la Nie étroite que menait le jeune couple. Il en était importuné. L'économie de Marius était sévère, et le mot pour Jean Valjcan avait son sens absolu. Il hasarda une question
Pourquoi n'avez-vous pas une voiture à vous? a Un joli coupé ne vous coûterait que cinq cents francs par mois. Vous êtes riches.
– ̃ Je ne sais pas, répondit Cosette.
– C'est comme Toussaint, reprit Jean Valjean. Elle est partie. Vous ne l'avez pas remplacée. Pour quoi ?
Nicolette suffit.
Mais il vous faudrait une femme de chambre. Est-ce que je n'ai pas Marius? a
Vous devriez avoir une maison à vous, des domestiques à vous, une voiture, loge au spectacle. Il n'y a rien de trop beau pour vous. Pourquoi ne pas profiter de ce que vous êtes riches? La richesse, cela s'ajoute au bonheur.
Cosette ne répondit rien.
Les visites de Jean Valjean ne s'abrégeaient point. Loin de là. Quand c'est le cœur qui glisse, on ne s'arrête pas sur la pente.
Lorsque Jean Valjean voulait prolonger sa visite