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Titre : Figaro : journal non politique

Éditeur : Figaro (Paris)

Date d'édition : 1937-12-31

Contributeur : Villemessant, Hippolyte de (1810-1879). Directeur de publication

Contributeur : Jouvin, Benoît (1810-1886). Directeur de publication

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34355551z

Notice du catalogue : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb34355551z/date

Type : texte

Type : publication en série imprimée

Langue : français

Format : Nombre total de vues : 164718

Description : 31 décembre 1937

Description : 1937/12/31 (Numéro 365).

Description : Collection numérique : BIPFPIG63

Description : Collection numérique : BIPFPIG69

Description : Collection numérique : Arts de la marionnette

Description : Collection numérique : Commun Patrimoine: bibliothèque numérique du réseau des médiathèques de Plaine commune

Description : Collection numérique : La Commune de Paris

Description : Collection numérique : France-Brésil

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k4097204

Source : Bibliothèque nationale de France

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 15/10/2007

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Essence ou Quintessence

Quand on traverse certains

pays, un malaise vous tombe sur les épaules la route maussade et vide d'usagers tranche dans le vif, pressée d'arriver aux villes des villes à la capitale et de la capitale aux frontières il n'y a qu'un pas et le touriste dégoûté l'a vite franchi ces pays-là, ces pafjs à l'oreille basse, ces patries de la mauvaise humeur, ce sont les pays où l'essence est chère.

Mais il en est d'autres où tout vous retient on muse à travers leurs monuments et leurs multitudes, on répond au moindre signe d'amitié de leur passé, on se réconforte à l'entrain joyeux de leurs artères et on ne les quitte qu'avec promesses de retour pays où l'essence est bon marché. De loin en loin, au bord des chemins, les distributeurs rouges présentent les armes. A votre service Les infirmières du moteur en blouse blanche, lance en main, se tiennent prêtes à transfuser le carburant, ce vrai sang d'aujourd'hui, que le piston transformera en force et en vitesse. Autour de ces fontaines bienfaisantes la vie a jailli des auberges se sont ouvertes, des déjeuners de soleil ont surgi, les terrains ont doublé de valeur; des villages neufs ont pris racine et les bourgs anciens ont nettoyé leur crasse et leur beauté séculaires Sur la place, les autocars bondissant sur leurs jumelés, zigzagant à travers la rue comme un battant de cloche, se sont arrêtés dans un grincement de freins, crachant la santé par ton-

tes leurs portières, vous faisant de

l'œil par toutes' leurs fenêtres. Bagages, colis, produits manufacturés, nécessités et délicatesses sont jetés pêle-mêle sur le trottoir. La cité respire, les classes se pénètrent, les campagnes revivent, l'argent circule, l'impôt rentre tout ce mouvement qui gagne Bir-n sa vie, qui voltige en riant par-dessus les crises et les nuages noirs, tout ce bon.neur vrombissant, cliquetant, toute cette joie à haut régime, c'est l'essence qui l'apporte.

L'essence, c'est le grand fleuve doré d'aujourd'hui c'est le Mississipi du percepteur, l'Amazone des impôts indirects, le Gange de la Trésorerie. L'argent des hommes

« Une rue du vieux Nice la rue Sainte-Claire»,

peinture par Christiane Oliveda. Cette toile, si juste d'impression, après avoir figuré à l'Exposition internationale de 1937, dans le pavillon de la Côte d'Azur, a été choisie' pour être envoyée à Strasbourg où est organisée une exposition touristique.

L'assassinat de M. Lo Pa Hong président de l'Action

catholique chinoise

Deux Chinois ont assassiné, hier matin, à Shanghaï, M. Lo Pa Hong, président de l'Action catholique de Chine, considéré, disent les dépêches, « comme un ardent nippophile ».

Cette mort est une grande perte pour les missions catholiques et l'Eglise de Chine tout entière. M. Lo Pa Hong était en effet un apôtre et un grand homme ile bien. Industriel se trouvant à la tète, à Shanghaï, de l'usine électrique et des tramways de la cité chinoise, dirigeant êgaleiuenfc une Compagnie de navigation fluviale. il avait une situation importante lui permettant de prendre des initiatives et d'être véritablement un chef, Extrêmement généreux et entreprenant îl organisa d'innombrables œuvres catholiques et créa à Shanghaï notamment l'immense hôpital des Soeurs de Saint- Vincent de Paul et l'hôpital des Franciscaines missionnaires de Marie, II avait fait venir les Salésiens, etc. Sa nomination comme président de l'Action catholique de Chine avait été fort bien accueillie et le Pape, il y a peu de temps, l'avait nommé camérier de cape

et d'épée.

