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Titre : Journal des débats politiques et littéraires

Éditeur : [s.n.] (Paris)

Date d'édition : 1840-02-02

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb39294634r

Notice du catalogue : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb39294634r/date

Type : texte

Type : publication en série imprimée

Langue : français

Format : Nombre total de vues : 200316

Description : 02 février 1840

Description : 1840/02/02.

Description : Collection numérique : BIPFPIG63

Description : Collection numérique : Arts de la marionnette

Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique

Description : Collection numérique : Grande collecte d'archives. Femmes au travail

Description : Collection numérique : La Grande Collecte

Description : Collection numérique : Histoire diplomatique : Révolution - Empire (1789-1815)

Description : Collection numérique : Histoire diplomatique : Restauration - Monarchie de Juillet (1814-1848)

Description : Collection numérique : Histoire diplomatique : IIe République - Second Empire (1848-1870)

Description : Collection numérique : Histoire diplomatique : IIIe République (1870-1914)

Description : Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k4404725

Source : Bibliothèque nationale de France

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 15/10/2007

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.Des IcMfM de Chatte et des E/~°<s de CoMMKCfce en ~ët~ra~, par M. Louis Nouguier, avocat à !a Cour royatede,Paris(l).

Les commerçans forment une nation au milieu de toutes les Bâtions, ayant ses coutumes, ses privilèges même. Chaque jour ce grand et industrieux peuple étend son empire, et exerce une influence de plus en plus progressive sur lamarchedela civilisation.

1Mais avant d'arriver à trôner jusqu'à donner son nom à l'ère dans laquelle .nous vivons le commerce a long-temps lutté contre les divers intérêts qui l'exploitèrent à leur profit individuel néanmoins de cette lutte même sortirent ses institutions particulières qui peu à peu obtinrent droit de cité dans la plupart des Etats.

De toutes ces institutions, la plus heureuse comme la plus féconde fut l'invention de la lettre de change, car dès lors, comme le dit M. Nouguier '< Les distances se rap)) prêchèrent, et tes millions traversèrent l'espace avec la » rapidité de la poste ou de la marche* d'un navire o) car dès lors plus de frais énormes de transport, plus de souci du monopole du numéraire. Signe représentatif de la valeur, la lettre de change devint l'âme du commerce et ouvrit le crédit, cette voie par laquelle se sont opérés tant de

prodiges.

Destinée à propager les relations commerciales non seulement de place en place, mais encore de peuple à peuple, la lettre de change dut trouver partout aide et protection et avoir son existence réglée par chaque législation nationale.

Aussi le législateur, pour en faciliter l'émission et en assurer les effets, l'entoure-t-il d'immunités, de garanties toutes spéciales.

C'est un traite complet sur l'importante matière des effets de commercé, que vient de publier M. Louis Nouguier, avocat à la Cour royale de Paris.

L'ouvrage forme deux volumes.

Le premier volume e?t divisé en cinjj livres; le premier traite de l'utilité et de l'origine des lettres de change; le deuxième, du change et du contrat de change; le troisième de la lettre de change; le quatrième, des effets négociables autres que la lettre de change; le cinquième, de la prescription.

Le deuxième volume renferme les textes de la législation ancienne et les divers réglemens d'administration publique, qm s'occupent des effets de commerce et dés opérations de change, ainsi que les textes de la législation internationale, spécialement do l'Autriche, de Bade, de Bavière, de Belgique, de Brème, des Iles Britanniques, de Danemark, d'Espagne, de Francfort-sur-le-Mein, de Grèce, de Hambourg, de Hesse, de Hollande, des différons Etats de l'Italie, de Pologne, du Portugal, de Prusse,.de Russie, de Saxe, de Sùèdë'et de la Norwége, des divers cantons suisses, de Turquie, etc. l'ouvrage se termine par un tableau jgénértd des usances de l'Europe.

