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Titre : La Presse

Éditeur : [s.n.] (Paris)

Date d'édition : 1838-03-30

Contributeur : Girardin, Émile de (1806-1881). Directeur de publication

Contributeur : Laguerre, Georges (1858-1912). Directeur de publication

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34448033b

Notice du catalogue : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb34448033b/date

Type : texte

Type : publication en série imprimée

Langue : français

Format : Nombre total de vues : 124274

Description : 30 mars 1838

Description : 1838/03/30.

Description : Collection numérique : Arts de la marionnette

Description : Collection numérique : Grande collecte d'archives. Femmes au travail

Description : Collection numérique : La Grande Collecte

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k427341w

Source : Bibliothèque nationale de France

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 15/10/2007

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faris, '~ajma~sL~~

Dans l'alliance de MM. Barrot, Thiers et Jaubert, c~. M. Bàrrot qui a le beau rote; les deux autres font un métier de dupes. De quoi s'agit-il, en effet? de remplacer les ministres actuels, en se présentant comme plus habiles qu'eux, p!us capables de gouverner, plus en état de mettre un terme à cette anarchie morale qu'on déplorait sous !e ministère du 11 octobre, et sous ceux du 22 février et du 6 septembre, comme sous celui du 15 avril. Mais cela va bien à M. Barrot qui n'a pas encore été ministre, qui n'a pas fait ses preuves ou ses épreuves, et qui a droit de se recommander à nous et au pays, comme une ressource, comme un sauveur. Cela sied mal aux hommes qu'on a déjà pris à l'essai, et qui ne peuvent nous promettre un avenir quelconque, sans que nous ayions à opposer leur passé.

Les amis de M. Jaubert ont été ministres, et ils ont eu M. Thiers pour adversaire c'est lui qui nous a dit ce que valaient leurs idées. M. Thiers a été ministre, premier ministre, et il a été vivement attaqué par M. Jaubert, en son nom et au nom de ses amis; il a été attaqué dans ses principes, dans ses actes, dans sa personne même. Ces messieurs se sont dit mutuellement trop de vérités pour qu'on puisse aujourd'hui prendre au sérieux leurs paroles de paix, quand on peut s'armer également contre les uns ou contre les autres de leurs déclarations de guerre. H y a mieux nous les avons vus réunis dans le conseil; ils ont partagé le pouvoir, et ils n'ont pas pu s'accorder, et ils ont été obligés de se séparer pour faire les uns après les autres des combinaisons isolées contre lesquelles ils se sont inscrits à tour de rôle. Et lis voudraient nous faire croire qu'ils sont d'accord dans l'opposition quand ils ne l'ont pas été dans le pouvoir; ils auraient trouvé hors du conseil un système qui concilierait leurs principes, quand ils n'ont,pu s'entendre sur rien, alors qu'ils possédaient tes ressources du gouvernement. Personne n'acceptera cette nction.'Nous avons au MoTM~Mr les discours de M. Jaubert contre M". Thiers, et les discours de M. Thiers contre les amis de M. Jaubert. Nous nous en tenons là, c'est le vrai.

La position de M. 0. Barrot est bien différente. Nous n'avons pas ses œuvres à lui reprocher. Chef de l'Opposition, il a fait son expérience donnée en année, et nous l'avons vu, de session en session, faire aussi un pas de plus vers le pouvoir. Ses principes n'ont pas encore été appliqués son dévoûment au pays n'a pas été mis à l'épreuve; il a le droit de faire des promesses qui ne sont pas démenties par nos souvenirs M. Barrot n'est pas jugé. L'événement n'a pas prononcé contre lui. C'est un essai à faire tôt ou tard; et il y a de la générosité de la part de M. Thiers et de M. Jaubert, à nous le présenter ainsi, de la main droite et de la main gauche, en nous disant K Yous savez ce que vous devez penser de nous, car nous vous avons dit ce que nous pensions, entre nous, les uns des autres mais vous n'avez pu apprécier encore M. Barrot. Nous nous rallions à lui, et, comme c'est le seul de nous trois qui ne soit pas encore éprouvé et usé, c'est naturellement vers lui que la prérogative royale et la curiosité du pays doivent se tourner, en cas de besoin. Notre rôle est fini; nous sommes prêts à saluer ses débuts. Vous voyez que nous faisons nous-mêmes bon marché de tout notre passé, puisque les premiers, aujourd'hui, nous aidons à l'avènement du chef de l'Opposition qui nous a le plus vivement attaqués, et que nous avons combattu avec le plus d'ardeur. C'est une démission morale que nous donnons au pays c'est l'abdication de toutes nos idées, de tous nos actes, de tout notre passé. Ce n'est pas M. Barrot qui vient à nous c'est nous qui allons à lui. C'est donc lui qui avait raison nous faisons amende honorable-entre ses mains. A lui le pouvoir »

Il est donc bien vrai que, en cas de crise ministérielle, M. Barrot, poussé par M. Thiers et par M. Jaubert, est plus près du pouvoir, selon la logique parlementaire, qu'aucun des hommes politiques qui ont, jusqu'à ce jour, touché aux affaires publiques. C'est donc lui, répétons-le, qui a le beau rôle dans cette ingénieuse coalition les autres ne sont que des dupes.

M. Barrot ne le serait, à son tour, que s'il acceptait ce double patronage, et s'il y comptait; car le lendemain de son avènement au pouvoir, ses amis de la veille éleveraient contre lui le même grief

FNMMLETM~ BNE t.A PRESSE.

SCIENCE. INDTJSTRÏE.

~C<<tty<~6 ~<tf <M y<M.

Depuis l'impression de notre dernier feuilleton sur l'éclairage par les huiles, on a soumis à notre examen un nouveau système de lampe d'une invention fort ingénieuse, et dont l'usage n'est pas encore répandu dans le commerce.

Nous nous occupons en ce moment de quelques essais sur cette nouvelle lampe, dont l'emploi doit être applicable dans toutes les circonstances où tes diverses espèces de gaz sont aujourd'hui usitées, et'lorsque nous serons suffisamment éclairés sur ses avantages, nous nous empresserons d'en entretenir nos lecteurs.

Si l'on se rappelle ce que nous avons dit de l'éclairage par les corps liquides et solides dans nos précédens articles, on peut se représenter qu'une bougie, par exemple, dont la mèche est allumée est une sorte de laboratoire en petit, dan~ lequel se passe une curieuse série d'opérations physiques et chimiques. Autour de la m'che, la chaleur du lieu maintient la matière solide en fusion, et comme cette chaleur est plus grande a)a circonférence qu'au centre, il en résulte un petit godet qui contient la partie liquide; celle-ci est absorbée par l'action capillaire de la mèche arrivée dans le lieu qu'environne la flamme, elle se trouve toufà-coup exposée à une température très élevée, elle se décompose et se distille, les produits gazeux s'échappent de toutes parts en brûiant et produisent la flamme, tandis que le résidu de la distillation ou le carbone, se dépose sur la mèche qu'il noircit et encroûte.

qu'Us élèvent aujourd'hui contre le cabinet du 15 avril; M. Barrot aurait, à leurs yeux, le même tort, celui d'être ministre. La coalition des trois minorités se dissoudra toujours par le triomphe de l'une d'elles, quelle qu'eue soit. C'est ce que doit comprendre la vraie majorité de la chambre qui sentira le besoin de se resserrer plus fortement, pour résister à ces tiraiUemens momentanés. L'intrigue, découragée, sera bientôt vaincue; et il ne faut que deux ou trois scrutins pour amener le découragement. Il y a, nous en sommes certains, il y a dans la chambre de ] 838, une majorité plus forte que les trois minorités qui se sont réunies. Cette majorité s'est montrée, deux fois, dans deux occasions solennelles! Quand donc passerez-vous condamnation? a

La Chambre des Pairs, dans sa séance d'aujourd'hui, a adopté les cinq projets de loi d'intérêt local dont le vote avait été ajourné hier. Elle a également adopte la loi relative aux crédits accordés sur l'exercice 1838, pour subvention aux caisses de retraite de divers ministères.

La proposition ayant pour but d'accorder une pension de 3,000 fr. à la veuve du général Daumesnil, a été votée sans discussion e~ sans même que la chambre nommât une commission pour l'examiner. La chambre s'est ensuite occupée d'une pétition de 4,000 habi-. tans de Bordeaux demandant le dégrèvement des sucres coloniaux et étrangers..

La chambre a entendu en faveur du renvoi à M. le président du conseil et à M. le ministre des Snances, MM. Gautier et Charles Dupm.