Ce grand catholique chinois avait les meilleurs rapports avec le gouvernement (nationaliste de Tchang Kaï Chek. C'était un excellent citoyen, aimant beaucoup sa patrie. Aussi, suis-je à peu près certain que Jes accusations de nippophilie qui ont causé sa mort sont dénuées de fondement si on les prend dans le sens de trahison. D'après mes informations personnelles la vérité doit être la snivante les Japonais occupent Shanghaï. Pour vivre et subsister les œuvres catholiques chinoises et autres ont besoin forcément d'avoir des rapports avec les autorités japonaises. Que le président de l'Action catholique de Chine ait été ainsi amené à prendre contact avec les Japonais qu'il se soit montré correct vis-à-vis d'eux c'était naturel. Rien dans tout cela ne permet de l'accuser d'avoir trahi sa patrie.

Ce meurtre prouve une fois de plus •ù peuvent mener l'aveuglement et le parti pris des fanatiques qui ne veulent pas comprendre qu'il est des situations de fait dont on doit tenir compte et qu'il faut accepter quand il ne dépend pas de soi de les changer.

Paul Lesourd.

NOUVELLE ARTISTIQUE Le Grand Prix Artistique de l'Algérie été décerné, cette année-ci, au peintre Auguste Harzic, ancien pensionnaire de Ut, Casa Velazquex,

Par PAUL MORAND modernes s'en va par un trou à peine plus grand qu'un trou d'épingle le gicleur du carburateur. L'huile minérale jaillit du désert persan avec une si prodigieuse pres.sion qu'elle projette de la prospérité jusqu'aux Basses-Alpes et de la vie jusqu'en Ardèche. Or, là-bas, en Chaldée, elle sort à une livre Sterling les mille litres dans votre garage elle débouchera à deux francs quatre-vingts le litre. Entre ces deux chiffres, il y a, semble-t-il, place pour tous les profits et pour tous les impôts.

« Vous n'aurez pas la révolution en France, disait jadis, non sans en. vie, un dictateur, il y a trop de sixchevaux. » Nous n'aurons pas de révolution en France tant que l'essence ne sera pas chère, tant que la mécanique pourra conquérir en profondeur une clientèle qu'elle ne peut plus atteindre en surface. La voiture bon marché est à peine née; demain nous doit l'auto-fauteuil, la chaise à porteur à deux mille francs, le carrosse pliable, choisi et acheté sans plus de façons qu'un stylo dans les cheminées de Noël, au cours des années 40, il y aura des deux-chevaux entre les chenets. si le naphte, ce vin de la vitesse, dé. cuvé à Marseille, dégraissé à Sainte- Adresse, n'est pas tari à la dégustation.

Lorsque l'on étudie le rendement d'un futur impôt, on suppute ce qu'il doit rapporter mais évaluet-on ce que les autres cessent, du même, coup, de produire ? Peut-on' savoir d'avance ce qu'on tue et ce qu'on blesse de liberté, d'abondan.ce, de facilité ? Une politique intérieure qui prône justement la- circulation des hommes et des richesses et nous encourage au démarrage et à l'impulsion, qui dans ses discours parle de la machine-France et de l'auberge-France doit savoir que le fonctionnement de tout cela se traduit aujourd'hui par de l'es- sence. Nous ne sommes pas le pays des puits magiques, des flammes captées, des pipe.lines extravagants, des citernes-donjons nous sommes et devons rester la nation-bidon-decinq-litres. Une politique extérieure qui s'appuie sur de grands alliés pétrolifères se doit de remplir abondamment nos réservoirs à des prix moyens.

Aussi ne faut.il pas qu'on nous offre demain le naphte de Mossoul au prix de l'essence de rose. Paul Morand.

AUJOURDHUI

Bienfaisanoe. li Heures Exposition des poupées en costumes variés, créés par !<̃̃ S. S. li. M. ûe Lille {Hûtel au Figaro » )

Deuils. 9 heures Obsèques de Mme E Laurcnt (Saint- Lambert de Vaugirard). o n. 15 Obsèques du commandant Jean Leroy de La Brière (Saint-Pierre du Gros-Caillou).

10 heures Messo pour le repos de l'âme du colonel comte d'Astorg (SalntFrançois-Xavier)

n heures ObsÈques de M. Caorees Rabineau (Saint-François-Xavieri

COURS

S. M. le Roi des Belges et S. M. la Reine Elisabeth, sa mère, ont quitté Bruxelles pour se rendre pendant les fêtes auprès de S. A. R. la Duchesse Karl-Théodore de Bavière, mère de la Reine Elisabeth.

