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Titre : Journal des débats politiques et littéraires

Éditeur : [s.n.] (Paris)

Date d'édition : 1819-09-20

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb39294634r

Notice du catalogue : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb39294634r/date

Type : texte

Type : publication en série imprimée

Langue : français

Format : Nombre total de vues : 200316

Description : 20 septembre 1819

Description : 1819/09/20.

Description : Collection numérique : BIPFPIG63

Description : Collection numérique : Arts de la marionnette

Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique

Description : Collection numérique : Grande collecte d'archives. Femmes au travail

Description : Collection numérique : La Grande Collecte

Description : Collection numérique : Histoire diplomatique : Révolution - Empire (1789-1815)

Description : Collection numérique : Histoire diplomatique : Restauration - Monarchie de Juillet (1814-1848)

Description : Collection numérique : Histoire diplomatique : IIe République - Second Empire (1848-1870)

Description : Collection numérique : Histoire diplomatique : IIIe République (1870-1914)

Description : Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k4228582

Source : Bibliothèque nationale de France

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 15/10/2007

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Or, tes électeurs ministëriets recherches avec le soin !<* plus minutieux, trouvent partout dfs voitures prêtes à les transporter au chef-lieu où les a'jpettent les invitations les plus pressaates, les ptus tendres p) tes plus touchantes. N'avons-nous pas vu nous autrfs Parisiens jusqu'où va dans Je semblables mntnens, la poétesse d<*s commis aires de potice et t'urttanité des .Gendarmes? Les tibéraux, pteius d'une ardeur bettiqueusc, 'votent d'eux-mêmes à tab~taitte étectorate, d'auteurs,'At A/Kf/c,depui'i deux mois, bat la caisse pour tes rassembler les 1 banquiers libéraux ncct'ss''nt de tirer 'tes tettres-de-chingeetet:- 1 torates sur toute leur cticntfit'' si te co~M/~épni-.e sa caisse ics ) 1 trésoriers de la souscription du Texas prêtent tcurs fondis si les commis-voyageurs ne suffisent pas à parcourir les départemcns, on met en campagne jusqu'aux marchands forains~ chaque boutiquier, en recevant une pacotiHe de mousseline y trouve une liste de candidats et chaque fermier, eu aitant vendre son bt'urre ou son cidre, reçoit avec sa provision de café et de suëre un buUetin tout fait on a vu circuler te nom de M. B~cquey avec des groseilles de Bar, et cctui de M. Bcugnot avec dt's pnts do).i.i marmelade de pomme de Houen; aucune voie n'.t été déda<gn''é pour répandre en tous )ieux tes ordres souverains du comité directeur.

On pf'ut donc croire nue tous ies hbéraux pt tous tes ministeriels se sont rendus aux élections, on peut compter ta force foute entière de ces deux partis dans ks dix-se))) départetnens de la troisième série, on peut même, en partant de cette base, estimer ieur nombre total eu F'auce, <?') paruît être, sur la masse fie <oo,ooo électeurs, environ ;!o,ooo libéraux et 3ooo mmistériets..

Les e.tecteurs qui sont restés chez eux et qui forment t'immense majorité, sont oudt'srnyatistcsou des hofnmcs tout a (ait indfffe rens. Cedoubte caracterf se réunit probab)ement chez un cert.xn nbmbre de ces étfrteurs parestf'ux. Uu a tant prodigué les mjurieux .sobriquets d'7/'<ts etc. etc. tant d honnêtes gt'ns en ont été affubtés p:<r tes intri~ans et t''s factit'ux qui teur reprochant de croire en Dieu et d'aimer ta monarchie; dfs moyens d'insuhe et de découragement si odieux ont été empioyés pour dégoûter les royahs)''s, que beaucoup d eutie eux ont du sentir teur xfte ~e refroidir. Les honuetes g''ns on) d'aittcurs peu de temps a perd'e its n'aiment ~ucre à s étoigncr de teur patsdjic toit, a se séparer de h'ur famiHe diégti~er teurs duuces occupations. C'est tout le contraire cbx les bbéra ceux-ci no rtsptrent que !uin de [eurspÔHatcs, danste tu~nuiteet dans tesaffairt-.s; it's royatistes ou), des habitudes p!us séd.-u)aires. (~uei ~ufs uns d entre <'u.< ayao! dcj.) entendu patier t'nnt-e dernière df ta prépondérance des tibéraux, s<; sont imaginé quit ctoit comph'tctnt.'nt tnutite de se tnontrt'r faut que subsistera ta toi actuetie d~< ttecfiofts; en cela, ils eut sans doute eu tort; i)s auroieut mieux s~jn're ))'s éioq~.cn'i et patriotiques cojocds que les écri'v~insro\aU<tes leur ont adresses; mais enfin, on conçoit cette erreur des bo~s .Frayais; cite provient de tidée gruéreuse, quoique fausse, qu'après tout ia royauté peut toujours se sau\fr r €H'neme.