M le ministre des finances, M. le comte d'Argout et plusieurs autres orateurs ont appuyé l'ordre du jour. La discussion a été renvoyée à demain.

La chambre des députes a continué la discussion de la loi sur les faillites et banqueroutes. La question si grave, laissée hier indécise, a été tranchée dans les termes qu'avait proposés le gouvernement. Nous avons laissé passer, sans bruit, le banquet du Casino. Les feuilles de M. LafHtte se sont abstenues elles-mêmes de tout enthousiasme. M. Lauitte s'est trouvé, dit-on, dans l'embarras. Il s'y était mis. Quelques convives ont partagé ses scrupules et ses regrets. Aussi, la fête a tourné court on sentait ie besoin d'échapper à une effusion toujours croissante. Avis aux hommes sérieux qu'on essaierait de prendre au même piège. La politique de table est glissante; les professions de foi, arrosées de champagne,sont hasardeuses; cela va bien aux Anglais; ils supportent merveilleusement les toasts, parce qu'il ne s'y mêle que du vin; ehez nous, il y un ferment de plus, l'imagination française. C'est dangereùx. `

Deux choses seulement nous ont frappés, et méritent une mention particulière.

Premièrement, l'absence d'un toast au roi, toast obligé dans toutes les réunions.politiques et soi-disant constitutionnelles toas~ qui n'est jamais oublié dans les banquets de l'opposition anglaise; toast queM. Casimir Périer ne permettait pàsde supprimer, même sous la restauration, dans les banquets qu'il honorait de sa présence. Et M. Casimir Périer. ne s'est jamais trouvé engagé envers Louis XVIII ou Charles X, comme M. Laffitte envers LouisPhilippe Qu'est-ce donc qu'une réunion constitutionnelle qui fait si bon marché d'un élément de la constitution aussi important que la royauté? Il paraît queIemote<MM~MtM)Mtc< est aussi vide de sens pour certaines personnes que le mot p<M'<6nMM.(aM'6. Allons, messieurs, un peu plus de franchise avouez-nous donc que le p<M'<cnMM<, c'est à vos yeux un seul pouvoir, la chambre des députés et pas toujours encore avouez que votre constitution, à vous, ce n'est pas la nôtre, ce n'est pas la charte de 1830. Une autre circonstance est digne de remarque. A la fin du repas, à l'heure où les convives étaient plus susceptibles de distraction, un bon plaisant a imaginé de faire circuler une pétition pour demander la réforme électorale, c'est-à-dire pour protester contre le régime des élections actuelles, etti a gagné cette curieuse gageure de faire proclamer, par cinq ou six députés présens, que les électeurs ne faisaient que de mauvais choix; et par cinq ou six cents électeurs, que les collèges électoraux exprimaient mal l'opinion du pays. Telle est la logique des passions! pas un des signataires ne s'est aperçu qu'il protestait contre lui-même, contre ses

EniT'SS, un ingénieur français, nommé Lebon, imagina d'exécuter en grand la petite opération que nous venons de décrire. Il mettait du bois dans des vases distiltatoires; les gaz combustibles étaient envoyés par des tuyaux jusqu'aux lieux où l'on voulait les brûler pour produire de la lumière enfin on recueillait pour d'autres usages le charbon resté comme résidu dans la cornue. Cette ingénieuse idée reçut son éxecution, et des expériences publiques furent faites dans une maison de Chaillot; mais le bois donnait un gaz qui éclairaitpeu; les tuyaux provisoire: et mal ajustés, laissaient perdre le gaz qui infectait le lieu des expériences. En un mot, l'invention était produite, mais les moyens d'exécution restaient à perfectionner.

Cette idée, comme il nous est arrivé si souvent, n'eut aucuns suite en France. Les Anglais s'en sont empares, mais ils substituèrent la houille au bois, et perfectionnèrent les appareils propres à purifier les gaz, à les recueillir, à les transmettre et à les brûler; puis enfin l'industrie amenée à ce point fut reporté dans sa patrie originaire, et aujourd'hui plusieurs grands établissemens fournissent du gaz dans les principaux quartiers de Paris.

Le charbon se distille dans des vases en fonte, d'une forme carrée, qui ont six pieds de long sur dix-huit pouces de large et un pied de hauteur, et que l'on continue à nommer improprement des cornues~ Le charbon est placé dans ces vases qui peuvent se fermer hermétiquement, et il est chauffé par du combustible extérieur jusqu'à porter le vase au rouge cerise le produit gazeux qui s'échappe de ces cornues est mé!é d'un grand nombre de produits et il doit être purifié; pour ce!a, on le fait passer dans un tube froid et assez~ong, dans ]equet il abandonne le goudron qu'il tenait en suspension il traverse ensuite plusieurs lits de chaux qui doivent s'emparer de l'acide sulfureux, après quoi il est conduit a travers

œuvres, contre sa position Us n'y ont tous vu que le plaisir d'at taquer une institution, l'institution même dont les uns ont le plus abusé, et à laquelle les autres doivent leur mandat! Etrange spectacle, que celui d'électeurs et de députés, déclarant (après diner, it est vrai,) que les élections n'ont pas le sens commun, et qu'ilfaut à ta France un autre régime électoral, un autre -sans doute que celui qui a produit de têts suffrages et de tels choix! La mystification est assez piquante, et les journaux de l'Opposition l'ont enregistrée avec un sérieux qui a son côté plaisant. Toutefois, il y a aussi un côté triste, dans tout cela! C'est cette moquerie permanente de toutes les envies, de toutes les ignorances, de toutes les nullités sociales pour les institutions du pays! Personne n'y croit; personne ne tes veut; personne ne tes respecte. On a demandé des institutions, pendant quinze ans, par forme d'opposition, par façon de parler contre un gouvernement qui n'en voulait pas. On n'en veut plus aujourd'hui, on s'en moque, on les insulte, par habitude d'hostitité contre le pouvoir, contre un' pouvoir qui tes a établies avec empressement; qui tes défend avec sincérité! Et c'est là ce qu'on appelle du libéralisme;. de l'opposition constitutionnelle, du gouvernement représentatif! Etrange abus de mots! déplorable légèreté! Et voyez jusqu'où va cette manie de contradiction et de destruction on s'attaque à ses choix; omdécrédite ses suffrages; on proteste contre soi-même et contre les siens. Les électeurs stigmatisent les députés qu'ils ont étus; tes députés flétrissent les électeurs qui les ont choisis! De commun accord, ils signent une protestation contre les mandataires et les commettans Quel dessert pour un banquet électoral La nomination de M. le duc de Fézensac à l'ambassade de Madrid fournit au C<MMt~MtM~M6< le thème d'une diatribe qui surpasse en mauvais goût et en mauvaise foi les iibeltes les plus décrédités des premiers temps de la restauration. Le C'<MM~Mtto~?tc< inaugure mat le patronage qu~it vient d'accepter; ce n'est point là du tangage ~~T'~ewet~a~e Toutes tes trivialités de la basse presse sont accumulées avec un luxe inouï dans une colonne de ce jour-na). C'est te~cpotMtMe, c'est le /a;f<M*~MMte, c'est la coMf, c'est te ~0~ p<~MM', c'est i~6M<M«6S, c'est t'o~~'csM/ que sais-je? autant de formules queles petits journaux dédaignent comme trop usées et parce qu'il savent bien que l'application en est impossible au temps où nous vivons.Ecartons ces niaiseries, qui feront sans doute rougir le patron ~Weme~o/M'c du C(MMt~M(M?Mte<. Oh se plaint que le roi confie ~Mt!Mtera~ l'ambassade de Madrid? et qui se plaint? le journal qui prêche l'intervention; te journal qui blâmait le choix d'un ambassadeur de l'ordre civil pour St-Pétersbourg, comme si l'Espagne, tivréeàla guerre intestine, n'était pas aussi une monarchie toute guerrière, pour quelque temps encore; comme si l'influence politique d'un ambassadeur ne gagnait pas à s'y appuyer sur l'expérience militaire. Pourquoi n'a-t-on pas fait cette objection contre le choix de M. Latour-Maubourg ? a

