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Titre : Journal des débats politiques et littéraires

Éditeur : [s.n.] (Paris)

Date d'édition : 1943-02-06

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb39294634r

Notice du catalogue : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb39294634r/date

Type : texte

Type : publication en série imprimée

Langue : français

Format : Nombre total de vues : 200316

Description : 06 février 1943

Description : 1943/02/06 (Numéro 943)-1943/02/07.

Description : Note : un seul numéro pour samedi et dimanche.

Description : Collection numérique : BIPFPIG63

Description : Collection numérique : Arts de la marionnette

Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique

Description : Collection numérique : Grande collecte d'archives. Femmes au travail

Description : Collection numérique : La Grande Collecte

Description : Collection numérique : Histoire diplomatique : Révolution - Empire (1789-1815)

Description : Collection numérique : Histoire diplomatique : Restauration - Monarchie de Juillet (1814-1848)

Description : Collection numérique : Histoire diplomatique : IIe République - Second Empire (1848-1870)

Description : Collection numérique : Histoire diplomatique : IIIe République (1870-1914)

Description : Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k5105617

Source : Bibliothèque nationale de France

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 22/01/2008

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Dans le monde 1 MARIAGES

Le ~7 janvier dernier, a été béni, dans I.a cha'pe'D'e d.u château de Guénégaud, le mariage de Mtle Renée des L'gneris, fiil'e du comte des Ligneris, décédé, et de la comtes&e née Mon.tpMisier av'ec le barc.n Pierre-Guy d'Ussel, fils du ba.ron Guy d'Ussel, mort pour la France, et de )a baronne né&~St-Genys et peti:-fils~du comte et de la comte's'se de ScU'nt-Cenys.

Les témoins des mariés étaient M. de Montpansier et le baron d'Ussel, ie'urs oncles.

1 LA RADIO 1

SAMEO) 6 FEyR)ER

M.42 A travers citants « Xanrof ?. par Yvette Guilbert et Marianne Monestier

<4.00 < Quatuor en la majeur (Mo-' zart) < Deuxième quatuor < (Beethoven), par le quatuor Gabriel BouiDon; ~5.CO concert par l'orchestre de la eociété des instruments à vent, direction Fernand Oubradous <f Symphonie concertante, cp 84 pour hautbois, basson. violon, violoncelle et orchestre s (Haydn) < Lied et Scherzo, pour cor principal .et instruments à vent !) (Schmitt), avec Jeanne Deverny. sonneur; « Pastorale d'été x (Honegger): < Rondino t (Beethoven) t Promethêe ;t (Beethoven): t6.30 < Deux hommes ?. de Roger]Franeis Didetot. avec François Vibert. 'Fernand Fabre. Marcel André, Lily Siou, Françoise Brehan. etc.

?O.M < La reine joyeuse d'André Barde et Charles Cuvilipr avec Charles Camus, Louis Arnoult, Fanély Révoil. Ketty Emlyn;

22.45 petit concert de nuit.

DtMANCHE 7 FEVRtER

9.25 <t En parlant un peu de Paris avec Jacques Armand. Georges Briquet, Michel Robida, Alex Surchamp; tO.CO de la cathédrale de Nice < Messe à 4 voix mixtes de Sainte-Cécile (MontUIet): < Credo n° 3 Et tncarnatus (des Près) < Amen, final du Messie t (Haendel);

tl.lT concert direction Louts Desvingt avec MMmes Camta. Guil:amat. Second!. Leysieux. MM. Lovano. Planel, Dalgcr. Mainart, Melles et la chorale Félix Raugel:

t3.42 transmis de l'Opéra < La flûte enchantée z (Mozart), avec Solange Delmas. Janine Mtcheau. Renée Mahé. Georges Jouatte, Raoul Cabane!. etc.

17.30 du parc des Princes < RouenLe Havre quart de finale de la coupe de Franco de football par Georges Briquet <7.4S concert par l'orchestre de l'association des Concerts Lamoureux. direction Eueene Bigot « Symphonia (F. Bach); <! Fête. cantate pour piano seul x (Bach); « Concerto en mi majeur (Bach), par Albert Léveque. pianiste; <t Concerto en ut pour 3 pianos x (Bach) par MMmes Marguerite Léveque. Yvonne Goujon et M. Albert Léveque < Symphonie en ré n' 3 o (Brahms)

20.30 K La quatrième 't de Martial Piechaud. avec André Brunot. Catherine Fontenay. Andrée de Chauveron. Jeanne Faber: et < Le veuf de Carmonte!. avec Jean Martinellt. Denis d'Inès, Julien Berthaud:

22.30 Grand Jazz symphonique. direction Jo Bouillon: 22.46 concert par l'orchestre de Toulouse, direction Raoul Guilhot.

Tr"~ TC~ Tr~ T~nr TEir' Tr~ Ter' TE-iar Tx~r'TT T Tr~ TET'

JL~ JElj) JtrH.JL"~M JL JB:Jt:<L.JE:Li JtrjL !r~~ <LJ Jt~JtJLf

CE Ot)E FURENÏ LES DERM)ERS JOURS DES DEFENSEURS DE SÎAUNEMD La lutte farouche contre la ruée incessante des Russe:

Berlin, 5 février. La radio allemande, dans une causerie consacrée au sacrifice des soldats de la V!" armée, déclare que la lutte héroïque avait redouble de vigueur et d'acharnement dans la seconde quinzaine du mois de janvier. De brèves émissions de radio Étaient les seuls liens qui unissaient les défenseurs de la ville avec le monde extérieur.

Cernée dans un espace de plus en plus étroit, la VI" armée lança le message suivant ~uoK~ hissé !e tfrapecM d c~oM; ~amm<?e $ur te yfus /MM< Moment de ta uttie, .Menons soMs ce s:~ne notre derKter combat. Stop.

QUtand, sous la poussée d'une formidable ruée ennemie, le front fut ebra.nlé au sud de la Tsariisa, les généraux Pfeiffer, von Hartmann et Ste'mpel. Je cc'Ionel Come e't une poignée de bravas luttèrent debout sur la couronne du rempart, héroïquement, cont're les flots ennemis de plus en plus débordants.

Le ~7 janvier, une nouvelle vague de chars et de troupes soviétitiquss déferlait. La liaison de ces braves avec l'usine de tracteurs fut inteprompu'e, les munitions disparurent à vue d'oeil. Dans la nuit, de nouvelles masses humaines rejetaient les unités ennemies décimées et, dans la ma.tinêe, l'assaut recommençait.