D'autres royaiistes ont craint d'être m'té' de se voir exposés à <!es persécutions dans )curs personnes ou dans teuni famiHes. Jt est de nombreuses classes de ).') bour~foisie où les sentirnens ruyatistessont comprimés par cette es))et:e de te<reur quun seul jacobin sait répandre dans une petite viHe, surtout tarsque le )acobin peut an'c ra'snu se vanter d'avoir des chances de sucrés, de triomphe et de vengt'anc~

C'est ainsi que la majorité des é)acteurs a été détournée d'assister à des opérations dont aucun bon otoven n<' devmt se tenu' éloigné. Kien n'e-st donc perdu pour ies royahstcs i[s formt'nt toujours l'immense majoDté des Français (idétes a ia dynastie nationate, aux Institutions légitimes, à ia monarchie et à la religion f'). Rien n'est perdu-; que dis-je? Tout. est ~agné: car cette année a constaté et mis dans ).) pius graude évtdcnc'' ie ver<tabtevice de la loi desétectious, si mat appréciée par tous tes .partis tors de sa naissance.

Cette loi n'est pas HM/M/7'c/M(/</f. puisnn'ette amène des régicides et des partisans de t'dit'~ttimité.

Cette loi n'est pas ~y!Ot;w//</Mc puisqn'ei)~ n'excite qu'ua foibtc inté:ct parmi le? éh'tteurs, pui~uu'eitt; n'attire pas ? (')tc la véritable démocratie, celle des bour~sois tramjuitb's et ttounétes; puisqu'etie favorise une aristocraUe d'intrtg.tns et d'ambitieux dans les chcfs-iicux.

Qu'est-eUe donc!' ~~o?«//07ina'M'<° ft un peu /K/s/e/c//f; mais déjà il est prouvé que les é'éutens révotutiounaires, ptus actifs p)us vieiem, absorbent ia prétendue influence dont le miaistere s'étoit vanta U n'est pas passe douze ministériels véritabtes.

Une boune loi des c!ccti<'ns doit être à ta fois monarchique et démocratique puisqu'elle doit 'former t'a'isembtéc particutiére)ment chargée de représenter vis-.i-visdu trône légitime les intérêts <!e la masse de !a nation. La nécessité, t'urgence d'une sembtabte loi ne pouvoitêtremieun démontrée que partes élections de cette année.

–Aujourd'hui à midi, le Roi, accompagné de LL~A; RR. MoNS!EUH, MADAMK, et tes Prince. s'est rc~du a ta chape~e (t) Dans taSeine-latem'me it u'ya que t6oo Ltx'rHUX et n)nustënei!! sur 5~oo éiecteurs~ ii y avoit Sot~éleeteurt rcyaLstM prëseus ~t ~tus de aooo a&Mn~~

du château pour entendre )amps'.e;~ son retour, S. M. s'est montrée au batcon elle a été satuée par tes cris unanimes da tw<" le 'jRo~/

ije~oi étant rentré dans ses appartemens, S. M. a reçu les ministres. les m.iréchaux, les grands-ofttciers de la couronne et des mititaires de tous grades.

i~es mêmes pfésenu~ions ont eu iieu chez MADAME. Le~ Princes avoient reçu à onxe brures..

yM~<'MK ~e/0!/ ~CS .~fe//07!S 3*' SC/W.

~s77C.(La!)n.)– M. Lerartier, ()ts df t'c'x conventionnel. ( Dc/JM/~o'es M'/t/~fw/'s.) M. Méctnn ex-preie). ( ~7~ ) M. te tieutenant-générat comte Foy. ( /c/) M. j~abbcy de Pompiérfs. (Dt~)«/e<~f. cc/Mf;)

~f/ (Moutons.) –M.Datphouse, anrien préfet du (jard. ( ~Y/ ) M. Burette. ( D~M/<~ c/M' c'f/)/uz< )

~<?. (Foix. ) JM. Ca~'ct d~' Madadtan. (A/f/c/.)– M. Fornicrde Ctauxf'Hcs. (~q)«//s/c.) )

C~/)~(.A))r)i!a~ ) M.,<~anith. ~) –-M. Gnitar;). ( .Dt~/C f/fS Cf/ -K; ) v )

C'/)«/'<f-/y~7t'M/p. (L~ Hoc))pUp.) M. Admyr.iu'ft. (&<~a/. ) M. Faure. (~c~!</f'cf<M<y'.s. ) &! Bc-~uspjour. j (~A'M/.) < ttf COOfH'f) p)S f'K'Ort' ~f- dt'pH!f. Do/).s. (Be~nço').)–M. Courvui~i<'rv(/M//i/AW/f/.)–M. C!?-. ment. (D~;t/c</f.cf/t/M/) JEH/'c'c< ((Jha'-t'fS.) M Basson. (Dey)~ ~'ACfM/- ~)–M. Lacro)x-Fr.'invii)e.(~cf~xcF/M/) ~{<n//f-(J~on/ (To'ttt)u.sc.) M. (~.istcitjaj.~c. (Hu)~f ) ,) /Ac;-f. ((Trcnobtc. ) M. Savoy<H<')hr) .<n<;i<'n prctct'. (//'<'fK/.) M. Français dp Nantes, ancien dirt't'!('t)r (tes droits rt'uni' (~c')–M. ~<inp''y fB~iw/f t/eNCf/o<A.)