Mais ~M'e~-ec yn~MM ~Ker~ ~Mt M'a pas été ~oM&t ? Ici, le Co?M~M~<MMM< abuse maladroitement du privilége que ses rédacteurs possèdent dès long-temps d'ignorer même l'histoire de nos jours, et d'insulter les hommes sans les connaître. Sa phrase est d'autant plus malheureuse que M. de Fézensac est précisément du petit nombre des~MM~Mcequi ont commencé par être ~Mat~ soldat dans toute la simplicité de l'expression. Engagé, comme soldat, au 59e régiment de ligne, en 1804, il a fait pendant un an le service de soldat et de sous-officier au camp de Montreuil, et il a été nommé sous-lieutenant, au choix des ouiciers. Il était avec ce régiment, dans la campagne de 1805, sous les ordres du colonel Lacuée,tué au pont de Guntzbourg. Bientôtaprès, le maréchal Ney le prit pour aide-de-camp, et c'est en cette qualité que M. de Fézensac a combattu près du maréchal dans les campagnes d'Iéna, d'Eytau et de Friedland. En 1808, il fit la campagne d'Autriche, et fut nommé cotônet, après la bataille de la Moskowa. Pendant la retraite de Russie, et particutiè-'rëment au passage de la Bérésina, il commandait à l'arriére-garde, le 4e régiment de ligne. Sa belle conduite, et les témoignages de satisfaction du maréchal, lui valurent en 1812, le grade de général de brigade. Dans la campagne de 1813, il servait sous les ordres des tieutenans-généraux Vandamme et Lobau.

l'eau sous des espèces d'énormes cloches de tôle renversées sur une sur face liquide, et qui, sous le nom de gazomètres, peuvent contenir jusqu'à lOOmillepiedscubesdegaz.

Ces immenses réservoirs sont suspendus par des chaines et des contrepoids de manière à n'exercer sur le gaz qui les soulève qu'une très faible pression, qui est ordinairement représentée par un poace d'eau. De l'intérieur de cet appareil part un très gros tuyau représentant l'artère principale et qui va, se distribuant dans la ville, par des embranchemens dont le diamètre diminue au fur et à mesure pour communiquer ennn avec chacun des becs de flamme qu'il faut alimenter au moyen de très petits tubes de plomb qui pénètrent et circulent dans l'intérieur des habitations..

Les premiers tuyaux dont nous avons parlé doivent être en général d'un très grand diamètre quand ils se portent au loin car le seul .frottement que le gaz éprouve en les parcourant suffirait pour l'empêcher de pénétrer jusqu'aux extrémités, à moins qu'on ne produisit une forte pression sur le gazomètre, ce qui accroîtrait eonsidérabtemeut les fuites sur, lesquelles on doit compter, et qui, malgré toutes les précautions, sont toujours très importantes; on les même estimées jusqu'à un quart de la consommation,

On trouve pourrésidu dans les cornues du charbon de terre distiHë, que les Anglais nomment coA'e, et qu'on appelle quelquefois charbon épure. C'est un combustible qui bt'ùie sans fumée; mais qm s'éiemt facilement. On en trouve l'emploi; mais ou le place avec moins d'ava:) âge que s'il était propre à la fonte du fer, ce qui n'arrive pas, parce qu'il est trop léger. On obtient encore une grande quantité de goudro" et une espèce d'huile essentielle, qui serait très propre à communiquer à certains gaz la faculteéclairaute.


M. deFézensac a obtenu tous ses grades à l'armée. Nommé, en 1823, lieutenant-général, H commandait, en 1830, !a division de réserve de l'armée d'Afrique, licenciée, dès qu'on apprit la prise d'Alger. Sa nomination à la pairie est de 1832.

Le Constitutionnel, on le voit, était mal Inspiré en s'attaquant une existence militaire si bien acquise. Ce n'est point là Un~tter~~C M<OM~un~6~'<Mt .StMMNM'ftCM. M~M 6A~ NE c~onM~e? demande le Cc~~Mtt~ Est-il NE? C'est te C<MMtttMtMnne<qui parte! le Co)Mtt<MtMnM6< qui ne demandait pas cela du maréchal Maison, nommé ambassadeur à St-Pétersbourg te C<MM~M~OMM< qui ne compte sans doute, 'parmi les siens, que des hommesNËS députés, NES ministres, et même NES présidens du conseit Quette distraction quette humitité C'est le journal de la démocratie pa)'<MK6M~M'6 qui demande de i'tM'Mtocf~6<~<oma~M6/ La coalition des hommes a produit la confusion des tangues

La carrière militaire de M. de Fezensac, répond de sa diplomatie. Il saura faire, à Madrid, la diplomatie qui convient aujourd'hui à la France. Les souvenirs de l'empire vont bien à la politique de juillet. Entendons-nous, du moins; les souvenirs des armées impériales, car l'empire a d'autres souvenirs qui ne vont bien qu'au CotM~tMt~otiMe~.

Les dispositions que le roi de Hollande vient de manifester vers un prochain accommodement avec la Belgique ont produit leur effet. Dans sa séance du 23 de ce mois, la seconde chambre a voté, à l'unanimité, la loi tendant à pourvoir aux dépenses extraordinaires pour les départemens de la guerre et de la marine pendant l'exercice 1838, et, à une majorité de 47 voix contre /t, la loi pour le paiement intégral des intérêts de la dette publique dans la même année.

NfemveMes BtMmgOres.

ttMMtde Bretagne–Zo~r~, 37 ~ar~Hier a été lancé des chantiers de Barking à Essex, le nouveau bateau à vapeur appartenant à la compagnie commerciale de la navigation par la vapeur. L'atnuenee des curieux était considérable; chacun semblait s'intéresser au sort de ce bâtiment, que l'on savait être destiné au commerce français. La communication établie au moyen de~ paquebots de la compagnie entre nos ports et celui de Boulogne, a produit les meilleurs résultats, qui ont été justement appréciés par les habitans de Boulogne, qui ont mis le plus grand empressement à coopérer à tout acte de réciprocité. Une assemblée nombreuse des actionnaires de la compagnie s'est réunie à la Taverne de Londres pour célébrer, dans un banquet, cette inauguration. Le lord-maire de Londres, en sa qualité de président, occupait le fauteuil au haut bout de la table il avait à sa droite le maire de Boulogne, M. Adam. Plusieurs personnages de distinction et des négocians de Boulogne assistaient à ce banquet.

–Lord John Russell, en réponse à une interpellation de sir R. Peel, a annonce que le gouvernement se propose d'appeler, le 50 avril, l'attention des chambres sur la question des dîmes d'Irlande.

Les journaux américains ont publié un document de M. William Lyon Mackenzie, contenant un exposé de l'origine des progrès et de l'issue de l'insurrection du Haut-Canada.

AHenM~ne BAVIERE. Mu/H'c~ 31 Mar~Nous apprenons que dans plusieurs sociétés, il a été convenu que l'on ne parlerait plus de l'affaire de Cologne. En attendant, le mémoire publié par la cour de Rome a produit une sensation profonde et réveille les sympathies du public. Il va en être fait trois traductions.

PRUSSE. Fer/M, 1S mars. Nous recevons sans cesse de nouveaux détails intéressans pour l'Allemagne entière sur le séjour-de l'empereur et les préparatifs que l'on fait en ce moment pour le recevoir. Indépendamment des parades militaires ayant pour objet le maintien de la discipline, il y aura de 29 mai au 11 juin, de grandes manœuvres de siège auxquelles coopéreront des troupes venues d'autres provinces. S. M. l'empereur restera en Allemagne jusqu'au mois de septembre les uns, disent que son but est de rétablir sa santé, d'autres attribuent ce 'voyage à un intérêt purement politique. -A'.<s-C/Mp<e, 16 mars. Nous recevons à l'instant même une circulaire de la cour de Rome aux termes de laquelle le saint-père déclare de nul effet la nomination de M. le docteur Rusgen aux fonctions d'administrateur du diocèse de Cologne, ainsi que toutes les dispenses émanées de lui. Le chargé d'affaires de la cour de Rome à Bruxelles, M. A. Spinelle est chargé de communiquer cette circulaire au clergé de notre ville.

Tarante Constantinople, 37/e~<-r. Le fils ainé du sultan Mahmoud, Abdoul-Pacha, a été gravement malade pendant plusieurs jours; déjà on perdait l'espoir de le sauver, lorsque le sultan fit appeler le docteur Boulard, qui est parvenu a le guérir complètement. C'est un nouveau service, et un service bien essentiel, que ce savant médecin français a rendu à la Turquie, en conservant la vie à l'héritier du trône. Pendant toute la maladie d'Abdoul-Pacha, le sultan n'a presque pas quitté son lit. Cette tendresse de la part de Mahmoud a beaucoup contribué à disposer l'opinion publique en sa faveur, non seulement parmi les Musulmans, mais même parmi les Francs.

On attend ces jours-ci l'arrivée du prince Miloacb à Constantinople, où il a été appelé auprès du sultan.

