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Titre : Figaro : journal non politique

Éditeur : Figaro (Paris)

Date d'édition : 1938-11-10

Contributeur : Villemessant, Hippolyte de (1810-1879). Directeur de publication

Contributeur : Jouvin, Benoît (1810-1886). Directeur de publication

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34355551z

Notice du catalogue : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb34355551z/date

Type : texte

Type : publication en série imprimée

Langue : français

Format : Nombre total de vues : 164718

Description : 10 novembre 1938

Description : 1938/11/10 (Numéro 314).

Description : Collection numérique : BIPFPIG63

Description : Collection numérique : BIPFPIG69

Description : Collection numérique : Arts de la marionnette

Description : Collection numérique : Commun Patrimoine: bibliothèque numérique du réseau des médiathèques de Plaine commune

Description : Collection numérique : La Commune de Paris

Description : Collection numérique : France-Brésil

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k410037q

Source : Bibliothèque nationale de France

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 15/10/2007

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RÉALITÉS COLONIALES

Dans son discours de Munich, le chancelier Hitler a posé hier. la ques-

tion coloniale d'une façon qui appelle la plus sérieuse attentzon. Car elle est pleine d'équivoques. « Nous ne voulons rien de la France et de l'Angleterre, a-t-il dit dans une phrase, si ce n'est la restitution des colonies,qui nous ont été enlevées autrefois contre tout droit. J'ai toujours assuré que cela ne constitue pas naturellement une occasion de se faire la guerre. Il s'agit de savoir si l'on veut être juste et si l'on a l'intention véritable de permettre aux peuples de vivre côte à côte. » Et quelques instants plus loin « L'Allemagne nationale-socialiste n'ira jamais à Canossa. Si une autre puissance s'oppose absolument à la tentative de faire que par la voie des négociations le droit devienne le droit, alors il ne faudrait pas s'étonner que nous assurions notre droit par une autre voie. »

Ainsi, dans le premier passage de sa harangué, le Führer demande le retour des anciennes colonies allemandes, mais exclut l'idée que cette revendication puisse engendrer un conflit. Et dans le second passage, il agite pourtant la menace. Le .moins qu'on puisse dire est que ces procédés de douche écossaise si bien dans la manière hitlérienne ne créent guère l'atmosphère susceptible de conduire à l'apaisement et à des négociations positives.

On aurait lé plus grand tort de sous-estimer l'importance de ces déclarations ou de les considérer comme de simples cjàusés de style. Elles sont, au contraire, des plus nettes. Elles ne nous apprennent rien, d'ailleurs, que nous ne .Sachions. T/Allemagne veut obtenir la rétrocession de ses colonies. C'est pour, elle bien plus une question d'amourpropre que de débouchés économiques ou démographiques. Elle occupait des territoires ici et là sur le globe. Elle veut lés reprendre pour effacer sur la carte du monde les derniers signes de sa "défaite. y

Devant cette prise de position, la pire des politiques à suivre serait celle de l'autruche de mettre la tête sous l'aile et faire comme si la I question coloniale n'existait pas.

Elle existe. Elle existe s» bien qu'elle est entrée dans la réalité politique. On peut penser que l'Allemagne abuse de la crédulité et de la patience des gens; qu'après avoir « colonisé » une partie de l'Europe centrale, il est vraiment odieux de la voir demander autre chose, la bouche encore pleine; que les nations intéressées n'ont qu'à se barricader chez elles et à répondre;: « Venez donc prendre de forée ce qui ne vous appartient pas ». Cela, c'est une politique. Elle a pour elle de puissants arguments. Mais il faut l'affirmer clairement. On peut penser aussi que la rupture dé là solidarité extra-continentale des puissances européennes fut une faute et qu'il y aurait intérêt à rendre au IIIe Reich le sens de ses responsabilités mondiales. Cela, c'est une autre politique. Mais il'fatit aussi la penser clairement.

Ce qu'il ne faut pas faire, en tout cas, c'est feindre d'ignorer le problème. Entre quelqu'un qui sait ce qu il veiit et quelqu'un qui ne sait ni ce qu'il veut ni ce qu il ne veut pas, la partie n'est pas égale ou plutôt elle est réglée d'avance. L'Angleterre.et la France, techniciennes de la velléité, en ont fait l'expérience et pour les réparations, et pour le désarmement, et pour l'Autriche et hier pour ta Tchécoslovaquie.

L'affaire coloniale doit donc être envisagée très sérieusement à Londres et à Paris. Et d'autant plus qu'elle se relie directement à la « politique de l'axe ». Nous reviendrons sur ce sujet qui est capital. Wladimir d'Ormesson.

prS. La mort de M. Vom Rath a causé à Paris une profonde émotion. Nous nous inclinons avec respect- et regret devant cette innocente victime des passions déchaînées jusqu'au crime. Et nous associons à cet hommage douloureusement ému le souvenir de M. Koester, ancien ambassadeur à Paris, homme de bonne volonté, qui était l'oncle de ce malheureux jeune homme. W.Q.

M.PAUL REYNAUD

qui poursuit a'ctivement

la mise au point des décrets A CONFÉRÉ AVEC M. DE MONZIE ET AVEC M. DE CHAPPEDELA1NE Le Ministre des Finances aura aujourd'hui an entretien avec M. Pomaret

M. Paul Reynaud droite), ministre des finances, a conféré hier avec M. de Monzie gauche), ministre des travaux publics. ̃ "̃̃̃ .'̃'̃̃. (Dessin, de Véla.)

Les conférences interministérielles de M. Paul Reynaud touchent à leur fin. Après s'être entretenu avec M. de Chappedelaine des problèmes « urgents » de la marine marchande, M. Paul Reynaud s'est rendu hier au ministère des travaux publics où il a eu un tête à tête de près de deux heures avec M. de Monzie, rentré le matin même du Lot.

L'entretien n'a pas porté exclusivement, comme on pouvait le penser, sur les mesures à prendre pour assurer ̃ l'équilibre du budget de la Société nationale LEg JOPgS; 5% SU1VENT

MUT M VOYAGEUR

̃• ̃ .• '̃̃•.

Que de foïs'' déjà, depuis te peu de jofins nous avons débarqué au; Maroc n'avons-nous, pas été interrogés par quelques-uns dé ces militaires ou de ces civils, jeunes' hommes' ardents et clairs qui sont l'honneur de leutêtat çt de leur' patrie ils représentent. Leur inquiétude, ne repose pas; sur une prévention politique ou une opposition mesquine nous n'en sommes plus là, ni les uns ni les autres et. tant pis pour ceux qui n'ont pas assez d'indépendance ou d'élévation pour se détacher de ces .'vieilles 'passions Non, ils souffrent "de de qu'ils sentent d'impçrf ections, d'abandon, d'indifférënçe. Ils en souffre n d'autant plus, qu'ils, 4ont éloignés de France, que les nouvelles qu'ils en reçoivent ? sont insuffisantes ou faussêes.au. départ par la polémique et la pusillanimité, qu'ils doivent suppléer par déduction à ce Jqii'ils ignorent et qu'ils conçoivent parfois le pire faute d'entrevoir- des, chances qui ne sont pas toutes détruites. Ils connaissent pourtant le meilleur aspect de la réussite française ils savent sur quelles solides assises s'appuie l'édifice et quelles ressources y sont contenues l Beaucoup d'entre eux ont voyagé, ont parcouru ce maanifiaùe' émoire de cent mil-

lions d'âmes, y ont suscité ou recensé des fidélités remarquables. Ils ne peuvent douter des sursauts d'énergie dont la communauté à laquelle ils appartiennent est capable. Mais que valent ces,certitudes en regard des carences, des démissions du pouvoir. de la lassitude même d'une natfon ? Ils redoutent ces habitudes, qui sont devenues un pli des moeurs, dont la majorité des Français se sont faits plus ou moins les complices et_ qu'ils ne parviennent pas à abolir à présent qu'ils le voudraient. Alors ils nous interrogent « Croyez-vous que cela va changer ? s Comprend-on là-bas que tout se tient et que chaque recul.' éhàque indécision nous soustraient des adhésions et des partisans. Que faire?* Ils rencontrent bien des gens qui pensent comme eux, qui ont mesuré la nécessité et' l'importance de l'effort. Et toutes ces bonnes volontés ne parviennent pas à créer Vacte décisif qui changerait les choses. La politique, s'empare de ce besoin de renouvellement comme d'un thème, l'enrobe dans son langage inconsistant, le pare de majuscules, d'adjectifs sans vertu et l'use finalement, le réduit au néant d'un discours. Cette usure s'accomplit sous nos yeux, tandis que les jours passent. Le mal est ancien. Avant la uerre déjà, des écrivains polititiques le mettaient à jour « Faites la paix. sinon faites un roi » décrétai! le socialiste Marcel Sembat, tandis que Jouvenel démasquait. h République des camarades. Ah comme on souhaiterail ̃ pouvoir répondre à tant_ de jeunes énergies les mots qui les rassureraient et donneraient aux voyageurs que nous sommes l'apparence des messagers tant

attendus. Gnermantes.

t I attendus. Guermantes.

des chemins de fer. Au cours de cette conférence, MM. de Monzie et Paul Reynaud ont échangé leurs vues sur tous les projets ressortissant aux travaux publics et capables de contribuer au redressement économique du pays.

Parmi ces projets, deux sont particulièrement importants pour le but poursuivi actuellement par le cabinet Daladier la coordination du rail et de la route, les grands travaux. Aujourd'hui, M. Paul Reynaud doit avoir un entretien intéressant avec M. Pomaret, ministre du 'travail, sûr 'la question capitale' de l'assouplissement des lois sociales.

Cet entretien sera-t-il, le dernier que- M. Paul Reynaud aura avec ses collègues C'est possible, d'autant que la rédaction des textes des décrets-lois est déjà fort avancée.

On continue à prévoir que l'examen définitif et complet du « train » unique des décrets aura lieu après-demain samedi en Conseil de cabinet. Cette délibération sera immédiatement sùj^e< d'un Conseil des ministr.Ç&quj approuvera les décretslo%qùi paraîtraient ainsi, le dimanche 13 au Journal officiel. UN DIXIEME DE LA LOTERIE · NATIONALE

AVAIT ETE JETE AU FEU .et il gagnait 100.000 fr. M. Albert Gris, fraiseur, demeurant à: Mantes, 1, rue Potard, avait chargé son ami Leclerc de lui acheter un dixième de la Loterie Nationale. Leclerc lui rapporta le numéro 0.682.457,

Le soir du tirage, ils écoutèrent à la T.S.F. la proclamation des résultats. Après l'énoncé des lots' de 500.000 .francs, ils tournèrent, déçus, le bouton du récepteur. M. Gris jeÇa son billet dans le feu, comme papier inutile. C'est le lendemain Seulement qu'il apprit que le numéro 0.682.457 gagnait un million. Avec son dixième, le fraiseur obtenait 100.000 francs.

Il alla expliquer son cas à qui de droit. Mais on lui répondit avec regret « Pas de billet, pas d'ar- gent. s

ACCOMPAGNE D'UN CORTEGE SPORTIF, LE NOUVEAU LORD-MAIRE A PARCOURU LONDRES HIER MATIN

Dans son vénérable et imposant carrosse, le nouveau lord-maire a parcouru en grande pompé la Cité de Lordrés, hier matin, avant de prendre solennellement possession dé. ses fonctions. On sait quMl est toujours accompagné d'un cortège aussi pittoresque que brillant.,Le défile de. cette année présentait un intérêt tout particulier, car on avait décidé de lui donner pour thème «le sports. Voici 1« passage de la délégation féminine qui représentait la culture physique et la gymnastique.

APRÈS LES ÉLEC1ONS AMÉRICAINES

LA POLITIQUE

du Président Roosévelt a recueilli fa majorité des suffrages mais le parti démocrate

enregistre des pertes sensibles Deux constatations resçortent des élections américaines d'avanthier ̃̃̃

1° Pour la première fois, la personnalité de M. Roosévelt, n'a pas été directement en cauïç. Il a en quelque sorte dominé la lutte de très haut. ce qui n'implique pas perte de prestige. Bien qu'adversaires du New-Deal, la plupart des candidats républicains ont, en effet, dans leurs programmes, renoncé à jeter à bas l'œuvre accomplie par te président. 2° Le parti républicain a réagi et mené t'attaque avec une vigueur dont ses membres eux-mêmes ne le croyaient plus capable depuis son écrasement en 1932. ̃ '̃ ,,̃'̃̃ Les derniers résultats' connus n'ont pas pr,ovoqué:de surprise. Les démocrates conservant la majorité à:la Chaiiibr.e ;et: au Sénat. Les succès républicains ont cependant dépassé les -prévisions. r A l'heure où nous écrivons, et oit il reste e'ncôi* 31 sièges à pourvoir à la Chambre, les républicains ont gagne 70 sièges. Les démocrates en ont eprdu 87. La majorité démocrate s'établit donc à la Chambre aux environs de 80 voix. Mais les résultais définitifs ne sont pas encore parvenusàParis.. ̃. Paul MousseJ. (Suite page 3, col. et 8.)

40.000 Kms A TRAVERS L'AFRIQUE NOIRE Mgr ÇH A PJPÔU LI E Président des Œuvres Missionnaires

donne au « Figaro » ses impressions sur son voyage d'études en A. 0. F., au Cameroun, •j; -f en A. E. F% et au Congo ( ••̃;̃•;•̃ ̃̃̃•̃•- par :pAUL iIeSQURP

Mgr Chappoulie à une escalàTa'avionîau.'çœnride: la. forêt équa-' toriale, aiî- Congo belfce.?.:

(Lire l'article en troisième page.)

EN PAGE 5

CHRONIQUE

MUSICALE DERNIERS

PROPOS

SUR CARMEN par REYNALDO HAHN

'1

Eh page-8-: r. ̃ NOTRE SUPPLEMENT L'ARMEE L'ETAT- MAJOR PU IIIe REpï et les changements dans le haut commandement allemand

Par le général DUFIEUX

M.VOMRATH EST MORT a Une troisième transfusion du sang avait été opérée dans la matinée. Mais à 16 h. 30, le Jeune diplomate allemand succomba à ses blessures Le juge d'instruction va signifier à Grunszpan une nouvelle inculpation

M. VOM RATH

L'ambassade d'Allemagne a communiqué hier, à la fin de l'après-midi M. Von Rath, qui avait été hommé par le Kûhrer, aujourd'hui, conseiller de légation, a succombe, à 16 h. 30, aux blessures qui lui ont été infligées au cours de l'attentat du 7 novembre.

Dans la matinée, la santé de M. Vôiii Rath ne' s'était pas' améliorée, malgré les .deux transfusions de sang effectuées la veille. La même opération devait être répétée une troisième fois à 9 h. 30, le donneur de sang, M. Thomas, arrivait à la :clinique de l'Aima.

Vers 10 heures, M. Vom Rath père se rendait au chevet de son fils. Il était, cette fois, accompagné de sa femme, arrivée le matin, qui portait à. la main une petite valise, sans doute dans dans l'intention de s'installer à la clinique si l'état du blessé rife s'amélioraif pas.

A la vue de ses parents, qu'il reconnut parfaitement, le jeune diplomate manifesta une vive émotion, mais tout effort lui étant interdit, en raison de son

APRES LE DISCOURS DE MUNICH

LE VRAI TEXTE

Les fausses nouvelles vont-elles devenir une habitude ?.

Mardi, dans la nuit,. a été communiquée, aux journaux la version suivante d'une des phrases prononcées à Munich par. le Chancelier Hitler « II ne nous reste plus qu'à nous entendre sur la question des colonies qui nous ont été enlevées sous des prétextes contraires au droit. En dehors de cette question, l'Allemagne n'a rien à exiger de la France et de l'Angleterre. ».

Or, le texte officiel du discours publié par la D.N.B. et confirmé par les services spéciaux du Quai d'Orsay, offre la traduction suivante « Nous avons plus d'une fois déclaré que nous ne voulons rien de la France et de l'Angleterre, si ce n'est la restitution des colonies qui nous ont été enlevées autrefois contre tout droit. ».

« J'ai toujours assuré que cela ne constitue pas naturellement une occasion de se faire la. guerre. II s'agit'de savoir, disons-nous, si l'on veut être juste et si l'on a véritablement l'intention de permettre aux peuples de vivre côte à' côte.'Nous n'avons rien d'autre à demander à ces pays et nous ne désirons rien d'eux, nous ne voulons rien faire que des affaires, que commercer. Quand on nous parie d'entente, nous ne'savons pas sur quoi nous devons nous entendre. » <

̃ La première version était donc incomplète et erronée. Comment une telle déformation a-t-elle été possible T De pareils errements deviennent intolérables et des sanctions s'imposent.

Le Komintern viserait la rance

pour exercer son activité Une déclaration de Dimitrov Varsovie, 9 novembre. L'agence, polonaise Transcontinental Press publie l'information suivante

« A la' réunion du comité exécutif du Komintern, Staline a constaté qu'une entente entre les Etats démocratiques et totalitaires signifierait la défaite du communisme.

» Le secrétaire général Dimitrov a précisé le programme de l'activité du Komintern dans les pays démocratiques. Selon ce programme, les communistes auront à se livrer dans les pays démocratiques H

» 1. A l'action révolutionnaire et à la; propagande contre le totalitarisme » 2. A l'organisation de. grèves massives ;@

» 3% A l'action directe.

» En clôturant la réunion, Dlmitrôv'a déclaré que « la France sera le territoire visé en premier lieu pu s'amorcera l'activité du Komintern. »

extrême faiblesse, ceux-ci le supplièrent de ne pas parler. Vers 11 h. 30, le professeur Baumgarrtner sortant de la clinique, déclarait que l'état de M. Vom Rath 'était toujours fort inquiétant.

« Mais, lui dit-on,étant donné son jeune âge, il peut reprendre le dessus

Le puraticien répondit S'il n'avait qu'une blessure, oui. Mais il en a trois. En fin de matinée, le professeur Magnus et le Dr Brandt, médecins du chancelier Hitler, arrivaient à leur tour.

Vers midi, ils ressortaient, et déclarèrent simplement Nous ne pouvons rien dire, si ce n'est que l'état du blessé est toujours fort grave et que nous reviendrons sans aucun doute dans la journée. (Suite page 3, col. 1 et 2.)

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LE PALMARES DE NOTRE

CONCOURS PHOTOGRAPHIQUE

CHRONIQUE >11

TANTE AGATHE par WIAURICE DONNAY,

"i de l: 'Académie française

E rencontrais autrefois, avant là grande guerre, dans

J une antique demeure du sensible Vexin, une vieille -dame charmante et qui «̃ se racontait volontiers. Elle me semblait alors très âgée, bien qu'elle fût née environ 1830 pas moins, elle se rappelait très bien avoir vu le retour des cendres. Dans son enfance, lorsqu'elle avait l'air niélancolique, sa mère lui demandait si elle pensait à là mort de Louis XVI. C'est une,jolie question à faire à un enfant. Cela marque une époque. Aujourd'hui personne ne s'aviserait de chercher un rapport entre la tristesse d'une bonne petite fille et la fin tragique d'un roi malheureux.

Cette vieille dame qu'on appelait tante Agathe me racontait encore que lorsque sa grand'nière les voyait assises dans un fauteuil, elle et sa: sœur Estelle, elle avait coutume de leur dire « Mes enfants, ne vous asseyez jamais dans un fauteuil. vous ne savez pas ce que l'avenir vous réserve. ». Et cette grand'mère leur faisait une telle recommandation, parce qu'elle avait vu la Révolution ses parents avaient été ruinés, traqués ils avaient connu la misère. Aloi's,' elle craignait que ses' petite-filles ne s'habituassent trop à avoir leurs aises. C'est pourquoi, lorsqu'elle les voyait assises dans un fauteuil, elle les mettait en garde contre l'adversité. Pour; elle, ce siège confortable était un symbole de luxe et de mollesse. Ef encore ce ne pouvait être, en ces temps-là, que d'honnêtes fauteuils Empire ou Louis-Philippe. Qu'aurait-elle dit, la grand'mère d'Agathe et d'Estelle si elle avait vu les fauteuils modernes, profonds comme des tombeaux et qui tendent leurs bras aux jeunes demoiselles non pas, comme des pères, mais comme des amants.

Un soir d4te.de l'année 1903, dans la vieille maison du sensible Vexin, la tante Agathe faisait de la tapisserie. Autour d'elle était groupée toute une jeunesse, et comme on blaguait une blonde enfant qui était en train de lire Quentin Durward, ma vieille amie prit avec courage la défense du grand romancier qui avait enchanté son adolescence.

Un très jeune homme qui faisait déjà table rase du passé et ne goûtait que les romans de Marcel Proust, traîna Walter Scott dans la pitié et roula dans des flots d'ironie le personnage de Louis XL Alors la tante Agathe prononça ces paroles « Louis XI n'était pas commode, mais il était capable. » Admirable raccourci qui jeta toute cette jeunesse dans le ravissement, et ce fut à qui enfermerait dans une formule aussi concise le caractère des rois qui se sont succédé sur le trône de France. Mais personne né put arriver à cette perfection. Oh comme la tante Agathe, qui n'est plus, hélas aurait bien répondu aux enquêtes que, de nos jours, les journaux mènent auprès des personnes compétentes, en leur mesurant toutefois le temps et l'espace

« Veuillez nous dire en quelques lignes votre opinion sur l'accord de Munich sur Jeanne d'Arc, « deux lignes » sur Dieu (une ligne). »

Mais en relisant l'autre jour, dans mes cahiers, ce jugement en une ligne sur Louis XI, je pensais qu'à l'heure actuelle la France pourrait souhaiter un chef à qui s'appliquerait ce propos pas commode, mais capable.

Ce n'est pas que la France s'ennuie elle a beaucoup trop d'ennuis, comme disait l'autre, pour s'ennuyer, et même quelques personnes trouvent que nous vivons une époque intéressante. Il faut reconnaître que chez nous, les chefs du gouvernement, en général, sont commodes, surtout pour les camarades, même pour ceux qui les trahissent et voudraient se mettre à leur place. -Maurice Donnay,

IMPORT ANTES PROMOTIONS DANS LA L.EGION D'HONNEUR

LES HAUTS DIGNITAIRES En haut à gauche, M. Paul Léon, membre de l'Institut, commissaire général adjoint de l'Exposition de 1937, élevé à la dignité de grand-croix de la Légion d'honneur à droite, M. Julien- Cain, administrateur général de la Bibliothèque nationale, grand officier. Au-dessous, à gauche, M. Raoul Dautry, directeur général honoraire des Chemins de fer de l'Etat, grand officier à droite, M. Lucien Lassalle, président de la Fédération nationale du bâtiment et des travaux publics, grand officier.

.de l'Académie française.


Pomotion royale dans l'ordre de la Jarretière.

Le roi Georges de Grèce ne sera sans doute pas le seul à rece»voir, ce moisci, l'ordre de la Jarretière. Il est proba- ble, en effet que le roi dl Roumanie, i l'occasion de son voyage à

Londres, sers

fait, lui aussi, chevalier de l'or dre le plus exclusif du monde. Et pour cause, puisque le nombre des chevaliers est limité au nombre des stalles de la chapelle Saint-Georges du château de Windsor. Les titulaires de la Jarretière se recrutent parmi les membres de la famille royale ou des souverains étrangers. Il est extrêmement rare qu'un simple sujet britannique se voit conférer cet ordre suprême. Il lui faut des titres particuliers à la reconnaissance de Sa Majesté. Ce fut le cas pour Wellington, en 1814, fait K. G. (Knight of the Garter) après qu'il eut gravi tous les échelons de l'armoriai. De telle sorte qu'après Waterloo George III, n'ayant plus rien à lui offrir, lui adressa une lejttre de félicitation de sa main.

+-

HENRI FAUCONNIER

VISIONS

Henri Fauconnier ébuta avec « Maîisie», Prix Gon*ourt, 120.000 xemplaires. Voici 'autres visions où ous retrouvons le ionnier de l'avenure asiatique avec oette combinaison

de f,u».on., uc pittoresque précis et d'humour qui ont fait en France et à l'étranger le succès de Malaisie. (Stock, 300 p., 20 fr.)

a_

fie Milan. h,t elle n'est pas inconnue des amis des lettres françaises. Montesquieu fut, en effet, son hôte lors de son séjour à Milan et sa correspondance garde un souvenir, fort appuyé, de ses relations avec le prince et la princesse Trivulce. Ceuxci venaient de quitter Milan pour aller séjourner 'dans leur château, et le « président » écrit à la princesse

Je suis, ma chère princesse, dans la situation, du monde ̃ la plus cruelle il me: semble. qu'il m'est impossible de vivre sans vous et je sens que je^vais vous perdre. Votre départ va déterminer le mien. Je vous jure, ma petite, qu'en quelque lieu que je sois. un mot de vous me rappellera toujours à vous.

Et; quelques jours plus tard; de Novare, il lui écrit une nouvelle lettre qui commence ainsi Je ne saurais vous dire, mnn cher cœur, avec quel regret je vous quittai rien n approche de l'af-

freux désespoir où j'étais.

Arrivé à Turin, Montesquieu envoie au prince un. billet ainsi conçu

Mon cher prince, Dieu a fait exprès Turip pour faire faire pénitence aux étrangers du plaisir qu'ils ont eu à Milan.

Mais il ne s'étend pas sur la nature de ce plaisir et termine négligemment sa lettre par cette formule « Agréez que je présente mes très humbles respects à Mme la Princesse. »

Comme il y a loin de ces lettrés à ces coups de revolver t

COURRIER DES LETTRES

D'UN LIVRE A L'AUTBB Histoire d'hier

et d'aujourd'hui

M. Jean d'Elbée publie Un conquistador de génie, Ferdinand de Lesséps (Ed. Littéraires),: une bîq* graphie très complète et très vivante de celui qui a sensiblement «hiinge la circulation des hommes sut' la terre et « réussi la plus belle affaire du siècle ».

M. d'Elbée met à son ouvrage une sympathie et une admiration très vives. On se félicite de cette chaleur. Certes, « il n'est pas question d'uhe demande de revision pour le procès de Panama que l'opinion mondiale a cassé d'ellemême » mais l'on se souvient pourtant que Chartes de Lesseps, représentant -son père. a été con- damné, en 1893, à cinq ans de pri- sou escroquerie. Escroquerie? L'annonce pour attirer les souscripteurs évaluait le transit immédiat sur le canal à construire à 7 millions de tonnes. Or, l'appendice de l'ouvrage le rappelle par une citation dix années après la ̃niise en exploitation par les Américains du canal de Panama, c'est-à-dire en Î923, le trafic dépassait 24 millions de tonnes. Tout cela est bien cruel pour la troisième République.

L'attrait essentiel du volume de M. Jean d'E-bée tient dans une merveilleuse clarté son exposé des longues et difficiles études préparatoires, les débats techniques, les complexités administratives de la mise en train, les difficultés des travaux tant pour Suez que pour Panama deviennent un roman pathétique. inié une

On n'a jamais mieux animé une parfaite connaissance de son sujet.

4>

Dans cette année de quatre-vingtième anniversaire, M. Serge de Chessin publie un excellent portrait du Roi Gitatape V de Suède (Librairie Pion) tout à fait propre 'e à mieux fonder encore les sentiments que les français portent au descendant de Bernadotte.

Que Gustave V ait l'amour de •son peuple, on le jugera à cette anecdote qui nous est contée. Le chef communiste Kilbour les communistes sont rares en Suède p– s'écriait du haut de la tribune

Au dix-huitième siècle les aventurés se dénouaient plus facile- ment que de nos jours.

LEON DAUDET

de l'Académie Goncourt

LES LYS SANGLANTS Pn--n historique

La plus belle et a plus infortunée ^es reines de Fran. è Marle-Antoilette aura fourii à Léon Daudet e sujet de son plus eau livre. Un •ner/eilleux document historique, et l'œu-

vre la plus émouvante d un grand romancier. (Flammarion 18 fr.)

C'est un vieux chiteail & louer

Le château

d'Eu est t à louer, comme l'indique u n écriteau placé très s simplement sur sa grille comme sur un pavillon de banlieue. Cette résidence des s princes d'Orléans est con-

n u e surtout

par le séjour qu'y fit la reine Vifctoriâ lorsqu'elle vilit rendre visite à Louis-Philippe. Mais l'histoire de ce château remonte bien au delà. C'est, en effet, Henri de Guise qui le fit construire, en 1578, sur remplacement d'une ancienne forteresse féodale. Mile de Montpensiër le fit achever et y réunit une très belle collection de tableaux, qui n'y est plus aujourd'hui. Mais on y trouve encore un magnifique mobilier, mis là par le comte de Paris, ay siècle dernier, et dont les locataires éventuels auront la jouissance. Car le château d'Eu est à louer meublé.

LES COULISSÉS

DE L'HISTOIRE

par OCTAVE HOMBERG

Bien des dessous de la grande guerre, bien des secrets dé l'après-guerre voua seront révélés dans ces souvenirs rédigés par un témoin. Un vol. 18 fr. (Libr. A. Fayard.)

Petits cadeaux à l'armée française.

Un décret, signé du président de la république, vient de paraître à l'Officiel qui autorise le ministre d& la défense nationale à axiçeptet" certains legs et donations faits à l'année française. TMos braves militaires vont se trouver à la tête d'une foule d objets divers dont ils n'ont que trop bien l'emploi. On relève, par exemple, dans cette liste

Une bibliothèque de 3.500 volumes offerte aux officiers de la garnison de Strasbourg.

Un phono et une collection de disques pour un Foyer de caporaux et soldats.

Un canapé, sans destination précise.

Quatre fauteuils de dentiste, offerts par l'Ecole dentaire au Service de Santé.

Un camion, type Sahara, et un moteur en pièces détachées. Un fusil et une carabine de l'armée suédoise, offerts au musée de l'Ecole d'application de Fontainebleau, par l'attaché militaire suédois.

Malgi'é là générosité et l'ingénjqsité des donateurs. l'armée française est encore loin d'avoir tout le superflu.

Le Masque de Fer.

d'un meeting ♦ Je dois reconnaître qu'une monarchie paruenue à son point de perfection, ayant à sa téte un bon roi, offre les plus grands avantages au pays. Et que je sois pendu si notre Roi n'est pas un homme épdtarit 1 n

M. Serge de Chessib a de charmants chapitres sur la vie intime de Gustave V. Il en offre d'autres de premier intérêt où ce Roi, placé si haut au-dessus de la po itique et même du gouvernement, apparatt le miroir" de la nation ces pages brillent de jugements solides sur la nature et l'âme du peuple suédois, sur ses moeurs, sur les racines de ses institutions. Notre confrère, qui habite Stockholm, a publie déjà, on le sait, un volume Les Clefs de ta Suède, qui est devenu un guide amical pour tout voyageur.

Les Aljïuaziis.

Mort de Georges Bourdon Notre confrère Georges Bourdon, président du Syndicat national des journalistes, rédacteur en Chef du Radio-Journal de. France, est mort la nuit dernière, d'une crise cardiaque.

Il était vice-président de la Société des gens de.lettres et de la Ligue des droits de l'homme, président d'honneur fondateur de la Fédération internationale des journalistes, vice-président de la Caisse des retraites de la presse française, commandeur de la Légion d'honneur.

Mais, c'est à son syndicat surtout qu'il consacrait ses efforts et ses initiatives, ainsi qu'à la législation corporative de la presse. Georges Bourdon a collaboré au Figaro pendant de longues années. Il ya a publié, d'un style ferme et facile. dès enquêtes sur des sujets variés. Notamment, avant là guerre, il était allé interroger sur leurs intentions les chefs de l'Allemagne. Son enquête fit grand bruit. Il fut critique dramatique à Comeedia, et avait donné une pièce à la Comèdlè-Française, Les Chaînes. Il avait longtemps présidé le cercle des Escholiers.

Ses obsèques auront lieu samedi prochain, au Columbarium du Père-Lachaise. Rassemblement à 11 heures, place Gambetta.

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Pat JULES TRUFFIER

Le suicide du généra! Boulanger

D\ns une note similaire se peut évoquer, au 36 seplemEre N le suicide à Bruxelles du général Boulanger; et, à ce propos, je me suis rendu compte que les générations nouvelles ignoraient non seulement le théâtral épisode boulangiste, mais qu'elles ne connaissaient même pas le nom du général qui fut un jour bien près de la die-

tature.

A l'heure de la popularité bruyante du général un peintn de nos amis, Vibert, dont les jolies illustrations se vendaient très cher en Amérique et dont l'aimable femme était notre collaboratrice rue de Richelieu, tous deux donnèrent, au coeur de l'été, dans leur hôtel où se réunissaient les «, notabilités de art parisien une fête piquante en l'honneur des deux Boulan- ger, le général et le peintre du même nom, marié, lui aussi, à l'une de nos sociétaires. Nous avions été plusieurs camarades, hommes et femmes, de la Comédie, conviés au dîner où feu Lockroy, notre ministre de l'instruction publique et Larroumet, sous-directeur des Beaux-Arts, se retrouvèrent avec Detaille, Clainn, Pessard et quelques autres artistes. Affiché au dernier moment pour jouer Scap.in, je saisis cette occasion de m'abstenir j'ai horreur de ces sortes de fêtes gastronomiques. On avait insisté pour que je vinsse malgré tout après la représentation, mais le rideau tomba fort tard et j'entrai au café Cardinal afin de griffonner à la hâte quelques excuses.

Je n'aurais point évoqué le souvenir de ces menus faits si leur épilogue n'en avait été mélodramatique. Le lendemain de ce joyeux gala, la femme de notre hôte, en m'exprimant le regret que lui avait causé mon absence, me confia que la fin de la fête J'avait plongée dans une angoisse étrange. L'une des belles dîneuses, réputée chiromancienne, ayant lu dans la main des deux Boulanger un avenir sinistre, jugea prudent de taire la prophétie et ne dévoila l'horoscope qu'après le départ du peintre et du général ces deux hommes devaient à bref délai. selon l'oracle de la pythonisse, mourir l'un de mort subite, l'autre de mort violente. Oi", par une double coïncidence vraiment impressionnante, le peintre Boulanger tombait foudroyé vingt-quatre heures après ce dîner et le succédané du Bonaparte sans Brumaire se faisait, à quelque temps de là, sauter la cervelle dans un cimetière de Belgique. Les moins superstitieux en dettieurèrent pensifs.

Critiques et engouement

La brillante reprise d'ŒdHpe-Roi du 17 octobre, fut gâtée pour nou's, les vrais amis de Mounet-Sully, par la campagne de presse menée, au nom de l'incomparable artiste, par de jeunes impatients qui l'encourageaient à quitter la Maison, sous prétexte qu'on laissait son gen.'e sans emploi. Ces mauvais conseilleurs travaillaient pour eux-mêmes; Us nourrissaient l'arfièrepensée de profiter plus tard, à leur tour, de ces prétextes fallacieux pour ne point tenir leurs engagements. L'exemple de Coquelin, de Sarah, suivi de l'exode de notre cher Mounet. quel argument précieux ce pouvait être au profit de ceux-là qui prétendent que « le respect des traités n'est bon que pour les médiocres j> (sic) (1). ,r; 5 », ̃•;) .a

(1) Cette étrange maxime est dn créateur de Cyrano l

LE CARNET OU « FIGARO »

AUJOURD'HUI

Mariage». Midi Mlle Paule fl'Ahierroehes et M. Bernard Mlquel (SaintPierre de Neullly, 80, av. du Roule). 14 h. Mlle Lisette Herrensclimldt et M. Louis Le Renard (Eglise réformée de l'Etoile).

BleKfaisahoe. 21 h. Concert dirigé par Bruno Walter au profit de la Société de secours, aux Blessés mliliaffes (€rolJ^ROu|c). Tlléâtre natloiml de l'Opéra. Deuils. ^-8 8 h. 30 Service a la mémoire des Boursiers morts pour là France ou décédés au cours de l'année. (Notre-Dame des Victoires). 9 U. Obsèques de Mme Leseurre (Saint-Louis de Vincennes).

9 U. Me3es pour le repos do l'Ame du lieutenant Jean Romanetti (Saint-Pierre de Chaillot).

10 h. Obsèques de M. Max Delagrave (Saint-Thotnas d'Aquln). 1 1 d. Obsèques du docteur Gfirard Wlllot (Notre-Dame des Champs). -Il h. 30 Obsèques du docteur Edmond Fournier (Chapelle du PèreLachaise).

11 h. 45 Cérémonie du Souvenir des Anciens Etudiants de l'Institut Catholique morts pour la France, (Institut Catholique).

mitMMHHirtiiiiinriiiimmiiMiiiiifMiiiMiiiittmintiiiiii AMBASSADES

S. Ëxc. M. Suad Davas, ambassadeur de Turquie à Paris, a offert un élégant déjeuner en l'honneur de S. Exe. M. Massigli, récemment nommé ambassadeur de France à Ankara.

S. Exc. M. Adrien Thierry, ministre de France a Bucarest, et Mme Thierry ont donné récemment un dîner auquel assistaient M. Urdareano, ministre de la Maison royale; le ministre de l'Intérieur et Mme Celinesco, le ministre des nuances ét Mme Cancicov, le ministre des travaux publics et Mme Ghelmegeano, S. Exe. le ministre 'de Belgique et la baronne Guillaume, S. Exc. le ministre des Etats-Unis et Mme Gunther, M. et Mme Grigore Gafenco, M. et Mme Aùsnit, M. et Mme Farquhar, le colonel Delmas, attaché militaire de France, et le haut personnel de la légation. «-̃ S. Exe. te baron Hërry, ministre de Belgique à La Haye, à l'occasion de la visite de S. M. le Roi des Beiges à la Cour néerlandaise, donnera, le mercredi 23 novembre, une grande réception à laquelle seront conviés les membres de la colonie belge dans les PaysBas.

MONDE OFFICIEL

Le service solennel de l'armistice et de la paix, organisé par la Fédération protestante de France, sera célébré en l'église réformée de l'Oratoire du Louvre, 147, rue SaintHonoré, demain vendredi 1 i novembre, à dix-sept heures précises, sous la présidence du pasteur Marc Boegner. La prédication sera prononcée par le pasteur A.-N. Bertrand. BlENt USANCE

La Société de secours aux blessés militaires ( Croix Rouge française) organise, pour améliorer la vie pratique, viryjt cours mixtes de jardinage, qui seront faits par M. Moque, ingénieur horticulteur, chef des travaux aux jardins du Luxembourg.

Ces cours auront lieu tous les mercredis, à 18 h. 30, à partir du 16 novembre, à la mairie du septième arrondissement, 116, rue de Grenelle.

Une cotisation de un franc par cours sera demandée à chaque élève. A ces réunions seront admis tous les arrondissements de Paris et la banlieue. Un certificat sera remis aux élèves ayant satisfait à l'examen final.

Inscriptions h la mairie du septième arrondissement, en venant au premier cours, ou dès maintenant 21, rue François-I", ou au comité du septième arrondissement, 228, rue de l'Université.

•»*• Le vendredi 18 novembre, à vingt heures quarante-cinq, au profit des familles et des enfants pauvres de la paroisse des Blancs-Manteaux, 12, rue des Blancs-Manteaux, aura lieu un concert spirituel, donné par

la maîtrise de l'Oratoire, sous la direction de Horace Hornung, avec le concours de Léonce de SaintMartin, organiste de Notrè-Darne de Paris. A l'orgue de chœur, Denise Jamet.

