Rappel de votre demande:


Format de téléchargement: : Texte

Vues 1 à 1 sur 4

Nombre de pages: 1

Notice complète:

Titre : Journal des débats politiques et littéraires

Éditeur : [s.n.] (Paris)

Date d'édition : 1815-12-31

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb39294634r

Notice du catalogue : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb39294634r/date

Type : texte

Type : publication en série imprimée

Langue : français

Format : Nombre total de vues : 200316

Description : 31 décembre 1815

Description : 1815/12/31.

Description : Collection numérique : BIPFPIG63

Description : Collection numérique : Arts de la marionnette

Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique

Description : Collection numérique : Grande collecte d'archives. Femmes au travail

Description : Collection numérique : La Grande Collecte

Description : Collection numérique : Histoire diplomatique : Révolution - Empire (1789-1815)

Description : Collection numérique : Histoire diplomatique : Restauration - Monarchie de Juillet (1814-1848)

Description : Collection numérique : Histoire diplomatique : IIe République - Second Empire (1848-1870)

Description : Collection numérique : Histoire diplomatique : IIIe République (1870-1914)

Description : Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k4215037

Source : Bibliothèque nationale de France

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 15/10/2007

Le texte affiché peut comporter un certain nombre d'erreurs. En effet, le mode texte de ce document a été généré de façon automatique par un programme de reconnaissance optique de caractères (OCR). Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 86%.


,V ITALIE..

f/fecM~rc.

L'Impératrice d'Autriche, accompagnée de son frère l'archiduc Ferdinand, est arrivée ici hier, de retour de ~ou vûya.geàModéne.

Toutes les mesures que l'Empereur pre~f sont propres à lui assurer 1 aiïection des Italiens. C'est ainsi que S. M. a diminué les impôts fonciers et les droits de softie de la soie de cinq sixièmes, et permis l'introduction du bétail de la Hongrie.

Au dernier bal du théâtre f/f/&7,F<~M< l'Empereur a paru eous le masque d'an noble vénitien ce qui a <?xc!~ L<a.coup d'enthousiasme.

La grande question dé la franchise du ~ort de Venise n'est pTtS encore décidée. On oppose à ce projet l'intérêt de la ville de Trieste qui dans ce cas sbufl'riroit beaucoup mais nous nous {laitons, dans tous les cas, quecptan'empecliera pas l'Empereur d'accorder de grands privilèges a notre ville. ALLEMAGNE.

` 7~'PK7t6'(Autric!.e),20C/A'f/K&6'.

(Extrait d'unelettreparticuliere.)

.S. A. I. Farchiduc Charles est arrive hier dans cette capi'tale avec la princesse son épouse.

Le comte de Capo-d'Istria, ministre de l~Empereur de Russie, est ici depuis quelques jours, venant de Paris. En p&ssant par la Suisse~ il a place un de ses compatriotes des îles -Ioniennes à l'établissement d'agriculture d<: M. de Fellenbergà Hofwyl. Ce ministre a forme le projet, au motns<tt le sorf dé sa patrie vient de changer, par le traite du 6nowmbre, d'établir à Corfon une Académie et un Institut des scienefs. Son projet a été adopté.

Des bruits publics,.que je ne puis vous garantit', destinent raœbass&de de SMat-Pétersbourg au général baron de Vincent, en ce moment à Paris, et celle de Paris au prince de Metternich. On dit que M. deGentz qui a rempli les fonctioasde secrétaire au Contres de Vienne et aux dernières

n.o~ociiH~ss de Farts, s'occupe u'an<L&~irc du ministère

au prince de l~I.-cttet nil~li. etet Ù"¡llli' IÜ¡;{oire du mini. stère

du prince de MeUefnicJt. Ca<.oxy:'a~M ti~ p~~t ..taKttt.mt'

d'exciter ungrandintérét.

~/M/r~, 2~ fA~-fM~rc.

