; M..Manacheff:,

la fameuse. basse'iMsse JM.. Ahtonio).~)a, ~'joiDacëMiste~

e~Mt,~Mgte~er~é!e~e de'M.de Rës~é.~ ? La prmeesse Bariatinski (en ccëne Mme Lydie Yaworskaïa, ]a célèbre tragédienne russe), a.ému l'~uditoire.-par la récitation de quetques poésies'russes et pa~ l'art et !<t diction impecpabIe~aYeCtiesqueIsfe'le a dit en français la. ballade dé la f'WncMsc.Lo~faMe de AT.. Edmond Rostand. LJne~e.i.ir.e,de .'musique dansj)'jntimitê, hier lundi, a cinq lieures, çhez~Ja marquise .de.PracomtaL On à applajidi une. jeune, yioloniste de .grand talent, Mlle Roussel, agêë.'de quatorze.àns,~qui.a électrise son anstocrati-

'que auditoire.

CAMTET DE L~ CHARITE

––Àù!6urd'hui et demain, de.deux heures à six heuMs, en l'h&te) Condê, 12, rue Monsiem-, vente de charité, sous.Ia,présidence.:de S..A. 'I.tpt..R~)a Comtesse d'Eu, a~p.r.ofit. dés~oeuvres puvfie)'es,~êcoles;;)ibres, patronageSj ~cercies, etc., pbur'toutle'diocèse de Paris. .j

.Le~ e.omptotrs ,spnt sons Je: patronage .de 7.a ~ncH.ëssë

d'Esttssâ~des comtesses ~.L'Éptnois,'ïje `(~tiëp¢taitt;'de

'd 'Estissac;des comtesses ~L'Ëpinois,' de Quënétain; 'de

Belmont;. 'de Godiëwska,~ de''Mmës''de :La" yillësbb'isnef,

Kënri Tailtandier, de MUes DaviUier. de. Sahune/ de :La;-

peyrouse,ete.etc.-

Hier a'eu )ieu;n t'hëtë! de Mme CiMe!, 53, rue Saint-Dominique, la première journée de )a vente annueiie en faveur de t'hëpita) du Perpétuel Secours. Cette vente se continuera et se. terminera aujourd'hui. –C'est àujourd'hu! mardi et demain mercredi~qu'ont lieu, sous.~a présidence de S. À. et R. Mme la Comtesse d'Eu, )a vente de charité en faveur de.I'Œuvre de NptreDame-de-Satùt, 12, rue Monsieur; et Xj rue de la Chaise, celle en faveur de .l'Œuvre' de l'Enfant-Jësus, pour la première, commun'ipn des jeunes, filles pauvres. La .vente en faveur des Orphelines de. Sainte-CtotMde aura lieu mercredi, 25 mai, a rh&tel Pomereu~ 67, .rue Lille, de deux heures a six heures. L'assemblée genërate. de, Ia.« Presse pour Tous" à $ eu. lieu hier, a trois heures, dans la saHe d'Horticulture, rue de Grenelle.

Tous nos lecteurs CNma!sse.ht 'depuis longtemps cette oeuvre, on ne peut piùs'intëressante, fondée par Mme Taine, 'qui a pour présidente la baronne de TXochMaiUêe, pour vice-présidentes Mmes A. BumOnt, Louis-Paul Du'. bois, née Taine; la comtesse E. de Las. Cases.et Mme Yver pour trésoriere-secrétàire. géhéraie adjointe Mme Boursier, et pour' secrétaire gênerai M. Fernand Laudet. Son but? Pôrter'dans les eantpagnes 'et dahs'ie.s petites villes de provmce, au moyen, de joum'aux bién'pënsantS) des idees~sainës et libérales. Car, comme ~l'a fort bied :dit le ducdëBroglie dans sa remarquable conférence, les habitants de bon nom'bre de vines'.et de viuages n'ont pour lecture queues petits journaux locaux, patronnés généralement par le dëputé'ët lÈjsënateur de l'endroit.. Ou Mën quand, par hasard, un journal'.dë~Par~s, s'y égare, e'ést'ùne.dë ces feuilles' qui ne parlent.que,de crimes,. ~'attenta.ts.ë'.vols~ en un mot de/mêfaits dè~ce~genre, Aussi le duc''de-BrogIië,' dans son éloquent discours, s'est-îl efioreê d'enequràger les' tnëmbres de l'œuyre. à redoubler d'ardeur pour que la propagande par la «:Pressë pour Tous ')) soir plus grande encore et leurs .efforts se- ront vraisemblablement couronnes par une splendide floraison d'idées s'aines et lib.erales. ( Dans une remarquable improvisation,, M~ Chenu, ancien bâtonnier; qui présidait, a constate, non sans une mordante tronie,' les échecs des députes du bloc.de !'aneiehne Cliambrë,' et a nettement déclare', que, grâce à la Presse'pour Tous )); ces .échecs, tors. des prochaines élections, seraient plus nombreux encore. 1 Au dêbut,'M. Eernatid La.udet, le dévoué secrétaire .général de l'œuvré, avait présente son japport avec beau~ coup d'éloquence. -Une grande vente atf profit de la,« Presse pour Tous )< aura lieu aujourd'hui, de deux à sixheureSj aux.Galeries de la Charité, ~ruëPiëtTe-Cbarrbn. –'L'CEuvre apostolique générale aura son exposition ~annue)le les 24, 25 et 26 mai, de deux heures à ~ix hëu-~ res, dans I'an.ctenne,ehapeUe du Jésus, 35, i-ùe'de Sevrés: En venant au secours .de toutes les missions cathodiques et-de leurs missionhaifés, sans,distinction de eongréga-~ tion ou société religieuse, l'Œuvre apostolique générale

est l'auxiliaire et/le-complêment de la Propagation de la

foL, ,PEytT'ca~BT' –.A!/Gabriele d!Annùnzio a quitté Paris c'est au

Grand Condé de Chànti]ly qu'il s'est .insfallë.-pour passer.

.l'étë:i'?~ '[y, 'H-

l'ete: r v

-M.Aftdrê de FouquiM'es,.fera, vendredi.prochâin'27. mai, à quatre heures et demie, .au théâtre'de la Renais-~ 'sance, une" conférence sur JLe u'~Dandysme ~i .< M. ds Pouquieres s'est assuré du concours d'artistes des principaux théâtres de Paris, du concours des da]i~' seurs américains ~Mriss et Leonà''et du célèbre comiquëi .&nglais;Chrjs.Richards. '= .On retient sës.places au {hêatrë de. là-Renaissance. ,Lé comniandanf R. B~pearv; Mrs. Peary~et-Jeurs. fils et fiUe/- qut~etatent 'déscenaus'.a l~hote) ;Meurice;pour' un jourj sont pacti& ce matin ;pôU!Lbndres,avee.l'intention'de revenir Sans'huit ou'di~joujf'sa'Pari.s..i.

–Le.motid.e~élegan't'était, pa.r~.gé~ter soir. entre 1~'

péra)"es'.Franëais,ôu.se,jouait-!a,prem:èrë de la ~ë~)' merfe.Me.Me d~ M.~iguel Zamacois; et le Châfelet, pour. les fep~êsenta~ions .Itafiennes. Partout briliante assise

~.tance.

Reeotinuau'Châtetet:?; -<

L'amiMssadeu~fles ]:.tats~Uuis-€~ Mrs'Bacon, marqU!~

et mayquise~e-~fassa.rpt.-iRce~t'pt'incëëso d~scmboitrg, r

.duc et''duchësse,.t!;L.es, prince et..prifiGësse .dëi-t~eon' Nifn.'gi)is,et marqn~~c MontebeUo, conitpsse de Messev-' Ïti-mce~e~prInceMe Se~ollor~~tui))'&[ëj'(!Mme Vander'

i)IH.. coHUe- et- .cmKte&'se .L.;ta)iëu- a~An'Ye~. Mmtésse'

§al!), comte et ~{)uU'psse P. deTa~lav. comtesse LT.Ghe- ;rcM,MB]c.idc~~MbûuviUe/Mmë'<Ch~rIës Max~-cot~

.Gonit<~S(!;de~lM~:MB~e~.e'SaD]Fiefj,me.W. Blu-;

'uncntha~~om~RojaeJieo. dH..Porxic~~o~tc-et. oon~

~tesse.,dë~pt-~o,RGa.I,duc'de,CUojse~

M,. Pj~)fpn.H.fa~Ml,.de ~aiat-Stilpice.~ cû!!t~ Mt-u-

irieitv d U~6enuw r i~A1 tle l',tà~ ~t 't14 )Ÿ~rü~àtlu- l~âhi- `

~ett.~ ~U~emjx~. M'My'.t'e Hj'ittm.jMauriee~af-Iu.J~ht-

.aeux,allél~cbï]ae'de Ma~Ëa~Ï~Mgat-da.'âmcav. _`~

'M. Ja~erschnnat,' ût<-y-

–e'.dïnef~s~iété~ëÈ Bicliopmiës'fr~ncaÏs~eu

.;i.

~eu;<Mer;;au.~pekëy-Ciub: "t.j-

~MaBamë ]a'Gomtesse-ne:Psris"et'S.A~ B. Mgr le Duc*.

a~Ch_artr.§s~bsen~dë'pafts~ ~a~nt~pu~ssister ~cett~

"è' '> -is ee g

réunion,"que présidait fe comte Lan]u:na!s, députe 'du'

.MorSihân." 'Pf.i' f-

Lës.conviyesét~en~ ..Mai'~use,de..L'À~lej~t:om{cssc .dc.Ga~rd.'marqujso de Ciet'mont-Tomiei't'lÉomtc de Savi~ny de Mohcorps. ?~ G~Mia.~apstr. ~t'p~s de/~apie~/ <~t&dè\.tA~ ~}~6 -M!!6)M&% M; I~Stnmïë~&mte~u~

~~<Aibert~e..<ië~~

~~endaR~î~pFe~~S)er,-c~~r)é <~t<uveme~~

~) des et'dÈ~)roehâte6~b!ica9S6~e ta s(~!ë~

:v r~iSaCr2Èx`8Üi Glntre:I~nlnll\s '`~" :·· .1 X,,

:efe~~(untr~hlcu~~&htiêë~~plù ~ëed~hR6gër~ôrta)isp.~ ~? c, .Wa~etpn-P~~tresM~te. m~ '~dûïtnee p~i~e barott iet~me 'wOtct;6nàë!~Bur< leurs ?!?; ~jGMad-â'tf(!Ce6 p'UE:l'.6M:bestt'eS~[6~<,d~t!t)a. de!ë'i

c~!HM-il a~ant~~

dU'tjùe~ëh distnbu~cgÉ'~fës~uËë grand~ë~~ naUt~lermina ç.ette gentlUe fête. d g ané tf gl- Parmi-Ja~ombreusëJassistanee: I\!Hcs nd!taï'A~ 1.~ eaHr~G~a&~f)(ds6n'. dë~Gimth' cte~ .~?,y'~e MuUQy..J~n "Girod ~e ~A~n,?ae 5aèsfnG.~Q'-É6Îtr~t)b;-Mf~in~)'a6t;~ dcI''rc\'i))edcLorme,elc.,eto.'

MM. do BniiIicnco~rt-ponrM!de La ~Iaisonnouv<3. Le: Qoi't-M, ~~tci)]tHti. de Motx-NobIdt.: R~Amic)', a-Haute-' ctOCQLte, (te. Mortafttcourt. ae'M~gcrie. MoM! d'ÀftcuK, tte: Hobteaj) d6 Riuhehion~ de &'ouX!iz~C)-ete) Chatorf), '1 L<H3obinnee, ac Honhoeoustc, de Jucë, do La~hatTiE. du? Caste), Girod dc-~Ain, de La ViU6(Hi. etc.. J~AjRMG~ v

On &f!M!)ce !ÈS fiânçal)!ÈS de M)t6 h!t6o!e de M- iodot, Mtle du baroft a& Doftodût et de !a bartittnë, 6ée barotiTle LetÈVre, avec le baron Biêgo d'Ëtttrâ!Éue6. !) auratt .été difficite d'tmagîher aÈsistanee plus nombrëhse et plus étjëgattte. que cette qui, hter, à midi, se trouvait rëume eh l'ég!!se Sa!nt-Ph!)tppe du Route pour !a célébration du mariage du comte Georges d'Hareourt, 'ieutenant au 28° dragons, fils du eotonet comte Amédeë d'Hareourt, ancien eotn~andant du 51" régiment d'infanterie, à Beauvais, et de ]a comtesse, née de Laguichè, avec Mlle de Maitiy.Chatan, H]!e du' comte de MatHy'Chaton et c!e ~comtesse, née Mof ei! Pour ~.circonstance, !'ëgHse ~vait reçu une décoration 'ttorait' ~out à ïait jemarquaMe. .La bénédiction ntiptiatë a.ëté dohnée.par te chanoine d~iHetiouviite, atim6nier de't'Hôtel-Dieu de Beauvais, artciefi capitaine de cavalerie~ camarade de promotion du eoione) Amédée d'Hareourt (pfomot!on 1668-1670). .rLe'témoins du marié étaient )e colonel'Ataitrë, commandant 16 28",dragons, et le marquis d'Hareourtt ëon oncle )a jeune mariée était assistée du marquis d'Ëyragues, son bne)e, et du comte Antheime-de Main\Cha)6n, eôh frère,. Le. cortège, a t'entrée de l'égtise était composé de !a iacon suivante:

Comte de.MaiUy-ChilICtn et Mtle deAtai!!y-Chalon, comte Georges. d'Harcourt. et comtesse A. d'Harcourt comte de Maleissye et comtesse de MaiUy'.ChaIon,'comte A. d'Ha,rcourt et marquise'de Laguicim, marquis d'Eyragues et comtesse A;'noidine do Matjly, comte Jean' d'1-Ia.rcourt et Mlle Jacqueline d't-iareouM, .comte Antehne-.dc MaiHy et comtesse-de Maleissye, .vicomte d'Ila~'court et comtesse l.ouis de Mcrbue; marquis de Maitjv-NesIe et, comtesse St.anisias de Gorua.pt,colonel'Maure et ma~qujse d'Ilarcourt,' comte' de Bourbon-Lignierës. et comtesse Jacques, de Contaut, marquis do~ IjaguicRe dt ~comtesse N'Jttu'cout't, comte de Kcrsâmt Gt, comtesse Aimet'y'de LM MoeheJ'oticaù)d, comte Louis' d'Harcourt et comtesse d'Hdusson\'iUc, comte AMiery-dd.L.a. Rbc!)etoitcaald:-et'comtesse de'Ket'samt,'comte d~-laussoilviUe'et M~~e' A)me d'Ha'['eou!'t. pt-iilee Avmon de Lueitigë et Gùmtcsse:de ~out'bon-Ugnif'rcs, M. Gérard d'Hfn'court'qt comtesse LoLus d'Um-court, marquis da .Maussabre Qt Marquise d'Hyragues. M. Jacques d'Hai'court et comtesse de Puyjjiaigre, oomie de Mateissye-Melun et marquise G. d'Eyragues, M.. Am6aee,d'Harcourt eL comtesse AVernet' 'do Met'ode, comte G. do Bourbon et marquiEë de Maussabrc.'comtc dc'Pùymaigre'ët baronne de SoubeVran,'comte Gabriel tte Lu. Rochefoucauld, et comte dh Ma)eyësie-Mc!uHt comta d'Esterno'et ~t)e Monique'd'Harcourt, comte Roger de Gohtttut et MUo Magdeieinc.dc MaLcissye; comte Htiemio d'Ha)'coti)'t et. comtesse' Fi'nnçois de MatHf, comte de Marmier.ct. ma-rquise.dc Ra.t)eroy. marquis de Uonneval. et'princesse de Montholbn, marquis da BaUcroy'ct vicomtesse de ]\:e)'sainf. comte Le Marois et Mt)e d'Haussonyinc. vicomte de Ket'saiht' et cqmtesse Gabriel de Lu Rochefoucauld, prince Albert de Brogtic et comtesse Le Mhrôis, comte François de MaH16 ft'O.fmtBsse fit: Mannior. M. Jeun 'La.guiohe'et marquise de Bonnevat, inarqhis da l''rott(j et comtesse G. da Bom'bon. M.' Charles Laguichc et MUo 'Amëlio d'Jlareourt, M. Jean de.Puymaigre et Attle M. d'I-îarcourt.'Mf-Bef'narddeLagLuctieetMUeGlibertedoPuy.maigre. La-quête a été faite par Mties Pau!e de Bonneval et MUe de Ma.)eissye, accompagnées de 'MM~ John Le A~a-ro!s et (ie Maussabrë. Le defifé à )a sacristie a duré près d'une heure, taDt étaient nombreux ]es amis des deux famines qui avaient tenu a venif compiimehter )es nouveaux époux. On -remarquait dans l'assistance une délégation d'officiers du 51° d'infanterie, dernier régiment que commanda Je eo)one) Amëdée d'Hareourt. Puis encore

C6nera!t Niox, ~6n6ral Leddet, général Grandin, gênëmT Nicolas,tgcnër~l baron, de VntUgrenant; générale t~dmann, duchesse de Roban; prjnoe eL. princesse,Amodie de Brog)ic. duc de Gr~mont, Mme Edouard André, marquise de Yiilcn'nnche, duc et. duchesse de Doudeauvijh', duo Deça/.os. Mme do La 'Fautotte. marquis et.-mar\f~usei'<t~Fonte.niH.es, comtesse R. de Fi.tz-James~ duc. et ~duchesse d'Uxcs/duc et. duchesse de Ëisaccia, ba.);bns.et baromes Seiniere, p}'mocsse~e,L~Qur d~u\~gnG,T~a Ptcumartin comte et.' comtesse H/'dé'Montesqu!ou, cdMc~ cf.cpmtcsss. d'Andtau,~ tMt'(juise.de;6);sa(nyil]eOdoard, marquise de La Fen'onnays, marquise de Broc, marq~s des Monstiërs-Mct'mviile, .comtesse de Bryas, marquise de Lupp6. duchcss'c de 'La Mothe-Houdancourt, comte et comtesse B. de Bomttc, Mme de Parseva), cointo P. de Ker~oriay, comte H. do Coss~BriMac, comte et. comtesse de'Glutaut, comte et comtesse F. de Saporta, marquis et, marquise'de Marmier, etc., <;t6.

Lunch, .après )a cerêmome, chez te comte et la comtesse deMai))y-Chalon,nieLaTrêmome.

On annonce le prochain mariage de M. 'Alphonse Goy, docteur en droit., avocat à la cour d'appel, fits de M. J. Goy, notaire à Beaumont (Puy-de-Dôme), avec Mue Germaine Amard, fi)ie de M. Georges Amard. !VECROl~C?jB ¡,'

Hfer, a dix heures, en l'éguse Saint-Sutpicë, messe cie bout de l'an pour !e repos de t'âme de M. Emi)e Mi- che], de l'Institut, le peintre et critique d'art si distingue. Les obsèques de A'U)e Cécile Beratdi ont été cëté- brees hier, à dix'heures, en l'eg)ise Saint-Augustin. Le deui) était conduit par MM: Henri BeraMi, son père 'Pierre, Jacques et André Beratdi, ses.{rèteSt Da)M t'oss!sta?!ce MM. Mes CtareLie~ Francis Char* 'mes, Juleà'-LemaiU'e, de t'Academié frannaiM; afnii'n!' Caubet, gfl'nefai Gon~e. 'vjcomte et, vicomtesse de Savi.Kny de Mancon)s, bai'bh PeHet,eomk: Louis de Beauvotr, mm'quis'et'marquise de Monh'ichfti'd. MM. Maurice Grimprel, Stù'tiaux. E. Le Seune, A. Lepë!pintet, Frédu'rtCiCornudet, Maurice. Letoir, H. RiB.ot, Silvain, vicomte de PoneiDs. M: et Mme Quentin-Bauchart, .vicomte, et. vicomtesse, do RoclibJ'ort., _barou P;. Ramond, comte et comtesse d'Arnaud.-M. et'Mme. P. Pepin-LehaHeuF. comtesse do Beauvou', M. 'R. Ctaude-Lafout&ine,' Mme: Louis Funek-Brentano.~M.- et-:Mme A. Chauvelot,.Mme PauL; Dcnormandië, M. et Mme Léon DnfourmanteDe,-Mme da Fouquieres, M. ~t Mmo-Leon Devin, Mme Mn-Lambert, .M. Laignfi-La.vastme, baron et barom'H de Grandmaîson., Mme de Lag~sse, M. et Mme Jutes Hatphen.'M.' .O~er'.L&tQi'ey, M.'et Mme Pau~'BioUay, comte et comt~sse E.~ùe L~s-Cascs, Mme Annand~Bapst, comte Roger Portatis, M. ~t. Mme 'Maurice DaviUiei', comte et .comiosse do 'FatHy, M. André'de Fouquieres, comtje et comt'essëdo Faucompré, MmB Lucas-ChampionniÈre,;etc. ~L'inhumation a eu )ieu au cimetière du PèrerLachaise. Nous apprenons !a mort: de Mme Wa!ter Behrehs,! decedêe.120, avenue des Champs-Elysées. Ei)e était la femme.de M. Wa)ter Beh'rens.'aneien 'président de la, '.chambre de'commerce britann!que,de Paris ;de Mile MarieLouise Fumey, ïille de M. Fumey, sous-directeur au tnmistere de )a marine, dêcédëe, 46, boulevard Raspail, a l'âge de' .vingt-cinq, ans.. Les obsèques seront cêlêbrëes demam mercredi, à midi, en l'égiise Saint-Thomas-d'Aqum de M. Paradis, onete maternel M. Henri Gaui; conseiller mumeipal de Paris, décède à Ghalons-sur-Marne. "'Vaittëury

LA (!ONSERVAtt~M_OES MUMURES -Les cartons'anti-mites Mazerand a, ~'Injëctol M. P.~V.' La question de la. conservation'~es -fourrures, lainages, velours.et vêtements de ~prix, p~r les cart-ons.anti-mites Mazera.nd, est, a cett~ époque 'de l'année,, particulièrement intéressante, et le succès &e<;ës boîtes très êlégan~s~ qui ne sont déplacéees. dans aucun cabipet de toilette, dans aucun vestiaire, si luxueux, épient-ils, s'affirma de plus en plus. On y enferme les foùTrures:pen- dàn~rëte et, quand bh les~i'ëtire, a'Tèntree d& l'hiver, elles sont aussi 'fraîches, aussi indemnes oue si elles sortaient de cHez le fourreur. L'âc'Hon'preservatncû des produite anti-mites ~Mazerand est aujourd'[iui;incontestable citons ~o.'ur preuve, les <!eux'attestations ~uivaïltesj ~pr.ises.,p~.rjmi des/centaines d'a'ùtreg. ~< :C'est. d~abord .Mme WaJdeck-Rousseau, qu~ écrit n qu'elle a été 'très satisfaite des"praduit& a.'nl.i'-mites' qu'elle a pris ch.ez.M. Ma'zérànd c'est.ensuite la.lettre suivante iMan~ieur, je gf)is:.enchânt6,de vous dirG que vos prodmts .<' .Ajiti-~litës .m'ont, donne eniiÈre satis~. îacUon: j'ajoute' que les personnes a.uxqueHes']e~ les ar .recommandcs;'m'en ont :a.ussi temoigMe leur~, parJait .coBlëntemeht; .Je vous ..envoie, monsieur,' ~ous'nÏes compliments?-– S~ne Comte "J. de.-BER~' TEUX.'}.

Cés~d'éclai'àtiùns réëiélises m'ôntr'éi>t mbi n':

Ces'déclarà~ons précieuses montrent combien~'

sont excellents Ië5~ésuItats;guel'Gn'6st en droite; d'at~ndre des ;pr.Qdu.i.ts.« Anti-MitesjMazerand~ traitera 'l.'Injectoli M. P. ~t qu'~h pe'ut .së~ procurer dans tousses magasms de,nouyeautés,~ tant en FraDGe q]Ï'a l'étranger, chez les four-" reuTS.-Ié~Tnarchands d'articles de'voyage, etc. et qui constituent, apeuré,actuelle,.le procécté' '~de cohsëryat.ion le plusjparïait' et"'le plus ecoho-'

~n~ j.

-j6.~S'Pour, recèvojr. ~ratuit-emënt .-lé .très. .foli~cat~lo~ûe, de: 'MSti-Mites Mazerapd, s'a-t drës~u.~ï-~ t dtt~a. :.Ch%u3së~-d'~n-~ #<i~

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~ma.M~M~a-5 'de 1910, qui ~î~pH t;t

~ë~mm~St~ent comme une sSM~â<~

'~ËobiH&a.tj&n~~Më de:nos forces mant~'êÊ.~ C'est, en effet., !a presque tota~te.de nps bâti:~n!ent.s ~~uerjie.-qut vient dë'p~en~re large, 'sûu~le'bô~ïhandeïnent Ëup6M6ur'du vice-umi~'a~~iU.a~~et i€8~hQ~6~M ~t'ai~nt;~ '}pa~ëës aut'renieSt, quelques détails" près, s!' .l'état de gûeiTé a.vait' été déclare l'uer.. La r~trid~ën ë'appUque ~ux petihs ûnit'éa de ~îeMë' de nos côtes de l'Océan, qui ne sont point appë?& ~'prendre Rart Ku grand brànlèb&s, ~ais' ji'&h ex~uteMntpas 'moins, 'd'à'illeuJ'6, !éurs~ man.œuvreÊ' particulières. Mais en Méditerranée,se sont réunies nos deux escadres cutrassees, tout ce qui port'e la. ~aim~ë tricolore~ au. haut di& son ma. cuirasses, croiseurs, torpilleurs, "sbus-inarihs, jbàt.t'inént.s porte-mines,: etc. a l'exception de quelques unités de ïe~rve,' s'apprête à jouer le rôle quilui reviendrait s'il MIsLit en découdre pour de bon.

On. cohntMt les grandes lig'hes du dispositif adopté'par le mimstre de la'jlHirine deux pd-, jiodes bien distinctes~ La. première compreTi&nt trois -manœuvres de guerre à double action dOnit les ;thÈïnes généraux' EOnt les suivants Tcfut d'abord une esc-adre mouillée à Aja~ cio,'disposant, de nombreux -môyeh§ de défense eh 'torpilleurs et sous-jmarins, devra supporter,-les attaques d'une force navale im'porta,nte. assez :longt~e.mps ~po.ur permettre, à Une' troisième.. escadre, portant. le même pavillon qu'elle d'accourir à ison secours et de ~ui

lournirie moyen aeprenare.ionen&ive.. En second lieu, -un convoi transportant des troupesla côte' a~gér?nne à là-cote 'française sera~soorté parunëescadre cuirassée. Une force navale ennemie aussi puissante pjierchera s~. à intercepter le convoi, soit à ëmpêcher~Ie dé- barqueméntt Ce. thème"est, on le voit, pàrtieu-

lièrément intéressant; .11'jépond,en~en'et, t~ès

exactement aux éventualités qui se produiraient eh 'Méditerranée des le début d'une déclaràtioh de guer~ par exemple, lentre la France et 1~ triple Qllianpe.