Dans son premier volume l'auteur traite plus de 5SO questions nées des difficultés d'application qu'à soulevées la loi française sur les effets de commerce, et y analyse 800 arrêts rendus pour retondre ces questions.

La méthode de M. Nouguier est simple: il commence par exposer Ie~ principes qui commandent chaque disposition de la loi, les suit dans toutes leurs ramifications, et rejette dans un appendice à la suite de chaque chapitre le monument de la jurisprudence et la citation des auteurs, dont -cependant il examine et discute les opinions dans le cours {<) Chez Fauteur, rue Neuve-Saint-Augustin et chezHinerav

Hbraire rue de Seine ,10.

VotCt ce que rapporte L ESCLLAPE, journal des intérêts médicaux sur l'un des médicamens tes plus en vogue aujourd hm parmi les médecins Arec ies poudres ferrées du docteur Quesnevil'e, on prépare une eau auon peut mêler au vm, au sirop a la bière c'est un énxir de vie pour les estomacs débites. En faisant usage de cette eau, il est rare que a force tonique des organes digestifs ne se ranime pas après quelques semaines de traitement. Dans le cas de chlorose, quand !e sang parait appauvri, privé de ses qualités constitutives, et que le corps, étiole dans sou aspect extérieur, affaibli dans ses forces radicates se refuse aux fonctions qui exigent !a ptus légère fat.gue, toujours est-u que cette préparation est !e remède par excellence, la panacée par laquelle -tes couleurs reviennent, les forces se raniment et la santé remplace la maladie, fi Aucune autre préparation ferrugineuse ne peut, du reste, surpasser celle qui, comme cette dernière, se rapproche autant de la composition des eaux minérales naturelles aucune autre ne mérite mieux )a confiance des praticiens jar les succès nombreux qu'ils en ont obtenus. Prix du uacon 2 fr.; 12 uacons pour un traitement, ~ltr.–Rue.'acob,30,aPar<s. ~702)

~'m~i~~imLËSM~ 'TtmACBEAM~MM~E. e.

APARTtR DU PREMIER jAKVtEn M'seemvemtedtesdeMXttremtMsvo~MMesdeJAarVÏERetFEVBUERtS~O. ~ManM~rM

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~eYratesYotumesadomicne, .MJUSS I.A&iL&ifilUjLWM iwUMM ië~ iJiiFiaâU-i.MaMiS Wj~UUjWt. r-

-1-teceyra les volumes i domicile. ¡' r' d, quàe. (721)

YEmmemms.

.EtMde <{e Jtfe <Hat)<fa~, at)0!te a ParM fMe A'etfM-~M-~Mt-CAamp~, 87. ~DJPMOATMN DBHNmvB te 8 février tMO, en l'audience des criées du tribunal civil de première instance de ta Seine, local de la 1~ chambre, Issue de l'audience, une heure de relevée, r

,'f M~WB MAM~M sise & Paris, rue Nenve-des-Bons-Enfans, B" 9, et rue de Valois, n" 2t, d'un produit ~e 8,500 fr.

Sur la mise a prix de. <25,000 fr. 2~ D UNE MAISON

<b< a Paris, rue du Faubonrg-Saint-AnMiRe, n" 154, a l'angle de la rue Lenoir, avec si;t échoppes en bordare, sousien" 20 ..sur cette dermere rue, le tout susceptible d'un produit de 3,5()0fr. Sur ta mise à prix de. 30,500 fr.

S BME MAM~NT

ifervant d'aubeme et. ayant pour enseigne ~tt~K)W<e<a M-OtZ, sise tLit Villette,rue de Fitodre, n" 76, t l'angle de la rue du Htvr<, d'un produit de 2,500 fr.

Sur la nuse à prix de. 30,000 fr.. 4<'n'UNBMAKpNBOUtM!EOI9B

avec jardin et depenoances sise a Belteville. boulevard des Couronnes, n°3~ et donnant par derrière sur la rue Denoyez, non louée. Surlamiseàprmde.4t,000fr.