Les avantages de ce procédé sont d'apporter, sans aucun travail intérieur et journalier, une lumière vive et pure dans tous les lieux voisins d'une conduite principale, de tirer le gaz éclairant du charbon, en conservant sous la forme de coke une grande partie de sa vateur première ses inconvéniens sont let prompte a)téra!ion des vases de fonte où le charbon se distille les énormes frais d'établissement des tuyaux de conduite, les mouvemens fréquens du sol des villes que l'entretien de ces tuyaux exige, les pertes inévitables de gaz qui ont lieu dans la longueur de ces tuyaux, les fuites plus graves qui peuvent se produire dans l'intérieur des habitations, et qui donnent lieu ensuite à des détonations redoutables, quand on apporte une lumière dans le lieu où le gaz s'est répandu; enfin, l'impureté du gaz obtenu qui, malgré tous les lavages requis, retient encore une certaine quantité de soufre qui, lorsque le gaz brûle, donne de l'acide sulfureux. C'est à cette dernière cause qu'il faut attribuer la prompte altération des ornemens et des dorures dans les lieux publics éclairés par le gaz et la nécessité où l'on s'est trouvé d'en abandonner l'usage pour les lampes de nos théâtres.

Il faut ajouter que dans l'action de distiller le charbon, la manière dont l'opération est conduite et la température à laquelle on élève ]a cornue influent considérablement sur la quantité de gaz produit .et sur la faculté éc)airante. En gênerai, on estime qu'un kilogramme de charbon peut fournir cinq pieds cubes de gaz, et qu'un bec cqoivaI;mL a uue lampe-Carcel consomme environ trois pieds cubes de gaz par heure.

L'art de traiter le charbon par la chaieur est susceptible de beaucoup de perfct'iionnemens. M. Pelletait a pubHc, en 1817, à la suite de nombreuses observations faites en Angleterre (dans un mémoire destiné à servir de suppiciaent l'ouvrage d'Aceum sur l'ëciairagc par le gaz) des

MocveHes diverses

Hier au soir le roi a travaillé successivement avec MM. les ministres de la guerre, de la justice, de la marine, et M. le comte de Bondy, intendant-général de la liste civile.

Aujourd'hui M. le préside~~t et le bureau de la chambre des députés ont eu ['honneur de présenter à S. M. plusieurs projets de loi adoptés par la chambre dans l'une de ses dernières séances.

M. Feui)hade de Chauvin, procureur général près la cour royale de Bordeaux, a eu l'honneur d'être reçu hier par'te roi.

Il a également eu l'honneur d'être reçu en audience particulière par M. le duc d'Orléans, et par S. A. R. Mme Adélaïde.'

Le 10' arrondissement de Paris vient de faire une bien grande perte, et qui sera surtout vivement sentie par les pauvres de cet arrondissement. L. M. Louis-François-Xavier de Ctercq est décédé le 38 mars. Son corps, qui a été embaumé par M. Gannal, sera transporté à Tournay en Belgique, où un monument de famille recevra les dépouilles mortelles d'un homme dont l'inépuisable bienfaisance et ]a bonté ont toujours été appréciées. M. Magnant, gérant du Populaire Royaliste, a été aujourd'hui con- damné par défaut, par la 6* chambre correctionnelle, à 6 mois de prison et à 2,200 fr. d'amende, pour publication de journal, sans dépôt préala- ble de cautionnement.

Hier matin, à dix heures et demie, une forte détonation s'est fait entendre dans la rue du Coq, chez M. Beringier, armurier; des amorces fulminantes avaient pris feu. On ne dit pas que quelqu'un ait été Metsë par l'explosion, qui a brisé tous les carreaux de la fenêtre et de l'entresol et un carreau de la devanture de la boutique. Pendant assez longtemps, une fumée épaisse s'est dégagée de l'entresol, ce qui semblait annoncer que le nombre désamorces embrasées était considérable. La police est survenue tout de suite pour s'informer des causes de cet accident.

M. Tessée, maire de Chollet, a été assassine ce matin à son domicile, rue Mazarine, hôtel de Danemat ek. L'assassin est, dit-on, un ouvrier serrurier qui a été arrêté au moment où il se sauvait par la fenêtre. La justice informe.

Aujourd'hui a eu lieu la course au clocher de la croix de Berny. Neuf chevaux étaient inscrits. C'est-Ma/o JTar~/aweb qui est arrivé au butle premier. Cette course a été l'occasion de plusieurs accidens graves. M. Edgard Ney a fait une chute qui a failli lui coûter la vie, il en a été qùitte heureusement pour quelques blessures, et deux autres cavaliers sont tombés dans un fossé. Tôt ou tard ce dangereux exercice portera le deuil dans d'honorables familles, et tranchera des existences pleines d'avenir.

MM. les ducs d'Orléans et de Nemours assistaient à cette solennité aecompagnes de leurs aides-de-camp.

M. Laplace, commandant de r~~e/HMe, n'a pu toucher à ~Sumatra qu'à la fin du mois d'octobre.

La présence de l'~r~nMe sur ,ces lieux a produit un très bon effet. M. Laplace s'est mis en relation avec les rajas des principaux villages, et les a trouvés dans les meilleures dispositions à l'égard de nos armateurs. Parti des i)es de la Sonde le 9 novembre suivant, des brises faibles et souvent défavorables ne permirent à t'~r~'m~e d'arriver à Columbo que 18 jours après. Il régnait alors une certaine activité sur cette place, où notre commerce prend depuis que)ques années une extension sensible, et qui ne peut que se développer encore sous I'h)f)uence d'une sécurité que les armateurs et les capitaines des navires français doivent aux apparitions fréquentes des bâtunens de la marine sur ces différens points. M. Laplace appareilla le 10 décembre de Columbo pour Bombay, où il ne devait toutefois relâcher qu'après avoir .visité les ports de Cochin, Mahé, Calicut et Goa. Dans cette partie de l'Inde, nos relations commerciales lui ont paru, comme à Golumbo, en voie de progrès. Un journal publie une lettre dont nous extrayons les passages suivans

« ~M~re~, 28 février -1858. Un fait bien important pour nous et pour la France, s'est accompli; les quelques instans dont je puis disposer, seront employés à vaus donner sur cet événement quelques détails succincts.

Le vaisseau le <S'M~r~ a fait côte le 2S février au soir sur les bancs de Sainte-Marie, et tout porte à croire que la France a perdu sa merveille maritime!

Depuis notre départ de Toulon, nous avons éprouvé les plus mauvais temps, sans interruption.

"Le 25, à 6 heures du matin, la chaîne de tribord cassa; on prépara l'ancre de détroit pour cette chame. Dans la journée.le câble de tribord fit casser son ancre, nous fîmes tête sur les deux ancres de babord et chassâmes. Le soir, à 6 heures, le câbte de bâbord cassa son ancre on mouilla alors l'ancré du détroit et les ancres à jet; mais nous continuâmes à chasser jusqu'à 8 heures que nous avons commencé à taionner. Nous passàmes cette nuit dans des angoisses difficiles à décrire; la mer était horrible et la vase remuée par la lame avait rougi l'eau comme l'eau d'un torrent. "Le 26, à 6 heures du matin, la chaîne de babord, puis les ancres de détroit et à jet cassèrent au Tniiiéu d'une rafale que je ne puis dëcrire,et le vaisseau fut à la côte! Il bondissait sur la lame et rebondissait sur le fond, C'était horrible a voir.

Dans la journée, un bateau à vapeur anglais essaya de mouiller une ancre au iarge et de nous apporter lé bout du câble, mais la mer était trop grosse, il fit des avances et fut obligé, de rentrer au port. Dans la nuit, le vaisseau vint en travers; sa position fut alors terrible; nous craignions de le voir s'ouvrir ou se coucher à marée basse, moment pendant lequel il talonnait le plus. La mer était si grosse qu'en cas que cet accident arrivât, nous n'osions espérer de sauver l'équipage. Pour compléter l'horreur de notre situation, la foudre tomba dans ia caie et blessa deux hommes. La pleine mer nous laissa plus tranquilles,- mais nous porta plus âia côte: ce fut une nuit affreuse.

» Hier a7, à basse mer, le vaisseau était tellement envasé, qu'il ne fa-

idées fort importantes à ce sujet. IL a démontré qu'en obligeant le gaz qui se produit au commencement de la distillation et qui contient beaucoup d'huile, à passer sur d'autres charbons déjà rouges sur lesquels cette huile se décompose, on augmentait dans une très grande proportion, et la quantité du gaz obtenu et sa faculté éclairante; il a fait plus U a indtqué les moyens de donner a toute espèce de gaz hydrogène obtenu par des moyens quelconques, la propriété d'éclairer, en lui faisant dissoudre une huile essentielle appropriée.

