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Titre : Figaro : journal non politique

Éditeur : Figaro (Paris)

Date d'édition : 1937-11-24

Contributeur : Villemessant, Hippolyte de (1810-1879). Directeur de publication

Contributeur : Jouvin, Benoît (1810-1886). Directeur de publication

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34355551z

Notice du catalogue : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb34355551z/date

Type : texte

Type : publication en série imprimée

Langue : français

Format : Nombre total de vues : 164718

Description : 24 novembre 1937

Description : 1937/11/24 (Numéro 328).

Description : Collection numérique : BIPFPIG63

Description : Collection numérique : BIPFPIG69

Description : Collection numérique : Arts de la marionnette

Description : Collection numérique : Commun Patrimoine: bibliothèque numérique du réseau des médiathèques de Plaine commune

Description : Collection numérique : La Commune de Paris

Description : Collection numérique : France-Brésil

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k4096831

Source : Bibliothèque nationale de France

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 15/10/2007

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L'ANGLETERRE ̃̃ ler

L'ALLEMAGNE

On ne sait encore rien

de précis du résultat

des conversations de

lord Halifax. C'est ce matin seulement que le Conseil des ministres britannique sera mis au courant. Même si nous savions quelque chose, la réserve s'imposerait donc. Peut-être s'impose-t-elle même plus en France qu'en Angleterre, la réputation d'indiscrétion de la presse française nous faisant le plus de tort outre-Manche. L'incident de la divulgation du plan Hoare-Laval est loin d'être oublié.

Au surplus, nous l'avons toujours dit, le voyage de lord Halifax ne comportait pas une « négociation », mais un échange de vues. L'opinion britannique n'attendait d'ailleurs rien d'autre. Mais cet échange de vues, elle le considérait d'un bon œil, même dans les milieux travaillistes. L'Angleterre souhaite ardemment, en effet, rétablir en Europe une atmosphère d'apaisement et de confiance. Elle le désirè, si l'on peut dire, par nature. Mais elle le désire aussi pour des raisons économiques et financières. Le malaise qui persiste dans le monde à ce sujet, les perspectives d'une nouvelle crise possible, n'est pas sans l'inquiéter. Elle est convaincue. elle n'a pas tort que seule une large détente continentale survenant sur le plan politique ferait susceptible de remettre tout d'aplomb et d'imprimer un nouvel élan aux affaires. Or, le rétablissement général des affaires n'importe pas seulement « en soi » à l'Angleterre. Les Anglais l'envisagent également sous l'aspect de leur politique intérieure. II ne-faut pas perdre de vue. en effet, que les législatures britanniques n'allant jamais jusqu'au bout de .leur cycle légal,, d'ores et déjà l'on commence à se: préoccuper, dans les cercles politiques anglais, et notamment dans ceux de la majorité conservatrice, de la prochaine consultation électorale, celle-ci aura lieu saus doute au printemps de 1939, et peutêtre avant si les circonstances s'y prêtaient. Or, pour aborder cette épreuve, l'on serait heureux, on:tre-Manche, qu'elle put coïncider avec une situation économique et financière satisfaisante, provenant elle-même d'une meilleure situation internationale.

En outre, à l'égard des conversations anglo-allemandes, l'Anglais moyen tient le raisonnement suivant ou elles amèneront de bons effets, et alors tant mieux ou il n'en sortira qu'une plus nette vision' des obstacles qui se dressent entre l'Angleterre et le Troisième Reich, mais alors ce résul- tat aura du moins celui de justifier davantage les durs sacrifices que nécessite le réarmement. Dans les deux cas, on ne risqué donc rien à causer.

Mais de quoi Arrangement, colonial ? L'Angleterre serait moins irréductible qu'on ne le croit sur ce terrain si une négociation de ce genre pouvait comporter, sur le plan des garanties de tranquillité politique, autre chose que de bonnes paroles. Europe centrale ? Mais qu'est-ce que cela signifie au juste ? Croit-on donc que l'Angleterre est libre de laisser à l'Allemagne «.les mains libres » sur ses frontières tchécoslovaque ou autrichienne S'imagine-t-on que la politique européenne se fait à l'aide de ces ima,ges d'Epihul ?.

