s'établir en matière de fiefs III 457CISUV.
Partage des biens. T?M réglé par les seules loi, civiles ou politiques ,111.71. 1
Partage des tenes. Quand et comment doit se faire précautions nécessaires pour en maintenir l'égalité, I ?o5 et suiv., 206. Celui que fit Itomulus est la source de toutes les lois romaines sur les successions, 1 1 1 1 07 et suiv. Celui qui se fit entre les barbare. et les Romains, lors de la conquête de, Gaules, prouve que les Romains ne furent point tous mis en servitude et que ce n'est point dans cette prétendue seivitude géneiale qu'il faut cherclitr l'ongine des serfs, et l'ongine des fiefs 2o5 et suiv Voyez Terni.
Partîtes. L'affahi ite de Mitluidate leur rendit ce loi insuppoi table cause de cette bizarrerie, 11 216. – Révolutions que leuis guerres avec les Romains apporteient dans le commerce 35i. r. Partie publique. Il ne pouvoit y en avoir, dans le temps que Its s lois <Jes bai bai es etoient en \i- i- gudir: il ne faut pas prendre les avoues pour ce que nou, appelons aujourd'hui partie publique quand a ete établie II I ?s5 et suiv.
Passions,. Les pures peuvent plats aisément d.innet a leurs enfans leurs passions que leuis connoissances parti quelesiepubliques doivent tirei tle cet e lègie 1 188. – Moins nous pouvons donnet cameie à nos pa sions particulieies, plu* nous nous livjons aux générales de la l'altucbement des moines pour leur ordre aoo.
Pasteurs. Mœurs et lois des peuples pasteurs, 1 1 i85.
Patano. Combien la lubricité des femmes y est grande causes H, i47-
Patriucm. Comment leurs prérogatives influoient sur la tian-
quillité de Rome ni'.xessa'n es sous les lois, inutiles pendant la iépul>lique, 1, 4i<) et suiv. Dans quelles assemblees du peuple ils avoient le plus de pouvoir, 45i. – Comment ils dev inrent subordonnés aux plebeiens, 454 et suiv.
Paine (amour de la). C'est ce que l'auteui appelle veitu en quoi consiste à quel gouvernement est piincipalemeut affectée, 1, 187. -Ses effets, joo.
Pâturages. Les pays où il y en a beaucoup sont peu peuplés il, 44V
Paul. Raisonnement absurde de ce jurisconsulte ,111, 279.
Pain rite. Fait finii les monarchies 1 3i5. – Celle d'un pe- tit elat qui ne paie point de tii- buts est-elle une preuve que, pour rendre un peuple industrieux, il faut le surcharger d'impôts, II 49 – EflfeU filnestes de celle d'un pays, 5o. -Celle des peuphs peut avoir deux causes leuis diilerens efï'elit, ;65 –C'est une absurdité de diie qu'elle est favoiable à la piopaffation 44'. – Ne vient pas du défaut île proplie te, mais du d< f.i it de travail 4/9» – Sour( es 01 dinaii es de la pauvieté d.h pat 'iciihcis. Moyens de soulager et de prévenir t ette pauviete i° les hôpitaux ou pluU>( des becouts qui ne soient que p.issageis, comme la cajse du mal qui, dans un etat bien legle, ne duit jamais èt»e perpetueile 2" l'inleidiction de l'hospitalité chez les muînrs, et de tous les asiles de la paresse <, 479 t t suiv.
Pays de diott écrit. Pouiquoi les coutumes n'ont pu y pitva'oir sur les lois romaines, III, 1 52. – Révolutions que les lois romaines y ont esoiiy^es 1 55. Pays fût mes par l'mUutlriô des hommes. La liheite y convient, h, 178.
Paysans. Lorsqu'ils sont à leur