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Titre : Figaro : journal non politique

Éditeur : Figaro (Paris)

Date d'édition : 1938-02-11

Contributeur : Villemessant, Hippolyte de (1810-1879). Directeur de publication

Contributeur : Jouvin, Benoît (1810-1886). Directeur de publication

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34355551z

Notice du catalogue : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb34355551z/date

Type : texte

Type : publication en série imprimée

Langue : français

Format : Nombre total de vues : 164718

Description : 11 février 1938

Description : 1938/02/11 (Numéro 42).

Description : Collection numérique : BIPFPIG63

Description : Collection numérique : BIPFPIG69

Description : Collection numérique : Arts de la marionnette

Description : Collection numérique : Commun Patrimoine: bibliothèque numérique du réseau des médiathèques de Plaine commune

Description : Collection numérique : La Commune de Paris

Description : Collection numérique : France-Brésil

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k4097628

Source : Bibliothèque nationale de France

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 15/10/2007

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Cause

commune Un vieux fonds de sé-

\§§|[? rieux artisanal et paysan

^^pl a résisté chez M. Dala-

diâ^" dier. Ce sérieux dit que pour bien labourer, il faut un bon soc, et que le pain nourrissant se fait d'honnête farine au prix de la sueur, non de verbiage sur le pas de la porte. Rien n'est moins original d'apparence. Et il n'y a pas de quoi bouleverser les bibliothèques. Mais quand ce vieux fonds de sérieux supporte le souci de la défense du pays, dans les circonstances où nous vivons, on peut estimer très utile la leçon qui en sort.

Du moins nous rappelle-t-elle que la nation est autre chose qu'une perpétuelle opposition d'intérêts, un concours de marchandages, un commerce de chicanes. La nation n'est rien qu'une métaphore si elle n'assure pas son indépendance ou du moins la liberté de ses relations à l'égard de ceux qui la priveraient de. son auto- nomie, de son bien-être et finalement de sa conscience, en l'assujétissant. Sur ce plan qui est pratique et modeste, mais sûr, et qui laisse à chacun toute licence d'imaginer une société plus proche de la perfection, les problèmes de notre existence immédiate deviennent simples, bien que pénibles. Je ne pense pas que de grandes différences de bonne ou de mauvaise volonté existent parmi les gens qui correspondent à la moyenne saine des Français. Je ne pense pas, non plus, qu'il y ait de grandes différences de jugement à l'égard des réalités ou de compréhension des exigences d'un ben travail. 1

Mais la communauté, qui existe, de bonne volonté, de jugement et de compréhension ne peut jouer qu'en vue d'une œuvre qui soit définie et démontrée comme l'intérêt général. Elle ne peut jouer par rapport à un marchandage d'intérêts particuliers qui ne permet pas même d'arbitrage réel puisqu'il n'a de sanction que le refus des uns ou des autres de faire v tourner la machine.

f La loi doit être faite pour un intéi rêt général entendu de tous. Et la loi faite, il faut faire cesser cette course aux demandes de faveurs, d'exceptions et de modifications.' Bientôt, le président du Conseil devra arbitrer les disputes de chaque chauffeur de taxi avec ses clients.

Le malaisé serait de définir l'intérêt général entendu de tous ? Allons donc Le malaisé ou plutôt l'impossible est de faire que l'intérêt particulier des uns, favorisé par telle nonchalance, manœuvre, pression ou habileté de savoir-faire, apparaisse comme l'intérêt général des autres. Les difficultés sociales, les difficultés financières et monétaires sont essentiellement d'intérêt général. Mais l'intérêt général ne se dégage que si l'on élève le débat à un certain niveau de simplification et d'autorité qui ne marchande pas avec la cause commune. Autrement, la solidarité nationale n'a prise sur ces difficultés elle est noyée et dissoute en elles. Les risques évidents que nous courons tous par la menace de guerre qui pèse sur l'Europe, nous ramènent à la notion qu'il faut du solide pour résister au dur. Toute la population le comprend déjà. Elle le comprendra mieux le jour où la politique se durcira elle-même pour imposer la véritable égalité source de la véritable confiance l'égalité devant le devoir. LUCIEN ROMIER.

Le Directeur des Beaux-Arts va « expertiser »

la Bibliothèque de l'Institut Pour savoir si les réparations d'urgence. demandées en 1934 sont toujours nécessaires

Une brusque averse tomba du plafond de la Bibliothèque de l'Institut de France, mettant hors d'usage de nombreux livres précieux. L'infiltration rendit précaire la résistance de toute la maçonnerie de couverture au point que l'architecte crut devoir envoyer au ministre une :demande de réparations d'urgence. Le conservateur prit les mesures correspondantes et fit enlever les livres des rayons supérieurs. Cela se passait en 1934. Les réparations d'urgence n'ont pas encore été faites. Les crédits manquaient, on s'en doute.

Or, voici du nouveau jeudi prochain, 17 février 1938, un expert désigné par le ministre, et qui sera le directeur des Beaux-Arts en personne, effectuera une inspection officielle des lieux. sinistrés. Mesure tardive, mais honneur sans exemple dans l'histoire de l'Institut.

Les bibliothécaires offriront à leur hôte un spectacle peu banal. Ils lui feront voir, non seulement les poutres pourries, mais encore les documents rares qui, depuis quinze mois, ne peuvent plus être classés. faute de classeurs. Ils lui feront constater que la salle de travail. n'est pas éclairée.

Au passage le directeur des Beaux- Arts jugera, d'après une montagne de livres pourris, le dommage que peut pro- duire une simple gouttière. Il verra. Mais réservons-lui quelques surprises. Après cette visite, l'envoyé ministériel qui, par avance, a déjà promis des crédits éprouvera plutôt que le regret de son premier geste, le désir de le faire encore plus large, en se rappelant que cette Bibliothèque en péril vient, par le volume de ses trésors, tout de suite après: la Nationale ».

EN ROUMANIE E

UN NOUVEAU CABINET SUCCEDE AU MINI STERE GOGA DEMISSIONNAIRE Présidé par le Patriarche Miron Cristea, il groupe tous les anciens Présidents du Conseil, à l'exception de MM. Maniu et Goya

Bucarest, 10 février. Le cabinet Coga a donné sa démission. Sa chute a été déterminée, à la fois par les difficultés rencontrées dans le domaine de la politique intérieure et par les réactions que son action extérieure a suscitées dans une partie de l'opinion roumaine.

L'incertitude qui régnait depuis l'accession au pouvoir du parti'raciste national-chrétien, le marasme croissant des affaires, à la suite des mesures contre les juifs, l'ampleur prise par le mouvement extrémiste de droite (Garde de fer) et; surtout, les incidents sanglants de la campagne électorale avaient créé un état de grave tension dans le pays.

Le gouvernement commençait à être débordé* D'autre part, ce gouvernement, dont le parti avait obtenu à peine neuf pour cent des suffrages au scrutin du 20 décembre, n'avait pu. s'assurer que le concours des groupes minoritaires allemands et hongrois pour les élections générales du 2 mars (Huvas.) .•̃

Le nouveau goMVërnemeïtt

Le nouveau cabinet roumain comprend tous Jes anciens présidents du Conseil, à l'exception de MM. Goya et Maniu, qui n'ont pas accepter d'entrer dans cette combinaison dite de «̃' concentration nationale ». H est constitué comme suit

Présidence du Conseil M. Miron LA PRINCESSE MARY.

sanic Sv Hoi d'Angleterre, s'est i'mbaVqùée 'hier -S -Mârb-eilte' à desti-

nation-de-Ghy.pEe.oà.elïé. séjournera

plusieurs semaines en compagnie de son mari, le comte de Harwood. La voici s'entretenant avec le capitaine du bord.'

LES JOURS SE SUIVENT :< a.

DU FOND DES AGES.

Vous avez lu, entre des nouvelles sans doute plus. considérables et pourtant moins émouvantes, qu'un médecin de La Réole et le maire d'une petite ville de Dordogne avaient découvert dans une qrotte de la vallée de la Dronne le squelette intact d'un homo sapiens de l'âge de pierre ayant vécu il a environ dix mille ans. Quel dommage que Carfailhac, qui fut le plus savant de nos préhistoriens, ne soit plus de ce monde il se serait penché sur cette découverte avec passion. Lorsque le comte Begouën mit au jour dans une de ses propriétés des bisons d'argile datant de l'époque magdalénienne, il télégraphia à Toulouse à son illustre maître « Les Magdaléniens sculptaient l'argile. » Et Cartailhac répon- dit ce simple mot « J'arrive. » II serait assurément accouru de la mê- t me façon dans la vallée de la Dronne · pour confesser ces os vieux de cent siècles., r •• aurait vu, s'il faut en croire les premières descriptions, un squelette fort bien conservé. Le corps est re- plié sur lui-même, la tête; reposant dans la main droite. Il est là, ce témoin des âges inconnaissables, tout comme s'il était mort hier. Mais une circonstance rend son apparition'singulièrement pathétique près delà ( colonne vertébrale, nos compatriotes t ont trouvé un silex taillé en pointe, t arme assez redoutable, et qui, pro- i bablement, avait servi à l'ennemi de cet homme pour le tuer. L'examen 1 du squelette permettra peut-être de c rendre certaine cette supposition. Ainsi ce corps ou du moins ce qu'il en reste qui nous vient du I fond des âges, encore plié dans le t dernier mouvement de- la vie, ce < corps raconte l'histoire d'un crime. Le temps a conservé ces os, y a pris c garde. Des millénaires se sont écou- i lés, changeant combien de destins, i permettant à l'humanité de recevoir i des révélations divines, d'établir les assises de plusieurs civilisations et ( dans cette grotte cachée un crime t vieux de dix mille ans conservait sa j forme et son témoignage. Je trouve 1 celle découverte extraordinaire j t brûlante comme un symbole. Elle est ( une de ces apparitions dont le sens ] devrait nous aveugler, c'est-â-dire qu'elle devrait nous faire accomplir 1 un retour sur nous-mêmes et' nous 3 effrayer d'être si peu différents. Nous < avons cru pourtant que les choses ( changeaient. Des signes s'étaient ins- < crits dans le ciel des hommes; ils ont 1 entrevu' la Ville d'or et de gemmes ( et le beau cheval blanc qui paraissent à la fin de l'Apocalypse. Ils ont } espéré. Mais ces images se sbift ef- [facêes duus trop de cœurs; et nous ( \sommes peu ù peu revenus à lu.ca-- vente de nos ancêtres. Dix mille ans! La hache de silex est perfectionnée: voilà notre progrès. Le seul, car pour ( ce qui est de quitter le monde la tète ( dans la main et de reposer à jamais ( ( sans ruvage, faut-il vraiment y comp-

ter :> > Î

[ Gùermantes. j

Crjslca, patriarche, chef de l'Eglise orthodoxe roumaine

Vice-présidence du Conseil M. Mironesco-

Affaires étrangères M. Tatareseo, par intérim

Finances :.M. Cancicov

Santé et travail docteur Costinesço

Justice il. Junian

Education nationale Iamaudi Intérieur M. Armand Calinesco Agriculture et Coopération M. Ionesco Sisesti

Cultes M. Voïco N'itzesko

Ministre de l'armé le général Antonesco, qui assurera également l'intérim du ministère de l'air et de la marine;

Industrie et commerce M. Argetoiano.

Communications M. Constant Angelesco.

Ministres sans portefeuille MM. Jorgà, docteur Augelesco, Ayaresco, Vaida Voivode, général Vàitoiano, tous anciens présidents du Conseil. ̃ v •'̃ ̃̃̃̃-•'

Situation troublée en Allemagne? A LA FRONTIÈRE BELGE la Gestapo renforce la surveillance Des bruit de rebellions circulent à Londres Mais Berlin dément

VERVIERS, 10 février. On apprend dans la soirée que la Gestapo ayant, le long de la frontière germano-belge, renforcé ses services pour empêcher toute sortie d'Allemagne 'de personnes non en règle, les postes frontières belges de gendarmerie ont été doublas.

On n'a pas connaissance ici de troubles qui, auraient lieu en Allemagne, mais d'après certains renseignements parvenus à Verviers, une certaine agitation régnerait dans les grandes villes allemandes.

Selon des informations parvenues d'Alleinagne à Londres par voie détournée et reproduites en gros caractères dans des éditions spéciales de journaux londoniens du soir, de graves désordres se seraient produits au

iS

A LA CHAMBRE

Passe d'armes pour la liberté de la presse Les journalistes, auxquels M. Chautemps voudrait il l'affirmait dimanche en un de leurs banquets garantir la liberté d'écrire, sont sans cesse menacés par des projets destinés à atteindre des outrances ou des fautes dont ils ne sont nullement responsables. De ces textes est celui que la Chambre, hier, a discuté. U donnerait au gouvernement la faculté d'interdire la sortie de France à des écrits ou imagés susceptibles de nuire aux intérêts du pays. L'interdiction pourrait aller jusqu'à" six mois. Le Conseil des ministres se- rait souverain juge !• j Tout le monde, eu ce débat, s'ac- cordait à dire que le souci-de l'in- térêt national avait inspiré ce projet. Mais il a provoqué hier (après les protestations de diverses associations de presse)) une véritable levée de boucliers, haut et ferme tenus par les juristes de la Chambre projet j «inefficace, dangereux, contraire â la tradition républicaine » à dit 31. Drouot, qui partit en tête à l'assaut Comment connaîtrez-vous le contenu des journaux à l'heure du départ du train ? Allez-vous rétablir la censure de guerre ? Comment, t, empêchant l'exportation de certains articles, pourrez-vous invoquer la

[liberté de la presse, quand un gou-

vernement étranger viendra se plaindre d'attaques que vous aurez laissé passer? Et. d'autre part, que) gouvernement exerçant son droit arbitraire de contrainte, sera sûr que c'est bien le prestige de la France et non l'autorité des ministres qu'il défend en sa sévérité ? ?`., Henri Vonoven.

t (Suite page 5,- col. 1.)

DU PALAIS-BOURBON AU LUXEMBOURG

mVÊTTE NOCTURNE entre le Sénat et la Chambre La Haute- Assemblée refuse d'accepter le « collectif » de décembre

que les députés persistent à lui retourner

Ainsi que nous le disons d'autre part, la Chambre et le Sénat n'ont pu se mettre d'accord hier, à la fin de l'aprèsmidi, sur le texte du « collectif » de décembre.

Les députés ayant repris six sur neuf des articles disjoints deux heures plus tôt par le Sénat, la Haute-Assemblée, réunie à 21 h. 40, a disjoint une fois de plus, à l'unanimité des ̃ 303 votants, les articles maintenus au Palais-Bourbon. A 23 h. 15, la discussion reprend donc à la Chambre. Le rapporteur général estime qu'on peut demander au Sénat de « reconsidérer $ 1r," ?2xreè. Les députés- l'approuvent par 513 voix contre 2. A minuit 25. la séance est ouverte au Luxembourg,

M. Abel Gardey demande au Sénat de maintenir ses votes précédents. Toutefois, dans un but d'extrême bonne volonté le rapporteur général propose au Sénat de voter un projet spécial modifiant les droits d'enregistrement afin de procurer les ressources nécessaires pour compenser le dégrèvement, de 10 pour cent en faveur de la femme mariée exerçant avec son mari un petit commerce. M. Marchandeau monte à la tribune pour déposer le projet de loi sur le dégrèvement de la femme mariée. Les conclusions du rapporteur sont adoptées à l'unanimité.

-».

Le régent Horthy

est rentré à Budapest Budapest, 10 février. L'amiral Horthy, régent de Hongrie, est arrivé Budapest, à 15 11. 5, par train spécial venant de Varsovie.

Le chef 'de l'Etat hongrois était accompagné de son fils Etienne de Horthv, de M. de Kunya, ministre des uf- ( f aires étrangères et d'autres personnalités. ̃̃-

Après avoir échangé quelques paroles avec les personnalités qui sont venues le saluer, l'amiral Horthy est monté dans sa limousine pour se rendre au château royal de BtuUv

I

cours de ces derniers vingt-quatre heures dans plusieurs villes de garnison allemandes et de nombreux officiers germaniques, vieux monarchistes, auraient même déserté.

Les principaux troubles auraient eu lieu,, paraît-il, parmi les hommes des garnisons situées proximité de la frontière polonaise, notamment à Stolz et Allestien.

Mais on affirme ù Berlin que les bruits qui ont circulé, suivant lesquels la frontière allemande était fermée et que les troupes de la Reichwehr se. battaient dans les rues contre des S. S. et des S. A. hitlériens sont absolument dénués de fondement.

Le chancelier Hitler, qui prépare actuellement, à Berchtesgaden, le grand discours qu'il doit prononcer le 20 février devant Je Reichstag, est attendu à Berlin le 15 février. Il recevra le soir, même les chefs des, missions diplomatiques accrédités à Berlin pour Je banquet annuel traditionnel..

Le baron von Neurath; n pris, congé aujourd'hui de ses collaborateurs du ministél'e des affaires étrangères et a transmis ses pouvoirs à M, von Ribbeñ trjjp.

L'ESCADRE DE L'ATLANTIQUE..

.vient d'effectuer des manœuvres dans la Manche sous le commandement de son chef. U- vice-amiral de Laborde. Une quarantaine de bâtiments y out pris part. Voici une division de contre-torpilleurs en évolution au large.

m CAMP PÂPANINE se rapproche

des cotes du Groenland Et tandis que trois brise-glaces tentent des efforts désespérés pour atteindre la banquise, sur terre'des secours s'organisent

Avant de quitter le Pôle Nord, il y a quelques semaines, pour retourner vers le continent, les membres de l'expédition font leurs adieux aux. hivernants qui doivent rester un'an sur la banquise. A droite M. Papanine> ̃̃̃ ̃ chef de la mission.

Papanine et ses compagnons ont continué hier à donner de leurs nouvelles; '̃•̃

II semble que la situation dramatique des savants se soit légèrement améliorée au cours de la journée. La désagrégation des glaces a cessé et la température s'est faite plus douce, événement fort important, car les explorateurs ont perdu leur tente de fourrures et n'ont plus pour se protéger qu'une mince tente de soie. Le vent plus calme aussi redonne de l'espoir aux sauveteurs. En effet, sous l'influence du seul courant, les glaces sont poussées contre le rivage du Groenland et s'agglomèrent, tandis que' lorsque le vent souffle, la désagrégation des glaces est fortement activée.

iLe camp de l'apamne bC trouve ae-§ tuellement a l'est de Davy Sund, H quelque soixante kilomètres de la côte, et séparé psi» une haute falaise de glace. L'explorateur danois Lange Kocli, qui est actuellement au Groenland, a déclaré à ce sujet qu'il est impossible de se servir de traîneaux pour secourir les hommes de la banquise, toute la cote étant couverte de pics de glace compacte qui font obstacle au moimlr.e déploiement des attelages de chiens. •D'après lui, le seul nipj'en pour les quatre honiines dp la banquise d'atteindre un point habité serait, .aussitôt qu'ils auront "débarqué, de traverser cette région à. pied, en .suivant la côte, les attendront des dépôts de provisions installés à 30 kilomètres de distance J'un de l'autre. j

Le brise-glace Enhak a quitté le port de Kronstadt, se. portant au secours de l'expédition Papanine. Deux mille matelots de la flotte de -la Baltique ont chargé -les trois mille tonnés de charbon qu'il emporte dans untenïlis record. Deux avions sont arrimés dans la calc a l'abri, du mauvais tenips un amphibie modèle SH 2 capable d'amérir et d'atterrir'sur la glace, et un autogyre. C'est la première fois qu'un appareil de ce genre sera utilisé dans les région po-

laires. :•̃̃ ..•

lait {Suite page 3, col. 1 et 2.) f[

LE CODE DU TRAVAIL A LA CHAMBRE M. Jouhaux ne désire pas que l'Ëtaf s'en mêle-. :"̃̃ V. i.. '•:̃•>'?> •̃" par: MAURICE NOBL,

On • rapportait, que certains commissaires du Travail, à la Chambre, n'ont pas retenu un sourire en entendant M. Jouhaux s'écrier devant le tapis vert de leur commission Les travailleurs n'admettront jamais que l'Etat de vienne, maître de leurs rapports avec les patrons f Ils ont souri parce que ce langage antiétatiste offre quelque nouveauté depuis juin 1936, la lutte ouvrière s'est accompagnée d'incessants appéls aux rigueurs «ouvenieinenlales. Dans le cas de M. Jouhaux, l'on voudrait croire à une haine toute proiidhoiiieiinc de l'Etat. L'on voudrait penser qu'il est iidèle à son syndicalisme libertaire. Mais depuis que M. Jouhaux s'est fait, sans succès, devant l'Internationale syndicale, l'ambassadeur complaisant de la, classe ouvrière la plus dureriient

DE EDIMBOURG A LONDRES

à 655 kilomètres à l'heure Quittant lEdihib'ourg hier soir, à 17 h. 5, un avion monoplan de combat « Hawker-Hùrriçanu a a accompli: iu

t fit j irt. "Edimbourg-Londres., en quiiriintu-

hui't minutes, soit à la vitesse moyenne de, 655 -kilomètres à l'h-eurei

o •' •'̃

L'avion de l'ingénieur italien Albertini capote au Bourget L'aviateur italien Albertini, qui avait quitté -Milan -mer malin a bord, du bimoteur Caproni avec lequel il devait gagner Londres et faire' lufidi une téntative de record Londres-LcCap en 37 heures, a fait une chute hier après-midi au Bourgel au moment OU il s'apprêtait à atterrir.

Des quatre hommes qui composent l'équipage, seul Pasquariello fut légèrement blessé.

'asservie à l'Etat, .celle de l'U. R. S. S., depuis que l'âpre colonisation du parti communiste sur les terres de la C. G. T. ne trouble pWs guère la béatitude présidentielle, on doute qu'il puisse se redire avec une foi vigoureuse le vieux cri de guerre des libertaires proudhoniens L'atelier remplacera le gouvernement. Son haut-le-corps devant la commission du Travail de la Chambre a des raisons toutes simples, que nous allons désigner aujourd'hui sans -négliger pour demain un drame plus important, l'inquiétude qui a saisi des militants syndicalistes éclairés devant. le système même du Code du Travail.

Souvent Etat varie

Quels articles dans les projets de M. Chautemps ont suscité la déclaration du « président de la C. G. T. ? '? L'obligation nouvelle que créerait le Code du Travail lorsque les délégués patronaux et ouvriers réunis pour établir ou renouveler une convention collective du travail ne se seront pas mis d'accord au bout d'un mois de délibérations, une convention-type. élaborée par l'Etat après consultations, sera appliquée provisoirement. On ouvre assurément un chemin redoutable. Les conventions collectives ne iixent-elles pas les salaires ° Alors l'Etat prendra-t-il ce rôle ? (Suite page 3, col. 1 et 2;)

4».

•M. Robert Esnault-Pelterie inventeur du « manche à balai » recevra 30 millions de droits et indemnités j

du gouvernement américain Washington, 10 février. M. Robert '< Esnault-Pelterie, inventeur du « man- ( che à balai », vient de le procès ( qu'il avait inetentë au gouvernement 1 américain pour avoir indûment utilisé s son brevet.. t Pendant la guerre, en effet, tous les t avions américains ont été munis de ce système sans qu'aucun droit ait été ver- t se a l'inventeur. ̃ f L'inventeur recevra donc '30 millions. S

CHRONIQUE

Dans l'ombre des dictateurs. Par DRIEU LA ROCHELLE

UN jour, dans une de ces aimables petites villes de Bohême u où slavisme et germanisme font un mariage subtil, discrètement étrange, je causai avec l'ennemi personnel d'un dictateur. Cet homme avait dû croire pendant quelques mois que la destinée hésitait entre lui et l'autre. Maintenant l'autre était tout, remplissait à jamais de son nom l'Histoire et lui n'était rien. Mais rien. 11 y avait ainsi vers 1800 dans l'armée française trois ou quatre généraux écrasés par un tel rien. me fai-

Mon dictateur manqué me faisait le portrait de son heureux rival. Il y mettait cette acuité fébrile des grands ennemis ou des grands amis intimes qui tombe sans cesse tout près mais pourtant à côté du trait juste. Cela faisait une eauforte merveilleusement révélatrice où il me suffisait de déplacer légèrement les valeurs pour tenir sans doute la vérité du personnage. Par exemple, il me cria « C'est une femme ». Et il me regarda d'un air triomphant, sûr que si j'acceptais cette définition, la silhouette consacrée par plusieurs années de succès s'effondrait à mes yeux. Mais aussitôt je pensais à Elizabeth et à Catherine. Il se peut fort bien qu'il y ait un type d'homme d'Etat à caractère féminin. Pourquoi pas, puisque les femmes ont si bien réussi dans l'emploi de reines ou de tsarines ? C'est même le seul emploi où elles aient montré du génie. Et les grandes princesses n'ont pas attendu le féminisme pour marquer là une supériorité de la Femme.

Mon raté disait « Oui, c'est un esprit plus qu'à demi féminin. 11 ne peut rien par lui-même. Il ne peut penser et agir que si à un certain moment il y a un homme, un vrai, qui trouve accès, près de lui et qui lui donne l'impulsion, l'idée. »

L'impulsion, l'idée. Je voyais comme mon homme était médiocre et retombé à sa juste place; il confondait les deux choses dont la séparation fait tout le génie. Bien sûr, le génie a besoin d'une impulsion, c'est' son moment féminin mais de cette impulsion, il fait une idée, et c'est son moment masculin.

Il est amusant de surprendre le moment féminin chez l'homme ou le moment masculin chez la femme, mais songeons toujours que ce moment ne va pas seul.

Mon dictateur manqué faisait aussi là le procès que les imbéciles font toujours aux gens d'esprit les premiers croient reconnaître sortant de la main des seconds la matière dont ils n'ont rien su faire et ils les accusent de plagiat. Il faut voir la basse jubilation du professeur qui a découvert le conte italien où Shakespeare a trouvé l'impulsion dont parlait mon dictateur manqué. Ledit professeur ne peut s'empêcher de croire que Shakespeare est pris la main dans le sac, mais c'est plutôt le grand Anglais qui avait surpris le conteur italien en flagrant délit d'inertie et de manque à créer.

J'ai connu un autre homme, ancien camarade d'ml autre dictateur. Il pensait fermement avoir fait ce dictateur. « Je lui ai donné en 1914 une idée qu'il a faite sienne, mais seulement en 1915. » Et il souriait discrètement.

Les amis des grands hommes pensent toujours un peu comme des valets de chambre. Ce qui est à la fois ennuyeux et cocasse, c'est que nous sommes finalement obligés de nous renseigner auprès d'eux. Drieu La Rochelle.

UN MUSEE

DE BALTIMORE

FERME SES PORTES On ne le regrettera pas, ce musée de Baltimore qui vient de fermer ses portes, lassé d'espérer d'improbables visiteurs Son prix d'entrée était inutilement tombé d'un dollar à cinquante cents, puis à vingt-cinq, avec réductions supplémentaires pour les touristes en groupe et les enfants auxquels le désignait sa haute valeur éducative. Rien ne se montrait efficace et la publicité la plus tapageuse ne mettait plus personne sur le chemin du « Musée Wallis Warfield ».

Cependant la société par actions chargée d'exploiter l'établissement, n'avait pas ménagé les efforts. Dans la maison même où l'actuelle duchesse de Windsor avait passé une partie de sa jeunesse. on avait rassemblé une effrayante collection de meubles disparates, une maquette du château de Fort-Belvédère et un lit dans lequel, assuraient des hôtesses, recrutées selon le pourcentage de leur ressemblance avec la Duchesse. « Wallis WarSeld, adolescente, avait dormi ̃ Malgré cette courageuse rébellion confre le goût, le tact et la décence, l'affaire se solde par une faillite retentissante, dix mois après son lancement.


(~IJ 1~1~IIIIIIRI~~ ~]iEII~II~IIDI!~E' 1 1

Pierre Viré, le radio volant et plongeant

On a rapporté ce trait de la catastrophe de l'hydravion Marseille-Tunis lorsque l'appareil se fut abattu à Marignane, sur la digue de protection et puis enfoncé dans l'eau, parmi les sauveteurs, un radio-navigant connu sur le réseau d'Air-France a posé la veste, a plongé sans répit, a réussi à repêcher trois personnes sur le point de couler, puis, cela fait, est allé chan- ger de vêtements et on le voyait, peu après, prendre son poste dans l'hydravion qui a remplacé aussitôt l'appareil sinistré, s'envoler vers Tunis. La « ligne continuait voilà l'important. Ce radio-navigant se nomme Pierre Viré. C'est un écrivain il a obtenu, sur manuscrit, le Prix littéraire de l'Aéro-Club de France, et il y a peu son ouvrage venait en librairie T. V. B., le titre, le vocable-fanion du radio volant. Tout va bien.

C'est un livre de grand vent, oxygéné au possible, de bonne humeur virile il nous jette, sur un ton narratif direct, dans ces « batailles quotidiennes des routes de l'air », qu'un passager même ne connaît pas toujours. T. V. B. tout va bien. Le t. v. b. pullule sur les procès-verbaux des postes qui, à terre, surveillent et suivent la marche de l'avion au-dessus de l'Océan ou au-dessus des déserts. Mais parfois s'inscrit le D.D.D. « Vies humaines en danger ». parfois le S. 0. S., rare et le plus souvent le dernier adieu de l'équipage, car le chef pilote ne le fait lancer qu'en cas de péril extrême.

