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Titre : Oeuvres de Montesquieu : avec éloges, analyses, commentaires, remarques, notes, réfutations, imitations. T5 / par MM. Destutt de Tracy, Villemain, Walckenaer,... d'Alembert, Helvétius, Voltaire, Dupin, Échasseriau, Langlet, le cardinal de Boisgelin, Condorcet, Marmontel, Cartaud de La Villatte, Grosley, Filangieri, Beccaria, le comte de Saint-Roman, Mme Geoffrin, Léonard, Colardeau, Suard

Auteur : Montesquieu (1689-1755). Auteur du texte

Auteur : Beccaria, Cesare (1738-1794). Auteur du texte

Éditeur : Dalibon (Paris)

Date d'édition : 1826-1827

Contributeur : Filangieri, Gaetano (1753-1788). Auteur du commentaire

Contributeur : Cartaud de La Vilate, François (1700-1737). Auteur du commentaire

Contributeur : Lenglet, Étienne-Géry (1757-1834). Auteur du commentaire

Contributeur : Villemain, Abel-François (1791-1870). Notes éditoriales

Contributeur : Destutt de Tracy, Antoine-Louis-Claude (1754-1836). Auteur du commentaire

Notice d'ensemble : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb30970200x

Type : monographie imprimée

Langue : français

Format : 8 vol. : portrait ; 24 cm

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Description : Appartient à l’ensemble documentaire : GTextes1

Description : Appartient à l’ensemble documentaire : CentSev001

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k4547869

Source : Bibliothèque nationale de France

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 19/08/2008

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« doxe des anciens par rapport aux mœurs. » Il s'agit de musique et d'amour.

L'auteur se fonde sur un passage de Polybe mais sans le citer. Il dit que « la musique étoit « nécessaire aux Arcades, qui habitaient un pays « où l'air est triste et froid » et il finit par dire que, selon Plutarque, « les Thébains établirent K l'amour des garçons pour adoucir leurs mœurs.» Ce dernier trait seroit un plaisant esprit des lois. Examinons au moins la musique. Ce sujet est intéressant dans le temps où nous sommes. Il semble assez prouvé que les Grecs entendirent d'abord par ce mot musique tous les beauxarts. La preuve en est, que plus d'une muse présidoit à un art qui n'a aucun rapport avec la musique proprement dite, comme Clio à l'histoire, Uranie à la connoissance du ciel, Polymnie à la gesticulation. Elles étoient filles de Mémoire, pour marquer qu'en effet le don de la mémoire est le principe de tout, et que, sans elle, l'homme seroit au-dessous des bêtes.

Ces notions paroissent avoir été transmises aux Grecs par les Égyptiens. On le voit par le Mercure Trismégiste, traduit de l'égyptien en grec seul livre qui nous reste de ces immenses bibliothèques de l'Égypte. Il y est parlé à tout moment de l'harmonie de la musique avec laquelle Dieu arrangea les sphères de l'univers. Toute espèce