Au programme des œuvres anciennes. '-••

Allocution R. P. Ferrand, curé de la paroifse. Salut solennel. L'Amicale des sourds-muets catholiques nous prie de rappeler qu'elle organisera 16 18 décembre. comme chaque année, un arbre de Noël pour les enfants de ses adhétents, à l'Institut catholique, rue d'Assas.

La situation des sourds-muets est en ce moment particulièrement péhible en raison de la crise, la plupart étant en chômage. Pensons aux petits enfants qui seront si heureux de se retrouver autour du bel arbre annuel.

Adresser les dons Mme Le Roy, 34, rue Vivienne.. CERCLES

Le Country Club de Bucarest continue à être le rendez-vous élégant de la capitale roumaine. Reconnu à l'heure du thé) ces joUrr-ci

bue Copéce Gateota di Reglna, chargé d'affaires d'Italie, et dilchesse di Reglnu; M. et Mme Barbo Catargl, M. et Mme Jean MltilineO, M. et Mme Georges Oetziuno, prince et princesse W. Mavrocordat, comtesse O'Kelly, M. et Mme Demetre Chrissoveloni, M. et Mme Hothàlo, M. et Mine Radu Floresco, général et Mme Condesco, Mme Slpsom, M. Georges Mavrocordat, comte de Moltke, Mi Charles Dozy, M. et Mme G. Gafenco, M. et Mme Edelano, M. Georges Mlcleaco, etc.

Récemment, au harâs du Pin, a eu lieu un élégant rallye suivi d'une brillante soirée au château du Pin, où la baronne Pierre de Câstelbajac, aidée de Mme O'Neill et de Mme Dieuleveult, recevait toute la société de l'Orne et du Calvados, ainsi que les officiers des garnisons voisines. Reconnu Marquis et marquise de Dreux-Brézé, colonel et vlcomtesse.de Vanssay, comte et comtesse de Beaucourt,. capitaine et comtesse de Brignac, marquis de Pràdomtal, comte et comtesse dé Touohet, Mme de Forceville, comte et comtesse de Vaucelles, capitaine et comtesse de Pontbrland, comte de La Rochefoucauld, comte et comtesse X. de Nanteutl, comtesse d'Aubigny, comtesse d'Andigné, Mme de Catheu, comte et comtesse de Quatrebarhes, comtesse de Bcauregard, vicomte et vicomtesse Y. DauRer, M. et Mme Marion de Procé, comtesse J. de Falandre; M. et Mme Jacques Sauvé, M. et Mme Ch. du Brell, commandant et Mme Borelli, M. et Mme de Villedleu, capitaine et Mme de Talahcé, M. et Mme Chédevllle, M.. Mme et Mlle de Cfoiilte de Saint-Martin, M. et Mme Oberthur, comtesse de Kerguenec, M. et Mme Lefébure, M. el Mme Valentih des Ormeaux, Mlles d'Àudiffret-Pasquter, de Fontenay, d'Andigné, de Roissy, d'Aubigny, de Vaussav, de Mieulle, de BeaUrègard: vicomte Dauger, M. Miguel, capitaine de La Mortnière, lieutenant d'Audiffret-Pasquier, lieutenant de Beaufort, lieutenant d'Andigné, MM. de VUloutreys de Brossard des lies, de Mieulle, Benoit du Rey, etc. Contrairement à ce qui avait été annoncé, c'est le mardi 15 novembre, à vingt heures très précises, que M. Anatole de Monzie, ministre des travaux publics, présidera le premier dîner mensuel de la saison 1938-1930 du Rapprochement international des jeunes, le Comité d'accueil pour les jeunes étrangers venant en France.

Le dîner aura lieu, comme d'habi- tude, au restaurant Le Nègre », 17, boulevard $aint-Denis. Les inscriptions, qui seront closes le 12 novembre, sont reçues au siège du cercle, 115, boulevard Saint-Germain.

VENERIE

Samedi dernier, l'équipage de chasse à courre « Par Vaux et Forêts » célébrait la Saint-Hubert. Cette cérémonie fut suivie non seulement par les habitués des chasses à courre, mais aussi par une nombreuse assistance.

L'ironie des contradictions et bizarreries du métier dramatique se manifeste de nouveau lorsque, à la fin de 1891. nous offrîmes, en matinée, une reprise iVAdrienne Lecouvreur, à*l'occasion du- centenaire de Scribe, de ce déconcertant producteur dont avaient vécu, pendant trente ans, les théâtres de France et du monde entier. Quel revirement excessif 1 Quelle école pour un observateur sans parti pris On respirait, dans là salle une atmosphère de dédain, d'ironie, je dirai même de haine préconçue. Pourtant le succès fut énorme pour Bartet, pour de Féraudy. Pourquoi la presse fut-elle à ce point exécrable On pouvait se le demander à l'heure où, presque simultanément, la critique accueillait avec un enthousiasme exagéré sur les mêmes planches une gentille Mégère apprivoisée taillée sur mesure, mats d'une puéril. flagrante. Ce n'est pas, certes, qu'il faille goûter immodérément le répertoire de 1 auteur des Huguenots, de la Juive, du Verre d'eau, de Bataille de Dames, etc. mais enfin, l'esthétique de ces pièces et celle de maintes adaptations shakespeariennes, en y regardant de près, étaient la même, composées toutes du même artifice et des mêmes ficelles.

Un voyage de la Comédie-Française à Vienne en 1892 J'eus l'honneur de faire partie de cette petite expédition dont les moindres détails sont encore très présents à ma mémoire. >

La princesse de Metternich, ayant toujours eu la passion du théôlrp et de tout ce qui touchait à l'art dramatique, organisait volontiers, en ses salons viennois, des intermèdes et comédies dont Got, entouré de quelques amateurs, faisait les frais. Notre ex-doyen y joua, à plus eurs reprises, des actes entiers de Molière; une fois entre autres, il interpréta la plus grande partie du Misanthrope (curiosité dont nous n'eûmes jamais la réplique à Paris) et Medéric, l'ainé de ses fils, qu'il avait emmené, y avait rempli, presque enfant, le rôle de Dubois.

La princesse ayant donc, en 1892, avec le concours des ministres et ambassadeurs des divers Etats européens représentés à la Cour d'Autriche, organisé une Exposition Internationale du Théâlre, Mme de Mellcrnich invila les acteurs en renom du monde entier à venir donner, dans leurs langues respectives, quelques représentations sur In scène édifiée au sein même du palais de staff et de carton pâte que l'on avait exprès construit au Prater.

Arch.tectes de théâtres, décorateurs, machinistes, accessoiristes, costumiers, perruquiers, etc. tous les corps de métier venant à la suite de Thalis et de Melpomène avaient, des quatre points de l'horizon, envoyé les plus curieux spécimens de leurs mventions. Les acteurs, eux, s'étaient montrés plus réservés, et je crois ne point faire erreur en rappelant que, à part la compagnie de la Duse elle n'était pas alors au summum de sa réputation, trois ou quatre étoiles allemandes, quelques comédiens anglais, et les treize artistes de la troupe de Molière composant notre petite expédition, on ne vit guère d'échantillons de « l'expression dramatique internationale ».

Sociétaire honoraire de la Comédie-Francaise.

(A suivre.)

(Copyright by Jules Truffier 1938).

Mlle Louise Vandermarcq, dont le mariage avec le lieutenant Roger Jacquand vient d'être béni en l'église du Sacré-Cœur, à Limoges.

(Studio Beaugers.)

r"~5.r

A dix heures, une messe était célébrée en l'église Saint-Jean-auxBois. Pour cette cérémonie, l'église avait revêtu une décoration très réussie des guirlandes de lierre de forêt tendues sur les pans des murs étaient soutenues par des bois de cerf. L'autel était orné de velours aux couleurs de l'équipage. Dans le chœur avait pris place, avec les principaux membres de l'équipage, le baron James de Rothschild, tenant en laisse son chien préféré.

L'abbé Theyskens, aumônier de l'hôpital Saint-Joseph de Compiègne, célébra la messe. Au cours de l'office, des trompes se firent entendre.

A l'issue de la messe, sur la place de l'église, et devant une foule nombreuse, le chanoine Delvigne, archiprêtre de Compiègne, procéda à la bénédiction des chiens.

Après cette cérémonie, l'équipage prit part à une chasse à courre qui dura deux heures cinquante. L'hallali eut lieu près du carrefour Saint-Ouen et la curée à la Michelette.

Les honneurs furent faits à la comtesse P. de Borchgrave d*Altena. NAISSANCES

M. Jean-Ernest Muzard et madame, née M. -M. Le Minihy de la Villehervé, font part de la naissance de leur fille Françoise. Santiago-de-Chili.

fUNC AILLES

On annonce les fiançailles de Mlle Evelyne de Cossé Brisrac, fille du marquis de Cossé et de la marquise, née Charencey, décédée, et belle-fille de la marquise, née Ludre, avec le comte Baudouin de Calonne, capitaine aviateur, fils du comte et de la comtesse Xavier de Calonne, née Sèze.

tUARlAUES

Lundi a été Célébré, en l'église Notre-Dame de Grâce de Passy, le mariage de Mlle Jacqueline SainteClaire Deyille, fille de M. Henri Sainte-Claire Deville et de madame, née de La Fournière, avec M. Henri Mellet, fils de M. Joseph Mellet, décédé, et de madame, née de Laborde-Noguez.

La bénédiction leur a été donnée par l'abbé Lepetit, ami de la famille. Les témoins de la mariée étaient: le général Sainte-Claire Deville, grand-croix de la Légion d'honneur, son oncle, et le commandant Jacques de La Fourniêre, officier de la Légion d'honneur, son oncle ceux du marié le vice-amiral baron Exelmans, commandeur de la Légion d'honneur, son oncle, et le sous-lieutenant Jacques Mellet, son frère.

INFORMATIONS

Parmi les passagers qui se sont embarqués hier, à Marseille.

Jutés Truffier,

sur le paquebot Orazio pour le Centre Amérique et le Sud Pacifique

Dr Angel Ccrvini, M. Perez Pisanty, M. et Mme Otto Kantorowicz, M. Gerhard Joachinisthal, M. et Mme Franz Israels, Mi et Mme Maurice Goldmann, M. Gabriel Infante, M. Viel Rainos, M, Mauriel Volo?chinsky, M. ï'iovera

l.JeIlona. Mme LI\!jjl:ΡI ,RepeU9, .1., J\.Ian

Uellona, Mme Le,tMa Repetjp, ,M.. Juan

de Costa Norà, Rév. Jacques Frank,

M. W'illI Choepser, M. Bruno Benjomin, M. Aron Lorch, M. Leo Reissmanù, M. et Mme Guldo Selblger, M. et Mme Uenno Lichtelnstein, Dr Benno Mendelshon, M. Eric Hirsch, M. et Mme Slegfrid Sommeneld, M. Figueroa Pedro Gonzalez, M. Luis Canard Font, M. et Mme Manl'red Engel, etc.

OEUIKS

Le lieutenant-colonel et Mme Vallot ont la douleur de faire part de la mort de Mme Vallot, née Tabouis, leur mère. Le service religieux sera célébré à Versailles le samedi 12 novembre, à dix heures, en l'église Notre-Dame, où l'on se réunira.

Mme Georges Peignot, ses enfants et petits-enfants nous prient d'annoncer la mort de Mlle Colette Peignot, survenue à SaintGermain-en-Laye, le 7 novembre. Le présent avis tient lieu de faire-part.

Nous apprenons la mort de M. Fernand Engerand, ancien député du Calvados, survenue en son domicile à Paris. Les obsèques seront célébrées demain vendredi 11 novembre, à onze heures précises, en l'église Saint-Louis d'Antin, où l'on se réunira. Le présent avis tient lieu d'invitation.

M. Jacques Boularan-Deval, M. et Mme Félix Gandéra, leurs enfants et toute la famille ont la douleur de faire part de la mort de M. Abel Boularan-Deval, docteur en médecine, directeur de théâtre, officier de la Légion d'honneur. Selon la Volonté du défUnt, les obsèques ont eu lieu dans la plus stricte intimité.

On annonce la mort de M. Jean Viel, collaborateur de la direction des Messageries Hachette. M. Georges Poinsteaud, maire adjoint de Cozes, industriel et inventeur de machines intéressant la viticulture et la laiterie, vient de succomber à l'âge de soixante-cinq ans.

On annonce la mort du docteur Georges Bourgeois, officier de la Légion d'honneur, âgé de soixante et un ans, fils de Léon Bourgeois, ancien président du Conseil.

Le service annuel de Requiem organisé par l'Union nati< iale des fonctionnaires catholiques à la mémoire de tous les fonctionnaires défunts, et spécialement de ceux qui sont morts pour la France, sera solennellement célébré le dimanche 13 novembre, à onze heures, en la basilique du Sacré-Cœur, à Mont.martre, par S. Exe, Mgr Chaptal, président d'honneur de l'Union, sous la présidence effective de S. Em. le cardinal-archevêque de Paris, et en présence des représentants des pouvoirs publics et des corps constitués.

On annonce la mort

De Mme Paul Boisseau, à Villeneuvetlous..Dammarlln de Mme Tlaeréul; née Merglé, à Meuiion de Mme J. Wotf-Nordmann, à Colmar.

Valfleury

PETIT CARNET

Du courage.

Chassez votre désespérance, Vous tous que la crise a fauchés, Et ressuscitez la confiance

En buvant du Cherry-Rncher. Smart.

Ixx fi loue et XjlA m^e^ LES EMPRUNTS DE LA MODE 1, AU VESTIAIRE MASCULIN

La mode, nous le savons, puise â toutes les sources et les événements dn jour impressionnent sa plaque sensible. Voici que l'Asie « dort la fantaisie, comme une impératrice ». influence la ligne nouvelle de nos ensembles d'<iorè<midi. Ce ne sont que vesles flottantes, luifn/es noires de coolies. ron~'s paletots écourtès en avant, des princes des la dynastie Chlng. manteaux courts, de teinte éclatante, fermés au col comme ceux des mandarins, et tuniques évasées, réminiscences de Perse, colorées telles des roses d'Ispahan.

Sur les robes de ville, sombres et strictes comme un trait de fusain, ces plaisantes vestes apportent une note mobile et gaie, d'un effet fort nouveau, tandis que sur

L'Elégance en lainage Avec l'automne, les lainages font une apparition triomphante qui prend une place de premier plan jusque dans les collections du soir. Leur aspect est si riche et si varié que l'élégance h"en peut être que rehaussée.

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A 13 n. 15 AuteuU.


LA MORT

DE M. VOM RATH (SUITE DE LA PREMIERE PAGE)

Les médecins allemands se rendirent une seonde fois, en effet, au chevet du blessé à 13 h. 40. Le docteur Baumgartner arrivait à son tour vers 15 heures. A l'issue de la nouvelle consultation, il annonça que M. Vom Rath venait d'entrer dans le coma.

Lorsque le jeune diplomate rendit le dernier soupir, il était entouré de son père et de sa mère.

L'hommage des médecins allemands

Le professeur Magnus et le docteur erandt ont fait suivre le communiqué par lequel ils relataient la fin de M. Vom Rath de ces mots Le chirurgien français Baumqartner a traité le blessé après une brillante opération, et la clinique de l'Aima a mis à la disposition des médecins une installation parfaite et le personnel a montré beaucoup de dévouement. M. Vom Rath a suc-

combe en raison de la gravité de se$ blessures.

La carrière

de M. Vom Rath

M. Ernst Vom Rath était né le 3 juillet 1909 à Francfort-sur-leMein. Il avait fait des études de droit dans plusieurs universités allemandes avant d'entrer comme stagiaire dans l'administration judiciaire.

Il débuta dans la carrière diplomatique en 1934, à la Wilhelmstrasse, et fut ensuite nommé attaché à l'ambassade. d'Allemagne à Paris, poste qu'il occupa de 1935 à 1936.

Après avoir fait un stage à Calcutta, au consulat général allemand, il était revenu, il y a trois mois, comme secrétaire de légation. Un télégramme

de M, Hitler aux parents du conseiller Vom Rath Munich, 9 novembre. Le Fiihrer-chancelier Adolf Hitler a envoyé aux parents du conseiller Vom Rath le télégramme de condoléances suivant

« Veuillez agréer, à l'occasion de la lourde perte que vous venez de subir par suite du lâche assassinat dont votre fils a été victime, mes condoléances les plus sincères. »

Les condoléances

officielles

Dès qu'ils eurent été informés de l'issue fatale, MM. Edouard Daladier, président du Conseil, et Georges Bonnet, ministre des Affaires étrangères, ont chargé MM. Genebrier et Ripert, chefs de leurs cabinets, de se rendre auprès du comte Welczeck, ambassadeur d'Allemagne, pour lui présenter leurs vives condoléances.

M. Albert Lebrun fit accomplir, en son nom, la même démarche, par un de ses collaborateurs do l'Ely-

•êe.

Le corps de M. Vom Rath a été transporté hier soir à l'ambassade d'Allemagne, où sera aménagée une chapelle ardente. Les membres de la colonie allemande défileront devant le cercueil. La tristesse que leur inspire la fin navrante de leur jeune compatriote s'était exprimée, dès hier, en de multiples témoignapes.

M. de Montbas

se rend auprès

de M* von Weizzsaecker ̃ A Berlin, M. Hugues de Moritbas, chargé d'affaires de France, a exprimé à M. von Weizzsaecker, secré-

SUITE DE LA PREMIERE PAGE LE VOYAGE DE Mgr CHAPPOULffi

Mgr Çbappoulje vient d'employer les mois d'août, septembre et octobre à parcourir l'Afrique noire. Au moment de son départ il avait bien voulu dire au Figaro ce qu'il comptait faire. Revenu depuis deux jours il a bien voulu me recevoir hier et me contter ses impressions. Quelle impression d'ensemble avez-vous rapportée de ce voyage d'études, du point de vue missionnaire ? 2

L'impression d'une vitalité intense du catholicisme dans le monde noir. J'ai été très frappé, notamment, de la confiance avec laquelle les noirs, même païens, vont vers le missionnaire qu'ils considèrent tous comme un ami désintéressé. De cette vitalité du catholicisme dans le monde noir, outre les foules, les masses qu'évidemment vous avez du voir dans certaines régions, quelle preuve pour ainsi dire palpable avez-vous eue sous les yeux

Je l'ai sentie surtout en me trouvant en face des prêtres indigènes et des religieuses indigènes. Quand on pense à ce que représente comme sacrifices et comme changement de vie pour ces noirs le fait de se plier dans toutes les années de leur jeunesse à la discipline de la vie du séminaire et plus tard aux exigences de ta vie sacerdotale, on ne peut pas douter que le christianisme ne soit réellement incorporé à l'âme d'une partie de ce peuple noir J'ai été frappé de la modestie, de la piété, de (a réserve de ces prêtres noirs Ils forment une belle élite On peut réellement espérer qu'avec le temps et le travail progressif qui se fera, l'Eglise catholique aura là un ;moijen puissant le seul peut-être pour aller véritablement au fond de l'âme noire.

Je voudrais vous interroger sur les rapports entre l'Eglise et l'Administration officielle coloniale dans les pays que vous avez traversés. Au Congo belge il y a, je le sais, une collaboration étroite dans tous les domaines.

Oui, et il me semble que c'est à cette union des ef forts qu'il tant attribuer les résultats magnifiques obtenus dans l'éducation, le soin des malades, la formation de la femme noire,

Dans nos colonies françaises ce n'est pas la même chose car le régime de la Séparation de l'Eglise et de l'Etat empêché toute collaboration.

11 ne faut rien e.Taoerer. ri a évidemment ici ou la quelques malentendus ou quelques désaccords mais dans l'ensemble te missionnaire et l'Administration ne s'ignorent pas. En bien des régions même une collaboration cordiale s'est établie sous certains points de vue. L'un et t'autre n' ont-ils pas d'ailleurs la même volonté de travailler pour le bien de l'indigène ? 2 •*•• N'y a-t-il pas un point d après

taire d'Etat aux Affaires étrangères, les condoléances du gouvernement de la République, de M. Edouard Daladier, président du Conseil, et de M. Georges Bonnet, ministre des Affaires étrangères. M. von Weizzsaecker a remercié M. de Montbas et l'a prié de transmettre au gouvernement de la République les sincères remerciements du gouvernement du Reich. La radio allemande

observe

deux minutes de silence Tous les postes radiophoniques deux miutes de silence en signe de allemands ont observé, à 18 h. 55, deux minutes de silence en signe de deuil.

L'inculpation concernant Grunszpan

se trouve transformée La mort de M. vom Rath amène

e juge d'instruction, M. Tesnière, i transformer l'inculpation de ten:ative d'assassinat de Grunszpan en :elle d'assassinat avec préméditaion, qui entralne la peine de mort je magistrat va donc faire extraire e détenu de la prison de Fresnes et :e faire conduire au Palais de Jus;ice où il lui signifiera la nou,elle inculpation. Il ne l'interrogera lans doute sur le fond que lorsque sera tranchée la question de l'au;opsie du corps de la victime. Enfin, le décès du conseiller de légation peut également faire modifier les inculpations concernant l'oncle et la tante du jeune assassin. L'émigration juive

condamne l'attentat La fédération des sociétés juives de France déclare que « jamais dans aucun milieu de Juifs immigrés n'a été prônée l'idée d'un attentat quelconque condamne sévèrement tous les actes de violence qui n'apportent aucune solution et tient tout particulièrement à exprimer son profond regret que l'attentat ait été commis en France, terre d'asile pour laquelle toute l'émigration juive ne nourrit que des sentiments de dévouement et de reconnaissances.

Nicta Grunzpan

n'a rien de commun avec la famille du criminel Une « annonce » insérée voici quelque mois dans un journal du soir a attiré l'attention de la police judiciaire. Elle concernait un Polonais du nom de Grunzpan, demeurant 34, rue du Pressoir, qui déclarait avoir perdu son passeport. La similitude de nom pouvait laisser supposer qu'il s'agissait du jeune meurtrier de M. vom Rath, ou d'un de ses proches. L'enquête vient d'établi ̃ que l'auteur de l'annonce était un tailleur d'habits en appartement, Nicta Grunzpan, né à Ilze (Pologne), le 1" juin 1907, marié, père d'un enfant. Cet étranger était parfaitement en règle et les meilleurs renseignements furent recueillis sur lui. Il n'avait d'ailleurs aucun lien de parenté avec le meurtrier du diplomate. Nicta Grunzpan, lorsqu'il perdit ton passeport, en novembre 1h<j6, avait fait une déclaration au service des objets perdus à la préfecture de police, qui lui en délivra le reçu. Le 9 janvier 1937, muni de ce reçu, M. Grunzpan se rendit au consulat de Pologne pour réclamer un duplicata. On lui conseilla alors de faire parattre l'annonce qui devait intriguer la police. Huit jours plus tard, le consulat délivra à Grunzpan un dulicata de son passeport, l'original tant demeuré introuvable.

vous où nue collaboration plus étroite serait possible entre l'Eglise et l'Etat dans nos colonies? Il me semble que dans le domaine sanitaire par exemple la chose serait facile. La France a fait un effort considérable pour l'équipement médical de ses colonies et tout particulièrement pour lutter contre des fléaux tels que la maladie du sommeil ou la lèpre. Je songe notamment art travail réalisé jadis par le docteur .Jamot au Cameroun ou encore à cet admirable Institut scientifique de la lèpre à Bamako. Eh bien 1 je suis convaincu que le rendement des hôpitaux et dispensaires officiels où nos médecins du service de santé colonial se dévouent jusqu'à l'extrême limite de leurs forces, serait plus considérable si l'Etat voulait se décider à demander la collaboration des religieuses. C'est une opinion que j'ai recueillie bien souvent au cours de mon voyage.

Le crédit moral de notre pays à l'extérieur ne pourrait, d'autre part, qu'y gagner. Mais personnellement vous avez été bien reçu par les autorités officielles de nos colonies ?

Je n'ai qu'à me louer de l'accueil que m'ont fait les gouverneurs et administrateurs des régions où j'ai passé, et que M. le ministre des colonies avait eu l'amabilité de faire avertir de mon voyage. J'ai été heureux de m'entretemr avec eux. Certains sont des hommes tout à fait remarquables et passionnément attachés à l'œuvre qu'ils accomplissent.

En somme quelle impression d'ensemble rapportez-vous sur l'état des colonies françaises que vous avez traversées ?

Nos colonies d'A.O.F. et le Cameroun sont en pleine vie et l'A.E.F. au milieu de conditions certainement plus difficiles paraît secouer la léthargie où trop longtemps elle a vécu. On ne saurait trop dire que la France a réalisé, notamment au Cameroun, des merveilles. On a beaucoup développé les possibilités économiques de ce territoire dont les ressources naturelles sont si grandes. Il est dommage qu'en France on ne se rende pas suffisamment compte de l'essor que nous avons su donner à ce pays.

Je vois, monseigneur, que vous avez rapporté de votre voyage des notes innombrables et des observations sur d'innombrables sujets non seulement intéressant les missions mais l'avenir social des colonies. Vous allez pouvoir maintenant travailler efficacement à ré- soudre bien des problèmes dont vous avez touché du doigt l'importance et dont la solution est aussi nécessaire du point de vue chrétien que du point de vue françis. Et je sais que vous le ferez avec intelligence et avec cœur.

Paul Lessard.

AU PALAIS CHIGI M. François-Poncet a pris contact

avec le comte Ciano. qui il a remis copie figurée de ses lettres de créance

Rome, 9 novembre. M. François Poncet s'est rendu, ce soir à 18 heures, au palais Chigi, où, après avoir vu le marquis Capronica, chef adjoint du Protocole, il a été reçu par le comte Ciano, ministre des Affaires étrangères.

Le nouvel ambassadeur de France près le Quirinal a remis au comte Ciano copie figurée de ses lettres de créances à Sa Majesté le roi d'Italie, empereur d'Ethiopie.

L'entretien a duré environ 55 minutes et a permis à M. François Poncet de procéder avec le comte Ciano à un échange de vues d'ordre général.

Il s'agit, évidemment, d'une simple prise de contact qui n'a aucun caractère officiel, M> François Poncet ne devant entrer en fonctions que dès la présentation de ses lettres de créance au souverain italien.

APRES LA MORT

DE M. VOM RATH

Violentes réactions allemandes.

contre les Juifs

(Téléphone « Figaro »)

Berlin, 9 novembre. Les persécutions nazies contre les Juifs ont redoublé de vigueur ce soir à l'annonce de la mort de M. vom Rath. « Il est tombé pour l'Allemagne, écrit le Berliner Tageblatt. Tout le peuple allemand est outragé par ce second cas Gustloff. »

Les Juifs, en Allemagne, s'attendent au pire. On parle même d'une expropriation possible des propriétés juives qui serait ordonnée par M. Hitler, sous prétexte que cest l'argent juif qui a aidé à l'attaque de 1 ambassade d'Allemagne à Paris. Les agences de voyage étrangères ont été littéralement envahies par tous les Juifs anxieux de quitter l'Allemagne au plus vite. Un bureau de voyages français a dû appeler la police à son secours et fermer ses portes, des nazis en uniforme ayant adopté une attitude très menaçante à l'égard des Juifs qui avaient empli l'agence. Cependant, il est assez curieux de remarquer qu'en général la police ellemême ne montre pas le moindre signe d'excitation ou d'indignation. Le fait qu'aucune démonstration sérieuse n ait eu lieu à Berlin est dû, on le croit, aux avis du maréchal Goering qui a montré aux autorités nazies que tous ?s dommages causCs aux biens des Juifs devraient être payés par les compagnies d'assurances allemandes.

Les négociations entre l'Allemagne et les représentants du gouvernement polonais, à l'égard des 5.000 juifs expulsés d'Allemagne la semaine dernière, avancent très lentement. Plusieurs demandes ont été faites du côté allemand que les Polonais ne croient pas devoir accepter.

r

Le programme de la visite du roi Carol à Londres (Téléphone « Figaro »)

Londres, 9 novembre. Le roi Carol de Roumanie et son fils, le prince Michel, arriveront en Angleterre mardi prochain pour leur visite officielle au roi George VI et à la reine Elizabeth. Ils seront reçus à Douvres par le duc de Kent. Le roi et le duc de Gloucester seront à Victoria-Station pour attendre le roi à la descente du train. Le soir même un banquet sera donné à Buckingham Palace. Le mercredi, le roi Carol et le prince Michel seront présents à un déjeuner donné par le lord-maire de Londres, sir Frank Bowater, au Guidhall.

Le soir, le roi Carol recevra les souverains britanniques à dîner à la légation de Roumanie.

Jeudi, le roi Carol visitera la station aéronautique de Odiham et le soir le roi George VI, le roi Carol et le prince Michel assisteront à un dîner officiel au Forcign Office.

DE WESTMINSTER UN FLAMBEAU

EST ENVOYE A PARIS (Téléphone c Figaro »)

Londres, 9 novembre. Pour commémorer le vingtième anniversaire de l'armistice, une cérémonie simple et émouvante s'est déroulée cet après-midi, à Westminster, en présence du duc de Westminster, du président et de deux membres de la British Legion, du général Lelong, attaché militaire à l'ambassade de France, et du commandant Debrandt. La flamme du souvenir a été ranimép un des flambeaux a été envoyé à Paris et sera déposé sous l'Arc de Triomphe.

Les Chinois bombardent Canton

(Câble « Figaro »)

Hong-Kong, 9 novembre. Pour la première fois depuis l'occupation japonaise, des avions chinois ont survolé Canton aujourd'hui et ont bombardé l'aérodrome. Après ce bombardement, les aviateurs chinois ont lancé des tracts: « Citoyens chinois, ne vous laissez pas abattre, les troupes chinoises conduites par le général Li Chung Jen et le général Pai Chung Shi reprendront Canton avant la fin de ce mois >, ce qui laisse penser que les Japonais considèrent la situation à Canton comme sérieuse et peut se trouver dans le fait que les communiqués militaires n'ont pas encore été publiés.

On rapporte de source chinoise qu'une division de cavalerie aurait capturé Shek Wai Tong, à 16 kilomètres au nord de Shameen, concession blanche de Canton.

A l'ouest de Canton, la bataille continue autour de Satshan où les Japonais essaient de réunir des renforts considérables pour arrêter l'avance chinoise.

Toujours de source chinoise, on apprend deux nouveaux succès chi.nois au sud-est de Canton, où les armées chinoises auraient complètement repoussé les Japonais, sur la rive est du fleuve East, la ville importante de Waichow est maintenant, déclare-t-on, entre les mains des Chinois.

LE MEURTRIER ETIENNE COLINON, qui tua à Meudon sa femme et blessa grièvement l'amant de celle-ci, a été reconnu irresponsable par le médecin aliéniste. Colinon quittera la prison de Versailles pour être conduit à l'asile d'aliénés de

Clermont-Ferrand.

RIEN N'AUTORISE A PENSER que l'accord de Munich entraîne un relâchement de nos liens avec la France

déclare M. Chamberlain au Guildhall (De notre correspondant particulier par téléphone)

Londres, 9 novembre. Les Communes ont continué, aujourd'hui, le débat général sur le discours du Trône, au cours duquel M. Lloyd George fit une intervention assez vigoureuse. M. Lloyd George demanda que l'opinion publique oit connaissance des intentions de M. Neville Chamberlain et de ses projets avant les conversations de Paris. Les événements récents, a-til dit, ont causé une grande méfiance. L'opinion a l'impression que les négociations ne sont pas basées sur le principe donner et recevoir », mais sont une sujétion complète aux demandes les plus extrêmes des dictateurs.

Ce sera demain seulement que la discussion portera sur Je sujet précis de la défense Impériale. Le débat

LE DISCOURS AU GUILDIiAUL

Londres, 9 novembre. Prenant la parole ce soir au banquet du tord-maire, au Guidhall, M. Neville Chamberlain a déclaré qu'il convenait d'abandonner l'idée qu'à Munich deux systèmes de gouvernement étaient entrés en contlit et que l'un des camps en était sorti victorieux.

« L'accord de Munich, a dit M. Chamberlain, ne nous eneouraget-il pas à penser qu'il doit être possible pour les quatre puissances signataires de se mettre d'accord sur d'autres choses, non seule-

Le Lord- Maire de Londres a traversé sa bonne ville en carrosse doré

Londres, 9 novembre. Avec le cérémonial traditionnel et pittoresque dont le public anglais ne se lasse jamais, le nouveau lord-maire de Londres, sir Frank Bowater, a traversé ce matin sa « bonne ville dans son carrosse doré. Le cortège du lord-maire, organisé par le Conseil national de la Santé, représentait cette année « les sports à travers les âges ». Le cortège a défilé sous un ciel gris, par un temps assez frais dont eurent particulièrement à se plaindre les « baigneuses » qui illustraient l'évolution du costume d,e bain à travers les temps. Le grand sport national, le cricket, était naturellement à l' « bonneur ». Là, comme pour les baigneuses, le vêtement moderne, relativement sobre, faisait contraste avec le ̃véritable harnachement ,de guerre des « pionniers » aux lourds favoris. Le football, le rugby, l'escrime, la boxe, etc. étaient également représentés et chaque nouveau « chariot soulevait les acclamations et les rires d'une foule où dominaient les enfants.

Les sports d'hiver avaient de.

L'occupation des territoires cédés par la Tchécoslovaquie à la Hongrie sera terminée et soir

Budapest, 9 novembre. L'occupation des territoires cédés par la Tchécoslovaquie à la Hongrie touche à sa fin. Beherovo a été occupé hier. La dernière zone, comprenant notamment les grandes villes de Levice, Lucenec, hosice, Uzhorod et Mukacevo. sera occupée demain. L'occupation de cette zone sera terminée demain soir.

Vendredi, à midi, l'amiral Horthy, régent de Hongrie, accompagné du gouvernement hongrois et de hauts dignitaires et membres .du corps diplomatique, se rendra à Kosice, la ville la plus importante du territoire cédé à la Hongrie. Ail heures, un silence de deux minutes sera observé dans toute la Hongrie. Les cloches de toutes les églises sonneront ensuite pendant une demi-heure.

La mission militaire

française

va quitter Prague

Prague, 9 novembre. La mis-

Nouvelles brèves

ETRANGER

Un livre de M. Churchill interdit en Allemagne Berlin, 9 novembre. Un décret de M. Himmler, ministre de la police,. interdit la vente du livre de M. Winston Churchill Grands Contemporains, qui a été publié eu langue allemande par l'éditeur Albert de Lange, à Amsterdam. La National Gallery

de Londres

s'enrichit d'un nouveau Rembrandt

Londres, 9 novembre. La. National Gallery de Londres vient d'acquérir un superbe Rembrandt portant la date de 1635 et représentant la femme du peintre, Saska van Uylenburgh, en costume de Flore. Ce chef-d'œuvre appartenait à la collection du duc de Buceleuch. Les audiences du Pape Rome, 9 novembre. Le Souverain Pontife a reçu en audience particulière le cardinal Tisserant, secrétaire de la congrégation pour l'Eglise orientaie; Mgr Liagre, évêque de la Rochelle; le Révérend Guérin, aumônier général des Jeunesses ouvrières françaises, et Mgr Sebastien, évêque de Spire (Allemagne).

JAPON. M. Franz Huber, inspecteur de la police allemande, le premier commissaire envoyé par l'Allemagne au Japon pour coordonner les efforts des deux polices pour la répression du comntuitisme, est arrivé hier au Japon.

sera ouvert par Sir Kingsley Wood qui donnera un compte rendu détaillé des projets du gouvernement et de la situation actuelle du réarmement aérien.

A la fin de ce débat, au cours duquel d'importantes questions serout posées au gouvernement, tout particulièrement sur l'état dé la production, sir Thomas Inskip, ministre de la Défense nationale, fera une déclaration sur les progrès du réarmement dans les trois services de guerre.

Aujourd'hui l'attention de l'opinion s'est portée surtout sur le discours que M. Neville Chamberlain allait prononcer ce soir au Guildhall à l'occaslon de la nomination du nouveau lord-maire.

ment pour empêcher des catastrophes, mais aussi pour engendrer ie bonheur et la prospérité pour leurs pays en s'aidant mutuellement. » M. Chamberlain affirme que l'une des premières tâches du gouvernement est de faire une Angleterre si forte qu'elle puisse être traitée partout avec respect.

« Je veux, dit-il, que le gouvernement arrive à ses fins en ce qui concerne la paix. Cela ne veut pas dire que nous désirions jouer le rôle d'agent de police habttuel du monde. Si nous voyons la paix me-

mandé aux metteurs en scène du pittoresque cortège un effort particulier sur l'un des chariots de dimensions colossales se dressait une montagne de bois et de carton dont la cime neigeuse dodelinait de-ci, de-la. Pour passer sous le pont du chemin de fer on put voir la montagne s'incliner et s'abaisser comme la cheminée d'un remorqueur.

Une note plus grave était enfin donnée par les canons antiaériens trainés sur leurs affûts, à la suite du cortège pacifique, et par un « barrage de ballons ».

Le banquet

Londres, 9 novembre. Le banquet traditionnel offert chaque année par le,nouveau lord maire de

ta cité de Londres a eu lieu ce soir

au Guildhall, en présence du corps diplomatique, de tous les membres du gouvernement, des grands dignitaires de l'Eglise, de 1 armée, de la marine et de la magistrature. A leur arrivée au Guildhall, M. et Mme Chamberlain ont été, l'objet d'acclamations enthousiastes.

sion militaire française quittera Prague incessamment, après avoir collaboré pendant vingt ans à l'organisation de l'armée tchécoslovaque et à, son système de fortification.

On sait que le général Faucher, chef de la mission, avait donné sa démission avant la mobilisation et qu'il s'était mis à la disposition du gouvernement tchécoslovaque. Il ne restait pas

de matériel de guerre dans les fortifications remises au Reich

Prague, 9 novembre. On dément officiellement l'information publiée par la presse étrangère suivant laquelle l'armée tchécoslovaque aurait abandonné dans les fortificattons cédées à l'Allemagne un important matériel de guerre. Il est absolument faux, d'autre part, que 1,200 canons à longue portée auraient été laissés au Reich, qui les

ITALIE. La police a arrêté aa poste frontière de Chiasso, M. Samuel Klorbert, d'origine allemande, né à Tel-Aviv, qui tentait d'exporter clandestinement des livres sterling pour un montant d'environ un million de lires.

