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Titre : Figaro : journal non politique

Éditeur : Figaro (Paris)

Date d'édition : 1938-02-03

Contributeur : Villemessant, Hippolyte de (1810-1879). Directeur de publication

Contributeur : Jouvin, Benoît (1810-1886). Directeur de publication

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34355551z

Notice du catalogue : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb34355551z/date

Type : texte

Type : publication en série imprimée

Langue : français

Format : Nombre total de vues : 164718

Description : 03 février 1938

Description : 1938/02/03 (Numéro 34).

Description : Collection numérique : BIPFPIG63

Description : Collection numérique : BIPFPIG69

Description : Collection numérique : Arts de la marionnette

Description : Collection numérique : Commun Patrimoine: bibliothèque numérique du réseau des médiathèques de Plaine commune

Description : Collection numérique : La Commune de Paris

Description : Collection numérique : France-Brésil

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k409754p

Source : Bibliothèque nationale de France

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 15/10/2007

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Attention à l'Espagne

̃̃̃'̃' i

Le torpillage du cargo

^xËSEi britannique Endymion

-i^^Pv. par un sous-marin et le

bombardement de Bar- çëlone par les avions du général Franco annoncent une nouvelle phase de la dispute internationale autour de ] JCEspagne.

̃ Les forces gouvernementales ayant été réorganisées et entraînées à un certain effort d'action cohérente, il semble que le général Franco ne puisse plus obtenir, à bref délai, la défaite décisive de l'adversaire par une action de choc ou de démoralisation, sur terre. Limitée aux opéra- £ons militaires, la lutte risquerait de durer encore longtemps. Non seulement le général Franco, jnais ceux qui lui prêtent secours, et surtout l'Italie, ont hâte d'en finir. Sans exagérer les difficultés de la position italienne, il est évident que l'entretien de trois armées hors du t, territoire national, une en Ethiopie, une autre en Libye, la troisième en Espagne, coûte cher et use des ressources qu'il faut durement économiser ailleurs.

"L'Italie a attendu des offres particulières de l'Angleterre. Mais l'Angleterre ne veut pas traiter le problème méditerranéen par petits paquets. Elle souhaite un règlement global et durable ce qui ne peut être négocié sans un changement d'ensemble de la manœuvre conduite par l'Italie depuis deux ans.

L'Italie, engagée en Espagne, est donc impatiente du temps qui passe et des frais qu'elle supporte.

Or. la défaite des gouvernementaux espagnols ne peut venir, sans trop long délai, que d'un blocus et d'autres pressions exercées par mer. La supériorité sur mer des « nationalistes leur permit déjà d'avoir raison des Asturiens et des Basques, en coupant leur ravitaillement maritime. Libérée de cette tâche par la chute de Bilbap. et de Gijon, la flotte « nationaliste > s'est concentrée aux Baléares, d'où elle tente de bloquer les côtes « rouges », d'Almeria à la frontière française. Le résultat est déjà sensible à Barcelone, qui a dû se plier au rationnement.

Mais la flotte nationaliste ne dispose pas d'éléments suffisants pour assurer le blocus rigoureux d'une longueur de côtes de plus de mille kilomètres. D'autre part, elle doit se garder de l'aviation « gouvernementale ». Enfin, la qualité de belligérant n'étant pas reconnue par l'Angleterre et la France au général Franco, ce dernier n'a pas le droit d'arrêter les navires en mer libre. D'où le caractére scabreux, tâtonnant, brutal, propice à la nervosité et aux incidents de l'ensemble de l'opération.

plu?, un blocus à la fois insuffisant par ses moyens et gêné par l'étroitesse des eaux territoriales où les règles diplomatiques confinent son droit de surveillance, ne peut pas aboutir rapidement à des résultats décisifs. De fait, des navires plus ou moins nombreux continuent de ravitailler les ports gouvernementaux ». L'idée est venue alors de se servir de la supériorité sur mer, non seulement pour un essai de blocus, mais pour un débarquement de troupes, afini de tourner les défenses « gouvernementales » et de couper leurs communications terrestres. Mais le général Franco a-t-il assez de troupes et de moyens de transport navals pour tenter une telle opération sans le concours de l'Italie ?.

Il est à craindre que si l'Italie s'engageait dans cette entreprise fatalement risquée, elle demanderait à l'Allemagne une assurance contre les risques.

Ce" n'est plus l'heure d'habiller la réalité selon nos fantaisies ou humeur. B faut en voir et mesurer le corps nu. ̃ Lucien ROMIER.

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cwUfiiiinïiiiiïiiii'11" EW PAGE 7

NOTRE

NOUVEAU

ROMAN

DES PAS

DERRIERE EUX.» Par SELDON TRUSS

minium tiiiiiiiuiimi n iiiiiiiiiiiiimiii»"» LE CONSEIL DES MINISTRES DE CE MATIN

Rappelons' que le Conseil des ministres qui se réunit ce matin, à 10 heures, à l'Elysée, sous la présidence de M. Albert Lebrun, sera plus particulièrement consacré aux affaires extérieures et à 1 exã men de l'accueil réservé parle.Parlement "̃> an projet de statut moderne du travail

LE TORPILLAGE DE V ENDYMION est le début d'une nouvelle phase d'insécurité générale enMéditerranée ESTIME L'AMIRAUTE BRITANNIQUE Le Cabinet anglais étudie une série de mesures que M. Eden soumet ensuite

aux ambassadeurs de France et d'Italie Londres, 2 février. (De notre correspondant particulier, par téléphone.) Lorsque la nouvelle du torpillage de l' « Endymion » fut connue à Londres, les ministres responsables posèrent au chef de l'Amirauté les deux questions suivantes est-ce un incident séparé sans conséquences, un accident, ou, au. contraire, un torpillage marquant le début d'une nouvelle phase d'insécurité générale en Méditerranée, un retour au régime de piraterie, tel que celui que l'on connut au mois d'août dernier ?

Une enquête fut ordonnée sur les lieux dont le résultat transmis par T. S. F. a été soumis ce matin à l'examen du cabinet. Ce rapport a répondu par l'affirmative à cette seconde question. L'attaque dont fut victime 1' « Endymion » ne peut être considérée isolément, elle suit de nombreux incidents qui ont eu lieu dans cette zone de la Méditerranée en ce moment surveillée par les patrouilles anglaises. Cependant on ne pourra être certain que F « Endymion » a été attaqué par un sous-marin et non par une mine le fait que le cargo était arrêté au moment de l'attaque laisse subsister quelque doute- que lorsque les croiseurs « Southampton » et «Newcastle», delà Home Fleet, auront complété une seconde enquête qu'ils ont reçu l'ordre de faire à Valence où les survivants de l'équipage ont été recueillis. Mais si ce doute subsiste, la conclusion du premier rapport est définitive. Elle va permettre au gouvernement d'agir avec la plus grande fermeté, sa tâche se trouvant facilitée par l'indignation, l'émotion, la colère que manifesta l'opinion britannique lorsque fut révélé de nombre des victimes. (Suite page colonnes 3, 4, 5.)

De gauche à droite M. Anthony Eden, M.'Corbin, ambassadeur de France à Londres; le comte Grandi, ambassadeur d'Italie à Londres. (Dessin de Yéla.)

zzzon~ 1- Il 1 1

LES JOURS SE SUIVENT « SYNTHESES. »

̃

Je viens de lire la lettre d'un chimiste, inventeur de la laine synthétique, qui défend son inventIon contre les critiques qui lui, avaient été adressées. La laine synthétique est, paraît-il, aussi chaude que la laine naturelle;elle possède même un pouvoir plus grand d'absorber l'humidité. Bref, loin de lui être inférieure, la laine artificielle serait supérieure à celle, que depuis des millénaires les hommes taillaient sur le dos des moutons.

Je ne doute pas des arguments avancés par cet inventeur, ni de tout ce qu'il certifie sur la commodité de fabrication de son produit. sur la facilité qu'il offre. aux pays autarciques de composer de la laine le plus] facilement du monde en place de fromages. Car cette laine artificielle se fait avec de la caséine, comme les peines et les jetons de cercle. Vous voulez de la crème, ou du beurre attendez, on a besoin de laine: vous désirez du papier en abondance et à bon compte vous passerez après les bas de soie et les robes illusions du carton bien sec pour relier les livres: le fabricant de oagages l'a requis pour ses valises en crocodile. L'existence devient une falsification générale, à laquelle la chimie s'emploie avec une ingéniosité sans pareille. Les chaussures doivent être taillées dans n'importe quoi, sauf t dans du cuir, le beurre devient laine l, pendant que le fourreur crie au lapin « Va te faire loutre! » s- Je déteste de passer pour un esprit chagrin et de paraître ne point apprécier mon temps car je l'aime tel qu'il est, avec son inquiétude, ses recherches et ses nouveautés d'esprit (du moins en France où ces nouveautés ne cessent d'être vivantes et variées). Mais cette prétention, pour mieux s'enfermer chez soi, et l'on en connaît bien le but de ruser avec les formes les plus anciennes de nos besoins, cette prétention m'est insupportable. Goût de la vérité le faux, sous toutes ses formes, est haïssable. Qu'est-ce que cela peut vous faire, me répliquera l'inventeur ma laine finalemcnt est composée des mêmes éléments chimiques que la laine des moutons. Eh oui, peut-être mais elle n'a pas été vivante, elle n'est pas ce. don chaleureux que les hommes ont reçu directement de la nature, comme le coton, la soie, te bois, le tin. Argument sentimental peut-être, mais qui n'est pas loin d'avoir la force d'une

foi.

foi. Et puis-eneore, quel est cet idéal de réclusion ?' Les nations sont-elles faites pour vivre enfermées et en subsistant sur des mensonges chimiques ? La vie active est faite d'échnnges elle se fortifie dans le négoce proche ou lointain, respire sur les routes marines où les reines d'Egypte envoyaient leurs suets à la recherche des fards et des épices. Est-ce là le progrès, cet emmurement ? Et que chacun restant chez soi, captif de sa force, nous vivions désormais de régimes et de synthèses? Ouvrons les portes, de grâce, que l'air du large souflle de nouveau, que la soie naisse du cocon et que la laine frise, abondante, sur l'échine des troupeaux.. Gùer mantes,

L'AMIRAL BRITANNIQUE SIR ROGER BACKHOUSE.

.qui vient d'être nommé premier lord naval, chef d'état-major général de la marine.

LA REINE MARIE

DE ROUMANIE

EST DANS UN ETAT GRAVE Bucarest, 2 février. L'état de- santé de S. M. la reine Marie de Roumanie, qui souffre depuis plusieurs mois de désordres nerveux, a erajpiré.

Hier matin, une consultation a été tenue par les docteurs de la reine mère au palais de Cotrocenie. Deux médecins venus spécialement de Paris, ainsi que le célèbre spécialiste tchèque, le docteur Schmidt, étaient présents.

LE ROI DE SUEDE ARRIVE AUJOURD'HUI A PARIS

Un portrait inédit de S. M. le roi Gustave V de Suède et de ses deux arrièrepetites-filles, les princesses Marguerite et Brigitte,

Dans un taxi renversé

on découvre près d'Angers un chauffeur assassiné

Un billet met le crime

sur le compte du C.S.A.R. mais la Sûreté dément (Lire en page 3 notre enquête)

1. L'hydravion de Stoppant avant sa tentative de record du monde. 2. Stoppani. gauche) et Comani (à droite) à Casablanca en compagnie du consul d'Italie dans cette ville. 3. L'une des dernières photographies de Stoppani (à droite) alors qu'il déjeunait, il y a quelques jours, à Rio-de-Janeiro, avec le colonel Biseo et Bruno Mussolini.

Après avoir connu des jours glorieux,1! l'aviation italienne, comme toutes les aviations, hélas connaît des jours de deuil et de tristesse.

Mario Stoppani, qui, en compagnie de Ënrico Comani, second pilote; du radio Demetrio Jaria et du mécanicien Pogliani," rentrait en Europe à bord de l'hydravion détenteur du record du monde de distance CA.ÏO. Z. 506, tri-, moteur de 750 CV, à dû faire un amérissage forcé dans l'Atlantique sud entre Natal et l'île Saint-Fernando-deNoronha, la suite d'une panne de moteur.

L'hydravion a pris feu, trois ,des membres de l'équipage Comani, Jaria et Pogliani ont péri. Seul, Stoppani a pu être sauvé.

Le recordman du monde de distance en hydravion ne doit d'avoir la vie sauve d'ailleurs qu'à l'excellence et à la promptitude des secours qui furent envoyés par Air-France et par la Deutsche Luft Hansa, à la suite du message S.O.S. qu'il envoya dès qu'il fut en difficulté. Le système de sécurité des deux compagnies qui exploitent en-commun depuis de nombreuses années la ligne de l'Atlantique sud a permis le départ immédiat-dé ravion«yilLe-de-Montevideo » d'Air-France qui séjournait à Natal et celui de deux avisos, l'un français, l'autre allemand qui se portèrent immédiatement au secours des naufragés. L'aviso allemand fat assez heureux de retrouver l'hydravion à 16 heures 55, mais malheureusement le feu qui s'était déclaré à bord avait fait trois victimes: Seul, Stoppani a pu être recueilli sain et sauf.

L'hydravion qui vient de disparaître avait battu, avec le même équipage, le 28 décembre dernier, le record de distance en ligne droite, volant de Cadix à Caravellas (Brésil), soit 7.013 kilomètres en 26 heures 25, à'Ia moyenne de 266 kilomètres l'heure. Ce même hydravion détenait de nombreux records 16 exactement de vitesse avec charge, de distance et d'altitude.. Enrico Comani, âgé de trente-deux ans, était navigateur et observateur pilote militaire de valeur, il s'était spécialisé dans les vols de longue distance et surtout dans les vols sans visibilité. Demetrio Jaria et Renato Pogliani appartenaient aussi à "l'aviation militaire. ̃̃ ̃ ̃ ̃'̃ A.R.

L' HYDRAVION ITALIEN

DE STOP PAN I

fl 1

tombe en flammes

DANS L'ATLANTIQUE Le pilote est recueilli par un aviso allemand mais ses trois compagnons meurent carbonisés Un avion et an aviso d'Air France s'étaient également portés au secours de l'équipage en détresse

LE NOUVEAU CODE SOCIAL

Une réglementation étroite et vexatoire de l'embauchage

ne peut être qu'une cause de chômage déclare M» Gignoux

qui a été entendu hier par la Commission du Travail. La commission du travail de,la Chambre a poursuivi, hier, l'audition des représentants des organisations patronales et ouvrières sur le projet de statut moderne du travail en entendant M. C.-J. Gignoux, président de la Confédération générale du patronat, le président de la Confédération de l'artisanat, et M. Jules Zirnheld, président de la Confédération des travailleurs chrétiens.

A l'issue de l'entretien, M. Gignoux a fait aux membres de la presse la déclaration' suivants :•

Tout ce qui, dans le « statut du travail », est propre è faciliter l'application des lois existantes, à réparer des improvisations nécessairement hâtives, à faciliter le règlement des conflits, ne peut évidemment, sauf observations de détail, que rencontrer notre entier concours. Nous avons dit, à plusieurs reprises, que le retour sur les. améliorations sociales récentes était pour nous exclu, et qu'il s'agissait seulement d'en rendre l'application plus aisée. Nous le redisons en cette occasion.

Mais, comme nous l'avons toujours été, nous restons opposés à toute disposition législative qui, soit directement, soit indirectement, prépare une transformation fondamentale de ce que nous considérons. comme des conditions nécessaires au bon fonctionnement de la vie économique du pays. Plus généralement, une réglementation étroite, vexatoire et restrictive de l'embauchage ne peut être qu'une cause de chômage par ralentissement de la production ou, tout au moins,- un obstacle au développement de cette dernière le jour une opération d'embauchage ou de débauchage deviendra l'occasion d'interminables formalités et d'un contentieux .à peu près continuel, et qu'un industriel aura à examiner s'il entreprendra une fabrication -ou acceptera un marché nécessitant un embauchage provisoire, il, aimera mieux ne rien entreprendre que risquer toutes ces diffi.cultés.

UN JEUNE ANNAMITE 1 DEVIENT

ARCHIVISTE-PALEOGRAPHE Et le peuple d'Annam

trouve en lui

son premier historien

L'Annam a, depuis hier, son premier archiviste-paléographe. annamite. Le premier, et non des moins remarquables. Elève brillant de l'Ecole des Chartes, M. Nhu vient de recevoir les plus vives félicitations du jury pour sa thèse sur « les mœurs et coutumes annamites du Tonkin au xvne siècle ». M. Nhu a des raisons particulières, il est vrai, de s'intéresser au passé de son pays, que sa propre famille illustra et dont elle prolonge encore l'éclat (il est le fils d'un grand chambellan de l'Empereur et, de ses frères aînés, l'un fut ministre, un autre gouverneur de province, un troisième vient d'être nommé récemment évêque de Cochinchine). Mais on ne trouve pas à l'origine de sa vocation de. simples curiosités généalogiques.

M. Nhu précise devant nous qu'il s'est engagé dans la carrièue d'archiviste-paléographe, parce qu'il était surpris et inquiet de n'y voir aucun annamite.

L'histoire du peuple annamite n'existe pas. Les documents les plus "précieux se trouvent en Europe. Entreprendrez-vous de les réunir ? J'ai pu déjà recueillir de précieux manuscrits dans les archives de France.

M. Nhu par excès de modestie peut-être n'ose pas trop espérer qu'il fera des émules à Hué ni dans les autres provinces de son pays, ce que pourtant nous souhaitons fort. N'importe il aime sa tâche assez pour l'accomplir seul, s'il le faut.

Et l'Annam aura, dans la personne de ce jeune chartiste, enfin trouvé l'historien qui manquait à sa riche Histoire. Louis Chauvet.

EN PAGE 5 ('

CHRONIQUE 1_ MUSICALE

1 VARIATIONS

SUR «DON JUAN»

(SUITE)

par REYNALDO HAHN fiiiiiiiiiiiuiiiiMiiititiitiitiiiiiiiitiiiitiiiiiiiitiifuniiiiiiiiiiiiiitiu EN PAGE 4:

PROPAGANDE Par FRANCIS CARCO

de l'Académie Goncourt

tiiiiiiiiiiiiimiinnuiimiiimiiiiiiituiiitiiiiuiiiitiiiiiiHiiiiiiimi LE TAMERLANE D'EDGAR POE

vaut 14.000 dollars

Lorsqu'il avait dix-sept ans, Edgard Poe publia, à Boston, son premier recueil de poésies, Tamerlane.

Posons une petite question qui fera pâlir les bibliophiles. Qui possède un exemplaire de la première édition? Et répondons tout de suite: il y en a cinq en ce bas monde, dans cinq grandes bibliothèques des Etats-Unis et dans cinq coffres-forts à serrures secrètes. Le fait est qu'il eût été ingrat de ne pas entourer la mémoire du poète de quelque mystère.

Or, M. Vincent Starrett, littérateur connu, raconta naguère tout cela à la T.S.F.

Alors, une couturière de Worcester, la nuit, monta dans son grenier, chercha parmi de vieux livres pleins d'ombre et de poussière, et y découvrit un sixième exemplaire

Nous touchons, n'est-ce pas, au dénouement d'un beau conte? En voici la fin. Hier, la couturière a vendu son exemplaire. Il a été adjugé 14.000 dollars. C'est M. Owen D. Young, l'auteur même du plan célèbre, qui l'a acheté.

CHRONIQUE

LES CAPRICES DE MARIANNE Par RENÉ LARA

Lorsque M. Lloyd George se promène aujourd'hui à Cannes, sans doute se souvient-il encore de l'étonnant spectacle qui se déroula dans cette paisible cité des élégances cosmopolites au début de 1922. Une des plus importantes conférences d'après-guerre venait de s'y réunir. Briand, alors président du Conseil, et Loucheur, y représentaient la France le vieux lion britannique, comme l'appelait Clemenceau, la crinière en bataille et le regard fulgurant, présidait la délégation anglaise M. de Ratheneau, dépêché par l'Allemagne, et assassiné depuis, se présentait en débiteur ruiné et annonçait avec un charmant sourire l'intention de son gouvernement de ne plus payer les réparations.

La première séance avait été fort orageuse 5,1a seconde menaçait .do l'être davantage, mais le lendemain, au réveil, Briand déclarait à la stupéfaction générale « Je pars pour Paris, appelé par le Président de la République ne vous troublez pas, je vous laisse Loucheur ». Le gouvernement avait été renversé dans la nuit. « La séance continue », annonçait Loucheur à la réunion suivante, mais à peine le débat était-il engagé, que l'on vit Loucheur, à qui un huissier venait de remettre un télégramme, saisir sa serviette, se lever en déclarant « Messieurs, je pars pour Paris, la crise se complique, mais je vous laisse Laroche. »

Nouvelle stupeur. Ratheneau avait dépouillé son aspect d'homme ruiné, Lloyd George ironisait, l'Italien, le Polonais, le Serbe et le Gree ne parvenaient pas à comprendre ce trait des mœurs politiques françaises.

La soirée s'acheva par des bridges et des pokers dans toutes les langues.

Le jour suivant, hélas ce fut pire rien ne se dessinait à Paris, les voyageurs ne revenaient pas et l'on s'énervait à Cannes les bridges étaient moins courtois et les po.kers plus bruyants la délégation française s'éternisait au téléphone et Lloyd George boudait dans ses appartements. Le surlendemain rien encore le vieux lion écumait en silence, d'autant qu'il venait d'apprendre que Poincaré, qu'il détestait, avait été appelé à l'Elysée. Dans le hall, le diapason montait. « Intolérable, s'indignaient les uns, mon parlement m'attend. » « Exaspérant, clamaient les autres, mon souverain m'appelle. » « Pendant ce temps, nos crédits s'épuisent », murmuraient les journalistes. Vers la fin de l'après-midi, Llyod George surgit en coup de vent « Messieurs, impossible d'attendre davantage. J'ai commandé un train spécial. Partons »

Conscient pourtant du spectacle burlesque que la Conférence offrait à la galerie, le Premier britannique résolut avant de gagner la gare d'adresser un speech à la presse. H pria son. secrétaire, lord Riddle, d'appeler son interprète. Or, cet ai.mable fonctionnaire, qui ne s'attendait pas au coup de théâtre de son patron, était allé risquer sa chance à Monte-Carlo. Lord Riddle, qui pressentait un nouvel orage, proposa un de ses amis français pour remplacer l'absent. Cet ami, c'était moi. Je dus traduire, sous le feu d'un regard méfiant, une improvisation dont l'humour dissimulait l'amertume, j'avais l'impression de repasser mon bachot.

Enfin le train démarra plus de voyageurs que de places mais le dîner fut gai et la nuit supportable.

Et le dénouement ? Inquiets de constater que le convoi n'avançait que lentement, nous finissions par apprendre qu'un ordre de Paris lui avait prescrit de n'arriver que lorsque le Cabinet serait constitué. Aussi, dès qu'il accélérait sa marche on se disait « Ça y est. » Mais lorsqu'il ralentissait on en concluait qu'il n'y avait encore rien de fait. Si bien que nous n'entrâmes que le lendemain très tard en gare de Lyon. Toutes les têtes étaient aux portières afin d'apercevoir le successeur de Briand. Soudain, une exclamation fusa i

HelJo, encore vous I lança Lloyd George.

Yes, répondit Briand, qui arpentait le quai, mais pour la jour. née seulement.

Le spectacle des crises ministérielles n'a guère changé on retrouve les mêmes hommes sur 1* quai seulement aujourd'hui c'est la France qui se penche aux por« tières. René Lara


{(O(JI~IQIIIR 1

EN L'HONNEUR DE M. DE NALECHE Pour fêter l'élection à l'Acadcraie des scicnces morales et politiques de M. de Nalèclie, vice-président de la section intellectuelle du Comité France-Ameriu,e,* un grand diner lui a été offert à la Maison des Nations Américaines, sous la présidence de M..André Bellessort, de l'Académie française*

A l'issue du dîner, M. Béllcssort retraça l'action importante et efficace exercée depuis de longues années par M. de Nalèche comme directeur du Jourrial des Débats; M. Firmiri Roz, de J'Institut, rappela ensuite les raisons pour lesquelles l'Institut de France avait tenu à honneur d'accueillir chaleureusement, dès qu'elle lui fut présentée, la candidature de M.Nalèche et insista notamment sur le rôle du nouvel académicien au point de vue politique, littéraire et social.

