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Titre : Dictionnaire historique de l'ancien langage françois ou Glossaire de la langue françoise : depuis son origine jusqu'au siècle de Louis XIV. Tome 10, T-Z / par La Curne de Sainte-Palaye,..

Auteur : La Curne de Sainte-Palaye, Jean-Baptiste de (1697-1781). Auteur du texte

Éditeur : H. ChampionH. Champion (Niort)

Date d'édition : 1875-1882

Sujet : Français (langue) -- Avant 1300 (ancien français)

Notice d'ensemble : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb35881166j

Type : monographie imprimée

Langue : français

Langue : français ancien

Format : 50 microfiches de 98 images ; 105 x 148 mm

Description : Collection : Archives de la linguistique française ; 207

Description : Collection numérique : Arts de la marionnette

Description : Collection numérique : Fonds régional : Poitou-Charentes

Description : Dictionnaires

Droits : conditions spécifiques d'utilisation - Microformes et reprints

Droits : restricted use

Identifiant : ark:/12148/bpt6k506897

Source : Bibliothèque nationale de France

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 15/10/2007

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« joursà quelciingî Par, jcçlluy sera continuelle1

• ment Dieu prjg vous donner bonne, longue et

• heureuse vie,1 craignant sa debtë perdre tous-

̃ jours bien de vous dira, en toute compaignie,

« afiri que, par

d'aultruy

Vossuro. Voussure « Gardèrent autour de la

« sale bien trois estages de haut sur une. liste de

pierre, sur quôy la yossure seoit. » (Percef. 1, 37.)

Vosto. Vilage < Faint d'approcher' et puis

« tome la voste. » (Al. Chart. 570.)

Vostor. Vautour « Le faucon est cassé dedens

• le corps, prenés graine de vostora et lui donnés à

.Vostro. Votre:* La forco en soit vostre.

» Vostre, tant vostre qu;it.n'est

« plus sien. Lettre de François I" à sa maîtresse.

e Jérds. p. 198.) « Ils se

« comme vostres chevaljers. (Percef. VI, 105.)

contre

/Votre. Se ous mettez le volre en biaus men-

« giers doner. » (Ms. 7218, f.

1. Vou. Votre: Se par voù gré l'avôié/» (Ms.

2. Vou. Bru < Si en manant une fille, le' gendre,

« aporte quelque sorti rne dedeniers,onal'opposite

« en mariant un fils, la vou ou pore apporte aussi

« qnelque somme de deniers qui est recognue par

« les père et rnere. » (C. G., II, p. 675.)

Vouado, Corvée due au seign,eur avec deux'

boeufs « Vinade entière est entendue de deux

• pairesde boeufset une charrette et droit àevouade

est d'une paire de boeufs ou d'une charrette.

Vouclio. Appel. (Qrdonn. I, p, 182.)

Vouchler. Appeler,

Si commence à pleurer de duel

Et puis après, a escopi. ''•.̃/<

1 Et a vouchié et a vomi. f. SSS.)

'Voudre. Foudre « II se consomma à ce ban-

̃ quet six voùdres de vin du Rhin blanc .et bien

bo.n, revenant à 34 muids, sauge françoise, le

.•

Voué. Avoué: Plusieurs toutes fois ayant la

̃ cognoissance es crimes, confection de procès

« ny exécution des criminels ain$ appartient i celle

« à monseigneur;

« tenir les delinquans vingt quat e heures pour de

• là eslre mis es mains du seigneur haut justicier

ou du voué. » (C. G. lI, « Ses voueries

en la terre et seigne.u rie do Gprse dépendent pour

«ia plupart des accords, traitez et conventions

G. H, p. 1075.) Qui fait voeu de virginité:.

ladite fu famé et b?»sraé«, 'i

Oui n'ot fruit aûclenriément:

Ains tôuas à Dieu qut ne ment

Que Uk virginité gardôo

•• .̃. v

Vouent©; [Nomfde localité. C'est Saint-Julien-

Car deux daines le m'ont appris J •'

Filles sont très belle$ et gentcs •

Prés Saint Julian de.s VouenUt,

Marches de Bretalgne ou Poictou. Villon. J>,S.3J

Vint avant un

gentilhomme portant un paon en Vie qu'il mit sur

la table pour vouer,' ceux qui voudfotént vouer,

se aucuns eny âvoit, et lors vouèrent deux des

« ehevalie/s de l'ambassadrice, l'un de faire armes

rosti, moult nobhemeni paré» le présenta au duo

« de vouer. Le duc luy rcspondit quo voirement

« c'es.toit bien raison et en présence de iùuivoùà.

que. il iroit, à toute sa puissance où le grand

« Turcseroit. » (Mpnstrel. 11I, p. 56;) « Jo voue

à Dieu et à N. D. que je tirerai sur les champ*.

(Froisà. III, 318.) a* Faire un vceu pour « Vour

raison de certain voyage et pellerlnage oy elle

< avôit, par grande ardeur, voué son mary. (Àrest.

Amor.84.)– «Adoçc estoit monseigneur le car-

dinal d Ambçise à Verscl lequel voua le roy à

•< N. De, de bonnes nouvelles*. 0 (Desrey après

Monstre!, p. 99.)– Environ ce temps, le roy fut

« malade. à cause de quoy plusieurs des pnncl-

i, paux le vouèrent en plusieurs lieux. » (IuVlOT.)

rouerie. lvAvouorie: « Les vàuerles du pays

pour la pluspart des accords et. conventions de

-'y

2» .Vcçu « Et sachez que oncles ne furent

« repentans du meffait ne vouerie ne fut ïutêQÂb

l'ODtraigô amender. » (Percef, Jl,f*116.),

{Cotyr.)

Si tous-

ours parmi la ylle sept ou huict que ducs. quo

i comtes, et trente ou quarente de ses arcniers