Les enfants royaux passent les vacances du nouvel an en Suisse. D'Innsbruck on annonce que le Roi Léopold est attendu à Kozhbuhel pour les sports d'hier. Le souverain, accompagné de son chambellan, compte y séjourner un mois.

A L'ELYSEE

Mme Albert Lebrun recevra, au palais de l'Elysée, les mardis de janvier, de seize à dix-huit heures. AMBASSADES

A l'occasion du bal annuel des sociétés françaises de Luxembourg, que S. A. R. le Prince Félix honorait de sa présence, S. Exe. le ministre de France, M. Henri Cambon, assisté de Mlle Cambon, a donné un diner auquel assistaient

Le ministre d'Etat et Mme Dupong, M. Auguste Collart, chambellan, et Mme Collart, dame d'honneur de S. A. B. la GrandeDuchesse le préfet de la Moselle, le général gouverneur de Metz, Mme et Mlle Giraud, général et Mme Delestraint, général et Mme Seron, général et Mme Odic, colonel et Mme de Verdillac, le sous-préfet de Thionville et Mme Léonard, M., Mme et Mil» Bivaud, Mme de Scnailhac, commandant Kientz. La comtesse de Kerchove de Denterghem, femme de S. Exc. l'ambassadeur de Belgique à Paris, recevra en l'hôtel de l'ambassade belge les lundis 2, 10 et 17 janvier, de dix-sept à dixneuf heures.

La comtesse Clauzel, femme de S. Exc. l'ambassadeur de France, recevra en son hôtel, 17 bis, rue de Pomereu, les mercredis de janvier, sauf le mercredi 5.

S. Exc. le ministre de Bolivie et Mme Patino ont quitté Paris pour se rendre aux Etats-Unis, où ils feront un séiour de quelques mois.

M. Manuel B. Llosa, commissaire du Pérou à l'Exposition de Paris, s'est arrêté avec sa famille à Vienne. A cette occasion, le consul général du Pérou en Autriche, le docteur Paul Hohenau, a donné en son honneur une réception à laquelle assistaient la plupart des chefs des missions des Etats de l'Amérique Latine. De Vienne, M. Llosa s'est rendu h Rome.

CERCLES

En l'hôtel du prince et de la princesse de Robech s'est tenue ces jours-ci la deuxième assemblée générale de l'Association des Amis de Mabillon fondée en 1936 pour l'encouragement des études monastiques en France sous la présidence d'honneur de M. Georges Goyau, de l'Académie française, et du duc de Lévis-Mirepoix, président de l'Association. Etaient présents

11* Résident <ju comité «TacjBiiHisJïsitioii

fiGARO-ACTUAI If :;S

A gauche les petites Princesses Marguerite et Brigitte de Suède au château de Drottningholm à droite: Cecilia Colledge, la championne britannique de patinage, et son fidèle Saint-Bernard à Saint-Moritz.

LES ECHOS

Victime du volant.

C'est à M. Pierre Michelin, disparu prématurément hier, qu'avait été confié le soin il y a huit ans de présenter aux réseaux de chemins de fer français et étrangers la première « Micheline s>, qui devait tonnaître par la suite le succès que l'on sait et attirer l'attention sur les possibilités des automobiles sur voies ferrées. Emmenant dans des voyages rapides les ingénieurs des différentes compagnies, M. Pierre Michelin se tenait au volant, car il y avait sur la première Micheline un faux volant, lequel d'ailleurs ne servait à rien et fut supprimé par la suite. Mais M. Pierre Michelin avait le goût du volant. Il ne se doutait point que celui-ci devait lui être fatal. Le chauffeur compatissant. Mercredi soir, une femme en pleurs, accompagnée de trois enfants en bas âge, restait désemparée dans la cour de la gare Saint-Lazare. Elle allait à la gare de l'Est et n'avait sur elle que de quoi prendre l'autobus ou le métro. Aller à pied, il n'y fallait pas songer, avec cette petite famille. Devant cette détresse, un chauffeur de taxi compatissant prit ces voyageurs démunis, de préférence à d'autres et les conduisit à la gare. Là, le brave chauffeur eut la bonne fortune de charger

