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Titre : Journal des débats politiques et littéraires

Éditeur : [s.n.] (Paris)

Date d'édition : 1819-09-20

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb39294634r

Notice du catalogue : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb39294634r/date

Type : texte

Type : publication en série imprimée

Langue : français

Format : Nombre total de vues : 200316

Description : 20 septembre 1819

Description : 1819/09/20.

Description : Collection numérique : BIPFPIG63

Description : Collection numérique : Arts de la marionnette

Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique

Description : Collection numérique : Grande collecte d'archives. Femmes au travail

Description : Collection numérique : La Grande Collecte

Description : Collection numérique : Histoire diplomatique : Révolution - Empire (1789-1815)

Description : Collection numérique : Histoire diplomatique : Restauration - Monarchie de Juillet (1814-1848)

Description : Collection numérique : Histoire diplomatique : IIe République - Second Empire (1848-1870)

Description : Collection numérique : Histoire diplomatique : IIIe République (1870-1914)

Description : Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k4228582

Source : Bibliothèque nationale de France

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 15/10/2007

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On ~'abonne rue dM~A~

ffétrex ~a)nt Cern~

i'Auxetrois, n" )M~*

~RNAL.DES PÈMT~ ~T~LITIQUES ET LITTËR-ATRES.

MOUVELLJ~Sl~PiANGËRES.

SUËDE. ~/oc~Ao//n 3 s~K~rf.

La suite du Ro! n'est pas très nombreuse; e))e est composée du conte de Brahë, gr.tud-écuyer; du harou df Kobktd) cauitaiue des gardes; du baron deSt~ckeiberg, adjudant dn S M. Aucun miuistre M'est du voya~p. M. te chtmbt'ttau de Scttutz.'nbei'n cu~< du cabinet de S. M., et M. te b.u'un de F"ck, ~ec ëtane du cabihet, berout charges d'entretenir ta correspondance diplom.ttiq~e.

Le Roi visitent te cau-d de (~ 'ethi, p~ur ch 'isir un tocat propre a !a construction d'une forteresse nouvcite destiuëc a devenir te p< mcipat dupot d'.<r)MS du royaume. 0:t croit que t'empt.cernent te p)ns tavorabte seroit pt'cs df Hoesund prfs tf t.c de W~tteru et dans l'endroit ou ce cauat se jette dans te t <c. S. M. se rendra ensuite a G<:nie, Fatdund et H~'j'u 'esaud, puur voir tes nfiues et tes carrières (je po'phy'c d'Aetfed.dd.

M. tf c.utttte de L~c'enh'etm est parti te 3[ août pour sf rendre en qu.ditë de Mnotst'e ptc;uputet))iant;a ta c"ur de RuMie. n a'~rtMtera a Abu, pour attendre rUtnpetfur qui y a) rivera te 6. DA~EMARCK.

C'Op<'M/M~Mf y S<)/tW!~r<

La guerre contre tesj')d'<a aussi t~ctate ici etteya pr!)! même un caractère ttës serit'u'c. ).c bruit tupandu que dt-s ~)FreS!tV.)nta.;euse;i aurofut été faites aux Juds sortie de H'u~bourg, de t.t p.ut de cette 'Vitte, tn!t ta tnuttituttc ea fuouveutt'nt Ou m~ntf~ca par briser teii 'vitres du maisons t).d)itces par tes Juds; tnais t~ f.)rce tnititaire tut tnise sur p<ed pen~nt ta nuit, et fiterftattiit ta trautjudiftt;. Le tende~nato s ~t, te dës"~he s'ac(;rut au poiut q<fe tes sut.tats, consistant eu cavidene etiut'mt~r~e, ue purent e<upt:ct)erque t)<:au.up de m.tis~us "e t'usseut eodofoma~~es~t ~ue hatmattun t.tt.ite'neut pdtër. Ou eu V!ut enftu auf tuaius, et, da~ ta mëtee, it y eut plusieurs idtisses; te tu~nutt~ ne prit tm que tb~t tard d.<m ta nuit. Des eertts iujurieu\ ooutre les Ju~Is et coutrc te gouveruemeut avoient fte piacardes daus divers eudroits. La rë~euce de ta vdte a promis une priute de ~,eoo riksd.dersa eetui qui découvrira tes coupables, et d<. 200 .< 1,000 riksd.ders ace!ui ((ni tera e'tnuoitret'uu dc'i<ueut'ur.')de ta 'outtitude ameuti'e. S. M. a (att put'tior uue p~'ct.nu:)ti<n s~fere. Ou a proclame le t<«~rf<()oi fn.nt~ie), eu vertu duquel tom. scdttteux pris eaittgtautdcht estju:;<*et exécute sur-tecttatop, cotumesi t.' perne de utort avu)~ ëtë p'ottoncee coutre tui. La garuisou et ta ttour~eoisM armëe ont reçu de< cartouches u battes; tes troupes st'tioonfcs d.tos les c !V'rons sont eutrôei. dans ta vdte; tes pi.<Hf.ii publiques et tts tnarch.'ssout uc~upes, et, !i)atgr~ t'tutesces precautx'n~, )<« v.tre'. de ptusieurs maisons h (bit'es pat de. Juifs out été blist-tis. Aujourd'hui ta trauquittitc paroit rëtabtie et ceux qui etoieut tnenaeës de t.< tuteur poputaire se <noutrcnt dans tes rues.