D~JNTERRAM

MrVMt de cuanuer de bo<s à nrùter, avec coMtruetions, sis & BetieviUe boulevard des Couronnes, a t'angie des rues de FOritton et Dénoyez, d'un produ!t de t,~00 fr.

Suriamise4prixde.M,OOOfr.

6-' D'UNE CRANBE NLMSON sise à Be)ievi))e, rue de Paris, r." 2, à t'angte du boulevard des CMrounes, à t'enseigne de !a CfeHfttte d'un produit de 3,OUh fr. Sur la mise i) prix de. 35,000 fr.

'!o 0'UKE MAISON ET BBPENDAKCES sise à Bettevitte, Grande-Rue de Paris, 30, à t'angte de ceUe de TourHHe, sur ia<)uc!)e eUe porte les n"' 1 et 3~ portant tutre'ojs t'enseigne du Gratt<t-)~Htno!<6«r,d'un produit de 3,700 fr.

Snr ia mise a prix de. 35,080 fr.

8°MtmeMattton

avec jardin et dépendances sise à Be))evi))e, e~uMée de Menihn"n<ant, n" 3, ayant ponr enseigne ~t< arand &tt!!<-t't<M<t)t, autrefois te fer <t CAeee!, d'un produit de 1,208 fr..

Surta miatA prix de. 14,000 fr.

8'DE r!SCES DE TERRE

jtises commune de BeUeviUe, d'un produit det38fr.

Sur la mise a prix de. 3,000 fr.

B UNE riECE MS TnERRE tise commune de Charonne, d'un produit de 25 fr.

Snrtamite~prix de. 400 fr.. H" De la jouissance emphytéotique de PIÈCES DE TERRE iises commune de Snresnes, d'~n produit de C6 fr.

Sur la m)se a prix de. 450 fr.

S'adresser pour les renseignemens, aPjtTM a

i°AM'' Glandaz, tvouo, rue Neuve-dfa- 1 MH-Champs,n''tn; ï-' A M' fitt, notaire à BeUeyiue. (573) t

VARIÉTÉS.

ADjmMCATION en la chambre des notaires de Paris, par ie ministère de M' LouYa''cour,)'un d'eux,

t~ mard: 25 /M'rter i 840, /teMre ~c mMt, D'UNE BE~ME MAtSON Sise à Paris, rue de la Victoire, n' 2t, touee presq); er) tuta)ité et susceptible d'un produit d'au moins t(i,000 fr.

Mise a prix 200,000 fr.

tt sufhra d'une seuie enchère pour rester adjudtcataire.

On traHera à ramiabie, s'i) est fait oOres su<t'santes.

S'adresser snr tes liem, au concierge et pour les renseignemens, audit M- LoUtancour, notaire, boute~ard Saint-Martin, 5t).

_FOS~

A VENDRE par adjudication, en )a chambre des notaires de Paria, sise place du ChSteiet, par le ministère de M' Aùmont-TiueMtte, !'un d'eux, ie mardi 23 février <MO, heure de midi,

PNB MAISON SISE À PAïUS, tuePastoure))<n"0, ayant son entrée par uneportecoehère;

Sur ta mise à prix de 30,000 fr.

UNE AUTRE MAISON HSE A PARtS, même rue, 2t, ayant boHtfqne 1 aure~-de-chaussëe;

Sur )a mise a prit de 25,000 fr.

H sunira d'une ~eu)e enchère pour que i ~'adjudication soit prononcée. i

S adresser pour les renseignemens à M* s ~nmont-ThièYitie, notaire à Paris, rue Saint- r [)enis,n<'2tT, dépositaire du cahier des ( :harges. (OTO) j,

ADJUDICATION en h chambre des notaires, le 35 février i8M, d'une bette l~fAlsON sise a Paris, rue Monthabor, 41,d*~un produit, net de it,2Mt fr. justifié, pour ta presque totalité, par des baux. Mise a prix: ~K),000 fr. Une seule enchère adjugera. S'adrei-seraM'Poumet, notaire a Paris, rue tht t'aubourg Poissonnière, n" 6. (380) ADJUDICATION eri la chambre des notaires, sise a Paris, piace'du Cuateiet, par le ministère de M~ Defapatme, l'un d'eux, le ma: di 25 février 18~0, d'une MAISON sise à Paris, ruePierre-Lescot, n"18, d'un produit net de t.SUU fr., sur la mise & prix de

~o u~u fr.