PARIS

DEUX CAMBRIOLEURS QUI AVAIENT FRACTURE la caisse d'un magasin de bonneterie, 54, avenue Victor-Hugo, ont été arrêtés. Ce sont Henri Joli, 32 ans, Italien, et Santa BO3, de nationalité grecque. + ON A DECOUVERT A ROUEN, SUR UN TAS DE SABLE, le cadavre d'une femme âgée d'une quarantaine d'années qui avait succombé à des blessures à la tête. On a, d'autre part, trouvé asphyxié dans la chambre d'un remorqueur, jin marin. La police enquête sur ces deux décès,

PROVINCE

ON A DECOUVERT DANS UN TERRAIN, rue Cuoier, un petit coffre-fort défoncé. Il contenait un livret de pension au nom de Mme Louise Valabrègue, demeurant: 1, rue Antoine-Arnaud, un livret de famille, des titres de compagnie de chemin de fer et des coupons de rente. Le commissaire de police du quartier fit enlever le coffre et téléphona Mme Valabrègue, qui avait été victime d'iui cambriolage. ♦ ON A ARRETE, A LYON, une courtière en bijoux, Mme Francine l'avet, 30 ans, qui prélevait de nombreux joyaux sur les choix qui lui étaient confiés. Ses détournements atteignent 65.000 tramer

M. Neville Chamberlain estime que la position « détachée » de la Grande-Bretagne à l'égard de l'Europe lui permet « d'intervenir plus efficacement que toute autre puissance pour assurer le maintien de la naix ». Son discours constitue un plaidoyer impressionnant de la politique de Munich. La déclaration înglo-allemande est réaffirmée avec force, mais M. Neville Chamberlain annonce qu'elle est parfaitement conciliable avec l'entente francoanglaise, a assez intime et assez ancienne » pour ne pas être affaiblie par les efforts de rapprochement de la Grande-Bretagne avec me troisième puissance. Voici d'ailleurs les extraits les plus importants de ce discours

nacée, nous userons de toute notre influence pour la sauver. Si la guerre éclate, nous saisirons toute occasion qui se présentera pour l'arrêter. »

Faisant de nouveau allusion à la déclaration de Munich, M. Chamberlain déclare « Il existe des esprits qui sont si pleins de suspicion qu'ils vont jusqu'à voir dans ce document irréprochable un relâchement de nos liens avec la France. Quelle illusion

» La fête de Noël approche, dit M. Chamberlain, et je ne vois aucune raison qui puisse nous empêcher de nos préparer à la célébrer dans un esprit enthousiaste et confiant.

» A mon avis, après les événemenst de septembre, les conditions politiques en Europe sont en train de se stabiliser et préparent la voie à des temps plus calmes. >

Le gouvernement bulgare va-t-il démissionner ? (Téléphone « Figaro »)

Sofia, 9 novembre. A la suite d~ vote qui, par 69 voix contre 67, a repoussé le projet du gouvernement pour une allocation à la presse, le cabinet s'est réuni ce soir et il est possible que le gouvernement envisage de démissionner. Ce vote montre le peu de confiance de la Chambre dans la politique extérieure du gouvernement. Depuis quelque temps, plusieurs députés se sont joints lt l'opinion. L'opinion publique considère que, maintenant que les questions de minorité se sont élevées dans l'Europe entière, le gouvernement huit gare devrait adopter,. ïine politique è a

qui lui permette de reprendre les

minorités bulgares résidant dans les pays avoismants mais, durant la recente conférence de M. Stoyadinovitch et de M. Aiosseivanoss, ce dernier aurait donné l'assurance que le gouvernement bulgare ne présenterait aucune demande territoriale à la Yougoslavie.

aurait transportés à «• frontière de l'Ouest.

L'Allemagne crée

en Tchécoslovaquie

des organismes d'assistance Prague, 9 novembre. M. Kundt, ancien député du parti des Allemands des Sudètes et chef actuel des Allemands résidant en Tchécoslovaquie, vient de recevoir do l'Allemagne une somme importante destinée à venir en aide à la population allemande de Tchécoslovaquie. L'action 4e M. Kundt s'appellera « Deutsche Reichshilfc » (Assistance du Reich allemand).

M. Kundt a déclaré, d'autre part, qu'il n'avait pas l'intention de fonder un parti politique, mais qu'avec l'assentiment du gouvernement tchécoslovaque, il allait créer un office allemand du travail, de liquidation et de réorganisation qui aura son siège & Prague et fonctionnera incessamment.

LA GUERRE ESPAGNOLE Succès nationalistes sur le front de l'Ebre Rayonne, 9 novedbre, Les nouvelles des deux sources font apparaître que les nationalistes ont effectué de nouveaux progrès sur la front de l'Ebre, en s'emparant notamment du massif de l'Aguila dont les gouvernementaux avaient fait un bastion de résistance. D'autre part, l'avance effectuée le long de l'Ebre a permis aux nationalistes d'atteindre, dès le coucher du soleil d'hier, le grand viaduc ferroviaire de Garcia, seul « pont permanent s dont disposaient les républicains sur la rive droite de l'Ebre, pour communiquer avec leurs arrières.

Une bataille aérienne mis aux prises, dans le ciel de l'Ebre, 24 avions nationalistes et 55 avions gouvernementaux. Les nationalistes déclarent avoir abattu 19 de leurs adversaires. Ceux-ci, en revanche, n'avouent que la perte de trois appareils contre la destruction de G avions franquistes.

UU.R.S.S.

a célébré le 21e anniversaire de h révolution

Moscou, 9 novembre. Le vingt et unième anniversaire de la révolution russe a été célébré dans l'enthousiasme. D'imposantes manifestations populaires ont eu lieu dans toutes les gran villes. La population a acclamé les défilés de tanks et de canons.

Environ 2.000 avions participèrent aux parades, y compris 360 à Moscou, 220 à Leningrad, 400 à Kiev, 315 à Vorocbllov, 155 à Khadarovsk.

Succès républicains aux Etats-Unis

(SUITE DE LA PREMIERE PAGE)

M. Farley, ministre des P. T. T., qui organisa la campagne dit parti démocrate, a admis que les gains républicains étaient plus élevés que la Maison-Blanche ne s'y attendait. Mais, a-t-il ajouté, « les résultats indiquent clairement qu'une grosse majorité du peuple américain se tient toujours solidement derrière la politique démocratique du présidenf Roosevelt ».

Si les adversaires se sont partout serrés de près, la bataille a été surtout violente autour des postes de gouverneurs d'Etat. Là, le président avait pris fait et cause pour certains candidats qui-ont été battus.

Sur 32 sièges à pourvoir, 15 démoLes républicains ont gagné 11 sièges. crates et 17 républicains ont été élus. Les 48 Etats de l'Union ont donc à leur tête 30 gouverneurs démocratea et 18 républicains.

Si, en effet, M. Lehman a été réélu gouverneur de New-York avec une majorité de 75.000 voix, contre M. Dewey (sur cinq millions de votants), M. Murphy, du Mtchigan, a et: écrasé par M. Fitzgerald. Cet échec sera particulièrement pénible à M. Roosevelt et au parti démocrate, dont M. Murphy, ancien gouverneur général des Philippines, était un des plus brillants orateurs. Dans l'Ohio, Robert Taft, fils de l'ancien président des Etats-Unis, l'a emporté sur son adversaire démocrate.

Des hommes aussi marquants que M. La Follette, des amis intimes du président, comme M. Duffy, ont été, eux aussi, battus.

Quelles conclusions donner au scrutin de mardi 2

Le code civil italien

est profondément modifié

dans le sens de la politique raciale

Rome, 9 novembre. -Le Conseil' des ministres, réuni ce matin sous la présidence de M. Mussolini, a approuvé, notamment, le premier livre du nouveau Code civil fasciste. Ce livre, qui désormais remplacera le livre premier do l'ancien Code civil italien identique au Code Napoléon, apporte des changements considérables dans la législation des droits des personnes et de la famille.

On peu souligner, comme innovation, les dispositions concernant la politique raciale suivant les directives adoptées par le Grand Conseil fasciste. Ceux qui n'appartiennent pas à la race aryenne ne jouiront pas de la capacité juridique. Une autre disposition saillante du nouveau Code favorise la reconnaissance des enfants nés de l'union libre ainsi que la recherche de la paternité.

Le nouveau Code civil considère la famille comme le noyau essenL'Union sud-africaine

reconnaît l'Empire italien Rome, 9 novembre. L'Union sud-africaine a décidé de reconnaître, la souveraineté, italienne, sur

l'Ethiopie. Une communication a

été 'faite dans ce sens au comte Galeazzo Ciano, ministre des affaires étrangères, par M. Albert Heymans, ministre de l'Union sudafricaine à Rome, qui lui a annoncé que de nouvelles lettres de créance l'accréditant auprès du roi d'Italie, empereur d'Ethiopie, lui seraient incessamment transmises.

Nouvelles attaques nazies contre l'église catholique et Tépiscopat d'Allemagne

1 Berlin, 9 novembre, –• De nouvelles attaques contre l'Eglise catholique et l'épiscopat d'Allemagne sont lancées aujourd'hui par le Schwarze Korps, journal des milices noires de protection. Tout récemment cet organe avait attaqué violemment le catholicisme. Dans un article de fond intitulé e Inventaire intérieur »> il se félicite de l'issue de la crise tchécoslovaque pour l'Allemagne. Le journal qualifie les évêques catholiques de déserteurs. 11 leur reproche do'n'avoir vu dans les journées « de haute tension politique » qu'une occasion de e tomber dans le dos de l'Etat, comme toujours ». Les attaques des milices noires n'épargnent pas non plus l'Eglise protestante confessionnelle, « ces frondeurs qui, dans les grandes L'Angleterre rejette

le projet de partage de la Palestine

proposé

par la Commission Peel (Téléphone c Figaro »)

Londres, 9 novembre. Le rapport de la Commission de Palestine nommée en mars dernier a été publié ce soir. Il est accompagné d'un Livre Blanc dans lequel le gouvernement annonce, sur la recommandation unanime des membres de la Commission, la décision de rejeter le projet de partage de.la Palestine proposé par la Commission Peel. La Commission, néanmoins, n'a pas été en mesure d'adopter, avec la même unanimité, un autre projet. Un certain nombre de suggestions ont été présentées, mais aucune décision ne sera prise avant une conférence qui, sous la présidence de M. Neville Chamberlain, se tiendra très prochainement à Londres, à laquelle assisteront les chefs des organisations arabes et juives, ainsi que les représentants des Etats voisins.

Le gouvernement se réserve le droit de ne pas recevoir les chefs arabes qui. en ce montent, poursuivent une campagne de violence et d'outrages en Palestine.

Londres désire

une décision rapide

La question de l'émigration juive sera l'un des principaux sujets de discussion. Le gouvernement, affir- me le Livre Blanc, attache la plus grande importance ce qu'une décision soit prise à une* date très prochaine et il considère que s'il n'est pas possible d'arriver à une solution équitable, il prendra alors l'initiative d'imposer sa propre politique. e Le gouvernement britannique, déclare le Livre Blanc, a constamment à l'esprit le caractère international du mandat qui lui a été accordé et de ses obligations à ce

~t. s <

L'électorat américain paraît lésirer un renouvellement de ses lirigeants, tendance qui pourrait s'accentuer encore lors des élections prochaines de 1940.

2° Le président Roosevelt, s'il reste libre de diriger à son gré la politique des Etats-Unis, perd du terrain comme chef du parti démocrate.

Des fissures se sont produites à l'intérieur du parti démocrate luimême. Certains démocrates ne sont plus favorables au New-Deal. Rien n'empêche de prévoir, à l'heure des votes, au Congrès, des alliances, au moins temporaires, entre la droite du parti démocrate et les. républicains.

4° Enfin, on assiste, après quelques années de silence, à la résurrection d'une opposition puissante et homogène. Dans une certaine mesure, son habileté manoeuvrière pourra entraver les projets de législation sociale et internationale du Président. Son influence sera moins sensible au Congrès que la répercussion de ses discours ne le sera dans le pays. Elle pourra inciter le pays à la réserve et déclencher, dans certains cas particuliers, un» recrudescence d'isolationisme. P. M.

tiel de la vie de l'Etat et de l'avenir de la race. Aussi le patrimoine de la famille, constitué par les apports du mari et de la femme, est>-il l'objet de mesures aptes à en endiguer le gaspillage.

C'est avec un vif intérêt qu'on attend la réunion de demain du Conseil des ministres, car elle sera consacrée à l'adoption de mesures ultérieures concernant la politique raciale.

La fréquentation scolaire La Ligue de Médecine Préventive a fait pendant les années 1936, 1937 et 1938, une série d'expériences sur les causes d'irrégularités dans la fréquentation scolaire. Ces expériences ont montré, de façon concluante, qu'il convient surtout d'éviter, par de simples prééautiohc, l'apparition dos affections courantes et en général bénignes, qui frappent les jeunes écoliers pendant la mauvaise saison.

Exécutées sur plus de 1.000 enfants, dans 19 centres scolaires, tant urbains que ruraux, elles ont prouvé que les écoliers porteurs d'un simple gilet de flanelle de laine avaient. en moyenne, moitié moins :de> jours d'absence que leurs camarades exactement 8,98 contre 21,53. Le port du sous-vêtement de flanelle a donc permis de supprimer plus de 50% des absences pour rhumes, bronchites, coliques, et en général tontes les maladies dues aux refroidissements. Ces résultats intéressants viennent de faire l'objet d'une communication à la Société de Pathologie Comparée.

heures fatidiques du peuple allemand, n'ont pas trouvé un mot pour tenir compte équitablement des nécessités historiques. Cela fait 1918 et les exclut à jamais de nos rangs ».

D'autre part le Schwarze Korps vante la transformation de mentalité que le 111° Reich a imprimé à la majorité des Allemands.

d'eux des hommes de novembre

~#II#III'#I#I##~##

FUMEURS I

Combien sont nombreux les fumeurs qui à un certain âge souffrent de temps autre d'irritation de la gorge. Il est un moyen simple et facile de remédier à cette irritation en se gargarisant tous les soirs avec un demi-verre d'eau dans lequel on aura fait fondre quatre 9 cinq morceaux de sucre. Il est en effet bien connu que le sucre est un adoucissant et en même temps un puissant désinfectant. Ce gargarisme désinfecte les amygdales et supprime l'irritation.

L'état de santé

de M. Georges Lecomte L'état de santé de M. Georges Lecomte est toujours satisfaisant. Le bulletin de santé publié hier indique que le malade a passé une nuit calme et reposante et que la fièvre est tombée.

M. Georges Lecomte doit cependant toujours observer le repos le plus complet.

'««<<M

SPORTS D'HIVER Xoiu signalons à nos lecteurs quelques beaux voyages pour la saison d'Hiver 1938-39, du 22 décembre au 3 janvier FRANCE

Contamine* (1.200 m.), à part. de 9S0fr. Chamonix Û.000 m.) l.lSOfr. TYHOL

Muttersberg (1.400 m.), Gargelten (1.47S m.), Saint-Anton (1.400 m,). Obenwrgl (1.970 ra,), Hochw'.dtn (2.080 m.), à partir de 950 ir. ITALIE

Cldvières (1.800 m.), à partir de 1.180 Ir. Breuil Cervinia (2.0S0) 1.275 fr. SUISSE

Zermatt <1.600 m.), à partir de 1.380 fr. Adelboden (1.400 m.) 1.650 ir. Pour tous renseignements, s'adresser au Cerele Universitaire et au Comité de Propagande Française à l'étranger, 112, boulevard Haussmann. PARIS (8«). Tél. Europe 34-15 et 16.

UN DOCUMENT FIXE AVEC STICKWELL NE SE DECOLLE PAS


UN VASTE PROJET ARTISTIQUE aux ETATS-UNIS La musique dans la foret

Une femme au cœur d'artiste, Mme Groham Brooks, a fait don à la «. Boston Symphony », le fameux or-

chestre de Boston, de sa

propriété de famille, Tanglewood », 200 hectares de forêts et de pelouses, dévalant vers les 'eaux dormantes d'un lac d'émeraude. La vieille demeure familiale abrite les bureaux de la nouvelle organisation, Un hangar immense, un « shed », en forme d'éventail, a été érigé grâce à une souscription publique. Il contient sans effort sept mille auditeurs, et il n'a pas cessé d'être plein pendant les quinze jours qu'a duré le festival.

Contrairement à ce qui se passe généralement pour les auditions de plein air, l'acoustique est excellente. La salle de musique, qui, pour l'instant du moins, est ouverte à tous les vents, est située au milieu d'une clairière et les grands arbres (lui l'entourent forment comme un vaste cirque dont les parois de verdure enferment les ondes sonores aussi bien qu'un local olos.

Sur l'estrade, la fameuse « Boston Symphony », l'orchestre le plus célèbre et le meilleur des EtatsUnis, le père des grands orchestres de New-York, Philadelphie et Chicago. Sa fondation remonte à l'année 1881 et est due au colonel Higginson. Cet orchestre offre un intérêt particulier pour nous, car il est composé, presque pour la moitié, d'artistes français, non seulement dans les instruments à vent, mais aussi dans les cordes et les cuivres. En outre, sa direction en fut confiée, pendant et après la guerre, & deux de nos compatriotes, Henri Rabaud et Pierre Monteux, pour passer finalement à Serge Koussevitzky, son chef actuel, cher aux Parisiens, qui a depuis longtemps conquis droit de cité chez nous par ses admirables exécutions à notre Académie Nationale de musique, au lendemain de la guerre.

Koussevitzky fut toujours un ami, déclaré de la musique française. Avant la guerre, déjà, il s'était lié avec Debussy pendant le séjour de celui-ci en Russie. A l'Opéra de Paris, il s'attacha particulièrement à faire connaître les ceu-

SOIREES. Ce soir: Jeudi 1U Tricolore, Cantique des Cantiques Vendredi 11 Tartuffe, Il faut t qu'une porte soit ou-

verte ou fermée. «Pour

le 11 novembre 1938 » Samedi 12, Mercredi 16 Asmodée Dimanche 13 Madame Sans-Gêne; Lundi 14 Les Fausses Confidences, A quoi rêvent les jeunes filles Mardi 15 Carraosine, Le Médecin volant. MATINEES. Aujourd'hui jeudi 10 Carmosine, Le Médecin volant: Vendredi 11 Ruy Blas (matinée gratuite Anciens Combattants) « Pour le 11 novembre 1938 » Dimanche 13 Un Chapeau de paille d'Italie, Deux proverbes de Carmontelle.

CHATELET. Aujourd'hui à 14 h.30 matinée familiale a prix réduils LE TOUR DU MONDE EN 80 JOURS. 3.50 à 22 francs.

Dem. Vendredi, matin. supplémtaire Matinées à prix réduits lundis et Jeudis.

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THEATRE DE DIX-HEURES. (Direct. Roger Ferréol). Demain Vendredi (Armistice), à 15 h. 30, matinée du nouveau et triomphal spectacle avec MARTINI (en exclusivité), PAUL COLLINE et JEAN RIEUX; et la Revue nouvelle « FRENCH CANCANS » de P. Colline. (Même programme qu'en ̃oirée à 10 heures.) Louez, 36, Bld de Clichy. Tél. MON. 07-48.

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DAMIA

qui prêtera son concours au gala de l'Armistice organisé au Bœuf sur le Toit dans la nuit du

11 novembre.

fîliAlKiiS

CET APRES-MIDI

A AU PETIT MONDE (Salle d'Iéna), à 15 heures, répétition générale de Blanche-Neige, féerie-opérette tirée du conte de Grlmm, par Guillot de Salx).

CE SOIR

«AU RIDEAU DE PARIS (Théâtre des Arts), à SI heures,; r première représentation de L'Epoque où nous vivons, piece en trois actes de M. Karel Capeck. adaptée par M. Luc Durtain.

A A LA PORTE-SAINT-IKARTIN, à \i h. 45. première représentation (à ce théâtre) de Prenez garde à la peinture, comédie en trois actes de M. René Mucbois. A AU CIRQUE MEDRANO, à minuit 30, quatorzième gala annuel de l'Association des Arsiistes de mustc-hall anciens combattants La Grande Nuit dea Vedettes. LES DATES RETENUES Vendredi 11

H, b. C. En matinée première représentation du nouveau spectacle.

OPERA. En soirée reprise de l'Aiglon.

Lundi 14

AMBASSADEURS, En soirée répétition générale de Les Parents terribles.

Mardi 15

ANTOINE. En soirée répétitton générale de Un amour de Shakespeare

Meroredi 16

GYMNASE. En soirée répétition générale de Adam. Vendredi 18

ODEON. En soirée répétition générale de Le Prophète. Lundi 21

COMEDIE-FRANÇAISE. En matinée répétition générale de Le Testament du Père Leleu et de La Surprise de l'Amour.

VIEUX-COLOMBIER. En soirée répétition générale de La première legion.

Jeudi 24

CHARLES-DE-ROCHEFORT. Eu soirée répétition générale de Verlaine.

Lundi 18

COMEDIE-FRANÇAISE. En soirée reprise de Britannicua et de L'Anglais ou le Fou raisonnable. » Mardi 29

MONTPARNASSE. En soirée répétition générale de Dulcinée.

CET APRES-MIDI

COMEDIE-FRANÇAISE (Rien. 22-70), à 14 h. 30 Le Médecin volant (SB. Ledoux, Echourin, Bonitas Mmes Denise Clair. Mony Oalmès). Carmosine (MM. Lafon, jeauWeber, Dobucourt, M. Le Marchand, Balpêtré, Julien Bertheau Mmes André de _Chauveron, Germaine Rouer, Mony Dalmès, Renée Faure, Maria Fromet, Françoise Delille).

vres des compositeurs modernes de France et des autres pays. Il fit de même à Boston, où sous son bâton, un grand nombre d'œuvres françaises furent jouées par un orchestre, instrument déjà parfait quand il en prit la direction, mais que son talent trouva le moyen d'améliorer' encore.

Koussevitzky nous dit son rêve, un rêve qui ne craint aucun réveil, un « rêve éveillé » à l'américaine, appuyé sur des bonnes volontés et sur de l'or, à la fois idéal et pratique fonder, sur la saison estivale de Berkshire qui vient d'achever sa cinquième année, un centre unique d'éducation musicaJe, symphonie, opéra et danse, fonctionnant à côté et à l'ombre en quelque sorte, des grandes auditions d'orchestre et des représentations d'opéras.

« Nous allons assister, poursuit le maître, à la création et à l'épanouissement d'un centre d'art et de musique unique au monde. L'Amérique est aujourd'hui mûre pour cet effort. Après avoir « importé s> d'Europe art et artistes, nous savons aujourd'hui que nous pouvons trouver aux Etats-Unis mêmes tous les éléments voulus pour un riche épanouissement de la vie musicale. Les talents ne suffisent pas, il leur faut un fertilisatcur, l'argent. Il existe ici, plus que partout ailleurs. Nous sommes déjà assurés de posséder tous !es moyens financiers nécessaires pour la mise en œuvre de nos projets. » Pensons à ce grand pays autrement qu'en. termes de dollars et de cents. L'Américain est las d'entendre vanter ses aptitudes au commerce. Il estime que l'heure a sonné où, dans les choses de l'art aussi, il va devenir suprême et imposera au monde ses réalisations. Ernest Guy.

Ancien membre du haut-commissariat de la République

française aux Etats-Unis.

#######I####'

AU THEATRE

DE LA MADELEINE IL Y A

UN MONDE FOU En effet, jamais, depuis l'ouverture de ce ravissant théâtre, de pareilles recettes n'avaient été réalisées.

Le triomphe de la nouvelle comédie de M. SACHA GUITRY dépasse toutes les espérances, et dans la presse tous les véritables connaisseurs ont signalé ce triomphe que partagent avec l'auteur ELVIRE POPESCO, ANDRE LEFAUR, PAULINE CARTON, SELLER, J. ERWIN et JACQUELINE DELUBAC.

DEM. et DIM., MAT. à 15 h.

MUSIQUE

CONCERTS COLONNE THEATRE DU CHATELET

Samedi 12 novembre, à 17 heures, av. M. N. ORLOFF. Symph. sol min. Concerto la maj. piano-orch., Mozart. Orphée, Concerto- mi bém. piano-orch., Prélndes, Liszt.

Dimanche 13 à 17 heures précises, av. Mme MART1NELLT, MM. LAPELLETRIE, PERNET, DUFONT, chor. Amicitia.

DAMNATION DE FAUST, Berlioz. 200 exéc.

Dir. M. Paul PARAY ORCHESTRE SYMPHONIQUE de PARIS Salle Pleyel, dim. 13 nov. à 17 h. 16. Concert nous la direction de

BENJAMIN GROSBATNE Ouverture du Carnaval Romain Berlioz Symphonie Beethoven

Don Juan R. Strauss

L'Oiseau de fea.

#II#I'#I#####'##~I'"

ARTHUR RUBINSTEIN le célèbre pianiste, donnera, avçint son départ pour une nouvelle tournée mondiale, gon unique Récita!

le Jeudi Ier Décembre, Salle Pleyel.

L'IMPERATRICE

Ist: ravine poomus la charnu et la gaité de l'ancienne Vienniimpériil»

1 avec JACQUES ROTTER et son ensemble Viennois 1 1, rue Balzac (ls java dans la cave) Téléphone ELY. 38-00

ODEON (Danton S8-13), & 14 h. 30 Phèdr* ('Mme Toula Navar, MM. Luclen Pascal, Paul Amlot, Gautier Sylla Mmes Madeleine Silvain, Neitb-Blanc). On ne saurait penser à tout (MM. Raymond Girard, Georges Cualn, Barré Mmes Paulette Marinier, Simonot).

ODEON POPULAIRE (Salle Pleyel), à 14 h. L'Avare (MOU. CSamarat. Guy Parzy, Raymond-Girard, Marco, Cusin, Bourdel Mmes Suzanne Courtal, Michèle Michel. Slmonot). Le Médecin malgré lui (MM. Baconnet, Darras, Jacques Eyser, CUamarat, Flourens Mmes Suzanne Courtal, Biancbe Dars).

'Même spectacle qu'en soirée Ohatelet, 14 b. 80 PalaisRoyal, 15 b. j Porte-Salnt-Ulartln, 14 h. 45.

OPERA (Opéra 89-59) a 21 U Séance de Sonates Bruno walter, Jacques Thtbaud.

Demain. En matinée gratuite réservée aux anciens combattants Rigoletto, la Marseillaise, te Spectre de la Rosé; En soirée L'Aiglon.

COMEDIE-FRANÇAISE (Hlcll. 82-70). 4 *0 n. 45 T.lcolore MM Denis d'Diès. Lsfon, André Bacqué, Escande, Don. neaud. Martinelli. Aimé Cyarlond Mmes Mary Marquet, Andrée de ChBuveron, Béatrice Bretty, Gisèle Casadesus). Cantique des Cantiques (M. Lafon, Ledoux, Pierre Dux, Debucourt Mmes Madeleine Renaud, Béatrice Bretty, Llse Delamare, Casadesus. Marziano).

Demain. En matinée gratuite Ruy Blas en sotree Tartuffe, II faut qu'une porte soit ouverte ou fermée. OPERA-COMIQUE (Rich. 72-00), à 20 h. Carmen (Mmes R. Gilly. Rolland; MM. Altéry, Balbon..Poujols, Martial Singher, Héreni, Rousseau. Derroja. Danse Mme Térésina). Oreh. M. Eugène Bigot.. Demain. En matinée gratuite Manon, la Marseillais* en soirée Djamileh! Le Médecin malgré lui.

ODEON (Dant 58-13), à 20 'a. 45" Le Président Haudecœur (MM. Louis Selgner, Guy Parzy, Chamarat, René Barré, Baconnet. Bourdel Mmes Eva Reynal. Suzanne Courtal, Lily Mounent, Michèle Michel)..

Demain. En matinée privée, en soirée Le Rosaire, On saurait penser à tout.

ANTOINE'(Bot. 77-71), à Si b. Tu crois avoir timé trois actes de MM. P. Sabatier et Cb. Oulmont. (Mme Gabr'ieUe Robinne, M. J. Varennes et Mlle C. Génla). Un Soupe à Venise, uu acte de M. Sabatier. (Mlle Romane et M. G. Spanelly). Matinée sam. et dim., à 15 b.

ATHENEE-LOUIS JOUVET, â SI n • Le Corsaire, conte en deux actes de Marcel Acbard. (MM Louis Jouvet, Romatn Bouquet, Marcel Dallo, Alexandre Rignault, Robert Bogar. Julien Barrot; Mlles Madeleine Ozeray. Raymone. Odette Talazae)

GAITE-LYRIQUE (Arch. 29-20), & 20 b. 40 Rêve de Valse (MM. André Baugé, André. r>'oëJ; Mmes Suzanne Baugé et Aimée Morttmer).

CE SOIR à 22 heures

le Théâtre

LILY DAMITA

va-t-elle créer

« Le Père célibataire » Une opérette a été tirée par Oscar Straus et Albert Willemetz du film Le Père Célibataire, qui, tourné par Lily Damita, Mauloy et André Luguet, eut un grand, succès.

Les auteurs ont naturellement pensé à Lily Damita pour créer dans l'opérette le rôle qu'elle a tourné il y a trois ans dans le film. Mais Lily Damita est devenue Mme Damita-Flym, elle a épousé M. Eirol Flym, qui habite Hollywood, et celui-ci né voudra peutêtre pas laisser sa femme à Paris pendant si longtemps. Se laisserat-il fléchir ? On assure que l'on va demander au public parisien de lui envoyer tout exprès un message,

̃

II par ait que. Mistinguett et Henri Cochet paraîtront à la Grande Nuit des Vedettes

Au cours de cette fête parisienne qui aura lieu demain jeudi, à minuit trente, à Medrano, Mistinguett et le champion de tennis Henri Cochet paraîtront sur la piste du cirque montmartrois. D'autres personnalités sportives se joindront à eux,'notamment le boxeur Eugène Criqui, que présentera le speaker Populo les « géants de la route » Gérardin, Terreau, Lapébie et Speicher. Ces derniers se contenteront de faire du «home-trainer ».•-̃ Suzy Solidor

et le « Journal officiel » La guerre est déclarée entre, Suzy Solidor et le Journal officiel. Ce dernier, pour s'agrandir, envahit la maison qu'habite Suzy. Le décret a été signé par le 'président de la République, mais Suzlt Solidor n'est pas disposée à « obtempérer » elle a même décidé:de faire de l'occupation.

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< La matinée d'aujourd'hui ayant dû être réservée à une répétition supplémentaire, c'est seulement ce soir qu'aura lieu,.à à la Porte Saint-Martin, la reprise de Prenez garde à la peinture. MM. les critiques et courriéristes seront reçus au contrôle sur présentation de leur carte.

Demain, à l'Opéra, pour la matinée gratuite réservée aux anciens combattants. Mmes Solange Delmas, Almona MM. Noguera, Rouquetty, Medus et Pactat seront les interprètes de Rigoletto. Le Spectre de la Rose sera dansé en fin de spectacle par Mlle C. Bos et M. Serge Peretti. Entre les deux ouvrages, la Marseillaise sera chantée par le baryton Cambon, ancien combattant, et par les artistes des chœurs. M. L. Fourestier dirigera' l'orchestre. ̃

Le soir, Mme Fanny Heldy reparaîira dans L'Aiglon, entourée de MM. Etchevcrry, Endrèze, Narçon, Noré, Chastenet, Clavère de Mmes Y. Courtin, Volfer, Morère et Hicquier, sous la direction de M. Fr. Rulilmann. Samedi soir, Mme Germaine Lubin va reprendre, à l'Opéra, dans La Valkyrie, le rôle de Brunnhilde qu'elle n'a pas chanté depuis plusieurs mois. C'est Mme Lillie Grandval qui chantera demain à l'Opéra-Coh)iqùe, à la matinée réservée aux anciens combattants, Manon, avec MM. Paul Vergues, Jeantet, Guénbt et Buck. La Mar. seillaise sera chantée par M. Ravoux. En soirée, la Salle Favart donnera Djamileh, avec la distribution de la reprise du centenaire, et Le médecin malgré lui. dont MM. L. Musy, Couret, Morot, Pujol, Bouvier Mmes Mattio, Legouhy et Chellet seront les inter-

prètes.

Au pupitre en matinée, M. JeanMorel en soirée, M. R. Desormière. PALAIS-ROYAL. Aujourd'hui jeudi, vendredi (Armistice) et Dimanche, matinées à 3 h. de

MA FEMME EST TIMBREE

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CE SOIR

Jacqueline Porel et Bernard Lancret dans « Le Héros de la Marne », dont André Hugon achève actuellement la réalisation.

« NORMANDIE »

AMBASSADRICE DU FILM FRANÇAIS

Au cours de son voyage actuel, le cinéma de Normandie présente des programmes qui comprennent notamment Entrée des artistes, de. Marc AUêgret le film de Danielle Darrieux, Katia, réalisé par Maurice Tourneur, ainsi que les.« « documentaires miniatures », dus à la collaboration de G. F. F. A. et de la Société Nationale des Chemins de Fer Cathédrale de France et Chants et Danses de France. Ajoutons que Entrée des artistes et les courts sujets seront projetés à New-York, en présence de M. le consul de France, de M. Morin de Linclays et de M.'H. d'Ornano, devant des directeurs de salles américaines qui ont demandé à connaître le succès actuel de Paris. ̃ v

Claire Trévor et Edward le Robinson dans « Le Mystérieux docteur Clitenhouse », qui passe depuis quelques jours à l'Apollo.

Le nouveau spectacle

du Cirque Medrano

débutera demain en matinée Pour coïncider- avec je vingtième anniversaire de l'Armistice, M. J. Medrano a voulu que son spectacle nouveau, qui débutera exceptionnellement dès la matinée de demain, fût marqué par une double recherche dans l'inédit et dans le nombre des vedettes.

Adriana et Charlie, d'excellents comédiens-acrobates, y voisineront avec Youra, un artiste qui révélera d'harmonieuses nouveautés tout en haut de la coupole du cirque. Un grand « pot-pourri » équestre par,les deux cavaleries A. Carré et A. Rancy réunies, une gracieuse présentation de quarante-cinq pigeons dressés par les soeurs Iimuen, les bons clowns liés et Loyai et Recordier et Boulicot, les. Sioux Dakotas, les cyclistes acrobatiques et fantaisistes « The Reading » seront loin d'épuiser ce spectaclp étonnamment copieux.

Une entrée comique nouvelle d'Alex et Porto, la troupe acrobatique Faludys, les Rubio Sisters et la troupe chinoise Laï-Foun le compléteront heureusement.

MADELEINE (AnJ. 07-09), à 21 b, 15 Un Monde fou, comédie en quatre actes de M. Saeba Guitry. (Mme Elvire Popesco MM André Lefaur, R. Seller. J Erwln Mlle Pauline Canon, avec Mme Jacquellue Delubac et l'auteur). MICHE.L <A!ij 36-02), a 21 o 20: Les Jours Heureux, de C A. Puget. (Mlles uicy Léger. Françoise Engel. Juliette Faber: MM *rinoiuel. André Bervil F Perler) MICHODIERE (KicD US-2S), a 21 neures Le Valet maître (MM. Victor Boucner, Tramel, oallet, Jean Oax, H. Bonvalet. L. Tuuc, L. Signoret; Mmes Marguerite Deval, Denise Grey. S Henry).

AMBASSADEURS (Anj 97-60). relâche.

ARTS,. 21 Q, L'Epoque nous vivons.

ATELIER à 21 n. La Terre est ronde.

BOUFFES-PARISIENS, 20 a 4 5 Goo save Pariai 1 OAPUOINES. 21 Heure» Préméditation.

CHARLES-DE-ROCKEFORT, relàcbe

CHATELET, 20 n. 30 Le Tour du monde en 80 Jours. DAUNOU. 21 h. 15 L'Age dangereux.

DEJAZET, 21 b. Sacre Chouchou 1

EMPIRE, 21 h. Isidore ou aa Corde ralde.

ETOILE, 21 b. Altitude 3.20O.

GEQRGE-VI, 2t b. J'ai dit-sept ans.

GRAND-GUIGNOL, 21 b. Le Viol, Et de père inoonnu. HUMOUR (42. rue Fontaine), à 21 b. L'Heure H. MATHURINS, à 21 b. Là-bas.

MONTPARNASSE. 21 b Arden de Foversham. MOGADOR, 20 IL 40,: Balalaïka.

NOUVEAUTES, 21 tl Vive la France I

ŒUVRE, 21 h. Juliette.

PALAIS-ROYAL. 21 d. 10: Ma femme est, timbrée. PIGALLE, 21 h. Femmes.

PORTE-SAINT-MARTIN, 21 h. Prenez garde à la peinture. SAINT-GEORGES. 21 b. Ouo. THEATRE DE PARIS, 20 D. 45 Lêonidas.

VARIETES, 2! b Le Roi des Galéjeurs.

VIEUX-COLOMBIER Relâche.

MUSIC-HilJUL© ̃ CIRQUES CHANSONNIERS

A. B. C., 15 h. Atc«iar, 15 b. Médrano, 15 n. CE 8OIR

FOLIES-BERGERE (Prov. os-4V>. 20 û. 43 Folle en Fleura revue & grand spectacle, en S actes et S0 tanleau». de M Maurice Hermlte production Paul Derval (Uamia) A B.C., 21 b. Cb. Trenet, Hot. Oui). M. Gilbert. Solidor, etc. ALCAZAR, 20 b. 45 La Revue.

CASINO 'DE PARIS, 21 b. Amours de Paris.

DEUX-ANES, 21 h. Dortn. Mauricet, Bach. Revue. DIX-HEURES, 22 b.: Martini (en exclus.), P. Couine, }. Rieui. -LUNE-ROUSSE, 21 t).. O. K. d'Orsay 1

Charlie Chan va continuer. Et c'est Sidney Toler, un acteur à peu près inconnu,

qui succédera à Warner Oland Apres de longs mois de recherches et de tâtonnements, Hollywood vient de donner un successeur au regretté Warner Oland, Il s'appelle Sidney Toler. Ne vous étonnez pas si ce nom ne vous dit rien. Acteur de second plan, Toler interprétait ces' temps derniers un petit rôle dans une comédie policière intitulée Up the River, quand on découvrit soudain sa ressemblance surprenante avec ,1e défunt créateur de Charlie Chan. Et voilà tout simplement pourquoi Sianey Tolér sera bientôt le protagoniste de Charlie Chan à Honolulu.

CABARETS

DEMAIN 11 NOVEMBRE

Au BŒUF SUR LE TOIT Grand Gala de l'ARMISTICE avec le concours de

DAMIA

entourée de tous les Artistes du «Bœuf» T. 1. ]. Thés. DINERS, soup. dansants A 17 h. le n Cabaret de la Jeunesse »

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CABARET-DANCING

9, rue Fromentin Tri. 42-31 RADIO-CITE

transmettra aujourd'hui à 23 h. 10 notre grand programme artistique

AVIS AUX SUD AMERICAINS Le compositeur LARA, accompagne dans ses œuvres

LINA D'ACOSTA

LA CORRIDA j?^ Retenir sa table pour le dîner de gala du 11 novembre. Passy 53-50.

CET APRES-MIDI t

Z~Ma

Mon curé chez les riches va affronter l'écran

Nous sommes dans un somptueux château où les oeuvres d'art et les meubles d'époque démontrent le goût très sûr des châtelains. ou du décorateur. »

Nous y retrouvons Elvire Popesco, qui est une Mme Cousinet peu farouche; niais très séduisante. Elle nous confie que son rôle l'amuse beaucoup. Consciente de ses devoirs, elle préside aux destinées de toutes les bonnes œuvres du pays et elle prodigue avec la même générosité les paroles de consolation et les billets de mille aux pauvres de la paroisse. Et voici Bach en soutane. Il incarne le légendaire personnage de Clément Vautel l'abbé Pellegrin. Jacqueline Marsan, qui n'a que seize ans, est une nouvelle venue à l'écran. Le feu sacré et le désir de réussir brillent dans ses grands yeux noirs.

Alerme est M. Cousinet, le parfait nouveau riche. Il se présente à la députation et souhaite réussir dans la politique aussi bien qu'il le fit dans les affaires. Prédestiné aux rôles d'amants bafoués et de maris trompés, il n'échappe pas, dans ce film, à sa triste destinée. Mais il s'en accommode fort bien et tient toujours cet emploi avec beaucoup de talent et une bonhomie très sympathique.