M. de Nalèche remercia le Comité France-Amérique et les nombreux amis groupés autour de lui et, après avoir défini remarquablement le rôle de la presse dans l'avenir, il dit son émotion de la manifestation d'amitié dont il était l'objet.

Le poète Sylvain Royé dont nous analysions hier l'ouvrage posthume Le Livre de l'Holocauste».

est « le Gard »?

-Depuis que le Prix Nobel a familiarise le grand public avec le nom du romancier des Thibault, l'on s'est demandé si ce nom de Martin du Gard était de création napoléonienne, comme, par exemple, celui des Girod de l'Ain, et marquait une origine départementale.

Il n'en est rien. M. Roger Martin du Gard est d'origine bourbonnaise. M. Léon Loizel, membre de la Société d'émulation du Bourbonnais,, donne dans le Mercure de France toutes les precisions désirables

C'est un domaine le Gard, situé cri pleine montagne bourbonnaise, au bord et sur la rive droite du Rouillons, un ruisselet qui se jette, quelques centaines de mètres plus loin, dans le Jolan, affluent lui-même du Sichon. Ce lieu se situe exactement à 1.800 mètres au S.-E. du lieu dit les Malavaux. endroit bien connu des touristes de Vichy, qui s'y rendent par Cusset et la route 106. Près de ce domaine tt dans le fond de ce vallon, le Rouitlon forme un étang d'étang du Gard. Et voici pour les origines familiales: Ce domaine a donné son nom, vers 1680, à Bonnet Martin. descendant d'une famille Martin originaire d'Arfeuilles, fermier lui-même île la seigneurie de Voiles. En 1739, le Gard fut acquis par Pierre Martin, descendant du précédent. Enfin, en 1752, la famille Martin acquit le domaine voisin des «Boudets» fest du Gaid) dans-la même commune.

-*»a LE CARMET PU «FIGARO»

AUJOURD'HUI

Mond* officiel. 1C. heures Mme Jules jeanneney (Palais du Petit-Luxembourg). Réception». 16 heures Mme Le Bas. 17 heures Mme James Leclerc. 17 heures Comtesse de Prez. ^-T,;i7 heures comtesse de Laigue de Cama' ̃' ̃•̃ Deuil». 11 heures Obsèques du capiMine François de La Taille (Satnt-Thomas d',A<nrin).

«MHiiiiiiiiuiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiimiiiiimimuiiiiiiiimiuiiiuniMi» COUR3

Une messe anniversaire pour le repos de l'âme de la 'Princesse Blanche d'Orléans sera dite demain vendredi 4 février, à dix heures, en la chapelle de, la Compassion, boulevard Pershing. S. M. Gustave V, Roi de Suède, arrivera ce matin à Paris et y restera jusqu'au dimanche 6 février, date à laquelle il partira pour la Côte d'Azur, où il, fera son séjour habituel pendant les mois de février et de mars.

Lors de sa visite à Paris, le Roi descendra à l'hôtel de la légation de Suède, où il sera l'hôte de S. Exc. le ministre de Suède à Paris et de Mme Hennings. Le souverain sera accompagné du comte Ehrensvard, du comte Bonde, du eomte "Hamilton et du docteur Cassermarin.

AMBASSADES

Le chargé d'affaires d'Italie et donna Rosaria Prunas ont donné, le lundi 31 janvier, un dîner auquel étaient invités

Prince et princesse de Beauvau-Craon, prince et princesse Amédée de hroglie, comte et comtesse René de Chambrun, vicomte et vicomtesse d'Orieny, Mme t'ierre Champln, comte Stanislas de La Bocbefoucauld, comte et comtesse della Porta, marquis et marquise d'A'jeta, Mme Santim, duc Ruffo dl Baranello.

̃ S. Exc. l'ambassadeur de France à^Berlin et Mme François-Poncet ont donné, le samedi 29 janvier, un dîner auquel assistaient

S. Exc. l'ambassadeur du Brésil et Mme ïioniz de Aragao, S. Exc. l'ambassadeur d'Argentine et Mme de Labougte, le secrétaire d'Etat aux affaires étrangères du Reich et Mme von Mackensen, le secrétaire d'Etat à l'îhlérieur et Mme Pfundtner, le secrétaire d'Etat à l'aviation, général, Mme et Mlle MUch, S. Exc. le ministre de Norvège et Mine Scheel, S. Exc. M. Bewley, ministre d'Irlande; S. Exc. M. de Veiga-Simoes, ministre du Portugal; S."Exc. le ministre de l'Union sud-africaine et Mme Gie, S. Exc. le ministre de Bolivie et Mme de Sanjines, Mme de GuUerrez, S. Exe. M. Richert, ministre de Suède; S. Exc. le ministre de Butgarie et Mine KaradjolT, vicomte et vicomtesse Berryer, prince et princesse Karadja, marquis Antinori, M. et Mme Lalouette, comte et conitesse de Vaucelles, M. et Mme

Boucliinet-Serreulles.

S. Exc. l'ambassadeur de France su Brésil et la marquise d'Ormesson se sont embarqués pour Rio-de-Janeiro à bord de la Normandie.

Avant de quitter Paris, le marquiset la marquise d'Ormesson ont donné, au Cercle Interallié,, un élégant goûter qui réunissait quelques-uns de leurs amis, parmi lesquels

Mme de Souza Dantas, Mme Dunant, Mme Osusky, S. Exc. le minisire de Roumanie et Mme Cesiano, due et duchesse de La Force, prince et princesse de Beauvau, princesse d'Arenberg, duchesse de Lespari'e, S. Exc. J'ambassadeur de France et la comtesse Ch. de .-Chambrun, S. Exe. l'ambassadeur de France et Mme Laroche, S Exc. l'ambassadeur de France et Mme H. de Billy, S. Exe. ranibassadeur de, France et Mme Conty, B. Exc. l'ambassadeur de France et la comtesse Ciauul, S. Exc. l'ambassadeur de France et Mme Kammerer. S. Exc. M. de Margerie, ambassadeur de France Mme Kaul Claudel, Mme Marcel Prévost, Mme

)!E& Min'B~

M. Roger Martin du Gard, hostile- à l'indiscrétion du journal, n'a pas de chance voici les érudits locaux à ses trousses.

Mobilisation

pour la défense du livre Le lundi 14 février, dans le grand amphithéâtre, a* l'Alliance Française, 101, boulevard Raspail, à 20 h. 45, M. André Maurois 'donnera, sous tes auspices de l'Alliance du Livre, une conférence intitulée «1,6 Livre, l'Auteur et le Lecteurs. Cette conférence est publique, M. Maurois 'niellant' de grand cœur 'son activité ..au service. <Jc. la défense du livre.

.00

M. LUCIEN ROMIER a exposé hier

à l'Université des Annales la question du Pacifique Notre .président. M. Lucien Ramier, a parlé hier, a l'Université des- Annales, en grand économiste, en homme qui connaît le sujet à fond. et qui a pu enrichir encore ses connaissances par des observations faites sur place, au cours d'un récent voyage, d'une question qui est pour nous d'Uiv intérêt capital la question du Pacifique, le drame jaune, drame qui se joue très loin de nous, mais dont, fatalement, l'Çurope, en fin de compte, fera les

frais.

Pendant des siècles, la question du Pacifique ne pouvait se poser. L'immensité de 'l'océan Pacifique, représentant une surface plus grande que celle de la terre émergée des deux1 continents, constituait une barrière, un no, man's land désertique et iquasi infranchissable. Aujourd'hui, il ne faut que deux ou trois semaines aux paquebots pour le traverser et, d'autre part, depuis le percement du canal de Suez, le temps qu'il faut pour aller en. Chine n'est rien en comparaison de la durée du voyage de Marco :Pplo..

Or, les grandes réserves de matières premières indispensables au monde industriel sont là-base dans les îles, en Amérique du Sud; en Chine. L'enjeu de la partie qui se jolie en vaut la peine.

Le rideau est levé. La Chine et le Japon sont les deux acteurs du drame jaune qui se joue actuellement.' M. Lucien Romier traça en termes saisissants le portrait des deux puissances en présence.

La Chine, immense masse économique de 450 millions d'habitants, mais se. tenant volontairement, par sa philosophie et ses traditions, en dehors du monde actuel et résistant depuis des siècles à toute évolution.

Le Japon, au contraire, d'une activité dévorante, d'une curiosité inlassable et d'un fanatisme frénétique, qui est parvenu, paradoxalement, à devenirle troisième empire industriel du monde sans avoir dans ses îles la moindre matière première.

Lequel des deux dévorera l'autre ? S>, la Chine était évoluée, le Japon n'existerait pas mais elle joue un autre jeu, appliquant la parole du philosophe « L'eau vient toujours à bout du feu et comptant sur, sa puissance d'absorption.

Et nous, les Blancs qui avons fourni les verges avec lesquelles on va nous battre, que deviendrons-nous dans l'affaire ? Une seule chose pourra sauver notre prestige nos missions chrétiennes, nos professeurs, qui ont parlé làbas de l'idéal..

M: Lucien Romier conclut très judi-

cieusement

Quand, on vendu très cher des armes à dès peuples lointains, il fayt toujours ajouter, par-dessus le marché, un don gratuit d'idéal. André Warnod,

Mlle Jacqueline Grillon dont le mariage avec M. Michel Moreau vient d'être célébré en l'église

Saint-Thomas d'Aquin.

(Studio de Paris.)

André Maurois, M. et Mme René Plnon, M. et Mme André Siegfried, Mme Charléty, Mme Philippe Bcrthelot, le professeur et Mme Georges Dumas, Mme Vesnilch, Mme Fontes, Mlle da Silva Itamos, M. et Mme de Toledo Lopes, Mme Schmidt Elskop, le conseiller de l'ambassade du Brésil et Mme C. de Oliveira, Mme de Cardenas, Mme Zanesco, baronne de Lanna, Mlle Falcoyanb, comtesse Ch. d'Ursel, marquise de Crussol, comtesse de Ségur-Lamoigndri, comtesse Gaston de la Rochefoucauld, S. fixe, le ministre de France en Roumanie et Mme Ad: Thierry, comte et comtesse de Manncville, M. et Mme D. de Noyelle, comtesse L. de Robién, comtesse R. de La Baume, Mme Massigli, Mme M. Lozé, le ministre plénipotentiaire et Mme l'oizi, comtesse A. de Dampicrre, comtesse F. de Briey, comtesse de Montureux, comte et comtesse Jean de Pange, M; et Mme Pilat, Mme P. Lcfcvre-Pontalis, Mme R. Meunier du Houssoyv Mme V. de Metz, Mme Bignon, comtesse Jean de Briey

Comtesse des Isnards, marquis et marquise de Latircns-Caslelet, baron et baronne de Vaufreland, Mme Archdeacon, vicomte et Ticomtcssc G. de Reviens de Mauny, vicomtesse Curlai, baroiuie '(i.' de La Bouillerie, comtessè G. de Chabannes, Mme Anisson du Pcrron, marquise de Saint-Chamans, Mme Sommier, baron et baronne:de Barante, comtesse H. de Dampicrrc,- vicomtesse Benoist d'A/.y, comte et comtesse Ch.-L. de Vogiié, comtesse de Ribes, Mme M. Olivier, comtesse F. de Castries, colonel et Mme Sadi-Carrtot, marquis et marquise dfc Riencourt, Mme L. du Buit, Mme Cotnareanu, comtesse de Durfort, Mme Tronchïn, baronne de Guerne, comtesse de La Panousc, général et Mme Lasson, général et Mme. P. Asau, Mmes R. et A. Anisson du Perron, Mme Pasteur, ValleryRadot, Mme G. Lefèvre-Ponlalis, Mme L. de Scynes, Mme Et. Gautier, Mme Jeannequîn, comte et comtesse \V. d'Ormèssou, général et Mme Chardigny, Mme Serruys, vicomtesse Blanche Rœderer, M. et Mme B. de Blanpré, M. et Mme iM.'lliblèrç, M. et Mme de Bengocchea, Mme E. ̃ Goulu, etc.

BIENFAISANCE

.•– Les élèves deJ'Ecole centrale des Arts et Manufactures organisent, à la Maison des élèves, un bal au profit de leur caisse de secours. Ce bal aura lieu le samedi 5 février, à vingt-deux heures, 45; boulevard Diderot.

Nombreuses attractions. Deux orcHestres réputés.

NAISSANCES

.̃-Le lieutenant et Mme André Barbier de la Serre sont heureux d'annoncer la naissance de leur fils Guy. On annonce la naissance

De Gérard Bernhelm..

FIANÇAILLES

On annonce les fiançailles de Mlle Marie-Antoinette de La Chaise avec M. René de Rocquigny du Fayel. Nous apprenons les fiançailles de

–B=)6MO-ACTM~)T~

'[f16ARO-ACTllAlLITlES

L'AGA KHAN. M. JEAN ZAY. '1

accompagné du nabab de Rampur, vient de ministre de l'éducation nationale, s'est embarqué hier présider la séance d'ouverture de l'Université à Marseille à destination de l'Egypte où il va présider musulmane d'Aligarh, aux Indes. diverses manifestations artistiques.

LES ECHOS ~11,11~

L'indemnité parlementaire ] à travers les âges. Les députés viennent de relever leur indemnité en l'assimilant au traitement des, conseillers d'Etat. Voici ijuel fut à travers l'histoire le montant de cette indemnité par- lementaire le Consulat l'avait fixé à dix mille francs. Sous la Restau- ( ration, les fonctions de députés fu- > rent gratuites, mais le président de la Chambre touchait cent mille francs par an et chacun des ques- teurs vingt-cinq mille. Le gouvernement de Juillet n'accorda que quatrevingt mille francs au président et i dix mille aux questeurs. 1

L'Assemblée Constituante de 1848 donna aux députés les vingt-cinq francs par jour immortalisés par le mot de Baudin sur les barricades. Napoléon III leur octroya douze mille r cinq cents francs par session. Enfin, r en 1871, lès représentants du peuple reçurent neuf mille francs par an qui sont aujourd'hui 82.500. Et ils ne i meurent plus stir les barricades.

« Le Corsaire est attendu. Les élégances parisiennes qui, J après la fermeture de l'Exposition, s'étaient un peu réservées, vont ou- vrir la saison de printemps plus tôt encore que d'habitude. C'est ainsi que, sous la direction de Mme Jeanne Lanvin, un comité s'est constitué pour organiser, unç.brillanle <s pre-; j i inière », qui sera celle de la nouvelle

M. Jacques Carette avec Mlle Paule Hutzler.

On annonce les fiançailles

De Mlle Odette de Séchelles avec le lieutenant Henri de Tugny.

MARIAGES

Hier, en l'église Saint-Thomas d'Aquin, a été célébré le mariage de Mlle Jacqueline Lignot, fille de M. André Lignot et de madame, née Hannezo, avec M. René Roux, secrétaire d'ambassade, chevalier de la Légion d'honneur, fils de M. Paul Roux, décédé, et de madame, née Klein.

La bénédiction nuptiale leur a été donnée par le chanoine Polimann, chevalier de la Légion d'honneur, vicaire fédéral de Verdun, député de la Meuse la messe fut dite par le R. P. Guignet, S. J. Les témoins étaient, pour la mariée M. le maréchal Pétain et le marquis de Nettancourt-Vaubecourt pour le marié le général Hirschauer, sénateur de la Moselle, et M. Edouard Breuillàud, chevalier de la Légion d'honneur, notaire à Paris.

En l'église Saint-Louis-en-1'lsle a été célébré le mariage de Mlle France Alphen-Salvador, fille de M. Casimir Alphen-Salvador, chevalier de la Légion d'honneur, croix. de guerre, et de Mme Alphen-Salvador, née Léon, avec M. Pierre Vallé, fils de M. Paul Vallé, avoué près la cour d'appel de Paris, décédé, et de Mme Paul Vallé, née Franceschi, et petit-fils de M. Ernest Vallé, ancien garde des sceaux, décédé, et de Mme Ernest Vallé.

En raison de l'état de santé de Mme Paul Vallé, la bénédiction nuptiale leur a été donnée dans la plus stricte 'intimité.

Les témoins étaient, pour la mariée: le général Niessel, grand-croix de la Légion d'honneur, médaillé militaire, et M. André Goüin, conseiller général d'Indre-et-Loire, chevalier de la Légion d'honneur; pour le marié: M. Marcel Maupoil, conseiller d'Etat, officier de la Légion d'honneur, et M. Albert Franceschi, ancien consul de France et d'Angleterre, ses oncles.

INFORMATIONS

La présentation du film King Solomon's;Mines a obtenu hier le plus grand succès en présence d'une assistance des plus, nombreuses et des plus choisies. Dans la loge d'honneur, autour du président de la République et de Mme

Mlle'Anne Bréart de Boisanger dont le mariage avec le lieutenant de vaisseau Claude Vauthcrin vient d'être célébré en l'église Saint-Pierre

du Gros-Caillou.

(Studio Peclcrs,!

i

pièce de M. Marcel Achard à l'Athénée. 1,'orchestre et la', corbeille ont été retenus d'avance et seront revendus, au profit de la, Maison de la Couture, aux clientes des grands couturiers. Le Corsaire, c'est le titre de la pièce, aura pour l'applaudir la plus brillante chambrée.

Sainte Appollne sur les dents. Sainte ^ppoline, on l'ignore généralement, est la patronne des dentis-

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A 11, heures, à l'Institut Catholique, 21, rue d'Assus :.« « Les éléves paresseux», par l'abbé Jeanjean.

A 20 h. 30. 16, rue de la Sorbonne « Renaissance et réf/orme », par M. R. E. Jarry.

20 li. 45, au Palais de Justice, Chambre des criées du Tribunal civil « L'interdiction des rois' déments », par GautierIlotigeville. ̃̃̃̃ Réunions

A 11 11. 30, rue Saint- Jacques Visite du lycée Louls-le-Grand par le « Génie Français »..

A 21 heures, 32, Champs-Elysées « Voyage. dans' le ciel », de M. Jean PalnIcvé. « Tahiti, lie de rêve».

Expositions

Au Parc des Expositions de la porte de Versailles Véhicules Industriels allégés. 76* Salon International d'aviculture. A Galliéra L'atelier Jean-Paul Lau-

rcns >'

Les ,courses

A 13 3 heures :Vincennes.

:a!ssi: .M

Mlle Yvonne de Novion dont le mariage avec M. Jean Camus La Guérinière vient d'être célébré en l'église Saint-François de Sales.

(Phot. Dorys.)

Lebrun, se trouvaient S. Exe. l'ambassadeur d'Angleterre et lady Phipps, le président du conseil et Mme Chautemps, M. Léger, M. de Peyerimhoff, la comtesse de Fels, M. et Mme André Maurois, Nous donnerons demain les noms de l'assistance.

Ainsi que nous 'l'avons annoncé hier, le vernissage de l'exposition des caricatures et gravures anglaises de 1750 à 1850 témoigne d'un intérêt exceptionnel et obtient un grand succès. Au pavillon de Marsan, avant-hier, se pressait une foule considérable, parmi laquelle

Duchesse de Duras, princesse de FaucignyLucinge, duc de Bisaccia, M. et Mme Garcia Calderon, princesse Marguerite de Broglie, duchesse de Cadaval, princesse Dirnitri Galitzine, marquis et marquise de Canisy, marquis et marquise de La Tour du Pin, M. et lime Granville Barker, comtesse de Durfort, comtesse de Caumont La Force, comte et comtesse Guy de Gontaut-Biron, comtesse de Montureux, vicomtesse de Beausire-Seyssel, comtesse J. de Briey, comtesse Gaston de La Rochefoucauld, M. de Slllac, comtesse Le Marois, vicomtesse Curial, Mine Simon du Perron,. M Robert de Billy, vicomtesse des Roys, comtesse de Lévis-Mirepoix, comtesse de Lauriston, comtesse de Chabrillan, comtesse d'Olutremont, M. de Scitivaux, M. Gronkowski, baronne de Bastard, baronne de Neuflize, Mme d'Allemagne, baronne Ernest de La Grange, Mme de Seyne, comtesse de Laugier-Villàrs, M. et Mme 'Renault de -La Templerie, comtesse de Bernis, Mrs Wlll Gordon, Mme Etienne Gauthier, comte et comtesse des Boys, comte et comtesse Goethals, marquise de Trlquerville, Mme Lucien Romier, comtesse Lepic, vicomtesse de Buysieulx, Mme André Dezurrois, Mme Astier, marquise de Castéja, marquis et marquise de Cliaumont-Quitry, Mlle Vacaresco, Mme Chiappe, Mme Gabriel Brun, Mme Dussaud, baronne Hainguerlot, Mme Rollet, comte et comtesse J. O'Connor, Mme Louis Hachette, comtesse Biadelli, M. Gaston Galman-Lévy, baronne d'Este, comtesse G. de Noue, Mme Schommer, Mme Manœuvrier, Mme A. Gilbert, Mme Éd. Porgès, comtesse G. de Broissia, Mme O'Connel, Mme Hirseh, Mme Kapferer, Jllle Esticu, comtesse de Roualle, marquise de Lauris, M. André de Fouquières, M. van der Heyden a Hauzcur, M. G.-L. Pringué, etc.

O,EUILS

Nous apprenons la mort de Mme Jean de Sales, femme du directeur du service des courses la Société Dunlop. Les obsèques auront lieu demain vendredi 4 février. Levée du corps à huit heures, au domicile de la défunte, 43, avenue de la Grande-Armée. Le service religieux et l'inhumation auront lieu à Nointel (S eine-et-Oise) vers dix heures. M. Jutes Scamaroni, préfet du Loiret,;a succombé à Orléans. Né à Bastia

tes pour avoir été persécutée à Alexandrie par des païens qui lui arrachèrent les dents avec des tenailles. Cette torture fut longtemps le principe même de l'art dentaire. C'est pourquoi sainte Appoline fut jadis choisie par les arracheurs de dents. Et les chirurgiens d'aujourd'hui lui conservent leur clientèle. Ils se rendront donc bientôt en pèlerinage à La Gaude, près de Nice, où la bonne sainte a son effigie en lui disant la supplique qu'elle entend depuis plusieurs siècles, et qu'elle a presque iini par exaucer « Faites que j'arrache lés dents sans douleur. »

Décorée par le ministre.

Soeur Anne de Jésus, de l'ordre des Augustincs attachée à l'hôpital de Carpentras depuis quarante-huit ans, vient d'être décorée sur la proposition personnelle de M. Edouard Daladier, au titre du ministère de la guerre.

Lorsque Soeur Anne de Jésus entra à l'hôpital de Carpentras, le père de M. Edouard Daladter en était l'un des administrateurs. C'est dire que le ministre de la Défense nationale connaît mieux que quiconque les innombrables services rendus par elle au cours des ans au chevet des malades et, pendant la guerre, à celui des blessés qu'elle soigna avec un admirable dévouement.

Le Masque de fer.

(Corse) le 26 mai 1890, il avait été successivement sous-préfet d'Ussel et de Brive, préfet de la Lozère, directeur du cabinet de M. Queuille, ministre de l'agriculture en 1928, préfet des Ardennes et du Morbihan, enfin préfet du Loiret depuis 1936.

Nous apprenons la mort, survenue à Paris, de la générale Franceries, née Belny.

S. A. le XV prince de Pless, comte de Hockberg, baron de FUrstentein, ancien secrétaire d'ambassade d'Allemagne, a succombé à Paris où il faisait de fréquents séjours et où il était fort répandu. Il avait épousé, à Londres, la fille de William Commwalls West. L'Association nationale des offi. ciers combattants fera célébrer le samedi 5 février, à onze heures, en la cha. pelle de l'école Saint-Nicolas, 92, rue de Vaugirard, une messe anniversaire à la mémoire du regretté colonel Jean Fer.randi, son ancient président et ancien conseiller municipal du sixième arrondissement.

Un service pour le repos de l'âme du baron d'Auteroche a été célébré hier en la basilique Sainte-Clotilde.

La messe a été dite par le R. P. Le Gariel,. S. J., et l'absoute donnée par le chanoine Verdrie, curé de la paroisse.

Le deuil était conduit par le vicomte H. de Vanssay et le baron F. de Flaghac, gendres du défunt; MM. René de Vanssay, élève à l'Ecole navale; Christian et Hervé de Flaghac, ses petits-fils du côté des dames, par la baronne d'Aute.roche, sa veuve; la vicomtesse H. de Vanssay et la baronne F. de Flaghac ses filles Miles Alix et Huguette de Vanssay, Mlle Nicole de Buron, ses petites-filles.