Les boIclM'vit<s continuent leur poussée vers le nord. Le groupe nord des trou'pes allemandes se dispose en Mris&on et rend coup pour coup. Encore une fois l'ennemi doit relâcher son étreinte. Nouvel assaut contre le groupe sud dans la matinée du 29 j'a.nvier. Côte à côte. généraux et grenadiers, Allemands, Roumains et Croates, tanitistes, pionniers, artiDeurs, comptables, conducteurs et < rampants résis'ent dans une mêlée dépassant toute imagination

UM « HËtUSSOM )) D'ART!ULEURS L'état-major du 14° corps blindé est anéanti en première ligne par des forces supérieures. Mais les positions sont maintenues avec !es dernières forces, les dernières grenades et les dernières cartouches contre tous t~s as-auts venant du sud et de 'l'ouest. Finalement tl ne re~te plus qu'un < hérisson d'artilleurs groupés dans une circonférence de 300 mètres à .l'intérieur de cette citadelle le bâtiment du Guépéou, audessus, duquel continue de flotter le drapeau à ('.roix gammée, et à d'intérieur duquel résistent toujours le général en chef, son étatmajor et quelques survivants. Le SO janvier, ce petit groupe de défenseurs entend la proclamation du Fuhrer. Les braves ont alors, pe Jt-étre pour la dernière fois, levé la main pour le salut hitlérien en chantant les hymnes nationaux. tandis <;u~ dehors l'âpre combat continuait.

Les emtsstOM de ~ïoJto-T'MnM Vichy. 4 février. On rappetle que Radto-Tun's poursuit r<;f;u]ièr!*ment ses émissions Quotidiennes sur 211 m&trps 25, ondes moyennes, et 21 mètres 68, ondes courtes. (!e 8 heures à 9 heures, de 12 heures ait heures et de 18 heures à 20 heures. (0. F.I.-H~vas).

Rome, 4 février. S. S. P)e XII a reçu aujourd'hui en audience privée la reine Elisabeth de Be!g'que. 1

A CLERMONT

THÉATRE

Samedi 6 février & 20 h. 45 La veuve joyeuse, avec José Janson, Lise Brugel, de l'Opéra-Comioue; dimanche & 14 h. 15 et 17 h. 30 Le pays ~tu sourire. CINÉMAS

PROGRAMMES OU 5 FEVRtER A.B.C. (de 14 t.. à 24 h.) Oartacatha, avec Viviane Romance.

Samedi même programme.

LE BEÀUMONT reiaehe.

Samedi à 21 h.:Be)teétot)e.avec Jean-Pierre Aumont, Me: Lemonnter. Miphel Simon.

CAMËO(del4h. M à 18 h. 30 et a 20 h. 45) Courrier d'Asie, avec Marcel VaHëe. FIoreneie.

Samedi même programme.

CAP)TOLE(del4h.30al8h.30et 20 h. 45) Défense d'aimer, avec Suzy Deiair. Gabrieito.

Samedi même programme.

0)NE-G).OBE (de 14 t.. a 24 h.) Ta. rakanova.avec Annio Vernay, Pierre Richard Wiitm.

Samedi même programme.

ONË~ONDE (de 14 h. à 24 h.) Jeanne Dore.. Samedi même programme.

ETOfLE PALACE à 20 h. 45 L'Atib). avec Erich von Strohcim, Louis Jouvet, Aibert Prdjean.

Samedi même programme.

LUX (de 14 h. & 17 h. 30 et de 20 h. à 23 h. 30) La hcrmesse hére)(tue. avec Françoise Rosay. Louis Jouvet. Samedi même programme.

MOZART (de 14 h a 24 t..) Nord at)ant!oue. avec Albert Préjean Pierre Renoir. Aierme. Samedi même programme.

NOVELTY (~ 15 h. et 21 h) Le mariage de Chiffon, avec André Luguet. Odette Joyeux, Jacques Dumesnil etLarquey.

Samedi même programme.

LE PARtS (& 14 h. 45 et 20 h. 45) L'Artésienne, avec Gaby Morlay, Raimu. Sur scène les frères Bizarro, acrobates et Jean-Maupoint et t'orchestre. Samedi même programme.

REX (de 14 t.. a 24 h.) Marte Stuart. avec Zarsh Leander. WiUy Bargel. Samedi même programme.

STAR (a 20 h. 45) La Bandera, avec Jean Gabin,.Annabe)!a. Sur scène Serge Nidoff.

Samedi même programme.

VOX (a 20 h. 45) Sérénade, avec L. Jouvet. LiiianHarvey

Samedi & 14 h. 45 et 20 h. 45 même programme.

Le maréchal donne son dernier ordre <OM(<M<u)?-e.Desexpiosions rapides suivent ces paroles, soulevant le drapeau du Reich. LE DERMtER EPtSODE

L'ennemi avance venant du nord, mais une fois de plus, il est repousse. Les pertes sont lourdes et toutes les munitions des armes lourdes sont épuisées. Les hommes résistent cependant. Leur volonté d'acier tes fait encore durer jusqu'au 1*' février..

Dernier message de radio reçu le 2 février Dans ia tuitc !a Pt~s Op'7M(!<<: nous CfOns ~US~M'CU tie!nter /a!( Mfrc deuotr. Stop. ~tue !6 FM/n'er/ ~tfe r~Uemo~ne.' Ce fut le dernier signe de vie du général Strecker et de ses braves.

Le pnnce G. de TouM-et-Taxis est tué sur !e front

Lisbonne, 5 février. Le jour. na) portugais <f A Voz a annonce, aujourd'hut, )a mort, sur je front de t'Est, du grince Cabrje) de Tour-et-Taxis.

Ce prtnoe aOemand était te neveu f/u prétendant au trône du portugal.

e

Le'proses de !'assass!n de Trotsky est commencé MESURES EXTRAORB)NA<RES CE PRECAUTION

Mextco, 5 fëvrier. Aujourd'hui a commencé la dernière phase du procès de Jacqujes Mcrnard, le meurtner de TrotsKy, qui fut reta.rd.ée deux ans par les artMices de procédure. Pendant tout ce temps, Monn'ard est resM emprisonné et a reçu d'une source mystér'ieuse, par l'intermédiaire d'une banque des Eta.ts-Unis, une ren-te mensuelle de 300 dollars. Les divers juges qui avai&nt été primitivemem chargés du procès se sont récusés au bout de quelques mois à la suite de menaces anonymes de mort qu'ils recevaient.

Pendant )'audience d'aujourd'hui, des précautions extraordinaires ont été 'prises pour 'empêcher que d~'s hommes arnKs puissent pénétrer dans le prétoire. Tous ceux qui désiraient assister a.I'audieTtc<! deva~nt. s'inscrire &ur un. registre et produir'e' des preuves de la nécessité de leur présence, ava.nt de pouvoir entrer dans la sa!!e.

L'audience a été limitée à la lecture des conclusions de l'accusation et des documents appuyant ta défense.

La phase finale du procès durera un mois environ avant le prononce du jugement,

A VICHY

THÉÂTRE

THEATRE DES FLEURS Samedi 6 février à 20 h. 45 et dimanche 7 Mvner at4ir 45:UnoJeunef)t)e6ava«.de André Haguet.

PROGRAMMES DU S FEVRtER CtMË-PRESSE (de 14 h. à 23 h.) Ces dames au chapeau vert, avec Marguerite Mcreno, Larquey, Micheline Cheirel, Alice Tissot.MadyBerry.

Samedi même programme.

LUX(del4h.a23t-.):L.e)))enfatteur, avec Ratmu.

Samedi même programme.

LEPAR)S(dellh.a23h.):Su)t-)e unerim)no)? 2

Samedi même programme.