ÎLE CARNET iO>fJ «FIGAKO»

des Amis de Mabillon et la princesse de Robech, le Rme Père abbé de Saint-Marlhi de Ligugé, le Rme Père abbé de Sainte-Marie de Paris, Mlle 31. d'Alverny, princesse Claude de Bauff remont. Mile M.-F. Beyler, M. J. de Boislisle, Dom G. Charvin, secrétaire général des Amis de Mabillon: M. et Mme Pierre Chêne, comte R. de C.herisey, Mme de Chocqueuse, Mme Constant-Canet, vicomte et vicomtesse J. de Croy, M. H. Dcbar, Mlle Fr. de Faramond, comtesse de Fels, M. E. Girod de l'Ain, comte Guy de (iontaut-Birou, Mme Georges Goyau, M. Pascal Guébin, M. Jean Guiraud, comte Jean de La Monneraye, Mme de La Villardière, professeur Gahriel Le Bras, comtesse E. de Lévis-Mirepoix, comtesse M. de Lévis-Mirepoix, M. Paul Mariehal, professeur Ed. Meynial, M. Jacques Meurgey, comtesse G. de Montesquiou-Fezensac, duc de Montmorency, M. Marcel Ouacliée, M. Alferd Péreire, M. Auguste Picard, marquis do Sayve, Mme Edouard Trogan, baronne d'Ussel, marquis et marquise de Valous, M. Jeau Marchai, etc.

Après quelques mots du duc de LévisMirepoix et les rapports'du trésorier de l'association et du directeur de la Revue Mabillon, le marquis de Valous a fait une causerie sur < Les cloîtres et la poésie courtoise ».

M. Georges Goyau a terminé la séance en mettant en lumière l'intérêt nouveau que suscitent à l'heure actuelle les études d'histoire monastique, et s'est félicité de cette renaissance.

A la suite de cette réunion intime, la princesse de Robech offrit un thé aux membres des Amis de Mabillon. Au scrutin de ballottage de l'Union artistique du 29 décembre, ont été reçus A titre permanent. M. Pierre RumeauGouttelongue, présenté par MM. Ernest de Mont ler et Henry Millet le comte Anthony de Bosdari (déjà temporaire), présenté par MM. Jean-Gabriel Domergue et B. de Rourilo.

A titre temporaire. M. Régnault Sarasin, artiste peintre, présenté par MM. Hermann Borel et Edouard Sandoz.

VENERIE

Le Club hippique parisien fera son deuxième laisser-courre simulé officiel de sa saison de chasse en forêt de SaintGermain-en-Laye le dimanche 9 janvier prochain.

Rendez-vous au lieudit Château-duVal. On attaquera à treize heures. Auparavant, déjeuner de chasse à Saint-Germain, a dix heures quarantecinq précises, et réception au même en. droit à l'issue de la chasse, vers dixsept heures.

Pour tous renseignements, s'adresser téléphoniquement au vicomte R. de La Gonterie-Orbigny, président du C. H. P., à Carnot 69-71.

NAISSANCES

M. Jacques Rivière et madame, née Hélène Arnoldoff, sont heureux d'annoncer la naissance de leur fils Jean. 25 décembre.

MARIAGES

Hier, au château de Ferrières, a été célébré dans l'intimité le mariage du baron Guy de Rothschild, fils du baron et de la baronne Edouard de Rothschild, avec Mme K. Krahmer, fille du baron Philippe Schey de Koromla et de la baronne, décédée.

La bénédiction nuptiale leur a été donnée par M. Julien Weill, grand rabbin de Paris.

S. Gr. Mgr Bottinelli, prélat de Sa Sainteté, a béni hier, en l'église NotreDame des Champs, le mariage de Mlle Thérèse Guillemin, fille de M. Edouard Guillemin, notaire honoraire, et de Mme Edouard Guillemin, avec M. Raymond Girard, docteur en médecine, fils du commandant Girard, chevalier de la Légion d'honneur, et de Mme Girard.

Les témoins étaient, pour le marié M. Bonamy, ingénieur, son oncle, et l'intendant militaire de première classe Mor-

AUX SPORTS D'HIVER

un Anglais qui, s'étant fait conduire dans un hôtel du centre, lui donna cent francs pour sa course. C'est l'intéressé lui-même qui nous a raconté cette intervention de la Providence.

JOSE GERMAIN

TRESOR DES HEROS

Lyautey, Laperrine, Mermoz, de Bournazel et d'autres.

«Voilà des pages en.traînantes, évocatrices de gloire. Ce livre est un Sursum Corda. » Georges Goyau,

de l'Académie française. Editions Spes 12 fr.

Bilan de Noël.