On nous prie d'annoncer la mort de M Georges Fourchault, pieusement decede le 1" février 1938 à t'âge de quatre-vingt-un ans. Les obsèques auront lieudeniain vendredi 4 février, à onze heures, en l'église Saint-Hohôré d'Eylau ou l'on se réunira. Ni ,fleurs ni coyronnes.

On annonce la mort

De Mme Lucien Maître, nëe Cabrol, à Bernay; de M. AV. Deuss, à Ruremondé (Limbourg h,°'1<l"dais) de SIme Maurice Lang, née Berthe Picard; de Mme Jérôme Meyeï a Nice; de M. David Eudlitz, à Paris. Valtleury.

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Ne doit-on pas aux coiffures en hauteur cette nouvelle ligne « en avant »? (Chapeau crié par Marlière pour la collection de Robert Piguel.)

Après les couturiers, les modistes. l'oici que tous, cette année, se mettent à tricher. Les couturiers, avec la taille, les modistes avec ce qu'elles peuvent. Si elles ont, par principe, renoncé aux formes en hauteur, au point de combiner des calottes pas plus hautes qu'un savoureux camembert, elles ont tout de mime gardé, des aspirations élevées. Celles-ci se traduisent le plus souvent par un brin de quelque chose planté comme un paratonnerre. Un paratonnerre de

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L'Union Continentale de la Publicité prépare son 8e Congrès

Le Conseil d'Administration de l'Union Continentale de la Publicité vient de se réunir à Vienne (Autriche), sous la présidence de M. Charles Maillard. Dix nations étaient représentées à cette réunion, convoquée dans le dessein de pré- parer le 8e Congrès.

Ce Congrès est placé sous le haut patronage du chancelier d'Autriche. Il s'ouvrira à Vienne le 7 juin prochain. Tous renseignements complémentaires seront donnés par le Bureau permanent de l'Union Continentale de la Publicité, 27 bis, avenue de Villiers, Paris (17«).

LE CONSEIL D'ETAT annule l'arrêté du maire d'Avignon interdisant la vente d'un journal

Un arrêté du maire d'Avignon du 9 janvier 1937 avait interdit jusqu'à nouvel ordre la vente sur la voie publique du journal Le Flambeau. Cet arrêté a été déféré au Conseil d'Etat par un membre de la fédération locale du P. S. F.

Le tribunal suprême administratif a rendu son arrêt le 28 janvier 1938. Il a jugé que le maire tic pouvait « interdire comme il l'a fait cette vente sur toute le territoire de la commune et sans limitation de durée; qu'en. raison de la généralité de ses termes, l'arrêté attaqùéest dès lors entache d'excès de pouvoir».

luxe en ruban, en fleurs, en plume, Mi paille, voire même en crin. ( La crainte d'une sécheresse peu favorable au visage (crainte safiîteire.)* a provoqué sur les. grandes formas à bords relevés, que ramène chaqùe printemps, des effets séduisants broderies,. appli- cations de plumes; nœuds relevés ans la paille même. Ces bords relevés ont, cette année, une tournure- assez nouvelle ils se gonflent légèrement pour rejoindre presque la.çalotte.

Il y a des formes que la mode poursuit en les renouvelant. La toque, béret. Béret de feutre ou de moire allongé en aile d'oiseau, toque de crin tabulaire, piquée d'ailes blanches laquées, ou, en feutre et partagée par une cocarde plissèe qu'adoucit une voilette. Les voilettes sont parfois de grosses v résilles laquées qui bordent les canotiers avec un air d'Espagne que leur disputent les rubans j.oués sous le menton de quelques autres modèles.. On voit moins'd'amas de fleurs que l'an dernier tant mieux mais autant, sinon plus, de mélanges de matières paille et feutre, gros-grain et feutre, suédine et paille, etc. La paille chinée se dispute avec le gros paillasson les faveurs de maints chapeaux à bords plats.

Quant aux couleurs, elles se sont,, de- puis un on, calmées. Moins nombreuses et moins intenses.

G. datent?.

(Voir la suite da no« oroqui» <J«ns no» Pages féminines, pages 6 «t 7.)

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Frais du cûangement d'adress» franco Joindre banie d'abonnement t tout* demande de renouTeUement, duosentat t d 'adrexse. réclamation, etc. à dAf«rt bande, rappeler le numéro d'injcriptii» <ti l'abonnement et sa date d'écbéanoe. Compté de chèques postaux tf 242-S3.


UNE CAMPAGNE DE PRESSE ITALIENNE "La Corse, île italienne, constitue une menace contre la péninsule" Toute la presse de la péninsule mène depuis longtemps une vive Campagne qui s'est encore intensifiée ces temps derniers, pour revendiquer l'iîalianité de la Corse. Les informations et les articles représentent le pays comme opprimé' et sacrifié par l'administration française; Ils cherchent à faire renaître, en les exaltant, les sentiments ,-̃ d'indépendance de la population. Ils annoncent, enfin» que la France est en train de faire de l'île une base d'opérations militaires éventuelles contre l'Italie, c'est-à-dire contre la vraie patrie du peuple corse. « C'est un mensonge, disait le Popolo d'Italia, à propos de Tin.cident Campinchi, que l'Italie médite une agression. C'est un mensonge que la Corse soit historiquement et géographiquement terre française. En la même circonstance, le Giornale d'italia traitait M. Campinchi de « renégat à à la patrie italienne.

-èc « Cette Corse, surenchérissait le Corriere della Sera, les Français l'ont acquise un jour par l'intrigue et grâce à l'argent. Ils l'ont tou- jours exploitée et négligée. »

e La Corse est une nation vaincue qui doit renaître, écrivait pré.cédemment la Gazelta del Popolo, faisant parler un Corse d'après un prétendu catéchisme de l'indépendance. Avec la France, nous n'avons >rien de commun, ni là langue, ni l'histoire, ni les mœurs, ni les as- pirations. Il n'y a chez nous, de français, que l'argent qui circule. La langue française est pour nous une langue étrangère. » ` Critique de l'administration française en Corse iJ'jo La revue Frontespizio, de Florence, a publié dans son numéro de -^janvier une critique virulente de l'œuvre de la France en Corse is ` Depuis que la France a mis les pieds dans le pays de Pascal Paoli, la Corse ne vit plus que de souvenirs et de regrets. Sur l'île pèse depuis des années une tristesse désespérée. Les jeunes gens sont recrutés dans l'ar«*"mée française. Les jeunes filles sont enrôlées dans les boîtes de nuit parisiennes. La Corse de Paoli n'est plus qu'un réservoir de soldats et d'esclaves blanches. Aux enfants, l'instituteur enseigne en langue française que l'homme descend du singe, que le Bon Dieu est une sornette, que la famille | est une institution bourgeoise et la patrie un idéal barbare. I « La Corse aux mains de la France est une menace 1 contre l'Italie »

j « Guerre, guerre, écrit encore la Nazione de Florence. C'est le mot i qui court d'un bout à l'autre de l'île. Guerre contre l'Italie, guerre imminente, prête à éclater demain sinon aujourd'hui. A Corte, il y a {} une base aérienne et une route stratégique qui va tout droit jusqu'à a f; Bonifacio. A Ajaccio, des canons sont cachés aux quatre points carh dinaux. L'aéroport militaire est déjà terminé et des dépôts énormes de carburants sont en construction au pied des collines. A Bonifacio, H face à la Sardaigne, la côte rocheuse est toute semée de canons caÛ chés dans des cavernes. Le système des fortifications s'étend jusqu'à à fi Porto-Vecchio, sur la côte orientale, où l'on va dépenser 400 millions |J en armements. On a dressé un projet pour faire du golfe de Portog Vecchio une base navale bien outillée et le port de Bonifacio se préI sente comme un nid idéal pour les sous-marins. »

Mais- la palme de la violence agressive revient au Teleqrafo de P Livourne organe officiel de la propagande italienne, et qui publie ÎLune édition hebdomadaire destinée à la Corse au prix dérisoire de ̃–5 francs par an. Commentant l'ordre du jour d'un groupement politique de Corte.qui a affirmé son attachement à la France, le Telegrafo écrivait la semaine dernière

Nous ne permettrons jamais qu'une île italienne puisse être utilisée aux mains de l'étranger comme un poignard dirigé contre le peuple italien. L'erreur de ceux qui sont vos maîtres actuels, et qui ne te seront pas toujours, est de croire pouvoir vous employer contre vos frères de race. "Plus grande est l'offense et plus sévère sera le châtiment car nous recourrons à la loi fasciste.

AUX ETATS-UNIS.

0,

%e sénateur Piitmann réaffirme Zle principe de la non-intervention Washinqton, 2 février. Les attaques ment leur politique de rioW-intsrV'en^ôa iirWan Sénat hier soir contre po- dans les affaires des «1™™*»%,$îitiaùe étrangère de M. Roosevelt, a eu litique qui leur donne précisément? Waujourd'hui une grande répercussion il, touteWté d'action chaque .fois que dans les milieux politiques américains, des événements se produisent à l'étranLe sénateur Pittman? ami du prési- ger et qui portent préjudice aux intédent Roosevelt, a souligné que si le gou. réts américains, comme ce fut notai nâènt Roosevelt, a souligné que si les gou- ment le cas lors du récent coulage de la ton avaient échangé leurs vues au su- canonnière Pana ff des suites à donner aux incidents Enfin, le sénateur Pittman tint à faire du Panay et autres bombardements de ressortir que lorsque M. Eden déclara à canonnières américaines et britanniques, la Chambre des Communes que les ̃m» ne ^Signifiait pas qu'il existait en- Etats-Unis et la Grande-Bretagne »e tre la Grande-Bretagne et les Etats-Unis trouvaient en ï?*^™^™»^%n accord quelconque portant sur la po- res, il ne faisait allusion alors qu'aux litique étrangère des deux pays. bombardements de la canonnière Panay Y M, Pittman ^affirme aussi que les et de la canonnière britannique Ladg «Etats-Unis poursuivaient scrupuleuse- Byrd.

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AUX ETATS-UNIS.

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Vr- On arrête

une aventurière suédoise

qui se f aisait passer

pour la princesse Erickson \îl y a quelques semaines, l'attention iide la police était attirée sur l'achat d'un ijfaôtel particulier, 19, rue du GénérallAppert. Une fausse lettre de crédit, tirée

ipar un avoué de Sainte-Maxime, avait

iëté mise en circulation. '| Bientôt, les enquêteurs apprenaient pque l'hôtel avait été acheté par la « princesse Erickson », une curieuse personne, .ïonnue dans les cercles les plus fermés, | Suédoise de naissance, ayant épousé un

3 Américain milliardaire, prétendait-eUe.

I *£a « princesse > voyageait beaucoup, *:dc Paris à Cannes, de Nice à DeauviUe, .«Mis payait ses notes à l'hôtel a l'aide de cheques sans provision. On assurait qu'elle était la sœur de sir Henry Deterkding, roi du pétrole.

Commençant à être connue sous un fjbuf moins brillant, l'aventurière décida Id'acquérir un luxueux hôtel particulier là Neuilly. Ceci la perdit.

La « princesse n'avait pu acquitter Iles quinze cent mille francs, prix de ^'immeuble. Elle usa, pour gagner du temps, de la fausse lettre de crédit. f-»-Eiie prit immédiatement possession de ^a demeure, fit entreprendre des transTormations et commanda pour 200.000 francs de meubles. Ses concierges, les époux Bérigot, n'hésitèrent pas à lui confier JeuTS économies, plus de cent Sfile francs.

w-La « princesse ». continuant cependant liae recommander de personnalités poliJiques et administratives, poursuivait ;sçs- exploits. Ses états civilS] variaient ad'aïlleurs fréquemment. Hier, lorsqu'elle «fut arrêtée dans un hôtel de la rue d Arpiaillé, elle déclara se nommer Backaert. "En réalité, il s'agit de Marie-Elsie Bùrton originaire de Stockholm, ou elle est née le 22 août 1883, titulaire de 'quinze condamnations pour abus de con"flànce, escroqueries, émission de chèques sans provision, et qui, expulsée de France et de Suisse, avait encouru dereaièrement la peine accessoire de 1 interdiction de séjour.

O.A CRISE DU THEATRE Sri ET DU SPECTACLE ̃̃̃ vue par les enquêteur. a v sur la production

LV \y

La présidence du Conseil vient d'être B.saisie d'une suite des conclusions du •sfiçmité d'enquête sur la production. Certaines étudient la situation du spectacle En 1929, il y avait à Paris 101 théâtres, music-halls, cabarets de chansonniers il n'y en a plus que 64 en 1837. La province totalisait 38.000 représentations en 1928-1929 en 1936«4937, elles ne dépassaient pas 21.000. Sur ?Ccs dernières scenes, tandis qu'en 1928*P29 1.498 trouvaient activité et ressources, les chiffres s'abaissent à 592 en 1936-1937.

L'audition de M. Albert Sarraut par la Commission sénatoriale des affaires étrangères

La Commission sénatoriale des affaires étrangères, réunie sous la présidence de M. Henri Bérenger, a entendu M. Albert Sarraut sur la situation africaine et méditerranéenne dans ses rapports avec la politique extérieure et la sécurité de la France.

M. Albert Sarraut a fait un exposé des difficultés méditerranéennes et de leur répercussion sur les difficultés d'ordre plus général en Europe et en Asie. Il n laissé dans l'ombre aucun des aspects de ce problème si préoccupant pour les communicatioUis intercontinentales de la France et de la Grande-Bretagne. M. Sarraut a montré le jeu des diverses puissances autour de l'Afrique du Nord et de l'Afrique Occidentale dans les cinq dernières années. Analysant le parallélisme des menées séparatistes dans les possessions françaises et britanniques, le ministre a fourni les informations les plus complètes sur les menées étrangères parmi les populations arabes et musulmanes de l'Asie Mineure à l'Afrique Occidentale. M. Albert Sarraut a fait connaître ensuite à la Commission l'ensemble des mesures prises et des réformes accomplies par le gouvernement français pour répondre à ces menées.

Les Travailleurs chrétiens

devant la Commission du travail La Commission du travail, outre M. Gignoux dont nous donnons d'autre part les déclarations a reçu hier une délégation de la Confédération des travailleurs chrétiens. Ce groupement a fait état de ses revendications (échelle mobile, augmentation des allocations familiales, retraite des vieux travailleurs, etc.) elle s'élève contre l'octroi d'un monopole de droit ou de fait à la C.G.T. Toutes les minorités, disent les travailleurs chrétiens, ont droit au chapitre. Ils ont fait observer en outre que le scrutin sur la grève doit avoir lieu avant celle-ci, et non lorsqu'elle est déclenchée.

L'artisanat français a également présenté ses « cahiers ». Les artisans entendent, notamment, conserver la liberté complète d'embauchage.

Les commissions du commerce et de la législation ont nommé leurs rapporteurs, pour avis sur chacun des textes relatifs au statut moderne du travail. LA LOI SUR LA PRESSE La commission de législation a poursuivi l'examen de la loi sur la presse. Elle a maintenu les textes votés par la Chambre pour les articles 31, portant définition de la la personne publique, et 32, relatif aux peines prévues en matière de diffamation, tout en laissant au juge la faculté de n'infliger qu'une peine d'amende ou une peine de prison sans amende; maintenu l'article 34, rétabli l'article 33 supprimé par le Sénat, et apporté des remaniements à différents autres articles concernant l'interdiction de la publication des opérations d'instruction, de photographies ayant trait à des crimes, etc.

A LONDRES. APRES LE TORPILLAGE DE L'ENDYMION: Le Cabinet tient conseil;

M. Eden confère avec MM. Corbin et Grandi HOSTILE A UN BLOCUS NATIONALISTE L'ANGLETERRE PRECONISE UN RENFORCEMENT DESACCORDS DE NYON {Suite de la première page.)

Quelle est la raison de ces nouveaux actes de piraterie, demanda alors le cabiu- britannique au secrétaire du Foreign Office ? L'interprétation des milieux diplomatiques britanniques est la suivante ces attaques sous-marines, comme les récents bombardements de Valence et de Barcelone, auraient été décidés par les nationalistes pour compenser-les récents échecs militaires qui auraient causé un réel mécontentement à Rome et à Berlin. Il parait même que les divergences qui se sont récemment manifestées au sein du gouvernement allemand à propos du maréchal von Blomberg ont été causées principalement par le problème de l'intervention en Espagne. En un mot, l'aide que le général Franco reçoit de l'Allemagne et de l'Italie ne continuera que dans la mesure où le chef nationaliste peut assurer une victoire rapide. Seul maintenant un blocus des côtes d'Espagne peut assurer cette victoire. C'est d'ailleurs pourquoi on a de sérieuses raisons de croire à Londres que le communiqué publié hier par l'ambassade d'Espagne au sujet de deux sous-marins et de quatre destroyers italiens qui auraient été fournis aux nationalistes est probablement exact. Réunion du cabinet

britannique

Or l'Angleterre est décidée, comme au moment de la conférence de Nyon, à ne pas laisser les nationalistes imposer un Les bruits de retraite

du maréchal von Blomberg Berlin, 2 février. Le bruit court avec Persistance à Berlin que le maréchal Von Blomberg serait admis à faire

LE GENERAL VON REICHNAU qui remplacerait le Maréchal VON BLOMBERG

valoir ses droits à la retraite à l'expiration de ses 60 ans, au mois de septembre prochain.

Les légions de César @

marchaient au pas de l'oie Rome, 2 février. Pour répondre aux objections que soulève l'adoption dans l'armée italienne du nouveau pas de parade, plusieurs journaux de la péninsule publient des articles exaltant cette innovation.

Dans le Giornale d'Italia, le général Grazioli écrit que l'origine première du pas cadencé de parade n'est pas exotique, car ce furent les armées de certains pays étrangers qui rempruntèrent aux anciennes légions romaines où il était en honneur.

NOUVELLES BREVES

ETRANGER Les manœuvres de Singapour ont commencé hier

Singapour, 2 février. Les plus grandes manœuvres qui aient jamais eu lieu en Extrême-Orient ont commencé ce matin à Singapour. 10.000 hommes de troupe, 25 navires et 110 avions participent aux opérations qui préludent à l'inauguration de la base navale. Arrangement commercial franco-suédols

Le gouvernement français et le gouvernement suédois, désireux d'améliorer et d'intensifier leurs relations d'ordre économique, ont conclu un arrangement commercial valable pour l'année 1938, favorisans l'exportation des vins français.

Pétition contre la vie chère aux Communes

Londres, 2 février. Sir Arehibald Sinclair, leader de l'opposition libérale, a remporté un gros succès à l'ouverture de la séance des Communes, en présentant une pétition contre la vie chère. Cette pétition a réuniu, en effet, 804.000 signatures, apposées sur 44 registres, que 22 huissiers, sur un signe de sir Arehibald Sinclair, sont venus déposer tout à tour sur la table des secrétaires, sous les applaudissements à la fois amusés et enthousiastes de l'assemblée.

ALLEMAGNE. Se rendant comme chaque année sur la Côte d'Azur, Gustave V de Suède est de passage à Berlin. Le chancelier Hitler lui a rendu vi.site à la légation de Suède.

La Juedische Rundschau, journal principal des israélites allemands, est interdite jusqu'au 28 février.

ETATS-UNIS. Les trois croiseurs américains participant aux manœuvres de Singapour iront à Manille avant de regagner leur base de San-Diego. Le département d'Etat annonce qu'il a fait une démarche auprès du général Franco pour obtenir la mise en liberté du pétrolier américain Nantucket Chîef et de son équipage, saisis en pleine mer par un navire de guerre nationaliste le 17 janvier dernier, et retenu depuis à Pahna de Majorque.

blocus le long de ses lignes de communications maritimes. Ce matin, le cabinet britannique a donc examiné un certain nombre de mesures de sécurité proposées par l'Amirauté qui, elle-même, avait consulté à plusieurs reprises notre attaché naval. Ces mesures, qui sont purement d'ordre technique, envisageraient 1° Un renforcement des accords de Nyon, notamment de la clause relative aux attaques sous-marines. Selon les termes de cette clause, les patrouilles navales n'étaient en droit de chasser et si possible de couler les sous-marins que lorsqu'ils étaient surpris en train d'attaquer un navire marchand. Elles auraient désormais le droit de chasser et de couler tout sous.marin qui se trouverait aux environs de l'endroit où a eu lieu l'attaque. 2° Un renforcement du nombre des navires de patrouille.

Entrevue au Foreign Office Ces mesures (qui, sans être officielles nous viennent de source sûre) ont été communiquées cet après-midi par M. Eden à M. Corbin et au comte Grandi. L'entrevue n'a pas duré plus d'un quart d'heure, parce qu'il s'agissait simplement de remettre un document. On pense que dès demain ou après-demain les gouvernements français et italien pour- ront faire parvenir leur réponse à Londres.

Les incidents que nous avons mentionnés plus haut ont eu lieu dans la zone de surveillance britannique, mais il importe, dans l'intérêt de la sécurité commune, que toutes les zones soient renforcées.

Ces propositions, comme on le voit, sont d'ordre technique. Elles, ont cependant une importance politique considérable. C'est de nouveau toute la question des relations anglo-italiennes qui entre en jeu. En éemandant au gouvernement italien de collaborer au renforcement des patrouilles navales, l'An-

CLOTURE A GENEVE.

LE CONSEIL, DE LA S.D.N. adopte le texte de la résolution SUR LE CONFLIT S1NOJAPONAIS Le comité des 28, pour la réforme da Pacte,

3 envoie son rapport à l'Assemblée

Genève, 2 février. Le Conseil de la S.D.N. s'est réuni à midi en vue de prendre connaissance du projet de résolution élaboré par le Comité des Quatre à la suite de l'appel de la Chine. Ce projet de résolution, dont on connaît les grandes lignes, a été adopté à l'unanimité moins deux abstentions, celles de la Pologne et du Pérou.

UN ULTIME APPEL

DE M. WELLINGTON KOO M. Wellington Koo, dans un ultime appel au Conseil, a notamment déclaré: « L'extrême gravité de la situation en Extrême-Orient exige l'adoption par le Conseil de mesures concrètes et énergiques.

» L'action proposée dans la résolution ne répond pas, à notre point de vue, aux exigences de la situation. Cependant, je l'accepte au nom de mon gouvernement, en étant confiant qu'un plus grand effet que par le passa sera donné aux termes de ce texte, et que l'examen prévu sera poursuivi avec énergie et promptitude. »

LA SUEDE ET LE CHILI CONTRE LE PACTE

D'autre part, le comité des VingtHuit pour la réforme du pacte à clos sa session cet après-midi après avoir adopté le rapport préparé par son président, M. Bourquin (Belgique). Ce rapport renvoie les procès-verbaux des discussions à l'assemblée de la Société des Nations.

Le délégué du Chili, M. Valdes Mendeville, déclare que, après avoir constaté le caractère négatif des travaux du co-

GRANDE-BRETAGNE. Les perspectives d'une visite du Roi aux Indes cette année aurait fait l'objet des délibérations du cabinet hier matin. Sous la conduite de représentants du Conseil britannique de l'Air, la mission aéronautique française a visité hier à Bristol les usines spécialisées dans la fabrication de moteurs d'avions de bombardement. Les experts français ont, quitté Bristol hier soir à destination de Birmingham.

La grève, qui avait été déclarée par une centaine d'ouvriers des usines d'aviation de Haviland, à Hatfield, afîec te maintenant 1.500 ouvriers,. pour la plupart spécialistes, et la production des avions civils et militaires est pour le moment à peu près complètement arrêtée.

PALESTINE. Malgré les démarches du consul général d'Italie auprès des chefs religieux éthiopiens résidant à Jérusalem, les représentants 'de l'Eglise copte égypto-abyssine ont refusé de reconnaître le nouvel abouna Abraham, dont la nomination impliquerait la séparation entre l'Eglise copte et l'Eglise d'Abyssinie.

♦ PLUSIEURS SISMOGRAPHES EUROPEENS ont enregistré les secousses d'un tremblement de terre dont l'épicentre a été repéré dans le Pacifique nord, du cité des îles Aléoutiennes. ♦ L'EXPEDITION POLAIRE SOVIETIQUE EST EN PERIL. Le chef, Sapanine, a adressé, en effet, à Moscou un télégramme dans lequel il annonce qu'à la suite d'une violente tempête le camp d'observation a été coupé et ne repose que sur un champ de 300 mètres de long sur '200 de large une fissure apparaît sous la tente.