Ennn, le débarquement étant supposé effec- tue, avec ou sans.encombre, l'escadre d'escorte, poursuivie, par la force ennemie, soutiendra-son choc: en s'appuyant sur toutes les défenses de Toulon.

L'exécution' de ces trois exercice durera ]u&qu'au 4 juin. Amis et ennemis se rassembleront alors a Toulon~pour se ravitailler, puis se grouperont en armée navale pour l'exécution des manœuvres de là deuxième perjode.

Celle-ci sera. consacrée à l'étude pratique de6 importants .travaux auxquels se livre depuië plusieurs années la commission de refonte de la tactique navale. Une; des préoccupations des marins .modernes est, en effet, de savoir comment il conviendrait d'employer au combat les très nombreuxses unités que les principales nations'maritimes sont actuellement, en mesure, d'y envoyer. Oe nombre rend impraticable l'emploi des méthodes anciennes, .qui avaient été conçues pour des escadres où. ~'total des .bâtments ne détpassait guère la dizaine, et il à fallu chercher autre chose. L'amiral Fournier a donné le branle, et sa, ~tactique, expérimentée deux années de suite aux manœuvres navales, asservi' de base à à celle que la commission présidée par l'amiral Gaillard a présentée à.l'approbation du mimstre. -< En pareille matière, il faut, on le comprend; ne marcher qu'à bon escient, et l'amiral Boue ,de Lapeyrère'a, jugé qu'il était, nécessaire dé soumettre les méthodes préconisées par la~com~ mission refonte ~u~e épreuve des pinsi-sé~ l; j rieuses.. C'-est:-cette ét~dé.qU'aEpampliM~aTmée '~f

n~à'L8~pe~a~t'sëcdM~përiode"~e5~n~

~'nceuvres. '1~3;??:?.

Enûn, 'les manœuvres proprement 'dites étant terminées, 'on mettra à profit la'réunion nio'mentanée des deux escadres cuirassées pour constater les progrès sérieusement réalisés dans cette branche de l'éducation de nos marins, qui présente un intérêt primordial et à laquelle, il faut le dire bien haut, des soins persistants et éclairés sont donnés depuis quelques années, ~?7Ma<!OM de /'a~Her!C. Les tirs du canon de l'armée navale s'effectueront pour tous les bâtiments dans des conditions identiques, qui permettront de se rendre .le compte'le plus exact de leur valeur. Us seront exécutés sous les yeux. de l'amiralissime et sous ceux aussi, du ministre, qui montrera ainsi une -fois de plus l'extrême importance q~'H y attache et qu'il y faut attacher. Nul doute que sa présence'et. J'emploi à nouveau des excelleats moyens'd'émulation qu'il a déjà mis en 'œuvre ne produisent a ce point de vue tout l'ef,fet désiré.

tjt

En résumé, les. manœuvres navales de i8i0,'

conçues sur un plan rationnel et logique; pro-~ mettent de fructueux enseignëmehtssur un cer- tain ~ombM de .points d'une utilité'incontes!~ Me. En outre~l'importance des forces'Enisèa'en' jeu, l'intérêt des thèmes, ta yré&ejice: du 'min~ ~` jtre et celle du'plus grand nombre des ofùciers' généraux de la. maj'i.ne répartis sur'les navires s {côn~me 'comipahdants de groupés ou comme arbitres, celle aussi'd'une vingtaine d'oMciërs~upérieuTs de rarmêe, tout, 'eh' uK mot, cohe~ùrt pour faire de ces m&nœuvres une manifestation' .maritime ,des plus intéressantes.' ïl en TessOr-

tira, sans doute, l'impression réconfortante que!

notre, marine de guerre, sous l'impulsion éner-' gique d'un ministre marin, patriote, ayant le sentiment de la responsabilité qu'il a assumée,! est rentrée dans une période d'activité prodùcttve, d'enttraîne'ment rationnel, d'en'ortB assidus, et que le pays peut lui faire confiance. LMais, ne rpublions pas, tout cela. resterait vain si on ne pensait dans le délai plus ra)p-' proche à fixer .l'avenir de cette marine et à s~ préoccuper des .navires qui la doivent'consti-' .tuer dans l'avenir. Nous avons d'excellents ma-! rins.ne~eslaissonsp~s manquer de bateaux

'Les forces navales qui prennent part aux ma- nœuvres comprennent 6 cuirasses et 4 croi~ ~seurs-euirassés de la i" escadre commandée en chef par le vice-amiral de Jonquiërës et ensousiprdre par les contre-amiraux Gaschard'et Pivet, 6<;uirassés,et 4 croiseurs-cuirassÉs déjà escadre, commandant en chef. Je .vice-amiraî Au~pt, opmmahdahta .en;soùs-&rdr'e' les contreaïhiMux Berryër..et A~verf ;,24 contre-torpilleurs d'escadre, 52 contre-tbrpUleurs et torpil. leurs ,2i:sou.s-manns et submersibles des défenses mobiles, plus IaFoM<f?'e, croiseur porte-mines, et ~?MZM~-yy~MM< croiseur-cuirassé qui va.fi~urer l'escadre bloquée dans Ajaccio.

~.tftot&l,' ii9 ibâtunents, dont 20 cuirasses' et

t~ ~âti,ri1e~ts, dotl,t"O ',cui:r:assés'~et),

croiseurs-cuirasses. 'Du. Verseau' ¡ (Pm .Hepec~ej.oie Kp<7'e cottesponHa! ~af{teu<fer)~ 'Ajaceio~ 23. mai.. Les grandes manœuvres navates ont YirtueRement commencé <ians,Ia. nuit de satiiiedi à dimanche.: Vers neuf heures du~soir, .samedi, ~es projecteurs~ électriques ,découvrajeat,e& cûntre~tpcpiHem's: de, r~scadre bteue.(eseadrs de~Ia.MediterraitÉe) qui ten-' tarent ime att~'gue. d'Aja~oo où- une.de~eui's'divi-' sions.a.mSme-Tpu~pënetrel': jusque dans:!ë;jnomHage' mMriE~u-, -La. Foij~e, appartehant a." rescadre~ rouge ..(escadre'ùu Nord) soriit' :aYec quatre torpit-' !ëurs,ët;domia fjhàsse .aux contre-torpîlieurs 'bjeus,andjs que~!es't)atteries,d'ÂsprettQ .et de 'la'. ~citadelle puvr.aient )e ~u coatré eux. ~T Uaus.tajnatmced'Mer dimanche,' les .sous-marms~ d'Ajaccio ont pris le large pour refouler les cuiras-~ s.es- Meus~ ceux-ci; pendant toute:. la journée, ont: 'staHQmié'a grande distance des~côtcs. Ce '])mtin~vers sept .heures,' :les croiseurs dë'-res~Gadrc T)lGueyoËt;:aecouvert,~ quinze miUesàù'nord' -de Tenès, 1-ëscadr'e .rouge,; pàTHe: 'd'Oran, la. yËiUe,. dix heures :du soir. Cette découverte a eiëim'me<[Iiatëm~n), .tran~aise,~ par'telegraphic san& fit.es.cadreMeue, da):is!,le5..ea.ù}! Borsps.~A une heure-de ràpres'-midi, les 'ci-pige urs. Meus~-etaicnt qua~t'é-' JBË~ ~e~ d'A~~ ~~UY~&nts

escadre rouge qui-semble faire route sur la Sar-

daigne: S~ '?

t ~'o.ulo~,23 mai".

L'amiral J&uré~l~rry, préfet maritime, a tait procéder-au j0urd~d!.&.la mise en place des estaca~es qui doivent j~i~er notre rade en cas d'atta~ae. Cette fermet~Ï-ë'~es passes n'avait pas ~tc eî- ~~uée.depuis 4ix;&M.. Elle fait partie du program-

~~desmanœuy~Ë~&vales.

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~ettie ~~m~l'E~ qui a réalisé, en. ~09. ~Hlîions d'assurances a constitue également 3 millions 3'f,310 ft'aacs de .rentes viag'ère5 (soit ~20.000 francs de plus' qu'en 1908).' Ces re5nltats prouvent la co.nnance l'aispnnee ~qu'!Mpir~3â-'NâaoMlè; z qu'ils tr{HJV{;nt dans ses reserves libres et ses ~arûnties-supplémeniaires, supérieures Galles de't&UM autre Compagnie, une Sëcurite Ilors .de pair. ;Hs;{,r6.uVenÏ ~~mëh~a&Âs .Ïâ rente via~èBC .Un. plaGement Rarticuliëremeht intéressant un motnent. 1s h~.usse"de toutes lë~ valeurs yend leë emplois d6 fonds difficiles et pë~ rëmu- nérateurs.. Envoi ~ratuît de-tarifs et .rehËÈi~iiEment~. g'adresseï' a.u s'e.~ social, S, ruû Ptl}ët-\ViIl, Pans, et chez les agents généraux, en province.. Les Nouveaux Décorés M DOtUXÔM

cot!inMnf?eut'deta..jLeg)0)t<honHPur

Tout le monde .de la finance a applaudi a !a promotion M.,Dorizon au gradG de commandeur de 1~. Lésion <Thôhnem' M. Dorizoh,, depuië longteh'ips directeur d'Uti de n~s plus importants Etablissements financiers, l,a SOGieté Gétierale, jouit de l'estime et de la sympa- thie de tous, tant par ses hautes capacités que par .soti extrême affabilité. 'C'est par son seul mérite qu'il est .arrivé A une telle situation, et c'est par sa, grande compétence qu'il a fait de fa Société Générale c.equMte. est aujourd'hui.. ,Les Ex-pps~ipns Qe Ï.on'dj'es, de'&aragosse et de Dublin ont permis.ad. mihistl'e du commerce d'accorder a. M. Dorizôn cette haute récompense si bien méritée. M. ALPHONSE HAHM

o~MMrt!e !a L.<~Mtt tï'~OKMur .QM'rAntè-emqahs..e'ëst,un'~eûne~dans môn'de des affaires, et 'p'ourtantf cet- homme,' associe ~'f. Bader,&'dé.fù. réalise une des plus vastes entreprises et'des plus prospères de notre'époque. II. est en effet l'organisateur: de ces Galeries Latayette qui, il y a douze.an&, occupaient peine une trentaine d'employés dans un modeste local, et cnii maintenant s'étalent sur une-façade immense et superbe et occupent plus de quatre mille employés et plus de six mille ouvriers ou ouvrières. L'oeuvre, accomplie est'de calles qui, en d'autres temps et avec d'autres homliies, auraient exige la vie de deux ou trois générations. Une telle activité, une ielte.intelligence môritafént..bien une telle récompense,. M. HONORE

` t)~Mer[!e~L~:o!!d'hotit:em'

La. promotion de M.'Honoi'ê, administrateMf 'délégué de's grands magasins du Louvre, au grade d'officier de la. Légion d'honneur, était attendue pai' tous ceux qui connaissent cet admirable organisateur dont .toute la carrière est faite de services exceptionnels.

Sorti dans.les ..premiers numéros d& l'Ecole centrale, il ést'entrë comme ingénieur, :cn 1877, aux gra.nds magasins du Louvre..Nommé directeur peu après, depuis 1879, il occupe îes' Jonctions d'administrateur dé)égué avec une compétence et une sûreté de coup d'œil auxquelles tout !e monde rend justice.

Auteur de nombreux travaux et d'études d'économie sociale, il a présidé l'Association des. anciens ulëves de l'Ecole centrale et il est, depuis plusieurs années, membre du conseil de surveillance de l'Assistance publique et du conseil supérieur du travail, Gn voit que celte récompense était Mën due à une .carrière de labeur, de probité et de dévouement aux nombreux intérêts qui lui sont.confies. LE TAMAR tNMEM GRtLLON Ra~.sa ..composition.entièrement végétale~est le

~remëde' idëal ~dës dames et des enfants contra

'~la. constipation~ ,!es .hémorroïdes, rembarras If ~Ustrîqtjë'nt~stiha~ bHe"'êt- lâ'cos.Mst.iO-h ~cérébrale: 'B~b'bn'' cîi~olate'tfes' agr~~ a~ :goût, il n'irrite jamais l'intestin et. contrairement aux purgatifs drastiques et' minéraux, son emploi, journalier n'en diminue pas l'efn. cacité. Se prend sans rien changer à ses habitudes.

Envoi d'échantillon, gratuit ~sur demande adressée 33, rue des Archives/Paris. Se trouva dans toutes les pharmacies.

Une Visite

à Ormesson

La Sœur Germaine, qui dirige la maison hospitalière'd'Ormesson, et les sept religieuses qui l'assistant avec un dévouement admirable, sont atterrées par/les douloureux événements de'ce~ ~ours-derniers, Elles sont atterrées et inquiètes, 'non pour elles, mais pbur leurs .petits protégés~ .dont, -bientôt, elles ne .~pourront plus assurer r&xistence,faùtë"dei'essource~

Que vont devenit. ces malbëureu'x enfants ? R nous disait,, hier. après-midi,;Ia; supérieure d'Or~ messon, ,-des larmes dans la voix. Nous allons .être obligées de nous .séparer; d'eux, puisque nos .petites..économies, sur lesquelles nous avons pu :~vrë. jusqu'à présent, sont;'épuisées et que nous h'àvûns"plus tieh à â,t~nd~e. dë~cëur C~hdidë~ La sïrpé'rîëur'ë générale de 1'Œ.uvre Yous visitait souvent?, -Elle..était. tr~"(!)cpupéë '.pal' Ïes hombreu'x établi.s~mënts' qu'elle'dirigeait,; aussi :nous he la .voyions guère; plus ..d'une, deux .fois ,parr an, mais chaqu.e. semaine elle nous adressait très ponctuellement les fonds nécessaires. On a dit. que ses'derniers envois furent. moins réguliers?

C'est exact. €pKune depuis un mois Sœur 'Candide ne nous avait r.ien envoyé, nous.dûmes entamer nos très modestes réserves voilà, pouronoi~auJourd'hùi~nOus nous trouvons dans 1~ pêne, à la. veille de la, misère, et que nous nous~ demandons, anxieuseuient ce jque sera demain Et, simplement, Sœur Germaine ajoute Les dépenses, quotidiennes ne sont cepenïiant.pas bien élevées.

C'est-à-dire? ¡

La pensiou de chacun de n6s petits protégés est estimée a environ cinq cents francs par an; quant'; aux frais\géhéraux, ils ~ont pour ainsi dire msigmQants.'Les mag-ninques dortoirs' du~ c~âtea.u peuvent contenir cent .cinquante lits mais, actuellement, nous'sommes loin de .posséder autant de pensionnaires c'est vous dire combien nos dépenses journalières sont peu importantes. Et pourtant nous nepoùvous les supporter .davantage. Le château' d'.Ormesson et l'hôpital~ de Villiers-sur-Marne celui-ci -inauguré en 1893, c'est-à-dire quatre ans âpres celui-là–sont. presque luxueusement'installés'; toutes les lois' de l'hygiène,et du con-fprt y sont scupuleuse-: ment'respectées. Les pavillons d'Ormosson sont' réservés aux p&tits malades de trois douze ans et ceux de. Villiërs-.aux jeunes~gens tuberculeux de douze à .seize ans.

~P~/ ;j. La Sœur Germaine observe~une grande discrétion, que les magistrats venus de CorbeiD l'autre.matin lui ont sans doute recommandée d?a;illeurs,&ll.e sait peu de chose, la Sœur .Can-; dide, qu'elle voyait rarement, comme elle vient~ de .nous,lë dire; .pe lui ayant jamais raconté les affaires auxquelles elle s'intéressait. Alors, .lui demàndons~nQus encofe.'le suicide du docteur-Petit, puis I'arrestat!on'de Sœur~ Candide, et ennh" la visite,des magistrats du parquet de Corbeil venus ici en-perquisition ont-. dû~ vous bouleverser profondément? l'" Tous ces événements~qui se sont si rapide-' -meut succedé,'€t~crue nous avons appris én~ .même temps, nûus 'ont litt.éralemënt abattues et aTJhenre-actu~ne, noh'e seule.-pensée; psnsée ~angoissante, dois-je vous le dire? va à nos chers i;.pettts,insQuc!ants du grand malheur, qui vient

de les atteindre' avec une telle brutalitë.' Pau-~

;vjes\enfants~<,x/ Les'magistrats auraient~ pâraît-ii:dëcou-! .ver~dans les bureaux'des pièces d'un'tTè~ grand' intéï'et;nptamment..des .lettres ~ort-Tsurieuses" émaRajit'de-h'a.utëspérsonnalltës? .t~.Je.n'en cj'ots'~en. Le ~ug-e d'<ostr~ction a~

>

emporte,. ,H est. vrai, une volumineuse' corres;pq'n.dance, ~i&is.~ette cciyespondahce n'a' jamais 'présenté. mës"yeux,.qi.run;Ïnteret sëconoaire. Ce magistrat'a également .saisi les .f&p,tures de l~ëtablissement, parfàiteménf'en r~le ~'èc' ma comptàbilitér~'ai mis me.s livrés'à l9! disposition du .juge, et il"a pu'~tr d'un coup d'œil queia plus parfaite régularMé était.ôbsér.~ee.' Et puis, .mes pièces comptables j)'ont jamais été bien compliquées les fonds que je recevait Je samedi ae~œur Candide étaient remis .enraiement dès.Ie.lmidi, matin a tous nosjfeurmsseurs et, lorsque j'avais.acquitté tontësJës factures, je vous~ssurc qu'il-mp restait une'bien maigre somme encaisse. `

En résume, pour rmstant, vous ia'norez encore quel parti vous alle~ prendre ..Un-pro-fond soupir et un-geste ~e découragement sont la seule réponse'de Sœur Germaine, 'que~ous quittons ~vëménT'impressi'ën~ ~Nous aurions aussi désiré voir M. Maréchal, ma'ire d'Ormesson, mais il était absent, et uno personne de son entourage.nôùs a dit~-oùt le bien qu'il pen~e de !&:Sœuï' Germaine ët'~ë~s dévouées collaboratrices; Quant ~Sceur~an~ dide et au docteur Léon Petit, cette personne nous a afnrmé les~voir peu connus, car on les vit raremënt.à (MoMssoh, où ils ne venaient que QU5nd ~ne.visit.B.oîacieIIe avait lieu au château. LA COMPTAStUTË

DE SŒUR CANDtBE

SM Une c&mmissioh MgâtoiM de M. Hubert du Puy, M. Jouin, sdus-che~ la Sùï~té, s'est fendu, dans la soirée d'hier, ~uë ds Mii-oniesni!, au siegû de l'Œùvre des enfants tuberculeux, pour y saisir la comptâbiMtë et tous lès papiêra se rapportant a ia gestion des Oeuvres de la SGëur Candide. Cette saisie devait, eh principe, être pratiq)~ eh présence de rinculpee, mais- lorsque ~~fr Gahdlde fut. invitée à se rendre rue de Miromcsnii, en compagnie de M. Jouih,' elle dëmmida. qu oh Voulut bien lui éviter cette pénible dé.' marche. ~6 Vous dohne bien volonHei'â l'autor~~Hom foulUer partout. d'ailleurs, a-t-êTIe d~aré au sous-chef de la Sûreté, rien n'est ~usdef dans ma maison mes « Soeurs se meuJ-oht a. Vôtre entière disposition. Epargnez-n'oi.là dSuleur de retourner vers elles en prisohmère. EtSceur Cahdlde remit au sous-ch&f.de la Sûreté un mot invitant les religieuse~ qui Sont Mslees rue de Miromeshil à.faciliter dans la plus large mesure la tâche du magistrat ehqù&t~ur..

? "M. Jouin se rendit, vers. cinq -heures, au do~ tnicile de Stjeur Gahdid& et, après une minutieuse perquisition, emporta de nombreux registres.et une vplumineuse.correspondance, qui' sera versée au. dossier de l'affaire par le .fuge d'instruction.

Les papiers saisis ont uhe. certaine importa née. Comme ils se rapportent surtout à la' gestion des hôpitaux, ils pourront servir à établir .dans quelle mesure les sommes'importantes recueimes par Sœur Candide ont été englouties par ses œuvres,

Au Patais

-M.Hubert du Puy consacrefa sa journée d aujourd'hui à l'audition, de plusieurs témoins. Il a convoqué, notamment, ceux qu'on eemible, <t. juste t)tre, considérer comme les plus impor'tani.s Mme Courty, la courtière qui 6t connaître le bijoutier D.agnaux, et l'intermédiaire Mati a Sœur Candide, et M. Dezac-Derecq, ancien secrétaire de la supérieure d'Ormessoh. On affirmait hier soir, au Palais, que la venue de ce dernier était certaine.

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l, LE PROGRAMME MINISTÉRIEL'

Lés'ministres ont tenu hier, au nn.nIsIè'MSe l'intérieur, un premier conseil de cabinet pour examineT les Questions que le g'&u~ernemént se propose de, soumettre à la Chambre dans le programme de travail qu'il lui proposera. Comme préface à cette étude, M.'Briand.a communiqué, à ses collègues le résultat de la. statistique qu'il a fait dresser à l'aidé des rapports des préfets, sur le classement des membres.de la nouveMe. Chambre, en c~gui. touche~ teur avis 'sur les diverses réformes qui seroht soulevées dans la législature .prochaine: 'réforme électorale, Téfûrme, administrative, ré- forme fiscale, etc. On; trouvera plus loin'l&s résultats généraux.de cette statistique. Dans cette première séance, les mmietres n'ont pu que commencer l'examen du prbgïamme politique dont le cabinet prendra l'initiative. Cette o3uvre occupera .encore plusieurs cons&ils de catbinet et.les résultats devront en être communiqués en conseil dés ministres au président dé l'a république. Ce n'est qu'après cette élaboration que lès 'décisions du 'ministère pourront êtré~rendues publiques. Mais dès maintenant .-nous.,pouvons, d'après lés déclarations faites .par le président du conseil, indiquer, dans quel esprit se fait-ce travail gquveTnème.ntal prepa;ra.t~ire,.et dans quelles conditions 'le ministère se présentera'~ deyantlaGuambpe. Voici textuellement ce 'qu'a ctéclaré M~. Briand~ Le gouvernement ira devant les ehatnbres a.VGC" des vues nettes et pr~ises sur tous les peints essen-' liels.'n indiquera d'une façon catégorique ce.qu'U veut faire, par quels moyens'et selon queUes méttib- des' il entend réaliser les mesures qu'il proposera. n'indiquera avec non moins de netteté ce'qù'it~ie~ veut pas faire. U ne lent~m nullement de ruser avec .ta. situation ° pour essayer .par dès-moyens dilatoires d'esquiver les difficultés de la sit.uat.ion. .Des le début de la legislaiurë,:les Chambres sauront 'a quoi s'en teiur sur .les .intentions du .gouvernement et pourront se prononcer à son égard en parfaite connaissance de ëàùse; La cûmmunicatidn. a la Ghambre.du pro-<: gramme du cabinet.se fera soit par. voie de decià'ration ëcritë~suiyje. de. la discusSion'~u.ne. interpellation, Boit par ypie de. discussion, seu- =. lement, En tout cas, 'quel -que soif; .le procède dé.nnitivemeht adopté. M. Briand s'expliquera, déclare-t-on,,amplement et~nettement.. c OPINIONS 'BËS'NOtrVEA~~L~

M.~Brtand, président'dù conseil, commu-~

niqae Hier aux ministres réunis'eh conseil-les t

.rés~ts du'classe~.ht dë~'jn~brM9


~eï~i~MË~

~at ?".

~Maapt~

«n ~aMMhtste tance une bombe qu i te -btesse 'Poursuivi par un agent, te bandit

tente de se tuer

'i. Ma~r:23?7ïa! I~Ke !M!!K&e.a,c~ lancée ~Mr~e~oH'MnteKt e~ce.a~s ia

CaMp~a~or <). ~.Më!7!0!r~ d~ ~MitMte~ de~'at~HfaJt

ftM''31 mot 1905. jEm arf!usnf NM pted du mouMmen~~ iïa~ 6o.mte.t e~~to.K Mo/emmena Mn~~Mfé ouCt/M~ utcittn.ë, .ma;M ~t; &~MKt,;au M'sagfe et ~Ma: ~am'be~FatH!eMr~pr:{<a.~ut<e. ~CM.aceKt d~ poMce ~M! se trotHKMf sur !o. pMe~KmcM'ttK ~ranmxn/ coMtm occoMfitt ctM AttMt'de M ~o~s'ttoa etpoursut'u.it.archMte. Ce~~ 'p~ par~e~- bz~~t~~ (om&a: e<, se.-uo~ant SMr P~ -d~fre, prM, .se ftra d~M,c< coMps. (te ?'ct)o~er ,!0!ts~e:mett<û7t, ~e 6!ess(mt.tres~ï'tét?eme?! I;a ,otK.6e ~<<t en~ertneë datis. UKe. ~oMs d

.tp~'èn acte~pr~ment's~e <tuec f!u de,~er.

~nbc €s< M~m~MC a ce!~ gtt~ ~n~a MorrM ? 3~m<M 1905. La &ot~ a. lîi cet: ~'mètres .SMf' 8.' EMe

eta!< ptacee d~s MMe 'uaHse ~ue raHa.T'cAts~e por/aM

a~a..maM..

~ESSAj~~ROyAUX { !.efo!Gepjrge adresse ses Mmefciements à aes peuptesd'outfe-me~

Lon'dr~'9,'23.maj.

~Leroi'George adresse tM me&sage à son./peuplé d'outr~ïner, qu'il remercie de ses manifestations de ~sytnpatMB à l'occasion de la mort.'d'Edouard 'Vn, ~nt.ilcoptuniera l'œuvre. 11 ràpp&lle qu'il est mann'et'qu'il a \'isité les possessions d'outre-mer avec ta.'r~ine'Mary. Il devait primitivement a.Her avec elte ouvrir te Partemect de l'Union ~ud-africaine. Il a~effopcera. de. maintenir le gouvernement constitutionnel, Jes libertés, ta justice et la paix.

.Le.:rbiGe)orge. a également envoyé .un message, aux pnncës et aux peuples,de. l'Inde. H:rapelle'qu'en 1908 Edouard 'VU 'confirma' les, déclarations .de la raine Victoria de 1858, lesquelles sont la charte du .gouvernement de. l'Jcde dont Géorge suivra fidëlemeht "l'esprit II rappelle qu'il visita avec !a reine Mary l'Inde, dont il conservera ~oujbùrs~unsouvë-

nü~;affectuéug et profond..

nir~fectueux et profond..