Le bilan de la Noël aux Etats-Unis se solde par cinq cent vingt-cinq morts, chiffre record. Jamais le père Santa Claus n'avait encore causé autant de trépas. Ceux-ci ont d'ailleurs les causes les plus diverses. On trouve des victimes d'accidents d'automobiles, de chutes sur la voie publique ou dans des escaliers, de rixes et enfin des morts par indigestion de dinde ou par asphyxie alcoolique. Triste bilan sans aucun doute, mais qui semble indiquer que l'éco-

van, chevalier de la Légion d'honneur pour la mariée M. Druot, inspecteur général de l'enseignement technique, commandeur de la Légion d'honneur, son oncle, et M. Léger, conseiller à la Cour des comptes, chevalier de la Légion d'honneur.

On annonce le mariage

De MUe Anne-Marie Duvivier avec If. Jacques Proffit de Mlle Suzanne CoulandDutheil avec AI. Henry Le Deschault de

INFORMATIONS

De Cannes

Ces fêtes de Noël qui viennent de passer ont rappelé les plus brillants moments de l'époque de la prospérité. Le cours de la livre y est bien pour quelque chose, mais il y a aussi des Français, et non des moindres.

Pour le réveillon, les Ambassadeurs ont battu leurs plus anciens records et doublé le chiffre des dineurs par rapport à l'année dernière. On reconnaissait au hasard dans la foule

Prince Bishmu de Népal, amiral l'fih Sinclair, sir Warren Norcott, sir Regiuald Blair, comte de Darnley, lady Orr Lewis, lady Hulton, baron Fonton, M. et Mme Léon Renier, vicomte et vicomtesse Kelburn, sir Henry et lady Hague, marquis et marquise Afan de Rivera, sir Henry et lady Ross Skinner, lady Hil1. Mrs Keth Trevor (Jane Marnac) et major Kelth Trevor, comtesse de Dione, comte C. de Montgomcry, M. et Mme Michel Détroyat, M. Eddy Edmond-Blanc, M. Guy Weisweller, etc. 1

Cette soirée fut le début d'une série brillante dans tous les « départements » du casino au théâtre, Jacques Thibaud donna un récital Valentine Teissier et Paul Bernard jouèrent Le Voyage. Cécile Sorel est annoncée pour une série de représentations. Dans le hall, Mayol précède les sœurs Schwartz et Lys Gauty. C'est la grande saison, déjà, sur toute la ligne.

Dans les hôtels, grande affluence. La comtesse de Welczeck, femme de S. Exe. l'ambassadeur d'Allemagne à Paris, est arrivée à l'hôtel Californie avec ses filles et son fils. Dans le même hôtel se trouvaient déjà

Duc de Lévis-Mirepoix, sir Robert Michel, ambassadeur de Grande-Bretagne au Chili, et lady Michel; sir Archibald et lady Mltchelson, baron d'Orville, baron van der Hoop, Mme Goldman, général et Mme Morgon, tady Samman, comte et comtesse Henry Goethals, vicomtesse de Breteuil, vicomtesse de Almocaden,1 comte et comtesse Jean de Beaucourt. docteur et Mme Porges, )I. et Mme Rosengart-Famel, etc.

Au Grand Hôtel

Lady JtÛcbclI Cotis, M. et Mme Michel Détrovat, Je consul Thorisen. M. et Mme Hoyer de Koning, M.. A, de Koning, M* et Mme A. de Limèlette, M. et Mme Le Bigot.' Au Gallia

LL. AA. RR. le l'rinee et la Princesse Gennaro de Bourbon, Mlle d'Alauzier, lady Hill, M. et Mrs Trevox \Katson,. général et Mi's Hort Symmot, M. et Mme Wyttenhovc, Mme Allatlne, etc.

Au Méditerranée

M. et Mme Rumeaux d'Equainviîle, sir Guy Robin, M. F. de Courtivron, M. et lime Haflcld Grcen, M. et Mme L. Olschki, M. et Mme J. Rieuiord, docteur et Mme Bretin, etc. Le bain de Noël est à peine entré dans la petite histoire saisonnière que l'on pense déjà à la bataille de fleurs du l" janvier. C'est la première fois que l'on commence une année sous un signe aussi aimable~\et 1938, si l'on en juge par ces prémicel, sera certainement garni de roses.

Au Polo, on s'entraîne pour la coupe de la ville de Cannes, qui sera disputée le 2 janvier.

Au Golf, on prépare les premières compétitions d'hiver.

Et dans une petite villa de la Californie, fuyant le monde, un couplg dc-

nonne américaine a reçu un coup de fouet à l'occasion de la Noël. Le (Sœur de Paris.

Le « Coeur de Paris est en or, sobre, le bon goût et rempli de douceurs. Qui ne serait heureux du don d'un tel cœur, accompagnant vos vœux. Il est, de plus, signé La Marquise Sévigné,

11, boulevard de la Madeleine.