Pierre Viré c'est une rencontre retrace, dans l'un de ses plus beaux chapitres, une « épouvante » qu'il a éprouvée sous dix mètres d'eau. On « On ne peut pas remettre le pays sur pied avant trois ans », déclare M. Paul Rèynaud au déjeuner du Cercle républicain.

Il insiste sur la gravité de l'amoindrissement

de notre stock d'or

M. Paul Reynaud a prononcé hier; à l'issue du banquet du Cercle républicain, un important discours dans lequel il a déclaré notamment

La France est au bout d'une longue crise de découragement et j'ai la conviction que nous sommes à la fin d'une ère, l'ère des erreurs financières. »A la fin de l'année 1931, la France possédait 6.000 tonnes d'or et de devises. Ce stock vient de tomber à 2.407 tonnes, après le prélèvement de 134 tonnes que l'on nous annonce aujourd'hui.

» Ainsi donc, l'or de la défense nationale continue à s'écouler. Et pourtant M. Léon Blum avait fixé, eu septembre 1936, il 50 milliards de francs Poincaré, c'est-à-dire à 3.275 tonnes, le minimum exigé pour notre sécurité. Pour remonter à ce niveau jugé indispensable en septembre 1936, il faudrait des rentrées d'or s'élevant à 27 milliards de francs actuels.

» Les prélèvements de ces jours derniers sont-ils conformes à la loi ? C'est au moins douteux. Pourquoi le ministère Chautemps a-t-il demandé et obtenu, le 30 juin dernier, deux mois de pleins pouvoirs ? Pvécisémçnb-vpouf prendre des mesures qui empêcheraient Je retour démette» hémorragie -d'or. A la différence des lois précédentes qui édictaient la .défense du franc par le sacrifice de l'encaisse, la loi du 30 juin 1937 a, en effet, interdit de continuer la politique de ces dernières années qui a consisté à sacrifier l'encaisse sans profit pour le franc.

< Comment opérer ce redressement qui s'impose et qui ne sc fera pas en livrant de l'or i

» J'affirme que si la machine économique ne tourne pas, la faute n'en est pas au mauvais vouloir d'une classe ou d'une autre. Ce qui manque, c'est une volonté et une politique.

» Un plan de trois ans peut Olre appliqué, car on ne peut pas remettre le pays sur pied avant trois ans. » L'orateur, très applaudi, a conclu en montrant que, seule, la stabilité gouvernementale pouvait permettre l'application-de ce programme.

L'œuvre de paix

de la Croix-Rouge française Le ministère de l'intérieur vient d'autoriser la Croix-Rouge française à organiser, le dimanche 3 avril prochain, une journée nationale de vente d'insignes. Cette journée est placée sous le patronage du ministère de la santé publique.

C'est qu'en effet la Croix-Rouge française, sans perdre de vue la mission d'ordre militaire qui est à l'origine de sa fondation, manifeste en temps de paix ses multiples activités dans le but d'améliorer la santé publique, de prévenir la maladie et d'adoucir la souffrance.

Çlle entretient sur le territoire métropolitain, comme dans la France d'outre-mer, plus de 3.000 œuvres, telles que hôpitaux, dispensaires généraux, dispensaires antivéneriens, sanatoriums, préventoriums, dispensaires antituberculeux, foyers pour stations climatiques, liaisons de repos, aériums et solariums, écoles de plein air, surveillance médicale des enfants des écoles, colonies de vacances, maternités, consultations prénatales, consultations de nourrissons,

etc; '̃̃̃

Ces œuvres sont destinées à lutter contre la mortalité infantile et contre la tuberculose, elles participent au développement de l'hygiène rurale. Certaines sont consacrées aux familles de liiilitaires dans les villes de garnison ou sur la ligne des fortifications. Pour mener il bien cette tâche, trop lourde pour ses modestes ressources, la Croix-Rouge française est amenée à former un important contingent d'infirmières dont le rôle, en temps de paix, s'exerce non seulement dans les œuvres sociales, mais aussi en cas d'accident, de catastrophe ou de calamité elles sont prêtes, si .le malheur des temps les y obligeait, à servir dans les hôpitaux de l'armée, dans les hôpitaux auxiliaires de la Croix-Rouge et, pour celles qui ont été spécialement instruites à cet effet, dans les postes de secours prévus pour la protection des populations civiles contre les dangers de la guerre aèro-chimiquc.

Enfin, à côté de l'enseignement réservé aux infirmières, la Croix-Rouge française a donné une grande extension à ses cours de secourisme et d'auxiliaires qui diffusent dans les villes et les camtpagnes de très utiles notions de soins et d'hygiène.

Ces notions de soins, la Croix-Rouge française les donne aussi, en vertu d'un accord passé avec l'Union nationale des associations de tourisme, aux titulaires des 2.500 postes de secours établis sur les routes de France, tandis que la section de jeunesse de la Croix-Rouge française les répand pour sa part dans les écoles.

Bref, si le rôle de la Croix-Rouge française en temps de guerre est immense (ses 71.000 infirmières bénévoles et ses 1.475 hôpitaux de la dernière guerre en font foi), sa tâche, nous venous de le voir, n'est pas moindre en temps de paix. La Croix-Rouge fraternelle, empressée, secourable, qui se penche sur toutes Ie3 souffrances humaites est bien une Croix-Rouge de faix.

voit qu'il n'a pas fait avant-hier, à • Marignane, son premier plongeon. Le 22 mai 1929, un bimoteur s'écrasait au décollage en rade de Bizerte (« la stupeur de ce tonnerre qui s'étouffe sous l'eau », dit Pierre Viré). Et notre écrivain radio navigant plongea jusqu'à dix mètres de fond pour attacher la drisse nécessaire au repêchage il raconte admirablement les sensations de cette plongée qui n'en finissait pas. Drames de la ligne CasablancaDakar, où je n'ai connu que les splendeurs du vol de nuit lunaire, drames de Noronha, cadenas de l'Atlantique Sud, et bien d'autres aventures de l'air.

T. V. B. (Ed. de la N.R.P.) n'a pas le mystère épique de Vol de Nuit de Saint-Exupéry. Il met par contre son sujet près de nous, il fait aimer la vie et l'homme, les dons et le courage de l'homme. Sa simplicité et sa gouaille attestent qu'il n'est pas besoin du pas de l'oie pour n'être point une « demiportion ».

Avant de tomber en mer, Mermoz avait écrit une préface pour T. V. B. Elle donne de l'accent au volume. M. N.

Huit candidats

pour deux fauteuils

académiques

L'ù prêté d'une première lutte sans conclusion autour du fauteuil HenriRobert n'a pas découragé les candidats qui plusieurs semaines avant la deuxième élection sont déjà cinq. Précisons MM. Alphonse Séché, Edouard Le Roy, Louis Artus, Fernand Gregh, auxquels est venu s'ajouter,hier, M. Jérôme Tharaud.

Quant au fauteuil Ilené Doumic, il donnera lieu à une compétition parallèle pour laquelle se sont inscrits déjà MM. André Maurois, l'aul Hazard et René Pinon.

Cepnedant, il reste encore un large délai aux écrivains et poètes qui voudraient modifier l'aspect des prochaines luttes en posant. ou retirant leurs candidatures.

La date des scrutins sera postérieure, en effet, à la réception de M. Léon Bérard. On parle du mois de mai. t. C.

A la devanture du libraire M. Andrc Sunrès publie un nouveau recueil d'essais 7 'rois grands vivants. Cervantes, Tolstoï, Baudelaire (Grasset). Bien entendu, un jaillissement de culture originale.

Ce qui demeure, de l'écrivain allemand Ernst Glaeser qui vit en Suisse (dans la traduction de J.-P. de Dade!sen, clie-4 Grasset) quatre nouvelles, les unes de pure et chantante humanité, la dernière pleine de la sagesse de l'exil. La lecture d'Ernst Glaeser fait qu'on s'interroge que deviennent, dans la rigueur du régime nazi, ces trésors d'humanité simple de l'âme allemande ?

Le dixième tome des Œuvres et discours de Mussolini (Flammarion). On le lira avec un sourire ces articles, messages et discours se rapportent à la question d'Autriche, à l'accord francoitalien, aux •préparatifs et aux débuts de la guerre d'Ethiopic. Qui pourra jamais reprocher au chef italien de manqiu'r de franchise dans ses entreprises ? Ce dixième tome montre que le premier discours de guerre pour l'Ethiopie est de février 1935, huit mois avant les hostilités.

D'Alfred Colling, Thomas. Hardy, le romatfwier: de la fatalité (Ed. Emilts< £*uJiiàpte£âÉ^ftV.. R''ut appeler-Ta déci>M\'tirtc*»<S^f?«Bfpmii«e'vtli!V»MT»ul'e utr-

riêW^jHWafwe-iitSstre! ̃- ̃̃• >v;

Les Alffuîjzils.

-=s LE CARNET H31LJ «FIGARO»,

AUJOURD'HUI

Réceptions. 16 heures Mme Louis

di- noyer.

17 hoiifCi! -Miud de Latrc.

Ceraies. 15 11. 30 Conférence de

i5l, Jacques Bardoux, du l'Institut (Cercle

Interallié)

Deuils. 0 hnures Obsèques de M. Louis Lliûto (La Providence, 77, rue des

Dtartyrsi.

lu' jieuri'S Obsèques <ln docteur Jean Furrand de .Nculliy). 10 h. 30 Obsèques de S. Exc. M." de Heuriau, ambassadeur (le Franco (Saim-

J'icl'I'e lie Cha iII01)

1 1 heures Obsèques de Mme ̃ Daffry de La Monnoye (Sainte-Clolilde). 13 h. -i5 Obsèques de M. Charles Vonseel (Temple de la rue jlhuuchat). iiiililitiiiiiiMiiiiiliiiruiiiiiiiiiiiniiiiiiiiiiiii imimimiiiimi COURS

Les l'unérailles de S. A. R. le Prince Nicolas de Grèce, oncle de S. M. le Roi des Hellènes, seront célébrées à Athènes demain samedi. Le dimanche 13 février, à onze heures quarante-cinq, une messe de Requient sera dite en l'église orthodoxe grecque (rue Georges-Bizet) pour le repos de l'âme du Prince.

Le service funèbre qui devait avoir lieu dimanche matin en l'église russe (32,' rue Boileau) sera célébré demain samedi, à dix-neuf heures trente. S. M. la Reine d'Egypte a visité l'Exposition française, où elle a fait l'acquisition d'un bracelet orné de pierreries.

AMBASSADES

S. Exc. sir Eric Phipps, ambassadeur d'Angleterre, a reçu hier matin Mme Robert Lespagnol, directrice adjointe de l'Office britannique, et lui a remis les insignes de l'ordre de l'Empire britannique que vient de lui conférer S. M. George VI.

S. Exc. M. Suad Davaz, ambassadeur de Turquie, a offert, jeudi, un vin d'honneur aux membres du bureau du groupe parlementaire France-Turquie, constitué il y a quelques années sous les auspices du président Edouard Herriot.

M. Bossoutrot, député, président du groupe, a présenté ses collègues à l'ambassadeur, qui a porté un toast chaleureux au gouvernement de la République française, aux membres du groupe France-Turquie et à la collaboration féconde des deux Républiques.

M. Bossoutrot a répondu au nom du groupe avec cordialité en assurant l'ambassadeur et le gouvernement de la République turque des sentiments d'amitié du groupe France-Turquie, qui compte déjà à la Chambre deux cent trente membres.

DANS LE MONDE

Le baron et la baronne Carl von Seidlitz ont donné, mercredi, un grand déjeuner, qui fut honoré de la présence de S. M. le Roi de Suède, au Sporting Club de Mont:-C.i .>.

Autour de la table admirablement fleurie avaient pris place auprès du souverain

Amiral comte Elucnswaerd, comte Hâmilton, comte Bonde, docteur Casserman, le préfet des Alpes-Maritimes et Mme Mouche t, prince et princesse Araiand dé CaramanChimay, prince et princesse Capetê Zurlô, Mrs Vigo Hansen, M. et Mrs Franklin Singer, M. et Mrs Vanderbilt Barton, Mrs Macomber, baron et baronne Adolf von Seidlitz, major baron Frederio von Seidlitz, baronne von Goetz, Mrs Tarn Mae Grew, Mrs Marcelen, miss Doris Chapman, M. Edgar Drake, Mrs Saiterthwalte, M. Henry Wall, etc.

La baronne Carl G. von Seidlitz par*

f le'â-RQ âCf Hâl If ES ̃

LE TROISIEME CENTENAIRE DU VŒU DE LOUIS XIII.

.consacrant la France à la Vierge a été célébré hier à Sai nl-Germain-cn-Lay e, en présence de Mgr Harscouet, évêqne de Chartres Mgr Valeri, nonce apostolique Mgr Rola nd-Gossclin, évêque de Versailles Mgr Courcoux, évoque d'Orléans, que l'on voit ici, de gauche à droite, sort» nt de l'église.

les £g//qj

Le prince Nioolas

et Nicolas Leprince.

En même temps que le prince Nicolas de Grèce, le peintre Nicolas Leprince vient de s'éteindre. Car l'un et l'autre ne faisaient qu'un. Cette double identité était connue des gens avertis. Mais, lorsque le prince Nicolas commença d'exposer, à Paris et à Londres, personne ne savait qui était cet artiste inconnu dont on admirait.-et dont on achetait, les paysages et les portraits.

Le prince Nicolas était un Parisien de longue date. Bien avant que l'exil ne l'obligeât de se fixer à Passy, il faisait de longs séjours chez nous. Dans ses Mémoires, publiés à Londres, il a d'ailleurs célébré les charmes de Paris « Paris, écrivait-il, à quelque- saisons et dans n'importe quelles circonstances qu'on y revienne, reste éternellement la ville du charme et de la beauté, d'une vitalité que rien n'abat, où l'air même qu'on respire monte à la tête comme du champagne. »

La petite fille aux pavots

On dispersait hier, à la Salle des Ventes, les toiles de Jean Veber. j Après les enchères, une dame, qui avait acquis de nombreux tableaux, faisant le recensement de ses bulletins, s'aperçut qu'il lui en manquait rrrr. Celui-ci' concernait' "La petite fille aux pavots, et-i^S- voyait été attribué par erreur à un autre enchéris-

tait auparavant le nom de comtesse David Costantini.

BIENFAISANCE

S. A. R. la Duchesse de Montpensier donnera, le lundi 28 février, en son hôtel, 7, avenue Raymond-Poincaré, une grande fête de bianfaisance au profit de ses oeuvres et de l'œuvre SimoneLemaistre. De dix-huit heures à minuit, cocktail dansant, bridge et programme artistique.

Mme Jeanne Rolland et Mlle Lartaud, danseuses de l'Opéra-Comique, ainsi que M. Alban Derroja ont promis leur gracieux concours.

On trouve des cartes au Figaro et à l'ccuvre Simone-Lemaistre, 5, rue de Valois.

La cantatrice bien connue Ralia Tontcheva a accepté de donner, avant son départ, un dernier récital dont le profit est réservé aux œuvres de Brighton (paroisse de la Madeleine), auxquelles elle n'a cessé d'apporter son concours désintéressé pendant son séjour en France.

Les personnes qui s'intéressent à ces œuvres sont priées d'assister à cette réunion, les œuvres de Brighton ne donnant aucun concert à leur profit cette année. Au programme également Mme Bacqueyrisse Le Dentu, harpiste, et Mme Yvonne Petillot, pianiste.

Cette soirée de bienfaisance aura lieu demain samedi 12 février, à vingt et une heures, en la salle de l'Ecole normale de musique, 114 bis, boulevard Malesherbes. Une quête sera faite au profit des œuvres.

Places numérotées 10, rue de la Ville-l'Evéque, tous les matins, et, à partir du jeudi 10, tous les jours, de treize à dix-sept heures, ou par téléphone Anjou 31-80.

CERCLES

Au dernier scrutin de ballottage, ont été reçus membres du Cercle d'escrime Las-Cases

M. Philippe de MonpUuiet, présenté par le comte B. de La Rochefoucauld et le comte G. de Chastellux; M. Henri Slalatler, présenté pur M. P. Trebuchet el le comte de Belleville; M. Jean de Bourmont, présenté par M. Mare de Préaudeau et le marquis de Préaulx; M. Hervé de Luze, présenté par le comte B. de La Rochefoucauld et M. Raoul de Scynes; M. Paul de Gei.tile, présenté par le comte de Mathan et M. Jean de Bernon. Rappelons qu'aujourd'hui vendredi 11 février, à quinze heures trente, M. Jacques Bardoux, membre de l'Institut, fera, au Cercle Interallié, une conférence sur « Lord Baldwjn of Bewdley », Les Amis du Livre français, dont nous avons si souvent signalé le rayonnement bienfaisant à l'étranger et en France, se sont réunis mercredi dernier, dans les salons de la duchesse de Broglie, pour entendre une remarquable con. férence du baron'Ernest Seillière. M. Firmin Roz, leur distingué président, annonça le prochain gala du vendredi 25 février, à vingt heures quarantecinq, au théâtre national de l'Odéoni sous le haut patronage du président de la République et de Mme Albert Lebrun. Au programme Le Chapeau chinois, de Franc Nohain quelques scènes du Mari sinf,ïlier, de Luc Durtaln, et La Locandiera, de Goldoni, adaptée par Gastambide. On trouve des places 35, avenue Victor-Hugo (téléphone Passy 16-38), de dix heures à midi et de quatorze heures trente à dix-huit heures. Puis, M. Firmin Roz rappela l'active utilité des Amis du

seur. Par bonheur, ce dernier, une dame, était encore' là. Elle accepta volontiers de rendre la toile en litige et c'est ainsi que Mme Louis Gillet, la femme de l'éminent académicien, put entrer en possession du tableau qu'elle avait posé quand elle avait huit ans, car Jean. Veber était son oncle..v ̃ Souvenirs de l'Entente cordiale Lorsque le roi George V et la reine Mary vinrent à Paris en avril 1914, leur visite coïncidait avec le dixième anniversaire de l'Entente cordiale. Tous les Parisiens ont gardé le souvenir de l'accueil enthousiaste que Paris fit aux souverains anglais. En dehors des acclamations, des drapeaux arborés à profusion, la sympathie des Français se traduisait par des manifestations plus discrètes, mais plus significatives encore. C'est ainsi que, parce qu'ils avaient su que la fleur préférée de la reine Mary était la violette de Parme, tous les Parisiens en étaient fleuris, les femmes à leur corsage et les hommes à la boutonnière. Nul doute que la nouvelle et charmante reine Elisabeth ne trouve en juin les mêmes dé- licates attentions.

Droits et devoirs civiques

La Chambre a voté hier une proposition de M. Voirin invitant le gouvernement à faire afficher dans tou-

s 's1- .Jh

Mlle Ghislaine de Vaasinhac d'Imécourt dont le mariage avec le vicomte Henri d'Espics vient d'être béni en l'égliso Saint-Pierre du Gros-

Caillou.

(Studio de Paris.)

Livre français et donna la parole à l'éminent conférencier.

Dans l'assistance: ̃

Mme la maréchale Ljnutey, dut et duchesse de Broglie, le président et Mme de La Barra, Mme Philippe Roy, Mme Aristimuno Coll. lady Cahill, Mme Medina, comte et comtesse de Thun Hoenstein, Mme Jorge Rohde, Mme Bouboulls, S. Exc. M. de Margerie, ambassadeur de France; le comte de Manneville, ministre plénipotentiaire; marquise de Saint-Paul, comtesse Greffullie, duchesse de La Force, duchesse de Duras. marquise^de Belloy. M. Maurice Muret, de l'Institut; le ministre et Mme G. Bonnefous, marquise de Castéja, duchesse de Cadore, marquise de Chambrun, le ministre et Mme André Gilbert, princesse Dimitri Galitzine, M. et Mme M. Girod de l'Ain, comtesse de Farumond, Mme Firmin Roz, M. Georges Risler, de l'Institut; M. Paul Hasard, général comte d'Ollone, vicomtesse Curial, marquise de Créqni-Montfort, comtesse Aymar de Dampierrc, Mme James Lèclerc

Comte A. de Laborde, comtesse de Warrcn, amiral et Mme Durand-Viel, baronne de Bernis, comtesse A. Dor'.a, Mme Ernest Mallet, général et Mme Azan, vicomtesse de Bagneux, comtesse J. de Bondy, comtesse de Caumont La Force, baronne Snoy, Mrs Will Gordon, comtesse de Montureux, comtesse des Monstiers-Mérinville, Mme Ternaux-Compans, générale Lasson, marquise de Lillers, Mrs Burke Roche. comtesse M. de Merode, marquise de Montaigu, miss Mac Donald, comtesse de Las-Cases, Mme A. Vlgnon, marquis et marquise de Sayve, Mme Demachy, miss Churchill *iumphrey, marquis et marquise de Canisv, général et Mme Chardigny, comtesse Goetlials, comtesse de Castries, baronne E. de La Grange, comtesse de Blols, comtesse Begouën, Mrs G. Bullock Willis, comtesse de Chilly, Mme Michel Côte, comtesse du Cor de Damrémont, marquis de Rochambeau, baron et baronne d'Estreux de

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Mlle de Thomassin de Montbel dont le mariage avec le vicomte Raoul du Fou vient d'être béni en l'église Saint-Fiacre de Nancy.

(Phot. Paris-Fraiwp.)

tes les écoles la Déclaration des Droits de l'Homme et du Citoyen. Le doyen de la Chambre, M. Antoine Salles, avait spirituellement proposé en contre-partie qu'on affichat aussi un texte révolutionnaire moins connu, la Constitution du 22 août J.795 qui, elle, définit les devoirs du citoyen.

Mais la Chambre n'a pas approuvé cette addition. Elle a estimé qu'il suffisait que les écoliers connussent leurs droits futurs.

Aussi bien le geste parlementaire n'a-t-il que peu d'importance. On n'avait pas attendu, en effet, M. Voirin pour placarder la fameuse Déclaration dans les classes et on n'a d'ailleurs jamais vu un bambin essayer de la lire.

Pour vous, monsieur.

Hâtez-vous de commander le complet veston sur mesure à 595 fr. que vous offre le rayon de tailleur des Grands Magasins du Louvre, car cette vente publicitaire se terminera prochainement. Notre complet est d une valeur de 800 fr. Il est tout laine et exécuté à la manière du grand tailleur.

Le Masque de fer.

Nous accordons à tous nos abonnés ane réduction de 25 sur le tarif nor- mai des avis de faire part des NAISSANCES. FIANÇAILLES. MARIAGES. etc.

Beaugrenier, marquise de Frondeville, Mme Fauchier-Mugnan, comtesse Orlowska, marquise de Panissc-Passls, comtesse de Franqjeviile, Mme Fredet, Mme Lucien Ilomier, comtesse et Mlle de La Gal/be

M. Roche de La Rigodièrc, comtesse A. de fovesta, comtesse de Gouvion Saint-Cyr, comtesse de Guichcn, Mme Etienne Gautier, Mme Alphonse Gérard, comtesse Claude de Roaanbo, comtesse Guy de Gontaul-Rlron, baronne de Grandmaison, général baron Sérot-Alméras, Mme René Pinou, comtesse de Lillers, baronne de Chollet, Mme CornuThénard, comtesse de Keianfleeh-Kernezne, baronne Ch. de Fréville, Mme Nouguicr, Mme J. Cochln, générale Serrigny, comtesse de Lastours, baronne de La Chcvrelièrc, Mme L. Chevrlllon, Mme Jacques Bizot, comtesse de Rostang, M. et Mme André Duboscq, comte et comteses Lestre, comtesse J. de Moptbron, Mme Brémard, Mme Malé/.ieux, amiral et Mme Joubert. comtesse de Roehefort, Mme Le Fur, Mme Simon Henri-Martin, Mrs D. Shuey, Mlle da Silva Ramos, Mrs Harry Wcarne, comtesse Lepic, comtesse S. de Castéja, vicomtesse de Buvsiculx Mme Baudon de Mony, Mme P. Baratte, comtesse Blanche Rœdcrer, marauisc de Riencourt, vicomtesse de Cargouët.'Muie H. de Coum'l, Mrs James Wavne Cuyler, Mme Il. de Vienne, Mme Chédeville. M. B. Hurrispn, comte et comtesse Frémy, Mme C. Fie'ssingcr, M. et Mme 0. Serive, Mme Paul 1 Vieugne, comtesse de La Baume, baronne de Villiers-Terrage, M. et Mme Duley-Harispc, comtesse de Cibeins, M. de Bornians, etc. Au scrutin de ballottage de mercredi dernier, le comte Eugène de La Rochefoucauld, présenté par le duc de La Rochefoucauld et M. Roger de Ségogne, a été admis membre permanent du Cercle de l'Union.

NAISSANCES

Le lieutenant Pierre de Maupeou d'Ableiges et la comtesse, née Huguette de Loubens de Verdalle, sont heureux de faire part de là naissance d'un fils Olivier. Saumur, 4 février.

M. et Mme de Guillebon de Resnes sont heureux d'annoncer la naissance de leur sixième enfant Lucie. Beaumetz, 6 février.

Le capitaine Raymond Sutterlin et madame, née Isabelle de Galbert, sont heureux de faire part de la naissance de leur fils Michel.

FIANÇAILLES

M. et Mme Armand Schuhl ont le plaisir d'annoncer les fiançailles de leur fille Françoise avec M. Gilbert Halbers. On annonce les fiançailles de Mlle Jacqueline Nerson avec M. JacquesPierre Nordmann.

On annonce les fiançailles

De Mlle Geneviève Devilder avec M. Jean Millet de Mlle Sabine Rolin avec M. Yves Drlon.

MARIAGES

Nous apprenons le mariage de M. Raymond Orbichon avec Mlle Linda Anzâni.

3 EU ILS

On annonce la mort, survenue à Labàtut-Rivière, à l'âge de soixantequinze ans, de M. de Germon. Il avait épousé Mlle Bernadette Riant, fille du membre de l'Institut et laisse quatre enfants.

Nous apprenons la mort, à l'âge de trente-deux ans, de notre confrère Paul Vaueheret, qui publia dans divers quotidiens des articles sous le pseudo.nyme de Paul Troyes.

Le colonel Cabanes, officier de la Légion d'honneur, vient de mourir à Or.léans à l'âge de quatre-vingt-deux ans. On aÉionce, à Metz (Moselle), la mort, après une très courte maladie, du R. P. Bernard Pioche, de la Compagnie

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VU ET RETENU

♦ De fort nombreuses coiffures du < soir paraient l'autre soir, à la présen- J tation par Art et Tourisme d'un grand film inédit, les têtes du Gotha politico- 1 mondain, sous l'oeil aimable de M. Le- < brun. Elles accompagnaient à ravir des, robes aux dos généreusement décolletés et donnaient aux femmes un petit air romantique fort seyant,

L'une d'elles était composée d'une torsade de moire rouge retenant sur le front une touffe d'autruches; l'autre représentait une sorte de chéchia en ma- i rabout marron noué de côté par un pe- tit nœud de ruban; une autre encore 1 était composée d'un nœud de velours noir laitoné retenant une longue voilette de tulle, tandis que sa voisine, pe- tit calot de paillettes d'or, se voilait d'un flot de fme dentelle noire.. ♦ Les robes, pour la plupart, se re-

UNE MODE QUI DURE.

Les modes se succèdent, meurent et ressuscitent. Cependant, certaines choses, certains bijoux furent toujours à la mode depuis leur apparition, ne variant, au cours des siècles, que dans leurs formes et leurs matières. Il en est ainsi des chevalières primitivement, elles étaient faites avec des pierres ou de l'os, gravées en creux chez les Grecs, puis les Romains de qualité, elles servaient de sceau. Cet anneau-cachet se portait au quatrième doigt. Sous l'Empire romain, seuls les chevaliers avaient le droit de porter ces cachets, en or.

Depuis ce temps, les chevalières ne cessèrent jamais d'être d'actualité. De nos jours, la mode eu est de plus en plus grande, soit qu'on y fasse inscrire en creux ses armes, ses initiales ou parfois même un emblème de fantaisie, d'une valeur artistique.

Cette bague est aussi bien faite pour une main féminine que masculine, elle

M. MARCHANDEE) A L'AMERICAN CLUB M. Paul Marchandeau, ministre des finances, a été, hier, ù midi, l'hôte d'honneur de l'American Club, où il a été reçu par M. Malcolm Davis, président.

On remarquait le présence de MM. Philippe Roy, ministre du Canada Norman Armour, ambassadeur des Etats-Unis au Chili, de passage à Paris: Fournier, gouverneur de la Banque de France Rueff, directeur du mouvement général des fonds Tardel, directeur du budget Bizot, premier sousgouverneur de la Banque de France Deroy, directeur de la Caisse des dépôts et consignations Wilson, premier conseiller de l'ambassade des EtatsUnis du prince de Beauvau-Craon, président du Cercle Interallié, et de nombreuses personnalités financières françaises et américaines.

