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Titre : Figaro : journal non politique

Éditeur : Figaro (Paris)

Date d'édition : 1938-06-24

Contributeur : Villemessant, Hippolyte de (1810-1879). Directeur de publication

Contributeur : Jouvin, Benoît (1810-1886). Directeur de publication

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34355551z

Notice du catalogue : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb34355551z/date

Type : texte

Type : publication en série imprimée

Langue : français

Format : Nombre total de vues : 164718

Description : 24 juin 1938

Description : 1938/06/24 (Numéro 175).

Description : Collection numérique : BIPFPIG63

Description : Collection numérique : BIPFPIG69

Description : Collection numérique : Arts de la marionnette

Description : Collection numérique : Commun Patrimoine: bibliothèque numérique du réseau des médiathèques de Plaine commune

Description : Collection numérique : La Commune de Paris

Description : Collection numérique : France-Brésil

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k409895r

Source : Bibliothèque nationale de France

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 15/10/2007

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ATTAQUE

crédit international

Un débat très dur est ouvert, depuis quelques semaines, entre le Reich, qui

a annexé l'Autriche, et les créanciers de ladite Autriche, en premier lieu les Anglais. Le gouvernement de Berlin refuse toute responsabilité au sujet des dettes extérieures de l'ancien Etat autrichien.

Le ministre de l'économie du Reich, M. Funck, a exposé la doctrine nazie sur ce point dans un discours dont la portée est aussi politique que financière « Nous paierons, a-t-il dit, toutes les dettes commerciales. Mais nous refusons de reconnaître le système des dettes politiques. Ceux qui se servent du crédit comme d'un instrument politique doivent prévoir un élément de risques incalculable. De plus, un développement sain des relations économiques est généralement empêché par des prêts politiques. L'artificiel Etat autrichien fut maintenu, contre l'Allemagne, par une assistance financière de l'étranger pour des raisons purement politiques. Cette assistance, qui a empêché l'Autriche de s'unir au Reich, ne l'a pas aidée d'une manière constructive, mais l'a appauvrie. » Abordant un thème plus général « L'Allemagne, a-t-il ajouté, est convaincue que le crédit national doit remplacer le crédit international. Le commerce allemand, sans cesse croissant, fait de l'Allemagne un associé hautement désirable pour les pays dont les marchés ont été réduits par la drise. Au milieu d'une dépression générale des affaires, la production d'acier allemande, commence à dépasser celle des Etats-Unis. » »

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+ -*•

Sur le cas particulier de l'Autriche, la thèse du ministre allemand n'est pas sérieuse. Sur le problème d'ensemble des dettes dites politiques, elle révèle le plan du national-socialisme pour mettre en échec le prestige et les moyens d'action économiques ou financiers des grandes « démocraties ».

Le crédit international a servi à rétablir la situation économique de l'Autriche, à gager sa monnaie, à lui assurer des échanges sains et une balance de comptes en équilibre. Si le crédit international ne l'avait pas fait, c'est une faillite que le Reich eût annexée en annexant l'Autriche. Or, il a annexé noji une faillite mais un actif autrichien, et très substantiel un actif de devises des pius précieux pour l'Allemagne.

Pour éviter des représailles commerciales, surtout de la part du marché britannique, il est probable que le Reich finira par reconnaître quelque chose aux créanciers extérieurs de l'ancienne Autriche.

Reste la signification générale du précédent ainsi affiché.

ya

L'Allemagne oppose dettes politiques à dettes commerciales. Elle oppose de même crédit international à crédit national. Elle condamne les dettes politiques, mais soutient les dettes commerciales. Elle affirme que le crédit national est sain, mais le crédit international malsain.

La meilleure illustration que l'Allemagne pourrait donner de cette doctrine serait évidemment ie sort qu'elle fit subir aux créances des Alliés, puis aux crédits de l'étranger qui se trouvèrent, un beau matin, « gelés ».

Sans doute, l'avenir l'intéresse plus que le passé. Elle condamne les prêts dits politiques de la part d'autrui, parce qu'elle-même n'a pas le moyen d'en faire. En revanche, comme une grande partie de son commerce repose sur des ventes à crédit, elle respecte ies dettes commerciales. Pareillement elle déclare malsain le crédit international depuis qu'il lui est refusé ou, du moins, depuis que son système autarcique écarte les prêteurs même les plus imprudents.

Mais, à vrai dire, qu'est-ce qu'un prêt dit politique ? Dans les trois quarts des cas, c'est une avance de crédit par les banques du pays fournisseur au pays client, ce dernier étant reconnu trop pamàc, au départ, pour payer les fournitures dont il a

au

besoin. Transposition à un niveau plus ou moins « politique » de la méthode que le commerce allemand a toujours employée sous le nom de « crédit en blanc ». Ou bien, dans d'autres cas, comme en Autriche, c'est un acte de solidarité internationale pour remettre sur pied et, comme cn dit, « assainir », au profit de tous, la monnaie et l'économie d'un pays. Même quand il s'agit d'une avance pour payer des fournitures d'armements, on ne peut pas soutenir que le pays emprunteur ait besoin de garantir sa sécurité et découvre le danger qui le menace seulement après qu'il a trouvé du crédit pour payer.ses armes ce serait absurde, puisque le danger existe indépendamment de la chance de découvrir un prêteur qui fournisse les armes peur y faire face.

e*

En réalité, la doctrine nazie en matière de crédits internationaux tend à réserver au Reich l'influence politique aussi bien que commerciale sur les pays de l'Eu- rope danubienne et orientale, et, peut-être, sur l'Espagne. Elle tend, d'autre part, à faire du Reich le défenseur des débiteurs « politiques » dans le monde contre les grands prêteurs occi- dentaux, l'Angleterre et la France. Elle tend, enfin, à décourager les Etats-Unis de consentir éventuellement des crédits ou avances aux « démocraties ». Elle dit aux peuples de l'Europe danubienne et orientale « Vous devez beaucoup d'argent aux nations occidentales mais, tôt ou tard, si vous entrez dans mon système, vous pourrez répudier vos dettes extérieures et vous n'en échangerez que mieux vos produits avec les miens. »' Elle dit aux prêteurs occidentaux « Si vous accordez dès crédits aux pays danubiens et balkaniques pour me gêner, vous perdrez votre argent. »

Elle dit aux Espagnols: « Ne cherchez pas du crédit en Angleterre pour reconstruire l'Espagne, j'ai tout ce qu'il faut comme matériaux et machines, et vous me paierez en nature. »

Elle dit aux débiteurs « politiques » dans le monde « Les puissances occidentales vous exploitent, faites du commerce avec moi, qui ne demande ni commissions de banques ni intérêts. » Elle dit aux Etats-Unis: « Ne consentez pas d'avances aux « démocraties », car on ne sait ce qui peut arriver, et vous ne seriez pas remboursés. »

Au terme, la méthode allemande aboutirait fatalement à un recul très marqué de la civilisation matérielle, puisqu'elle supprimerait, entre les peuples, la circulation du crédit, qui a permis l'essor du monde moderne. On retrouve là, sous une forme compliquée, le principe soviétique de faire rendre par le seul travail de l'homme vivant, sur un territoire donné, ce qui pourrait être obtenu d'une simple avance de l'épargne d'autrui. C'est la fin logique, et à peu près inéluctable, de l'autarcie.

Mais il ne faut pas se dissimuler que crédit internatidnal suppose échanges internationaux. Un des formidables paradoxes de l'après-guerre fut de croire que l'on pouvait prêter indéfiniment et sans risques à des genS ou des peuples qui ne savaient comment vendre et, par conséquent, comment payer. Ce paradoxe n'a pas peu contribué à faire le monde absurde et dangereux que nous voyons.

LUCIEN ROMIER.

A PARTIR DU 1er JUILLET « Conscription du travail » générale en Allemagne (Téléphone a Figaro x)

BERLIN, 23 juin.

A dater du 1er juillet prochain, toute la population allemande de's deux sexes sera soumise, du moins théoriquement, à la « conscription du travail ».

Un décret paru aujourd'hui annonce, en effet, que « tous les hommes et les femmes de uationalité allemande, quelles que soient leurs occupations, seront tenus d'accomplir les travaux qui pourront leur être désignés -ou de se soumettre à un entraînement spécial. Ils ne perdront pas de ce fait les places ou les emplois qu'ils occupent actuellement et ne recevront pas un salaire inférieur à ce lui qu'ils tou- chent dan» Iran occupations habituelles.

DEBAT

ORAGEUX

aux Communes sur .r-

les bombardements de navires

en Méditerannée « Le gouvernement ne modifiera

pas sa politique » déclare M. Chamberlain

Amiral Sir Dudley Pound, commandant en chef de l'escadre britannique de la Méditerranée. (Lire nos informations en page 3)

LES JOURS SE SUIVENT

LE DEUIL'

DVNE REINE..

En apprenant le deuil qui frappait S. M. la reine Elizabeth, chaque Français a pensé, hier matin, que c'était là vraiment un

mauvais sort. Pour tout avouer,

maufa/s sorL Pour /ou< auouer,

un peu 'd'êfjoïstne national se mêlait à cette tristesse on déplorait que des fêles dont on attend beaucoup par leur éclat et les témoignages qu'elles rassembleront fussent soudain assombries ou retardées par cette mort. On ne concevait pas que la souveraine en fût absente i mais on se reprochait bientôt, à part soi, de lui demander, fûtce en pensée, le sacrifice d'une présence dans un moment où tout cceur humain a besoin de réserve et de solitude. La solu- tion adoptée de reporter les fêtes à trois semaines est conforme à la dignité des usages et au respect des sentiments.

Les princes ont le droit à la douleur. S'ils ne peuvent pas toujours la laisser paraître, ni lui garder le caractère' d'intimité que nous souhaitons le plus souvent lui donner, il est bien évident qu'ils connaissent les peines communes à tous les êtres. S. M. la reine d'.4ngleferre a même peut-être senti plus qu'une autre majesté ce que la disparition de sa mère rompait de liens dans sa vie, pour cette raison que sa jeunesse ne f ut pas une jeunesse royale, qu'elle fut tout empreinte d'intimité, de vie familiale. Eh, certes, la cour d'Angleterre, notamment depuis la reine Victoria, maintient dans la vie privée royale des traditions d'intimité familiale. La raison d'Etat n'est pas si intransigeante qu'on peut croire, et l'esprit 'de la vieille reine Victoria, qui se maria selon son cœur, préside aux unions princières. Mais lorsque le due d'York s'est marié, en 1923, avec lady Elizabeth BowesLyon, fille du comte et de la comtesse de Strathmore, il épousait vraiment une jeune fille qui ne s'attendait pas ait grand destin qui l'a conduite sur le trône d'Angleterre. « Jusque là, dit un de ses biographes, Mr Hector Bolitho, son nom n'avait jamais paru dans les journaux. Elle n'avait pas d'identité. » Et ce mémorialiste, qui connaît la cour anglaise et les souverains dont il écrit, ajoute quelques anecdotes au portrait de celle qui fut la jeune Elizabeth « Son histoire est celle d'une en fant charmante et bonne, assez espiègle, amie des farces au point de monter sur le toit de Glamis pour jeter de l'eau sur la tête des invités. » Bien que ceci ne se soit pas passé à la cour, je suppose que la comtesse de Strathmore dut néanmoins, ce jour-là, gronder la jeune Elizabeth.

Ce sont des souvenirs de ce genre qui se pressent en foule lorsqu'on perd une mère, le témoin le plus indulgent de notre vie. Pourquoi une reine y échapperait-elle ? Et pourquoi harcèlerai t-on sa peine et sa songerie? 'Guèrmantes.

LE VOYAGE A PARIS DES SOUVERAINS ANGLAIS EST RETARDÉ

II aura lieu les 19, 20 et 21 juillet

C'EST M. LEBRUN QUI A PROPOSE CETTE DATE

aux hôtes royaux (De notre correspondant particulier, par téléphone.)

LONDRES, 23 juin.

La décision d'ajourner le f,~ voyage a' été prise après plusieurs conférences à Buckingham Palace que présida le roi et une série de consultations entre les gouvernements de Paris et de Londres.

La nouvelle de la mort soudaine de la comtesse de Strathmore* mère de la reine Elisabeth, survenue hier matin, à 2 heures, affligea autant qu'elle surprit. Il était impossible à la reine, si profondément affectée par ce deuil, de se rendre à Paris. Lady Strathmore n'est pas de sang royal et par conséquent, selon le protocole, la Cour ne prendra pas officiellement le deuil, ce qui aurait automatique-

Les travaux de décoration de la capitale .1 seront simplement ralentissent SEULS QUELQUES MOTIFS FRAGILES SERONT DÉMONTÉS "> >- (Lire en page S, les déclarations de M. Huisman)

LE COMTE '1

HAUGWITZ-REVENTLOW VOULAIT-IL

ENLEVER SON FILS ? La justice anglaise ¡

lui interdit l'entrée

du territoire britannique Londres, 23 juin. Le bruit avait couru ce matin que le comte Haugwitz-Heventlow avait quitté Paris en avion.

Une cinquantaine de journalistes et de photographes s'étaient rendus à l'aérodrome de Croydon, mais aucun des avions des ligues française et anglaise arrivés dans la matinée de Paris; n'avait à bord le comte Haugwitz-Reventlow, dont la mise à la disposition de la justice dès son arrivée sur le sol britannique était attendue comme le développement sensationnel de l'affaire Revenllow.

La mésentente régnant entre les époux s'était aggravée ces temps derniers, et le comte aurait fait connaître t sa femme sa décision d'enlever l'enfant afin de l'élever à sa manière.

Le complot contre l'enfant a-t-il été préparé par le père lui-même ? Le comte de Haugwitz-Reventlow, qui s'est entretenu à Paris avec son beau-père, M. Hutton, a affirmé

Je déclare formellement que je n'ai jamais menacé ma femme d'user de la force pour m'assurer la garde de l'enfant.

On sait que depuis 48 heures des mesures de précaution rigoureuses ont été prises au domicile de la comtesse Reventlow, où personne n'est admis sans justifier de son identité et de ses intentions. La comtesse aurait introduit une demande en justice tendant à la mise en tutelle judiciaire de son fils. Cette procédure prévoie qu'un magistrat est chargé d'assurer non seulement la sécurité de l'enfant, mais aussi de pourvoir à l'administration de ses biens.

LE ROI ET LA REINE DES GOSSES DE^ PARIS `

Voici, au centre, Michel Ùiibosq (10 ans) et Lucette Lehoux (7 ans) élus hier roi et reine des gosses de Paris pour 1938. Anprès d'eux se tiennent leurs jeunes prédécesseurs.

Le Secrétariat du Palais de Buckingham a publié hier à 18 h. le communiqué suivant.:

En raison du deuil de Sa Majesté la Reine, le président de la République française s'est enquis de savoir s'il serait plus agréable à Leurs Majestés d'ajourner jusqu'au 19 Juillet leur visite à Paris.

Leurs Majestés, appréciant vivement les motifs de la suggestion du président Lebrun, ont,accepté avec plaisir cette suggestion.

L'inauguration du mon u m e n t commémoratif national australien à Villers-Bretonneux aura, en conséquence, lieu le vendredi 22 Juillet.

PLACE DE L'ETOILE.

.n.. ~4t!ISP~07"7."è.~7'7'

.déjà hier les drapeaux avaient été posés.

LA MAIN-MISE DU REICH SUR DANTZIG

M. Hitler se rendra-t-il dimanche

dans la Ville libre ?

Varsovie, 23 Juin. La question de Dantzig préoccupe au plus haut point les Polonais.

Le Wieczer Warszawski prétend que pendant son séjour à Dantzig M. Rudolf Hesa, suppléant du chancelier Hitler, aurait eu des entretiens confidentiels avec le chef du parti national de Dantzig sur les modifications éventuelles de la constitution de Dantzig.

M. Rudof Hess aurait donné son probation à l'introduction des lois de Nuremberg à Dantzig. Le Weiczor Warszawski croit possible que le chancelier Hitler se rende personnellement à Dantzig dimanche prochain.

LES OBSEQUES de lady Strathmore seront célébrées lundi

ment ajourné ]a visite royale pour une période de trois mois. Dès le début de la matinée, lord Halifax se rendit à Buckingham Palace. Certaines possibilités furent envisagées. On suggéra, par exemple, que le roi se rendît seul à Paris ou qu'il serait accompagné de la reine Mary. Aucune décision n'était encore prise lorsque M. Corbin fut reçu par lord Halifax après le conseil privé. Les consultations se poursuivirent entre Paris et Londres; on s'achemina lentement, vers l'ajournement de ]a visite royale et la date du 19 juillet fut proposée par M. Lebrun. Elle fut aussitôt acceptée.

Les obsèques de lady Strathmore auront lieu lundi prochain. Gérard Boutelleau.

LA GRANDE SEMAINE

LE PRIX

DES DRAGS cet après-midi à Auteuil

La journée des Drags. Mesdames, à vous l'honneur Car, depuis qu'il n'y a plus de drags, ou qu'il n'y en a plus qu'un seul, la journée des Drags est devenue celle de la mode. De toutes les I modes. Nos couturiers et couturières s'en donnent à cœur joie. Il y aura, cet après-midi, sur la Butte Mortemart, la grande affluence féminine multicolore, au spectacle de laquelle chacun aura loisir de prendre un plaisir correspondant à ses goûts particuliers.

La course elle-même, où treize partants sont annoncés, semble être à la merci de l'entraînement Ginzbourg, qui aligne une des victimes du Grand Steeple, Fiérabras, et un bon cheval frais, Raisonnable II. La fraîcheur ayant son prix en cette saison, nous désignerons, dans l'ordre, Raisonnable II et Fiérabras. J. T.

Nouvelles rigueurs

contre les juifs

d'Allemagne

Berlin, 23 juin. Le caractère d'association de droit publie vient d'être retiré au xassociations culturelles israélites. Les autorités ont voulu marquer ainsi que ces associations ne sont pas des communautés religieuses reconnues par l'Etat.

D'autre part, les juifs ne pourront plus être auditeurs libres dans une école supérieure. Une réorganisa des dispositions réglementant le droit d'assister aux cours de ces écoles les exclut formellement à partir du 1er octobre 1938.

M. ANDRE MAUROIS

EST ELU

à l'Académie Francaise

M. André Maurois' V

Voici le détail des deux tours du scrutin qui, hier, à l'Académie française, a consacré l'élection de M. André Maurois au fauteuil de M. René Doumic.

MM. Paul Hazard. 3 13 André Maurois.. 16 19 René Pinon 10 3 Bulletin blanc 1.

La majorité des suffrages était de 18 voix.

C'est une belle affluence pour une élection académique que trente-cinq académici°ns. Elle attestait le vii intérê' que prenait la Compagnie à la compétition, ainsi que son estime pour les concurrents.

Dès treize heures vingt-cinq, dans la cour de l'Institut, MM. Maurice Donnay, Georges Lecomte et Edmond Jaloux, les premiers arrivés, tenaient un entretien qui parut fort chaleureux,

La catastrophe aérienne de Tours a-t-elle été causée par une explosion ?

Le Ministre de l'Air

est allé saluer les corps des sept victimes

Cinq officiers et deux sous-officiers de l'Armée de l'Air ont trouvé la mort, la nuit dernière, dans la chute d'un avvion bimoteur, près de Tours.

Cette terrible catastrophe a jeté la consternation au ministère de l'Air, car trois des victimes appartenaient au cabinet militaire de M. Guy La Chambre le capitaine Marmagnont, le capitaine Rainery, le lieutenant de vaisseau Perret, chargé des liaisons entre les ministères de l'Air et de la Marine.

Les autres officiers, tombés en service commandé, sont les lieutennnts Raynaud et Canal, les sousofficiers le sergent-chef radio Thibault et le sergent mécanicien Fabre.'

C'est un vol de nuit sur le circuit Villacoublay, Châteauroux, Tours, Villacoublay que cet équipage d'élite devait accomplir. Parti de Villacoublay vers 11 heures du soir, le Potez 54, piloté par le lieutenant Raynaud, après avoir viré au-dessus du camp de la Martinerie, à Châteauroux, se posait à Tours-Saint-Symphorien, vers une heure, pour se ravitailler en essence.

(Suite page 3, col. 1 et 2.)

Métamorphoses et enrichissements du Musée Guimet

Décidément, pour qui s'intéresse à l'amélioration des musées en France, la semaine est bonne après l'inauguration du musée de l'Homme, voici que s'offre à nos curiosités un musée Guimet embelli et pourvu de richesses nouvelles.

Il a trouvé en son propre giron de quoi satisfaire son appétit d'espace il a dévoré ses cours intérieures, il les a transformées en des salles qui, par leur plan, leurs lignes, leurs proportions, la forme, la couleur et la matière de leurs murs, satisfont le regard et l'esprit. Ce sont là salles d'un musée d'aujourd'hui et d'un musée spécialisé. Le contenant est parfaitement adapté au contenu.

Un système d'éclairage par briques de verre lequel, paraît-il, défendra les collections également contre la chaleur et contre le froid laisse la lumière extérieure pénétrer librement, normalement, et modeler avec vigueur sculptures et fragments architecturaux.

Cette œuvre de choix où tout, on le sent, a été soigneusement médité, est due à M. Nicod, architecte en chef des bâtiments civils. Elle a été réalisée grâce aux crédits de l'outillage national. Voilà, pour une fois, de l'argent sagement dépensé. Et voilà qui permet d'espérer que la muséologie pourra désormais compter sur des hommes de talent soucieux de ses besoins par-

I ce dont quelques-uns, dans la petite foule des informateurs et des spectateurs, tiraient l'indice que 1 la bataille serait chaude, et quelques autres que les amis du favori, M. Maurois, affrontaient le scrutin avec une fermeté pleine des plus hautes promesses.

Dans la salle des séances, le président ouvrit le scrutin à 14 heures précises. Etaient seuls absents MM. Bergson, Lavedan et le maréchal Franchet d'Esperey. Le secrétaire perpétuel donna lecture de la lettre par laquelle M. Pierre Mille déclarait.retirer sa candidature « pour raisons de santé ».

A 14 h. 15, les résultats étaient proclamés.

Le nouvel immortel venait de regagner son cabinet de travail du boulevard Maurice-Barrès, à Neuilly, après une longue promenade à pied dans le Bois de Boulogne, en compagnie de ses enfants le téléphone lui apporta la satisfaction qu'il avait attendue. Et ce fut, selon l'usage, la réception improvisée qui couronne une entrée à l'Académie française Mme André Maurois accueillait, du sourire de la joie, cent amis aussitôt alertés mains chaleureuses dont le défilé dura jusqu'au soir, toutes les fleurs de Paris qui arrivent par vagues et le large cercle de l'amitié qui se fait autour d'un heureux événement.

(Suite page 3, col. 1 et 2.) DEMAIN

Dans le Supplément

littéraire

André MAUROIS par Abel Hermant.

de l'Académie française.

M. Edgard Allix

doyen de la Faculté de droit est mort

Tous ceux qui, dp quelque manière, s'occupent en France d'économie politique sont débiteurs envers le professeur Edgar Allix. Sa mort, que rien ne laissait craindre, à en juger du moins par ses plus récents travaux, les frapppra de stupeur et de chagrin.

Avec une maîtrise pleine de sérénité, Edgar Allix défendait les principes et les méthodes de l'économie classique. Son Traité de science financière fait autorité. A présent que cette cause se confond, en somme, avec celle d'une civilisation tout entière^ ces enseignements plus que jamais devront être maintenus.

Savant éminent Edgar Allix était aussi un professeur de rare mérite. Sa parole était facile. Et l'on suivait sans peine sa pensée parfaitement ordonnée.

L'Institut de France l'avait d'ailleurs appelé à siéger dans son sein, à l'Académie des Sciences morales et politques. Doyen de la Faculté de Droit, Egar Allix présidait, en outre, la Société d'Economie Politique. Sans les avoir jamais cherchés, il était chargé d'honneurs. Il les a quittés. Mais il laisse à tous un haut exemple.

Le conseil municipal et le Conseil général sont convoqués en session Par arrêté, le Conseil municipal de Paris est convoqué en session ordinaire pour le vendredi 1" juillet et, par décret, le Conseil général est également convoqué pour siéger du 2 au 12 juillet inclusivement.

Par RAYMOND LECUYER

ticuliers. Je crois savoir que M. Nicod n'a pas dédaigné d'écouter, et même de solliciter les suggestions de conservateurs qui connaissent leur métier. Mémorable et profitable modestie Ailleurs, non loin de Guimet, les bâtisseurs de deux palais neufs n'ont demandé conseil qu'à leur inexpérience et leur témérité.

Que nous présente-t-on dans ces nouvelles salles ? Les éléments qui, entrés en ces derniers mois dans le musée, complètent et transforment ses collections et permettent, notamment, de constituer par la suite une « véritable anthologie des arts de la péninsule indochinoise ». Par des pièces originales et des documents photographiques, l'exposition actuelle démontre les féconds résultats qui ont été obtenus depuis 1935 par diverses missions, soit en Indochine, soit en Afghanistan, et elle évoque l'effort de l'école française d'ExtrêmeOrient. On sait que cette dernière, depuis 1898, étudie et explore méthodiquement l'Indochine, dégage et relève les monuments ou veille sur leur conservation. Il s'est établi entre elle et les musées nationaux une amicale collaboration, un. échange de bons procédés, et même de procédés chevaleresques qu'il n'est peut-être pas inutile d'indiquer. Sans appauvrir les beaux musées locaux qu'elle a créés, sans empêcher, lorsqu'il est possible, le remontage des éléments d'un édifice, eUe s'efforce d'aider judicieusement le musée Guimet à remplir sa tâche.

(Suite page 3, col. 1 et 2.).


flGARO.

LE GRAND PRIX DE L'ELEGANCE

Un groupe de concurrentes qui ont défilé hier devant le jury réuni au Grand Palais. A gauche, Mlle G. Roger à droite, Mlle Marika, premiers prix ex-aequo.

LES ECHOS

Les Quarante

Après la brillante élection de M. André Maurois, l'effectif académique est au complet. Cela n'arrive que rarement. La dernière fois que les Quarante furent quarante, c'était le 1" juin 1933, au 'lendemain de l'élection de M. François Mauriac. Mais deux mois plus tard le décès de l'abbé Bremond amputait de nouveau l'illustre Compagnie qui devait attendre cinq ans pour se retrouver au complet.

FRANÇOIS MAURIAC

de l'Académie française

ASMODEE

La saison

théâtrale 19371938 aura été « l'année d'As- modée ». Cette pièce, qui vient de paraître en librairie, obtient non seulement 1 a faveur d e ceux qui ont pu

assoicr aux inoubliables représentations de l'œuvre, mais de l'innombrable public si fervent des romans de François Mauriac. (Grasset, 1 vol., 18 fr.)

DEMAQUILLAGE BIEN des choses ont été dites sur le maquillage. Et il y aura toujours beaucoup de choses à B en dire, car le maquillage, qui est un art, est en perpétuelle évolution.

Le démaquillage, par contre, est une Technique, dont les résultats, si celle-ci n'a pas été correctement conduite, peuvent être désastreux pour la peau. Songez qu'après une journée passée sous le fard et la poudre, l'épiderme, privé de respiration, a besoin, pendant la nuit, de se remettre de la dure contrainte qui lui a été ainsi imposée.

Ne lui infligez pas alors un brutal et néfaste x décapage », mais utilisez un nettoyant léger quoique parfait qui vous laissera la peau doucement satinée, tout imprégnée de produits revitalisateurs dont l'effet, pendant la nuit, se révélera extrêmement A efficace.

A ces exigences particulièrement raffinées répond parfaitement la nouvelle et originale création de Caron la crème démaquillante.

EN L'HONNEUR

DE NOS MARINS

LA SOIREE

BLEU MARINE

LE 5 JUILLET

Après tant de nuits de féerie sur l'eau et dans le ciel, après tant de galas et de fêtes que toute la fin de juin eu paraît illuminée, il y aura donc le 5 juillet la Soirée Bleu Marine, organisée par l'Association des anciens élèves de l'Ecole Navale (A. E. N.).

On pourrait justement souhaiter qu'elle fût douce et recueillie, afin de permettre aux assistants de commenter les cérémonies historiques et mondaines auxquelles ils viendront d'assister, ou d'exposer entre eux leurs projets de vacances dans les jardins de l'Union Interalliée» Et tel parait bien être le désir de ses organisateurs, nos officiers de vaisseau dont le souci essentiel est visiblement de ne recevoir ce soir-là qu'une élite, et de conserver à cette fête d'été la même distinction qu'eurent, pendant les nuits d'hiver, les galas de la Marine. Mais ce souci légitime et rare ne les distrait point de leurs devoirs d'hôtes, et nous savons déjà avec quel soin ils composent le spectacle de variétés et de danses qu'Us comptent offrir il leurs invités. Le programme arrêté, en effet, d'un commun accord avec l'Association des Artistes dramatiques, doit d'abord révéler au public parisien une jeune danseuse yougoslave qui vient de remporter à Londres un succès éclatant. Il mêlera ensuite sur sa scène de verdure, à la fantaisie de Laurel, les acrobaties du quatuor Donner.

L'orchestre sera placé sous la direction de Fred Mêle.

Tandis que se précisent ces multiples collaborations, les lots offerts pour la tombola par le haut commerce parisien toujours si généreux à l'égard de la Caisse de Se. cours de l'A.E. N., commencent d'affluer rue Royale, mêlant dans leur pittoresque diversité canoës, périssoires, perles de culture, tableaux de marine et « Bons pour croisières », beaucoup de « Bons pour croisières », comme si cette qirée Bleu Marine se donnait, non pas dans les jardins de l'Interallié, mais sur le quai d'embarquement. Enfin, un Caneton », don de la Ligue Mai*. 411e et Coloniale, do- mine de son mât et de sa voiture de 10 m2 ces lots si enviables.