~La .Ccur< Ct~cutar. dément Je brint 'suivant lequel {~ reine Alexandra s~ retirerait en ~Danemark.

fpo ~T Tjr"PThMC CM DPT fThTTP

Lab ~ELTiUNij EN DEL&iSUE

>: 7"7=

Les t~suttats et ta situattoh M. Ohartea Be,¡ hoistetud!e te fonctionnement w de ta R. P. 1

,(Par dépëche rtotre çô~réspondunt parücudiér)

(Par dëpëeAe de' Kotre cbrrëspoHdfm< par<<cuHer)

Br!U.xelIes,?23m.ai.. M. Charles Benoist, député de Paris, et'quelques .'personnalités françaises ont assisté au dépouillement du scrutin pour se rendre compte du fonctionnement'de la représentation proportionnelle. Les chiffres officiels de Bruxelles rie seront connus que très tard dans la nuit ils ne changeront rien au ré3u2tat~d'ensemMe,' qui se résume par la perte d'un si~gë pour les catholiques. Malgré' une campagne d'une violence inouïe pleine d'attaques personnelles~ surtout'à Bruxelles, les conservateurs ,voient leur ''chiffre.augmenter. '.Le -gouvernement est enchanté de la journée du' 2~ mai.Il, gouvernera sans plus de. difficultés avec. un-'déptité de moins. Le.bloc libérât socialiste n'a pu .'entamer't'mnoh conservatrice.–WpLFF., A TOLJL-0~

thspectiondumimstcedetama~ihe

Toulon, 23 mai. 'L'amiral de.ijapeyrcrc, venant de Corse, où il a .assist'é au début des manœuvres navales, est arrivé:; subitement, 'ce matin, .à. 'bord du Fottco?!. Il 's'esta rendu aux chantiers de la Seyne, où il a'visité le' cuirassé Vot<Mrc en achèvement, puis il a inspecté la station des sous~marins, les travaux actueUement en cours aux- nouveaux bassins de Missiessy, tes ateliers des torpilles et les navires-écoles BrenttMs~ et MfMseM~

Le ministre, aeompagné du yice-amiral Jàurégui-. berry et. du contre-armral Guiplon, a quitté Toulon tsixheuresparlërapide,s&rendahtaParis.

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LEXÉCUT10N DE StSTERON Oh gui!!dtine ce matin t'assàsstn Oiive– Les derniers préparatifs

Sisteron, 23 mai. Un grand nombre de personnes se .sont rendues à la gare, a deux heures de l'après-midi, pour voir M.'DeiMer à sa descente du train celui-ci est resté prcs d'un quart d'heure sur te trottoir, attendant. que le passage soit libre.

M/BeiMer a été surpris en apprenant que les bois. -de justice n'étaient pas arrivés on croit qu'ils ont é~é-dingës vi& Grenoble. Le commandant de gendar- merie, te directeur des prisons elle commissaire spécial sont également à Sisteron. L'animation est très 'grande elle est encore augmentée par t'arrivée d'une centaine de gendarmes des brigades voisines et de -trois'compagnies d'infanterie pour assurer te service d'ordre.

;0tive a entendu de sa prison les bruits extérieurs et s'en est inquiété on tui a donne comme raison un passage de troupes mais son assurance semble avoir diminué.

M. Deibler a rendu visite au procureur de la république, au sous-préfet et au maire.

ORAGES & INONDATIONS Les plûtes persistantes causent de véritables désastres dans toute ta France Toulouse, 23 mai.

La Garonne marqué 3m. 50 au-dessus de l'étiage. La crue augmente. Le fleuve charrie des matériaux,~ des épaves études animaux. L'Ue du Mamier est en- vahie'ainsi :què ta prairie; des ~Filtres..Rue .dea'Me-; nuisiërs, on a d~ rentrer-en bateau lés pompiers

élèvent un batardeau rue de la Viguerie.

La'crue de l'Ariege. est très. menaçante. A Ussat H y a:80 centimètres d'eau dans les maisons .ù. Pamiers les sous-sols sont envahis.

Castres,, 23 mai. Les dégâts sont de plus en plus étendus. La pluie persiste. Une usine, Naves-sur-lë-Those; a été démolie le village de Durfort.ei't'usine électrique de Malamort sont-dé vastes. L~ Constantine,23mai. Un .signale dans les régions de Lambese et de: 'Pasteur de violents orages mêlés de grete.'De nom-. bre.ux gourbis se sont effondrés~. la suite des pluies.

nouveHè Chambre au sujet de leur avis sur~es; diverses réformes promises par eux à leurs elec-. 'Murs.:

Réforme ë/cefora~c

.N'ont pas' fait allusion a la réforme électorale,

;t03;!

'Se sont déclarés partisans du ~~fx. guo, 35 Se,.sont déclarés partisans du scrutin d'arrondisiëmënt avec péréquation des circonscriptions, 31 '~Se sont déclarés partisans du sçrui4n de liste pur 't'.simplë,<68; Se sont déclarés partisans du scrutin de liste avec~ .=t:271~ ~3ë sont déclarés partisans du principe de la ré- forme électorale, 92.

Tot~I 594. (Manquent trois résultats non pro- clamés.). L. .Voici d'autre pàrt~Gomment se sont répartis, sur: eëttefquëstion de la rcforme.électorale, les suffrages des électeurs.-Pour lés candidats

;Qui n'ont pas fait allusion à la réforme électoralë;l,S59,4,8S; .Oui se sont déclarés partisans du s<a!u. <juo,~ .'?.5,987' .Qui. se sont'Tdéclarés partisans du scrutin d'arran-. 3issement avec përëquation dès-circonscriptions, ?0~.1:1. Qui'se 9ont déclarés partisans du scrutin de liste.. pucetsimple,7T&324, Qui se sont déclarés partisans du scrutin de liste; 'ayec.R.P.4-i2,800; ;<: 'Qm se sont déclarés partisans du principe de Ia~ réformé'électorate,'1,162,333. ~Rejfpmte~Mi'e

Nombre, des.jélus qui së.sont prononcés, savoir: ~Ënfayeur~du projet CaiMaux sans réserve, 152; 2" En~ faveur du~meme projet avec résej['ves,'22S Gontré/tout impôt sur lB revenu, 87 4°.En.;îavëurdumonouolede~'aIcool, 75. ~.5°"Contrele~monopolo'd€ Kalcool~.201 6°-Eh faveur~du monouole des .assurances,, lui 7"GontrB le'mbnopolë'd.es assurances, 212: 8° En faveur du privilëo~ des l'ouilleurs de cru, .fl05'= '"?. -~Côn.tï'8'lë privilège des t)ouillcurs''dë cru, ~33. cinquante-sept dépiités n'ont fait allusion, dans t.teù~rofessiQh de. fd~à aucune des 'réformes~i-

.:persistan~s~ë.t'Qe ta couche d~'grèief.surcliargeant'

'îës toitures.On ne signale pas; ~d'accidenté grave.~

e~aLv~ f~ ~~<~i~~a Un Ifaih deraiHo ~aux Meut'nëaux tt y a t deux ntortsM'pI~s~ Le train, parti bier~ôir %ies Jhvali.de~, Ja 7 heures 12j pour; Surësnes-Loh~cnapmp, a dëraiilé cinq-cents mët.res eh'avant. de.~Ia gare des Moulinëaux. Leimécanicien .etJe chauTfëur.oht été'tuës'sur,l~cQUp deux voyageurs et te conducteur'du train ïûrent"légèremÈnt bless.és.-L'accident, '.dont' les- causes de .meurent jusqu'à 'présent- inconnues, ~s'~st produit dans les.circons~.nces~suivaht.es. Ge train est direct.'jusqu'à'Bellevue'. Par. hasard, hier ~pir, une soixantaine de voyageurs seulement 'se trouvaient répartis dans les sept~voitures composant le convoi. Le'train ajrivait en !ue. de ta gare des Moùlineàux.;lorsque, .dans une, ligne droite, locomotive sauta hors dës'.rails et,' poursuivant sa coùrse'sùr le t)allast,:y ehtrau)a le train~tout'entier. Puis I'atteIage.dela;Io.com.otive;seroptpit-.etJa. lourde; machine s'abattit.sur ie flanc, au bord du talus les wagons, dont lés. vitres volèrent en.éclats,, s.'arfeterënt d'eux-mêmes en; se heurtant violemment. Les voyageurs, afMës~'se précipitèrent'hors des voitures et coururent vers 'la lo.comotive. Ils trouvèrent le-mécanicien~ étendu 'mort/sur, la voie et' le chauffeur qui expirait, le'corps pris dans le-tendrier de la machine et brûlé paf. l'eau'de la chaudière. L'accident avait été vu de la.station des Mouu. nëaux.-Le chef.~e gare, M. Desjàrdihs, croyant'à une plus grave-catastrophe, emmena tout le personnel de la gare au aecours'des stmstrés. On ne découvrit heureusement .que deux liesses parmi les voya. geurs ce sont MM. Gehel, demeurant 9,' rue'Royale,. à Saint-Gloud, et Grosset, 61, Grande-Rùe,à .Sèvres. Le conducteur du train était/également atteint a la Mte mais les Messes purent'gagner-la gare &. pied'avec tous les voyageurs et. monter daas un train en partance.: Les deux càdàvres.furen~~l'amehés & La'gare~e.t déposé.?, dans une ~IIe'd'attente.Le mécanicien, Ernest Morlot, &gé de-quarante ans.~hetbitait 42,~rue 'Victor-Hugo, à Levàllois-PeiTet ilUaisse une veuve et deux enfants, une îiJIeM~ d~ douze ~ans, et. un petit' garçon de sept ans il appartenait a ta Compagnie depuis 1893. Le chauffeur, Georges Eemônnier,'âgé de vingt-neuf ans,.était.également marié et père, d'un enïajitdetrois'an's.'

Les deux veuves, prévenues aussitôt, sont. arrivées & neuf hei,u'e9:aux:Moiilineaux. Bien que brisées de douleur et d'émotion,-elles .ont.youlu quand même, l'une et l'autre, passer la nuit àuprëa des corps qui ,ce .matin,' seront Iransportés à leurs do-~ micilea respectifs. Tout- Je haut~përsonhet de la~Compagme' s'était rendu sur les lieux du sinistre mais renqu6te sur les causes de l'accidënt'ne pourra être faite qu~ ce matin. L'Ass&ssm&t de Martinvast Une pnme pour t'ar~statiM de )'àM!min Cherbourg,'23 mai.

La famille de Montrond à déposé chez un notaire d'Oeteville une somme'demiHë''francs pour la brigade mobile de Càen ~et une autre de quinze cents francs pour la police spéciale Cherbourg. Elle~ promet en outre une forte prime~a'.la personne qui: amènera l'arrestation de~ l'assassin du baron ,d~ Montrond. Petites nouvelles de la. nuit .–Le Sénat américain a voté un: crédit naval de, 650 millions de francs, soit 15 millions de plus que la~Chambre. Une misison ottomane, comprenant le colonel Hassan-Riza et dix officiers supérieurs, va venir eh Frah<~ pour assister aux tirs et aux manœuvres d'artillerie, au camp de Ch&lohs.

La musique de l'école d'artillerie de Toulon a pris part .hier, à Madrid, au festival musicai organisé par la municipalité. Elle a obtenu un vif sucées.' Il paraît qu'on l'a vue, la comÈte, hier. soir,, a Vienne e'He était entourée d'une-enveloppe nébuleuse que l'on, a pu distinguer très nettem~ Hier. a~ commencé, 'Vienne, s'eh conseil ae~ guerre, l'affaire du lieutenant: Hofrichter, qui a~ tcnt~ d'empoisonnerrplusi.euj's officiers de l'ëtat~major.\ 'j ~n grand ~incenaie 'à'éclaté 'dans' le quartier d~ Bayswater, à Londres..11. y'a;un.mort .et cinq .Mes~

sés~

LES :JOURNAUX_M CE MÂIIN LE ROLE tE L'C.PPOSmOH

~De~Ernest Judet, dàn's;l'Ec!a! ~t t, ':Quel màgninque rûle pourjJ.'opposmoh'siseUe'~tat.Mm'pfendre'et sa' force et son'devûu- En somme, le'pay? a: manifesta eontre tous les faux progrès dont la- Mago)Qpie dÉmagogique menait un tel bruit. Si tes opposants' savent le comprendre eMe dire hautement, franchement, sans ambages, i)s seront tes maîtres, du terrain, avaat d'entrer dans ta place qui capitulera sous teurs coups.' CE QUE FERA LE 60tJVERttEmEt)T De M. Latapie, dans la jRepubttgue ~ranca~e Le gouvernement'fait annoncer n qu'il'indiquera d'une 'fagon c-aLtÉgonquë ce qu'il veut faire' Nous sommes Bien' tranquilles. II ne s'avisera pas certainement de remonter te courant dont jt'a lui-même si soigneusement repère la djrecuon et mesuré la force,.car nous ne~ui croyons aucun goût pour.~M suicide. DelaPc~~Rep~t'~Me~

D.u.eonseil d'hier se ctëgage l'impr~ssjton que le gouvernement prendra position, des.te.d~but de la législature, sur les diverses questions a l'ordre du jour et qu'i! apportera, sinon peut-Nre tin projet complet, au moins un avant-projet qui: puisse servir de'base < de travail; et .permettre la. Chambre de se mettre, ù la besogne. De M. Maxime Vuiliaume, dans l'Aurore' Certes, enlace de'I'ëparpiUerBent des avis.contrtËres,. le Noc prpporHonnatiste est, avant.toute, discussion, imposant. On reformera, voiia ce dont mous sommes sûrs aujburd'h'ui. Pour le reste, attenBons les déclarations du ~gouvernement.! i DeM.Bérenger,dahs~'AcHoh:. La première .de toutes. I~.r6fonnes,MUe qu'ont rectamee plus'de''six millions'd'électeurs sûr huit'mUliotis'de. votants, ~c'est ta.reforme -Pectorale. -II. jest des aujourd'hui, hors .de douté.que'p.ar. cette réforme la'.Chambre nouvelle commencera sas .travaux. ;e.t .qu'eDe ae prononcera pour le scrutin de liste avec répresehtatioh pro'pbr- tionneiledesmmont~ -A'T.'PFFJ[!CïEL Lejourno<o~'e;te~publie,c~m~ "Commerce. Décret aux termes du~ue~ est autorisée ta transformàtîon de la SociëM anonyme dite Entreprise

genëràte'des Omnibus de Paris ~en Saleté anonyme.

conformément ia. ta deuberation de I'asseml)l6ë .générale extraordmaire dés actionnaires.

S~futdM.~dncMo~RtUfM

Se.sontpronohqës:

1° En laveur du.sta.tut des fonctionjiaiMg,{375Contre le statut des fôhctiomiâires, 1 Deux cent huit députés.n'ont fait aucune allusion

& la réforme ci-dessus.-

.~jR~orn!e~co!a!re~

Elus de la nouYelle;Ghambre {non compris leB colonies) qui se sont prononcés.: -,i

l" Pour la libërM'd'enseignement, 298,;

Pour la surveilla]nce"d&s~.coles libres, 213 3° Pour le monopole de l'enseignement, :66Pour l'abrogation de-IaJoijFaIloux, Quarante-sept 'députés se sont, ëQ outre, simplement déclarés'partisans de:la';défehse de L'école.laïque et cent t-rente-~eu~ n'ont.fait;/a!lus:on'asaùcune~ ° des réformes ci-dessus.. <

~N ~H~ÏN<3E

~~r .Les;or<M. ~ombr~u~es ~MMmM

~iONOK~.ES-BAiNS.' –Une trombe d'eau"vient '-de

détruire aujour.ct'iluiïtrbis corps~de'batiments-a'-Va- cher.esse,;causant la mort'de ctng'.personneë,: La'maison du.maire est détr.uita.~Le.corps du frère du maire a été .Mtrpuvé à quinze' cents mëtres en a\'à!dans, la Drahce. Les~ victimes sont~trois

hommés,'et.:deux enfajits. Uii nomËrëux Détail ;est

'en outre perdu.

.C~sTREs-sius~L'ÂpouT. De; Yç~tables trombëa

d'eau tomt'ënt'depuis.ùn.joursu~Ca'stï'es et làtp~r- tie'TnoDtagneu~e de .l'arrondissement. Tous~ les cours d'eau sont en crue'.tres fbrte.~Des.maisons se

sont écroulées. la Crouzette, uii'garçonnet~t du

bétail~sphf rest'É~ensevelis.-sbus lës.'dëcbmbre~.sBes éboulements coupent tes routes-; a.'Castrës,le1toc-

.sinsonnje' °'

Les pohts.et les.passe'rel~s.sont~enlevés. La;gare<' est. également t mondée.' Oh'ëtablit:des "passerelles~ .pMir aUèr :d'un quai~. rautre. :)..a ligne;de:Casti'és à ~!azamet-Bédarieux est"'co~pë)B;sur plusieùrs'.ppints. Aucun traihme par,t~Qm.~ahn~ace;queGmq maisons së,.sônt écroulées à!' .YerdaUèt~Dës détachements ` ~'artiUefië;paFtent pOM les ~mtsjes~us n~ r

-f$É'~Y.Un%ra~a%Bou\'anta~ecô~ de tonnerre et~'écla!re,.a.~avagé;cette.jiui~~ là'régïon. du,Mezenc.I..a~coininune;deLa~ssounei~ëté.parH~ lièrement eprouveë.~pa'~ une trombe d'.ea.u et~â~gr~e.

Les ma!sons:'soht: e~vahigs.f'

EBERXAY~ JLe cyclone de\la huit-.derniëre que yous~ annonciez ,bne.vement' ~Mer en «~De.rniëre HeuEe;)) 'accumule Jësdéga~~ T6u~la nuHlM-. '.ppn~i~rsret\tëjë~sbldats;'ont u) ëpùiser~lM .ëàux'-guL avaient' envahi '.les maisons '6~ les maga~ sihs~e ta vitte-basse ei'a'sauver. les habitants. "RIu~ sieurs r.ues étaient .tTansform&es~.en: véritables lacsL rL~: service- des ~hèmins;de I'ei'e ba~Ueu.e a" tlû~ .<&tre. interrompu dans les~iHages .~voisinant Eper~ nay. ,Le.\spectac!e-etaif, Iamentab!ë~ On a~ envoyé tdes~se&Qurs Pierry, à Moussy-, a. ~many,. le.be~ ~spin. s,n faisait surtout s.entir.. T(~)s les', jardins

!dés' encrons/sont dévastes~ ~ës vtgnbblës ènt!

'Epër~ay-'et Dormans sept saccagés; Les degata se chiffrent,par plusieurs mULipns.

A~Cumières, la foudre' ta (.'L renvepsé. >!es meubles

dans .plusieurs maisons. A~ Ormes, .des voiture ont'.

~té~enlevées.j

yAl.EKŒDans le~departement delà Dr~me coudre, est tombée en plusieurs endroits~. Le.spluies.l 'Ont provoqué une~rue du 'Rhûhe; MEM)E. Des.drages violents éclatent .sur le de- ~partèmènt: Le tohn'ierre et;là pluie font rage et am~ i

hentISLL-erue'de tous les cours d'eau. j

J 'jBai~t-aëat" i,

~M~Ï~C~S~ Àp)-è9 tes funeraiHes d'Edouard V!! DÉPARTCE'GUILLAUMEl: .Londres, 23 mai. L'empereur Guillaume~ a quitté 'Londres''pour Por!: Vtc~ona et l'Allemagne, cet après-midi, a 3.h.30. Peu après 3 heures, te personnel de l'ambassade d'Allemagne, le iQrd-mairë, l'ancien. lord-maire: et d'autres'notabilités arrivaient sur le quai de la gare; A 3 h; 30, le .Roi et sa suite arrivaient à leur tour. Les adieux se firent dans la salle d'attente. L'Empereur fut accompagné jusqu'au train par le Roi, le duc de Connaught, le duc de CornoùaiHes, le; prince Albert r L'Empereur, embrassa le Roi sur les deux joues etitu serra cordialement les mains.Puis il monta dans le'train'suivi par lordRoberts etie comte de Mëtternich. Une ;n6.te officieuse communiquée à'la presse déclare que l'Empereur allemand, apprécie chaudement la sympathie sincère manifestée & son ëgard par la ville de Londres et par le public anglais en général, dans les tristes circonstances qui ont oceasiooDÉ son voyage. LE ROt MANUEL.' j

Le r<)i Manuel partira dçmain.matin pour Paris. Le-rdrde Grèce.et le roi de Danemark ont jait aujourd'hui, une' longue promenade dans'Hydf! Park. Ils resteront à Londres jusqu'à samedi. Retoufdu RoiàMadnd

.Madfid,;S3mai.

LeRoi, qui-avait quitté le Sud-express al'Escurial pour.se réndre-dans'Iës caveaux du/château ou il a été'prier auprès au cercueil de l'infant mprt-nëj «st arrivé a; Madrid en automobile. Il a.reçu immédiatement le président du conseil.

Les ë!Mtiens senatenates espagno!es Les résultats du scrutin pour les 168'~iëges éligjbl~s du Sénat sont les suivants. Elus par les délégués sénatoriaux 92 libéraux, 3 libéraux dissidents, 35 conservateurs, 4 régionaustes.3 républicains, 5 catholiques, 4 carlistes, 1 indépendant. Elus par te vote corpdrattf des académies, universités et sociétés économiques H libéraux, 7 conservateurs,' 1 régionàlistp, 1 républicain,, 1 indépendant. Soit en~tout 103 libéraux ministériels. 3 dissidents, 42 conservateurs, 5 régionalistes, 5 catholiques, 4 républicains, 4 carlistes, 2 indépendants. La partie inamovible du Sénat comprenait 180 membres de plein droit ou nommés & vie, dont 70 libéraux, 77 conservateurs, 16 indépendants, 2'carlistes, 8 ecclésiastiques, 4 palatins et 3 sièges va- cants. La majorité ministérielle comprend donc environ la'moitie-du Sénat. M. Ruau ~ecu par t'empereur Ffancôis-Joseph Vienne, 23 mai. Le ministre' de l'agriculture, qui est en ce mom~ht en Autriche, est parti pour Budapest avec M. Crpzier~ afin de. rendre visite. & l'Empereur. w Àf rangements fràneo.aHemands

Le JBerHTMT Ta~ebfaM annonçait hier que les gou-' vernements français et' allemand venaient .de con-: cluM une ectente; qui, '.tout en .n'ayant aucun.Garac.: tère~poUtique, « porterait de bons îrmta dont ons'apercevrait bientôt. Renseignements pris, il s'agit de négociàtion& purement techniques qui se poursuivent entre Paris et Berlin, relativement au règlement pratiqué de la. participation allemande dans l'emprunt marocain et qui son.t sur le point d'aMutir. L'éff&t de cette. entente est, commeon le voit, très limité. La convention turca-tunistehne

Tripoli,23maï.

La convention r&IativB à la frontière turco-tunisienne signée le 19 mai est. entrée immédiatement en .vigueur, sous ratification des gouvernements respectifs..

.La .commission franco-turque part aujourd'hui, via'Malte. L'.Informé

Contre Fagrégation

en médecine

Pfemiëre journée de concours

La. journée d'hier, si on en croit les candidats protestataires, fut bonne et cependant tes autres candidats déclarent qu'ils ont eu .également "gain de cause. Tout le monde est content, déclarons-nous satisfaits.' En effet, l'ordre n'a pas été troublé il n'y eut pas de bagarre sérieuse et la violence des/protestations n'a pas réussi a. franchir les portes de ~l'amphithéâtres'étaient réums les candidats. La place de TEcole-de-Médecihe était coij~ verte d'un millier d'étudiants qui attendirent a, t partir de midi dés événements qui ne se sont pas produits leur attitude est bruyante sans-exagération et les agents des brigades de réserver toujours prêts à intervenir, n'eurent pas à~mani-~ -tester. A l'intérieur de l'Ecole, oh s'agitait davantage. Les séances duconcours étant publiques, le. grand amphithéâtre de la Faculté avait été rapi-? demënTenva.hi par une bruyante assistance ve-, nue pour assister a la composition du jury et~ enlpêchër l'inscription des candidats. Le jury, désigné par le sort, se compose de MM.: Landouzy,~ doyen de la Faculté de méde-~ ciné de Paris, président MM. Mossê, de Tou-r 'louse ;'Ma.iret, de Montpellier Pic,. Roques e~: Lacassàgnë, de 'Lyon, Pierre-Marie et Raymond, de~Paris, membres M. Grespin, d'Al-i gër, est désigné comme secrétaire. Soit trois~ professeurs de la: Faculté' de' Paris et. six de pro.'vihce'.j L'entrée solennelle du jury dans' l'amphi-y 'théâtre est ~e"8ighaI du « chahut x les~sifflets~ éclàtent'dé toute part ;'les cris sont assourdissants et' c~ëst/en~ vain 'que le président t~nte'' de? parler.' guerre lasse,' le ~docteur Landouzy~ 'écrit à~a'craie sur le-tàbleau <' -Au'x;t~rmes du' regleme.nt~il est procédé à l'appel desycahdi'dats.IIsdôivent veni~signer sur la feuiUe. 'a .Le premier candidat dont le nom est inscrit: sur~e~bleau, ~Aug&sse~LafQnt, ient~-d'aller sigher~~i8~est<ari~te par les p~ il" n~parvient,~a *Ia"table du jury qu'après ?une: .violente bousculade entre ses amis et les manifestants.

Dès'œufs et des'tômatés sont lancés de,tous ~~Qins'de la salle sur le jury. Le docteur Lacassagnô est atteint à la figure et~ M Landouzy;ènlëve saTobe et sa t~que'cd'uvertes par lës~éelaboussures des projectiles. 'Au milieu de: l'ampnim.é.âtre, MM. Le;Eùr, Leredde ~t Lafontaine, les .chefs du''partiypro-' testatairé :Karahg'uent'Ies"manifest.ants et" le. jmry,:ils.'protestéht en :termes véhéments 'contre l'agrëgàtion~ puis, conelùsi&n.'in~ vo.ht à. leur tour signer-la~feuille~des "candidats.. :A'une~heuTe et demie, l'appel.est. terminé, un contre-appel :est'fait.. Cent soixantë-quatre"can- didats sont, inscrits poùr.quaMnte~-dèux .places .vacah.tes; .J: "Bans un Calme relatif, le-'présidënt inscrit, v alor~, au tableau, .l'avis.suivaht~ v K~Les'candidatsquron~ signé sont convoqués pour demain'niardi,~ ici,~a;'trôis ile.ures ~t de-~ Ï m'ie,~pour ;lë ~ti~ge des questions qu'ils auront

..a traite~

.A l'issue de cette.séance !prageusë..et~.nr6- M~ la im~ie~~ <c&RQidat3 redi-1

~gen~uhe-prôtestatioh'qui~~ t&ine de signatures et'quiest-ainsi. conçue Les candidats soussignés prptëstén1,contre !a ten- tative d'obstruction q~i-~s'est "prodmte de la'part, d'-un petit groupë-'de'p~rturbatëuj's, contre les actes. de violence et le's injures dont les'membres du jury ont été .'l'objet .et. contre 't'éntrayef apportée. &;ia.~yo- Ibnt~ etfaux~.droi.t~ jdes -candidats ~dë concourir ~conformément.auxlçj.s'et~glements. La'.sallû;se vide .lentemeiit,àpres queues pro~ téstataires' s6 sont -donné rendez-vous à neuf { heures du;soir';pQur~une'T~uiiibn .du= ~comit~' d'action. Plusieurs cas~ae hullite'serçht~eleves daps ja. composition,?'et le~-fonctionnement du jury. i :Aujpurd'hui,'}'ot)5tpuchon;continuera, a~sure-

.t-6n.~

Em.,B.~

;;N(]~ INPORMATfONS;

.L- t~n)pëfat!U)'e

Hné aire de. forte Lpression s'étend, de l'Irlande .et. des'IIes-Britannidues au sud de~IàJRussie. ti.'En France, le temps va rester chaud des ondées orageuses sont probables dans Test et le sud. Hier, à Paris, belle journée.) Thermômëtre, 22°. .'B~romëtre,TGlm/m.