TfVOt.) tde 14 h. à 23 h.) Unt eueute en or, avec Lucien Baroux. Betty Stockfeid.

Samedi même programme.

ROYAL (de 14 h. à 23 h.) Pentcarra). avec Pierre BIanehar. Annie Ducaux Suzy Carrier.

Samedi même programme.

V)CHY-0)NËfdel4 h. 4M h.): f Chasse à )'hemme.

Samedi même programme.

1 LA SEMAINE FINANCIÈRE LES MCTR!NES MûMTAMES El LES FAÏTS

Le D'' F'uîik. ministre de l'Economie et président de la Reichsbank, vient de faire d'importantes décla.rations sur la politique monétaire du R.eich, et, d'une façon plus générale, de l'Europe. A vrai dire, les conceptions allemandes de la monnaie étaient déjà bien connues. Elles ont été développées à maintes reprises, surtout depuis 1940, ma.is .exposé du D'' Funk constitue tertainement une des pris&s de position officielle les plus complètes dont nous ayons eu connaissance et il tient compte aussi des difficultés provoquées, plus d'ailleurs hors d'Allemagne qu'à l'intérieur du Reich, par la prolongation des hostilités et le financement de l'économie de guerre. D'après le D'' Funk, deux grands prinopes dominent la. doctrine de la monnaie que le Rech entend appliquer Le problème monétaire ne doit pas tenir une place de premier plan dans la politique économique. Et, deuxièmement, la nouvelle politique monétaire est autonome cette autonomie étant .opposée à.. l'automatisme » de l'étalon-or ou même des systèmes monétaires qu'els qu'ils soient de l'économie libérale.

Sur le. plan international, deux autres principes commandent ou plutôt commanderont, lorsqu'il sera édi.fié le système monétaire européen. D'une part, la stabilité des cours des devises sera désirable, ce qui n'exclura pas toutefois de temps en temps les modifications exigées par les « bilans économiques «. D'autre part, les rapports des monnaies entre elles seront déterminées par leurs pouvoirs d'a-chat comparée.

Il est intéressant de situer ces conceptions dans l'e cadre des théories les phM couramment admises et, plus encore peut-être, de dégager les règles générales auxquelles les monnaies doivent se plier, de plus ou nM.ins bon gré, sous tous l'es systèmes.

La subordination de la politique monétaire à la politique économique est S3.ns doute le changement doctrinaire et pratique le plus important. Le régime du gold standard !) n'établissait pas à priori x la primauté du monétaire. Mai" comm.e il fais~t de la. fixité de. la valeur-or des monnaies et, par conséquent, des rapports des devis', s entre elles, une r~gle absolue, la défense de la stabilité monétaire était devenue l'une des préoccupations capita.Ies des gouvernements. La politique économique sans laquelle le libéraiisme interdisait (ou du moins limitait) les interventions de l'Etat était dès lors influencée dans une Iarg< mesure par je facteur monéiaire. Une 'hnt3;nee à la baisse de la devise na' tionale entraînait en effet des exportions d'or, c'est-à-dire une contraction des crédite intérieurs, que consacrait habituellement une élévation du taux officiel d'escompte. La. contraction des crédits et leur renchérisse.ment influaient à leur tour sur lés prix, les salaires, les mouvements de capitaux, agissaient donc sur l'ensemble de l'activité économique dans un sens qui tendait à rétablir l'équilibre un moment rompu. Des phénomènes contraires accompagnaient la tendance à la hausse de la monnaie et, par le même automatisme corrigeaient la cause initiale du dérèglement.

Le 'système a fonctionné de façon. satisfaisante aussi longtemps

La mob!satton totale de la main-d'œuvre du Reich

ûectaranons de M. Fm sur tes récentes ordonnances Berlin, 5 février. M. Funk, ministre de l'Economie du Reich. a indiqué, devant les représentants de la presse, les raisons qui ont motivé les récentes ordonnances prévoyant la fermeture de certaines catég~r-es d'entrepriCctfe nout'eHc r~ttment<!tton, a-t-il dit, Mt ta sutM !o;/feue de '<t mo&~Ms(;t[on. (o!o)e de ia !noin-d'(!'uc''e df!poni&!e. ~ut t;fen< d'être décidée. /t ne s'u'?« cependant pat tfnfe"ement d'axg'menter !e nom&re des tracaKteurt dtsponibfes et de !cs en!}~o!/er cu~f fite oue po~stbM, m~fs d'éco!t0mf:er de! nMtn're~ preniteres. du ma<erfet et de f/a~ner de !a ptace. Donnant quelques détails sur les nouvelles mesures prises, M. Funk a précisé ({ue l'artisanat subirait beaucoup moins de restrictions que le commerce, étant donné qu'un grand nombre d'artisans ont déjà été intégrés à la production de guerre.

Quant a la rationalisation, qut aftecte notamment le personnel des banques. elle se poursuit de plus en plus activement. Les assurances, connaîtront surtout des mesures de rationalisation intérieure qui <ntÉresseront particulièrement les assureur:, des organismes professionnels.

Dans l'alimentation, les services indispensables seront maintenues. L'industrie n'est pas touchée par les nou-velles dispositions, une réglementation appro'priee ayant déjà été appliquée ii y a quelques temps.

Le Duce prend !a parole au conMté interministérie! <!u ravitaillement

Berlin, 5 fÉvrier. 0?t 7?MKde de Rome CM <' D.A'.B.

M. Mussolini a. pr.s la parole à l'occasion de ;a réunion du comité intern'inistériet du raritaiUement et de'la fixation des prix.

Il a soul'gné que le régime fasciste était fermement résolu a. maintenir 6on programme d'une direction fasciste de l'écoBomie itallen'ne et de la politique finanicére et monétaire. .S'écarter de ce programme, a. notamment dédaré M. Mussolini, c'j'utraMdr<!<t d une aMefnM directe au. <)tterets du peuple «aKem, étant donne 9.u'e)t dëyendf.inf te COMM de ta :tre itotfeh~e nott: MUfe~orderons en Même tentp: {'ordre ~octft!.

Le Duce a constaté ensuite avec satisfaction que l'administration du comité interministériel était assurée par un personnel se composant uniquement de dix fonctionnaires et employés.

M-.Pareschi, ministre dé-J'A~rieuiMi.re. a fait cormaKre ensuite que les pmMavures d'hiver avaient partout été opérées conformément aux plans, les projets retatifs à la production future de la péninsule! se trouvant ainsi réalisés.

Le comité a pris connaissance, enfin, d'an rapport satisfaisant portant sur les nouvelles constructions navales et le rendement des chemins de fer italiens.

i

Une &cgt!e Je 400.COO francs est uoMe à Pons

Paris. 5 février. une inconnue a vote dans une brasserie de Montparnasse une bague de platine ornée d'un briilant, appartenant & M. Paul Frospin, demeurant 159, rue BeUard. Le bijuu est estimé 400.000 francs.