La toilette des généraux Les généraux du Louvre se préparent à recevoir Leurs Majestés britanniques. Autrement dit l'administration des BeauxArts a pris la sage mesure de profiter de la visite royale pour faire nettoyer les niches du pavillon de Rohan et de leurs occupants. On sait combien Kléber, Kellermann, Hoche et tous les héros des guerres de la Révolution et de l'Empire ont à se plaindre du voisinage des pigeons parisiens. Leurs uniformes de pierre étaient ornés de chamarrures blanchâtres qui n'avaient rien de militaire, et qui finissaient par faire assez mauvais effet.

Depuis deux jours des échafaudages sont disposés tout le long de la façade de la rue de Rivoli. Armés d'épongés et de racloirs des ouvriers font la toilette soignée des généraux qui n'auront pas à rougir si les souverains britanniques passent par là en revenant de l'Hôtel de Ville.

Le Masque de fer.

Nous accordons a tons nos abon- nés une réduction de 25 p. 100 sur le tarif normal des avis de faire part des NAISSANCES, FIANÇAILLES. MARIAGES, etc.

Le Dîner du Grand Prix pour la Fondation Foch

Il faut bien répéter ce que l'on écrit ici tous les ans le Diner de !le la Fondation Foch, organisé le soir du Grand Prix donc le dimanche l, 26 juin par Mme Jacques Baluan, au Cercle Interallié, est, parmi tes fêtes brillantes de la saison, celle dont l'élégance et le choix demeurent incomparables.

Il y a d'abord un but très noble, et qui nous touche de près soutenir les frais de la clinique du MontValérien où sont soignés, dans des conditions de grand confort et à des prix modestes, les malades de la classe moyenne.

Et il y a aussi un moyen de réaliser une fête digne de auquel nous sommes particulièrement sensibles sans attractions sensationnelles, réunir une sélection française et cosmopolite dont le spectacle charmant est son propre tableau.

La beauté de ce gala est faite de chacun de ses éléments. Que le succès du Dîner du Grand Pris aille en croissant chaque année, c'est une claire preuve d une réussite parfaite,

R.R. P- Le Dîner des Trois Cents Aux Ambassadeurs, le Dîner des Trois Cents réunissait, au profit de l'Entr'aide des Femmes, une très belle assistance autour de Mme Talheimer, présidente; de Mme Georges Bonnet et de Mme Jules Jeanneney. M. de Souza Dantas, ambassadeur du Brésil, s'est fait l'interprète de l'assemblée pour offrir un hommage ému à ces personnalités bienfaisantes.

A la belle revue des Ambassadeurs, le programme des attractions ajoutait une présentation d'une délicate valeur d'art. Antoine, le coiffeur, a fait défiler les personnages de ses créations. Celimène casquée, l'Infante aux sombres parures de Velasquez, la personne « dont le manteau est le miroir »» les épouses de pharaons coiffées de lotus bleu et or, la vision de Goya, l'exquise Pompadour, bymphonie bleue et rose, Mancu casquée d'argent rosé et la Famine de Demain: sous un manteau de jais, le cœur d'une rose bengale.

Lorsque l'on songe au prix d'une telle attraction, créée pour vinnt minutes de plaisir, on ne peut que rendre hommage à l'art raffiné et à la générosité de ce geste.

AVENTURE ARCTIQUE

MA WIE- CIllllII ILES IllIFSCiUlliMIlUJI

DEUXIEME PARTIE

Deux jours après nous vîmes à l'horizon un énorme soleil 1 bas. Tout le monde sortit en courant pour le saluer, ôta 1~1 manteau et mitaines, selon la coutume, et leva ses mains nues au-dessus de sa tête. Nous restâmes ainsi exposés au froid, bien qu'il fût encore rigoureux, tant que le soleil nous accorda ses faveurs ce premier jour. Les enfants se mirent à pleurer, mais nul n'y prit garde, car chacun savait que quiconque expose son visage et ses mains au soleil le premier jour de son apparition est assuré de vivre au moins jusqu'à l'année suivante à pareil jour. S'il y manquait. personne ne se risquerait à prédire ce qui pourrait arriver.

En attendant la glace, nous jouions à toute sorte de jeux, dont un assez semblable au football américain. Dans l'ancien temps, c'était un exercice plus violent le ballon, fait d'une tête de phoque bourrée d'herbe, était placé à égale distance entre deux villages, et les habitants de chaque localité se précipitaient dessus. Il y avait souvent des tués, mais on n'avait pas formulé de règles* pour empêcher ces massacres. Hommes et femmes prenaient part au jeu, ces dernières avec leurs bébés dans leurs capuchons, et pour les enfants c'était un grand jour. En fait, les enfants de cette tribu participaient de bonne heure à l'existence du groupe. Une petite fille de quatorze mois environ, ne marchant pas encore, avait la passion de fumer les pipes de ses parents. Ses parents, ravis de sa précocité, ne manquaient jamais de la faire admirer.

A Negé également vivait une vieille femme remarquable, Knllabak, qui était la fable du village. Elle avait été mariée à un chasseur très pauvre qui, par bonheur, mourut, et elle s'était mise en ménage avec un chasseur bien meilleur et plus jeune. Mais avant de pouvoir faire ce changement avantageux, elle avait se débarrasser de son fils.

Un épouvantable gredin

Je ne l'ai jamais vu mais, d'après ce que j'ai entendu raconter, ce devait être un épouvantable gredin. En tout cas personne ne blâma la mère des mesures rigoureuses qu'elle avait dû prendre contre lui.

Les débuts du garnement dans le terrorisme eurent lieu au Cap Yorki où il recueillit une masse d'oeufs pourris qu'il cacha très haut sur le flanc de la montagne. Puis un jour, dans un accès de frénésie bruyante, il hurla « Un navire, un navire, un grand navire approche. » Mot magique, naturellement, pour des indigènes qui voyaient rarement des étrangers. Il s'élancèrent tous sur le versant de la montagne pour apercevoir le vaisseau. Cependant, le polisson s'accroupissait derrière un rocher, et quand ses amis furent à portée il surgit et les cribla des projectiles de sa cache. Ceci, naturellement, retomba sur la maison de Kulluback, et elle avait essayé de s'excuser mais, n'ayant pas de mari, elle ne pouvait faire grand'chose pour se réhabiliter.

LE CARNET 3DU «FIGARO »

AU,JOURD'HUI Réceptions. 16 h. 30 Mlle de Telneey.

Bienfaisance. A 17 heures Cocktail frni'dGn-pnrty, dit profit des colonies de vacances de l'OEuvre delà Banlieue (2-î, quai du Quatre-Septembre, Boulogne-sui'-Sulne).

21 h. 30 Représentation d' Acis et Gcilatée n, au profit (les « Amis des Lettres » (Théâtre Montansler, à Versailles).

Cercles. 17 heures: Coupe du « Figaro » au Polo de Paris,

17 heures Mme Jean Fabre (Cercle interallié).

Oaulls. 1 heures Obsèques1 de Mme Marchand (Saint-Paul SaintLouis).

IIIUIIIIIIIIII|11llltlUIIIII|U|>1IIIIIIMI<>illlMIIII|llllllllllll 11 AMBASSADES

S. Exe. le ministre de France et Mme Adrien Thierry ont donné, lundi, un déjeuner en l'honneur de S. A. R. la Princesse Sixte de Bourbon-Parme. Les autres convives étaient

S. Kxc. le comte naeziuski, ambassadeur de Pologne en Hounmnic; Mme Jean Duca, princesse Woroniecku, professeur et Mme Dem. Gusti, prince Wladimir Mavroeordat, M. Pantassl, Mme Michel Caribol, M. et Mme Mltro Chrlssoveloni, comte et comtesse Hector de Béarn, Mlle Roselyne Bernard, colonel Delmas, M. D. Alimanisteano, M. Snltzjuuller, M, Oskar Kaufl'mann. A l'occasion du Congrès international de la Croix-Rouge, S. Exe. M, Charles Corbin, ambassadeur de France à Londres, a offert, le 22 juin, un déjeuner auquel assistaient

Lady AmpililH, M. Norman Davls, sir Harold et lady Fawcus, dama Béryl Oliver, lady Maclea y, Mrs Edward Blount, marquis et marquise de Ltllei's, Mme Saint-René Taillandier, Mme Maurice de Wendel, Mlle d'Haussonville, S. Exe le comte Clauzel, Mme Léon Pissard, M. Amédée Roussellier, M. B. Flury-Hérgrd, M. Basdevant, lieutenant-colonel médecin Sabrié, capitaine de corvette Ausscur, médecin-chef de la marine Goett, niédecin-chof Ployé, médecin général Passa, vicomte de Rougé, vicomtesse de La Panouse, marquis et marquise de Castellane, Mme Lelong.

DANS LE MONDE

Mme Michel Caribol a offert un dîner en l'honneur de S. A. R, la Princesse Sixte de BourbonParme, à l'occasion de son passage à Bucarest.

BIENFAISANCE

C'est ce soir qu'a lieu, au profit de la Fondation Curie et des oeuvres sociales de la Joaillerie française, la plus grande fête de luxe et d'élégance de la Saison de Paris le Bal des Bijoux.

Pour ce gala unique, les tables ont été retenues aussitôt par les personnalités les plus marquantes de la société parisienne et étrangère de passage à Paris.

Signalons que les premières personnalités inscrites ont été S. A. le maharajah de Baroda, S. A. le maharajah de Kapurthala et le Prince Chalermbol de Siam, Les quatre cents convives de ce soir représenteront le Tout-Paris élégant et artistique des grandes soirées de la capitale.

CERCtES

L'excursion annuelle des membres de la Société artistique des amateurs aura lieu le lundi 27 juin, au château de Maisons-Laffltte. Départ en autocar à deux heures très précises, par la porte de Neuilly et la Défense. Rendez-vous au coin de l'avenue Gabriel et de la rue du Cirque.

Arrivée à Maisons vers deux heures trente. Les sociétaires seront reçus au château par M. Paul Vitry, conservateur au musée du Louvre. Visite du château, de l'exposition d'art catalan et d'objets d'art venus de Barcelone, déposés provisoirement, et du parc.

Vers quatre heures, départ pour la forêt de Saint-Germain, la Muette, la Croix-de-Noailles, puis le Pecq, le Vésinet, les Ibis, et, en contournant le lac par la gauche, arrivée au Palais Rose.

Vers cinq heures, goûter au Pa- lais Rose, offert par M. et Mme Olivié Scrive, membres de la Société,

IX (Suite)

suivi de la visite de leurs collec.tions.

Vers six heures trente, départ pour Paris, pour être de retour vers sept heures.

Le concours d'élégance automobile organisé par Femina et l'Intransigeant aura lieu non pas au bois de Boulogne ainsi qu'il avait été annoncé, mais au nouveau Trocadéro.

NAISSANCES '̃̃

Le lieutenant et la comtèsse René d'Erceville, née Colette Limnander de Nieuwenhove, sont heureux d'annoncer la naissance de leur fille Eliane, Tours, le 14 juin 1938. Le docteur Paul Schendérovitch et madame, née Gisèle Lerner, sont heureux d'annoncer la naissance de leur fils Alain, Paris, le 18 juin. On annonce la naissance De Jenn-Pierrc Salomon, de Michel Humbert.

FIANÇAILLES

Nous apprenons les fiançailles de Mlle Colette de Kergorlay, fille du comte Hervé de Kergorlay et de la comtesse, née Prémont, avec le comte de Waziers, fils du comte de Waziers, décédé, et de la comtesse, née Sesmaisons.

MARIAGES

En l'église Saint-Augustin, à Bruxelles, mardi, a été célébré en présence d'une assistance des plus nombreuses et choisies, le mariage du comte Renaud de Tascher de La Pagerie, fils du duc de Tascher de La Pagerie, croix de guerre, et de la duchesse de Tascher de La Pagerie, née Arbel, avec Mlle Nicole Le Vaillant de Jollain, fille du comte Le Vaillant de Jollain, décédé, et de la comtesse de La Pielle de La Nieppe.

La jeune mariée fut conduite à l'autel par le comte Adrien d'Esclaibes, camérier secret de S, S. le Pape Pie XI,

S. A. I. et R. la Princesse Napoléon s'était fait représenter par Mlle de Bassompierre,

Les témoins de la mariée étaient: S. Exe. le comte Carton de Wiart, grand-croix de la Légion d'honneur, et lé baron Georges de Radzitzky d'Ostrovich ceux du marié la baronne Ernest de La Grange et le baron Jean de Gressot.

Le service d'honneur était ainsi assuré

Mlles Thérèse, Rose-Anne et Joséphine de Tascher de La Pagerie, Sybille de Chabannes, Isabelle de Colnet, Diane et Claude de Gasquet, Chantai de Radzitzky d'Ostrovich, Edmée de Woëlmont, Bernadette de Hauteclocque, habillées toutes de robes d'organdi bleu turquoise. ave» capelines de paille d'Italie, Mlle Monique de Gressot et Stanlslas de RadïiUky d'Ostrovltch précédaient les maries.

Le cortège à la sortie de l'église, comprenait

Comte et comtesse de Tascher de La Pagerie, duc de Tascher de La Pagerie et comtesse Le Vaillant de Jollain, comte d'Esclaibes et duchesse de Tascher de La Pagerie, S. Exc. le comte Carton de Wlart et duchesse de Tascher de La Pftgerie douairière, baron de Gressot et Mme de Prelle de La Nieppe, baron de Radzitzky d'Ostrovich et Mme Arbel, baron Albert Houtart et baronne Ernest de La Grange, baron Fauquier et comtesse Carton de Wiart, M. Pierre de Fraussé et baronne de Rndzitzky d'Ostrovitch, inarquls de Bausset-Roquefort et comtesse Jsoard de Chénerilles, M. Robert de Hults, et Mme Kufferath, M. Philippe de Kerchove de Denterghem et Mme Robert de Hults, princesse de Béthune et comte du Val de Beaulieu, vicomte de Beughem et marquise de Bausset Roquefort, M, Edouard de Prelle de La Nieppe et baronne Albert Houtart, M Hubert de Fi'anssu et Mme Ph de Kerchove de Dentergbem, baron Albert Grelndl et baronne Georges Verhaegen, vicomte Fernand de Jonghe d'Ardoye et comtesse Elean de Spqëlnerch.

Après la cérémonie, une grande réception a été offerte par la comtesse Le Vaillant de Jollain en son hôtel de l'avenue Albert. On remarqua particulièrement le bracejet historique de perles et d'émeraudes, cadeau de l'Impératrice Eugénie à la famille Tascher de La Pagerie. La jeune mariée portait une très belle robe de crêpe satin blanc re-

Par PETER FREUCHEN Elle pria donc Mayark de l'aider à se débarrasser de cette canaille, et l'autre, l'emmenant sur le glacier, le poussa dans une crevasse. Ç'aurait dû en être fait de lui. Kullubak prit le deuil traditionnel, mais il fut interrompu de façon assez nette quand le garçon rentra chez lui il avait par miracle échappé à la mort dans sa chute et avait suivi la crevasse jusqu'à son ouverture sur la mer.

A partir de là, personne n'osa plus se frotter à lui, et pour se venger il joua toute sorte de tours. C'était un grand gaillard, bien découplé, mais ne possédant pas d'armes de chasse, il devait emprunter ce qu'il lui fallait aux chasseurs endormis. Un jour que Mayark était parti à la chasse, le garnement alla dire à sa femme qu'il avait suivi son mari jusqu'à une certaine distance et que, quand ils s'étaient quittés, Mayark lui avait dit qu'il pouvait aller dans sa maison et y jouir de tous les droits d'un mari. La femme était aimante et obéissante, et ce fut seulement au retour de son mari qu'elle comprit qu'elle avait été jouée. Tout le village se moqua de Mayark.

Le gredin profitait aussi de diverses caches sans jamais prendre la peine de les refermer. Sa mère, ne sachant à quel saint se vouer, décida enfin que, si elle voulait sauver l'honneur de sa maison, il fallait prendre les grands moyens. Une nuit que son fils dormait, la tête faisant saillie au bord de la couchette, elle fit un nœud coulant avec une courroie en peau de phoque, la lui passa autour du cou et serra.

Ainsi finirent les extravagances criminelles de ce jeune homme, et sa mère fut hautement estimée pour sa belle action. Maintenant, elle était remariée, et sa grosse voix sonore était toujours un élément de joie dans les réunions.

Knud Rasmussen me laissa à Negé, quand il partit vers le Nord, à la recherche des bœufs musqués. Deux frères devaient l'accompagner, mais au dernier moment l'aîné découvrit que ses chiens n'étaient pas en état pour un voyage si dur. Mais sa femme comptait sur cette expédition, et sur les peaux qu'elle devait rapporter, et pour ne pas la désappointer son mari, très amoureux, l'envoya avec son frède cadet, Inukitsork. Ce.qu'on appelle « l'échange des femmes », chez les Esquimaux, est une coutume intéressante.

i Il y a pour le chasseur un avantage purement pratique et économique dans l'échange de femmes. S'il part seul, il doit employer une grande partie de son temps à bâtir un igloo, à couper et à faire fondre la glace. Le soir, il rentre dans un abri froid et n'a aucun moyen de faire sécher et de tanner les peaux. Il est obligé de passer ses soirées à raccommoder ses chaussures et à sécher ses vêtements, et il a dû en emporter une quantité de rechange. S'il emmène une femme avec lui, c'est bien différent. 11 lui construit Un igloo et elle veille à tout le reste.

*>̃-̃ Peter Freuchen,

(Traduit de l'anglais par Maurice Rémon.) .t'

(A suivre.) (Copyright by Albin Michel.)

Mlle Denise-Elise-Annette-Marie Valcke, dont le mariage avec M. Léonce Paul Alcède Prevôtat vicnt d'être célébré en l'église des SS. Pierrç-et-Paul à Ostende. couverte d'un grand voile ourlé de magnifique point à l'aiguille de famille et retenu par un diadème de point d'Angleterre.

Le 18 juin a été célébré en l'église des Saints-Pierre et Paul, à Ostendde, le mariage de Mlle Denise-Elise-Annette-Marie Valcke, fille de M. Louis Valcke, décédé, et de madame, née Bondue, avec M. Léonce-Paul-Alcède Prevôtat, fils de M. Joseph-Marie Prevôtat et de madame, née Tourbase.

La mariée était conduite à l'autel par M. Jean Valcke, son frère, chevalier de la Légion d'honneur, et le marié par Mme G. de Fabribeckers. Après la cérémonie religieuse, un déjeuner, suivi de garden-party, fut offert par Mme Valcke à la Cerisaie, à Ghistelles, aux parents et amis des deux familles.

Un certain nombre de fairepart s'étant égarés, on nous prie de rappeler que le mariage de Mlle Régine de Gonet avec le comte de Chamberet sera célébré demain sa- medi 25 juin, en l'église de Marlyle-Roi.

On nous annonce le mariage de Mme Helena Rubinstein avec le prince Artchil Gourielll Tehkonla, qui a eu Heu le 11 juin 1938, à Baltimore, dans la plus stricte intimité. Mardi a eu lieu, en l'église Saint-Sulpice, le mariage de M. René Haristoy, fils de M. Pierre Haristoy, directeur de la Gazette de Biarritz, et de madame, née Garet, avec Mlle Marguerite de Bonneville, fille de M. Pierre de Bonneville et de madame, née de Salvert.

La bénédiction nuptiale leur a été donnée par l'abbé Haristoy, oncle du marié.

Les témoins étaient, pour le marié M, Just Haristoy, son oncle, et M. Pierre Lafltte; pour la mariée: le baron Le Pelletier, son oncle, et la baronne Chopin dlArnouville, sa tante.

En présence d'une assistance nombreuse a été célébré hier, en l'église Saint-Pierre du Gros-Caillou, le mariage de Mlle Elisabeth de Robien, fille du comte Louis de Robien, ministre plénipotentiaire, officier de la Légion d'honneur, et de la comtesse, née du Pont de Gault de Saussine, avec le comte Bénigne de Bertier de Sauvigny, fils du comte Christian de Bertier de Sauvigny, décoré de la médaille militaire et de la croix de guerre, et de la comtesse, née van Dussen Reed.

La bénédiction nuptiale a été donnée aux jeunes époux par l'abbé de Bertier de Sauvigny, cousin du marié.

Les témoins étaient, pour la mariée Mlle Renée de Saussine et le comte de Crouy-Chanel pour le marié le comte de Bertier de Sauvigny et le comte de Chezelles. Le service d'honneur était assuré par de jeunes enfants

Tanneguy de Quenétain, Gillonc de Quenétain, Louis d'Argentie, Gaël-Jac-

ques et Michel de Robien, Anne et Ré- gine de Robien, Marie-Cécile de Bertier de Sauvigny, Snés-Cléane et Henri de Chezelles, Henri-Jean de Saussine, Na- dine et Marguerite Aris et Gaclun de liainlis.

Vient d'être célébré le mariage

De Mlle Graiicnue Nadal avec M. Roger Sabourdin.

DEUILS

Nous apprenons la mort de Mlle de Gouvion Saint-Cyr, pieusement décédée à Grasse le 22 juin. Un service religieux a été célébré à Grasse et l'inhumation aura lieu à Paris, au cimetière du Père-Lachaise, lundi prochain 27 juin, à dix heures trente.

Une messe sera dite ultérieurement à Notre-Dame des Victoires. Prière de n'envoyer ni fleurs ni couronnes.

Les obsèques de Mme, Ad. Vanderheym ont eu lieu le 21 juin, dans la plus stricte intimité. De la part de M. Ad. Vanderheym et des familles Meyer et Gaston Kahn. La famille s'excuse de ne pas recevoir. Nous apprenons la mort de M. Louis Prangey, ingénieur des Arts et Manufactures, officier de la Légion d'honneur, croix de guerre, président d'honneur de la chambre des ingénieurs conseils et ingénieurs experts de France, décédé à l'âge de quatre-vingt-quatre ans, le 22 juin, muni des sacrements de l'Eglise, en son domicile, 1, Grande-Rue, à Garches. Les obsèques auront lieu en l'église Saint-Louis de Garches, demain samedi 25 juin, à onze heures précises, et l'inhumation à Paris, au cimetière du Père-Lachaise, dans le caveau de famille, à treize heures. De la part de Mme Louis Prangey, son épouse; de M. et Mme Henri Prangey, de Mme Marcel Prangey, de M. et Mme Albert Sayet, du docteur et Mme Jean Ducuing, de M. et Mme André Favereau, ses enfants; de ses petitsenfants et arrière-petits-enfants. Le présent avis tient lieu d'invitation. On annonce la mort de M. Georges Billion, notaire à Verneuil (Eure), ancien président de la Chambre des notaires.

Nous apprenons la mort de la générale Tassin, née de Cabrol, rappelée à Dieu le 21 juin, à l'âge de quatre-vingts ans. Elle était la mère du baron de Tassin de Friedenau et de Mlle Marie Tassin de Tassin. La cérémonie religieuse aura lieu demain samedi 25 juin, à neuf heures, à Saint-Eloi de Rouen, et l'inhumation à Paris, au cimetière Montparnasse, à seize heures trente. Nous apprenons la mort de M. Charles Edward Gudewill, survenue à Paris, 31, avenue George-V, le 22 juin. Ses obsèques seront célébrées demain samedi 25 juin, à onze heures précises, en la cathédrale américaine, 23, avenue George-V, où l'on se réunira. L'inhumation aura lieu ultérieurement à Montréal (Canada). Le présent avis tient lieu d'invitation.

S. Exc. le ministre d'Haïti à Rome et Mme la doctoresse H. La.raque, dans l'impossibilité de répondre à toutes les marques de sympathie à l'occasion de leur deuil cruel, prient leurs amis et leurs relations de trouver ici toute leur reconnaissance très émue.

Mme Van Cleef, Mme Puissant-Van Cleef, les familles Arpels, très touchées des nombreuses marques de sympathie qui leur ont été adressées à l'occasion du deuil cruel qui les a frappées, et dans l'impossibilité d'y répondre personnellement, remercient leurs amis et toutes les personnes qui ont bien voulu leur témoigner leur amitié. Le « Mémorial de France à Saint-Denys » (Société des Amis de la Basilique) fera célébrer demain samedi 25 juin 1938, à Il heures, en la basilique Notre-Dame des Victoires, une messe à la mémoire des membres de la société défunts. Les obsèques de M. Raymond

.ACTUALITES

COMMUNIANTS ET COMMUNIANTES.

.appartenant à diverses paroisses de Paris, ont assisté à la cérémonie religieuse célébrée hier au Pavillon Pontifical de l'Exposition, devenu le Pavillon Marial, «

NOTE AU HASARD Pour un cocktail matinal une robe tailleur de fin lainage noir et un petit canotier de paillasson rosé piqué d'un couteau noir.

Au golf de Saint-Cloud une rohe à danser en organdi blanc imprimé de grandes fleurs noires avec une large ceinture rouge framboise, sandales et gants du même ton. Au même endroit, une autre robe de style princesse en gros cloqué marine orné d'un coquille au bas de la jupe et accompagné de sandales à bandelettes alternées rouges et bleues.

Pour le matin, un tailleur de léger tweed bleu ciel, un canotier de même coloris et une blouse de surah bleu nuit imprimé de rouge vif et de blanc.

du Lac de Fugères ont été célébrées sn l'église de Louvencourt (Somme) suivies de l'inhumation dans le caveau de famille.

On annonce la mort

De Mme Moullec, à Paris; de Mme P. François, au Mans; de Mme Charles Hirsch, ù Elnvllle; de M. Henri Laverve, à Boulogne.

Valfleury.

PETIT CARNET

Bien s'asseoir dans la vie. Tout est là.

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LE GALA DES H. E. C. LA FEERIE DE L'EAU ET DU FEU

Par une belle ordonnance, les fêtes organisées par l'Association des Anciens Elèves de l'Ecole des hautes études commerciales (H, E. C.) ont conquis leurs lettres de créance parisiennes après le grand succès du gala de mercredi, les voici inscrites au calendrier traditionnel de la saison. Le titre « La Féerie de l'Eau et du Feu x, qui aurait pu paraître ambitieux avant la soirée, a été pleinement justifié par un programme, exécute point par point et qui fut une suite de triomphes. Le dîner, servi dans le beau parc de l'Union Interalliée, a été fort élégant, du côté des dames. Du côté des hommes, les sautoirs et les cravates rouges abondaient le général Gouraud était en grand uniforme, et l'amiral Guépratte portait l'habit blanc des marins, coupé du cordon pourpre. L'orchestre d'Eddy Foy ajoutait aux agréments du diner. Dresser une liste des personnalités présentes ne serait pas facile c'est tout l'armorial des activités françaises qu'il faudrait citer, réuni autour de M. Schwob d'Héricourt, président d'honneur, et de M, Fane, président des H. E. C.

A 10 h. 30, M. Denys d'Anselme, commissaire général du gala, que secondaient ses élégants camarades, fit prendre les dispositions pour accueillir le Président de la République une double haie de gjjrdes en grande tenue s'ouvrait sur le théâtre de verdure, embrasé de feux la fanfare de la Garde, la flamme rouge à la trompette, sonnait la marche dMïda.

Le Président et Mme Lebrun étaient escortés des maisons civiles et militaires, de plusieurs membres du gouvernement et de hauts fonctionnaires. Leur bonne grâce fut très applaudie. Et le spectacle commença.

Les danses fluorescentes de Loïe Fuller, en lumière noire, firent passer sur la scène fleurs, voiles, oiseaux, peints de ravissants mirages, allant du cyclamen à la flamme de punch. Et quand les danseuses parurent transformées en urnes de cristal, alors le jet d'eau s'éleva comme uu chant yerlainien. Nous avons vu l'image réalisée il sanglotait d'extase parmi des fleurs de rêve et des papillons de nuit.

Les Wilthys, le charmant « fou chantant Charles Troue t, Raymonde et Harry Feist, Paul Berny, Maurice et Gloria et l'inégalable Lyda Suc ont apporté virtuosité, variété et poésie à ce programme si bien composé, qui fut interrompu par les danses, mais qui reprit son cours, à deux heures du matin, par « La Publicité », le célèbre ballet de Taharin, avec Jane Devereaux, Piroska et Lyda Sue, Puis, le feu s'est éteint, l'eau s'est tue, mais il nous reste le souvenir d'une féerie et un chefd'œuvre d'édition, le programme, qui est un régal de bibliophile. René Richard.

Pour dlner au bois un tailleur du soir en crêpe blanc, longue robe et boléro ourlé de fleurs multicotores.

A l'exposition de Bagatelle, un costume de flanelle rose rallé de blanc, une blouse noire et un canoter de tissu imprimé rose, noir et blanc.

Aux courses, un deux-pièces de grosse étamine marine semé de pastilles blanches de différentes tailles et un canotier cerise orné de

bigarreaux. "•

Un ensemble de garden-partij, robe longue en mousseline grisa strié de blanc et grande capeline noire itouée de mousseline blanche.

Pour recevoir à l'heure du thé une longue robe collante en crêpe noir orné devant d'écharpes croisées vertes et rose corail.

Un amusant chapeau nouveau, forme tyrolienne de couleur framboise, l'ornement haut lailonné. Des cothurnes de tissu imprimé assorti à celui de la robe et lacé par des cordelières vertes. J. S. A robes somptueuses, bijoux fastueux

La grande saison de Paris va être à son apogée, dans quelques jours, lors de la venue des Souverains anglais. Elle revêt, cette année, un caractère d'élégance particulièrement raffinée. D'ores et déjà, les réceptions se succèdent nombreuses et la Couture Parisienne a créé, pour ces occasions, des robes réellement somptueuses dan, leur sobriété. v

Ces robes appellent des bijoux fastueux, aussi les joailliers ont-ils en à cœur de réunir, eux aussi, dans leurs vitrines, leurs pièces les plus belles.

Une fois de plus, Clerc, 4, place de l'Opéra, apporte à l'actualité parisienne son précieux concours. II présente actuellement des parures pour le soir, composées de diamants taillés en facettes S et baguettes, d'autres où les rubis, les saphirs ou les émeraudes alternent leurs feux colorés avec l'éclat de diamants, d'une eau très pure.