La vérité est que la GrandeBretagne ne se prononcera jamais, à J'avance, d'une manière 1 décisive,' sut ces problèmes. On n'obtiendra pas plus d'elle comme e certains le voudraient (avec raison) qu'elle dît « Je ne permettrai jamais que l'on touche au statu quo », que l'on n'obtiendra d'elle un désintéressement, un blanc-seing, pour modifier ce siutu (//(o. Tout reslera toujours pour elle une question d'es- i pèce et c'est ne rien connaître de l' l'Angleterre que de préjuger ce qu'elle fera ou ce qu'elle ne fera pas dans telle on telle hypothèse. En juillet 1914, il n'y avait peut1 être pas dix Anglais qui eussent consenti à se battre pour la Serbie. Et pourtant, de fil en aiguille, le

5 août.

Nous croyons ne pas nous tromper, d'ailleurs, en avançant qu'avant le voyage de lord Hali'̃ fax l'Autriche avait reçu de Loudres des assurances enlevant toute consistance aux bruits qui ont couru au sujet de certain marchandage.

Ce qui est frappant, enfin, c'est que ce voyage a coïncidé avec l'annonce de l'ouverture des négociations commerciales anglo-américaines. Là est la grande différence qui sépare la visite de'lord ) Halifax à Berlin avec celle de lord Haldanc, en 1912. La presse autrichienne l'a fait remarquer avec raison.

raison, Wladimir d'Ormesson.

1.745 MILLIONS POUR LES FONCTIONNAIRES Le projet de M. Georges Bonnet approuvé hier par le Conseil des Ministres.

sera déposé jeudi sur le bureau de la Chambre

Le général Denain qui vient d'être élevé à la dignité de grand-croix de la Légion d'honneur.

La délégation des g auches reçoit des contre-propositions

du Cartel des Services Publics M. Dormoy reproche aux communistes leur « duplicité »

Le problème des fonctionnaires a fait l'objet, hier, de nouvelles délibérations de la délégation des gauches M. Georges Monnet a demandé aux -.représentants de la majorité un effort de bonne volonté égal à celui du gouvernement. La délégation a reçu ensuite une députation d'anciens combattants, puis les

LES JOURS SE SUIVENT

UN PEINTRE DES COURS

Les Cours sont eu deuil .-Philip de e Lciszlo est mort. H avilit peint tous les princes de ce temps: et toutes les princesses; et tous papes. Et les maréchaux. Et les plus jolies femmes de toutes les seasons. les avait peints et peintes avec aile étonnante virtuosité et nue courtoisie remarquable. Il faut cire Goya et posséder une autorité peu ordinaire, lui réalisme intime plus intense que le respect, pour marquer son roi des vérités sons fard de la vie. Les peintres de Cour sont tenus généralement à plus de déférence et cette déférence met un galbe cl une convention sur leur talent. Voyez un peu l'utmosphère des Tuileries et de Fontainebleau. La femme y avait repris avec l'Impératrice, une primauté perdue sous le Premier Empire. Quel peintre eut osé altérer cette grâce ? Winlcrhaller, Diaz, l'un et Vuulrc d'origine étrangère et accueillis la Cour, assoupli-

rent leur manière jusqul'à donner à

tous leurs modèles les mêmes délicatesses et les mêmes séductions. Ce fui aile période de portraits enchantés. Il fallut Manet pour rendre les visages à la vérité en descendant de la Cour à la rue.