M. Malcolm Davis a exalté l'esprit constructif du maire qui avait su réédifier Reims dans un temps record. M. Paul Marchandeau a pris ensuite la parole. Il a dit que les nouvelles les plus agréables qu'il recevait étaient celles qui avaient trait à la coopération entre les grandes démocraties. Au passage, il a salué le caractère étroit que prend cette coopération cta'a, pas ittUnqué de signaler l'importance de l'accord tripartite « qui est une réalité vivante »•

de Jésus, professeur de rhétorique au Collège Saint-Clément, chevalier de la Légion d'honneur, médaille militaire, croix de guerre, vice-président de l'A. G. M. G., président de l'Union départementale des associations d'anciens combattants de la Moselle, membre du comité de direction de la CJ.A.M.A.C., administrateur du sanatorium JeanThébaut. Ses funérailles auront lieu au Collège Saint-Clément demain samedi 12 février, à midi. Réunion à la clinique Bon-Secours, à onze heures quinze. L'inhumation aura lieu dans le caveau de famille à Nevers lundi 14 février. Un service sera chanté à la cathédrale de Nevers, à dix heures et demie. De la part des Pères et professeurs du Collège, de ses élèves et anciens élèves, et des anciens combattants membres des associations dont il faisait partie. D'Amiens, on annonce la mort, dans sa quatre-vingt-septième année, de M. Félix Bellet, ancien juge au tribunal de commerce, vice-président du conseil des directeurs de la Caisse d'épargne, chevalier de la Légion d'honneur. De la part de M. et Mme Félix Bellet et leurs enfants, de M. et Mme Edmond Bellet et- leurs enfants. Les obsèques auront lieu demain 12 février, à dix heures trente, à Amiens, en l'église SaintAcheul. `

On nous prie d'annoncer la mort de Mme veuve A. Canlorbe. Les obsèques seront célébrées le samedi 12 février, à dix heures, en l'église SaintPierre de Chaillot. On se réunira à l'église, 35, avenue Marceau. Inhumation au cimetière du Père-Lachaise. De la part de M. et Mme Charles Canlorbe et leurs fils, Mme Gaston Canlorbe et ses enfants, M. et Mme Georges Demogé et leurs enfants. Le présent avis tient lieu de faire-part. Ni fleurs ni couronnes.

Nous apprenons la mort de M. Georges Thorel, ancien inspecteur des finances, secrétaire général de la Compagnie de Saint-Gobain. Les obsèques auront lieu le samedi 12 février, à neuf heures, en l'église Sainte-Madeleine. Mme Geo-A.. Roussel, M. et Mme Tony Roussel et leur fils ont la douleur de faire part de la mort du docteur GeoA. Roussel, pieusement décédé le 7 février, en son domicile, 42, rue CharlesLaffitte, à Neuilly-sur-Seine. Selon la volonté du défunt, les obsèques ont été célébrées dans la plus stricte intimité. On annonce la mort de Mlle Marguerite de Villeméjane, survenue à Paris le 10 février. Les obsèques auront lieu le 14 février à Nîmes.

On annonce la mort

De Mme Paul Duiuônl, née Taillerert; de .Mme Grosmann, née Marie Diamant, à Paris de M. Léon Lévy, à Paris.

Valtleury.

PETIT CARNET

Le Tome Il du Grand Armorial de France d'Henri Jougla de Morenas pa.raîtra en Mars.

Les nouveaux éditeurs ont limité son tirage à 1.700 exemplaires, dont la plus grande partie est déjà souscrite. Pour tous renseignements concernant ces volumes, payables au fur et à me.sure de leur parution, écrire à la Société du Grand Armorial de France, 22, rue du Docteur-Potain, Paris, ou téléphoner, entre 11 et 12 heures, à Bal. 16-87. Smart.

couvraient de petits vêtements flottants boléros, vestes vagues en drap de tou vif, vermillon, bleu de Prusse, violet brodés de motifs clinquants et lourds comme une chasuble épiscopale. ♦ Un long burnous rouge ardent recouvrait une robe de crêpe bleu nuit Un paletot mi-long en lainage bleu s'alliait à une robe fourreau de drap praline.

♦ Une robe blanche brodée aux manches de triangles dorés se recouvrait d'un manteau d'hermine doublé de velours émeraude.

♦ Sur une simple robe de drap noir, au décolleté carré, un manteau troisquarts en marabout violet pensée, jetait sa note nuageuse et souple.

Comtesse d»! S.

C~ ,1 ©

se porte en toutes circonstances et cependant convient tout particulièrement à la femme sportive.

D'un prix abordable, la chevalière peut être réalisée dans un grand nombre de matières, plus ou moins précieuses.

Clerc, 4, place de l'Opéra. en possède un choix unique, en or, en deux tons, en or et platine, en platine, en pierres fines de toutes teintes, montées sur or ou platine d'autres sont entièrement en pierres Unes et, enfin, les plus belles sont en pierres précieuses, choisies parmi celles qui sont assez tendres pour permettre la gravure.

Voilà un bijou que beaucoup de femmes n'hésiteront pas à acquérir, si elles ne l'ont déjà. Nulle part ailleurs, elles ne les trouveront dans de meilleures conditions que chez Clerc, maison si sé.rieuse, spécialisée dans la réalisation de ces bijoux.

Le Palais de la Découverte va rouvrir ses portes

On lui donnera

dans deux ou trois ans

un emplacement définitif Le Palais de la Découverte, momentanément au Grand Palais, rouvrira ses portes au public le l<>r mars prochain. Commentant cette nouvelle, M. Jean Perrin a déclaré que les salles étaient maintenant dotées du chauffage, ce qui permettra d'éviter une nouvelle fermeté re l'hiver prochain.

D'autre part, il annonça que dans deux ou trois ans un nouveau palais serait édifié sur un terrain offert par la Ville de Paris. Plusieurs emplacements ont été déjà proposes, notamment quai de Passy et près de la Tour Eiffel. II serait érigé par un con.ité de grands savants en contact permanent avec le service des Recherches scientifiques.

COURRIER

DES ARTS

L'exposition Yves Brayer Jusqu'au 17 février, en cette même Galerie Jean Charpentier, où il connut, il y a quatre ans, un si vif succès, Yves Brayer montre ce qu'il a rapporté de son dernier séjour en Italie. Si c'est le visage, l'âme de Vérone, Padoue, Venise et Rome, c'est aussi la vie palpitante d£s rues baignées de lumière que l'on retrouve en ces peintures. L'art personnel du peintre n'est plus à décrire. Verve spirituelle, acuité d'observation, fantaisie sans cesse renouvelée d'un talcnt s'exprimant avec ampleur et liberté, tout i<ù est marqué d'un ardent dynamisme.

Autour des splendeurs qu'enveloppe la douceur du climat italien, l'artiste ne cède pas à la rêverie c'est en chroniqueur amuse qu'il se promène. Traduisant l'actualité, des notations rapides, certes, mais d'une rare intensité, évoquent les mœurs, soulignent ,le pittoresque des êtres et des choses; analysent les faits. Ceux de ses tableaux s'inspirant de l'activité religieuse se classent, dès aujourd'hui, comme des pages d'histoire. Et ce côté passionnant de l'œuvre d'Yves Brayer n'échappera ni aux amateurs qui le suivent, ni aux adeptes qui, chaque jour plus nombreux, se groupent auteur de ce jeune maitre.

Paul Hermant.

LA IlfctSRNEE

La Flamme du Souvenir

A 1S Il. 30, à l'Arc do Triomphe t Amicale des A. C. des 158e et 30S" R. I. < Amicale du 12. R. A. C.

Conférences

A li h. B0, à l'Institut Catlioliauo, Si, rue cl'Assas « La valeur éducatrice des églises », par Mgr Harscouet. A 14 11. -i5, ISS, boulevard saim-Germain: La Grèce », par M. Jacques de Lacre telle.

A 16 b. 30, 10, rue de Condé « Les fantaisies de la mémoire •->, par Mme Lucie Gutllct.

A 17 heures, 18, rue d'Assas Vtivaux de la .Normandie par M. Jean Lafond.

A 17 heures, au Théâtre des Variétés, 10, rue de la Chancellerie, à Versailles L'enfance de Mme de Malntenon au château de Meursay u, par m. Georges Mautruin.

A 18 heures, 89, rue de la Faisanderie « Venise », par M. Angiolettl (Avec projections).

A 18 heures, 252, Faubourgr-SaintHonoré « Les origines du natlonal-sociullsixie », par M. E. vermeil.

A 20 h. i5, l rue de Trévise (Au Cercle protes'tant) « Sortilège noir », par M. Mare Chadourne.

A 21 heures, S, rue Danton: c Les quatre tentattons de Pierre Corneille », par y. nobert Brasillach.

Expositions s

Au Urand-Palais Salon des Arts ménagers. Art et tradition le boudoir. Au Jeu de Paume des Tuileries choix de collections permanentes.

A Galliéra l'atelier Jean-Paul Lati-

rens.

-•51, rue de Seine U don féminine des carrières libérales.

240 bis, boulevard Saint-Oermaln art religieux moderne.

Au Musée des Ar's Décoratifs, 107, rue de Rivoli Caricatures et mœurs anglaises. A la Bibliothèque Nationale Les enlumineurs français.

20, rue de Berri Le visage de la Belgique vu par ses peintres.

a, rue Miehelel Saint- Sêverin (photographies). (L'après-midi).

7, Faubourg-Saint-Honore1 Exposition Neubertova.

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LE FIGARO

AlONN-efiCENT' France et Colonies. Belgique et Luxembourg ETRANGER

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Frais da changement d'adresse Z francs. Joindre ta bande d'abonnement A toute demande de reuouveUentent, changement d'adressc. réclamation, etc à défaut de bande, rappeler le numéro d'inscription <1« l'abonnement et sa date d'échéance. Compte de chéques postaux n" 242-S3.


LE CODE DU TRAVAIL A LA CHAMBRE `

M. Jouhaux ne désire pas toujours

que l'Etat "s'en mêle. (Suite de la première page.)

Les récents arbitrages sur les salaires, en particulier, leur laissent un poids sur le cœur et même une pointe d'hostilité. De juin 1936 à l'automne dernier, les surarbitres aimaient à entériner purement et simplement la hausse du prix de la vie dans la métallurgie, par exemple, l'échelle mobile n'aurait pas sensiblement accru les salaires, plus que l'a fait l'arbitrage. Mais depuis deux mois grave changement pour une hausse du prix de la vie de dix pour cent, voici que l'arbitre n'accorde plus (dans le textile du Nord, par exemple) que cinq pour cent pour l'augmentation du salaire. L'intérêt général qui est de freiner la hausse intervient et l'on coupe le dommage en deux. Du même coup, les dirigeants cégétistes perdent un peu de leur considération pour l'Etat tutélaire assidûment dévoué à la revendication ouvrière ainsi que fut le premier gouvernement de Front populaire.

Ce qui rend l'Etat moins aimable à leurs yeux, c'est que l'Etat a changé l'Ktat-Chautemps n'est plus l'Etat-Blum. De telles perturbations rendent songeur pour l'avenir. Le drame est en province La méfiance antiétatiste de M. Jouhaux s'en prendrait également, si j'en crois les confidences des députés commissaires du Travail, à l'extension automatique des conventions collectives.

Imaginez dans un bourg de Saôneet-Loire me entreprise de confection qui occupe trente travailleurs. Elle a échappé jusqu'ici à la convention collective. Le petit patron n'entend rien à ces inventions de Paris et il n'en veut pas. C'est un homme qui lutte désespérément contre les temps. L'univers entier est ligué contre lui la grande entreprise de la ville lui enlevé sa clientèle par les prix que permette un meilleur outillage ou, s'il travaille pour elle, il se voit imposé un'iarif aux pièces très dur; après le concurrent, le percepteur après le percepteur, lanoire politique et puis, au bout de l'an, les bénéfices si maigres qu'on prend des hargnes de « pauvreté » et enfin ce sentiment terriblement accru d'instabilité, qui corrode les meilleurs vivants Alors, au mot de convention collective, il se hérisse « Ah non, par exemple Si les ouvriers se mettent eux aussi à m'embêter, il n'y a plus qu'à fermer. Si je n'avais pas créé mon établissement, où auraientils du travail ici '? « Patronat de combat », ainsi le nomment les cégétistes bien plutôt petit patronat d'origine empirique, artisanat grandi, farouche dans son pouvoir et sa lutte et qui se dresse devant la convention collective comme les paysans de La Flèche devant l'exploit d'huissier. D'ailleurs, il a augmenté les salaires, souvent donné le congé .payé, mais quant à signer, non Les services de la Préfecture qui ont adressé depuis quelques mois des rappels discrets pour l'établissement d'une convention collective, il faut du temps pour s'adapter à une telle révolution, d'autant plus modérés que, si le secrétaire de l'Union départementale des Syndicats vient réclamer ardemment près du préfet, les trente travailleurs intéressés, eux, ne bougent pas. Certains ont dans leur poche la carte de la C. G. T., mais aucun ne bouge.

Dame ce n'est guère commode de faire de l'action syndicale dans un bourg de Saône-et-Loire Le petit patron aurait tôt fait de mettre à la porte le meneur ou la « meneuse » et à ce travailleur licencié ne s'offre aucune autre entreprise il est attaché à cette terre, il y possède, lui ou les siens, une ferme, une vieille maison, des champs. Un petit propriétaire ne s'expatrie pas. Reste enfin que l'opinion du bourg peut très bien se placer aux côtés du petit patron, bien loin d'être toujours un imposant notable il va au café, il est président de la fanfare ou de l'association sportive, il est peuple. Et les paysans des alentours ricanent, injustes « II n'y en a plus que pour les ouvriers. gagner des cinquante francs par jour et ne rien faire »

Comment les trente travailleurs imposeraient-ils eux-mêmes les droits inscrits dans les conventions collectives

tes petites affres de la C. G. T. L'extension automatique de la convention collective consiste en ce cas dans l'opération que voici. Le délégué de M. le préfet n'ira plus, rond et persuasif, déclarer au petit patron insoucieux de l'accord Matignon « Allons un bon mouvement. Vous êtes cinq ou six dans le département qui faites de la confection, réunissez-vous, désignez des délégués et nous établirons la convention. » Changement de tactique M. le préfet prendra sa plume d'oie et proposera au ministère l'application aux entreprises récalcitrantes de telle convention, signée dans la région, qui lui paraîtra convenir. Et deux mois plus tard, l'inspecteur du travail ira en tournée, son carnet de contraventions à la main.

Au mot extension, M. Jouhaux crie bravo 1 Mais dès que surgit l'épithète automatique, il tend un doigt accusateur sur un Etat dévorant. La C. G. T. désire, certes, que tous les salariés soient protégés jusque dans le dernier village, mais que cela se fasse sans elle, autrement que sous son contrôle et par ses hommes, jamais Elle oppose à l'extension automatique le système de la convention collective nationale ou au

SUITE DE LA PREMIERE PAGE LE SORT DE LA MISSION PAPANINE

M. Otto Schmidt, directeur de l'administration de la voie maritime du Nord, qui dirige l'ensemble des expéditions de secours et s'est embarqué sur l'Ermal;, a pris la parole à un meeting avant le départ. Il a remercié les marins de leur zèle et a promis que l'Ermak ramènera les héros sains et saufs.

D'autre part, le brise-glace Taimyr, qui a pénétré déjà dans 1? zone des glaces, a rencontré une forte tempête accompagnée de chute de neige, qui l'a obligé a modifier sa route. Le navire et son avion sont indemnes. Aux dernières nouvelles^ le Taimyr avancerai), ;i la

moins régionale que ses délégués pourront discuter.

Sur le point de savoir si l'ouvrier doit vivre sa vie syndicale, participer avec une 'intelligence critique à la défense professionnelle ou bien ne subir que passivement les réglementations d'État, il faut bien donner raison à M. Jouhaux. On remarque, par exemple, que, même en ce temps de syndicalisme démesurément occupé de politique, les corporations qui connaissent le moins de désordre sont celles où les ouvriers ont une longue éducation syndicale celles aussi qui se défendent le mieux, au sein de la C. G. T., contre l'imperium du parti communiste. L'étatisme ne vant rien pour nous, Français. L'on s'en persuade vite en voyant fonctionner les fameux corporativismes des Etats totalitaires, si beaux sur le papier et désastreux quand on attend de la vie sociale un épanouissement de l'individu la vie syndicale des patrons et des ouvriers consiste souvent à obéir à des réglementations ministérielles dans l'élaboration desquelles ils sont loin d'avoir toujours part. Et d'ailleurs à quel moment de notre Histoire a-t-on jamais vu l'Etat se charger de l'organisation professionnelle Durant les deux grands siècles de l'organisation des métiers, les rois, je crois bien, n'ont jamais eu à intervenir et l'action du prévôt de Paris, pour cette région, n'a jamais pris, n ¡ de loin ni de près, figure d'autorité gérante.

Honorons donc dans l'anliétatisrne de M. Jouhaux, le souci, si aléatoire qu'il soit, de laisser les travailleurs débattre leurs intérêts. Mais il est un autre souci l'extension automatique risque de tarir le recrute» ment de la G. G. T. chez les travailleurs ruraux. Les ouvriers des petites villes et des bourgs, s'ils reçoivent de l'Etat la protection et les avantages du contrat collectif, comment se résigneront-ils à adhérer au syndicat cégéliste, à entamer cette action syndicale, facile dans l'anonymat de la grand*: ville et terriblement incommode là où le simple salarié est fortement encadré de paysans et de petits propriétaires ? De plus, l'adhésion n est pas gratuite 1 ouvrier rural a l'économie paysanne il ne se fait pas un plaisir de donner huit ou neuf francs par mois pour telle C. G. T. de Paris et les syndicats du chef-lieu. Au vrai, si le nombre des adhérents à la C. G. T. approche de cinq millions, celui des cotisants est très loin de compte. Dans les grandes usines parisiennes même, les responsables syndicaux, lors de la paie de quinzaine, se forment en piquet à la sortie pour percevoir la cotisation il en est qu'ils doivent arracher par-la menace.

L'étatisme ne favoriserait pas la trésorerie de la C. G. T.

Petits côtés de l'affaire l'inquiétude d'esprit et de conscience que nous éclairerons demain de certains militants éclairés offre plus d'intérêt.

Mil'1 Noël.

DEMAIN

Le juge de paix devient l'incarnation du tyran

Le marquis de Portago nie avoir remis des poisons à Escoriaza

Bayonne, 10 février. Ce sont maintenant quatre Espagnols qui sont inculpés de trafic de matières vénéneuses et de fasification et usage de faux passeports.

L'un des inculpés, José Escoriaza était chauffeur de taxi à Bilbao devenu par la Révolution commandant du bataillon Malatesta dans l'armée républicaine basque, il s'était réfugie i Bayonne lors de la prise de Bilbao, puis s'était installé à Biarritz un autre inculpé, Arana, qui est âgé d'une trentaine d'années, avait servi comme officier dans la milice républicaine de Lecjuaito il était également réfugié en France depuis la prise de Bilbao. A peu près dénués de ressources, tous deux auraient été charges de missions spéciales dans les milieux gouvernementaux réfugiés sur la côte basque, milieux dans lesquels, étant donné leurs états de service en Espagne ils pénétraient aisément.

Quant à José Martin, ancien commissionnairc de la Conimandancia mili-, taire d'Iruu, il aurait été chargé par le] marquis de Portage de remettre à Escoriaza et à Arana un flacon de chloroforme et les deux tubes de bacilles saisis la remise devait avoir lieu dans un bar de Bayonne où rendez-vous était fixé pour mardi après-midi or, Martin, on le sait, fut arrêté le matin du même jour à Paris et les deux autres à

Bavonne.

Selon tes dépositions de Martin et d'bscoriaza, les conjurés devaient chloroformer trois républicains espagnols réfugiés dans la région et les exécuter au cas oit ils résisteraient. Toutefois, M. de Portago nie formellement ces faits. D'après les déclarations d'une personnalité d'Euzkadi, Escoriaza et Arana étaient depuis longtemps déjà considérés comme suspects par les réfugiés basques. M. Banne!, juge d'instruction, a de nouveau interrogé et confronté, cet après-midi, les quatre iuculpés le. marquis de Portago était assisté de M* Mettetal Escoriaza et Martin, de Mc Lamarque et de M' de Sèze le défenseur d'Arana n'est pas encore désigné. Le magistrat a procède, en présence des inculpés à l'ouverture des malles et des scellés.

1 On annonce que la marquise de Partago, de retour de Londres, aurait demandé à être entendue par le juge d'Instruction à propos de l'inculpation de M. I de Portago.

lueur de projecteurs, à travers les glaces épaisses et feuilletées, à la vitesse de neuf milles il a réussi à se mettre en relation par radio avec le Mourmanetz, qui, pris dans les glaces, dérive vers le Sud dans le brouillard. Enfin, le briseglace Alourman est arrivé dans la mer du Groenland, ayant parcouru 410 milles, soit la moitié de la distance lé séparant de la station polaire dérivante ila rencontré une forte houle, mais, bien que donnant une bande de -3 degrés. le navire a marché à 10 ou Il

nœuds.

LA NON-INTERVENTION EN ESPAGNE LE PROBLEME DES TECHNICIENS ETRANGERS PARAIT PRIMER CELUI DES VOLONTAIRES Œ)e notre ̃ oorrosi>oaad.a3at ^particixliear, -par •téléplu.oaa.e)

Londres, 10 février.

M. Eden a reçu cet après-midi, pour la quatrième fois en moins d'une semaine, le comte Grandi avec qui il s'est entretenu pendant plus d'une heure, à peu près exclusive- ment de l'Espagne. Dans la soirée, dès sept heures, M. Corbin eut égà- lement une longue entrevue avec le secrétaire d'Etat au Foreign Office, qui l'informa de sa conversation avec l'ambassadeur d'Italie. Une entente de principe semble avoir été réalisée sur la question des volon- taires et la bonne volonté que mon- trent les deux parties permet d'espérer de prochains et heureux résultats sur d'autres questions plus importantes également relatives à l'Espagne. Les représentants du Foreign Office et de l'ambassade d'Italie ont l'un ej l'autre exprimé ce soir leur satisfaction. La situation semble se présenter de la façon suivante

Depuis quelques semaines, les troupes italiennes combattant en Espagne ont été progressivement réduites. Selon les chiffres communiqués par des informateurs britanniques, elles ne s'élèveraient pas à

LA RECONNAISSANCE DE L'EMPIRE NOOS INTERESSE SEULE

déclare la «Stampa»

L'activité diplomatique déployée à Londres en vue d'un accord international relatif aux a0'aires d'Espagne n'a fait hier l'objet d'aucun commentaire politique dans les organes italiens. Aucun article ou information officieuse ne fait prévoir quelle sera finalement l'attitude italienne en ce qui concerne le retrait des combattants LA GUERRE D'ESPAGNE Une pause

dans l'offensive

au nord de Teruel

Bayonne, 10 février. L'offensive des nationalistes au nord de Teruel parait marquer une pause que ceux-ci mettent a profit pour nettoyer la sierra Palomera. Des détachements isolés dont l'effectif va d'une escouade à une compagnie, se rendent çà et là sans résistance. Les assaillants récupèrent en outre un abondant matériel abandonné par les répu- I blicains. «W

Scotland Yard

résoudra-t-il l'énigme d'un puzzle sanglant ? Londres, 10 février. Une ttjystérièu'se affaire criminelle vient d'êt,rc ré- vélée par Scotland Yard. Elle a eu pour -i- origine la découverte, le 10 janvier, aii pont de Haw, sur la Severn, près de Tirley (Gloucestershirc) d'un gant maculé de sang et de traces sanglantes sur le

parapet.

Le 24 janvier, et sans que la police ait songé à établir le moindre rapport entre les deux découvertes, un danseur mondaiu, Briau Sullivan, âgé de -27 ans, était trouvé mort à son domicile de Chcltenham « Tower Lodge s (Gloucestershire), asphyxié par les émanations d'un réchaud à gaz.

Le 3 février, un torse humain, lesté au moyen de briques, était ramené à la surface de la Severn par un pécheur.Des draguages étaient immédiatement entrepris et, le surlendemain, on ramenait un bras lesté de la même manière. Le 7 février enfin, on apprenait que le capitaine \V. B. Butt, officier en retraite, avait disparu de son domicile dans des circonstances assez mystérieuses, le 4 janvier, et qu'on était toujours sans nouvelles de lui.

Le capitaine, âgé de 52 ans, demeurait également à Cheltenham et, selon les témoignages de plusieurs amis communs, entretenait des relations suivies

avec Sullivan.

Des dragages ultérieurs amenaient la découverte de deux jambes, toujours lestées au moyen de briques.. Les progrès de l'enquête, quoique as- sez lents, permettent de supposer que les débris humains ramenés du fond de Ja Severn sont les restes du capitaine Butt, mais rien de précis n'a encore pu être établi et les circonstances de la mort de Sullivan demeurent mystérieuses.

Scotland Yard ne suit pas moins de cinq pistes différentes, notamment celle d'une jeune fille dont on ne révèle pas l'identité

NOUVELLES BREVES

1 ETRANGER i L'ajournement du voyage aux Indes du roi George VI j Londres, 10 février. D'après un j ¡ communiqué officiel du secrétaire d'Etat pour l'Inde, le roi George VI aurait fait ajourner les cérémonies de Dùrbàr auxquelles il devait assister à l'occasion de son couronnement, afin d'éviter au budget de l'Inde une charge nouvelle. L'incident soviéto-esthonien j du lac Peipus

Talin, 10 février. Les journaux esthoniens commentent abondamment le nouvel incident sanglant survenu sur le lac Peipus, et en attribuent la respon- sabilité aux autorités soviétiques. ALLEMAGNE. Le procès contre le pasteur Niemœller recommencera la semaine prochaine.

'MM. Jetai Goy, Scapini et llenri Pichot, représentant les Associations d'anciens combattants français, sont arrivés à Berlin,

ETATS-UNIS. Le président Roosevelt, dans une lettre adressée au pré- sident de la Chambre, demande de nouveaux crédits de l'ordre de 250 millions de dollars pour les secours aux chômeurs, jusqu'au 30 juin 1938.

ETA'fS-UXlS. -̃*̃ la visite « Buenos- Aires de borribiirdiers quadri-moleurs dits « forteresses volantes » il l'occasion de l'élévation de M. Ortiz à la présidence sera une démonstration de la puissance de l'aviation aniéricaine. ETATS-UNIS. 26 officiers. généraux seraient mis à la retraite au cours de 1938.

GR.4'NDE-BRET.4GNE. Le Roi a reçu, hier matin, au palais de. Buckingharn, Sir Robert Vansittart, premier conseiller diplomatique du gouvernement, auquel il a remis les insignes de

plus de 23.000 hommes (en plus des 4.000 techniciens allemands). En raison de l'augmentation considéra- ble du nombre des troupes de na- tionalité espagnole combattant avec les deux partis, le problème que pré- sentent les volontaires étrangers est moins grave et beaucoup moins im- portant qu'il ne l'était il y a quel- ques mois. Ce sont les techniciens, auteurs ou instigateurs des bômbar- dements de Barcelone et de Valence; ce sont les renforts d'armements et de munitions qui importent maintenant. Le nouveau projet britannique tend à régler au préalable ces deux problèmes. Il est naturel que les Italiens demandent alors des garanties de contrôle et le retrait des techniciens qui sont au service tîe Valence. La commission internationale qui va partir incessamment pour l'Espagne aurait donc moins pour tâche d'évaluer le nombre des volontaires combattants que celui des techniciens et c'est du retrait de ce personnel d'élite que dé- pendrait maintenant la reconnaissance du droit de belligérance.

Aujourd'hui, M. Eden cherche à réaliser une entente avec l'Italie sur

étrangers et les autres problèmes annexes.

Cette discrétion n'est d'ailleurs pas faite pour surprendre puisqu'elle est de tradition dans la presse fasciste toutes les fois qu'une négociations importante est engagée par le gouvernement. Au contraire, la réserve actuelle semble indiquer qu'il existe effectivement des pourparlers et que M. Mussolini s'apprête à prendre une décision.

Seule, la Stampa consacre à la situation quelques lignes éditoriales. Le journal de Turin constate l'optimisme de l'opinion britannique et le désir certain qui existe à Londres de voir s'améliorer les rapports eutre les deux pays. « Cette nouvelle atmosphère, conclut l'article, peut être utile mais il est iudispensable de ne pas s'arrêter aux paroles. D'autre part, nous ne demandons pas de concession mais seulement la reconnaissance de la souveraineté italienne en Abyssinie. »

Sous cette forme laconique s'affirme la volonté du gouvernement de Rome de poser quoi qu'il arrive le règlement de la question éthiopienne comme condition préalable à tout rapprochement avec l'Angleterre et à toute entente internationale en général.

Madeleine-R. Angles.

Après les élections d'Irlande du Nord «L'UIster est dans l'Empire et y restera » DECLARE LORD CRAIGAVON

Belfast, 10 février. Les résultats des élections de l'Ulster connus jusqu'à présent semblent indiquer que le parti unioniste est désormais assuré de vingthuit sièges, donc de la majorité absolue au Parlement.