Beaucoup de perles chez ce bijoutier, d'un fort bel orient, elles sont présentées de façon inédite et charmante; il signaler, dans cet ordre d'idée, un long sautoir l'orme de plusieurs rangs de perles assez grosses, terminé par un gland fait d'une grosse émeraude creusée d'où s'échappent des franges de perles. Dans les vitrines de Clerc, l'on peut admirer de larges bracelets, d'une forme toute moderne, pavés de pierreries des clips destinés, sans aucun doute, à enrichir encore lés tissus les plus somptueux on les plus aériens.

Avec les réceptions réellement élégantes ou les soirées officielles, le diadème réapparait Clerc nous en propose de délicieux, précieux sans être lourds, ornements seyants et jeunes s'il en fut tout prêts à accompagner boucles légères ou ondulations profondes qui surplombent, actuellement, les plus jolis fronts.

Pour le jour et l'après-midi, ce joaillier a créé, pour cette saison, des modèles « de jour », bien que très riches et très beaux, en or et pierreries bracelets, colliers, clips, motifs floraux, bagues et montres, ces dernières restant malgré leur caractère utile de délicieux bijoux. Et, puisque nous voici bien près des vacances, période pendant laquelle chacun a besoin d'une montre solide et élégante tout à la fois, n'oubliez pas que chez Clerc, maj' son sérieuse et connue de longue^ date, 11 en existe un choix incomparable, dont les mouvements sont tous des meilleures marques, revêtant les formes les plus a la mode, les plus parisiennes, les. plus « sport » et dans des conditions très raisonnables 1 M K.

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LA GUERRE D'ESPAGNE

PROGRESSANT TOUJOURS > LES NATIONALISTES

prennent Ouda et menacent Sarrion

Front catalan, 23 juin. L'offensive nationaliste aux deux côtés de la route de Teruel à Sagonte a été reprise ca matin. Précédé d'Un fort pilonnage des positions adverses, lassaut de l'infanterie contre les derniers réduits fortifiés autour de Sarrion a eu raison de la résistance adverse et a permis d'occuper, au début de la matinée, une position de premier ordrp à 3'ouest de Sarrion, sur les bords du ravin de la Muela.

Une autre colonne, descendant des montagnes qui entourent Camareha de la Sierra, a fait sa liaison avec la première sur la route nationale, où le kilomètre 34 a été atteint.

Les premières patrouilles se trouvaient, au coucher du soleil, en vue de Sarrion.

SUITES DE LA PREMIERE PAGE M. ANDRE MAUROIS A L'ACADEMIE

L'oeuvre du nouvel académicien a un public si vaste, son ilulstration est telle que l'on ne ressent que faiblement le besoin d'énumérer aujourd'hui la soixantaine d'ouvrages qui déjà la constituent.

M. André Maurois est né en 1885, d'une famille qui, depuis fort longtemps, attachée à l'industrie du tissage, quitta l'Alsace après la défaite et vint installer ses établissements en Normandie. La littérature l'a saisi très tôt à quatorze ans, il s'essayait déjà au roman brillant élève du lycée de Rouen, auquel il apporta la gloire du prix d'honneur de philosohie au Concours général et où il reçut l'enseignement décisif d'Alain, qui devait le marquer profondément. C'est Alain qui le mena à Balzac et à Stendhal, lui inspira ensuite des essais qui n'ont jamais vu le jour et qui avaient leur source dans les chroniques que publiait le professeur philosophe dans la Dépêche de Rouen.

Après son service militaire au 74» régiment d'infanterie, jusqu'à vingt-cinq ans, M. Maurois ne fut qu'un apprenti écrivain fort discret. Et l'on saisirait mal les courants intellectuels et moraux de son œuvre en ignorant qu'il fut de longues années, en pleine vie provinciale, un industriel à la tête d'un établissement qui employait des centaines d'ouvriers. Certes, le jeune filateur tenait sur son bureau un gros registre qui ne concernait en rien le cours de la Haine il y consignait des portrait arrachés à la réalité quotidienne, portaits d'hommes d'affaires et de vendeurs des projets de roman.

Bernard Quesnay est né de cette expérience une philosophie solide, par surcroît. Le sens du chef, d'abord, qui brille dans Dialogues sur le commandement et dans son ^yautèy" Et derrière le, chef l'homme d'action. Enfin, un réalisme parfait qui fait dans le

LES ENRICHISSEMENTS DU MUSEE GUIMET

Sur la vieille civilisation tchamc, «jtie les envahissements des Annahiites ont entravée, puis ruinée, et sur la civilisation kmère, les pièces exposées noUs apportent des témoignages d'un haut intérêt. Deux, d'Une importance incontestable, sont des sculptures en ronde-bosse qui, l'une et l'autre, représentent le dieu Vlchnôii et date de la première moitié du neuvième siècle de notre ère. Eh dépit de leur hiératisme, elles sont très vivatites. L'une d'elles, malheureuseti'ès mutilée, est remarquable de modelé et de patine. Elles provientient d'une campagne de fouilles de St. Philippe Stern, dont l'esprit critique et le sens plastique ne contribuent pas peu à l'enrichissemeht du musée Guimet. Des colonnettes de forme ronde, cardée ou octogonale, et quatre linteaux, de différentes époques, donnent de précieuses et séduisantes indications sue l'évolution de l'art décoratif kmèr. Un fronton à scènes qui provient de Banréa y-Srci est un exquis spécimen de la meilleure période de cet art, celle où s'accordent l'équilibre de la composition, la grâce de l'invention, la sonplesse et l'éuergie de la sculpture. Dans une autre des salles neuves sont réunis des objets mis au jour en Afghanistan, ce pays où tant d'invasious ont déferlé, où se sont succédé tant de peuples. Le privilège d'y pratiquer des fouilles y est accorde depuis seize ans à là France, à charge par elle de réserver les meilleures trouvailles ait musée de la capitale du royaume, Caboul. En 1936-1937, M. et Mme Hackin, M. Jean Cari, M. Jacines Jlcunié, entreprirent des reciierches d'abord dans la partie

LA CAÎÂSÎROPHE AI .Tout s'était passé normalement. Lé décollage fut aisé. Un quart d'heure plus tard, les habitants du village de Beaumout-la- Rancc, situé à 30 kilomètres au nord de Tours étaient réveillés par lc bruit d'une explosiion et une lueur aveuglante. Au sol, tas de bois et de ferrailles, l'avion brûlait. Toute tentative de secours était vaine. Les gendarmes alertèrent les autorités.

A l'aurore, M. Vernet, préfet de l'Indre-et-Loire, ainsi que des officiers de la base de Tours, étaient sur les lieux. On put alors approcher du brasier qui s'éteignait et retirer les cadavres de l'équipage. Le ministre de l'Air se rend en avion à Tours

Aussitôt qu'il eut connaissance de la catastrophe, M. Guy La Chambre décida de se rendre à Tours. A 9 h. 40, accompagné du général Bouscat et du colonel Tavera, le ministre de l'Air atterrissait à Tours et se faisait immédiatement conduire sur les lieux de la catastrophe, où les officiers de la 3° région aérienne avaient déjà commencé teur enquête. Il semble qu'une explosion en vol ait été à l'origine de la catastrophe. Après être allé s'incliner devant lès dépouilles mortelles des sept' victimes, à l'hôpital militaire de TourSj le ministre de l'Air a re-

gagné Paris au début de l'après-

midi.

En fin de soirée» le président du Conseil a reçu M. Guy La Chambre] ministre de l'air, qui est venu lui

L'adversaire se défend avec acharnement.

Sur le front du Mijares, lés troupes de Navarre ont occupé le village de Sarrion, qui est intact.

Les Américains

ne veulent pas de la paix à tout prix

Washington, 23 juni. Au cours de la cérémonie de distribution des diplômes aux cadets du collège militaire, M. Louis Johnson, secrétaire adjoint à la guerre, a souligné que les Américains détestent la guerre, mais n'accepteront pas le maintien de la paix à tout prix.

domaine social, à l'expression de sa pensée, une parenté très vive avec celle d'un conservateur libéral, qui tient toute révolution pour destructive et aime l'acheminement silencieux vers les nouvelles formes de vie se souvient-on de la douce critique que fait Ni ange ni bête à l'idéalisme social ? Ce même réalisme l'a fait l'interprète d'un art de vivre au climat modéré que l'on définit bien par la phrase de bèscàrtes « Tâcher à me vaincre plutôt que fortune et changer mes désirs plutôt que l'ordre du monde. » Notre éminent collaborateur a exprimé le mieux cet art de vivre dan sson œuvre romanesque, Climats, L'Instinct du bonheur, Le Cercle de famille.

Après l'industriel, comptons pour beaucoup l'iritiierprète près de l'armée britannique pendant la guerre Les silences du colonel Bramble, puis Les Discours du Docteur O'Grady ont créé la première gloire de l'écrivain. Paul Morand a écrit qu'il était « notre tunnel sous la Manche ». L'Angleterre, tous les pays de langue anglaise ont fait tout autant que le public français le succès des biographies,, le Shelley, le Byron, le Disraeli, l'Edouard VII, et récemment de l'Histoire de l'Angleterre. L'interprète de guerre est devenu celui de l'amitié francobritannique.

Etudes d'histoire littéraire (du Voltaire et du Tourguenev au Chateaubriand qui vient de paraître), études sociales comme Chantiers américains, littérature enfantine comme Patapoufs et Filifers, l'œuvre de M. Maurois est vaste. Elle témoigne, dans notre temps, d'une des intelligences les plus lucides qui ont été données à la création littéraire. Personne n'oublie combien, par les charmes de la clarté, elle a contribué à la gloire de notre littérature contemporaine à l'étranger. T

afghane de l'ancien Selstan saccagé au quatorzième siècle par Tâtnmer- lan; puis à KundiiSs, piiïs à Begram site de l'ancienne Niais et dans deux monastères boudrihiques.

A Begram. M. et Mme Hackin découvrirent dans une habitation une chambre murée qui livra un vêdtable trésor archéologique bronzes, albâtres, verres soufflés, verres à décor en relief, verres taillés, verres peints, ivoires gravés du sculptés ou ajoures. Mme Hàckitt donna des soins savants et délicats à ces fragiles merveilles pféservées miraculeusement d'un total anéantissement, et nous pouvons admirer des vases d'un beau bleu foncé entouré d'une baroque résille de fils de verre, de verres peints d'un style hellénistique, aux coloris très frais et très francs, qui représentent .des cavaliers et des gladiateurs, et des ivoires qui prouvent quo les textes n'avaient pas menti et que les ateliers de l'Inde du premier au quatrième siècle de notre ère travaillaient avec une grande perfection là précieuse matière.

La disposition des vitrines, leur aménagement, l'excellence des photographies, leur heureuse présentation, la discrétion et la précision des indications didactiques concourent à la bonne impression que l'on emporte des salles nouvelles du musée Guimet. Impression réconfortante. puisqu'elle révèle au profane la belle activité des archéologues français, à laquelle la grande pressé se décidera peutêtre un jour à accorder autant d'importance qu'à une partie de football ou une course cycliste. Raymond Lécuyer.

ERIENNE DE TOURS rendre compte de son voyage k Tours.

Lès victimes

Le capitaine Raiucry était né à Trédiou (Morbihan), le 24 mai 1906. Le capitaine Marmàgnon, breveté de l'école de guerre, était né à Quintper, le 12 juillet 1903. Le lieutenant Raynaud était né il Cerriza (Aube) le 14 décembre 1897. Il avait été le moniteur de M. Pierre Cot et avait accompli, l'an dernier, un raid vers Madagascar, avec Mme Finat.

Le lieutenant Canal était né lé 18 septembre 1897, à Cllcliy.

«

Une conférence

de M .Osusky.

.sur l'équilibre politique de l'Europe

M. Stefan Osuisky a fait, hier soir, il l'Académie diplomatique internationale, une conférence très applaudie sur « l'équilibre politique de l'Europe ».

Le ministre le Tchécoslovaquie a ainsi conclu

Laissez-mi'i voils dire qu'il y a deux sortes d'équilibre l'équilibre stéréotypé, l'équilibre qui étrangle la vie, donc l'équilibre de la mort, et l'équilibre dans l'action, dans le mouvement et la santé. C'est pour servir l'équilibre qui aide la vié dans sa marche, que nuos avons parlé « d'équilibre politique de l'Europe.

LA MARCHE DES JAPONAIS SUR HANKEOU SEMBLE

ARRETEE

Hankéou, 23 juin. Les Japonais ont attaqué hier les positions chinoises à Tai-Hou, et de violents combats auraient également eu lieu dans la région sud du Yang-Tsé. Les navires de guerre nippons, dont l'objectif était Hankéou, ont toutefois été arrêtés par un puissant barrage érigé par les Chinois à Matang. On signale d'autre part que les eaux du Yang-Tsé ont débordé sur les rives nord et sud, dans les environs de Tai-Hou, ce qui rend impossible des opérations militaires de grande envergure. L'aviation nippone

bombarde Sona-Teou Soua-Téoll, 23 juin. Des raids effectués par l'aviation japonaise au-dessus de la ville ont eu lieu à 8 heures et à 10 h. 30 ce matin. La gare a été gravement endommagée et la principale conduite d'eau de la ville a fait explosion. Il y a eu quelques victimes. Les autorités chinoises conseillent à la population civile d'évacuer la ville. On croit généralement qu'un débarquement de troupes japonaises est imminent.

Prise de Hong-Kong

ou prise de Canton ?

TOKIO, 23 juin.

(Câble « Figaro »)

ta nation japonaise est maintenant soumise à toutes sortes de mesures d'économie qui doivent permettre dé financer une partie des nouvelles dépenses engagées dans la guerre de Chine.

Les décrets publiés cet après-midi à Toklo sont léquivalent d'une application partielle de la loi sur la mobilisation générale.

Après la réunion des ministres, le gouvernement a publié un communiqué se référant aux nécessités d'informer la nation de la situation financière et économique. Il déclare que les « incidents » avec la Chine sont loin d'être terminés et que les ressources nationales doivent être contrôlées et préservées. Des mesures pour contrôler le pris du riz, pour augmenter le tarif des exportations et pour réduire le nombre de certains articles domestiques tels que le fer, l'acier; le bronze, lé zinc, le nickel, l'iuminium, le coton, la laine, le papier, le caoutchouc, le pétrole ont été annoncées.

•Deux tendances se manifestent dans l'entourage des autorités japonaises au sujet de la guerre de Chihe. Une section recommande la prise de Hong-Koug est aussitôt après l'ouverture de négociations tlè paix. Un autre courant d'opinion est en faveur de la prise de Canton et d'étendre la guère dans le sud de la Chine. L'opinion des plus modérés, notament du ministre des affaires étrangères M. Ugaki prévaut pour le moment.

L'Italie dément

les bruits d'un emprunt à Londres

Londres, 23 juin. La déclaration suivante a été publiée ce soir par l'ambassade d'Italie à Londres

« L'ambassade d'Italie dément catégoriquement les rumeurs qui ont récemment paiii dans la presse au sujet de prétendues demandés faites par l'Italie en vue d'obtenir des crédits sur le marché de Londres. Ces rumeurs sont entièrement dépourvues de fondement. >

4.

Les Etats-Unis

et les bombardements aériens l

Washington, 33 juin. M. Corflell Hull, secrétaire d'Etat, a déclaré aujourd'hui qu'il regardait les bombardements aériens de populations civiles comme une question qui devait être immédiatement mise à l'étude.

M. Cordell Hull a déclaré, d'autre part, que les relations anglo-amérjcaines en matière de changes monétaires seraient examinées à l'occasion des négociations sur l'accord commercial.

De son côté, M. Woodring, secrétaire à la guerre, par lant à Jersey City, â déclaré que les grandes puissances devraient rapidement se mettre d'accord pour limiter les bombardements aériens exclusivement aux objectifs militaires. U. WoodHiig a conclu que les Etats-Unis « sont prêts à collaborer avec les autres nations à tout projet rationnel visant à diminuer et à limiter les armements d'une façon définitive ».

L'ALLEMAGNE

Et LES EMPRUNTS INTERNATIONAUX

Sir Frédéric Leith Ross confère avec le Dr Wiehl Londres, 23 juin. M. Wiehl, cHef de la délégation financière allemande, a eu aujourd'hui un second entretien d^une heure environ avec sir Frederick Lèith Ross, principal conseiller financier du gouvernement.

On croit savoir que le gouvernement du Reich désirerait voir abaisser à 3 1/2 le taux de l'intérêt des emprunts Dawes et Young, qui est actuellement de 7 pour le premier et de 5 1/2 pour le second de ces emprunts. UNE FUSILLADE

A LA GARE DE BELGRADE Belgrade. 23 juin. A la gare principale de Belgrade, à 23 heures. quelques minutes avant Je départ du train de Zagreb, un homme d'une trentaine d'années circulait sur le quai. Apereeçant un groupe de six personnes devant un wagon, il s'approcha et se mit à tirer des coups de revolver.

Le gendarme de service accourut, revolver au poing, et somma l'individit de se rendre. Celui-ci le visa, niais se rendant compte que son arme était vide, il jeta son revolver sous le wagon et se laissa arrêter.

JI s'agissait"»dc Kresilnir Blagevitch, étudiant en droit, employé ddns la Société de bois de Chiprtd. Seis victimes étaient l'ingénieur Tichomir Dlvjka, Inspecteur au ministère des bois et forêts, et un négociant, M. Bilbija, tués tous deu.

L'assassin a déclaré qu'il Venait « de régler un vieux compte ».

ROME SEMBLE PASSER par une période d'hésitation ou toutes les contradictions trouvent égal crédit

(Téléphoné t Figaro) »>

ROME. juin.

M. Mussolini est rentré et ma.tin de Forli, où il était depuis plus de quinze jours, L6 Duce, qui était rarement resté aussi longtemps absent de Rome» a employé ses vacances â réfléchir a lie u acte important n'a été décidé depuis l'entrevue de lordPèrtli et du comte Ciano, le 4 juin, êl il né, semble même pas que M. Mussolini revienne dans la capitale apres avoir fixé le cours qu'il entend donner à la politique nalicnne, en particulier au sujet de l'Espagne. Toute affinitàUo«i selon laquelle le gouvernement Italien aurait décidé d'opérer spontanément un retrait des volontaires est donc fausse, comme est fausse également l'affirmation contraire, selon laquelle il serait décidé à continuer de soutenir le général. Franco jusqu'à une victoire totale. La vérité est que l'on passe à Rome par une période d'hésitation pendant laquelle les rumeurs de médiation et les rumeurs de nouvelles preuves de fermeté peuvent il bon droit avoir ëgalment crédit. Ce qu'il est important dé nr>fei% c'est qué l'atmosphère est telle que des rameurs contradictoires peuvent ainsi Cô-

LES BOMBARDEMENTS DE NAVIRES BRITANNIQUES

.1 M* Chamberlain affirme

que l'Angleterre restera fidèle à la politique de non intervention (De notre correspondant particulier, par téléphone)

LONDRES. 23 juin.

LA Chambre des Cointtiunes à été, ce soir, théâtre d'un débat orageux, à la demande des socialistes exaspérés par les derniers bombardements dont deux navires britanniques furent VictiinÉà hier dans le port dé Valence.

bu babd dÈ la hjajoHté gouvernementale, M. Sandy, beâU-flls de M. Winston Churchill, protesta avec vigueur il déclara ,que l'incapacité de la Grande-Bretagne de résister à de telles attaques aériennes ne faisait qu'encourager les hors-laloi du monde entier. Ces paroles turfciit aussitôt acclamées par lés socialistes et, dans un brouhaha peu commun, à la Chambre des Communes, M. Àtlleè dit au premier ministre que ces bombardements étaieht la conséquence directe du discours qu il à prononcé avanthier.

M. Lloyd Géorge demanda qu'une noté dé protestation fut envoyée non seulement au général Franco, mais également à l'Alleihaghé et à l'Italie. Un débat dut être accordé Il débuta à 7 h. 30,

A Prague, le parti des Sudètes précise ses revendications

Prague, 23 jfui'ji. Selon les communiqués publiés aujourd'hui par l'.4tfe/ice Cctelca, ce matin a pu lieu sous la présidence de M. Hodza un entretien d'information entre les tném'brès du Comité restreint des monistrés politiques et ips représentants autorisés du parti des Su- détes.

A cette conférence, qui se tenait dans les locaux de la présidence du Conseil. ont assisté le vice-président du Conseil et ministre des transports, M. Bechyne; le ministre de l'intérieur, bt. Cerny; 1b ministre de l'instruction publique, M. Franke le ministre de l'Unification de la législation, Mgr Sramek; le ministre du cpmttterce, M. 1. Mlcoch, et le ministre de la santé publique, M. Czech.

Du côté sudète étaient présents les déplues KUndt, Roche et Peters ainsi que le docteur Sebekovsky et le docteur Sciiicketanz.

Lés représentants du rçarti allémand des Sudètes ont fait connaître aux ministres politiques leur point de vue sur la s olution du problème minoritaire et ont expliqué en détail les revendications

NOUVELLES- a-RIVES

EîkÂftm

Troublés sociaux

en Guyane britannique GeorgéloWh, 23 juin. On noie une recrudescence de troubles sociaux.

Des renforts de police ont dû être en effet envoyés en toute hâte à Bcrbice, les travailleurs, de -deux plantations de cannés à sucre ont subitement cessé le travail et menacent de provoquer de graves désordres.

Dans une autre plantation sur les bords du fleuve Corentine, des grévistes ont envahi et saccagé la demeure du directeur de la plantation et causé de graves dommages au réseau téléphonique.

L'espionnage allemand es~ en Amérique

Ottawa, 23 juin. M. Mackehzic, ministre de la défense nationale, a déclaré qu'un espion qui était en relations avec la bande dont les membres, en majorité de nationalité allemande, sont poursuivis par le gouvernement des Etats-Unis, est surveillé à Montréal. On ignore si l'espion sera arrêté immédiatement. incidents à Klaipeda

Kaunas, 23 juin. Des incidents se sont produits à Klaipeda à l'arivée d'un navire allemand dont les passagers chantaient des airs nationaux-socialistes.

La fouit' a brisé les vitres du commissariat de police et lilessé deux policiers.

ALLEMAGNE. Le ehef des S. A., M. Lutze, se rend en Italie, invite par le chef de l'état-major Rusto. à visiter les institutions dé la milice italienne.

exi&ler. C'est un fait nouveau il suffit de songer au temps encore proche du fameux discours dé Génes pour s'en convaincre.

La question du blé

Depuis quelques semaines ou marque le pas. Va-t-on changer de direction Pour tenter de le savoir, il convient d'examiner les raisons de l'hésitation actuelle et de voir celles qui paraissent être les plus fortes.

Ces raisons sont dbubles. Les unes sont dé politique intérieure et les autres de politique extérieure. Les premières tiennent aux difficultés économiques que l'Italie traverse actuellement et risque de connaître d'Utié manière plus pénible encoré dans l'avenir du fait de la JhâUvaisè récolte de blé.

« L'inutilité du sacrifice » Certes peuplé italien est comme ftu temps de la guerre d'Abyssiniè tout prêt à endurer les privations et à maîtriser les dangers. Mais l'idée de l'utilité du Sacrifice parait aujourd'hui manquer. Ceci est vrai en particulier pour ce qui est de l'Eapagnè. Bon nombre de gens dans lé peuple ne comprennent pas ou Comprennent mal la nécessité de continuer à faire

Lorsque M. Neville Chamberlain commença son discours, les huées de l'opposition couvrirent pendant plusieurs minutes la voix du premier ministre qui, cependant, put parvenir à dominer l'assemblée. « Les deux dernières attaques sur les cargos britanniques^ dit M. Chamberlain, ont été délibérément faites. »

Sir Robert Hogson, agent britannique à Burgos, a reçu l'instruction de demander personnellement au général Franco des explications sans retard, et dès qu'il les aura reçues il reviendra en Angleterre. Le gouvernemeht sera alors en mesure de ^considérer la situation à la lumière de la réponse du général Franco.

En attendant, M. Neville Chamberlain déclara que le gouvernement ne modifierait pas la politique qu'il a déjà définie. Il continuerait à suivre la politique de non-intervention qui maintenant à une plus grande chance d'être suivie par les autres puissances qu'auparavant. Il ne changerait pas les termes de son avertissement aux

présentées au gouvernement par le parti des Sudètes.

Une nouvelle réunion s'est tenue à 17 heures. Les représentants du parti des Sudètes ont complété lj6Ur exposé de ce matin en répondant aux questions des membres dit, comité restreint des ministres politiques et en précisant les revendications qui oht déjà été présentées.

La réunion s'est terminée à dixneuf heures trente. Le président du Conseil a résumé le résultat de cette entrevue en faisant remarquer qu'on reprendrait les réunions ainsi que les conférences spéciales avec les ministres compétents, auxquels on adjoindrait éventuellement des experts.

Berlin accuse Prague de tactiques dilatoires (Téléphone c Figaro *)

BERLIN, 23 juin.

C'est avec une impatience visible que les négociations à Prague en-

Un ouvrier de Potsdam a été condamné à siv semaines de Iravaux forcés pour avoir siffloté /'Internationale tont en exécutant son traucfil.

BRESIL. Le marquis d'Ormesson, ambassadeur de France à Rio-de-Janeiro, dont la mission au Brésil est terminée, a pris hier congé du président Vqrgas. BIRMANIE. Des malfaiteurs ont réussi à pénétrer dans l'intérieur de la fameuse pagode sacrée, située sur la colline de Mandalay, et ont dérobé des joyaux et des images sacrées d'une nleur inestimable.

ITALIE. M. MusSotiiii est rentré à Rome, après avoir passé trois semaines environ dans sa résidence d'été, le château de liocca délie Caminale, en Romagne. GRANDE-BRETAGNE. M. Tataresco a été reçu par le premier ministre dans son bureau privé, à la Chambre des communes.

TURQUIE. L'assemblée nationale turque a Voté la loi abaissant en Turquie l'âge légal du mariage ù il ans pour tes hommes et 15 atts pour les femmes.

POLOGNE. M. Joseph Bèck, ministre des affaires étrangères, a reçu le comte von Moltke, ambassadeur d'Allemagne, et sir William Kennard, ambassadeur de Grande-Bretagne.

U. R. S. S. Plus de douze millions de livres vont être transportés de l'ancienne bibliothèque de Moscou ad nouvel édifice qui vient d'être 'construit au centre de la ville et qui constituera la « Bibliothèque Lénine ».

ATHENES. Vu tremblement de terré a été ressenti aujourd'hui le long de la côte seplenliionalc

verser le sang italien s'il y à tin» possibilité de règlement de guerre. Mais ici interviennent des râi\ sons de politique intérieure. Premièrement, il y a l'Alremagne et la nécessité commandée par la promesse relative au Brenner de maintenir l'axe. En second. lieu, il y a la situation militaire en Espagne. Est-ce au moment où les forces nationales sont en position avantageuse qu'il convient de les lâcher ? 2 Une partie de l'opinion italienne en serait heureuse mais une autre en serait surprise.

Ainsi, le gouvernement de Rome est pris entre des contradictions. Il a tenté une sortie en demandant à l'Angleterre, le 4 juin, une ratification immédiate de l'accord d'avril et, partant, une modification des conditions mêmes de cet accord. Il n échoue. Surtout, sans doute, pour des raisons de politique intérieure anglaise. Pour le moment, il peut se dire qu'il ne risque rien à attendre quelques jours, sinon quelques semaines, pour voir notamment quels seront les résultats de l'accord final qui sera sans doute réalisé demain au comité de nonintervention et l'effet sur les opérations d'Espagne de la fermeture des frontières terrestres et maritimes.

cargos britanniques du danger de pénétrer dans les eaux territoriales espagnoles. Il n'armerait pas les cargos britanniques.

« Nous croyons, dit-il, que cette politique est la meilleure dans l'intérêt de ce pays. »

Ces paroles furent longuement applaudies par les députés partisans du gouvernement.

Les cargos, dit-il, qui continuent il entrer dans les eaux territoriales espagnoles pour obtenir de grands profits doivent le faire à leurs risques, mais néanmoins le gouvernement déplore les attaques dont ils sont victimes. Il exprima l'espoir que les avertissements qu'il a donnés seront entendus. Il espéra que le général Franco donnera des instructions pour empêcher la répétition de telles attaques. Le gouvernement attendra sa réponse et t'examinera.

Le débat se termina par un vote qui repoussa la motion de l'opposition par 275 voix coutre 11. G. B,

tre le docteur Hodza et le groupe des minorités comprenant le parti sudète sont suivies à Berlin, où l'on accuse le gouvernement tchécoslovaque d'employer «he tactique dilatoire. Ces méthodes, dit-on, sont des plus regrettables, car loin de résoudre les vraies difficultés, elles permettent seulement au gouvernement de Prague de gagner du temps.

Nous apprenons qu'uue délégation soviétique assistera à la 3* réunion internationale de la Fédération aéronautique qui s'ouvrira demain sous la pfésidcUcc du prince Bibesco. La Grande-Bretagne, l'Italie, la Suisse et la France seront parmi les 'l'i notions représentées.

La délégation soviétique recevra le prix pour le record aérien de la plus longue distance sans escale réalisée par les aviateurs russes. Elle aura l'occasion de rencontrer les organisateurs de la nouvelle aviation allemande, car le général Gœring a organisé une réception en l'honneur des délégués. Elle visitera les uusines Junker à Dessau..

du golfe de Corinthe. Plusieurs maisons de la ville de Galaxidon ont élé endommagéès. Toutefois, on né déploe, jusqu'ici, aucutie viclime.

ALFRED COLEXDER, GARDIEN DE BUT DU CLUB DE FOOT. BALL de naprzod, s'est pendu ce matin à Chorzov, en Pologne, près de Kattowice, après une défaite de son équipe dans une rencontre régionale, dont il se sentait respon-

sable.

PARIS

ON SIGNALE L'INTOXICATION ACCIDENTELLE PAR LE GAZ D'ECLAIRAGE des époux Lembourbé, âgés de 40 ans, et leur fillette Eliane, 13 ans. L'enfant est morte malgré les soins des pompiers. Les parents ont été transportés à l'hàpiiàt.