M. Grégoire. (jE.r-f.W7<~v7//oM/:f/ )

-~yM/c-A/f. (Chaumont.)– AI..Hccnuf'y. (/M/f/f/.)-– M.Toupo!.(A'M~.)

A/~f/ (Lavât.) M Prospnr Ot'taunay. (Mw~)–. M P~i))a"f du Ctcrë. (~Y<)–M. Lepc<'h<'ux.(jUc/t~f<

f.'C/<~f<7S,)

A/o/fM/t (V~nnps.)– )(' conht'-arnira! Hat~at) (/f;/M.)– Ht. Vdicmain. (~t~f/) M.Hobt'rt. (~f/f~ï

<cM/~M7's.) M. Lcfévrier. (M~r~)

jB(/t.<cs--P~cnf'pa. (Pau. ) iÛ. Bastarrcc~P. ( D~)M/~f/fs cf/

/o;i.) ~i. 't'An~usse. (~7/e/) M JDartigaux. (Dë/'«/p'c/fxrfy!<o~t.) &?/< (SiroshDorg ) M. B.'ackenhnffpr. (n~;)M/~ f/<°. cM7/v/) M. L~mbrcch'i;, ancien fninistrc df la justicr. (/f') M. le Larot) dcTurkcim. (7j;7') A). Horou

,Sagiir<. (L//<r7Yy/.)

&'f//)c'f/7f'/<f. (Hnucn..) ~–M. J)!'tarnr))". ( ~<)–

iM. Cabanof). ~a/. )– M. Lt'.scigncur. (L/Y<) M.Ci.rardin, j'réft't ')f la Cô'p-d Or. (L/ ) i\t. Lambrpchts. ( /~e/~ ?tOMMM ~/t ~f~ R/M.~ M. Ht-ugnot. ( /Jf~7/)~c. ) 7h;-M. ( A!Ly. ) –M. Card"f)r)t4. (/~Yf/f. ) tti. de La<

tours. ~]'M/<.s/)

~ff;/f/M.f. (Avignon.)–M. Pny, ancien maire d'Avignoa,

(L/c/-<)–M.iJaugtc!(A//«/A/e/.)

~/f/ [ Pt~hers ) M. Fradm. ( ~/<~Yf/.) M. de Marcay.

( r. )

A~n~i les pt~ctions de ta trnisicmc srri'' ont dnnne pnurrM~ttat,<}y /<ff;.r. parmi tesquets se troavcn) un t'r/f/f <'t. un fils de régicide 5 r~ <?/f/fs 5 /7~«'s e/oc/M/rf et t </«.'<M. Le ministre de Cintrrifur vipnt de faire mpttrc :) ta disposttion de M. t'év~pjf de Dij~'n )". la sotnmt' de ),5ec fr. pour être j'ar hfi repartie aux prêtres âges ou infirmes; n°. ta somme de ~,Q o fr. pour secours aux ) ) tigienses âgées ou infirmes du departcmen) que desig'~era le prêtât.

Les amateurs et tes curieux n'apprendront pas sans intérêt, que te peu d'ouvrages qu'a laisses te jfu'te. P.y, auteur dm t~fau et singulier purtrait expose au Saton sous te ? ti62, seront. vt'nuus après demain mar~i 2(, heure de midi, hôtct de~outtton, rue Jeat)-J:tC()ues trousseau.

Ces ouvrages consistent en un pf*ht nombre df destins :a croquis, fatuues, esquisses dessinées et peintes. Ces dernières sont «ne Cfnc d'après Poruus, une rop~esquisse df /~t Cf<H<7nc'c/~M deDrouais, et cinq ou six esquisses origiuates. Paguest appurtoi) à ce genre de tf avait te même soin et la me<ne fer'oeté de pincfau quà ses ouvrages tertninés. Ses copies-esquisses 1 étoient de petits chefs-d'œuvre de ta pins rare originalité par te faire. Si les amateurs et tes curieux ne courent pas cette vente, (ea maj chauds les teur feront payer cher un peu plus tard. La .Société d'agriculture commerce science et arts du département de la Marne, décernera, dans sa séance pubtiquedu mois d'août 1820, t°. une mëdaitted'orde 200 fr., au meitteuf Discours ou Mémoire sur cette question «Quets sont, sous t'empire de la Chatte, et dans tétât actuel de la France, les moyens les p!t)s propres à dévctoppf'r et à fortiHer l'esprit pnu btic?" Les Hisrours doivent être envoyésavant le <matt8ap. M. Kern, conseiUerde préfcrture, et députe sortant, vient d'être nomme professeur du drait civit français à ta Facutté de Strasbourg, en remptacement de M. Frantz, décédé. –M. Grenier, nommé premier président tie ta Cour royale de Kiom, et M. Pages, nommé procureur.générât près ta même Cour, ont prëtetermeut, après h messe entre ies tnains du Roi.