Depuis hu~t jours, tes ptus fraudes forets du JuttandsORten ~auttues, saus qu'un pmsse parvenir a uteiudte eetiueuodie. ALLEMAGNE. .Bcr/<M ( Prusse ), 11 s~/fw~.

Dëpms qne~q~)e temps, it ~titoit répandu ici des nouveUes Inquiétantes sur ta ~autë du prince B!u her de W.tht~tfut; ettesa'ëtutcut que trop fondées <ic c.'tët're tHd 'nafëot~t a ëtë 01 effet attaquJ d't.me matadie dangereuse d'us sa terre de Krœbbw'tz eu Sdëste. D'jpres lesdernieie.t ucuveties qu'on 0) a t'eues, ne danger 'numcul.tUM est passe; tnats tes ni~deein!, ne sont pifs encore tattS inquiétude, TU le graud sge du prince. C~r/s~w~, y ~rc/~yy~rc. ·

Presque totis les personnages n~rquans que nous avions ic! snnt partis, ue priuce df Mettermeh est encore à sa terre de Rœuigswarttt. 8. A. duiten partir aprei.-tteuiaitt pour se rendre, par Ej,ra Cartshad et Prague a Vienne.

Le;, troupes de ligue qui sont en Bohême prennent depuis hier des cantonnenju-ns ptus couct-ntrës pour pouvoir être exercées jusqu au 5 octobre. Eusutte ta tandweur sera passée eu revue dTtts tes cautoume<t<eus, et oui'exercfra pendant quinze jours.

,r J''raM< t5se'cw~p.

S. M. ta Reine de Suéde e<t partie d tci d y a quelques jours pour 'Sf.

Due des attces qu! hordfnt notre vitte oftre maintenant un phëWomëHe remarquatdedr végétation; un UMrrecnier qu~ avott perdu .'es ~eudtes, t-M a rup.roduitde nuuvettes et se trouve en pleine fiaratsou. M. Je duc de Bedibtd, et M. te marquis de Sufirea de Saint~ropex pair de France, sont arrives dans notre vitte. SUISSE.

Z<tSt!KMC, !/{.SF~/fM&rc,.

Hans une de ses dernières séances, ta Diète a entendu tecture de dfux nouvettes notes retativesau domicik des Français eu Suisse, que S"t) Excellence te )n!u)t)'e de France avt.'it adre!Sfes te 26 ar.utet !e ssptetttbre au prMidet~t de ta Dit-e. L'assemtdëe a entendu ft discute ensuite te rapport rëdMÔ par M. de Rffuhard au nom djt )a commission chargée tt'examixer tes propositions du ministre d~ France r<~ative< aux rëguueut suisses en Frauçe et a teu.r

i~ ~)X: t8 ff. ~ur <~t'j~nt't ~56 ~)~r.t/f~o/ <OK<- r<<~nM.

jundiction particulière. Les Èonc1u<!ons du rapport ont <!<<! adop. tëes.et t.'réponse provisoire d.'nnt'o a M. tecon~tedeT.dtfy rand, exprime tes regrets de la O.ëted'a'oirrccu trop t!'rft sespropo!i~n't)Sputtrtesctausesd'u.)e neuve))'conyent~oadri: t"'ëe à retnpt.cer diverses stiputatious du traite.)b"tt de ~u5{ arrêtée par .iati~ne desac.mpëtCftCe, elle a du se borner aux stfpulatt'x.s préparatoires. K)te.ttt)vitett-scant.xfS.t se couf'ortntr, en attendant, autant q~e pMsd))~, au'c.sttputatiou.santërieu'es. Quant: au dotmote des t''r.<n<s eu Suisse, ette d~itinsi-iter pour que fet actes d'ttnmatrtputahon reç'ivent une réduction ))lus satisfaisante. E t connrmant la c~nctusion de t8t8 pour tes d'xnicdiësantëfieurss t'ahut''aitë 'te t8f)3 e!ie invite tes cantuns procéder egatemeut v~s-a-vts de ceux qui sesohtëtabtis depuis et qui se trouveut munit dactesd'mxnatricutation.

Ces conctush'ns ont été adoptée. par seize voix e~!es entête prisfs nd~r~~<p.)r Ls cantont.d'Uri, Sehwitz, Uaderwa]d,Hâte, App<:nze)tet\.dtais.

Le députe d Lj'. i dans un discours pathétique, a demande des me* sures répressives de la ticence dH la presse 00 mattëres reiigi~ases. Apres une luMgne disnussiou, dans iaqueHe Je dcp~te d'Argoyie a <tefe«du la Itbe'tH de la presse t'asseu~jtce a ad! esse une invitation aux cantons qui, en cnnfirm.n)t celle (aitc en f8'5, les exhorte itt éviter tout ce qui pourroit donner tieu a des discordes.