Laszto aussi était ait étranger à Londres, puisque Hongrois naturalisé Anglais assez lard; mais s'il vivait à Londres, il avait installé sou chevalet dans toutes les capitales d'Europe et d'Amérique. On petit écrire sans ironie qu'il uvait' pousse fort loin l'art de « rendre » les perles cl les uniformes. Il laissera quelques beaux décolletés et quelques belles cuirasses et témoignera pour un temps, le nôtre, où il y avait encore des milliardaires a New-York, des princes en Piémont et des maréchuux en France. Je me rappelle l'avoir vu exécuter à Thorey le portrait du maréchal Lyautcy, ce qui donna -lieu à dex scènes très vivantes. Les « poses » s'effectuaient le matin dans la vuste bibliothèque, située au rez-de-chaussée de la demeure et le maréchal, le soir venu, déployait dans des conversations familières les grâces d'un esprit étincelant. Il était alors la vie même, quittant sa place pour chercher un livre, ou un dossier, examinant un.\ in-quarto sur quelqu'une de ces ta-\

blés qui participaient à son ordre

particulier; on commentant un texte

de mémoire; ou s'enUwusiasmant

d'un souvenir. Celle activité, liée profondément aux nécessités de soit naturel, comme aux besoins de son '1 esprit, devait cesser dès lors que Phi- lip de Laszlo le peignait. Le maréchal ne tenait pas en place; et Laszlo désespéré saisissait une expression ou un reflet en lançant son pinceau sur sa toile, de loin, comme un coup de fleuret. Lyautey impatient nous interrogeait « Comment est-ce ? De quoi ai-je l'air ?. Expliquez lui qu'un général ne place pas son sabre en travers de ses jambes, que s'il le portait ainsi, il se ficherait par terre. » Laszlo s'arrêtait de peindre, le visage rouge jusqu'au crâiie, et déclarait doucement, en anglais, qu'il n'a- vait jamais rencontré ait modèle si turbulent, que pourtant il avait peint tons les rois et même le pape. La séance achevée, le maréchal enune-, nait tout le monde dans la campagne. Une Lorraine d'automne, défcuillée j cl froide, nous offrait alors sa nudi- j

sans parure. Ht l'aimable Laszlo j

semblait tout à fait dépaysé. Laszto'j

scmblail ta«f à farl dépayaé. `I

Gucrmantes,

Le Conseil des ministres d;hièr matin n'a pu discuter tous les problèmes qui étaient inscrits à son ordre du jour particulièrement chargé. C'est ainsi qu'on renvoya à une autre séance la question du relèvement des tarifs de chemins de fer et le projet portant ouverture des crédits nécessaires pour la prolongation, en. 1938, de l'Exposition universelle.

Au cours de la délibération gouvernementale, il y eut un long échange de vues sur l'augmentation des traitements des fonctionnaires et deux importants exposés, l'un, de M. Albert Sarraut, sur les travaux du comité de coordination des affaires nord-africaines, l'autre du ministre de l'Intérieur, sur les résultats de l'enquête policière menée à propos du « complot des néo-cagoulards ».

(Lire. page 4 le communiqué officiel.)

si ns

représentants du cartel des fonctionnaires, qui ont maintenu Jeurs revendications.

Après leur départ, MM. Frossard et Albcr-tin proposèrent une nouvelle formule transactionnelle la majoration de l'indemnité de vie chère serait allouée avec. rappel, depuis le 1" octobre (au lieu du 15) et l'indemnité de résidence prévue au projet gouvernemental serait relevée. de 10 0/0.

L'opposition des communistes empêcha que .lu. délégation lit sienne à-l'una.nimité1 lu solution suggérée par JIM.- Frossard et Albertin.

M. Oorinoy, qui assistait au débat, reprocha alors à M. Duclos la duplicité de son parti, qui proclame sa fidéliic é. au gouvernement sans rien négliger jiar ailleurs; .pour rendre sa "tâche plus difficile..

La délégation des gauches chargea M. Elbel de transmettre au cartel des fonctionnaires la proposition nouvelle. Après le dîner, les représentants des fonctionnaires apportent, au lieu d'une réponse, plusieurs questions ils demandent au gouvernement, par l'intermédiaire de la Délégation des gauches 1" Si les mesures proposées par MM. l'Vossard et Albertin s'étendront aux auxiliaires,/ et d'autre part aux agents des services concédés, ainsi que des services départementaux et communaux. Si des compensations seront accordées aux agents de l'Etat qui ne touchent pas d'indemnité de résidence. 3" Si le gouvernement s'engage, en cas' d'accord, à soutenir le projet Frossard-, Albertin devant les deux assemblées. En outre, les fonctionnaires demandent une augmentation de 50 0 U des crédits prévus pour les retraites. Après une demi-heure <le débat, la Délégation a décidé de transmettre ces contre-propositions au gouvernement, et de se réunir de nouveau ce matin. Dans la nuit, M. Giron, secrétaire du Cartel des service publics, a fait une- déclaration qu'il termine en laissant entrevoir un accord pour aujourd'hui, « si Ie cartel obtenait certains avantages pour tes retraites. » P. C. °