Jean Boyer, qui met en scène Mon curé chez les riches, est difficile à joindre il n'est jamais où on espère le trouver. Nous y arrivons quand même.

Pourquoi je réalise Mon curé chez les riches ? Mais parce que je voulais tourner un grand film comique. Aucun sujet ne pouvait m'offrir un champ plus vaste que cette œuvre. Les héros de Clément Vautel ont fait leurs preuves et je leur ai fait confiance.

» D'accord avec l'auteur, j'ai ajouté quelques personnages épisodiques utiles à l'action du film j'ai développé le rôle de Cousinet et celui de l'abbé Pellegrin, qui, esprit médiateur, apaisera les cerveaux de ses ouailles en effervescence et ramènera l'équilibre pendant la durée de la période électorale.

» La venue de M. et Mme Cousinet dans la paisible bourgade y avait apporté une grande perturbation. Le calme revient. et le film se termine. »

Alice Tissot, Jeanne Sourza, Fusier-Gir, Raymond Cordy, Marcel Vallée, Aimos et Paul Cambo complètent la distribution de Mon curé chez les riches.

A. d'H.

HHEFgotês

BBBBacRÀN j

CE MATIN

A l'Olympia, à 1:3 heures, première représentation publique de Paix sur le Rhin, film de Jean Choux. CE SO1H

+ Au Cercle du Cinéma (salle du Musée de l'Homme, palais' de Chàtllol), à 21 heures, présentation de -Octobre, film d'Eiscnstein,. et d'un film russe inédit.

+ Au Club Cinégrapliique 32 (salle F.I.F.), projection de Pierre le Grand, d'nprès Tolstoi. j

Le scénario de Pierre Brasseur qu'Yves Allegret doit réaliser à Marseille, sous la supervision de son frère Marc, a déjà changé de titre Ce Soir est devenu Folies Bout-deliois.

AUTEUIL BON CINEMA 40, rue La Fontaine

La Bataille de l'Or L'apothéose du film en couleur Jeudi, vendredi, Perm. 13 h. 30, 16 heures 30, 20 h. 30. Autres jours 14 h. 30, 20 h. 30.

BONAPARTE

Le Proscrit

Les deux Bagarreurs CAMEO

Café de Paris

~~CINE TÔPEB5• Mannequins

Cadets de la Mer

GAITE ROCHECHOUART Le Proscrit

Les As du Stade

GAITE-CLICHY

Cadets de la Mer

Mannequins

MAVOL, 21 D. La Revue d'hiver.

MEDRANO, 21 b. 15: Harry Kabne, Gregoreseo, miss Harrlsson. NOCTAMBULES-37, 21 b A. Mi.- croc 1

PERCHOIR, 21b.: Chants pour champs.

CABAKEÏB • OiU^CINGS AMBASSADEURS (Anj. S7-80) Les Blues dancing beauté. BAGDAD Tué dansant. Ray Blnder, Ingles, Tomas Rlos. CHEZ SUZV SOLIDOR (RlcD V7-46) Henry tiry CINQ A NEUF (43. r Ponttilfu) Micheline (irandler. COUPOLE (102, bd Moiupurnaiise) 2 oreb. Mat.,solr.: Dancing. DON-JUAN (11. rue Fromentin) Attractions, oreta Keller. FETICHE (7, rue Fromentin) CaLaret. attractions. lido Tnes dancing, soupers, attractions,

LUNA-PARK Tous les soirs dancing.

MONTE-CRISTO (8. rue Fromenttn) Paulette Mauve. NOUVEAU-COLISEUM willle Lewis, ensemble Composite. FAVILLO» DE L'ELVSEE ̃ Tués, mnfirs soupers SHEHERAZADE Léo Marjsne, R. Martin, D. Oussof. SKATING DE PARIS Matinée et soirée.

TABARIN, a 21 b dancing; 23 û- 30 Les Heures «ont balle*. CtMEMAS

Films parlant français.

AUBERT « 10 h. à t b. m. Carrefour.

AUT. BON CINEMA: 14 30, 20 30: La Bataille de l'or. CAMEO 10 b., 17 b. S. 31 h. 30 Café de Paris. CESAR 14 n à 24 h. La Chaleur du soin. CINE L'AUTO 4> 10 b.-24 30 L'Heure suprême. COLI8EE + 14 tt. 30 a 24 b. Entre* des Artistes. DEMOURe 14 45-20 45: Dioux du Stade.

ERMITAGE 11 b. à 20-24 h. Café de Paris.

GAUMONT-PALACE 15 n.-l h. m. Alerte en Méditerranée. IMPERIAL 10 b ̃ t b. m. Blanche-Neige et les 7 nains. LUTET1A 13 40-20 30. S. SI b. Jeunesse olympique. MADELEINE: + 12 2 b. à t b. m. Ultimatum.

MARIGNAN 4> 14-24 b. Drame de Shanghai. MARIVAUX 12 ù 24 û. Katia.

MAX-LINDER 12 h. t 2 b m Le Ruisseau. MOULIN-ROUGE 14-1 b m. La Femme du Boulanger. MOZART: 14 b. 30-19 b. S. 21 h. Le Joueur. NORMANDIE: 14 30 2 h m.: Le Révolté.

OLYMPIA 14 b.- t h. m. Paix sur le Rhin S.-nous défend.? PAGODE 14 b. a 1 h. m. Quai des brumes, PANTHEON :14 b., 24 b. Le Joueur.

PARAMOUNT « 9 30-2 b. m. Ernest le Rebelle. PEREIRE 14 h. 45-20 h. 45 Quai des Brumes. REX 12-2 a. m. La Maison du Maltais.

STUDIQ 28: 15 b., 17 b., 21 b. M. Coccinelle. VICT.-HUGO 14-24 b.. Jeunesse olympique. Attitude 3200.

iES FILMS NOUVEAUX.

AU PARAMOUNT

ERNEST LE REBELLE Ce film dénote, de la part des réalisateurs, une parfaite connaissance des goûts du gros public et du cas Fernandel.

Cet acteur, dans la plupart de ses rôles, apparaissait comme un chanceux malgré lui que le destin épargnait faute de pouvoir l'atteindre qu'il épargnait parce que le caractère de Fernandel, mitigé d'indolence et d'innocence, le rendait invulnérable à ses coups. Ce procédé risquait de lasser, à la longue, les plus convaincus, et ChristianJaque l'a senti aussi a-t-il amassé sur la tête de Fernandel-Ernest tous les nuages, épais ou légers, qui peuvent encombrer un ciel cinématographique.

La farce française, avec ses gros effets, emprunte par moments à ces comédies américaines brillaient Ilarold Lloyd, Eddie Cantor et Laurel et Hardy. Fernandel, dans un rôle panaché, passe du mal de mer au coup de foudre, du crime par intention à la crapulerie en action, de la rêverie à la révolte, de l'audacc à la confusion. Il discute l'égal à égal avec un gouverneur ivrogne ou guette d'un cachot le lever de sa dernière aurore en smoking blanc, il chante les charmes d'une belle de couleur ou bien, loqueteux, essoufflé par le travail à la chaine. il élit un sourd-muet pour confident de son cœur. Bref, ce personnage d'Ernest avance dans l'intrigue par bonds et pirouettes qui le font retomber plus bas après chaque tentative de redressement, jusqu'à ce qu'intervienne le dénouement optimiste auquel les réalisateurs n'ont pas cru devoir renoncer. Pour qui se mêle à la foule sans discuter de ses goûts, cette création est l'une des plus complètes, l'une des plus conformes aux préférences de la masse que Fernandel ait interprëtées. Près de lui, Mona Goya vit sereinement un destin cahoté Le Vigan joue avec une drôlerie amère un gouverneur pris .s de boisson et Alcover, avec Guillaume de Sax, se tirent comme ils peuvent, qui d'un rôle tout en regards farouches, qui d'un rôle tout en cris affreux.

Jean Lanry.

A la gloire

de l'Empire colonial français Jean d'Esme présentera prochainement son dernier film La Sentinelle de l'Empire.

Devant plusieurs mois, il a vécu parmi les méharistes au Sahara, au Hoggar et au ^Johad.

Il a partagé l'existence de ces troupes qui montaient une garde héroïque et tenace, remplissant ainsi leur rôle de < sentinelle de l'Empire s>.

Une belle évocation en perspective.

PETITES NOUVELLES Il est question de réaliser Le Miracle de la ruelle Saint-Antoine, d'après une œuvre de E. Presburger. Notre excellent confrère Jean Chataiguer, président de l'Association professionnelle de la presse cinématographique, vient d'être promu officier de la Légion d'honneur au titre du ministère du commerce (contingent de l'Exposition de 1937).

Mlle Raymonde Robine, qui dirige les services de publicité de la C.F.C., vient d'épouser M. Edouard Delattre.

Films parlant anglais.

APOLLO « 14-2 h. Mystér. D' Clitterhouse, Joyeux Comp. AVENUE ♦ 14 ù. à 2-i n. 45 Cet âge ingrat 1 BALZAC 14 h.- 1 h m L'Ile des Angoisses. BIARRITZ-* 14 n 24 ti Amanda

BONAPARTE: 16-21 h.: Le Proscrit.

CINE-OPERA 15-19 h. s. -21 30 Mannequin. CH.-ELVSEES « 14 30 0 30 Vivent les étudiants 1 COURCEL.: 14 30-19 h. S 21 h.: Toura, Sophie Lang s'évade. ERMITAGE: « 14 11. 20-24 n. Mannequin.

GAiTE-C. 4 14-24 h S. 21 h. Alerte aux Indes, Charivari. GAITE-R. 4 t3 30-3 h. m.: Mannequins, Cadets de la mer. HELDER 12 û. à 2 h m Lettre d'introduction. LORD-BVR. 14-1 n. m.: Vous ne l'emporterez pas av. voua. MARBEUF 4 14 30-21 ù Madame et son Clochard. PARIS + t4 ii.-l h. m. Panique à l'hôtel.

REGENT: + 14 b., 19 h S. 20 45 Coqueluche de Parla, ST-DIDIER 14 30-t9 30. S. 20 45 Pilotes d'essais. SCALA 4 12-2 b. m. Alerte aux Indes.

STUDIO DE L'ETOILE: + 14 30 à 24 30 Fils du Cheit. Film parlant espagnol.

PORTIQUE 14 n. a 24 n. Nuits d'Andalousie. Salles d'actualité.

LE LATIN 10 n a 1 n m. Actualités, courts métrages. PARIS-SOIR (Gh.-Ely3.) + 10-1 a. m.: Le Prince X. Le algue # stgull'le permauent

l'HEINtE DU- 6RAMO .TIIM' Age ingrat t4 50, 17 h., 19 5, 21 10. 23 20. Avenue. Amanda: 14 30, 16 30. 18 40, 21 û. 22 30. Biarritz. Blanche-Neige et les 7 nains: 10 h., tt t 35, 13 10, u 45, 16 25, 1-5 h., 19 35, 21 20. 23 15. Impérial. Carrefour: 12 b., 14 7. 16 24, 18 31, 20 38, 22 47. Aubert. Chai, du sein 14 45. 16 5. 17 45, 19 20. 21 10. 22 35 César. Drame de Shanghai: 14 h. 36, 16 h. 40, 18 h. 50 21 b 22 h. 5. Marignan. Entrée des Artistes: 14 52, 17 12, 19 19, 21 41. 23 47 Colisèe. Ernest le Rebelle: 9 h. 30, 11 h. 29, 13 h. 28, 15 h 36 17 ù. 56, 20 h. 16, 22 h 36, 0 h. 23. Paramount. Fila du Cheik 15 10. 17 10. 19 10, 21 10, 23 h St.-Etoite. Hôtel à vendre: 12 h 34. 14 h. 34, 16 h. 42, 18 h 50, 20 h. 58, 23 h. 16, 1 h. 16. Rexi lie des angoisses 15 10, 17 15, 19 12, 21 18. 23 10. Balzac. Joyeux Compères: 15 25, 18 5. 20 50, 23 35. Apollo. Katia: 13 15. f5 h.. 17 30, 19 40, 21 30. 23 50. Marivaux. Mad. et son Clochard 14 30, 16 30. 18 30. 22 h. Marbeuf. M. Coccinelle: 15 h., 17 11., 31 h. Studio 28. Mystér. D' Clitterh.: 14, 16 40, 19 25, 21 50, 0 50. Apollo. Nuits d'Andalousie: 14 h. 44, 17 h. 9, 19 b. 35, 21 b 12. 22 b 8, 24 ù. Les Portiques. Paix sur te Rhin 13 15, 15 25, 18 10, 20 45, 23 45 Olympia Panique a l'hôtel: 15 5, 17 10, 19 20, 21 25, 23 20 Le Paris. Révolté 17 b., 21 h. 45, 23 b. 50. Normandie. Ruisseau: 12 15. 14 45. 17 15. 19 30, 21 30. 23 50. Max-Lind. Sommes-nous défendus 14 20, 17, 19 45, 22 15 Olympia. Ultimatum: 12 55, 15 6, 17 18. 19 29, 21 40, 23 5t. Madeleine. Vivent les étudiants!: 14 Q. 20, 16 b. 35, 18 b 40, 21 b 23 b Champs-Elysées. Vous ne l'emporterez pas avec vousl 14 h. 25. 16 b 30, 18 b. 45, 21 h., es h. 10. Lord-Byron.

UNE NOUVELLE SALLE Les décorateurs du nouveau CinéParis-Soir, situé place de Clichy, ont eu une idée charmante et neuve en place de l'écran banal, limité par ses seuls angles droits, ils ont dressé un cadre rococo, tout en volutes, et qui demeure apptrenf dans l'ombre. Ainsi, les belles images seront-elles dignement bor~ dées, cependant que les vues moins aimables trouveront, dans ce blanc et or gui les cerne, quelque chose de plaisant qui en corrigera la laideur.

Et c'est un plafond largement étoilé qui entoure, au mépris de toutes les lois astrales, quelques échappées de ciel bleu.

Le programme d'inauguration est digne du décor un excellent. raccourci rétrospectif est consacré air maréchal Lyautey un autre dresse le bilan moins glorieux de vingt années d'après-guerre. Et une Silly Symphonie inédite dont nous reparlerons précède l'enregistrement t d'une audition au piano de' Padérewski tour à tour, dans son style émouvant, il nous dispense les accords héroïques de la Polonaise et de la Rapsodie hongroise, ou les tendres accents de la Sonate au Clair de Lune.

Walt Disney a trouvé

une nouvelle héroïne « Clande l'Abeille »

On mande de Londres que Walt Disney vient de s'assurer les droits d'adaptation cinématographique d'un nouveau 'livre pour enfants qui relate les aventures de Claudius the Bee (Claude l'Abeille). Ce livre va être porté à la scène en Angleterre. Et la pièce ne sera d'ailleurs pas jouée par des enfants, mais bien par des grandes personnes.

LES MALHEURS DE LYDIA Le talent de Lydia Barrova, qui est Tchèque, était fort apprécié en Allemagne, où ses films remportaient naguère encore beaucoup de succès. Et la'star pouvait se flatter de compter, au nombre de ses admirateurs, le docteur Goebbels. Or voici que, malgré l'amitié que semblait lui vouer ce dernier, le gala extraordinaire prévu pour la sortie de l'Histoire d'un amour prussien, le nouveau film de Lydia. vient d'être décommandé à la dernière minute, tandis que le maréchal Goering interdisait la projection des quatre plus récentes productions de la vedette.

La carrière de la pauvre Lydia semble désormais bien compromise

~t~

Du nouveau aux « Ursulines » La petite salle de la rive gauche où, dans les applaudissements et les sifflets, toute une génération de techniciens et d'interprètes nous est née, le Studio des Ursulines, une fois de plus, va nous surprendre en réalisant, enfin, le « Répertoire général du film ». Chaque jour, deux films choisis» «81111! les oçuvj;cs les plus représenta-rj J vos ou "lés "crûs" hardies" du répertoire seront projetées. Le spectacle se renouvellera quotidiennement par un système d'alternance heureusement combiné. Plus de deux cents films ont étc ainsi sélectionnés sans parti pris de genre, d'école ou de nationalité des films d'amateurs, des films scientifiques inédits, des films sur format réduit, des conférences-écran.


INFORMATIONS POLITIQUES

Le bureau

du parti radical

consacre la rupture avec les communistes Le Bureau du Parti radical et radical-socialiste a tenu, hier soir, sous la présidence de M. Henri Guernut, une séance particulièrement importante.

Le Bureau avait, en effet, à préciser dans le cadre des décisions du Congrès de Marseille, les propositions que doivent adopter les délégués du Parti radical à la réunion du Comité National de Rassemblement Populaire.

On se souvient qu'à la demande des radicaux, auxquels l'U. R. S. s'était associée, la séance plénière qui devait avoir lieu immédiatement ayant le Congrès radical. avait été ajournée à, un des premiers jeudis de novembre

'C'est pourquoi les délégués des partis formant le Rassemblement Populaire sont convoqués pour cet après-midi au siège de la Ligue des Droits de l'Homme, rue JeanDolent.

A cette réunion le Bureau radical en a ainsi décidé hier soir- se rendra seul des trois délégués valoisiens M. Anxionnaz, Secrétaire général adjoint du Parti.

La tache qui lui incombera se bornera d'ailleurs à donner lecture d'une lettre dont les parties essentielles ont été arrêtées hier soir au cours d'un débat parfois très animé. Ce document qui sera définitivement mis au, point aujourd'hui par M. Mazé, Secrétaire général, sera assez long. Il sera aussi, dit-on, d'une parfaite netteé, Il renouvellera l'affirmation de la motion de Marseille < que les communistes ont rompu la solidarité avec le parti du Rassemblement populaire » et prendra acte de cette situation. Le texte adopté ce soir à la majorité, mais non à l'unanimité, on a remarqué notamment que M. Archimbault était parti avant la fin de la discussion consacra la rupturt, du fait du parti communiste, entre ce parti et les radicaux. La lettre évoquera notamment la campagne d'injures que les leaders communistes ont menée ces temps derniers par la parole et par la plume contre les chefs du Parti radical et particulièrement contre MM. Oaladier et Georges Bonnet. Mais si le" Parti radical rompt avec lcs communistes, il ne rompt pas avec le Rassemblement Populaire lui-même. C'est ainsi que le document, dont M. Anxionnaz donnera lecture, affirmera notamment que si les radicaux ne veulent plus collaborer avec les communistes, ils n'entendent, en aucune façon, se séparer des partis et des organisations démocratiques appartenant au Rassemblement Populaire.

Les réceptions

de JH, Henry Bérenger M. Henry Bérenger, président de la commission sénatoriale des af- faires étrangères, a reçu hier M, Eric Labonne, résident général k Tunis, et 51. Coulondre, ambassàdenr de France à Berlin. Il s'est entretenu avec eux de la situation en Espagne et en Afrique' d,ti Nord; et"d.es. relations franco-allemandes,

MM Monnerville et Bloch demandent k convocation de la Commission des colonies D'autre part, MM. Monneryille. député radical-socialiste de la Guyane, et Pierre Bloch, député socialiste de l'Aisne, membres de lft Commission des colonies de là Chambre, ont écrit au président de cette Commission, M. Nouelle, pour lui demander de' la convoquer dans le plus bref 'délai. MM. Monnèrville et Bloch craignent que <ies négociations ne soient d'ores et déjà engagées entre les gouvernements au sujet de la revendication coloniale du Reich, et que le Parlement ne soit placé devant un fait accompli.

̃M..Gérente, député radical indér pendant de la Haute-Savoie, demandé à interpeller « sur la nécessité du maintien de l'intégrité territoriale de: notre empire colonial ». P. C.. .1~

TOUT1S1BI1N OUI FINIT BIEN

MlllETO PB .10 RQYEMBRE 1938 CHRONIQUE MUSICALE DERNIERS PROPOS SUR CARMEN

Encore quelques mots sur les Carmens célèbres et notoires.

J'ai eu tort de mettre en doute que Lilli Lehmann eût chanté Carmen. L'auteur de l'article dans lequel j'avais relevé cette assertion me confirme quelle le chanta le 25 novembre 1885. au Metropolitan de New- York. Devant de telles précisions, je fais amende honorable.

J'ai eu tort également de citer Mme Bosman. Quelqu'un de fort bien renseigné m'écrit « Bosman ne tînt jamais, à la Monnaie, le rôle de Carmen, mais celui de Micaëla, dans lequel elle débuta. Ces débuts furent assez curieux. Un an après la création de l'œuvre à Paris, elle fut jouée à Bruxelles. Les directeurs, afin de donner plus d'éclat et de mouvement aux scènes des cigarières, eurent recours au corps de ballet et firent chanter les danseuses qui avaient une voix juste. Parmi celles-ci se trouvait une jeune fille de dix-neuf ans dont le timbre vocal fut une révélation. C'était Bosman. Gevàert la fit entrer dans les classes de

Trois démarches directes du groupe socialiste

auprès du gouvernement La délégation executive du groupe socialiste de la Chambre. reunie hier matin, a chargé cinq de ses membres de se rendre en délégation auprès du président du Conseil pour lui demander 1" de convoquer les Chambres le 15 novembre de prendre une décision immédiate, en accord avec l'Angleterre, pour le retrait d'Espagne de tous les combattants étrangers.

Une autre délégation de quatre membres est chargée d'une démarche auprès de M. Sarraut. au sujet de la situation des étrangers en France. Une troisième ira s'entretenir avec M. Chautemps de la situation en Alsace-Lorraine.

Les revendications coloniales du Reich

On s'est ému. hier, dans les couloirs de la Chambre, des revendication coloniales de l'Allemagne. Le groupe Marin, réuni comme chaque semaine, a rappelé r.ans son communiqué « que depuis deux ans il a sans cesse réclamé qu'avant dé laisser les autres gouvernements prendre position, le gouvernement français fasse une déclaration eutégorique refusant le principe même d'une négociation sur les colonies ou territoires sous mandat, s'étonne que le présent gouvernement s'abstienne de prendre publiquement position dans ce sens et redoute que cet atermoiement ne présage de nouveaux abandons et. par conséquent, de nouveaux dangers de guerre, »

A la Commission

des Travaux publics

La Commisison des Travaux publics de la Chambre a étudié les moyens de procurer au tourisme des ressources nouvelles sans autres charges pour le budget de l'Etat.

Elle a adopté, dans cet esprit, le principe d'un regroupement entre les mains de l'Etat des divers organismes chargés de la distribution des tryptiques et de la délivx'ance des permis de conduire.

Les obsèques officielles des victimes de l'incendie de Marseille auront lieu lundi malin à 9 h. 30

M. Albert Sarraut

représentera

le Gouvernement

et prononcera un discours Marseille, 9 novembre. Le déblaiement des « Nouvelles Galeries est maintenant terminé, et circulation a normalement repris sur la, Canebière.

Le corps, qui avait été découvert hier soir dans: un escalier en pan betipéj,' &" la- hauteur <hi '/troisième éia'gê Ses' magasins, a été identifié. C'est celui 'd'un employé des «Nouvelles Galeries », M. Alfred Joulier. 54 ans, porté disparu au lendemain de la catastrophe.

Le corps a été transporté à • la Chapelle ardente de la bibliothèque de. la ville, 50 cercueils s nt maintenant alignes.

Aux endroits apparaissaient des cendres, provenant de corps humains calcinés par la haute températjjre-de l'incendie, ont ,été faits six prélèvements de; terre qui ont été scellés dans six petits cercueils de plomb.

Ceux-ci ont été transportes dans la chapelle ardente, où se trouvent déjà les cinquante cercueils des corps retirés des décombres et représenteront symboliquement les co.rps non retrouvés.

;A la suite de la réunion qui s'est tenue le soir à la: préfecture sous la présidence de M. Groux, préfet des Bouches-du-Rhône, la date des obsèques officielle:; qui avait été renvoyée a été définitivement fixée à lundi prochain, 9 h. 30.. M. Sarraut, ministre de l'Intérieur, y réprésentera le Gouvernement et prononcera l'unique dis.cours de la cérémonie.

A ITHiURE DU CAFÉ domond^ùh

chant. Quatre ans après, elle débutait avec succès dans Micaëla. Mon erreur, dont je suis confus, est excusable non seulement beaucoup de soprani ont, comme on le sait, chanté Carmen, mais, de plus, Mme Bosman possédait un registre grave si bien timbré, si corsé, qu'elle aurait pu chanter ce rôle dans la version de Galli-Ma rié puisqu'elle créa, dans Ascanio, celui de Scozzone, destiné par Saint-Saëns à un contralto.,

D'autre part, j'apprends que Felia Lityinne, toute jeune encore, chanta Carmen à Saint-Pétersbourg et qu'il existe d'elle une photographie qui'la représente en basquine et boléro. Toutes ces Carmens, en vérité, et bien d'autres encore, celles que j'ai vues et entendues, celles que j'aurais voulu voir et entendre, celles que j'iniRgin.e, celles que je n'arrive pas à reconstituer, celles que je me rappelle avec netteté et celles dont je ne me souviens que vaguement, celles qui m'ont plu, celles qui m'ont déplu et celles qui m'ont crispé, celles qui étaient bien, celles qui n'étaient pas mal et celles qui étaient atroces, toutes ces Carmens dansent dans ma tête une ronde tourbillonnante. On admirait beaucoup Mlle Marié de l'Isle dans sa personnification de Carmen. Avouerai-je que je ne partageais pas cet enthousiasme ? Elle faisait partie des Carmens sobres elle v était correcte, musicalement et vocalement, comme dans tout ce qu'elle chantait, mais elle n'y faisait rien de particulier, d'original et s'y montrait d'une retenue, d'un comme il faut irréprochables. Charlotte Wyns, qu'on appréciait également beaucoup, y apportait quelques velléités de brio. Je n'y ai pas vu Delna, mais je la vois et je l'entends d'ici. Mme Charny y était, dans l'ensemble, excellente, et par moments remarquaMp, ftrâce à sa voix si riche, à ses beaux yeux d'Oranaise et à son généreux, tempérament

LAPEBIE FAIT UNE COURSE DE TRENTE-CINQ KILOMETRES A LA DEMANDE

DE LA JUSTICE

Et cette épreuve aura peut-être

pour conséquence

de sauver,la tête

d'un condamné à mort Une jeune fille de Vimy (Pas-deCalnis), Rachel Renard, était assassinée, un jour de juillet 1936, a 8 heures 15 du matin, près du monumnnt aux morts. L'ouvrier agricote Hcrvault s'accusa quelque temps après du crime. Puis. devant la Cour d'assises il se rétracta. Néanmoins condamne à mort, il fit casser le jugement en s'appuyant sur le témoignage de son ancien employeur de Flinos, M, Deledeulle, qui affirma, ainsi d'ailleurs que sa femme, avoir vu Hervault le matin du crime, à 7 heures, dans la cour de sa ferme.

C'était presque un alibi, lequel deviendrait certain s'il était prouvé que l'inculpé n'avait pas eu le temps matériel de gagner à bicyclette Vimy (35 kilomètres plus loini, entre 7 heures et 8 heures 15. Comment le vérifier. La justice, en prévision du nouveau procès qui se déroulera prochainement a Douai, n'a pas hésité à solliciter le concours de l'homme capable do réaliser la plus grande vitesse sur ce trajet le champion Lnpébie.

Ce dernier accepta avec bonne grâce de tenir ce 'rôle peu banal d'expert. Il se mit en route hier matin. La partie civile fit confiance il la bonne foi du célèbre cycliste, comptant bien qu'il pousserait à fond sans avoir besoin d'être exhorté de la voix et du geste. La défense dut souhaiter qu'il ne cherchât pas, néanmoins, à battre tous ses records, et môme, peutêtre, .qu'il fût un peu saisi par la nonchalance, dans cette épreuve extra-sportive.

Mais Lapébie s'appliqua û servir objectivement la justice. Il avait démarré à 10 heures précises, Il arriva sur les lieux du crime une heure 41 minutes plus tard.

Même si l'ouvrier agricole Hervault peut faire mieux que notre champion, il est difficile d'imaginer qu'il aurait fait tellement mieux. Les' juges, en tout cas, apprécieront.

AUX ASSISES

QUATRE FAUSSAIRES

AVAIENT TENTE D'ESCROQUER LE Dr HENRI DE ROTHSCHILD eu entre les mainscomment ? On l'ignore encore une feuille de papier timbré au bas de laquelle figurait l'aval du docteur Henri de Rothschil, Jean Laçant, un restaurateur, la remit à un courtier de Marseille, Henri Ferenoux. qui maquilla cette pièce, en y faisant imprimer par une personne demeurée inconnue, la formule d'un billet à ordre. Par la suite, Fcrenoux restitua le document falsifié il Lacant, qui, avec la complicité d'un garagiste d'Arles, Vincent Guintoli, y inscrivit la somme de quatre mi!lions (1), au bénéfice d'Antonin Pascal, un courtier d'assurances de Saint-Martin de Crau.

Guintoli, Pascal, Lacant et Ferejioux comparurent e^. correction- nelle pour-tentative d'escroquerie,; mais, plus tard, devant la Cour, ils s soulevèrent l'incompétence de cette juridiction et; après une longue procédure de règlements de juges, l'affaire (ut renvoyée devant la cour d'assises pour faux et usage de faux.

Les débats de- ce procès ont commencé hier.

Le docteur Henri de Rothschild. n'ayant subi aucun préjudice, n'avait pas maintenu sa constitution de partie civile. En effet, la falsification du billet fi ordre était tellement grossière que la Banque de Rothschild, à qui il fut présenté le 20 mai 1932, refusa d'en acquitter le montant.

M" de Moro-Ginfferï, Jean Odin, David Lambert et Brunoy, présenteront, cet après-midi, la défense des accusés, qui connattront, ce soir, leur sort.

̃ A Château sur Epte, deux camions sont entrés- en collision. Deux des occupants du premier véhicule, MM. Lorenzo Pini et Paul Caron, ont été tués sur le coup · les deux autres, Mme Marie Pini et M. Dante Romano, ont été grièvement blessés.

dramatique. J'estime grandement le talent de Mme Alice Raveau, mais ce rôle ne lui convenait guère. On m'a maintes fois décrit la manière dont le rôle était interprété par Mme Georgette Leblanc qui, à n'en pas douter, était de la catégorie des Carmens exubérantes. Elle le jouait en blonde, et je regrette de n'avoir pas eu l'occasion de l'y observer, étant persuadé que son talent étrange et prenant devait lui fournir d'étonnantes trouvailles. Le jour que j'y ai entendu Mme Marthe Davelli, elle n'était pas en possession de tous ses moyens, mais même ainsi elle était infiniment captivante, et je sais trop bien de quelles ressources était capable cette artiste si douée pour ne pas penser qu'avec son merveilleux physique elle devait, quand elle était bien disposée, réaliser d'une façon pour ainsi dire complète le type de la Carmencita. Mlle Chenal était une Carmen pleine de vie, de fantaisie, et elle jouait admirablement la scène de .rupture du second acte, ainsi que la scène finale mais elle était presque trop belle La reprise qu'on donna, à l'Opéra-Comique, pour Mlle Lucienne Bréval, fit couler beaucoup d'encre et suscita beaucoup de discussions, après avoir donné lieu des préparations laborieuses. La notoriété de l'interprète, la place qu'elle occupait depuis longtemps déjà dans les principales manifestations lyriques de Paris et le grand crédit dont elle jouissait dans le monde musical conféraient à cette reprise l'importance d'une véritable solennité. Le succès fut .grand. Pour ma part, peutHre parce que je m'attendais à des choses extraordinaires, je fus, je le confesse, un peu déçu, et, tout en reconnaissant le raffinement et l'application apportés par la cantatrice aux moindres détails d'une performance minutieuse, savante et peut-être même trop recherchée, je me demandais si'tout

L'INTENDANT FROGE I CONDAMNE

POUR ESPIONNAGE poursuit la revision

de son procès

Georges Frogé, pendant la grande guerre, eut une admirable conduite. Parti soldat, cité, blessé plusieurs fuis, était lieutenant à l'armistice. Entré dans l'intendance, il alla au Maroc, et ses chefs le notaient au mieux quand, en 1934, il fut accusé d'espionnage, 11 protesta violemment, se détendit, soutenu par ses frères indignés et qui se dévouèrent son samt. Il fut condamné le 5 novembre 1034, il cinq uns de prison, 5.000 francs d'amende, 10 ans d'interdiction de séjour; jugement confirmé le 15 mai 1935 par la Cour de Besançon.

La défense de Frogé

Frogé, qui a bénéficié d'une mesure de libération gracieuse, s'est pourvu en revision contre la décision qui l'a frappé et hier, M* Morillot, son avocat, exposait, à la Chambre criminelle de la Cour de cassation, [es motifs qu'aurait la Cour suprême d'annuler sa condamnation. La raison supérieure disait l'avocat, c'est que Frogé est innocent. Deux hommes en particulier l'auraient dénoncé comme ayant « travaillé » avec eux à livrer des documents de lu défense nationale à une puissance étrangère tous deux sont des espions, l'un, un nommé Oeissmann, déserteur autrichien, expulsé de France, agent de l'Allemagne, etc. l'autre est un déserteur polonais, espion allemand, Krauss.

« Ils ont accusé Frogé, poursuit M* Moriliot, d'avoir livré un certain nombre de pièces et de plans, mais ils ne les ont jamais identifies. Ils définissaient, décrivaient, lis n'individualisaieut pas les documents prétendument livrés.

Beaucoup de ces documents sont manifestement inventés, car l'ana- lyse qu'en donnent les accusateurs contiendrait des anachronismes. Machinations

Quel mobile aurait pousse ce bon soldat à devenir traitre « Le lucre ». Or, aucune preuve n'a été produite. que la situation financière de Froge fùt embarrassée, )1" Morillot affirme que son client a été victime de « gangsters de l'espionnage », ayant à le perdre un intérêt visible. Ils l'ont enveloppé de machinations de police lettres compromettantes, dépêches adressées à l'Intendance, destinées à être volées et dont le caractère fallacieux est certain.

Tous ces arguments, M' Moriliot les développe avec talent. Mais, ni le rapporteur, le conseiller de Bue, ni l'avocat général, M. Carrive, ne s'y arrêtent. Ce ne sont pas, disentils, des faits nouveaux. Un fait nouveau donnant ouverture à revision doit, en effet, avoir été ignoré des premiers juges et jeter « les doutes les plus sérieux sur le bien fondé de la condamnation. Or, tous ces faits ont été examinés par les juridictions qui ont condamné. Officine d'espionnage

Un seul pourrait, aux yeux du ministère public, sinon du rapporteur, donner lieu à enquête et ensuite à annulation du procès. Il a été porté à la connaissance de la justice par notre confrère M. Piot. Celui-ci, dans une lettre versée au débat a indiqué qu'une dactylographe, Mlle Suzanne Mariotte, ex-employée cliez M.- Délia .Torre, affirmait avec des" détails précis que Froge était victime d'une collusion, où l'espionnage et la police s'entendaient pour perdre l'intendant afin de sauver quelqu'autre peut-être. Les allégations de la jeune femme sur cette officine paraissaient à l'avocat général assez précises pour qu'il fut nécessaire d'entendre ce témoin, donc d'ordonner l'enquête.

Moriliot, a insisté avec force pour que la lumière fut faite sur cet aspect nouveau du procès. La Chambre criminelle présidée par Mo Caous a renvoyé son arrêt à une audience ultérieure peutêtre celle d'aujourd'hui.. < Henri Voitoven.

LES AMYGDALES

DES QUINTUPLEES Callender, 9 novembre. Les cinq sœurs jumelles Dionne ont été opérées par le docteur Wishart. Elles souffraient toutes de la gorge et leurs dix petites amygdales ont été enlevées à 1 vitesse d'une amygdale en cinq minutes. L'opération a parfaitement réuss'i.

LEGION D'HONNEUR

Ministère du commerce

Contingent de l' Exposition, de -1937-

Sont éPe'vés I'Expoàii ion, de,1937-,

Sont élevés

A la dfgnité de grand-croix M. Paul-Léon, membre de l'Institut, directeur général honoraire des beaÙNarts, professeur au Collège de France, commissaire général adjoint de' l'Exposition de 1937.

A lu dignité de grand officier MM. Brcvié, gouverneur gçtiéral de l'Indochine Coin, udminlstrnteur gé- néral de la Bibliothèque nationale, membre de la commission de contrôle et du jury supérieur de l'Exposition ds- 1037 Dautry, directeur général honoraire des chemins de fer de • lÇtùl, tmmbve du conseil supérieur du jury supérieur et de la 'commission des marchés de l'Exposition Giiuud, directeur général des travaux de la Seine, commission technique et directeur des services techniques de l'Exposition Lassalle, président de la fédération nationale du bâtiment et des travaux publics, membre du comité tuchniqut' et de lu eommlsMon des marchés, membre du comité généfol d'admission de l'Exposition Mortier, homme de lettres, directeur de la prapuiynids de l'Accueil et des sports u l'Exposition, délégué dans les fonctions de commissaire général adjoint.

Sont promus commandeurs i MM. Amson, Anioult Alger, Bayon-Targe, Belin, Bez Casimir, Boisson, Bouchard, Bouvier, Brémond, Cartier, Caudron, CotJ!lon, Cotton, Début, Déchuud, DpInc, Uesmarquest, Pevambcz, Dex'aujt, nolllus, Dollfus, Doutnerc, Dufrene, Etcolfcr, dit Raymond Escholier, Fabre Failliot Fournier-Demnrs, -Gauhert, Géraud, Gers, Orcmet, Hnuircvur, Hernandez, Imds, Keller, Kucntz, Lafitte, directeur de journaux, François Latour, Laugler, Lechevalllej-Chevi- gnard, Limousin. Upnmnn, l.ozé, -Mol» trot, Manuel, Métaqier, Meynol, Mo. rane, Néton, Normand, Pnquelj Pelle lier de Chambure, Pllol», Rœderer, Houget, Roure, Vucquler, Vagogne.

Wittmunn,

Officiers Mme Laure Aibin-Guyot; MM. Paul Alexandre, Paul Alfasso. Gilbert Alluaud, Jacques Altazln, (iéo André, Pierre Argence, Ernest Arçhdeacon, Naoum Aronson, Marcel Astier, Louis Aubert, Marcel Aubert, Octave Aubert, Benoit Audiard, Jean Balas, Maurice Bardin, Jean Bardinon, André Barois, Jules Baron, Pierre Baudoin, Fernand Belliard, André Bérard, Jean Bcy.t, Chartes Bianchini, Henry BiscarrpRi. Marie Bluysen, Louis Bolleau, François Baisse!, Robert Bonflls, Fernand Bonnasseau, Jacques Bonnier, Jean Borotra, Lucien Boulanger, Charles Boulenger, Georges Bouiy, Marcel

Une importante

manifestation

franco-belge à Bruxelles Sous la présidence de M. BargeIon, ambassadeur de France, une importante manifestation francohelge s'est déroulée hier à Bruxelles. Elle avait été organisée par la Chambre de commerce française de Bruxelles et l'Aluminium français. Il a d'abord été présenté au cinéma Marivaux de cette ville quelques-uns des films sur l'industrie française de l'aluminium. Ceux-ci ont exposé devant Je publie belge ce ou'est la fabrication de l'aluminium) à partir du minerai, la bauxite, jusqu'au lingot. On a pu voir successivement les mines de bauxite, les usines de fabrication d'alumine, celles de fabrication du métal situées dans les Alpes et lés Pyrénées et dont la capacité de production est actuellement de plus de 50.000 tonnes.