FAITS~DU~OUR

R-

~LarëM<;ot!tfeftePôH~nt/-d<°LMsep~Bienque i,ë GaM~f~ se soit fait.unerëglé de parler le moins ppssibie des duels, il nous parait, 'cette fois, difficile de j)asser.spus silence, enraisonde.laqualit6.des adversaires et des .conditions rigoureuses, du .eom- ~at, le nouveau duel qùi.a eu'lieu, hier matin,au part des Princes, .entre le comte Just de Po!igny et M.ÏsmaëldeLesseps.: Cette nouvelle rencontre Était motivée par une lett tre que publiaM. Ismaëlde Lesseps dans uh'jourhal du matin, et qui fut jugée injurieuse par M. de. Poligny. Celui-ci envoya, ses témoins, le, marquis ;de Deville de Sardelys et .le. comte: de Forceyjlle, à M. de Lesseps, lequel, a .son tour,, chargea.M.. Cazé.de Caumontet le baron.La'Caze'de le repré&ehter. Ces messieurs ne purent s'entendre sur la valeur de l'offense ils eurent alors recours, à. l'arbitrage de MM..le marquis de Dion et lé comte. d'Elva qui, euxmêmes, ne purent tomber d~aecord et prirent pour les départager un tiers arbitre, le marquis de Chasaeloup-Laubat. Ce tribunal donna la qualité d'offensé à M. de Poligny, et c'est ainsi, que lés deux. adver-

sair,es se sont rencontrés hier, ta troisièïne fois.

saires se sont rencontrés Mer..pour!a troisième fois.

E,es'conditions; imposées par M. de Poligny étaient particuliéMm~nt sévërés :.« Deux baUës chacun à Beize mètres, cadence à la' seconde, chacun ses armes chargées par. les témoins respectifs.))' » -Le premier, échange de balles ne donna aucun résultat. La deuxième fois,. M. de Lesseps tira le premier. Sa ba~le vint' frapper. ~e' .canon du pistolet -de M..de~Poligny, ricocha sur.son bras, rebondit sur son épaule après l'avoir contusionnée .et tomba dans l'herbe. Pendant ce temps –.une,seconde à~pei~e M..deP&Iigny avait tiré. Son projectile alla se loger prSIondënient dans la cuisse ..gauche de son adversaire.-Immédiatement les:témpins de M.. de Less&ps, dont la blessure saignait abondamment, se pôrfëre'nt a~son-së~Durs 'et le coueherent~sur 'l'herbe; Les, médecins .firent;~ un .panseme.nt provisoires ~Ensuite M. de.Lesseps, dont I& sang-froid'ne s'était pas démenti ..une seconde, fut transpprté en automo'bi)e à la maison' 'de" santé ~du docteur ~Lartigués. -L'hémorra.gie que Ton redoutait'a; pu être arrêtée. On espère que ,M. de Lesseps sera rétabli, dans une. quinzaine de 'jours. Ajoutons que les adversaires ne se sont.pas

réconciliés-

5t)Ct~~ <~s ~e~ de ~r~. M.. Charles Benoist~ membre de'l'Institut, député de Paris, a été élu par. acclamation membre de la. Société des gens de let-

~.trës;'

Rappelons, à ce sujet, le texte de l'article ? du reglement sur les admissions voté ~le 30 novembre 1868 en exécution des statuts a Conformément .aux précédents d~ ta-Société,Ies membres de l'Institut; qui demandent a faire partie de la Société seront ad-~ mis de plein droit.~Nns 7'oppprt et snMs scn(<)H. )' C'est~en vertu de c~t article .du règlement qu'ont été récemment élus, MKS rapport et sans scrMi!M,~ MM. René Doumic, le président actuel, et Etienne Lamy, de l'Académie française.

M~'on d'homieMr. Parmi~es nouvelles promotions dans la Légion d'honneur, nous relevons avec, plaisir celle de M. Henri. Téterger, l'artiste joaillier deia.ruedeRivol]. La 'rradttfom du neM~tÉme ar?'on~!Men!)3~ Réunion mensuelle ce soir mardi, à neuf heures, 27, rue de la Chaus-sée-d'Antin (1" étage. Entréegratuite. Les dames sont admises), sous' la prési-; dence-de M. F. Michelin, président du comité royaliste du neuvième arrondissement.

Ordre du jour conférence de M. Lucien Normand, avocat à la cour « L'Organisation sociale syndicale

etcorporative)'. t~

La'discussion sera contradictoire. ~~oOdtton dM emp~x/e~ de <a pr~s-se ~at)c< –-L'assemblée générale annuelle de rAssoeiation des employés; de la presse française a eu lieu samedi 21 mai, à la mairie du neuvième arrondisse-

ment.

Les adhérents de Paris étaient venus fort nombreux ceux de là province avaient envoyé des délégués, notamment de Lyon, Lille, Toulouse. "de Les rapports lus par le trésorier, le secrétaire de la commission de contrôle et le secrétaire général ont été fort applaudis et unanimement approuvés. Ils ont démontré le développement pris par .la jeune Association qui, après à peine une année' d'existence, a déjà groupé plus de 300 membres, représentant 55 administrations.

Les résultats obtenus en si peu de temps font bien augurer de l'avenir réservé à la jeune Association.

Tour E~et. Voici le programme des conférences'avec projections organisées à ta. tour Eiffel mardi 24 mai, M. Em. Toucher secrétaire de la, Société astronomique de France « Les Comètes et les conquêtes de l'astronomie Mercj~edi 25 ma), M G. Fournier, .membre du conseil de la Société astronomiqn& de France « L'es Comètes et leur histoire. La comète de HaNey depuis deux mille ans )!. Jeudi 26 mai, M. A.. Jarson, ancien administrateur de l'observatoire de la Société astronomique de France « Voyage & bord de la comète de Halley Vendredi 27 mai, M. Em. Touchet, secrétaire de la Société astronomique de France La découverte, l'observation et la photographie des comètes Samedi 28 mai, M. G.. Fourni.er, membre du conseil de la Société astronomique de France Les come.tesmessageres:deïl'dnfmi').Djmanche_~9:na),.M. A Jarsoh. ancien'.iàdministrat~iir de I'obsery,atoire ~deja: Société .astronomiques de .-France- Ge.gue .'pourraient dire les comète~ ` Chem!M de .~er d'OWcof~. –~Bans le but-dé faci''uter aux malades peu fortun'és le séjour dans les ~station's thermales de La Bourboule, du Mont-Doré. de Nêris et de Gransae au dêbùt:et.à la fm de la saison, alors que les traitements peuvent être suivis dans des conditions moins .onéreuses, -la Compagnie vient de prendre, à titre d'essai, pour l'an.née~9l0. les dispositions ci-après:

Les billets .individuels d'aller et retour délivres du 1" au 15 juin et du 15 août au 30 septembre, .toute gare du réseau d'Orléans, pour des gares desservant les stations ci-dessus, seront exceptionnellement valables'vingt-cinq jours, non compris les .jours ,de départ et'.d'arrivée ;"ëes billets ne seront .pas susceptibles de~ prolongation.

NOU BELLES RELIGIEUSES

7n~<t!ta~on de 'Af. Sou!a?) f~e-BoàM o Sotn <-7~oKO;'<' d'E!:aM–'Une très nombreuse assiatance se~pressait, hier~ H Saint-nonore d'EyIau oCt M$r,,0detm \-jcaire gen6ra), directeur des œu\Tes dioeésamps, prestda]). 1 mstanation du nouveau cur&, M. l'abbs Sôulange-Bodin, precMemme'tit,P!aisance. L'eminent vicaifë gênerai a prononcé une <)dquentc ahocûtion qui a été fort goûtée. La. cérémonie a été très Russie.

MO~BLLES;/tHL7M7RES

A/!M!<?tt chtft0!se & SautM'T'. La missfon chinoise. dont nous avons dej&. parM, a vjsit< hiej, )'EcoIe de cavalerie de Saumur ou eue a assise divers exercicep reprise des écuvet-s, sauts ct'obstac!es, charge en t.it'aaleurs exécutée a vive aHure, etc.:Le cadre de l'Ecpie a offert à déjeuner a nos Mtes. SoMa~' empoMO)i<x'a. Qujnze chassëura du S' bataif-

lon;:à LZiuérillé; ont dQ ëll~è ti'àqSportés, làeuit. dèivi~re;_

!on, a Lunevii[e~ont êtM.t~nSpoi'tC's. la'nuit. derniÈre,

{t l'hôpital a ta. suite d'un c'ommcncement'd'empoison-

nement cause, croit-on. ptn' de~a viande avaria. Aux derniÈres noùveUes, l'état.des malades s'était améliore. FAITS DIVERS ARRESTATION DE L\ASSASSM.t)U BAROS DE MO~TRO'iO, Le service de la Sûreté a opéré Mer soir, à neuf heures et demie,, a Paris, l'arrestation de Jean-Louis; Gùéret, l'assassin; du. châtelain de MartinvaSt. Il a îmt'des aveux complets.. ..Le miséraMe, qui n'a pas 'encore dix-neuf -ans, u-~st le 19 juillet 1891 avait séjourne'à Asnië"rès, quelques'jours aDres le crime, comme on l'a dît; Depuis lors le ser;viee'de la Sûreté avait suivi sa piste.' Guérét "avait, "forme le-projet.de partir pour GrenoMe,mais,;se sachant réchei-ché, il préféra demeurer à Paris .où il lui paraissait plus facile de 50 cacHér. II chercha du trayail et entrait: semaine dernière, en qualité de gardon de courses, chez un. pâtissier des ;ënYirpns'-de In Madeleine. C'est~chez son patron, au'moment bu il.anàit quitter son sër.vice pour rentrer a l'hMel.qu'il;habitait,'Tuë de'La'bbrde. que les agents: de M, Hamardf.le mirent-en ~tatd'arrestatiou. <\ ~Conduit au,quai des Orfèv~s et fouiljjê,il fut tmuvé; ~porteur d'un portcfeujIle'L om6.d'une .ravissante mi-. ~Tuatur~ du dix-hujtième siëc~e etj :'CQhtenant une écarte _de visite au nom de laj Baronne' ~tontron d. .îi portait en outre :as6!i~ilët~-lacna!he et la nioh-* ~tr.e en'or de sa victime. Devamt ces~.témoignagés-âc-' i eablants~e son crime, Guéret n'essaya pas~e hier. <

'–rC'est. vrai,. avoua-t-il.~une.oix sourde,, j~i;

"tue ~6n an$iën-maltrë, ~e;barcn -de-M.oDtrohd. ~i

L'ïnïonn6

-'iu~'pour voler, ;m'ais jB''n'a~BOQy6~que cinquante. francs d'argent et. les ~divers objets que~je portais. .sur-moi..Ïl'est, exact.que j'aii-séjourné deux jours, a: Àsnières, puis je suis restée a Pans parce que je n'a-~ vais pas assez dj~àrgent pour,aIIer,a.GrehôMë. ` L'a'ssa.&sin''de'Mar.tinvast,~ l'apparence d'un ~tre;, doux et 'polL'-ïl ~s'exprime assez correctement:~ Ûn~ perquisition sera opérée àujourd'hm-même dtfns la chambré. d'hôt~Pqu'il"occupait. `:

.), > .;y.

i Les personnë.s qui' possèdent des objets précieux, ~teLs que brohzës.d'ari, tapisseries, ïneubles anciens, porcelaines.'de .Saxe et. de Sevrés, même des objets; partir 'du douzième. siÈel6,rouyBrpnt'& les céd~ 'au comptant et'àù-dëssùs de-leur valeur en s'adressant a' ~M.Sé!igmàn,23,"place Vendôme, qui se

'dérangeront: s'it y'a. lieu.

`~ i :r"

.}tDEUX:.AVE'<TUR!ËMS'ARRÊTÉES s Le service de M.'Hamard vient d'arrêter deux aventurières qui s'étaient spéciaUsees dans te H'vol -domestique "L'une d'eHes, Paula- Gregoretz,' âgée .de vingt-six. an.s,~èt.: d'origine autrichienne, est accusée d\m:vblimpprtant:de t'ijoux~t d'argent commis à Meaux. A.u mament'de son'arrest.ation, elle s'était .-r.eplacée.u, î~euiHy-sur-~iî)e, sous le nom de-Marie MuUër~ ~t préparait'nn houveau coup. On a retrouvé au domicile de. cette voleuse hpbile, rue de la'Boétie, quatre miitë francs de bijoux. Les papiers retrouvés- dans sa maUe perjnettent d'étabur qu'ëlte.a déjà opéré fruqtueusem~nt à'Fon~ tain~bleauetàPont-Sstinte-Maxence: F –L'autre aY~nturière,-Jeanne-Marie ~.Gprel, est originau'e, de S~mt-Maùdan (Côtës-du-Nord). Elle logeait & Paris,'passage du Petit-Cerf, et. on a retrouvé chez elle les preuves de .plusieurs vois, dont lé montant-dépassé quinze miUe francs. Mobiliers complets par milliers aux 'Grande Magasins ;Dufayel, sièges, -tapis, tentures, articles de vovage, sports et jardin, etc. Tous iës jours, sauf dimanches, d&2 h. A a 6 h., vues les plus complètes des obsèques de.'S. M. Edouard VIL Les spectateurs sont priés d'apporter leurs jumeues.' Concert et fiveo'cloektea. pP SUJCtDE MYSTËRtEUX

M. Vernot, administrateur du bureau de bienfaisance du onzième arrondissement, a tenté de se suLcider, hier, dans son appartement du boulevard

Voltaire..

M, Vernot était âgé de quarante-six ans tout sembla~ lui avoir réussi dans la vie et il passait aux yeux de ses amis pour un homme parfaitement

heureux.

Sous un' prétexte quelconque,' il 'envoya, Mer, sa femme et sa fille à la campagne ~demeuré seul, il s'enferma dans son cabinet de travail et sévira un coup de revolver 'à la tempe. Quand Mm&Wemot rentra, elle trouva son mari agonisant ;.eMe prévint aussitôt son médecin, qui fit transporter M. Vernot à l'hôpital' Samt~Âhtoine, on lui fit sabir l'opération du trépan. Malgré les'soins qui lui furent donnés, M. Vernot est mort ce matin.. On-ignore les causes qui l'ont poussé, a cette, extrémité..

Les diamants, 'les bijoux et tes perles, sont.tou-, jours achetés par Màxims 1 .Ms, boulevard des Italiens (premier étage), au maximum'de leur valeur et au comptant. (Expertises, et renseignements gratuits). fautCàuchoia

¡: i. ` ï · r v-.

~m ès~iM

L'ASSASS!MAT DE Mme CqUtN

Les MtdatsGraby et Miche!

` devant te conse<t de guêtre

Deux francs cinquante par tête, tel est le bénéfice pour'lequel les deux. misérables qui corn-' paraîtront aujourd'hui devant' le 2° conseil de guerre .ont commis un des crimes les plus atroo&ment' et les'plus'bestialement; cruels qu'ait à ënregistr.er,l'histoire judiciaire,'Quelques mots suffiront à le.rappeler. [ Le 15. décembre, à l'arrivée en, gare,.de Lyon. d~ train 826, venant de Monta/rgis et direct entre Melun et Paris, les. employés étaient frap-~ pés par l'état 'd'un des wagons-couloir de~ pré-! mièrëclàsse une portière:ouverte, à contre-voie pendait, à 'demi arrachée sur le marcbepied,L des cheveux de femme, auxquels' adhera.it en~core un peu de peau, étaient plaqués partout,; sur la pa.roi extérieure du wagon, sur .les vi-~ .très, sur les tapis/intérieurs du couloir, ou du' compartiment, partout du.sang, de larges taches

de''sang- L.

Aucun doute possible.: un drame atroce, s'était passemais était-ce un crime ? était~'

un accident ?-

~~decpuvertédu,cada~re, de.ux.R~u-~ rès .apres.~ûr. vGie,.près de.prunoy, horriblement mutilé, les jambes an'achéës, le .tronc,dé-: chiquefé. là tête en bouillie, permit d'établir l'identité de .victime, non de percer ie mystère de .sa. mort.

Le. cadavre .était celui de Mme Goùin, née Singer, veuve du* grand industriel qui fut ré-' .gent de la Banque de France, et qui jevenait. .de Fontainebleau, où, dans la journée, elle était allée voir sa sœur souffrante. Mais quel était le.drame;? Mme'Gbûin,sujette. aux, hémorragies, avait-elle ouvert une' porte extérieure au lieu de celle du lavabo et avait-elle été broyée~ar un train ? 1, Ce n'était ni l'avis de la Sûreté, ni celui de la' famille, qui offrit une prime de 25,000 francs pour l'arrestation des criminels. Et bientôt s'accrédita la version du crime le sang du wagon .ne provenait pas d'une hémorragie-buccale, le sac~de la victime avait été éventré de deux coups de couteau, ses bagues avaient été volées, ses oreilles arrachées ;~ennn, au milieu de tout ce', -sang gisaient des cheveux, des cheveux blonds, des cheveux d'homme. Le crime était~hors de doute. Une déclaration: de M. Héguet, secrétaire du marquis de Ségur, devait mettre sur la piste des criminels..Dans le wagon, il avait été frappé de la présence, de-' puis Melun, de deux simples soldats~ de mauvaise mine, dont des foulards cachaient le matricule.

Peu apMS, au 3i", a Melùn, un de ces foulards était retEouyé. en la possession du soldat Graby.. Ennn, tandis que celui-ci essayait d'établir :un: alibi, un aida-cuisimer de l'Epatant, M. Port~hauit, faisait une révélation dénnitive; Gamarade de régiment de d~ux soldats, nommés Michel et Graby,.H avait été stupéfait, à Melun, de les .voir, monter en première et frappé., à Pans, à l'arrivée, deleur attitude in-

.quiètc.

Le lendemain, .confrontés avec. lui, lûs'deux bandits.avouaient. Et rjén.n'est enrayant comme, da'ns.sa.simplicité, l'est cet aveu sans but précis, au hasard du coup a. faire, ils étaient' montés en première. Ils voient une vieille dame assoupie; Alors, d'un bond, elle est jetée a terre, la .bouche collée au tapis tandis que l'un lui écrase la tête-a. coups de « godillots l'autre lui arrache bagues, sac, etc., .puis, la .portière ouverte, pn la. jette sur la voie ;.et, tranquillement, tes mams lavées au lavabo, les.deux com- plices regagnent' ~es troisièmes et partagent le butin, II v:ayait pour environ 14,000 .francs de bijoux qu'ils ne'purent vendre et une pièce de cinq francs. Chacun €ut deux -francs cinquante.. Tel est le crime. La parole, maintenant, est. au conseil de guerre..

Félix BeUe

NOTES D'~G~

'l,

Hier a eu Heu à l'hûte! Drouot une enchère « sensaiionneUe". Une grande ecritoire en;yieux rouen a été payée 40,000 fr. Cette pièce, considérée com-' me .unique, mesurait 38-centunètres de large Sur S5 centimëtre.s de long et 275 mitlimètrss de hau.t.;J''j-* garez-<?us, posant .stircmq petits,pieds ronds, un

petit canapé de/faïence à fond ocrB,toute; .décorée de'

rinceaux, feuillages, 'masparons,.eh~eamaieu.Neu, doht;le dossier supportai entre deux ;figurines,uh petit socle supportant à: son tour, entre deux porte-~ lumière, une figurine centrale de joueur de .biniou chargé sans aucun'doute'de divertir et de maintenir r. à perpétuité dans son' attitude -cabriolante –'com-! me Forchestre dans. Ies''eirques fait souvent pouces;

aerobates–le dauphin, qui, prenant ses ébats'sur

le coussin du canapé, aurait pu fort bien .servir d'anse au couvercle,de l'encrier, si Jamais l'idée de soulever, ce couvercle, pour mettre de. l'encre dans cet encrier avait pu passer par l'esprit d'un homme

tant soit peu.civiiisé!

40,000':fr.T~critoire en vieux j'ouen Ah 1 quelle éitcre serait'digne d'elle ? n y faudrait. du':s'ang

d~Homère.

.~Après., cela, j'enregistre avec étpnhement qu'une petite lampe eii.fa!eBce,.pourtant.~de Marseille, est restée à ,1,.GQO fr, JH' est probable du.restë que~ si elle avait voulu. Uiie boite à"poudrë, .faïence d~ Moustiers~ a fait encore 4,~00 tr. un ieorhet en vieux rouent S.SaO fr. Et''c*est'à pèu'.pr&s'toùt ce qu'il v"feut de remar-

quable en cette vacation dont ~'prCdùit~ë.dépass

g~ëre 96,3W francs;

~.R~

1

~.1 ii i

K. ~b]É~~TB~

~ï~j'

.i~

Lé"concouésy p~qué; `, ûr a 9~sü én;çë mgmënt dàor

Lë~concot:rs jnppiquë~qui a:tiëu en.ee'momënt dan<

notre capifalé,`è"st`ôû'né'pé~t' :lûs intété's'sân#; aussi sôb

notte eapitaie~ëst'on-ne'peut'piu~nterëës~t; aussi'sott

succès est-i) très grand. Tout eommë~cëïu! .du Grand Pà- tais,c'èst''ehaquë']bur'1e 'irendëz~vous de"'tbutes' tes Leîe~'gftnees.On y~reheontM~prësquet~ottrneItement~ prince 'et ~rincesse.;Eraes,t de. -LTgne,j;gep~ra~.bjMme?Guy~!ier,

~b&rpn~ st.' baronne; A., '.de Broquevi~e~yjeomte~'et vicont-

tesse'd'Hendecourt, vj[e~mte..et~y'ieomte~ë. Guiltaume'de Spoelberch, comte et com~essë~'Ëhimânùe! d'OuItremont,

p.rince'et pnn~esse~Afbert de'Ligtë; comte .et. comtesse

.-peraand..de Beatif.fQrt.'etc; -Mme Franz Witiouck vt<enf.:dedonn.er,.fne matinée imisicate, fort jûteressante,: au poUrs de, !aqu~!e.bn .t .beaucoup applaudi Mme Litvjniie.~qm~a~ etë admirSb'te dans le ?6: des ~nM, .de. Schubert -es~fno!trs;<<a 'poê~, ae Schumann ';1e Ctifa~cr, de At.'btëmerret~

.«.Mortd'Yseù)t)).

Le baron et ]a barônhe Jçsëph de' Crawitez; qu! ont passe tout l'hiver en A)gërie,~sohtTëhtres~a'BruxeH~ t: Le comte ët.Ja comtesse \TLëopoM Van denStèen viennent de donner un grand d!ne~ '~dont les convives ,etaient comte et comtesse de 'Smët de' Nàeyer, comtesse de Lichtërve)de, vjeomte Baudouin de Jonghe.-taron et baronne Fritz de 'Wy~ers'oot, Mme;van der E)st,viconiie Adrien: de Sousberghe, barpn.Jean de Favereau, yi.eômto

Th. de Jonghe'd'Ajrdpye, baron. Rene.~yjCke, etc.

Th, ,de 9 d'Ardoye, baron. n. ,ypkç~, etc.

très réussi le ba! donné'ces, jours dÈrniers :par;Jt baronne de Marcq de Tiege. Reconnu dansJa'fouJe;de3 invités: comtesse de Béthune, comtesse Camiue du Chastéi, comtesse, de. ;Renesse, baronne. de,Woot~e Trixhe, comtesse d'Urset, comtesse t'Kihi de Roodenbeke, .barons Pierre et ËmmanuerDeseamp's, eomtea Maurice et Robert de Changy,'été:.

.Très êtégant diner chez M. de kerehove~d'Ôusse!ghem, qui avait parmi ses inyités: comte :et comtesse, J. d'Aieantara, baron -et baronne van der Bruggen,' M. et Mme de Peneranda de Franchimont,~ comte' de~Moër~ kerke, vicomteet vicomtesse d'Hendecourt, etc. Matinée. musiea)e tfës intéressante chez '.Mme de Naëyer. Dans .l'auditoire: comtesse ;~de' Bainet-Latour, baron et baronne Victor Bùffih, baronne ~dëMëviùs, comtesse de Villegas de Saint-Pierre, comtesse de Smet de Naeyer, comte et comtesse J. d'AJcantara, etc.

Bal, ces jours derniers, chez baron et )a baronne de'Favereau, à'Bruxe!!ës. Reconnu: princesse Edouard de Ligne, comtesse 'Charles Cbrnet_.d'E)zius, comte et comtesse Martini, comte; Guy de~Beauffort, comtesse Louis de Briey, comte et comtesse Henri de' Mëeùs.CQmfesse Char]es d'Aspremont-Lynden, comtesse Albëric Yan der Burch, comtesse. Adrien. d'OuItrëmont, comtes Jacques et Paul d'Quttrémont,' comte Louis d'Ursel, prince Georges de Ligne, baron Raymond de Tornaco, comte Pierre de Briey, comte Baudouin de Lichtervetde, comte Robert de Changy.

Soree de musique; dimanche dernier, chez ]e comte et la comtesse Edouard d'Assche; à Bruxelles. On a applaudi le fameux ténor russe Smyrnoff..Dans l'assistance comte et comtesse John d'OuItrempnt, comte.$se L. de Mérode, comte et comtesse t'Kint de Roodenbeke, baron et baronne Lambert Mme Jean Stern, M. et Mme Zarifi, comte et comtesse Bonin, 'comte et comtesse de .Clary-Aldingen, comte et comtesse Henn de Baillet-Làtour, comte et comtesse de Lannoy, comte et comtesse Gaston de Liedekerke, comte de~Renësse, vicomte'et vi- comtesse G. de Spoelberch, comt et comte Cari van der Straten-Pohthoz~M. de Sinçay, cjSmte~ët.~Mhtesse Eugène

-d'Oultremont. 'jr'

d'Ou!tremont..

~,BEN:W '7.