(O.F.I.-Havas).

que les facteurs de déséquilibre n'ont pas revêtu une ampleur excessive, que la .circulation des produits, des capitaux et des hommes n'a pas rencontré trop d'entraves, mais aussi que les réactions humaines contre certaines conséquences de l'automatisme (variations de salaires, chômage) n'ont pas opposé une résistance trop vive aux disciplines rigides du régime. Le maintien de ces conditions n'a pas survécu à la. guerre de 1914-1918, aux désordres qui l'ont suivie et à l'évolution des idées soeiaies qu'elle a précipitée. Sous une forme ou sous une autre, la subordination de la monnaie aux exigences économiques et sociales a marqué toutes les .politiques monéta.ires adoptées entre les deux guerres. En fait, la Gde-Brctagne a même été la première a. diriger, dès septembre 1931 (c'est-àdire dès l'abandon du egoid standard ') la livre sterling en fonction d'une réadaptation des prix anglais auz prix mondiaux et de la satisfaction des besoins d'exportation de l'industrie britannique. Il existe cependant entre la conception anglaise de la monna.ie (telle du moins qu'elle se mani.festait avant la guerre) et la conception allemande les seules, en réalité, qui aient été clairement définies des divergences importantes qui traduisent surto'ut les différences de position des deux pays la Grande-Bretagne, puissance impériale, encore .fortement teintée de libéralisme, malgré son protectionnisme, l'Allemagne, puissance con.tinentale et convertie aux doctrines autoritaires. Dès lors, Londres devait sacrifier la stabilité de la livre au maintien de sa liberté, et Berlin, la liberté du mark à sa stabilité. Si l* autonomie. < de la politique monétaire revêtait ainsi des formes très différentes, si elle conduisait à des politiques économiques fort éloignées l'une de l'autre, elle n'éta.it guère moins grande dans un cas que dans l'autre. Les'hostifités ont d'ailleurs beaucoup rapproché les deux coneepti'ons. La form'ul'e autoritaire l'a. emporté, comme il est normal en période de guerre où l'emprise de l'Eta.t s'accroit au point de devenir à peu près totale, mais il va de soi que l'on ne saurait tirer de cette .constatation de conclusion définitive pour l'époque d'aprèsguerre.

<

Toutefois, on peut. semble-t-il, admettre, pour un certain avenir proba.blement assez long, que les considérations économiques continueront de prendre le pus sur ies considérations purement monétaires. L' automatisme dont les disciplines n'ont pas seulement des inconvénients ne conviem pus aux époques difficiles et troublées au point de vue économique, coaume sans doute aussi au point de vue social.

Ceci étant, on constatera que ~es principes définis par le Dr Funk s'appliqueraient à tous les systèmes concevables.

LavaIeurctiemaim'.Mndela monnaie dépendront, a dit le ministre aMemand.à la fois des « réalisations dans le domaine économique du ravitaillement en marchandises e't du pouvoir d'achat de )'argent. La troisième condition est d ailleurs une conséquence des deux premières. Le pouvoir d'achat de la monnaie est fonction, pour une très large

M. Sundermann exa)t6 )e îanattsme du Re!ch Berlin, 5 février. Et t'oict pouroMot nous fumerons, tel est le titre de l'article publia ce matin dans le \ocIkiseiierBeobactiter"par M. He.muth Sudermann, c.hcf adjoint de la presse allemande, qui s'occupe de l'actuelle mobil.~atiun totale de l'Allemagne.

Ce ou: M passe actueHcment en ~ttcmaone, écrit M. Suudermann, est ptus</u une mot) t.Hsa<ton, c'est te decfenchemcnt de noufet.es en<r~tfs produtt<~ pur i narmonje ej:tst<;nt entre ta concenfrafton de foutes tes /orcts <fe i'urmee et du <r<if<t<i, d'une p~rt, et ta confictton ancrée dans !a nxjsife du peupte dUemand ~ue nou.i <t<ons i/uf/ncr cette suefe ~t nom voulons c'0)(ftnMerat)n.)'e.

Après a~oir rappelé le sacrifice héroiQue des Ueteuseurs de Stalingrad, grâce auquel le danger de la ruée soviétique a perdu de son actualité. M. Suuderiuaua continue

JMtsrc toutes tes epret[t)e~~ut)te. nous ne io~mes pas defenm p~s yatbtesaucourjdiecet~itjer o'eftau cuntratre ta /e)-me resotution ut~ec ~t. ~ucMe te peuple ~Hemond jMMe d la concenfrattontot<tie<ïese:yorces<i a ren/orce d'une nMn(<,re decMtt'c le potent'et(!ecuerreat!e))t<;n<!etcu!'ôpcenetcont'nMeraftiefen/orccr.Ls pUMsance ntfttta.re dM ~ietch s'être, ;'0)-feet[ncbra)tt<:[)!econtm<'t'tnsfrttment m<Mta<re !e p~us occom.pK et te p!u< e/ftCQce de !t's(o(re mond'ate. Za tutte heroi~ue de ~(a.~n~rnd a ctcmono'e aue~t: <n<tomptat)!e orafoure antme !e ~oZdat <!t.em<i)ttt, m(tM derftere cette dure udtHance mUtt~tre not/! troufons cette /oM-ci un arrière endurci.

Le peMpte aHemand iott mteu.)' que ~ufcon~ue ouet'dctueHe!uttenton.dtate ftëcMem de la p~rt de son e~t!tc)Me nattonaie ou du otoneu.c aue)nr oui ~t a toujours été conteste. Cette concfcffon aott sur nous comme te sKmutant aut nK~n~ue tota!eme)tt d nos ennemis, .res autres nou.i ont menaces et attaques parce ou'(!s tte voutaient pas nous fatsser fifre et parce que leurs dirioeants aspirent d ta do?ntns<ton mondtate out. ~ut-efte ooicheftsM ou captMtste amencatne,' sion'/ter<!tf!<.[yi)tnonseu!ementcei'te- mo~ne nMtts oussi tie t'~urope. La yorce morate oue ce sens de ta Suerre donne d t'.H!em<ïf7nc et (i ses aH<es fa fie pair avec notre~ puissance mt!t<otre tnef/ranMe o~t conttnue d se <ïëfC!opper. ~e teMes co;M)tctions nous fnsptrent :e /<!na<!sn:e oui apportera ~<!ecfston/bMte<!ece!<eoUer)'e. Le fente des po~e~ reccpfears raJto-e~ctft~ces tnterdtte Paris, 5 février. Le m)'nts<e ~Mfetatfe ct'Eta! à ta Produchon t!:<tu:<rteMc commu~aMe Il est rappelé qu'à parur du 31 mars 1943, la vente des postes récepteurs radio-ëlectriques pour amateurs sera Interdite.