Un premier film mettait en évidence le rôle des grands ouvrages hydro-électriques 4jels que ceux du Sautaret, de Bissorte, du lac de la Girotte; du Chambon dans les Alpes qui fournissent l'énergie électrique nécessaire à la fabrication de l'aluminium.

Un deuxième' film exposait l'importance de l'outillage moderne des usines de transformation 'du métal brut en demi-produits, tôles, bandes, profilés, tubes fils, etc. Enfin quelques aspects des applications des métaux légers dans la construction automobile, ferroviaire, aéronautique et dans l'industrie électrique ont été montrés au public belge ainsi qu'une courte rétrospective des principales réalisations faites à l'Exposition de 1937 avec les métaux légers.

Un déjeuner a ensuite réuni, antour de MM. Bargeton, J. Level, président de l'Aluminium français et, de la Compagnie de produits chimiques et électrométallurgiques Alais, Froges et Camargue Chéronnet, président de la Société d'Electrochimie, d'Electrométallurgie et des Aciéries Electriques d'Ugine Foulon, président de la Chambre de commerce française de Belgique, ainsi que de nombreuses personnalités du monde industriel belge et français.

Prl#jkKL I ELL

cela n'était pas trop lent, trop appuyé, et si, somme toute, Lucienne Êréval, malgré ses qualités éminentes et incontestables, était bien « la femme du rôle ».

Le succès de Mme Brolhy était justifié par une voix vraiment magnifique et de belles attitudes farouches. Trop farouches peut-être. Ce léger reproche, on peut l'adresser à la plupart dés Carmens, car il ne s'agit pas ici de la Carmen de Mérimée, de cette fausse sorcière, méchante, malfaisante, volontàirement dangereuse. La Carmen de Meilhac et Halévy Bizet t'a fort bien indiqué-est simplement coquetté.sensuelle, égoïste et volage. Ce nfest pas une « femme fatale » elle n'a rien d'une «vamp», ou si elle en est une, elle ne s'en doute pas c'est proprement une irresponsable. Don José lui plait, comme lui plaira ensuite Escamillo. Tout cela n'a pour elle aucune importance. Nous connaissons une quantité de femmes comme elle qui, en somme, sont très gentilles 1 Tant pis pour ceux qui les prennent au' sérieux, comme ce pauvre José (je me refuse à dire Don José), ce naïf, ce godiche qui, se rendant, la nuit, après avoir sauté le mur de la caserne, dans un repaire de filles et de contrebandiers pour y retrouver « sa Carmen adorée », ne trouve rien de mieux que de se mettre à chanter à tue-tête « Haltelà Qui va là ? Dragon d'Alcala » au risque de donner réveil à une patrouille et de se faire refourrer en prison. Comme on comprend que Carimen~en ait assez de cet imbécile Non, encore une fois, il ne faut pas jouer Carmen en femme ténébreuse. Dès son entrée au premier acte, il faut que se dresse devant nous une jeune femme frivole, gaie, insolente et sans complications. et quand les hommes se pressent autour d'elle en lui demandant « quand elle les aimera », je voudrais qu'elle ne prit pas pour ré-

Bouteron, André Breton, -Charles Burger, Eugène Burnand, Caheu dit Nathan Pierre, Cahen-Strauss, dit André Strauss, Pierre Campenon, Pierre Cauvin, Eugène -Chalumeau, Pierre Chaveau, Alexis Chataignèr, Alexandre, Chuvancc, 'Henri Chèlfer, Henri Chevailier, Pierre Cler, Paul Colin, Albert Cotte.

MM. Augustin, Damiens, Paul Damann, Jean Daragnes, André Daurat, Paul David, André Decattx, Jean Delzers, Uobert Demangel, Jeau Descus, Alexandre Descaloire, Eugène Dcschlron, Louis Deseloquemant, Léon Deshalrs, Carie Dreyfus, Léupold Dreyfus, Henri Dropsy, Charles Dufraisse, Georges Dufrcnoy, Jean Dupas, Jean Dupin, Georges Dupont, Raymond bupré, Henri Expert, Félix Falck, Henri Favier, Henri François, Emile Fréclu'l, Jean Fructus, Albert Gagné, Jean lialilet, Raoul Hubert du Gardier, Bernard Gaspard, Marcel Gaumonl, Pierre Gentil. Emile Genlolle, Girard-Leduc dit Alphonse Leduc, Jean Goulmnl. Jacques Greber, Jacques Guérin, Georges Guiard, André Hcmurd, Michel Hoinolle, Henri Hubert, Muurice Israël, Henri Jaboulet, Allr JannUmt, Médard Jolibois.

MM. Laclotre dit André Hellé, Raoul Lamourdcdieu, Jean Lanusse, Georges Lavërgnc, Gaston Le Bourgeois, René Lecomte, Marc Lcfébure, Georges Leirenc, René Lejeune, Maurice Lelus, Emile Leroy, André Léveillé, .lean Lotsy, Henri Lucas, Malar dit Joseph Maire, Emile Maigret, Chnrles Mailliird, Antoine Mulet, liobert Mallct, Claude Mamet, Gaston Manuel, Andrc Marcelin, Victor Maréchal, Joseph Marey (dpeteur), Charles Mnrlln-Rnmlcnu, Max de Masson de Salnt-FéUx, Félix Massoul. Charles Mauauln. Pierre Mii-

ziran, Marc de Manières, André Ménabréo. Mnrius Mcynard, Jean Mcysenc, Jean Michaud, Victor Michel. Henri Mlehon, Charles Mildé. Pierre MontaJuac, Louis Morord, Georges Pargeus, Joseph Pascau, André Pcttit, Henri Picard, Joseph J'inclle, Georges Pinaet, Ai'mand Porche*, Louis Puilorculfubonret.

Mines Rmnrat, née Marie Lucas Bcnatidot, née Lucie Macqucron MM. Félix Ricord, Philippe Rlvoirr, Henri Robhe, Jules Hobinet, Eugène Rose, Alexis Rouge, Georges Rouzaud, Eugène Rudier, Saillund dit Maurice Curnonsky, Gustave Samazcullh, Joseph Sanguinelti, Henri Snrrade, Roger Sarret, Georges Saupique, Albert Sazu'ac de Forge, Raymond Sudes, Raymond Sudre, Marie Sue, Marcel Temporal, Joannès Télé, Jacques Thallieimer, Louis Trincano, Cyrille Vallée, Gaston VQnneufvillc, Jean Vernet, Edmond Vérot, Jean Vcver, Georges Vieillard, Gaston Vuitton, Georges Weber, Joseph Wleriek.

Sont nommés Chevaliers:

MM. Eugène Adrle, Georges Allard, Jules Ancelles, Antonin Andnnt, l'terre André, Georges Andrleux, Lucien Anfray, Maxime Ansalonl, Fernand Antolne, Robert Antral, Pierre Apers, Louis Arletti, Albert Arnulf, Emile Aroudaram, Théodore Astlé, Léon Aubin, Pierre Aubour, Etienne Aved de Magnat, Maxime Aymard, Auguste Holdenspcrger, Jean Boldonl, Mme Ballot née Clémentine Lerol, Joseph Barbet, Henri Bard, Alexandre lia rd oui, Georges Bardout, Louis Barillet, Jean Barnlehon, Pierre Baschet, James Basset. Louis Batiste, François lîausterl. MM. Eugène Beaudouin, Laurent Beclii'ti'ille, Léon Bocia, Jean Boguin, Auguste Pelet, Mme BPllm«, née Lucie Luuglcr, MM. BerpnHiilcr Joseph. JeanBaptiste Bernard, Jacques liernarrinud, Louis Bernler, Louis BertoJa, Théophile Bertrand, Jean-Pierre Beriranlne, Henri Beyer, Auguste Blgeuult, Edmond Binet, Lucien Binon, JeanBaptiste Blanc, Charles ISlanc, Antonin Bonn, Ernest Bonafous, Paul Bonnaud. EmUe Bounefoy-Cudras, Marcelin Bonnctblanc, Maurice Borie, Alfred Bottlau, Firmin Boucheron, Pierre Bouchet, Jacques Bouchinet. Paul Bouirtols, François Bourdet, Jacques Bourdlllon, Antoine Boutonnât.

MM. Charles Bragé, Mme Brayer née Henriette Lefranc, Emile Brice, Maurice Brlmbal, Narcisse Brossard, Roger BrOlllllllrd, Pierre Brunet, Mlle Brunet Marguerite, MM. Ferdinand Buffle. Raymond Bureau, Alexandre Busslllet. Auguste Buthaud, Henri Caboche, Ernest Caffard, Hector Caignart de Mail,ly, Paul- Cailllettev Maurice: Camin, Lucien Candau, Clinrles Capilaln, Eugène Caradec, François Cebroh, Pierre Cele^fôn, Mme Chabert née- Alice Dupont, MM. Ernest Chabrollé, Camille Chalamon, Charles Chambon, Jacques Chameroy, Léon Chancerel, Mme Chanteaud née Germaine Chabas, MM. Louis Charmalsorj, François Château, Marc Chalin, Marcel Cliuumet, Marcel Chaumeton, Albert Chauvel.

MM. Henri Cbaveton, Marc Chojecki, Louis Chopin, Marie Clermonté, Lucien Cocqucrlllat, Raymond Cogniat, Henri Comy, Henri Conchon, Joseph Contesse, Paul Cornet, Achille Cornil, Marcel Couci, Amédée Coudert, Emmanuel Couvreux, Edouard Crevel, Louis Crovette. Léo Crozet, Gustave Dabat, Lclen Daboval, Philippe Daily,

MATIERES PREMIERES S'associant à la campagne en cours contre le pillage de l'Epargne, la, Fiduciaire et Juridique de la Seine, 42, av. de Wagram. Paris, Carnot 77-45 à 47, se charge gratuitement de la vérification des opérations a terme sur marchés étrangers forfaitairement, sans rien d'avance de l'annulation des débits injustifiés,. de la récupération des sommes indûment versées et de la défense efficace des victimes.

pondre « Peut-être jamais, peut-être demain. » un air dédaigneux, menaçant et félin (je me passerais fort bien aussi du poing sur la hanche!) et une voix de femme à barbe pour'-ajouter « mais pas aujourd'hui, c'est cerTAIN » comme je l'ai entendu faire par nombre de Carmens puissantes et terrifiantes.

Je n'ai vu ni Mlle Lucy Arbell ni Mme de Nuovina, ni Mlle Mérentié, et j'aurais bien voulu voir Mme Bresser-Gianoli, gui fut longtemps acclamée dans Carmen en Amérique et qui, si j'en crois le sûr connaisseur qu'est M. Edward Wasserman, y était absolument remarquable. Une autre Carmen célébrissime aux Etats-Unis et à Londres fut Mlle Zélie de Lussan, que je connus déjà retirée du théâtre et qui voulut bien, un jour, me parler de ce rôle où elle s'était si souvent fait applaudir. Je ne crois pas me tromper en pensant qu'avec une voix que j'ai souvent entendu vanter comme chaude et vibrante, elle était de celles qui penchaient pour la bonne tenue et la sobriété. En tout cas. son interprétation semblait acceptée sans réserve et, en quelque sorte, diplômée par le public anglo-saxon. Aussi, Mme Emma Calvé produisit-elle devant lui comme un effet pyrotechnique éblouissant lorsqu'elle lui en offrit une figuration absolument nouvelle sous tous les rapports, pleine de hardiesses brillantes et inopinées, un véritable chef-d'œuvre de naturel, de grâce malicieuse, fascinante et de perfection vocale. Son triomphe, après avoir éclaté à NewYork. se prolongea durant plusieurs années dans le monde entier. Ce qui me frappa le plus quand je l'entendis pour la première fois, c'est que pas un instant, au cours de la représentation, même dans les passages les plus gouailleurs, les plus terre à terre ou les plus violents, son chant ne cessait d'être dù chant. Il se colorait

Paul Damman. Louis Damon, Georges Dandelot, Pierre Dantoine, Jean Dautzenberg, Adolphe Daver'.on, Albert David, Jean Defaucamberge, Cilarles Deffarge, Henri Defrasse, .Iules De,gorre, Albert Degouy, Marius Dejunlr, Francis Delahaye, Samuel Delaurière, Eugène Dolforge, André Oeloire, JeanMarie Delomicr, Mme Delvolgé-Carrlire, lîlisîibetli, Jacques Dennery, Robert Derazey, Gabriel Dessus, Henri Devault, Pierre Dezandes, Paul De/ombre, Armand Dhellemmes, Iidouard Dogimont, l-otiis Donard, André Dreyfus, Maiil'iec Drou.irt, Louis Dubose, Dueliamp dit ̃lucqes Villon, André Ducuing, 'Victor Dugoua, Louis Diunont, Pierre l)umont, Georges Dumoulin, Ferdinand Duprat.

MM. Pierre .Depuis, Chartes Duriiige, Maurice Duvul, Maxime Duval, Paul Epai'vier, Charles Ellemie, ^lanp Ettllnncr né> Oipehtird ICthel MM. J.-V. Fa. bre, Maurice Fahre, Maurice Felgenhi'imer. Georges Feray, l'éllx Fevola, Jules Flipo, Henri Floutlcr, Auron Fonséqiuf, Henri Fonlanllles. Pierre Fores!, Louis Fornpvet, Marcel Fortin, Augustin Fougère, Fordinnntl Fouré. Cnarlps Fom'ninlntt'BauXj Henri François, .Ii'iinFrançnis, Emile Frlez, Pierre Gabriel Jean Gallbourg, Marie 'le Ganay, Ernest (inudln, Pierre Gandin. André Gauthier. Alphonse Gautier, Gustave Gautier, Henri Giizan, Charles Ohl, Emile Gflé, Charles' Gendr.it, Maurice Gensuli, Louis Gigou, Eugène Girard, Mme Lu- cia Gobcrl-Mnrtin, MM. Fernand Goilfrln, Albert Gonnel, Arsène Gorgeon, Arsène Gossart, Jacques Lucien Goubcrt, Achille Gnudet.

MM. Mare Grandjean, Germain Grange, .Marcel Grosdldter, Gaston Guérin, Joseph Gueux, Jacques Gulnu-

chaln, André Gullbrrl, Etinme Guinel,

Murcel Gulol. Joseph Guthinnn, Pau) Hassen, Augusliu Hanieolte, Edouard

narispuru, l'ierrp ncidniann, Henri Hellstern. Alphonse Ileniard, René Herbin, Pierre Hervé, André Heiviault, Albert Hrtstachy. Marcel Houtin, Gabriel Huct,- Joseph Huli'l,* Haymond Isay, Jean Jiiubi'rl. Antoine Jeantet, Paul Joli, Jacques Jphaunel, CJiarles Joiy, Charles-Gaston Joly, Pierre Josserand, Jean Jouanetou, Alphonse Jou- ven, Henri Judenstein, Georges Julien. MM. Robert Jusuiaux, Mme Kahn dite Madeleine Vernon. MM. Jtan-Baptiste Kramer, Bernard Kron, Antoine LabaJette, Mlle Suzanne Labalut, MM. Adolphe Labouret, Robert de Lucour, Paul Lafond. Louis Lagnace, Maurice Laguin, Marcel Laine, Jean :1e Laire, Mauvicp Lalloy, Marcel Lamberl, Paul Lan- dormy, Jacques Kangucpin, Mme Lapeyre, née Alice Rowel, MM. Roger Lardât, François Laroche, M» rie de Lassus Saint-Génies, MM. Jean Lauer, André Leçon le, Germain Le.ureur, Maurice I^ederlé, Pierre Le Faguays, Jean Le Feuvre, Cliarles Lel'èvre, .Michel Lefèvre-Utile.

MM. Hobert Lcfranc, Jean Léglise, Charles Legrls, Emile Legros, Georges Lelièvre, Eugène de Lenchantin de Gubernatis. Georges Lepape. Paul Leroy, Paul Lévy, Lévy (lit Michel Lévy Alphonse, Marcel Ubert, Jean Locquin, Robert Lorthiois, René Lucas, Lucas, dit Louis Lucas-Leclln, Louis Machord, Emile Maillard-Salin, Maul vice Maingot, Jean Malèj'e, Fernand Mulgrat, Fernand Maréchal, Ferdinand Marinier, Jacques Maruger, Georges Marrane, Lucien Mai'tlal, Jacques Martin, dit Martln-Feirière. Hmiry Martinet. André Marty, Claude Mascaux, Mme Massot, née Suzanne. Ernst.

MM.' Pierre Maucliauïféè, Alfred Mazel, Raoul Mcnou, Pierre R. P, Méraud. Jean Méry, René Meslais, Joseph Métayer-Dcscombes, Charles Metmun, Henri Meyer, Roger Meyer, Lucien Michon, Louis Mlcot, Antoine Moles, René Mollet, Claudlus Monurd Auguste Montezin, Jeun Nebinger, Pierre Neicht'iauser, Paul Neil, Armand Néret, Jean Niermans, Edouard Noël, Félix Normand, Jean Outin, Paul Pagniez, Mme Pain, née Mai guérite Chnrvin j MM. Georges Pari y, Viclor Pausé, Léon Payen, Henri Paypn, Alfred. Charles Penther, Félix Perignon, ^^arc Pernot. Georges Pérol, Henri Pcrrier. Louis Perrot, Jean l'cr/el, Mouricp Petit. François Petrler, Mme Pauline Peugniez.

MM. Charles Pichot, Victor Pierrat, Charles "Pillon. LouisPillot, L.éoij PinKusson, flene Plan'clieijaull, Max,plH'i' Wc-ï"ollgn<«> Maurice Poncclot,- AHvei i'orteneuve. Hubert Ppugheon, Aflolphf Poulain, Etienne Poulenc, Eugène Poujilier, André Pradéau. Henri Prieur, Henry Pronnier. Mme Henriette Psichari, MM, André Qûédlc, Louis Quetalnt, Mlle Vvonne Quintin, MM. Augustin Rabussier. Edouard Rugouot, Pierre Raudier, Eugène Ranson, Auguste Râteau, Georges Ravenel, Georges Reclus, Georges Régis, Paul Régnier, Roger, Gabriel Renault, Maurice Renouf. Jacques Renoult, R. P. Joseph de Reviers de Mauny, Léonce Rpynes, Charles, Eugène Richard, Paul Robert-Houdin. Victor Rochefort, Ruymor Rodel, Louis-Marcel Rollet, Henri Charies Rollet, Arthur Roos, Alhert Rose, Josenh-Eugène Rousseau, Raymond Rousselot, Félix Roy, dit Sylvain Sauvage, Marie Rozan. Ferdinand de Saintilan, Germain Salptte, Edouard Salles, Louis Sallct, Mme Sangouard, née Marguerite Dodarky MM. Honoré Saunier, Etienne Sauzeau, André Scheck, Mlle Ninp Schekroun. dite Choucroum MM. Edouard Schenck, Laurent Schiaffino, Robert Schneider, Maxime Scrpeille, Jean-Marie Serrièrp., Henri Sirolle, Maxime Sollier, Marc Solotareff, Jacques Soulé, André Sourdillon, André Steff, Gaston Stindre, Simon Surmagne, André Tardieu, Raymond Templier, Mme Templier, née Morcelle Gonord, MM. André Tenot. Charles Testut, René Thétard, René Thevenart, Jean Thévenot, Paul Tlièves, Mlle Jeanne Thil. MM. Emile Thomas, Louis, Théodo-

diversement, se revêtant tour à tour des nuances les plus suaves et des teintes les plus ardentes, sans jamais se détimbrer ni vociférer. Depuis quelques années, à l'instar des Josés forcenés qui s'inspirent avec une outrance inouïe de l'exemple d'un artiste de très grand talent, mais qui a fait de fâcheux adeptes, M. Thomas Salignac, les Carmens ont pris l'habitude de jouer certaines scènes, notamment au quatrième acte et au dernier, en parlant ou en criant. Que reste-t-il de Bizet dans le dernier duo ? On n'entend plus qu'une suite d'interjections lancées ad libitum, n'importe quand et n'importe comment, où il n'est plus question de contours mélodiques, de mesure, de valeurs, et où les accents notés par le compositeur sont entièrement méconnus. Combien la scène gagne à être chantée comme elle est écrite On entend, alors un morceau de musique d'une expression dramatique saisissante et formant un tout qui se développe naturellement, logiquement. On n'y a pas ici, comme dans certains ouvrages italiens, à masquer des pauvretés par toutes sortes d'artifices « véristes »; le langage amoureux et pathétique de Bizet se passe à merveille de la collaboration des chanteurs; ou plutôt des rectifications qu'ils se permettent d'apporter à son texte, sous prétexte de réalisme. Pour en revenir à Calvé, je répète que si elle se permettait parfois certains assouplissements de rythme, elle ne trahissait jamais, comme on l'a parfois prétendu, la musique, et que son chant demeurait d'une beauté incomparable.

Mais en voilà assez, n'est-ce pas, sur Carmen! Si je me laissais aller, je n'en finirais pas. Je vous fais donc grâce du reste et, en même temps, de toutes les autres Carmens que j'ai entendues. J'aime mieux m'en tenir au souvenir d'Emma Calvé. Rsyoatao t~ano;

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«Fiesta» est/un délicieux raisin poussiéreux,! comme .le, raisin qui invùrit -à Hlalaga. Imaginez-le par un jour brumeux couleur de sable moùvant;;avec un .soupçon de rosé poussiéreux, et une. légère traceïde, bciin'"de ,mers du Sud. Doux comme du, bois de,rose, il sied tout particuliêrenuit avec des bruns et des verts atténués ou' des jaunes, et 'avec' du' gris% il -est.. délicieusement sua.ve".

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̃ Docteur, est-il possible de faîre disparaître définitivement poils et duvets superflus ? 7

A cette question, toujours nuancée d'une certaine anxiété lorsqu'elle est formulée par une femine -affectée d'hypertrichose, le docteur Lourié répond catégoriquement « oui ».

Oui, la Diathermo-coagulation est un procédé nouveau d'épilation définitive qui s'impose par son efficacité, sa rapidité et son 'application jjeu douloureuse. La peau, très peu de temps après la fin de ce traitement, n'en garde aucune trace. Cette opération, évidemment' très délicate/demande à être pratiquée par des mains -expertes, elle s applique non seulement au visage, mais aussi aux jambes, aux cuisses, aux bras, au corps tout entier. Les poils et duvets sont détruits à tout jamais et aucune repousse, même tardive, n'est possible, car le follicule ̃ pileux est desséché et dé-

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truit par une étincelle coagulante. Il ne faut pas perdre de vue que ce traitement peut 'Être plus ou moins long, suivant -le nombre de séances nécessaires, aussi les femmes qui désirent aborder le soleil printanier, si peu indulgent, avec un visage net," feront-elles bien de j'entreprendre dès à. présent. Heureuse ta femme-moderne, car cette défectuosité qui fût un, véritable cauchemar "pour nos mères, n'existe plus pour elle.

Une charmante cliente du1 docteur Lourié lui exprimait, en une courte phrase, ce que pensent toutes les femmes. à tout jamais débarpassées de cette petite infirmité qui les hu- miliait et les attristait « Docteur, vous seule avez pu me rendre la vie plus, agréable; »,•.

S. Lourié,

doctoresse-en médecine de la p Faculté de Londres, = 31, rue

Mqrbeuf, Paris.XTéL ElUr

sèes*Vimù

Le bouton jumelé' était passé de •mode ? Mettons-en -trois 11

Si l'ample manteau, eut^aux-dernières-courses un succès de saison,. la calotte en hauteur sur les chapeaux figura à l'ordre du jour -quelle que fût, cette fois, la ligne de la coiffure. <

Les emprunts de la mode ati vestiaire masculin

Ci-contre,: à gauche

<Le veston uni et bordé ne craint pas de s'affirmer dans la mode actuelle. Avec lui, la jupe fantaisie»

II y a une manière de relever les bords d'un chapeau et d'en cabosser la calotte qui ne peut venir que d'une main légère.

Si le retour de la jupe large, que nous s annoncions récemment, laisse a la jupe étroite beaucoup de poèsibi-* lités encore, le renouveau du style féminin, enveloppé et léger, ne nuit pas à la vogue de certaines coupes ou détails empruntés au vestiaire masculin Ainsi va, la' mode, qui entend acquérir du nouveau sans faire abandon de l'ancien.' Ces emprunts persistent donc. Et même ils s'affirment Vit-on jamais autant de vestons masculins, vestons de coupe stricte, carrés d'épaule et sobres d'ornement et de couleur ? Le 'veston bordé, la blouse-chemisier, voire la cravate, figurent dans toutes les grandes collection de tailleurs. Le gilet, le plastron y font également bonne figure. Quant à la redingote, elle est devenue l'uni- forme n° ,1. ̃•̃

Après tout, ce n'est qu'un prêté pour un, re$du. Le vestiaire masculin, dans ses formes passées, empruntait aux fanfreluches féminines.

« A nous maintenant, disent les feint mes, les jabots et les manchettes de den.telle, les feutres et les plumes, les boutons et les brandebourgs que les militaires, clmpurdeurs ̃ impénitents, nous avaient voles. »

i Diane.; ̃

«Cette fleur- à ;la boutonnière est at nôtre », dit la Parisienne an dandy

j

Un gilet n'est- H

pas au fond, infini-

ment plus joli sur < un buste féminin?

On peut, avec un veston, porter une blouse-chemisier, et même une cravate, et cependant garder un. air féminin. Mais quel art.

JEUDI [(^NOVEMBRE 1938 ===== r

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lîji ^goûter reconstituant est nécessaire à l'enfant

liesSmamans'i attentives à' la santé de<f leurs enfants^ s'ingénient à procurer .à i leur estomac, parfois si capricieux, dés .aliments assimilables qui*, les; nourrissent sous un petit volume en même temps qu'ils flattent leu? gourmandise.

NjO'us .leur suggérons, si- elles n'y omVdëjà pensé,. de leur donner des bananes au goûter, en supplément de .«leur petit déjeuner du matin, ou aux. principaux repas.. Ce fruit, au, goût délicieux, se digère toujours fort bien,, à condition d'être consommé très mûr."

Ces i éléments qu'il contient vitamines, sels divers, sucre, concourent, par leurs précieux apports, au meilleur développement de l!6rganisme' tout entier. La cellulose qui existe dans la banane I facilite- les fonctions de l'intestin,

souyent^paresseuses .chez l'enfant

Grands et petits ne sauraient se lasser de,ce fruit, il peut être ac-

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jences de sa santé,Ji:.


L'ÉTAT-MAJOR DU IIIe REICH et les changements

dans le haut commandement allemand Par le Générât DUFIEUX

..̃ ̃;• '• du oaucflLa^e ci© réserve

Depuis quelques mois, les changements ont été fréquents dans le haut commandement allemand. Les dictateurs ont la décision prompte et leur autoritarisme- ne souffre pas volontiers la contradiction. Le chancelier Hitler a déjà montré. le 4 février 1938, qu'il iie redoutait pas de jeter le trouble- dans son armée par des mises à la retraite brutales, atteignant les plus grands chefs, lorsque ceuxci ne lui semblaient pas suffisamment dociles à ses directions politiques ni résignés aux conséquences militaires qui en pouvaient résulter. Ayant, une fois de plus, trouvé daps la faiblesse des gouvernements britanniques et français une éclatante occasion de nouveaux suc^ ces dont le récent « Diktat de yienne, n'est qu'une première confirmation, le Führer a estimé que- d'autres changements devaient marquer que le comman-

Le général Beck,

qui vient de démissionner.

dément des forces armées était bien, depuis le 4 février -1938, exercé directèmeht^jïflr^Juii

Le 31 octobre •. dernier, le

D. N. B. (1) a annoiicé (tue le chancelier avait décidé d'importantes mutations dans le haut commandement du Reich, avec effet dès le 1" novembre. La mise à la retraite

dès colonels-généraux Beck et von Rùndstedt

Les deux mesures les plus importantes de ce mouvement sont la mise à la retraite des colonelsgénéraux Beck, chef de l'étatmajor général de l'armée, et von Rundstedt, commandant le 1" groupe d'armées. Ces deux colonels-généraux sont remplacés dans leur emploi respectivement par le général d'artillerie Halder, commandant la 7° division, et par le général von Bock, commandant le 3* groupe d'armées. La carrière d'un grand chef Le général Beck, considéré en Allemagne comme le « cerveau de la Wehrmaoht », a exercé les fonctions de chef d'état-major général auprès du général von Fritsch, puis du général Walther von Brauchitsch qui a remplacé le général von Fritsch à la tête de l'armée de terre le 4 févriér 1938.

Attaché, à la fin de la guerre, à l'état-major du groupe d'armées du kronprinz, il passa ensuite successivement au Wehrkreis VI (Munster) et au Wehrkreis IV (Dresde)il fut chef d'état-major en 1927. Il commanda ensuite trois ans le 5° régiment d'artillerie à Ulm et prit, en 1932, après le général von Fritsch, le commandement de la 1" division de cavalerie à Francfort-sur-FOder.

Chef du Truppenanit en février 1933 et commandant du Wehrkreis VII (Munich), .puis directeur de la Wehnnachtnkadèmie, il prit, en février 1934, les fonctions de chef d'état-major général, qu'il exerça en s'entoura nt d'une pléiade de jeunes généraux pleins de talent von Wietershcim, Fromm, 'Liese, Heinrici, von Schwedler. Venu en France au printemps de 1937, le général Beck a fait au général Gamelin une visite de courtoisie qu'a relatée la presse.

Lé vrai motif du limogeage Déjà, au mois- de septembre dernier, il avait offert sa démission, mais l'acceptation en avait été différée en raisonnes événements qui se, préparaient. Les motifs de santé invoqués aujourd'hui pour sa mise à la retraite ne sont, pour lui comme pour le général von Rundstedt, que des prétextes. La vérité, est que tous deux étaient hostiles à l'épreuve de force par laquelle le Führer entendait régler la question tchécoslovaque.

Si, dans la lettre officielle qui lui retire son commandement, les « mérites exceptionnels du commandant du 1*" groupe d'ar(1) Deutsches Naehrichten Bureau, -rr- Bureau allemand d'infor-

mation.

*r^ *». j™ ^^y "PP^- –BË–wfdQ mJÊË–*mm

mées sont aimablement rappelés, le général Beck, en froid avec le chancelier depuis le 4 février 1938 où, comme von Fritsch et douze autres généraux, il avait déjà offert sa démission, ne reçoit que l'autorisation honorifique de porter l'uniforme du 5' régiment d'artillerie, qu'il commanda de 1928 à 1931.

Il n'a que cinquante-huit ans et jouit d'un prestige incontesté dans l'armée allemande où on lui attribue la réorganisation de l'état-major actuel, qu'il avait commencée secrètement dès 1933, comme chef du Truppenaint et qu'il a accélérée à partir de 1935. Il est donc possible que, comme il a été fait pour certains généraux mis à la retraite en février dernier (colonels-généraux von Loeb, général Lutz), sa valeur" soit, dans quelque temps, de nouveau utilisée dans un autre poste par un rappel à l'activité qui est souhaité dans les milieux militaires touchant à l'état-major général. Son chef direct, le général von ̃ Brauchitsch; commandant en chef de l'armée de terre, lui a envoyé, à l'occasion de sa démission, une lettre particulièrement chaleureuse qui contraste avec le ton glacial de la lettre dû Fülirer.

Les successeurs

Son successeur au poste de chef d'état-major général de l'armée a commencé sa carrière au 3° régiment d'artillerie bavarois. Il a fait la guerre dans l'étatmajor. Lieutenant-général en 1935, commandant de la 7° division à Munich en août 1930, général de l'artillerie le 1" février 1938, il prend une lourde succession.

Le colonel-général von Bock, qui remplace von Rundstedt à la tête du 1er groupe d'armées, n'a pas cinquante-sept ans (né le 3 décembre 1881). Il a fait toute sa carrière de lieutenant et de

capitainV ay; S* ^égijnçnt de la

garde (dellS»8ià .i918).L:ie"ute^

̃ nant-généijal le V février 1931, il prit, en mai 1935, le commandement du groupe d'armées n° 3 créé à ce moment à Dresde. C'est lui qui, le 11 mars 1938, fut chargé du commandement de la 8° armée, destinée à l'invasion de l'Autriche et de brève durée. Nommé colonel-général le 15 mars, il reprit le,2 avril sa place à la tête du 3* groupe d'armées. Pour l'occupation des territoires cédés par la Tchécoslovaquie au début du mois dernier, il commandait les troupes du 2e groupe d'armées.

Toute l'industrie allemande aux mains d'un militaire Parmi les autres' mutations du 31 octobre, il en est une qui mérite de retenir particulièrement l'attention. C'est celle qui fait du jeune major-général von Hanneken l'unique directeur militaire de toute l'industrie allemande. Depuis la production des matières premières jusqu'à la fabrica-

.Le général, von Bock,

commandant le 1" groupe d'armées.,

tioh dés produits, finis, tout est dans ses mains au ministère de l'Economie, réorganisé en cinq divisions mines, industries sidérurgiques et métallurgiques, production de l'énergie", huiles minérales, industries diverses. Né le 5 janvier 1890, !e général von Hannekei!; après avoir occupé différents emplois dans la troupe et dans l'état-major, est entré en 1924 dans le service de l'armement. Chef d'état-major de ce service en 1934,, il fut appelé- en 1937 par le maréchal Goering à une fonction importante dans la direction du plan quadriennal. Lors du rattachement des services de ce plan au ministère de l'Economie, il fut nommé chef de la 2* division (industrie minière et métallurgique, production de l'énergie), prit en outre, le 1" novembre courant, la direction de la 1'° division et réorganisa le ministère comme il a été dit plus haut. Il, est donc le collaborateur direct et -unique dc M. Funk, mi-,

nistre de l'Economie, et du maréchal Goering. ̃ 1 -On' sait que, au lendemain même des accords de Munich,' M. Funk il fait un voyage d'affairés en Yougoslavie, en Bulgarie et jusqu'en Turquie. On peut tenir, pour certain' que l'industrie du IIIe Reich, dirigée et stimulée, par ce, ministre et, par le major-général von Hanneken, ne manquera ni de matières .premières ni de débouchés. La campagne en cours contre la journée de huit heures et pour le recrutement de nouveaux ouvriers arrachés au chômage et à la bureaucratie, nous indique que l'effort de la production allemande, dirigée avant tout vers l'armement et les munitions, n'est pas près de se ralentir. · Les exigences

de la dictature

et les caractères

Les mutations dans le haut commandement, survenues au

Le général von Brauchitsch» nouveau généralissime.

lendemain de l'expérience dé force de septemibre-octobre, :d.tmt::je chantage à si bien réussir iau Fiïhm-, accentuent l'impression est le maître absolu de toute la machinerie militaire et administrative et qu'il n'hésite pas à briser les résistances, d'où qu'elles tiennent, et quels que soient les titres et le prestige des grands chefs réfractaires à ses volontés.

Elles nous montrent en même temps que, malgré cette emprise formidable d'Hitler sur tous les rouages, et tous les êtres du 11,1° Reich, l'armée allemande possède encore dans ses cadres des caractères qui savent, quand il le faut, sacrifier leur carrière à leurs convictions et qui restent fidèles à la vieille devise des officiers prussiens « Etre plus qu'on ne paraît. »

Cette attitude mérite le respect. Elle est, pour un corps d'officiers, une force que nous ne devons pas méconnaître. Le régime national-socialiste, qui, dans. l'ensemble du pays, a fait plier* toutes Jfes volontés, semble n'avoir pas entamé dans l'armée la;solide armature des traditions qui ont survécu à Ja guerre, à la révolution .et aux coups de force de ces vingt dernières années; Les .cadres français, eux non plus, de doivent pas oublier que la .vigueur du caractère, et l'indépendance de l'esprit sont, avec une ferme discipline, les ferments du progrès et les garants de la solidité de notre armée.- Général Dufieux,

.du cadre de réserve.

MARINE

Capitaine de corvette DUBUCQ, commandant en second du croiseur Colbert.

Lieutenants de vaisseau. BALASTRE, sous-marin Antiope: LAFEUILLE, laboratoire de centre d'études, à Toulon; LEMIERiS, sous-marin Cérès; DE LASSUS SArXT-GENIES, torpilleur La Palme; ROSSIGNOL, sous-marin Ondine; ABERER, torpllleur Cyclone.

Enseignes de vaisseau. SAGOX, torpilleur La Railleuse; GOUPIL, torpilleur La Bayonnaise.

Ingénieur mécanicien de 2° classe. RAGOT, aviso colonial.

Ingénieurs mécaniciens de réserve. BONZON, croiseur Suffren; CRESPIN, contre-torpilleur Verdun.

Officier des équipages. BOLOU, service O.C.D. de la 4" région à Bizerte. ̃̃•̃̃

L'inauguration du monument des fusiliers-marins à Laffaux Du 14 au 28 septembre 1918, le bataillon de fusiliers-marins- rattaché au Ier corps d'armée se couvrit de gloire en enlevant d'assaut le moulin de Laffaux et passant l'Ailette sous le feu. Il y gagna sa la sixième citation a l'ordre du jour et la fourragère rouge que porte aujourd'hui le bataillon de Lorient, école des marins fusiliers.

Pour commémorer ces exploits, les survivants de cette formation glorieuse ont élevé h Laffaux un monument une simple stèle qui sera inauguré dimanche 13 novembre.

Le bataillon de Lorient, qui doit figurer le 11 aux fêtes commémoratives de l'Armistice à Paris, détachera une compagnie avec-le dra. peau et la musique pour assister à l'inauguration.

MUTATIONS

Service d'état-major

PANSARD, chef d'escadrons, chef d'état-major cavalerie d'Algérie LAURENS, capitaine, état-major 31» div.; DE MA<CË DE GASTINES. capitaine, état-major subdivision» de Limoges PLANET, capitaine, état-maj, du gouv. milit. de Lyon CORVEE, capitaine, état-major du département de la Seine j FIARDO, capitaine, h la direction de la défense passive. MICHAUD, capitaine, état-major du 19» corps d'année RICHAU, capitaine, région de Paris.

Troupes du Maroc. SARRAT, lieut.-col. d'inf. coloniale, sous-chef d'état-major du commandement en chef des troupes du Maroc.

Troupes du Levant. REIBELL HAZOK DE SAINT-FIRMIN, capitaine d'inf. coloniale, à l'état-major des troupes des territoires Sud-Syrie DE CARMEJANE capitaine de spahis, à l'état-major de la cavalerie du Levant; DERUELLE, capitaine du cadre d'étatmajor, à l'état-mujor du Levant; HUC, lieutenant du cadre d'état-major à la l'état-mnjor des territoires Sud-Syrie; BERTRAND, sous-lieutenant du service d'état-major, il l'état-major des territoires Nord-Syrie.