PROVINCE

LE CADAVRE D'UN GARDE MQBILE, M. Jean Lebarbu, a été découvert sur la voie ferrée près de la station d'Angoulins-sur-Mer. La mort semble accidentelle. Dans les poches de la victime ou a retrouvé une somme de mille six cents francs.

UN CENTENAIRE EN SAONE-ETLOIRE c'est M. PIERRE MAUCHAMP, vice-président du conseil général, qui est le doyen d'âge des conseillers généraux; il représente depuis cinquante-deux ans le canton de Chalon (Nord), au conseil général.

gleterre oblige l'Italie à se prononcer pour ou contre le blocus que les nationalistes cherchent à imposer. Elle lui donne de nouveau l'occasion de se désintéresser des affaires d'Espagne ou, plus précisément, de collaborer avec les puissances pacifiques pour imposer tôt ou tard une médiation en Espagne. Il importe de rappeler que la situation en Espagne est très differente de ce qu'elle était lors de la Conférence de Nyon. Le prix de cette collaboration c'est l'amitié de l'Angleterre. Un refus c'est l'étau de Ni/on qui se resserre. Ainsi, l'incident de l'Endymion a servi de prétexte au gouvernement britannique pour amor au gouvernement britannique pour amorcer cette manœuvre hardie. Elle peut échouer, elle peut réussir.

Gérard Boutelleau.

Quelques déclarations

de M. Eden aux Communes Londres, 2 féurier. Au cours de la séance des Communes, M. Eden a déclaré que le gouvernement était profondément inquiet de la reprise des actes de piraterie en Méditerranée, actes que rien ne justifie.

En ce qui concerne la propagande antianglaise de l'Italie, le secrétaire d'Etat au Forcign-Office a dit que tant que cette propagande ne cesserait pas, il serait impossible de créer l'ambiance nécessaire pour rendre plus amicaux les rapports anglo-italiens.

Au sujet du conflit d'Extrême-Orient, M. Adams lui ayant demandé « s'il n'était toujours pas possible d'entreprendre une action concertée contre un agresseur », M. Eden s'est borné à répondre que « rien n'empêchait la coopération entre puissances membres de la S. D. N. ou non ».

mité, le Chili réserve la liberté d'action qu'il adoptera tant à l'égard du problème que de la Société des Nations, envers laquelle « il adoptera l'attitude que les circonstances pourront lui dicter ». De son côté, le représentant de la Suède, M, Ûnden, tout en acceptant l'ajournement des travaux du comité, a déclaré que. le gouvernement suédois se croit fondé à conformer, dès maintetant, son attitude envers l'article 16 aux déclarations qu'il a faites devant le comité, ce qui revient à dire que le gouvernement suédois considère, quant à lui, dès maintenant, l'article 16 relatif aux sanctions comme facultatif. ROME ENVERRAIT

D'IMPORTANTS RENFORTS EN ETHIOPIE

Londres, 2 février. Le correspondant à Port-Saïd de l'Evening Standard télégraphie l'information suivante « Des bruits alarmants de destruction en masse d'êtres humains à la suite d'attaques croissantes de la part d'indigènes abyssins ont été répandus aujourd'hui par des soldats italiens blessés ou malades à leur passage à Port-Saïd, rentrant en Italie.

» Ces bruits sont appuyés par le fait que des bâtiments de transport italiens sont en train de faire passer en toute hâte des renforts de chemises noires 1 en Abyssinie et ce aussi fréquemment que durant les débuts de la guerre d'Ethiopie. » 1

PARIS

♦ LES AVIATEURS CHRISTIAN MOENCH ET MAURICE DUCROS ont été cités à l'ordre de la nation. ♦ WEIDMANN ET MILLION ont été de nouveau confrontés hier. L'Allemand a fourni au juge des précisions accablantes sur le meurtre de Roger Leblond, dont il accuse entièrement son complice, Million persiste à nier.

UNE JEUNE RELIGIEUSE DE 27 ANS, Sœur Josèphe, est morte subitement à l'hôpital de Chateaubriand, après une piqûre reconstituante à base de cacodylate et de strychnine. Le dosage de ce toxique avait été fait en centigrammes au lieu de milligrammes. UN DANGEREUX MALFAITEUR a été arrêté il s'agit d'un Italien, Alfred Palmeri, 39 ans, appartenant à une bande de faussaires, et l'un des auteurs du vol de 1.700.000 francs commis en mars 1937 au préjudice d'une banque vauclusienne.

CONFLITS SOCIAUX

A Lorient, les dockers ont refusé de décharger le Bangor, ce bateau ayant été chargé à Belle-Isle « par uu personnel rétribué au mois ». Toujours à Lorient, certains employés de tramways électriques ayant été licenciés, les autobus remplaçant les tramways, le personnel de la Compagnie s'est mis en grève. Une grève générale à éclaté daus les usines de la région de Céret, des ouvriers ayant été congédiés.

Un accord est intervenu dans le conflit de l'ameublement du Nord.

M. Frossard a reçu lûer. une délégation des loueurs d'automobile. Une conférence du taxi se réunira la semaine prochaine.

Après une violente discussion entre ouvriers affiliés à la C.G.T. et ouvriers non cégétistes, un chantier, porte Clignancourt, a été occupé par 70 cégctistes, qui attendent le résultat des pourparlers.

Le& métallurgistes du Nord (région de Roubàîx et Tourcoing) ont obtenu la moitié de leurs revendications. Mais il y avait sept conflits six sentences doivent donc encore être rendues.

A la suite de la collusion des dirigeants syndicaux tunisiens avec le Distour dans les événements de Bizerte, M. Guillon a prononcé la dissolution de l'Union locale des syndicats de Bizerte, aVec éventualité de dissolution des dits syndicats il a pris également des sanctions contre les dirigeants.

On a découvert près d'Angers un chauffeur de taxi assassiné Un billet met le crime sur le compte du CSAR, mais la Sûreté Nationale dément

Angers, 2 février. Dans un fossé de c la route nationale d'Angers à Sablé, on 1 découvrait cette nuit, près du village de 1 Ferreu, un taxi d'Angers renversé. Cou- 1 ché sur son volant, le chauffeur était « mort. D'une plaie à la tempe droite cou- lait un mince filet de sang; dans sa nuque une balle de revolver avait fait une autre blessure.

La gendarmerie établit qu'il s'agissait du chauffeur Marcel Legras, âgé de 35 ans, marié, père de deux enfants et demeurant à A/igers, chemin des Rêveries. Elle apprenait, en outre, que la victime avait quitté Angers à 17 h. 30, après avoir chargé à la gare Saint-Laud un jeune homme aux cheveux blonds rejetés en arrière et qui portait un pardessus gris. Il

Un .crime politique ?

En fouillant dans la voiture, les gendarmes, qui avaient d'abord trouvé sur le cadavre de Marcel Legras le portefeuille intact du chauffeur contenant 650 francs, découvrirent un billet plié et portant ces mots

Le C. S. A. R. sait se débarrasser des traîtres. Que ceci serve de leçon, Agent 124.

La brigade mobile d'Orléans fut alertée tandis que, les constatations faites, le cadavre de M. Legras était amené à Angers, où le docteur Bigot établissait que le malheureux chauffeur avait été tué à bout portant d'une balle dans la nuque. La seconde blessure, à la tempe, provenait d'un choc contre le pare-brise. Non, affirme-t-on à la Sûreté Que pense-t-on de cette prétendue vengeance du C. S. A. R. à la Sûreté nationale ?

C'est ce que nous avons demandé à un haut fonctionnaire de la rue des Saussaies, lequel nous a déclaré Il faut voir dans la lettre laissée par le ou les meurtriers une tentative de diversion pour détourner les soupçons. Jamais le nom de Legras n'est apparu au cours de notre enquête sur le C. S. A. R. D'autre part, le malheureux chauffeur n'a jamais été indicateur de la police. L'hypothèse la plus vraisemblable est celle d'une agression crapuleuse. Dans ce cas, il faut admettre que l'assassin a été dérangé et a dû prendre la fuite avant d'avoir eu le temps de dévaliser sa victime. Une piste

L'hypothèse du crime politique no pouvant !tre retenue, les policiers d'Angers ont découvert une piste qui pourrait fort bien aboutir à l'arrestation de l'assassin.

Il y a quelques mois, le maire de Rablay, revenant de Paris, fut victime, Dissolution

du Parlement égyptien Les députés ouafdistes

occupent la salle des séances Le Caire, 2 février. Le roi a signé un décret portant dissoultion de la Chambre des députés.

Cette décision a été motivée par la présence, à la réunion du parti ouafdiste-nahasiste, tenue hier, de 134 députés assurant la majorité à Nahas Paçhn contre.» cojnb.inajsoij des partis minoritaires gouvernementaux et ouafidiste-saadiste, sous la conduite du doc-

teur" Mainer.

La date de réunion du nouveau parlement élu lors des prochaines élections a été flxée"Su. 12 avril.

Aussitôt après la proclamation du décret royal dissolvant le parlement, un groupe de députés ouafdistes, conduit par Nahas, Pacha et par Makram Pacha, son ancien ministre des finances, a pénétré au parlement. et s'y est installé. Les députés, qui ont apporté des provisions de bouche; paraissent décides à donner à leur protestation l'allure d'une occupation de la salle des séances. Le calme règne dans la ville.,

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SOLDES ANNUELS

HENRY A LA PENSEE, 5, Fg SaintHonoré, solde aujourd'hui et les 4 et 5 février, tous ses articles en fins de séries. Vente strictement au comptant.

Dernière heure théâtrale

THEATRE DE ROCHEFORT FRENESIE

de M. Ch. de Peyret-Chappuis Frénésie est la première pièce d'un jeune auteur, M. Ch. de Pegret-Cliappuis (il a à peine vingt-six ans). Dès le premier acte, on sentait qu'on se trouvait en présence d'un tempérament; au deuxième, vite on se rendait compte qu'on assistait à une révélation. Frénésie est une pièce amère et torturante. L'action se passe en province, dans une maison habitée par deux vieilles filles et leur mère; dans une atmosphère de refoulement, de vie gâchée. Sous le mênie toit habite un jeune couple. La jeune femme s'en va et le drame commencé. L'amour qui depuis toujours torturait secrètement une des vieilles filles elle n'est pas si vieille, elle n'a que quarante ans, elle est encore désirable se communique à l'homme abandonné. Cet amour, dans un pareil milieu, devient un amour frénétique. M. Ch. de Peuret-Cl1appuis en a exprimé les feux dévorants avec une passion, une sauvagerie affreuse et magnifique qui enthousiasma la salle.

Germaine Dermoz, qui jouait le rôle de l'amoureuse, a été admirable. Mimi Barthe, Jeanne Lion, toute la troupe, ont eu leur part du succès. A. W.

~t~~s~t~s~

Bureau de Paris 2, rue Chauchat.

of*O*.P

Il PAQUES *en DALMATIE et en GRECE il

¡ 1 Pour tous renseignements, s'adresser au Comité de Propagande Française à l'étranger et au Cercle Universitaire, 112, boulevard Haussmann, tél. Europe 34-15 et 16.

en gare de Saint-Laud, d'une agression à main armée où il fut gravement blessé.* Deux de ses agresseurs purent être arrêtés quelques instants plus tard, et l'un d'eux, personnage louche de la pègre internationale, nommé Rozenblun, fut appréhendé grâce au chauffeur Legras. Si Rozenblun est actuellement en prison, l'agression à laquelle il participa fut conduite par plusieurs individus. Est-ce l'un de ceux-ci qui a supprimé le chauffeur Legras ?

Le signalement de l'individu qui fut vu parlant au chauffeur a été envoyé dans toutes les directions.

L'ENQUETE SUR LE C.S.A.R. Confrontation de Bouvyer et Puireux

Domfront, 2 février. Le juge d'instruction a entendu Bouvyer celui-ci a déclaré qu'il était totalement étranger aux attentats dç l'Etoile et à l'affaire Navachine.

Ensuite eut lieu la confrontation de Bouvyer et de Puireux.

Bouvyer dit qu'il n'avait pas reconnu Puireux à Bagnoles. Il" avait dit le contraire à l'inspecteur Bascou et au juge, parce que les inspecteurs lui avaient suggéré des noms.

Robert Puireux soutint qu'il était étranger au crime de Bagnoles.

Pourquoi la bonne de Méténier se rendit à Clermont-Ferrand Dans le cabinet du juge Barrué, hier, MM. Vauclard, Vogel, Locuty et Mlle Andrée Baugier, bonne de Méténier, ont été confrontés. Ils se sont expliqués sur le voyage de la bonne à Clermont-Ferrand, le 18 septembre.

M. Vogcl affirme que Mlle Baugier le pria de conseiller la discrétion à Lo* cuty. II chargea de cette mission Vauclard qui lui transmit la consigne. M. Vogel ajoute que la bonne lui remit un paquet de cartouches et d'insignes, Méténier craignant une perquisition il enterra les cartouches dans son jardin et chargea l'ingénieur Montanet de brûler les insignes.

Mlle Baugier continue cependant d'affirmer qu'elle n'a nullement rencontré Vogel et n'a été chargée d'aucune commission pour lui.

Un événement littéraire: Dans tous les pays du monde paraît «MAGELLAN» l'œuvre la plus vivante, la plus colorée, la plus pittoresque de

STEFAN ZWEIG Ce récit, qui vous fera faire le tour du monde, qui vous fera revivre une des plus grandioses épopées des temps modernes, parait, à partir d'aũ jourd'hui dans

CANDIDE v L'hebdomadaire de l'élite.

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A NOS ABONNES

Pour éviter toute interruption dans leur service, nous prions ceux de nos abonnés dont labonnement se termine le 15 de ce viois de bien vouloir ne pas attendre le dernier jour pour nous adresser le montant du renouvellement.

La date d'échéance est indiquée sur la bande d'ezwoi.

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Ce n'était pas un code secret!! En procédant à l'examen de documents saisis, les policiers avaient été frappés de voir revenir constamment sur certaines fiches les initiales M. Y. L. N., suivies d'un numéro. Une enquête approfondie a démontré qu'il ne s'agissait pas là de signes conventionnels destinés à une correspondance clandestine, mais simplement de numéros de dixièmes Mutilés des Yeux, de la Loterie Nationale émis au profit des « Yeux qui s'éteignent x. Exigez partout ces dixièmes. C'est votre intérêt.

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AU QUAI D'ORSAY

M. Yvon Delbos, ministre des affaires étrangères, a reçu, hier après-midi, le comte von Welczcck, ambassadeur d'Allemagne à Paris.

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STUDIOS. Par JEANNE BOITEL

Mise en route des rouages. Le projecteur ne crache plus, l'angle:de prises de vues semble satisfaisant, le maquilleur a fixé, le sourcil froncé, son dernier grain de poudre sur un visage. Le texte est su, on va répéter on répète, on tourné et, peu à peu, les pignons engrènent' chacun s'occupe de ce qui le concerne et aussi un peu de 'ce qui ne le, regarde pas l'électricien, maintenant, s'intéresse de surcroît au joint d!un meuble; le maquilleur à la'marche de l'appareil, l'acteur à un pli de rideau, le machiniste au jeu de l'acteur, le metteur en scène A toutes choses.

A telle pointe difficile ou /Importante du travail, toutes les forces sont tendues chacun veut que ce soit 't c bien », et une impression se dégage, réconfortante i celle que ce, métier est encore et tout de même un de ceux où il y a place pour quelque .joie puisée dans le travail.

Est-ce que je me trompe, mais il me semble qu'il, n'y en a; plus tant ? J'aime aussi que les vertus nécessaires discipline, endurance, notamment, ne s'y durcissent pas jusqu'à dessécher les sources fraîches de la liberté d'esprit.

J'ai entendu raconter, à- un acteur qui a connu Paul Mounet, que ce vieux maître disait un jour à un élève « Fais ce que tu veux dans la vie, petit, fais du théâtre ou vends des haricots, mais vends-les c avec passion ». ̃̃'•̃̃••̃

C'est magnifique 1

Cet état d'esprit-' demeure parfois j dans le climat du travail de cinéma. Quand cela se trouve, cela fait rudement plaisir la journée est bonne Ainsi, pensais-je, en attendant mon tour d'entrer en scène dans, Ceux de demain, en guettant le jeu de Ninon Vallin que.j'apercevais entre les larges épaules d'un électricien et la chevelure d'un opérateur penché à son oculaire.

Jeanne Boitèl.

r^&^&F^r^V ^F^»

FILMS RECOMMANDES Exclusivités PATHE

MARIGNAN

ORAGE

VICTOR HUGO

ABUS de CONFIANCE NORMANDIE

MOLLENARD

"THÉÂTRES'

v XESDATES RETEI^UiE©

Samedi 5 ̃

ij| p (• minuit .Gala Goupil.

CET APRES-MIDI

COMEDIE-FRANÇAISE (Rich. 22-70), à li h. 30 Le SIcntcar (SLM. André Brunot, Pierre Bertin, Chaïubreujl, Jean MartinelU; Mines Marie Bell, Jeanne Sully, Casadesus). Vanétats tel qu'on le parle (MM. Lodoux, Donval, tchounn; ̃'Mines Ilence Faûre, Nadine Maraiano, etc.).

ODEON (Daut. 58-13), à H h. 30 David Copperfield (Même distribution qu'en soirée)- »,. T

ODEON-POPULAJRE (Salle Pleyel), à 14 h. L Avare, Le Dépit amoureux.

ANTOINE, à 15 heures Le Misanthrope.

PETIT-MONDE (Gaîté-Lyr.), à 14 h. 30 Le Pays. de Cocagne. PETIT-MONDE (Salle d'Wna), a 14 h. 30 Le Petit Poucet. ONCLE-SEBASTIEN, ù 15 h.: Lududu empereur de la Lune. .Même spectacle qu'en soirée ̃ ,<-̃̃

Ambassadeurs. 15 h.; Châtelet, 14 h. 30; Palais-Royal, lo-h.; Porte-Saint-Martin, 14 h. 45.

CC SOIR

OPERA (Opéra 59^59), relâche. Demain Le Valsaean fan-

tôme.

COMBDIE-FRANÇA1SE (Bioh. 22-70), à 20 h. 45: La Robe rouge (MM. Alexandre, Hervé, Pierre Bertin, Donneaud, Clariond, Dehucourt Mmes Berthe Bovy, Mary Marquet, Catherine Fonteaiey, Marcelle Gobarre, etc.).

Demain Madame Sans-Gêne.

OPERA-COMIQUE (Ridi. 72-00), à 20 h. 45 Le Pauvre Matelot (Mme Roliand: MM. Ptijol, Morot. Musy). Esther de Carpentras (Xlmes Giily, Dronot: MM. Vergnes, Arnoult, pujol, Balbon, Guénot, Hérent, Poujals). Suite provençale, (Mlles Byzanti, Juanina, M. C. Tcherkas). Orch. M. Roger Desormièré. Demain relâche.

ODEON (Dant. 58-13), à 20 h. 45: David Copperfield (MM, Cusin, Amiot, Bourdcl. Chamarat, Hoger-Weber Mmes Mounet, Delaur, Uurs,- Dolille). Domain Soirée privée. ARTS iWag S6-03), a ÏU n. 45 Sixième étage (Mmes Andrée Servilanses, Laure Diana: Claire Gérard, Claude Anny; MM. Henri Gui sol. Maurice Dorléac Arthur Devère, André

Moreau l

ATHENEE (Opéra 82-23), à 21 h; 10:: Knock (MM. Louis Jouvet, R. Bouquet, Castel, J. Barrot, R. Bogar; Mmes Raymone, Odette Talazac, 51. Bérabot, Solange Sicart).

WMNASE (Pro. 15-15), a 21, n. Le Cap rf«s Tempêtes pièce

en 5 actes, de M. Henry Bernstein. (Victor Francen, Jeanine

Crispin, Claude Dauphin, Jean Wall, Lucy Léger, Hélène l Gerber, Georges Pally et Betty-Daussmond). Matinées samedis et dimanches.

mm coupes POUR LE CINEMA

Le groupe sénatorial du;cincnia «-désigné, une commission chargée d'élaborer le' règlement d'un vaste concours qui comportera l'attribution de la Coupe Mondiale, la Coupe européenne et la Coupe Française du Cinéma..

AuPARÂMOUNT

AUJOURD'HUI

JULES BERRY

DANIELE PAROLA

ALERME GHARPIN dans

un film ensoleillé

8ALTHAZAR

̃ avec

ROBERT ARNOUX f et DANY LORYS

avec

DELMONT

et LUCAS -GRÏDOUX Mise en scène

de Pierre COLOMBIER Production Héraut Ftlm

MADELEINE (An j. 07-09), 21 h. Quadrille, dqmêdle de -M.

Sacha Guitry.

MICHElf (Anj. 35 02), à 21 h. Le Flirt ambulant. (M, Alerme, I Mlle Mireille Perrey, MM.t' Oudard, Ed. Roze, Pasguali, Mlle Jane Marken et M. Gabaroche).

M1CHODIERE (Hicn 95-23). a 21 b, Les Vigne» dn Seigneur (MM. Victor Toucher, Darzal, Henry Bonvollet, Christian i Gérard; Mmes Germaine Charley, Suzanne Henry, Simone i ReDant). < MONTPARNASSE (Gaston Baty). (Dant. 89-90), à 21 heures ( Madame Capet (Mme Marguerite Jamoisj MM. Georges i Vitray, Lucien Nat, Henri Beaulieu, Holla Norman; Mlles ] Suzanne Demars, Jeanne Pérez. lonnle Dubois).. AMBASSADEURS (AnJ. 97-60), 21 h. 15 Pacifique (Al. Cocéa). ANTOINE, 21 h. Sapho. i

ATELIER, 21 lu: Plotus. I BOUF.-PAR., 21 h.: Trois Valses (R. Pans, :R..<le Boncour-). 1 CAPUCINES. 21 h La Nuit do 1.. I CHARLES-DE-ROCHEFORT. 21 h. Frénésie. ] CUATELET, a 20 h. 30 Mélodie tzigane.

DAUNOU (7. rue Uaunoui, 21 h. haleur du Sein. PEJAS6ET, 20 h. 45 Jules, eooehe-toi!

DEUX-MASQUES, relâche.

EMPIRE, à 20 h 45 La Fessée. ( KTOILE, 21 h., rép. gén. Le Monde à l'envers. K GA1TE-LYRIQUE, 8 h. 40 Les Mousquetaires, an Couvent. ( GRAND-GUIGNOL, 21 h. La Tour d'Amour, Fauteuil Véritas. HliMOUR, 21 h La Chrysalide. ( MATHURINS-PITOEFF, 21 h. La Sauvage.

NOUVEAUTES, 21 h. 10 Le Train pour Venise. (f;UVRE, 21 h.: Les Indifférents. 1

PALAIS-ROYAL, 21 h. Bizons-lcs-Dames (C. Delyne). i PORTE-SAINT-MARTIN. 20 h. 45 r La Mareoton du bataillon. RENAISSANCE, 21 h. V'Ià l'Travail! 1 SAINT-GEORGES, relâche. i rHKATKIi DE PARIS. 21 h. La Chance. VARIETES, 20 h. 45 la Revne de Dorin et Rlint-Granier VIEUX-COLOMBIER, relâche.

MUSICMilJLJLS CIRQUES

:•̃•• ^ET *PRM-«IOI •- ̃: v ̃̃ ̃Mémo .>j)i.ctacle qu'en soirée î A, B. C, 15 h.; Alcatar, <15 h.; Canine de Parie, 15 h,; laoU, h.; Mwir.n», H h. Vf. Monador, 14 h. 4?,

CE MATIS. ̃ f, Mu Pm-amouni. à 9 h. 30, première i représentation publique- de Balihazar, film t de Pierre Colombier. A Au Marignan, à 10 heures, présenta- d tion corporative de Le Monsieur de cinq heures, film de Pierre Caron. c

CE SOIR g

'♦ Au Club Cillcgruphiquc S2 (Salle F. n J:F.>, à 21 heures, projection de Tliêodora r devient folle.. d ,.Au Palais d'Orsay, fêla annutlle\ de i J' Amicale des représentante de films (banquet suivi d'un bald'c nuit). ̃ I MM. Abcl Hcrmant et Maurice Martin j d du Gard viennent. d'achever un scénario sur La comtesse de Castiglione. Le film, qui serait le premier d'une.scrie n dont les deux éminerits écrivains écrivent d les scenarii entrerait en. voie de1 réalisa- w tion prochainement. <j André Berthomieir va sans doute por- À ter bientôt Volponc à l'écran. 0 ♦̃ Nous verrons prochainement Rebecca, e le dernier film de Shirley Temple. :e

<»- -r

PWRLA MAISON ̃• S DE RETRAITES DU CINEMA j

̃̃ i

On sait que, chaque année, l'œuvre de la maison de retraites d'Orly orga- < nise une vaste loterie dont les billets sont vendus dans la plupart des salles de France. Les fonds ainsi obtenus constituent la grosse part du budget nécessaire à cette fondation.