On sait que, dès te l'f janvier, a fabrication de ces appareils a étë prohibée. D'autre part, il sera interdit au public d'acheter directement des lampes de T.S.F. Seuls les radio-électriciens qua~ lifiés, titulaires d'une carte professionnelle, Feront autorises à remplacer euxmêmes les lampes défectueuses. Enfin, il est irterdit de vendre aux particuliers des pièces détachées de radio. Css articles sont réserves aux commerçants et artisans titulaires de la carte professionnelle qui les emploieront exclusivement aux dépannages et réparations. Toutes ces mesures feront l'objet d'un contrôle rigoureux.

part, des quantités de produits mis à la disposition du marché intérieur et du prix de reviens de ces produits. L'ne production insuffisante, des importations trop limitées pour les marchandises que le sol ou l'industrie nationaux ne fournissent pas, comme' des coû'ts de fabrication trop élevés (du fait notamment du niveau des salaires ou du loyer de l'argent) oonduiSÈ'nt inévitablement a un avilissement du pouvoir d'achat intérieur de la monnaie. Les devises-or eiles-mëmes, qu~De que soit l'importance de leur couverture métaUiqUt: n'ont jamais résisté à la longue à la déficience de l'activité nationale. L'antiquité, comme l'histoire la plus contemporaine fournissent de's exemples également convaincants. On a aussi pu assez voir en France que les manipulations monétaires ne peuvent jamais rendre la solidité à la devise si d'effort, producteur fait défaut.

De même, dans les relations internationales, la valeur relative des monnaies s'établir forcement à la longue en 'fonction des rapports de leur pouvoir d'achat. La règle peut être faussée pendant un certain temps et l'Allemagne ellemême en a. d'ailleurs donné la preuve. En 1939, les prix allemands. malgré la compression .qu'ils avaient subie depuis 1931, étaient supérieurs de 20 à 30 aux prix mondiaux du fait qm' le mark avait officiellement cunservé sa parité-or, tandis que toutes les autres monnaies avaient été dévaluées (40 environ pour le dollar, 45 pour la livre, Su 0/0 pour le franc suisse. 20 0/0 pour Ief)orin. près de 60' pour le franc françat). Le' déséquilibre ne pouvais être compensé que par une autarcie rigoureuse et par l'octroi de primes a l'exportation. Son caractère passagcT a. été cependant bien mis en évidence par !a politique du Reich dès que son influence en Europe a été suffisamment établie :ies primes a l'exportation ont été supprimées et des achats systématiques à l'étranger (en raison surtout des exigences de l'économie de guerre) ont conduit au rajustement des prix europëe'ns au niveau des prix allemands.

C'est bien le pouvoir d'achat de l'argent qui, se)on Te' Dr Funk, sera la base d'évaluation des changes. Le président de la Reichsbank reconnaît au surplus la nécessité d'une' stabilité aussi grande que possible, « comme par le passé ajoute-t-il (il s'agit évidemment du passé monétaire que commandait l'étalon-or). Sur co point, l'accord se'ra sans doute unanime. L'expérience des fluctuations cambistes a été suffisamment fâcheuse pour que le désir soit grand de'ne pas la répéter. Il conviendrait donc que .tes rajustements dont ]e Dr Funk admet l'éventualité de temps en temps après e'ntente entre les gouvernements, ne fussent pas trop fréquents. La difficulté serait probablement à cet égard, en l'absence des avertissements donnés par un marché cambiste libre, de conduire la politique économique (production, prix, finances publiques) avec une très grande sûre'té.

La Dr Funk cite l'exemple (lu' Reich la surveillance des prix et des salaires, la résorption de l'excédent du pouvoir d'achat par les impôts et les opérations de créditent réuni les conditions adéquates à la stabilité monétaire. On observera, à ce propos, que les disciplines imposées ne sont pas moins rigoureuses que celles qui découlaient de l'automatisme de l'étalo~or. si elles sont diffé-

1 CHRONIQUE RÉGIONALE

LES f~r~S Dt/ TET CLERMC~Vr

Selon les instructions reçues au secrétariat d'Etat aux Colonies, les Indochinois actuellement à Clermont- Ferrand ont célébré ce matin leur fête du Têt.

Sous les auspices de la section clermontoise de la Ligue maritime et coloniale, deux modestes déjeuners réunissaient, d'une part. les travailleurs Indochinois, d'autre part, les tirailleurs, la plupart revenus de captivité.

Assistaient a ces manifestations pour lesquelles nos habiles Indochino !s avaient réussi & édifier des autels ancestraux, MM..Grimald. représentant le gouverneur général Brévié. 'secrétaire d'Etat aux Colonies Gallois, président de la section clermontoise de la ligue maritime et coloniale, et Madame; les chefs de détachement et des représentants tte la presse. Ces deux réunions furent parfaitement réussies et rappelèrent a tous ceux qui eurent l'honneur de servir là-bas combien il est facile de bien œuvrer pour le pays lorsqu'on a su gagner les cœurs et les esprits de ceux dont on a pris la charge.

Un appel de Mgr ftgaef poor ~s ~rcHons Je &~e Mgr Piguet, éveque de Clermont, vient de prescrire la lecture dans les églises de son diocèse d'un communiqué dans lequel il fait un très pressant appel aux populations rurales pour les livraisons de leurs récoltes de blé au ravitaillement. U déclare notamment Les affreux malheurs, qui résulteraient du manque, de pain. la souffrance des gens des villes, des enfants, des vieillards, des malades, la famine et !es fléaux qui l'accompagnent font un devoir de conscience très strict aux producteurs de ne conserver auprès d'eux aucun stock de blé en dehors des besoins de leurs semences ou de leur propre consommation.

La livraison du Ne revêt, aujourd'hui, sur le plan économique, un caractère de nécessité absolue, et devient sur ]e pian moral, une question de conscience. C'~st pour ce motif que votre éveque élève la voix pour rappeler & chacun son devoir. Mais en cela réside aussi son espoir que son appe), uni à celui de toutes tes autorites sociales du pays. sera entendu. H en a pour garant le bon esprit et le cœur fraternel des cultivateurs d'Auvergne.

Aucun d'eux n'ignore qu'un ~our tous rendront compte à Dieu de l'usage de leur Me. Le pain vient du travail de l'homme et de la bénédiction féconde de Bleu. Ce serait offenser Dieu que de laisser sans pain les hommes ses frères, quand on a du bM.~ (O.FJ.-Havas) MORTDUCOKTRE-ÂMSRAL EE8REES WALSER

Nice, 5 février. Le contre-amira.l Georges Walser, âgé de 59 ans. commandeur de la Légion d'honneur, est décède aujourd'hui a Nice.

Sous-marinier de la première heure, inventeur en 1917 des appareils détecteurs do sous-marins, le contre-amiral Walser avait commandé une escadrille do sous-marins en Méditerranée, puis avait été attacha à la déclaration de guerre à la préfecture maritime de Lorient. Fait prisonnier lors de l'avance allemande, il avait été libéré peu aprss.

'(O.F.I.-HavasI.

rentes. On observera aussi que, dans une certaine mesure, la position- dominante prise par le reichsmark en Europe constitue pour l'Allemagne um avantage du même ordre que celui dont ont bénéficie, par leur position dominante dansée monde, la livre et le dollar.

La tache, pour. la plupart des autres nations européennes, est rendue pjus complexe du fait des circonstances, temporaires sans doute de l'économie de guerre à laquelle elles doivent participer. Leur ravitaillement en marchandises est .souve'nt précaire, toujours insuffisant. Les réalisations dans le domaine économique auxquelles il leur est possible de se livrer sont, en partie plus ou moins grande, détournées de l'objectif 'normal qui est de satisfaire des besoins de consommation ou d'investissement rentable.