'tllllllllllillUIIIIIUlHIIIIIIIIMIllllHllIHUIIIIIIIIIlllllllilltHIllllm

DEMAIN :̃̃

MAURICE DONNAY de l'Académie française

LES ACADEMICIENS DE BELGIQUE CHEZ LEURS. CONFRERES FRANÇAIS ,1

̃̃ ̃ .> t

Mme Colette. que l'on voit ici au milieu d'académiciens belges et français, a assisté hier, au titre de membre de j a l'Académie de langue et de littérature françaises en Belgique, à la séance privée de l'Académie française, j (Lire le compte rendu en deuxième page)'

APRES LE VOYAGE DE LORD HMJFAX

LA QUESTION COLONIALE AURAIT FAIT seule

l'objet des entretiens de Berchtesgaden Le Reich entend traiter directement avec ses voisins (De notre correspondant, par téléphone) Londres,' 23 novembre,' Ceux, qui espéraient avec une louable bonne toi que les entretiens de lord Halifax à Berlin pouvaient avoir d'autres conséquences que d'établir un contact plus étroit entre Ilondres et Berlin doivent être déçus. Ils vont même regretter que de tels échanges dé vues « au lieu d'éclaircir quelques intentions ou d'amorcer une négociation, ou un rapprochement t> ne fassent qu'élargir le fossé qu'on cherchait à combler. (i. U. {Suite patfv0; colonne 3)

MM. CHAUTEMPS ET DELBOS IRONT-ILS A LONDRES ? LONDRES, 23 novembre. Dans les couloirs de la Chambre des Communes, le bruit courait ce soir que le premier ministre, M Neville Chamberlain, et M. Eden, secrétaire d'Etat au Foreign Office, avaient respectivement invité le président du conseil, M. Chautemps, et M. Yvon Delbos ministre des affaires étrangères, à venir à Londres dans le courant de la semaine prochaine, pour s'entretenir avec eux de la situation internationale.

Ces invitations auraient déjà été acceptées, paraît-il, et les entretiens au.raient lieu à Downing-Street.

L'AVIATION ALLEMANDE marque aujourd'hui une avance sensible sur l'aviation française Elle bat chaque jour 4e nouveaux records* Pourrons-nous combler ce retard ?

Après le record de vitesse pure en avion battu il y a douze jours par l'Allemand Wurstèr, avec plus de 611 kilomètres a l'heure, l'aviation allemande se signale à l'attention de l'univers par une nouvelle performance de qualité celle de Nietscbke. qui ainsi que nous l'avons signalé, hier a couvert 1.000 kilomètres avec .r>00 et 1.000 kilos de charge à 504 kilomètres 000 à l'heure. Le record des Italiens Biseo cl Bruno Mussolini d'une part, sur 1.000 kilomètres avec 500 et 1.000 kilos de charge, qui était dc430 kilomètres 620 depuis le 21 novembre, et celui de Furio 'Niclot, d'autre part, sur 1.000 kilomètres sans charge, qui était de 475 kilomètres 548 depuis le 10 avril 19ii7, sont donc largement battus.

Le record du montlp de vitesse sur 1.000 kilomètres, avefc 2.000 kilos de charge, reste la propriété des Italiens Biseo et Bruno Mussolini qui, il y a trois jours, ont amélioré leur précédent record avec 430 kilomètres 620.

Il y a quelques mois, l'aviation italienne se manifestait par. de brillantes performances dans le domaine de la vitesse. C'est aujourd'hui l'aviation allemande qui lui succède.

