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Titre : Précis historique des campagnes de l'armée de Rhin et Moselle, pendant l'an IV et l'an V : contenant le récit de toutes les opérations de cette armée, sous le commandement du général Moreau, depuis la rupture de l'armistice conclu à la fin de l'an III, jusqu'à la signature des préliminaires de paix à Léoben... ([Reprod.]) / par le citoyen Dedon l'aîné,...
Auteur : Dedon-Duclos, François-Louis (1762-1830). Auteur du texte
Éditeur : MagimelMagimel (Paris)
Éditeur : StrasbourgMagimel (Paris)
Éditeur : LevraultMagimel (Paris)
Date d'édition : 179.
Sujet : France -- 1789-1799 (Révolution) -- Opérations militaires
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb37262876v
Type : monographie imprimée
Langue : français
Format : 6 microfiches ; 105*148 mm
Format : Nombre total de vues : 331
Description : Collection : Les archives de la Révolution française ; 11.1a.468
Description : Collection numérique : Fonds régional : Alsace
Description : Contient une table des matières
Description : Ouvrages avant 1800
Droits : conditions spécifiques d'utilisation - Collection Les archives de la Révolution française
Droits : restricted use
Identifiant : ark:/12148/bpt6k44262v
Source : Bibliothèque nationale de France, Lh4-105
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 15/10/2007
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celui-ci avoit enlevé une pièce de canon à l'ennemi.
Nous étions trop éloignés de l'appui que pouvoit nous prêter le lac de Constance pour soutenir notre droite, et nos communications étoient trop mauvaises, pour puuvoir, sans danger rester aussi éloignes de nos frontières. Quoique nous n'eussions pas encore perdu l'espérance de voir reprendre l'offensive à l'armée de Salubre et Meuse, cependant, comme jusques-là nous n'avions pu réussir à la dégager Moreau se détermina à continuer sa retraite, et il venir prendre une position plus resserrée et plus rapprochée «d'où il put de tacher un corps de troupes pour couvrir ses derrières et attendre des circonstances plus heureuses pour remarcher eu avant. Il se mit en mouvement pour venir prendre la position de l'iller, la droite au lac de Constance, et la gauche à Ulm. Dans ce dessein. il détacha le général Montrichard, avec quatre bataillons et deux aller à Ulm couvrir cette place ainsi que les ponts du Danube et repousser les partis ennemis venus de Mànheim par Stuttgard qui s'avançoient jusqu'à Gœppingen. Ce détachement partit de Friedberg fît des marches forcées pour se porter à n'y précéda que d'une heure la division de par la rive gauche du