JIM. F. Morel et R. Lussiez, président 1 et vice-pi'ésident de l'çeuvré, ̃ viennent J de lancer auprès de tous les exploitants j r un pressant appel pour que,, cette année, la vente soit particulièrement intensi- n

fiée.

Cependant, pour être concluant, cet appel ne doit pas être seulement entendu ° par les directeurs de salles, mais aussi i par les spectateurs, et c'est pourquoi le t Figaro tient à s'en faire l'écho. «

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~à~1~i50I~1~d~~S

.}.o:t)lP.tj 4 1 DIE."

Par FKAMCIS CABCO

de l'Académie Goncourt

Puisque le film, incontestablement, constitue pour la Propagande un allié précieux, il serait temps de prendre garde au peu d'enthou- i siàsine que soulevé notre produc- i tion à l'étranger. Un film français ? < Personne n'y va 1 ` 1 Je sais très" Bien que, jusqu'ici, noua ne pouvions. guère soutenir la lutte avec l'Amérique, l'Allemagne ou l'Angleterre, mais, depuis ces dernières années, Jean Renoir, Du- vivier, René Clair (pour 'ne citer que ces trois noms) ont f ait la prèu- ve qui si « le Français n'a pas la .tête épique ̃ », il possède d'excel- lents metteurs en scène.

/wzMS6W9^&Mï^f^%eM%iJM7mz&GmwMïï?w'/jr7m 'Mr->m' m? *$7m7/m«M*'jr < s *̃̃*«/ ~,m*«– CI E MA

A gauche: Lise Delà mare, en MarieAntoinette, et, au-dessous, Pierre Renoir, en Louis XVI, dans «La Marseillaise », le dernier film de Jean Renoir, avec lequel sera inauguré bientôt le nouvel Olympia. A. droite, ci-contre: Simone Simon dans « Yvette Yvette », que nous verrons prochainement au Balzac au-dessous Grâce Moore dans Kidnappez-moi, monsieur » qui passe depuis, hier à l'Avenue.

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~ouVE~~x

AU NORMANDIE

M011ENARD

L'œuvre de'Gilber.t est, cihcmàtogruphiquement, à la mode et- se révè-le écrite polir l'écran, Après Les Pirates lu rail, upîci.Molleriard, dont. l'intrigue, plus âpre encore, s'achève aussi tragiquement qu'elle commença. Pour en ac- j <:entuer encore le caractère désespéré;, 1 [Siodmalc ,s'est interdit de ppier sur aur 1 ^une image le moindre rayon de soleils aux brouillards de Dunkerque succèdent les brames de Shanghaï et celles aussi qui épaississent, autour d'jw, bâtiment $ eh. détresse, l'atmosphère de. catastro- f plie. Enfin, lt' clair-obsçùr règne' sur les, intérieurs, qu'il s'agisse du siège' de Id compagnie fluviale, d'un tripot asiatique ou du logis bourgeois, fief de la despotique Mme Mollenard.

Barrg Saur incarne un forban ,au coup de revolver prompt, a la "conscience élastique, mais au cœur vaste s'il condamne l'esprit borné des siens,; il chérit d'une' tendresse égale'les marins 'de son équipage et: l'a mer. Privé de l'une et des autres, prisonnier dont la paralysie rive' définitivement les chaînés,- il choisit d'aller mourir ait large, loin de tout ce qui l'étouffé. Le dos r'ond,il'œil vif, le geste rapide -autant que la répartie, Harrg Baur tire le maximum d'effets d'un rôle émouvant, d'un texte souvent cru. Gabrielle Dorziat sacrifie courageusement son ̃ élégance habituelle pour jouer la sèche Mme Mallenard, victime, et', bourreau. d'un' époux qui n'est point lait pour elle, et Robert Lynçn est le fils timide et balbutiant lui ne peut prétendre .à rapprocher des âmes aussi distantes. Ce film plaira aux amateurs d'épisodes violentsf- d'aventures louches d'où le rêve n'est;'point exclu. Son montage, ses images, son ^déroulement rapide font honneur à la production française, en bonne voie de relèvement

Jean Laury,

« KIDNAPPEZ-MOI, MONSIEUR » a obtenu hier. un énorme succès Grande coline, hier noir, au cinéma de l'Avenue, pour assister a la « prendre » du nouveau film de Grnce Moore, KIDNAPPEZ-MOI, MONSIEUR.

Des échos d'Amérique nous. avaient appris que c'était son meilleur film,; et les apectateurs, par leurs nombreux an-, plaudissements, on* confirmé ce senti- ment.

KIDNAPPEZ-MOI, MONSIEUR est bien le film le plu. drôle, le pli» comique, le pin» agréable que lu grande chanteuse américaine ait jamais tourné.

̃̃•̃ -os 'soir -̃̃̃ FOLIES-BERGERE (Prov. 9S-49) 20 h. 4i Folie en Fleurs revue à grand spectacle; en 2 actes et 50 tsbleaux, de M. Maurice Hermite, production Paul Derval (Ri ta Georg' et Damia).

A. B. C, 31 heures: La Revua.de la Jeie (Koël-Xoêl). ALCAZAR, 21 h.: Boso de Marseille (Andrée Tuicy). CASINO DE PARIP, 21 h. Féerie de Paris (Mistinguett). COUCOU, 21 h. Les Coucoulards sont lil

DEUX-ANES. 21 h, R. Dorin. Revue de R. Lefévre et P. Dac. DIX.HEURES, 22 h. Madame Sans-Haine.

ISOLA. 21 h. Musty, Lucile et Robertson, princesse Tlnazade. LUNE-ROUSSE. 21 h. Un» de la Lune.

MEDRANO, 21 h. On a enlevé la fenune à barbe. MOGADOR, 20 h. 45 Féerie blanche.

NOCTAMBULES, 21 h.: Durera-t-on?

PERCHOIR, 21 fa. An fi! de. heure».

CABiiREl^ DANCINGS CABARET DE MONSEIGNEUR Dancing, Soupm, Attractions. CHEZ RAY VENTURA i Raphaël Médina, les S Bonos. CHEZ BARTORI (Au Patio du Florian, 74, Champs-Elysées) s an thé Fred Addison. Dînera et soupers dansants. CHIQUITO Dancing sam. et dim. Bar ouvert tous les jours. COUPOLE (bd Montparnasse) Thé et soir. danciug. UDO s Thés, dancing, soupers, attractions.-

MONTE-CRISTO, 8. rue Fromentin Cl ri 42-S1) Cabaret-danc POULAILLER (place du Tertre), 22 h.: Revue, attract., sketch. RODOLPHE (13, rue d'Artois) Brancato, Poupart, Meurisse. SHEHERAZADE Nadia, Mlrova, Paquita, Atheaa. TABARLN La Joie de vivre. Attractions.

VIE rARISIENNE Suzj Solidor. Henri Bry. G^A- Martin.

̃'̃ CiîiEilâS;-

Films partant' français.

AGRICULTEURS é> 15-19 h. S.. 21 h. ï+ Mort do Cyi»c. ADBERT s Mh tt i lu Firatta •« rail.

Or, me-trouvant au Caire en mai 1937, je .crus bon d'assister à la présentation d'une œuvre qui velait à peine de « sortir à Paris et jui, pour des raisons assez inexpli:ables à première vue, était projetée en Egypte. Une trentaine de nos compatriotes avaient bravement payé leurs places pour empêcher que la salle ne fût vide. Malheureusement, il s'agissait de Trois, Six, Neu f, alors que la Bandera provôquail, dans les milieux cinématographiques, une manière d'événement. Je m'informai auprès de l'exploitant de la raison qui l'avait incité à faire un pareil choix.

Ah dit-il, la Bandera. Oui.

JBONAPARTE 15 h., 21 "h. J'accuse.

CINE-OPERA 15-19 h. S., 21 h. 15 La Mort du Cygne. CESAR ♦ 14 h. a Ji. du m. Claudine à l'école. CINE L'AUTO De 10 à 24 h. Les Vignes du Seigneur. COLISEE t 14 h. à 1 h. du matiii Le Puritain. DEMOURS 14 h. -15, 20 h. 45 Mensonge de Nina Petrorna. ELYSEES-CINEMA + 14 h. à 24 h. L'Habit vert. ERMITAGE 4 11 h. 30 à 1 h. du matin J'accuse. GÀUMONT De 15 à 1 h. Ces Dames aux chapeaux verts. IMPERIAL lt h. à 1 h. L'Habit vert.

LUTETIA 4 14-19 h. S., 20 30 Abus de confiance. MADELEINE 12 h. :'i 1 h. du m. Nuits de Princes. MAIL.-PAL. 14-24 h. Forfaiture, Panique d. 1. jungle. MARIGNAN 14 h. i 23 h. 55 Orage.

MARIGNY 4 14-19 h. S., 21 h. M. Bégonia, L'Enfer blanc. MARIVAUX ♦ 10 h. à 2 h. du matin Quadrille. MOZART 14 h.-20 h. 45 Mensonge- de Nina Petrovna. MOULIN-R. 14 h. 30 à 19 h. S., 21 h. Etes-vous jalouse? NORMANDIE 14 h. à 19- h. 30. S. 20 h. 45 Mollenard. OLYMPIA relâche.

FARAMOUNT 9 h. 30-2 h. d. m. Balthazar. PEREIRE 14 h. 30, 20 h. 45 L'Habit vert.

PIGALLE 14 45-20 45, 21 h. J'accuse.

REX De 12 h. à 2 h. du matin Aloha, le chant des iles. ROYAL-PAS. 14 30-19 h. S., 21 h. Dame de Malacca. SCALA De 12 à 2 h. du matin Maman Colibri. YICT.-HUGO 14 h.-19 h. S., 20 45 Abus de confiance. Films parlant anglais.

APOLLO 14 li. à 2 II. Voie! l'escadre. Journée de print. AVENUE 14 h. à 1 lu du m. Kidnappez-moi, monsieur BALZAC 4 14-24 h. J'ai deux maris. Serment de Mr Moto. BIARRITZ 14 h. à 23 h. 25 Rue sans issue. CAMEO 14 h.. minuit Deanna et ses boys. COURCELLES 14 30, 17 h. S., 21 h. Deanna et ses boy». EDOUARD-VII 14 h .-23 30 L'Héritière vag., Liberté prov. HELDER De 12 h. à 2 h. d. m.: Demoiselle en détresse. MARBEUF 14 h. 30-19 h. S.; 21 h. La Forci des ténèbres. MAX-LINDER De 10 h. à 2 h. du matin 1 Après. MIR.-LORD BYRON 14 h. à 23 h. 10 Cette sacrée vérité.. PAGODE 14 h. 30 i 19 h. 30. S. 21 h.: Deanna et ses boys. PANTHEON De 14 h. à minuit Ange. Double enquête. PARIS 14 h. 30 à 1 h. m.: Laurel et Hardy au Far-West. ST-DIDIER 11 à 24 h. Quitte. ou double, Voix (fui accuse. STUDIO ïi 15 b., 17 h., 21 h. Romance barl«sqn<.

Bien sûr Seulement, c'est trop cher!

Je m'adresse à la Propagande pourquoi ne pas fonder, une caisse qui permettrait d'indemniser de leur « manque à gagner », les producteurs de certains films suscepti.bles de défendre notre prestige à l'étranger ? Cinq ou- six films par an, de la classe dé la Bandera ou 'de la Grande Illusion,, ne coûteraient pas cher à soutenir et je suis

sûr qu ils aideraient très vite le ci-

néma français à jouer pleinement sa chance, en se créant, un «peu par- tout de nouveaux débouchés. Francis Carco.

.r. ~,i. .niri~i2nim,

Films parlant allemand.

CHAMPS-ELYSEES 14 h. 30 â 19 h. S0. S., à 21 h. ». Paramatt». ST. ETOILE :♦ 14 30 à 19 h. S. 21 h. Charme de la Bohêma. Salies d'actualité.

PARISiSOIR (Oli.-Elysées) 10 h.-l h. Nouilles au bluff. Le signe siffnino permanent.

riiEHiË pu amo hm Après 10 h., 12 h. 45, 13 h. 45, 13 h. 40, 17 h. 35, 19 h. 45, 21 h. 30, 23 h. 55. Max-Linder. Balthaiar 9 h. 45, 11 h. 37, 13 h. 29, 15 h. 48, 18 h. 5, 20 Il. 22, 22 h. 22, 22 h. 39. 0 h. 31. Paramount. Cette sacrée vérité 1 14 b. 30. 16 h. 30, 1S b. ou, 21 b. 10, 23 h. 10. Miracle-Lord Byron. Charme de la Bohême 15 h., 17 h., 22 h. Studio de l'Etoile, Ciaudinc à l'école 14 30, 16 45, 19 u., 21 30, 2:, 30. Le César. Demoiselle en détresse 12 h. 10, 14 h. 30, 18 h. 55, 19 h. 20, 21 h. 40, 0 h. 15. Helder. Etes-vous Jalouse 7 14 50, 17 39, 21 20, 24 1. Moulin-Route. l'orces des ténèbrts 15 h. 15, 17 h., 21 h. Marbeuf. Héritière vagabonde.: 15 h. 25, 18 h. 15, 21 h. 5. Edouard- VII. lie du Diable 15 30, 18 10, 20 55, 23 40. Apollo. .J'accuse 15 h. 15, 21 h. 15..Bonaparte J accuse 15 h. 15, 21 h. 15. Ermitage. J'accuse 14 h. 30, 20 h. 45. Pigalle. J'ai deux maris 15 h., 17 h. 30, 20 h. 25, 23 h. 11. Balzac. Journée de printemps 15 15, 18 5, 20 55, 23 45. Apollo. Kidnappez-moi, monsieur 14 h. 40. 1C h. 50, 19 h., 21 h. 15, 23,h. 15. Avenue, La Mort du Cygne 15 h. 30, 21 h. 45. Agriculteurs. La Mort du Cygne 14 10, 16 15, 18 20, 21 45. Ciné-Opéra. Laure! et Hardy au Far-West 15 h. 25, 17 h. 30, 19 h. 30, 21 h. 35, 23 h. 10. Le Paris, Liberté proTisoire 14 il.. 16 46, 19 17, 21 55. Edouard-Vil. Mullenard 15 h. 45, 11 li. 55, 21 h. 15, 23 h. 25. Normandie. Nuits de Princes 12 42, 14 56, 17 10, 19 21, 21 38, 23 52 Madeleine.

Oiaee :14u,35, lli h. 45, 18 h. 05, 21 h. 5, 23 h. 15 ftiarigiian. Paramatt» lu h.. 17 h., 21 h. Champs-Elysées. Pirates du Rail 12 h. 43, 14 h. 53, 1S h. 53, 18 b. 53. 21 h. 3, 22 h. 53. Anbert. Quadrille: 10 h., 12 10, 14 25, 16 40, 19 h., 21 h., 23 45. Marivans Quitte ou double 14 50, 17 15, 19 45, 22 15. Saint-Didier. Romance burlesque 15 h., 17 h., 22 h. 15. Studio-28, Hue sans issue 14 45, 16 50, h.. 21 1», 23 10. Biarritz Serment de M' Moto M h., 16 46, 19 17, 2- SS. Balïac. Voici l'escadre 14 b., 16 50. 19 35, 22 25. 1 h. 15. Apollo. Vois nui icco» U 15, lfi 52, 19 35, 22 32. Saint-Uidif r.

Confidences Par HENRI CHOMETTE

ininpk eut-être vous souvient-il que. l'an

dernier, Sacha Guitry invita une

centaine de Parisiens à bord cta

lllllir Normandie. Les bristols préci-

saient une seule condition 7 la te*

nue de soirée pour le repas de midi. Il s'agissait, en effet. de déjeuner mais en faisant semblant de diner, pour les besoins d'un grand film. »; ̃' J'étais chômeur. '̃•Il y a, en France, des possibilités dé travail pour une centaine de metteurs en scène, au grand maximum. Mais les gouvernements français se font un devoir d'attirer sur leur territoire les chômeurs de l'Europe.' Une étiquette est recommandée celle de réfugié politique, que chacun, d'ailleurs, peut se décerner assez facilement puisque aucun certificat de garantie n'est délivré par les pays d'origine. Ainsi, des gens de Prague, de Vienne ou de Budapest peuvent s'imposer à notre traditionnelle hospitalité sous prétexte que tels de leurs cousins ont éprouvé des ennuis dans d'autres pays. Et par une coïncidence étrange, de nombreux « réfugiés ». en quête d'une profession parisienne, se sont découvert un irrésistible penchant pour le métier de metteur en scène français. Donc, étant en chômage, je mis un smoking dans une valise, et rejoignis la gare Saint-Lazare. Dans la micheline qui. à cent trente.de moyenne, nous menait d'Ile-de-France en Normandie, je me trouvais à côté de Lisette. Lisette est cette charmante jeune star que les usa* ges de la publicité m'interdisent de désiEner plus précisément, et dont le nom offre des analogies frappantes avec celui d'un de nos plus grands couturiers. Lisette me dit

Je joue un rôle dans le film. et je ne dois pas paraître dans cette scène de la salle à manger. Alors je resterai,en tailleur, .un peu à l'écart.

Bravo, répondis-je. Je vous tiendrai compagnie. Je ne tiens pas absolument à déjeuner sous les projecteurs.

Dans la belle salle de Normandie, et parmi le brouhaha du dessert, deux jeunes hommes vinrent saluer Lisette, qui me présenta. Monsieur, me dit l'un d'eux, ".J£ voudrais que vous veniez nous voir. à Paris. Sur la foi de racontars dont j'ai reconnu la fantaisie, je vous ai fait involontairement tort dans une affaire r.ecente. J'aimerais vous offrir une compensation.

J'écris cela parce que cela fut dit ainsi.

Quelques jours plus tard, dans un bureau des Champs-Elysées, je disais à mon tour

Monsieur, j'ignore ce qui sortira de cet entretien. Mais il est une chose que j'oublierai difficilement: c'est la loyauté dont vous faites preuve, et dort on .«'• peut pas dire qu'elle soit une règle absolue dans les milieux de la production cinématographique.

Ce oui sortit de l'entretien, ce fut ,la proposition de réaliser un film avec Suzy Prim et André Luguet.

Compte tenu des possibilités financières, nous tombâmes d'accord, le surlendemain, sur le sujet d'une comédie en trois actes d'Alexandre Bisson. Jalouse, créée en 1897 sur la scène du Vaudeville C'était une époque aimable, où les soucis généraux n'offraient que de légers rapports avec ceux d'aujourd'hui, le» débats politiques étaient plus bruvant1* que néfastes, où ils n'entamaient lias la joie de vivre, où l'on n'imaginait pas ` que les mouvements du change pussent en quelques jours bouleverser la vie des Français. En ces temps paisibles, les gens avaient le loisir d'attacher une extrême importance à leur état d'âme et à leurs comnlications sentimentales, petites et grandes. ̃ C'est pourquoi Jalouse fnt un succès li là fin du siècle dernier. Et c'est aussi pourquoi mes collaborateurs et moi avons d'abord pensé à renlacer les personnages du film dans cette époque. Puis. nous nous sommes décidés potff ;r 1937 et Jalouse, d'Alexandre Bisson -~rqui connaissait joliment son métier ïengendra Etes-vous jalouse ?

En Amérique, en Allemagne, un film s'effectue généralement nous le signe de l'aisance financière et dp l'organisation industrielle. En Franco, le film est, assez fréquemment, une aventure. htesvous jalouse ? fut une aimable aventure ̃ aue les événements faillirent assombrir. Au dernier moment, sous la pression de fluctuations financières, on envisagea de me faire exécuter le film en queloues jours. selon la méthode « théftti-p -photographié », à l'éeard de laquelle j'éprouve une certaine défiance. On transisea. T'obtins vingt journées de huit heures pour le studio. Et trois d'extérieur. Le studio qui me fut désigne est l'un des plus vénérables, sinon le plus vénérable d'Europe. Sa poussière est réputée. Il fut silencieux, mais sans excès, et laissait filtrer avec indulgence les onelciues bruits du voisinage. Cela ne facilita pas la rapidité du travail, et surprend quelque peu lorsqu'on a, comme moi, séjourné dans les modernes studios berlinois. Pour comble d'aisance, ses chefs de service étaient en vacances, et la canicula s'abat.tit sur nous; il n'est pas toujours réjouissant de jouer ou de faire jouer la comédie dans une ntuve. Quant aux trois jours d'extérieur, ils furent caractérisés par l'arrivée massive de nuages qui nous protégèrent du soleil, ce qui. comme chacun sait, facilite considérablement la tâche des nameramen.

Je dis cela parce que, en fin de compte. le film naquit du dévouement de chacun techniciens, comédiens, ouvriers. C'est une chose dont le spectateur ne peut guère se rendre compte la réalisation d'un film réclame et suscite beaucoup de dévouements.

Henri Chomettc


H-THEITRE

Il paraît que. « Plutus à Paris en 1873 Sait-on que ce n'est pas la première fois que le Plutus d'Aristophane a inspire une comédie à un auteur contemporain ? Mlle Jolivet a eu des prédécesseurs, et, ce qu'il y a de plus curieux, c'est que l'un d'eux n'était autre que ce brillant chroniqueur qui s'appelait, lui aussi, Jollivet mais avec deux 1. En 1873, en effet, le théâtre du Vaudeville représentait un Plutus en vers et en deux actes, de Gaston Jollivet et Albert Milhaud, tous deux collaborateurs du Figaro. Ce Plutus avait parmi ses interprètes Mlle Bartet, dont ce furent les débuts au théâtre. Cette ingénue de dixhuit ans sortait du Conservatoire personne ne la connaissait. Sa grâce et son charme, sa remarquable diction avaient attiré l'attention des auteurs de Plutus.

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FEUILLETON DU 3 FEVRIER 1938

CHRONIQUE MUSICALE ,> Variations sur

=*- «DON JUAN»

t (Suite)

Dans l'air que chante Don Juan après avoir revêtu ses habits de fête, M. Fritz Zweig a trouvé une occasion propice à son goût pour les mouvements rapides, car ce morceau, qu'on appelle en Allemagne l'air du champagne (bien qu'il ne soit pas question de ce vin dans le texte original), est, en général, -chanté si vite qu'il n'y a pas de raison pour ne pas le chanter plus vite encore Mozart a mis comme indication de mouvement presto. Mais il n'existe pas de terme pour indiquer le mouvement de folie dans lequel on a fini par le chanter en Allemagne. En le prenant beaucoup moins vite, on serait encore dans un presto des plus animés (puisqu'il équivaudrait au « tempo » du pre- mier morceau de la Symphonie en ut mineur de Beethoven). Je me permets de penser et même de déclarer que c'est le maximum de vitesse qu'on puisse se permettre dans cet air fameux, qui n'aurait certainement pas conquis une célébrité universelle s il eût été, pour la première fois, chanté comme la plupart des mozartistes d'outre-Rhin veulent à présent qu'on le chante, car le public n'aurait pu en percevoir ni le jtiolif ni le rythme. Comme bien l'on pense, cet air, autant et plus que tous les morceaux qui composent la parti- j a

CET APRES-MIDI

•+ Au Petit-Monde (Gatlé-Lyrique), d 14 h. 30, première représentation de Le Pays de Cocagne, opérette de MM. André Manprey et Fernand Rouvray, musique de M. Franz Lehar. ̃ CE SOUl

Au Théâtre de l'Etoile, à 21 heures, répétition générale de Le Monde a l'envers, comédie en trois actes de MM. Roger Ferdinand et Jacques Darieux. d'après une nouvelle de M. Georges Dolley.

+ A l'Opéra-Comique, ù 2U h. '15, pre- mière représentation de Esther de Carpentrus, opera-bouffe en ,leur actes de M. A. Lunel, musique de M. Darius Milhaud Le Pauvre Matelot, complainte en trois actes de M. Jean Cocteau, musique de M. Darius Milhaud, et Suite Provençale, ballet réglé par M. Constantin TcherUas, musique de M. Darius Milhaud.