Chocolat au sucre de bois. Les bonbons au chocolat que les Allemands mangeront à l'occasion du Jour de l'An ont été fabriqués pour la première fois avec du sucre de bois. Les ersatz auxquels les Allemands ont recours depuis la guerre ne traduisent pas seulement une nécessité, car il y a fort longtemps que nos voisins ont le goût des denrées de remplacement. Au siècle dernier, Xavier Marinier écrivait dans ses Lettres sur le Nord que, visitant la Poméranie, il avait été surpris de voir beaucoup de tonneaux de vin dans des régions dépourvues de vignes. « Sans doute, lui avait-on répondu, mais nous avons des groseilles, des cerises sauvages, du bois de campèche et de l'acétate de plomb. L'ersatz est une tradition. -*̃ Le Masque de Fer.

meure invisible S. A. R. le Duc et la Duchesse de Windsor.

Le baron Louis de Rothschild, le baron et la baronne Alphonse de Rothschild, venant de Vienne, sont arrivés à Paris et sont descendus, selon leur habitude, au Meurice. DEUILS

Hier ont été célébrées, en présence d'une assistance douloureusement émue, en l'église Saint-Louis des Invalides, les obsèques du vicomte André des Fossez, chevalier de la Légion d'honneur, médaille militaire, croix de guerre, décédé à la suite de blessures de guerre. L'absoute a été donnée par l'aumônier des Invalides.

Aux premiers rangs de l'assistance se tenaient le général Mariaux, gouverneur des Invalides, et le président des Grands invalides de guerre qui ont, tous deux, prononcé d'émouvants discours rappelant la belle conduite et te courage du regretté défunt.

L'inhumation a eu lieu au cimetière du Père-Lachaise dans le caveau de famille.

Nous apprenons la mort de la comtesse de Vaux Saint-Cyr, mère et belle-mère du comte C. de Vaux SaintCyr, conseiller d'ambassade, et de la comtesse C. de Vaux Saint-Cyr et du baron de la Chaise. Ses obsèques auront lieu lundi 3 janvier, à onze heures précises, en l'église Saint-François de Sales (rue Brémontier) où l'on se réunira. On annonce la mort de M. Fernand Merlin, sénateur de la Loire.

M. Fernand Merlin était âgé de soixante-huit ans. Il était docteur à Saint-Etienne lorsqu'il fut élu député en 1914. Membre de la Commission du budget pendant la guerre, il était au Sénat président de la commission de l'hygiène et il intervenait surtout dans .les débats où s'agitaient des questions d'assurances, d'éducation, d'hygiène ou de médecine. Il était inscrit au groupe de la gauche démocratique.

Nous apprenons la mort, survenue accidentellement à Montargis le 30 décembre 1937, de M. Pierre-Marc Michelin, industriel, cogérant de la Société Michelin et Cie, président et administrateur délégué de la Société André Citroën.

Ses obsèques auront lieu, en l'église Sainte-Jeanne d'Arc, à Clermont-Ferrand, demain samedi 1" janvier 1938, à neuf heures trente.

Réunion à l'église. L'inhumation aura lieu dans l'intimité le même jour au cimetière d'Orcines.

Ni fleurs ni couronnes.

Le statuaire Eugène L'Hoëst, chevalier de la Légion d'honneur, vient de mourir à Paris.

Nous apprenons la mort, survenue à Paris, de M. Cecil'Latta, âgé de trentequatre ans, fils de sir John et lady Latta.

Le service a eu lieu jeudi dans la plus stricte intimité dans l'église écossaise de la rue Bayard.

Nous apprenons la mort de M. Henri Bouly de Lesdain, ingénieur E. C. P. Les obsèques ont eu lieu le 24 décembre, à Gravelines. De la part de Mme Henri Bouly de Lesdain et ses filles, de M. Louis Bouly de Lesdain, avocat au barreau de Dunkerque, et de Mme Bouly de Lesdain; de M. Maurice Théry, avocat à la cour d'appel de Paris, et de Mme Théry.

Nous apprenons la mort de Mlle Guillemctto tEltincer, décédée à Paris

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(7 CLAJUUCrLt~L~? t\JUUL

COIFFURES DE REVEILLON

S'il est une antique coutume, dont la tradition nous vient des Romains, d'affronter l'an neuf, vêtus d'habits également neufs, il est peut-être également bon, de se coiffer le 1er janvier de quelque manière nouvelle.