Le mariage de S. A. le prince Royal avec S. A. 1. la grande-duchesse Catherine de Russie a été déclaré aujourd'hui à la cour, où il y a e)i lever, cercle et grand couvert. GRANDE-BRETAGNE.

Lo7!6~rpS,25<AcL'/H&rc.

,~bMf7.sp!~&<Quatre pour cent, y3 7/8. Cinq pour cent, fermés. OM:y7z;/w, i3y/8.

On écrit de Faimouth, 22 décembre <' Le paquebot the George est arrivé dans ce port avec des malles de RioJaneiro que ce vaisseau avoit quitté le t8 octobre.

FEUILLETON DU JOURNAL t)KS DÉBATS. p/W7?!C/ic3t</M'<'?H~'«'.

ACABÉMtE ROYALE DE MUSIQUE.

jEe!jB'cf/a~e/'M,A7'cA<

THÉÂTRE FRÂNÇAM.

~/MKe,/aj&e'/<ryn<crc.

THÉÂTRE nE L'OPÉRA-COMIQUE.

j!-e ~rocM, le ~!ot f/ At Z/~f~f, /f.< ~<f.fe:ou.! ~ot/rg'<*o/ ODÉOK.–THÉÂTRE ROYAL.

.f-f~/co~e </e 7!~)/o/<? /c j~c/<o d<' A'yf.tnf /c't/e 7!o,M. THÉÂTRE DU YAUI)EY)L]LE..

C<M't.o'!e~~Vo/"na~<, ?~)t.CjOOKr ~?c, /<* ~<E'<'t'ff/t ~pn<faB~c.' CAB~XT DEPHYSJQCERT DEFANTASMAROfUEDEM. LEBRETON. iLes expfr:Mtce';o.Bt lieu tt-s diTnanchcs mcrcretHs et vendredis. THÉÂTRE PITTORESQUE ET MÉCANIQUE.

Vups de ptusifurs taMcam nouYfaux an théâtre de M.Pierre. SPECTACLE DE M. ROBERTSON, &o!<'fc/Y/ J/o/M~r/e Tous les j~urs expériences da physiqne.

~c'7Cf.</7'<&/t!y!<f~dfY<ya~/e, ~~6~<' <*<M/z7ofj'M/Cf~e~. Co~~e. Toas tes ]onrs Expériences excepte le vendredi. SPECTACLE DEM.OU\IER, rM<Mrc-A'P<<f-C%om~,K' t5. ~xperifnces de phv&ique et de fantasmagorie.

PLANS EN RELIET'M-~o/a/,K't37.

Vues de la Suisse et des A!pes Ferney-Voitaii'e etc. pRADO p/<ce ~M ~o/ùtM de .M/K'e. Fête et Bat. B&f.B.SittPatRE,yT.e&jOe~M,n< t~5.–Bat. BAL TARARE, /M//e~ef~ ykMp/e, n". 5t.–Ba.t.'

)) Le 3o septembre dernier, lordBéresford avoit qtntté cette 3 capitale pour retourner à Lisbonne, investi, dit-on; de pljms-pouvoirs .?M7' R~<?ncc (/K Po~ Deux des pnnCfsscs du Portugal sont sur le point de revenir à Lisbonne p.mr se marier, l'une avec Ferdinand VII, Roi d'Espagne', cj l'autre avec le frère de ce prince. ) ~FRANCE. J%T<CM.E,25~C<'M&7'C.

Le corps de la garde nationale à cheval s'est formé avec ~aucoup d'empressement et de zèle dans le département de Dordogne il s'élève à 5t6 hommes, dont 109 ont été 'ouruis par le canton de Fongueux !2[ par celui de Sarlat, st) mn' cel~i de Bergerac <)7 par le canton de Riberac, et /'3 par celui de-Nontron. Ce dernier, en offrant un si petit nombre a sans doute mal imité l'exemple que lui donnoit une de ses communes ce]l<' de Mareuil, si dévouée au Roi, ~tqui en fut si cruellement punie après l'horrible révoi.ution du mois de mars. Ce corps de.garde nationale à cheval aura l'honneur d'être passé en revue par 8. A., R. Ms' le duc<l'Angouléme qui le trouvera sur son passage dans son retour de Bordeaux à Paris.

