Rappel de votre demande:


Format de téléchargement: : Texte

Vues 58 à 58 sur 328

Nombre de pages: 1

Notice complète:

Titre : Histoire des tribunaux révolutionnaires de Lyon & de Feurs établis en 1793 par les représentants du peuple et liste des contre-révolutionnaires mis à mort ([Reprod.]) / Salomon de La Chapelle

Auteur : Salomon de la Chapelle, Marie-Antoine-Amédée (1825-1898). Auteur du texte

Éditeur : chez tous les libraireschez tous les libraires (Lyon)

Date d'édition : 1879

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb37241781h

Type : monographie imprimée

Langue : français

Format : 4 microfiches ; 105*148 mm

Format : Nombre total de vues : 328

Description : Collection : Les archives de la Révolution française ; 6.2.2568

Description : Contient une table des matières

Droits : conditions spécifiques d'utilisation - Collection Les archives de la Révolution française

Droits : restricted use

Identifiant : ark:/12148/bpt6k415085

Source : Bibliothèque nationale de France, Lb41-4969

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 15/10/2007

Le texte affiché peut comporter un certain nombre d'erreurs. En effet, le mode texte de ce document a été généré de façon automatique par un programme de reconnaissance optique de caractères (OCR). Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 91%.


Qu'il savait que Chalier ne méritait pas la mort, mais qu'il y était forcé.

Signé RJPET.

L'Assemblée a arrêté que séance tenante Ripet et Bernard seront renvoyés à la commission des sept, pour y être jugés de suite, A\ qu'au cas que la séance fût levée, ils seront mis dans une c«ambre et gardés par quatre fusiliers dans la commune. Fait en commission, Commune-Affranchie, le 27 brumaire, an II de la République Française.

Signé Marino, président HiziDoR, secrétaire.

Jean Bernard, natif de Grenoble, a répondu qu'il était tisserand, adjoint à l'exécuteur des jugements depuis 11 mois, qu'il avait levé et poussé Chalier sur la planche avec son bourgeois qu'il a commencé par Chalier son état- qu'à la prison, il avait vu son bourgeois arracher la cocarde de Chalier sur l'ordre des juges que 70 à 80 personnes avaient monté sur l'échafaud, en donnant de l'argent au charpentier qu'il ne croyait pas que Chalier fût coupable, mais que son bourgeois lui a commandé de l'aider que le couteau a frappé quatre coups et que deux coups n'avaient pas attrapé Chalier, parce que le clou avait été dérangé que c'était son bourgeois qui avait fait aller le couteau, et qu'il l'avait aidé à le relever quatre fois que Chalier au moment de son exécution disait qu'il mourait pour la république.

i8 Décembre.

Devant nous, commissaire civil, à la suite de l'armée révolutionnaire, sont comparus, Joseph Dupont, capitaine de canonniers du 5e bataillon de l'armée révolutionnaire, et Jean-Pierre Braty, lieutenant d'artillerie des canonniers de Valenciennes, qui nous ont déposé que le citoyen Vauquois, membre de la