La mode pour 1938, en ce qui concerne les cheveux, exigera de plus en plus, une chevelure soignée, lissée, brillantinée, disciplinée. La forme de la tête devra obligatoirement être sculptée, les cheveux,partagés en raies médianes ou obliques, sans aucune trace d'ondulation. Quelques coiffeurs préconisent la nuque plate, encadrée de cheveux brossés en biais, et roulés derrière l'oreille, d'autres au contraire, la garnissent de bou-

AU DERNIER MOMENT

La vie de Paris, en ces jours de fête, est énervante au plus haut point encore quelques heures, et, sous le gui, la nouvelle année verra se lever sa première aurore Nombreux cependant sont encore ceux et celles qui n'ont pu trouver le temps d'aller choisir le présent destiné à la femme, la jeune fille ou l'amie Modestes ou somptueux les bijoux font toujours plaisir à l'éternel féminin. Chez Clerc, 4, place de l'Opéra, sans perdre un instant, il est possible de trouver et de choisir le présent désire. Montres de toutes sortes, du soir, du jour ou pour le sport breloques d'or, de platine et diamants broches, clips, en pierres précieuses et pierres (fines boucles et clips d'oreille colliers, bagues, poudriers, étuis à cigarettes les plus divers, fixe-fleurs, bracelets et tout un choix important de bijoux d'orfèvrerie, travaillés avec un goût aussi raffiné qu'original.

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LE JEUDI ACADEMIQUE

L'Académie française a choisi M. Maurice Paléologue pour directeur et Mgr Grente comme chancelier pour ce premier trimestre de 1938.

Ils succéderont respectivement à M. Louis Bertrand et à M. Emile Mâle. Elle s'est occupée ensuite de son Dictionnaire et notamment du verbe activer, dont le sens, au point de vue mécanique et scientique a été précisé. A noter, aussi, que la Compagnie a discuté de quelques principes relatifs à la nomenclature des termes techniques.

Que ce sott aux environs de Paris ou dans tante autre région de France. vous trouverez la propriété idéale que vous cherches dans notre rubrique Meubles et Immeubles »

le 28 décembre. De la part de Mme William Œttinger, sa mère; de M. et Mme Maurice Martin du Gard, beaufrère et sœur, et leurs fils Philippe et Jean-Paul, ses neveux; de Mmes Paul Reclus et Ernest Bordes, ses tantes; de Mlle Madeleine Reclus, du professeur et de Mme Marcel L*âbbé et leurs enfants, de Mme Jacqueline Bordes, de M. et Mme Jean-Louis Bordes, des familles Œttinger, Habel, Lamunière et Forsans. Les obsèques auront lieu dimanche à Orion (Basses-Pyrénées).

Nous apprenons la mort de Mme Lucien Rolland, mère du docteur Jacques Rolland, médecin-chef du dispensaire Rockefeller, et de Mlle Hélène Rolland. Le service et l'inhumation auront lieu à Luzarches (Seine-et-Oise) dans la plus stricte intimité.

Nous apprenons la mort de M. Rémy Lachaze, intendant général du cadre de réserve, officier de la Légion d'honneur, pieusement décédé à Marseille, à l'âge de soixante et onze ans. Les obsèques de M. Emile Bayard, officier de la Légion d'honneur, écrivain d'art, inspecteur général des Beaux-Arts et membre du conseil supérieur des Beaux-Arts, ont été célébrées en l'église Notre-Dame des Champs.

Le deuil était conduit par Mme Emile Bayard, sa veuve, et M. Jean-Emile Bayard, du cabinet du président du Conseil, son fils.

Le président du Conseil était représenté par M. Valentin Abeille, chef de son secrétariat particulier; M. Siméon, chef du bureau de l'enseignement, représentait le directeur général des Beaux-Arts.

Au cimetière du Montparnasse des discours ont été pronocés par MAI. Adolphe Janin, des « Amis du Montparnasse» Demogeot, de la presse coloniale; Yvanhoë Rambosson, de la presse artistique Roland Charmy, des Ecrivains combattants; Jean Piot, ancien député; Paul Reboux, Pierre Chanlaine, au nom de la Société des Gens de lettres; Huisman, directeur général des Beaux-Arts, et Fernand Chapsal, ministre du commerce.