–Le Prince Frédéric-Sigismond.ët.îe Pfince.Erédéric~. Charles de Prusse, fils du Prine.Frêd~e-Leopo!d de Prusse, viennent, setpn une vieille tradition de )a. Maison de HohenzôHern, de subir !eùr/exa:men pratique ~e '< compagnon ); devant un. jury compose de membres de la chambre des artisans de Ber)in.; Le Pfinee FrêdëricSigismond a appns te métier de menuisier et son'frère celui de serrurier.

Le mariage du Prince. Fredérie-GuiUacme..de Prusse avec )a princesse Agathe, ~e Ratibdr sera cë)ëbfe, )e 8.juin, au nouveau palais, a.Potsdàm. Après la cérémonie nuptiale, les. jeunes Tnariés se readront au château de Seitënberg, qui fait partie de ~de'ria-seigneurie, de Ca.menz.. L?. comtesse Alexandre ~e Brandëhstein, née corn-' tèsse Hella de ZÈppeHn, H)ie fdu délebre 'eonstructëur de dirigeables, vient de mettre au monde \son premier en-; .fapt, une fille. ° Le ..prince Hans de Shœhaich-CarqJath, ne !e 29 août 1849; fits du prince Ferainahd-~ë-Schœnaieh-Caro' ~]ath et de la:.prîncesse, née pnneesse.de. Reuss~phtettZ:Kœstritz,ien~ de môur~d'un eottp'd4p(&ÏëxièrLe de'funt avait épouse,'ie~anviër~'ÈM, & pr&eësse~Hétene' de Leuchtenberg..

La grande-duchesse; Alexandra de MecMemburg~Schwerin. vient~e mettre .au monde .un fils, Ie_ premier enfant qui est issu de son mariage, avec le grand-duc Frédéric-François IV, qui a été cciëbre a'Gmundën, le'.? juin 1904. La grande-duchesse Aiexahdra est ia~deuxieme' fiï)ë du duc et de la duchesse dë'CumberIànd, qtii~se trouvent'au château de Schwërin depuis leT' avril. Les deux sœurs du grand-duc sont: ia princesse Céeïië, femme du prince héritier d'Allemagne,'et !a princesse Atexandrine, femme du. Prince héritier ,de: Danemark.. Le baron Hans Bodman, ehargêd~affaires au Ch!)), vient d'être nommé ministre plénipotentiaire d'Allemagne à Lisbonne, en remplacement du prince de Ratibor, nommé ambassadeur à Madrid. < À Le baron de Bodman, issu d'une yiëiHë famille, de !a noblesse catholique de Bade, est en 1862 et a débute. dans la carrière en qualité de sëerétaire''a l'ambassade~ d'Allemagne à Çonstantinople.

On annonce les fiançailles du,e6mte..Hans de Frane-. ken-Sierstorpff avec la comtesse Ina Saurma-Jeltsch,tite aînée du chambellan comte Jean Saurma-Jëltsch et dé: la comtesse, née baronne Tiny Saurma-Jeltseh.

Viennent de se fiancer également -le comte AlbrecM zu-Eulenburg avec Mlle Frieda de Janson, .fitle aînée de M. de Janson et de Mme, née comtesse KimkowstrQem. On annonce la mort du comte Charles-Théodore: <de Leiningen-Neudenau, le dernier du nom. Le défunt a servi au Mexique sous l'empereur Maximitien et a,fait. pardet pendant quelque temps de la Légion étrangère en AIgéne<

V/B~NE;

L'Empereur Françots-Josephyuent de conférer !a~ dignité de comte, a titre héréditaire, a M.'Lad)stas de' Szdegetiyi-Marich, qui occupe, depuis dix-huit \ans, te poste d'ambassadeur d'Autriehe-Hongrië à~ Berlin, ô~ !e. comte et la comtesse;~ née baronne'Irma de Geramb.) jouissent de toutes tes sympathies.. L'empereur François-Joseph' a reçu-en audience sotënneUe te nouvel ambassadeur du. Japon, M. Satsuo. AMdzuki, qui lui a remis ses lettres de~ créance. ) .M. Philippe Crozier, de retour de Paris, a repris !<) direction de l'ambassade française. Le~jnariage du comte Auguste de: Sêgur-Cabanac. avec !a'~bar6nnë Marie ~'K)ezi' de Ndrbérg;sera~cé!ébré ett < l'é~ise~eViemë-Hiefzing:~ –.Pn annonce .les fiançailles de M)le;Nadine d'Orvat, fiiIë'àe'M: et Mme' Femand .d'OrvaI~avëc~lë~barôn'Roiio!pTie'dë~Ûràsche-'Wartinber~iëutenant'<dë~éservë'daNS~ !'armeë''autrichienne,aù.9'' hussards;:ïtJs!Uïuque du t)arôh' de Brasche-WartinbeEg et de ~a baronne~ décédëe. Les fiançailles ont été célébrées à Vienne, dans ta .plus stricte intimité, chez la comtessë'deKo~WfatKfaItowsky, a'Ia fois tante de ta fiancée et du/fiancé; r, Le futur jeune ménage habitera.une ~grande.pàrtiei.de )'anné& l'Autriche, oii le père du fiancé.possëde en BasseAutriche et en'Boheme de.grandes.propnêtes. 'Le mariage.sera cétêbré, en juitlet,.au château.de-Bonance,presAb.be\'me. .=" i 'U~TC~ le grince et ta princesse Léopotd.'de~ Bayiëre. bnt donné, ta. semaine deDuëre un dîner ~auqueJ .avaient 'ët6' invjtés: le duc et la duchesse de To.var, te pricee;et ~tprincesse Chartes de. Sçhwarzenberg.i le prinee'/Fréderie de Lobkowitz, te major et Mme 'dë~He~ingrath, le matoc deBomhard.ëtc.. -j

g :BUC/!RE5r'

–AJ'occàsion-deIamûrtdeS;<M. teRoid'Àngiete~rre.. ja Cpur\de LL. MM. le Roi et'.]a Reine, a pris le dëmt 'pour six semaines.' < "S. M. te roi Gustave V.dë Suéde a'~të l'Mtè.de~Mt. souverains, au château de ~eiësh;!aSina!a, pendant huit jours., Comme cette visite avait un caractère prive, :M;. 'n'y a eu~aucùnë.rëëeption officiette.S. M; ta~Rëme < étefchercher't'auguste-voyageur ëa.'àutomobite Prédëal. \~e-roi Gustave a'etépasser'unejôumé.ë.Buearest'et'a reçu en audience;,â Sinata, M..Je'anBraltan,o, préstdënt~da f

conseit;ul est; reparti ]eudi matin, directement ,poùr It

~Suede,.par Berlin. 'r' S. A. R. JeMnee-Fë~din~na~revenantid~LondK

.ûstëndë, avec te cotonet Greeëahd, lentrëra ~lund! ''a

'-Bucaresh

-S; A. R. te Prince Caro), qui'a.'assisté'aux~aseensions

~e;M. Qsmont, sur le~ptateau dë~-Gbtrocent.'est moatë.ëtt '-aeropiahe,\au quatrième voI.-aUant~avecraviateurjfran- :çais jusqu'au viUage.de Satûl-NQU.avant.'dë revënir';àttef-. ~Tir avec )a plus grande aisance~au.'pQmf'de départ. S. A.'R. !e Prihee NiM]as,accompa6ne'de'sagodvë~~ aànte, .s'est -embarqué a~Constanza'sur t~mperotnt

Traïân, ~vëc'. tequem dott faire une';i:ro!sierë~.iSb!i6!ant!- H

.nppIe,ë';Piree,'Smymë.~ët~AIexandne~ i~~h~

.ïr"~n''anoonce~es;fiançai[!es'de.M~Bem~ ntf

~de' Romànatz, avëc~MUe.Titi.BobrbneâM.ffn~~

Lë.;génêrar8asi]e Baduîesco~que~ du~Sen3ï' e~t~

.mork''Apr€S~ës~ucér~:e~,tr~s.


quëiieB: Ïes. )~ËD~s miÛt~f6E oot~etë ~~u~s.'l'iBhu-'

) f~ 'tx T

A,t,?j~~pZ.ES

t–L'ImperatrIee. Eugénie, a~ord jae,son .yae!]i TMs.Mc,

:~t:afrivee S N~les.o~lefej~-un séjour d'uae~

ftvant~e se rendre eliSieU~j' -J

~La comtesse- de .'Pterr~cmas. est; ace~pagh~e..<i~ Webey, de M'.l 'Ffâticese~a: .Pié~. :et iQu comte .'de" '.M ~eg~ëre. Le~our ae~CL ajfivë~~u~qt'es~~spnt~s som'vëmies'à bord ~i ptëMnter'ie.urs.tiomma&es. ParBU egi)es-cÏ:jBpnDeesse-Tofst)a eison fits, )ady Ha!a~<

~ûreE~

“Umversel'

T PT'pHl!' T\f ~îfNM'F 1 ~e charité de Ja.p~~ LiectttetMtetn, On a~p~)Hve iM~rantaia de n'avoir pa~ pfis pàtt at'&xpcs't'oh. !a:îq:rs du p~tM.

? !.a confirmation et ta gr~ve d'autdmotn-

iS!. succ~ion~u màtre L~ueg~

'VielUM, Ëlmàj.

Encore la ~mëterUM~f~de' a 'êtë brgamsée pM.~a princesse Lieohten~~ 'pour.rla. f&nieuse huit: i8' maj. Parmi les.di'vèyt~ssèmeQts ~e cett~-in~morable ~iré~~ "'âttiré"un pùëlic Tioai~peùx~ €t"sel)ect; ~u Gottà~ Sanatorium, il faut.citër ûii:mag'D!~Qne ;coMert

'd<mt les prih&ipatix "artistes' vieSnojtS-comw-

saiént le programmer.: SlMàk,Alt~aeM~ TluberiQann~Selms KuM, Ehr&îisi~in et autfes.Sous lés ÎMis ombrages pajc,. En un théât~ de. vërdure~mproviËé, un ball'et; a. été exécute par les danseuses de rOpéï'a. Finalement, un superbe îeu~d'.aTtmce, surprise pour la plupart, jt~eté la .terreur dans quelques âmes .sensibles nui se croyaient menacées par-la redoutable, queue tte la comète 'Rien ne marjqua à fête, sauf l'astre en question, qui resta obstinément invisible. Point de fuséM d'étoiles SIantes, seule ta~lune s'était paï'ée d'ùn~bel arc-en-ciel.. "Sùr tés hauteurs voisines de Vienne et dans les rues de la capitale, un public nombreux a passé la nuit entière dans l'attente d'événements sxfraor~mairôs Il n'y a eu d'invraisemblable que la,;cbaleur. tropicale, tout à fait exception.nélle en cette saison. L'exposition'a eu hier une journée partiçu~lièrement ammée.'Le roi de Suède y a passé une .grande, partie de l'après-midi. H'inauguration du pavillon .îr&nçais a été cé~brée pa.r lejninistre;M.Rua.Malgré les véritables merveilles, ~pisseries <t meubles ancténs, que ren.fecme.ce petit château de la M~ett~, le public vienhoia est légèrement désappointé de voir que la classe .française n'y est que' très incompis'temeht représentée. Je .ne veux pas insis~r ici "sur les bruits qui circulent au suiet de certai'.nesabetëntions. -Tpù~ e!n:~s'~6pl<?rant, lesTperT scmjies qui sont au courant d6's chQë~s :n'hésiteht .pas à dire K qbe :Ies .ÊrahçaiB ont. eu r'ai'soh.i. < Autour de l'exposition ont su~cg!, ces derniers temps-ci, d'innombrables établ~sements, et les terrains du Pra.ter .se trouvent entièrement recouverts pair une vaste et bruyante foire. De-; puis l'ouverture du Luna-Park viennois et d'un' autre'groupe de restaurants et petits théâtres qui .se nomine <: Vehedig in Wieh x, la quantité de, ces endroits de réjouissance populaire est de-v'énue vraiment,accablante. Dans un terrain c6nnex&~ l'Exposition se. déroule depuis, plusieurs jours une espèce de Concoura hippique. C'est, là que se réunissent ies amateurs de sport et la coterie la plus aristocratique du monde viennois. Oh a commencé par un concours d'attelages de luxe. Des premiers'pr.ix ont. été décernés à M. de Jankovicz, au' comte Simienski, au comte'Chotek .et au prince Charles Kihsky.

~L,

A l'Opéra on a fêté jeudi le quatre~vingtieme aTihiversaiTe du compositeur Karl Goldmafh;, par une représentation de sa nouvelle œuvre GŒron' Be~c/~Hye?!. Le même jour on a joue pbùr.la'pTëmiëre fois au théâtre de la HofMùrg, L'A~MT- -ue~e, traduit.en allemand (D:c ~eZ'€ac/). 'Cette charmante comédie, d'un esprit si essentiellement français, a été trop ELrictement .adaptée aux traditions de la Hef..bùpg.et~Ji étincelaht paï'isiani.sme~n estqùeljqu~peuaHénué. Le tirùit qu'on avait fait courir .la semaine derniÈre au .sujet d'un maria.ge projeté entre l'archiduc-Karl Franz Joseph (successeur présomptif de l'héritier actuel de la Gour&nne).et-la princesse'Elisaibeth.de Roumanie a ëte démenti 'dë.toutesparts. Un véritable inconvénient-pour les habitants jde' VJenne a été provoque paï' la grève des chauffeurs dèa taximètres àutbmpbiles. En même temps; la Aérie des conïirmaitions, qui est très'longue, absorbeplus grande partie des .voitures à chevaux. Un simple touriste ne.songe pas a héler une~e ces victoriàs, ihévi-. tablëment fleuries, qui' sont pour la plupart louées a la journée pour une confirmation et les promenades traditionnelles, qui s'ensuivent. On soupçonne une intrigue des propriétaires de fia:Eres cpntr&~les.'Compagnies'd'automobiles, ca.r .(es mécaniciens en grève demandent'une augmentation de salaire de 50 0/0 qui paraît tout a [ait injustifiée. Les patrons ne cèdent pas et les choses en sont restées la.

Depuis la mort de Lueger (te roi de Vienne), hbmme éminemment énergique, dont le prestige personnel équivalait a la force de tout Un parti, la municipalité viennoise ri$que fort de retomber dans là nonchalance. Il ex.istë cependant, parm~la population, deux partis, absolument opposes celui qui veut gard'ër les vieUles habitudes, même reconnues mauvaises, hostile à tout changement, et. celui qui voudrait évo-. luey ~rs le.progrès,réprga.niser notre, belle 'capitale en lui donna.nt une allure véritable~.ment et pratiquement cosmopolite. Ces diSérénGes'd'opinions ne se' manifestent qu~ dans uncombat sourd de part et d'autre on n'y met' poM de véhémence..

..Je crois qu'il n'y a qu~ûn seul contribuable au tn'6nd<3' qui soit. plus doci)e i que le 'français "c'eS.t;.le~ujet a.utriohieB. Et .voici qu'il ë~iàte Un pr&jet.pour;iul in~er dès charges supplémentaires.augmentation dù.)tarif de$ postes et.te-. légraphes, application d'un. nouvel impôt'sur ïe~eyenu, plus 'lourd que le precc~nH Cela :.mécontente tout.Ie monde, .mais on se b~"Qe à espérer que'la nouve!!e ]oi sera 're'jetee p&r la ,;jCha~bre.' Th. d& Kulmér

s 1~1~

LËlit\n l~LUM~

~9 tM tune~itt&s. ttegtemBnt du ~oua!t-e

de ta <!ë!he-mërè et t:ste civitë du jno~yeau

Hei. Les tit~s d rhMtier de ta Coufanne.

< l.ondfes, !e-3rmai"9.9M;

.~ësTOis~s'en vont nsjeprennent le.chem ae leurs Ëiats respectifs ii ÈÂest- mpïne.qui~ -sotitdÉjà partis hier, et les.,miasiOBS .spÉciales ?? toôtïBë eux. 'Londres, rA.îig~tei're vont reprendre 'lëur'àspect normal et leurs OccupaHpns ordinairB~ le jnonde est tin mouvement i~ntinuel, et' les iéy~nemehts i~ Ée a~ccëd~nt. Pàrunsentinient de convenance ~cileà à= somprendre, 'et-, d'ailleurs, dés plus respecta-; blés, le Parlament~~prplon.~é~â période de son ajournënlent, non~par'indolence ou 'lassitude, 'ma.is..parcë~que le~circonst~nMS le dëtnandent et qu'un nouv~au'rëgnè nécessite l'étude et la.; 'Qts&ussion-. de .certains sUJÈtS. interessaût, tQut~

spécialement~lè' sbuveram~et sa îë.n:iill.e ~t .qu il~

h'.ëst que juste'et conforme &.Iabiënssance.q~'p~ 'n'y &ppo~e pàs'ùne Hâte trop. grande..Dan~

'ï'oFjaj6,intiïne et de faïniHe. Jl y .a bien ~ës~

que~tion~ qui rëelatîtent ,une attention. ]ïmrw-

'diate.

,& :i~

~~n~ce qui GOncerne lë~ouaipe de la R~ine-".'Mère, la'situation e~t réglée paf !& loi de 190JL

~)~:L~<~e~l90i),qui'Iuiac<de~në~&omme;

.a~'?b~ÔOO livres -sterling par an ~u caselî~ 'survivrait ~u'M~jEdoua~ ~ai~.jl- Y a Une, sê-

fie de. questidhs~à résouâre, auxqu6i!és' le Par<

.lemënt n'a.'rien à von', tPHe.quë jésidenc~, ~tc.j qui'dëpëndçnt et du testament du ïeu Rpi.et de~ ~a''Qé&ision au'.r;oi;Céorge,.et ~Mt que de$i ~décisions'soient:'prjse8;'à.sujet avant qu~.le!

-Parlement soit'appe~ a ~eî- !e:i'nontant~ëMês.

condiSôns de laxiste civile de e~Mge~

/'Spus: lë:~ègnB:rqiti ~ent 3e ~nir, ia;/Ii6t€ 'ci;

~tIe-dù~lLiv~rain :Mo~ _a~ 4 ~~e~ dont~

"~Û,000;IivjRes ~ôur .la ~ces~et~ pat'ticuli.erë!

~:{SO,OdÔ -pour le. ~bi, :3Q,09p~:poUr:. la'~eine). ~i25,80p:.poiir.flès )emolum<ents, -du' .perspnMl et'

3;40D.poü;r les âépënses às ma~sor~u Rpn;

~S.tMe~ùr les.dépënsë3~ë la maison au.~oi-

1S~OO--p&ur; les.aumônes et autres ~epçnses.~t~

'a'~oûr~T&is~iyerSA~

.~j~ ~g:

~slon de ~a'~bamëïiè~des'communes pour-etu~ -dier la question, et, selon la~ coutume, elle 'corn? 'prendra, pàrïoi ses 'membres, lé~prénTLier m;-

~nistre et ~é''chiëf:de l'opposition.

La liste; cîvilB ;la reine .Victoria" était de

:'385,C~O livres et celîe~de son prédecëssëHf~~m~

~~umeJV, ,de_5iÔ:,(~,liv.MS, ,.] ..Ges.eommés par~8$eht;considé.raËl€5~mai8 que Mht leaTHL,75Q~90 ;frâncs;d'4m souverai~' .à'nglaia & côté'des ao.milhons de l'empé.BBur d9. .Russie~ des: millioha'dë l'empereur id'AUémagné; de~ 30 millions de l'empereur ~ùtri-' .cKë et des: -15' million~ <Ju roi ':d'ftâlie. ? ~En Angleterre 'metne, .e~us. un siècle, ~a. Cour coûte/relativement. fprLt peu M trésor pu~ blic, car George ÏIÎ avait--une liste ci\'ile de 2a miHibns de'ïràncs/et,:quand'H-mQurut, en i82P, il laissait pour 75 mjllion& de dettes Une autre question plus importante, encore qu'aura, :'à discuter le Parlement britannique, 'sera~He d'une loi: de rë~ence:'Quand ~a reine ,:Victortâ.mourHt, î~ qu6stion';ne s'est pas pré-' ~sentée, parce q~e son ïHs et s6û'pëUt-6Ia étaient m~e~rg et: que la succession-dû tr8'ùe était as;.suTëe.. L En i840, il {ut voté.par. le Parlemant une loi régence dési.g'nantprince Albert comme régent, au cas la.Teihe Victoria serait morte avant la. majorité de son fils, le prince ~de'GaHes;.1!Edoùai-d VU):

Aujoùrd'hui.que l'héritier du trône, le duo de Cornwall.'est mineur (16 ans), .il devient nécessaire, de. voter une nouvelle lô~ désignant un régent:une régente en cas décès du Roi..Si l'on désigne une régente, ce serait né~ cessairement la reine Marie que la loi indique* rait, et si'l'on désigne un régent, lechoix du Parlement se porterait sur le duc de Connaught. ~A A propos de l'héritier du trône, il n'eët pas inutile, en ~vué de la confusion qui parait ré,'gner à l'étranger sur-sa situation, de précisef ~un-peu. L'héritier de !a couronne britannique n'est pas, comme on le croit a tort, prince de Galles de naissance.. 11 n'a et ne peut porter ce titre, auquel se joint celui de comte de Chester, que lorsqu'il lui est conféré par le souverain. 'Edouard VII 'fut' créé prince de Galles et comte .de Chester quand il avait un mois mais le roi/George~V ne. reçut ces titres du roi son pere~ qu'en novembre 1901, neuf mois après Ï'avënement d'Edouard VIL

.Mais il. est: des titres qui appartiennent de-. naissance .au fils. du Roi et dont .est investi de drdtt fils du prince de Galles lorsque celui-ci hérite deJa couronne ce sont ceux de duc de Gommai!, duc de Rothesay, comté de Carrick, ~baron de Henfre~, sejg'neur dés Iles et prince et grand sénéchal d'Ecosëe.

C'est poufquoi, des l'avènement d6 Bon père, le prince' Edouard a pris le titre de duc de Cornwàll, qui lui'revenait de droit,

CA)J~)E~AeR~pLE Le transport des denr~M pefîssabtes. Orientation,à dohnM-à nos efforts. Manqua d'thM:àti~e des producteurs fràhcà:s.

Depuis que :leaiprogrèa.de~la.:sçienee;et les transformations.économigues ont bouleversé dé fond eh comble les conditions d'approvisionnen~ehtdea grands marchés européens, 16 tranc .international aes denrées périssables a. donné lieu a bien des discussions.

Un marché,én effet, n'appartient plus aujourd'hui au. producteur géographiquement le mieux placé, II est à/qui.sait le cqhquérir, à celui qui, par lajraptdité et;la bonne organisation de ses mdyens de transpot't, a s~ mieux sup* primer'la.distaïK~ë.

Nousj'~vons vu à\nôs dépens. > II faut donc nu fjeh. négliger pOTir renseigner les .intéressés, sur 1~-situation :de ce Commence spécial.' C'e~t ce qu'a tehté,de faire un homme particulièrement bjen place pour cela, M. Bloch, ingtêhieur eh chef de la Compagnie .d'Orléans.. ,f)ans"~)ië étude'fortéthent documentée, il a tracé le mou.venlent des itnportationg et des exportations de ces denrées, dans l'eëpoir que, ~Uf un terrain bien dénhi, lés eHorts seront enjeux çLiri~s, plus ntUieme~t Goordpnhês.. Le travail de M. BIoch corrobore-les conseils gué nous aVons déjà donnes à ~Mtte plaM. II apporte, en outte, des précisions que aeù~ un speciàUste,étaitenjnesuredefoufn)r. Quelles sont la nature et l'importance des besoins auxquels il s'agit de pourvoir ? premief point déterminer. Une fois fixé & cet Égard, le producteur saura l'orientation à donner à ses efforts. Lea denrëes périssables les plus demandées parmi celles'qui.intéressent l'agriculture sont le beurre, les ceufs, les viandes fraîches, les s 'volailles, lés leg.umeg et les fruits. Pour les beurres, une prCunere constatation s'impose l'iinportahc~ du marché anglais, par rapport au reste de l'Europe; En ces dernières années, ce marché repres.ehte à lui seul un tonnage quatre ïois supérieur au tonnage global des autres pays importateurs (2i3.800 tonnes contre 53.300, rien que pour l'année 1907). A côté de ce prodigieux consommateur, l'Allemagne suit, au point de vue de l'importation du beurre, une m&rche croissante régulière. Est-ce ~'Fra~ce~leur voisine immédiate, qui bénéficie de cette situation ? Hëlas non. Notre! exportation baisse l~s. grandes marques, seules, se' maintiennent et, si nous n'entrons pas tésolument dans 'la voie de la fabrication industrielle, nous perdrons nos dernières posi.fions.' .~pur les ceufs, même constatation. L& encore rAnglëterre.ÈtrAIIemagne détiennent le record de la consommation. Jl est à remarquer toutefois que le .chiffre des importations a partout'

aug'mente } jen lFran.ce:notammeDt, au cours, de

ces dix dèrniÈres années, le tonnage ~pi).)â que doublé. La.plù~~andeip9~ie:des~ iiit pr-. tés provient de$ pays balkaniques et-de la tur-

~.quie.'

i-A'

Si mainténant.nôus.jetons Mn.coup d'ceil suri le tràfiedes\'iandes~r~!che~'ainsi que sur celui d<&s volailles et du gibier, la constatation s~ra la même. Pour la.viandë fraîche, la consommation de la Grande-Bretagne est..hdrs proportion avec celle~es autres 'peuples. Alors que' les nations du c.ontin&nt montrent un juste souëi de la. protection: du cheptel national.TAngleterre ouvre larguent, ses'por~s aux importateurs de tous les points du monde, et dame, l'Angleterre' 'est'le pay~-dës ~angeurs~dë'TOëbif' f~ En ûe'qui concerné les \'olaines'6t gibier, l'AUëmag.ne -marche de pair ~vëc rAnglëtèrre. L'Autricnë'Hongrië,' !ë& pays danubiens, l'Italie sont ~cu'M principaux' pourvoyeurs. On serait tenté de crçn-e qu'a de telles distances/on fait. surtout dëB'envoi$ de. Volai~ëà môr~s. 'Il n'en; eët nen la~-olaill& vivante ~prédomine, malgré la dépréciation que comporte ce irnbde de trans port. On ne~ut.aitHbuër~cette facûn de faire e;u'à rinsufnsanc~ actuelle du matériel ~Ngoriîique.! -Prenons mMht$ï!ânt"Ies. chiffrés concernant 'les legumes'et I~s friuts.~Ici~enGore, 'nous trouyQns..l~Angleterfè et~l'AHemagne~'au pr~iër t'ang'de'1'importatioh) Notons toutefois un certam mouYement de j'ecul de la par,t de l'Angle~ tert'e, alors.qiie'Ies besoins de l'Allemagne aug'- ment6nt~e jour~h'jpur.: Mais~en ce qui concerne les légumes frais,' un-nouve:aumarcM~oit actuellement sollicitep~ no~'e~tiéntion c~est}a~Suisâe..Hypnotises par~ Ijps. débouchés, si intéressant (;iai.Heur$, que nou.5.fpuvm~Ja eonsom avojtS négligé 'ceuX-.quenQus offrent. Ta/Stiisse. e~J'AIlemagne, et nous/avons .laisse TItalie y prendre u~e place qui~pouyalt être nûtt'e. j En r~yànclie, pouf l'export~tioh ttes {rùi~ ,1 nb~s demeurons 'en ~onnû posture.' 'Les chif. ft'suivants l'attestent. En i9p8, nos ~n\'bis ,1 seront éle~â. a'141.000 tbnhgê, soit une au~ me~ation' de %7.~00 \t5nnes sur le r.éë.ultat 'dë; 193~ et de ~.jëOtonne~sur~Ê .tonnage movëh" dël~pér~odeq~ ..1~-190'y.~ta'preF-. ponQ~ranc~iaé;nos fruits,sur .le mareh~ anglais est ~~n.c .mG~t'est~bIe~ll.faut ~n pxc~p.tef toH?' t~fos~les raisiBS ~t l~s pçmmps, pour~esqueis' nd~s?n'on6~às siv'pous~Gonfôrmer~~ ~ue=: ~.t'ënces de îio~pisins~ G:est -ainsi" que .nous' n'.&le~r' offr.~n~q"ué '~ë~'faiëin~ pMU !finë~ ~'ailleurs .~Tes"daiicats, m~is.pcn a.ppi'eeiÉs dë~ l~uU~c6ti6'du.~ro}t,a~ yaTnt~pian=~- tueuses a ~ro~grains~ies/ ir `sôient, .rëch~eTchë?s<-GônsêQU~ne~uc tourni~sons à l'A'b~létër~~saa'tonneâ-'dë.~i~n~ et rESp~ne

.~h~~re.~6~

Hugh GtMss

'0p~ beaucoup parl~ ~nut.pxoiiqiM, la, baiiane, fait.d

fanpeea aux frutts du continent, ~ef.~engbuement

jpM~irpré.jud.ice~ no5 Jruii~s.? N<in. L'A'ngi~-

;i€rM, i! est Yrai,'tohsonime aujourd'hui d'énor-

mes quantités de ban~nes-.ét ce fait n'est pas

~trangpràla.~crpissâncedes-import.ations.dont

nous parlions plus haut~ihais il Mssoft., des sta-

tistiques des~douànes anglaises, que l'innuëncë !de ~fruit -nbuv.eau ser f&it surtout ~entir;su.r le trafic des ponÙBe~, dans lequel l~Europe,:ën ge-: héra~ et-.la France, e~particuli&r,ne figurent que pour une part;insigniûa.nte. La vcgue:delà banane est donc &ans.'rëpercus5ion :sur. le mouvement de notre'ëxportation.

i

En résumé, le producteur'français manque -d'imt.iative. Il ne-rSait~pas appro.prier ses-d&n- .réës.au.goÙt de la, clientèle étrangère. Qu'en'ré~

sulte-t-il;~ .C'est~ue noijfs~cohservonsjlà.supeno~

ntepouTle.s.pr9.duits:pr6venant.dipectément du s,p!, pour ce:ux qui,ti~entjeur valeur de la quaHté.mêmei'd&.<sôl~Jës fruits, pa.r exemple~ ~p'out'A'u~ toùt&îois~ que';la nature a:it eu soin ~.dë les'cën~ormer àu'gdût" de clientèle étrangère' 'Ma.ts.' dès qu~l's'agit d'adapter un produit a~xf. préférence~ du~consommàteur, nous ne tenton~ pas le.moindr'e-~n'jort~ C~est ainsi que nous ayons abandonne lu marché, anglais aux Etats-Urns et au Cahada, pour, les, poi~nmes, et a l'Espagne

pour les raisins.