~'adresser andit M' Deiapa)me,notairea à Paris, place de la Bourse n" 31, et a M" Lauvray, notaire à Hennencourt-Cargen~me, cantott de Limay (i-eine-et-Uise). (620) a vendre i~nt~bte, MTEMAMPROPRËABATM, situé à Paris, rue Hautevijte, c''t5, d'une façade de 27 mètres sur ta rMe HautevtHe. Contenance totate 1,51'J mètres.

SH acquéreur le préférait, eu pourrait ne vendre que 1,3M mètres.

Ce terrain est faeifement divisiMe, i) sera fnticrcment iibre au 1" ayrit tMO. S'adresser a M~ Poumet, notaire a Paris, rue du faubourg-Poissonnière, 6. (707) mAM PROPRE A m. A VBNDBB a t'amiaNe un bei emptacer ment de forme régulière dans un bon quartier de Paris, 20 mètres 58 miUimètres de façade sur la rue, 24! mètres 235 miUimètres de profondeur; ptus, tés Mtia~ens et cons-

de son commentaire. Son style est clair, sa pensée forte- ment tracée, bien qu'on puisse lui reprocher un trop fré- quent usage de la phrase exclamative et interrogative, réminiscence de l'habile plaidoirie du matin.

La législation internationale, qui forme la plus grande. partie du deuxième volume, était le complément nécessaire de son traité de la lettre-de-change; car ce sont Ges dispositions auxquelles chaque négociant est forcé d'avoir journellement recours, selon le lieu sur lequel l'effet de commerce est tiré et le domicile des tiers qui ont concouru à sa confection ou à sa négociation, afin de s'assurer de ses droits, de la forme à donner à son action, des formalités à remplir, etc., etc. ces textes doivent être également con- sultés par le jurisconsulte ou le magistrat appelé à examiner les questions qui lui sont soumises; souvent il y trouvera une règle de décision, toujours des élémens précieux. La partie historique, par laquelle s'ouvre l'ouvrage de M. Nouguier, est esquissée largement et travaillée avec soin mais quelle que soit la force des autorités dont il s'étaie pour attribuer la création des lettres de change aux juifs chassés de ~Erance à la fin du douzième siècle, nous craignons qu'il ne soit tombé dans une erreur, partagée du reste par Savary, Ricard, Bornier et même par Montesquieu. La lettre de change remonte à une époque plus reculée et sans oser risquer ici une opinion qui contrarierait trop les données généralement admises, nous ne sommes nullement convaincus que cette nature d'actes fut entière- ment inconnue aux Romains. En effet, la lettre de change a pour base la confiance; or, le jour où un homme peut dire à un autre, éloigné de lui, de payer pour son compte les sommes qui lui seraient demandées par un tiers, et où ce dernier, accepte ce mandat; le jour où, par exemple, Cicéron écrivait à Atticus de trouver quelqu'un qui fournît à son fils l'argent dont il aurait besoin (J?p~. a~ ~Me., XH, 24 XV, 28), et où le tiers accepta cette commission, la chose fut trouvée, si non encore nommée. De même, le papier-monnaie des Chinois, dout on constate l'existence dès le onzième siècle et qui n'avait cours que de certaines places à certaines places de l'Empire, donne une idée assez juste de ce que devait être dans ces temps la lettre de change (Fby. Marc. Polo.). D'une autre part, les Italiens, et spécialement les Amelfitains, les Pisans, les Vénitiens les Génois connaissaient également les mandats de paiement sur leurs correspondans d'Orient, et ensuite, à mesure que la foi commerciale grandit, sur les négocians des autres nations qui y trafiquaient avec eux, et tandis que les croisades contribuèrent puissamment au développement des lettres de change dans cette partie du monde, la fameuse hanse allemande se chargea de la répandre du nord au delà des contrées équinoxiales. Quant aax juifs faisant trafic d'argent Us durent nécessairement être ceux qui l'exploitèrent avec le plus d'intelligence, et c'est surtout à eux qu'il faut attribuer la branche de corn-.merce née de cette exploitation, et qui de nos jours fait encore de la plus belle invention une sangsue qui se nourrit du sang le plus pur du commevce. l'énerve et l'épuisé. Quoi qu'il' en soit, la lettre de change existe, M/a~aMe t)M/a~MM, selon l'heureuse expression d'un honorable magistrat elle se retrouve dans toutes les opérations et sur toutes les places du monde commerçant. Aussi, avoir consacré huit ans de travail à rechercher, examiner, développer les principes qui la régissent, les diverses formes qu'cile emprunte, les conditions de son existence légale, les caractères qui la distinguent des autres effets de commerce i les conséquences qu'elle entraîne, les voies à prendre en tous lieux pour en poursuivre la réalisation; s'armer pour décider, toutes les question! qu'engendre cette riche matière des démens de décision que fournissent non seulement la législation française, mais encore la législation étrangère non seulement l'opinion des docteurs et des jurisconsultes anciens et modernes, mais aussi les arrêts des Cours, c'est avoir fait une œuvre utile pour tous; ajoutons qu'avoir accompli une tàche aussi lourde avec la patiente érudition et