Il fut un temps pas si lointain où l'aviation française s'imposait indiscutablement dans cette spécialité. Grâce aux prototypes créés pour la Coupe Déutsch de la Meurthe, Delmotte fut détenteur du record du monde de vitesse sur base, puis Détroyat triompha aux Etats-Unis des meilleurs appareils et des meilleurs pilotes américains. Ce temps n'est plus

André Reichel.

(Suite page 3, col. 1 et 2.)

Lesacagottlards» voulaient instaurer un régime de^clatare

qui devait précéder

la restauration de la monarchie déclare une note officielle du gouvernement Sept personnes interrogées quatre mandats d'amener ont été décernés

LE MINISTERE DE L'INTERIEUR A COMMUNIQUE, HIER, A 22 HEURES, LA NOTE OFFICIELLE SUIVANTE

.C'est un véritable complot contre les institutions républicaines qui a

été découvert.

Les investigations des services de la Sûreté nationale et de. la Préfecture de police, qui déploient depuis des semaines l'activité lu plus méritoire, ont abouti pour le montent à la saisie d'un important matériel militaire en grande partie de provenance étrangère fusils mitrailleurs, fusils de guerre, mitraillettes, revolvers, grenades, cartouches, explosifs, etc. La perquisition opérée au siège de la Caisse Hypothécaire Maritime et Fluviale, 78, rue de Provence, dont l'administrateur-délégué est M. Deloncle, ingénieur-conseil aux Chantiers de Penhoe'i, a. établi qu'on se trouve ell face d'une organisation secrète paramilitaire entièrement- calquée sur les services de l'armée. ,Elle comprend un état-major, un 1"2*, Ji° et 4" bureaux, et un service sanitaire. La répartition des effectifs en divisions, brigades, régiments, bataillons, etc., montre le caractère indiscutable de guerre civile de cette organisation.

Les doeuments saisis établissent que lés çpupàbles s'étaient assigné pour but de substituer à la forme républicaine que notre pays s'est librement donnée, un régime de dictature devant précéder la restauration de la monarchie..

̃ (Suite page 3, colonnes 6 et 7) ̃'̃'

DEUX GRANDS CHEFS SE RENCONTRENT

A Malte, le vice-amiral sir Dudley Pound, commandant en chef des forces navales britanniques en Méditerranée (à droite), est reçu, à bord du croiseur « Algérie », par le vice-amiral Abrial qui commande l'escadre française. DEVANT LES ASSISES DE ISEWESTJ}^

̃ m .I.M .̃̃–̃ m, f

Accusée d'incendie volontaire, celle qui fut Carmen ou Dalila a-t-elle été victime

d'étranges coïncidences ?

LE JURY EN DECIDERA CE SOIR 1 PAR'HENRI VONOVEN

Pour toucher de la compagnie d'assurances une forte indemnité, Mme Victorine Herbelot â-t-ellê .volontairement mis le feu à son hôtel des Tilleuls, sis à Saint-Hilarion (Seine-et-Oisc) ? A la fin de cette première audience, on est tenté de répondre Il n'est pas impossible. Mais on préfère attendre l'opinion qu'exprimera ce soir le jury dans son il verdict on t'adoptera, faute de la preuve qui enlève les convictions. Quand il s'agit de la peine de mort, il convient de se montrer réservé..

L'aspect, l'attitude de l'accusée, dont nous avons conté hier la vie accidentée, dès l'abord plaident en sa faveur. Elle entre à l'audience ces yeux qu'elle sent, fixés sur elle, cette salle dont elle est le point de mire, qu»k souvenirs évoques sans doute elle revoit l'orchestre des théâtres de Strasbourg, d'Oran, de Toulouse, de Bruxelles ou d'Anvers. Elle