APRÈS AVOIR TIRE UNE BALLE DE REVOLVER SÛR SA FEMME, âgé de 46 ans, ébéniste, 66, avenue Gambetta, à Saint-Maur, s'est donné la mort en se logeant un projectile dans la tempe droite. Mme Rossenu a été transportée dans un état grave à l'hôpital de Crétéil. Dans une lettre, le meutrier explique sa détermination il était en instantce de divorce et sa femme ne lui avait pas amené en visite ses deux enfants, dimanche dernier. PROVINCE

LA COUR D'ASSISE DE LA CHARENTE a condamné à la peine de mort le domestique de fernie Gabriel Bouhier, qui, le 17 décembre dernier, avait ussassiné à Roullet un cultivateur, M. Henri Bat y.

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LE TOURNOI DE TENNIS DE WIMBLEDON

Boussus

est facilement battu

par Henkel

Les Chinois ont lenu lu vedette aujourd'hui à Wimbledon. W. C. Choy jouant avec sang-froid et régularité a failli battre le tchèque Menzel et s'est révélé un champion de grande classe. Kho-Kie a également fait une partie magnifique sur le court central oit il a buttu l'Anglais Collins. Jionssus n'était évidemment pas au point an début de son match contre Henkel. L'Allemand menant un train rapide n'a pas permis au Français de se reprendre.

Borotra et Mrs ont gagné contre Menzel et Miss Howard avec brio et cohésion. Sur le même court, Budge et Mrs Marble infligèrent une défaite écrasante à Mac Phat et Miss King. On se demande ce que /era l'équipe franco- américaine contre cette équipe qui ne se permet jamais une faute. Simple messieurs (second tour) Menzol 1). Choy, 7-5, 3-6, 1-0, 6- S-li. Troisième tour Heukel (Ail.) h. Boussus (l"i\), «-2, (i-3, U-2 Oecht (tch.) 1). Shurpe (G.-B.), C-3. 6-4, 5-7, 6-1 Pimeec (Voug.) b. Andreson (U., S. À.), 7-5 6-:S, 4-6, .1-6, <>-4 Milic (Youg.) b. Procopio (Brésil) 4-5, (i-2, 6-0, 6-0 Budge b. Rogers (Irl.), l'O, 7-5 6-1 Kho-Sin-KH (Chine) b. Collins ((i.-B.). 8-6, 0-3, 6-2.

Simple dames. Deuxième tour c'' Mlle Sperling (Dan.) h. miss Whcler (U. S. A.), 6-0, 6-0 miss Jacobs (U. S. A.) b. miss Ingram ((i.-B,), 9-7, 6-3; miss Scrli-eu (G.-B.) 1). nilss Scott. ti-3,

Troisième tour Mme Mathieu (Fr.) b. miss Curtiss, 6-0, 6-3.

Double mixte. Premier tour Brugnou et miss Covne b. Hamburger et miss Lucas. 6-2, 6-1 Boussus et miss Wvune b. Mucking et miss Osborne, 6-1, 6-2.

Second tour Borotra et Mrs WiilsMoody b. Menzel et Mrs Howard, li-ï, 6-4 Henlïel et miss Fabyan b. Ghee- land et Mine Meulemmester, 6-3, 4-6, 6-1 Budge et. Mrs Marble b. Mue Phail il et miss King, 6-1, 6-1 miss Saundersl\. À. Shayes b. Mlle JedrzejowskaMàko, 6-3, 6-2.

AU PAVILLON MARIAL (Jardina du Trocadéro) SOIRÉE DE DANSES ET CHANTS BASQUES par les Èlàï-Alaï

Aujourd'hui, à 20 h. 30, pour ]fl nuit de la Saint-Jean, les Petits Chanteurs basques de Guernika, déjà connus à Paris par plusieurs remaniuubles coucerts, présenteront quelques-unes des plus i>elles pièces de leur répertoire folklorique. On soit que ces enfants constituent une véritable académie de danse et de chant. Originttires de lu ville et de la campagne qui entoure Gticrnika, ils ont reçu à Paris une généreuse hospitalité et continuent à travailler sous la direction de M. Seguuda de Oloetu qui, après les malheurs de sa patrie, les à recueillis avec ses huit enfants.

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WEEK-ÈND A TROUVILLÉ Samedi 2ô, ouverture de la piscine avec abonnements de saison. Vendredi 24 et samedi 25, excellents trains directs. Route autodrome. Au Casino les meilleurs films au cinéma. Dancing. Boule. Baccara. Roulette.

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Renseignements Téléphone Knghien 8GÛ à i>3

PROMOTIONS ET NOMINATIONS DANS L'ARMEE

Au grade de général de division, les généraux de brigade l'urlsot, VVattel, Mollard, Toncé, Aymes et Cicsl. Au grade de général de brigade, les colonels Perler, Goubnux, de Verdilliac. Moulin, Bézicis-I.afosse, Bru-

che, Voinier, Coradin, l'arvy, Michel,

Slehlé, Muze.

Au grade d'intendant général de 2" classe l'intendant Cumin.

Au grade de médecin général. les médecins colonels Cot, Coudray. Au grade d'Mugcnicur général de

classe l'Ingénieur lloussel.

Au grade de général de division, les généraux de brigade IJerendinger et

de Buzelalre de Iluppicrre.

Au grade de général de brigade, les colonels Tranchant, Eusson, Palvy. Affectations

Les officiers généraux nouvellement promus dont les noms suivent ont été maintenus dans leur affectation actuelle

Les généraux de division Wattcl, Mpllurd. Aymes les généraux de brigade Périer, Goubuux, de Vcrdilliae, Moulin, Bézlers-Lafosse, Bruche, Voi.nier, Coradin, l'arvy, Michel, Stehld. L'intendant général de 2è classe Cu. min.

Les médecins généraux Cot, Cou.

dray.

L'ingénieur général de 2" classe Rous.sel.

Les généraux de division Derendin» ger, Bazeloire de Buppierre les géné- raux de brigade Huason, F«lvy, Mutations

Les généraux de division Tencé, gouverneur de Unnkerque, commandant le secteur défensif des Flandres Parisot, au commandement de la 1:»"> division d'infanterie. à Dijon Délègue, au commandement de l'artillerie de Tunisie.

Le. général de brigade Toussaint, attaché militaire à Rome.

Le colonel Haca, au commandement jiar intérim du secteur défensif des Ardènncs.

Le général de division Blégcl, maintenu dans ses fonctions d'inspecteur technique des transmissions.

Le général de brigade Jullicn, com.mandant supérieur par intérim des troupes et services des transmissions. Le général de division Philippe, commandant supérieur des troupes et services de communications.

Le colonel du génie Aymard. commandant par intérim de la brigade de sapeurs télégraphistes.

Le général de brigade Langlois, à nn état-major du conseil supérieur de la guerre.

w

Le général de brigade Gest, général de division dons la 1r» section du cadre de l'état-major de l'armée.

Le général Touchon, qui vient d'être nommé dernièrement gouverneur militaire de Lyon, fera son entrée officielle dans cette ville demain samedi 25 juin.

v*t Le Conseil d'administration de la Caisse Générale des Retraites de in Presse Française s'est réuni le 2:S juin, sous la présidence de M. Etienne de Naièche, président.

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LES CONCOURS

DU CONSERVATOIRE Violon (femmes)

Epreuve rendue difficile par le choix, excellent d'ailleurs, du Concerto de Ernst, qui exige une brillante technique et laisse assez peu de place aux qualités uniquement musicales. Quelques sujets en ont cepeudant relevé l'éclat Mlle Brabant, une enfant de treize ans et demi, qui a charmé ses auditeurs par son jeu facile, léger, par sa simplicité, par ses mérites de lectrice Mlle Regil, sa cadette de neuf mois, dont l'adresse est fondée sur un sérieux acquis Mlle Artopoulos, qui a du tempérament; Mlle Altoumian, qui a du charme Mlle Charron, Mlle Jeanne, à qui la destinée a donné en partage, à l'une la clarté, à l'autre des dons de lectrice la prometteuse Mlle Brothier (quatorze ans) et Mlle Jousset, déjà solidement armée. La lecture à vue de M. Mazelier, mélodique et pourtant sans pièges, a troublé un assez grand nombre de concurrentes.

Le jury, composé de MM. Henri Rabaud, président, Mazelier, Jacques Thibaud, Graverand, Chedecal, Darrieux, Oberdoerffer, Tenenbaum, L. Zighéra et J, Chailley, secrétaire, a décerné les récompenses suivantes

Premiers prix; Mlles Jousset (classe Tourret), Jeanne (classe Tourret), Artopoulos (classe Tourrei'.

Deuxièmes prix Mlles Altoumian (classe Tourret), Brothier (classe Tourret), Guignard (classe Bpucherit), Petit (classe Touche). Premiers accessits ̃: Mlles Delanoue (classe Tourret), Martinet (classe Touche), Charron (classe Tourret), L. Blum (classe Boucherit), Brabant (classe Boucherit), Bertrand (classe Touche), Charmasson (classe Boucherit), Candès (classe Boucherit), Régil (classe Touche).

Deuxièmes accessits Mlles Baudelot (classe Bouillon), Vizios (classe Tourret), Galichon (classe Bouillon), Gaston (classe Bouillon), Patacq (classe Touche).

LE CONCOURS

D'AUJOURD'HUI

Violon (hommes)

Morceau de concours Concerto de Ernst

Concurrents MM. Toscano, Chorafas, Detaille, Cartigny, Rapoport, Stavrianos, Visoni, Metéhcn, Schwalbc, Gali, Malvault, Christianscn, Cyroulnik, Audibert, Parrenin, André, Puig, Semenoff, Lewkowicz, Djemil, Locatelli, Brémont, Bronschwak, Chaynes, Schermanski. LE TRICENTENAIRE

DE LOUIS xiv

La représentation d*Açi's et Galatée donnée ce soir au profit des « Amis des lettres » sous la présidence d'honneur de M. Albert Lebrun, président de la République, sera le premier gala officiel de la saison des grands festivals de Versailles, dont le comité d'honneur comprend les noms de

M. Raymond Patenotre, ministre de l'économie nationale, député de Seine-et-Oise M. Henri Haye, sénateur-maire de Versailles 3. Em. Mgr Verdier, archevêque de Paris M. Jacques Inert, directeur de l'Aca.demie de France à Rome M. Florent Schmitt, membre de l'Institut; MM. Octave Aubry, Léon Bailby, M. Batillat, Joseph Bédier, Ci. Bertrand, L. Bertrand, P. Bonnet, Henry Bordeaux, Adolpne Boschot, p. Brasseau, Gaston Brière, Pierre Brisson, Alb. Buisson, Julien Gain, Gaugarael, Maurice Chabas, comte de Chabrillan, Paul Chack, Ed- mond Cliaix, Ghastenet, comte Clauzel, Anuré Cœuroy, David Weill, Dormanu, Georges Duhamel, I Edouard Estaunié, l'ourcault de Pavant, André de Fouquières, Jacques des Gâchons, Gaston Gérard, Louis Gillet, René Gillouin, général Gouraud, Georges Goyau, due de Gramont, vice-amiral Guépratte, duc d'Harcourt, Abel Hermant, ̃ Louis Hourticq, Jaujard, S. Exc. M. Kammerer, MM. Paul Labbé, vice-amiral Lacaze, Ladoué, Pierre Lalitte, baron A. de La Grange, Landowski, Hugues Lapaire, René Lara, Le Sidaner, Georges Lecomte, Henri Le Riche, duc de Lévis-Mirepoix, marquis de Lillers, Louis Lumière, Emile Mâle, comte Henri de Malleville, général Mariaux, Camille Mauclair, André Maurois, Georges Migot, Paul Morand, gouverneur général Olivier, maréchal Pétain, Emile Picard, Henri Prunières, Gaston Rageot, comte de Raniel, Reibel, S. Exe. Mgr Riehaud, vicomte de Rohan, MM. Reynaldo Hahn, G. Samazeuilh, Paul Valéry, Henri Verne, André Wateau, général Weygand, Jean Vignaud, etc. Ce soir, salle Pleyel, Festival BEETHOVEN ENESCO au piano THIBAUD au violon.

TiiîiA ïtf:s

LES DATES RETENUES Lundi 27

ENGLISH PLAYERS (Théâtre de l'OEuvre). En soirée: première représentation de The Golden Sovereign. Mercredi 29

GRAND GUIGNOL. En matinée répétition générale du nouveau spectacle.

Jeudi 30

COMPAGNONS DU PLATEAU (Salle du Journal »). En soirée répétition générale de Baccara.

Vendredi 1" Juillet

ARENES DE LUTECE. En soirée répétition générale de Marie Tudor, de Victor Hugo.

Vendredi 8

ARENES DE LUTECE. En soirée répétition générale de Œdipe-Roi.

Mardi 12 Juillet

OPERA. En soirée représentation d'adieux de M. Franz. CE SOIR j

OPERA (Opéra 59-59), h 20 h. 15: Coppelia, Oriane et le Prince d'Amour, Le Cantique des Cantiques (Mlles S. Lorcla, Solange Schwurz, Ljx. Darsonval; MM. Serge Lirai', Serge Peretti, P. Goubé). Orcli. MM. Fr. Kuillmann et Ph. uaubert.

Demain Faust,

COMEDIE-FRANÇAISE (Rich. 22-70), à 21 Heures: L'Illusion (MM. Dessounes, André Bacciué, Pierre Dux, Martlnelll, Clariond; Mines Marcelle Gabarre, Lise Dslamare). Il faut qu'une porte soit ouverte ou fermée (M. Pierre Bcrtin, Mme Germaine Rouer).

Demain Madame Sans-Gêne.

OPERA-COMIQUE (Rien. 72-00), à 20 h. 45 Zadig (MM. Cil. FriaiH, Eicnevcrry, Hérent, Biilbon, Rousseau Mmes Bernadette Delpnit et Jennic Tourel). Orcn. M. G. Cloez, Déniai!) Cermen.

ODEON (Liant. 58-13), à 20 n. 45 Othello (M. Jean Sarment, Mille Marguerite- Vaimond MM. Jacques liyser, Pascal, Eymond, Gautier- Sylla, Boui'del; Mmes Silvain, Marinier, Françoise Delille, Romani, Michèle Michel, etc.). Demain, en Matinée et en soirée L'Abbé Constantin. ARTS (Wag. 86-03). à Si h. Le Vent et la Pluie (MM. Henri

Chronique du Music-Hall

1

LA REVUE DE L'A. B.C.

A nouvelle revue de l'A. B. C. est animée du plus vif esprit parisien. Cela fait plaisir à entendre. Bien qu'on

approche de juillet, le mauvais exemple donné ailleurs n'a pas été suivi. Ce n'est pas une raison parce que nous sommes en été pour bâcler une revue et la présenter avec des moyens de fortune. Pierre Varenne, Mauricet et Dumont se sont donné beaucoup de peine pour que chaque scène soit bien au point, les couplets soigneusement faits. C'est du bel ouvrage et M. Goldin n'a rien négligé pour que la mise en scène soit digne de l'A. B. C. et de son public.

C'est donc une bonne revue, qui contient des scènes excellentes. En voici quelques-unes. Un administrateur colonial revient,! après un séjour de deux ans dans les îles Pacifique. Il n'est plus au courant de rien et nous le voyons, au cours d'une réception, au Quai d'Orsay, accumuler les gaffes et les bévues les plus terribles le malheureux, parti au lendemain de l'avénement du Front populaire, croyait que rien n'avait changé, ni dans la diplomatie ni dans notre politique intérieure.

Une autre scène, La Dernière Valse, se passe à l'Opéra de Vienne, où nous voyons le nouveau directeur nazi faire évoluer les valseuses au pas de l'oie.

Une scène, d'une rosserie très parisienne, met en scène le directeur les3coups CET AURES MIDI

.lu Conservatoire, à 13 heures, concours de violon '(hommes). CE SOIR

A l'Opéra-Comique, à 20 h. 45, première représentation de Zadig, comédie musicale en quatre actes, livret de M. A. Ferdinand-Hérold, d'après le roman de Voltaire, musique de M. Jean Dupérier.

Au Théâtre Montansier Versailles), à 21 7i. 30, première représentation au profit des Amis des Lettres, de Acis et Galatée, de Lulli.

Au Thédtre Uarigny, à 22 heures. Bat des Bijoux.

4f> C'est Mlle Solange Schwartz qui, ce soir, à l'Opéra, dansera Coppèlia au cours du grand spectacle de ballets inscrit au programme de la saison de Paris dont nous avons parlé hier.

SOIREES. Ce soir Vendredi 24: L'Illusion, II faut qu'une porte soit ouvertt ou fermée Samedi 25 Madame

Sans Gêne Dimanche 20 Le Chandelier, Les Folies amoureuses; Lundi 27 Le Locataire l'ii-vernel, A quoi rêvent les jeunes filles; Mardi 2S Asmodëe Mercredi 29 La Marche nuptiale (représentation gratuite) Jeudi 30 Ruy Blas. ̃̃ MATINÉES.- ̃blnîtnçlifi. 26 < ]Ruy Blas. jr/ 1>̃< •-̃̃- Les abonnements pour la saison 1938-1939 sont reçus dès maintenant à la Comédie-Française.

MUSIQUE

LILI KRAUS

la célèbre pianiste qui donnera le 27 juin à la salle Gaveau un récital au bénéfice de l'Entr'aide autrichienne.

Ce soir, salle Chopin, Poèmes et chansons par Pierre Doriaan.

~s~o~aauunHN.~ar~r~

Ce soir à 21 h., salle Hoche, 9, av. Hoche, Concert donné par CLAIRE LUCILE, danse IRENE ENERI piano, LUCIENNE DUGARD, chant. Organisation Mary Bran

Guisol, Jacques Berger, Dorléac, A. Moreau; Mmes Andrée Servilanges. Jacquellne Dufranne. Claire Gérard). ATHENEE (Opéra £2-23), a 21 a. Le Corsaire (MM. LouIs Jouvet, Romain Bouquet, Dallo, Bénard. Rlgnault; Mmes Madeleine Ozeray. o. Talazac, Raymone).

MICHEL (Anj. 35-02), & 21 n. 20 Le» Jours heureux, de C. A. Puget (Mlles Lucy Léger, G. Génlat. Juliette Faber M. Armontel, André Bervll, F. PérIer).

AMBASSADEURS (Anj. 97-60). SI n.: Le Misanthrope. ANTOINE, 21 heures Equateur.

CAPUCINES, 21 h.: Les Deux Madame Caroll.

CHARLES-DE-ROCHEFORT, 21b.: Frénésie.

CHATELET, a 20 h: 45 Le Tour du Monde en 80 Jour*. DAUNOU (7, rue Daunou), 21 b. Champion;

DEUX-MASQUES, 21 a. La Nuit Imprévue.

EMPIRE, 21 b. La Maison' d'en face.

ENGLISH PLAYERS (OEuvre), 21 h.: The Milliomiress. ETOILE, 21 h.. L'Enfant de Mary.

GALTE-LYRIQUE, 20 h. 40 Chanson d'Amour.

GRAND-GUIGNOL, 21 n. Un Drame à la Salpetrièr*. HUMOUR, 21 h Françoise et ses tuteurs.

MATHURINS-PITOEFF, 21 b Maison de Poupée. NOUVEAUTES, 21 b. Le Bois de Boulogne.

PALAIS-ROYAL. 21 b. Je veux être star.

PORTE-SAINT-MARTIN, 21b.: Les Frères Ashkenazi. SAINT-GEORGEQ, 21 b. 10 L'Ecurie Watson.

THEATRE DU PEUPLE (Th. Pigalle). a 21 b. Le Foyer. VARIETES, à 20 h. 45 La Revue des Ondes.

Même spectacle qu'en soirée

A. B. C, 1 h.

FOLIES-BERGERE (Prov. 98-4»), 20 D. 45 Folie en Fleurs revue à grand spectacle, en 2 actes et, 50 tableaux, de M. Maurice Hermite. production Paul DervaL (Damla). A. B. C., 21 b. La nouvelle revue l'A. B. C '1 ALCAZAR, 20 h. 45 La Revue. 1

des Bouffes-Parisiens, sélectionnant les. chantçuses qui n'ont pas de voix. Nous verrons aussi Le Malade imaginaire mis au goût du jo'ur Napoléon, revu et corrigé par M. Bourdet. Un final, d'un comique très savoureux Une plage mondaine en 1900, prétexte à défilé rétrospectif, et Repopulation, montrant nos grandes vedettes, Moreno, Mistinguett, Cécile Sorel, et même Mayol suivre l'exemple de Marie Dubas et présenter leur progéniture.

Nadia Dauty est la vedette féminine de la revue. Nous avons déjà eu l'occasion de dire tout le bien que nous pensions d'elle. Au cours de la revue, elle a l'occasion de tenir, en excellente comédienne, le rôle de l'impératrice Joséphine, de chanter, avec beaucoup d'art et une voix ravissante, les airs d'Offenbach et de danser le cancan avec un entrain endiablé, prouvant ainsi les mille ressources de son talent.

Sylvette Fillacier, Mireille Perrey, Monique Bert remportent un succès mérité, et Randall est d'une autorité, d'une cocasserie, d'un' humour de grande classe, en nazi, en Anglais, en Ecossais et en Argan.

Mauricet, un des auteurs, est d'une malice très spirituelle en gaffeur, Lestelly est charmant à son habitude. Pizani a campé, avec maîtrise, un Offenbach qui chante sa musique. Toute la troupe, d'ailleurs est excellente et n'oublions pas les attractions qui corsent la revue, Cy Landy, le' pierrot moderne, les trois Bernard, le ballet Fraday, etc.

André Warnod.

Au Syndicat des directeurs de théâtres de Paris

Le Syndicat des directeurs de théâtres de Paris a tenu; mardi dernier, son assemblée générale. Voici la composition du Bureau du Syndicat pour la, saison 19371938 Président d'honneur Max Maurey président Robert Trébor vice-présidents BenoitLéon Deutsch Maurice Lehmann; Membre du Bureau Victor Boucher.

'♦•

Un hommage à Rachel Ce soir, en l'honneur du centième anniversaire de l'entrée de Rachel à la Comédie-Française, la direction du théâtre de la PorteSaint-Martin, Maurice Schwartz, et la troupe du théâtre d'Art Yiddisch de New-York, donneront une représentation exceptionnelle des c Frères Ashkenazi », à laquelle les artistes français seront gracieusement conviés.

·

CABARETS SHEHERAZADE grand succès de la saison

NADIA MIROVA GERDA NEWMAN 3, rue de Liège. Salle réfri_\ Tri.:41-68

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Tk-Rest. desAmbassadeurs

La Grande Revue Américaine CORRINE

12 Paradise Girls Lucienne et Ashour Ketty MARA et son chimpanzé GRACE POGGI

3 WIERE BROS

Eddie Oiiver et son orchestre

CONFERENCES CET APRES-MIDI

♦ Aux Grandes Conférences des Ambassadeurs, à 17 h. 30, La Tchécoslovaquie. De Jean Huss au président Benès, conférence par.M. André Germain.

L'originale Exposition ̃ L'ART DE L'ETOFFE DANS LE COSTUME D'AUJOURD'HUI »,- organliéc par M, Harisson, 5, avenue Matignon, se termine aujourd'hui.

A cette occasion,, à 17 heures, une conférence sera faite par le peintre et critique d'art André Lhote, qui parlera des tissus rares et des perspectives offertes par leur présentation dans un esprit tout nouveau.

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CET APRES-MIDI

CE 8OIB

AU THEATRE ANTOINE

« EQUATCUR » Pièce en 3 actes

et 4 tableaux

de Mme Roger Ransy

II est bien évident que la pièce avec laquelle Mme Roger Ransy vient braver l'été parisien est l'œuvre d'urne débutante, car, avec les, sujets de celle-ci, un auteur chevronné eût f ait au moins deux pièces. La première partie d'Equateur est une satire de notre politique coloniale. Elle contient des traits un peu gros et d'autres qui dénotent de l'esprit d'observation et un sens des formules justes. La seconde partie est une histoire d'amour qui a le tort d'être Un peu schématique. Il s'agit d'un quadragénaire qui va épouser une jeune fille de dix-huit ans, quand il découvre que sa future. bellemère est une femme qu'il a aimée dans sa jeunesse: Alors le mariage est rompu et il s'enfonce dans la brousse.

En dépit de leur inexpérience, ces trois actes attestent chez leur auteur un don scénique qui n'est pas négligeable. Ils sont joués au mieux par MM. Henri Mqnteux, Raoul- Henry, Mnies Suzanne Delvé et Françoise Christian, et par quatre danseurs nègres remarquables. J.dC:;

? ̃. -J.JC.;

OljlSfficOT£s

̃BB-f-iCRÀN )

CE MATIN

A la salle F. J. F. (Building Marignan), à 11 heures, présentation à

la presse de films techniques, docu-

mentaires et publicitaires Le Géant de-la Vallée, le Schéma animé dans les I.Ims techniques, etc..

A l'Olympia, à, midi, première représentation publique de Alerte aux Indes, film de Zoltan Korda.

CET APRES-MIDI

Au César, à 14 heures, première représentation publique;dé Alerte aux Indes.

–r~

Alexandre Korda

reçoit ses amis parisiens Nous avons annoncé, il y a quelques jours, l'arrivée en France d'Alexandre Korda. A peine dans nos murs, le grand producteur britannique tint. à réunir, au cours d'un déjeuner cordial, quelques-uns de ses amis de la presse parisienne. Ce repas, dès son début, fut empreint d'une atmosphère tout ami-

cale.

Grand organisateur des réjouissances, notre confrère Marcel Idskowski suggéra à! Korda de' «tomber la veste », et chacun, immédiatement, en fit autant.

Pendant que Paul Cordeaux,

journaliste- et ta^ernier, expertisait

favorablement le menu, Maurice Bessy, fraîchement débarqué d'Hollywood, décelait, non sans malice, les derniers secrets d'Hollywood, tandis que Jean Chataigtier et Henri Jeanson, ennemis intimes, se réconciliaient définitivement.

Aucun discours ne fut prononcé, si ce n'est quelques mots improvisés par Korda, qui tint à exprimer son admiration pour certains de nos films, sa confiance dans les rapports franco-britanniques du cinéma et, enfin, sa foi dans le triomphe de la production européenne qui surgira de l'amitié liant la France et l'Angleterre. J.-J..L. ̃

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CASINO DE PARIS, 21 b. Féerie de Paris (Uistlnguett). COUCOU, a 1 n. Prise» de R'vue.

DEUX-ANES, 21 h.: Les cbansonnlers et la revue. DIX-HEURES, 22 h.: Martlul (en exclus.). P. Colline. J. Rleux. LUNE-ROUSSE, 21 b. Guignol 38 (Edith PlaO. Cbansonnlers. GAlBiljRETS · DANCINGS AMBASSADEURS Le plus beau spectacle. Thé, dln., soup. BAGATELLE (Tri. 79-33) Estelle et Leroy.

CABARET DE MONSEIGNEUR Dancing;' Soupers, Attractions. CABAR. DE PARIS (6, Ars.-Houssaye), 22 h. à l'aube: Variétés. CHEZ SUZY SOLIDOR (12, r Ste-AnneJ, 23 b. Suzy Soltdor. CINQ A NEUF (43, rue de Pontbieu) Mlcnellne Grandier. COUPOLE (bd Montparnasse). Matinée et soirée Dancing. FETICHE (7, rue Fromentin) Cabaret, attractions. JOIE DANS LA CAVE (1, rue Balzac) F. Daily. LES CLAUDINES de 22 b. a l'aube attractions. LIDO: Toés. dancing-, soupers, attractions

LUNA-PARK Tous les jours, matinée et soirée. MONTE-CRISTO. 8. r. Fromenttn (Tri 42-31) Cabaret-danc. PAVILLON DE L'ELYSEE j Thés, dîners, soupers. POULAILLER (place du Tertre). 22 Il Sketch 1800. Attract. SHEHERAZADE fi. Mirova, G. Newman, Charité. SKATING bE PARIS Matinée et soirée.

TABARIN, a £1 h. dancing; 23 h. 30 Les Heures sont belles.

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ALHAMBRA 14 b. 45. 20 b. 45 Orage, Deanna et ses boys. CINEVOX-PIG. 13-2 b. in. Une Etoilé est née. CHAMP8-ELVSEES + 14 30-0 30: Etrange M. Viotor. CINE L'AUTO ♦ 10 à 24 30 Charlie Chan en Egypte. DEMOUR8 14 45, 20 45 Monsieur de B h., Les 2 Sergents. EDOUARD-VU :> 14h_*4 il. Las Gens du voyage. GAUMONT: 15 b.-l h. m.: Venus de l'or, Perles de la Cour.

Zë'6~M~M

LES FILMS NOUVEAUX On a présenté un documentaire

en couleurs

sur le Danemark

,Nous .vous avons brièvement exposé les qualités de ce beau documentaire qui vaut à son auteur, M Hansen, la coupe de C.I.D.A.L.C. Pour la première fois, nous semblet-il, le film en couleurs et la nature sont en accord parfait un accord particulièrement difficile à réaliser étant donné la variété des paysages, la diversité des extérieurs que la caméra s'est plu., à fixer.

Les villes danoises, pleines de mouvement, sillonnées de bicyciettes, présentent Un étonnant mélange architectural ici, la brique frappée par le soleil met une tache vermillon, d'une intensité extrême là, un,palais gris, finement découpé, fait ressortir les teintes irisées des jeux d'eaux qui l'environnent. Non loin des canaux tranquilles où paressent des remorquettrs, la mer supporte d'innombrables voiliers et nourrit des: pêcheurs aux restes multicolores, des. femmes aux coiffes nouées, des enfants à la chevelure ardente:

La campagne danoise a la verte fraîcheur des prés anglais, mais elle s'arrondit,. se creuse, forme des vallées pleines d'ombre, limitées par des ruisseaux ou prend soudain un aspect grave et désertique pour supporter la tombe jd'flamlet. Les remparts d.'Elseneur semblent retentir encore des derniers accents d'un monologue désolé sur les toits rouges de Ribe, les cigognes ont établi leurs nids par centaines voici Odense et la maison natale d'Andersen et le charme du cadre où il vécut ses premières années explique la fantaisie ailée de ses contes.