♦ Au Théâtre Charles de RocheforU à 21 heures, première représentation de Frénésie, piére en trois actes de M. Charles de Peyret-Chappuis.

•» Au Théâtre de Dix-Uoures, ù 22 heures, première représentation de Madame Sanslaine, revue de MM. Jean llieux et Georges Merry.

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SOIREES. Ce soir jeudi 3, lundi 7, mardi 8: La Robe rouge vendredi 4, dimanche 6 Madame Sans-Gêne; samedi 5 Aemodée mercredi 9 Either, La Coupe enchantée.

MATINEES. Aujourd'hut jeudi 3 février Le Menteur, L'anglais tel au'on le parlé, dimanche 6: Madame SansGêne.

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CHATELET. Aujourd'hui à 14 h. 30, LE CHANT UU TZIGANE, l'opérette a grand spectacle avec ANDRE BAUGE et FANICA LUCA.

Matinées populaires à prix réduits tous les lundflH» tr. 50 h 23 fr.) avec ANDRE BAUGE et FANICA LUCA.

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PORTE-SAINT-MARTIN. Aujourd'hui à h., matinée populaire à prix réduits, le grand succès de rire ARMAND BERNARD dans « LA 1IIARGO'I'ON DU BATAILLON » avec JACQUELINE FRANCELL. VALERE MAYER et MARIE BIZET (75"). (4 fr. ISO à 23 fr.) Matinées à prix réduits, jeudis et samedis.

THEATRE UE DIX-HEURES (Dir. lloger Perréol). Ce strtr à 10 heures. première à bureaux ouverts du nouveau spectacle, avec i MARTINI (en exclusivlté), PAUL COLLINE et JEAN RIEUX, et de MADAME SANS-HAINE, revue nouvelle de MM. Jean Rieux et Georges Merry. Dimanche prochain, première mntlnée à 15 h. 30. Louejs j 80, bd de Clichy, Téléphone t MON O7-4S.

UJJJW<ftf"JJ'J"'Jf^ff*frt*

PETIT MONDE, aujourd'hui à 14 h. 30, deux matinée» mille lélia, 10, avenue, d'Iéna « LE PETIT POUCET ». GoltéLyrique « LE PAYS DE COCAGNE ». THEATRE DE L'ONCLE SEDASTIEN (pour les enfants sages). Tous les jeudis et ton« les dimanches, à 15 heures, J8 bis, rue Snlnt-Domlnlque. Places de 4 a 15 fr.

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E MONTPARNASSE ̃̃̃& i ADAM El CAPETj GASTON BATY MM

M. Paul DERVAL nous dit Depuis 20 ans, je dirige les FOLIES-BERGERE

Depuis 20 ans, la renommée de cet Elablissement ne cesse de grandir, mais jamais spectacle n'avait encore réuni de tels compliments de la presse, jamais le public c'avait été aussi enthousiaste que pour FOLIE EN FLEURS, la nouvelle revue de Maurice HERMITE

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tion, a donné lieu à d'innombrables c commentaires. Et l'on a fini par se mettre d'accord sur l'état physiologique qu'il traduit. Don Juan, à la tombee du 1 soir et en songeant à la fête qu'il va s donner, cette fête villageoise qu il ima- I aine' propice aux aventures, faciles et « c au cours dé laquelle il compte pour < achever la conquête de Zerline, est en- c vahi d'une fébrilité trépidante qu'in- < diquent les battements incessants des ( seconds violons, des altos et des bas- t ses. S'adressant à Leporello, il dit 1 « Pour leur échauffer la cervelle, fais { «réparer un grand festin. Si ta trou- t ves, de-ci de-îà, d'autres fillettes, tâche ( de les amener. Que le désordre règne i dans la daiise fais danser à la fois des ] menuets, des contredances, des « allemandes ». Pendant ce temps, je m'amu- i serai avec l'une et avec l'autre. Ah! ¡ demain je pourrai ajouter une dizaine d* noms à ma liste » A mesure qu'il parle, son avidité sensuelle augmente i et la ritournelle finale le montre au s comble de l'exaltation morbide, « du brio sexuel », a écrit le critique Ernst Lert. Il paraît incontestable que telle ait été la signification donnée par Mo- zart à cet air, le treizième qu'il composa sur les mêmes paroles, pour com- plaire au jeune Bassi, créateur du rôle de Don Juan, qui déclarait sans cesse n'être pas encore satisfait. Combien il ssrait intéressant de connaître les autres versions et de voir si elles concor- laient par l'intention à celle que la der- nière semble indiquer si fortement 1 Je me rappelle Victor Maurel dans cet air. Bien que déjà sur son déclin vocal, il y était merveilleux, saisissant. Vêtu d'un somptueux costume de satin blanc brodé d'or, ganté de blanc, coiffé d'un vaste chapeau orné de plumes magnifiques, et portant sur le bras une cape aux riches couleurs, il parcourait la scène en chantant, l'œil allumé, les mains mobiles, se penchant parfois confidentiellement vers Leporello avec des regards et des gestes pleins de sous-entendus. Or. il lui eût été impossible d'exprimer tant de choses, d'éveiller tant d'idées et d'images, s'il lui avait fallu faire du cent à 1'heure, harcelé» poussé, f ouaillé par un

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Prix d"Uiesville. Marcus, Monsieur Turqueville.

Prix de Banville. Le Cid II, La Téné- breuse.

Prix de Vcrncuil. Ludon, Le Guide. Prix Harleij. Karoliue, La Madone. Prix de Xevers, Lais, Lélia M.

-R A O ;1 rŒ'wm

On écoutait l'autre soir, sur l'antcn- ne de Radio-Cité, M. André Saudemonr, qui présentait un vaudeville à succès. A l'entr'actc, il interrogeait l'auteur, les interprètes, remontait à leurs débuts. Bavardages, c'est l'évidence, mais bavardages vivants et qui répondent « aux exigences de l'auditeur n. C'est justement ce que nous voudrions pour les eutr'actes de l'Orchestre national il faudrait rendre perceptible à l'auditeur le miracle de l'orchestre. Penset-on y parvenir en lisant de longues notices P.~D. T.

Vendredi 4 février

20 h. 30, RADIO-PARIS Théâtre La' Coma.die-Françatec L'Otage-, pièce en trois actes de Paul Claudel. Présentation par G. Kcuillard. 20 h. 30, PARIS P.T.T. Concert symphonique avec Mlle Chiimct, violoniste Fra Diavolo, oui'. (Auber) Gisèle, suite da ballet (Adam) Poème pour violoa et orchestre (Chausson) Petite suite d'orchestre (Biset) Ouverture pour un conte cai (Emmanuel) Fantaisie pour viclon et orchestre (Gaubert) Musique de scène de Tristan et Iscult (Ladmirault)

20 h. 30, TOUR EIFFEL Musique de chambre avec Mlle Gousseau, pianiste, M. G. Calhelat et le quatuor Calvet Pièces pour, piano Mélodies (Schuman») Amour discret, Dédicace, Anee gardien, Calme reproche pièce pour piano; Mélodies 0 triste Hait mon âme (Bordes) Sérénade italienne (Chausson) Bébé (Chausson), Quatuor (Delannoy),

23 h., RADIO-PARIS Concert de nuit sous la direction de M. Rhené-Baton Shtjonietta pour cordes USiaskowski) L'école des ihatls, suite d'orchestre (Bondeville) Le testament ;dt la' tante Caroline, suite: d'orchestre (Roussel) .{Seconde suite

SymihoMçfu& (ifiZAaKd). ̃:

ORCHESTnC

13 1, 1S NATIONAL ANGLAIS i Orchestre Philharmonique de Birmingham (Purcell, Aireusky, Bach).

15 h. 45, LONDRES REGIONAL Orchestre B. B. C. (Beethoven, Mozart, Brahms). 18 h. 10, MUNICH Concert (Mozart. Verdi, Tchaikowsky, Franckensteln).

19 h., LEIPZIG Concert.

19 h., VARSOVIE Concert «yapbonlque de la Philharmonie.

19 h. 10, HAMBOURG > Concert (Smetana, Tchaikowsky, Lt'stt).

20 h, 15, FRANCFORT I U- fiancés de Mes-

wri.

orchestre qui a pris le mors aux dents. Tout cela dit, quand un tel excès de vitesse est dû à un chef- d'orchestre qui le commet de bonne foi, croyant bien servir Mozart/ comme c'est .le cas- pour M. Fritz Zweig, il est regrettable,, mais excusable. Mais il lie l'est pas quand c'est un chanteur qui l'impose, un chanteur qui veut accomplir un tour de force, une acrobatie, et montrer qu'il peut chanter plus "vite que les autres. C'est ce qui eut lieu jadis à Salzbourg, quand j'eus l'honneur d'y diriger Don Juan et que le baryton d'Andrade, qui se vantait de « chanter l'air du Champagne plus vite que tous les autres barytons du monde », prétendit y faire son « numéro ».

Tout d'abord, Lilli Lehmann, organisatrice de ces belles représentations, avaft pensé à Egenieff, artiste qu'elle appréciait fort, pour le rôle de Don Juan. Mais il n'était pas libre et Lilli m'écrivit pour m'en faire part. Elle ajoutait « Je medemandais qui pourrait chanter Don Giovanni. D'Andrade, qui est à Berlin, le ferait avec plaisir mais encore hésitante, car il n'est plus à la hauteur je viens de recevoir une lettre de Géraldine Farrar m'apprenant que Renaud voudrait bien chanter avec nous et serait prêt à tout. Comme |e ne le connais que par une seule représentation à Londres. jç vous demande si vous croyez que nous puissions le prendre et s'il fera la chose avec conscience. » Puis, de nouvelles circonstances survinrent, et je reçus une seconde lettres de Lilli « Depuis que je vous ai écrit, un autre Don Giovanni entre en jeu Battistini, dont le chef d'orchestre Speltrino m'a dit grand bien. Nous lui avons écrit, mais pas de réponse. J'ai donc écrit à d'Andrade il est un peu maniéré, mais élégant et toujours très bon artiste. J'aurai sa réponse aprèsdemain. » Bientôt après, elle m'écrivait « En peu de mots, beaucoup de désagréments. J'ai entendu d'Andrade et lui ai parlé mais il est Arlequin s'entêtant dans ses vieilles escapades (sic) et ses stupides « chocs de théâtre » (effets). Nous avons parlé du rôle, de la mise en scène il veut tout faire d'après ses vieilles ha.,

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bitudes, des choses impossibles pour le goût d'aujourd'hui, qui est plus naturel, plus simple qu'autrefois. Il insiste pour' avoir dès applaudisseïnents, et me l'a dit très clairement. Comme nous étions seuls et que j'étais très calme, rien n'est encore ar-. rivé. Mais il est terriblement nerveux et je suis sûre que, dans deux ou troisjours, il me faudra lui dire que je ne consens pas à de semblables bêtises; et alors il refusera de chanter. J'ai donc écrit hier à Renaud, puisque Farrar m'a dit qu'il serait content de chanter mais en posant comme condition qu'il' travaillerait avec moi pou la mise en scène. Mais s'il n'accepte pas ou ne peut plus venir ? Connaissez-vous quelqu'un ? Parmi les allemands, personnen'est libre. En tout cas, d'Andrade, avec ses pantalonnades, impossible Il veut, après son duo avec Zerline, que les applaudissements finissent avant qu'Elvire ne l'arrête. Il veut chanter trois fois l'air du Champagne, dans-toutes les langues Il veut, à la dernière scène, un rideau qui se ferme, un rocher brûlant Et il joue le trio du balcon comme un hampelmann (guignol). C'est affreux, impossible dans une représentation telle que je l'ai rêvée.»: Pourtant, ce fut d'Andrade qui chanta. Les pourparlers avec Renaud n'aboutirent point, et Lilli m'écrivit enfin « J'ai fait toutes mes observations à d'Andrade. Chagriné fâché. Mais bonne lettre de lui, disant qu'il ne me manquera pas de parole et qu'il chantera si je ne le prive pas de son individualité. Alors, j'ai 'décidé qu'il chanterait, puisqu'il est annoncé. Il s'accommodera à mes désirs et doit venir faire une ou deux répétitions avant la générale. Je compte sur vous. L'air du champagne plutôt presto que prestissimo Quant à l'autre, enfin, vous l'entendrez. » Je me vois encore assis au piano, avec Lilli Lehmann à côté de moi et d'Andrade debout, allant et venant. Ma première impression fut excellente. Je trouvais qu'il chantait bien la première scène et qu'il disait remarquablement les récitatifs." Le duo 'avec Zerline, il le chantait un peu « pommadé », et l'on sentait qu'il avait envie d'y ajouter

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certaines fioritures dans 'le* goût ita-.i lien; mais, tenu en respect par l'œil sévère de ta grande Lilh, il s'en abstint. Enfin, vint le moment de l'air du Champagne, Malgré ses promesses et malgré le mouvement dans lequel j'avais jpji^ la ritournelle (un presto très caractérisé), il partit à fond de train, comme un-iou. Au bout de quelques mesures, je l'arrêtai. « Vraiment, lui dis-je avec douceur, il faudrait le chanter moins vite. » II se rebiffa « Moins vite ? vous n'y pensez pas, c'est coraine ça que je l'ai toujours chanté, avec les plus grands chefs d'orchestre du monde, avec Hermann Lévi. » Mais Lilli.l'interrompit a Oh vous m'étonnez, car Hermann Lévi, que j'ai connu toute ma vie, était incapable de diriger cet air dans un mouvement pareil » Alors, pris soudain d'une colère fulminante, il se répandit en exclamations indignées « Je n'aurais jamais pensé qu'après avoir chanté. Don Juan avec un succès prodigieux dans tous les pays s et avoir tant de fois fait crouler la salle avec cet air, il me faudrait prendre des leçons et m'entendre traiter comme un débutant, etc., etc. » Je gardai mon calme, et Lilli, qui était devenue très rouge, fit un effort pour se contenir. « Monsieur d'Andrade, lui dis-je enfin, si vous le voulez bien, nous allons continuer et nous reprendrons cette discussion plus tard. Comme vous voudrez !» répondit-il de mauvaise grâce. Et nous allâmes jusqu'au bout. Sitôt la dernière note chantée, il prit son chapeau et alla vers la porte. Là, il se retourna et dit à Lilli, en s'inclinant légèrement « Guten Abend gràdige Frau. » Puis il sortit sans m'adresser la parole. Le lendemain matin, il y eut une scène terrible entre Lilli et lui qu'elle me raconta, encore toute frémissante. Je ne me rappelle plus au juste ce qu'elle lui dit, mais le résultat fut excellent. A là répétition de l'après-midi, il se montra des plus courtois, Quand nous arrivâmes à l'air, objet de tant de discordes, il voulut bien prendre mon mouvement. 11 en fut de même aux répétitions d'ensemble et, en ce qui concerne la mise en scène, il fit tout ce que lui demanda Lilli. A la représenta- i

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tion (où il se montra, je dois le dire, très intéressant, plein d'aisance, de désinvolture impertinente et, dans le finale du premier acte et à la firi de la pièce, vraiment d'une grande allure), il chanta son air moins vite, évidemment, qu'il ne l'aurait voulu, mais plus vite qu aux répétitions. Je lui emboitai le pas, bien entendu, ne pouvant faire autrement et m'estimant fort heureux de concession obtenue.

A l'Opéra, c'est M. Pernet qui emboîte le pas à M. Fritz Zweig et, grâce à son remarquable talent et à son habileté vocale, il se tire à merveille de l'épreuve qui lui est infligée. Quant au trio du balcon, il le chante d'une façon exquise, fort bien secondé, d'ailleurs, par Mlle Hoerner, qui prête sa voix souple et brillante au rôle d'Elvire, et par M. Cabanel. Je ne'suis pas de ceux qui pensent que le rôle de Zerline doive être confié à un soprano léger mais, puisque tel est ici le cas, je ne puis qu'adresser des compliments sincères à Mme Solange Delmas. Mme Germaine Lubin trouve dans le rôle d'Anna l'emploi de toutes ses belles qualités de cantatrice et .d'actrice. Elle y apporte d'un bout à l'autre un sentiment profond et, dans l'air si périlleux du second acte, elle marie avec une rare habileté le pathétique à la technique. C'est une prouesse que bien peu de chanteuses accomplissent avec un tel bonheur. ̃ -< M. Louis Morot est un Masetto excellent il ne se croit pas obligé de jouer ce rôle avec lourdeur. Masetto est un très jeune homme et l'on peut être benêt sans être pataud. Je voudrais que, dans le Commandeur, M. Médus donnât plus libre cours à sa belle voix et lui laissât sa pleine sonorité de basse profonde, qui convient particulièrement à ce personnage sépulcral. v La mise en scène de Don Juan offre bien des problèmes. Nul ne les connaît mieux que M. Jacques Rouché, qui a écrit sur cette questionardue une brochure extrêmement intéressante. Grâce au système de projections de M. Klausz, plusieurs d'entre eux semblent résolu». i ̃̃ Reynaldo Hahn.


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On sait le principe utiliser les innombrables ressources du groupement pour présenter une sélection d'ensembles, illustrant le thème choisi. Celui de 1938 « le Boudoir », semble indiqué, plus que tout autre peut-être, en ce Salon. Tout ici tend à rendre plus aisé le rôle de la ménagère. Mais dans ces inventions la part prépondérante de "l'industrie, impose une formule d'emploi de laquelle on ne peut s'éloigner. Or; voici quë l'on rappelle à la femme la possibilité qu'elle a d'exprimer, dans une pièce intime, la personnalité de son goût. En nos appartements, le boudoir aux dimensions restreintes a facilement sa place c'est en ce sanctuaire que l'on voit triompher lés plus précieux chefs-d'œuvre de l'art ancien dans le décor moderne. Pour la parfaite réalisation de ce « coin » voué au recueillement, la femme peut recourir aux «ombreuses techniques de, l'architecture décorative contemporaine. Elle fera preuve d'esprit et dévoilera ses préférences par l'élection d'un style, le choix de l'ameublement et des objets d'art. Mais c'est dans le détail de l'arrangement, par la, disposition des bibelots, que s'étendra à ce fief le véritable règne féminin, entourant chaque chose d'une enveloppante douceur. Il est impossible, dans les limites de cet article, de décrire tous les trésors artistiques assemblés pour cette démonstration, depuis' la galerie d'honneur parée de tapisseries, jusqu'à l'amusante « Boutique » bourrée d'objets. Aussi bien le commissaire général, M. Willy Rémon, animateur zélé,

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Pour le boudoir voisin,. M. Samy Chalom a puisé son inspiration dans l'art raffiné de l'époque Louis XV et la large baie donnant sur une volière qui éclaire lit de repos, coiffeuse et vitrine de statuettes polychromes, montre l'importance qu'il attache aux jeux de la lumière et des couleurs.

C'est ensuite l'ensemble conçu par Dugrenot qui interprète la mode dans l'art décoratif de la fin du xvni° siècle. La vive clarté provenant d'une terrasse se reflète sur la soie crème des murs et anime l'alcôve du lit de repos, les sièges peints, les meubles en merisier.

La caractéristique collaboration du créateur d'hier et du décorateur d'aujourd'hui éclate, ample et fastueuse, dans le boudoir vénitien de M. Grazia. Décoration murale, meubles ornés, sièges peints, glaces gravées créent, en cette pièce, une atmosphère particulière et troublante que souligne encore, comme il'se doit, un ltistre, en verte teinté, de Venise. ̃̃ ̃' ,f^ Egalement réussi, quoique, très différent, le boudoir d'aujourd'hui dans la tour d'autrefois imaginé: par Mme Yvonne Roy, est d'une conception originale, depuis la tonalité blonde des murs, le vieux dallage de pierres, jusqu'au mobilier d'époque: Louis XIII.

De tout cela émane' une vérité indiscutable l'attrait de la qualité en matière d'objets anciens. Ici, ni copie ni pastiche. Il n'est donc pas téméraire d'affirmer, une fois encore, que les antiquaires décorateurs, en excluant toute imitation, ,maintiennent très haut le prestige du goût français. Paul Hermant.

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POUR CELLES QUI TRAVAILLENT ` ¡ Un nécessaire de beauté transportable

A l'heure actuelle, la femme doit-

être toujours soignée et élé-

A gante, même si elle est retenue en dehors de chez elle par ses

occupations ou si elle est appelée à faire de courtes absences de Paris, sans pour cela partir en voyage. Toutes les femmes qui ne sont ;pas certaines de pouvoir rentrer chez elles, avant d'aller au concert ou dîner en .ville, ne doivent pas se laisser prendre au dépourvu, elles se composeront un. petit coffret de beauté, à leur usage propre, c'est-à-dire contenant les produits qui leur conviennent. Ce coffret, plus ou moins élégant, trouvera sa place dans le tiroir de l'armoire du bureau .où les femmes, qui travaillent laissent leurs affairés personnelles. Pour. celles qui quittent souvent Paris, ce coffret affectera la forme d'un sac à main. V

Dans ce coffret que mettre ?

Ce qu'il faut pour avoir toujours les mains nettes et soignées; ce- qui est nécessaire pour parfaire légèrement un maquillage un ou deux produits pour nettoyer le visage si cela était nécessaire. Polir les mains. ̃̃̃̃-

Un savon de bonne qualité, adouéissant, au beurre de cacao ou à la lanoline, destiné à remplacer le savon liquide en service dans les lavabos des bureaux ou des hôtels, lequel fait passer les mains féminines par une épreuve telle qu'aucune'n'en sort indemne. Une crème, en tube, que l'on passera rapidement sur les mains après chaque lavage. Une petite lime à ongle, en papier émerisé un cureongle en ivoire; un polissoir avec Une pierre pour faire briller les ongles.. '̃̃ Un raccord invisible.

n est sept heures, .le maquillage fait depuis le matin un peu pâli et semble défraîchi. Vite, madame, exhumez du précieux coffret du papier absorbant, après l'avoir doucement, mais très soigneusement passé sur .out le visage, insistez sur les narines, la fossette du menton, le coin interne des yeux, le front. Ensuite, une très légère touche de rose sec, assorti au fard gras employé pour le maquillage fait chez soi le matin, redonnera au visage une fraîcheur nouvelle. Toujours avec le papier absorbant," débarrassez complètement les lèvres de la moindre parcelle de rouge qui s'y trouve; repasser alors le raisin, mai», ne fardez jamais la bouche en mettant une couche de rouge sur une aù>! tre couche de rouge, cela fait vieux et laid. »

Le grand jeu.

̃ Lorsque le visage apparaît vérita- blement peu net, si vous devez vous rendre au concert, par exemple, sans pouvoir rentrer chez vous, ayez, dans votre coffret de beauté, un lait appro-; prié .à la qualité de votre épiderme

1. 20.32. Un gant en chevreau piqué.

2. « Bouço » 12.169. Un gant à manchette laquée.

3. « Royal » 21.96.' tin gant laqué blanc et rouge.

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avec lequel vous pourrez facilement nettoyer votre visage en en humectant un tampon de coton. Toujours contenu dans ce coffret, un petit pot de la crème de jour dont vous vous servez habituellement, vous permettra ensuite de refaire complètement votre beauté application sur la crème du fard sec pour les joues; de la poudre, bien entendu il y en aura une boîte dans le coffret brossage des cils et sourcils pose du rouge pour les lèvres et enfin un dernier coup de peigne pour parfaire l'ensemble. Les à-côtés de la beauté.

Prendront place dans ce coffret. un flacon d'eau de roses, pour nettoyer les yeux si une poussière venait à y entrer et un flacon d'alcool à 90 degrés, toujours utile en cas de coupures et d'écorchures même légères, une petite plaie est si vite infectée. Beaucoup de choses en peu de place. L'énumération de tous ces produits ne doit pas vous effrayer car ils peuvent tenir dans un espace correspondant à la grandeur d'une boîte de papier à lettre. Chacun, à l'exception de la poudre, doit y paraître sous un format échantillon et être renouvelé souvent, surtout la crème et le lait à démaquiller. Quand au polissoir il en existe de tout petits qui conviennent parfaitement à la composition d'un coffret de ce genre.

Chacune à son goût

Une femme adroite, peut très bien aménager elle-même, une jolie boîte en coffret, elle la divisera à l'intérieur en petits compartiments de la grandeur des objets qui leur seront destinés, elle emploiera pour cela du carton assez fort, recouvert d'un tissu s'harmonisant avec la boîte. En consacrant une petite somme à l'achat de ce coffret il serait possible de le faire faire, en cuir, genre petite trousse, à fermeture éclair, ou encore de faire agencer un sac à main de façon à ce que chacun des produits qu'il doit contenir y ait sa place. Bien des soucis de beauté et de propreté, au sortir du bureau, du train ou de l'auto 'vous seraient ainsi évĩ'̃ M. de K.