Ces vingt -huit résultats comprennent les neuf stèles non disputés et six-neuf autres où les électeurs viennent de donner la majorité aux candidats de lord Craigavon, premier ministre de l'Clster. Dans une interview accordée à la presse anglaise, lcd Craigavon a dé, claré que le résultat des élections « fait disparaitre la question de l'union de l'Irlande du Nord et du Sud du programme de nêgociatious de M. de Ya-

lera s>.

« La détermination du peuple, a-t-il ajouté, a été de nouveau exprimée Solennellement d'une manière démocratique et constitutionnelle i'Ulster ne veut pas changer sou unité avec le RovaumeUni pour l'union avec l'Irlande du Sud. » Cette question est définitivement et nettement refilée.

> L'opposition 4e l'Ulster est sans appel, a ajouté lord Craigavon. Les loyalistes considèrent comme les tables de la loi l'acte sur le gouvernement de l'Irlande. Aux termes de cet acte, nous avons accepté à contre-cœur qu'on nous donnât un Parlement, et l'acte constitue

chevalier grand' aoî.v de l'Ordre du Bain. (G. C. B.)

ITALIE. La « Gazette Offi. cielle » public un décret-loi pris en novembre dernier, autorisant un crédit supplémentaire de 193 millions pour de nouvelles constructions navales,

.Le nouvel hebdomadaire 11 Gior.nalissimo dont le premier numéro est mis en vente aujourd'hui devient l'organe de l'aiitisémitisnie.

MANDCHOUKOUO. Le gouverne- ment mandchou vient de nommer MM. Hsu Shao-Ching et Akio Mishiro respectivement ministre et conseiller à la légation du Mandchoukouo à Kome. M. Mishiro était jusqu'ici commissaire des douanes du Mandchoukouo à Tokio. PALESTINE, Deux agents de police arabes ont arrêté, dans un marché de Ilaïfu, le clieil; Mohamed Hussein. Au moment ou il allait être arrêté, le cheik sortit un revolver, mais les policiers le ceinturèrent avant qu'il ait eu le temps de faire usage de son arme. SUISSE. Cent quatre-vingtseize membres des Chambres fédérales ont adressé au conseil fédéral un appel 1 contre les bombardements des villes j ouvertes,

INFORMATIONS POLITIQUES Rochefort, 10 février. Le comité; radical-socialiste s'est, à l'unanimité, prononcé en faveur de la R. P. Les délégués au petit congrès de Paris se prononceront donc en faveur de la réf orme électorale.

Bordeaux, 10 février. M. Marcel Gounouilhou, ancien député du Gers, conseille. général de lk Gironde, maire d'Arcaehon, dent d'annoncer officiellement à ses adjoints qu'il abandonnait les fonctions de maire.

les questions vraiment fondamentales dont peut dépendre ultérieurement le règlement définitif de l'af- faire espagnole. Un tel accord ne se fera pas sans que le gouvernement de Rome reçoive en échange quelques compensations. Quelles sonfelles ? C'est ce que probablement le comte Grandi révéla à M. Eden pen- dant les quelques minutes où il ife fut pas question de l'Espagne. Gérard Boutelleau.

LA GUERRE EN CHINE Le maire de Canton

signale à la S.D.N.

de nouveaux bombardements de villes ouvertes

Genève, 10 février. M. Wellington Koo, délégué permanent de la Chine à Genève, a reçu du maire de Canton un télégramme dont il a saisi immédiatement la Société des Nations, et attirant l'attention de celle-ci sur de nouveaux bombardements aériens qui se poursuivent sans interruption depuis 48 heures sur des villes ouvertes autour de Canton.

« Cent avions ont, dit le télégramme, participé à des raids qui ont tué un grand nombre de personnes dans des zones absolument non militaires. » Ces bombardements aériens continus nous paraissent être non seulement une manifestation de cruauté inhumaine, mais encore un défi flagrant à la résolution de la Société, ainsi qu'à l'opinion mondiale qui, à l'heure actuelle, se prononce énergiquement contre les massacres de civils par des attaques aériennes. »

Bombardement des forts de Bocca-Tigris

Canton, 10 février. Trois navires de guerre japonais ont, à nouveau, bombardé Jes forts de Bocca-Tigris, dont les batteries ont riposté au feu de l'ennemi. L'engagement a duré environ une demi-heure.

Un détachement japonais débarque à Wei-Hai-Wei Shanghaï, 10 février. Deux navires de guerre japonais ont débarqué un détachement de soldats, au début de la semaine, dans le port chinois de WeiHai-Wei, qui est utilisé comme base par la flotte britannique.

Des protestations énergiques contre ce débarquement ont été élevées aussitôt par les autorités britanniques et les Japonais, après des négociations, se sont retirés.

Deux navires de guerre anglais, le croiseur Suffoll; et le navire d'escorte Sandwich, sont en ce moment dans les eaux de Wei-Hai-Wei.

pour nous un règlement final du problème irlandais. Il ne saurait être question de rouvrir ce dossier. Nos idées ne changeront pas, quelles que soient les promesses que M. de Valera puisse faire à la Grande-Bretagne. Le peuple d'Ulster connaît la valeur qu'on peut attribuer nux promesses des hommes politiques tVlilandc du Sud. L'Ulster est dans l'Empire et y restera. »

M. Beck se rendra

prochainement à Rome

Varsovie, 10 février. La presse polonaise annonce aujourd'hui que M. Joseph Beek, ministre des affaires étrangères, se rendra au mois de mars en visite officielle à Home, à la suite d'une invitation que lui avait adressée le chef du gouvernement italicu il y a quelques mois déjà.

D'autre part, on croit que M. Beck a intention de se rendre, au cours du mois prochain, à Riga, Tallinn et Stockholm, afin de rendre les visites que firent successivement à Varsovie, au cours de l'année écoulée, MM. Akel, Sandlcr et Munters, respectivement ministres des affaires étrangères d'Estonie, de Suéde et de Lettonie.

PARIS

PAR SUITE D'UN DERAPAGE, avenue Gambetta, un autobus de la ligne 95 est monté sur le trottoir et a renversé deux passants qui ont été légèrement blessés. M. Regnaud, 34 ans, demeurant 59, avenue Gambetta et M. Cain, 220 bis, rue des Pyrénées.

PROVINCE

«~«MM~t.

S. Exc. Mgr Choquet, évêque de Langres, est nommé évêque de Lourdes

C'est S. Exc. Mgr Choquet, évêque de Langres depuis 1935, qui succédera, sur le siège de Lourdes, à S. Km. le cardinal Gcrlier. C'est un Parisien àgé de soixante ans qui, comme missionnaire diocésain, avait un grand zèle et beaucoup de dévouement. Il a été décoré de la Légion d'honneur pour faits de ;;uerrc. C'est aussi un excellent orateur.

Il n'a été vicaire général de Paris que quelques mois. évêque de Langres qu un peu plus de doux ans. Ii a, dans ces j différents postes, montre suffisamment de qualités pour se féliciter de lui voir confier l'important diocèse de Lourdes.

DEUX MILLE CARNETS DE BILLETS de loterie et de Sweepstake ont été trouvés chez M. Gorri, à Beausoleil. M. Gorri, qui faisait commerce de ces billets, a. été inculpé d'infraction à la loi sur les loteries.

LE GENERAL GAMELTN, a inspecte à Bourges des établissements de fabrication d'armement, la commission des expériences techniques, l'Ecole centrale de pyroteenie,

Des dissensions se produisent au sein de l'armée allemande, écrit le correspondant du « Times » à Berlin.

Loridres, 10 février. Le correspondant à Berlin du « Times » signale, ce matin, que des dissensions se produisent au sein de l'armée allemande, où les événements de la semaine dernière ont causé un profond mécontentement. Trois généraux auraient démissionné en signe de protestation. L'armée allemande serait divisée en deux camps d'un côté, les partisans des généraux démissionnaires de l'autre, les partisan.* du gouvernement.

Ce correspondant écrit,:

<s Les mesures de la semaine dernière ont eu. pour résultat d'introduire la politique dans l'armée. Le mécontentement des officiers pourrait peut-être s'apaiser rapidement s'ils pouvaient penser que les décisions de samedi sont définitives. Qn se demande, toutefois, jusqu'à que] point le parti insistera sur une réforme de l'année. Kxigeru-Uil, par exemple, la suppression des aumôniers? Demanderat-il l'abandon du salut militaire et le remplacera-t-il par le salut national-socialiste ? Décidera-t-il que les officiers

«Nous ne voulons pas que l'armée

soit abandonnée à elle-même » jo.urrial nazi) 1

Berlin, 10 février. La position du j parti national-socialiste à l'égard de la t hcichswehr est précisée dans un com- ( menlairo du journal Rheinfront, organe de M. Joseph Burkel, chef du district de la Sarre et qui passe pour un des orga- 1 nés les plus radicaux du parti. La t Rheinfront exige sans ambage la sup- t pression de tout groupement ayant sa i vie propre clans l'Etat. « Tout le. pou- c voir au Fuhrer et à son parti, écrit-il. 1 t Ce principe est aussi valable pour l'ar- t niée. Depuis e 4 février, ceux qui t avaient encore un doute à cet égard doi- c vent le savoir a. 1 « Notre respect de l'armée est si

.et l'ex*Kronprinz à Cortina a"Ampezzo 1 se livre aux plaisirs de la neige

C'est mardi 8 février que le kronprinz est arrivé à Oortina d'Anpezzu, dans les Dolomites, pour y faire, dit-on, un séjour d'une ou deux .semaines, consacré' comme chaque année au sports d'hiver.

Aussitôt connu, ce voyage a donné lieu dans l'opinion mondiale à diverses interprétations d'ordre politique. Toutes tirent leur origine du fait que le kronprinz a quitté Berlin moins de trois jours après le coup d'état par lequel M. WALTER EMERY.

le célèbre archéologue, a installé son micro à l'intérieur de la grande pyramide de Chéops, d'où il radio- diffuse les détails de ses récentes découvertes de Saqqarah.

L'AFFAIRE WEIDMANN M. Berry entendra

aujourd'hui

le père de Million

M. Berry. juge d'instruction. avait été frappé, en compulsant le carnet d'adresses de Weidmann, d'y trouver le nom de M. ïowsend. demeurant à Cannes, avenue du Prado. Cette même adresse avait été reportée par Weidmann sur le carnet de Le Blond qu'il déroba à l'impresario aussitôt après le crime. Or, dans la correspondance qui fut saisie à « La Voulzie » et que se faisait adresser Weidmann à l'American Express, on retrouva un certain nombre de lettres émanant de M. ïowseud, qui cherchait une gouvernante pour sa fille à qui il désirait faire effectuer un voya- ge aux Indes.

M. Berry entendra aujourd'hui le père de Million, afin de lui demander des précisions sur le conseil de famille qui se tint à son domicile, trois jours après l'assassinat de Le Blond.

LA DISPARITION

DE M. BUTENKO Une nouvelle note de Moscou à Bucarest

Bucarest, 10 février. La Transcontinental Press apprend que le gouvernement soviétique a adressé, ce matin, au ministère des Affaires étrangères une nouvelle note au sujet de la disparition de M. Butcnko, chargé d'affaires de PU.R.S.S. à Bucarest.

Le gouvernement soviétique critique la lenteur avec laquelle les autorités de Bucarest mènent l'enquête et se plaint des attaques de la presse roumaine contre la Russie soviétique.

Omo

Dernière heure sportive PIERRE LOUIS BATTU PAR ORTEGA

La rencontre Pierre Louis Orlega, disputée hier soir à la salle Wàgratn, s'est terminée par la victoire d'Ôriega aux points. Pierre Louis pensait gagner cependant et envisageait déjà la possibilité de s'attaquer au Britannique Benn'y Lynch. Ce résultat va l'obliger u tcrentrtr p dans le rang et le eontraindra à étre plus modeste la prochaine fois.

En second combat, Aurel Thomas, a battu Maton par h. o. à la deuxième reprise.

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UNE VOITURE DE QUALITE (i 'se trouve dans les Petites Annonces

HI du « FIGARO », rubrique spéciale des ^=e=ee VOITURES SELECTIONNEES

seront recrutés dans le corps des cadets nazis? Adjoindra-t-il aux régiments dei commissaires, instructeurs politiques? » Ces points font partie du programme national-socialiste pour la transformation de l'armée eu une véritable, « ar- rnée du peuple s.

s On est eu droit de supposer que le parti tient tout' particulièrement pour suspects les anciens officiers impériaux, qui ont repris du service depuis 1933 et qui restent empreints des traditions d'indépendance de l'ancien militarisme. On pense que M. Hitler hésitera avant d'exél'uter rigoureusement ce programme mais la menace en affectera fatalement le moral de l'armée. L'incertitude du personnel relativement à l'avenir, causée par le contrôle du parti et de la police, ne manquera pas non plus d'avoir une influence déprimante. C'est probablcment cette incertitude de l'avenir de» relations du gouvernement et de l'armée qui est cause de la tension de la situation politique. » »

C< Rlicifi/ronl » journal nazi) 1

grand. poursuit le journal nazi, qH nous ne voulons pas qu'elle soit aban»donnée à elle-même. »

« Dans ce domaine. le parti fait valoir le droit absolu qu'il a de diriger. Le mot d'ordre par lequel l'armée doit se tenir en dehors de la politique est une invention réactionnaire, dont la réalité de nos jours se moque. Aujourd'hui, toute théorie tendant à faire de l'organisation militaire un domaiuc distinct obéissant à ses lois propres, est coddamnée. Il n'y a plus qu'une loi pour l'ensemble du peuple et de l'Etal le national-socialisme ».

(Hitler a épuré le haut commandement militaire et les directions diplomatiques du Heieli.

On a su, d'autre part, que dans la nuit de lundi à mardi le kronprinj s'était présenté sans passeport à la frontière austro-allemandc de Kustcin. et qu'à cette occasion les autorités autrichiennes alertées avaient dù inlérvenir pour faciliter au prince la continuation de son voyage en chemin de ter jusqu'au territoire italien.

Il n'en a pas fallu davantage pour accréditer le bruit selon lequel le fils du kaiser se serait enfui de sa résidence de Berlin pour échapper à l'hostilité des nazis on pour préparer k l'étranger un complot contre le régime. Il semble bien que cette nouvelle sensationnelle soit sans fondement. En effet il s'est installé à Cortina de la manière la plus^tranquïlle et la plus naturelle du moiâdb et les journaux italiens de mercredi publient déjà des ̃photographies où on le voit en costume de sport se livrer aux plaisirs de la neige. On annonce qu'il compte bientôt rentrer à Berlin où est restée la kronpriniessin. De toute façon, les familiers du prince démentent de la façon la plus formelle les informations relatives à une activité politique quelconque du fils du kaiser.

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Lady Ija Abdy que voici est nne des interprètes de, « La Marseillaise », le nouveau film de Jean Renoir qui passé en ce moment à l'Olympia. liiiiiiiiiiiniiiiiiiittiiiiiiiiiiiitiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiitiiiiittiiiiiiiiiiiiii

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L£S3:oups CET APRES-MIDI

Au Théâtre de Minuit (Théâtre Pigalle), à 17 h. 30, avant-première representation pour la critique de Virage dangereux, pièce en trois actes de M. J. B. Priestley, adaptée par M. Arnaud.

CE SOIR

Aux Bouffes-Parisiens, à 20 h. 45, répétition générale de Les Petites Cardinal, opérette en deux actes et dix tableaux de MM. Albert Willemelz et Paul Brach, d'après te roman de Ludovic Halévxj. musique de MM. Jacques Ibert et Arthur Honegger. ♦ Aux Noctambules 37, à 21 heures, première représentation de Drôle de r'vîie, de M. Serge Veber.

A la salle du Journal, à 21 heures, « soirée Francis de Croisset » .• représen-

Chronique du Music-Hall MARTINI AU THEATRE DE DIX-HEURES ,¡' LE SOUVENIR DE GESMAR

Ëe ..« Tour d'Horizon »i de Martini est toujours la grande attraction B du spectacle du théâtre de Dix Heures. Il est merveilleux de le voir tenir la scène pendant si longtemps, «n communion complète avec le public, en lui • racontant des histoires et surtout en commentant les événements. Le public participe à ce jeu et Martini aime à dire qu'il collabore avec lui. afais c'est une collaboration muette, un accord parfait qui se traduit par des rires, par des applaudissements qui soulignent eei tains traits. Martini exprime ce que son public pense, l'accord s'établit ainsi. Il renoue de cette façon de très anciennes traditions et donne une qualité réelle à l'art du « bonimenteur ». H commente l'actualité. Naturellement, lorsqu'il a trouvé un « mot », un effet, une réplique bien cinglante, une image saisissante bien burlesque, il la^ conserve, il s'en resservira souvent. Il ne,

change pas "izompptemknLchqtjufi; jour

son tour (tHorizc/h,- fZ- à'*des pomls de repère, mais .s il n'empêche que cette improvisation quotidienne a beaucoup de verve et de saveur.

Martini a pour bête noire les parleinentaires et trouve à leur adresse des ,gentillesses épouvantables.

̃ Il ̃« habille les ministres et les gens en place- avec une impertinence incroyable. Il jubile et exulte quand les événements lui fournissent leséléments qui enrichiront sa galerie. On sait que, alors ministre de l'Inférieur après avoir été ministre des Fĩnances, M. Vincent Auriol a été, le 1" janvier, faire un tour dans les prisons. Il a. même embrassé un prisonnier. Or il se trouve que ce prisonnier est un,faux monnaneur. Vous imaginez ̃le partl que Martini a tiré de cette rencontre entre l'émetteur de fausse monnaie et le ministre responsable de la dévaluation Martini est, avec enthousiasme, anti-front-populaire et antisémite.

Avec lui, les chansonniers de la maison composent un excellent tour de chant. Nous avons réentendu avec plaisir la chanson de Jacques Cuthu décrivant nos ministres se faisant harakiri. Jean Rigaux est un imitateur remarquable Pierre Ferraru a un esprit caustique et fin. Jean Rieux, en vers,

SOIREES. Ce soir

/^?RÎ\ vendredi 11 lie Malade /cv' \W imaginaire, Le Voyageur

(̃u(ig80)>i et l'Amour samedi 12 et

V^V JèHI mercredi lfi Asmodëè

Xo dim. 18.Î- Madame .Sans»

dim. 13~, Madame San's-

^• Gêne: lundi 14 Le Men-

tenr. L'anglais tel qu'un le parle; mardi 15 et jeudi 17 L'Ecole des femmes. La Critique de l'Ecole des femmes. MATINEES. Samedi 12 VIII" matinée poétique La prose poétique au dix-neuvième siècle; dimanche 13: As.modéc; jeudi 17 Hernani.

A L'OPÉRA-COMIQUE- Mardi 15 février à 21' h.

Mme Faon; Heidy

M. Vanni Marcoux

M. José Luccionr

feiis LA TOSCA

TH lA T ~E§

LES DATES RETENUES Dimanche 13

PLEYEL. En soirée: centenaire de Pouchkine. CE SOIR

OPERA (Opéra 59-59). à 20 h. 45 Oriane et le Prince d'Amour (M. Serge Lifar, Mlle Lycette Darsonval MM. Serge Peretti, Paul Goubé, Efimoff, Legraiid). Le Cantique des Cantiques (Mmes Carina Ari, liei-grist, Simoni; MM. Serge Lifar, Paul Goubé, Efimoff, Legrand). Fluorescences (ballets Loïe Fuller). Orch.: MM. Philippe Gaubert et Fr. Ruhlmann. Demain Le Vaisseau fantôme.

COMEDIE-FRANÇAISE (Rich. 22-70), à 21 h.: Le Malade imaginaire (MM. André Brunot, Pierre Bertiu, André Bac.que, Dorival; Mmes Béatrice Bretty, Jeanne Sully). Le Voyageur et l'Amour (MM. Yonnel, Pierre Bertin, Madeleine Renaud, Catherine Fonteney; Mme Véra Korène, etc.). Demain, matinée poétique; en soirée Aamodee. BP-ERA-COMIQUE (Rich. 72t00), relâche. Demain Carmen. ODEON (Dant. 58-13), à 20 h. 45 L'Arlësien ic (MM. Louis Seigner, Murzepu, Harry-James, Darras, Eyser, Bàconnet; Mmes Suzanne Courtal, Madeleine Silvain, Nelth-Blanc). Demain, en matinée La Fleur d'oranger, II n'est jamais trop tard: en soirée: David Copperfield.

ARTS iWaB S6-03) a 20 n to Sixième étage (Mmes Andrée Servilauges. Laure Diana. Claire Gérard, Claude Anny; MM: Henri Guisol. Maurice Dorleac Arthur Devère. André Moreaul 1

ATHENEE (Opéra 82-23). à 21 h. 10 Knock (MM. Louis Jouvet, R. Bouquet, Castel, J. Barrot, R. Bogar; Mines Raymone, Odette ïalazac, M. Bérubet, Solange Sicart).

GXhNASE (Pro. 16-15), a 21 h. Le Cap des Tempêtes. pièce en 5 actes, de M. Henry Bernstein. (Victor Francen, Jeanine Crispin. ChSude Dauphin, Jean Wall, Lucy Léger, Hélène Gerber, Georges Pally et Betty-Daussmond). Matinées samedis et dimanches.

MADELEINE (Anj. 07-09). 21 h.: Quadrille. comédie de M. Sacha Guitry-

MICHEL (Anj. 35 t>2), à 21 h. Le Flirt ambulant (M. Alerme, Mlle Mireille Perrey, MM. Oudard, Ed. Roze, Pasquali, Mlle Jane Marken et M. Gaharoche).

BICHODIERE (Rich. 95-23), à 21 h. Les Vigne* du Seigneur <MM. Victor 3oucher, Darzal, Henry Bonvallet, Christian j, Gérard; Mmes Germaine Charley, Suzanne Henry, Simone Seoant).

F~ V~~7~f~

«CAVALIER SEUL» »

M. Emmanuel Berl nous prie de dire qu'il avait, l'an dernier, formé le projet de publier un pamphlet hebdomadaire sous le titre Cavalier seul et déposé ce titre au Petit Parquet.-

Cela pour prendre date et non jp.as pour reprocher à MM. Jean Nohain 'et Diamant-Berger d'avoir. donné ce même titre à la pièce qu'ils vont faire représenter au Gymnase.

M. Berl demande seulement que lui soit reconnue la priorité du titre.

« LA FEMME NOUVELLE » AU CASINO DE CANNES Au Casino de Cannes vient d'être créée une pièce nouvelle de M. René Vincent, La Femme nouvelle. La pièce, dont le sujet est neuf et hardi, a remporté un vif succès.

Le principal rôle était tenu par Mme Elisabeth Nizan, qui a campé avec beaucoup d'intelligence le personnage d'une jeune étudiante qui ne peut résister à l'attraction qu'exerce sur elle son professeur, un grand psychiatre, et cependant épousera le fils de celui-ci. Mme Alice Leitner a tenu avec beaucoup de talent un rôle difficile. Dans la distribution nous relevons les noms de Mme Claude Martel, de MM. Decombe, Dubreuil. L'auteur, M. Roger Vincent, tenait le rôle du médecin psychiatre avec une grande autorité. 1

talion de L'Epervier, interprété par la Com- s pagnie Prisvat. j A la Lune-Rousse, à 21 heures, pré- sentation à la presse de Y a des fleurs., » Au Théâtre de Minuit (Théâtre :Pi- t galle), à minuit, premiére représentation de 1 Virage dangereux. } Ce soir, à la Comédie-Française, Mme < Catherine Fonteney paraîtra pour la pre- < mière fois dans le rôle de Mme Leblanc j ] de Le Voyageur et l'Amour, j

commente le fameux Sans Haine, et Paul Colline a une nouvelle chanson, II a compris, d'une malice joviale. Et puis il y a la nouvelle révue de Jean Rieux et Georges Merry, dont les scènes les moins appuyées sont les meilleures. Le tableau Dans les prisons de France est une sorte de complainte animée, riche en allusions très spirituellement précisées. Ce qui est suggéré porte beaucoup.plus que ce oui est dit. Dans la revue, Léon Henry campe avec beaucoup de fantaisie le personnage d'une voyante et compose une silhouette de Marlène Dietrich d'un burlesque énorme. Mlle Janett Flo joue et chante à ravir, comme aussi Mlle Reine Prévost. Toute la troupe des chansonniers joue la revue avec beaucoup d'entrain.

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"j J'3S;E<1 d*x 'fin&ffle iiS-fé^rier^.aue..

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.moUrditZGës^arTJl^.n'apfuf. gij2irç'ij«î!

de" vingt ans il a cèpéAddht exercé une influence certaine sur les décors et les costumes de music-hall. Il a été un des premiers à concevoir ces costumes extravagants et magnifiques composés de plumes et d'étoffes de couleur vive, de paillettes. Pour Mistinguett, il a imaginé des coiffures et des robes d'une folle exubérance, des panaches prestigieux. Après sa mort, on a continue ce qu'il avait commencé. On le copie beaucoup, mais on ne prononce son nom qu'extrêmement rarement.

+

Le cabaret des Noctambules a donné hier soir la répétition générale de Drôle dp Revue, de Serge Veber,. C'est une revue qui justifie son titre, elle est drôle et sa forme est nouvelle, Le succès a été très vif. Nos en reparlerons dans notre prochaine chronique. André Warm d.

Ce soir, à 8 h. 46 très précixeK, aux Bouffes-Parisiens, répétition générale de LES c PETITES CARDINAL », opérette en deux nctes et dix tableaux de MM. Albert Willemetz et Paul Brach, d'après le roman de Ludovtc Halévy, muaique de MM. Jacques Ibert et Arthur Honegger, mise en scène de Georee, décors et costumes de M. Fernand Ochsé. (Les portes seront fermées dès le lever du rideau.)

CABARETS

VILLA XESTE 4. r. Arsêne-Houssaye (Ch.-BIysées) f Ilir DANSANTS

SOIREES

Sacha de Horn présente

pour la première fois à Paris

DIANA CLAYTON entourée de vedettes es

et le meilleur jazz-hot d'Europe SWING MEN FROM HARLEM Direction E.-S. F.ernandez JHi

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RODOLPHE, 13, rue d'Artots (r. Boé?tle). Ely. OÏ-4S. DINERS DANCING, ̃£i à •! h. Cabaret av. BRANCATO, MISSIA, P. Mcurisse, P. Poupart. Attractions. Consommations bar à partir de 10 fr.

MONTPARNASSE (Gaston Baty). (Dant. 89-90) à 21 heures Madame Capet (Mme Marguerite Jamois; MM. Georges Vitray, Lucien Nat, Henri Beaulieu, Rolla Norman; Mlles Suzanne Demars. Jeanne Pérez. Vonnie Dubois).

AMBASSADEURS (Anj. 97-«0), 21 h. 15 Pacifique (AI. Cocéa) ANTOINE. 21 h. Sapho. » ATELIER, 21 h. Plutus.

BOUF.-PARISIENS, 20 h. 45, rép. gén. Les Petites Cardinal. CAPUCINES. il u La Nuit da 7.

CHARLES-DE-ROCHEFORT, 21 h.: Frénésie.

CHATELET, à 20 h. 30 Le Chant du Tzigane,

UAUNOb (7, rue Dautiou), 21 h. haleur du Sein ̃ DEJAZET, 20 h. 45 Jules, couche-toi!

DEUX-MASQUES, relâche.

EMPIRE. à 20 h. 45 La Fessée.

ETOILE, 21 h. Le Monde à l'envers.

GAITE-LYRIQUE, 8 h. 40 Les Mousquetaires au Couvent. GRAND-GUIGNOL, 21 h. La Tour d'Amour. Fauteuil Veritas. Hl MdllK. 21 b La Chrysalide.

MATHURINS-PITOEFF. 21 h. La Sauvage.

MINUIT (Th. Pi salle), à minuit Virage dangereux. NOUVEAUTES. 21 h. 10 Le Train pour Venise.

ŒUVRE, 21 li. Les Indifférents.

PALAIS-ROYAL, 21 h.: Bizons-les-Dames (C. Delyne). PURTE-SAINT.MARTIN. 20 h 45 La Margoton du bataillon, RENAISSANCE, 21 h. V'là l'Travail!

SAINT-GEORGES, 20 h. 45 Barbara.

l'HEATRE DE PARIS. 21 b. La Chance.

VARIETES, 20 h. 45 la Revue de Dorin et Saiht-Granier VIEUX-COLOMBIER, relâche.

MUSKD-HiiLJL^S CIRQUES CHLrUNSONNIERS

Même spectacle qu'en soirée

A. B. C., 15 heures.

FOLIES-BERGERE (Prov. 98-49) JO h. « Folie cb Flenrs revue à grand spectacle, en 2 actes et 50 tableaux, de M. Maurice Hermite, production Paul Derval {Kita Georg et Damia).

(

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Une amusante brochette de vedettes américaines: Robert Montgomery, Marcia Ralston, Franck Mac Hugh, Louise Fazenda, Marion Davies qui, en l'occurrence, n'a pas craint de s'enlaidjr Patsy Kelly et Allen Jenkins dans une scène de «Bataille de dames » que nous verrons demain à l'Apollo.

