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Titre : Dictionnaire basque-français / par W. J. Van Eys

Auteur : Eys, Willem Jan van (1825-1914). Auteur du texte

Éditeur : Maisonneuve (Paris)

Éditeur : Williams et Norgate (Londres)

Date d'édition : 1873

Sujet : Basque (langue) -- Dictionnaires français

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb31535510w

Type : monographie imprimée

Langue : français

Format : 1 vol. (XLVIII-415 p.) ; 25 cm

Format : Nombre total de vues : 465

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k414812q

Source : Bibliothèque nationale de France

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 02/10/2008

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Geirik, v. gai.

Geitu, geitze, v. gei.

Geizko, v. gei.

Gela, g. 1. chambre.

Gelari, gelazain, 1. valet ou femme de chambre, servante de curé; de gela-ari, 4. et zain.

Gelari, v. gela.

Gelazain, v. gela.

Gelberia, 1. fièvre chaude, P. Ce mot n'est plus connu, mais Larramendi cite, elgaitz (el-gaitz), pour fièvre chaude, et elgorri {elgorri), en bise, signifie rougeole. M ou gel paraît donc signifier un mal, qualifié de gaitz, mauvais de gorri, rouge; de beria, qui sera probablement pour berro, chaud. Mais d'où vient elf de el, eldu? 2 ou bien de eri, (heri), mal avec mutation de r ml; comp. ari, 3; pour h, comp. eho = ego; iges = ihes, etc. Cependant le i ne se serait pas perdu. Nous avouons que ces hypothèses ne sont pas très satisfaisantes. V. helgaitz. Geldi, g. b. 1. lent, lenteur; posé; bn. stagnant.

Gelditu, gelditzen, g. b. 1. bn. rester, cesser, s'arrêter. A Guéthary geldi, signifie s'arrêter. Zamaldia geldi doa, P. le cheval va lentement.

Geldi geldi, g. peu à peu.

Gelditu, gelditze, v. geldi. Gemen, bn. force douteuse ou affaiblie; énergie équivoque. (?) Salaberry.

Gehde, g. gente, b. gens; de l'esp.gente.

Gcnliatzea, P. geinhatzea, O. soûl, nourrir, entretenir,

Geratu, geratzen, g. b. retenir, s'arrêter.

Gerba, 1. fleur de noyer. Gereiz, g. kereiz, b. geriza, 1. En g. et b. ombre; en 1. abri. La ressemblance avec le prov. guarida, l'esp. garita, refuge, d'où le fr. guérite, serait-elle fortuite ? ou estce que le basque aurait pris ce mot des langues romanes? P

Gekenno, v. garano.

Gerezi, 1. bu. cerise; d'une des langues romanes? avec mutation de la sibilante en gutturale; comp. solaz, esp. jotas, basque.

Geriza, v. gereiz.

Gekla, 1. b. guerre.

Gerlari, guerrier dc gerla-ari, 4. Gerli, 1. pus. P. bn. liquide qui sort imperceptiblement d'un arbre ou d'uu fruit.

Gernua, 1. urine. Larramendi cite, garnura; comme le r de ura est doux il se sera perdu dans la prononciation. Comp. harn, all. urine. Si garnua, gernua était composé de gerri-ura, il est probable que le n ne s'y trouverait pas. Gero, g. b. 1. bn. après, ensuite. Gero régit le suffixe zjanez gero, après avoir mangé. Comme après les sibilants il faut une consonne forte (v. Essai, Ch. II.), on écrit et l'on prononce janezkero, et de là l'erreur des auteurs et qui écrivent jan ezkero (ezquero), n'y ayant plus reconnu le mot gero. Bien qu'ils connaissent