De'même,, pour les denrées dont la mise au point néc~ssiterait::un e-n'ort industriel, le beurre, par exemple, ou-une organisation commerciale, ainsi qu'il arrive pour les ceufs, nous~nous attardons a des,pratiques surannées pendant qu~ les autres vont. de l'avant, si bien que certains produits {rançais ne comptent plus sur le marché international

Sans doute, nos grandes marques conservent leu)" supériorité. Mais quel chinre. d'affaires re-présentent ces produits de choix ? C'est aux qua.lités moyennes qu'il conviendrait de nous attacher, aux qualités qui intéressent, la masse des consommateurs.. Corir a. un prix modéré des marchandises d'un type constant, voila quel doit être l'objectif de nos cultivateurs. Seulement. pour y arriver, ils devront recourir aux procédés sont d'inveption française et que nous procédés sont d'inyentio nfrançaise et que -nous sommes eauls à ne rious en pas servir! C'est donc avec-raison que M. Bloch conclut à la nécessité de vulgari&er en France l'éducation industrielle et commerciale des produc-, teurs. Il appartient aux peuvojrs publics d'en-' courager ce mouvement. Mais l'imtiative privée ne doit point' s'.en désintéresser. Souvenonsno-us dé la vd~He maxime «Aide-toi, le ciel t'aidera. M et h'âtohs-nous de.la. mettre en prati-; q~e, si tantest que les pouvoirs publics puissent' être comparés au ciel. Ch.BriUaMdetaujarditM,~

MAMM)EDK SMNCES; f Encore ta cotnëte de Hattey Avons-nous t~ vefs6 sa tjucue ?

M. le secrétaire perpétuel Darboùx annonce qu'il vient de recevoir .les rapports provisoires de l'expédition Gharcot. Il propose de les l'eh-~voyer à la commission qui avait été chargée des instructions a donner à cette expédition. i M. le président Picard, de retour de Rome,~il a'représanté l'académie à l'Association internationale des Académies, insiste sur l'intérêt que présente cette institution. Son caractère d'organisme international lui permet d'intervenir en quelque sorte diplomatiquement lorsqu'il s'agit d'une .question scientifique 'intéressant les nations en général. M. le président Picard déclare ensuite que, grâce~ précisétneht à l'As-; sociation internationale, la publication compléta des œuvres d'Euler et de Leibnttz est aujourd'hui assurée.

.A.

M. te secrétaire perpétuel Dajboux donne connaissance à l'Académie 'd'une note de; M. Angot, directeur du bureau'central météorologique, annonçant que les sismographes du parc ~àint-Maur ont enregistra hier matin, lundi, à 6 heures 3€ (temps moyen de Green~viclÏ), le début d'un violent tremblement de terre dont l'épicentre est a. une distance de 9,500 kilomètres. C'est précisément la distance à laquelle se trouve le/Japon de la Fr'a'nce. <- &t..A~got,' dans une autre note, déclare que,' dans la nuit du 18 au 19 mai, c'est-à-dire au moment où notre planète était noyée dans la' queue de la comète de Halley, il n'a pas relevé de modifications magnétiques extraordinaires, de sorte que la .fameuse rencontre si toutefois elle a eu lieu n'a eu aucune ihnuence météorologique ou autre.

Car M'e~ pas eer~m que la terre ait trayersÉ l'apfendice caudal cométaire le 19. En d'autres termes, la queua de la comète paraît avoir été rejetée en.dèhors du rayon vecteur.' C'est du moins ce qui semble .résulter des constatations faites à. Johannesburg (Tra-nsvaal) et que M. Baillaud a communiquées à.l'Académie.

De son cote, M. Big'ourdan a fait connaître le l'ésultat des observations faites a l'Observatoire d'Athènes, le jour du passage du noyau~ de la comète ~ur !e soleil.

Or, ce passage n'a été accompagné'd'aucun phénomène particulier et la lumière l'astre. du jour n'en a été nuUement affaiblie. Comme. Ijes astronomes de Johannesburg, ceux d'Athènes estiment que la coM~Myc de ~a g'MCMë ~<'?a eoM~/e ?'en(fa?'< MHe ?'ene~M/7'e a~pe ~f~e ïn~pos~Ï&~e G. W.

LES PREMIER

CoMÉoiE'FRA'<ÇAisî'Pj'emi~re reposent atiûh La F~itf ??)crMetHe!MC, pièce en qilatrë actes; en

v~ra.de'M. Miguel ~omaGoïs. q

de@ ~l. 'Aligu.el

Dans une sombre auberge de l'Artois, par une; e~royable nuit d'orage, ~e trouvent r~ums,.par un efïet de ce hasard heureux qu'on ne. rencontre qu'au théâtre,'les principaux personnages;

du'drame.

C'est, d'abofd, Gilbert,' un amoureux qui a' perd).! la rai&on~patce 'que sa '6ancéé l'a. abandonné, lequel'voyage en compagnie <iè sa mère, 1~ noble Régine, escorté de ~soh: valet Gobëlousse,

Gas'Gon.gascojinani.C'est, jëpsuiite, le chevalier; i

de Blancour.t, soriB' d'ofncier; de .fort.une, qui;

..me paraît avoir, compromis la. tienne, .au; passe-{

dix, et se dirige versHollande, pour. se re-; faire €h épousant u~e cousine éloignée,, ûriet' Ainstel, ûl!~ dùT)ourgeois Âmst~l, riche comm~; Crésùs, i-vrogne.comme Bàcchus, et gratid'amateur de tulipes.. ') Nous sommes au dix-se.ptième siècle, en cetteY période où la HpHa_ndô Était atteinte de la foliée tùlipiere '< Ma.r~tune pouf u't)e tulipe au-f. rait pu~ ~'écrier alors "plus d'un riche Hollan-

dais'. 'f'

Que se:passe-t-il en cette auberge, dura.nt~ette!

~Ùit sinistre. et romantique?

Régine sauv'e la .vie a. une petits Bohémienne; qut, mourant de faim. et de froide est venue 'cher-; cher asile sous le toit peu ho&pi.talier de l'aùbergiste Médard, lequel lui fermerait la.. porte' au'nez sans l'int.er\'eht}dh de la voyageuse"Spe-' ranza, -c'est le..hon3 ISe laTb.ohémienne, à ses heu- res tireuse~dë "cartes' et diseuse de~bohne aven~ ture, ~ure à. sa protectrjce qû~eMe ne l'pubitera jamais et lui .prédit un aVenif pl)Lts heure.u'x, taudis'u9 Régine :'récompens& d'un coup :'de

6ravache\~s;avancesplùtôt; du cly

valter de;.BIancourt.' .'t~ '?';

Et maintenant, nous voicl",a- Harlem~ sut la

~rande-Elace,"au ~milieu du' e,f vïen~- pittd-` rss.que. de la'-foule populaire, -~Hollanda.is ~u-. C-hËLpeaU à larges bords, Hollandaises sourian~s~ i

et fj'aïches, dont/le visage s'encadre du-boncet?

frison, 'à. -petites ai!-es~ cercle :d'ûr, -aveo'~es~

o.r~tUon's~de plaques ~lllpehÉs.~L~ décor ~St'

c}~ret6nBOlûtUe, la'îo.U~y groù~ Oh y patlë~

tulipes, .c~st'la.fgràve~r.éoecup~ .du mo-t

ment. Et aux;longues taNgs du cabaret sé.groti~' pent, devanMeurs~.hopes-d& g'rës, Ips bouj'geois

de'Ia \'ille de~isan~et.buvant:

Vah'Amste!plus.~iche d'entre eux; le per~

de la.g€ntiIle.Ga~t, c.uvêTnal s~ ra~e d'avoir ete~

battu: RULÛernieE~ohcours -de A tulipes', mais~I;.

s'urA~é dertuer mo~la.~ reyancitê." Il ouvrira' un~

encours, et~.celui~. aura la de sa .niM ~fiet~~veG ~dot as$.a~tie, _qu~ produira le pl~sf

~.eauBp&~im~dela~ieuraïamode. ?

~~ï- ~1~ est 'sëtiuisaTite, (rrietJ. Jau~

~0).r.<-aî~. 'rire &~x~3%vr~t :i

r v

&v€&e'(~aiT~r~rdde~s~yeûx~îëu5~~d

-de perv~nche'oùillée/qui'éclatent" d~n~'ai-

mable-mahce. Elle est exquise lorsque, formant la chaîne' avec 'ses:' deux compagnes -M~etjë et' 'Alida, elle s'efforce de 'rendrû. moins triste "1er pâle 'v!ëage''dë G.Hbert, que. sa mère- a amehé .à'

;HarIem, Gnet:, c'est Mlle. Marie =Lëcont€,Enp

~n' personhiSe ridÉalG fig~tr& avec t~nt de grâce, <.de, gentiH~sse,. de francise dans son clfaLrm~, rqùe son entrée, fut saluée d\in, murmure de !a .salle, ~jjë trio que forment MHes Marie'Lecont~,

,~Provost~ €t Yvonne Lifraud~st. assurément 'une

~.des plus délicieuse~- appaTitions qu'on puisse Grever." L'acier tout entier'en a pris', lumière

Joyeuse.

Régine, la'bonnè mërû, ~'cru rej'narquer qùp' ;.le pauvre, dément n'a, pas été insensible aux pe;-

tites. avances de .Griet~

Qui sait, se:dit-elle, le sourire de la doucé enfant, cesërait,peuMtre,radQucissement.au cuisant souvenir, le commencement de l'ouNi?'

'7. .J.'

Et la~ pauvre-mère se met en chassa :Ia decouverte de la. fleur'merveilleuse, celle, qui de'~vra.triompher r-àu concou.rs'dont~ la n~ain de '.Griet sera' la/récompense, ainsi que s'y/est. engagé.~on père, l'ivrogne Amstel. ` Maisoùlatrouver.~ette fleur merveilleuse~ 2 'Hélas tou.tes les tulipes achetées a, grand prix, ;par..la. mÈre,,qu~n~'rêve que le~salut~de sop enfant, tqutes 'ces'iul~pË~.sont' quelconques a' Elles n'ont rien de la, merveille attendue. Mais voici gu.e..IaProyjLdence,s'en:mêle. Speranza, la'pét]te'Bohémienne, 'qui à suivi~sa bienfaitrice, elle, aussi, est a Harlem. Et voyez, lejeu'du hasard,– de M l'amour et du hasard devrais-je dire, car elle aime sournois.ement'Gilbert, la petite sauvagesse– voila, que dans son bissac de nomade, il y a un oignon mystérieux, j 'un oignon qu'on~s'est transmis de père en fils, dans, la tribu. Il a vieilli, incogmto, mais nous .savons tous que~e temps n'a pas de prise/sur les ..oignons de tulipe, qui s'améliorent eh vieillis- /sa'nt, ainsi que les vins des grands .crus. Elle a.' planté l'oignon providentiel,, elle l'a, soigné, a.vëc une admirable .sollicitude, et, par recon-; naissance, l'oignon a donné du feuillage, puis'' une fleur, une tulipe admirable, sans rivale,'de coloris miraculeux, de perfection mîinie dans sa.forme.. Bref,: c'~st, la « ,fleur merveiMëuse celle devant laquelle il faut s'incliner, la « vie' torieùse "enfin .Cette fleur, elle.l'apporte à sa. bienfaitrice, faisant violence a, eUe-même, car elle comprend: tqu'e]le doit conserver pour elle seule, dans le secret de son cœur, son.amour sans espoir. TtC chevalier, de Blancourt, aui veillait, dan~ ,1'cmbre, ne se.tient pas,pour batt.u.Si .Gilbert triomphe au concours, sa proie lui échappe, les bons norins de Van Amstel s'enfuiront deva-nt sa main tendue. Alors, par-ruse, il s'empare de la tulipe et l'écrase sous~sa botte'ftriomphante. Mais, naïf chevalier,'ne comprenez-vous pas que l8 Gascon Gobelousse est un honnête Gascon, qui ne trahit passes maîtres ?,Sous le capu~. chon d'osier, .il vous .a livré une vulgaire tulipe:. et non pas la fleur merveilleuse. Vous avez eu~ tort de prendre de confiance, et de ne pas véri-' fier. Mais quoi. il y a un proverbe qui dit '[ On ne saurait 'penser è tout Voilà donc Gilbert en possession de la fleura certain de l'emporter, de vaincre. Il se sent des scrupules. Au fond; bien au fond'de son cœur,, .Griet ne lui.a pas été insensible. Peu a peu le .nouvel amour s'est infiltré, et s'il n'a pas entière effacé.Ie souvenir de,l'autre, il l'a déjà rendue moins.cruel.: ".Je ne veux pas tenir Griet par~ ja force d'un droit, dit-il, je ne veux la tenir que d'elle-même et c'est à Griet qu'il offre la tulipe, que celle-ci-va lui rendre) bien vite, comme vous le pensez bien.

..Ceci est le dénouement, et il est évident que la. pièce finit là. 'L'auteur l'a servie d'un 'dernier acte, à peu près inutile, mais qui n'est pas de" plaisant, 'i! n'est guère que de mise en~ scène, c'est le concours de tulipes, .avec'cortège, aux' sons des fifres et 'des longs tambours, battus à :uns seule~baguette. C'est plaisant. au; regard, amusant de détails, sans ajouter gi'and chose à l'intérêt de l'action. Nous savons, d'ores et déju. que Gilbert, guéri de l'amour, par ramour, épousera Griet Amstel, .et que le chevalier de' Blancourt, un troisième rôle à la manque, en sera pour sacourte honte et devra, aller chercher fortune ailleurs. 'r.

.Le,premier acte, qui estprologue, tient. ,de; 1~

!ormé romantique, ainsi que nous t'jëxprimions' plus.haut il a m&me parfum d'Ambig-u; et on~y' .tire des coups de pistolet, mais il est intéressant, comme contraste, et nous fait connaitre les për-sonnages.Le dernier.n'ajoute rien à la pièce, et n'est qu'un hors-d'œuvre agréable. La. pièce, elle tient tout entière dans le .second et le troisième acte, et j'ajoute qu'elle est charmante dans sa .naïveté dramatique.; Pièce; de jeunes filles, soit I Pourquoi pas, d'ailleurs, est-ce donc un blâme, une critique ? Il me semble, au contraire, que c~est un éloge, et ça n'est pas le moindre qu'on en .puisse faire. Elle' a' uhe~ grande qualité, cette pièce, celle du coloris, et son allure e§t de réel pittoresque. Le dialogue en est délicieux, de forme exquise. Si,.deci:delà, le vers, toujours élégant, y ronronne un peu -c'est inévitable de ci, dé-là, aussi et- à tout instant, jaillissent des couplets, adorables, tantôt émus, tantôt joyeux,- tantôt héro]!'ques,:c.'est comme .une volée d'oiseaux harmonieux, qu'on "a plaisir ~suivre, et c'est un régal qui devrait. suffira, a lui'seul, pour faire le succès. La Comédie-Française s'est mise en frais et a donné âù'taMëairùn'cadreiinement ciselé, quatre.~décors 'bien plantés, amusants au regardj' ¿ des costumes curieux-et des -accessoires, éton-. nants il y, a, lacune théorie de tulipes, a faire envie à'Imposition, d'horticulture. L'interprÉtation e~st 'du plus bel ensemble. J'ai dit le, gra~d ,et très mérité, succès de~MHe Marië.Leconte,i .qui est .vraiment nne corné-

.dienne~ors d~ pair. ËUë.varie, aveefUn art

innni, les ~gures de ses-créations,, elle .n'est i jamais la même,,jet reste toujours .parfaite. Sa voix'çhaudet ;~u~ -timbre .inaltérable,, ;faif'son-' ner.~é.vers,,dans toutes ses.nuances,.aucune~ intention ne lui échappe,: et,' tout; prend,,avëc elle une .indicible.~iraîcheur. de jeunesse, de

.chat'me~tdëeounre.

MUe Géniat, très en progrès,, a rendu avec i -beaucoup de sincêrité-et d'ëmotion;le Tôle de~la Bohémienne Spérahza et Mlles Provost-et';

.YvdnrLe.Lifraudjsont vraiment séduisantes "de"

jeunesse et ..de grâce,.dans les~personnages.de

Mietje et Alida, les deux compagnes de Griet.

'M. Georges.Berr, comédien soigneux, fin et < spirituel,, gas.conne avec. beaucoup d'arrêt .de tact le rôle de Gobelousse,;le dévoue serviteur il a,dit avec une exquise;maîtrise:de comique~ le joli-.morceau .de~l' <' .accent. H, qu'on: eAt bissé! avec pla~sit'. et Groué donne.un. curieux type: d'ôppositlôn'.dans je: valet Romain,'dogmatique' t ~omme il convientà un hommedu Nord. Siblot' esquisse, en toute bonhomie, le.type-de Van Amstel, l'affolé de tulipes ~alors ,que -Raphaël. Duflos prête son savoir-faire au rôle du chevalier de~ BIancourt~ qui est de dessin médiocre~ Tous Jes .autres rôles, jusqu'aux: moindres,; sont tenus, mais..je .veux citer; encore Alexandre, qui Teprésente~e grand peintre Franz Hais, .a qui-.échoit, la mission, agréable de dire un .couplet très éclatant sur:rapt..du Portraitiste., TéiuEDuquesnd

~e~iiJe~

î ACTE < S~ENE DEUXtEMp

Go&e~oussë j(Georges Berr), !t?!~c!et;prcfenfcL.-Të~![fe p~r ~us grcn~ cf6s /:asord:sttr 7a p~ace Je ~or-i ~.ep!, pu i7 est~'iM-cy~c ~s t7ta;~es~ect!ts ~ue~'MEs~na/s, UR Mire fo~ ~ft TMip <fe Romof'n. C~jBomaM,nottfMtt ~cn:t en Ho~an~, ~emeu~~fe~o~ue~Mend Go&~ottSse prononce defan~t:t!etnot'dëiu!;oe/ .QpSELO.UME, reMar~Mnt !a,s,~f;e/aeïtort,tfB.J?oma~ J'aU'air d'être iesptunx.et vous l'air d'~re,Œd.!t)e. A~~ns, monsieur Romam; a))ons, îgnorez-spus Que~'ous tombez ici dans uCL pays de fous?. Qu~~dessus 'de: Vier~Bt .du Chnst,bn adore. Sur ;dës autels îieuris Cette'déesse :f!ore~ Que'des murs dë\'HarIem a l'hprizo~ lM~ Toût~'espace'.aperçu~ n'est .qu'nti~vastejafdih? ~J' Et qu'a perte de vue, ondulant sur.leurs stipes, Ge.ne.sont que tuiipes, tulipes.'tulipM?. Pour 1& tulipe ôn.a. de l'adoration,

Ua;amouf.:qu[conHne~l'aberrattOti, \i

.Et qui d'un.bout .â'l'aujtr.e du pays. dérange.

Le .eerveau (des sujets ~c;'Frëdér!ca!Orang~!

Du plus ghe~ Sës.vaiëts au 'plus richë;~OtirÈe'6.!s~ Du:p1us gros~cbmmerçant ~u'dernier viila~eois. °'

Pas'uhqtji'ne~ubjss&MlaTyfat~e''

De ~ettë. 6~ssion~mu]iMMaj)!61'~ ?' ~3 '<

'Gh'acun 'd'eux\ dans-/reEpou' ii~t~

t~P~pare. s.on terreau, fait.séchep~es caieux,

.~t~u~ë~vide~.Nt~eit!ë~n~ *t~~réponse quiïSorfade~KcmUre~t du mystère! ~x~g;

'IlFs,agd~lg:lénir dés~pp~tp~ciâ£eùrs~. w

"Më. J j i +: hF> Jtn :1·5

Le htretneotHestë de Roi des amateurs! '+~

"Ç'est~-qu! trouvera là-tulipe pius.rare,

.Le spëcimen parfait,, sans faiblesse, sans tare! .'Pour -l'amour'dé~cés~ fieurs,"î!ëgmatiqùes 'et 'doux, ° .'Les'agneaux-hollandais sont revenus'des loups! Et l'on spécule, on'perd Jusqu'à'son liard ultime! Csrtatns~~le~a))att.ent~

Et. présidant~.û~eù~e tous-ces'Obsèdes, ~Semblant~nner i'exemple ~ux.;pays!'possé.des, (M~Mf~ë~a~ee~e~e~~ i' S'érige, tout en.haut de notre basilique~

fLe' Mlbe monstr.ueux~e J'oignon~'symboliquë' Tenez, ;c'e.st:justeme_nt~ipi~e:-Mnde~-vous, La place, le comptoir,, le.marché de ces tous; C'est eti buvant dans ces différentes tav&rnes Qu''i!sëetiaAgênt entre. eux"toutes.teurs.ba!!verûës~ Restons là dans ce coin d'où seront Épiés. Les 'propos surprënants de ~nos fous' tultpiers. (~ss'asMten<,att:.premt'pi'an,c.gQue/:c. P~fani~eftf .iC~ferMh'o~, <feï~j&ufMrs.~oHan~ai's ïe soTd <~a6Ms & ~ro;~ e! se me~en~a~Mr~r.) PRÂKC01S/ a tV~em C'est par l'ampur des ~)ëurs qu'un peupte s'émancipe! -GOBELOussE, e'part, a Rometrt

Je parie un d!cer qu'on :<'à parler, tulipe' FLORENT, sufM):ance<;s'a~rëssani'.e.<fM bttfettrs o<MHeS Vous savez ee-qu'a MtConiêtiuEVoget?

FRAKÇO:S

H6n.

.FLOREUt

PouruDetu)tpe,une".G)oireducieî'),

A Lambert van der Horn il a donné sa ferme, Avec le bâtiment et tout ce qu'il renferme! l

FRANÇOIS

Pour )a C!o!re Bùcie!))? Je cHangerais bietî, mol~ Mil!e~< G!o!re du ciel ') pour une '< Viee-roi l. WiLLEM VAN HARLEM

La f( Viee-roi )* pour qui Hans, la saison derrière, A donné son mouHn au tord de la rivière, Avec son }ardinet. et je ne sais:p)us quoit 1

PLORBKT

J'en aura;s fa!t autant pour cette « Vice-roi xi Ah la be)!e tulipe! Oui, {e revois encore

"Son caiiee si pur, nettement.bicolore, 'Ses beaux pétâtes'droits dont !e fond Nanc de !ait Finement se'jaspMt d'un beau brun vtotetL.. Ma foi! {'aurais donné, moij pour cette tu!ipe, Ma femme' Et p)ûs encore,! j'aurais doncé ma pîpe'! (7<s Mènent ett nan~et &o;rÈnt .Sttrfteni Frans Hots ~ue~oncccne:ne.~ar~esacc!omattons.)

Boniourl FRANs HALs, tcur seD'CK< ta maf)t

Bonjourï

FRANçOts Bon!6ur,'Frans Hais'.Quoi de neuf? 7

:FRANS.HALS

..Oa; m'apprend

Que Rubens a !a goutte, et-que ce mat le rend Incapable de peindre.

FLOREKT

Oh! pas (l'Histoire triste 1

(~s ft~ttenf e s'asseofr et, te ta~mer Ment prenafë commence d'Me,houM'He tournee~e. chopes.) ROMAIN, e gattcfte, a Gobe~ousse

Qu'est~eque~elut-ia~ ` COBELOUSSE, avec un pëtt ~e mepn's

Frans Hais? C'est un artiste. Un, {oyeux compagnon! Buveur et turbulent,

Mats qut,tait portrç'iÉ.,pas mal, ét ressèmblant.