MUSIQUE

LA CELEBRATION FINALE

DU CENTENAIRE DE POUCHKINE La dernière manifestation organisée par le comité Pouchkine aura lieu le dimanche 13 courant, à 21 heures, à la salle Pleyel. Le programme se composera d'œuvres inspirées par le génie du poète.

Deux opéras Roussalka, de Dargomijsky, en entier, et Le Coq d'Or, de Rimsky-Karsakoff, en fragments, exécutés par des artistes de premier plan et par des chœurs magnifiques M. Serge Lifar et Mlle Suzanne Lorcia, de l'Opéra, dans L'Oiseau Bleu de jeunes artistes débutantes, élèves des plus célèbres ballerines -du théâtre Marie de Saint-Pétersbourg toute la partie chorégraphique réglée par M. Lifar toute la partie musicale airigée par M. Labinsky rien n'a été négligé pour rendre cette manifestation digne de la grande mémoire de Pouchkine.

1

CONFERENCES

CET APRES-MIDI

Aux Grandes Conférences des Ambassadeurs, à 17 Il. 30 La sympathicotbérapie et les marchands d'illusions, conférence par le docteur Gillet.

UNE CONFERENCE A. CORTOT C'était, à l'Université des Annales, la cinquième et dernière séance Cortot chacune de ces séances fut un triomphe, la dernière avec l'orchestre dirlfrè par Charle» MuncJi déchaîna l'enthousiasme. Un public debout rappelant, acclamant sans fin l'artiste génial qui, coup sur coup, venait d'interpréter trois chefs-d'œuvre français Les Variations symphoniques de Franck, la Ballade de Fauré, le Concerto de la main gauche de Ravel, accompagnés par t'orchestre de la Société Philharmonique qui tient un chef d'orchestre dont l'autorité, la flamme font merveille. Charles MUiieh est peut-être à l'heure actuelle le plus parfait, le plus émouvant des chefs d'orchestre. Cortot; que le public ne voulait pas laisser partir, dut promettre, aux grands applaudissements de la salle, de revenir, l'an prochain. « Conf erencia > »

allifÍ,r.1¥"lés h8nys, pp~p4u£sixe~ :du

maître.' .jîiKtfl'ii,:1. i ki S'i

CONFBIIBNCIA. Salle Gavean, 45, rue La BOétie `

Aujourd'hui, 3 heures Vers de Tendresse et de Joie, par Mme B. DUSSANE. Auditions M A. BRUNOT,

Abonnements et location S. rue de Penthlèvre. Anjou 13-35. « Coiiiorencla » publie tontes les conférences.

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SOCIETE DES CONFERENCES. 1K1. boulevard Saint-Germain. Aujourd'hui à 3h. 45, «•onféreiiee de M. Maurice Donnuy LES CLASSES MOYENNES.

..AUJOURD'HUI

PREMIERE REPRESENTATION FILMS RECOMMANDES Exclusivités PATHE

MARIGNAN

L'INNOCENT

VICTOR HUGO

REGAIN

NORMANDIE

MOLLENARD

¡}IS'- -PROGRAMMES

CET APRES-MIDI

CE SOIR

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BEATRICE BRETTY

la nouvelle «Madame Sans-Gêne > de la Comédie-Française.

MiiititiittmiiiniiiHiiHiiiiiitiiiiiiiiiiiiiiiiiMiiiiiiiiiiiiifiiiitiiiiiii Aujourd'hui, au Marignan Pathé, première de « L'Innocent » et rentrée à l'écran de Noël-Noël.

Dans une comédie aussi charmante que spirituelle; dont il est d'ailleurs' en collaboration avec Chaperot et Wheeler l'auteur du scénario, nous allons revoir s'animer à l'écran la (silhouette volontairement gauche et si divertissante de NoëlNoël.

« L'Innocent », c'est lui, Noël-Noël. Cette nouvelle création, en nous rendant son vrai visage, n'en conserve pas moins toute la' savoureuse drôlerie dont étaient empreintes ses précédentes apparitions sur la toile blanche de l'écran.

Comment cet « limqcent » Nicolas, modeste fleuriste, parvient-il sans dommage apparent à se livrer i&j. trafic de*ï «lupéfiants, au khintippiiig Ç.Commeut. devient-il" receleur de '̃Milu.vres ?: Le fllrii voiis le- révélera au cours de mille situations avssi inattendues qiï'iirésistiblles dans leur forme, qui atteint, parfois, au'tragique.

A cette souiTc Intarissable de « gags », l'amour vient aussi se greffer sous les traits d'une petite bouquetière' à' laquelle « l'innocent », arrivé au teripe.de sa fabulcuse aventure, 'donnera bien volontiers son cœur. Loretta Young joue et gagne Loretta Young vient de remporter un brillant succès au Cinéma Bafzac dans J'ai deux maris. Cette comédie fraiche et spirituelle a commencé sa quatrième seinaii"1 ùVxclusivilé. Loretta \oung et Tyroue Ppwer y forment le couple idéal que chacun cunnait.

l'n bon 111m policier' avec Peter Lorre complète ce programme. Mais un film chasse Vautre et des engagements antérieurs obligent. le Balzac- à interrompre la carrière de J'ai deux 'maris. Lo 15, février" en effet, c'est Simone Simon avec sa voix de rossignol qui paraîtra 'sur cet écran dans Yveî\e-velte.

A. B.C., 21 heures La Revue de ta Joie (Noël-Noël). ALCAZAR, 21 h. Rose, de Marseille (Andrée Tuicy). CASINO DE PARIS, 21 h. Féerie de Paris (Mistinguett). COUCOU, 21 h. Les Coucoulards sont la!

DEUX-ANES, 21 h.. R. Dorin. Revue de R. Lefèvre et P. Dac DIX-HEURES, 22 h.: Martini (en exclus.), P. Colline, J. Rieux. ISOLA, 21 h. Nouvelles illusions, M^usty.

LUNE-ROUSSE, 21 h. Y a des fleurs. <"

MEDRANO, 20 h. 45 On a enlevé la femme à barbe. MOGADOR, 20 h. 45 Féerie blanchi!.

NOCTAMBULES-37, 21 b. j-.Drol» <k r'voe.

PERCHOIR, 21 h. An i «1 des heures. CrlBMËTB r, D^aNGINGé': CABARET DE MONSEIGNEUR Dancing, Soupers Attractions. CHEZ RAY VENTURA: Raphaël M«dina, les 3 Bonos. CHEZ SARTORI tAu Patio du Florian. 74, Champs-Elysées) au thé Fred Addison. Dînera et soupers dansants. CHIQUITO Dancing sam. et dim. Bar ouvert tous les jours COUPOLE (bd Montparnasse) Thé et soir. dancing. LIDO Thés, dancing, soupers, attractions

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PETITES NOUVELLES Félix Gandéra portera prochainement à l'écran Le Paradis de Sa.tan, tiré du roman d'André Armandy. L'action du film se déroule en partie dans le golfe de Guinée. C'est Jean-Pierre Aumont qui en interprétera le principal rôle masculin.

COLISEE 14 h. à 1 b. du matin Le Puritain. Ï3EMOURS 14 45, 20 45 L'Habit vert, Symph. graphique. ELYSEES-CINEMA M h. à 24 h. Les Hommes sans nom. ERMITAGE y 14 h. 30 à 1 h. du matiu J'accuse. GAUMONT + De 15 à 1 h. Quatre heures du matin. IMPERIAL De 14 à 30 h. Naples au baiser de feu à 21 h. Mollenard.

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PEREIRE 14 h. 30, 20 h. 45 Abns de confiance. PIGALLE 14 h. 45 à 20 h. 45, S., à 21 b. J'accuse. REX De 12 h. à 2 h. du matin L'Alibi.

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Le Cinéma

Z~C~~M

En écaillant des huîtres avec Christian Jaque. v

avec ris

Cocktails, champagne, déjeuners seront bientôt autant de qui dispa- raîtront des invitations lancées à la presse. Désormais la formule consacrée sera On écaillera des huîtres. Christian-Jaque vient de l'innover pour nous entretenir de son prochain film Les Disparus de Saint-Agil.. Mes interprètes, nous a-t-il déclaré mais prenez donc un « belon », cher ami seront Eric von Stroheim, Michel Simon, Le Vigan, Armand Bernard– « Garçon, passez-moi le chablis. », Serge Grave, Aimé Clariond, Claudio. «Mais pourquoi ne mangezvous pas de palourdes ?. Claude Roy, etc.. Tenez, passez-moi ces langoustines. Et il continua ainsi pendant une heure.

Quant à Pierre Very, l'auteur du roman, il déclara à plusieurs reprises Si mon roman était à refaire, il deviendrait-plus riche, grâce aux éléments nouveaux surgis des entretiens,que nous avons eus, Christian-Jaque et moi. Et le producteur, François Caron, conclut par ces mots

Voilà au moins un auteur qui ne craint pas la trahison J.-J. L.

Films parlant allemand.

CHAMPS-ELYSEES: M h. 30 à 19 h. 50. S., à 21 h. 15. Film parlant italien Paramatta. MARIGNY 14 à 19 li. S., à 21 h. Vivere.

.icij û actualité ?̃:>

PARIS-SOIR (Ch.-Elysées) 10 h.-l h. Ils étaient troi».

~J ~10~~1 r~J

Après 10 b., 11 h. iO, 13 h. 34, 15 h. 35, 17 h. 33, 19 h. 34, 21 h. 35, .23 h. 47. ` Max-Lïnder! Cette sacrée vérité 14 h. S0. 16 h. 30, 18 h. M, 11 h 10, 23 h. 10. Miracle-Lord Byron. Charme de la Bohême: 15 h.. 17 h., 22 b. Studio de l'Etoile. Chipée 9 h. 52. 11 h. H, 13 h. 36, V> h. 53, 18 h. 10, 20 h 27 ̃22. b. 44, 0 h. Si. Paramount Demoiselle en détresse 12 h. 10, 14. sh. 30, 16 h 55. 19 h. 20, 21 h. 40, 0 h. 15. x Helder. Femme X 15 15, 17 15, 19 15, 21 15, 23 15. Studio de l'Etoile. Forces des ténèbr«s 15 n. 15; 17 h., 21 h. Marbeuf. Innocent Marignan. lie du Diable 15-30, 18 10. 20 55, 23 40. A polio. J'accuse 14 h. 30, 17 h. 15, 21 b. 15. Bonaparte. J'accuse 14 h. 55, 17 h. 30, 21 h., 23 h. 50. Ermitaee. J'uccuse 14 h. 30, 20 h. 45. Pijralle. J'ai deus maris 15 h., 17 h. 50, 20 h. 25, 23 b. 11. Balzac. Journée de printemps 15 15, 18 5, 20 55, 23 45: Apollo. Kidnappez-moi, monsieur 14 h. 40, 16 h. 50, ;9 h., 21 h. 15, 23 h. 15. Avenue. Laurel et Hardy au Far-West 15 h. 25, 17 h. 30, 19 h. 30, 21 h. 35, 23 h. 40. Le' Paris. Marseillaise 10 h., 12 h. 25, 15 h. 10, 17 h. 50, 20 h 50 23 h. 55. Olympia. Mollenard 14 h. 55, 17 h. 10, 21 h. 30, 23 h. 45. Normandie. Occident 12 55, 15 7, 17 19, 19 31, 21 43, 23 55. Madeleine. Paramatta 15 h., 17 h, 21 h. Champs-Elysées. Pirates dn Rai) 12 b. 43, 14 h. 53, 16 h. 53, 18 h. 53 21 h 3, 22 h. 53. Aubert. Quadrille: 10 h., 12 10, 14 25 16 40, 19 h., 21 h., 23 45. Marivaux. Quitte on double 14 50, 17 15, 19 45, 22 15. Saint-Didier Romance burlesque 15 U., 17 h., 22 h. 15. Studio-28. Rue sana issue t 14 45, 16 50, 19 h., 21 10, 23 10. Biarritz. Serment de Mr Mate t 14 h-, 16 46, 19 17. 2. 53. Balzac. Titin do» Martisaeï 14 15, 17 13, 21 10, 24-8. 'Moulin-Rouge. Vivere Marigny. Voici l'escadre 14 h.. 16.50, 1!>35. 22 2" 1 h. 15. Apollo. \oii qui accuse 14 15, 10 52. JU .'iJ, 22 :»2. Saint-Didieii

C'est sous ce nouvel aspect que nous verrons, la semaine prochaine, Jeannette Mac Donald dans « L'Espionne de Castille au cinéma Saint-Didier» iimmiiiiiiiiiiimiimiiiiMiiiiinHiiiiiiiiiKtiiiiiiiiiiutitiiiiiititin KHHgCOTËS

~~Mt~RAN

CE MATIN

Au Marignan, à 10 heures, présentation corporative de Ramuntcho, film de René Barberis.

Au Paris,.à 10 h. 15, présentation cor' porative de Pension d'Artistes (R. K. O.). An Madeleine, à midi, première représentation publiqne de L'Occident, film de Henri Fescourt.̃̃/̃

CET APRES-MIDI

♦ Au Marignan, à 14 heures, première représentation publique de L'Innocent, film de Maurice Cammage.

A Marigny, à 14 heures, première- représentation publique de Vivere.

CE SOIR

♦ Au Cercle, du Cinéma (Salle F.F.), d 21 heures, spectacle consacré aux films d avant-guerre.

DEMAIN A 14 H.


A LA CHAMBRE

LE PROJET DE LOI SUR LA PRESSE

A ETE DISCUSTE

(Suite de la première page.)

MM. Marcel Héraud, Quenette, Pezet ont protesté tour à tour contre une faculté donnée sons contrôle au pouvoir politique de saisir des écrivains qu on n aura pas entendus. Il y aura le contrôle; de l'opi- nion, ont répondu le rapporteur, le président de la commission et le C ministre. Ils ajoutaient la décision ministérielle sera motivée. Sur 1 des raisons vagues, et non juridi- 1 ques, ont répondu les opposants,'car votre délit nouveau n'est aucune- ment défini. Vous approuvez le principe ? Donnez-nous donc avec 1 vos critiques un contre-projet. Le combat cessa vers les 7 heures 'et fut renvoyé à une séance ulté- rieure. dont on n'a pas fixé la date. On avait entendu beaucoup de citations à la gloire de la presse. Re- tenons celle-ci, de M. de Bonald, pour notre mot de la fin L'Etat ne peut périr par ce que les journaux ecrivent. Mais il peut périr parce qu'ils n'écrivent pas.

Henri Vonoven.

La siance

La Chambre a discuté hier le projet permettant au gouvernement d'interdire la sortie hors de France des journaux et la circulation en France des journaux étrangers, quand les publications sont de nature à nuire à l'intérêt ou au prestige national. v M. Drouot opposa tout de suite la question préalable au projet. En ce qui concerne la circulation sur le territoire français des journaux étrangers, la nouvelle loi fait double emploi avec l'article 14 de la loi du 29 juillet 1801. En ce qui concerne les journaux français, le projet sera insuffisant, car il est impossible d'empêcher la sortie d'un imprimé qu'on peut toujours expédier suus enveloppe fermée. Il est dangereux car le gouvernement sera tenu pour responsable de tout ce qui s'imprimera en France et l'on risque ainsi des incidents diplomatiques.

Enfin ce projet est évidemment une loi d'arbitraire, qui ne laisse aucune voie de recours et qui permet de prononcer l'interdiction pour six mois. Les mêmes arguments furent repris par M. Marcel Héraud qui insista, lui aussi, sur le caractère arbitraire du projet. « On veut frapper les journalistes qui ne partagent pas l'opinion du.gouvernement ».

M. Sérol, président de la commission de législation civile, répondit que les orateurs avaient abordé le fond de la question sans justifier leurs demandes d'ajournement il y avait donc lieu de discuter au fond. Et l'ajournement fut repoussé par 383 voix contre 218.. M..Quenette demanda alors le renvoi & la commission. Dans un sobre et vigoureux discours, il fit ressortir qu'il n'y a qu'un moyen d'agir définir le délit d?atteinte, par écrit ou dessin, à l'honneur, au prestige ou au crédit de la France, et frapper ce délit d'une très forte amende.

Juridiquement et psychologiquement, le projet est une erreur.

Le rapporteur, M. Le Troquer, répond qu'il faut défendre les citoyens contre la calomnie. Il s'attache à justifier le texte présenté. Si le pouvoir d'interdiction a été accordé au ministre des affaires étrangères, c'est qu'il est, en la matière, le mieux informé.

M. Le Troquer répète qu'il faut lutter contre la calomnie. Assez malencontreu-

sement, ij se,; pWet quejjjsrtajafefCompî-

semént, il se pleiat qaer~gçt~~mp·

i tes rendus des déclarations .de«M,,l)ala-

dier devant les commissions de la Défense nationale aient- été inexacts et tendancieux.

En. séance même, il y a des rectifications au discours du ministre. dit M. Plichon. Et M. Pinelli ajoute « Comment s'étonner que les comptes rendus diffèrent quand, à la commission même, nous ne sommes pas d'accord sur l'interprétation à donner aux paroles du ministre ?» »

M. Mallarmé reproche ensuite à la commission et au gouvernement d'enfreindre deux principes essentiels de la loi de 1881 il n'y aura poursuites que s'il y a délit défini; la Cour d'assises est .seule compétente. M. Mallarmé critique vivement l'arbitraire du projet qui permettra toutes les injustices. Il n'y a pas de liberté sans responsabilité, répond M. Gampinchi. Sur quoi le débat est renvoyé à une autre seance.

Le bilan de la Banque

de France

et l'encaisse métallique

On adopte ensuite le collectif, de février renvoyé par le Sénat. Avant le vote. M. Taudière demande au ministre des finances, à propos de la diminution de l'encaisse or de la Banque de France, de justifier cette poération devant le pays et d'affirmer qu'elle ne se reproduira plus, car la réserve métallique de l'Institut d'émission est un « trésor sacré » que le gouvernement doit protéger. Pour permettre d'affirmer, ce principe, M. Taudière demande- le renvoi à la commission. `-

M. Marchandeau répond avec vivacité. L'opération est parfaitement régulière. Il a pris soin de l'expliquer ayant de la faire et toute la presse a reproduit ses explications. Le fonds d'égalisation de change a le droit d'acheter de l'or. L'opération est la contre-partie de celle que le gouvernement précédent avait faite. Elle ne peut causer aucune émotion.

M. Taudière retire sa demande de renvoi.

La Chambre adopte ensuite par 592 voix contre 1, le collectif de décembre qui retourne au Sénat et s'ajourne à

22 h. 30. r

Roger Dardenne.

Feuilleton dn ̃ Figaro ° dn il Fèwier 1938

DES PAIS 111

DE[I~URE

1 9X1.. V

I? Roman inédit

T T DE SELDOH HUSS

CHAPITRE IV

Exaltation hystérique

d'un étudiant des Beaux-Arts (suite)

Une expression mitigée de contrariété et de moquerie se peignit sur le visage à moustache grise du colonel. H n'était pas nécessaire d'être très observateur pour s'apercevoir qu'il existait peu de sympathie entre le père et la fille.

..̃–••;« Eh bien, il est ici maintenant, grommela le colonel, « Aussi je vous laisse discuter ensemble à propos de malaises nerveux ». Il fit entendre un rire moqueur et ferma la

AU SENAT

Examen des collectifs de février et de décembre Le Sénat a examiné hier deux collecifs. Elle en a adopté un et à renvoyé l'autre au Palais-Bourbon.

1 Le premier projet porte ouverture et annulation de crédits sur l'exercice 1937. Il correspond à ceux qui, avant la réforme réalisée par le décret du 25 juin 1934, étaient connus sous le nom de « collectifs de mars ». Ce décret a réduit la durée de la période complémentaire de dépenses susceptibles d'être liquidées et ordonnancées pendant cette période. C'est ainsi que le ternie du délai prévu pour l'ordonnancement des sommes dues aux créanciers a été ramené au 31 décembre pour les dépenses de personnel, et au 10 février pour les dépenses de matériel.

Sur ce « collectif de février », il n'y a entre la Chambre et le Sénat qu'une faible divergence. Elle porte sur le ministère des P. T. T., dont le rapporteur général dénonce les dépassements de crédits. Il demande à ce ministère de revenir à la règle générale.

M. Abel Gardey fait observer que le collectif permet de chiffrer le déficit de 1937. Il avait été estimé à 4 milliards, il en atteindra 8.

M. Maréhàndeau promet de faire le nécessaire pour que le ministère des postes n'engage plus de dépenses sans mandat ni visa. Le ministre des finances reconnaît que le déficit de 1937 atteindra 8 milliards. Il ajoute Je pense que le redressement financier ne sera possible que par la réalisation de certaines conditions morales. Après ces brèves observations, le projet fut adopté à l'unanimité de 303 votants.

Le collectif de décembre donna lieu, par contre, à des observations sévères de M. Abel Gardey. Dans ce cahier de crédits la Chambre a introduit neuf dispositions nouvelles que la commission se refuse à admettre. Le Sénat suit sa commission et rejette en bloc tous ces articles nouveaux.

Le projet, ainsi amputé, reprend le chemin du Palais-Bourbon.

Les interpellations

sur la dénatalité

Au début de sa séance, le Sénat a poursuivi la discussion des interpellations de MM. Georges Pernot et François Saint-Maur sur la situation démographique de la France. Sur cette question et parce qu'elle lui est liée s'est greffé un débat sur les allocations familiales. Intervenant dans le débat, M. Veyssières s'est attaché à apporter quelques éclaircissements « sur les défauts et même les absurdités des textes en,vigueur en matière d'allocations familiales >.

Aucune méthode, aucune directive, voilà, dit l'orateur, dans quelles_ conditions on nous invitait à organiser un système nouveau.

Avec une cotisation double de celle imposée à l'industrie. on distribue à l'agriculture des allocations égales à la moitié de celles pratiquées dans l'industrie. On comprend le mécontentement que de tels procédés provoquent dans nos campagnes.

Toute tentative d'organisation se heurte à des difficultés que le gouvernement n'arrive pas à résoudre. Un cultivateur qui occupe ses fils chez lui et leur verse, outre la nourriture, quelques subsides, est-il employeur et, comme tel, assujetti à la loi ? Le ministre de l'agriculture dit non, mais le ministre du travail dit oui.

Et M. Veyssières demande au gouvernement de faire cesser de telles anomalies.

On' ne peut rester dans un pareil désordre, déclare M. Cassez, qui intervient, ensuite. Le^ajmculteuSs doivent être plis en facc'rtt'utt projet Ttuflié et complet. En pareillle matière; :o'n ne peut se contenter d'improviser et d'entretenir des illusions.

M. Harent attire l'attention du Sénat sur le mécontentement grandissant que provoque dans les campagnes l'inégalité qui existe entre les agriculteurs et les autres travailleurs en matière d'allocations familiales. Pour ramener la paix sociale, une refonte complète du régime des allocations familiales est indispensable.

La suite de la discussion est renvoyée à mardi. H. B.

M. Herriot demande

un effort de travail et d'union Rouen, 10 février. M. Edouard Herriot, président de la Chambre des députés, a présidé ce soir un vin d'honneur donné à Sotteville-les-Rouen à l'occasion de l'élection au Conseil général de la Seine-Inférieure de M. Crutel, dépué de la 2° circonscription de Rouen, vice-président du groupe parlementaire du parti' radical.

M. Herriot a parlé successivement de la paix et de la liberté civique. Il, a évoqué en termes émus le souvenir d'Aristide Briand et des infructueux efforts de paix tentés en 1924. Il a dit notamment.

Certaines grandes idées ne peuvent se réaliser complètement qu'au lendemain des grandes émotions. C'est à ce moment, en 1924, quand le fer était encore chaud, qu'il fallait le forger C'est ce que j ai tenté, et j'ai échoué. Cependant, ma volonté et ma foi sont restées intactes. Mais il y a une chose qui me révolte c'est l'indifférence avec laquelle on accueille chaque matin les nouvelles affreuses de la guerre d'Espagne et d'ailleurs.

» Si les circonstances rendent indispensables les efforts faits par le souci de la défense nationale, ces efforts doivent s'accompagner d'autres, aussi soutenus, pour réaliser le désarmement plus facile aujourd'hui qu'il y a dix ans.

» La force de la république dépend plus que de ses canons et de ses obus, de sa cohésion et de sa tenue interne. Le travail est la loi profonde des démocraties.

(9)

porte avec une certaine ostentation. Le docteur Haddon regarda la jeune fille avec une moue de désapprobation.

« N'auriez-vous pas pu imaginer quelque chose de mieux qu'une excitation nerveuse, miss Detmar ? '1 Cela ne me paraît pas être un choix très judicieux. »

Elle sourit avec lassitude. Il vit qu'elle était très pâle, avec de grands cernes sous les yeux qui les rendaient plus séduisants.

« 1 se trouve cependant que c'est la vérité », dit-elle. « Vous auriez pu venir plus tôt. Si ;vous saviez. »

« Alors, supposons que vous me fassiez savoir. dit Haddon plus doucement.

Miss Detmar secoua la tête, puis hésita. Elle alla jusqu'à la fenêtre et regarda dans la rue. Un agent de police y était posté, vivant symbole d'ordre et de raison.

« Pourquoi ne me confierais-je pas au docteur Haddon ? » dit-elle, comme si elle s'adressait. à ce symbolique agent. « II est sympathique; il est honnête; il paraît être mon ami. D'autre part, il est plutôt un étranger pour moi. >> Ellé s'arrêta et se retourna, faisant ainsi de nouveau face au docteur. « Très bien, je vais tout vous dire. Mais je veux d'à-

L'AFFAIRE DUCS.A.R, Au cours d'une confrontation entre MM. Moreau de la Meuse, Metènier et Thomas Bourlier, on^évoque tes relations de ce dernier avec la Sûreté Nationale

Au sujet des attentats de l'Etoile, M. Barrué, juge d'instruction, a confronté q Thomas Bourlier'avec MM. Moreau de 1 fa' Meuse et Méténier. 1 1 M. Moreau de la,Meuse a simplement t confirme qu'il avait présenté à Mété- 1 nier Thomas Bourlier dans une brasse- i rie, au mois d'octobre, ce dernier ayant manifesté l'intention de s'intéresser à une action contre le communisme. 1 Assistés de M* Pierre de Geouffre de 1 La Pradelle, Emile Meaux, Thiébaud et C Baron Larëauger, tes deux inculpés sont tombés d'accord sur la présentation et < M. Moreau de ta Meuse n'a plus eu à intervenir. i Puis M. Méténier a déclaré C'est par erreur ou par vengeance ( qu'on a prétendu que j'ai fait, partie d'organisations sécrètes ayant pour but de provoquer.la guerre civile. Un jour, M. Moreau de la Meuse me mit en rapport avec Thomas Bourlier, qui voulait être présenté à M. Eugène Deloncle. » M. Thomas Bourlier a prétendu de- vant la police que je lui avait confié { que l'on voulait se débarrasser de lui. t C'est faux. C'est lui-même qui m'a; dit que mes amis le soupçonnaient de trahison. Je l'ai rassuré et il m'a confié un projet de souterrain qu'il envisageait sous l'Jlôtel Matignon. Est-ce exact, monsieur Bourlier

L'interpellé ne répond pas.

Allons, reprend M. Méténier, un bon geste 1

L'homme garde le silence. M. Méténier reprend

t– Le 29 novembre, Thomas Bourlier me soumit une note dactylographiée m'invitant, de la part du ministre de { l'intérieur, à fournir des indications Il sur les dépôts d'armes des nationaux et m'assurant l'impunité la plus abso- 1 lue. Si je refusais, je pouvais jouer ma i tête. ̃•̃ ̃ ̃;̃• Il est exact, précise Bourlier, que H j'ai montré une note à M. Méténier, mais | elle ne le visait pas. Il ajoute .>

La Confédération générale du patronat français

a tenu une assemblée générale extraordinaire

Ainsi que nous l'avons annoncé, la C. G. P. F. s'est réunie en assemblée générale extraordinaire le 9 février, sur convocation de son président, M. C.-J. Gignoux.

L'assemblée a ratifié les décisions prises par ses organes directeurs, tant à l'occasion des négociations de janvier dernier à l'hôtel Matignon, que de l'examen par les commissions parlementaires des projets constituant le statut du tra-

vail.

D'autre part, l'assemblée a été unanime à considérer le péril que faisait courir au pays le régime de lutte des classes sous lequel il vit depuis des mois. !Ele a affirmé que l'amélioration légitime du sort des travailleurs ne peut être confirmée et poursuivie que dans uucj voie rjyiicâtem&nt opjsefsceSAux doctrines de lutte de classes, la Confédération patronale oppose. celle de la collaboration, qui se fende sur la « solidarité matérielle et, morale de tous ceux qui concourrent à la production ».