Au Danemark, on chérit les fleurs qui créent dans chaque jardin le plus harmonieux et fulgurant désordre les dahlias chevelus qui s'offrent aux abeilles, les longues digitales aux élancements fiers, les rosés thé, les roses roses ont posé pour la camera comme autant de stars confiantes en leur fraicheur photogénique. Contre des blés mouvants, la robe alezane des poulains pos? des taches lumineuses le vent venu du large fait frissonner les touffes maures des bruyères un clocher pointu se mire dans un étang, entre les fleurs d'eau des paysans, aux larges sourires tranquilles, travaillent, dansent et se reposent au milieu des meules de foin. Un château du dix-septième siècle, aux belles ogives, aux ouvertures étroites, domine un parc ordonné. De hautes collines boisées d'un vert sombre font penser aux bords du Rhin. Et sur tout cela, le soleil joue et répand ses rayons sans compter.

Il n'est pas (le voyage plus riant, plus empreint de poésie, simple et fraîche, que celui que nous devons à M. Hansen dont Mlle Hélène Vacarescô'disâit Vautre jour avec enthousiasme. qu'M. était un conte vivant d'Andersen ».•

Jean Laury.

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EAU d E C 0 LO G N B

G U E R L A I N

M i t s o u ko ̃' C a cb.e.t. jaune Shalimar r

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A.1- Hollywood

La distribution de Splinter Fleet Les Patrouilleurs de la Mer) s'est Lusnientée, ces jours derniers, de deux mités importantes. Aux côtés de Sancy Kelly, nous verrons, en effet, richard Greene. le jeune premier briannique, et Slim Summerville. Le netteur en scène John F'ord dirigera les prises de vues.

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BLANCHE NEIGE ET LES SEPT NAINS

IMPERIAL

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LE PETIT CHOSE

IMPERIAL :♦ de 10 h. a 1 h. m. Tragédie Impériale. LE CLICHY « 12 h. à 24 h.: Ber du Sud.

LUTETIA: + 14 30-20 30. S. 21 h.: Gueule d'amour, Tumultes. MADELEINE 12 h. à 1 h. du m. Le Patrtote. MARIGNAN 14 h. à 24 b. Blanohe-Netge. MARIVAUX 12 n. à 2 n. du matin Quai des Brumes. MAX-LINDER de 12 b. à 2 h. du m. Barnabe. MOZART: 14 30-19 h. S. 21 b. Pépé le Moko. MOULIN-R. 14 30-19 h. S: 21 h. Les Nouveaux Riches. NORMANDIE # 14 15 à 18 45: $. 21 h. Le Petit Chose. OLYMPIA: + 12 h. à 24 b. Alerte aux Indes. PAGODE 4 14 30 a 20 30. S. 21 b. Prison sans barreaux. PANTHEON 13 45-24 h. La Bandera, Club des femmes. PARAMOUNT 4 9 30-2 b. m. Mon père et mon papa. PEREIRE 14 h. 30, 20 Il. 45 Carnet de bal, Le. Faiseur. REX 12 11. à 2 h. m. Tombeau hindou, Mlle ma Mère. VICTOR-HUGO + 14-19 h. S. 20 45 Les Gens du voyage.

Films parlant anglais.

APOLLO :♦ 14 à 2 h. La Revue du Collège, Le Défi. AUBERT 12 h., 0 b. 15 Belle Captive, Le br. Johny. AVENUE: 14 h. à 1 b. Quelle Joie de vivre! BALZAC 14 b.-l h. m.: 4 Hommes et une prière. BIARRITZ: 14 b. à 24 h.- 45 Aventures de Tom Sawyer. BONAPARTE: + 15 h.-21 11. Caravane du désert, 62* Rue. CAMEO 15 h., 17 h. S. 21 h. 30 Marie Walewaka. CESAR: 14 à 24 b. Alerte aux Indes.

CINE-OPERA 4 15-19 h. S 21 30 Force des ténèbres. COLISEE « 14 h. a 1 b. du m. La 8* fem. de Barbe-Bleue. COURC. ♦ 14 30. 19 h. S., 21 h.: Marie Walewska. ERMITAGE: 4 14-24 b. Impossible M. Bébé.

GAiTE-C. 14-24 h. S. 21 h. La Baronne et s. Val., 62* Rue. GAITE-R.: 1 30-i h. il).: M. Dodd part p' Holl., S.O.S. Vertu. HELDER de 12 h. à 2 U. du m. Délicieuse. LORD BYRON. 14 b.-l h. du m.: Miss Catastrophe. MARBEUF: 14 30-19 h. S. 2t h.; Holly.w. Hollyw.PARIS 14 h. à 1 b. dm. Pilote d'essai.

SAINT-DIDIER 14 h. a 24 h. Capitainea Courageux.

SCALA 12 h. -2 h. m. L'Or et la Chair, M. Oncle gangster. ST. DE L'ETOILE + 14 30-24 30 L'Inconnue du Palace. STUDIO-28 15 h,, 21 h.: Sérénade à 3; attr. Hot Club. URSULINES 15 b., 21 h., 22 h. 30 Fifi Peau de Pêche. Film parlant yiddish.

AGRIC. BROADW., 14 a 19 n. S 21 h Lea mustoiena vagab. Salles d'actualité.

PARIS-SOIR (Ch.-EIys.), 10 b.-l b. m. Brown en résolution. Le signe signifie permanent.

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Alerte aux Indes 12 h. 30, 15 h., 17 b. 30, 20 h., 21 h. 45, 24 b. Olympia.: Alerte aux Indes 14 30, 17 h., 20 45, 23 h. -Le César. Aventures de Tom Sawyer 14 b. 30, 16 û. 30, 18 a. 30, 21 b. 23 h. 10. Biarritz. Barnabé: 12. 14, 16, 18 10, 20 10, 22 b., 23 h. Max-Linder. Blanche-Neige 13 b. 55, 15 a. 44, 17 n. 34, 19 h. 24, 21 b. 14, 83 b. 4. Marignan. Défi 15 45, 18 30, 21 h., 23 45. Apollo. Délicieuse 12 h. 5, 14 b. 5, 16 h. 5, 18 b. 5, 20 b. 5, 22 b. 5, 0 b. 10. Helder. Etrange M. Victor 14 30. 16 40, 18 45. 21 5. 23 5. Ch.-Elys. Fifi Peau.de Pêche 15 h. 50, 21 h. 10, 22 b. 55. Ursulines. Hollywood. Hollywood. 15 30, 18 30, 22 30. Marbeuf. Huitième femme de Barbe-Bleue 14 n. 45. 16 n. 50, 19 b. 5. 21 a. 10. 23 b. 20. Colisée. Inconnue du Palace 15 h., 17 25, 10 30, 22 b. St. de l'Etoile. Miss Catastrophe 14 b. 65, 17 Il. 5. a. 10. 21 h. 20. 23 b. 25. Lord-Byron. Mon père et mon papa 9 b. 53, 11 h. 41, 13 h. 29, 15 h. 47, 1S h. 5, 20 b. 23, 22 h. 41. Paramount. Nouveaux Riches 14 40, 17 b., 19 15, 21 20, 23 40. Moulin-R. Ombre qui frappe: 14 il..30, 17 b., 21 h. 15. Marbeuf. Le Patriote 12 b. 24, 14 b. 39, 16 b. 57, 19 h. 13, 21 h. 30, 23 h. 48. Madeleine. Petit Chose: 15 h., 17 5, 21 30, 23 40. Normandie. Pilote d'essai 14 25. 16 40, 19 à, 21 15, 23 30. Le Paris. Quai des Brumes: 12 n. 20, 13 b. 20. 16 h. 20, 18 b. 20, 20 n. 25, 22 b., 24 h. 45. Marivaux. Quatre Hommes et une prière: 14 b. 35, 16 b. 55, 19 h, 21 b.. 18, 23 h. 15. Balzac Quelle Joie de vivre 1 14 h. S0, 17 h.. ifl Il. S, si n. 20, 23 b."25.. Avenue. Revue du Collège: 15 45, 18 30, 2t h.. 23 45. Apollo»


ECHEC DE LA C.G.T. aux dernières élections du Conseil Supérieur de l'Instruction publique Une déclaration au Figaro du Syndicat

On se souvient du succès remporté, l'an dernier, lors des élections des représentants du personnel au Comité consultatif, par le Syndicat national des lycées, collèges et cours secondaires, succès qui marquait la régression de l'idéologie cégétiste dans les milieux universitaires. D'autres élections viennent d'avoir lieu, cette fois au Conseil suSérieur de l'instruction publique. On connaît le rôle important de cet organisme auprès du ministre de l'éducation nationale. En ces temps où il n'est bruit que de la réforme de l'enseignement entreprise par M. Jean Zay, les élections au Conseil supérieur de l'instruction publique ont revêtu une importance et ont pris une signification que n'avaient pas les élections de l'an dernier au Comité consultatif. Deux syndicats étaient en présence le Syndicat national déjà cité et le Syndicat des professeurs de l'enseignement secondaire (S. P. E. S.) affilié à la Fédération géné̃ raie de l'enseignement, ellc-anême d'obédence cégétiste.

Les résultats, après le deuxième tour qui vient de se clore, confirment le succès grandissant du Syndicat national au détriment du syndicat cégétiste.

En effet, sur les dix-huit sièges à pourvoir, le vote en a attribué onze au Syndicat national, dont trois gagnés sur la C. G. T.! Pour les seuls lycées de garçons, la répartition des voix entre les deux syndicats donne 550 voix au syndicat cégétiste pour 1.239 au syndicat national.

Ajoutons que, sur les sept élus du S. P. E. S., cinq ont déjà accepté de collaborer avec le Syndicat national, ce qui démontre l'incontestable rayonnement de ce dernier. « Nous ne refusons, pas la discussion. »

Nous sommes allé, après ce suc- cès, recueillir les impressions de M. Eugène Cossard, secrétaire gè- néral du Syndicat national, qui

L'affaire des stupéfiants Des laboratoires. à calvados ?

M. Thévenin, juge, a interrogé Louis Lyon, qu'assistaient M° de Tastes et M0 Ceccaldi, sur l'installation du laboratoire à Puchey. Mon neveu Thomas, a répondu l'inculpé, avait acheté une propriété à Puchey (Eure) des aménagements y furent apportés par un ouvrier et le matériel ne fut pas transporté par moi.

»Je croyais que mon neveu voulait s'occuper d'aviculture et une pièce avait été aménagée à l'aide de blindages et d'agglomérés dé liège, sans doute pour obtenir une température d'élevage. »

M. Thomas djt.^u'il «avait voulu B faire du calvados; Vil ne l'avait pas fait connaitre à la police, c'est qu'il n'avait pas de licence.

MOTS CROISES

Horizontalement. I. Sortes de to- tons. II. Religieux vivant dans la solitude. III. Coutume Initiales d'un compositeur français auteur de nombreuses opérettes (1832-1918) Douloureuse. IV. Vagabondage médiéval. V. Abréviation d'un titre princier Phonétiquement prénom féminin Reçoit des cendres ou des bouts de papier. VI. Il n'a jamais la parole Poète libertin du dix-septième siècle qui échappa non sans peine à une condamnation à mort. VII. Aplatirions par compression. VIII. Chef Décoras. IX. Chiffre romain Deux lettres de « Tripoli » Affluent de la Garonne. X. Vas tout le long de. Initiale et finale d'un port militaire

LA PRESTE PYRENEES ORIEN TALE S

Feuilleton dn 'Figaro» du U Jain 1938

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1

"MMHAtIL

Par

E. PHILLIPS OPPENHE1N, CHAPITRE XI

LA DERNIERE EVASION Norman Greyes

(Suite)

Greyes a eu une certaine veine, remarqua lord Harroden. Il aurait pu lui régler son compte sans difficulté, le tirer comme un lapin. ~<

National des lycées et collèges

nous a fait la déclaration suivante: « Nous n'avons aucune animosité personnelle contre ceux ou celles de nos collègues confédérés qui ne se sont p as trouvés réélus, mais nous avons voulu être représentés partout où nous devions avoir une place. Nous sommes et nous entendons demeurer le groupement le plus représentatif de l'enseignement secondaire nous voulons jour le rôle qui nous revient, mais nous ne refusons pas la discussion et la collaboration en ce qui concerne les questions pédagogiques, avec tous nos collègues, qu'ils soient ou non du Syndicat national. »

« Respect de la culture » La prochaine session du Conseil supérieur de l'instruction publique aura lieu au début de juillet. Au cours de cette session, seront discutés sans doute quelques aspects du projet ministériel de réforme de l'enseignement. Nous avons demandé à M. Cossard de vouloir bien nous indiquer la position du Syndicat national, maintenant majoritaire, sur cette délicate réforme « Nous ne sommes pas opposés, par principe, nous a-t-il déclaré, à la réforme que l'on envisage pour l'enseignement en général et rensei- gnement secondaire en particulier. Nous demandons seulement à être consultés pour cette réforme, car nous prétendons être de ceux qui ont sur la question une certaine expérience et nous sommes prêts à accepter toutes les modifications qui nous sembleront respecter u n enseignement de culture, traditionnel chez nous, tout en développant un enseignement plus technique et plus pratique nécessaire dans les conditions actuelles de la société. »

Le Syndicat national des lycées et collèges va donc pouvoir défendre ce point de vue, avec succès, nous l'espérons, au Conseil supérieur de l'instruction publique. Michel P. Hamelet.

CE SOIR,

TIRAGE PRELIMINAIRE de la Tranche du Grand Prix Le tirage préliminaire de la tranche spéciale du Grand Prix de Paris 1938 aura lieu ce soir, à 21 heures, au Palais des Sports, 8, boulevard de Grenelle.

Ce tirage a pour objet, notamment, d'assurer la sélection des billets gagnant les lots préliminaires et susceptibles de gagner ultérieurement les lots attachés à la course du Grand Prix de Paris, le dimanche 26 juin.

Deux cents députés viennent de constituer à la Chambre le groupe « du coin de terre et du jardin •ouvrier sous la 'présidence dé" M. Bacquet, député du Pas-de-Calais.

français. XI. Bromellacée Maître de Démosthène.

Verticalement. 1. Patrie de Bernadotte Intérieur d'un canon Ville du Pérou. 2. Procédure qui prépare un procès criminel. 3. Retentit sur une peau d'âne Epoque Possessif. 4. Disparition passagère d'une étoile. 5. Lancier germanique Liqueur noirâtre propre au lavis. 6. Initiales de points cardinaux Deux lettres de « Neuville » En matière de. 7. Exprimerons. 8. Hardi jusqu'à l'imprudence. 9. Chassons violemment l'air par le nez et la bouche. 10. Suite Ininterrompue Tissu de paille ou de jonc. 11. Petit fleuve côtier de la Manche Porte avec violence.

C'est vrai, répliquai-je. Mais justement t ce qui a toujours rendu la poursuite de Michael si passionnante, c'est qu'il est de ceux qui ne tuent pas un ennemi sans défense. Il a dit vrai lorsqu'il a assuré que le dénouement aurait lieu le jour où nous serions traqués l'un ou l'autre et armés également pour la lutte suprême. Pour moi, ajoutai-je en jetant un regard à Janet, je me demande si je ne souhaite pas plutôt que la partie reste nulle. La chasse à l'homme est un grand sport, mais, avec l'âge, on y trouve moins d'intérêt.

On vint enfin nous ouvrir les portes de notre prison improvisée, grâce à une double clef qu'on dénicha je ne sais où. Une armée de domestiques fit irruption dans la salle à manger, portant des lampes et des bougies. Il y eut quelques minutes d'exclamations incohérentes. Il apparut que les gens avaient été séquestrés aux deux bouts du château comme nous l'avions été nous-mêmes dans la salle à manger. Toutes les chambres avaient été fouillées de fond en comble. Les cambrioleurs étaient au moins quinze ou vingt. Les ordres donnés par lord Kindersley, d'une voix rugissante, se

LE VOYAGE RETARDE DES SOUVERAINS BRITANNIQUES Les travaux de décoration de la capitale

seront ralentis

Seuls quelques motifs fragiles seront démontés

L'ajournement du voyage des souverains britanniques pose un certain nombre de problèmes techniques relatifs à la décoration de Paris, problèmes dont se sont préoccupés, hier, les services compétents.

A la fin de l'après-midi, M. Huisman, directeur des Beaux-Arts, réunissait dans son cabinet les sept t architectes entre lesquels avait été répartie la tâche d'orner les voies sur l'itinéraire royal. A l'issue de cette conférence, nous avons demandé à M. Huisman quelles avaient été les décisions prises

Nous avons e.xaminé le problème, a-t-il déclaré, tel qu'il se posait pour chacun de nos collaborateurs. Car nous sommes en présence de cas d'espèce. Dans l'ensemble, le programme général des travaux ne sera pas modifié. Ils seront simplement « ralentis ». Mais diverses mesures conservatoires devront être prises, bien entendu, dans le détail.

Dans les différents « secteurs » Sur ces mesures, nous avons pu, d'autre part, obtenir les précisions suivantes, secteur par secteur A la gare du Bois de Boulogne, les ouvriers étaient presque au bout de leur tâche. On terminera donc ce qui restait à construire. Toutefois, la décoration sera interrompue, et l'on ne « tendra » pas encore les étoffes qui devaient servir de parure.

Le Comité national

du Rassemblement

populaire

s'est réuni hier

Mais il n'a pu élaborer un nouveau programme Le Comité national de Rassemblement populaire s'est réuni hier, afin d'examiner s'il sef/ait possible de rédiger un nouveau programme à l'usage des formations politiques nui composent le rassemblement. Déjà, l'an passé, après leur congrès de Marseille, les socialistes avaient, sans succès, proposé un « avenant ». Ils continuent à penser qu'un .ensemble de réformes permettant la nationalisation des grandes entreprises et le contrôle du crédit doivent être intégrées au programme.

A quoi les ^fdicaux répondent que le Rassemblement populaire n'est pas épuisé et que tout « avenant est donc superflu. En outre, seul le Congrès du parti et il ne se tiendra pas avant la fin octobre a qualité pour décider sur ce point.

̃ Quant aux communistes, leur position est, bien ëntênctu"' de surenchère nationalisation « des trusts et monopoles privés », en cominençarit par les assurances et l'électricité, contrôle des banques, prélèvement sur le capital, réforme du Sénat, tout y est, sans préjudice des critiques véhémentes contre la politique extérieure suivie jusqu'ici. On conçoit que les radicaux ne montrent aucun empressement à souscrire pareil avenant.

C'est d'ailleurs ce qu'ils ont dit hier à la réunion qui s'est tenue rue Jean-Dolent, au siège de la Ligue des Droits de l'Homme. Les délégués communistes ont soutenu le programme que nous résumons plus haut. Ils ont vivement reproché aux socialistes que représentaient MM. Paul-Faure, Dormoy, Séverac et Paz de n'avoir pas fait bloc avec eux en maintes circonstances et d'avoir pris l'initiative de mesures comme la parité ou la dévaluation sans en référer au Comité de Rassemblement populaire. La C. G. T. était représentée par MM. Raynaud et Racamond. Aucune entente n'a pu se faire, car le délégué radical, M. Auxipnnaz, s'en est fermement tenu au point de vue du bureau de son parti, à savoir qu'il ne faut commettre aucune imprudence et rien faire qui puisse gêner l'action du cabinet Daladier.

Dans ces conditions, le Comité n'avait plus qu'à se séparer. Ce qu'il fit après avoir, pour sauver la face, nommé deux commissions chargées de poursuivre l'étude du problème dans ses aspects politiques et économiques. R. D.

montrèrent sans effet, car le téléphone était coupé, toutes les autos mises hors d'état. de servir, les écuries ouvertes et les chevaux lâchés dans le parc. Nous nous trouvions à près de trente kilomètres de tout bourg, à 8 kilomètres d'un village, et la lande qui s'étendait au delà de la propriété était bien la région la plus désertique de toute l'Angleterre. Plus nous discutions l'aventure, plus nous nous rendions compte que c'était bien un coup monté de main de maître.

La presse, comme de juste, consacra des colonnes entières à un fait divers aussi sensationnel et nombre de journalistes et de photographes envahirent le château en quête de détails. Le, fait que je me trouvais parmi les hôtes de Kindersley Court, et ma femme parmi les victimes du cambriolage, donnait un certain piquant à l'affaire. La plume alerte de quelques-unes de mes relations dans les journaux en fit des gorges chaudes. Rimmington vint en personne, accompagné de deux de ses plus fins limiers, mais, ainsi qu'il fut contraint de me l'avouer au bout de trois jours, l'attentat avait été organisé avec une telle perfection qu'il était impossible de découvrir la moindre piste; De fortes récom-

Le même principe sera appliqué sur les Champs-Elysées.

La rue Royale et l'avenue de l'Opéra, qui avaient dès maintenant été pavoisées et sur certains points avec munificence, « déposeront » leur pavois. On le reposera par la suite.

Sur les autres points, l'affaire est plus, délicate. Cer.tains édifices peuvent être démontés, d'autres non pour ces derniers, il faudra sans doute « replâtrer » au dernier moment.

Place Vendôme; les ornements actuels seront maintenus jusqu'au Grand Prix. Les velours ne risquent rien, d'ailleurs. Mais on les ôtéra par la suite, afin que le public ne s'habitue pas trop à cet aspect exceptionnel de la Ville.

Aux Invalides, les colonnes seront laissées dans leur état présent. Les armes de Londres et de Paris seront mises momentanément à l'abri dans la galerie de l'Hôtel des Invalides.

Porte Maillot, on démontera les colonnes, parce qu'elles sont constituées de toiles spéciales susceptibles de se décolorer au soleil. Il s'agissait d'édifices conçus pour une brève durée.

Les ouvriers, nous a-t-on déclaré pour finir, qui avaient, durant ces dernières heures surtout, manifesté un grand enthousiasme au travail, ont laissé paraitre hier leur déception. Mais c'est une preuve de plus que le cœur de notre peuple bat vraiment à l'approche du voyage royal.

«L'ERE DE LA FACILITE EST REVOLUE»,

déclare M. Paul Reynaud M. Paul Reynaud, garde des sceaux, ministre de la justice, a présidé hier l'assemblée générale du Conseil d'Etat.

Après une allocution de M. Pichat, vice-président du Conseil d'Etat, hf. Paul Reynaud a évoqué « la compétition grandioses entre l'individu et l'Etat dans les pays à gouvernement totalitaire.

Parlant des sacrifices qui s'imposent à tous les citoyens Sans doute, a-t-il dit, la doctrine qui s'impose à nous n'est pas celle de la facilité. Mais l'ère de la facilité est révolue. C'est seulement par de grandes et fortes actions que la France peut continuer à jouer. le rôle qui est le sien pour le maintien de la paix et la reconstruction du monde.

» Le plus grand des,périls serait que notre peuple doutât de son aptitude à résoudre, d'après son génie propre, le problème qui est pose à la France par la transformotion subite et profonde de la conception même de la vie chez d'autres peuples. Ce serait qu'il perdit la foi en lui-même.

̃»"

CONFERENCE

DE M. GERMAIN MARTIN M. Germain Martin, ancien ministre des finances, président du Comité de prévoyance et d'action sociale,s, a fait hier, à la Maison de la Chimie, une conférence sur « La jeunesse de demain et l'avenir de la France».

Après avoir dégagé les causes de J'inquiétude qui a fait naître le mécontentement chez les jeunes et les pousse à s'incorporer dans des partis qui promettent des améliorations matérielles et morales, il analysa les deux tendances qui, en France, veulent exercer une influence sur la jeunesse l'une maintient les valeurs sociales traditionnelles, tout en s'adaptant aux désirs d'évolution d'une jeunesse ardente l'autre veut imposer la dictature des masses. Celle-ci assurerait-elle plus de bien-être aux jeunes générations ? Rien n'est moins certain. D'autre part, les sentiments de lutte de classe qui auraient été inculqués aux jeunes Français ne créeraientils point une opposition violente entre notre pays et les Etats voisins opposés à ces doctrines ? Les dirigeants des entreprises ont le devoir de coordonner les efforts méritoires qu'ils ont faits individuellement pour organiser les loisirs et les sports. Le Comité de prévoyance et d'action sociale entend les aider de toutes ses forces et, dans une conclusion très, applaudie, M. Germain Martin a fourni des suggestions constructives et pratiques.

penses furent promises à qui retrouverait tout ou partie des bijoux, dont la valeur totale fut estimée approximativement à plus de deux cent mille livres. Les frontières furent étroitement surveillées. Toutefois, ni à Paris, ni à Amsterdam, il n'y eut la moindre activité parmi les receleurs repérés par la police. Le groupe des cambrioleurs semblait avoir quitté Kindersley Court en auto, puis, à environ deux kilomètres du château, toute trace se perdait. Pas un berger de la lande ne les avait aperçus, pas un habitant des hameaux environnants n'avait entendu ces fameuses automobiles passer dans la nuit. Rimmington, malgré son. optimisme, rentra à Londres découragé et attristé.

Janet et moi nous prolongeâmes notre séjour chez nos amis jusqu'à la grande chasse à courre. Nous ne sommes ni l'un ni-l'autre près d'oublier cette dernière journée. Nous avions rejoint Exford en auto, car notre hôte avait envoyé là tous ses chevaux. Janet, Béatrice Kindersley et moi, nous étions parmi les cavaliers. Béatrice était particulièrement à son avantage, montée sur un 'dartmoor brun dont son oncle venait de lui faire cadeau. Il y eut d'abord un lancer rapide, puis une

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Dans un numéro spécial

LA REVUE BLEUE présente, sous les signatures de MM. Roger Grand, Julien Durand, Trutié de Varreux, Albert Caquot, Gabriel Cognacq, Max Hermant, C. Gignoux, Roger Picard, Daniel Serruys, J. Le Cour Grandmaison, des solutions au problème économique français. Numéro sur demande (15 francs) 3, rue Clément-Marot, Paris Tél. ELY. 87-96

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LE DRAME DU TRAIN DE THIONVILLE

PIERRE HILARION appartenait à une bande de cambrioleurs

La première brigade de police mobile a poursuivi hier son enquête relative aux circonstances de la mort de Pierre Hilarion. Un certain nombre d'éléments nouveaux ont été acquis. Ils démontrent notamment que la victime appartenait à une bande de malfaiteurs au compte de laquelle on a déjà pu mettre un certain nombre de cambriolages. Ce sont les autres membres do la même équipe que vont maintenant rechercher les policiers.

Une nouvelle perquisition a été opérëe hier matin avenue Rachel, au domicile de l'aventurier, par le commissaire Delgay et ses collaborateurs. Elle a permis de saisir deux montres et des bijoux provenant de cambriolages. Enfin, plusieurs des personnes dont les noms figurent sur le carnet de poche d'Hilarion ont été retrouvées et ont pu fournir d'utiles indications. L'enquête à Thionville Lé commissaire Dury a entendu de nouveau le soldat Lebris, ami d'enfance de la victime.

Ces différents interrogatoires avaient surtout pour but de « camper la personnalité de Pierre Hilarion.

J'avais avec celùirci, a'déclaré Lebris, des relations d'amitié tout à fait normales.

» Hilarion, depuis que j'étais soldat, me remettait quelquefois de petites sommes d'argent. A la gare de l'Est, avant le départ du train, il me donna cinquante francs, ajoutant qu'il regrettait de ne pouvoir me donner plus parce qu'il n'avait sur lui que des billets de mille francs. »

On sait que dans les vêtements du mort on a trouvé un portefeuille contenant exactement 950 francs. Aussi, le commissaire Dury pense-t-il qu'Hilarion n'avait sur lui, qu'un seul billet de mille francs. L'autopaie

M. Bitsch, juge d'instruction, a reçu le rapport écrit du docteur Gillard. qui fit l'autopsie. Le praticien déclare que le suicide n'est pas impossible, mais que le crime est plus vraisemblable. Le coup de feu mortel a été tiré d'une petite distance, .presque, à, bout » portant. Il a pu être tiré par une personne qui se tenait debout près de la victime. Le dormeur a pu être visé soit par la portière ouverte, soit même par la fenêtre du compartiment. Hilarion n'a pas été tué net. Il s'est agité après avoir été blessé. La mort, cependant, conclut le médecin, est intervenue rapidement. Hilarion

a-t-il été anesthésié ?

D'autre part, le docteur. Thivolle, de l'Institut toxicologique de Strasbourg, a donné quelques indications sur les premiers résultats de l'examen des viscères.