Mais qui.fait Je portrait pas mal, et ressembiant.

!1 vous campe.un bonhomme en moins d'une tournée. WtLLEM,a<frotfe,]'on!afttpoyer!e~awrnfer

~!on'non'non! c'est à moi!

FRANS HALS..

Mais non, c'est ma tournée''

PRANÇOÏS f

Ah quet matheur, Ffans Hals, que! énorme malheur, Que tu ne sentes pas ]a beauté de la fleur! Que! dommage qu'au lieu d'un barboui)!eur de types~ Frans Hals n'ait pas été le peintre des tulipes! I Si tu peignais nos fteurs tu serais immortel,

Comme:David van Heem, comme le vieux Breugne!, Mais diable qui veux-tu p)ùsftard qut s'intéresse Au portrait d'un bourgeois, d'un gueux, d'une pauvresse, D'un archer de saint'George ou de saint Adrien? Mais de tout ça, Frans Hais, il ne restera rien! l FRANS HAUS, peftStjf f

Et mo! j'aime à penser qu'ayant bien,su le peindre, J'éternise un regard.que la mort dqit.ëteindre! Et c'est encore un peu de quoi s'enorgueillir,

Ne pouvant pas créer, d'empêcher de mourir! Peindre la chair vivante, et l'oeil avec sa f!amme, Et se dire: Frans Hais cet homme et cette femme, Parce que du néant tu les voulus sauver, Continueront toujours'de rire ou-de rêver!

Grâce à toi certains gueux à la sale guenille. Quand les vers rongeront tous les rois de Castitle Et tous les grands du monde aux linceuls 'brodes d'ofj Dans leurs cadres de bois s'esclafferont encor! L MiguelfZamacoïs

fnnpMPP npc Cnpptapioc

bmilliM UM t)~t)MUM

'Aux ITALIENS <' Caruso n dans Paillasse A la soirée d'AMa a succédé la soirée de Pa~~se et de .Çau~Meyta,

.ce fut le triomphe de Caruso, que l'on ne connaît pas, que l'on ignore; que l'on n'a jamais entendu si on n'a pas assisté à une représentation de Paz~M~e lorsqu'il chante le principati rôle. Tout ce qui a été dit de l'illustre ténor, les épithètes les plus enthousiastes dépeignent encore bien mal l'impression unique que donne Caruso dans ce rôle fait, semble-t-il, à son image, et où sa. voix, son jeu, son tempérament dramatique, se fondent dans le plus saisissant ensemble qui se. puisse imaginer. Est-il besoin d'ajouter que la salle, soulevée par un indescriptible enthousiasme, a fait à Caruso un acoueiMriomphaI? e? .e 1~; 1

.H a été rappelé douze 'fois. Douze fois le rideau .s'est relevé et abaissé Garusô s'est ih-~ eliné confus et reconnaissant, ~'est une soirée' qu''il n'oubliera pas. nous non p.rus. Cette .ineffaçable impression s'est accrue d'un autre élément dé.bea.uté le baryton Pasquale~ Amato cHantait dans Pa:Ma~e le rôle de Tonio sa voix, on le'sait,.est une des plus belles, une dès-plus pures qui'soient au monde son jeu, n'estpasmsihs:attacha.nt et il.a. soulevé dans Ie~ prologue un'tonnerre'd'àpplaudissements. Avec ces artistes hors de pair, on a, admiré Mile BeIIa Alten, une exquise Nedda'dont; la voix est d'un~ timbre ravissant M'M..AngeIo Bada.et Alfredo' 'Casta,; enfin l'ex6ellen~ chef qu'est M. Podésti. Ca~aHcT'M ~M~ea):a ouvrait la'soirée. Con-. duite avec une admirable .vigueur par le maître Toseanini, l'œuvre de P. Mascagni a été traduite d'une manière insoupçonnée par d'émi-. nents artistes Mme Olive Fremstàd, tout

fd'~bord~s~,Santuzza~suprêmemeat:drajn.ati-

que, une chanteuse .dont on sait l'exceptionnelle valeur M. 'Pasquâ}é Âmàto, dont la voix magnifique et le rare talent scénique ont donné un relief extraordinaire au personnage d'Alfio dans Turridu,jious ayons assisté au début très attendu" du ténor Jadlowker,,dont le succès a été considérable et très justifie par la beauté de sa voix et l'ardeur de son jeu. Mme Cécile Roma~– -Une voix'maghifique–'ét la charmante Mlle Maubburg complétaient cette distribution hors'de pa.ir. R. 'S.?

\-M'KOUSKIETZdFE'DA~S;<tHAïs.n Après: nûus avoir j~véIé;àl'Opéra-Comique, une délicieuse Manon– et d'une grâce si prenante MiJe Kousnietzoff'nous est; apparue,. hier-soir, à l'Opéra, sous les traits d'une Thaïs infiniment séduisantes" C'ëst/en~Set, dans..<;e,rôle.peri)leux entre

Ions ~par toutes le~'n tianp~s.subtiles qu'iî com-

~p ,f q po~

porte;redoutëtble aussr'pa.r lès prëcëden~s "qu'il évoque, que la. grande cantatrice russe a voulu inaugurer série représentations que MM. Messager et, Breussan Font invjtee à.venir Oon- ner~ur notre première ~ène~yrjque.' i. MHe KousMet-zon! a~Tnërveilleuëement compTis':Ie chartne pervers, mystique' et profonde-, ment troublant; de l'héroïne d'Anatole. France 6t''dj&;T\tâsse]n'ét~ Son intërpreiatioh de 'ce .rôle atteste la puissante personnalité dë~'artiste, sôh~ intelUgenGe .dramatique servie 'par une voix d~uneincomparaNe~pureté et d'u~e surprenante

intensité.

Son suûcës;aLjé.tê:consi<jerable :,I~sàne/aFehiçpmble, !lui a. Ï'ait des~vattons.iChaleuBeuses, auxquelles: furent associés M. rBieImas, l'inoubliable_créat6ur durôled'AthanàëltM.Bubois, Mlles Laute-Brun et J)urif,M..BeIpbugët.Mlles Goulanodurt et GampredQh, dansée' diverttssem~nt, ,'MII~ Zamuell~ ;"t'exquisë"ëtoilp, dont

les variations. f].trent~bissêes'pat'Ie;public eh--

~tliousiaë~. ~y' .A~th~rg'RejaM~ 8re.``

X mière l~p.r'ës<T~àtid!i de Jac~MM Âëra~iècetÊn t trms actes de M.~ Antoine BUesco -'?

'A~n ~~MM~L~.uTy ?

~~Sqbaït'oït M: -;f .uv~gaMe~

-Mi~~

'"RQUiter -.c.nier

Tei-mand. R.-L.-J~.)g<'fa–

La. Roche-Trêmoeu!] Marquet Truin Blo'ncteau. Henn -C!m~bIyAjn~dee -M' ~Atfroy'n-~ ~e,photographe Taldy 'Lp-marquise.a'AroM~ MmesVera'Sereine --GhurëdeTermand- S\'Me M&damede.RamçUe M.HervvI .Com~sedeMurols A.Breitner.

.Ln'nbf-? .-t c~ S M~à~genson'

C'est aujourd'hui, A deux.heures très précises. a

!a .salle des. Ingénieurs civile, 19, rue Blanche,

qu aura lieu, sous la présidence de M. Jean Riehëpin. l'assemblée générale annuel~ des'mëmbrës sb.Clétairës de la Société des auteurs. et compositeurs

'dramatiques. L

M.-Robert'de'Fiers, au nom de la/commission, présentera le rapport sur les travaux de l'ann,ép: A l'ordre du jour Vote du rapport delà commission; Modifications aux statuts Questions diverses Election de cinq nouveaux commissaires, qua'tr.e auteurs~t un compositeur, en remptacemënt~e MM. Gaston de CaiMavet, Paul Mitiiet, Jean Rîëhepin, Pierre Wolff et Gabriel Pierné, membres s'ortams et non rééligibles avant une année. Aujourd'hui, a une heure et demie, au Nouveau Théâtre d'Art (théâtre des Arts), première représentation <)e Mo~fe Mn/cmp~, farce lyrique en un~acte, en vers, de M. Félix Gandéra, et de MarMM ~amctt, tnâgédte;eh.trois actes, en vers, de AT~fred Mor-

4iër.

,Ge. soir aura lieu à l'Opéra la seconde répéUtiofr d'ensemble de jL(t DamHCtHû~ ds ~aMst pour la lumière et les costumes. On sait quelle mise en scène considérable et difficile exige l'œuvre de Berlioz qui comporte cinq actes et h'eizo décors et deux divertissements, celui des follets et celui des l'oses. La répétition générale est toujours fixée au 39 mai et ainsi, dans le courant du même mois, l'Académie nationale de musique nous aura donne NaZowc dans les brillantes conditions que l'on sait et' .aura fait entrer & son répertoire, avec beaucoup de luxe et de soin, l'oeuvre capitale de notre grand Berlioz..

La répétition générale de 0<t ?M &aSMïe pas aucc FaHïoMr, à l'Opéra-Comiquc, est remise à' samedi prochain, à une heure, et la première au lundi 30 mai. La matinée annoncée de La T'oses au. profit ctu monument de Victorien Sardou et qui sera donnée avec le concours de Mlle Géraldine Farrar,. de MM. Scotti et Léon Beyie, sera donc reculée de quelques jours. Elle a été fixée au mardi 31 mai.

x

.Vendredi prochain l'Opéra-Comique 'donnera -une

.représentation de C<n"me<t. Le chef-d'oeuvre Bizet -aura pour principaux interprëtés 'Mlle Mérentié~M. Léon Beyie, Mme Vallandri, M. Allard. Mlle Ré. gma Badet dansera Lcn~enneHca. Ce .soir, aux Nouveautés, 50' représentation de LePhën~ctdeOttpM~eBebc.'

'Après la clôture de la saison lyrique actueUe, il est dans les intentions de MM. Isola d'organiser euximêmes-une.saisom estivale et non pas, comme .'le. ..bruit s'en est répandu à tort, de louer leur salle du théâtre lyrique de la Ga!té. Des pourparlers ont été engagés à cet effet, mais item de définitif n'a .encore

été résolu.

Au théâtre du Gymnase Pour donner satisfaction à dé nombreuses demandes émanant des étran-. gers de passage à. Paris, M. Franck vient de pub'Her une petite brochure contenant l'analyse .de La V~r~e ~!e, scène par scène, en anglais et' on allemand. Cette brochure est mise gratuitement a la disposition du public au bureau de location et le soir au contrôle. Puisque nous parlons du chefd'œuvre de M. Henry Bataille, disons que la cha. leur n'empêche pas Lft Vterg'e ~e de faire salle comble malgré ses cent huit.représentations. Le Manche de MMe Beu~ematM, l'immense succeai de rire du théâtre de l'Olympia de Bruxelles, sera: donne au théâtre de la Renaissance, le 6 juin; à neuf' heures, en repétition générale. Le 7, première représentation. La célèbre comédie bejge de MM. FonBon et Wicheter sera jouée par tous' les artistes de la création et en voici la distribution

AtbertBeIpîerre MM.Ben'y

Beutemans ,Jacques

Séraphin Meulemesier Merm

Meu)emester père Ambrevitle DeIpMtTepere Frëmont

MosLin(~kx Myto

IJeseerétaire Mànuont

Le'irésoner Vitt-y

..tsidoreyahCeùlebroeck Dm'al. ) SuzatmeBeuiemans Mmes Lucienne nNger. Madame. HcutemanB- Erenda- .Isabelle' \it.i'y O'ctavje Adriana

MM. André, jMissens, Lennac, Penninckx.. La location est ouverte dès aujourd'hui.

Nous apprenons la mort, survenue à Guebwiiier (Alsace), son pays natal, où JL s'était retire, d'un compositeur que tout Paris connaissait et affectionnait. Il s'agit de J.-B. Weckerlin, auteur de chansons et de romances qui eurent du succès. Il a. composé plusieurs petits opéras-comique.s L'Or~aHiste, Ap~es .Fomteno; Le~ BoucHM:~ ~e<on~ qui ont éM' joues au Tnc&tre-Lyrique et surtout dans les salons~ II a aussi reconstitué les partitions de Luili pour les pièces de Molière Le Stc~e; Le Bour~eoM ~e~hoMtme et Le ~fn!ade !ma~!HaM'c.

C'était un érudit et un musicographe distigué. H a écrit un livre, intitulé M!M<c:ama, rempli d'anecdotes et qui est intéressant à consulter. 11 laisse, comme compositeur, plusieurs odes, symphonies et oratorios Le~ Poèmes de <c[ Mer, L'htde, La A'm'sance, du C~M(, qui révèlent un tempérament de musicien. Ses travaux le désignaient pour le poste' de bibliothécaire au Conservatoire, où il n'arriva qu'âpres avoir passé par les échelons hiérarchiques. H l'occupa pendant de nombreuses années, jusqu'au. moment, où le repos lui devint nécessaire. Ce fut. aior&qu'il se.jetira, en Alsace, il-était~é te 9 novembre 1821. Il avatt donc tout prë& de quatM-vingtneuf ans. C'était une figure originale, un peu fruste, mais bon enfant. C'était un causeur agréable servi par .une excÊllente mémoire. Enveloppé, 'été comme. .hiver, dans un grand manteau, qui n(~ s& rappelle l'avoir vu passer dans les rues qui aboutissent au Conservatoire, d'où il ne sortait.guère cependant, absorLe.pour ainsi dire par des fonctions qui lui étaient'chères ? C'était, pour nous résumer, un véritable artisi~ modeste autant que laborieux. Il était surtout un brave homme. Au fbéatre-Apollo Aujourd'hui, à quatre heures Un quart précises, deuxième matinée de MUe Rita Sacchetto dans ses danses d'art, accompagnées par l'orchestre, sur des œuvres de Hsendel, Mozart, Lis~t, RUDinstein, 'Moskowskv, J. Strauss et Chopin. A en; juger par les chambrées qui se succèdent fous tes.soirs a t'Athénée, qut pourrait croire que Le Da;Me:M' iHcoHHM affiche aujourd'hui sa 175° ? ° Malgré ce grand nombre de représentations et maigre les grosses chaleurs, la vogue de la comédie de M..Tristan Bernard <st.'toujours aus.si vive et, bien que Le DcNscur MicoHHM soit la p!us ancienne des pièces açtuetlement en cours de représentations, n'en conservera -pas moins, encore.duraiit'de4bh-

gues semaines, l'affiche du théâtre du square de

t'Opéra. l'affiche d,U

Nous lisons chez un de nos confrères du matin la note suivante, qui a un air de mvstër& « Nous croyons savoir qu'on appiaudira )a saison prochaine, sur une grande scène du bout&vard, une pièce d'un' des plus grands poètes du siècle dernier. M.:Jules LemaUre aurajt bien vourn sp charger d'apporter queiques modifications à cette œuvre qui n'a~ jusqu'à ce jour, jamais vu les feux d& la.:rampe'i' Levons le voile le ihÉ&tre''dont:Jls'agity<c'est la. Porte-Saint-Martin le poète, c'est Alfred de.Mussct, la pièce, c'ost .Anfh'e de! SaWo dont te principal rote serait probablement tenu par M. Lucien

Guitry.

Mais où notre confrère fait erreur, c'~st quaj~d i! affirme quecettepièce n'a. «'jamais connu les feux de ]a rampe )' :~Hdrc:dct S<ïT<o été joué à la.'Gomédiè-Françaisë en l'annéR ISM, sans~ grand succès d'aitleurs, car te drame d'Alfred de Musset 'n'eut a)ors que cinq représentations 'et n'a.jamais été M- pria depuis. En 1848, le rôle d'André del Safto'~ut créé parie comédien Geffroy. ~ous avons dit que M. Edmond Rostand,' l'jnustre auieHr de C~mntec/e)'. dirait un de ses poèmes à la matinée que donneront, te 4 juin, les Associations des. secrétaires généraux-etties courrieristes'.de f]]é.ltre .au 'théâtre Sarah-Bernhaj'dt. ïndëpenaammeht de cet inappréciab!& concours, te comitc~d'ot'- ,` ganisa.tion s'est 'assuré celui des plus grands artistes français et étrangers présents à~ParJs. 'Oh peut dès a présent louer au.théâtre Sarah-Bernhard~. La répétition genéraie de Ba~aG~d'B~a)! pièce eh quatre actes de .MM. André 'de Lord6\et'.Pierre Cha.)he, d'apl'ès~e roman de'M. 'Edouard Quët).

correcMb)!, sera, donnée à FAmbigu le màrdi'SÏ tnâi,

dahs;j'après-mi.di.- r.

Première rep)'ÉS6ntatipn 'le mercredî'soir Ï?;}mn.'

x

:.Kous.re~evons!a!6~re~suivahtegùi,repbnd ;cellev: que; nous âv.ons puMiée de~M. "Gauljert;:

MonjC&Gt\;confrcre, ;y.: i

Dans son'différend avëo 'MM. Andrë dG'l~orde ~t.Pierfe

Cimine, n pi~pos.de, Bne'hes d'tn~n~, ~<Gaubet~me~

met ça c~use' do tette lacôn quc'je suis c6ntrajnt''Ë8~.)u' `

rcpbhdrc. .i-

'~Aprtfs àvNr ëprit~~M ûVùi~ftout 'Heu ~e"supp~f<

A~ Ë'A n'epax~t P~ pade. rid~e:.dg ss'~aMja ~)S<c.~=


TM<tMt)'!i&serait..veMie a p~'sdtin6t't insinue Ûans sa v ,'IettM~uN'.ee-par. le Gcu'<s'.qu~'jë rai plagie, sinon.~ -pitlÉ,-qu<eii't<'Mt:c<is-je më'sefais approprie une docume)t;:ia):bn;qùi serait son.Men'exclusif..<Ne dit-il paSf en :~ffet,. que tes ~tài~sur.atie!s..s'&ppù!e..Ë~<CoM'~e<M&iu- raient.eto .rapportes par lui dans une sërie d'articles ? ` .'QueM.~aui~rt aitje ~nonôpôte des/idees~/ceci ,de\'ien-" dr~etibëtr~ùd'jourde natoriëM publiqt'Le.Af&is.re~pece d'aamîrMôh'.que.j'iu pour;Iui;ne me pr6d)Spdsaii. ~uei'~ ~.l'imiter, ju'meme a Mm tcut ce quil put)ii& jejie suis p§s'-de,ses amis~ ne possédant pas, ~61asl cette VoM aux.aocent~.de trompette qui a sufBalui faire une répu'tat!Qn. 't'< La \'6)'iM iest. plus~u'npIë.î~aup.ërt.à.faH.dU.jout'ha~ lisme, .j'ai.~ait' un roman. H .doit avoir .:t'f(Me q'l'il y a toût.&e:Tn6më. une differéhc~ entre des arjtic)es epa~-s et. "une 'CBù.e aésoriptive~dë plus de trois cents pages. J'ai connu la.'ïamutë'des petits hcrbs 'de Rn .CorrecHon j'ai vu ~itetër~ee jeune iMBlinë, je l'ai accoMpagné & ia Petite Raquette.d'abpi.'d, dans-une ccoic dite d& redressemeat en~Mte, et .ontlu dans une colonie pénitentiaire adjointe,

ou je.suis aU6 ~e.cbcrcher ii !a mort de son jiere,'

-')rmë'sëtn})fë'~u6. ces ev~netnenis-étaient. cap&NB de ` frapper ,I'imaginaU6h d'un romancier toaucûup. mieux que tous !es'articles de M. GaObert. Quant à !a aocumenttation,t!!è~6.:6i~ A'eritit'ë pardes scandn.tës assex récents. qui ont ~Éd''anieùrs..]a reproduction de scandales bien anMi~cujs.al'arriyée'deM.GaubGt-taPariE. Croyez, mon cher confrère, ù. mes .sentiments dévoues. Edouard~UET.; ;~tKt.Rogër'ëou'vard,arcunecte, ëT, MUon, ihspect<6~"d6s"t]fa\ux du" nouveau 'taÉiltre des ChampsELysé~s, que M. Gabriel Ash'ue~ait construire avenue Montaigne, a Paris,viennent-de-MntFep de_.

voyoLge après uhe-grand&ftournÉe a Munich~ Bay-

ireuth; Cologne Cassel,'Dresde, Wiësbadëh et Berlin. Ï.<& conseil d'adinimstra.tion du théâtre des C)tatnj)E-EIy~êës a voulu, .avant d'arr&ter d6finiHvefmchnës servides !ës-plus jinportanta de !a nouvene sade.'que son arcbittiëte et ses. ingénieurs étudient auh.piac.e,les pro~rùs accomplis 'dans 'le domaine de là ma-chinerie et des secours contre l'incendie, en visitant les'thcàtrës les :plus recf.mment construits en. Allemagne.. MM.'Bou.vsr et Milon sont rentres très satisfaits !de:l'ëur*voyage.

~lëLMyArbeil, rentrée à Paris après ses bi'i~ latita ~su~ces & ~onte-Carlb et Bruxelles, dans la Duicînë&'de Db!t ptMc/fo~e'et t'Mr~e, se propose die îaire entendre, dans plusieurs -soirées musicales, tes~E~e;$sicn.lyriques ).),que3ë.-public..dca Anna!~ acciamàit il y a quelques jours. Pôur;6tr€.J.'interprët~ de cette page. admiraDM des '( ËxprËSStons lyriques )\ il fallait cette artiste à la .voix de côntr~tto d'une qualité .si belle .et'si prenante dah& le chant comme dans la déclamation, et ouï apporte un sentiment absolument nouveau dans l'art; G'~st.au mois de dÉCembre prochain que Ml!e I~ucy ArLe)! chantera la Dulcinée jfieDo~ ~nchp~e' à 1~ Gatte. Ellf uonnera. ensuite une sÉrie de f'eprÉsentatiûns de T~c l'Gpura-Comique. Les obsèques d'Hector Monreal ont <;).é.cele<. tjrces hiei-, a dix. heures et demie du mat.in, en l'cgliâf':Sainte-Gc~vtHve d'AsniëMs. Le .deuil était conduit par la famille du jegM.tte,,autëun~dramatiqûë, assistée d~ M. Henri Blonaeau.qui~.dut'ant cin'quaïit~ annoes, a <jt~ l'ami dévoue et la eoUaborateut' fidèle du défunt. La mëssé'a 61~ dite par le curé 'deSaint-Gervais et l'ahsoùte donnée par un yïcàirë de la.paroisse.. Reconnu, au mi)ie)i "du grand combre d artistes et d'auteurs dramatiques qui avaient accompagne le corps jusqu'au cimetière Mmes Méaly, Cbilin, Gilberte, Bade, Guitty, MM..Fcrnahd Samuel, Mohval et .~uleâ Brasseur, directeur, admimstraleu~' et, secrétaire gênerai du the'Ure des Vartetcs MM.Paul'Ferrier, Maurice Hennequin,.KerduI, B)oc'h, Vigneron, Debruv~'G, Stock..Tr~bla, Baron) Cooper, Léon .Noël, Hqllacner, Edmond'Benjamin, Henry bu~ue't, etc., etc. 'D.ea~.courcnnes monumentales avaient ou; icn.vôvees par la Société des auteurs et compositeurs dramatiques, -la Société: des.auteurs: et. editeurs.dc

musique,'ie'theatre'des ~àrî6tës, les Trente Ans de

.Théâtre et par des ainis de la famille.

Aunômdela.'Societc.des auteurs ~t compositeurs .dramatiques, M. Paul Ferri.er, au pied de la tombe, a prononce un émouvant discours dont nous cxitra~ons le passage suivant t <. n Monreal s'est éteint dounement., Vendredi dernier, dans les .bras de ceUe qui fut la meiMeure des femmes, et, de celut qui fut. le meiUeur des'amis. Aux tortures d'uuo agonie, tente et o'net]c, succédèrent que)quns heures de calme puis vinrent )n.'nn seccine et tB repos sans ruvett Cette nh.-Monrcat' renvisagéait, au milieu' de ses dures souffrances, avec ]a résignation d'un brave homme qui, avant Menvëcu, ne craint, pas i'heure des derniers jugements.' Et,'de fait, n'emporte-t-il pas dans'sa. tombe l'e~.time et l'amitië de tous ceux qui l'ont connu, de près ou de loin ?

Au théâtre du.Grand-Guignol Depuis l'annonce tics derniÈrcs représentations du spectacle 'actuel, beaucoup de ceux qui ont vu.D<M:~M Sou~s'veu-. lent revoir ce drame émouvant dont !a. mise en scène, d'un réalisme saisissant, 'est assurément .Fun des pl~'pit.toresqties et'des plus artistiques qu'on .puisse "imaginer. Cette pièce, digne, .en tous points .du Grand-Guignol, suffirait à expliquer le succès considérable obtenu par le spectacle actuel, qui comprend encore La htMepouf ~e. de cMfeau, L'Ec!QbotfM!tre,LePM!anthrop('.

Le théâtre des Capucines annonce les cinq dernières représentations de son 1res amusant spectacle, qui ne sera plus jou6 que jusqu'à samedi prochain.Oue'ceux qui veulent revoir l'originale comédie de M. Hennevé, H Mf <'n, bas. datts fa~o~uye si spinhieHement interprétée par Mlle Mérindol et M. Prad,

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FE~Î~EÏON DU <~ GAULOIS DU24AtAll9ip.

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AU-DESSUS b'.UH BËRGEAU;

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Mais c'est 'appÉtissatit, 'déclara Louise.

Rassurez-vô~, a~l~s, ma~~onnëY~hi.qUe.,

C'est moi qui'TëCMs mon S, mMi:' è. –îais'j'y'pënse, à prÉsent:.Ah mon Dieu, bu ai-ie la tê~?-~it la~pàysanïië.Et des.iits pour'ces.'messi&urs. Andrc, cours rev~Uer NteoIe/TQon petit': Dis-lui~ de mettre bien\YJtp

des;~raps:proprë~~ans le ht de sa ~elle-sœur,

'-Tu coucheras; ici,àvpc moi,jRpse. Ga ne. îera. qu'un ~it po~r. ces ~ux messieurs~~fais Us

'~ous.€xcuseroat. "i

Andrë~avait dêia.,dispatu daBS rescalier,;a la

tachert~te de Ia"~ervaîitë..