CRANDË-BRETAerNE.

LOK~7-M,t6sf'~CMi/<

f~ pu&M. Trois pour ceut cousutides yo 3/.{ 0/~Mt'MfM 2 7/8 de prime. Bitiets Je t'uchiquier, 6 d'esc.'mptr. 11 y a eu le t5. a Paistey, en Ecosse une as9Bfnt)!ee tu<nu)tueuse de rëtorinateurs radfc~ux; t'objet annottce ëtoit <<e duLbarer sur Ce qut set~t-passe a Manchester; .nais co<nmc tes chefs (te ta réunion avoieut dectarëqutts marcheru.ent avec des dmpe.ux, pétant des ioscr.ut~ns séditieuses, ie u!strat a (ait défendre F~sa~e décès drapeaux coin.ne cuntr.re au b.i urdre; au surplus, ..n ne :i'"ppnsoitpas a ` ce que te peuph; ti.tt une assembtëe pacitique. Les /-aA'cnM.K ont pers~tf à porter Jeurs drapeaux; les ~«& (.~des de p.)t!ce YoLn- ta.res) qut avment été enrûios e~ grand nombre, tombcrent sur ia tête de ta bande des ret'.)r<nateur!, entttvere~t les drapeaux, et arrêtèrent tes individus qui en étoient p..tteu.s. La mutt.t~de )e).t ds.t joerres; il y a eu pcnd.-nt deux jours des attrftupe.nens Je t.. populace pour dehv.er les pnstnniers. Plusieurs con.</a&/Munt été h)eM~. La /-M<-ac~t« pructa~t;; des patron.))es )ttdita..esp..rcouroient les rues au départ du cour.er. L.t puputace de Paisley f-st tout Ctttië. e cuntpnsfe d'ouvriers en dentent;, mousseline, etc. etc. etc. C'est )<- défaut duuvrage, ou plutôt le b.ts pr.x qui les entraine dans le part. des r~-

tnrfn.tteur'i.

Ces n.-uvettes dePaistfyavoient Fait nattre !e bruit que les ouvrieM et tes autres ct.ts.ies de ta nutititude s\-tuie;.t e~atetnentrëvultesa. â Gti~cow, état ftent «uvert de t'oree tes prisons; <nais H paruh qu,t ccst u.'e erreur, ou du motus qu'il ue s'e~t rien pa~ë de sërieujt: dans cette vitt..

Le (.aurr/ pense qu'on fini'a par circonsc'ire d'une manière plus ota~re et utus précité le dr..u de s'assefnbler et de discuter en pubttc, droit dt)nt ies/'<MhcoM;c abusent.

FRANCE. ·

PAnis,tc)~

Le spectactc q.)[. no< colléges électoraux viennent .roffr!r à Franct- et à ( Europe scrf.it nés mat apprécie, si on s'en tenoit a~tx chants de triomphe des hbprauf et aux cris de détresse d.:s tn).)is)ë) )p)t. Ce n'est pas assez d'observer nombre des candidat!! victorieux de chaque parti; ['essennei, c'est de remarquer par queis [Moyens i~ ont obtenu la majorité des suffrages, et de om'Ua espace <te suffrages cette majorite se composer ensuite quelle est )a classe t: eh-cteur;! qu; n'ont pas pa.u aux etections, et queHe conclusion on do't tirer de teur absence.

Si on vouto<t simptement compter les nominations, tes [iberanx paroîtront s(,ns doute très puissans car sur le nombre dt-s députés ë~us trente noms environ se trouvent inscrits dans ta. fameuse on~?M/icc de la Minerve et dans les petits ~r~.< subsëquens Co/M~/M~t~et du Cp/:s<-K/ par lesquels i ordonnance a été modttiée. Mais cette prépondérance s'évanouit pour peu qu on examine le fond des choses.

Le~ cotieges ëtectoraux ont été extrêmement !ncompiet<<; H y en a ou il a manqué p)us que h moitié et tncmejuf-quaux troia. c.nqmemcs des électeurs. Cette absence, quo))(- qu'en soit )a cause, est d'abord un argument terribtc contre ta toi, car torsqa on en prit la défense on dit que t'étec'ion direfte avoit sur t etechon a deux degrés t'avantage d'excité u.t inœret ptus vif, plus ge'~rat. Or. it est évident que cet intérêt n'existe pas, et que. par suttt- de cette mdiHere..ce, ('empire des éit-ciions est abandonné à une minorité actif et audacieuse. (.

U est faciie de savoir à qudte opinion appartiennent ceux des et~cteuM qui ne se sont pas présentés. Tous L-s rapporta Gt.n.st.ttent unanimement que ce sont presqu'en totatité tes pro-< pr.etairesdescampa~n.'s, grands et petits. C'est tapoputauo~ e~ctorate du chef tifu qui partout a décide ts~. choix,