Ces moyens, pubtiés depuis si long-temps,constituent la base des procédés de M. Selligue, qui vient d'obtenir pour cet objet un prix de la Société d'encouragement.

A défaut de l'application utile des moyens de perfectionner le gaz obtenu de la houille, on a cherché d'autres sources pour obtenir ce corps on a distillé des huiles grasses et des graines oléagineuses; et sans contredit la pureté du gaz obtenu de cette manière et sa propriété éclairante étaient infiniment supérieures à celui de la houille; mais ces matières premières sont généralement très chères et elles ne laissent d'ailleurs aucun résidu utile.

Dans ces derniers temps et par suite des recherches scientifiques qui ont fait découvrir les carbures d'hydrogène liquides, et qui ont fait voir que beaucoup d'huuespyL'ogénées n'étaient autre chose que ces carbures, ou aimaginé de disiiHer la résine, matière commune et à vil prix, et d'en tirer une huiie qui, soumise à une haute lempét'atut'è, se convertit presque tout entière en un gaz jouissant des plus précieuses propriétés c'est ce qu'on nomme vulgairement le gaz de résine.

Ce corps a une faculté éclairante telle qu'un seul pied cube équivaut à quatre pieds cubes de gaz tiré du charbon; il n'exige aucune purincation, ii n'a pas par lui-même l'odeur très désagréable de l'anctea gaz; et

tiguait pas beaucoup. On Nt transporter l'artillerie de l'avant pour !e mettre sans différence; mais, à marée haute, il souffrit tellement qu'on voulut couper sa masure. L'ctat-major proposa a)ors de faire éviter le vaisseau pour lui mettre t'arriére dans la direction de la tame, et )a mâture fut sauvée. La manœuvre fut exécutée en portant des poids de l'arriére pour déchouer l'avant; on appareilla les focs, dont un fut emporté; mais le petit foc et des prélarts placés dans les haubans nous firent arriver, et le vaisseau s'envasa alors tellement qu'il ne fatigua plus. A marée basse, nous n'avons plus que sept pieds d'eau derrière, et 1S à marée haute.

Demain, 5SO hommes, sous les ordres de M. Chabert, lieutenant de vaisseau, et MM. Chamberet et ChasteUier, enseignes de vaisseau, vont à Porto-Réal pour préparer les magasins où l'on doit déposer notre matériel. ·

Sauvera-t-on le vaisseau ? Question délicate et qui nous occupe tous. Ce matin, on nous a signalé que, dans des circonstances analogues, un vaisseau espagnol a passé deux mois où nous sommes et s'est sauvé. ERRATtJM.–II s'est glissé dans le feuilleton d'hier une erreur qui peut embarrasser les amateurs d'échecs qui voudraient jouer la partie en vers. Au 13'vers de ia seconde colonne, au lieu de /e~ en e/!efa/, il faut lire prend LE e/!< La Reine prend le cavalier placé au milieu de l'échiquier entre elle et le roi blanc.

t.e & <tu mois preciMMm commencera la pnMicatten ~'mn Romam de M AMXAurBBB MtimAS.

MM ïea altonnëa dont latMHtmëment exptre te 31 coMrttMt, Nont pri<*<t <<<* te rencMveter, et <tejotn~tre à tenr demande Mne de leurs adresses tmprtmees. avee tea recttacattone qnt leur paraîtrait mecessatres,

CtMMnbre <tes IPairs.

Séance du 30 mars. PRÉSIDENCE DE M. DE BROGLIE (vice-président). ~~OptMM <tM NC~M<Mt </6 C~y pr<~6M <<6 ~<M <tM<ef~< <OC<Ï<. ~</f~~Mt <fMM ~7'<~6t t<6 <M ~or~ttt <~6)K<MM<C ~6 Cfe~t~ ~M~Mte~~r~ poMf <e~ ~e~MOtM. –~<~op~OM <<e ?*~o~M~Ctt <67M<~M~ ai ~ceof~r M~e pc~MOM f<6 3,000 /r. A. ~t~a?M6feM~e/)aM?K6~Mt<. –DMCMMMM ~Mf Mtte p~<t~otK/MCOMtmcfce~eBor~~M.E re/~fe~M t/e~rercnten~ ~6N <MCfeS CO<0)MaM.B. Lo <~MCMMK?~ M< CCM~MM~ ~C?K(HM.

La sëance est ouverte a deux heures.

Le procès-yerba) est adopte.

MM. Bernard, Lacaye-Laptagne, Martin (du Nord) et Montalivet sont au banc des ministres.

La chambre a adopte dans sa dernière séance cinq projets de toi autorisant un paroi) nombre de departemens a contracter des emprunts peur leurs routes departementates. E)te a décide qu'e!)e passerait a un seu) scrutin sur trois de j ces projets concernant tes departemens des Basses-Atpes, des Boucbes-duRhône et de Vauc)use, et à un second scrutin sur deux autres projets retatifs aux departemens d'Indre-et-Loire et du Tarn, dont )es votes avaient sembtë exagères à ia commission et à ptusieurs membres.

M. LE GENERAL DE srARRE demande )a parote et insiste pour que l'emprunt que )e département d'Indre-et-Loire demande a s'imposer soit autorise. Seton l'honorable membre, ce'département, qui a déjà dépensé 1,500,000 fr. pour ses routes départementales, a besoin d'un million pour !es achever. Cet emprunt d'un miUion intéresse au plus haut point sa prospérité.

M. LE MARECHAL socLT présente des observation! analogues en faveur du département du Tarn.

M. LE PRESIDENT Je dois faire observer que tes projets de )oi dont i) s'agit ne peuvent être mis en discussion i)s ont été adoptés dans )a séance d'hier. II ne reste plus qu'a passer au scrutin. (Oui! oui t) La chambre procède a deux scrutins successifs. Les trois projets de foi autorisant tes emprunts votés par tes departemens des Basses-Atpes, des Bouches-du-Rhône et de Vaucmse, sont adoptés par 96 bouies Manches contre 13 boules noires.

Les deux projets autorisant ies emprunts votés par tes departemens du Tarn et d Indre-et-Loire sont adoptés par 80 boules blanches contre 21 boutes noires.

L'ordre du jour est ta discussion d'un projet de loi portant demande de crédits supplémentaires pour )es pensions.

Personne ne demandant ta parote, M. te président donne lecture des articles.

Art. l". H est at!ouéen addition aux crédits accordés sur l'exercice 1858 par ta toi de finances du 20 juittet 1857, pour tubven<.ion aux caisses de retraite des ministères des affaires étrangères, de ta. guerre et des finances, des supptémens montant à ta somme de cinq mittions six cent trois nuMe francs (5,605,000 fr.). Ces supptémens demeurent répartis comme M suit, savoir

1 Ministère des affaires étrangères. H 5,000 fr.

de la guerre. 8S,000

des ûaances. 5,405,000

1 Tota!égaL. S,603.000fr.

Art. 2. Les nouvelles demxndes de retraite, a t eMepuon de celles qm pourraient être formées par des veuves d'employés morts en activité de service, ne seront admises que dans ta proportion des fonds disponibles; celtes sur lesquelles il n'aura pas été statut, faute de fonds, dans le cours de l'annëe 1858, seront ajournées à l'année suivante.

M. DUBOUCHAGE se plaint que le ministre n'ait point encore présenté le projet de loi sur les pensions. Il prétend que beaucoup d'employés auront, à souffrir de ce retard.

M. LACAVE-LAPLAGNE, ministre des nnances Je désire beaucoup que la position des employés qui ont des droits à la retraite soit fixée irrevocabtement et qwe la loi sur les pensions soit votée le plus tôt possible; mais je

enfin, ne contenant jamais de soufre, il n'exerce, en brûlant, aucune innuencefàcheuse.

En même temps qu'on a cherché à changer la source du produit, on s'est aussi attaché à en modifier )a distribution; le gaz, moins volumineux pour un même effet, était devenu plus facile à transporter, et il s'est formé une fabrique de gaz portatif préparé à la résine. Cette entreprise place chez le consommateur un petit gazomètre qui distribue dans la maison tout le gaz nécessaire; cet appareil communique d'autre part à l'extérieur par un tuyau muni d'un robinet. Des voilures légères, mais très volumineuses, renferment une espèce de gazomètre qui se remplit dans la fabrique et que l'on transporte près du lieu de consommation là il est mis en communication avec le gazomètre intérieur, et il lui cède, à son tour, tout ce qu'il contient, en se vidant par un excès de pression.

