« joursà quelciingî Par, jcçlluy sera continuelle1
• ment Dieu prjg vous donner bonne, longue et
• heureuse vie,1 craignant sa debtë perdre tous-
̃ jours bien de vous dira, en toute compaignie,
« afiri que, par
d'aultruy
Vossuro. Voussure « Gardèrent autour de la
« sale bien trois estages de haut sur une. liste de
pierre, sur quôy la yossure seoit. » (Percef. 1, 37.)
Vosto. Vilage < Faint d'approcher' et puis
« tome la voste. » (Al. Chart. 570.)
Vostor. Vautour « Le faucon est cassé dedens
• le corps, prenés graine de vostora et lui donnés à
.Vostro. Votre:* La forco en soit vostre.
» Vostre, tant vostre qu;it.n'est
« plus sien. Lettre de François I" à sa maîtresse.
e Jérds. p. 198.) « Ils se
« comme vostres chevaljers. (Percef. VI, 105.)
contre
/Votre. Se ous mettez le volre en biaus men-
« giers doner. » (Ms. 7218, f.
1. Vou. Votre: Se par voù gré l'avôié/» (Ms.
2. Vou. Bru < Si en manant une fille, le' gendre,
« aporte quelque sorti rne dedeniers,onal'opposite
« en mariant un fils, la vou ou pore apporte aussi
« qnelque somme de deniers qui est recognue par
« les père et rnere. » (C. G., II, p. 675.)
Vouado, Corvée due au seign,eur avec deux'
boeufs « Vinade entière est entendue de deux
• pairesde boeufset une charrette et droit àevouade
est d'une paire de boeufs ou d'une charrette.
Vouclio. Appel. (Qrdonn. I, p, 182.)
Vouchler. Appeler,
Si commence à pleurer de duel
Et puis après, a escopi. ''•.̃/<
1 Et a vouchié et a vomi. f. SSS.)
'Voudre. Foudre « II se consomma à ce ban-
̃ quet six voùdres de vin du Rhin blanc .et bien
bo.n, revenant à 34 muids, sauge françoise, le
.•
Voué. Avoué: Plusieurs toutes fois ayant la
̃ cognoissance es crimes, confection de procès
« ny exécution des criminels ain$ appartient i celle
« à monseigneur;
« tenir les delinquans vingt quat e heures pour de
• là eslre mis es mains du seigneur haut justicier
ou du voué. » (C. G. lI, « Ses voueries
en la terre et seigne.u rie do Gprse dépendent pour
«ia plupart des accords, traitez et conventions
G. H, p. 1075.) Qui fait voeu de virginité:.
ladite fu famé et b?»sraé«, 'i
Oui n'ot fruit aûclenriément:
Ains tôuas à Dieu qut ne ment
Que Uk virginité gardôo
•• .̃. v
Vouent©; [Nomfde localité. C'est Saint-Julien-
Car deux daines le m'ont appris J •'
Filles sont très belle$ et gentcs •
Prés Saint Julian de.s VouenUt,
Marches de Bretalgne ou Poictou. Villon. J>,S.3J
Vint avant un
gentilhomme portant un paon en Vie qu'il mit sur
la table pour vouer,' ceux qui voudfotént vouer,
se aucuns eny âvoit, et lors vouèrent deux des
« ehevalie/s de l'ambassadrice, l'un de faire armes
rosti, moult nobhemeni paré» le présenta au duo
« de vouer. Le duc luy rcspondit quo voirement
« c'es.toit bien raison et en présence de iùuivoùà.
que. il iroit, à toute sa puissance où le grand
« Turcseroit. » (Mpnstrel. 11I, p. 56;) « Jo voue
à Dieu et à N. D. que je tirerai sur les champ*.
(Froisà. III, 318.) a* Faire un vceu pour « Vour
raison de certain voyage et pellerlnage oy elle
< avôit, par grande ardeur, voué son mary. (Àrest.
Amor.84.)– «Adoçc estoit monseigneur le car-
dinal d Ambçise à Verscl lequel voua le roy à
•< N. De, de bonnes nouvelles*. 0 (Desrey après
Monstre!, p. 99.)– Environ ce temps, le roy fut
« malade. à cause de quoy plusieurs des pnncl-
i, paux le vouèrent en plusieurs lieux. » (IuVlOT.)
rouerie. lvAvouorie: « Les vàuerles du pays
pour la pluspart des accords et. conventions de
-'y
2» .Vcçu « Et sachez que oncles ne furent
« repentans du meffait ne vouerie ne fut ïutêQÂb
l'ODtraigô amender. » (Percef, Jl,f*116.),
{Cotyr.)
Si tous-
ours parmi la ylle sept ou huict que ducs. quo
i comtes, et trente ou quarente de ses arcniers