D'après lui, la victime n'a pas été chloroformée, mais elle a pu être anesthésiée par une autre matière, l'éther par exemple. Aussi les viscères devront être examinés de beaucoup plus près. Cette analyse ne pourra être terminée que dans quelques jours..

m

Au bureau politique communiste

Le bureau politique du parti communiste s'est réuni hier. Il a émis une protestation contre la clôture de la session parlementaire « avant qu'aient été satisfaites les revendications des masses laborieu- ses et sans que la Chambre ait pu discuter la proposition en faveur de l'Espagne républicaine». Il a re- gretté que, dans ces diverses cir- constances, l'appui du groupe socia- liste lui ait fait défaut.

longue attente. Au début de l'aprèsmidi, nous nous trouvâmes tous trois à lisière des champs sur la pente sud de,Hawksley Down. Audessous, au fond de la combe, des lévriers étaient lâchés devant des fourrés de pins peu élevés d'où, s'il était débusqué, le cerf devait inévitablement chercher à fuir à droite, vers Doneley Barrow. Soudain Béatrice, qui regardait par-dessus son épaule, poussa une exclamation de surprise. Un homme monté' sur un cheval noir, que j'avais remarqué à deux reprises sur les limites de la chasse, contournait un amas dé rochers et venait vers nous. J'avoue qu'au début, je n'attachai aucune importance à sa présence. Cet individu vêtu d'un costume de chasse bien coupé et galopant avec l'assurance d'un cavalier accompli, n'avait rien qui pût le distinguer des quelques voisins de Lord Kindersley avec lesquels nous avions échangé des politesses au commencement de la journée. En somme, ce fut seulement lorsqu'il fut à quelques mètres de nous et que je vis briller dans sa main un objet familier que 'je compris de qui il s'agissait. Norman Greyez, dit-il, je vous propose cinq. minutes d'armistice. Vous conviendrez, ajouta-t-il, jetant

L'Art et la Curiosité A L'HOTEL DROUOT Une lettre

de Bernadette Soubirous vendue 3.300 francs

C'est au cours de la dernière vacation d'une vente importante de lettres et de manuscrits que M* Ed. Giard et M. G. Andrieux ont obtenu cette somme, pour une lettre de Marie-Bcrnarde Soubirous à Mademoiselle Dozous, fille du docteur Dozous, qui joua un rôle capital dans l'édification de la grotte miraculeuse de Massabielle. Un bracelet en or et pierres dures offert à Rachel par le pacha d'Egypte, figurait également dans cette vente il fut adjugé 4.000 francs. Au cours de la première des deux journées de la vente de la collection Maurice Feuillet, M** Henri Baudoin et Etienne Ader, assistés de M. André Portier, ont noté 1.720 francs pour un In-niku-bako (boite à cachet), signé Koma Kwansai, et 2.300 fr. pour un Inro à quatre cases, signé Kakosai. M" Etienne Ader, en compagnie de MM. Damidot et Lacoste, a vendu hier, 14.700 francs un ameublement de salon, d'époque Louis XV, et 6.000 francs deux bergères signées Jacob. M* Paul Motel, assisté de MM. Rcinach et Charraud, a noté, au cours de la vente, des bijoux dépendant de la succession de M. et Mme X. 40.000 francs une bague brillant (16 carats) 12.900 francs une autre bague solitaire 48.100 francs une bague brillant (4 carats) et saphir (6 carats) 60.000 francs deux boutons de chemises brillants (18 carats) et 12.150 francs une bague émeraude de 1 carat 35. M" Etienne Ader a adjugé 70.000 fr. quatre tapisseries fines du xvu* Scènes de la Vie de Jésus, et 13.800 francs un salon époque Louis XVI (Fables de La Fontaine). MI Petit a obtenu 13.500 francs pour une tapisserie de la fin du xvi", à personnages. M* Bignon, assisté de MM. Schœller, Max-Kann, Pape et Felber-Callot a adjugé 20.500 francs Un portrait d'homme, de l'Ecole, des Ghirlandajo, et 14.500 francs un portrait présumé de « Ninon de Lenclos » (Ecole de Nouet). M" Michel Bivort a vendu 25:500 francs six fauteuils d'époque Louis XV et un canapécorbeille, couvert en Aubusson du xvm° (Fables de La Fontaine). Maurice Monda.

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M* Roger Glandaz expose le mardi 28, salle 6,.une réunion choisie de tableaux, argenterie, sièges et meubles d'époque, tapisseries, qui sera vendue le 29, avec l'assistance de M. Bourdariat.

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Jt envoyer les enfants en vacances ?

Nous avons publié sous ce titre, dans notre chronique « Pour les études de vos enfants a, un article qui comportait en renvoi les deux lignes .suivantes, tombées à l'impression Extr. de d'ouvrage du Dr Gilbert-Robin. Les Editions de France.

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•» LE GENERAL VUILLEMIN, chef d'état-major de l'armée de l'air, étant le seul officier en activité de l'armée de l'air qui soit grand-croix de la Légion d'honneur, c'est cet officier qui remettra les insignes dee grand-croix de la Légion d'honneur au général Denain, lundi prochain, à 9 heures du matin, au cours d'une prise d'arinjes qui aura lieu au Bourgéf. ""• 5 ̃+ LE 23 MAI DERNIER, après que Mile Lion et Mme Dupeyron eurent battu le record du monde de distance féminin et qu'un Caudron-Renault Simoun » allait être confié à Mlle Maryse Hllsz. nous écrivions

Le record de Mme Dupeyron est pratiquement Imbattable avec un « Aiglon »; avec un Simoun on met tous les atouts dans le jeu de Maryse Hllsz. Il semblerait équitable 4 tous que le ministère de l'air conflât également un « Simoun » a l'aviatrice qui vient de sb voir enlever le record français qu'elle détenait depuis le 29 juin 1931, avec 2.976 kilomètres, et qu'elle accomplit sur un avion équi-

à

un coup d'oeil entendu sur sa main droite que c'est moi en ce moment, qui ai l'avantage sur vous.

Va pour l'armistice, concédaije. Que me voulez-vous, Michael ? Je n'ai pas affaire à vous, répliqua-t-il, je suis venu pour dire un mot à Miss Kindersley.

Il dévisagea Béatrice tout en parlant. et sa voix sembla prendre un timbre particulier.

J'ai découvert que mon assistant avait mal compris mes ordres l'autre soir, dit-il, et qu'il vous avait pris vos bijoux malgré ma promesse. Jè'suis resté dans le voisinage afin de vous les restituer.

Il se pencha et lui tendit une boîte cachetée. J'aurais juré que les doigts de la jeune fille serraient passionnément ceux de Michael, mais il retira sa main.

Je savais bien que c'était un malentendu, dit-elle doucement, lui jetant un regard qui l'appelait visiblement auprès d'elle.

Toutefois, il gardait son visage obstinément détourné. Son expression s'était modifiée, le vieux sourire railleur se jouait sur ses lèvres. En réfléchissant à tout ceci, Janet, continua-t-il, et surtout en considérant l'importance de nos gains, j'ai éprouvé une: certaine-ré-

AVIATION

pé d'un moteur de 40 CV. Maryse Bastié. »

Le » Simoun appartenant au ministère de l'air, avec lequel André Japy établit le record d'altitude des avions monoplace de la première catégorie (cylindrée de 6,5 a 9 litres), le 31 décembre dernier, à Orly, avec 5.568 mètres, et qui se trouvait depuis cette date à Guyancourt, vient d'être amené à l'usine Caudron d'Issy-les-Moulineaux. Il sera confié à Maryse Baslié.

̃+ UN AVION MILITAIRE DE LA BASE DE CHARTRES, piloté par le sergent Saget, et ayant à son bord le soldat Holtitz, a capoté au cours d'un atterrissage forcé dans un champ, à Chavenay. près de Versailles. Ses occupants n'ont été que légèrement blessés.

<* TROIS AVIONS DE CHASFE TCHECOSLOVAQUES sont entrés en collision hier aprùs-mldl. au-dfssus de la banlieue tle Prague, et sr. sont écrasés au sol. Deux pilotes oi.i été tués, le troisième a pu se sauver en sautant en parachute.

<«> CE matin, à 10 h. 30. en l'église aliu-Honoré d'Elau, messe de bout de l'an à la mémoire de Pierre Mputell et Philippe Trécliot, disparus au large de Zanzibar, lors d'une tentative de record Tiinanaiive-Faris'.

BIBLIOGRAPHIE « Les Routes aériennes d'Europe (Edition anglaise). (Editeur Société des Pétroles Jupiter, 4?, rue Washington).

Cet ouvrage de 445 pages contient dans une première partie des informations générales calculateur de vitesse au sol, table consacrée aux levers et aux couchers du soleil, ainsi qu'à la durée des crépuscules, graphique renseignant sur les autorisations nécessaires pour chaque pays, indicatiens sur les monnaies, les variations des heures, les distances entre les principales villes, les taxes d'atterrissages et de hangar, la radio, la météorologie.

En seconde partie, la description de chaque route, douanes, contrées traversées, obstacles aériens, zones inter.dites, consignes de vol, avec la présentation et les plans détaillés des 90 principaux aérodromes européens.

Philippe Roland.

pugnance à vous riérober vos richesses nouvellement acquises. Permet.tez-moi donc.

Il lui tendit aussi un petit paquet, puis il fit reculer son cheval de quelques p^s, mais il s'attarda et je compris qu'il avait encore quelque chose à dire.

Notre ami Rimmington a abandonné la chasse, à ce que je vois, reprit-il, et il est reparti pour Londres. Donnez-lui. donc un conseil lorsque vous le verrez. Dites-lui que le premier mouvement d'un malfaiteur n'est pas forcément de mettre le maximum de distance entre lui et le lieu du méfait. Parfois la main qui tâtonne passe pardessus ce qu'elle cherche à saisir.

Je ne manquerai pas de lui transmettre votre avis, dis-je. Mais vous rendez-vous compte que je vais signaler votre présence dans les environs?

E., Phillips Oppenheim.

(A suivre.)

traduit de l'anglais par (i. Uiiilleattê* MagitoU

(2'raduction et reproduction interditesJ


L'ACTUALITE

GOURMANDE

La réception des souverains anglais sera un triomphe pour la cui- siné française, déjà fort appréciée Îiar- le roi George VI, qui a confié à direction de ses services de bou- che à un chef français.

SI M. Carton, président d'hon- neur de la Société des Cuisiniers. a pris la direction générale des opérations, M. Delorine, chef de l'Hotel du Louvre, opérera il Versailles, et, au quai d'Orsay, ce sera M. Colas, directeur du Crillou, qui a fait le voyage <ic Londres pour a'èncfwêrir des goûts de Leurs Majestés.

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naise.

Mais d'où, vient ce mot de mayonnaise ? Cette sauce aurait été rapportée de Mi- norquc, lors de la prise de Mahon par le maréchal de Richelieu, en 1756. On l'aurait d'abord appelée mahonnaise, puis mayonnai-

sc.

Carrème prétendait qu'il fallait dire magnonnaise et que ce mot viendrait du verbe manier. D'autres, comme le vicomte de Cour-

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Voici encore un argument en faveur de mayonnaise une ttiaye est un vaisseau de pierre creusée destiné à recevoir l'huile qui coule du pressoir, et l'huile, versée avec une sage lenteur, joue Un rôle de premier plan dans là confection de la mayonnaise.

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Cent milliards de billets Les billets en circulation de la Banque de France forment un total de quelque cent milliards. Rien ne montre mieux l'avilissement du franc. Mais le fait a une signification plus profonde. II révèle une évolution à contresens des méthodes du crédit. On commence à peine de le reconnaître. C'est une affaire d'importance capitale.

Dans ces phénomènes, le fil d'Ariane, c'est que la masse des billets en circulation dépend de trois facteurs principaux les prix, l'activité des transactions, les habitudes de la population, selon qu'elle emploie de préférence des billets ou des moyens bancaires de paiement, c'est-àdire les chèques et les virements.

Les prix et l'activité économique peuvent faire l'objet d'évaluations chiffrées. Si imparfaites que soient celles-ci, elles permettent de calculer approximativement la circulation de billets qui serait nécessaire, en supposant d'abord que les habitudes des Français n'aient pas changé.

Par ce moyen il a été possible de se former une idée de la thésaurisation de billets, qui a été énorme, comme il était logique, vers 1933-1934, quand le franc était la meilleure monnaie refuge du monde. Parce qu'il a perdu cette position, au travers d'aventures tumultueuses, cette thésaurisation manque de raison. Elle aurait dû s'atténuer, ou disparaître. Or, il n'en est rien. Une part considérable de la etreulation des billets ne s'explique d'aucune manière par l'évolution des prix, ni par l'activité de la vie économique. Si l'écart inexpliqué était faible, on ne s'y arrêterait pas il tiendrait à la médiocrité des instruments de mesure utilisés. Mais il est considérable. Il atteint plusieurs dizaines de milliards. A quoi correspondent-ils ? Voilà le problème.

De toute évidence, ce sont toujours les habitudes de la population qui jouent un rôle déterminant. Malgré la loi d'inertie qui commande les mouvements de l'épargne, il est peu vraisemblable que celle ici s'obstine à chercher dans le billet une sécurité de haute qualité. Alors ? On est amené à se demander si elle ne se flatte pas d'y trouver une commodité qui a été rendue précieuse, et qui est le secret.

Le billet est un moyen de paiement anachronique. Mais il ne laisse pas de trace. Le chèque ou le virement lui sont infiniment supérieurs, mais ils impliquent l'existence d'un compte en banque, et ce compte a été présenté trop souvent avec une maladresse insigne comme une souricière fiscale. Déjà peu enclins à l'usage des monnaies scripturales, et très arriérés à cet égard, beaucoup de Français sont revenus du chèque au bilet.

Ce que coûte à la collectivité nationale cette régression désastreuse, il est difficile de l'exposer en peu de mots. On peut l'imaginer en observant que l'Allemagne et l'Italie ont réussi, jusqu'à présent, leurs acrobaties financières précisément par r

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OrMan. 101.. 697.. -5~)934.~35.. 395 396.. ~933 T01 213 Jpumont IH é 395 3B5 NaroBula 71n Ip 50 '0250

MétroPAlItoindaPoris B8p 990 C.Cr.A.3 930 936 4% 325 Lauv ôil,Mpnt.Auln, 309 34G P~ 607 ?

Sfeffi: f& ?MI&:s 3iSS 5^ z ife: I SSSSS"' J 2 ::FS^™^ >?â 'Sîi

Trom, do Shanghaï 330.. 331.. 7 ,aor21~daliorsl3S64 3555 5 ,7?933. 308 306 Métaux CieFran .).. 562 552 Phosphat.Consfanhn. 1095 1091

Eou&EclairogelLvon) 1412 I4Î8 Afr. Occ. Franç.3»,. 347 349 îtf ÏSS 'Sj •" iXl Métaux (Ce Franc.).. 2080 «^ ̃• Phosphates Tunisiens 142 138 50

73d.. Indochine 3 1909. 275.. 272,. Fi?. «<{««'" ?Y, 3fî •' Senelle-Maubeuge.. 630.. 629,. PoinleàPitro 411 414,. Dist, Parisien. d'El.c. 661 671 °- '3SÏ?,I9I3 288 280 LLon | ij.'fff I, 382 ÎH -> Bé'hune(Cied.)nouv. 526 ..418 électricité de Pqris. 650 665 2<'|Mi 1V4 322 Charbon, du Tonfcin. 2125 ..2125 Randfonlein 333 3i8 Electricité de la Seine 376 370 Madagascar 1903-05. 326 325 Z 5 1933 mi 700 Commen..Fourcham. 509 511 ..Rond Mines 1562 1568 Eectr.otGazduNord 363 363.. Maroc45il9l4 304. 303. mTj. 14A 349 I Dombrowa(Houil.)p. 561 548 Roan Antelope. 14', 146 50 lectr (CliGénér. d') 1395 I4O1 1918. 360 358 M"" S (> 2$ XM MontrambertlaBera, 50. 505 Shell Transport 792 788 énergie Ut. Méditer. Ml S56 Tuni, 3 Ç 1892 263 2«2 Z 4 Û' 305 302 Uniçhe (Minesd'l. 955 941 Spnrms Mines 257 259

6nerg.ElecNard.fr. 305 301 Crédit N«t ^5 1919 491 493 ““£ r "V. 40e 408 Blanzy 580.. 580 l?nJ^° ,«? À\

Truyero. 718.. 727.. C.Nol.Ob,500I,5,,20 463.. 0.64 56. 6; séria E 39U 390 C Carmoux. 594 594 Thoys 296.. 296..

«ordlumière. sis.. 8io.. Bon. 6% i»h. 53o.. 534.. z 5 « ."Si 380 v. olmZ.v. ît* ISo pr°w»hyps(5oMthA,.) .05.. km se

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Th~mso~.Hou~ton, 138., 140 Ban.6J1Q,iuln23 487 497 5 f 1~33..· 6y4 698 Ostrlco~;¡: 949 925:: Tro~swaallond. 2~3.. 275

Unland ~I"'tnclto. 436 ~36.. Obhdy( 1924, 500.. 498 0~ 355.. 353 A~T~.0~ i640 ~0 ~~bôo Carporailan,. 1522 121

Denoin-Anlin 1257 |25O Dép.delAlsne7K26 499 498 îg'l'ojï"" ïAq îaa Guergogr pet 1347 1277 Miniè. Ht Katqngapr. 3970 4001

sôulne»?, «W< «• 810 7^27 547 548 Ou«t 2 ?' <n4 Mok.-el-Had,c.(déj.i.) 4890 4885 Vieille Montagne. 2075 2091 SaunM 810.. 4O28 871 872 "»•»'•«'•'» 304 Transylvanie (M. or). 65 65 Vins et Spiritueux. 290 50 290

Schneider (Creusot).. 1050 1050 de Io Marne 6KK 472.. 468.. BANQUES · FronçalsedesPetrole-, 82.. 90.. West Rond 328.. 325 50

^.iè: iél $:: iduïord6*pfe tî\ iîi:: z Lï&hi§::li:: RTSSSUïWc, ^1:: ?fî comptant 290

T~él,etLom.du. Hovr. 52i ·. 520 deMeurt-et;ï.tÍ 1 456 459 8anq.Afriqu.Occid. 769.. Hydro-Corb,SI.Oen's 386 40D ·. W.,tSpnngs. 474.. 4J4..

232.. 231 ~~6~923 45: 454 d:).&906~ Pechelbronn 765;: 365 COMPTANT

léns. 303.. 302 6" 1923 451 451.. delaGVyane. 1910 1906 Dynamite (saCiétéc.11 765 751 COMPTANT

Modes. 438 436 7~ 1927, 497 499.. "deModaga"a~ 4UD 415:: GlacesouN.deloFr.3130 316D

^ot-eVèt-Nciik- ip îit r^JA' m, |f ZïffîSSSZfâ ï $& '̃} Sl8Si1ï.lii.'&i.r: îiS IIÎ8 «..b.w.nn. «««. ,320 ,3,0

801e,? 2. 0 9075 = 5~ 490.. de la Réunion, 2750 2755 SI.Gobain, Chouny.. 1942 ¡'; 1960 Bard.n,Renaud,Couc, IB95 1895

Bor jouias. ~490 :l5OU.. ,~(! 1929 a56 B5T ·, Eur. C. (P"yslor 310.. Salins du Midi, 739.. 735 Moseurs SPlmson Ic.) 33 2.5 32 50

-ord. (vert.) JUO 2172 Sommeâii'4l923 475 472 Z priv! 280 V. '̃'̃ *3al« liavigii. 1340 1348 Forges de la Proyid.. 16150.. 14800.. NI* 602 412 Vl,l.d.Reln,s6!;i927 863 868 'Aa'nfeon^ I-"«"«-««-"««-- III "J ^i^^ Y ?'â

NleII.I, 03°22.. dl2 Vlllod.oRelm6'~r;.1992278 803 B68 'O' Franco-Japon.. 84 85.. Tran.portsen Comm. 590.. 574 Steauo Romana. 48. 48

Ponorrayo. 4.. J32 ~5~92! ? 4 5 NaLp.leC.et!'i. 615 dU9 Transportsen 6984 6984 D.b~p..2.7.2935

fledro.Chimie,Ugine ~2 J233 Ind,3ucr.Fr.4,7p192T 42A 12e C~d.A~ .7.5 ,660 DamoyUulien). 6U5 2 ~'r~ 2725 2700

~f~êeh1~¿r~ 1232 1233 l;d,su~'Fr,56'I' m:: ,d.aYSduN. 1705 1660 O~~aY!Juli;~j: 605:: 618:: g'O~ro~rg:: 2725 ..2700

H&h£: 655 650 ii'ffiS&fîrs.ffi!: 427 t& ::|pftf w: | |i psafiasffl: 400.. KSS=s;bïïïïï: !JS3 !JS

M.tC.br.St-O.ni.. IU70 ~070 AMr). 3~~902. 340 333 C,.d Fon.Ats.-run. 433 434 Gr,MouLdeCarb,prd. 318404.. ~2 F.LSchappeLyon.ca. 1860 1900

I Indochine I899.I90S 2U 224 Crédit Foncier Colon. 210 205 Nicolas 380 3'S Viscose Froncaise. 575 573

Phosphate» de Gafso 828 839 Tunl» 3 1902-1907 243 247 Çréd. F.lndochmejp.) 127/ 1210 oiida 2460 ..2400 ~7a.. Prlchlm-d'AlaisFrog. 1508 1487 Tunisie 4% 1931. 617 619 Ste Fr.Bonq. Dépôts. 448 651 part D|i5 Bras. Comète act.onc. 1870 1870 Rh5n»5pulenc. IU5 1127 Reports Dépôts 350.. 55/ pot|n ffélix) 45.. 45 Disril. Bretag. Norm. 159.. 159.. Soint.Gpboin 1930 1956 Allem.24,Dawesl00l. 5606 ..5655 Soc.GleAlsac.deBan. 404 404 Saint.Raphoël 5695 ..5480 UnionSucr.de l'Aune 353 355 Port du Resario 4840 4775 I Angleterre 2 !J 13130.. 13190,. Société Marseillaise. 5Q6 565 Sucreries Coloniales. 336 335 Monaco 1320 1325 Chargeurs Réuni 511 524 Argent.n 5 1907.. 3535 Sous.Coin.Entrepren, 310 318 Suie(Distilleri6dela)/l600 ..4610 Bqstos (Tabacs) 731 660 AirUquide 1236 I23S 5% 1909.. 3535 Union des Mines |3o 136 Ciments Frqncais. 1295 1320 Brosse(lo) et J.Dupont 230 229 8rasserie Wullmis." $2B0 537p ..I Bel .3°,é1895.p5, l's. 93 Foncière Lyonnaise 710 7QI Ciments de l'Indoch. 410 420 Par.d'Ed.(Offenstadt) 151 50 150

Brasserie Quilmès. 5280 ..5370 i Bels.3?i 1895-05, l-s. 93 93 ImmoWl.Morseillaise 2)0? ..2.69 Bon Marché 139 140 ,ir~ ul WoSnV 517.. 5IS,Bré«IM#09(PernOn,b.) 225.. 215.. 1N$5£$lB c5?yP(Iodé« Anon.i: 200" Ï*B 1 1| CHANGES

Cltro!n8. SI7 ·, 515 8re.IIIV (Pernomb.) 225 215.. INDUSTRIELlES Coty {Soci.té Anon.). 200.. 1~8,. ·I CH A N G ES

CttroenN. SM &%•̃ Buenos-Ayres (Ch.ter) 425,. 435.. Galeries Lafay«tte. 26., 25 50 Compteur. a Ga. 6 6 617 Ch li 6 K. 22* 227 g SoinUouis, 1225 1340 l (parti (7990.. 177».. PARIS Olstil. de 1 Indochine 410.. 408.. Chine 41, ̃ ,1908. 3155 3140 Ch(lminEst A|oorien. 2/1 271 Nouvelles Galeries.. 296.. 290.. londres i77 Ï4. 17792.. *?! £i ̃• M" C ^Jî'fliii1- W3 Indçchine et Yunnan 529 50/ Pnntempsord 80.. 80 501 New-York 3592. 3589.. HéïSO» 359 363 Egypteprlvlléfllee. 3372 Mqro(. tQJ 402 Agence Hava 430 417 ..I Bruxelles. 409 408 75.

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isrE~vv-"5roieK: reste feeme.

.et devient plus actif. A Paris, fermeté des caoutchoutières et du groupe hollandais. Les négociations commerciales anglo-américaines.

© Le marché de Paris a éprouvé hier le contre-coup de sa réaction de la veille. Toutefois, à travers quelques oscillations de sens divers, la tendance a été relativement ferme grâce, en particulier, à la hausse du groupe des caoutchoucs stimulé par la fermeté de la matière. © Les rentes se bornent à reproduire ou à peu près leurs cours de la veille. Les deux sortes à garantie de change gagnent respectivement, pour le 4 1925, 10 centimes, et pour le 4 1/2 1937, 15 centimes. ® Aux valeurs françaises, le groupe en vedette est celui des caoutchoutlères indochinoises.

© Aux internationales, bonne tenue des valeurs de matières premières, à l'exception de la De Beers préférence, qui perd encore du terrain. Irrégularité des mines d'or. Le groupe hollandais est partieuliérement bien tenu.

La situation hebdomadaire de la Banque de France, pour la semaine du 9 au 16 juin, fait ressortir une encaisse-or de 55.808.091.318 en augmentation sur celle de la semaine précédente, qui était de 55.8U7.972.930. Le portefeuille commercial et d'effets publics ressort à 7.490.550.089 contre 8.667.404.329. Les avances provisoires sans intéréts à l'Etat sont sans changement à 40.133.974.773. Les billets au porteur en circulation sont de 99 milliards 413.671.875 contre 100 milliards 235.329.390. Le total des engagements à vue ressort à 117 milliards 719.611.966 contre 119 milliards 165.697.112. La proportion de l'encaisse-or aux engagements là vue est de 47,4 contre 46,83 précédemment. La diminution des engagements à vue provient, pour moitié environ, de la diminution de la circulation des billets et, pour une proportion moindre, du fléchissement des comptes courants. © En Allemagne, les usines Hermann Goering, pour l'exploitation des mines de fer et les hauts fourneaux fer et aciers ont commencé le placement des actions de leur capital de 400 millions de R. M.

LES CHANGES

Le franc reste demandé Sur un marché très calme, lc franc est plutôt demandé, la livre s'établissant à 177,92, contre 177,94 et lp dollar à 35,89 contre 35,92. A terme, reports inchangés.

-o-

Banque de France

AVIS

Le conseil général de la Banque de France a fixé le dividende brut du premier semestre de l'exercce 1938 à 160 francs.

Le dividende net s'établit, en conséquence, à 134 fr. 08 pour les actions soumises a l'impôt de 16,20 0/0 118 fr. 40 pour les actions soumises à l'impôt de 2B 0/0, et sera mis en paiement à partir du 30 juin 1938. l'emploi systématique de la pratique inverse. Ici, le gouvernement a annoncé un petit effort en faveur des moyens bancaires de paiement. J'ose exprimer le vœu qu'il aille plus tort et' plus loin, qu'il ait, à cet égard, une politique cohérente, et qu'il prêche d'exemple en décidant que Je Trésor ne paiera jamais à qui que ce soit une somme supérieure à 1,500 ou 2,000 francs autrement que par chèque.

C'est une des conditions nécessaires du salut.

F.-F. Legueu.

BOURSE DU 23 JUIN -19 3 8

s b" iô-â-î A09 7f)O Antin «, «. oo3 ̃ Joa Sut) fvJtgel Iv45 IV4O

par l'émission de 130 millions d'actions de priorité donnant droit de prendre part aux assemblées génerales et portant un iutérêt de 4 1/2 Sur ces 130 millions, 10 ont été placés dans l'industrie 25 sont réservés à un consor tium bancaire pour placement dans le public et 95 doivent être placés dans les groupes,1 des industries produisant le fer et l'acier. Un communiqué du général Hanneken, directeur au ministère de l'Economie nationale, avait autrefois précisé que l'industrie serait appelée à collaborer par ses capitaux aux Reichswerke, mais sans prendre aucune part à leur organisation © Londres reste favorablement orienté grâce à la fermeté des américaines et du groupe pétrolier Anglo-Iranian et Canadian Eagle se distinguant particulièrement. Fermeté des fonds brésiliens.

© II a été vendu sur le marché libre de l'or à Londres 274 barres, d'une valeur de 771.000 livres environ, an prix de 140/9 par once, soit une baisse de 1 pennu sur la veille. Ce prix, basé sur les offres et demandes, comporte une prime

MARCHES COMMERCIAUX

Cours Dern. a.

Proc4d. _1 aaurs

précéd. I cours

BLE.. (prix Imposé d*p. culture) 19S 185..

BLE U.trpooF. Juillet 6/5 3/< t/S 1/4 Chicago. Jullls- 75 3/1 76 1/3 Septembre 77 1/8 76 5/8

AVOINE Paris Juin '̃'8.. 1*5 7S

Ju «et W 75 1*0 55 FARINES pin ni .1. m.l. COTON ISakols). Alexandrie.. Juillet 12 48 '2 47 novembre 13 '0 « 94 NerYork. Julllei 8 53 ISS 6\ Octobre 9 59 8 6!

SUCEE Hew-tork. Julil: 175 177

Septembre 1 80 83

CAOUTCHOUC. (urne leull..

Londres Dltoonlble 6 1/4 6 1/3 CAOUTCHOUC. New-ïork. Juillet 13 30 13 60 Septembre 11 41 13 7d

CUIVRE (Sun.). Lonoret. Coinntini ?5 18,8 36 12/6

Newïork. Juillet 793 806 J6 12.'6 Septembre 798 812

ETAIN 'loadns. Comptant «6 17 6 1!ti 17/8

P10M8 étrinser.. Comptant 14 is/iO M !5/.

2IMC Comptant 139/«îi 13 151.

PLOMB .tranger.. comptent 14 16~10 151.

ZINC .1 comptant 13 ISI.

(USENT (burre»).. Comptant 18 15/16 18 1b.l6 g|; (in Comptant 140/10 HO/S

LONDRES bien orienté

u.icnoo I Clôt. I Dern. llvimm<; I Clôt. | Dern.

VALEURS Dlbs., Bern· Il VALEURS Clbl. Dem.

VAU1"1» I précM. I am -I! VAUUBi I prtao, I cours Corn. IV,. 74 3/16 H 3/4 Crwn-Mln.. 1S 3/4 15 5/B 4»J. 111. 1111/B EaiUlnd.. 58/9 68/9 Wirlow., 10113't» 101 T/S Oeduld 8 1/2 8 1/2 franc. î% 10 7/8 10 7/8 Coldflelds.. TUS 12'» 4 H. 11. 11. «aod «Inès. 171/3 lîl'ioîl 4 '119171 10. 10 Chartered !6/. 26/. kra.1% 92. 92 «loTInto. 14 1/8 14 1/4 Bres. 11898) 7 3/4 8. Thirill. S2'6 32/8 Chine' 4' 73, 74. TangBnylka 5/m 5/IH Efflpt.unlt. 102. 102. Ameondl.. 10J/1Î4 Ht.'i ïouno 36 1/V 36 1/2 Koyal Dulch. 37 S/8 S? 3/8 llallenJ1, « U Shell 4S/I6 45/1! Jap.48,;i93l 36 1/2 3S 1/2 Moi. Eigle. 4/6 4/7!t Portog. 3% W 1/2 19 V Anglo-Iran.. 88/7V, 8ï/b Husse(1906) 0 3/1 0 3/8 Oula 201. 20/. Eipaj. ait.. 40. 40, Rubb-Trusl 26/7JJ 27/6 Turc 7 !J 2 3/16 2 3,16 Malacca 50/. SO.'JK

Hydro-Elic. 4. 4 3/16 Sennah Î5.'»)S 25/1!,

ml. Holding. 11/32 11/16 Coiirtauldl 37/3 36/10J» Imp.looic. Uf/IK "!6/3 Brltt.Celan. 2'9 2/9 Steel Corp.. 46 1/2 46 1,8 tap. Chemlc. 31/3 31/' Si

De Beers. 7 5/8 7 3/4 Unllever. 37/9 37/9

Jagerstont.. 11/8 1 1/6 jAtchlson 59 1/4 30.