Ce mode, très convenable sous beaucoup de rapports, n'a d'autre inconvénient que les frais du transport, et la nécessité de trouver dans chaque localité le place d'un petit gazomètre qui, du reste, peut être situé dans une cour, dans une cave ou dans un grenier. Telles sont les bases principales qui ont servi à l'établissement du gaz portatif à domicile. Dans l'état actuel de l'industrie à cet égard, nous sommes porté à croire que c'est celui qui est destiné à l'emporier définiiivcment sur tous les, autres moyens de distribution actuellement existais.

Nous aurions'désiré terminer aujourd'hui cette question d'éclairage, mais le défaut d'espace nous force de remettre ù un prochain article l'examen des autres moyens et quelques considérations sur l'emploi des gaz en général..

JULES PELLEt~N.


dois faire observer que les craintes du préopinant ne sont point fondées. Si quelques employés ne peuvent pas être liquidés faute de fonds, les employés resteront en activité, et le gouvernement seul sera un peu plus grevé. M. MjBOt;CHAGE insiste sur les observations qu'il a présentées. (Aux voix aux voix ')

L'art. 2 est adopté.

Art. 3. Aucune pension, liquidée postérieurement a!a promulgation de )a présfnte toi, ne devra.excéder le maximum de 6,000 fr., déterminé par la loi du 1S germinal an 11.–Adopté. 1

Art. 4. U est, en outre, ouvert au ministre des finances, sur )'exercice 1858, uo crédit de vingt-trois mille cent francs (25,100 fr.), lequel sera réparti en indemnités entre )es fonctionnaires et cmptoyés attachés aux étabtissemens monétaires supprimés par l'ordonnance du roi du 16 novembre 1857.–Adopté.

Art. 5. I! sera pourvu aux dépenses autorisées par )a présente toi, au moyen des ressources accordées par la loi de finances du 20 jutilet 1857, pour les besoins de t'exercice 1858.–Adopté..

La chambre passe au scrutin sur l'cnsembte du projet.

fnvnici tp r~f:nh~t

Nombredesyotans. 105

Boutes Manches. 101

Buuiesnoires. 4

1

~acnauiureaaaopte.

La chambre décide qu'eue discutera immédiatement et sans nommer de commission, la résolution de la chambre des députés, tendant à accorder une pension de 5,000 h- à titre de récompense nationale, à la veuve du général Daumesnil, résolution dont les bureaux se sont occupés avant la séance. La paroieestaM.ieministredefagucrre.

M. BERNARD,'ministre de la guerre: Messieurs, le nom de Daumesnil est non-seulement cëtèbre, mais encore populaire. H est inscrit dans les plus belles pages de notre histoire' mititaire. Aussi, dès J856, le gouvernement avait appelé l'intérêt des deux chambres sur la veuve et les enfans de Daumesnii. Le gouvernement s'associe donc pleinement à la résolution qui vous est soumise. (Approbation.)

L'article unique de la résolution est mis aux voix et adopté. Voici le résultat du scrutin auquel il est crocéde

Nombre des votacs. 109

Boulesbtanches. 97

-Bou]esnoires. 12

1-asuitcderordredujourestterapportducomitédes pétitions. M.DE LÂVtM.EGOKTtER, rapporteur: Les habitans de Bordeaux, au nombre d'environ quatre mille, appellent l'attention de la chambre sur les souffrances du commerce, des colonies et de ta marine, auxquelles la loi du 18 juittet dernier, sur te sucre indigène, n'a apporté aucun soulagement rëet. Comme remède à ces maux, ils sollicitent le dégrèvement des sucres coloniaux et étrangers.

?< te rapporteur appelle toute l'attention de la chambre sur l'importance ne cette réclamation qui se rattache aux intérêts les plus graves, ceux des colonies, de la marine et de la navigation. La loi sur les sucres coloniaux, dit-il, compte à peine une année d'existence, et déjà, s'il faut en croi'e tes pétitionnaires, il a été reconnu que le système qu'elle consacre est inapplicaNe, que ses effets sont illusoires, et qu'etfe ne doit faire entrer que peu de fonds dans les caisses du trésor. Déjà les colonies se trouvent menacées d'une ruine prochaine, et nos ports éprouveront une crise qui ne peut qu'empirer chaque jour si l'on n'y apporte un prompt soulagement. Vous ne repousserez point, messieurs, par un ordre du jour prétexte sur la loi que vous avez votée dans la dernière session, des réclamations d'un aussi haut intérêt. It est de votre devoir d'appeler de nouveau l'attention du gouvernement sur cette question vitale. Le moment est d'autant plus opportun que l'administration <ioit présenter bientôt un règlement pour fixer le rendement des sucres bruts. Votre comité vous propose en conséquence de renvoyer la pétition à M. te président du conseil et à M. le ministre des nuances.

M. Bt&OT DE MOROGUES demande t'ordre du jour. L'honorable membre donne lecture d'un longdiscours écrit, en faveur de la fabrication du sucre de betteraves. L'extension de cette fabrication doit exercer, selon lui, ta.ptus grande influence sur la prospérité du pays. Userait déplorable, dit-il, de l'arfêter dans son essor, en accueillant avec faveur la pétition des habitans de Bordeaux.

M. GAUTIER appuie avec chaleur les conclusions de la commission. Les chambres de commerce de tous les ports du royaume, dit M. Gautier, ont demandé l'abaissement des droits d'entrée établis sur les sucres coloniaux, et exprimé des vceux analogues à ceux que je viens défendre. De graves intérêts sont dans un péril imminent, et ne peuvent être arrachés à ce péril que par ta mesure que réclament les pétitionnaires. Nos colonies sont entrainées dans une ruine prochaine et inévitable, car il leur est impossible dé lutter avec l'industrie nationale, qui n'est soumise à aucune taxe, et qui, pour la prochaine récolte, supportera une taxe illusoire, tandis que les sucres coloniaux sont frappés d'un droit égal au prix de revient.

L'orateur entre dans des détails statistiques à l'appui de cette assertion, et fait observer que la ruine des co'onies est d'autant plus imminente que les exploitations ~)e peuvent être suspendues dans tes cotonies~ne fût-ce que pendant une année, sans être entièrement compromises.

A-t-on pensé, poursuit M. Gautier, aux conséquences funestes qu'occasionnera la ruine des colonies ? A teur égard, je le répète, on confisque leurs propriétés par une mesure aussi injuste qu'inhumaine. Mais ce n'est point tout; la loi votée dans la dernière session enlève au commerce de la métropole les sommes considérables qui lui sont dues par les colonies, et qui ne s'élèveut pas à moins de 40 millions. Les cotoniès consommaient pour 60 millions de nos produits indigènes.. Ces produits vont se trouver désormais et sont déjà sans .débouchés.

Une grave conséquence de la ruine des colonies, c'est qu'elle enlevera à notre marine marchande le tiers, si ce n'est la moitié de ses bâtimens. Les ressources navales de l'état diminueront dans la même proportion, car !eséqui pagfs de la marine de l'état se recrutent surtout dans la marine marchande. Tels sont les résultats de la loi sur le sucre colonial. Ces résultats ne 'peuvent être atténués que par la mesure que réctame le commerce de Bordeaux et des autres ports du royaume. (Approbation sur quelques bancs.) M.LACAVE-LAP~AG~E, ministre des finances Je reconnaîtrai volontiers avec le préopinant que les intérêts des colonies, de la marine marchande et des ports sont des intérêts nationaux de premier ordre, et qu'ils ont droit à notre sollicitude et à notre protection. Le gouvernement s'est toujours s préoccupé vivement des besoins de ces intérêts et .n'a rien négligé pour mettre un terme à leur souffrance. Jamais, messieurs, il n'a voulu les sacrifier à )a fabrication indigène. (Très bien!).

Mais permettez-moi de vous le dire, aucun problème peut-être n'est plus difficile à résoudre que ta conciliation des intérêts opposés et même ennemis de la production indigène et des colonies. Bien plus, les colonies eussent été en souffrance, lors même que la fabrication indigène n'aurait pris aucune extension.–Voici pourquoi. (Marques d'attention.)