Pour citer un seul chiffre, on rappeUera que les statistiques aiïemandes ont évalue, 'pour l'exercice budgétaire t')41-H)42 (au 31 mars) à ]4 milliards de marks la contnbution de l'Europe au financement des dépenses du Re'ch, sous forme soit de frais d'occupation (dont l'emploi dans le pays qui les paie correspond en réalité a des expor tations), soit de crL'd.its de ciraring. Il semble que,* pour l'exercice en cours. la contribution doive être encore plus ë'I~vee. EUe s'ajoute, il va de soi, aux dépenses propres des Etats et tend évidemment à abaisser le pouvoir d'achat intérieur des monnaies. Les phénomènes monétaires permanents, qui 'sont au-dessus de tous !es systèmes et auxquels tous les systèmes doivent se plier l'exposé du docteur Funk le montre bien opposent donc pour l'instant une gêne considerab!e a 1 l'Mifi'cation d'un régime monétaire quelconque.

De:.uis le temps où elles étaient payées surtout par !a < rogneri? dES espèces les guerres, quand eUes ont été longues et dures, ont toujours coûte cher aux monnaies. I! est possible dans une certainn mesure de dep~acer le tardeau. T! n'est du pouvoir de personne de supprimer. Jacques GASCUEL.

Sanctions contre des frc~Hanfs Je morcAe noir

Le préfet du Puy-de-DOme a prononcé l'internement administratif à l'égard de sept individus qu. se livraient à des abatages clandestins dans la! commune de Uerzat. Depuis plusieurs mois, ces individus faisaient l'acquisition de bestiaux qu'ils abattaient clandestinement puis livaient ensuite la consommation.

Indépendamment des poursuites judiciaires qui seront exercées à leur égard, il font l'objet d'un internement. administratif au centre de séjour surveille de Sisteron (Basses-Alpes). Les deux bouchers inculpés dans cette affaire verront, en outre, leur établissement ferme iK-'udantpiuseurs mois. LeprefttrappeUeàceproposque la viande venuue dans ces conditions échappe à tout contrôle sanitaire. Des mesures très sev&res de contrôle viennent d'être décidées par le préfet pour déceler dans la région tous les centres d'abatage clandestin, Qui pourraient encore subsister.

D'autre part, un producteur exportateur de pommes de BIanzat, qui avait vendu uue quant.të importante de pommes à un prix supérieur à la taxe. est également interhô et se voit interdire l'exercice de sa profession jusqu'à la fin de la. campagne 1943.

tû.F.I.-Havasi.

J LE THEATRE 1 « M~O~V ~1 CL~MM~r On peut avoir entendu vingt ou trente fois < Manon t. on a toujours du plaisir & l'entendre encore. Tous )es thèmes chantent dans nos mémoire:. Nous restons fidètesà la joie que nous procure cette musique de Massenet, imprégnée de tant tic sensibilité et de volupté. Des persifleurs raffines, érudits musicographes, ont bien vite dit < Musique de nerfs Musique de femmes ) t Peur un oeu, ils l'auraient traitée de musique morbide, alors qu'eue est surtout profondement humaine, et rend lyriquement, avec passion et sans détour, tout ce qui fait vibrer un cœur de femme, un cœur d'homme, dans ies péripéties d'un amour frémissant ou tourmenté. On a d'autant plus de pia.sir a réentendre « Manon quand l'œuvre est interprétée par un orchestre de premier ordre, et par des chanteurs dont la voix et le jeu réoondent & l'action passionnée du drame.

L'orchestre con'auite avec maîtrise par le compositeur Fichcfet, a su donner 4 l'oeuvre de Massenet, le cadre et l'atmosphère dignes d'elle. L'admirable symphonie de ses vicions réalisa dans sa plénitude, l'expression de suavité et de Dassion d'un sentiment tour à tour extasié et douloureux.

Mme Lise Bruge!, de l'Opéra-Comique, dont la voix magnifique, au timbre plein de séduction, ss jcue avec aisance de toutes les difficultés de la partition, réalisa une très belle Manon, d'une sensibilité aiguë et nuancée. E)te se donna <tB toute la puissance de son talent eiie chantait et Jouait d'&me. Lespiendida ténor José Janson, de l'Opéra-Comiquc, fut un partenaire digne d'éne. Et M couple aux deux talents si bien assortis, mérita les longues ovations qui ies accueillirent. La scène de Saint-Sulpice, point culminant du drame, tout entier r ramassé en cet acte magistral, fut chantée et Jouée par une Manon et un des GrieuTC. qui ne furent pas loin de .a perfection.

M. Maurice DatHy campa & merveille le personnage de ce mauvais garçon d** Lescaut, et fut servi par sa voix vibrante et son allure martiEie.

La betle voix de basse de M. Femand Deguil donna au rôle du père la noblesse et la gravité qu'il .comporte. M. Pierri* Chaban et René Rod. bons comédiens, donnèrent de !a vie et de l'animation aux scènesils parurent, et quant au charmant ballet, il récolta tous tes suffrages.

BOURSE DE LYON

DROITS DE SOUSOmPTtOM Cours ()u < fevfief. Raffineries de St-Louis offert au mieux contre 4.403. Pa.thé-Cinéma, '3S fr~ inchangé. Assurances vie < Le So)ei:I 540 c. 500. Banque de Paris 720.

Avis aux porteurs des obtigattons de la Compagnie,

Parisienne de distribution d'électricité

5 t 1933 et 5 1937

(y compris la tranche spéciale 1941-1S4Z)

En raison des circonstances actuelles. la « Compagnie Parisienne de Distribution d'Electricité » a. décide d'accepter la prolongation du délai pendant lequel les porteurs d'obli'gations susdites auront la faculté d.e demander à conser'VEr leurs titres moyennant réduction de rinter&t de 5 1/2 à 4 1/4 au lieu de les présenter au remboursement anticipé précédemment a.nno'ncé.

Un avis ultérieur fera connaître la date à laquelle expirera cet~e prorogation.

Monaco. 4 février. A Monaco a eu Heu te vernissage, a la maison de France, de l'exposition du Secours national.

6 et 7·2.43

BOURSE DE LYO.]~

DU 6 FÉVRIER 1943

Notre marché a manifeste aujour- Q d'hui des tenda]~" diverses. Un grand L nombre de valeurs optait l'objet do · nouvcHefdemac<]e. et ont ainsi rfga- f gne une partie d~icurhai'isepréce- c dente. Les rentes.'ont soutenues dans la p!upartdesca', n'accusant que c dp''difi'erences'mintmes. c Tenue satisfaisante du groupe han- catre où de lèpres reprises sont en- 1 registr&es. exception faite toutefois < pour la Banque de Paris nui s'e''t t négociée e'~ droit de souscription A i 2.500 (cour'. du droit :T3'0). Fermeté. de ia Banque dp France a :2.<XM et t reprise de iaHanf-jue de l'Azérie A !r 25.000 (+ J.MO). La Contpa~nie A)g;e- t F riennere,ag'nel75frnncs~G.42."ietJC C l'Union Parisicnn? B5 francs a 1.8T5.1/ 1 Kotons aue ie croupe Suez est lar- r

Rentes four" Courtdu Bau,Oat.E)ectrtc)t6 Cours Coure dtf et fonds d'Etat t"'e<ed. tour ~SM'te) t,re<Éd. )aur~ S 98 M 9825na!dp):afnteue. 3000.. 370!).. 4% H))?. )046f. !0430 Ça? <-t Faux. ~580. 4% nos ~0390 i0400<npnM~'estietni.es !957.. t950.. <i% )))'« ~4200 !4230 Enfrt;)ettt.)ustrteite. Je. 4375.. 4380.. 4)/M2A. !0)25 *!0~50 Lntre ocpnt.re. )S35. <);ua-JB. !0203 !0)95 ))y()r&E)dA)~ert;ne5230.. i700.. 8 %)Mta. M 85 )0000

St%)t)M 99 3C 9905 Mines metaiiiquee ('H~se[).~6%t9D8 12275 75 !2'75 moïtntu .6050. Oh!Tresnr<t%)":M ~3.2.. !!25.. !!<'t6o. 275.. 290..