Ces décisions ont fait l'objet' d'un ordre du jour où la C. G. P. F. affirme solennellement

« Que, conscient de ses devoirs au même titre que de ses droits, le patronat français est prêt à rechercher dès maintenant, sur la base de la collaboration des classes, la garantie des droits de tous, fondée, plus sûrement encore que sur des textes, sur le sentiment de la solidarité matérielle et morale de tous les collaborateurs de la production »" Que, la profession économiquement et socialement organisée peut et doit assurer à chacun, patrons, ouvriers et employés des entreprises, grandes, petites et moyennes, en même temps que ,la véritable sécurité de son travail, les moyens de réaliser de manière permanente, dans le respect des libertés de tous et de l'autorité du chef responsable, l'union indispensable au salut du pays » Que dès maintenant, en particulier, le règlement des conflits du travail ne doit pas être recherché dans la mise au point périodique et désordonnée d'une loi sur l'arbitrage, qui 'fait bon marché des principes élémentaires du droit civil, administratif et constitutionnel qu'il convient d'aborder le problème au fond en instituant la juridiction régulière, indépendante et compétente, appropriée aux rapports collectif instaurés par les lois sociales récentes ~11-

s> Que sui ce pointa comme sur les autres, la C. G.: P. F., dans l'esprit défini ci-dessus, est prête à apporter au gouvernement et au Parlement son concours le plus entier. »

A la commission

du Travail

L'embauchage

La commission* du Travail de la Chambre a commencé l'examen du projet réglementant l'embauchage et le débauchage des travailleurs, rapporté par le communiste Monmousseau.

Après avoir réservé l'article premier, les dispositions qu'il contient devant

bord savoir ce que croit la police. » Haddon secoua la tête.

« Si je dois vous répéter chaque i remarque du brigadier Brumley, je deviendrai un émule de miss Bagge. J'ai été appelé à titre professionnel. } Tout comme ici en ce moment. » Elle fit un signe affirmatif

« Oui, vous pouvez recevoir des confidences à titre 'professionnel. De sorte que vous êtes une per- sonne sûre. La police croit que c'est Cosdon, n'est-ce pas ? s>

Haddon hésita avant de répondre. « Et miss Bagge aussi. Ce qui revient à dire tout le monde à Platte. »

Merle Detmar respira longuement Puis son regard se détourna du docteur.

« Comment s'y est-on pris ? » « Pour le meurtre ,de Ricardo ? R Il a été étranglé avec une cordelette.» La jeune fille recula.

« Horrible horrible » murmura-t-elle.

« Oui. » II s'exprimait sur un ton calme. « Dites-moi maintenant pourquoi vous êtes allée chez Ricardo. »

« J'y suis allée pour Je rcneon- trer. » •̃•

Pour rencontrer Cosdon ? » Oui. »̃' '̃;̃•̃; /̃'̃̃.

La note poutalt les initiales. S. R., qui sont celles du ïjervice du deuxième bureau des Tenseigjnements de l'armée. Elle débutait ainsi « Le S. R., très refroidi par l'arrestation de E. D. », Eugène Deloncle, arrêté trois jours avant.

M. Méténier interrompt

Elle continuit ainsi « Puisque les dispositions db M. (Méténier) se confirment, »

Sur interpellatiem de M. de La Pradelle, Thomas Boutrlier déclare Méténier m'a -apparu non pas comme un excité pouvant se livrer à des actes terroristes, mais, au contraire, comme jouant un rôle modérateur. D. Qui vous a remis la note S. R. ? R. Je ne puiji le dire.

Et Thomas Boûilier se retire.

M.. Méténier confie alors au juge Je tiens à -vcius déclarer spontanément que je suis en mesure de fournir des explications 'précises sur les relations du « témoin » Bourlier avec la Sûreté nationale et le service des renseignements du ministère de la guerre. Au moment où Eugène' Deloncle était recherché par la 'police, Thomas Bourlier est venu me A>6ir en me disant qu'un personnage du sprvice des renseignements du ministèjre de la guerre désirait avoir un eutrtetien avec Eugène Deloncle, dont je connaissais la retraite. Il me prépara ua' rendez-vous avec un inconnu qui se présenta à moi comme étant le numéro 2(02 du S. R. Il désirait obtenir des précisions et me demanda de iui faciliter ibne entrevue avec M. Deloncle, qui fut,,arrêté le lendemain. » J,ai reconnu *e falneux numéro 202 lors de la perquisition à mon domicile, on était venu chercher le pyjama de Locuty. 3 C'était Ile commissaire de police Chauvin.»

Ceci regarda mon collègue M. Beteille, fit remarqfuér M. Barrué en levant la séance.

LE STATUT ELECTORAL DES INDIGENES

devant la commission

du suffrage universel

La commission du suffrage universel a pris connaissance du rapport de M. Bàrêty sur le projet Viollette tendant à incorporer certaines catégories d'indigènes dans le corps électoral d'Algérie. Le rapporteur proposait de remplacer l'article premier du projet par une disposition conférant la citoyenneté aux indigènes des mêmes catégories, mais contrairement au projet sans que les intéressés pussent conserver leur statut musulman.

Les indigènes ainsi promus de la qualité de sujet ̃ français à celle de citoyens auraient .eu, en outre, le droit, au bout d'un délai à fixer, de renoncer ] à leur nouvel ét^it en se replaçant sous Ile statut musulman.

Après une. lance discussion, 18 voix se sont prononcées pour la proposition

̃l Baréty. et -18 contre.' ̃< •'

-liés* vdjtf- hbstjiles n'étaient pàs""èeù- 1 léniént celles des partisans du projet Viollette. Plusieurs commissaires auraient voulu, e» effet, n'écarter que la disposition qui permettrait le retour au t statut musulmaJn après un certain délai. Trois amendements furent alors déposés, le premier de M. Piétri ainsi ré- digé

« Acquièrent d'office les droits politiques et civils des citoyens français les indigènes algériens français des trois départements cFAlgérie remplissant les conditions énuifciérées aux paragraphes suivants (le reste sans changement). » Le second amendement signé de MM. I Auguste Brunet et Candace était ainsi conçu

« Sont admis -de droit à la qualité de citoyens français dans le statut fran- çais des indigentes algériens français appartenant aux catégories définies par le projet Blum-Vîollette. »

Le troisième amendement, déposé par M. Mande!, subtituait au premier paragraphe de l'article premier du projet de loi le texte suivent

« Acquièrent de droit la qualité d'électeurs et de citoyens, les musulmans français' des catégories suivantes. »

S

Les maires d'Algérie protestent contre Je projet Violette

.M. Albert Sarraut recevra mercredi i prochain une délégation de la Fédération dès maire» -d'Algérie dont le congrès s'est tenu, hier, if, Alger, et qui a vive- ment proteste céntr* le projet de la loi Violette qui taj^dà accorder le droit de vote à certaines catégories d'indigènes.

s'accorder avec ce qui sera décidé quant au placement des travailleurs, la commission a adopf.é le premier paragraphe de l'article 3 obligation pour les concessionnaires de services publics et les entreprises bénéficiant de subventions, de ne recruter du personnel que par l'intermédiaire defc offices publics de place- ment.

Le second p&ragraphe, qui étend cette t obligation aui: entreprises de marchés publics a été réservé.

La commission a ensuite adopté Par-.ticle 3 Oiberfcf: syndicale) en étendant l'application des sanctions prévues aux atteintes portées à la liberté philosophi- I t que et religieuse. |

Grandi Dieu » dit Haddon à voix basse. « Vous espériez le rencontrer a

« Je ne savais pas. Mais quand j'ai appris la nouvelle, par la radio, j'ai eu peur. Oui, j'ai eu affreusement peur. Parce que Dick avait juré que. quand. il sortirait. il ferait quelque chose. Il avait déclaré que Mr Ricardo expierait sa fausse accusation. Il ava:tt menacé tous les témoins qui l'avaient chargé de leur faire payer cher' leurs -mensonges. Elle fit une pause. « J'ignorais que Mr Ricardo ctaflt de retour, mais j'avais une quasi-certitude que Dick irait l'attendre chez lui. J'espérais réussir à le persuader de retourner. en prison. et après. » Elle fit une nouvelle pause.-

« Je vois >, dit Haddon. en hochant lentement la tête. « Vous vous intéressez encore à Cosdon ? » « Noi^s avons pris l'engagement de nous épouser un jour. » Merle Detmar releva la tête pour rencontrer franchement le regard du docteur. « Saviez-vous cela ? »

Haddon hocha encore la tête. Il parut faire un effort pour se contraindre, qui se manifesta seulement par une ̃compression des lèvres mais l'expression de son regard n'avait point changé.

A CHEVREUSE

On recherche vainement dans la villa où f ut séquestré l un commerçant roumain le corps d'un Tchécoslovaque disparu puis novembre Au début de décembre, u commerçant roumain. M. Petroff, était séquestré ( à Chevreuse, dans une villa louée trois semaine plus tôt par les, nommés Ber- ¡ nardi de Sigoyer.et Lucien Michard, qui 1 l'y avaient attiré au moyen d'une an- ( nonce. Il parvint à s'évader et les deux malfaiteurs furent arrêtés.

Au cours' de l'instruction de cette ( affaire, une perquisition fut effectuée, il y a quelques jours, dans la maison M. Petroff avait été retenu prisonnier. Elle permit de' découvrir une carte d'identité au nom de Richnowski, sujet tchécoslovaque, courtier en appareils électriques, et disparu depuis novembre de son domicile, 2, avenue de la PorteBrunet, à Paris.

M. Richnowski avait-il. été assassiné par Bernardi de Sigoyer et Lucien Michard, auxquels un .évident déséquilibre mental avait valu jadis un internement que le docteur Genil-Perrin, désigné comme expert par le parquet de Rambouillet; vient de réclamer de nouveau ? Hier matin, M. Le Bourdelcs, procureur de la République; le juge d'instruction et les gendarmes entreprirent donc des recherches dans la villa et dans le jardin qui l'entoure.

Dans une valise on trouva un dentier ainsi qu'une chaussure dont la tige avait été coupée.

Des équipes de puisatiers et de terrassiers explorèrent le'jardin, la cave, la fosse à fumier, etc., mais ne découvrirent rien de suspect.

Interrogé, Bernardi de Segoyer déclara au juge d'instruction qui'l n'avait jamais connu Richnowski et que si sa carte était en sa possession, c'est qu'elle lui avait été remise par un nommé Robert, qui'l avait connu à Paris, mais dont il ne connaissait pas l'adresse. Ajoutons qu'un ecuve cimentée existe dans la maison de Chevreuse, mais que rien ne permet de supposer qu'elle ait jamais contenu, de l'acide sulfurique, comme semblaient l'indiquer les déclarations de quelques voisins.

LEGION D'HONNEUR Education physique

Sont nommés cfcetmHers ̃̃̃

MM. Honet, Hutin.

Ministère desP. T. T.

Est promu officier M. Lonjumeau, mddecin-chef adjoint des P.T.T. ̃̃ ̃

Sont nommés chevaliers MM. Lutlgneaux, Chabannier, Xanne, Bondeville, Cheriey. ministère du travail

Sont promus officiers

MM. Bonnaùd, président du conseil d'administration de la Caisse d'Epargne de Roanne Crauffon, publiciste à Paris le dor.teur Delagi-angB) médecin-chef d«, <Ja Solidarité Comme l'claie à Paris Lefeuvre, secrétaire général du Syndicat général des patrons de cafés, bars, brasseries et restaurants de la région parisienne, à Paris le professeur Massabuau; chirurgien en chef de la clinique chirurgicale mutualiste de Monlpellier Soitoux, administrateur de la Chambre consultative des Associations ouvrières de production à Armentières. Chevaliers. MM. Aillot, Barbier, Baret, Betreraieux, Bonesteve,. Bressolle, Carcellé, Clerc, Dannely, Delaeter, Delpy, Derain, Dreumont, Dubois, Favter, Fischer, Gentïlhomme, Frezouls, Goiffon, Goy, Gruz, Gneld, Hautier, Houillon, Jouve, Lambert, Langlois, Laptiton, Lecuru, Loyeau, Malecot, Melinand, 'Mlle Moreau, MM. Moutard, Naquet, Nougein, Pitaud, Rouleau, Saint-Juflen, Schann, Siciliano, Thomas, Tlchoux, Vivier, Well (Gaston), Well (Lucien). lÉWRON^TET I/OPINKH PUBLIQUE EN FRANCE

M. Germain Martin, membre de l'Institut, président du Comité de prévoyance et d'action sociales, a, fait hier, à Bourges, sous la présidence de M. Magdeienat, président de la Chambre de commerce de Bourges, et en présence de 950 personnalités parmi lesquelles on remarquait M. Chevalier, président du groupement patronal du Cher, et M. Robelin, président du Centre de propagande et d'action sociales du Cher, une conférence sur la situation du patronat en France.

Il a tenu à souligner que la plupart des problèmes qui sont débattus, à propos de la charte du travail, intéressent non seulement les. chef d'entreprises et les travailleurs, mais la nation,tout entière.

L'adaptation automatique des salaires, des traitements des ouvriers et des fonctionnaires, par exemple, aurait des répercussions sur la vie économique du pays qui entraîneraient un ébranlement et un arrêt de l'activité, donc une recrudescence du chômage.

Ce problème intéresse tous les citoyens. C'est au Parlement de décider, après avoir étudié toutes les conséquences de mesures qui atteindraient les ouvriers aussi bien que les autres catégories.

M. Germain Martin insista sur le trouble apporté à l'économie nationale | par des hommes qui professent le mépris des réalités de la vie et ne s'attachent qu'au triomphe de leur utopie, qui n'a comme support que l'idée de lutte de classes, la haine, dont la force est destructive.. Il importe de comprendre l'interdépenda_nce économique qui impose la solidarité des intérêts des employeurs et des employés, et qui offre les bases d'un plan constructif.

• « Vous avez promis de l'at- t tendre ? demanda-t-il. ] « Oui. » i

« Je vois. » II s'arrêta, puis ajouta « Un docteur ne peut mal- < heureusement guérir que les mala- 1 dies du corps. Toutefois, si je pou- 1 vais jamais vous aider, je serais i heureux de le faire. Vous en souviendrez-vous ? s>

Les yeux de la jeune fille s'élargi- 1 rent de surprise. i

« Vous ? C'est beaucoup de j i bonté- de votre part. Et c'est à vous que je m'adresserais le plus volontiers. » ( « Merci, s II eut un vague sourire, puis haussa légèrement les t épaules, comme pour montrer qu'il ne s'exagérait point son propre mérite. « Je supposé que votre père ne ] sait rien des événements de la nuit s dernière ?» » 1 Les traits de la jeune fille-se dur- ( cirent soudain. ( « Je ne lui ai rien dit. Il ne saura rien. Il fait tout ce qu'il peut ( pour gâcher ma vie. Il a profité de f ce qu'il haïssait Mr Ricardo pour t contribuer à grossir l'importance de l toute l'affaire Cosdon. Il s'est posi- i tiyement réjoui du scandale. Il. s « Elle se mit à sangloter et Haddon ( lui posa les mains sur les épaules i pour la calmer, «a on geste compa- <

L'ART I

ET LA CURIOSITE

A L'HOTEL DROUOT

Journée aussi brillante que la veille, consacrée d'ailleurs à la fin des ventes commencées avant-hier. Achevant la dispersion des objets dépendant de la succession de M. Frédéric Mallet, M. Etienne Ader, assisté de MM. Damidot, Lacoste, Linzeler et Fronianger, a ndté deux bergères en acajou, estampille de Jacob, 9.800 francs un canapé ^corbeille, époque Louis XVI, 7.800 francs quatre chaises, estampille de Jacob, 7.800 francs, et un chiffonnier, époque Louis XVI, 6.600 francs. La vente totalisa 507.000 francs, environ. Achevant de son côté la vente des objets provenant de l'hôtel de Mme I. P. Me Henri Baudoin, assisté de MM. Mannheim et Bourdariat, adjugea Soixante-dix-sept assiettes en porcelaine, 6.000 francs · un tapis d'Aubusson (xtxe siècle), 8.200 francs, et un tapis imitant la Savonnerie (Second Empire), 16.100 francs, M' Roger Walther et M. Pierre Lamy obtinrent, au cours de la deuxième vacation des œuvres de Jean Weber une toile La fée et le dragon, 10.000 fr.; une autre 'Les Vierges folles, 8.000 fr.; une troisième Jaurès à la tribune, 8.000 francs, et trois grandes statues en bois, de la fin du xvn°, 12.200 francs.La vente produisit 134.000 francs. Enfin, la vente des livres et des autographes que dirigeaient Me Boisgirard et M. G.. Andrieux nous permet de mentionner · une lettre de Condorcet à Voltaire, 2.300 francs Les Œuvres de Rabelais (1542), en reliure d'époque, 4.860 francs l'originale de Bérénice, 2.005 francs celle de Phèdre, 2.000 francs celles d'Esther et d'Athalic, 6.000 francs, et les brouillons des lettres adressées par Voltaire à Catherine Il, impératrice de Russie, 16.810 francs.

Maurice Monda.

Bondir, assisté de MM. Reinach et Charraud, dirigera le 16 février, après exposition le 15, Hôtel Drouot, salle 10, une vente de bijoux et d'argenterie, provenant des décès de la comtesse de X. et de Mme E. ou appartenant à M. H. et à divers.

La troisième tranche 1938 de la Loterie sera identique à la précédente

Le secrétariat général de la Loterie nationale annonce que l'émission de la troisième tranche 1938 aura lieu le lundi 14 février. Cette tranche, identique à la précédente, sera limitée comme elle à 1.500,000 billets et comportera 183.840 lots dont 649 de consolation.

« La Jeanne-d'Arc »

en Cocb*mchine

Saigon, 10 février. Le croiseur-école Jeanne-d'Arc a donné une fête au cours de laquelle le commandant Auphan, répondant aux paroles ^rônoticées- par l'un des membres de l'équipage, remercia en termes émus les jeunes hommes dont il doit assumer la haute formation navale. « Vous êtes accueillis, ici, en Cochinchine, comme vous ne le serez jamais dans aucune colonie.

» C'est que ce sont des marins français qui ont donné ce pays à la France et que ce sont des marins français qui, les premiers, sur ces berges incultes et marécageuses, ont planté les premiers jalons de la ville splendide que vous admirez aujourd'hui. Vous recueillerez ici l'héritage de reconnaissance et d'admiration que vos aînés vous ont conquis et que vous serez dignes à votre tour de mériter, »

ÇA ET LA

J* Rappelons que le grand bal annuel de Saint-Cyr aura lieu samedi prochain 12 février, à l'hôtel Continental.

Jb ^k ^ki^kdk. ^L^k^k^k ^h ^k ^k ^h ^k.L ^k ^k.^k ^k ^k ^k ^k^k^k ^k a. a.

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tissant et impersonnel d'ami ou sim- i plement de docteur. Il l'admonesta i avec douceur. ] « Reprenez-vous. Vous venez de supporter une dure épreuve, miss Detmar, et vous ne devez pas main- c tenant vous laisser abattre. Puîs-je vous parler en ami ? » i Elle approuva et il continua « Je vous dirai donc Oubliez r le passé et envisagez l'avenir sous un c aspect nouveau. Vous ne devez rien J à Cosdon. » s Elle secoua la tête. c « Je dois tenir ma promesse envers lui. » -«II a rompu lui-même votre engagement par sa propre conduite.» l ̃ Non. » « Mais je vous affirme que si! » Haddon la secoua doucement. « Il ne c s'agit pas d'ériger en attitude chevà- I leresque ce qui n'est au fond, ma chère, qu'un sentiment romanesque d'écolière » c ( Elle s'éloigna de lui avec un peu f d'irritation et retourna près de la fenêtre. Haddon ne bougea pas et attendit. Tout à coup il la vit tressaillir. Un petit coupé à deux places venait de s'arrêter au bord du trottoir et un jeune homme en descendait. Ce jeune homme portait un chapeau à larges bords et de' longs cheveux qui tombaient sur son col. Haddon

Le 15 février

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Le paquebot « Pasteur » sera lancé mardi prochain à Saint-Nazaire

C'est. mardi, prochain 15 février <ju» sera lancé, à la marée de l'après-midi, le paquebot Pasteur, construit par les Chantieri de Penhoët pour le compte de la Compagnie Sud-Atlantique. Le Pasteur remplacera l'Atlantique, dont on se rappelle la fin tragique au déhutde 1933. Il en différera sensiblement par les dimensions et par le caractère. Il déplacera 28.000 tonnes, soit les deux tiers à peine du tonnage de l'Atlantrique, et ses aménagements seront d'un luxe moins fastueux. Mais les passagers y jouiront d'un confort au moins égal à celui qu'on trouve sur les paquebots anglais, italiens ou allemands qui desservent l'Amérique du Sud. Et ils auront en outre l'avantage d'une vitesse de 27 nœuds, supérieure à celle de tous les navires, étrangers de la même ligne.

Le lancement aura lien sans cérémonie. Il sera néanmoins présidé par M. Elbel, ministre de la marine marchande,

M. Jouhaux

émet un avis favorable

à la dérogation aux 40 heures dans tes mines

Lena, 10 février. Une délégation des mineurs de la première région a été reçue- par M. Jouhaux au siège de la C.G.T. Les. membres de la Fédération auxquels s'étaient joints les membres du bureau de la Fédération du soussol, ont demandé au secrétaire général de la C;G.T. l'avis du bureau de la C.G.T. sur les dérogations. M. Jouhaux déclara que les 31 heures nouvelles étant écartées, il fallait accomplir les 62 heures légales inscrites dans le décret de :1936 sur l'application des 40 heures, que c'était là un engagement moral que: la classe minière ne pouvait trahir que, de plus, c'était l'avis de tout le bureau confédéral ainsi que celui de la commission administrative de la C.G.T. qui s'est occupée récemment de cette question. Il ajouta que l'opinion ublique ne comprendrait pas le refus des mineurs de faire cet effort conforme à la loi et nécessaire au pays. Le syndicat des mineurs du Pas-deCalais invite tous les mineurs et similaires, appelés à accomplir les journées supplémentaires, à remplir leur devoir social dans la discipline et la compréhension des événements.

Douleur

air côté droit ? C'est le Foie

Les douleurs au côté droit, s'étendant jusque dans l'épaule, trahissent la congestion du foie. On observe aussi des trouMes digestifs, vertiges, migraines, vomissements, alternances de constipation et de diarrhée, gaz intestinaux, démangeaisons, langue blanche et chargée, bouche amère, teint jaune. Le meilleur remède à cea misères consiste à prendre de l'HépascoI François (20 à 30 gouttes, aux repas). Lisez cette lettre de Mme Y.

« Malade du foie depuis six mois, j'avais dû m'aliter. Ayant pris de l'Hépascol François, ma, douleur au côté droit a disparu, je suis plus forte et j'ai pu reprendre toutes mes occupations. » (Lettre F 587.)

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vit qu'il portait des lunettes et remarqua son expression d'agitation presque violente.

« Qui est-ce ?» demanda-t-il, « C'est Derck. Derck Ricardo. » Elle fronça les sourcils avec appréhension. « Pourquoi vient-il ici ̃-

La porte d'entrée claqua bruyamment et, un moment après, la porte de la bibliothèque s'ouvrit pour, livrer passage au colonel Detmar, suivi du nouvel arrivant.: A la vue de Merle, celui-ci s'avança vivement. « Je suis venu vous dire que vous devez quitter Platle » s'écriat-il avec exaltation. «̃ Ne restez pas ici une heure de plus Entendezvous ? Vous n'êtes pas en sécurité! » II était haletant et oppressé. Soudain, il pivota sur lui-même et regarda -froidement Haddon.

« Qui est celui-ci ? &

« C'est le docteur Haddon », dit Merle brièvement. « Visite professionnelle. » Puis elle se tourna vers Haddon.

.'• -̃̃; '̃̃* Seldon Truss. ̃ ]

(¡j- ~); >,

(Traduit de l'anglais par S.-L. BontempsX (.Copyright by S.-L. Bontemps)


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Verticalement: T. Compression avec' exfort. 3. D'un chant latin du départ · Note Assentiment celtique. 3. Qui appartiennent à des courants d'eau rapide. (. Acceptation Note Deux lettres de « Chàteoudun ». 3. Champignons parasites des végétaux. 0. Deux lettres de « Rennes « Ville de la Flandre belge. 7. Vaisseaux poétiques Femelle d'un plantigrade. 8. Boisson Propulsent un avion. 9, Parcourus des yeux Canton suisse. 11). Terre non continentale II élait craint des navigateurs. 11. Enfoncer dans les sables mouvants Posséda. Solution duN- -J 5 03 3

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LE FIGARO ECONOMIQUE ET FINANCIER

ET LA TRESORERIE ? Comme le ministre des finances avait pris soin de l'annoncer, de manière à prévenir tout effet de surprise, le fonds d'égalisation des changes a racheté la Banque une certaine quantité d'or qu'il lui avait cédée en novembre dernier. On lui a fait grief de ces allées et venues. Ce reproche n'est pas fondé. °

La dotation initiale du fonds a été fixée à dix milliards de francs en octobre 1936. Depuis cette date, le franc a malheureusement perdu une fraction appréciable de sa valeur. Les moyens réels du fonds sont réduits d'autant. A l'automne, il manquait de francs pour acheter des devises et de l'or. Maintenant, il allait manquer d'or pour conduire ses opérations à sa guise. Dans les deux cas, il a été obligé de s'adresser à sa réserve générale, c'est-à-dire à la Banque. Rien n'est plus simple. L'ennui est que ces transferts sont nécessairement publics. C'est un des vices du système actuel. Quand on aura fini par le reconnaître, il sera facile de le corriger.

En l'occurrence, le fonds a pris 4 milliards de francs sur ses disponibilités inscrites au poste Comptes courants et dépôts de f onds des particuliers. Il les a versés à la Banque et il en a reçu 3 milliards. La différence s'explique par le fait que, dans ces écritures, l'encaisse est évaluée en francs de 43 milligrammes d'or, qui correspondent à un cours d,environ 113 pour une livre sterling. On voit que l'encaisse est ainsi ramenée à ce qu'elle était au mois de juin 1937, quand fut constitué le précédent gouvernement. Il faut ajouter que l'emprunt anglais, entre temps, a été remboursé. En revanche, une hypothèque nouvelle est formée par les crédits suisses et hollandais. Au total, l'amélioration obtenue, après sept mois d'efforts, est insignifiante, ou nulle. Et, de surcroît, le franc a subi, entre temps, un fléchissement important.

Ces constatations suggèrent des réflexions d'autant plus sérieuses que, si le problème du change est momentanément résolu, celui de la Trésorerie ne l'est pas. Si le fonds a eu besoin d'or, c'est que des sorties de capitaux se sont produites. Le Trésor, en fin de compte, en supportera Ses conséquences. On a beau prétendre que la loi du circuit est un pur jeu de l'esprit. On pourrait aussi bien soutenir que la terre ne tourne pas, ou que lu loi de la pesanteur n'est pas applicable en France. Pour 3ue le découvert du Trésor fût moinire, il faudrait d'énormes plus-va'ues fiscales. Peut-on les espérer ? Elles ne pourraient résulter que d'une accélération foudroyante de l'activité économique. Ce qu'on voit, turtout depuis le début de l'année, c'est exactement le contraire, c'est ïne crise économique d'une violence inouïe.

Après cela, toute la question est de 1avoir si les Français sont des bébés, ou s'ils sont majeurs. Dans un cas, il faut les bercer v– en attendant le ré. veil. Dans l'autre, il faut les avertir. F.-F. Legueu.

1 INFOIMATIONS

Obligations 4 1/2 0/0 1929

de la Caisse Autonome

d'amortissement

II ̃ été procédé, le 10 février, au tirage ie cinq séries des obligations 4 1/2 0/0 1929 de la Caisse autonome. Le sort a désigné tes séries 557, 117, 311, 384, 739 pour être remboursées à partir du 1er avril 1938. Le remboursement des obligations appartenant à ces 5 séries aura lieu, pour Paris, aux guichets de la Caisse autonome, 56, nue de Lille, à la Caisse centrale du Trésor public et aux caisses des receveurs-percepteurs, et pour les départements aux Caisses des trésoriexs-payeurs généraux, receveurs particuliers des finances et percepteurs. Le remboursement s'effectuera au pair de 1.000 francs pour les titres appartenant ù des personnes physiques les titres appartenant à des personnes morales seront remboursés sur la base de 993 fr. 50 par titre de 1.000 francs (décret-loi du lti juillet 1935, modifié .par le décret-loi du 31 août 1937). Situation

de la Banque de France

au 3 février 1938

ACTIF

En millions

incaisse-or 55.806 3.120 < Argent 371 6

Comptes ostaux 643 4- 116

Disponibilités à l'étranger.. 20 -j- 4 f Effets escomptés 11,138 5J8 Effets àgric 779 ci Efli-ts banques populaires.. » Effets négociables France.. 332 4 Effets négociables étraog. 817 16 Avimi'eB sur titres 891 -r 118 Avances à .40 jours ï;178 2ô3 Bous Laisse autonome 5 5gn >>

Avances provisoires sans In-

térêt à l'Etat (conv. 18

juin 1936) 12 118'\

1 et 2 f~.ta.~

s «.000

Art. 9 1U.(IOU a

(conv. 30 juin 1937). 9-820 Divers 2-9'!> -<̃ t&i PASSIF

BHW« en circulation 93.387 -f 1.132 Compte Trésor publie 101 80 Compta Caisse autonome 2.392 114 Cou, utes courants 19.500 4,021 Divers 3-975 ̃+̃ 151 Montant des engagements a vue 115.489 Ratio 48 32 0/0 c. 49 66 0/0

mouvement" judiciaire

Sont nommés t

Président de Chambre à Alger. M. Ail.f«ud.