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Comment

portez-vous vos foulards?

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Voici une manière un peu inédite, et seyante, de porter les grands foulards carrés que la mode renouvelle constamment. a) Plier le foulard en deux,' dans le sens triangulaire, et le nouer derrière .le cou, en le faisant monter jusqu'au menton, sur lequel il forme ainsi deux po n ces.

b) Prendre la pointe du dessus, la faire remonter vers le menton, en la glissant par dessous. La faire revenir ainsi par-dessus. Elle formera alors, en face de l'au re pointe, un dessin triangulaire très plaisant dans son mouvement étoffé.

DRTÉŒTTE- SEMAINE

A l'Opéra, le soir de Don Juan, la baronne R de V., parut, vêtue d'une robe péplum entièrement plissée en gaze d'or, sous une cape de zibeline cintrée seulement en arrière pour marquer la taille. Aux pieds des cothurnes dorés, lacés de rubans vert vif.

Au déjeuner, aux environs de la place Vendôme, un tailleur marine passepoilé de rouge autour des coutures, poches revers, accompagné d'un chapeau canotier, en paille mi-partie rouge, mi-partie bleue retenu à la nuque par un nœud de gros grain laitonné.

Au départ du train de Cannes, Mme D. H. avait revêtu un ensemble de voyage composé d'une robe de lainage bordeaux à jupe plissée, d'une veste écossaise crème et rouge, et d'un long manteau ample et droit assorti à la jupe, orné de piqûres sellier.

Au dîner qui" groupait dans le voisinage de l'ambassade d'Angleterre, les plus jolies femmes ie Paris, la marquise de M. por:ait une fort belle robe de velours noir à corsage ouvert en cœur sur. la poitrine et dont la jupe ample était ornée de rangs de fronces disposées comme celles qui agrémentent chez les tapissiers, les stores à « l'italienne ».

La comtesse K. E, portait au, LAINAGES DE PRINTEMPS

Une variété île tons inouïe

« Deux poissons rouges dans un aquarium », tel est le nom que Lesur donne à l'une de ses ravissantes liasses de Tortaz. Celle-ci est. faite de bleus, de verts, de grèges très d6ux, au milieu desquels deux rouges apportent leur accent.

C'est par goût d'artiste et parce que ces tissages ont une variété de tons inouïe, que Lesur les a ainsi groupés. Ils n'en ont que plus de relief. e Veuve joyeuse », dans cette même série, mêle le thème de deuil noir, blanc, violet à des jaunes et à des gris « Azalée 1900 v> groupe de tonalités Marie Laurecin' roses vifs, fuchsias au milieu de marrons et d'ocres extrêmement subtils.

Toutes ces tonalités des Tortaz, nous les retrouvons, plus ou moins

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Feuilleton dn Figaro du 3 Février 1938 (1) l

o:;kki:u

DERRIERE

~~J~

Roman inédit

T T DE SELDON TRUSS 1

CHAPITRE PREMIER

Un orage sur Dartmoor

Une grande voiture automobile de tourisme, quelque peu démodée, de forme arrondie à l'arrière et de cou- 1 leur marron, était garée au bord, de la route qui traverse lalande déserte. Le conducteur, qui en était le seul occupant, était un homme âgé. em- mitouflé jusqu'au menton, qui se pré- parait à consommer quelques sand- wiches et lé contenu d'un flacon thermos, tout en contemplant dis- traitement l'étendue de la tande dé- solée. Il était sur ta route de Prin- cetown à .Vshburton et l'ombre si- nistre de la prison de Dartmoor se dressait, avec ses hautes cheminées, devant le soleil couchant. Une masse i compacte et menaçante de nuages noirs, venant du nord-est, s'élevait

Les nouveaux chapeaux rajeunissent è des formes anciennes.

~UT'-

t t 1 1 .en:trichant un peu

On gagne en hauteur, grâce à l'ornement, ce que l'on tendrait à perdre par le raccourcissement de la calotte.

a) Par un nœud hardiment piqué, ce chapeaubourrelet devient aérien. b) A l'aide d'un simple tvpi, ce canotier en grosse paille ne risque plus de

même dîner une robe enroulée en crêpe blanc, dont le corsage croisé était brodé d'arabesques dorées. Des bijoux exotiques en or rose achevait cet ensemble parfait.

Pour recevoir quelques amis, priés à venir boire des cocktails, en félicitant le nouvel académicien, Mme L. M.'avait revêtu une tunique d'inspiration chinoise en satin blanc brodé -d'un dragon vert et noir, croisée de côté sur un fond de satin 'noir. Cette toilette dans le décor clair de l'appartement moderne des sculptures dernier cri prennent une valeur décorative extrême était particulièrement indiquée. Le Masque de Velours-

complètes, parmi les autres tissages. Bir.ko, qui mélange les fils foncé» avec les fils de tons vifs pour obtenir une teinte pastel. Jok, un crêpe de laine très fin, si fin qu'il convient même à la robe du soir. Orfilaz, un mélange de laine et de rayonne dont le grain est plein d'éclat. Kinlou. tissu ajouré, choisi pour la blouse. Ziris, flanelle idéale pour le chemisiër, robe ou blouse, car elle réunit rayures, unis et-damiers dans des épaisseurs différentes et des teintes pastel très délicates.

Voici encore Pentaz, reps de solide. tenue, destiné au tailleur. Les Cangas, étamines ajourées, complétées .par les Adarc, étamines brodés." Et le gros Jarkaz, beau shetland à bouclettes, réservé au manteau. N. A.

La beauté,-

de plus en plus haut au-dessus du paysage, et bientôt un vent glacé souffla dans' le dos du vieillard. Il frissonna et releva le col de son manteau.

A moins de cent mètres devant lui, avançant en même temps que l'orage, il vit venir un groupe de prisonniers qui regagnaient la sombre enceinte de la geôle. C'était un spectacle assez commun sur la lande, et le vieux monsieur n'en fut pas affecté. A peine jeta-t-il un coup d'oeil sur le groupe lorsqu'il le dépassa, bien que l'un des gardiens reconnaissant en lui une silhouette familière l'eût salué d'un signe de tête. Il avait entendu dire que ce vieillard était un archéologue qui s'intéressait aux vestiges préhistoriques et autres curiosités de la région. L'archéologue répondit au' salut du gardien avec l'expression détachée d'une personne trop profondément préoccupée pour prêter la moindre attention à tout ce qui l'entourait.

L'orage éclata soudain, au milieu d'un rugissement de vent, et. dans l'espace de cinq minutes. tout le panorama de la lande fut masqué par une aversp aveuglante de grêle dont l'intensité se développa jusqu'à ce nue les grêlons se missent à rebondir sar la route comme des billes et à tambouriner follement sur larapote de toile de. l'automobile. Il n'était plus possible de voir les murs de la prison. Et même on pouvait à peine 'e 'fictiiiniiPrie h«rd opnosé de la route. Toutefois, au lieu de rester à l'abri

diminuer la silhouette. c). Il semble que la formule du béret soit inépuisable, témoin ce modèle allongé comme une aile d'oiseau.

EN ATTENDANT.

LES ROBES NOUVELLES..

{ÉCLAIREZ VOS ROBES NOIRES DE PAILliETTES ET DE COULEUR

En attendant les nouvelles t~ collections qui vont sortir ces jours-ci, voici quelques idées pour rajeunir vos robes de l'hiver passé.

Sur votre fourreau dé lainage noir, incrustez pour l'égayer,, des bandes de crêpe de chine bleu roi simulant des "bretelles et si votre silhouette s'y prêté, répétez le même effet à la hauteur des hanches. Sinon une cordelière de même tissu que les bandes nouera votre taille. (3)

Des écharpes de surah de couleurs variées transformeront aussi vos robes de lainages, mais vous les ferez ressortir à la hauteur de la taille et les nouerez devant. (2) Pour vos robes du soir en dentelle ou en crçpe noir, échancrez votre corsage s'il ne l'est déjà et faites des bretelles assez larges et légèrement drapées en ruban de faille revers satin vert émeraude que vous nouerez dans le dos assez bas. (4)

•̃; Si vous, le préférez faites faire une basque serrée aux hanches et des bretelles en paillettes multicolores et votre robe sera changée au point d'être méconnaissable. (1) ̃" Géa.

ï. Robe noire garnie d'ëfaiiiettes et d'une basque pailletées multicolore.

4. Robe -de dentelle noire. Brete'les en faille revers satin vert émeraude nouées dans le dos.

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sous la capote, quelque précaire que fût cette protection, l'archéologue prit le parti étrange de sortir de la voiture, pendant que la tempête était en pleine fureur et il se mit à scru- 1 ter l'obscurité avec un dédain total des infirmités apparentes de sa vieillesse. Il ne. sembla même pas prendre garde au fait d'être, en ûn clin d'œil, trempé jusqu'aux os. Rigide comme une statue, il resta là, dans une étrange posture d'attente, jusqu'au moment où il entendit, en dépit de la rumeur des éléments déchaînés, retentir un coup de feu. A l'instant même, le vieil archéo- logue pivota sur lui-même et saisit dans l'auto un paquet enveloppé 'et ficelé étroitement. Un autre coup de feu claqua, suivi d'un faible cri. A travers le brouillard de grêle, une silhouette sombre passa comme une flèche, saisit au passage le colis ten- du et s'évanouit de nouveau dans l'obscurité. Quand le gardien de tête arriva halétant sur.la scène, il trou- va le vieillard étendu sur le dos dans le fossé, où il s'agitait en bredouil- tant faiblement. Avec plus d'énergie que de politesse, il remit le pauvre homme sur pied et l'interrogea Dans quelle direction est-il parti, monsieur ? Vite 1 »

Le vieillard continuait à haleter. Dans son impatience, le gardien alla presque jusqu'à le secouer.

« Vite, monsieur »• ». » » D'un index tremblant, le vieux monsieur indiqua, à travers la lande, la direction opposée à celle que le

i RETOUR y

DU TAILLEUR

A SON VRAI STYLE Il est assez curieux de constater que la ligne nouvelle de la mode qui tend vers une fantaisie de coupe assez inédite, provoque un retour du tailleur vers le style classique, le sien.

Cela ne veut pas dire que certains détails piquants en soient exclus. Au contraire. Mais la ligne générale qui, ces dernières saisons, avait tenté de petits écarts en faveur d'un style moins strict, revient au calme. Presque toutes les jaquettes boutonnent haut, sous de petits revers très nets. Elles sont assez longues et quelquefois un peu vagues pour le sport, plus courtes et plus ajustées pour la ville. Rarement de ceinture, puisque la mode laisse que la taille soit simplement appuyée et non soulignée. Des effets de coupe et même de découpes qui sont, comme nous avons eu déjà l'occasion de le montrer des tricheries avec cette fameuse ligne de taille.

H y a tout un chapitre de jaquettes sans cols ni revers aspect assez nouveau du tailleur, aspect sympathique, sous' cette allure américaine.

La jupe plissée que l'on a déjà tenté de lancer l'an dernier, semble s'imposer pour le tailleur d'été. Elle est courte, naturellement, et ses plis ne s'échappent qu'à mi-hanche. Quant au détail pittoresque, il intéresse surtout les poches, les boutons, l'emploi de tissages inattendus, ainsi que les oppositions de doublure. On cite, entre autres, une jaquette marine doublée d'un gros grain rouge, et portée avec une blouse de gros-grain beige.

Un annonce de nombreux tailleurs d'été, en lin, en shantung, en tussor naturel. Beaucoup d'entre eux seraient ornés de lingerie blanche.

Plus près de la saison actuelle, cette formule heureuse elle associe à un tailleur classique le petit vêtement trois quarts de même tissu.

Enfin, le boléro, venant sur une jupe assez montante, et couvrani souvent un gilet, figure parmi les plus heureuses nouveautés du style tailleur.

̃̃ G-F-

2. Rsbe de lainage noir. Echarpe en surah jaune citron venant se nouer n la taille. Boutons en matière plastique noire formant des rayures en biais.

3. Robe de crêpe noir avec incrustations 'de chine bleu-roi.

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convict avait prise en réalité. Il respira longuement et se répandit en un torrent de paroles agitées

Il est parti par là oui, par là. Dieu me bénisse, c'est une expérience bien alarmante pour un homme de mon âge Il sera sûrement bien difficile d'attraper le criminel dans cette région déserte. » Le gardien ricana d'un air renfrogné. Un autre gardien accourait, le fusil à la main.

« Nous l'attraperons, monsieur, ne craignez rien, dit le premier surveillant. Mais cela ne vaut sûrement rien de circuler par ce temps d'orage. Vous, Simmons, vous feriez mieux- de rebrousser chemia et de donner l'alarme. Le fugitif n'a aucune chance d'échapper, monsieur. On va garder tous les ponts et les bacs et surveiller toutes les routes, dans l'espace d'une demi-heure. Pas un seul être vivant ne pourra traverser la lande sans être interpellé. Nous-1'attràperons

Le vieillard remonta, tout tremblant, dans l'automobile et se laissa tomber sur les coussins.

« Je l'espère, monsieur, je l'espère de tout cœur. Ce genre d'incident est plutôt inquiétant. surtout pour quelqu'un qui ne prend aucun intérêt à l'étude des questions criminelles. Vraiment, je pense que je vais abandonner pendant quelque temps mes "recherches sur la lande. Voudriez-vous avoir la bonté de mettre mon moteur en marche ? Je ne suis plus aussi jeune. que je l'ai été,

Ci-dessus Un « Prince de Galles » Rodier gris mélangé de blanc, a été choisi pour ce tailleur dont la jaquette est travaillée d'ornements de biais.

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et le démarreur est détraqué. Merci, monsieur, merci bien. »

Le gardien obligeant reçut son petit pourboire et sourit d'une manière rassurante.

« Eh bien, moi, je ne me tracasserais pas. monsieur, si j'étais à votre place. Personne n'a encore réussi à s'échapper de Dartmoor, et cela n'arrivera jamais »

Une demi-tieure plus tard au crépuscule, l'automobile marron roulait sans hâte sur la route tortueuse qui borde au nord la rivière Dart, dans la direction d'Ashburton. Au point où la route s'incurve obliquement vers le pont, le voyageur fit halte et sortit de la voiture. Il trouva le pont gardé par une sentinelle armée. Le crépuscule s'était momentanément éclairé, après le passage des nuages lourds de pluie, et les traits du vieillard reflétaient une anxiété pathétique au moment où il s'enquit des dernières nouvelles. En réponse, le gardien exprima l'opinion que le forçat n'avait aucune chance de passer inaperçu. Des tentatives d'évasion de ce genre n'étaient pas rares, par un temps d'orage ou de brouillard, mais, en définitive, c etait toujours cette lande marécageuse qui avait le dernier 1 mot. A moins, bien entendu, qu'il n'existât un complice mais tout l étranger était immédiatement sus-'pect dans le district. La sentinelle cita le cas d'un prisonnier qui avait résisté pendant toute une semaine et qui s'était enfin rendu, comme les

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autres. Le vieux monsieur connaissait-il, par exemple, l'étang de Cranmere, une vaste et verte étendue de marécage, située un peu plus au nord, qui donne l'illusion dangereuse d'un sol ferme et propre à la marelle ? Oui, effectivement il le connaissait, et il parut très affecté à l'évocation de la destinée qui menaçait le fugitif.

L'obscurité était presque complète lorsque le voyageur, conduisant son minable véhicule, arriva dans le site pittoresque de la ville d'Ashburton. Il s'arrêta au Lion-d'Or, pour y dîner tout à loisir. Après dîner, il alluma un cigare ordinaire et se remit en route.

La pleine lune s'était levée et la visibilité était bonne,, en dépit du brouillard qui monte si. souvent du sol humide de-la lande en écharpes tourbillonnantes. Sous cette lumière pâle, l'aspect fantastique des monticules» rocailleux et des cercles de pierres préhistoriques qui parsèment la lugubre nudité du paysage semblait lui donner une signification nouvelle. Même les sentinelles prosaïques qui gardaient les routes et les têtes de ponts paraissaient être les témoins sinistres et menaçants d'un passé incroyablement reculé. A un endroit particulièrement désert, où la -route suit la rivière de très près, le vieillard donna délibérément un coup de volant pour se diriger sur un mauvais terrain, couvert de bruyère et parsemé de blocs de granit. Il s'y fraya un chemin, en

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rebondissant et oscillant, jusqu'à ce qu'un affleurement de rocher rendît l'auto invisible de la route. Alors il arrêta le moteur et fit entendre une très bonne imitation du hululement d'un hibou. Peu de temps après, un cri semblable, mais hésitant et atténué, fut émis d'un endroit proche et la haute silhouette d'un homme vêtu de gris et coiffé d'une casquette dont la visière était abaissée sur son maigre visage émergea furtivement d'un abri rocheux. Pendant un instant, il se tint là. immobile, le regard tendu, une main agrippée au rocher qui l'avait dissimulé et l'autre nerveusement crispée. A l'auriculaire de cette main crispée, une bagué chevalière en or brillait au clair de lune. Bientôt, l'homme éclata d'un'rire un peu forcé.

Bon Dieu Si je n'avais pas su que c'était vous, je ne vous aurais jamais reconnu. C'est bien la première fois que j'ai l'occasion de rire depuis douze mois! »

L'autre sourit vaguement et alluma une cigarette. La flamme de l'allumette révéla plus distinctement une frange de favoris gris et une paire de lunettes aux verres arrondis.

Seldon Trass.

M suivrt)

(Traduit de l'anglais par S.-L. Bontempàf (Copyright by S.-L. Bontemps)


LE FIG A RO. ECONOMIQUE ET FINANCIER

COMMENT EN SORTIR ? Dans un article très sage du Populaire, M. Vincent-Auriol vient de rappeler, à l'aide de chiffres irréfutables, que la solution du problème français ne serait certainement pas obtenue par des rapiéçages de bric et de broc. Il faut une conception d'ensemble. Il faut un programme. Cela ne veut rien dire, sauf erreur» si ce n'est qu'il importe de fixer les buts de l'action à entreprendre, de définir ses méthodes, de réunir ses moyens.

Sur le but, la discussion ni l'hésitation ne sont plus permises. Toutes les informations dont il est possible de faire état montrent que la défense nationale doit être promptement renforcée. Des canons, des avions, des tanks et des cuirassés pour tous les bons Français, c'est désormais la consigne fondamentale du salut. Le choix des méthodes pose deux séries de questions, les unes économiques, les autres financières. Dans l'outillage du pays, tout ce qui a pour client l'armée, ou l'air, ou la marine doit travailler à pleine puissance. C'est l'intérêt commun. Déjà le régime des quarante heures est pratiquement suspendu dans les cas où son application rigide a été reconnue dangereuse pour la sécurité française. D'autres dérogations ne seront pas moins indispensables. On n'imagine pas qu'elles puissent être systématiquement refusées. Le goût du suicide n'est pas répandu en France

La note à payer sera lourde. Et après? Un seul mois* de guerre, rien qu'en argent, coûterait cent fois plus cher. D'ailleurs, aux environs du niveau actuel des changes, on tient pour certain qu'une bonne technique permettrait de soutenir, pendant des années, les dépenses jugées indispensables. Il apparaît, malheureusement, qu'elle est à rapprendre, à partir de l'alphabet. Mais les progrès peuvent être rapides. Les secrets perdus se retrouvent. A-t-on oublié l'expérience des Bons de la défense nationale? Expansion -du crédit émissions à court terme emprunt des consolidations c'est un jeu qui a été inventé en France même, et dont les résultats ont été prodigieux. Il serait seulement indispensable de ne pas s'obstiner à le jouer à l'envers. Quant aux détails, on y reviendra.

Tout cela, ce sont des mots. Ce qui importe, c'est ce que Siéyès appelait si bien le bras d'exécution ». C'est le problème des moyens. C'est affaire politique. Les idées qui ont été tour à tour essayées depuis six ans pour la restauration française n'étaient pas toutes mauvaises. Mais tous les essais ont échoué, misérablement, parce qu'ils n'ont jamais été suivis au delà de quelques mois. Le coinmencement, ou plutôt, la condition première du redressement, c'est la constitution d'un gouvernement, monochrome ou polychrome, parlementaire hétérogène ou extra-parlementaire homogène au choix des spécialistès tel que son existence paraisse solidement assurée pour deux ans au moins. Mais ce débat n'est pas du ressort des financiers.

F.-F. Legueu.

iv_iecia:iî3s c_^i_i\s ET sûTJTiïîisrxjs

Tension de la prime de l'or à Londres. L'assouplissement des restrictions aux prêts à l'étran.'̃.̃ ̃•' ̃/̃̃'̃̃ :̃••̃̃ ̃-̃'̃: ̃ i ̃ger,.en;Gr«nde-Bretagne,. 7 '.̃̃ ̃̃. >.̃̃̃,̃; r

© Le marché de Paris demeure très inactif. Les événements extérieurs le torpillage de l' « Endymion » notamment et les considérations de politique intérieure ont accentué la réserve du marché. Toutefois, dans l'ensemble, celui-ci a manifesté une résistance, d'autant plus remarquable. Les mines d'or et certaines valeurs de matières premières enregistrent même des gains appréciables.

ty'Les diverses séries de rentes; cèftënt un quart de point en moyenne. Toute'f6is, le 4 0/0 1925 et le 4 1/2 1937 sont bien tenus.

© La Chambre syndicale des agents de change communique qu'à fin Janvier 1938 la position se présentait comme suit

Aoheteura Vendeurs

(en millions)

Rentes françaises, obliga- (en nüllions)

tions et bons du Trésor 751 t 125 Autres valeurs 1.465 100 · 2.21G ̃ '225

Rappelons qu'au 15 janvier 1938 la position se décomposait comme suit Acheteurs Vendeurs

Hentos françaises, (on millions)

Rentes françaises, obliga-

tions et bons du,Trésor 747 116 Autres valeurs 1.502 105 2.34? 221

© Les mines d'or bénéficient -'Sis, craintes de dévaluation des^ grandes monnaies soulevées par le récent -.déÇa*

lage du peso et de la demande d'or à Londres qui en résulte. Les- valeurs de matières premières se redressent grâce à sla résistance des métaux et à la meilleure tenue de Wall Street.

® Il faut ajouter que, d'une façon gé- nérale, les Internationales ont été sti- mulées par la reprise dés changes étrangers. '̃.•"

Au comptant, la livre passe à 152,78, après 152,80 au plus. haut; contre 152,625. Le dollar sanscrit à 30,51 contre 30,42. À terme, le report sur la livre, à trois mois, passe a 6,25 contre 6, à un mois, à 2,25 contre 2,20.

Sir John Simon, chancelier de l'Echiquier britannique, a annoncé le relâchement de certaines des restrictions imposées en 1931 sur les' prêls: à V étranger Des facilités plus, grandés seront désormais accordées

a) Pour le financement à long' terme d'entreprises étrangères possédées par des Bri»

1

Un emprunt du Crédit National Un arrêté du ministre des finances autorise le Crédit National & émettre un emprunt, du montant maximum d'un milliard, en obligations 0 0/0 de 1.000 franc», dont les intérêts seront payables par moitié, les 5 feyrier et 5 août, la date do jouissance étant fixée eu 5 février 1338.

Elles seront émises à 990 francs et participeront à deux tirages annuels comportant chacun 1 lot de 1 million, 1 lot de 100.000 francs, 4 lots de 25.000 francs, 40 10 lots do 10.000 francs, et 200 lots de 2.000 fr.

PARIS V 1 -.1

PRINCIPALES FLUCTUATIONS Hausse s

"4 0/0 1825 107 15 + 0 15 Belgique 5- 1/2 1934 2201 + 26 Egypte Unifiée .V 3105 +24 Santa-Fé ..i.. ̃>/ 539 +25 Port du Kosnrip 5300 +75 Central Mining 3885 + 25 Haut-Katanga .3050 +33 Main neef S58 +14 Union Corporation 1308 + 20 Jagersfonteln 238 00 + H

Baisse'; '̃̃

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Saint-Gobain 1800 –1,5

Canadien Pacific >••«• 219 8 50 Vicliy '1002 53

PRINCIPALES TRANSACTIONS En traites 4<> rente 't i:

S 0/0 232.785 4i 1932 A 1.02Ï.086 4 0/0 1917.. 35.684 44 %• 1932 B S56.142 4 0/0 1918.. 215.156 4'4% 1937. 539.852 5 0/0 1920.. 118.285 06. 3i W3BA 2.139.000 4 0/0 1925.. 140.254 O. 4%1936 B 2,042.160 ̃ En titrea:i r ?

