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Titre : Oeuvres de Montesquieu : avec éloges, analyses, commentaires, remarques, notes, réfutations, imitations. T5 / par MM. Destutt de Tracy, Villemain, Walckenaer,... d'Alembert, Helvétius, Voltaire, Dupin, Échasseriau, Langlet, le cardinal de Boisgelin, Condorcet, Marmontel, Cartaud de La Villatte, Grosley, Filangieri, Beccaria, le comte de Saint-Roman, Mme Geoffrin, Léonard, Colardeau, Suard

Auteur : Montesquieu (1689-1755). Auteur du texte

Auteur : Beccaria, Cesare (1738-1794). Auteur du texte

Éditeur : Dalibon (Paris)

Date d'édition : 1826-1827

Contributeur : Filangieri, Gaetano (1753-1788). Auteur du commentaire

Contributeur : Cartaud de La Vilate, François (1700-1737). Auteur du commentaire

Contributeur : Lenglet, Étienne-Géry (1757-1834). Auteur du commentaire

Contributeur : Villemain, Abel-François (1791-1870). Notes éditoriales

Contributeur : Destutt de Tracy, Antoine-Louis-Claude (1754-1836). Auteur du commentaire

Notice d'ensemble : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb30970200x

Type : monographie imprimée

Langue : français

Format : 8 vol. : portrait ; 24 cm

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Description : Appartient à l’ensemble documentaire : GTextes1

Description : Appartient à l’ensemble documentaire : CentSev001

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k4547869

Source : Bibliothèque nationale de France

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 19/08/2008

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OBSERVATION

Proposition de l'auteur.

90. « A mesure que le luxe s'établit dans une « république, l'esprit se tourne vers l'intérêt par« ticulier. A des gens à qui il ne faut rien que le « nécessaire, il ne reste rien à désirer que la gloire « de la patrie et la sienne propre. » Mais dit le critique on peut dire la même chose des monarchies il est bien certain que, si tous les sujets se contentoient du nécessaire, il ne leur resteroit plus rien à désirer que la gloire du prince, la leur propre et celle de l'état. Il faut donc conclure aussi, par la même raison que le luxe est dangereux dans un gouvernement monarchique.

RÉPONSE.

L'on a déjà prouvé qu'en général il n'y a point assez de vertu dans la monarchie, pour que les sujets puissent borner leur ambition à désirer la gloire du prince et celle de l'état; chacun songe d'abord à son avancement particulier. La supposition du critique tombe donc d'elle-même. De plus, je dis que le luxe, quoique presque toujours dangereux pour les mœurs, ne peut guère Page 85.