A MAD.
St votre absence continue,
-)e vous en avertis; mon amour diminue.
En vous différons dons des cieux
Font un tout rare et curieux:
Mais quand un si beau tout est un temps sans paraître A mes yeux, à mes propres yeux,
Je viens à douter qu'il puisse être. SUR MA VIEILLESSE IL fallait n'être vieux qu'à Sparte, Disent les anciens écrits.
0 Dieux! combien je m'en écarte, Moi qui suis si vieux dans Paris!
0 Sparte! Sparte, hé!as!qu'etes-vous devenue? Vous saviez tout le prix d'une tête chenue. Plus dans la canicule on était bien fourré, Plus l'oreille était dure et l'ceil mal eeiaire, Plus on déraisonnait dans sa triste famille, Plus on épiloguait sur la moindre vétille, Plus contre tout son siècle on était déclaré, Plus on était chagrin et misanthrope outre, Plus on avait de goutte et d'autre béatille, Plus on avait perdu de dents de leur bon gré, Plus on marchait courbé sur sa grosse béquille, Plus on était enfin digne d'être enterré, Et plus dans vos remparts on était honoré. 0 Sparte! Sparte, hétas! qu'ctes-vous devenue? Vous saviez tout le prix d'une tête chenue.