Infanterie

Lieutenants-colonels. RABANIT, au 512° chars, commandant le régiment >IUCATTE, 23° de forteresse. Chefs de bataillon. GIRARD, 512» chars, fais. fonct. de lieutenant-colonel; MARCILLE, 3° d'inf.; PARIAT, 512» chars; PINOT, 512° chars. Capitaines. GAUTHIER, 512° chars, major; PREVOT, 512» chars; BARBEAU, 512» chars; BENESIS, 131»d'inf. BOCQUET, 9» tir. algér.; DU BOURG DE LUZENÇON, 17» région, P,M.I.C.R.à Toulouse; CACCIAGUERRA, 81° d'inf.; CARADO, adjoint au commandant du camp de Coetquldan; OLARAC, 512° chars; DELMOTTE, 512"; FAURE, 512°; GRAVELAT, G-M. 15.1; LAGASQUIE, CM. secondaire 132; MAHJOUB, tirail. ttinls.; DE MAUDUIT-DUPLESSIX, CM. secondaire 51; MERIC, CM. 92; MILLOT, 137» d'iof.; NEBUT, 512» chars; ODIENNE, 512«; PLUCHON, 512«; RABE, adjoint au chef du service d'éduc. phys. du Pasdé-Calais, a Arras; REYMOND, 25» tirail. alg.; HOUBERTIE, CM. d'Afrique 7; ROUSSEAU, 67» d'Inf., chargé du matériel;, VICIIE, 512. chars. Lieutenants. D'ANDIGNE, maintenu, 8» zouaves; BARRAU, l»r d'inf.; BOUTEILLE, 512° chars; BROCH, 512°; BRUN, 3» zouaves; COQUETON, 512» chars; CORTET, 512° chars; DELPORTE, 512»; DRAPIED, 512»; DUBERN, 512»; GREMILLET, 512°; JUFFE, 5» «rail, tunis.; KONINCK, 512» chars; KUIBLER, 512«; LAFOND, étranger; LE POGAM, 512° chars; MAILLOT, 1" étranger; MENIERE, 512. chars; PAGET, 512»; PAVILLON, 512»; RASSINOUX, 512°; ROBERT, 512° trésorier; RULLIER, 22° bat. de chasseurs; VALLEE, 110» d'inf.; VIANNAY, tirail. alg.

Sous-lieutenants. BORIE, 512» chars, chargé du matériel! FILIPPI, 502» chars; GOBRET, 502°; OUIS BACHIR; tirail. alg.

Est classé à l'E.M.P.I. à compter de la date à laquelle il prendra son nouveau commandement:

DUNOYER, colonel, nommé au commandement par intérim de l'inf. de la 5° division.

Troupes du Levant

Capitaines. GRALL, 6» tirail. alg.; CHAVEREBIERE, 10" tirail. lunis.

Lieutenant. GANDOLPHE, 16«. tirail. tunis.

,MABOGi:

Clîrf'de 'bàtailion. VïpULYi

jtirail. niaroc,

Capitaines. MARTIN,étranger BINET, tirail. maroc.; MAGNERON, tirail. niaroc; SANSON, 1" tirait. maroc.; TINBU 3» tirail. alg. Lieutenant. NOEL, 1er zouaves, Soûs-lieûtenants. BIESSE, 2° étranger; LEROUX, étranger. Capitaine mécanicien. GIME, au 512° chars.

Lieutenants mécaniciens. DUPRAT, 512« chars; JACOB, pare chars d'Angouiénic.

Cavalerie

Lieutenant-colonel DURAND DE VILLERS, au dragons portés. Chefs d'escadrons D'AREXY^ 20° dragons, major PENICAUT, 20° dragons, relevé de l'emploi de major. Capitaines BRANDNER, en disponibilité au 20» dragons CHARITE. 13» dragons, trésorier DESAZARS DE MONTGAILHABD, ou 11» chasseurs, 3» groupe DE GONTAUT-BIRQN, en disponibilité au 2° chasseurs d'Afrique DE LA BORIE DE CAMPAGNE,

Tours de départ

pour les T. 0. L

Service d'état-major

Officiers brevetés

Lieut.-col Ruby, cav. Francon, 171»,.inf. Eyraud, 5».inf. Albord, inf.

Command. Gauthier, chass. Laloux, 41» iuf. Pinson, génie Vailland, génie Lombard, inf.

Capit. Bernard, chass. Mondain, cav. Alloin, 'inf. Allemane, ch. comb.

Officiers dit service d'état-major Command. Ghis, état-major.

Capit. Thiéry, E.-M. Picheret, état-major,

Lieut. Contrcau, état-maj, Guyon, état-major.

Infanterie

Capit. Colin, inf. Médori, inf. Dugros, inf.

Officiers indigènes

Province d'Alger Benhamadi, Hadifi Rabah, lieut.

Province d'Oran Mcharrar, Machoud, lieut.

Province de Constantine Merzoug, sous-Iicut.

Tunisie Mohamed Ben Ali, lieut. Maroc Douazzu- Ben Ali, licut. Ali Ben Ahmed, lieut.

Tours de départ pour le Tonkin des officiers de la légion étrangère Officiers servant à titre français Les chefs de bat. Petet, Garnier, Taguet, Guénlnehault, Amanton. ` Les capit. Gaultier, Costa, Perrossier, Pesche, Pauchuquet, Brunot. Les lieut. Celton, de Bonncval, Seillon, Courant, Dufour, Lesueur, Jurion, Moreau, Walther, Vanweyenberg.

Officiers servant à titre étranger Les capit. Rzeklecki dtt d'Alegron, Thilmany.

Le lieut. de Cros Péronàrd.

Cavalerie

Chefs d'osc. Urackmann, Bechérc, Winsbaek, de Traynel.

Capit. de Busttel, Seguinean de Préval, Grand, de Masin, Bcaumont. Lieut Thieron de Munclin, Maurice, Perrin, Tassin de Satnt-Pereuse, Plerson de Brabols, O'Diette, Launay, Vincent, Nodet, Sechaud.

Vétérinaires militaires Texler.

Vêt. capit. Parlier.

Vétï lieut. Gulpet, David,' Mercier, Chauvaut, Robin; Joseph. >

Vét. sous-lieut. Ponceiet, Jacob. Train

Capit. Bérard, Bellell, Berlandi,

Delpech.

Lieut. Laurent, Vinot, Doreinus, Beauvais, Champenois, Dulau. Intendance militaire

Intend. mllit de 2» cl. Corneille. Fougère, Eyraud, Marionneau. Intend. milit de 3" cl. Blanchard, Mairie, Emieux.

Intend. mil. adj. Verdier, Grand|ean, Tuely.

en disponibilité au 4° spahis tunisiens; LEFEVRE, adjoint au colonel directeur délégué au Maroc des Etablissements hippiques de l'Afrique du Nord, à Rabat RECY, 10» dragons, charge du matériel RENAUDEAU D'ARC, direction de la cavalerie TOUBEAU DE MAISONNEUVE, au 30» dragons. Lieutenants DELEUZE, 3° spahis algériens, trésorier DURAND, au cuir., trésorier PINCHON, au 8* spahis algériens.

Sous-lieutenant MASTAGLI, 3° spahis algériens, maintenu.

Gendarmerie

CONVERT, lieutenant, 9° légion, instructeur à l'Ecole de Saint-Maixent. Artillerie

Colonel BOSSUT, commandant l'artillerie de la 0e division.

Lieutenants-colonels ÀRDOUIN, centre des hautes études militaires HOREAU, au 113», commandant pur iut. le régiment RONDE, commandant le centre 17.

Chefs .l'escadron BALFOURIER, 30° régiment DE BLQIS, parc d'Orléans, commandant le parc CLQGIîNSON, 35° régiment MÎLHAU, inspection du matériel de protection. °

Capitaines BORNICHE, Ecole d'application BRUNEAU, au 403» CÛCHERAT, 1»' régiment DERNIER, 1" groupe d'artill. d'école GARNIER, 32° régiment LAUGIER, inspecteur 7« région RIGAUDY, 40» régiment ¡ RONSIN, 35° régiment THOMAS, de Toul, service des munitions TRIBILLON, parc de Besançon.

Lieutenants DELORME, Cours de défense contre aéronefs DUMAS, Cours de défense contre aéronefs ¡ L'HOPITALIER, au 4010 DE MARIN DE MONTMARIN. parc de Chartres MATHIAN, au 62« METAIS, parc de Belfort, chef de la comptabilité ¡ MOURICHOUX, au 401» PERRET, centre d'Afrique 4' STEPHANIDES, 20» régiment.

Génie

Lieutenant-colonel DESPUJOLS, 5° région aérienne.

Chef' de bataillon VAILLAUD, régiment à Nice.

Capitaines VRAU, régiment, major ESTOUP, 31» bataillon, Maroc GAZAY, chefferie de Chulons, résidence Vitry-Ie-Françols PASSAGA, chefferie de Gap DESSOLIES, ministère de l'air MÂGNAX, servicee du génie en Algérie PROUTEAU. régiment GUELFI, chefferie de Chttlons-surMarne SALAUN, commandement du génie 6» région DELESQUES, service électro-mécanique à Paris.

Lieutenants PECRESSE, état-major de l'armée HUGON, commandement du génie 6° région.

Les officiers du 25° régiment désignés ci-après sont affectés au 7» régiment et maintenus duns.leur résidencee actuelle MAUREL, capitaine AILLET, lieutenant GUERINET, lieutenant. Train

Lieutenants BLONDEAU, 124° escadron, directeur du parc PELEER1N, 120° escadron, directeur du parc. Lieutenant de réseerve GUILLEREZ, 130 escadron, portion centrale. Service de santé

Médecins "commandants SERVENT, salles militaires, hospice de Montpellier MOREL, hôpital Legoucst, Metz TESTAS, 103» d'artillerie VULTHIER au 56° d'artillerie GUERBER, au 10G« d'infanterie. Médecins capitaines BOYlUE, 502»

chars PERRIN, maintenu hôpital. mi-

ta ire dfe Bastja CpSNIER, aux troupes du Levant CAZALAS, 13» esca-

dron du~-ain~ BECHER,, lt,ç.P,itiIJ. dU

VaI-dc-~racR* !'D<{eteHotogf~ J,J1c

LANGE, hôpital militaire de Bc'Iforti' BERNARD, au 512»txihars PASQUIE, troupes du Maroc PORTALIER, 109» d'artillerie -• ALBOUZE, 18 génie VIDAL, :t .Cic régionale du train LUIGI, direction du service de santé, 3 région,

Médecins lieutenants: LISCOET, 106» d'infanterie BOQUET, 8° d'artnierie.

Service vétérinaire

Vétérinaires capitaines MARTEAU, d'àrtillerle coloniale COMBY. laboratoire de recherches vétérinaires HOUZE, Ecole d'application de cavalerie BRUGUIERE, 3 chasseurs d'Afrique.

Vétérinaires lieutenants Masse, 27° escadron du train.

Intendance

DUCOS, intendant de classe à Moulins.

TALAFRE, capitaine d'administration aux troupes du Maroc.

Justice Militaire

GILLY, lieutenant d'administration,

PREPARATION MILITAIRE ET PERFECTIONNEMENT DE LiNSTRUCTION

DES RESERVES

La S. T. I. R. (Société amicale de tir des officiers et sous-officiers d'infanterie de réserve), est une école 'de tir, d'éducation physique, de préparation militaire et de sport, placée sous le patronage de MM. les ministres de la Défense nationale et de la Guerre, de l'Education physique, et de nombreux grands chefs militaires et personnalités civiles. Les jeunes réservistes peuvent venir s'entraîner dans cette école, au tir, à l'éducation physique et aux sports.

Les jeunes" gens de la P. M. S. viennent à la S. T. I. R. préparer leurs examens d'éducation physique et de tir, ainsi que ceux désirant préparer le brevet de préparation militaire qui leur donne de nombreux avantages pour leur arrivée au régiment, et les prépare à devenir gradés.

Pour s'inscrire, s'adresser l'aprèsmidi à partir de 15 heures, à M. le président de la S. T. I. R., 18, rue de Varenne, Paris (7e), troisième étage.

Jeunes Français, venez avec nous vous instruire et vous entraîner physiquement et militairement. A l'hèure grave que nous vivons, c'est votre devoir et votre intérêt.

+

Description des uniformes

Les derniers événements de mobilisation partielle ont rappelé à de nombreux officiers qu'ils devaient être prêts à tout moment à se rendre à leur poste de combat. Mais ̃an certain nombre d'entre eux n'ont pu revêtir une tenue réglementaire. ayant été surpris par la soudaineté des événements. Il leur est facile de se mettre en règle, grâce à la publication du volume 104 qui donne la description des uniformes et qui vient de paraitre, mis à jour au 21 septembre, chez les éditeurs Charles Lavauzelle et Cie.

La consultation de cet ouvrage officiel mettra fin, en outre, à toutes les hésitations uui se sont manifestées ces temps derniers.

»

Mouvements de bâtimentz L'aviso colonial Savorgnan-de-Braza est arrivé à Chefoo.

L'aviso colonial D'iberoillé a quitté Samos à destination de Santorin. Le transport pétrolier Elarn a quitté Toulon à destination d'Oran.

Le transport pétrolier Var a quitté Toulon à destination d'Aruba. j Le transport pétrolier Rhône a quit- ILorient à aestlaatiou de Brest. |

stagiaire au tribunal militaire d'Alger, substitut GAUCHERY, lieutenant d'infanterie au tribunal militaire de Metz, substitut.

Infanterie coloniale

PROLONGATIONS DE SEJOUR COLONIAL

Première année supplémentaire Le cher de bataillon SU1RE, en Algérie, rapatriable le 31 décembre 1339. Les capitaines DE BENTZMANN, du i'J» Mixte, rapatriubla le 2 avril i'J40 NURE'f, Service Géographique de l'Indochine, rapatriable le 1" avril i 940 BERTOGLI, hors cadres au Levant, rapatriable le 1" avril 19-iO BARON, du bataillon sénégalais 6, rapatriable le 12 avril 1940.

Les lieutcn. ZUCCONI, du 19» mixte, rapatriable le 18 février 1940 £IUDICELLI, du Sénégalais, rapatrlable le 3 septembre 1940 LEBOURG, du régiment sénégalais du Tchad, rapatriable le 15 juillet 1940.

Deuxième année supplémentaire Le lieuten.-colonel DE LARMINAT, au Levant, rapatriable le 22 février 1940.

ANNULATION D'AFFECTATION L'affectation du chef de bataillon Hcrviot, attendu du Maroc, au 41° mitrailleurs, est annulée.

PERMUTATIONS DE DESTINATION COLONIALE

Le capitaine BUAT, du 15» Sénégalais, est désigné pour continuer ses services eu Indochine, par permutation avec le capitaine RENAUD.

Le capitaine KENAUD, du Sénég-alais, est désigné pour continuer ses services en Afrique Occidentale par permutation avec le capitaine BUAT. ANNULATIONS DE DESTINATION, COLONIALE

La désignation du capitaine AUBAN, du régiment, pour l'Afrique Occidentale, est annulée. Cet officier continuera ses services en Afrique équatoriale. è'

La désignation du capitaine DELBOSC. du Dépôt des ls'olés, est annulée. Cet officier constinuera ses services en Indochine.

SONT AFFECTES AVEC LA MENTION « SERVICE, »

A l'état-major particulier. Le lieutenant-colonel MARTINET, commandant le C. (le mob. colonial 118. Les capitaines BOUDON, état-major division coloniale MAZURIE, adjoint au commandant du Centre de mob. colonial 119; le lieut. MAGN1EN, command. le C. de mob, colonial 188. Au régiment du Maroc.1 Les capitaines SETTI, PILET.

Au l°r régiment. Le capitaine BIFFAUD le lieutenant DE CO1NTET DE FILLAIN.

Au régiment. Le colonel DARROUX les capitaines GOIUU, GRANGER.

Au 3° régiment. Les capitaines MAGRET. GAUDUCHON.

AU 4' SENEGALAIS. Les lieutenants SABRIA, FOUERE, NARQUET. Au Sénégalais. Le lieutenantcolonel BRUNET les' capitaines BART, LEROY les lieutenants BATTESTINI, DE GAILLANDE.

Au 1 Sénégalais. Le capitaine DE GONZALES DE LINARES. Au il» Sénégalais. Le lieutenant FILL-LAMBIE.

Au 10» Sénégalais. Le chef de bataillon FILIPPI le capitaine DULAC. .Au 23° Colonial. Le colonel LAPRUN les capitaines SERIA'r-GAUTIER, SASIAS le lieutenant I'EIU le sous-lieutenant GIRARD.

Au 24» Sénégalais. Le chef de bataillon COSTA, le capitaine COTTEN Au 410 Mitrailleurs. Le chef' de batatlion,BRUBL. Ja capitaine HAULT:COÉun-fHÏBAUDF.T les lieutenants GOURBIN, LE HOT.

Au 42" mitrailleurs malgaches. Le lieutenant TREMOLIERES.

Au Centre de Motorisation. Los lieutenants JACQUOT, CORNUT, LECOURT. MAURANDY.

Au Centre de transition des troupes indigènes. Le eapitiane BESSON. Au Dépôt des Isolés. Le capitaine REGINENSI.

En Algérie (séjour métropolo). Les lieutenants ROUX, FABRE. En Tunisie >< séjour métropole ». Le capitaine BOURGEOIS.

Au régiment du Maroc. Le capitaine BENDER.

Services spéciaux

de l'Afrique du Nord MAROC

Est placé hors cadres et mis à la disposition du général résident général de France au Maroc pour être employé en qualité d'instructeur a l'Ecole militaire des élèves officiers marocains de Meknès, Je lieutenant DE ROCHER DE LA BAUME DU PUY-MONTBRUN, du 8° Spaliis.

La médaille du Maroc Peuvent prétendre à la Médaille coloniale avec agrafe en argent « Maroc » les militaires européens et indigènes, à l'exception des indigènes marocains, ayant, avant le 1er janvier 1938, servi pendant un an, au moins, en une ou plusieurs périodes dans les postes ou installations militaires des zones de l'avant fixés par les décrets des 17 janvier 1923 (pour 1921 et 1922), 17 avril J 924 (pour 1923), 11 juin 1925 (pour 1924), 26 avril 1926 (pour 1925), 20 mai 1927 (pour 1920, compte tenu des périodes indiquées), 5 mai 1928 (̃-our 1027), 15 juin 1929 (pour 1928), 29 juin 1930 (pour 1929), 10 juin 1931 (pour 1930), 16 juillet 1932 (pour 1931), 23 juin 1933 (pour 1932), 27 juillet 1934 (pour 1933), 20 avril 1935 (pour 1934), 27 juin 193fi (pour 1935), 12 mars 1937 (pour 1936), et ci-après en ce qui concerne l'année 1937:

Zone du Sud-JIarocaln située au Sud de la ligne: Foum, Assaka, Goulimine, Tarjieht, Akka, Tatta, Agadir, Tissint, Foum, Zguid, Tagoudit, Taouz, Tabelbala, Mdakane, Chegga et BIr Moghrein. Peuvent également prétendre à l'obtention de la médaille:

a) Les personnels des "sociétés de secours aux blessés militaires accréditées remplissant les conditions fixées par l'article 1er j

b) Les indigènes marocains qui, ayant fait partie des goums mixtes marocains, des troupes chériflennes, des magtuen des groupes de partisans ou de convois auxiliaires, auront fait l'objet d'un rapport spécial de leurs chefs pour avoir, au cours de l'année 1937, été blessés à l'ennemi.

♦»

La carte d'invalidité

aux mutilés militaires

Le budget des pensions de 1938 a étendu aux mutilés militaires d'aprèsguerre le bénéfice de la oprte d'invalidité, portant réduction sur les tarifs des chemins de fer, dans les mêmes conditions qu'aux victimes de la guerre.

Tous renseignements utiles sont fournis gratuitement à la Fédération nationale des mutilés d'après-guerre, 5, rue d'Arras, à Paris.

̃ »

Le nouveau char de combat de l'armée américaine

Le renforcement de la puissance militaire préconisé par le président Roosevelt voit se réaliser un premier effort d'armement par l'adoption du nouveau char de combat qui vient d'être expérimenté à Rathway (Etat de Xew-Jersey). Ce nouvel engin de combat qui pourrait atteindre, dit-on, la vitesse de 120 kilomètres à l'heure, est armé de trois mitrailleuses et d'un canon anti-aérien. Son équipage se compose de trois hommes ayant également à leur disposition un poste de T. S. F.

Après la mobilisation partielle L

LES LEÇONS A EN TIRER

Les réservistes, aussitôt équipés par les centres mobilisateurs, sont embarqués à destination de leurs corps d'affectation.

L'appel des réservistes convoqués pour renforcer nos effectifs pendant les heures de tension qui marquèrent les derniers jours de septembre, a permis de constater une fois de plus l'esprit patriotique dont le peuple de France est toujours prêt à donner le magnifique exemple au moment du danger.

Mais cette alerte, en mettant en lumière certaines lacunes de préparation, a permis au haut commandement d'y apporter les remèdes .;appropriés. Il n'est donc plus indiscret de souligner aujourd'hui le s imperfections constatées.

Centres mobilisateurs dangereusement situés et insuffisamment encadrés Ce n'est pas sans surprise que l'on a pu constater remplacement de certains centres mobilisateurs, situés à très faible distance de la frontière de l'Est, et dont le rôle très important se trouverait ainsi, en cas d'attaque brusquée, placé à la merci de quelques obus d'artillerie lourde ou de quelques bombes d'avions susceptibles d'en paralyser le fonctionnement. Leur repli dans une zone moins exposée s'impose, semble-t-il, sans délai.

Certain de ces centres, entre autres, situé dans le département de la Moselle, vit affluer une vingtaine de mille de réservistes animés du meilleur esprit. Mais, pour habiller ces hommes, les équiper, armer et diriger sur leurs formations respectives, le malheureux capitaine commandant ce centre n'était secondé que par trois sous-officiers et un nonibreP aussi 'restreint1 de' gar-

desfnxagasin;}. (, Wt~ «.

Il faut rendre- hôffiiffâg'ë *4 au dévouement de cette poignée d'hommes, qui, sans arrêt, jour et nuit, pendant trois jours consécutifs, firent l'impossible pour mener à bien une tâche au-dessus de leurs forces. Et ce n'est qu'après 48 heures que des officiers de réserve furent en nombre suffisant pour encadrer les hommes convoqués! 1

La faute n'en est certes pas imputable aux officiers de complément ainsi rappelés, mais au système défectueux consistant à affecter aux: formations destinées aux régions frontières des officiers résidant, parfois fort loin du centre mobilisateur qu'ils sont appelés ù. rejoindre. Des ordres ont été donnés pour remédier à cette erreur.

LES FETES DE Les flambeaux

Le flambeau que- les Anciens combattants belges allumeront ce soir à la flamme qui brûle sous l'Arc de Triomphe, sera veillé, dans la nuit du 10 au 11 novembre, à l'Hôtel de Ville, dans la salle Saint-Jean.

Cette cérémonie aura lieu parallèlement à celle au cours de laquelle, à Bruxelles, les Anciens combattants français veilleront, à l'Hôtel de Ville de Bruxelles, le flambeau allumé par eux sur la tombe du Soldat Inconnu belge. La délégation apportant le flambeau arrivera à 1 Hôtel de Ville à 19 heures. Elle sera reçue par le président, puis la veillée commencera. Elle sera assurée par vingt anciens combattants belges et dix anciens combattants français et durera de 19 heures à 5 h. 30. Le samedi 12 novembre, à onze heures, aura lieu à l'Hôtel de Ville, en présence du ministre des pensions, la réception des délégations départementales, coloniales et alliées venues à Paris apporter les flambeaux à l'occasion de la commémoration du vingtième anniversaire de l'armistice.

L'arrivée du flambeau

americam

Le flambeau symbolique, que la Fédération française des anciens Les anciens du 30e dragons L'Amicale des anciens du 80" dragons fera célébrer sa messe au- nuelle, à la mémoire des anciens du régiment, le dimanche 27 no- vembre, à 9 h. 30, eu l'église Saint- Louis-des-Invalides. Cette cérémo- nie sera suivie de l'assemblée gé- nérale et d'un banquet.

Corps de troupes dans lesquels les engagements sont suspendus l»r chasseurs d'Afrique, 41° bataillon du géuie, 1", 2°, 3», 4", 5», 7e, 8°, 9% 11', 13», 14°; 15», 16«, 17», 18", 19», 20«, 22», 25» sections de commis et ouvriers d'administration 3", 9e, 15», 22« sections d'infirmiers. SIDI-BRAHIM

Ecole de préparation militaire de chasseurs alpins

Reprise des cours, mairie du 6" arrondissement, tous les jeudis, à 21 heures, et les dimanches, à 3 heures, fort de Montrouge, à Arsueil, route stratégique.

Les sous-officiers de réserve devraient être en permanence détenteurs de leur tenue de mobilisation. Les gradés réservistes (sousofficiers et caporaux) pourraient apporter le plus utile concours aux C. M., mais encore faudrait-il pour cela qu'ils fussent habilles, et ne se trouvent pas confondus dans la foule en civil qui ne sait où se diriger. C'est une très grave erreur à notre avis de ne pas laisser les gradés des réserves détenteurs en permanence de leur tenue de

mobilisation.

Il serait facile d'édicter les règlements nécessaires pour que ces gradés soient rendus responsables de la conservation et dé l'entretien de ces tenues, en les obligeant à les présenter à des dates déterminées, soit à l'autorité militaire de la ville où ils résident, soit, dans les campagnes, aux brigades de gendarmerie.

La rapidité d'incorporation des réserves et l'acheminement des hommes vers les cantonnements de mobilisation y gagneraient à tous points de vue. Le rôle de l'Intendance II n'a été que trop évident aux yeux du public que l'habillement des réservistes s'est opéré dtune manière défectueuse dans certains corps. Et le spectacle ainsi donné a été pénible à notre fierté nationale.

La faute doit en être imputée au manque de prévoyance, faisant délivrer à diverses formations des uniformes correspondâ'nï'eir1 Junip-iquemenJ: im nombre d'appelés, mais négligeant de prévoir un assortiment t de tailles en rapport avec .la corpulence d'hommes d'un" certain âge. Nous savons que des instructions sévères et précises ont été données pour éviter à l'avenir, semblable erreur, ainsi que le mélange dans une. même unité des tenues de couleurs différentes.

Le rassortiment complet, d'habillements et d'équipements des collections de guerre, retardé au cours des années dernières par suite de l'insuffisance des crédits votés, est désormais en voie d'accomplissement grâce aux sommes prévues par decretloi pour les besoins de la défense nationale.

G. de Gnilhenny.

L'ARMISTICE combattants avait fait transporter en Amérique, à la demande des membres de PAmerican Legion, est revenu en France à midi, sur- le pont du Queen Mary, en rade de Cherbourg il fut remis entre les mains des délégués des anciens combattants français par le « commander » de la Légion américaine, M. Edward Stattford.

L'arrivée du flambeau donna lieu. à une émouvante manifestation au cours de laquelle M. Edward Stattford, « commander de l'Ainerican Légion, déclara

« J'ai été associé aux joies et aux peines du peuple français. » Je vous apporte le « flanbean » ranimé sur la tombe de notre Soldat Inconnu. Nous, les hommes de la Legion, nous représentons une force en Amérique et nous pensons qu'en cas de besoin il faudrait encore compter sur nous.

» L'amitié franco-américaine' est une réalité, elle doit être sauvegardée pour sauver la paix du monde. » Les Anciens combattants connaissent les dangers de la guerre. Ils veulent la paix, mais ils répondraient à un nouvel appel en cas de danger. p -̃-̃•̃•

Une protestation v

des « Camarades du Feu » L'Association des « Camarades du Feu vient d'adresser au ministre des Pensions une lettre protestant contre.l'obligation faitefltux associations de se présenter à pArc de Triomphe, le 11 novembre, avant « 8 h. 30 du matin sans défilé ni cortège préalable ».

Les Camarades du Feu « estiment que dans les graves circonstances actuelles, au lendemain d'une alerte qui a vu beaucoup d'entre eux rallier pour la seconde fois en vingt ans, leur poste de défense des frontières, ils ont le droit de se mêler à la foule parisienne pour lui montrer leurs médailles et leur troupe- de vieux soldats chevronnés ». Ils « prient le ministre respectueusement mais fermement de reconsidérer sa décision ».

Lés orphelins et les orphelines de guerre, sous l'égide des « Fils des tués », participeront au défilé du 11 novembre.

̃••

La manifestation annuelle des Anciens aumôniers, blessés de guerre, des trois cultes, aura lieu surla tombe du Soldat inconnu, le vendredi 11 novembre, à 14 heures

précises.


~(', AUTOMOBILE

f i ̃ -i. m; ̃ mi

L'examen du permis de conduire passera- t-il aux mains de l'Etat? ION POURRAIT AINSI PREVOIR DE NOUVELLES CHARGES POUR LES AUTOMOBILISTES

Nous avons déjà signalé les craintes des groupements qui délivrent actuellement les permis de conduire' et les triptyques l'U. N. A. T. en la circonstance, qui groupe le Touring, l'A. C. F. et lé C. A. F. Une campagne a été entreprise, qui tend à enlever au profit d'un organisme d'Etat la délivrance de ces pièces actuellement délivrées par les groupements sus-indiqués. On craint maintenant que les pouvoirs publics ne s'emparent de la chose avec toutes les conséquences désastreuses que cela présente pour les usagers.

A la vérité, on est peu informé des décisions qui ont été prises. On émet des craintes pour l'instant.. II n'est peut-être pas trop tard, cependant, pour bien mettre au point la question.

La campagne qui a été faite en faveur d'un organisme d'Etat s'appuie sur des arguments qui sont malheureusement faux. Nous: disons malheureusement, car s'ils étaient vrais l'U. N. A. T., qui a pris cette entreprise à sa charge, ne connaîtrait pas les difficultés qui l'accablent actuellement et que signalait ici récemment le docteur Pierre Behague.

On prétend que cette entreprise laisse à l'U. N. A. T. des millions. Or, la vérité est tout autre. C'est en 1924 que M. Le Trocquer, alors FOOTBALL

Plusieurs grandes rencontres y

de championnat

pour léll novembre tel fêtes du 11 novembre ont été réservées, cette année, au championnat de France. De ce fait. dans les deux division», les équipes joueront demain vendredi et quarante-huit heures plus tard, le 13, elles devront jouer de nouveau. Voici les rencontres prévues pour demain

PREMIERE DIVISION

Antibes F. C. c. A. S. Cannes.

t!J-*celsior R^T.iC, ArJ-Saint-fl'?."»** s

r:£.1I,ce, Isio.r R\:r:,¡C.Ji"S. sa,in,t-£,ti\l'Wlh

U. C. StrâSBogrà c. Ol. Lillois.

R C. Lens c. navre A. C. ̃

01. Marseille c. F. C. Sète.

F. C. Sochaux o. F. C. Metz.

F. O, Rouen c. R. C. Paris.

Si C. Fives o. R. C. Roubaix.

DEUXIEME DIVISION' S. R. Cdlmar c. F. C. Mulhouse. U. 8. Boulogne c. Girondins B. F. C. St. de Reims c. 0. G. C. Nice.

Red Star 01. c. C. A. Paris.

A. 8. Troyes c. R. C. Arras.

E. C. Nancyc. U. S. B. Longwy.

U.8. Valençiennes A. c. Toulouse r.C 01. de Dunkerque c. Ntmes 01.

01. Aies c. St Rennais U. C.

F. C. Dieppe c. F. C. 0. Charleville. A. 8. Hautmont c. U. 8. Tourcoing. Exempt S. O. Montpellier.

En première division, le leader actuel, Saint-Ettenne. se déplacera à Roubaix pour rencontrer 1 Excelsior. Etant donné les deux dernières exhibitions de cette équipe, il est à prévoir que -Saint-Etienne aura l'occasion de s'imposer. II lui faudra cependant se méfier des réactions possibles de l'équipe nordiste.

Lille, qui est actuellement seconde, à un point, se déplacera à Strasbourg et là, encore, malgré le déplacement, il semble que Lille devrait remporter. Marseille, troisième, rencontrera fcete. C'est le classique « derby » du SudEst, dont le succès est certain. Marseille joue à domicile. C'est un gros avantage mais Sètc reste un obstacle difficile à franchir.

En Angleterre

Angleterre b. Norvège 4 0. Ecosse b. Pays de Galles 3 3 2. 7~ BOXE

M. Cerdan contre

l'Allemand A. Katter ce soir à Wagram

Gerdan, dont l'ascension a été extrêmement rapide, se trouve être placé aujourd'hui en tête des poids mimbvens Il désire fermement rencontrer Félix Wouters pour le titre et en attendant il rencontrera ce soir, à, Wagram, l'AIlemaand Katter, qui vient immédiatement après Gustave EJer. Katter est un boxeur puissant, rapide et efficace, qui sera un adversaire difficile pour Cerdan.

En second combat Abad sera opposé à Viez cependant que la finale de la compétition des « légers » organisée par l'Auto mettra aux prises bonteix

Feuilleton da «Figaro du 10No?embre 1938 ̃ ̃̃•̃- pT~

~7L£ PÂE,~IENIEZ -p~–==

par

Anthony WEYMOUTH PROLOGUE

(Suite)

Carol rentra à pied en coupant Leicester Square, puis il prit le tournant de Coventry Street et traversa Piccadilly. L'air frais de la nuit lui paraissait bon à respirer, par contraste avec l'atmosphère du théâtre. Pendant toute la durée du spectacle, il avait pensé aux remarques que Peter avait faites au cours du diner, et maintenant, sur lé chemin du retour, il ne parvenait pas encore à débarrasser son esprit de la

ministre des travaux publics, demanda à l'U. N. A. 'l'. de se charger des examens au permis de conduire. Les services publics ne se sentaient pas capables alors de prendre cette responsabilité. Un essai fut entrepris dans la Seine et dans dix-sept départements. Devant les résultats concluants il fut décidé l'année suivante de confier, pour toute la France, la délivrance des permis de conduire à Ï'U.N.A.T. Petit à petit, celle-ci a mis sur pied son affaire, dressé des spécialistes et aujourd'hui possède 125 examinateurs qui assurent mieux les opérations nécessaires.

Les droits aux brevets et examens, ainsi que le timbre, coûtent 91 fr. 80. L'U. N. A. T., sur les 16 fr. 20 de droits d'examen, touche 9 francs par permis. Elle en a fait passer 464,000 l'an dernier, ce qui représente pour elle une somme de 4,176,000 fr. Avec cette somme il lui faut» assurer la marche de son organisation, payer ses agents, ses frais divers d'entretien, tant et si bien que l'exercice actuel sç solde par un déficit de 200,000 francs. Nous sommes loin des bénéfices astronomiques annonces 1

L'U. N. A. T. n'a pu tenir jusqu'ici que parce que les années précédentes les opérations avaient été bénéficiaires. Avec ces bénéfices, la machine a pu continuer à fonctionner et l'on a pu même entretenir les postes de secours sur route, dont l'existence est actuellement menacée, bien qu'ils soient d'une évidente utilité.

Voilà où nous en sommes. L'U. N. A. T. réclame un relèvement de 2 francs de la part qui lui est allouée. Que va-t-il se passer ? Les décrets-lois prévoient, .dit-on, le passage des services sous la coupe de l'Etat.

Etatisation les automobilistes savent ce que cela veut dire. Là où il fallait 125 examinateurs, on en mettra 500,JToute une cohorte de fonctionnaires nouveaux seront ainsi embauchés, mais cela coûtera aussi plus cher, et finalement c'est à l'automobiliste qu'on demandera un peu plus d'argent. André Reicheli»

-♦-

Les équipes motorisées ont parfaitement réussi dans la Coupe de Lorraine

Pour la seconde année, la Coupe de Lorraine a eu lieu et a remporte son succès habituel. Ouverte aux officiers et sous-officiers des f>°, et 20" régions, elle avait réuni 177 engagés, représentant 39 régiments de l'Est. Le succès fut complet, tant pour l'organisation, qui fut parfaite, que pour les résultats qui furent édifiants et intéressants.

Oii ne saurait trop souligner l'esprit de diffusion marqué par l'autorité militaire pour intéresser les masses à la motorisation. En développunt ainsi les sports mécaniques dans l'armée on ne peut que faire œuvre utile et profi-

table.

Voici les classements

Officiers 1. lieutenant de la Orange (3* dragons), qui gagne la Coupe de Lorraine 2. sous-lieutenant Barberot'(50B« chars) 3. lieutenant Pestel (18* dragons) 4. lieutenant de la Morsanolière (4° cuirassiers) 5. lieutenant Bpyard (124° train) 0. lieutenant Giraud (124e train) 7. lieutenant Brisson (11* chasseurs) 8. capitaine Arnoux (10' génie) 9. lieutenant Salles (12»" train) 10. souslieutenant Gaspard (20° train). –Sous-officiers 1. M. d. 1. Guedamour (120» train) 2. m. d. 1. Monty ̃<90'' dragons) 3. m. d. I. Val'pncê (125* train) 4. m. d. 1. Robert (122» train) 5. m. d. 1. Herio (125» train) 6. adj. poulain (0" cuirassiers) 7. m. d. 1. Martin (125« train) 8. m. d. 1. Tardy (11° chasseurs) 9. sergent Gretaud (506» chars) 10. m. d. 1. Mangard (3e B. D. P.), etc.

CYCLISME

Saponetti

a battu un nouveau record du monde

En excellente condition physique, le coureur cycliste Carmine Saponetti a battu le record du monde des cinquante kilomètres sans entratneurs, hier, après-midi, sur la piste du Velodrome Vigorelli, à Milan.

Saponetti, qui a couvert la distance en 1 h. 8 m. 2 s., à la moyenne de 44 kil. 096, a battu de trente-deux secondes l'ancien record que le Français Richard détenait depuis 1934. Détenteur des recorda des 50 et 100 kilomètres sans entralneurs, Saponetti pourrait effectuer un essai contre le record de l'heure sa forme actuelle lui permet de belles espérances.

crainte que les opinions de son ami fussent bien fondées.

Il était toutefois assez sensé pour se rendre compte que son état mental était moins l'aboutissement d'une déduction logique que d'une simple impulsion de frayeur mais précisément la force même de son émotion l'empêchait de raisonner sainement sur le sujet en question. Et pour la millième fois, il se demanda s'il avait vraiment un motif réel de peur.

Tout en longeant Regent Street, il remarqua une horloge dont les aiguilles marquaient minuit moins un quart. Il sauta lors dans un autobus qui passait et qui le déposa, peu de temps après minuit, à quelques centaines dj mètres de sa demeura. Il sortait si rarement le soir, depuis son mariage, qu'il se sentait presque coupable i l'égard de Denise pour l'avoir abandonnée pendant si longtemps. De fait, le dîner e* la séance théâtrale l'avaient tenu éloigné d'elle pendant près de cinq heures.

Il supposait que sa femme était couchée aussi, pour éviter de l'éveiller, il ouvrit doucement la barrière du jardin et marcha sur la pointe des pieds. En mettant la clef dans la serrure, il remarqua un

LE TOURNOI DE TENNIS,DE LA TOUSSAINT MERLIN ET Mlle BARBIER ont été battus au premier tour final des simples. .dont les quarts de finale seront. joués aujourd'hui

Les « exempts » du simple messieurs à part André 'Merlin se sont tirés à" leur avantage du premier tour final disputé hier les >• exemptes » du simple dames à part Mlle Barbier en ont fait autant. De ce fait, l'élément, surprise qui convient à un tournoi où sont engagées toutes ou presque toutes les* vedettes, a été respecté, sans qu'un bouleversement se soit produit c'est fort bien ainsi. Merlin aura fait une rapide carrière: à court d'entraînement, il n'a pu se dégager des attaques de Glasser qui, installé au filet, « sabra avec l'autorité qu'on lui sait, les retours de son rival. Certes, Merlin n'a rien perdu de son ardeur, mais il n'a pas, actuellement, le minimum de précision nécessaire pour la mettre à profit. Il est toujours attrayant de voir René Berthet livrer bataille il se rue à l'assaut do son adversaire, se refuse au moindre repos, serre les dents et fait souvent do Jolies choses, Mais, sans cependant être au meilleur de sa forme. Bolelli est, sur bois, un rival trop fort pour que Berthet put espérer gagner.