Conseillers. à Alger, MM. Cajnpocasso,

Grimaldi.

Présidents à Sétif, M. Vaillants Sidibel-Abb*s, M. Fabre Guelma, M. NarBôni s Srelénnsville, jj. Hagard-

i, Juges à Valenciennes, M. Lannoy Al>̃ «er, HO!. Lecoq, Gonsolin, Peget, Barrot Constantine MM. Talbert, Drago Oran t. M. Chabuunîer Sétif MM. Piton, Tain Sidi-bel-Abhés M. Lucciardi Mascara M. Siragusa Sétif M. Tain Blida M. Coscan Mostaganem M. Vernet Tlemcem M. Andarelli..

Juges suppléants jétribués du ressort de la Cour d'appel d'Alger MM. Combes, Rempfer, Kenneci, Bcuzil.

| Procureurs de la République à Tizi-Ou- v zûu M. Humbert à Guelma M. llipert à Sétif M. Colpnna à Tiaret M. Ber-

nascôni.

Substituts du procureur de la Kepuhlimie; à Alger SI. Bardelli à Oràn MM. Penaud. Dumont à Sétif M. Turpault h Ëlid» MM. Tcsster, Girard.

̃ -–<»-.

COURS DE LA VILLETTE Gros bétail 2.145 amenés et 1.122 aux réserves; renvoi 105. (Au kilo de viande

nette)

f Bœufs extra, 11 70; première qualité, 10 90; deuxième, 9 20; troisième, 7 60. Vwux 1.448 amenés et 591 aux réserves; renvoi 27. (Au kilo de viande nette) E«W», 17 80; première qualité, 17 fr. deuxième, 16 fr.; troisième. 15 fr.

Mouton» s 5.S55 amenés et S 052 aux réserves renvoi 24. (Au kilo de viande

nette)

a<Kltf», 19 30 première «alité, 17 90 t. Hème, 1S 40; troisième, 11 10. et

poi.V s 1.368 amené», 664 *ux réserves et

8,987 ent.'s directement. (Au Kilo vif) Extra 8 i> première qualité, 7 90; deu-

xièmv, 7 -50; troisième, S 70.

Bonne tenue des valeurs de produits chimiques françaises. Fermeté des fonds britanniques. Résistance des mines d'or.

© Séance sans beaucoup d'intérêt. Le prélèvement effectué par le fonds d'égalisation sur l'encaisse or de la Banque était prévu et n'a pas causé, de surprise. Et le bilan de la Banque n'offrait pas d'autre mouvement digne de remarque. On a continué de commenter les événements d'Allemagne dont les "échos semblent se prolonger, et la tentative de règlement des différends anglo-italiens, au sujet de laquelle il est encore difficile de se former une opinion précise. ffi Les marchés étrangers de valeurs ou de matières premières ne fournissent pas, pour l'instant. d'indications décisiv£s sur l'orientation ultérieure de la conjoncture mondiale. On se contentera de noter comme symptômes favorables la fermeté continue des fonds britanniques, la bonne tenue des mines d'or et la résistance remarquable de Wall Street au voisinage des bas cours marqués à quatre reprises, le 19 octobre, fin novembre, fin décembre et il Il a quelques fours.

© La même perplexité règne, non tant sur la situation intérieure française qui est jugée unanimement comme très mauvaise au point de vue économique et financier que sur les moyens techniques et politiques de l'assainir.

© Devant cette triple incertitude. intérieure, économique et diplomatique, on comprendra que la Bourse se réserve et que ses indications manquent de suité. Objectivement, on observera cependant que, chaque fois que les valeurs f rançaises s'affaiblissent, com-

PARIS

PRINCIPALES FLUCTUATIONS

Hausse

Crédits Argentins. 756 + 7 Japon 5 0/0 1907 1390 +15 Bëthune. tH4 9 9 Charh. du Tonkln 1990 +30 ~ilnCx de Bor 2Z8# –4 Uglnc 1236 +10 Pcehiney 1\145 12 flhbne-Poulcne 1070 +19 Saint-Goba!a 1!'<9 ici ~U111né8 .t,. 5235 45

Baisse

3 0/0 "69' 20 0 20 4 0/0 1917 66 15 0 35 5 0/0 1920 92 85– 0 25 Belgique 5 1/2 1332 2075 22 Emprunt Young 35« fi 50 Banque de France. 5910 135 Banque de Paris 1018 –20 Foncier Egyptien 4763 72 Ilaut-Katungu 3505 57

PRINCIPALES TRANSACTIONS En francs de rente

3 0/0 223.479 44 1932 A 1.060.005 4 0/0 1917.. 58.290 4 i 1932 B 789.363 4 0/0 1918.. 185.254 4A% 1037. 497.682 5 0/0 1920.. 144.380 Ob. SJ 1936A 1.649.100 4 0/0 1925.. 122.312 O. 4%103« U 2.671.400

En tftres s

Banque de Fr. 81 Saint-Gobaln.. r.66 13. de Paris.. 1.810 Air Liquide.. 1.240 Un. Parisienne Ï02 Quilmès 205 Cr. Lyonnais.. 220 Distlll. Indocb 3flo Suez capitel.. «4 Indo Hévéas.. 213 Tr. Shanghaï. Say 546 Dlstrlb. Eleet. 643 Terres Rouges -109 Forges N.-Est. i>»3 Can. Pacific. 2.872 Trél'ilerles 156 Wagons-Uts. 3.847 Lcns 95B Centr. Mining 400 Nickel 602 Geduld 1.627 Penarroya 1.135 Rio 1.891 C. Fse Pétroles 326 Royal Dutch.. 1.142 Ugine. 523 Amsterd.Rub. 187 Kall Ste-Thér. 728 Cr. Nat. «919 1.733 Kuhlmann 1.114 Cr. Nat. 1920 1^751 Pechiney 834 Cr. Nat. 1923 1.606 Rhône Poulenc S95

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6%!M3M6 793 786.. BANQUE$ ..1':196 Dleti118titdellndoGAmei 625,.1650 Ro" 18036: 16030, 4~%I~r. $la 81B Banqnedtriqne0cçideuk~ 680 716 'trtpc'de omette. 2141" .135 ..1 Berne mMMS · '063'5 'lOi 87& ,o.1931(I00dollarll ,091 906. °'d.r!~MM. 29% 21150 Gr.J!1oul.do.orb.l1.ord, 115G.. tas 152

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JMIJLieCH~S :R:Ë:S:E:E~r:ÈS

me cela fut le cas il g a quelques jours, elles rencontrent les achats limités en quantité, mais constants de groupes financiers français ou internationaux qui estiment pouvoir jouer le redressement à long terme de l'économie française. Ce n'est pas ici, certes qu'on leur donnera tort.

© Dans le temps que la masse des ca.pitalistes dans tous les pays sauf peutêtre en Grande-Bretagne dégoûtée des placements en valeurs mobilières, se réfugie dans la thésaurisation de monnaies solides ou d'or, il semble que les grands groupements financiers qui eurent la sagesse de s'alléger avant la bourrasque recommencent de s'intéresser de-ci de-là aux valeurs les plus solides et les moins chères. La situation générale française mise à part, nos valeurs nationales sont de celles-là.

© Hier, notamment, on a continué de Chambre syndicale

des grains et farines

et de la meunerie de Paris A la suite de l'assemblée générale du 4 février 1938, le hureau de la Chambre syndicale a été constitué comme suit

Président M. Jean Godschmidt vice-présidents MM. Martin Bloch. Henri Chasles, Georges Delpeux secrétaire M. André Crémieux trésorier M. Jacob Israël.

1 LONDRES irrégulier

Z7IZI Ôiôl ÔërïT r]m ciôï Dern.

VALEURS précé(1 cours VALEURS. precé(J 1 Dern.

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Chi»i>4}j.. 75./ 78. Itnganyllta 7/6 7/6

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Italien 8I4 ̃'• "̃'̃ Si"n 4 19/31 4 1/2

Jap.4?i(99) 37 38 Mox.Easle- WlT/i 10/1 K Portoj.3?(;l 79. 78. I An(lo-Fran 16/10<j 76/1014 Rs»e(lM6) 0 3/8 0 3/SjGula M/3 26/3 E»p«s. eit. 39 1/2 39 1/2 | Rubb-Trust 25/7).; 25/71: Ivrciy, 3 1/1 3 1/8 j Malacca. n,e 25<7V, Hydro-BlM 438 4 1/4 Senaab 30/. 30/. Ict.Holdiis 1 ]/2> 1 S/16 Courtaulds. 43. Vj 42a

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Se Betrs. 10 3/4 10 5/8 Unlleier 38/. 37/6

Jagerilont. 17/(6 1 7/19 II AtcMson. ,35 3/4 36 l,

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HeliopoUS. 1730.. 1715.. Soc. C. Bel. S710 S770

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Bantj.doPar 1016 872 60 Eleot.(cap.)| 970.. 965..

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HMt.Seine!n'iOM''M -(fot.)i!00..2MO..

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noter un ramassage discret de nos belles valeurs de produits chimiques. Les internationales, par contre, ont manifesté sauf les mines d'or un peu d'irrégularité, les égyptiennes et les argentines notamment.

© Aux fonds étrangers, le Credito Argentino poursuit sa reprise, correction à sa baisse de la semaine antérieure. Les fonds japonais se raffermissent. Par contre, le Belge 5 1/2 1932 s'affaiblit, en mente temps que /'Emprunt Young cède une fraction pour les raisons indiquées ci-dessus.

© Rentes françaises affaiblies, les séries ordinaires cèdent environ un quart de point. Les séries à garantie de change sont résistantes.

Londres est peu actif et réservé dans son ensemble. Toutefois les fonds britanniques poursuivent leur avance et les mines d'or sont résistantes. Fermeté des fonds japonais, recul des fonds allemands.

© Metal Exchange alourdi cuivre standard -11/3, étain L. 1/20, plomb –7/3, zinc –7/6. n

© 11 a été traité 900 tonnes de cuivre, 150 tonnes d'étain, 800 tonnes de plomb et 1.000 tonnes de zinc.

© New-York est irrégulier. Après un début très ferme sa cote d'effrite dans l'inactivité. La clôture s'effectuera dans les cours de la veille sur une note de fermeté. Total des transactions 630.000.

AMSTERDAM hésitant

VALEURS j prgcfcd. j cours |j '^EURS | prtoij. | mn

Ams.Baok.. I 159. 160 1/8 [H. I V. A. 423 1/4 418.

Royal Datch 350 3/4 348 1/2 Amst. Snb. 206 3/8 204 1/4 A. S. V. 37 1/4 36 l,8!Senembah. 2911/2 295. Cnilorer. 153 1/2! 181 5/8J!chnde

Philips 803 1/4 294 3,'4i:JaïaCnnimr! 153 150

1 29~ -11 I ,J. 180,1.

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MARCHES COMMERCIAUX l'

Cours I Oern.

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Londres Disponible 7. 6 7/8 i.AOOTCKOUC. New-York.. Mars 14 43 14 53 Mal 14 60 14 70 ."VIVRE (SUn.i Londres. comptant 3819/4!] 38 5/7 J4

New-York.. Mari 860 852

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LES CHANGES

Stabilité

Malgré des mouvements de capitaux qui semblent rester orientés dans le sens des sorties, les changes étrangers sont stables, grâce à l'action du fonds d'égalisation.

Au comptant, la livre se tient à 152,67 contre 152,675 le dollar, à 30,44 contre 30,47 le florin à 17,02.

A terme, le report est, sur la livre, à trois mois, de 6,25 contre 6,45 à un mois, de 2,20 contre 2,375.

RADIO Nous voudrions dire tout le bien que nous pensons d'un court concert de musique de chambre donné mardi, en fin de soirée, sur l'antenne de Radio-Paris l'ensemble Capelle jouait le quintette avec deux altos de Mozart, Pierre Bernac et Vlado Perlemuter interprétaient Ravel. En prêtant l'oreille aux inflexions des Valses nobles et sentimentales (dans une intensité sonore amenuisée) nous comprenions que les exigences du micro sont plus complexes encore qu'on ne pourrait le croire elles varient singulièrement d'une heure à l'autre. Ce qui ne doit pas simplifier la tâche des organisateurs. P.-D. T. Vendredi 11 février

20 30, TOUR EIFFEL Variétés Les grandes époques musicales et littéraires. Musique et poésie au début de la Renaissance (fin du quinzième et début du seizième siècle), prés, par M. Dumesnil (dir. M. Raugel) Une comédie du quinzième siècle par la troupe de la Tour (dir. Castan) Une fantaisie radiophonique de F. et R. C'onstantin-

Brive.

20 h. 30, PARIS P. T. T. Orchestre National sous la direction de M. Inghclbrecht Variations sur un tkème de Haydn (Brahms) Colgotha (Ibert) Concerto pour violon et orchestre iXchai~koivsky), sol. R. QuattrocM Symphonie. (Eisa Barraine) Impressions d'Italie, Napoli (Clsarpen.lier).

20 b. 30, STRASBOURG Orchestre de chambre de Bâte Sin(onietta (Roussel) Concerto pour orchestre à cordes (Burkhard) Alcina Traummusik (Baendel) Concerto pour violon et orchestre en sol majeur (Haendel) Petite sérénade de nuit (Mozart).

22 h. 30, NATIONAL ANGLAIS Récital de clavecin Toccata (Frescobaldi) Ballo detto il Picali Balle alla polacha (Picchi) Canzona Corracnti (Frescobaldi)

2j h., RADIO-PARIS Concert de nuit sous la direction de M. Rhenê-Balon Chaconne (Purcdl); Concerto pour violon et orchestre (Vivaldi) Corcerto pour violon et orchestre (Vivaldi), sol. M. Roques Album d'images (de La Preste) Lenore (Duparc) Suite est fa (Roussel).

ORCHESTRE

15 h. 45, LONDRES REGIONAL Concert symphonique.

18 h. 35, VIENNE Orchestre Kabasta (Korneuth, Lilo, R. Strauss, Beethoven).

le h. 40, MUNICH Concert (Schubert, Mozart, Haydn).

19 h. 30, NATIONAL ANGLAIS Orchestre

B. B. C.

19 h. 40, HAMBOURG Concert Tchaikowsky. 20 b., NORTH' REGIONAL Requiem (Mozart.

20 h., ROME Concert symphonique.

20 h. 20. PRAGUE Concert (Dvorak, d'Indy). 20 h. 30, LILLE P. T. T. Concert.

22 h. 30, RADIO-CITE Daphnis et Chloé (Ravel).

MUSIQUE DE CHAMBRE ET SOU 13 h. 30, RADIO-PARIS Mélodies.

14 h. 30, PARIS P. T. T. Violon et piano. 14 h. 45, RADIO-PARIS Piano.

17 h., RADIO-PARIS Quatuor Reitinger. 17 h., DEUTSCHLAND Récital de piano (Beethoven. Reger).

18 h. 10, BRESLAU Orgue (Buxtehudc, Tenaglia, Pachelbei, Corelli, J.-S. Bach).

18 h. 30, PARIS P. T. T.. Mélodies.

19 h., TOUR EIFFEL Concert. Piano et chant.

22 h. 5, LUXEMBOURG Quatuor, op. 18 n° 2 en sol maj. (Beethoven) Sérénade italienne (HugoWolff).

MUSIQUE LEGERE ET VARIETES 11 h. 45, PARIS P. T. I. Musique variée. 17 h., TOUR EIFFEL Musique variée. 20 h., TOUR EIFFEL Demi-heure poétique par R. Honnert et Mme M. Milhaud.

20 h.. RADIO-CITE Gala des vedettes. 20 h. 15, RADIO-37 Le Chant des villes. 20 h. 30, RENNES-BRETAGNE Musique légère.

OPERA

19 h., FRANCFORT Le vaisseau fantôme (Wagner).

19 h. 5, SUISSE ALEMANIQUE Turandot, de Puccini.

THEATRE

15 h. 30, TOUR EIFFEL Art et Travail présente Arlequin sauvage, comédie en trois parties d'après Delisle, par M. P. Roland et E. Jon-

quille.

<IU2lE'h., POSTE PARISIEN Du Théâtre SaintGeorges Barbara, de Michel Duran.

Deux #nilnntoii.N qui font fureur fcÉ! GAÏ'A DES VBDE'WKS

Ce vendredi à 19 li. 55 il I! A I1IO-CITK (rctrnnxinlsxloii du Cinéma

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Samedi 12 février

20 h. 10, TOUR EIFFEL De l'Opéra, Don Juan, opéra an deux actes, musique de Mozart, avec M. Pernct, Mmes Lubin, Germaine Hoerner, Dclmas MM. Cabanel, Rambaud, Morot, Jfedus. Orchestre sous la direction do M. Zweig.

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t-U Les délices?\àËL

CUISINE BORDELAISE l' La cuisine girondine est une des grandes cuisines de France. Délicate et nuancée, finement relevée, elle est digne des vins magnifiques qui l'escortent. Mijotée avec amour, elle hait l'improvisation. Elle s'accommode de 1 ail, de l'échalote, des épices traditonnelles. Elle sait tirer de l'huile un merveilleux parti.

Dans les potages, signalons le tonrin aux oignons et aux œufs. Dans les poissons et coquillages, voici la saucisse aux huîtres > on gobe une huître, on avale une bouchée de saucisse brùtantc les moules à la bordelaise, vin blanc, échalote, coulis de tomates, les écreVisses, les escargots, la lamproie aux poireaux, les royans grillés. Parmi les plats de résistance, le. célèbre entrecôte, moelle de bœuf et sauce à l'échalote, le manchon de bœuf farci aux cèpes, le bifteck maître de chais, les ailerons de dinde farcis, l'oie aux pruneaux, le foie de canard aux raisins, les palombes en salmis.

Continuant ses manifestations régionales, le Filet de Sple, l'excellent restaurant du Normandy-IIâtel, 108, rue de Paris, au Havre, vient d'organiser une brillante journée bordelaise. Voici le beau menu, strictement girondin, composé par M. Daniel Bondonnat, qui préside aux destins du Filet de Sole tourin, écrevisses à la bordelaise, agneau de Pauillac, cèpes à la bordelaise, poularde farcie. Et, naturellement, les meilleurs crus médocains et saint-émilionnais.

Félicitons M. Bondonnat de son intelligent effort. L'Association des gastronomes régionalistes a créé une section havraise qui réunit chez lui les meilleures fourchettes normandes.

Grâce, à Daniel Bondonnat, le centre régional est reconstitué au Filet de Sole du Havre.

Gaston Derjs.

Tourin bordelais

lEpluchez deux gros oignons, émincez en tranches très minces. Mettez une cuiller à soupe de graisse d'oie dans une casserole la graisse fondue, mettez les oignons, faites cuire à feu très doux. Remuez souvent avec une cuiller de bois.

Les oignons bien fondus et bien blonds, mettez une gousse d'ail, un litre d'eau, sel, poivre, laissez bouillir dix minutes. Puis mélangez bien 3 jaunes d'eeufs avec une louche de bouillon et une cuillerée de vinaigre. Versez dans le tourin en remuant ne laissez plus bouillir. Versez dans une soupière sur des rondelles de pain rassis.

Sole bordelaise

Détacher légèrement les filets d'après l'arête, mettre un peu de beurre sous chacun. Beurrer un plat,

20 h. 30, RADIO-PARIS Théâtre. Un soir en Italie, avec Madeleine Renaud, de ta Comédie-Française, et Henri Rollan, prés, par F. Gregh Une nuit vénitienne, comédie en un acte d'A. de Musset, avec MM. Rollin, Rollan, Dechamp, Flateau Mmes Renaud, Lorry, Bimkins. A 21 h. 10, PARIS I'. T. T. Corilla, comédie en un acte de G. de Nervat, avec Mad. Renaud. MM. Roltan, Deckdmps, Deninx.

20 h. 30, PARIS P. T. T. Concert symphonique Le cheval de bronze, ouv. (Auber) Mélodies, par M. Balbon Panurge Touraine est mon pays (Massenet) Le Médecin malgré lui Air des Glouglous (Gounod) Le chalet Arrêtons-nous ici (Adam) Le Caïd L'amour est un dieu proJane (Thomas) lllys, ballet (Ganne) Le, pas des Fleurs (Delibes). A 22 h. 5, RADIO-PARIS Concert sous la direction de M. J. Clerguc Dfélodies par M. Balbon Ta bouche J'ai fait ça machinalement Ça c'est une chose Bouche à bouche Où, quand et comment Gosse de riche Quand on est chic (Tvain) Scène de féerie (Massenet) Marche écossaise (Debussy).

21 h. 10, RADIO-PARIS Mélodies par Mlle Castang (Vuillermoz, Delacroix, Bemberg, Dubois) Le Cabaret, par H, Cor Poèmes berrichons dits par M. Chambon. La suite des Variétés (121 h. 50, PARIS P. T. T.

23 h., PARIS P. T. T. Théâtre. Mai 36 présente Le temps t'st.'un songé, six' tableauT~te H.-R. Lenormand, prés. par G. Pitoe'ff, mise, en ondes par L. Ruth, avec Mmes Bereitdt. Manson, Fontan MM. Deninx, Fcrréol régie Mlle Brianne.

ORCHESTRE

15 h. 15. LONDRES REGIONAL Orchestre B. B. C. (Geman, Schubert, Provaznlk)). 15 h. 30, BRUXELLES Concert du Conservatoire Royal de Gand.

16 h., BOR1)kAG1-LaIrAI-E1"GE Concert Sainte-Cécile, sous la direction de M. Poulet (Mozart, Brahms, Balakireff, Lalo).

16 h. 30, PARIS P. T. T. Concert Pasdelmip. 17 h., RADIO-CITE Concert par l'Orchestre Symphonique de Paris.

17 h., RENNES-BRETAGNE Concert (Mozart, Haydn, Beethoven, Mendelssohn)

18 h. 10, MUNICH Concert (Mozart, Beethoven. Schubert).

1S h. 45. ORCHESTRE B. B. C. Concert, Tchaikowsky).

19 h. 30, RENNES-BRETAGNE Œuvres de Chabrier.

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Hachez les queues avec 4 gousses d'ail et du persil. Jetez ce hachis sur les cèpes. Faites sauter le tout dans la poêle 3 nu 4 minutes'. Vous pour. ves ajouter une cuillerée à bouche de mie de pain. Servez.

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17 h. 10, MUNICH Récital de piano Granados, Chopin, Albeniz.

17 h. 20, BRESLAU Quatuor à cordes en ut mineur, op. 18, 4 (Beethoven).

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20 h. 15, RADIO-PARIS Mélodies (Berliox, Debussy, Auber. Ropartz).

20 h. 40, LONDRES REGIONAL Récital de clavecin.

21 h., MARSEILLE Concert Solistes de la Philharmonie de Berlin (Mozart, Brahms, Schubert).

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18,h. 30, TOUR EIFFEL Demi-heure poétique avré-'R.Hoîihert et. Mad. Milhaud.

19 h. 40, RADIO-PARIS Poèmes dits par Francis Carco.

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Emile Allais et James Couttet, le champion et « l'espoir », qui participeront K aux championnats de France.

Les cham p ionnats de France de ski, s'ouvrent aujourd'hui à Beuil- Valberg et à Auron (De notre envoyé spécial, M. BAUDRY.)

Nice, 10 février. Qui dit cham-

pionnat de France ne dil j>as nécessai-

rement championnats fiançais. C'eut

un fait cn ce qui concerne le ski, parmi

Nn fait Cil ce o;tf 1.coltéleilite le sl~i, p«rm<

d'autres sports. Il ne manque pas, cependant, d'occasions, luiit le long de l'hiver, qui se prolonge chaque année davantage, aux champions de tous les pays de se rencontrer (une bonne dizailie de compétitions sont largement ouvertes aux représentants du ski de descente) pour que nous puissions espérer qu'une seule d'entre elles soit au moins

laissée aux Français Le championnat

de France. Il n'en est malheureusement t pas ainsi.

Le cas s'est présenté une seule fois l'an dernier, quelques jours avant les jeux du monde. Il fut décidé que nos championnats nationaux se courraient en 'famille., £a Fédération pensait les expédier un peu à litre de sélection. A mon avis, ce'fut, au contraire, une courae fort intéressante par sa rareté même oii' voyait enfin le classement des Français uniquement départagés pur rapport les uns aux autres sans que des présences étrangères vinssent decouruger nos jeunes espoirs et talonner nos hommes de tête pour des raisons d'amaur-propre autant que de combativité sportive.

Qu'allons-nous voir à Auron, entre le 11 et le 17 février ? Une répétition du Lauterhorn, dit Grand Prix de Ulegève et de la F. I. S. ne nous en plaignons pas cependant. Le ski est un sport d'une telle beauté qu'on n'a pus à craindre lu lassitude du public en face de ces ré- pétitions 1

Tout Ce que nous venons d'énoncer répond, d'ailleurs, à lu pensée prcfonde des dirigeants de la fédération. Mais, pour cette fois-ci encore, ils ont fait une exception. Les championnats de France, en effet, se courent dans deux stations quasi nouvelles et que leur éloignement de l'Europe centrale à désavantagées.

et elles méritent mieux que cela. L'ef-

fort d'aménagement de Beuil, Auron et Valbery ne fait que commencer, mais les premiers résultats font honneur aux entreprises privées ou publiques qui se sont chargées du lourd travail. Ainsi, nous sommes assurés que la décision dit comité de la Fédération tournera il notre avantage nul doute que les chantpions et visiteurs étrangers (et même bon nombre de Français) ne repartent de ces trois stations que pour y revenir, Beuil et Auron sont reliés à Xice par une route parfaitement ouverte à Beuil auront lieu les épreuves de saut et de fond, à Auron la descente et le slalom.

CABÏER EST CHAMPION DE FRANCE UNIVERSITAIRE Il est premier

au classement combiné 1 des 4 épreuves

Kick, 10 lévrier, (Ce notre correspondant particulier.) Les Championnats de France universitaires se sont terminés aujourd'hui à Yalberg par les dernières épreuves, descente dans la matinée et slalom dans l'après-midi. En voici les résultats Descente. 1. Reynier (Grenoble), 2 m. 'li s. 2. Coudry (Lyon), 2 m. 25 s. S.. de Polignac (Paris), '2 m. 37 s. 1. Wisbach (Strasbourg) 5. Latarjet (Lyon) 0. Bardezat (Lyon) 7. Cadier (Nice) 8. Speieli (Nancy) 9. Mireur (Xice) et Mïkler (Stras-

2)0 ui^). ~it, 2 m. Il s. :10

Slalom. 1. Bnrhezut, -2 ni. 14 s. '3/10 2. Coudry, 2 m. 16 s. 3/10 3. Latarjet, 2 m 18 s. 3/10 1. Mireur 5. Reynier 6. Wisbaeh.

Classement combiné descente-slalom. 1. Coudry, 177 points 2. Reynler, 470 p. S. Wisbach, -1G4 points 4. Latarjet- 5. Barbezat 6. de Polignac 7. Mireur- 8. Spelch 9. Mikler 10. Cadlcr.

C'est Ca'jler, du Centre universitaire méditerranéen de Nice qui avait remporté hier le combiné saut et l'end, qui" s'assure en définitive la première place du combiné quatre épreuves avec 869 points, enlevant ainsi Je titre de champion de France universitaire devant Mikler de Strasbourg, 835 points, Chullendrc, de Besançon, 113 points, et Latarjet,. de Lyon, qui, sans sa chute hier dans l'épreuve de saut, aurait sans doute iournl'lc vainqueur. Jean Rouillât.

NOUVELLES AERIENNES

-+. M. Robert Esniiult-Pelturif, l'inventeur

français du manche à Ualai », se verrait 'pÉoeuaiuement offrir près d'un million do dollars -'d'indemnité par le gouvernement apaéri'cain, coupable de s'être servi, sans" ,autorisation, de son. brevet pour équiper, pendant la guerre, les avions américains, il 1111 semble que ce procès ne puisse aboutir. étant donne le temps' qui s'est écoulé depuis la violation des droits du brevet. :+ L'iéi'o-clul) du 16e arrondissement orsanise, pour ce soir il «lévrier, à Si Heures 30, a la Maison de la Chimie, un gain ait bénéfice des r Ailes Brisées (Fondation Blancnet).

L'aviation postale

i -Le- service de l'aéronautique civile de

Madagascar vient d'établir les statistiques

de; rexplo,itation des lignes intérieures de Madagascar pendant l'année Écoulée. En ce qui concerne la ligne du Xord. qui fonctionne depuis' le 1er janvier 1037, le poids du courrier transporté s'est élevé à ils. 210 kilos et celui du fret à l.OUS Kilos. Quant à la ligne du Sud, ouverte au trafic le 31 octobre dernier, clip a déjà transporté 1.981 kilos de courrier et O'J5 kilos de fret.

TIR AUX PIGEONS A MONTE-CARLO

Monte-Carlo, 10 février. (Correspon-

dance particulière) Prix. Beresford, 27 mètres. 28 tireurs. 1. Scolurd, Flory, marçruig del Sera l'iaschl, Dora et Sandor 5 sur 5 6. baron de Schosberger, Munto, Wilson, marquis de Villefranche, L. Palanca 4 sur 5.