_1

sourit tristement, sans' cabotinage, à ceux qu'elle reconnaît parmi les auditeurs assis à ce parterre que forment les bancs des témoins. Elégamment coiffée d'un chapeau que deux petites ailes décorent, elle porte un manteau col de fourrure cossu et discret. Elle est grande, corpulente. Ses cheveux noirs ne sont argentés encore d'aucun fil blanc seules, les paupières, alourdies et gonflées, dénoncent la cinquantaine. Les gestes de cette incendiaires présumée ont de la distinction. Elle appuie sur la barre devant elle le bout de ses doigts gantés de noir. Elle parle peu, mais parle bien; discutant sur le ton courtois d'une dame en visite.- Son. passé qu'on raconte fait monter à ses yeux des larmes qu'elle s'efforce de réprimer. Elle était au couvent encore, quand ses traverses ont commencé. Son père, qui avait de la fortune, est mort ruiné. Elle a suivi sa mère en Pologne, cri Autriche. Elle a enseigné le français, appris le chant, bien gagné sa vie au théâtre. Surtout elle a connu l'aisance après la guerre, grâce aux subsides d'un ami fort riche, un industriel hourguignon, marié, généreux, aimant et de bon conseil, qui payait ses dettes sans se plaindre ni s'étonner. La femme légitime, perpétuellement malade, connut cette liaison. Elle fit promettre à son mari de ne plus revoir la chanteuse. Il tint parole. Mais il ne promit pas de cesser ses libéralités. Victorine Saillard, grâce à lui, put garder son train de vie. « Je pouvais l'aider, et c'était pour moi un devoir», disait-il à la barre où il était cité hier. Il ne fut plus le tendre ami, il resta le bon parrain, toujours prêt à intervenir à l'heure des douloureuses.

Alors, pourquoi cet incendie, doublé d'une vaste escroquerie, au préjudice de la compagnie d'assurances ?. Parce que Victorine Saillard fait bien la cuisine, ou le croit'Parce qu'elle voulut monnayer cet' art et transformer en hôtel de. touristes et cabaret sa villa des Tilleuls parce que, pour être une bonne hôtelière, il faut des qualités extra-gastronomiques que n'avait pas, la chanteuse, pas femme d'affaires pour un sol, et que même au temps de la prospérité, il ne manquait déjà plus une auberge pittoresque en Seine^-et-Oise quand elle ouvrit la sienne. Les affaires allaient mal, malgré la large et bienveillante hospitalité que recevaient les clients à son hôtel.

C'était devenu, dit-on dans le pays, une espèce de maison de rendez-vous ? 2 demande le président.

On .m'en voulait, répond l'accusée. Le président. On vous disait hautaine.-

R. Les gens étaient jaloux.

Le président. Quand vous avez été arrêtée, vous avez fait d'étranges aveux! Vous avez déclaré que vous aviez eu des relations avec un jardinier de Rambouillet, un acteur de cinéma et un hôtelier de Montfermeil. Pourquoi nous dvoz-vous raconté cela ?

R. J'avais perdu la tète

(Suite page 3, coL 1 et. 2,).

CHRONIQUE

LA PASSAGÈRE

Par HENRY BIDOU

LE bateau venait de quitter le quai de Liverpool, le cap sur l'Amazone. « Nous allons faire un beau voyage », dis-jé à la pas.sagère..

Elle était droite, rose, blonde, bleue, solide et élancée. Elle jeta un regard sur le groupe des touristes. C'étaient pour la plupart des gens d'âge. « Ce 'que je regrette, dit-elle, c'est de ne pas avoir emporté mes bottes. »

Je la regardai avec une surprise qui, j'espère, ne se voyait point. Et je lui dis, du ton dont on flatte un cheval ombrageux « Qu'auriezvous fait de vos bottes ? » « Je les aurais mises pour aller dans la forêt », répondit-elle.

Vous comptez vous promener dans la forêt vierge ?

Elle me regarda si droit que le bleu de ses yeux parut au point d'éclater. « Bien sûr, répliqua-t-elle avec mépris. Vous ne pensez pas que je vais jusqu'à l'Equateur pour moisir sur ce bateau. Pendant qu'il fera escale à Manaos, je suis bien décidée à explorer un peu le pays. C'est ce qui rend le voyage amusant. Vos fleuves de deux lieues de large me font l'effet de grande» routes. Je veux aller chez les Indiens. Je veux remonter les petites *8 rivières en pirogue. Je veux passer une nuit au clair de lune. Je veux chasser le crocodile. Ave quoi cela se tire-t-il ? »

Je l'ai vu tirer avec une winchester, répondis-je. C'est d'ailleurs un animal très intelligent. Quand il est touché, il fait lui-même le rigodôn avec sa queue, et il disparaît.