Banque de Fr. 133 Saint-Gobatn,. 973 B. de Paris.. 1.142 Air Liquidé.. 704 Un. Parisienne 379 ,Qullmès 179 Cr. Lyonnais.. 391 Distili. Indoch 169 Suez capital.. 129 Indo Hévéas.. 372 Tr. Shanghai. 169 •. Say 268 Distrib. Elect. 376 Terres Rouges 392 Forges N.-Est. 612 Can. Pacific. 4.17Q Tréfileries 187 Wagons-Uts. 1.768 Lens. 535 Centr. Mining 385 Nickel 804 Geduld 1.250 Penarroya 1.338 Rio 1.731 C. Fse Pétroles 272 Royal Dutch.. 1.220 Ugine. 312 Amaterd. Rub. 114 Kali Ste-Thér. 467 Cr, Nat. IU19 1.691 Kuhlmana 864 Cr. Nat. 1920 1.886 Pechiney 559 Cr. Nat, 1923 2.450 Rhône P,ouleno 330

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Obi. du Trésor »n;SWJ6 13190 132 10; dnUord6%1921. 443.. «3 Soe.Gi* Alsacienne détail. 402.. 402 Afri nue Occidentale (C"). 975 9*5 0blls.duT«sor4"»o'1936. 10183 101 70) -<• 6^1923. 438.. «8. Société Marseillaise. 474.. 47t.. Air Liquide (parts) 3ÎS2- «TA" ·, lo»s.Tr.àlO«»«4'.i%1933 923.. 919.. 7"»1'2' :«• ̃• -JJJ '• Son» Com, Entrepreneurs 2»2 290 germas»" •̃ |1° •• Ion» Tr. à» «M 6% 1933 997.. 995.. Pas-de-Cal. 7 1926 490 JM Union des Mines 144 Clr»r« Français. 272.. Ï7J Bon»Ir.5-lO-Ma»i5%1934 936 50 9S6 7»<l927 48».. *!♦̃• Foncière Lyonnaise 765.. 766.. Colonie» (Générale des). M7 100 »on»IrJ-WOa»6*5jl9S4 964.. 96».. S'il»» »s» *â» immobilièreMarsoillaise 2035 2W Continent, Compt. a eu J75 MO Caisse atteigne 4 }'. 733.. 733.. Soame6« K1923.» 44».. *«.»•.̃ Beo Auer JJJ •• JJ» ïanqued» FfuiM. 593».. 5940.. Ville do. Reims é 1927 «2 819 ACTlOSSiBDOWWttUS Maroc (C'Oénéral.e du). 7S06 ^294

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7.f<or1»21(loOdollaw) 8115.. SMC.. de l'Indochine 2725" 2760 Or.Monl.deCorbei), ord. 155.. 157.. "H">K'»

V 6 or 1924 (100 dollar»). 3550 la Guadeloupe. 2340.. 2345. WtrtU 376.. 376 P«r'» 152 13/16 152 13/18

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Madagascar 1903-19O5 325.. 328,. itela Réunion. 2650 2673.. Saint-Raphaél 5315.. 5290.«, vnBr

KarOB 4 19i4 .297.. 297,. «. ,4»rojeC.(Pays)or 330. Sucreries Coloniales 310.. 310.. «EW-YORE

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tanniques de n'importa quelle partie de

l'Empire

b) Pour les transactions portant sur des blocs importants de titres possédés par des étrangers.

© Cette politique peut sembler, court terme, défavorable aux intérêts de la place de Londres. A long terme, elle est de nature à atténuer tes risques de crise en Grande-Bretagne. Les prêts à l'étranger doivent constituer la soupape de su. reté du capitalisme normal. Ce ne sont paSj certes, les Anglais qui ont tant pratiqué cette politique avant guerre, pour le plus grand bien du monde qui l'oublieraient,

© Londres, quoique inactif, demeure bien orienté, malgré les incidents de la Méditerranée orientale. Fonds britanniques fermes. Reprise des emprunts japonais et brésiliens. « Metal Exchange » assez ferme.

© Il a été vendu, sur le Marché libre de: l'or à Londresîlfâ barres d'une valeur de 455.000 livres sterling environ, au prix de 139 sh. 9 par once, soit une hausse de 2 pence sur la veille.- Ce prix, basé sur les offres et demandes, renferme une prime de 11 pence sur la parité du dollar à~ 5.008.

© New-York est alourdi. Le marché est de plus en plus inactif. 580.000 au total. La clôture est en baisse de 1 à 2 points.

© La production d'énergie électrique aux Etats-Unis, au cours de la dernière semaine, s'est élevée à 2.098.968.000 kwk., soit 5,2 0/0 de moins que pour ta semaine correspondante de 1936.

NEW-YORK hésitant

wiFiim: Clôt- °«rn- I uimiBS Clôt. Oern.

VéLEUR& Clôt., Uorn. I Vp~EURB Clbt Ûcrn.

VALEURS préc6d cour, »AtEUB8 pr<céd cours Air Red. nt 49. 48 I /4 looni Kin 70 S/4 71 1/i AllledCïein 164 163 Kennecott 87. 35 7/» Amer. Can. 78 1/2 7,8 Monlfe-omc 32 3/8 311/2 Amer Smel. 49 1/8 48 1/4 Nat.DalrjF 13 5/8 13 1/2 Am. T. et T. 139 3/4 137 3/4 Rat. Distll. 20. 19 7/» Am.TobacB. 67. 66 1/2 N.-Y. Centr. 17 1/4 16 1/2 Anaconda.. 31. 30. NorthAmer 18 7/8 H 3/» Atchjson.. 35 1/î 1/4 Peniylvan canad. Fac, 7 1 '4 7. public Sert 811/4 31 Cate. '«S 1/2 «5 1/2 Radio 6 1/8 «1/8 Cer.d.Pasco 89 3/4 89. Reynolda.. « 40. Chcj.a.Onio ,33 5/8 33 1/8 SearaRoeb. 67. 57 1/2 Com. Solvcn Shell 16 5/8 16 5/8 Consol.Edis 22 1/2 U 1/3 Bt. Brandi. 8 3/» 8 1/3 Coty 5t.0ilOlHJ 433/4 Ml/3 Chrysler. 54 1,2 "63 18 rexa» Corp. 39 5/8 39 3 8 Du font. 113 1/4 111 3/4 reiet Ou!I.| 31. SOI/! Elec.B.a.S. 7 1/4 7 1/8 UnionïMl.j 77 1/2 77 l/« Gencr.Elec.j 39 3,4 38 3/4 Dnlt. AirCr; 22 3/8 21 3/S Gêner. Mot. 341/8 33 1/4 0. S. Smelt.| 66 3/8 66 3/4 Goodyear.. 20. 19 1/2 B. 6. Steel. 84 1/8 52 5/8 lnterHarv. 61. 69, W««ter.Un. 24 3/4 24 1/î

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COIOH (Sakcla) Alexandrie. Mars 1412 14 20 Mai 14 18 i 14 28

New-ïori.. Mars 8 41 8 43

Mai 8 48 S 51

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capter, chargées de leurs 11 chants, les ondes lés plus loin- taines ne nous paraissent plus des choses étonnantes. La iLVence nous a offert la viteise, ta facilite, le voyage rapide, l'étape confortable, et surtout la vie quotidienne a la maison toute simplifiée et dépourvue des coruces qui la rendaient odieuse. La science nous a offeit l'électricité. Et si chaque joui le sentiment du confort s'aferott, si la nécessite nous oblige a, nous passer de domestiques, peu importe, car nous somme* tomlfles, et iervis par l'electruite l ;i jour aui Arts Ménagers 19.1b, ci noui voila convamcui. Comme dans un conte de fées, la tuisine, qu'aucune fumée ne noircit, iC présente claire, nette et appetisMtntc ous poussez inr la paroi blanche de là un bouton, et le four fist bientôt a point poui

le rôti qui va cuire sans sùrueillante

en qardant tout son jus et tonte su iaorur. f n autic houton et ta plaque supérieure rouqit en un instant, v vous donnant plus rapidement que' n'importe quelle flamme liait bouil- lante, et si vous desnez un jilat len- tement mijote, vous mettez le bouton au « doux » et n'twe: plus n vous inquiéter de rren

Le moulin à tafe mural moudui tout seul les grains odorants, et cette poudre transportée dans votic tajc- tiere de tnetal électrique vous donnera le plus succulent petit dtjeumr Il vous aura coûte un qesfe

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sablé, a toute ciliswc qui se respettt a fait encore des proyns Elle est. a fonctionnement et à dégivrage automatiques. Son utilité se passe de commentaires. En, utile, le, gardemanger est habiiuelletnent fixé à l'endroit on secoue les tapis. Pauvre bœuf en gelée, vous êtes destiné à vous présenter couvert de microbes et des poussières du voisin, ou "à- demi-fondu par la chaleur de la cuisine m'ais'si on vous tire du réfrigérateur, vous aurez trouvé votre «climat », vous serez servi brillant, sain et succulent l la campagne, il est parfois difficile de s' approvisionner ̃» le réfrigérateur rend la vie: tellement

La section de l'Aluminium au Salon des Arts Ménagers Pour la seconde fois, une section 4e l'Aluminium est organisée au Salon des Arts Ménagers. Cette section groupe en dehors des principaux fabricants d'articles de mé- nage en aluminium, les lamineurs de papier pour l'emballage des produits alimentaires et le capsulagc des bouteilles (lait, bière, vin, `:: etc.), les fabricants de mobiliers en alliages légers (sièges, meubles scolaires) xjnsi que les fabricant» de matériel de camping et d'articles de sport en aluminium.

11 y est exposé également, sous forme de maquettes, le nouveau matériau de couverture pour toitures de bâtiments < Le Paxalumin »̃ composé de produits bitumeux recou>erts d'un.c feuille d'aluminium.

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Le confort iltmentaire veut l'eau tliaude dans la maison Pour les bains, le lavabo, lu cuisine tomment faire quand on na pa.s lu distribution t eut raie d'au thaude Ln pio- mnt< a t<r tampaqne, le chauffe-eau elettnqut va assuier ce service. Il tiendra in rescive permanente la quant iti d'eau thaude dont vous aurez besoin II ne nécessite aucune installation spéciale, il est discret, propre, i-conumiqne II n'a que des qualités. 1 elettmitt a de si multiples appluations qu'on ne saurait les atei toutes Le balai dt remplate par l'aspirateui silencieux, qui, air lieu de deplacei la jitmssùre, l'absorbe Depuis le moteur qui fait tourner la mathine a coudre ou le jihono, depuis Vapparnl a air thaud, le nibro-inusseiir, l'inhalateur, le puloe i isateur, jusquau diffut>eui absorbant les fumées et a l uzanutew fini en cli i minutes assainit uni pièce dont on ne peut ouvrir les ftnelies que d'objets faciles à adqw'nr et qui bramhes en un instant, tluvaillent a notre plate et alttijenl noire tiistrnte

la lumitre fait rha<iue jour des progrès, Elle n'est plns- cruelle pour les. yeux ni pour les visages. iiïtfe combinaisons d'éclairage indirect, d'appareils décoratifs et pratiques à la fois l'ont adoucie et raffinée. Les appareils de chauffage* poêles a accumulation,, écrans chauffants en' glace de Suint-Gobain marquent nussi sans cesse de nouveaux progrès. ̃Xe nous plaignons pas trop de cesiècle nous ne remarquons même plus ce- miracle mi« prise de courant et nous sommes1 chauffes, éclair rês, servis j.Qutind toutes les'petites choses de la oie sont aussi faciles, on est déjà moitié chemin dit bonheur. •̃

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S'il existait' un ruban bleu tié la popularité, c'est à' l'Exposition des ̃'

Arts ménagers qu'il faudrait le décerner. Les enseignements si nou- veaux qu'on y trouve attirent une foule avide de savoir, et prête à ;t

s'intéresser et à se laisser convaincre par les mille inventions de l'artisanat et de la science.. ̃

Que la lessive soit'faite en pressant sur un'bouton, '̃> les pommes de terre épluchées, sans qu'on y touche en spirale ou en allumettes, la tache d'huile enlevée en soufflant dessus par la poudre à nettoyer, ou que les oignons ne fassent plus pleurer les cuismieies, que les tâches ennuyeuses de chaque jour soient accomplies silencieusement et sans maind'oeuvre par les fours électriques, et les aspirateurs, voila ce que nous répète le Salon des Arts ménagers. Pourquoi se charger de soucis et de, préoccupations dans cette vie quotidienne, qui devient chaque jour plus ardue, quand on' nous prouve auquel point elle doit, pour tous, se simplifier ?,

Paivwi les dernières nouveautés, nous avons particulièrement remarqué le Réfrigérateur Frimaire- Bosch

Cet -appareil, d'un prix très raisonnable, réunit les tout derniers perfectionnements. C'est une création de la marque universellement connue Robert Bosch. Mais la cuisine et le ménage n'inspirent pas seuls la belle manifestation du Grand Palais. Dans le domaine de la décoration et dé l'architecture, parmi les heureuses réalisations que nous offre la Ve Exposition de l'Habitation, il faut signaler la participation, aussi instructive que décorative, de la Manufacture française de Tapis et couvertures à la section de l'Econqmie et à la Galerie des matériaux. Dans un charmant décor de la vie touristique, Paule Marrot montre l'utilité, du tapis et de. la couverture de laine, tous deux excellents protecteurs du froid. Un peu plus loin1, une « échelle sonore », conçue par l'architecte Andi e Hermant et réalisée, au point de vue acoustique, par l'architecte Robert 'Fleurent, permet de mesurei quantitativement l'absorption du son par le, tapis et fait comprendre le rôle important- que le tapis est appelé a jouer dans le domaine, de la Sigathérapie.

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Ainsi trouvons-nous, a travers ce salon, partout t l'Art allié au pratique. Les décorateurs, toujours en progrès, nous proposent des lumières encore adoucies, de nouveaux tissus aux tons joyeux, des meubles clairs, et des ensembles composés sous le signe de la fraîcheur et' de la jeunesse.

Un des programmes les plus intéressants me paraît

être celui, qu'a choisi le Palais de la Nouveauté. Ce grand magasin a réussi le tour de force de disposer, dans une surface de 30 m2, le décor nécessaire à la vie.d'un jeune 'ménage. Il y a le coin pour lire et travailler, le coin pour manger, le coin pour dormir. Malgié cette utilisation très stricte' de l'es-' pace, la commodité et l'élégance- ne sont pas sacrifiées.

Enfin, partout, on récolte un enseignement, 'une idée les produits de la serre française, vins, fromages, fleurs, fruits, légumes sont, mis, en valeur par les services officiels de propagande, les ^applications pratiques de la science, mises à': notre portée par des démonstrations et des conférences. Ily a'/des séances musicales radiodiffusées, des concours, des -causeries. Tout cela explique le succès extraordinaire de1 cette manifestation si réconfortante et Utile 'le Salon des Arts ménagers; ̃ ̃'̃ ̃•̃ •• ̃•

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Horizontalement, i– I. Dérèglements de l'air.- II. Il s'éprit de sa propre image Sans effets. III. Vient après Article. IV.; Cette ou frêle esquif Se dit de certaines cigarettes. V. Affluent du Rhin Ghemjns de hâlage, VI. Deux lettres de « 'Sbulac » Tourmenter par des espiègleries. VII. Elles ont la langue bien pendue En matière de. VIII. Parties d'une rqup -N'est pas discutée dans un couvent. IX. -V^lle -de Sibérie Désigne abrévia-

tiyement certaines concessions faites par

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SPORTS AVANT LE CHAMPIONNAT DU MONDE DE HOCKEY SUR GLACE

A PEINE ARRIVES A PARIS LES JOUEURS DES ETATS-UNIS rencontreront, ce soir, ceux de France j AU PALAIS DES SPORTS A 20 HEURES 30 j

Venant en Europe pour participer aux Championnats du monde de hockey sur glace- qui se dérouleront iL Prague du 11 au 18 février, les joueurs des Etats-Unis ont débarqué hier à Paris. Ils y disputeront ce •soir, an Palais des Sports^ un ïnutcli qui sera le premier de leur séjour européen. Ils seront opposés à l'équipe de France qui :]i'a pas eu cette saison de nombreuses occasions de se produire et qui n'est pas dans sa forme la mellleure, les deux défaites qu'elle vient de subir à Amsterdam et à La Haye en sont une preuve. Que fera l'équipe de France devant celle des Etats-Unis ? Celle-ci aura la composition suivante t But Cosby arrières Shaugncssy, Stiibbs (remplaçant Mcikelsohn) avants Spaiu, Vaimild, Charesl, Dondi, Cook, Bates. Remplaçants Lemieux, Ames, JereJiiiah.

Bien que le team américain qui « descend » du bateau soit assez peu acclimate et manque d'entrainement, on peut prédire que l'équipe de France sera battue. Le contraire serait étonnant. Si bien que la seule question qu'on puisse véritablement poser avant ce- match est celle-ci « Comment l'équipe de France se comportera-t-el!e V » La formation française sera la suivante But Rossignol Lambert arrlèrcs Elé, Lacarrière, Loriu avants Marcq, Henuult, Prévier, Iïagnauer, Boyard, de Mczières, Lacorne.

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pe, dont le cran et la décision devront faire plus que la science. Contre les redoutables Américains, en effet, il ne faudra pas vouloir « jouer nu plus fin », il faudra « foncer », avoir des jambes au cœur, du souffle, car des joueurs comme Cosby, Shaugnessy, que nous avons déjà vus, Stubbs, redoutable réalisateur, Cook, Bates, Meikel John, Charest, Wagnild, etc., sont autant de facteurs importants de l'équipe auxquels il n'y a rien a apprendre 1

Aux côtés du match Etats-Unis-France, une partie de patinage artistique groupera Heddy Stenuf, J, Bossoutrot-Vaudecrane, .). et P. Vives. Katja Schwarzcnbach et Arne Lie. e.

Les régates

internationales de Gênes

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LA VOILE

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de l'équipe de France.

Et voici de nouveau SANGCHILI

champion du monde Ce soir à la salle Wagram Les organisateurs des réunions de boxe à la salle Wagram « redonnent » ce soir en ce lieu le champion du monde poids

coq, Balthazar Sangchili, dont on atteitd

avec quclque impatience la rencontre avec Al Brown, pour le titre.

Sangchili aura' pour rjval Poppy Decico, qui prétend lui aussi /jouer les premiers rôles. C'est un boxeur qui frappe et qui aime la bataille. Aussi scrn-t-il pour Sangchili un dangereux rival.

On assure que ce match sera le dernier avant le débat Sangchili-Brown espérons-le

Un autre champion du monde sera au programme de lit réunion Valentin Angelmann à qui l'an proposera de battre le champion de Belgique Van den Bos, qui, voici peu de temps, réussit contre lui le match nul, à Anvers.

Eu troisième combat, débuts dans la catégorie des welters de Miasmlck, qui rencontrera Théodorescu.

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se mange délicieusement ^N*i>

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On annonce que Farr ne veut plus rencontrer Baer, mais qu'il serait désireux de s'attaquer à Schmeling avant qu'il soit opposé à Joe Louis pour le titre.

̃+ Le prochain adversaire de Ben Foord serait. probablement Jack Doyle.

Au cours d'une soirée organisée à Dijon, les boxeurs de l'équipe de France et ceux du S. C. Dijonnais ont fait match nul. TIR. Chez Gastinne-Renette. Officiers de réserve. Pistolet automatique 1. liernard 2, commandant Perrln de Brichamhaut :î. Dutey Harispe. Sous-officiers de réserve. Carabine 1. Blrjentzlé. Pistolet de combat Parquet. Revolver 1. Broutln.

Classement final 1. Parquet; 9. BirJentzté; a. Prévot.

Chez Oiistinne-RciiBttc. Cours SaintLouis. Carabine (premier cours) l..Devdine. Deuxième cours 1. Rebel. Lebel (premier cours) 1. Mathieu. Deuxième cours t. Rebel. Pistolet de combat (premier cours) de Marenches. Deuxième cours 1 Rebel.

Classement général (premier cours) :.l, de Marenches; 2. de Pllnval; 3. Mathieu. Deuxième cours 1. Rebcl 2. de Martignac; 3. Flornpy.

Au cours de la dernière réunion organisée par « L'Assaut au Pistolet », les poules ont été gagnées par le général Lepelletlcr, le capitaine Sarnignct, M. Courcelle (2) et M. Ordonneau.

Prochaine, réunion 8 février, au Cercle Militaire.

LE GALA DE L'ECOLE ANDREE JOLY, donné à la grande Salle Plcyel, à l'occasion du dixième anniversaire do la fondation de l'école, été très réussi. Au 'cours de ce 1,'ala. grands et petits se surpassèrent et, jjitrinl les élèves, plus s'pécialehient Claudine Roircr et tout le cours supérieur des .jeunes filles; Yveline Le Gall, Martine Allbei'l. etc.

NAVIGATION AUTOMOBILE. '̃– Les dlrlgeants du .Molor Yacht-Club de la C6te d'Azur K ceux du Yacht-Club du Rhône organiseront, fin juillet prochain, une course pour canots automobiles qui sera disputée, sur le parcours de Lyon-Màrseille-Cannes, soit près de 600 kilomètres.

Les organisateurs, dès à présent, ont envisage l'arrêt des petites unités à Marseille, qui ternit If) seule escale du parcours les runaboutti, cruiser.i et, probablement, les liudrotjli.i.ieiirs, seraient seuls autorisés à rallier Cannes pur la mer.

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NOUVELLES AERIENNES ¡ Les obsèques du pilote aviateur Ducros auront lieu aujourd'hui 3 février, à 10 h. 30, à la cathédrale Saint-Louis de Versailles.

Aussitôt après la cérémonie religieuse, le corps sera transporté à Courpierre (Puy-deDôme), où l'inhumation aura lieu le vendredi 4 courant, à heures du matin. Les prototypes

+. Le •Blocli 170, moteur Gnome-Rhône R. O. 1 ï. vient de commencer ses essais à YlUacoubliiy.

Le Morane 405 Joue de malheur. Alors que l'appareil tête de série allait « sortir » de l'usine, la tempête de ces Jours derniers l'a détériorié de telle sorte que l'appareil ne sera prêt que dans un mois. Il y a deux ans et demi que nous attendons cet appareil de chasse indispensable à notre armée de l'air, A deux reprises différentes, le prototype fut détruit et de telle sorte que tes mois passèrent sans qu'on put doter nos formations de l'appareil de chasse qui, à son apparition, était en avance sur tous ses semblables. Il s'avère indispensable de commander des petites séries de prototypes "si l'on veut éviter que les retards de produotion ne soient aggravés par les accidents.

L'aviation sportive

Les' Italiens, qiii poursuivent une- politique de prestige avec décision et volonté, préparent un avion pour ravir à l'aviation lirltiumlciui! lo record d'altitude que détient le lieutenant Swuiii, avec 10.440 mètres. L'avion italien en question recevra un moteur qui lait l'objet d'une préparation spéciale et qui lui permettra d'atteindre l'altitude do 18.000 mètres.

L'ingénieur Italien Zappata met au au point actuellement-un avion qui s'attaquera dans le courant du printemps au record du monde ric distance que détiennent les aviateurs soviétiques, avec 10.1-18 kilomètres. L'appareil de Zuppata aurait un rayon d'action- de 13.000 kilomètres, qu'il pourrait parcourir ù la moyenne horaire de 3 50 kilomètres à l'heure. La vitesse maximum que pourrait atteindre cet appareil serait de D0O kilomètres à l'heure.

Maryse HUsx, rentrant en France ft bord de son avion « Simoun », a quitté Tunis hier matin, à « h. 35, u destination de Rome.

L'Amlot 370,- bimoteur Illspano Ii A. vu «agiiLT Alger où, avec. Rossl et VIstoux. 11 va tenter divers records do vitesse, l.'équipo de mécaniciens et le matériel de rechange sont partis hier soir. pour Alger., Dans la Légion d'honneur Nous it levons dans la promotion du mini store des travaux publics, comme cheval ici* de la Légion d'honneur, le nom de M. Charles Lamberl, le sympathique direc-

teur général des « Huiles Àntar ».

Celte nom] mit ion réjouira ]«s nombreux

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