PARtS, So~'CTM&yp.

Remercions la Chambre des Députés d'avoir mis au nombre des objets dignes de son attention et de sa sollicitude ce que le peuple français doit à la mémoire de Louis XVI. Quand on songe que, pendant plusieurs années, l'anniversaire delà mort de cet infortuné prince tut célébré par des fêtes par des réjouissances publiques, on sent mieux encore que la France, aujourd'hui libre dans ses Tegrets et dans sa douleur~ ne sanrojt couvrir tant d'inhumanité et tant de honte par trop de marques de deuil, ni porter trop de tributs funèbres à~c~tle tombe auguste sur laqucHc on a dansé"! ` Malheur à cette .politique toujours froide et toujours calculante, qui semble croire que, dans le cœur des peuples, les émotions honnêtes et légitimes sont nécessairement voisines des affections violentes et des mouvemens dangereux, et qui se figure qu'il iaut glacer lésâmes pour gouverner «fit's M*its' Nntre antique amour pour nos Rois, cetattribat~ si moral qui nous distinguoit parmi tes muions et a.ttqHel Q.t a vainement essayé de substituer l'enthousiasme de je ne sa's quelles chimères plus ridicules ou plus déplorables les unM que les autres, ne fut-il point pendant des siècles le principal ressort de notre organisation sociale, et comme.la base. de notre vie politique ? A mesure que cette noble passion rentrera plus avant dans nos cœurs, et qu'elle en modinerajies habitudes, nous éprouverons combien un sentiment profond et fondamental est supérieur pour le maintien de l'ordre public, à toutes les combinaisons de la science, à tous les systèmes de l'esprit. Les larmes qui couleront tous les ans le 21 janvier, seront, pour ainsi dire, la source où le caractère français reprendra son ancienne trempe~ et dans laquelle'

THIVOI.I D'HIVER, /eCy-f7!~&Mn<-No/!or<°./{5.Bal. GALERIE DE POMPÉ! ,r!/e7VeMp~e.<e<f'C7<a'n~,M°.36.–Bal. CIRQUE DES MUSES,<;etS'a!H<-RoMOy<M°.()l.–Bat. WAUXnALL,&0!etwd.x<Mar</y!.

FÉte et Bat, M. Colinet nls exécutera tes solos de contredanse. THEATRE FRANÇAIS.

t Les ~VoMfea~ On peut dire des Muses ce que Cicéron a dit des lois tK/en< t'/t/ey a/vno; eUes se taisent au milieu des armes: la voix de ces vierges timides est étouffée par le bruit des combats, et Jamais dieux ou hommes ne justiherent mieux qu'Apollon, et Mars cet autre proverbe, que la concorde est rare entre l~s irert" rara est coneny~/a ~ù!<f~m/

Faut-il s'étonner si l'année la plus fertile en é<énemens terribles a été en même temps la plus stérile en nouveautés littéraires ? Quel intérêt pouvoient inspirer desnctions poétiques à d~s esprits occupés de tant de craintes livrés pendant plusieurs mois aux plus sinistres présages, et depuis aux plus déplorables souvenirs? Si, postérieurement aune époque douloureuse, les coeurs se sont rouverts à l'espérance; si, au sentiment de nos maux s'est mêlée la consolation d'en avoir à }amais tari la source si les sacritices qui nous sont imposés nous semblent plus que compensés par le bien inestimable qui nous a été rendu, par lu. sécurité pour l'avenir, et par la fixité désormais inébranlable de nos destinées, toujours est il vrai qu'au milieu cétte~ agitation qui sur vit encore long-temps à la tourmente, de ce& inquiétudes dont.l'objets'éloij~e de plus en plus, mais qui ont été trop profondes pour n'avoir pas été exclusives M est re~te