trustions existant sur te terrain jouissance au 1" juittet t8M) ou de suite i) volonté. S'adresser à a). Lemaistre, rue du Coiysee n* S, avant midi, ou à M. JLemaistre, architecte, rue Gran~e-aux-BeHes, 7 bis. (623) ~PJODICATION nBFlumvE en ta chambre des notaires de Paris, par )e ministère de M'' Tourin, l'on d'eux, fe 18 février 1840, heure de midi, 622 hectares 11 ares 81 centiarc& de

BOtS TTAtiLI~tS,

aménages en dix-neuf coupes de ia p)us b~ie ~uaiite e[ dans ia position ia ptus avantageuse, autour de Oamecy (Nièvre). Mise a prix (?0,000 fr.

S'adresser, pour )es renseignemens, a H' Tourin, rue de G) eneiie-Saint-Gcrmain 9. dépositaire du cahier des charges, et a~ M'ItijHuit, avocat, rue de t'Université, 25;! Et sur fes tieux, pour )a voir, à M. t'rëdé- r<c Der.vauK, a Urèvcs, prc~ Ciamecv. (OiM)~

m ams.

COMPAGNIE DESJfOMLLËRES

D~ LA TEECRJÉE MAtILOT .ETDESPORROTS.

L'assembtée générale extraordinaire des Acttonnatres,convoqnéepour 8 fé- vrier, est renvoyée au samedi 22 février à sept heures très précises du soir, rue Lafutfe, n" 31. L'assemblée étant appelée à voter sur des modifications aux statuts, tous les actionnaires auront droit de présence et voix déii'berative, conformément à fart. 43 de l'acte de sooete. Les actions au porteur doivent être déposées trois jours à t'avance, sur récé- pissés de !)!. Rodard, secrétaire de t'admintstration.rue de Provence, 26. (C9(;) MM.tesaction.cairesdeia Société GossE MiBu.n et C~ )o)~ce pour rexpioitaUon des PROCEDES MECANIQUES dt; Ai. GRmPE,sont convoqués en assemMée généraie ordtn.tire, au siège principai de t'entreprise '1 ViciHe rue de t'Arcade, 4, aux Thèmes, pour le samedi 2U février 1840, a midi très précis. Aux termes de l'article M des statuts, pour avoir droit d'assister et de détibérer a cette assemblée it faut être propriétaire d'au mo~ns cinq actions les von se compte-

ront par actions ;e«K[ actions donneront

une voix et les fractions ne se compteront

pas.