<'atsAutnn4t%)! !f)2' t03tt.. )'?"'rnya )850.. !880..

<'a)s.Auton4%)'t )j)07.. )007.. ~onnAnte)n[.e. 435.

Bf)nsTr.4)/9%'m3 )t9t.. !090.. Le Njrket 3SQ9.. 3/00.. cr~at<%j..h. 2)27.. 2.27.. phosphates. P~duttschtmtquM Banques et Etat))" de Cr6d!t t'~t;~ 6200.. 6400.. na[h)t'e!Fran«; 32000..3:CO'). 2750. nnn.)Ue''t-'AtHer~e 24000..25CO)).M' Cntornntes. 3!BO. Ban(jue(iePart.s.. 3COO.. 2500. 3350.. 3500.. Un~nn PnDsX-nw.. !850.. ~875.. 'npy GCOO.. 6300.. (:nn)t) A!({Èr'eune. 6250.. 64,;5.. RhOne-t'omene 4200.. 4400.. notnHotrd'F.i-co'~t.tt MM.. 3825.. Sa~ntGnhata. 8300.. 8450.. Cré~tt Con)mpr'')ai. 3t50.. MM.. Sfi!)ne~L).)tt)nnH. )275. f;t-6<))tr.ynnna)!i. 8700.. 9000.. ~'ri.tf))'if)e. 3525.. t290:. SW6MfJ.en6r.tn ).) 3600. A)rf.t~utf)p.part.9250.8600.~ n M n t. !8!0- !760.. Phnst.hâtes non'.tant. 2050. S~fM~f.ynnnat-'e.. !400~ ''hn~[.hatCi.Tur))s)eas )375.. )405.. Snrtétû Marse))!a)se 3065.. 3085.. r~orvêstf'nnoAMto 5000. FMft!'rP:Ky)'n 6750. nntetteetFn'tfhpr. )700.. )725. 'r.Fonc.dA)x-T"n.. 2200.. 2000.. Petf0)09' Ports, Canaux Francat'.e') t'etrotes )775.. !9CO.. Port <!t.nos!;rto. 28750 Roya'Uu<chf)U<-).8500. Suez «-apitat) .28500. CanadtanHasto. M.

Sne!tjoutssance) 23300 M'<-anRat;'e !75.

Suc: (p. f<)!)'LH(-'ir).. 24600. )!25. Sue?SM<-)v))e'M MM. F'-anc~Wynmtnt! 340. Chemins de <er Caoutchoucs

E~t.Mp. !)45;. )077.. Caoutch 'ndfx'htne MM.. MM.. t.yon. cap. 20CO.. !770.. Tfrrt.aUuh! ~840. orX~HffS. cap. !590. )500.. Cnmboftge )670. Nord, cap. 2865. Ftn d Caoutchoucs 598. Mhtt. cap. )400.. t400.. Matnrca.or~ :29. M6tro. cap. MM.. 4900.. Mtfbf'Mn 59C0..4825.. SantaF6 MM. Mimnt 865.< < t'!)')an({. !8i)0.. ~765..

Charbonnages nun~op. MM.

Charbon, du Tunti)n 7500. Uer);out;nan 220)). Mh.f-.OA.mn 2600.. Mines d'Or et de Dtamants M)ne?()en~anxy.. 6950..6900. d'Or et Mtnt-sOeCourrtère: !200.. !300.. Cen'n.jMutfti! .4:50. M)n(.s<)ehen~ !560.. ~630.. ~t(.edutd. 4200. Mtn~ de Maries. 2!55. .3550. V)co)gn<-NœnxOrnct 2200 2350.. AnËtoAmeDc.Corp. 7i0. Mnntramhfrt. 4290..4350.. Areas. 560. )tn<-h<-t.aMn)t6re.G. MM. "rahpan 8)). Rncbe t.a 6tnltère. e. fi990 Chartered 435.

Metatturgte, Constructions r'rnwnMtne'i. 5325. mécaniques ungHafontetn. 850.

Forge. Nor(l et 1800 1810 Uo f:eers, orrl. 3575

For~Nord~ ~0.0.. ~75;:

Uena!nA~)n 4225..4200.. G))df)eh)s ,.· 843

LouvroUMnutbard 776. j~ersfomOn"~ 295::

Sc))ne)dt'r MM.. 5600.n~nnnp~h.;r.. M7

TTf-fHer)~ d.iMavre 2400 ..2380..

TTétllertes du flavre ^400 2380 Suln Nlgel 4350

Act<.r.e. Marine !780.. t650.. -M Ac)6r)es Ftnnfny 649.. 655..

A<St-E~ cr..775.

Arlérle> St~Ei.lei:, or. IllS ~yast fland 665

pp.)); ?200. w~,s,,rjn!,s 7~

M~r.Gn~e.~p. 20M.. 2055.. ~~r. 3~

Eau. Caï, Eiectrictté

CCncraie Faux cap.. 3340.

Lyonnaise Eanx cap 3526.. 3~00.. Raff'n'ay. !800. F)eftrtc)t& de Parts.. 2375.. MM.. ArDtjue.Occidentale. 5550.. 55~0.. ~tertrtctte ta Setce )600.. !600.. CrasserteQuttmes.. 35000. .fordmn~ere .2550.. 25)0.. Hnest-Afrtcatn 2650.. 2450. ).)ttnra! Medttfrran 3250.. 3275.. Coty !250.. n)5.. FnrcMMnt. Trnyere8!5f).. 8250.. Pernod 22!0.. 2300.. partstcnne mstrih.3650.. 3500.. PoUét-Chausson MM. r:enpra!f'dK)e<-trh-)t<'6!50.. 6400: S. n F. !000

LE 8 8PO RT8 Des coupes offertes par !e Maracha! récompenseront tes efforts des organ!smes muttisports

Paris, 4 février. ~e conjm~Mf)'«< f/f7)ercrt a t'Edxcctton s'encra';e f< OM.r 6'poff.! co;7tt)7un!~t/e fg fe.T<e de la !e«fc ?ue !e c~onet Poscot a adressé auj* ~residen~ 'des /ëde!'o~!ons d'a~fe~tsme, de 7)a<aft'on. de boxe et de !'M~t" au s"< de !'c~r'bM<!o?t de: coM~e: dM ~arec/tM!