Brakpan. 66/10VJ 66/10H Canad. Pacir. B ll'li 6. Cent. Mfntg. 211/4 21 3/tJ Union Pacir. 67 3/4 «9 1/4

BRUXELLES irrégulier

Tcoiit I Clôt. I "Ôern. HrnuPTlNTl ait- I

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Bîm.dlPir. Par, 105b., 1010. Elect. (cap,) 910. .1. 890.,

Elect. Sclno. 307 M 303 3/4 (Ion,) SIM. 2H0

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de 5 pence sur ta parité du dollar à 4,95 1/2.

ffl D'après le « Financial Times », des événements intéressants pourraient découler de la visite à Londres de M. Tataresco, lequel doit rencontrer le premier ministre anglais, le secrétaire des Affaires étrangères et le chancelier de l'Echiquier. On ne serait pas surpris si ces négociations- aboutissaient à l'octroi par la Grande-Bretagne de facilités de crédit à la Roumanie dans des conditions analogues à celles qui ont été récemment accordées à la Turquie. L'Angleterre pourrait, par la suite, envisager également de venir en aide à la Grèce.

0 Séance très mouvementée. Vive avance des chemins de fer, ainsi que des sidérurgiques. Nouvelle avance du prix des déchets d'acier dans la région de Pittsburgh. 2.400.000 titres ont changé de mains.

© En réponse à des questions qui lui étaient posées au cours d'une conférence de presse, M. Cordell Hull a fait la déclaration suivante © Vous savez probablement que l'abaissement des barrières douanières, l'élimination des restrictions aU commerce international et la stabilité des changes vont de pair, et je crois que chacun des aspects du problème est encore passablement lié aux autres en ce moment. » Les représentants de la presse auant demandé s'ils pouvaient interpréter cette déclaration comme signifant que les questions monétaires et tes accords commerciaux étaient discutés ensemble, le secrétaire d'Etat a répondu « Non, pas d'une façon générale. C'est te Trésor qui s'occupe directement des aspects monétatres de la question. »

© La question d'une éventuelle réduction des salaires dans l'industric métallurgique américaines pourrait être discutée au cours d'une prochaine conférence. D'autre purt, les compagnies de chemins de fer annoncent que tes négociations avec te syndicat des cheminots doivent commencer te 28 Juin, à Chicago, en vue d'une réduction des salaires de 15

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Principales fluctuations

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4 0/0 1925 125 40 + 0 10 4 1/2 193a A 78 80 + 0 15 Lyonnaise des Eaux 1428 + 1" Bor 2172 + 26 Quilmès 5370 + WO Terres Rouges 423 + 10 Amsterdam Rubber.. 4065 -4-105 H. V. A. 45450 +1025 Caoutchoucs V 863 4- 20 Haut-Katanga 4001 + 31 Franco-Néerlandaise. 318 + lti Baisse

̃Foncier Egyptien. 4050 55 Suez 22710 2H0 Central Mining 3860 40 De Beers préf 1750 –50

Principales transactions En francs de rente

̃̃<% 109.401 U 1932 A 1.019.844 17 88.482 41 1932 B 704.250 4% 18 247.33» 41% 1937. 414.036 5% 20 83.405 Ob. 3i 1O3CA l.'Jilli.lOO

A°'ro 25 99.408 p. 4~1936 N 5.968.OOD

d% 25 U1.408 O. 4%1936 B 3.368.00U

fin tttres

Banque de F 80 St-Gobain.. SOU B. do Paris 2.521 AJr Liquide. 1.352 Union Paris. 517 Quilmès :r. Lyonnais 210 lndo Hévéas 1.939 Suez capital. 75 Terres Roug 5.315 Tr. Shanghaï 179 irg. 4 1/2 34 215 Di.tr. Eleet, 1,1211 Gan. Pi ..île. 15.267 Forges N.-E. 891 ,gons-Lits 1.911 Tréfileries.. 308 Centr.Mining Lens 860 ileduld 2.320 Nickel 3.023 Rio 1.358 Penarroya 1.734 Azote ord.. 15» Ugine 480 Royal Dutch 1.415 Kali S.-Thér. 548 Amst lUibb. 335 Kuhlmann.. 904 >. Nat. 1919 871 Pechiney 2.303 Cr, Nat. 1920 1.272 Rh. Poulenc. 1.949 Cr. Nat. 1923 1.189

Situation

de la Banque de France au 16 juin 1938

ACTIF

(En millions de fr.)

Encaisse or 55.808 » Monnaies d'argent. 430 + 11 Comptes ..tuux t43 240 Disp. à v. à l'étranger 23 + 4 Effets escomptés. 6.119 973 Effets agrlc 315 202 ilTets négoc. France.. 295 1 Effets nég. étranger. 760 » Avances sur titres. 3.520 + (i Avances à 30 jours.. 672 173 Bons Caisse autonome 5,575 Avances provls. sans

intérêt à l'Etat (corn

18 juin 1836)

art. 1 et 2 12,083

art. S 10.000

(conv. 30 juin 1937). 18.050

Divers. 2.893 126 PASSIF

Billets en circulation 99.413 821 Compte Trésor public (i22 245 Cptc caisse amortiss. 2.635 -f- 40 l.omptej courants. 14.965 409 irs 2.278 + 5

Montant des engagements a vue, 117.719 Ratio, 47 41 0/0 c. 48 83 0/0.

LE PROCHAIN TRAIN DE DECRETS-LOIS M. Daladier a consacré hier une. partie de son après-midi à In mise au point des textes des prochains décrets-lois. Le président du Conseil a eu à ce sujet deux conférences, la première avec MM. Mandel, Queille et Gentien la seconde avec MM. Ramadier, Frossard et Marchandeau. Il y a lieu de remarquer que le ministre des finances s'était entretenu dans la matinée avec ses collègues du commerce et de l'éducation nationale. Les textes examinés concernent des décrets plus économiques et administratifs que politiques. Vraisemblablement dans la série qui pourrait « sortir » samedi, figureront les dispositions relatives à la protection du petit commerce contre la concurrence étrangère, à la modification de tarifs douaniers pour un petit nombre d'articles d'ailleurs, et comme nous l'avons annoncé, à la coordination du rail et de la route, et à la création d'un office de l'or. Cet office (doté d'un fonds de 100 millions de francs, dont les deux tiers fournis par l'Etat et l'autre par souscription publique, aura pour but d'organiser la production aurifère dans nos colonies et plus particulièrement en Guyane.

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RADIO M. Florent-Schmitt a signalé ré:emment_ la belle exécution du Sucre dit Printemps par l'Orchestre National, dirigé par Manuel Elospnthal. Exécution que l'auteur juge « idéale ». Cette semaine, notre jeune chef d'orchestre de la radio a poursuivi cette série d'interprétations « exemplaires avec les Tableaux d'une exposition, qu'il a parés d'une vigueur et d'une couleur inégalées. On se plaît à rendre un nouvel hommage à la conscience de ce musicien en rappelant, pour cette seule saison L'Enfant et les Sortilèges, Ariane à Naxos et le Sacre. P.-D. T. Vendredi 24 juirr.

20 h. 30, RADIO-PARIS Théâtre Mai 36 présente Un cœur tout veut, comédie en trois actes de P. Vialar, présentation par P. Descaves, mise en olldrs de L. Ruth, avec MM. Berthau, de la ComédieFrançaise, Brochard Mmes Larsay, Parizet, Kerjean, Parry.

20 h. 30, PARIS P.T.T. Concert symphonique avec Mme Guilbert, pianiste Danses allemandes (Schubert) Chasse jantastique (Guiraud) Pénélope, prélude. Dolly, suite Pelléas et Mélisande, fragments (Fauré) Petite suite (Chaminaudc) Concerto ja pour piano et orchestre (R. Hahn) sol. Mme Guilbert Danse des boulions (RimskyKorsakov), orchestre sous la direction de M.

Clergue

20 h. 30, TOUR EIFFEL Musique de chambre avec Mmes Turba-Rabier, cantatrice, Darré, pianiste, et le Quatuor Calvet Quatuor en ut mineur (Brahms) Mélodies Variations (Proch), Pièces pour piano Polka (Rachmaninoji) Prélude (Mendclssohn), Méladies Phydilé (Duparc) En prière (Fauré). La jlûte enchantée (Ravel) Pièces pour piano Suggestion diabolique (Prokofiev), ~>resto en si bémol (Poulenc), Caprice (Dohnanyi). p 21 h. 35, NATIONAL ANGLAIS Festival de musique contemporaine 1938 (Queen s Hall). Orchestre B. B. C. Sophie Wyss, soprano P. Jonas, ténor, et W. Panons, basse Mathis, le peintre, fragments (Hindemitk) Danses (J. Binet) La figure d'Isaïe, fragments (W. Burkard).

23 h., RADIO-PARIS Concert de nuit sous la direction de M. Rhené-Baton, La Farce du Cuvier (Dupont) Album d'imates (de la Presle) La petite fille aux allumetter (Marc) La boîte d joujoux. (Debussy) Le petit elfe ferme l'œil (JSchmitt). ORCHESTRE

16 h., NATIONAL ANGLAIS Orchestre B B. C. (Gounod, Debussy, Grieg, G. Williams, Weber).

18 h., WELSH Concert symphonique (Wagner, Rubinstein. Liszt, Sitt, Wolstenholme, Casella),

20 h., LONDRES REGIONAL Concert symphonique. Orchestre B. B. C. Symphonie en si bémol (Mozart). Concerto en sol pour piano et orchestre (Beethoven) 20 h. 3O, BERLIN Concert symphonique (Respighi, Liszt, Brahms).

20 h. 30, LILLE P.T.T. Concert Mozart. 22 h., VARSOVIE Concert symphonique sous la direction de M. Fitelberg (Chabrier, De Falla, Debussy, Fauré, Aubert). MUSIQUE DE CHAMBRE ET SOU I 13 h. 15, NATIONAL ANGLAIS Quatuor en sol (Haydn) Quatuor en la m. (Moram).

13 h. 30, RADIO-PARIS Mélodies par Mlle Gilly (Albeniz, Dvorak, Fauré). 14 h. 30, PARIS P.T.T. :Mélodies par Mile de Butter (Clergue, Ravel, Laparra, Debussy).

14 h. 45, RADIO-PARIS Mélodies par M. Diacowsky Piano par Mlle Sénart (Debussy, Tcherepnine de Falla),

18 h. 20, BRESLAU Récital de piano Trente variations sur un même air O.S. Bach). 18 h. 30, PARIS P.T.T. Musique de chambre par le Quatuor danois.

19 h., TOUR EIFFEL Concert avec Mme Clavius-Marius, pianiste et Mlle Flachot, violoncelliste Sonate pour piano et violoncelle (P. Paray).

20 h. 15, RADIO-PARIS Mélodies par Mlle Denys (Schubert, Duparc, Ropartz, Roussel, Chanoine, Davranche).

21 h., RADIO 37 Depuis la Schola Cantorum, audition donnée par Mme Babaian, cantatrice, et ses élèves.

MUSIQUE LEGERE ET VARIETES 11 h. 45, PARIS P.T.T. Musique variée.

17 h., PARIS P.T.T. Musique variée. 20 h. RADIO-CITE Gala des vedettes. 20 h. 30, NICE P.T.T. La poupée, opéIrette en trois actes, d'Aûdraii.

21 h. 45, TOUR EIFFEL Variétés Au temps des menuets.

OPERA

20 h. KOENIGSBERG Les Maîtres Chanteurs, troisième acte (Wagner).

THEATRE

15 h. 30. TOUR EIFFEL Domino, pièce en trois actes de M. Achard. Présentation par P. Descaves. Mise en ondes par Mme Siou. Samedi 25 juin.

10 h., RADIO-PARIS Concert transmis de l'abbaye de Royaumont, sous la direction de M. Charles Munch.

19 h. 30, LONDRES REGIONAL Concert symphonique Orchestre B. B. C. (B. Neel), Suite anglaise (Rabaud), Fugue en la mineur (Bach), Sinlonia en sol (Gtuck), Deux aubades (Lalo), Siesta (Walton), Deux marches et un interlude (Poulenc). 20 h. 30 RADIO-PARIS Les caricatures de la justice Les plaideurs, comédie de Racine (jragments) avec MM. Bouquet, Dux, Rechamps, Coquelin, Lehmann, Lavialle Mmes Guilbert, Nizan.

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32 h. 5, RADIO-PARIS Suite du concert sous direction de M. Tomasi Mélodies (Af. lièrent) Le tambourin (Rameau), Sérénade (Schubert) L'enterrement du duc da Guise (Laparra) Le Jardin d'Amour (VuÙlcrmoz) Les hérétiques, ballet (Levadé).

21 h. 10, RADIO-PARIS Variétés Mélodies de Mlle Mairevo Fantaisie radiophonique de P. Clérouc.

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LE TENNIS

J'avais 17 ans et si j'avais déjà souvent perdu je ne savais pas encore perdre. Je me souviens d'un match que j'eus à disputer dans le seul but de garder ma place en équipe première du club de tennis, où cette situation permettait de s'entraîner avec plus de facilité.

Mon rival plus jeune que moi ne cachait pas l'envie qu'il nourrissait de prendre ma place. Sentiment bien naturel que partageait sa famille tout entière. Ainsi s'installèrent auprès de l'arbitre le père, la mère, le frère et les deux sœurs de mon ambitieux adversaire.

Je peux d'autant mieux dire que j'étais alors plus fort que lui, que bientôt après il obtint des résultats meilleurs que les miens. Mais dans ce match, je pris rapidement l'avantage et en quelques jeux j'avais gagné l'antipathie du cercle familial.

Elle se manifesta par des observations émises à voix haute, des réflexions sur les décisions de l'arbitre, des conseils, des appréciations sur les coups et des applaudissements intempestifs chaque fois que je commettais une faute.

Je 'me suis toujours rappelé cette rencontre, car j'ai eu depuis maintes occasions de voir dans les tournois, de semblables coalitions familiales.

Il est des foyers le tennis occupe une place exagérée. Il est l'objet de fréquentes conversations, voire même de discussions. Tel joueur ou telle joueuse vient dans un tournoi, accompagnée qui de son père, qui de sa mère, qui des deux. Avant un match important, on suppute les chances de l'adversaire, on sait que « son revers ne marche pas, qu'il est fatigué, on établit le plan de bataille, on fait préparer la bouteille d'eau minérale et les morceaux de sucre.

Et selon les phases de la partie, on adresse des petits signes conventionnels « attaque ». « joue plus long », « fais des lobs » Les braves parents Ils prennent à partie leurs voisins pour excuser leur enfant («U ou elle n'est pas en train aujourd'hui ». « Le professeur a dit qu'il ou qu'elle devait arriver en première série ») ils quêtent d'approbation de ceux qui les entourent pour fustiger l'arbitre. Ils se démènent et les points gagnants ou perdants s'inscrivent sur leurs visages en grimaces. Ils ont chaud, ils s'énervent, jusqu'à ce que la victoire soit ac-

quise ou la défaite consommée.

Là encore, il y a les parents qui arborent un petit air supérieur, affectant de trouver le plus naturel du monde que leur rejeton ait gagné. Je préfère ceux qui ne cherchent pas à cacher 'leur plaisir, même lorsqu'ils mettent le succès à leur compte (« Nous avons très bien joué. Nous sommés en progrès. » ) Dans le cas d'une défaite, il y a ceux qui passent une semonce au vaincu, lui reprochant un dîner de copains ou une soirée au cinéma ceux qui rendent responsables de l'échec, l'arbitre, le public, les balles, la raquette, la chaleur, le terrain et tout ceux qui consolent gauchement ceux qui veulent tirer la leçon du match et combiner Immédiatement des plans pour la revanche ceux qui se précipitent vers un des pontifes de la Fédération pour expliquer les causes de la défaite et tâcher d'en atténuer les effets possibles sur le classement de fin d'année.

Surtout que quelqu'un ne s'avise, pas d'aller dire à ces excellents parents que leur présence, leur agitation, leurs réflexions, énervent'le plus souvent celui ou celle qui en est la cause involontaire, que d'autre part, l'adversaire est en droit de se plaindre d'une attitude aussi peu sportive. f ̃ ,o

Car si ces parents se croient naturellement désignés pour faire des remarques, ils n'admettent pas souvent que d'autres leur en

fassent

Ceci n'aurait qu'une bien faible importance, si parfois les discussions soulevées par le résultat d'un match ne dégénéraient

en propos acerbes.

enTers°àisbdes('dissêntiments familiaux qui ont été révélés parce qu'une balle de match avait été perdue c'était ridicule et c'était

triste aussi.. », n

triste aussi. Maurice Capelle.

Petites histoires de Wimbledon

et de chez nous

Sept fois gagnante

et pas de coupe

Mrs Helen Moody Wills a déjà gagné sept fois le simple des Championnats de Grande-Bretagne à Wimbledon, et n'a jamais reçu la coupe I Peut-être même ne l'a-t-elle jamais vue 1 C'est que ce trophée est le seul que l'on ne puisse jamais .s enlever définitivement ni même emporter avec soi, si l'on n'habite pas l'Angleterre.

La championne a cependant droit à une récompense c'est un bracelet d'une valeur de cinq guinées, plus un autre prix d'environ dix livres. qu'elle a la faculté de choisir.

Mrs Moody gagnera-t-elle son huitième bracelet ? Ou quel autre poignet ce bijou ornera'-t-il ? Celui de miss Marble ? Celui, de Mme Sperling ? Celui de Mme Mathieu ? Plus de 12 millions refusés Le Stade de Wimbledon est beaucoup trop petit pour la foule anglaise passionnée de tennis. La: recette réalisée pendent les douze jours du tournoi est coquette environ 30.000 livres, soit trois millions trois cent quarante mille francs. Mais que serait-ce si l'on pouvait accepter toutes les demandes 1

Pensez donc que, en 1932 par exemple, les organisateurs durent refuser pour 68.000 livres de places, soit plus de douze millions de francs

Tommy Eyles, le poète Tous les ans, le malin de la finale, il y a naturellement une foule innombrable stationnant devant la porte depuis l'aube, sinon la veille au soir, dans l'espoir d'obtenir une place parmi les quelques-unes qui ne sont pas louées d'avance. Et tous les ans, le premier à son posle en tête de ce peloton, se trouve un poète de Fulham. nomme Tommu Eyles.

Ce poète, pensez-vous, est un « piqué ̃» du tennis Eh bien, détrompez-vous Tommy Eyles n'est ni un amateur de sport, ni un spéculateur de billets, c'eut tout simplement un bon ca:ur.

Il vient là, uniquement, pour retenir des places destinées à des mutilés qu'une longue attente fatiguerait. N'est--e pas là une bonne action ?

ii

La garde du terrain

Le court central, « chère vieille chose précieuse », est soigneuse- ment gardé nuit et jour par une armée de policemen, pendant toute la durée du tournoi et même quelques jours auant.

Que craint-on? Un vol ? A'on. Mais il est arrivé pire, il y a quelques années. Un fou s'introduisit à l'intérieur du stade et versa de l'acide sur le court

Le lendemain, l'herbe était brûlée 1 Impossible de jouer, ce fut une catastrophe

Le'ventre de Wimbledon Le restaurant et les salles de thé font de brillantes affaires pendant le tournoi on estime que 500.000 personiies'ingurgitent, en moyenne, deux boissons, thé, glaces ou jus de fruits.

Pour. ceux qui aiment les statistiques, disons. que l'on vend, au cours de cette période, environ 80.000 « buns », 200.000 portions de « ice cream », 8.000 portions de saumon, fumé, 3.0,000 portions de glaces à la fraise et 5.000 poulets Joueurs et spectateurs ne se laissent pas mourir de faim 1

Un second centrai » au stade Roland Garros ? .C'est la proposition que va faire, paraît-il, M. Pierre Gillou, président de la F.F.L.T., la prochaine assemblée générale du comité Stade-Racinfl, qui, ainsi qu'on le.sait veille aux destinées du Stade Roland-Garros.

M. Pierre Gillou proposera donc de faire sur les 'cours ns 2, 3 et 4, nu ,seul court entouré de gradins. Les arguments sont nombreux en faveur de cette thèse. Le principal est sans doute celui-ci les concurrents qui dans un tournoi international, jouent sur les n" 2, 3 on 4, ne bénéficient pas des mêmes avantages. matériels que ceux qui officient sur « le central ». Ce court est en effet doté d'une installation particulière filets différents pour le simple et le double (ce qui supprime ces supports de filet qu'on met ou qu'on ote selon l'épreuve), frigidaire les balles sont gardées à la température exacte organisation spéciale pour les juges de ligne.

La proposition de M. Pierre Gillou assurerait une égalité pour tous les joueurs el joueuses. Mais

De Tournois en Tournois

Critérium

Simple messieurs'. troisième tour. Rimet b. Vurïn, 7-5, 6-1; Robinson b 'Oublie, 0- 6-1; Roux b. G. Billaudot. 6-3. -0-7; Patorni li. Pecqueur, 6-4, 6-2: Polhick b. Laval, 6-3, 2-6, 7-5; Catleau b. G. Dubois. C-i, 6-2: K. Iloiissus b. Van Suu, 4-6, 6-2, 0-1; de GulOa b. Blalu, 0-2, 4-6, 6-3; Brissou b. Salvet, 7-5, 6-2: M. Guillemot l). Van Uuong, 7-5, 6-1; Gourovitcll b. Robin, 6-2. 8-6; Favièrcs b Morcuu, 10-8; 6-1; R. Billaudot b. Auberty,

Huitièmes de finale. Rimet b. Trolllel. 6-4. 6-3: Robinson b. Roux. 0-2, 4-0, 6-0; Nacciiclie b. R. Dessair, 0-3, 5-7, 7-5; Cii'ltOitll b. il. BOUS'SUS, 3-0, 6-2, 6-2; de Oaléa b. Brlsson,1 6-2, 2-6, 0-4; Gourovitcll b. M. GutUoniot, 6-1. B-3; Fayleres b. Billaudot. 6-3. 6-1.

Simple clames, deuxième tour. Mlle Mellcrlo b. Mme Charles, 6-2, 6-1 Mlle Monchausse b.. Mme Camuset, 6-0. 6-:>; Mme Laisné b. Mille Baudin, 6-3, 6-1: Mme Ilunt h. Mme Vuichoud, 6-1, 0-2; Mme l'ower b. Mlle Darclel, fl-7, 3-6, 6-3; Mme Costallat b, Mlle Bonlieme, 0-ï, 4-6, 6-2.

Troisième tour. Mlle Mollerio b. Mlle Vitaux. 7-5, 7-5; Mlle Personnat b. Mme Inglebcrt, 6-2, 6-3; Mlle Desse b. Mlle d'Hanoncclles', 6-0, 6-2; Mme G. Morel-Deville b. Mme Gaussorgues, 6-i. 6-2; Mlle Moncliaussée* b. Mme Chnmboniiel, 6-0, 6-1; Mme Costallat b. Mlle Bœurve, 6-4. 3-6, 6-4: Mme Gallon b. Mme Roche, 1-6, 7-5, 6-0; Mlle Gautier b. Mme Power, 0-4. 4-1 Mlle Iiig'lcbcrl b. Mme Claude, 6-4, 6-4; Mlle .1. Foy b. Mme Langranay, 6-4, 7-5; Mlle A. M. Simon b Mme Bolsslèrés, 6-1, 6-2; Mme Savelsberg b. Mme Moyse, 8-6, 6-1: Mlle Verseln b. Mme Huart, 4-6, 6-4, 6-2. Double dames, premier tour. Mme Glllei-Mme Lombard b. Mme -.MeulleMilo .Charles, 0-4, 2-6, 6-4: Mme H. Micbel-Mlle Provencel b. Mme Aymonnier-Mme Pallcot, 6-3, 6-3; Mme DurrMlle Desse b. Mme Hegclperger-Mme Pag-ezy, 6-3, 0-0.

Convocations pour aujourd'hui au stade Roland-Garros

10 h. Mlle Personnat c. Mlle Desse, Mlle Gautier c. Mlle Insïebert. 11 heures: Pecqueur-Uourdeix'ou Brisson Jauf fret c. Saignât Grollet Moitez-Trezel c. Guibcn-Frangreul, Favlores c. Gourovitch.

12 heures Hoche-Boussus c. Billaudot-Renault ou de Tliomasson-Leven; 13 heures Rimet c. Robinson, Legasse-Alvarez c. Mottez-Trezet ou Guibert-Frangeul.

14 heures Catteau c. de Galéa, Mille Morel- Deville c. Mlle iMonchaussée. Mme Huart ou Mme Verséin c. Mme Callou, Mlle Simon c. Mlle Foy. 15 5 heures Naccaenfî c. Patorni ou Pollack, Mlle iMcllcrlo c. Mlle Bertrand, Mme Costallat c Mme Laisné ou Mme de Fonscolombes. Mme Savelsberg- c. Mlle Morane.

16 heures: toutes les équipes restant qualiliées dans le double dames, deuxième tour.

17 heures toutes les équipes restant qualifiées dans' le double messieurs, deuxième tour.

l'S heures doubles mixtes.

elle supprime deux courts, ce qui obligera le juge-arbitre des grands tournois à commencer les matches plus tôt et à les terminer plus, tard. .Et si la pluie vient contrecarrer le programme. il y aura peutêtre embouteillage. Attendons la décision du Comité I

L'autre « dada »

du Président

M. Pierre Gillou a un autre « dada », le papillon fédéral. Il fut créé l'année dernière sur l'instigalion du président de la Fédération pour augmenter les recettes de celle-ci. Le système est fort simple et fort ingénieux, dans tous les clubs affiliés à ̃ la Fédération on' impose aux membres pratiquants un droit annuel de cinq francs sur celle somme, trois francs sont versés à la Fédération, un franc revient au club et un franc au Comité régional.

Mais il y a quelque « tirage » du côté des clubs, qui oublicnt ou ne veillent pas strictement à l'observance de ce nouveau règlement. La preuve en a été donnée ces jours derniers Ilors des engage*ments pour le critérium, l'omnium et l'Espérance. Nombreux, sont les concurrents qui n'avaient pas le papillon fédéral, exigé pour l'admission à ces tournois. Ils durent évidemment se mettre en règle. 'La protestation justifiée de M. Grémillet père Dans la plupart des tournois on procède maintenant par tableaux de progression, c'est-à-dire que le tirage au sort est effectué en tenant compte du classement des concurrents. On cherche à opposer d'abord les joueurs ou joueuses de même force, puis les vainqueurs à des adversaires classés juste au-dessus et ainsi de suite.

C'est une excellente méthode et l'on se demande pourquoi elle n'a pas été appliquée pour le Critérium qui est actuellement disputé. C'est ainsi que l'on peut voir le jeune Grémillet qui oient de Lyon pour disputer cette épreuve « tomber » au premier tour sur Robinson, mieux classé que lui. Il fut uinsi battu dès son entrée en lice.

L'on comprend que M. Grémillet père soit peu satisfait de s'être déplacé pour cela 1

̃̃ j ̃' ̃ Omnium.^ Simple messieurs, liuitièmes de finale Goutel b. ̃ Robillard, 6-3, 9-7; G. Dldion-Raspoiil b. Lhuillier, 6-3, 3-6, '6-4; Bercer b. Laisné, 6-2, 6-1; Cartes b. G Lajrarde, 6-1, 6-4; Lenerliney b. A. Ruel, 6-8, 6-1, 6-3; A. Blàncard b. Niereiiberjcr, 6-3, 6-2; Colin b. Hue, 0-4, 8-6; Grollet b. Blache, 6-3, 7-5.

Simple dames, huitièmes de finale Mlle C. Diot b..Mme- Potet, «-«, 6-3, 6-4; Mlle G. Jarre b. Mlle Harrlsson, 6-4, 6-2; MUe Y. Lompre b. Mme Weill, 6-3, 0-1; Mlle Gallay b. Mlle Lemasson, 6-0, 6.-0;. Mlle -S.Veber b. Mlle E. Moch, 6-2, 6-2; Mme Beuin b. Mlle M; ïhcllier de La Neuville, 6-4,' 6-2;. Mme' Soulage. b. Mme C. Aubert, 0-2, 6-0.

Double messleur? huitièmes de finale Blancard-Giffard b. MinlsclouVallet, 7-5, 6-2; Renevey-Custer b. Jourde-Jampel-Netter, 0-3, 0-4 Bugier-Jarry b. G. Didton-Rasponl-J. Sahut, -6-2, 6-3; Carles-Bea'uvalet b. Ainbert-Salles, 2-6, «-2, 6- i.

Double dames, huitièmes de finale Mlle de La Brosse-Mile Y. Lompre b. Mlle Bée-Mile Ponson, 6-1, 6-1. Double mixtes, quarts de finale Mlle de Venloo-Peaucôup b. Mme Sacho-Ph. Amelln, 6-3, 6-2; Mme PotetCarles b. Mme et M. E. Mourre, 7-5, 6-1

Convocations pour aujourd'hui à la CroK-Catelan ̃

10 heures: Goutel c. Didion-Raspoul, Berger c. Caries, Lengliney c. Blancard, Grollet c. Colin ou Hué, Mme Soulage c. Mlle Bedin, Mlle Y. Lompre c. Mme Oallay.

11 heures: Mme J. Haumont R. Sainte-Jarre Garnot c. Mme Potet-Carles.