Les acttens devront être présentées et enregistrées. (~88)

f ms.

M. DOIHAMBOUM ancien emptoyë au Ministère dejta Harine~ ou ses renresertaus, sont invites;:) se présenter en t'etude de H'EstiCt)ne,aYone.)Pahs,rue des Pyramides, n" 3~ pour v recevoir une commun!-

cation qui tes jctere'sse. (5.J8)

FomSa à placer em bteMS

Fa~Ft~MX.

On désire piacer des sommes importantes en acquisition de terres ou de bois. [ ( S'adresser a M'Snénin, notaire à Paris,'t t successeur de.N' Pean de SaiDt-(tiUes, ptace f LouisXV,n"8. (&2% {

<

la rectitude de jugement de M. Nouguier, c'est avoir puNié un excellent Manuel pour les negocians et les magistrats consulaires.

Les affaires ont été fort animées sur nos Fonds', tant an comptant qu'en liquidation, et les cours ont fermé en hausse sur ceux de)avei)Ie.

Après la Bourse et dans la coulisse, l'impulsion était encore à la hausse.

Les Actions du Chemin de fer de Strasbourg ont continué d'être recherchées.

AC COMPTANT. Comparativement aux derniers cours d'hier, il y a eu hausse de 10 c. sur le Cinq pour 100, de 25 c. sur le Trois pour 100, et de 2 fr. 50 c. sur les Actions de la Banque, ainsi que sur les Obligations de la Ville. Les Quatre Canaux avec prime et la Caisse hypothécaire n'ont pas varié. Le Chemin de fer de Paris à Orléans a baissé de l fr. 25 c. Le Chemin de fer de Versailles, rive gauche, a haussé de 3 fr. 75 c., celui de Strasbourg de 2 fr. 50 c., et celui de Mulhouse de 10 fc. La Rente de Naples a haussé de 10 c., l'Emprunt romain de S/8, la Dette active et la Dette passive de 1/2, l'Emprunt américain de 1/2. et l'Emprunt du Piémont de 2 fr. 50 c. Les Lots d'Autriche et le Cinq pour 100 belge n'ont pas varié. La Banque de Belgique a baissé de 5 fr.

EN MQuiDATMN DE JANViER. Ausst comparativement aux derniers cours d'hier, le Trois pour 100 a haussé de 25 c. et le Cinq pour 100 de 15 c. La Rente de Naples n'a pas varié. Après la Bourse, à quatre heures, 8l fr. 50 c. (fia du mois) demandé; 52 c. 1/2 offert.

CHANGES. Ceux sur Amsterdam, Hambourg, Londres et SaintPétersbou'rg ont continué de rester stationnaires.

~ou)'t;'de~()?M<rM<<u 30 jaMMM-Fonds consolidés, 91 5/8; brésiliens, 76 1/2 colombiens, 27 1/2 mexicains 29 1/4 danois

71,

ctKQO/0,j.du22sept.,lt2f25202530 M; Banane [1835). 92250 tt2f 35 40 35 40 45 50 35 40 35 30 DECÏ ET MM/HOLLANDAIS. QUATRE 1/2 0/0, j.da 22 sept. EMp.poMTJGAlsoC/O. QUATRE 0/0, j. du 22 sept. 104.. 30/0. TRO)sO/0,j.dd22déo.,80f958!f8tf5 EMpR.n'BArrt.J. EMPR.DCPtEMOXT. H35.~

ACT.DH LA BANQUE. 3[47 50 LOTS D'ACTMCUE. 370 ['B'<TE)<E!.AYiLLECEPA)!0. TROHO/OABTtUCmEt. OBDRATMKSOELAVtLLE. <265 CA)SSEMFF!TTE,COnp.lOOOf. 1050.. 4 CMAM avec prime. 1270.. coup. 5000). 5170.. CAtssEHYpuTHÈCAtRE 785 CHEMOf de Saint-Germain. EMPRUNT AMÈR!(;An< H81/2 –VersaiHes.riYedroite. K. BE NAPLE<j. dejanv. <840 103f 20 Yersaiites, ri\e gauche.. 353 75 –P.arisauHaY!'e.