Et sîtp~re venait à rentrer ~Ût'remarquer

J~M~/

-mnsi~ë~y~hMCâa:tt~rl'ëU~a~&~ ~!M.' &ndré Bar~é et';Ghat'Ies CuviUief; Tse-Tiat~t'- v d&nc de ~es' aller applaudir 'ëR même ~temps que les ~xceUents artistes-~ui; chaque soir, T'iValisent d'en-

train .ët.de fantaisie. ~f

JsP~t~LES tUVE~

.Ce sQÎr~ à 'DeQ~hê'ures. & Société ~es grandes'

~ôhferehcës, 4, .ru6 6hMtas t'C~fetft ffe PteT-re .~o~, causerie ~tprpjectiôhs eh'ëoUleursGer~'ais- Gourtetlemont.BrmN'e'de la série, x;'

tfe' ` nt tt,' uvet'tür.é:üés ~'A~ies:Bèr ,èré,

En effectuant'ta. réouvertuM.dës Nciies-Bergëre,

M. GL banneLa profite des travaux gigantesques '.` qu'il faisait.p&Ur.mst~Uër.dans la. saUe du premier -de nos'music-IiàUs un .nouveau système <Ïe\'enttla'- tioh tout à fa~t. rëmafquhble bien plus, le nouv.eaû ~torifere ésCutiusc l'été pour'.faire passer les conjants d'air ù'ais qui îoM'des .t-'oUes-Bgrgère la saUe la plus d61icieuseinën~ralehë de to)lt.Pm'is. 'Le charmant spëëtacle dcl'ÀtcazarbSUeht ac!,ueb lementte plus grënd s~cëes. rndupchdamment de PoMn, Dr~mèm et.'des autres intcre~antès aitras- ` 4~ons de rAtcaz~r, il convient de citer~track et Jean Fior,-t[ûi sont très anpinudis tous les soirs. Un cortège d'empereurs,, de.rois, de princes et d'envoyÈs extrdcrdinau'ës de toutes tes puissances .~du monde, se aêrfuiânt atHT'Hie& de tout. un peûp~ '-en.ûëûit; têrest le spectacle'Tjniqûë<donn6 chaque jour, de deux six heures, à toutes ~es séaMes du parfait cinématographe des-grands magaRiha Bu-'

~ayël. On y trouve rcuJtics tes vues }es plus com-

plètes des fubérai)!es de S. M. Eaouard'vII, àyëë · conférence, marchés funèbres et inut&tion scrupuleuse d~s bruits, pour donner à soi~pu.Nic sélect t'illusion d'assister à 'toutes tes cirepnsUt-nces de Cet Événement historique dont i'unpoftàncë est ehcbre accrue ~par la përsonnaliM ~mitiÈtite et sympathique du Roi défunt. Au programme, les meilleures nouveautés.artistiques, vues variées, 'choisies avec soin pour les familles. A la sorlië, concert symph~nique et five o'clock dans le PalmariuM.

SEANCES MUS!CA6.iES

Par suite delarepùUtîonde~a.'DmHKahoM d6 .Fau~ qui a. lieu de soir.. à l'Opéra, MHe Louise Grandjean ne pourra, ù. son très .grand regret, pister son cbnco'urs au concert donne ce son' par M. L. Diemer, au profit de la caisse de retraite des professeurs du Conservatoire, dont eUe.'fait du reste: partie. E.ilë sera. remplàece par Mlle .Va.llandn et M. Devriës. L'Union des femmes, artistes mu sicienhes, fondée" il y a. quelques semaines par Mme-Taësarti sous la. présidence de M. Dujardin-Bëa.umetz, et .tivÉc un. comité d'honneur qui comprend dbU8e des. premiers compositeurs de musique et' douze des'artistes lyr~ ques les plus cëlëbrcs, a'd('j~ reçu les plus précieu-

ses adhésions..

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Jésus Le cher homme <3ue le bon Diéu.~ l'éloigné d'ici!' C'€Bt vrai, ajouta Louise Francis. -Nous. pensions plus à lui. Si mon mari vous interroge, dites qu'il est en voyage, à. ~Besançon. pour traiter d'une coupe de mes.bois. Sur. ces derniers mots, la. porte s'ouvrit. Et, sous l'empire de l'angoisse .qui les reprenait, les deux paysannes'tremblèrent. Les deux officiers rentraient.

Je crains'què~voùs ayez laissé .refroidir votre omelette, messieurs, dit Louise 'Francis. Eh biem répondit'Wilheim de" Schlitten,' ce sera notre faute, ma'chère. Mais notre appétit va la réchauffer. Est-ce pas, Karl?~ Karl de Œischlembach trouva beaucoup de sel, sans doute, à cette réplique aimable de SM chef. Il rit bruyamment, et dit :} ~Oui,elle~a la réjauvert' La vuedeJa nburr~ure épanouissait d'aise' la-îigureimberbe.du jeune lieutenant. Les deux hommes -mangèrent, d'abord, en silen&e. Leurs fourchettes s'abattaient trop; ';fort d&ns leur assiette! on entendait même leurs mâchoires broyer.les-morceaùx happés trop violemment. –Vous'prendrez''du café, messieurs, Demanda; Louise Franôisf '¡,' Je crois bien, dijb.M. de Schlitten. Pas, ~Karl?' .Oh oui, oui, dout ce gué tous brendre, ~a.Hedenaï.ite. Rosé Malheron,' ~âns~ '-même attendre eue Louise; Franois lui eût fait un. signe, se mit .en devoir-Kde préparer la chaude et stimulante .i, boisspn. -J M. dë~Schlitteh avait dejàj versé a boire, plu- sieurs fois, .a .son compagnon; Leur hâte a..J absorber-lê'~ênereux.breuvage les émpô~ ~chés~.d'eh; apprécier' là. saveur. Ma-isj-ils co0i-j ~mënçaientaenëtre tout ragaillardis.' 4,

:Ï1 ne restait; plus~.une bouchée de/rénorme

'omelette.' i 'yous ne mang~z.~as,'dIt'.M dé-Schlitten à sa femm.e assise ëh'îace de Iu~

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..A. L'AËrtO-~MJB DE FRAKCE ~u cdùrs <}e ~à'hërmëi'é-~u.nion, tenue sous ta pr~sidenoë dù'comtc Hem-y de.Lavaù[x,.le.com{t6 de~Hreotion de' l'AuM~Ctub de France a procédé au banottage et ù l'adniission de ~MM."to-baMn Bierre Lepez d'Henin. Mortitner-Megre~ ,~aMuës~oah,' tâ6auës/~e!MtynJn, s~ü,uôij.'Stenàrt.Da=. vis Pelix-Sint, )Lùoien Roche, -HnriqueConiH.~emand ConiU, i'Edo'uârd' Daubrê; .'ëapHoinë. ~nartes'' de' Gahay~ ` ~iieutenant.Jean Esoudier, Lëais'.Lewkowic~, QuiUajn!rte:de HëMSy, 'Adrien Càt~a, Jean'~Gheneau, Paul d'Eanbomne

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–.Hë'm'e'h veuiHez pas. Je croyais avoir faim. Je m'Étais.trompée.. mauviiise~

Wilheim .ta. -dëvisageaf Une lueur mauv<use lui jaillit des pruneUes.. .C'est vr'ai~/dit-il, l'uniforme Notre t.mforme J'oubliais. Ça vous coupe, l'appétit. Karl de Œischlembach, croyant à une plaisanterie de son lieutenant, s'apprêtait à rire. Mais il vit le coup d'œil offense que Louise adressa à son mari. Son rire à p&ine commence s'éteignit prudemment.

Allons, Karl, votre verre, dit Wilheim, la bouteille:au poings II emplit jusqu'.au bord le verre du jeune 'fncier, et se servit de.meme. Apres qu&i, il\s:n?tt aussi son verrp, le brandit, a. la, ha.ut'6ur de son Visage, et d'une voix enflée d'orgueil, il :~cri. .A .hptre glorieuse, et victor; Mais-iM s'aperçut qu'il ~fensài). encore &a.

~emme.

A votre santé, mon cher termina-t-il sim-

plement.

–'A le santé mpntameScMitten, cr.ut

devdir.'r~pondre le jeune officier. ,c,

–Je\'ous remercie; murmura'Louise en-in< clinantla.têt'ëapèihe. 'Fameux, ce vin, déclara M. 'dt! Schlitten en posant son verre. Ah ) les âna de. Vranee mugit Karl,e!i-

thoùsiasmé.

Les deux hommes attaquèrent le saucisson. Ils en mangèren),abQndamment..Et leur voracité interrompit, un moment, leur conv.ersa.tion. Quand ils~en v-inrent. au fromage .'M;~de SchHLten la reprit ~n allemand. Louise Fra.npi3 n''en~perdaitpasunmot. on vous'a. tue deux hommes ? s'écria-t-~lle

tout.à~x)up.

––C'est vrar,dit.sonmûTi,j'oubltatS que vous savez.un peu ma langue-nationale.

À l'exclamation.de ;Loûise Fran~is;yéroni-

que.-Rose et André se sentiEent glacés par tcut "le corps. C'Était'-le.pere. èt.-ses hommes gm' avaienHait le coup. tis endurent cerUt~de.

Les 'deux Temméa jet l€ ~u.he gardon eur.e.nt la

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il~ àHeâ paroles qm decM&ht d'une .déstuiRë.

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.~oi~tme tcHë ou itTi'v avait rien, deputs tuer il'y

~pousse un arbre: ~1 a

'suffi"~pour ceîa d'un' p6-

fpm que ie yent apporta.

!<ù .~u'un 'sansorm&t a. !)aisse;.icmber,dc son bec. \UnG jeûne fiUe JnH.gui8satt,{i&pÉrisstut,El]e 'àYa~ .essaye en \'a~n 'qnatititc de remMes Gt

1. t, d 1.

se Cr&yai), conâarnileG.

".Eltë ~6t rësplendissanle

de sant~ aujourd'hui.'11 & sutfi q~oh lui parLû des s- Pilùtes Pink qu'âprÈs s'Êtfe renseignée sur la vàLe~r Qa ce médicament, e)}e.ie.prentie. Les Pilules Pink l'ont s~Jc alors que tous les autrea mÉdtcamGhts avaient ut6 'impuissants.

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i'aicht modifier leur destinée, s'ils avaient la bonne idée d'essayer les Pilules Pihk.

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Mlle Baudart écrivait récemment ce qui suit 1 <t J'ai été bien malade. Ceux qui m'ont vue il va Ii -six mois, si ptUe, si défaite, ne me reconnaîtraient pas.màinœQant où j'ai tre.s bonne mme. J'étais devenue si faible .que je ne pouvais plus travailler, ni me livrer mé)ne & une petite occupation de ménage. Il me semblait que je n'avais.plus de sang dans les veines et mes jambes ne pouvaient plus me porter. Je sentais que je m'en aDais chaque jour un peu et j'étais devenue toute triste.

') Jai été cependant entourée de tous les soins voulus. J'a.vois pris des fortifiants,. des jus d.e viande et quantité de'remèdes. Tout.~ela avait, été. mutité. On parla, à mcç parents des Pilules Pih! Ils avaient lu déjà bien des attestations de guêrisons attnëiléGs aux Pilules 'Pmk et publiées dans les journaux. Us se renseignèrent et apprirent qu'ëlléë a~ent guéri plusieurs~ personnes dans notre entourage. On me fit prendre tes Pilules Pink et du: jdur j'ai eu commence ce bienfaisant traitement, ma santé'S~eté remarquablement amenbree. J'ai eu Bientôt .de~npp/vëairdës couleurs, dGB'forces, et j'ai bu, malgré cette rude alerte, rept'ehdre peu après jnes.occupations. x P Malades, modjfiez ~votre. 'dcsUnee. ëi Vous n~avëz ~pàs obtenu satisfaction des traitements qui vous ont été prescrits, essayez leâ Pitules Pink, eUcs..në YDÙs.:desappointeron.t pas. N.ous avons été témoins de guel'isons rapides et complètes.dans des cas jugés très grades et les traitements habituels bavaient pu apporter d'amélioration.

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force de ne pas trahir la terreur dont ils étaient transis, .Oui.~prjt le lieutenant d'une voix sourde et irritée, deux hommes, la~bàs, à la lisière de. la forêt. Abattus par des brigands à l'an'ût.Deux de mes éclaireurs.' Nous n'avons pu accourir à temps pour saisir leurs assassins. Ils ont pu disparaître dans .les fourrés. Et leur donner la chasse,, la nuit, par ce froid. Ce ne peuvent être que de .vos francs-tireurs. ILn'y a-pas de troupes régulières dans le pays no'us le savons. Ah s'il m'en tombe sous la 'main, de. ces bandits ). Dans la fureur <;ont<enue du ton de M. de Schlitten, Louise Francis, comme Véronique et Rose,-<X)mme le petit André, entendirent la sentence de m6rt:du malheureux Antoine Mathe~on, si. sa destinée le ramenait a sa maison. '–Karl, encore un verre, mon .camarade,. ajouta M-de Schlitten.

inattention qu'il mit a emplir les veMes l'em- pecita de'saisir, rimpression produite par sa. menace sur les paysannes et le jeune garçon. 'Louise ErajMus en avait pâli. Rosé Matheron, André et. Véronique en avaient tremblé. .'Lé lieutenant-de Schlitten,, après avoir avale, un dernier verre, de vin, sele.v.a delable. 11 pa'r- courut les quelques mètres que mesurai.tia salle einlongueur. Son attenti.on fut attirée par quelques, images collées au mur.' -~G'ëtaient d'humbles images d'Epinal, mode~të& indices du~ culte qu'on avait à la ferme pour .nos récentes gloires militaires. -Oh voyez donc, Karl ) dit M.. de Schlitten,. d'un ton gog-uBna.i'd.SoIférino-J';ljà bataille .de Soiférino Holho ho; CanrObért Le glorieux niatÉchal CaMObert Ha ha ha' Boufba~ l Pffùût' :Bourbâl!i! .Mais,-j'y. pense. -:ïl arrêtait ses; regards sur Véronique ~Mathe-.

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II n'y a donû -plus d~homn~es, ici, a la .ferme'? .K; NoQj'.monsieûr, répondit Verohique .d'une: .Vûlx-fa'i~ ¡ E-=~t ~ont-ils 'l

BàriBhne'Lage,6:r6hôMe."

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-L6uisÏ\i}ahtëa'u,àRÙeU.'

'Page& du Po!ft,.au cnateau du RCrt~lIrEBp! DeLa.Pannanie.au c}i&teau dè~lhPaliïionie." ''Point., àU.ch'ât~uMeMontùtJaB. Moï-quise de:RiëncbUrt,i Heftënstem. Eniite Raùze.-au château de ta Jonchere.. :CMitBs5e;aê~Sdmt-Sâud, au ch&tieaû dp IS yalaUzë.. .A~rqùis&'dëT~'essàn.-à.CtinR~EcIusa." :ië6.Hlt&&ës' Vatiesa~ a toulëùëe.

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11 est bien oublie, ce Léonard que.M. Emi!e:Henr!ot ressuscite en pubuaht un Choix de ses M~t<M e< Poèmes c~MKpëtres.. Le jeune eruditne veut pas nous en taire accroire eur le talent de Léonard il désire seulement, que' nous jugions, sur pièces, qu'il Ten avait. Ce romantique avant l'heure aima la. nat~i'e etileùt.une très fine sensibilité. 11. écrivit des vers aimables.. faciles et parfois sonores c'est quelque chose. Enfin il est l'occasion pour M. Emile Henriot d'écrire~ une préface li'Ès justement penëëe .et 'fort .spiÉituelIëment présentée. ~Sansot, Éditeur).

M. Flof!an~Èarmëntler aime les titres ambitieux PtH' Routes h~tttsmes est celui de 6on volume de vers et seS vers sont ceux'd'ùn philosophe qui a bien vite fait le tour du monde et.des idées~ II y a du souffle, dan~ les vers de M. Parmentier, de la verve et un profond sentiment de la vie mystérieuse des choses. Surtout il montre que ce poète est en constante Évolution et en. progrès. C'est un,laborieux qui merne'absolument qu'on suive ses.efforts et qu'on en souligne l'intérêt, croissant.' (Ollehddrîf, éditeur).

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–A l'armée, monsieur.. A l'armée.?~ l'armée-? Votre mati aussi ? Vous avez encore votre.mariï ?.

–Oui, monsieur. Eh -bien il n'est pas à l'armée ? Il n'.est plus :d'âg'e à servir? Louise.Eranois s'aperçut que la malheureuse Véronique allait défaillir, sous l'empire de l'épouvante dont cet interrogatoire l'étrëignait. Il Était temps de lui venir à l'aide.. x –.Antoine Màmeroh, mon fermier, :est. en voyag'e, int-ervintTelle. Il est en voyage pour mes affaires.

M, de Schlittes avait regardé sa. femme, pendant qu'elle parlait. Vous vous ser.iez concertée avec votrs' fermière pour me tromper, lui dit-il froidement, que vous'ne pârisriez pas autrement. Il est possible après'tout,que'votre fermier soit ''en voyage. En tous cas, je ne dois pas mettre en doute vos paroles. –'Je, vous remercie, lui répondit Louise'avee hauteur.. rès d.u bërcëâü;e son; Et-ellë vmt s'ass&oir prës du .berceau.'de son. enfant. I~e-lieutenant ~'ait allumé un cigare. Il sassi.t près du berceau, en face de sa femme. Rosé Matheron avait v.ersé le pafé et posait, sur la table, une .boute~le de ma;rc entamée et deux Verres. Le lieutenant, contemplait son fils. ~Gomme il dcTt, dit-il.'d'une voix attendrie. et assourdie Chère innocente..Gréa.ture~! Ah ai-je "espéré cett~ heure, depuis .que nous avançons, en tous sens, sur .ces routes de France J'ai eu, plus~que.n'importe quel camarade, une joie du succes-de cos .armes. Sur cette terre conquise,'j'avais un enfant, un ûls~de mqnsang e~ (~e mon cœuT, qu~ je.ne connaissais.pas,, mais que j'étais bien sur de 'voir enfin. Chaque victoire, chaque étape me japproçhaient.de ce prémier.-hë de-mârâbej, de .l'héritier de: mon.nqtn~ Ch~~petit 0, mdn ~el.~ainge~~arl~m~~ venez dOnc voif.mon ûls. Il.e5tchandi.F.éntaBle~

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–Moiï'honj[!né~

–Père!

–Papâ!

è 'à~liéat~ii~c`l

–Ah):l6,maïhéuMuxt,:J'

Uh franc-tireur'! Tels furent lés cris qùijaiiMMRt,ïoia, ae la bouche des ~a.ther<H];"dë Louise Franois/et du lieutenant .de Schlitten;Ïa~vuë;d6 l'infortuné fermiei"'d6 La Fàyp. Eh Bien 'oui, 'je .suis'p'r.is. MpQ .compte estbon..qti&;< J- Et _lë'fermier yin~S'àbat.tfe sur"le?ba'nc,;Ie: long de la~ table sur laquelle fumait le café des ofn.Nerspi'ussie.îis.

~NCE8'.ëE~ÂîNË

Ah mon Antoine mon pauVM horatAB i[ Pa:pa!pàp'oh)n'i0h'pa.pat~ Gh' J. Bieù 1 i0h t Dieu~.Dieu just~ ~st-'ca possible?" "€/ Vérohiqu~ Matheroht ~pn 'Ms -et ~s& .bru; viji" reuttombep S.genoux'prës'-du' fermier, pJLeuraht,jui p~-enànt les ïnains, terr~sséspar la douleur et le'désospoirr Leurs sanglots, leurs lamentàtipns etQphs-' `, saiest Ia;saIIe; d'un ~hœur. jugubre~de dÉsola-

tion, 't~

Le iiéuiénanme.Scmitteh.aY~t proféré tou~,

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31 mai. S'adr.M' 'VtXGTAÏs; nbt.Ë6, tLV.Gde-Armee.

Bom~&VAm~~ C' 1861 m. M. à. p.: 400.000 I. A()j. s. 1 ehch: cit. ti'.

7'jum 1910. M'~ingtain; n'j ~j:&v. Gd&-Arm6e. ],

M t tC ~M ~e rapp; y. Verreplë.61: .et. r.yemple~

!MAtOU~"765'R.b.33.000."a.&"p.S5û.OOû.Adj.s.l

ench.,ch.not.31 mai.'M' Cottenet,85.t)d.B.-Nouv€He

BOURSE DE PARIS

~Pàris,.le.23màil9iO. y Les d!sp09itLûR& constatées au.début de laaëance ont encore été des plus satisfaisantes par suite plus ëncbr&des avis favorables des places, étrangères~, que de l'importance des affaires traitées, lesquelles'sont toujours rëd.uit'es a leur plus simple expression. Toutelois l'allure générale du marché n'a pas tardée'se'modifier lorsqu'on à appris )a brusque élévation 'des cours du chèque s.ur Londres A 25 32 1/2, En outre, c'était la 'réponse des primes à Londres de un courant* assez'marque de réalisations surtout dans les groupes soumis M'influence deTarNtrage. Les plus atteintes ont été sans coniëatjé~Tes valeurs de caoutchouc sur lesquelles là' position spéculative est toujours lin- certaine de même les Mines d'or et les valeurs-territoriales ont été .éprouvées dans une~ certaine mesure, bien que Ja tendance despremiërës semble toujours orientée à la hausse.

Au" ,parqùet~ 'on. a pu noter l'irrégularité )ïès ~Etablissements de'crédit, tassement de hotre Fonds.natiônalienfm l'Indécision du Rio-Tintd..Quant'aux autrës~compartimenis, leur- inertie même s'est opposée aux ïlécbissements des cours. Nùtrë 3 0/0, en~gcande: fermeté au début de la séance,, est .peàlisé -eh: clôture ,88 82 ~ontre9892sàmedi"dërn'ier. Les; Fonds étrangers .sont Également p] us lourds en îin~dë séance': c'est ainsi que nous laissons,I& Consolidé russe à ? 30, le, 189L1 à SI ;10, le 19u6~:l'Q~l<) 'et'te.1909 a'-lbl 35. 'Le Serbe perd ù'dë'~Sngtame'de.'centimes à 88 8e, le Turc?!est.plus résistant a'94 57, le Brjésil~9235.ët1(}~rtùgais'&-(!7'82.;rExtéjieure finit, a 96:T~ ~pres .96 ?r?, .contre 96,60 precedemmeht, ~.i. Les Et~Nissëïne&fS'aërcr~dit Jph~tûujonrs;: preuve de la plus,;grandëjat'm~ië. Parmi les Sooetés.étrMigëfeB, là-Banque~ ottomane se représente A-~7,~Ia Nationale \du Mexique gag&'e.~ppints'a'TSSP~Ïa'Ban-~ que'ae Rome ~ote'~OT; Dans .groupée ~es~bemms,.français .le. P.-L.-M. 'se tient ;a~l,315, le ~iôrd roste'calme à 1,767 et l'OriB~ns, ~'mscrit:,& 1,~00.: Excellente tënu~'dës::lîgnes*;espàghol~s.. i Notons un peu'd'indécision'sur les valeurs" 3e traction~: l'Gmnib)Jts~se?tassë~à~ 1,478, la .\Thomsonœtë~800~aù Heu deSol:etiëMêtrb~ poli~&m ,~9~ coniM.~92 INord-S'ud Jut-"in~

chài~MS.

.LesEIëciMqne%j).é~sttbissent,quë.d~msigm-. liantes vaMations~lQMstHbutMns~raj.tè & 402,'l'Elëctrieit~ae-Parîs.â~96~ Dans le.cdmparti.ment'maustrieLj'ussë la, Sosnowice repenl~ë: cours ~é'l'5t)6.pour .se

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tours d'aujourd'hui.

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sur leurs, cotjrs de samedi deMier, reviennent finalement, la Goldfieids à. 171 50, I~East Rand ù. 137 50~et 1~'Rand Mines a .24250. Au comptant, TAshanti.Umted progresse46 50 l'action Bat~mias est activement négociée à 48 50, la SilverfieiQs avance è. 39 50: Diamantifères inchangées .de Beers 449, Jagersfontein/225'50. En valeurs diverses, l'action Afrique É.quatoriate française passe-à 130 francs part €st'bientenue'~ 46 ]a E'rancQ-WyQming.prëfërënce 6 0/0 cumulative est demandée à ld8. 'KERA~MOR.

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fluaneiér eh-France.

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ment; /;a.'MO.OOO+ -M;000

~Bànknotes.. ëS.~80.000 + S.080.000 Surplus de la rësërvë 2S;820:OG3 + G.7M:OÛO Le t)iian des. Banques et Compa.gtiies de trusts: ne faisant paB/parUe 'des Chambres de compen.satioQS'etattMteomm'eEuii. .~f Différences

.sur semaine

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Prêts 12G.MO.OOO'+ .JOO.OOO

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\B(tnimoies' 2H460:000;– 370.000

~hemjns d~-fer ~Mës. –fL.e rapport 'de Tàd-

-'hunistraMbn' des~-ctietjlins -de-~er suisses,pour ja09d6c}are:que4-'éxplai~àt.ioh-s'ëst: traduite-par: '.une perte de'4 mi)iions de frahes,contro 8,800,GOO francs en 1908,,perie qui n etc portée à 5.mi'tions.

par ]ës aHocàtMQs~sippIementau'ës' de sà)aniés'

.;a)i personnel .nécessitées par. "le rencherisse-

~nehtdu..coa.t-4.e,l~vie.

~BienfquëredÉÛGit~ÏG~L soit'-maintenant supë~; Mëu:' a 8. miilions; 'les resu)tàts 'sont plus.Ja.vorfables, qu'on ne<d~Yai), 'prévu <'t s'ont:' dus au ~système d'économie; adÔDtc ;par- t'administration. L.e..m6,uvement des voyageurs n'a.nregistrë~ qu'une.'faÏMe a\T9hce coinparàtu'èmënt 190S,

a)ôrs; que l'augmentation d.u'itrauo de' marchan-

idises .-a été c~nsidërabie ~e~ystemë~d'ècondmië

eu: poUr 'eNet d'abaisser.~ë.~eMoien~d'exp~oi-

:tatibh~e'82~70/33~/a, 'Le'rapport <!xprunë;J.'e$pbu'~gue Jës rssu~ts ;~de t'exef-ciee en'~oufs' et: des~proëttames années ~ermëttMnt, l~xtj&&tion~;gra'duë!Ië~ù-. deSeit,' et

9a'potitique d~6(%6n.onue Eer<f''p6~r~~e'~dan& oë.

'but.' Hfîaii remat'q'ucr. qneJ,ie.'n&j~~l'tani~des fs~aire~~u) <Mrëra''en''apji'!icatiN~n;ri)'l9lg, bccastôjtiera' aux' cnemïn&' de-~ë~ëâëraux'Mhe'

\dêpense~uppMmentaiEa:mu6l~~?l]-~n)i)ii!ttis

"de frajiës'ét'c!Mt.des~p~~s'I~~ssibiiitë-)é.: e~i -supporter (~ttei'n~uy~lt.ë~a~un~ 'a:ug-~

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.~luismiere-patis., faîs."titërrage, 36~a.4'a.~ refer.,

':C; Cli, pl.,r4: lj., G9,; r: Carnbt, Levaalofs-i?erret.'

~;c)ipt.:M. H., jCa,: r. Gamot, Le~'aHois-Perret.

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