Martin Legeay ne caressai pas t'espoir de vaincre Bernard Dcstremau il perdit avec le sourire, non sans avoir donné à Destremau l'occasion de mettre au point sa volée.

Dessair profita de l'inaccoutumance de Shayes aux courts du T. C. P. il lui prit le premier set et, avec l'appui de la chance, il eût sans doute gagné mais l'Anglais assura ses répliques et, après avoir « sauvé » le second set, remporta nettement la victoire. Venons-en au match Brugnon-Jamain, qui' fut sans nul doute le plus intéressant de cette Journée. Jacques Brugnon, désireux'de ne pas faire durer la, partie, attaqua avec brio dès le début et dérouta Jamain qui, hésitant, commit l'imprudence de ne pas rester cantonné au fond du court et de monter à la volée sur des retours qui ne lui permettaient pas de le faire. Il se reprit au second set et répliqua aux offensives de Brugnon ;>ar "JÈà retours longs et croisés et oe fort beaux amortis. Brugnon usa ses forces à courir après les balles et, fatigué, commit maintes fautes qui lui ooûtèrent le set.

Au troisième, la lutte fut sévère Jamain, très en verve, eut l'occasion de mener par 4 Jeux à 2, occasion qu'il perdit. La bataille se poursuivit Jeu par jeu, chacun gagnant son service. A six Jeux partout, Brugnon, très courageux, prit l'avantage et, au Jeu suivant, après avoir laissé échapper deux « balles de match », il gagna sur une double faute de Jamain.

Dans le simple dames, Mlle Horner fit une brillante partie contre Mlle Barbier, et Mme Morel-Deville fut la plus «̃ glorieuse des battues. Maurice Capelle.

:JÜ.UI.HHt~ .-1~ t~ ,J. a. ).,

Les résultats

Simple messieurs. Tableau de progression. Demi-finale Gremillet b. G, Troncin, 5-7. 6-4, 0-0, al). Finales H. Catteau b. Muriaul, 6-0, 6-4 J. Jamain b. P. Roux, 3-0, 6-3 J. Weiss b. Veeck, 0-3, 6-3 ;'R. Dessair b. Gremillet, 6-4, 8-0.

Tableau final. Premier tour G. Glusser b. A. Merlin. 7-5, 0-3 H. Bolelli b. B. Berthet, 0-4, 8-0 J. Borotra b. M. Papillon, 0-3, 0-0 j; B. Destreiuuu b. A. Martin Legeay, 7-5, 6-3 J. Brugnon b. J. Jamain, 0-3, 4-fi, 8-l> Shayes b. Dessair, 4-0, 7-5, 6-2 KhoSln-Kie b. Weiss, (i-3, 0-2..

Simple dômes. Tableau final. Premier tour Mme S. Henrotin b. Mme Suvclsbergh, 6-1, 0-1 Mlle S. i'annetier b. Mlle M. Inglebert, C-2, 0-1 Mlle J. Goldschmidt b. Mme Power. 0-3, 0-1 Mme L. Lebailly b. Mlle de Thierrens, 6-1, 0-0 Mme A. Hulff b. Mme li. Morel-Deville, 0-3, 0-8, 0-4 Mlle J. Horner b. Mlle S. Barbier, 0-4, 6-2 Mme S. Mathieu b. Mlle D. Gautier, 6-0, 6-3.

Double messieurs. Tableau de progression. Deaii-finale A. MerlinH. A. Shuyes b. Schreyer-Escalie, 6-1,

Double dames. Tableau final. Premier tour Mme Putz-Mme Dienne b. Mlle Bedin-Mme Oelaunay, 6-3, 6-2 Mlle de Thicrreiis-MUe Gautier b. Mme Gilelte-Mme Lombard. 0-1, 6-3. Deuxième tour Mme Power-mlss A. Hargreaves b. Mlle Emery-Mme Halpheu, 0-2, 4-6, 7-5 Mlle M. Inglebcrt-Mlle Bœul'vé h. Mme Bigard-Mme Sirop, 0-1, 11-tl Mlle de TliierrensMlli: Gautier b. Mme Morel-DevilleMlle Foy, 7-5, 6-1.

Double mixte. Tableau de progression. Demi-1'inales Mme MorelDeville-B. Berthet b. Mlle Foy-Dubois, 6-3, 6-3; Mlle A. M. Simon-H. Catteau b. Mme Dieime-Roux, 6-4, 6-8, 6-2 Mme M. Bernard-Kho-Sin-Kie b. Mlle Y. Pelletier-de La Crouée, 2-6, 6-4, 6-2 Mlle S. Barbier-R. A. Shayes b. miss A. Hargreuves-J. Carot, 6-4. 6-2 Mme Kleioadel-H. Rodel b. Mme ChampodDutilleul, 6-4, 6-3.

Finales Mlle J. Horner-A. Merlin b. Mme Morel-Dcvillc-P. Berthet, 6-4, 0-1 Mlle P. Mellerio-A. Martin Legeay b. Mme Kleinadel-R., Rodel, 6-2,

Tableau final. Quart de finale Mme S. Henrotin-Ch. Boussus b. Mlle J. Horner-A. Merlin, 6-3, 2-6, 6-3. Les convocations

pour aujourd'hui jeudi 9 h. 45. Le Roy-Dives c. P. Lestelle, J. Dolle c. P. Gauvain, Maignan c. J. V'erdier, H. Fabre c. Bercholz, J. Drion c. Gauvain, J. Martin c. Auzoux,

rayon. de lumière qui filtrait audessus de la porte d'entrée. H fut alors curieux de, savoir comment Denise avait employé la soirée. Il ferma la porte sans bruit et repoussa les verrous, puis il ouvrit L. porte du salon et soudain resta immobile, le cœur serré, en voyant. Denise à genoux près du sofa. La pièce était éclairée et, tout d'abord, Carol crut qu'elle était endormie, car il la voyait de dos et elle ne bougeait pas mais tout à coup elle leva la tête et tourna les yeux vers lui. Elle se blottit alors contre le sofa, en se cachant la tête dans les mains, non sans que Carol ait pu remarquer qu'elle avait pleuré. Il ferma la porte derrière lui. Que s'est-il donc passé, Denise ? `!

Il s'agenouilla près d'elle et essaya de la prendre par les épaules, mais elle lui resista et se remit à sangloter.

Carol s'immobilisa de nouveau, ne sachant que faire. Enfin, il s'assit sur le sofa et obligea sa femme à relever la tête pour le jgarder bien er face.

Allons, Denise, reprends possession de toi-même et dis-moi ce qui est arrivé. Pourquoi pleures-tu?

Iliigron c, J. Ruck, R. Aguilar c. Noriogue.

H heures. Mme Le Bailly c. Mme Hall', de Jouïfroy c. Touyary, Lebreton r. Larcadc, Routhier c. Ph. Meycr, r. i'anlauz/i c. Lévêque, C. Bleau c. Vever, de, Chateaubriand c. Payot, Parade c. Bel langer.

12 h. -15. Marret-de Suirigné c. Dry-Bertlu-t ou Polali-Delort, Kho-SinKie c. Ciitteuii.

13 h. 30. Mme Henrotin c. Mme Michel Bernard, Mlle Horner c. Mme Mathieu. Bolelli c. R. A. Shayes. U heures. Mlle I'a'nnetier c. Mlle Goldschmidt, Mlle Barbier-Mile Simon c. Mlle de Thlerrens-Mlle .Gantier, de Baecque i\ .1. Bucquet, de Kernndec c. Pli. Reiehenbach, Colin c. J. Darcet. 14 h. 30.. Destremau c. Brugnon. 15 heures. Tous les juniors restont qualifies du premier tour plus Lucot Weiss-Dessnir ou Schnapochnlkoff-Halff c. Troncin-Combemale ou Tissot-Detrie.

10 heures. Gentlen-Kho-SIn-Kie c. Merlhi'Shayes ou'Thiérry-Guillemot ou Diibpis-Potillain.

16 h. 30. Wavre e. Weil, A. Drion c. Rime. F. Agullar c. P. Achard, Fr. Hcichenliach c. Gourdon, Prat c. B. l.évy, Catteau-Dubuc c. H. PellizzaRodel.

17 heures. Mme Hùlff-Gention c. Mme Bertrand-Dessalr ou Mlle Barbier-Shayes, Borotra-Brugnon c. tes gagnants tableau 4.

18 heures. Boussus-Féret c. Marret-de Sairigné ou Dry-Berthet ou Polack-Delort, Mme Le BaillyrBolelIi c. Mme Michel Bernord-Kho-Sin-Kie ou Mlle Simon-Catteau, Mlle PanuetierMllc Horner c. Mme Putz-Mme Dienne, G. de Saint-Levé c. Fromentault.

Jean Borotra, officier de la Légion d'Honneur R. Rodel est chevalier Dans la promotion du ministère du Commerce, dans l'Ordre de la Légion d'honneur, promotion qui doit parai.tre ce matin à I' « Officiel », on relève les noms de deux Joueurs de tennis bien connus Jean Borotra et Raymond Rodel. Le premier est nommé au grade d'officier le seconda, à celui de chevalier.

Ce ne «ont cependant pas à leurs viotiorcs sportives, même interna'<onates, qu'ils doivent ces distinctes c'est à l'activité qu'ils ont déployée, pour, dans les rôles qui leur étaient dévolus, aider à l'éclat de l'Exposition de 1937.

Nos très vives est 'très ilnçéres féli-

citations; •.̃••̃i-J"iJ^ ̃•. ̃̃

-t -»– »

LE CHAMPIOÎÉAT DE CLASSEMENT

du Tennis Club de France Le Tennis Club de France, suivant une tradition vieille déjà de nombreuses années, va faire disputer à partir de demain vendredi son Championnat de classement sur courts couverts, c'est-à-dire à la fois 147, avenue de Versailles, sur terre battue, et 34, rue du Chemin-Vert, sur bois.

Voici les convocations pour la journée de demain 11 novembre, sur les courts du 147, avenue de Versailles S b. 30. Bouchet c. Grlcôurt, Gade! c. Tauzin F., Scheer c. Dumaine, Cherbuy c. Lorrain.

9 h. 30. Brouillon c. Mourre E., Baucher c. Marest, Raynald c. Faivre, Hoche Paul c. Rivellois, Robin c. Desfontaine.

10 h. :t0. Leheup c. Rigault, Louis c. Marron, Moro c. Havel, Alix c. Lagisquet, Girardin c. Taillandier. 11 h. 30. Pages c. Pernon, Mangin c. Walter, Bonnard c. Bateau, Nègre c. Daum Noël, Coulon c. Duval. 12 heures. Raynal Jacques c. Giard, Fournier c. Leyif.

13 h. 30. Paortehaut c. X. Paquet c. Tlieurlou, Graffard c. Dubois, Le Roy Jean c. Demonchy, Finaz c. Laroque.

14 h. 30. Hote c. Guillard, Fourdrinier c. Scheithe, Mathis c. Lalande, Dupont G. c. Suchet, Ruffin Raoul

15 li. 30. Baum Jacques c. Cherrueau, Bertreux c. Quignard, Baldon M. c. de Corbiac, Chêne-Fauvel c. Mochet.

16 h. 30. Logeais c. Parietli, Sellis c. Bouxel, Foulet c. Caillot, Magnier André c. X. Roszé c. Muller. 17 h. 30. Cohn c. Faillé, Boudot c. Semery, Magnier Fr. c. X. RobinDehaynin c. X. Guillosson c. Plailly. 18 h. 30. De Mnrolles c. Bouden, Bidou c. Glrardot, Latour c. Lhuillier, Mickheef c. Biron.

19 h. 30. Baldon Guy c. Billon, Levasseur c. Chamard, Marlaud Fr. c. Leleu, Roche M. c. Olivier, Delbert F.

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c:

'm^H eiMAMMI U NOTKt «II COMITE M PROPACAMM DU HNNK. S». RUI «WRE-0EMO0W WMIS-ir

As-tu reçu de mauvaises nouvelles de ta mère ? 2

Elle secoua négativement la tête, sans cesser de sangloter.

Alors, qu'est-ce que c'est ? 2 Il la regarda plus attentivement l'état de son visage et le gonflement de ses yeux révélaient qu'elle pleurait ainsi depuis quelque temps déjà mais elle finit par se calmer graduellement et, lorsque Carol répéta sa question, elle se mit à parler. Je ne sais pas comment je pourrai t'expliquer cela, Carol, murmu- ra-t-elle. Tu ne me regarderas plus jamais avec les mêmes yeux désormais. Et cependant. il y a si longtemps déjà que je désire te confier ce secret. Tu ne cesseras jamais de m'aimer; n'est-ce pas ?

En observant l'expression de son visage, il éprouva pour elle un sentiment d'immense pitié. Elle paraissait être si faible et misérable. Il la prit alors dans ses bras et l'embrassa. Bien entendu, Denise, ma chérie. Tu n'as rien à redouter. Mon amour pour toi est immuable. Mais il faut que tu me dises ce qui s'est passé.

Elle sonda son regard et parut être un peu rassurée par l'expression qu'elle déchiffra dans la pro-

L'activité sur les links

Lord Dundonald-A. Boomer enlèvent la épreuve de l'Alliance, à Fourqueux La 3e épreuve de l'Alliance amateurs et professionnels, disputée hier, à Fourqueux, est revenue à lord Dundonald et Aubrey Boomer, battant de peu Mme Derondart et SI. Dallemagne.

Voici les résultats

1. Lord Dundonald-A. Boomer. Irou du 20 2. Mme Derondart-M. Dallemagne, 1 m. 20 du 20° trou 3. M. Vincënt-A. Loth, à 109 m. 4. Mlle Jouin-R..Cintrât, 115 m. 5. PcrnotC. Hirigoyen, 120 m. M. BrévierJ.-B. Loth, trou du 19 Torrès Gardcnas-Robert Luth, trou du 19; 8. Mme Laguerre-M. Philippon, Mme W. Raffard-Fifi Cavalo, princesse Muratprince J. M. Murat, Gardc-P. Bombediac, Larnaudie-P. HausscBuy, SuchsM. Botçazou, Guestas-A. Jathierc. green du 19 15. Mlle Vanbreineersch-H. Mourguiart, Deligny M. Floershcim, Pearson-M. Pourtalé, Litchnauer L. Ditail, Zographos-M. Eliopoulos, trou du 18 20. Carlebacli-H. Glcmo, BoyerG. Paris, Mme G. Johnston-Mlle G. Le Derff, N. Mahé-J. W. Henderson, Mlle Denbigh-E. Bérard, Blackmer -̃&. La-'folley, Mme Languereau-M. Delalon, green du 18 27. Heugel-P. Duchêne, Mme Millée-M. C. Reiçhenbach, Letebvre-M. J. Mahé, Dart-H. Daugé, Mme Boyer-M. Cavalo, Guiot-R. Phi!ippon, parcours du 18 33. Graridchamp-J. Bombediac, Monteux-M. Tuniuer, Daudeville-M. Dantzigk, trou du 17 36. Mme S. Meycr-M. Schyler, Mme Bidoult-princesse C. Murat, parcojjrs du 17.

La prochaine Alliance se disputera le mercredi 10 novembre, au golf de Saint-Germain. 4 balles, meilleure balle. Engagements reçus jusqu'à lundi soir 17 heures.- «' ~l~ "• Prix Blackmer (meilleurs scores). Professionnels 1. A. Boomer, 69 2. M. Dallemagne, 70 3. Fi Cavalo, 72 4. M. Botcazou, 73 Jathière, 73; 6 A. Loth, M. Philippon, 74 7. J.-B. Loth, P. Bombediac, C. Hirigoyen, E. Bérard, 75 11. Il. Loth, R. Cintrat, 76 13. H. Mourguiart, 77 14. H. Glemo, 78 13. J. Nenderson, M. Le Derff, L. Dilai), 79 18, J. Bombediac, 80.

Au Golf de Fourqueux

Coupe Heincman. Ordre des départs pour demain vendredi « 9 heures Mlle Rheims-Nassif c. Mlle Tollon-duc d'Elchingen 9 h. 5 Mme Gund-J. Lithiby c. M. et Mme R. Barbier 13 h. Mlle J. CarpentierJ. Légllsc c. Mme R. Paul-Ph. CoquilIon 13 h. 5 princesse C. Muratprince L.-J. Murât c. Mme Dreyfus-

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et plus sains plus colorés, brillants et souples avec cette nou velle sorte de brillantine. Mettez de la vie dans vos cheveux en les vaporisant avec cette brillantine à l'Huile de Pensylvanie, tellement fluide qu'elle forme un nuage de, micro-gouttes a qui enrobe chaque cheveu d'une fine pellicule irradiante. Voyez votre chevelure brille 3 fois plus parce que chaque cheveu brille séparément. Touchez

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fondeur de ses yeux gris. Après s'être tamponné les yeux avec un mouchoir trempé de larmes, elle, reprit Je mets toute ma confiance en toi, Carol, mais j'aurais voulu niourir avant de t'avoir fait cette révélation. Il y a si longtemps que cela est arrivé.- au moins deux ou trois ans avant que nous nous soyons rencontrés ajout a-t-elle en'baissant les yeux et en se détournant légèrement afin de lui dérober son visage et j'espérais si fermement qu'il n'en serait plus jamais question lorsque nous nous sommes mariés C'est pour cela que cette malheureuse aventure prend maintenant un aspect d'autant plus .tragique.

Carol ne put pas maîtriser plus longtemps son, impatience.

Pour l'amour de Dieu, Denise, dis-moi vite ce qui est arrivé ce soir.

Elle se redressa et se libéra doucement de l'étreinte de son bras puis elle se leva et traversa la pièce en vacillant un peu. Enfin, elle s'adossa au mur et se remit à parler, mais sans le regarder.

Quand tu auras entendu ce que je vais te dire, tu éprouveras pour moi autant de mépris que j'en ressens moi-même. Je venais tout juste

Sudreau 13 h. 10 Mme Y. Le Quellec-A. Le Queïlec c. Mme Reiss-M. Lindon. Au Golf dé Marly

Prix de la Victoire. Ordre des départs pour demain vendredi 11 h. 45 Mme Millée, Mme Ph. Roche 11 h. 57 Glover, Brault 12 heures 1 Cl.' Reiçhenbach, P. Lient enberger 12 h. 5 Benedictus, G. Ditisheim- -12 h. 9 Volka, Valton 12 h. 13 Legasse, de Gestas 12 heures 17 Wolif, Busch 12 ih. 21 Vin- cent, Rabau 12 h. 25 Caël,, Scàrlett 12 h. 29- Larroze. Wormser- ;12 heures 33 Mme de Mnrsay, Mlle Rabau 12 h. 37 Mme Mure, Mme Hirsch 12 h. 41 Pardo, Hellstern 12 heures 45 Bertrand, Peschier 12 heures 49 Wigny, Sichel r 12 h. 53 Jean Fried, wahren 12 h. 57 Mme Voisin. Mme Legasse 13 h. 1 Le Rov, G. Brlault 13 h..4 Mme Caël, Mme Bokanowski •; 13 h. 8 Tunmer, Bokanowski 13 h. 32 Michel, Hirsch 13 h. 10 Mauny, X. Les joueurs qui s'inscriront_ après ce tirage partiront avant 11 h. 45. Au Golf de Saint-Germain

Prix de la Victoire. Ordre des départs pour demain vendredi 10 h. 56 Mme FaUre-M. Percepied 11 heures Mlle Reiss-P. Sorel, Mme J. Nouel-S. Michel- 11 h. 4 M. et Mme P. Bertrand, M. et Mme Hoppenot 11 h. 8 Mme Lipscômb-Delafon, Mme Decour-comte Czalkowski 11 h. 12 Mme Gàltier-Charpentier, M. et Mme Harding 11 h. 16 Mme Sachs-J. Floershelm, princesse C. Murat-Strauss-Leemans 11 h. 20 Mme Perlès-Sachs, Mlle Hheims-Nassif 11 h 24 comtesse Pinci-Parson, Mlle Benoist-R. Nouel 11 h. 28 Mlle Durand-Hutln, Mme Doyé-R. Lacroix 11 h; 32 t Mme Morin-Godeàu, Mlle Bader-Decloux 11 h. 30 Mlle HennnnnLéon Cotnareanu, Mlle Forget J. Franck 11 Il. 40 Mme Salmson-Boutet, Mme Logeais-J. Lévy-Naussmann 11 h. 44 M. et Mme Marx-Mme ̃Simon.H Perdreau 11 h. 48 Mme Christophe-Lepoivre, M. et Mme RousseauPortalis 11 h.. 52 Mlle Y. PascayHR. Pascault, Mme Guggenheim M. Mcyer 11 h. 56 Mme Lévy-Haussmann-C. Fay, Mme Chouard Van Onhem.

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LES COURSES

A SAINT-CLOUD

Le Prix Belfonda

Le Prix Belfonds a été une tort jelie' course, sur 1.500 mètres, entre dix deux ans d'excellent ordre. La favorite indiquée en était Xamalfi, lexcellente pouliche de Robert Lazard, et elle a paru devoir justifier cette confiance jusqu'au milieu de la ligne droite. Mais. soit parce qu'elle rendait il; un peu de poids, soit parce que sou jockey a jugé qu'il n'avait pas à exiger d'elle un trop pénible effort contre Adaris. qui avait fait tout le jeu et allait encore à merveille, elle cédait brusquement. Plus persistante, Alcona attaquait Adaris et le réglait rapidement, cependant que Le Mufti prenait à la fin la troisième place à Foltra. Alcona a un charmant style. et c'était, hier, sa seconde victoire pour son nouveau propriétaire. Cette réforme de l'écurie Ed. de Rothschild est p< ut-être, comme on le dit, fluxionnaire. Elle n'en galope pas moins et fait figure de la meilleure réclamation de l'année. J. Trdrieux.

PRIX D-AULNAY

(A vendre. 9.000 fr., 2.500 m.) 1. Ener Zidon 57 (Chauffour).G. 13 50 (à M. Harry Howes) .P. 7 » 2. Metsu 49 (A. Chéret) P. 7 » 3. La Reuss 57 (Bridgland) ..P. 7 » PRIX DE LA BOURDAISIERE (15.000 francs, 900 m.)

1 Makada 52 (R. Poincelet)..G. 70 50 (au comte T. de GramedoJ.P. 24 50 2. Caracas 54i (Johnstone).P. 23 50 3 Aougha 64J (G. Delaurie)..P. 11 5l> PRIX DE SENART

(A vendre. 8.000 fr., 2.100 m.) 1. Falsluff II 52J (Dumoulon).G. 22-50M. J. Descadeillas) P. 8 » 2. Franchise 55 (H. Signoret).P. 14 » 3. Shiny Lace 54^ (Laumain).P. 8 » PRIX BELLEFONDS

(25.000 Troncs, 1.500 m.)

1. Alcona 54J (Doyasbère).G. 77 50 (à M. L. L. Lawrence) P. 24 50 2. Adaris 56 (C. Elliott) P. 14 50 3. Le Mufti 54 (Semblât) P. 42 » PRIX DE FAUGERAS

(Welter-hand. 15.000 fr., 1.600 m.) Ec. A. Mazenq G. 23 » 1 Caméa 59 (E. Mantelet).P. 22 » 2. Rumball 63 (F. Hervé). P. 22 50 3. Impair 51 (Destandau) P. 14 »

LE 23 MAI NOUS ECRIVIONS: « Le record de Mme Dùpcyron (5.099 km) est pratiquement imbattable avec un Aiglon. »

Depuis cette date le record du monde de distance féminin est passé à l'U. R.S.S. avec 5.947 km.

Mlle Elisabeth Lion, comme nous l'avons dit le 5 novembre se trouvait à Istres prête s'envoler pour tenter de ramener en France le record parti chez les Soviets.

Des Réservoirs supplémenlaircs avaient permis de mener à bord de son Caudron « Aiglon » 830 litres d'essence. De ce fait l'appareil s'est trouve prêt à partir au poids de 1.415 kilogs, ce qui pour une voilure de 14,5 mètres carrés donne une charge au mètre carré de près de 100 kilogs, avec un moteur Renault d'une puissance de 100 CV (Rapport Poids-Puissance: 14, 15 kilogs). Rapport puissance surface partente: 7,1 CV).

Pour mémoire: avion de grand raid Dewoitine D. 33 «Trait d'Union: Rapport Poids-Puissance 15,2 kilogs.; Rapport Puissance-surface partente: 7,1 CV).

Les transformations apportées au Caudron Aiglon (Poids maximum fixé par le certificat de navigabilité: 875 kilogs), mettent donc un appareil de tourisme qui n'a. pas été combiné pour cela dans l'obligation de subir les contraintes d'un avion de grand raid. Il y a eu des conditions dangereuses que le ministère de l'air a sagement interdites.

LE RAID ITALIEN de la « Stampa » Rome-Tokio est déjà terminé. Le Santo-Francesco » qui avait quitté

d'atteindre ma vingt et unième année oh j'ai de bonnes raisons pour retenir, la date lorsque j'acceptai de me rendre à une invitation des Russell. C'était au mois de juin et la température était accablante. Aussi, lorsque mon dernier cavalier suggéra que nous pourrions,. sur le. chemin du retour, nous arrêter pour nous baigner dans un établissement qui possédait une piscine, je me laissai persuader que je pourrais facilement faire en sa compagnie cette escapade, avec son auto, et rentrer dans ma famille de bonne heure. On ne m'avait encore jamais fait de proposition analogue, mais ce projet me parut amusant et j'acceptai. Nous arrivâmes donc à la « Tortue », et après avoir loué des costumes nous primes plaisir à ta séance de natation. Ensuite, mon compagnon m'offrit une boisson qu'il prétendit être un sirop de fruits pressés puis je, déclarai qu'il était temps pour moi de rentrer chez mes parents. Mon camarade se disposa alors à me ramener et releva la capote de son automobile, soi-disant pour m'éviter un refroidissement après le bain. C'est alors que je me sentis envahir par une soudaine' som*iolence et je perdis toute notion de "a direction1 que nous avions prise.

PRIX FLECHOIS

Prix de Consolation

(8.000 francs, 2.000 mètres)

Ec. R. Guittet G. 25 » 2. Igasmal 49 (Ramognino)..P. 11 » 2. Lively Rari 51 (J. Fnntini).P. S 50 3. Si'rvandoni 58} (R. Ferré) .P.. 12 » A AUTÉUIL

Aujourd'hui, a 13 heures Courses à Auteuil. Gagnants du Figaro' Prix Alger. Ami Liégeois, Ski. Prix Counl Schomberg. Belle-moise, Nemours.

Prix Pierre d'Arenberg. Castor, Presses Toi.

prix Gradignan. Mérétrix, Altéo; Prix Firino. Bronzino, Rallye

Pulsaye.

Prix de Vincennes. Bach Agha, Dark.

SOCIETE SPORTIVE

D'ENCOURAGEMENT

Courses de Saint-Cloud Vendredi 11 novembre 1938 PRIX DE L'ELEVAGE (179.300 fr. d'allocations)

PRIX THOMAS BRYON (157.600 fr. d'allocutions)

MOYENS DE TRANSPORT

Trains spéciaux. Aller Départs de Paris Saint-Lazare à partir de 12 h. 1, suivant les besoins du service. Arrêt au Val d'Or de tous les trains directs. Retour Départs du Val d'Or à partir de 10 h. 45, suivant les besoins du service. Arrêt au Val d'Or de tous les trains directs.

Autobus. Aller* Départs de la Porte Maillot (Métropolitain) suivant les besoins du service. Retour Départ du champ de courses à la fin des courses.

Taris des entrées. Pesage homme, 30 fr. pesage dame, 20 fr. pesage enfant, 10 fr. pelouse, 5 f r. Les enfants accompagnes, mesurant moins de 1 m. 10, entrent gratuitement au pesage et à la pelouse. A l'occasion de l'anniversaire de l'Armistice, les officiers de l'année française (active), en tenue, auront leur entrée dans l'enceinte du pesage de l'hippodrome de Saint-CIoud sur f présentation de leur carte d'identité et es aous-olficiers et soldats à la pelouse.

AVIATION

Rome à 0 h. 18 a été contraint d'attérir sur la plage de Birhassan près de Beyrouth (Ailerons de l'avion cassé, radiotélégraphiste électrocuté).

Le Fiat BR 20, bimoteur Fiat 1.000 CV a accusé le parcours Rome-Beyrouth en 5 heures (474 km de vitesse moyenne).

LE CHEF D'ESCADRILLE KELLETT a annoncé hier à Port-Darwin que les trois avions Vicezers- Wellesley qui viennent de s'attribuer le record du monde de distance sans escale après s'être rendus à Melbourne reviendront à Singapour d'où ils tenteront de voler sans escale de cette ville jusqu'en Angleterre.

M. ORTHLIEB, directeur de l'aéronautique civile, est arrivé hier à Londres par le service régulier d'AirFrance accompagné de M. Debruères, ingénieur de l'aéronautique.

UN AVION MILITAIRE américain s'est écrasé dans une rue d'un faubourg de Washington. Le pilote le lieutenant-colonel Mac-Dill et son passager ont été tués. (L'avion en s'écrasant a communiqué le feu à trois automobiles stationnées sans leurs propriétaires.)

UNE 'COMMISSION CONSULTATIVE des officiers de réserve de J'armée de l'air est instituée au ministère de l'air. Cette commission aura pour objet de fournir au ministre tous les avis motivés concernant la situation des officiers de réserve de l'armée de l'air.

JIM MOLLISON dont nous avons annoncé les fiançailles le 17 octobre a épousé hier à Londres Mrs Phyllis Hussey.

Ce fut seulement le lendemain matin que je me rendis compte que nous avions passé la nuit dans un hôtel situé sur la côte. Je ne dis pas ceci pour essayer de m'excuser mais parce que c'est la vérité cet étrange et lourd sommeil a aboli pour moi presque tout souvenir. à l'exception d'une espèce de songe au cours duquel on dut m'aider à sortir de l'automobile pour me faire gravir un escalier.

Elle se dirigea soudain vers Carol et s'arrêta au milieu de la pièce, avec une expression de défi.

Carol, as-tu jamais subi les effets de l'anesthésie ? Parce que, dans ce cas, tu comprendrais mieux l'état dans lequel j'ai pénétré dans cet hôtel. Je ne savais ni où j'étais ni ce que je faisais. U faut donc croire que j'ai été droguée, ou alors que j'étais simplement exténuée par la danse, le bain et la chaleur. En tout cas, je t'ai tout dit. Nous avons passé la nuit dans cet hôtel, et je n'ai regagné ma demeure que le lendemain matin.

Anthony Weymouth.

(A suivre)

(Traduit

de l'anglais par S.-L. BontempsX (Tous droits de reproduction

̃ réservée).


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Ainsi donc nous pouvons juger de la situation du marché de lu voiture de seconde main, en France en soulignant l'importance des ventes acquises au cours du mois de juin mois le plus favorable, évidemment en voitures d'occasion. Pour le mois de juin, 51.093 voitures, dans toute la France, o%t j été vendues, soit donc à une cadence supérieure à 1.700 voitures par jour, en avance sur le mois correspondant de l'année dernière. Chez nous, le marché de la VOITURE D'OCCASION est parfaitement organisé la clientèle lui donne toute sa confiance parce qu'elle sait qu'à de rares exceptions, elle peut faire crédit aux spécialistes qualifiés qui, comme dans la rubrique du Figaro, lui offrent un grand choix de bons véhicules.

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Verticalement. 1. D'un cri de guerre des rois de France; Devant le nom d'un notable. 2. Station thermale de la Haute-Savoie; Prénom féminin russe. S. Partie d'un roulement Deux lettres de « Thouars »; Désigne un pontife. 4. Bonnets de soie noire. 5. Fin de participe; Joint; Epoque. 6. Publier; Initiales d'un poète français né à Charlevillu. 7. Fin d'infinitif; Elle fut changée

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"t» déchéance.


LE « FIGARO ÉCONOMIQUE ET FINANCIER

TENSION

SUR LE DOLLAR Une tension inusitée est apparue hier sur le dollar. Tandis que la livre s'élabl:ssait à 178;80 contre 178,73, le cours du dollar montait à 37,635 contre 37,565 la veille, en séance officielle. A terme, la tension n'était pas moins nette. On a coté un moment jusqu'à 30 centimes de re port à un mois sur le dollar, soit 8 pour le mois, ou près de 100 l'an.

Comment interpréter cette ten. sion? Manifestement, il ne s'agissait pas d'escompter que de nouvelles mesures monétaires seraient, au nombre des prochains décrets-lois. Si l'oit s'ahehdait à une dépréciat;on unilatérale, du

franc, les reports sur la livre eussent dû se tendre de la même façon que les reports sur le dollar.

La Bourse paraît avoir joué plutôt une dépréciation simultanée du sterling et du franc par rapport au dollar. Le cliché publié par un de nos confrères de midi et d'où il pourraU ressortir que M. Montagu Norman est actuellement à Paris, a fait travailler les imaginations. De là à supposer que le chômage boursier des Fêtes de l'Armistice serait mis à profit pou de ténébreuses machinations monétaîr*s, il n'y avait qu'un pas. Cer.tains cambistes l'ont franchi. Est-ce raisonnable?

Nous croyons avoir répété ici que, à long terme, une baisse générale des monnaies par rapport à l'or était probable. C'est la sanction inévitable de la phase d'anti-capitalisme et d'anti-libéralisme dans laquelle se trouve engagé le monde depuis 1932.

Que les monnaies européennes précèdent le dollar dans la chute inévitable, ce n'est pas davantage douteux. Mas Il s'agit là d'une vue à très long terme. A court terme, il nous semble que le sterling vient déjà de franchir une étape de dépréciation assez coquette, depuis la parité de 5 dollars pour une livre, qui était considérée l'an dernier comme normale, jusqu'aux environs de 4,75 où elle se trouve fixée actuellement. On a vu qu'une accentuation immédiate de ce glissement risquerait de se heurter à des réactions assez vives des Etats-Unis sur le plan commercial. Est-ce à la veille de la signature du traité anglo-américain que les autorités monétaires britanniques favoriseraient une sorte de dumping monétaire, alors qu'elles ont en main le moyen d'empêcher la baisse du sterling? C est peu croyable.

De même, en France, les déolarations formelles du Président du Conseil et de M. Paul Reynau.d contre une •: nqii.yelrp dévaluation du franr sont encore fraîches. Ne serait-ce pas jouer sur les mots »|ue de, se mettre ensuite d'accord avec la Grande-Bretagne pour opérer une dépréciation simultanée des deux monnaies? Ce serait indé-

cent. C~tP. HOHBÉ:

C,P. Hobbé.

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En,ra.E.ec.Nord.Fr. 309.. 297 « gg^J [J i j «Q ^4 1^3 | *•; g™ g TownshïPs ^h*« -0250 .0450 ^mi,;e:v.: 1 7 ^s3ffiï S SI = tSffi:E: i-g- S&«: SI ,tS ï3^ ffi$ ffi::

Télégraphie .an. fil. 470 473.. bans6~,¡onv,23 490 491 'ô"e D. 405.. <102.. Ostricourt. ID94 IIGU Transwtlalland. 121 SD 2a2

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pènarVyo 332 326 Egl. dévaM. 6 928 459 458 {JJ" 575.. 575.. Damoy (julien) 620 630 Tala de luzena. 2735 274v

V'coignes et Neeu.1 545 533., Pas.d.C.7¡¡1926: 498 495.. deMadog,al '28343OY ..1 Le Rlpolfn. louis. 21SV 2150 Moteum Salmsom Ic.1 28:: ,29;6

8.léa. 55 ~515 7^s1927 497.. 498 delaMR°rtln,q. 28 ..2" St,Goba,n,e:hauny.. 212U ..2110.. F.,gesdelaProvid..I9200..I97oo..

8oléo 'au"s"12~90 ..i24Z5.. 5)'11929,906.. 9Db de la éunian, 2A.. 1830 Soliro du M.d, 76G 750.. ezelad% 740.. 73B

2.05.,2480., :6~~i4<8:: 488.. Eur.C,\POyslol 28Q.. Au.lhalre NpvÍsat.. 1290 1.2Í5.. SteauaRamana. 4b!>040..

790. '79 '79:: TlanspartsenComm 550 554 DiebelD,ellssacap 289.0 29.0

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fleclro-ChimieUgine 1630 1'607.. ~927 4~ 459.. a,es ~ays du N, 180.. 16321.. EntrepôtdaGrenella 205& 2056.. Hulchinson 121~ 1175

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Mpl. Coloi. ~t·Dems.! II10 .,¡1080.. AI9é"~3, 1902.327.. m.. C~d:,F°n.Alg,.TunlS,' 450.. Nlcolos. 333.,34:> 1725

TtâVàSxiM « «\'ffftSK::j » "•! « •• %3l :i ii w, JBp: 3 »3 Bï=^î .g »

Pr.Chim .d'AlalsFrag,17~ 1120.. Tuni,ie 4 1931.64'1 "1664.. S',éFr.8anq. Dépôts., 1 678.. 672.. P potin ra."). 6000 ..6000.. Unia~sucr'd~"Ai.n, 36U 361

Rhône.Poulen, 81a "1 802 ·· Reporl1i Dép"ts 610.. 602.. a!,n 011 x)~ 36 SO 4c.. Manaco 1370 0 1355 5

Salnl,Gobaln .2137 .2105.. Allem¡24Dow~.IOO~.saoo.. 11920" Soc,GleAlsac.de8an, 407 bD7 SucrariesCalaniales, 5450 t33~ 80stas ITabacs¡. 690 ,19

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PalietetChau.np,) 476 466.. ,More(5)'1 1910. 386' 3B6 Rosar,âPUerIo-Belgr. 1t6 117 Borne. 5125 i2 25

Ralfin. et 5ucrer. Say 638 62~ Pologne 711~27. 2115 2110 Tvn, lS,ens(Lham,def,) 415.c6.. Llb!al/'e, ,liacheH~II, 3Q(. 1325 Amsterdam nOdO 50 1W5 2~5

Tel/elfauges. 4(>.5.. 457.. Partugal 3 r. 1 .érle 2750 .:2751 ·. Tram, I,\dachlne ca~. 710.. 731. A!nque Occld, lC, "59 1134

Union Eurapéenne.. 563 ·, 567 Mdg.(38nèr.deParis t395~.· 142~ Ali (,qu,de Iparl1iJ. '45O(¡ 4402.. LONDRES

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Lyon 3 FUSIannauv" 306 Un.fiée 4% 180 Eau a'h,a. 313. Calanies (Génér, oe'l 1 24.1 254 ¡ N rw.y"¡' 4 70. 3V8 s 7b 7i8

lîon WÙs or.nauv.1 306 Wforo7' |Ô» 1080 Vittel 325 32t.. Dunlop îf?^ t*i Rio de Janeiro 3 »' •• 2»7'

lyonj/tr Í 3D2 ,929^ ,o» icbu Thermo» 1552 1593 Bec Auer. 213 Buenos-Ayres. IvSI.I. 1903.