PRMSE.OMigat.,Empr. 1832 –ParisAOrieans. 45875 CMC 0/0 DE L'ÉTAT BOMAi!i.. 102 3/4 MontpeHier a Cette. EspAGXEDKTTBACTtvE. 201/2 –MuthouseàThann. 400 DETTE DtFFKRHE sans intérêts –Bordeaux à la Teste. DETTE PASSUE. G 5/8 Strasbourg a Baie 342 59

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BELStQCEEmp. 1834. 1023/4 –POKT-DE-LOLP-SUD. H.TROMO/0. ASPHALTE de Seysset. M, SoeiéteSénerate. TtssusdeiinMaherty. 4t5.. /<SocietaJUut.(183ô). pAQUEBOTsHaYreàî,tn)dre3.

THOtsO/Oentiq.. 80 H5 8t 15 '80 95 'aTtS "M" Fincourant. 8il58t25Sfi58t2.5 22t,a)~)9 Primcfincou- ~i~ 7 1'2 1/2

Pr~proi cham 8t 25 8t M d. 50 MNQO;Oen!iq. tt23011245ftt30t<a~0 n~)~< Fineourant. lt2551t275tt~!551t275 DMnmot.d~~re. Primcfincou- t OIS.. rant. <50~°~' 'J PrimeCnpro- '1' chain. tl2 75 112 85 d. 50 e.MI.A~.U.E.

Bjp.s bornes S 4t et <Iem:e:8 <tM CME~AMEM E~E SASMV-~IE~MSNS~ par SSee:ERB)EBSEABVc<)tt)SCtBteMveatteàIa.tSb<'a,it'6eateS~tj]Mea!Tr. ~31) Avis. Je préviens MM. les Actionnaires de BRASSERIE LYONNAISE que les intérêts du premier semestre seront payés te f' mars prochain, à bureau ouvert, rue Notre-Dame-des-Champs 16 et 18 au siège de )a Société. COMBALOT neveu, ~eranf. (730)

Par M. lE VICOMTE DE LA BOCT.ATE. Brochure. l fr. Chez A. LECLÈRE, rue Cassette, 29, et DENTU, Patai~-Roya!.

ÏOtLES M FtL, LMGE BE MLE. M t)E COTON. BXMedeCIcty, JT~SSKM~ et H~tIE, an foMd de ceM~ Cette maison, qui jusqu'à présent noyait encore fait que !a VENTE EN &R.OS, vient d'ouvrir de nouveaux magasins pour ta VENTE EN BETAll.. Le petit comme te grand consommateur trouvera dans ce vaste établissement un assortJment toujours comptet de .tout ce qui concerne ie BI..S.NG DE Fil. et te BT.ANC DE COTON. '? SELLE MAtSONSPËOALE. BStO ~Kk B8! ~<t HN ~& N <Mt de batiste unie, tout <i!, de 19 s. CHAFRON et C', <MB N < B B K &M S B B' && 3 f- M c. Mouchoirs fiches pour

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tmmeMseehonde de 1". Hwttt~t~ ~)~ ~B~ « B ~)~ C! B S) (!c toutes csnèccs. (187)

MMPm~ ~~T~AM MTRMSPOR~ CE MVmm

MM. ies actionnaires de ta Compagnie centrale deTHANSPORf etdcNAviOATiONi

.sont convoqués conformément a i'articie ~2 des statuts a rassemblée générale annueUe~ qui aura !it'uie dimanche t")T)ar~.prochain, à dix heures précises du matin, dans )es~ isa)ons de M. Lemarde)a; rue de Kjchetieu, n" fUO.