Depuis tong-temps, la consommation en France a dépassé les importations que les colonies sont en .état do.faire. Dans l'hypothèse que la production indigène n'aurait présenté aucune ressource, on aurait donc eu a examiner s'tt n'eût pas été utile d'abaisser la surtaxe qui pèse sur tes sucres étrangf'rs. C'eût été une question difficile; car en maintenant la surtaxe, on aurait com promis les besoins de la consommation; en l'abaissant on aurait causé aux colonies le préjudice dont elle se plaignent aujourd'hui. Leur position a donc été produite par la force naturelle des choses.

Lors de ta discussion de la loi qui a été votée l'année dernière, le gouvernement insistait pour que l'impôt sur le sucre indigène fût plus élevé et sa perception moins retardée. L'autre chambre ne sanctionna point à cet égard son opinion. Cette opinion messieurs, imposait an gouvernement le devoir

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d'étudier ~érieu<ement!es besoins des colonies. C'est ce que nous n'avons cesséde faire.

M. le ministre, opposant des détails statistiques à ceux qui ont été prés'ntésparM. Gautier, cherche a établir qu'en déGnitive, ta position-des cotonies est moins critique que ne l'a prétendu le préopinant, et que leurs produits trouvent encore a'se placer sinon avec un gain considérable, du moins sans perte.

En terminant, dit M. le ministre, je dois ajouter un mot sur la position spéciale de la vitte de Bordeaux. La pétition est couverte de 4,000 signatures. Mais il est évidentquè ces signatures n'appartiennent point toutes,à ses armateurs, et que la plupart sont c'eitcs de gens qui sont plus ou moins interressés aux arrivages. Eh bien! en 1827,18~8 et 1829, lorsque le sucre indigène n'avait pas encore paru sur les marchés, les arrivages n'ont, été à Bordeaux que de 1'), de 11 et de 12 misions à peu près. En 183.') et 185ti, avec la concurrence de la production indigène,-its ont été de 16 mittions. En 1857, année qu'on dit si critique, its ont encore été de 13 millions. La ville de Bordeaux fait donc entendre des plaintes exagérées. En résumé, messieurs, je suis foin de prétendre que la position des colonies, du commerce .et des ports ne mérite pas. tout notre intérêt. Mais je crois aussi qu'il n'y a pas urgence à prendre de nouveHcs mesures. I! est sage d'attendre les résultats de la toi de 1857 et la sanction de l'expérience. It ne faut pas compromettre te sort de cette loi par un renvoi prématuré de la pétition du commerce de Bordeaux à M. le président du.consed. Un renvoi solennel pourrait n'avoir d'autre effet que de faire naitre des espérances qui ne se réalisant pas, agraveraient le mérite des observations que je lui ai soumises en prononçant l'ordre du jour. (Très bien! très bien!

M. CH. DCPMr parte en faveur de tapétitio.n et prétend que des plaintes aussi unanimes attestent des souffrances réelles. Sans doute, dit-il, il ne faut pas précipiter le gouvernement et lui demander des mesures imprudentes; mais en présence des intérêts des colonies, de vingt-quatre départemens maritimes, de la navigation marchande et de l'état, la chambre ne saurait passer à l'ordre du jour. (Aux voix! aux voix!) !)

M. D AR&OTJT réctame quelques minutes d'attention et se prononce avec force contre le renvoi qui produirait le plus mauvais effet, celui de prouver au pays que tes lois se font avec légèreté, et que tes chambres se montrent favorables a leur révision avant qu'elles aient reçu un commencement d'exécution.

L'orateur pense que le renvoi serait dangereux en ce qu'il ferait naltre des espérances qu'it est impossible de réaliser. I) soutient que tes colonies cMesméme sontintéressëes, dureste, au maintien de la loi de 1857. En effet, dit-il, si vous admettiez le dégrèvement sur le sucre colonial, vous ne pourriez maintenir l'impôt sur le sucre indigène, et vous renonceriez ainsi à l'unique moyen de niveler les deux industries rivâtes.

M. TRtptER demande que ta discussion soit renvoyée à demain, parce que la chambre n'est pas en nombre.

M. DCBOUCHAGE prétend que te règlement's'oppose à ce que les discussions sur les pétitions soient ajournées.

M. LE PREStDENT Aucun articte du règlement ne s'y oppose. La séance est levée à 6 heures moins un quart et la discussion continuée à demain.

Chambre des ~épates

Séance du 29 mars. PRÉSIDENCE DE M. DUPIN.

Suite ~6 </MCM~~ZO)t ~M projet de ~Ot sur /M{6~. La séance est ouverte à une heure et demie.

Le procès-,verbal est lu et adopté.

L'ordre du jour est la suite de la discussion sur l'article 44t et des amendemens qui s'y réfèrent.

M. DE GOMBERY insiste pourtanullitédetous les actes passés avec un failli. Bï. MM.ATJD Je m'associe aux énergiques paroles que M. Teste a prononcées hier contre l'agiotage; mais il ne s'agit pas ici de cette question qui se rattache à un autre article. H ne s'agit pas de punir le négociant qui a englouti dans des jeux de bourse des capitaux nécessaires àson cemmerce, un article du projet le déclare dans ce cas banqueroutier il s'agit de punir celui qui a détourne une partie des valeurs de son actif au profit de quelques-uns de ses créanciers, et dans ce cas, la législation est suffisante puisque vous permettez d'annuler !es actes passés par le fait)! dans un temps où ses affaires étaient déjà dans un tel état qu'on ait pu faire remonter la faillite à ce moment.

M. LE PRESJDENT La discussion est devenue trop générale on s'est complètement écarté de l'article 441; il est temps d'y revenir. Je relis l'artic)e.

Art. 441. Par le jugement déclaratif de la'failtite, ou par jugement ultérieur rendu sur le rapport du juge-commissaire, le tribunal déterminera, soit d'office, soit sur la poursuite de toute partie intéressée, l'époque à laquelle eu lieu la cessation de paiemens. A défaut .edétermination spécia)e, la cessation de paiemens sera réputée avoir eu tieu à partir du jugement déclaratif de la faillite.–L'article est adopté.

Art. 443. Les jugemens rendus en vertu des deux articles précédens seront affichés et insérés par extrait dans tes journaux, tant du lieu où taMIite aura été déclarée, que de tous les lieux où le failli aura des établissemens .commerciaux, suivant le mode établi par l'article 43 du présent code. Adopté.

Art. 445. Le jugement déclaratif de la faillite emporte de plein droit, à partir de sa date, dessaisissement pour le failli de l'administration de tous ses biens, même de ceux qui peuvent lui. échoir tant qu'il est en état de faillite. A partir de ce jugement, toute action~mobilière ou immobilière ne pourra être suivie ou intentée que contre tes syndics.

Il en sera de même de toute voie d'exécution tant sur les meubles 'que sur les immeubles.

Le tribunal, lorsqu'il te jugera convenable, pourra recevoir te faitti partie intervenante. Adopté.

Art. 444. Le jugement déclaratif de faillite rend exigibles, a l'égard du failli, les dettes passives non échues.

En cas de faillite du souscripteur d'un billet à ordre, de l'accepteur d'une lettre de change ou du tireur à défaut d'acceptation, les autres obligés seront tenus de donner caution pour le paiement à l'échéance, s'ils n'aiment mieux payer nnmédiatemeni.

M. WCRSTEMBER& propose sur cet article un amendement. I! voudrait, qu'en cas de faillite, on pût obliger à donner caution tous tes souscripteurs qui précèdent la signature de l'endosseur failli. ït soutient que celui qui a do~né une lettre de change avec quatre signatures est tenu de donner des garanties de.paiement, lorsqu'une des signatures devient mauvaise car l'effet n'a été pris qu'en considération des quatre signatures, et celui qui les a données est tenu de les garantir.

M. cti~ïN-GRJDAlNK combat cet article comme tendant à embarrasser les affaires, sans utilité pour le commerce; il soutient que puisque l'on n'use pas de la faculté accordée par l'article 448 du Code de commerce de réclamer des endosseurs, au choix, une caution du paiement, il est inutile de faire revivre cette disposition.

M. wL'RSTEMMRG insiste pour son amendement.

M. DtjFAtfRE repousse famendemement. Il ne faut pas, dit-il, abuser de la faculté d'obliger des débiteurs à payer prématurément; ilfautpourceta qu'il y ait certitude absolue de non paiement à l'échéançe, autrement on jettera la perturbation dans le commerce, en détruisant te crédit et la confiance qu'on a dans tes lettres de change.

Après une discussion sans intérêt, l'amendement de M. Wurstemberg est rejeté.

L'article est adopté.

Art. 445. < Le jugement déclaratif de faillite arrête, à l'égard de la mass e' seulement, le cours des intérêts de toute créance non garantie par un privi-t lége, par un nantissement ou par une hypothèque.