Poules gagnées par L. Palaneu, Pescajin,

liesa, docteur Magrini et lloitx.

XE IBIIDI SPORTIF PIES SCOIABRES

Le senior LALOU (Henri IV) et le "junior" LEREDDE (Michelet) gagnent les cross de L'Auto

Peu de mutches extrêmement importants dans les sports de balle au cours de lu journée d'hier.

Toutefois, eu football deux rencontres méritent une mention.

Tout d'abord, la finale du Championnat de l'Académie de Paris a vu les Saint-Germanois. habitués à des mets plus tendres, ôb1'déhw fottt'~ f'~f~ ,v,ltr Ie dyr Hiorceuu ouf constituait Sainte-Barbe rénové. Lts ponlains de M. Ricard n'ont pas démérité. mais pour le Championnat de France il faudra attendre l'année prochaine. Le soin de défendre les couleurs parisiennes incombe désormais aux méritants footballeurs de Suinte-Barbe, leur tâche sera difficile, car il y a de drôles d'équipes en province Un degré en dessous, en simple championnut de Paris scoluire, Loui.i-le-Grand en prenalA une nelle revanche sur A.-de-Mun, u remporté .une victoire que Saint-Louis, te-' nant du litre, aurait préféré applaudir. de e l'autre côté.

Par contre, importantes manifestations eu cross-country avec les finales des cross de

/'Auto. Plus de quatre cents coureurs issus

des éliminaloires prétindnaires sont uenus

des éliminatoires préliminaires sont venus

.LKS RÉSULTATS

1 A, IE:Ljàlfflxjx, -r-. mffl

FOOTBALL

Championnats de l'Académie de Paris (finale)

Coll. Stc-liurbi! li. Coll. St-Germaiu.. 1!-1 Championnats de la Ligue de Paris

Ssiint-Louls b. 'Condorcet. 4-1 Louis-le-Grand b. Albert-dc-Mun 7-1 13. X. Auteuil h. Ecole Bréguet 2-1

Coupe de l'O. S. U.

Travaux Publics b. Faculté de'Droit.. 7-2

Saint-Louis et H. E. C 0-0

Sziiiit-Loiiis et Il. E, C, 0-0 0

Championnats de juniors 1

Travaux puhUcs b. Foyer P. T. T. t-0 Carnet b. Stttiii-Ilts 1 2-1 Pasteur et Violet. 2-2 C.C.AuberviI)iersb.Co)bert. 2-1 Curnot B b. C. (;. Aubervilliers B. 1-0 Votiaire 1, 1). (,oiidoreçt t, H-U Louis-le-Grand (B) b. Ilollin (B). 9-1

HAND-BALL 'I Championnats de Paris

£,- N. Auleuil b. Chantai 7-2

BASKETT-BALL

Championnats de Paris «Juniors »

.lanson 5 b. Condorcet 10 38- 7 Janson 7 b. Condorcet (i 30-14 Condorcet L. K. N. Auteuil 5 48-18

Condorcet 7 b. Janson li :iO-12

Condorcet 8 b. E. NT Auteuil 17-21

Minimes

1. 1. TJionfin 1

Ecole Américaine b. Pantin 1 13-10 Coudoi'cet 1 1). Janson 1 30-11

Equipes inférieures

Pantin b. Condorcet 2 26-10

NOUVELLES DE TOUS LES SPORTS

A l'Etrier

réLUutm'de février, très réussie,' u' ét< suivie par de nombreux concurrents, qu avaient "amené des' clïevaux fort bien pré parés. Le palmarès a été ainsi. établi Catégorie ̃ A (officiers). I.e capitaine Qudar s'est adjugé les deux premiers prix Catég-ôric B. ̃ l .-Treluelie; M. Jean-Fran rois d'Ol'ffèix; Le Bancale. M. Charte. Ûupii.v: ̃̃'•)̃̃ Ciboulette..M. Clamlc Dieterlen Hirondelle XIV, <M. Jean-Pierre Stera S. rieur -de Masque, à Mme Gauthier e Eayo». montée par M. de ZS'avacelle; 6. Es bouriiit, ̃ Mme tioôcl; 7- et S. Fleuriste e Papillon, M. Charles Dupuy; y. Jomelli, M de Labrosse.'

Catégorie C. Kirsh, M. U. Sarlla L'. Artisan, M. P. Clavé; 3. Vatican, M. B Santerre..

Au jury .Mil. Sarltn, Salmon et le mur quls d'Orgeix. ·

ATHLETISME. Le sprinter, britanniqit Holmes a enlevé un second titre aux Jeu: de -l'Empire, à Sydney, en gagnant, le 221 yards en ai ;s..2/10.

Dans la première s'érie. du UO yarda le Sud-Africain Sliore- a réussi le temps d< il s. a/10.̃̃-

BOXE. A San-Francisco, Henry Arms trong a remporté sa vingt-sixième victoir successive par K.-O., en expédiant AI. Citri no, pour le compte, au quatrième round après t'avoir envoyé trois fois à terre. Le jeune français Maurice Filùol n': pas été bien inspire i'ii s'attfl'qiiiint à Beini: Lyni'U, champion du monde des poid* mou ciie.

C'est': une petite complication d'organi-

sation largement compensée du fait que

Beuil possède un tremplin magnifique

cl Auron un téiéférique. Personnelle-

c< .turo)t ;ttt (c<<t'r!~u<e.rsojittc//e-

ment, je ne connais pas la piste de Las

Donnas, « Auron, mais j'ai sous les yeux

une belle j>hoto qui indique une montagne ouverte, avec ,une partie supérieure qui parait suffisamment indinée et avec de grandes bosses, sans un arbre. Deux pistes sont prévues, l'une parlant carrément à gauche de la forêt, monte en pointe vers le sommet et abou-

tit à une traversée de ravin; l'autre,

partant à droite et 'empruntant, un large couloir incliné. La montagne, dans l'en-

semble, parait dit type doux et facile.

Tant mieux. Apres Gurmish, les équipes

ont besoin de reprendre goût à la des- ¡

(Jo/lt hel<nin del'eprendre. !lolit Ù la des.

cente sur une forme atlrauante.

concrétiser la renuissauce indéniable du cross scolaire.

En seniors et en juniors, lit oit les résultats peuvent être. pris plus ait sérieux, car beaucoup des de ces catégories sont déjà connus, pas de surprises. Les favoris, Lalou et Leredde. triomphèrent, mais pour aussi faciles qu'elles aient été, leurs victoires ne furent pas écrasantes. Tôitt comme le 'nombre des pratiquants augmente, la voleur moyenne du lut est plus élevée. Bien que battus, des seconds tels

que Singer et Ducarrc méritent autant d'at-

tention que leurs vainqueurs du. jour. d'lIl-, Vne petite remarque, toutefois, fait dans l'intérêt de ta santé des jeunes, car pur ailleurs les courses furent fort bien organi- i sées. Cn des concurrents. Houmé, du Lycée Michelet, prit part successivement à l'épreu- I ve juniors, puis à celle des seniors et, dans les deux cas, couvrit la distance en entier. Personne ne nous contredira lorsque nous dirons qu'une telle façon de faire est extrêmement dangereuse et de gré ou da force nos scolaires doivent être mis dans l'im-

possibilité ,de pratiquer le cross de cette

I fa9o« néJti~te, II' Cl'OSS' de I

façon néfaste.

Coupe Lakanal

K." M." ̃Auteuil 1 n. Pasteur 1 53-9 8

Challenge Buffon

Saint-Louis b. Buffoil 53-~0 Louis-le-Grand 1). Janson M-~7

CROSS DE L' « AUTO » On remarquera plus particulièrement dans les résultats' de ces épreuves lès beaux efforts d'ensemble de l'Ecole de Suresnes, de Janson et de l'Ecole Normale d'Auteuil. D'autre part, ̃ nous sommes heureux de trouver parmi les. six premiers des catégories minimes, juniors et les noms de nos habitués des. handicaps du Figaro. Résultats

Poussins

1 l'ajon <Louis-le-Grand> 2. Bullier (Condorcet) 3.~ Simon- (Suresnes) 1. Duchossoy (Suresnes) n. Dinzet (Bréguet) 6. Letissier (Louis-le-Grand).

Par équipes. 1. Suresnes, 15 points. Minimes

1. Perrey (Suresnes) 2. Antonin (Suresues) 3. Paris (Montalembert) 4. Douaut (Buffon) 5. Thillois (Richelieu) 6. Dclage. (Paulin).

Par équipes. 1. Suresnes, 13 points, Juniors

1. Leredde (Michelet) 2. Ducarre (Bréguct) ;i. Duclos (Janson) 1. Caracalas (Viole!) 5. Jaurez (Suînl-Sulpicc) 6. Bouché (Condorctt).

Par équipes. 1. Janson-de-Suilly, 10 points.

Seniors

1. Lalou (Henri-IV) 2. Ploujoux (Bréguet) 3. Sleyer (Michelet) 4. Thurmae (Bréguet) 5. Chesnay (Auteuil) (i. Wittiver (Autcuil) 7. Boitel (T. P.) 8. Morin (Versailles) il. Dussaix (Camot) 10. Ùuoudal (Auteuil).

Par équipes. E. X. Atiteuil, 21 points.

Beaucoup plus raisonnable, l'arbitre arrêta le combat dès la cinquième reprise, en raison du manque d'Intérêt présenté par 1 une rencontre dans laquelle ̃ Beriny Lynch avait manifesté une trop grande supériorité.

+ A défaut de Sehmelliis'. André Lens g-lét rencontrera John Henry Lewis le • 1S mars. Auparavant, Leng-let serait opposé à Jack Traimncll, le 1" mars, à ëaiut-

L'n organisateur aurait voulu mettre sur pied une nouvelle rencontre Bi? Boy Brayt l.cnglet; mais le Français ne serait nullement intéressé par ce combat.

TENNIS. A Cannes, championnats internationaux au Carlton T. C.

Resuttats. Simples, quart de finale P.obertson b. Warden 6-1, 6-2; Ellmer b. Du Plalx 6-1, 6-3; Kilo Sin Kie b. Harry 0-4, 0-i; Martin Legeay b. Rogers w. o. ̃ Simples dames Mlle Wewers b. Mile Siofla 0-0, 6-3 miss Wheller b. miss e Smith 6-1, 0-3.

J FOOTBALL. Vingt et un joueurs arJ grcntftis effectueront le déplacement de Pari», parmi lesquels si-ront sélectionnés les titulaires de l'équipe nationale engagée dans e la Coupe du Monde.

Le Hongrois' Emerico Hirsch, entraîneur général du River, Plate, dirigera ces joueurs. e ̃<> Pour rencontrer la Poioçiie, les 20 et 21 février, à Lille et à Lens, la Ligue du I Nord a rormé les deux équipes suivantes Da Rui Vandooren, Beaucourt Bourbotte, More, Méresse; Siklo, Hilll, Bigot, a Winckelrnans, KaJoesaï.

y Desfosscs; Marek. Dliulst: Tison, François, Lietaer; Libéral i, Aile», Arbiza, 0aJji'Ularges, .vogl.

DEUX BELLES MANIFESTATIONS SPORTIVES AUJOURD'HUI

En soirée à la Salle Wagram match France-Italie d'escrime pour la Coupe des « Huit » Bernard Schmetz, qui est champion du monde à l'épée, et, de plus, secrétaire général de la Fédération Parisienne d'escrimeurs, porte au match France-Italie, qui se déroulera ce soir à la Salle Wagram, un intérêt sportif tout particulier. C'est avec un véritable emballement qu'il m'a parlé de cette compétition et je sais que ses camarades Edward Gardere, René Bougnol et Michel Pécheux sont aussi ardents que lui.

Quant aux représentants de j'escrime italienne, il n'est que d'échanger quelques mots avec leur capitaine, le célèbre Nedo Nadi, pour connaître teur sentiment détenteurs de la « Coupe des Huit », ils ont la volonté bien arrêtée de la conserver.

Il ne faut pas faire de confusion ce ne sera pas ce soir, à la Salle Wagram, un « gala d'escrime » comme on a pris l'habitude, depuis quelques années, d'en organiser. Sans vouloir médire de ce genre de réunion, nous pensons qu'il ne s'adresse qu'aux fervents de l'escrime, initiés à toutes ses finesses, qui ont ainsi de temps à autre l'occasion de se retrouver. Il n'attire pas le public, amateur de Joutes sportives.

La « Coupe des Huit est un match, une bataille, qui répondent à ce désir du public. Quatre assauts au fleuret, quatre assauts à l'épée et, en chaque arme, les deux meilleurs spécialistes de France et d'Italie. La marge la plus minime est laissée au hasard, puisque tous les assauts se font en dix touches, » distance ), qui exige des concurrents une condition générale absolument parfaite et qui, de plus, assure aux combats un intérêt qui va « crescendo » Jusqu'à la dernière touche.

Ce serait ne pas connaître les Italiens et méjuger des Français que de discuter l'animation que présentent de semblables assauts. Les escrimeurs, gens aimables et calmes à l'ordinaire, se « déchaînent lorsqu'ils sont sur la piste. Ils se ruent » littéralement l'un sur l'autre et Je sais peu de spectacles aussi captivants et peu « d'empoignades » si J'ose dire aussi fougueuses que ceux qu'offrent des assauts d'escrime.

Il n'est point Jusqu'aux réclamations, souvent très véhémentes, d'un concurrent qui s'estime lésé, qui n'ajoutent encore à l'ambiance passionnée de semblables débats. Le temps n'est pas loin où un match France-Italie, tel quo celui qui aura lieu ce soir, attirait un publie enthousiaste, et l'on peut augurer que, grâce à des rencontres de ce genre, l'escrime retrouvera auprès des amateurs de spectacles sportifs son ancienne vogue

A partir de 21 heures (Juarugriia (II.) c. F.. 'Garclùre (l'ipurut) ltagno (It.) c. M. Pécheux (épéc); Murzi (It,) c. K. licmgnol (fleuret) Manglarout (It.) c. B. Schmeia (ùpôc); (iiiarug-iia ̃ c. Uông-nol (fleuret) Manglarottl c. l'i'cheux (épOc); Ha(jno c. Sclimelz (épee) Marzl c. Uardùro (fleuret).

Rappelons que dans le cas de match nul, la Coupe est gardée pendant un an à la Fédération Parisienne d'escrimeurs. Maurice Capelle.

t

PERRAULT, MALFILATRE ET DENIS

sont les lauréats des 10 s handicaps du « Figaro » Trente-trois engagés pour le 300 mètres, quarante concurrents au saut en hauteur, ou, mieux, cinquante-quatre noms différents représentant 16 établissements, tel est le bilan numéral de notre dixième réunion. On voit que l'absence de beaucoup de nos habitués pris par les finales des cross de l' « Auto fut compensée par i& présence de nombreux nouveaux, parmi lesquels nous avons remarqué un sujet particulièrement intéressant, Denis (Montalembert), âgé de 15 ans, qui semble posséder une détente bien supérieure à celle indiquée par sa performance du saut en hauteur. N'oublions pas qu'il s'agit là d'un sujet absolument inculte au point de vue athlétisme. Cette épreuve de saut en hauteur fut âprement disputée, et si les performances réalisées paraissent insuffisantes, il ne faut pas oublier quo cette compétition se disputa sous la pl'jie battante et sur un sautoir dé qualité inférieure.

Le 300, disputé en deux épreuves à cause du nombre des engagés, ne donna pas lieu à des courses aussi intéressantes que celles des Jeudis précédents. Le vent et surtout des handicaps trop généreusement attribués par un handicapeur trop sentimental ne laissèrent pas aux scratchmen la moindre chance d'enlever une des places d'honneur. D'ailleurs, en tout état de cause, Louis, ccratch, n'avait aucune chance de gagner sur sa production d'hier, car il ne réalisa que 39 s. 4/5, ce qui est faible, même actuellement. La meilleure course fut, croyons-nous, celle du Jeune Jacquinot. Ce précédent vainqueur d'une de nos épreuves disputée sur 250 mètres partait hier à la marque 15. Il termina cinquième, réalisant le temps intéressant, même si on tient compte du handicap, de 36" 4/5.

Jeudi prochain, nous offrirons aux futurs concurrents du Challenge du Nombre scolaire un programme varié, parmi lequel chacun d'eux trouvera une épreuve correspon- dant à ce qu'il croit être sa spécialité '000 mètres et 50 mètres pour les plus de seize ans, 40 mètres pour les moins de seize ans. En voilà, croyons-nous, pour tous les goûts.

Résultats

300 mètres (première épreuve). 1. Perrault (E. S. C). liand. iO: 35"; 3. Cneyiiul (Chaptali, huucl. iO 36"; u. Leu- g'lois (Arts Décoratifs), band. iO; i. Poullie (E. S. C), hancl. 20; 5. Jacquinot (Buf- fou), liand. îr, :.36:' 4/3; 0. Mauduit (But1- fou), liand. 3 0.. \>

300 mètres (deuxième épreuve). 1. Malfilatre (Sainte-Geneviève), hand. 30 :•< 36"; 2. Denis (Montalembert), hand. :iO 36" 2/5; 3. Garans (Meaux), hand. 25 1. Bonvalot (Cnaptal), hand. 30; 5. Chartier (él. llbreid c .e5Df»e.Hcet,.

ticr (fie. libre), hand. 15 6. Cressent (Chaptal), liand. 25.

Saut en hauteur. 1. Denis (Moulai.), hand. 0 m. 15 1 m. 05; 2. Hirondelle,; haud. 0,05 1 m. 55; 3. Durant (Henri-IV),. scratch 1 m. 50. -J

CLASSEMENT ]

PAR CATEGORIES j DES COUPES DU FIGARO Ecoles normales î

1. E. N. de Caeu, 118 pts 2. E. N. de, 4 Colmar, 87 pis 3. E. X. de Lescar, 80 pts 4. E. N. de Strasbourg, 42 pts.

Etablissements de moins de 100 élèves 1. V. S. Montuigne-Vcnce, »8 pts 2. Eco-]le de Montighy, 61 pts 3. Collège de Sillc, GO pts 1. Sacré-Cœur de Lungogue, 46 pis; Collège de Gray, 16 pts.

Etablissements de moins de 200 élèves 1. Collège de Saint-Servuu, ;>j7 pts 2. Suint-Elme d'Arcachon, 207 pts 3. Ki- elielieu des Ternes, 175 pta 4. Ecole de Bischeim, 119 pts 5. N.-D. de Bostrenen, 9-1 pts 6. Collège de Luçon, 78 pts 7. E. P. S. de Rayonne, 76 pis 8. Saint-Charles de Juvisy, 60 pts 9. Lycée de Touraon, 30 pts 10. Saint-Theodard, 23 pts. Etablissements de moins de 300 élèves 1. Collège et E. P. S. d'Arles, 360, pts 2. Saintc-Murie du Grand Lebrun, 273 pts; Suint– loseph de Périgueux, 172 pts 4. Saint-Joseph de I'ojtiers, 117 pts 5. Saint-François de Cliaiiibéry, 86 pts. Etablissements de moins de 400 élèves 1. Lycée de Chambéry. 368 pts 2. Ly- i cée de Niort, 338 pts 3. Juilly, 2ii6 pts S ̃1. Saint-Julien d'Angers, 230 pts ô. Mon- i Utlerabert, 200 pts G. Lycée d'Agen, 109 i points 7. N.-D. des Victoires de Houbaix, 161 pts 8. E. P. S. d'Orthez, 150 pts. Etablissements de moins de 500 élèves 1. Saint-Martin de Pontoise, 350 pts 2. Lycée d'Amiens, 264 pts 3. Lycée de Guéret, 230 pts 4. N>D. de France du Puy, 22t pts 5. Lycée de Tarbes, 201 pts 6. Caousou. 141 Dis 7. Tivoli, 98 pts. 1 Etablissements de plus de 500 élèves 1. Sainte-Croix de Neuilly, 001 pts 2. Lycée Louis-le-Grand, 428 pts, et Lycée du Parc de Lyon, 428 pts 4. Lycée de Dijon, 392 pts 5. Lycée de Nice, 347 pts 6. E. N. Horlogerie de Besançon, 321 pts 7. Stanislas de Paris, 303 pts 8. Lycée de J Rouen, 260 pis 9. Henri IV, 95 pts. J

En matinée et en soirée

au Stade Pierre de Coubertin début de Paris-Londres en tennis Le « mois du tennis », qui a débuté au stauc Pi«ni-o-rfo-, Coubertin par les rencontres pour la Coupe du Roi de Suède, se poursuit aujourd'hui par le match Paris-Londres, qui, ainsi que nous l'avons déjà dit, occupera le court central de la nouvelle « arène » municipale, cet après-midi, ce soir et tes après-midi de demain et dimanche.

Encore que l'équipe de Paris n'utilise pas n simple les services de Pétra et de Destremau afin de ne point imposer à ces deux Joueurs une fatigue qui pourrait leur être préjudiciable dans les très prochains championnats de France elle présente quelque supériorité sur l'équipe de Londres, où H. W. Austin ne figure pas. On peut donc augurer d'une victoire des Joueurs de Paris, sans aller Jusqu'à prévoir une différence plus grande que 3 ou 4 points.

Cette année, le match Paris-Londres présente un intérêt particulier. On sait, en effet, la régression marquée par le tennis britannique depuis deux ans et les efforts entrepris par les dirigeants d'outre-Manche pour arrêter cette régression.

En dehors de C. E. Hare qui a déjà fait ses preuves, l'équipe de Londres comprend quelques-uns des plus sérieux « espoirs » de Grande-Bretagne M. D. Deloford, R. E. Milliker., R. A. Shayes et C. M. Jones. Il sera curieux de voir ces « espoirs n aux prises avec certains •< espoirs « français tels que Sanglier, Jamain, P. Pellizza et H. Bolelli. Par ailleurs, les deux matches-vedettes qui, en simples, opposeront C. E. Hare, second joueur d'Angleterre, à C. Boussus et à P. Féret, offriront sans nul doute un spectacle attrayant.

Enfin, parmi les neuf rencontres de double, les trois que livreront S'équipe C. E. Hare-G. P. Hughes seront à suivre particulièrement. Hare et Hughes, depuis la défection do Tuckey, habituel partenaire de ce dernier, forment l'association n" 1 d'Angleterre sa « classe sera précisée par les adversaires qu'elle aura successivement DestremauHctra, Jamain-Pellizza et enfin Bolelli-Glasser.

Rappelons le -programme de la première journée < Cet après-mid:, à partir de 13 h. 30 M. Deloford c..1. Sailglier, H. E. Milllkeu c. Pellizza, H. S. David c. J. Jamain, j C. M. Jones c. H. Dolelli-H. A. Shayes, M. D. Deloford c. J. Jamain-P. Pellizza.

Ce soir, à partir de 21 heures C. M, Jones-R. E. MllllKcn n. H. nolulll-Glasser; C. E. Hare-G. V- Hugues e. Destremau- Y. Pélra.

Pour sacrifier au petit Jeu des pronostics, indiquons nos favoris. Quatre pour Paris Pellizza, Jamain, Bolelli et Bolelli-Glasser. Trois pour Londres Deloford, Shayes-Delo- ford et Hare-Hughes.

Précisons pour finir que les simples serot., disputés au meilleur de trois sets, alors que tés doubles seront Joués au

meilleur de cinq sets.

meilleur de cinq sets. M. C.

FOOTBALL

Le tirage au sort

des quarts de finale

de la Coupe de France Le tirage au sort des quarts de finale de la Coupe de France a eu lieu hier soir. Les inutches suivants seront disputés le

0 mars

S. C. Fives c. 01. Lille..

01. Marseille c. Raeing C. Il.

Havre A. C. ou Nice c. Ited Star. F. C. Metz c. A. S. Cannes.

Le sort a favorisé le Red Star. En revanche, il n'a pas été clément pour le Racing.

Le premier match aura lieu à Roubaix, ie second à Paris (Parc des Princes), le troisième à Rouen au Lyon, selon que le Havre ou Nice gagnera le quatrième à Marseille ou à Lyon, selon le résultat du match

Havre-Nice.

CHAMPIONNAT DE FRANCE DEUXIEME DIVISION

Havre A. C. B. b. R. C. Arras 2.0 F. C. Toulouse b. F. C. Nancy 4-0 S. T. Rennes b. O. G. C. Nice 1-0

4h^t^Ak^k^h^khAL^kJBk.^h^k^Lflh~^k^. ^k M ^h ^B Ak. ^h ^k. A. a «.

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BOBSLEIGH

L'EQUIPE ALLEMANDE FISCHER-THIELECKE est championne du monde SAiNr-MoniTz, 10 lévrier. (De notre correspondant particulier.) Les Championnats du monde de boblets ont pris fin aujourd'hui. Comme prévu, les Allemands Flscher-Thielecke, qui menaient ni après la première journée, l'on emporté. Ils succèdent au Britannique Mac Evoy qui détenait le titre.

Fischer est champion d'Allemagne. Il s'est classé second au Championnat du monde de bobsleigh à quatre et troisième dans le Championnat de cette année. Résultats 1. Allemagne (Fischer-Thielecke) temps de la journée 2 m. 48 s. 9/10, temps total pour les 4 manches 5 m. 34 s. 2. Angleterre (i) (Mac Eyoy-Mac Kintosh), temps de la journée 2 m. 48 s. 7/10, temps total pour les 4 manches 5 m. 36 s. 3. Suisse (1) (Felerabend-Beerli), temps de la journée .2 m. 48 s. 8/10, temps total 5 m. 36 s. 1/10; 4. Belgique (2) (Houeben-Mouvet), temps de la journée 2 m. 49 s. 9/10, temps total 5 m. 36 s. 6110 5. Etuts-Uuls (Eaton-Dupree), temps de la journée 2 m. 50 s., temps total 5 m. 37 s. 1/10 6. Allemagne (2) (ZahnSchlaffer), temps de la journée 2 m. 49 s. 3/10, temps total 5 m. 37 s. 2/10. 'temps

Les Français sont treizième avec le temps total de 5 m. 47 s. 6/10.

LA VOILE

Les Régates de Cannes ont débuté hier

CANNES, 10 lévrier. (Oc notre correspondant particulier.) Les régates royales de Cannes ont débute aujourd'hui par un temps splendide, avec une jolie brise du sud-est. Le parcours était de deux tours de triangle, soit dix milles. Résultats 1. Elisabcth-H, appartenant 'au Syndicat « Elisabeth-H », en 2 h. 8 m. 34 s. 2. Borée-ll, à M. Bigar, en 2 h. 8 m. 39 s. 3. Aisse, à M. Corte, en 2 h. 9 m. 56 s. 4. Dodo, à M. W. Wett, en 2 h. 13 m. 28 s. 5. Miranda-ll, au capitaine Ciainpi, en 2 h. 13 m. 39 s. 6. Dania, à M. Larsène, en 2 h. 14 m. 51 s. 7. Qu'Importe, à Mme Cotnareanu, en 2 h. 15 in. 28 s. 8. Tlielma, k M. Toms, en 2 h. 15 m. 41 s. 9. Cobra, à M. Lucour, en 2 li. 17 in.' 40s.

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AUTOMOBILE `

LE «FONDS DE COURSE» AURA SON MILLION

EN 1938

Une dotation en faveur. de la motocyclette

IjK a Foiià'ss uc course » a reçu, klcr, de M. Q.ucnll1o, ministre des Travaux, aprcs'avfc* favorable de M Marchandeau. ministre des Finances, 1'nsunirancc qu'il toucherait, à valoir sur l'exei-clce^.HKtT, la somme de un million.

Le Comité spécial ilésisné par l'arrCié ministériel du 17 juin 1937 procédera à la répartition de cette somme destinée à aider les constructeur» dans les grandes compétitions sportive?;.

Rappelons que l'initiative de la «réii»̃(ion du Fonds de Course revient à la Fédération Nationale des Clubs Automobiles de France, uni en a dceidé le principe au cours de son assemblée -générale de 19S5.

HappeloiiK encore <iuo ce million est le produit d'une surtaxe perçue flur les permis de conduire. I."10t.'lt ne fait donc que rendre aux automobilistes ce qu'ils versent pour favoriser le sport et encourager l'Industrie française de l'automobile à créer des engins de course susceptibles de, rivaliser avec les voitures étrangères.

Et puisque nous parlons de celles-ci notons en passant «n'en regard de l'effort français l'effort italien est quinze fois plus important.

L'Etat italien met, en 'effet, à la disposition de l'industrie italienne la somme de

15 MILLIONS

Quanti on pense que l'Automobile Club de France n'était pas sûr, Il y a.<]ue*lques mois, d'obtenir le nrillion promis on peut juger de l'effort -qui «est*. accomplir pour mettre l'industrie française sur un pied d'égalité avec ses concurrente» étrangères.

En 1937, le Comité du fonds de course a distribué 40-0.000 francs à Bugatti, 10O.00O à Uelahaye et 15.000 francs à M. Clabeau pour' son étude de voiture de course.

En 11I3.N, la répartition n'est pas prévne. Toutefois notons que le Comité a l'intention de créer une dotation spéciale pour l'industrie motocycliste. Nous ap.nluudlKsons à ce projet, car l'Industrie 4e la motocyclette a particulièrement besoin d'encouragements. A. R.