Pour faire partie de ['assemMée geuerate il faut être porteur de dix actions au moins.

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Le Brasseur de PfM<ott, opéra-comique en 3 actes, de MM de Leuven et Brunswick, musique de M. Adam. ChoDet n~nr. Ricquier, Grignon, Fosse, Teisster. M"' Prévost ncnn, ~t ~!Ke a-MK jour, opéra-comique on 5 actes, parles de MM. hcnbe et de Saint-Georges, musique de M. Ad Adam Grignon, Mocker, Masset, Victor, Patianti. M"-a Boulanger, Lepius~

Berthault:

Le FMs de Ia*FoHe, l'Eau merveiltense.

Lauzun, tes Gants jaunes, )a Première Ride, M. et Mme Gatoehard: ¡ 7 h. CT~srASB.

MatYina, rEtëve de Saumur, Clémence, )e Paradis de Mahomet. 6 h.VARIÉTÉS.

Le D!ner de Madelon, Fragotetta, rAn 40, tes Trois Epiciers. 8!].l/4–rAI.A:S-B.OTrAï..

Représentation extraordinaire..

Le TremNementd.e terre de'ta Martinique.

Un Sduper, les Chevn)iers, pn Mystère, Gaspard Hauser. S h.SAITE.

Le Sonneur, le Massacre des Innocens

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Le Bamboeheur, les Pilules. 7 h.COMTE.

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2*A'<<)'on.–I)epar(emensduNord,du Pas-(!e-Caiais, de la Somme, de la Seine~rexetire, de rEure, du Catvados. Marches de Borgnes, f. 23 c., M f. H < 23 f. 05 c. d'Arras, 23 t. 58 c., 23 f. Ct c., 23 f. C2 c. de

Hoye, 2! f. 8) c.,24 f.jCc.,23f.T6c.-de

Soissons, 2S f. 07 c., 25 f. 33 < 25 f. (i8 c. tic Paris, 3fi f. (i) c., 30 f. 50 c., 20 f. 28 c. de Kouen ,-25 f. Me., 25 f. 03 c., 25 f. 51 c. Prix moyen rc:sn!ateur de la section, Mf.78c.

:cc<t'eH.–Dt'partcmons de ia Loireinférieure, de ta Vendée, de !a Charenteinférieure. Marchés de S.)umur,2tf 28e c., af)<<)2c.,20f.84c~de~a.]t<;satf.Ulc. c. 20f.M.c.,2I21c.;deMaracs,20t.t6c., 20t.28c.,20f.4~c.–Pnxmo;enréguiatcur de )a section, 20 f. 83 c.

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3*<<f))).–Departcmcns de )a Manche, d'fUe-et-Vilaine, des Côtes-du-Xord, du Finistère, d!i Morbihan. Marches deSaint-Lô 231. 23 c., 32 f. 87 c., S3 f; M c. de Paim~ j)o),t8f.2')c.)8f.2t<i8f.Hc.;de Quimpcr, St f. 02 c., 2t f. 34 c., 21 f. 21 c. df'!tennebon,f.c..2Gf.38c.,20t. f. 2U c. de Nante; 2i f. Ut c. ,.20 f. M c., 2t f. 21 c. Prix moyen régutateur de ta .ection,20f.85c.

Arrête par nous, ministre secrétaire d Etat m d~partemeBt de i agrientture et du commerce. ~M L. Ct'NtN-GrjMiKE. AP.]ris,)e3tjan\K'rl840.

A"o<a. Les trois prix de chaque n'iarchë sont ceux de !a dernière semaine du mois précédent, déjà première et de ta deuxième semaine du mois courant. f~rHc/e 8 & ht ~oi ~tf !.6~(iMt8ti).)