A Kobé (Japon) vient de mourir, après une courte maladie. Mme l'inet, née Jeanne de Segonzac, décédée à l'âge de trente-quatre ans. Elle était la fille de feu le comte Pierre de Segonzac et de la comtesse Pierre de Segonzac. On annonce la mort

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PETIT CARNET

De M. Paul Thiebaud, à Claniart

Au seuil de la nouvelle année, Quel plaisir de se rapprocher

Entre amis vers la cheminée

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clettes, disposées horizontalement: Ceci dépend du goût de chacune, de son style^' ` propre, et surtout de la forme de s* nuque. f'. De toutes façons, il importe que là ligne générale de la coiffure accentue le visage en hauteur, et termine la silhouette par un effet de panache, de flamme ou de casque. Tout excès trop apprêté, tout aspect de pièce montée, est absolument à proscrire,. le fin du finétant un art subtil imitant à s'y méprendre la nature, et qui traite les chevelures féminines, comme un jardinier traite le*, roses de nos jardins. Elaguant de-cl delà, sans jamais imposer trop ae rigueur. Comtesse de S.

vous êtes assuré du plaisir extrême qué vous procurerez. j Ouvert le Jour de l'An. )

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M. PIERRE MICHELIN président de ia Société Citroën a succombé à ses blessures Nous avons annoncé, hier, la tragique collision qui 1 se produisit près de Montargis entre les voitures de M..La»gorgette, chef du secrétariat particulier de M. Paul Faure, et M. Pierre Michelin, président de la Société Citroën. A 2 h. 45, M. Pierre Michelin, grièvement blessé, mourait après avoir été amputé.

M. Pierre Michelin était âgé de trente-

quatre ans.

Il était le second fils.de M. Edouard Michelin et le neveu de M. André Michelin. Associé à son père dans lit direction des Etablissements Michelin et Cie, à Clermont-Ferrand, il avait été nommé, en 1935, président et administrateur délégué de la Société André Ci« troën.

Sa droiture et sa bienveillance, la sûreté de son jugement l'avaient très rapidement fait apprécier par tous ceux qui le connaissaient, particulièrement par tout son personnel.

Valfleury.

LES OBSEQUES >

DE MAURICE RAVEL

ont été célébrées hier matin Les obsèques du compositeur Maurice Ravel ont été célébrées hier matin à Levallois-Perrel, eu présence de nombreuses personnalités. Le deuil était conduit par le frère du défunt.

Au nom du gouvernement M. Jean Zay a prononcé un émouvant éloge funèbre. « Il en fut, dit-il, de Maurice Uavcl comme de Gérartl de Nerval, de 13audelaire ou de Schumann il semble que la ténébreuse rancune des chimères doive fatalement s'attaquer à certains génies comme pour marquer de façon plus éclatante combien ils furent lumineux.

» Trop fier pour chercher des recoin» penses ailleurs qu'auprès de sa propre conscience d'artiste, et je dirai mémo d'artisan, Ravel n'a cessé de perfectionner son métier, d'enrichir son écriture, demandant des inspirations aux domaines les plus subtils et les plus précieux de l'art universel, tantôt il l'humour do Jules Renard, tantôt aux cristallines, ténèbres de Mallarmé, tantôt au romantisme minutieux d'Aloysius Bertrand. » Le ministre a retracé ensuite la car- rière du grand musicien.

» Je veux surtout, a-t-il conclu, marquer notre gratitude pour ce bienfait suprême que nous offre à jamais le $têuie de Ravel celui de nous rendre conscients des merveilleuses ressources, des chances des possibilités innombrables de l'intelligence htt*

inaine. » r

Hommage américain La disparition de Maurice Ravel « douloureusement ému la personnalité musicale du monde entier. Le télégramme ci-dessous que nous a adresse hier l'illustre chef d'orchestre Serge Nousscvilzky en est une preuve éclatante Le Boston Symphony Orchestra se joint au deuil des musiciens français pour pleurer la perle irrémédiable de Maurice Ravel, Sekgc Koussevitzkv.

LA lOURRBiE

La Flamme du Souvenir t A IS li. 30. il l'Arc de Triomphe. 3 A. (les 3e. 6e et 13e cuirassiers. t. Cérémonies } A IS li. 15. à Saint-Eus'tache 3alut do fin d'année. (Œuvres au Palestrina et

J.-S. iiarh).

A il li. 30. au Sacré-Cœur Veinée des Hommes de France (Les Dames ne «sont

pas admises). ̃'̃

-̃- A minuit, à Xoti'e-Uann; (les Victoi» l'es Messe de communion pour les Hoinnies, célébrée par -Mgr Yaleri.

Expositions

An Jeu de Paume des Tuileries ÇùoiX de collections permanentes.

-17, rue de Passj- Exposition Gumcry. 35. boulevard tic Courcelles Paj-safi-cs de Germ.-iine Ciboit. Itcllures de Suzuune Boiiillot (Clôture ](! 8 janvier).

A ia Bibliothèque Nationale Les enlumineurs français. (Clôture co soir).

LE Figaro

3 mois 6 mois un an 34 t'r 65 U: 125 fr, 60 » 115 > 100 >; 60 115 » 220 » » 85 » 165 > 320

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