13 heures Mlle- S. vober c. Mllo G. ,Jarro.v

̃15 heures Mme l'Otet-Mme Bâcle e. Mllii Marcellin-MUe Sachot, iMme Bedin Mlle Mennesson c. Mlle Sallandrouze-Mlle Galluy, Mlle G. MitchellWlle S. Morane c. Mlle de La BrosseMlle Y..Lompre, Mme de Venloo-Peaucoup e. Mme M. Weill-S'iliu!

17 heures demi-finale double dames' (haut du tableau).

18 heures Blancard-Giffard ou Carles-Beauvallet c. Buiigener-Donlol demi-rinale double dames (bas du tableau) Berg-er-Laporte c. Jarry-Bugier.

19 heures Baudier-de Bussac ou Renevey-Custer c. Berger-Lapone ou Dugier-Jarry.

Espérance

Simple messteurs, aeuxiome tour Stoloff b. J. Verzieux, -1-6, 7-5, 6-1; Bruyez b. G. Lefebvre-Dibon, 6-4. 6-8,

Huitièmes de finale Schneiter b. Bonnefous, 6-0, 4-6, 6-i; Chatel b. Tricou, C-4, 2-2 (aband.); Bruyez b. Mlquelard, 6-3, 6-1; R. Iribarne h. Leroy-Dive, 7-5, 6-2; Iemetti b. Carcussone, 2-6, 6-4, 6-2; Woll b. L. V. Chevallier, 6-3, 6-2; R. Jamain b. StolotT,

Simple dames, deuxième tour Mme Ph. Morel-Deville b. Mme Rivière, 6-0, 10-8; Mme Cor b. Mme Cadel. 9-7,

Huitièmes de finale Mlle nebfEuf b. Mlle J. Perrenot, 6- 6-t; Milv Matalon b. Mlle Gulnand. 9-7, 6-2; Mme Ph. Morel-Deville b. Mi'o Marquas, 6-3. 4-6.' 6--S: Mlle R. Veber b. Mme Challar.d, 6-3, 6-3; Mme Pollack b. Mlle C. Tardan, 6-3, 6-i; Mlle J. Po-isoney b. Mme Haye, 8-.1, C- Mlle Foy b. Mmo Bein, 11-0, 6-2; Mlle Valat b. Mme Cor, 9-7, 6-2.

Double messieurs, premier tour Waitz Fermaninn b. Robineau-Rozes, 2-6, 6-3, 6-3; Renou-H. Mahot b. Stockdalc-Millet, 8-6. 8-C.

Deuxiftmt: tour Strauss-Rival 1). A. Schneitcr-F. Thienot, 7-5, 6-3; ChatelTricbu b. Mrozowiki-Calvino, 6-0, 6-4; l'rugrler-Verzleux b. Waltz-Fermauian, 6-2, -6-2 Carrone-Delevaque b. Iribanie-Cazamayou, 6-4, 6-4; Cuzal-Richard b Gaussorg-ues'-BIzalion, 6-1, 6-2; Tibei-ghoin-Tourret b. Chevret-de La Gulllonniore. 2-6, 0-2, 6-3. Double mixte, premier tour M+lc S. Morane-Leroy-Dives b. Mme VolfinCaren, 0-3, 6-3; Mlle de boyrie-Chevret h. Mme et M. Leygonie. 6-0, 6-4. Huitièmes de finale Mme MeuleyStrauss b. Mlle R. Veber-Her.vnjrfet, 3-6. 7-5, 6-2; Mlle Bossoney-M. Boutin b. Mme et M. Magne, 6-3, 6-4; Mlle S. Moranc-Le Roy-Dives b. Mme Dessalr-Gautier, 3-6, 6-2, 6-3; Mlle N. l'oy-Couvreur' b..Mme et M. Ardoln.

Les convocations pour aujourd'hui à la Crotx-C.atelan

10 heures:- Jamaln c. Schneiter, Chatel c. R. Martin ou Touret, Bruyez c. Iribarne, Woll c. lemetti, Mlle Debœuf c. 'MUe-Matnlon.

12 heures Tiberglen-Touret c. G. Lefebvre-Dibon-Callou.

14 heures aille R. Veber c. Mlle Bossonney.

I i h..30 Mme Pollack c..Mme Pn Morel-Deville, Mlle -N.' Foy c. Mlle Valat

15. heures: Mme Rivière-Mile Bernard, c. Mme Guinand-MUe Marques. 16 heures Mme Tandonnet-Mlle Tardan c. Mlle Valat-Mlle Debœuf, Mlle Matalon-Mme Galtier c. Mlle BossoneyMlle Nicolardût ou Mme Pillois-Mme Morel-Deville, Mme Bein-Mme Mizen c. Mme Ésperonnler-Mme Barasc ou Mmes A. et A. M. Mautin..

17 heures Chatet-Tricoux c. Frug-ier-Vc.rz.ieux ou Waltz Fermantan, me Meuloy-Strauss c. Mme M.agrie-Magne ou. Mlle Bossoney-Boutin. Mme Nlcolanlot-Renclcer c. M. et Mine"Esperonnier ou Mme- Challand-R. Martin. 18 h 30 Mlle l'errenol-Carcassonne on Mut Cor-Gaillard c. MUe S. Mo. rane-Le Roy-Dives, Mlle N. Foy-Con- 0 vreur c. Mme de Boyrie-Chevret ou Mlle Taskin-G. Lel'ebvre-Dibon, Renou Mahot c. Rival-Strauss.

A TU. S. des Assurahces Convocations pour demain samedi 9 heures docteur Galland, Tottereau, J. Briard, Chavet, Vuillermann, Vaclieresse, R. Gassier. Reguault, Letourneur, Rosier, J. Pollack, Maillet, Sommelet, Mouton, Jany, Gaillard, Marcel Didier. »,

9 h. 45 J Braud, R. Brun, Methlln, Léonoris, Dubois', baron H. Park, Lagarde, D. Park, Beressl, J. Fontaine, Prot, L. Brun, Legrris.

10 h. 30: Parfenov-Durormontcil, Dostert-Bourdeix, Favereau-Saye, FrlshCaradeau, Pllsson-P. Cailleaux. 11 1 h. 30 R Charmurd, Gravis, Berthullet, Goy. V, V il! docteur, Lebreton. J. Mèyr.-i-, Katz, docteur Allard, Lebon, Labbé, Baclieville.

L'ERREUR DE LA MUNICIPALITE DE BORDEAUX

Le Stade Municipal de Bordeaux privé de piste de course à pied est un stade imparfait .1

On a beaucoup parlé, ces temps derniers, à propos de la Coupe du Monde, du Stade de Bordeaux. Inaugurée le 12 juin 1938, par une .véritable bataille entre les Brésiliens et les' Tchèques, cette somptueuse arène, qui a coûté 23 millions, peut recevoir 22.760 spectateurs.

On n'y a rien négligé pour faire grand, beau et riche une altière tour en ciment armé décore l'une des portes, et l'entrée monumentale, elle, s'enorgueillit d'un arc en plein cintre de dix-neuf mètres de haut. Dans la cour d'accès, des vases en mosaïque montent, socle complis, jusqu'à 5 m. 40, ce qui, en fait de poterie, doit constituer une manière de record. On n'a lésiné ni sur la décoration, ni sur le ciment. Il n'y manque qu'une chose, la piste de course à pied. Ce qui est un comble

On présentera au public de Bordeaux des cyclistes professionnels, des footballeurs de même farine on a tout étudié pour le faire dans les meilleures conditions possibles, mais on n'a pas prévu le moindre anneau de cendrée, que la plus modeste piste concède aux fervents du sport pur qu'est par excellence l'athlétisnie, un droit de cité dans la construction municipale.

De cette façon, Bordeaux a dépassé Marseille. Celle-ci, en créant son stadium, l'avait doté d'une piste trop étroite pour qu'on pût y organiser des réunions de grande envergure. Mais, ut de même, il y avait une piste.

Nous imaginons que les Bordelais ont tout de même dû penser à faire une piste. Un architecte, même .municipal, n'est pas distrait à ce point. Ils y ont songé, mais se sont retenus à temps.

Une piste, de course « pied dans un stade-vélodrome ? Pas si bête, aura fait observer le sage du con- seil municipal. Petits imprudents I Vous ne savez donc pas Ii quoi, ça ua vous entraîner ? A la piste en soi, il la rigueur, je ne verrais pas d'objection, mais vous verrez que, du coup, des jeunes gens voudront courir dessus. On m'assure qu'ils'

Demain à Dieppe: 0 "1

Début du Championnat International de France amateurs

Le championnat international de 1 France Amateurs sera disputé demain samedi, dimanche et mardi prochain, sur le parcours du golf de Dieppe. J. Léglise, tenant du titre, aura, dès le premier tour, un adversaire dangereux en la personne du champion allemand von Beckenrath.

Citons, d'autre part, côté français Michel Carlhlan, A. Gobert, A.-M. Vaoliano, H. de Filiquier, J. Bourin, Y. Le Quellec, G. de Rothschild.

Côté étranger A. Bentley, Longhurst, finaliste l'année dernière, l'Américain Dunkelberger, Crosthwaite, général Critchlcy, etc.

Voici l'ordre des départs demain samedi, 9 h. 30, 1"" tour A. Le Quellec c. E.-B. Hall.

2' tour, 14 11. 30 A. Le Quellec ou Hall c. M. Carlhian 9 h. 35, LecoqVallon c. A. Gobert 9 h. 40, J.-P. Caron c. Lithiby 9 h. 45, J.-B. Love c. comte du Bouzet 9 h. 50, H.-K. Snively c. Il. Lalou 9 Il. 55, A. Bentley c. comte de Saint-Sauveur 10 h., P. Taylor c. B.-H. Garrisson 10 h. 5, G. Peshalles c. H. V. Wolfson

1/ ACTIVITE SU Aujourd'hui à Saint-Cloud Prix Femina

Le Prix Femina, fondé par M. Pierre Lafitte, sera disputé aujourd'hui sur le parcours de Saint-CIoud.

Rappelons s que cette importante épreuve réunira comme d'habitude toutes les meilleures joueuses françaises. H. Bertrand-M. Dallemagne vainqueurs à Fourqueux dans le Prix Dunlop

Les épreuves organisées a "occasion du Jubilé Dunlop ont débuté hier a Fourqueux. Signalons la belle victoire du jeune Henry Bertrand 15 ans

fils du sympathique président du Golf

de Saint-Germain, qui triompha en compagnie de Dallemagne avec le beau score de 61.

Voici les résultats

Amateurs-professioimels, 4 balles, meilleure balle. -r- 1.. Henry BertrandM. Dallemagne, 61 2. Audemars-Lafitte, 63 3. P. Bouchayer-J. B. Loth, 65 S. Eonnet-A. Boomer, 65 Pourtalé-Lamourette, 65 Bouillet-A. Massy, 65 7. Henrion-Bérard, 66 comte de Galard-Béarn-P. Hirigoyen, 66 Salles-M. Verdier, 66 10. BaumanR. Golias, 67 N. Eliopoulos-Saubaber, 67 J. Bourin-A. Caudron, 67 Y. Le Quellec-Garayalde, 67 Ulmann-Piérre Hausséguy, 67 comte de Ganay-Ch. Hirigoyen, 67 16. Sudreau-Pélissier, 68 A. Boucheron-J. Gassiat, 68 Prieur-P. Hansséguy, 68 M. PonsJunca, 68 20. Vernier-P. Gash, 69 Dart-Handerson, 69 Faure-Alsuguren, 69 M. Lindon-J. B. Ado, 69 24. A. d'Ormesson-Duchêne, 70 comte de Demandolx-Dedons-A. Gbintran, 70; Pearson-Maisonave, 70 L. Murat-F. Cavalo, 70 28. T5revier-A. Loth, 71 J. P, Boucheron-A. Boyer, 71 Boulanger-Mourguiart, 71 J. Rheims-H. Gassiat, 71 Nassif-Mlle Le Derff, 71 Chappie-Botcazou, 71 Irvine Edwards-Barrau, 71 Ïorrés-CardenasCintrat. 71.

35. Mure-Jathière, 72 LichteuauerDitail, 72 37. Gardé-Glemo, 73 Goldinan-Bombédiac, 73 Lacroix-Daiigé, 73 40. Larnaudie-J. Orengo, 74 J. Mahë-H. Daugé, 74 Vincent-Etche- verria, 74 43. Gautier-Bouley, 75 44. Michal-R. Loth, 77 Laffont-J. Hirigoyen, 77 46. Lemalc-J. Bombediac, 78 47. Dernis-Cavnlo senior, 79. Dames-professionnels, greensome. 1. Mme GuggenlieinirM. Dallemagnc, 65 1/2 2. Mme de Maret-Garayalde, 66 3. Mme Gbbin-Daudé-Lamourette, 67 Mme de Ricci-Verdier, 67 Mme ïiano-SI. Philippon, 67 6. Mme Auban-F. Cavalo, 67 1/2 7. Mme Luchard-J. B. Loth, 68 Mme RenaudotMourguiart, 68 9. Mme Il. Fabry-J. Hirigoven, 69 1/2 10. Mme G. Johnston-H." Loth, 70 Mme GoldsclmtidtH. Gassiat, 70 Mlle de RotbschildBérard, 70 Mme Gautrat-P. Hirigoyen, 70 Mme Mure-Pierre Hausséguy, 70 15. Mme de Quérézieux-Gqlias, 70 1/2 16. Mille KummerTP. Alsuguren, 71 xflle Jouin-J. Gassiat, 71 baronne

mettent, pour cela, des chaussures avec des clous longs comme le petit doigt l Ils vont nous abîmer notre belle piste cycliste en ciment et ça va sûrement déplaire aux coureurs à bicyclette qui, eux, méritent de la considération, car on les paie fort cher, vous en saurez bientôt quelque chose. Et s'il n'y avait que cela 1 Ils vont marcher sur notre pelouse, jeter leur disque, leur poids, un tas d'engins qui vont meurtrir notre gazon 1 Si votre turf n'est pas irréprochable, vous découragerez nos rugbymen il n'y a pas plus susceptiùles que ces gens-là ils passent aux treize pour un oui, pour un non. Est-ce cela que vous voulez ? Non, n'est-ce pas? Alors ? D'autre part, il y a le football! Avec une herbe de deuxième zone, vous ne pourrez jamais espérer avoir à Bordeaux un beau, un vrai club de professionnels, avec des joueurs étrangers, des gaillards qu'on achète et qu'on naturalise Vous serez obligés de vous contenter de joueurs français, des garçons de la région sans doute, et peut-être même, pensez-y, des amateurs. de pauvres bougres d'amateurs Ça ne fait pas sérieux 1 Ce n'est tout de même pas rccla que vous voulez, voyons Ce n'est pas pour cela qu'on a fait vingt-trois millions de dépenses et acheté des pots en céramique de cinq mètres quarante Et puis quoi? Ne renversez' pas les rôles I Les étrangers sur le terrain, les Bordelais dans les tribunes Réfléchissez que moins il Il aura de sportifs pratiquants parmi nos Girondins, plus ça nous fera de clients sur nos beaux gradins. Il faut savoir ce qu'on veut, que diable I Croyez-moi pas de piste, ça coupe court à tout 1

Et voila pourquoi le prétendu stade de Bordeaux n'est, en fait, qu'un cirque.

Un cirque qui, dans sa solidité que nous souhaitons impérissable, se dressera comme un éternel monumcnt de l'incompréhension sportive des pouvoirs publics de notre pays.

Jean Dauven.

10 h. 10, M. Scott c. H. Fabry 10 h. 15, d'Arcy Rutherford c. G. Halphen 10 h. 20, \V. H. Halstcad e. Dr Me Carthy 10 h. 25, J.-H. Hughes c. H. Spencer 10 h. 30, H. Longhurst c. P. Shepherd Cross 10 h. 35, J. W. Bealc c. C. G. W. Harrison 10 h. 40, Barry Ryan c. Crosthwaite 10 h. 45, comte C. de Gramont c. W. \V. Parsons 10 h. 50, J. Léglise c. von Beckenrath 10 h. 55, A.-D. Gar- row c. Gl Critchlcy Il heures, J. F. Davidson c. G. Glen.

14 h. 35, G. Chabrier c. J. Irvine Edwards 14 h. 40, R. Dunkelberger c. baron G. de Waldncr 14 h. 15, I. Wilson Young c. Hally Smith 14 h. 50, B. Fussien c. R. Thion de la Chaume 14 h. 55, A.-V. Pauchct c. J. E. Harding 15 heures, A. M. Valiano c. H. de Filiquier 15 h. 5, J. Bcurin c. A. Sirot 15 h. 10, 1. S. Brown c. F. Vagliano 15 h. 15, N.-V. Bcrtram c. G. de Jongh 15 h. 20, A. M. Gibbs c. G. de Rothschild 15 h. 25, H. R. Buckland c. Y. Le Quellec 15 h. 30, H. L. Archibaîd c. P. Clive 15 b. 35, Lindsay Riley c. Robinson Murray.

PR LES MRBUS d'Armela-Ditail, 71 Mille WattinneP. Gash, 71 20. Mme Piat-P. Bombédiac 71 1/2 21. Mme Ducas-Ch. Hirigoyen, 72 Mme Billette-P. Ducliêne. 72 Mme Languereau-M. Cavalo, 72 comtesse de Demandolx Dedons-A. Ghintran, 72 Mme Field-J. B. Ado, 72 20. Mme Semelaigne-P. Hausséguy, 72 1/2 27. Mme Mayer-A. Loth. 73 Mlle Plcault-J. Bombédiac, 73 Mme Lambiotte-M. Botcazou, 7. 30. Mme Ruffard-A Mussv, 73 1/2 31. Mme Laguerre-P. Boomer, 74 32. Mille Perlès-A. Boyer, 74 1/2 33. Mme LowJathières, 75 1/2 Mme WoodwardPélissier. 75 1/2 35. Mme Ader-P. Cintrât, 76.

36. Baronne Davillers-Fournier, 77 Mme Bader-Cavalo senior. 77 38. Mme Mme G. Bouchayer-J. Orengo, 80 1/2 39. Mme P. Bouchaycr-Maisonave, 81 40. Mme Delasalle-Mlle Le Derff, 84. Au Golf de Saint-Cloud

Eliminatoires (le la Coupe Steen. Ordre des départs pour demain samedi 25 juin:

8 h. 30 A. Goldet, .T. Helleu 8 h. 35 A. Weil-Mallez, R. Aimond 8 h. 40 A. Perrot, M. J. Sachs 8 h. 45 M. Semelaigne, docteur Lignac 8 h..50. -H. Saillard, Ph. Beurdeley.

9 heures Jack Mahé, M. Monteux 9 h. 5 M. de Raueh, H. Grumvald !1 h. 10 R. George, comte de Pardieu 9 h. 15 comte B. de Laubespin, R. Clause 9 h. 20 P. Darrigol, J. Decloux 9 h. 25 Cl. Boissaye, L. Brisson 9 h. 30 Th. H. Claffey, M. Delesallc.

9 h. 40 C. Dufaure, F. Goudard 9 h. 45 comte H. de Guichen P. Xan Ophem 9 h. 50 G. Desouchcs, A. C. Jameson 10 heures H. Fabry, A. Strauss.

10 h. 10 Vicomte de Dampierre, G. de Maret 10 h. 15 R. Lacroix, R. Barbier 10 h. 20 R. Fahry, P. Cliadourne 10 h. 25 M. Quennouelle, comte Czaykowski.

10 h. 30 Ph. Coquillon, A. Gritton 10 h, 40 W. Novitsky, comte H. de Galard-Béaril 10 h. 45 D. Veruier, M. Deiigny 10 h. 50 R. Chatenay,, M. Mayer.

11 heures R. Glandaz, H. Clément; 11 h. 5 S. Michel, C. Ajderol Nanoveano 11 h. 10 L. Nassif, Ph. Hoppeuot 11 h. 15 W. W. Parsons, F. Erembert ;-ll h. 20 S. Zarifi, J. P. Majorel 11 h. 25 B. Jac, S. Eonuet. 11 h. 30 E. Sorbe H. Marquisan 11 h. 40 J. de PeyeriinholT, Y. Brunon 11 h. 45 M. Doye, Jacques Frpnck 11 h. 50 J. Dubois, R. Caël.

12 heures M. Vincent, B. Berthet 12 h. 5 Ed. Floersheim, J. Nahman 12 h. 10 H. Briscoe, R. Gautier 12 h. 15 Jacob Frank, R. Boulot 12 li. 20 H. Kahnhcimer. R. Vilgrain 12 h. 30 J. Fabry, H. Ranieri 12 heures 35 P. Bellocq, G. Libert 12 h. 40: C. E. Lichtenauer, M. Guggenheim 12 h. 45 L. Lepoivre, G. Straus-Lccmans.

Au Golf de Marly

Prix du jeudi 1. Jean Champagne,

E POLO

«ROUBAIX» et

« COSMOPOUTANS » joueront, cet après-midi à 17 heures, la finale de la COUPE DU « FIGARO » Trois rencontres fort intéressantes ont été disputées hier au Polo de Paris, aux fins de désigner l'équipe qui, cet après-midi, à 17 heures, Jouera la finale de la Coupe du « Figaro » contre le team « Roubaix ».

Les « Carpinchos ont d'abord battu les « Léopards par 2 goals à 1 1/2; puis les « Cosmopolitans » furent vainqueurs des « Léopards » par 4 buts 1/2 à 0. Enfin, les « Carpinchos durent à leur tour s'incliner devant les « Cosmopolitans », par 3 buts 1/2 à 1.

Ainsi, cet après-midi, « Roubaix » et « Cosmopolitans » seront aux prises pour l'ultime rencontre, qui promet un débat acharné.

Rappelons la composition de des deux équipes

« ROUBAIX (couleur: Jaune et bleu) l*li. Diivcy, A. Uallant, J. Mazurel et H. Couturié.

« COSMOPOLITANS » (couleur: brun) J. Batrerc, prlncn Omar Hallm, cap. Hanmer, baron Pacquement.

AVIRON

« L'Entente » à Francfort Le « Huit » de l'Entente Parisienne sera oppose, après demain dimanche à Francfort, à de très bonnes formations allemandes, danoises, suisses et yougoslaves.

Par suite du départ de Hipouroux, l'équipage parisien a été modifié; il rainera dans la formation suivante Lecuirot, Marret, Rigaux, Demarquay, Sallet, Glanait, Levrat et Deveze.

Le noir américain Joë Louis, vainqueur de l'Allemand Max Schmelling par k.-o. en 2 m. 4 s., conserve son titre de champion du monde des poids lourds.

GOLF

Demain à Reims

le Grand Prix de l'A. C. France

Quelques jours, à peine, nous séparent de l'important et annuel événement qui groupera, pour le Grand Prix International de l'Automobile Club de France, les voitures les plus rapides, selon la formule en vigueur pour les années 1938-39 et 41).

Ces voitures, nous les connaissons pour les avoir vues, déjà, en différentes compétitions, développer leurs moyens. Si certaines d'entre elles telles les Alfa Roméo et les Auto Unions ont besoin d'une dernière mise au point qui s'effectue actuellement, les autres, et notamment les Mercedes qui, à leur première prise de contact à Reims, ont pulvérisé le record avec 180 km de moyenne, nous laissent envisager à quel beau spectacle nous convie, le 3 juillet, sur le circuit de Gueux, l'A. C. de France au départ de son Grand Prix, qui sera donné 14 h. 30.

M. F. GREEN

quitte la direction des huiles Castrol Nous avons le départ prochain de M. Fi îck E. Green, l'actuel administrateur général, directeur de la Société des huiles Castrol, qui prendra sa retraite après une vie de travail qui fut un bel exemple de labeur consciencieux et dévoué.

Nous avons connu M. F. E. Green alors qu'en 1921, il créait, à Paris, lu Société française des huiles Castrol, à peine connue chez nous. Nous avons assisté, il y a quelques années, à l'aboutissement de son effort, fruit de sa -persévérante actjon, dan> l'inauguration de ces usines modèles qu'il a fait construire à Courbevoie et qui assurent toute la production française. Toute l'activité de M. Green se trouve résumée dans ce succès.

Arrivé, aujourd'hui, au ̃ terme de son mandat, il se retire. Son départ ne laissera que des regrets parmi ceux qui l'approchèrent et purent l'apprécier, parmi le personnel de l'usine qui lui était très attaclic et parmi ceux qui, désormais, assureront la direction de l'importante entreprise M. Maîlloeheau, administrateur-directeur général, dont l'autorité reconnue saura développer et amplifier l'œuvre actuelle et MM. Barnes et Lipiels, administrateurs-directeurs.

Nous souhaitons à M. F. E. Grcen une retraite paisible que nous aurions pensée plus tardive.

Ce matin à 10 heures CONCOURS d'ELEGANCE AU TROCADERO

Le concours d'élégance en automobile, organisé chaque année par nos confrères « Feniina » et «l'Intransigeant » et créé par M. Pierre Lafitte, aura lieu ce matin à 10 h. Cette manifestation mondaine abandonne les ombrages du Jardin d'acclimatation sous lesquels elle se déroulait précédemment. La préseiitatioii des voitures aura lien, en effet, dans les jardins du nouveau Trocadt-io, s nus la grande terrasse. Dans ce cadre moderne, on verra défiler ces voitures somptueuses, conduites par les élégantes parisiennes qui font le renom de la. couture, de la mode et de l'automobile de France.

De nombreuses voitures figurent dans les différentes catégories.

10 m. du trou du 13° 2. François, 2i)tim. du trou du 13e; 3.Monïeux, Pardo, Reichenbach dans le trou'du 12" G. Bénédictus, 0 m. 5 du trou du V2C 7. Prieur, 0 m. 10 du trou du 12" 8. Weinberg, 0 m. 15 du trou du 12e 9..Tu n mer, 5 m. du trou du V2°, 10- B. Mure, 7 m. du trou du 12*

LA VOILE

Une rencontre

« Marine Américaine » Cercle de la Voile de Paris

A l'occasion de la présence, en France des croiseurs américains Neio York, Texas et Wyoming, les dirigeants de In Société des Régates du Havre organiseront, demain et dimanche, au Havre, la première régate France-Amérique, par équipes, disputée en France.

Chacun des bateaux de guerre américains portant, à son bord, un yacht de course de la série des Stars, ces voiliers seront opposés a trois des meilleurs bateaux de la série appartenant au C. V. Paris.

Le classement de ce match, qui sera couru en trois manches, sera obtenu par addition de points

L'équipe du C. V. l'aris a été ainsi formée J.T. Herbulot et R. Blondont sur Tramontane J. et Mme J. Dracger sur Irrintzina J. Pcytcl et R. de Montant sur Sic IV,

CONCOURS HIPPIQUE Le Tournoi de Bordeaux Les officiers ont pris part au Prix de l'Ourcq pour chevaux n'ayant pas gagné 1.000 francs.

Voici les résultats

1. Grillon, lieutenant Darizcureu 2. Mingrclien, capitaine Divigneau 3. Rossignol, lieutenant de Nadaillac 4. Enjôleur, au même 5. Coquette. lieutenant Bérot (i. Ilot, lieutenant Gouachou. 13 partants.

Le Prix des Amazoues a été enlevé par Mlle de 'filière, sur Marrakech 2. Kattsu, comtesse G. de Chabanncs il. Oslou, Mlle de Tilièrc I. Hallebarde, Mlle de 'filière, et Mlle de la Pichoiserie, comtesse G. de Chabannes. Au début de l'après-midi, le Prix des Ecoles avait eu pour vainqueurs 1. Mucor, à M. Duport ï. Diane VII, à M. Sereys 3. Frolic's de France, à M. Daney 5.

SPORTS SCOLAIRES Omnès, de l'Ecole normale d'Auteuil

gagne le Triathlon Scolaire Compétition d'athlétisme complet sur trois épreuves, le Triathlon du Stade Français est revenu au [ normalien Omnès qui, d'ailleurs, partait favori. Il a triomphe aisément, battant de loin le record et son plus proche adversaisc de 30» points En juuiors, la victoire de Laurc fut beaucoup plus difficilement acquise sut Sallcbert qui termine à moins de 10 points.

Seniors 1. Omnès, 1.804 pts (ancien record 1.738 par Régnier) 2. Billy (Bréguet), 1.5B7 3. Hilland, 1.53Ï 4. De Benoist.

Juniors 1. Lauru (Janson), 1.5G7,25 (ancien record, 1.5-18 par Maloubicr) 2. Sallcbert (Janson), 1.558,50 3. Augeard 4. Lunckiewicz.

AUTOMOBILE

Informons ceux qui voudront assister à ce grand event qu'on ne peut se procurer, dès maintenant, â la commission sportive de l'Automobile Club de France, 8, place de la Concorde, Paris, des places de tribunes et des entrées au pesage pour le circuit do Reims.

Ces billets sont en vente aux prix suivants Ravitaillements, la place 100 francs Tribunes couvertes, la place 60 francs Tribunes découvertes, la place, 40 frs Gradins du pesage, lu place 25 frs Enceinte du pesage, la place 20 frs Garage, par voiture 15 frs.

Tous les t.illets d'entrée sont revêtus de timbres de la souscription pour le Fonds de Course Automobile, dont le montant, fixé à 1 franc, devra être ajouté au prix du billet.

Le Rallye du Cercle des Hattemer

Le rallye du Cercle des Hattemer qui, chaque année, réunit de nombreux participants, aura lieu dimanche prochain, 2(i juin, pour la septième fois.

Les concurrents partiront toujours de la place de la Concorde, le dimanche matin, vers 9 h. 30, Après s'être procurés avec ingéniosité, quelques objets disséminés dans Paris, ils devront, par un Itinéraire secret, rejoindre une localité de Seine-et-Oise où se trouvera le premier contrôle. Ils y recevront une enveloppe cachetée contenant la liste d'un certain nombre d'objets hétérocïilc's à se procurer sur place. La même opération aura lieu ensuite dans un pays voisin, et un déjeuner clôturera le programme de la matinée. L'après-midi, un gymkhana automobile sera disputé.

~s~M~