La question des récomoenses sportives retient depuis longtemps mon attention. Sans doute, le sport reste-t-il en France une activité nationale où l'initiative privée dett jouer le plus grand rôle. 11 entre donc dans les attributions des organisations bénévoles que sont les Erandes fédérations sportives françaises d'établir la hiérarchie de leurs récompcnsea et d'honorer elles-mêmes, les meilleurs athlètes ainsi que les citoyens dont le dévouement sert efficacement la cause sportive. Mais 11 appartient cependant au commissariat senëral qui orienta, ccordonne, appuie l'effort des fédérations, de terminer et, eventuellc'ment, de décerner les récompenses sportives les plus hautes dont l'attribution revêt un caractère national. Au premier rang des récompenses nationales. collectives vont prendre part les coupes qui ont été offertes par le Maréchal de France, chsf de l'Etat.

Il convient de souligner la haute signification que le Maréchal & voulu attacher à ces récompenses.

Les quatre coupes so)tt tout d'abord destinées à sanctionner l'effort des associations sportives, c'est-à-dire des organismes. fëcéralément tnujtisports. sur lesquels repose tout l'édifice du sport français. Aussi ces coures seront-elles attribuées pour une année a une association sportive. ·

Elles doivent, d'autre part, récompenser tout spécialement les efforts dirleés par les associations vers le développement harmonieux de l'individu et vers l'affermissement des qualités viriles de la race. Aussi seront-elles attribuées à l'occasion de compétitions mettants aux prises les atMëtes dans les deux sports de base l'athlétisme et la natation, et deux sports de combats les plus virils un sport individuel la boxe, un sport collectif le rugby.

Elles doivent enfin récompenser les efforts diriccs vers une large diffusion du sport parmi les jeunes, espoir de la France plus belle de demain vers lesquels est allée si souvent la pensée du Maréchal.

Aussi tes formules des épreuves qui décideront de l'attribution de chaque coupe Bi elles doivent encore dans ~atre m!n!s!res cM!Ms t!emiss!enM~

Santi'ago-d'u-C'hiti, 4 février. MM. Manue'l HMatgo, ministre des Travaux pu'bMcs et des Comm-unications EMique Arha.ga.da, mitiis.tre des Terres et de' la Colonisat'on Miguel Etch.ebarne, ministre de .]a Santé publique, ont présenté leur dpmissi'on a'u président de la République.

Afin de laisser .sa liberté d'action au présidant Ri'os, M. Froila.n Ama.gada, ministre de J'Economie et du Commerce, a également présenta sa demissmn.

Le pEési.dent Rios a respectivement of.fert ces quatre portefeuUl'es à MM. Ricardo Bascunan, Osvaido Fusnzalida, Jc'ronpm.o Mendez et Rodoifo JaramiUo. Il est ainsi possible que cette crise pa.rti.eU~ du cabinet trouve aujourd'hui sa sotuti.on.

;ement .demandé l'action de capita) 3').000 c. 28.&00. l'action de jouisanee à 35.000 c. 23.800. la part de ondateur a 35.000 c. 2 4S3C et le cinquième civil à !),500 c; 8.450. Parmi les chemins de fer, faiblesse tu Métropolitain & 4.000 (- m5). Aux .harho~nagef.. reprisa de Vicoigno & '.3CO (+ 150) et de Courricrcs à .300 (+ 100). Dans le proope de la nCtatiurKi' nouYCau rpcui de SchneJter a 5.000 (- 305) et de la Marine L ).C50 (– 130).

Fermeté en RL'nf'Tai dp: titres d'eiccricité et du groupe des produits chini~ue' Aux pétroles. )a Française des 'etroics s'e~t négociée à l.'tOO (+ 12B). ~aoutchoutierrs diversement traitées. mx vaieurs diverses, reprise de Pertod a 2.300 (+ 00).

Vaieurs diverses

certains cas tenir compte des difficultés de l'heure présente seront-elles établies de telle manière que la compétition soit, le pius possible, réservée aux cadets et aux Junior.).

t Les quatre fédérations intéressées feront connaître le plus Mt poasib'.a ces formu- les qui. appliques des cette année, pourront être modifiées a l'avenir dans le sens qui vient d'être Indique, après approbation de ma part et préavis d'une année. Les coupes auront la dénomination st~vante:< coupe d'athlétisme du Mare\ chai a, e coupe de natation du Mare- chat coupe de boxe du Maréchal ff coupe de rugby du Maréchal a.

Signé PASCOT~*

(O.F.I.-Havas).

ACADÉMIES 1

~c/'Mm~ MM~ME

Paris. < février. Poursuivant la préparation de la ncuvifme édition de son dictionnaire. l'Académie française < yaadm:sl'a<lv<!rb'e<!)~cme)ttqu'eHe 0 S a défini d'une /a~oM ouutrtc~ <t<ne e mantt're mant/Mte. Auparavant. M. François Mauriac, t.; directeur, avait présenté, au nom de J'auteur, ~f. Em.le Mate. un volume & intitulé Honte et se: u!Ctt!es ~oKsei.

(O.r.I.-Hava-~).

Ce qu'i! faut saveu' I

n'y ocra poa Je « earfM d'eHamcKM H

Afemg&rps et tumeurs, rassurez- vous: nous ne manquerons plus d'a]!umette&. Voici (ju'on vient d'ouvrir une nou~ vellc usine provisoire & Maçon, et dë-\ ja notre production avait été accrue. S~, en 1942, de 20 par rapport à ce qu'eue était a.vant guerre (4.S mil- t It~rds d'aHumettes. au ]ieu .de 40). '< Bots et matières nece~aires à !a fabrication de ceHcs-ci ne font pas defaut seul demeura difficile t'approvisionnement ee boitatres et emballages. Eu outre, il y a a compter avec les transports dont peuvent avoir à sonff'ir les livraisons un wagon d'allume'tes ne contient, en effet, que 60 caisses de 7-2.000 bottes, soit 432.000 boites au total.

Mais. en dépit de cela, chacun doit. néanmoins, pouvoir désormais s'ap- { provisionner normalement chez son fournisseur habituel. Aussi, n'est-il pas du tout question d'instituer 1~ ''carte d'allumette:

i.'Mog< de refeefnctfe `

pom' ~e cAca~age dM Focoax Paris, 4 février. Un arrête du ministre secrétaire d'Etat a la Production industrielle et aux Communicatitns interdit l'usage de l'elect~cité pour le chauffage des locaux do~ mcsti~[uc'! ou autres à toute heure du. jour et de la nuit.

De directeur fie l'électricité, en application de l'article 3 de cet arrête. t admis une dérogation en faveur des usag'rs qui ont reçu un contingent f)'énergie en échange de coupons d~ charbon, et ceux qui disposent d'une installation de chauffage par accumulation m'unie d'un compteur d'heu- r~ res creuses, régulièrement autorisa dans la liste d'un contingent mensuel de 200 hilowatts par kilowatt puissance des appareils installes. (O.F.t.Havas],