Les intérêts de toutes créances non garanties ne pourront être réclamés que sur les sommes provenant des biens affectes au privilége, à t'hypothèque ou au nantissement. Adopte.

Art. 446. Sont nuls et sans effet, relativement à la masse, lorsqu'ils auron été faits par le débiteur depuis l'époque déterminée par le tribunal, comme étant celle de la cession de ses paiemens, ou dans les dix jours qui auront' précédé cette époque tous actes translatifs de propriétés mobilières ou immobilières à titre gratuit; tuus paiemens, soit en espèces, soit par transport, vente, compensation ou autrement, pour dettes non échues et pour dettes échues, tous paiemens faits par transport ou vente de tout ou partie des immeubles ou du mobilier du Mli.

Toute hypothèque conventionnelle ou judiciaire, et tout droit d'antichrèse ou de nantissement constitués sur les biens du débiteur pour dettes antérieurement contractées.

M. HEBERT propose sur le quatrième paragraphe d'ajouter après ces mots tous paiemens faits par transports ou vente, ceux-ci autre que a par effets de commerce.

L'amendement est adopté.

Les quatre premiers paragraphes sont adoptés..

Une longue dtscussion s'élève sur le paragraphe 5 relatif à la nullité des hypothèques constituées sur tes biens du faitti pour dettes antérieurement contractées.

M. pASCALis demande la suppression des derniers mots du paragraphe < pour dettes antérieurement contractées.

M. TESTE soutient avec force ce retranchement.

La chambre n'est plus en nombre. La séance est levée à cinq heures trois quarts.

ORDRE DU JOUR DU VENDREDI 30 MARS 1858. A une heure séance publique. Suite de la discussion du proj t de loi sur les faillites et banqueroutes. Discussion du projet de toi sur tes aliénés.

Les personnes qui désireraient se procurer la magnifique édition de faMJ! et Vir~Mie, faite a si grands frais et avec tant de soins par M. Curmer; apprendront avec plaisir, que, cédant aux nombreuses demandes qui lui ont ét6 adressées, l'éditeur vient de remettre en livraisons cette importante publication. Ce mode a la fois commode et peu dispendieux, puisqu'il permet d'acquérir l'ouvrage en divisant son prix en autant de fractions qu'on le désire, épuisera sans doute rapidement le restant de cette édition, la plus remarquable peut-être dont puisse s'honorer la librairie française.

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Le livre de M. Léon Vailly, qui vient de paraître à la librairie Ambroise Dupont, sous le titre d'~ioeHca X'a~mati~, est destiné à la fois au succès populaire et au succès de salon. Nut coûte que tout le monde ne recherche un livre où se réunissent d'une manière piquante la peinture des, mœurs anglaises au dix-huitième siècle, et )e récit des aventures romanesques d'Angélica Kauffmann, aussi cétèbre comme peintre que comme femme. Nut doute que tes soins minutieux, la correction, te style distingué, spirituel et élégant, qui se remarque d'un bout à l'autre de l'ouvrage, n'établissent plus spécialement sa renommée dans la bonne compagnie. Ce livre, dont nous ne saurions trop sincèrement recommander la lecture, est empreint d'un savoir-faire qui n'appartient qu'aux écrivains consommés. Ce qu'on doit surtout y admirer, c'est une habileté dans la mise en scène et dans le dévefeppement des caractères, qui rappelle les bons romans anglais. Un de nos auteurs les plus plus féconds, fauteur du Ga'n: de PafM, de -Me de .Ro/ict!, &a)-on de LamotAe La"90)i, fait paraître aujourd'hui un nouveau roman ayant titre ~e~e et Soldat.

La BANQUE NATIONALE DE LA DETTE FONCIÈRE a reçu dans! l'espace de deux jours, pour près d'un miition de francs de souscriptions.H est des vérités qu'il ne suffit pas de publier une fois, mais dont il faut continueUement frapper les oreilles, ce sont celles.qui peuvent être généralement utiles. Tout le monde connaît l'action des asperges sur les organes urinaires mais en 1829, seulement, en apprit que les principes qu'eDes contiennent calment les nerfs, et régularisent tes mouvemens du cœur. Deputs, l'expérience, cet argument tout puissant, a démontré que te SIROP DE JOHNSON, pharmacien à Paris, était l'agent le plus précieux connu contre les palpitations, les toux, rhumes et affections catharrales, parce que son bienfait est toujours manifeste, prompt, et qu'il s'effectue san: désagréable complication. Nous signalons comme une précieuse acquisition que/vient de faire ta peinture tes belles laques de Smyrne dans lesquelles toutes les richesses de la garance ont été mises à contribution avec des résultats .vraiment surprenans Nuusremarquons surtout :tataque pourpre concentrée, quionrc sous un petit volume une surabondance de principe colorant teDequ'it n'existe point, sur ta palette du peintre, de rouge aussi foncé; la laque jaune capucme, contenant ta matière jaune que la chimie avait reconnue dans la garance~ mais que l'industrie n'avait pas encore su s'approprier; couleur tout-à-fait à part et qui se distingue surtout par sa nuance vive et dorée, et tes glaos comme lumineux qu'elle produit; et enËn plusieurs espèces de laques brunes toutes foncées et de tons très vigoureux et très chauds. La solidité de ces couleurs a déjà été reconnue par nos premiers artistes. Leur prix est bien inférieur,

toute nroportiôn gardée, à celui des autres laques de garance, sans en ex-

toute proportion n gardée, e à celui des autres laques de garance, sans en ex-

cepter aucune. Avec de tels élémens de succès, it est aisé de prévoir que leur emploi va bientôt devenir générai.

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BOURSES. PAMS 39 MARS 1858. AYant la bourse aucune affaire, pas même de cours positif La rente entre I S f.Metsof H t;ï. Au moment de l'ouverture seulement il s'est fait quelques achats au dernier dec<sprix. Le premier cours, c'oté tardivement au parquet, a été eof. 35; mais la coulisse n'a pas dépassé 8of.3o; de ptus, )e5ayanttoutacoupaéchide25c., te 3 a suivi une marche analogue et est tombé à sof. 25, même offert. II est ensuite remonté et a fermé comme hier au parquet a sof. 30 mais dans la confisse après avoir été offert à sof. 25, il est resté demandé à ce prix. En clôture, le 5 c/o n curait pms que 5 c. de différence en baisse sur le dernier cours d'hier. i t.r

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On a commencé les ventes à 62 So. On a fait ensuite 63 et M sa; quelques personnes prétendent même ~u'it y a eu du 64. Les fondeurs voutaientqueieprixmoyen du jour fût fixé a 63, tandis que les fabricans de chandelles insistaient pour avoir 63 a5:de)&)a dispute.

Dans cette position, iaSxation du prix dusuifenbraacheaetesu6pendue;ce- pendant on dit que quelques bouchers ont aecepté<9Mtes5okit.horsParis. ChandeUe,665tâ6'!as.

Havre, 28 mars. Les cotons se vendent avec plus de fermeté. Gomme et cacao Paraenhausse.

1 SPECTACLES DU 39 MARS.

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FRANÇAIS. t~* reprëseot. de )a reprise LE SICILIEN.

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..ITALIENS.–Au henëRce de M. Desc)os. LtPROVAD'HNOPERA-SEÏHA. MM.RuhiBi, Lah!ac!tH, Ferlini, Magtiano, Montcrasi.

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Propriété patrimoniale & vendre à t'amiab)e en totalité ou en deux lots séparés. Cette propriété est située dans t'arrod- dissement de Gien, département du Loiret, a 35 lieues de paris; ei)e est traversée par )a grande route de Paris à Lyon. E))e se compose de 300 arpens, divisés en terme, muaoeuvrerie, bois et tuijeries. Ce ~domaine est susceptiMe d'améliotttHonsconsidérabies.

Son revenu net est de 5,600 fr.

S'adresser à M- BocRNET-verron, notaire, rue Saint-Honoré, n" 83.

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6~14 YAUBEvinE. Angp,Mariaged'orguei),Lusiucru.

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rÀL-RoYÀL.–Maitressedetangue, ) Fête proveneate, Sophie, Fich-tonkan.

5 ;ST.-MARTIN. La Tour, Pauvre Fille.

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6 CAtTE. Ft-mmei! tihres, le Page et la Danseuse,FiUe du Tapissier.

6 CtKQnE'OLYMF. )<!jnu.

7 r.-ST-ANToiNE.–Verrerie de )a Garre, 6)!es, Histoire.

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