Midi3%8.···· 302 I AIgdriennaEdairage t98 9t MorociCieGén.dw.: 300 MEuMw~tt tv BI .Y. i903

MidI 31' 30~ 1 1931¡ 399 400 VichylEtob. Thelmo!) 1552 1593 1 Sec Auel. 213.. 21& ..[8.aene lne"OI" 81 ï 1903

O,léan.J'!< 340.. 344 50~ ~oh!a.Fé.5o/, 1910'192û 1915 Blttoralse Force etlu. 239.. 18.. Tabac au Maroc: ,7450 ..7500.. NEW-YORK

Oue,t3",nQuveau.. 330.. 330 Serbe5Ã_I~13"I348 3ar ison .660.. ~i,9 ..ICI.F9n~Flanc.can'I3fil5.. Paris. 47b f. 175718

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FRISÉS DE BENEFICE A PARIS Fermeté des mines d'or, à l'exception de la Central Mining qui baisse fortement. yif Notre commerce extérieur en octobre.

© Après la hausse de ces derniers jours surtout spéculative puisqu'elle reposait sur dés bruits et des anticipations des prises de bénéfices assez abondantes sont intervenues hier. De nombreux opéra teurs ont estimé que les projets du gouvernement ne pouvaient pas être que roses et qu'il y aurait au moins quelques épines. Dans ces conditions ils ont pensé qu'après une progression des cours qui atteint souvent 10 à 20 des prises de bénéfices étaient justifiées.

© La clôture s'effectue sensiblement au plus bas. Toutefois, la cote n'a pas été dénuée de résistance et les offres ont trouvé facilement une contre-partie.

© Les rentes cèdent un peu plus d'un demi-pOttlt en moyenne. Le 4 1/2 1937 fait exception à la tendance générale et gagne 10 centi-

mes soutenu par la feriitelé du

doltat. Pa>· contre; (e 0Ib 192è,

dollar. Par contre, le i 0/0 1925,

dont la garantie de change ne repose que sur le sterling, cède 1,35. © Aux valeurs françaises, les pertes sont généralement de l'ôtdre de 3 à 4 0/0.

© Aux internationales, on note la fermeté de certaines mines d'or en liaison avec les bruits de dévaluation simultanée de la livre et du franc qui ont circulé.

© A propos de ces bruits, on remarquera que la tension qu'ils ont provoquée sur les reports à terme du dollar favorise singulièrement le dénouement d'Opérations aventurées à la baisse du franc qui avaient pu être ten'.ées récemment, alors qu'on escomptait une aggravation de la situation financière. Ce qui ne veut pas dire qu'en l'occurrence le « Cui prodest. » soit de rigueur.

© II semble de même qu'on puisse tenir pour fausses la plupart des rumeurs qui ont circulé en Bourse touchant les projets ministériels. La décision appartient en dernier ressort au Conseil des Ministres, il tte faut pas l'oublier. E-, dans leurs échanges de vues, ceux-ci n'ont pas dû vraisemblablement dépasser le stade de l'information générale.

PARIS

Principales fluctuations Hausse

Emprunt Young 398 +13 Union Corporation^ 1585 -t- lo Haut-KRtanga. 4092 +69 Crown Mines 3089 +24 West Sprlngs 400 +11 Baisse

4 0/0 1917 78 70 0 70 4 0/0 19Ï5 133 80 1 3d Banque de France.. 7C?4 16a Crédit Foncier 2875 80 Suez 19650 809 Générale d'Electricité 1390 47 Denaln-Anzln 1403 6/ Le Nickel 705

# i-i

Principales transactions En francs de tenle z

386.439 lt l»aa A 1.682.94(i 4% 17 29S.272 1 i 1932 B 1.D54.0534% 18 1.242.284 lj%: 1»:I7 .1.875.357 5% 20 18B.300 JÛ\ 3J JÛ8H A 3.804.o00 4% 25 4Ï8.434 0.4% 1936 B 3.835.100 En titres

Manque de b 469 t-liobain 1.466

B. de l'arls 7.247 Mr. l.lauide 4.55(5

Jnlôri Paris 1.281 Indo Hévéas 4.394

<r Lyon:4.893 r«rres..floug..f8|l

Sur/: capital- ÎM" «g: 4 1/2 34 1.23|

ï)lstr. BWct. 3.282 Canad. Pae 4.436

Forges N.-E 4.446 Wag.-Mt» 5.494

Trélileries N..E 877 Uetfuld 1.90g Uns 12.547 Rio.. 2.5o3 Sickel 3.708 Union Corp 204 [)eiiurroya 1.676 Azote ord. 596 Uiilnf 1-532 Royal IJUtcb 647 Kall S.-Théi 2.692 Àmsi Rulib SOI

I Kuhlnmnn 4.590 Cr. Mal. 19.1» 1.402

"echinev 2.889 Cr. Nat. 198» 1.509 Uh Poulenc 5.762 Cf. Nat. 1923 1.467

Egyplo unl1'e. t.n:33P5n:~341u., 1815 4 ¡J. 428., 421.. Energ,e du Marac. 640.. EN BANQUE

228 326 -Touage el Ramorqud..1 II~ 119..

Indoctline 899.1905 228 ·r,9r C ,foncier Colon, 221 221. 1155 2165 8ras. ,-amèle · Norm: 1725 186

© La Central Mining fait exception à la fermeté du groupe des mines d'or. Elle baisse assez fortement sur la réduction de son dioi-,dende intérimuire à 6 sh. contre 8 sh. l'an dernier.

© Londres, toujours peu actif, est assez bien disposé, grâce à la fer meté des américaines, stimulées oar les résultats des élections qui font ressortir une nette avance des républicains. De nombreuses valeurs américaines, parmi lesquelles l'U. 8. Steel, atteignent de nouveaux records de hausse pour 1938.

@ II a été vendu sur le marché libre de l'or Londres 346 barres, d'une valeur de 1.012 000 livres en viron, au prix de 1.43/8 par onre soit une hausse de 3 p. 1/2 sur la veille. Ce prix, basé sur les offres et demandes, comporte une prime de 1/2 pennu sur la parité du dollar à 4,75 7/16. ·

& New-York est très ferme, Les automobiles, les aciers, tes caoutchoucs et les aviations cassent les taux dé l'année et terminent en hausse de 1 à 4 points. Volume 3.100.000.

MARCHES COMMERCIAUX

Cours | Dern.

dLE (prix Imposé asp, culture) M.. 503

Lf Lharpool. Oitobro U9 BfBI ~If 1)8

Lf Uierpwl. Octobre </3 3/B <fi 1/3

Chicago. Mcemlirs 63 7-8 ee 1/2 Mai 65 1/8 60 AVOINE Pari: Novembre tl 87.. CécemDre 93 /5 9.1 60

fABINES dm 308 .08,.

HOION (SlMIsl. MettMrll.. foHmïro 13 SI) H 18 Janvier H '3 M (8 HwïoH. Mnmbm eu B SI .anvjer 8 3i« SUCRE Ken-York. Décembre 3 M ? Od Od Mrs 2 OS 3 06 'iOUICHOU urne Ml..

Loulru, disponible 8 3(8 5/1» CAOUTCHOlir Ktlr-TorK. DÎMlbre » 05

.snvler W 05

-UltRl ISHn.l. Londres. Comptant 48/5 (5 13/1 Nwiork. Décembre Kirs 100* ElAIN tondrai. Commun mil. "U 17/8 PLOKS etranjef.. Comptant l«3/»t6 9<Vi

MC .T. Comptant H1I/3HKM!

»BGEM ibarnul.. »: Comptin: .i. 19 6/6

OU flK Complu» •••'• «<M

LONDRES bien tenu

VALEURS &161, Dore. Il VALEURS 1 0,

"^Ta..i sa u ™™ i p£. i s

I PrIsAd.~ .coarP DrtCéd. Coarb

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Cons. 2 tUB 81B 12 71161Ic,o.MIO.. il 1 19 6lfl?4

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Wir toan.. 89 S/i 99 d/4 Qeduld 9 1/! l~2 < If? 117

Franc. ï 10 7,'» 107(8 GoKBtlds.. i1/ip!i "/»'

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Brea. (1699) 6 1/1 6. Ihartll. 33/9 93/9

Chine* H ,i. M. langatvlka. S/3 e/S

Ejjpt. unif.l 941/2 S31/3 fnaconm.. 150/. 161/tOJj

roung «11/2 42.. Royal Dutch. λ1|8 M 8/1

Italicn 3 -,î 11112 42.. Roy.IOulI:h, "'118 13 il '0

Italien 3 U. Shell < n/1« «6/1»

Jap.<%|99) 40 S/4 41 1/t «e>. Ugle.. Sfl!( SI..

Portug. 3 11 Aralo-Fran,. 100/. 100/

Portug. ¡ié a~i ~~1~ 1~;i 1~¡i¡

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Turc 7 ii 113118 13(18 Kilacca,MO!; 21

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Hydro-Elec.. bI8 6 7'16 'Scr.noh 31 '3 31(3 Int. Holding; 1 5/8 1 51* Courinulos.. "/«/< 20 4', Imp. loblc. 135;. I35;>L, iSrist.CcIcn. 3,8 sK'i StMl Corp.. 68 1/8 /I Imp. Chemlc. 31/iîi j1/8 DeBeers. 9 tUSiISliUnlIntr. iS;S 37/.

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BRUXELLES assez ferme

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-TERME --1 _eurs Il COMPTANT récàd. cours

Muse M. ~n.li B.8.S5',2<s 69/5. «75 .f. L

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DrftD'lraC. 9;B Bfi8"All ~Ç"6laae-R"-D R,e 7i10a. ~21t0 1:'J~

Bmnbs-Alr.V 136 .>; 1W Cr. AhïerS'i. 600 .i. 600 .T.'i

I HMIdulll. 1516" 15!S Roc. 0. Bol. 3300 S400

Nltf.RlIh». 583 i/4 W W 'Electrpbcl.. 1640 1680

fmq.daPir. 10J6 1010 .1. iEleci. (Up.l, 916 MO

flecl. tslna: 910 .I;I DD7 I (cap,), 915.1. 71HD al,

Emstll». 310. J0<3/< tfon.li 2IÎ0 SI»*

El. Gai Bord 30)1/2 8R1.J Mni MJ. W.1.

'êtrecolit.. 696. 695 1i2 Hr*oflna | 17J

Tingnilka. H .(. 62 .1. 'i. Cockertl. 12». 13S0 .).

Mndm. •<̃ 1310 1W ]O»Bree-»ar., 116» 1310 .(. m Kit IpnI 3630. I 3640 .(. Urtnr. Klms 15> 160.

FlnsnCaout 21! 1,2 III 1,4 VIcllll-Monl. 1120 11(5.

ComckIII.. 6! 1/2 S9.I. Mm»». 8115.8225

PtlroSna. 492 1; 492 1/3 Nord fchan, 2030 2)80

Petr06" 492 1121 49.2linord1m: .1. 21&1 .1.

IB7bA~· 429 ·· 429 Energie du Rhin. 210.. 275..

Maroc, 3~ · Dldat.80ttin 9~ 948 948 Mbdnp ED7

Le rapport off-ciét du Cotton Uureau à la date du V novembre estime la production de la campa- gne 1938-1939 aux Etats-Unis à 1 12.137.000 balles de 500 livres, alors Is que la précédente estimation faite à la date du 1" octobre tablait sur 12 212.000 balles. Rappelons que ta récolte de la campagne précédente avait été de 18.94li.000 balles et celle de la campagne 1936 de 12.399 000 balles. La légère diminution que font apparaftre ces estimations par rapport aux précédentes est contraire aux prévisions du marché qui s'attendait, en effet, plutôt à une augmentation.

© Pour la semaine au 5 novemhre, la production moyenne de péfrole brut aux Etats-Unis ressort à 3.628.000 barils contre 3.237.000 barils la semaine précédente,

© Le commerce extérieur de la France en octobre dernier ee présente ainsi, par comparaison avec le mois précédent et octobre 1937 c En valeur (millions de francs)

Imporfalio!<s Objets d'aliment. 1.152 1.027 959 Matières prem. 2.231Î 2.027 2.200 Objets fabriqués 490 480 555 Total. 3.878 3.534 3.714 Exportations

Oblets d'aliment. 456 333 343 Matières prem. 809 996 847 Objets fabriqués 1.505 1.324 1.174 Total. 2.830 2.653 2.364 Déficit.. 1.048 881 1.350

© Pour les dix premiers mois de l'année, le déficit de notre balance commerciale ressort à 16.661 millions l'an dernier.

Non» non» permMlun» *r rappeler à nos abonnés que. molcre le dé. dont nous «unîmes anlm<» de eut êtn agréables, nom nomitir» dan» rimpnnoihlllié ,i> donner sui te am demandes dr change menl» d adri^se» qu'ils nom trunameltent oar téléphone

précéd. jjours

AMSTERDAM cas. ferme VAIEVBS | pSl 5yj»â« U»i. j. «S

«mit. Bank. 140 1/2 1401,8 H. ».«. 478. 479 3/4

BoralDiiteh. 334 1/4 3!8 7/8 *mn..Dub.. 239 3 4 2W 5;8

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INFORMATIONS

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dans l'Union snd-afrtcaine)

Emission proposée de 750.000 actions de 2 sh. 6 d. chacune à 12 sh. l> d. par action sur la base d'une action nouvelle pour 8 actions anciennes. Il est donné avis par la présente qu'au cas les résolutions augmentant le capital de la Société seraient votées par l'assemblée générale extraordinaire des actionnaires de la susdite Société qui doit se tenir dans la salle du conseil. Consoildated Gold Fields Buildintt. 75, Fox Street Johannesburg, le mercredi 23 novembre 1938, à 11 h. 30, les livres de transferts et registre des actionna'res de la Société seront clos du 29 novembre au 3 décei. jrc 1938. ces deux jours inclus, nfin de déterminer la liste des ayantsIroit à l'en-.lssiori ci-dessus.

Les bulleilns de souscription seront adressés par la poste le 3 décembre 1938 à tous les actionnaires nominatifs ayant le droit de souscrire et le dernier jour fixé pour la réception des souscriptions sera le 13 décembre 1938. Les détenteurs de certificats d'actions au porteur qui désirent souscrire de\ront se procrer un bulletin de souscription spécial.

Un avis ultérieur sera publié a ce suiet immédiatement après l'assemblée générale susvisée.

Par ordre dit conseil

Bureau de Londres

49, Moorgate, E. C. 2.

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RADIO

s'obstinent à ne pas vouloir ordonner leurs émissions, en suivant un plan de fond plutôt qu'un plan de forme, pendant que nos postes privés s'enfoncent de plus en plus dans des conceptions commerciales périmées (avec ces exhibitions d'amateurs, dont certaines devien- nent odieuses), la radio anglaise, après un moment d'hésitation, montre la route à suivre, une fois de plus. La causerie de Mme Nadia Boulanger, dont nous parlions avant-hier, i tait le prélude d'une série d'admirables concerts de musique ancienne et contemnoraine, donnés sous sa direction les co"rts illustrent la causerie la causerie expliquait les concerts. La radio d'Etat française semble nager dans l'improvisation. une improvisation dont les détails sont réglés trois mois à l'avance.

21 heures, RADIO PARIS Transmission, depuis le thiâtre de l'Opéra, du concert au profit de la Saciéte française de S'cvitrs du Blessés militaires rie la Cruir- Rouge jrancaisi et de l'Accueil français aux Autrichiens Séances de sonates Sonate en ta ?najeu* 7 (.Mozart): Sonate cri ut mneui (B<"jthoveu) Sonate en la majeur (Franck). M Bruno Walter au piano, M. Jacques Thibaut au violon.

21 heures, TOUR EIFFEL Callcert par l'Orchestre de chambre de Paris soirs la di rection de M. Duvauchelle Aria de la Suite en (bach); Concerto çrono en ut mineur (Gemmant); Pastorale, extralte du Concerto pour la Nativité (Corelli); Air (Hœen^p.l) Sthaçaçe Doch. cantate peint do- ches el orchestre {Bach); Pièces (Purcell); Concerto pour quatre violons el orchestre (.Vivaldi); Symphonie N" 19 (Haytn); Aoirs (Gluck et Mozart); Six danses allemandes (Mozart)

21 h. 40 LUXEMBOURG Conçut sous la direction de M Pensis Symphonie en ml bémol (Haydn) Concertn en pour vio- lon et orchestre (Mozart).

22 h 35, NATIONAL ANGI.MS Con rert Monteverdi. Ensemble vocal Nadia Bou langer et orchestre sous la direction de Mm.- Nadia Boulenger.

18 h. 40, NATIONAL ANGLAIS Weber, Mozart, Verdi, Beck.

19 h, 10, COLOGNE Schul», Mozart, Beethoven.

19 h. 10, HAMBOURG Concert hongrois,

19 h. 30, LONDRES REGIONAL Messe en si bémol m'neur (Bach).

MUSIQUE DE CHAMBRE ET SOU 14 h. 20, PARIS P T.T. Mé.odies par Mlle Cottavoj.

14 h. 25, Radio-Paris Pièces pour piano par Mlle Longcray.

17 h. 35, PARIS P-T.T. Pièces pour violon par M, Neufled.

18 h. 5, PARIS P.T.T. Mélodies par Mme Simon.

18 h, 1S, RADIO-PARIS Mélodies par Mlle Parât

MUSIQUE LECERE ET VARIETES 13 h. 5, PARIS P.T.T. EmisrJrro •̃n fantine Adaptation J'un conte d'Andoraen. 19 b., RADIO-PARIS: M.sique variée 19 h. 45, POSTE PARISIEN Les beaia leudis.

15 h. 45, RADIO-PARIS Molière et le tragi-comique.

20 h. 30, PARIS P.T.T ̃ hoir je conMuree a VH'.ers de l'Isle-Adara (conv:s, Irctmes o poèmes, mélodies sur Ifs noinM de Villlert de L'IsIe-Ai'am. jartle ihelirae avec Mim Simone et M. '«toux-

21 h. SS, Stra«bour? La Pait, d'Aristophane, adaptation t-adi.-phonKjue de Thé Fleiscbmann.

(Enregistrées

Avjs aux Actionnaires

Herbert F. Habvey,

Secrétaire à Londres.

9 novembre 1938.

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21 h. 30, RADIO CITE 1918-193B. une resque d'histoire, par M. Henry Malherbe, ivec Georges Colin et sa Compagnie et tous es reporters, correspondants et envoyés spé̃ioux de la Voix de Paris; Mise en ondes de \I. Guignebert Diffusion des cérémonies dei \randes villes, Londres, New-York, Rome, Herlin. 1.

23 h. 45, RADIO PARIS Concert de ,uit sous la direction de M. Rhenê-Baton Hermann et Dorothée (Schumann) Qualriàw Béatitude (Franck) solistes MM Jouatte :t Le Marc'Hadour; Poème symphonique (?) pour piano et orchestre (Faurê) Jean Doyen.

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15 h. 45, LONDRES REGtONAI Orchestre de la B. B. C. Mozart, Dvorak, Msre-cotti Brero, Beethoven.

17 heures, RADIO-PARIS Transmission des Concerts Lamoureux L'Héroïsme en mus'que.

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MUSIQUE DE CHAMBRE ET SOLI 12 h. 45, RADIO-PARIS Mélodies par M. Peyron.

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19 heures. TOUR EIFFEL Mme Raveau, cant'tric-. et Mme Marika pianiste. IW'S'OUE I EHPRE ET VARIETES 19 h. 30, PARIS P. T. T. Variétés avec Lyse Gauty et Yvon Le Marc'Hadour. 20 heures, RADIO-PARIS Concert par la mus'que des trompettes, clairons et tambours de la Garde républicaine.

20 heures, RADIO-CITE Gala des vedettes.

20 h. 45, RADIO-CITE Jeu des questions.

21 h. 15, POSTE PARISIEN Fred Adison.

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19 h. 1S, STUTTGART Le Vaisseau fantôme (Wagner).

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19 heures, RADIO-PARIS Marathon, pièce radi^honique de Fernand DivMre, mise en ont'cs de G. Colin.

EMISSIONS COMMEMORATIVES 20 heures, BRUXELLES FRANÇAIS U novembre, jeu radiophonique de Théo Fleischmann.

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A F Académie des Inscriptions et Belles-Lettres

M. Lods a présenté le rapport sur les travaux de l'Ecole française de Jérusalem.

M. Millet a relaté les travaux dit congrès d'archéologie chrétienne qui vient de se tenir à Rome et auquel il prit part au nom de l'Académie.

De sou côté, M. Picard, qui avait été délégué aux cérémonies organisées à Athènes, le mois dernier, pour le centenaire de la Société archéologique grecque, a rendu compte de sa mission.

DANS LES T. C. R. P. A dater du lundi 14 novembre 1938, les voitures de la ligne 76, « Argenteuil (place du 11-Novembre)-Pont de Neuilly (avenue du Pont-de-Neuilly) », emprunteront dans Colombes, entre la place du Souvenir et le carrefour des rues de Rueil et du Général-Cremer. a) en direction du pont de Neuilly

La place du Souvenir, la rue de Nanterre, la place Galilée, les rues Henri-Barbusse, Bouin, des Voies du Bois, Brassat et de Rueil. b) en direction d' Argenteuil Les rues de Rueil, du Général. Cremer, des Voies du Bois, Halphen, Beaurepaire, la place du Souvenir.

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LE RIRE D'UN ENFANT

(De l'envoi de Mme Canivet, Saint-Gloud Country Club, Garches) 2° PRIX

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M. J.-L. AUiez, 10, rue de Siam, Paris Mme Anita de Bonnefène, 8, rue Borghèse, Neuilly M. J.-M. Brion, 7, rue Tiffonet, Bordeaux M. G. Couturier, 5, avenue Alphand, Paris (16e) M. G. Daniel, 128, rue de Neuilly, Puteaux M. René Delorieux, 1, rue du Mexique, Le Creuset M. Louis Duverne, 5, rue Bourdon, Le Creusot; M. Paul Frugier, 31, rue Chanzy, Libourne M. Antoine GrimmProvence, 24, rue Saint-Laurent, Bordeaux M. Marcel Houard, 12, rue de Malakoff, Le Creusot; Mme H. Jenkins, 36, rue Michel-Ange,' Paris (16°) M. Luc Lanet, 50, boulevard Inkermann, Neuilly M. Robert Lévy-Javal, 8, rue de Tocqueville, Paris (17e) Mme

ME NTION

•̃a ̃:̃̃/̃;̃-̃̃

M. Abenhelmer, Paris Mme E. Adeuot, Paris; M. P. Adenot, Paris; M. d'Albon Saint-Romain-de-Popey Mlle AlgUi, Bucarest (Roumanie) M. A. Allard, Montreuilsous-Bois M. J. Allier. Paris M. Amelot, Gand (Belgique) M. R. André, La Bourboule; M. Ph. AuIter, Ville-d'Avray Mlle d'Àuglejun, Saipt-Lêger-sur-Beuvray; M. Auuenarcl. Saint-Mandê; M. J. Ardja, Enghien M. Arnous-Rivlère, Nantes; Mlle E. Arène, Paris; Mme Asseline, Caen..

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Mme J. Bakou, Saint-Gerrnain«n-Laye M. A. Banallle, Mazamet) M. Bardel, Ville-d'Avray; Mlle Baret, Paris; Mme O. Barré, Rennes Mme Bartholonl, Neuilly; M. Bauxet. Neuilly sur Seine Mme Baudon de Mony, Paris Mme A. de Baudus, Paris; M. J. C. Bayle, Nogent-sur-Marne M. R. Bedan, Paris; baron S. de Belabre, SaintCloud; M. Benzonane, Paris; M. D. Berge, Paris; Mlle J. Berge, Paris; BI. Ch. Bergerat, Paris Mme R.Bernade, La Garenne M. M. Bernard, Paris; M. Bernard, Lourdes Mlle M. -M. Benard, Châtillon-surIndre Mi A. de Bernis. Paris; M. A. Berthonneau, Paris; M. M. Blanc, Suisse; M. P. Gogliolo, Arcueil Mme Bondonneau, Matour M. P. Bonln, château de Ganciel (Eure); M. Bonnenêne, château de MéracArzacq Mme J. Borotra, Paris M. J. de Bonvoloir, château de Saint-Jean-du-Bois (Sarthe) Mme Boucher, Oise M. J. Boulanger, Nord Mme Bourbonneux. Paris Mme L. Bourgeois. Vinantes, par Jullly M. A. Bourgneuf, Paris Mme F. de Bousquet, Paris M. M. Bouzerot, Paris M. G. Brondel, Villeurbanne; Mlle H. Brossmann, Paris;' M. J. Bruneau, Villemonble; M. Brunswick, Paris'; Mlle M.-L. Bucallle, Paris; Mlle M.-L. Bucaille, Paris; 3111e i H. Bucherer, Pai-is Mlle E. Bnssy, Paris.

Mme Campi, Paris M. F. Ca«telll, Neuilly-sur-Seine; M. K. Cantals, Le Havre H. J. Caron, La Tronche; Mme de Catalan, château de Villers-le-:Sec (Aisne): M. G. Caïallêres, Paris MJ.H. Chabanne, Paris; Mme P. Chadourne, Paris; M. P. Chatfiotte, Le Creusot Mme H. Challly, Fontainebleau Mme G. de Charge, Colmar; M. Y. Charoy. Nancy; M. A. Cha» roy, Thionville; 3ff. L. de Charnacé, Paris: M. Chnrton, Paris; M. Chandon-Moet, Epernay M. R. Chanveau, Paris; Mlle J. de Chavaenac, Saint-Gernier-de-Fly; Mlle J. Chome, Neuilly-sur-Seine; M. B. Chanveau, Paris; M. R. Choveaux, Pa.ris: M. Y. Colliot, Neuilly-s.-Selna;

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M. Coquis, Melun M. A. Coate, Lyoni'M. Y- Couturier, Paris; Mlle J. Crevoisier, Paris. «̃

'f.Bt-P.

Mlle H. Dnrby, Nice MUe M. Daubln, Boulogne-sur-Seine; Mme H. Debandre, Paria: M. M. Debray, Arcachon; M. H. Delnfon, Paris M. Dclfcrlêre^jjouvain (Belgique); Mme ;I>elobettc, Paris; M. Denaes. Saint-Omer; M. F. Denuyer, Calais; Mlle M. Desnues, Paris; M. Desversrnes, Bergerac M. P. Sesvignes. Pontanevaux Mme A. Detraux. Dunkerque; M., H., Devaux,, Paris; Mme Devillard, Saint-Germain-duBois M. J. Dlot, Château-Landon; Mlle L. Dizac de Card, Limoges; Mlle A. Dormleu, Dunkerque; Mme Douay, Paris Mate M. Ductert, Saint Soupplets M. H. Dufour, Sens; M. J. Dunalgre, Paris; M. R. Dupont, Paris; M. R. Dupont, Paris M. Dufour, Sens; M. Durenu,

LE .PALMARES

e e précédents concours organisés par nous avaient démontré qu'un grand nombre de M J nos lecteurs et de nos lectrices possèdent une pratique réfléchie de l'art de l'objectif. Aussi n'avons-nous pas-craint de mettre à l'épreuve leur expérience en même temps que leur adresse en leur proposant cet été un concours d'un style nouveau, d'un programme assez complexe, une « course au trésor » photographique. Que leur avons-nous demandé ? « De nous envoyer des photos prises pendant les vacances » sur les six sujets qui suivent

1" Un étalage de marché en plein vent 2° Une femme respirant des fleurs

3° Un paysage vu à travers une raquette de tennis ̃̃•-•̃ 4° Une tête de vache

5° Un canard s'essuyant les pattes sur un tapisbrosse -i

6° Le rire d'un enfant. -•

C'est dire que ce concours exigeait d'un même photographe une grande variété de talents on lui demandait à la fois d'être bon reporter, bon humoriste, bon portraitiste, et bon animalier 1 Loin d'être découragés par le difficultés, les concurrents semblent s'être piqués au jeu ils ont été heureux de pouvoir montrer la souplesse de leurs dons.

Nous avons le plus vit plaisir à constater l'empressement avec lequel ils' ont entrepris cette

.J ENVOI DE M. A. PORTIER, A PARIS

'̃̃-̃- ..••<• ̃̃•̃t. ..• ̃. .̃• prix ̃̃•̃' ;• 'y; ;.̃>

Chantilly; M. E. Duret. Moussel;; M. H. Durieux, Lausanne (.Suisse).

̃- vV ̃̃ TE; ̃(:r:{

Mme G. cl'ISHoy, Limoges; Mlle J. ISnjoubert, Pertuis; M. P. Epron. Thionville; M. R. Exculmsse, Alger M. Espierre, Paris.

p

M. R. Fanelli, Paris; Mme Farkou, Paris; Mme Fanre, Font-Romeu Mme Fedo, Paris; Mlle G. Fels, Paris; Mlle M. Fiechter, Paris Mme Figarol, Paris M. de Flenry, Paris; M. R. Fllpo, Tourcoing M. C. Flury, Paris; M. J. Fosse, Le Chesnay; Mlle D. Fourmont, La Varenne Mlle N. Frémont, Paris; Mme M. Freulon, Draguy, par Sartilly; M. E. Fromager, Neuilly-sur-Seine.

G

M. L. Gnbrean, Paris; M. Y. Gaborit, Saint-Fulgent: M. Ch. Gabo-

LE RIRE D'UN ENFANT

(De l'envoi de M. Xavier Toulemonde,, Roubaix) 1 6'PRIX

rit. Saint-Fulgent; Mme M. Gadala, Paris; M. J. Cagneux, Paris; Mme Gérard de. Gary, Toulouse; M. B. Gay, Fontaine: Mlle Gazzo, Meudon M. P. Gérard, Paris; Mlle G. Gerbault, Le Chesnay; Mlle Geiiuy. Paris; MUe J. Gerson, Paris; M. H. Girard, Paris; -Mlle G. Godard, Asnières M. B. Godefroy. SaintQuentin Mme J. Gol,estan, Paris Gontran Léo, Tronville-sur-Mer M. P. Goumaln,, Chemille-sur-Indrois; M. F. Grandgeorge, Paris M.' J. de Grnndoal, Chateau-Landon Mlle M.-B. Gras, Lille; M. R. Grenlliet, La Garenne; M. F. Gri.monprez, Le Haut-de-Fresles M. B. Groadfdler, Metz Mlle Grous, Villiers-le-Bol Mme Gnillaumet, Paris. >

I es six premiers envois primés seront exposés dans notre Salle. des Dépêches, avenue des Champs-Elysées, 22# à partir du Samedi 12 novembre.

« course au trésor ». Ils ont abordé franchement les j ~r obstacles le jury a remarqué la probité de leur. effort..̃• i,- ̃ ,V

II a été aussi frappé par les qualités techniques des épreuves qui lui ont été soumises, et qu'il a examinées une à une, en dépit de leur nombre, très ̃' élevé. Certes, s'il en était besoin, ces qualités démontrent à quel point les émulsions négatives et positives ont été perfectionnées en ces dernières années. Mais elles prouvent surtout que les amoureux de la photographie ne se contentent plus de résultats approximatifs, qu'ils sont devenus exigeants envers eux-mêmes, et qu'ils se donnent la peine d'apprendre les secrets d'un métier subtil qui touche à la fois à la sciénce et à l'art. Dans le choix du sujet, dans la recherche de la composition, parfois se sont manifestées une certaine hésitation et certaines faiblesses. Dans le' classement dont nous donnons les résultats, et ̃ II a été tenu un compte rigoureux des différents facteurs qui pouvaient jouer en faveur des concurrents, ou contre eux, entre deux rivaux dont les envois étaient sensiblement égaux du point de vue de la technique, on a donné l'avantage à celui qui avait sur les six sujets, le mieux répondu à l'esprit et à la lettre du concours.

A tous les concurrents Le Figaro adresse ses remerciements, et inscrit en marge du palmarès qu'il publie ses chaleureuses félicitations.

';̃.̃&•̃

M. G. d'H.eilly, Versailles; M. J.•I. Heihinann. Paris; M. A. Hellot, Paris; M. A. Hetoir, Dunaing; Mme A. Hérouel, Paris; M. M. Hindre. Paris; M. de La Hitte, Paris; Mlle E. Holguin, Paris M. J. HollierLarousse, Paris; 'Mnie Horrie de La Motte, Chasseneuil-sur-Dcnneure tt. H.-P. Houettc. Vire Mme P. HotiKset, Clairefontaine M. Huber. Nyon; M. M. Huntbert, Reims. et

Mlle C. Imbrecii, Paris; MM. F. et P. JagerKehmldt, Paris; M. C. Janimes, Paris; M. M. Jay, Reims; M. Jcaiidet, Paris; M. L. Jeandct,

Paris;! M. B..lonbert. Tours; Mme Jung. Paris; M. J. Jourjon. SaintEtienne; Mme -A. Jouxter, Coutras.

MUe J. Keiju, Paris; M. M. Ketter, Saint-Nicolas; M. C. KoeehUn, Paris; M. G. Klvaisa, Paris.

L

M. A. Labonrelx, Craponne-surArzon M. E. Lagasse, château de Pont-Chartrain; Mlle G. Lalsney, Paris; M. Lalfgaut, Marseille; M. Ph. Laniaciiue, Paris; M. Lansuereau, Paris; M. Larcher, Dijon, M. Laroche, quai de Valmy; 'M. LasCases, Paris; M. P. Lasserre, Paris; 51, L. Germain, Marseille; Mme G. Laurentin, Paris; M. J. Le Berre Boulogne -s ur-Se ine; M. Y. LeBlan, La Madeleine; M. Lebrée, Paris Mme Lcfort-GcnsoIIen, Paris M. LefrançalK, Paris Mlle M. Le Guesne, Oriéans;.Mme H. Lelnefcnsel, Neuilly-sur-Seine; M. Lelonc.

UN CANARD S'ESSUYANT LES PATTES

SUR UN TAPIS-BROSSE

(De l'envoi de H. Wehel Téçtftid, à Loudun, Vienne)

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Mile Mabire, Rouen; -Mlle A. Ma-

MUe Mnblre, ,Rouen; "Mlle'A.. Ma-

deleine, Caeii M. Maechler, Versailles Mlle' Malacamp, Marseille; M.. M. Mambre, Paris Mlle MIy Maraune, Mirebeau-en-Poitc-u; Mme Marchai. Dijon: M.' J.-M. Marchand, Paris Mme L'. Mardclle, Loches M: Mnrîtot-NoMemalre, Paris M. Ch, Martin, Amiens; M. L. Martin, Nanterre; Mme G. Masurel-UnfJelet, Tourcoingr M. J. Mauerus. Pacy-sur-'Eure; M. J. de Maùpas, Ruffee-le-Chateau;' Mme de Maup.éonr Moubail, province d'Anvers; M. J. Mantin, I3aiis; Mme de Mnwe ville, Garches; M. Megiiw, Paris; MUe H. de MonbrlNon, Tarbes; Mlle Y. Mercier, Paris M. A..Meyer, Paris M. M. Mlnrd, Dijon Mme MiehclPerrln, Nevers; M. J. Minard. Préfontaines Mi 'H. Mlquel, Paris Mme G. MIrabiind, Corapiègne; Mme A. Monseot, Paris; M. A. de Monbrlson, Tarbes; Mlle de Montarby. Paris; Mme de Montferrand. Pai'is: Mme P. Monod, Paris: Mlle Morenu, Paris; M. J. Moussette, Paris; M. P. Mnasat, Le- Chesnay; • M. -Musson, Orléans.-

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"M. \G." Naudet, Fontenay -sous Bois; Mme J.; Nenert, Saint-Trieux; M. R. \icolle, Pàrig; Mlle A. de Nolhne, Neauphle-le^Chateau..

UNE FEMME RESPIRANT DES FLEURS (De; l'envoi de M. Paul Delmotte" à Amiens) 3e PRIX

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M. P. Q,noirez, Paris Mlle S. Q,oolrex, Paris; M. de Radigues de Chenuevière, Paris AI. de, UadiKiieH. Paris Mlle Haiiuel, Paris; Mlle M. Redon, Paris; M. H. Reine, Saint-Cyr-1'Bcole M. L. Renard, Briançon; M. Renard, Briançon; M. Renaudet, Le Mans Mlle Y. Renault, Loiret; Mme T. de Renesse, Beverst (Belgique) Bille R. Reverdy, Paris; Mlle 0. Rîlies, Paris; Mme M. T. Rife, Paris; M. Rtzot, Paris; Sergrent Robert, Senan; Mme Robert Eudoxie, au Crû, par Monthieu M. M. Rosbette, Genève (Suisse); Mlle Ronce, rue du Bois.de-Boulogne M. M. Rondest, Argronteuil M. M. Rouluud, Arcachou [ M. M. Royer, Paris Mlle Rousseau, Reims Mlle A. Roux, Villeurbanne; Mme J. Huel, Paris; Mme Ruyssen, Cité du Vieux-Perouges. ',̃̃.

..•̃. .̃̃ S::v:l.

M. 0. de Saint-Andréol, Plorabières-les-Bains; M. de Salnte-Lorette, Paris Mme Y. Saint-Pierre. Belley.; Mme A. Snnçery, Paris; Mme de Snnflantes, Paris; Mlle Snlliard du Rivanlt, La ForSt-sur-Seires Ml A. Savoie, Grand Duché du Luxembourg Mlle N. Srhloesine, Versailles; Mlle A. Schmit. Paris; Mlle A. Seliiulti, Limerle (Belgique) M. H. de Seiionxae. château de Bouy, par Fléchin; Mme Selllan, Paris; M. J. Sève, Paris; M. O.-M. Shoeron. Tanger; M. Simonls, Vervien (Belgique); M. Router SitrI, Paris; Mlle Lotty Smit. ThouryFerrottes M. A. Sorbets, Tarhes; Mite A. de Souzn, Le Havre; Mlle J. Sueur, Paris M. P. Surrel, Craponne-sur-Arzc-n Mme P. Surreï. Craponne-d'Arzon.

̃ T ̃̃

M. Tapuanel, Versailles Mlle Tayrean des Loges, château des Forges, par Vasles Mme F. de TarroKon, Compiègne; M. Cn. Tessler. Tours; Mme A. Teyssonnière de Gramont, Paris; M. A. Thérial, Gérardmer; Mlle R. Thevenet, Paris Mme Ch. TiherKhien. Tourcoing Mlle G. Tlberghien, Tourcoing Mlle M. Tinet, Paris; M. M. Toled.-uio, Le Pecq; M. F. Toulouse, Paris Mme Toulouse, Paris M. Trarieux, Monte-Carlo: 11. Hellen dn Treste, Saint-Cloud; M. Martial Tricaud, Paris Mlle H. Turner, Charny-sur-Meuse.

V et W

M. Ulman Etienne, Paris; Mme von den Krok, Hollande; Mlle M. Valleton, Le Vézinet; Mme de VauKuion, La Chapelle-d'Aligné; Mme Vautherot, Paris-Plage; M. P. Verdier, Paris Mme de Verdière, Brest; M. Vlan, Ville-d'AVray M. Vianet), Ménévreux-le-Pitcis Mme M. de Villoutreys, Hainaut (Belgique) M. Vinrent, Vesoul (HauteSaône): M. Volant. Bourges; M R. Vrlllaud. Paris; M. Vuong, Paris; M. G. Chr. de Wall, Marseille Mme R. Water, Paris Mme M. "Webb ̃ Ware, Paris Mme L. de Week, Valais (Suisse) Mlle B. Wirtï-Daviau. Paris; M. ï. de Wt- sines, Paris M. B. de Wolovey, Neuilly-sur-Seine.