Elle tourna vers moi des yeux .redevenus ingénus. On doit bien trouver des fusils à louer dans le pays », dit-elle.

Je l'entretins de mon mieux dans ces dispositions guerrières. Je n'y; eus point de peine. A mesure que nous approchions des Tropiques, une âme de jeune sauvage fleurissait sous cette apparence de Parisienne. Chateaubriand abordant les Natchez n'avait pas plus de curiosité intrépide. Si bien qu'un pea alarmé, je crus devoir risquer quel- ques objections. Il eût été vain de vouloir l'effrayer avec le jaguar et le boa constrictor. J'essayai de lui faire peur avec les chauves-souria. « Elles sont couvertes de fourrure, lui dis-je. Elles ont une petite feuille sur le nez, et deux incisives aiguës, avec lesquelles elles, vous piquent l'orteil. Le sang ne fait que traverser leur corps et on le retrouve en flaque, quelques centimètre! plus loin. On a pu estimer ainsi la rasade de sang qu'elles s'offrent. Elles poussent la perfidie jusqu'à éventer la victime avec leurs ailes, pour qu'elle ne s'éveille pas trop tôt. »

J'avais fait fausse route, car la Passagère est brave et on ne l'épouvante pas avec des contes de noui> rice. Elle me dit avec cet air dégoûté dont elle commence les diseussions « Il faut bien risquer quelque chose. » Je n'insistai pas et je me promis seulement de revenir à la charge le lendemain, en faisant donner cette fois les moustiques. Mais le lendemain je la trouvai sombre. Le sel de la mer, mordant cette peau trop tendre, avait fait pousser au coin du front un bouton gros comme une tête d'épin- gle. A vrai dire, cette injure sur ce teint était à peu près invisible, et on ne la distinguait qu'à jour frisant. Mais la Passagère, tourmentée de souci, ne dormit pas de la nuit et, le jour suivant, un second bouton, un peu plus gros, apparut au tournant du menton. Cette fois, elle éclata de fureur et de désespoir. « Vivement Paris s'écriait-elle. Paris Paris Qu'est-ce que je sui» venue faire dans ce pays ?» « Vous êtes venue chasser le lion », lui dis-je.

Elle avait aussi du souci pour ses boucles, que le coiffeur du bord ne saurait pas refaire. Parfois, cependant, elle reprenait courage, et la grandeur de son aventure la distrayait de,ses maux. A Madère, elle acheta ces bottes basses, de cuir jaune cerné de rouge, que tout le monde porte dans le pays. A Céara, où nous touchâmes la côte américaine, elle aperçut avec ravissement une montagnette de 900 mètres, et on ne put l'empêcher d'en faire l'ascension. Elle vit, piqués sur la plage comme des papillons, ces radeaux à voile, ces jangadas dont Jules Verne a popularisé le nom. Et on ne put l'empêcher de partir sur cet assemblage sommaire de quelques poutres et d'un peu de toile, et de s'y faire arroser par la grosse me* pendant plusieurs milles. Aiusi pré» ludait-elle à de plus grands exploits. (Suite page 3, colonnes 1 et 2)


LES IMMORTELS FRANÇAIS REÇOIVENT ?

J-EURS CONFRERES DE BRUXELLES u.Et de la sorte Mme Colette et M. F. Brunot prennent place, une heure durant,

Plus de vingt Immortels français, accompagnés d'un contingent fort imposant de l'Académie de langue et de littérature françaises de Belgique, passaient hier le seuil de l'Institut dans une cordialité chaleureuse qui a fait bien augurer de la température de l'amitié franco-belge.

Un discret écho « noce paysanne », dans le sens poétique, animait cette cordialité. Les Immortels, à Bruxelles comme à Paris, sont gourmands ils avaient été à déjeuner les hôtes de l'ambassadeur de Belgique, et l'on devine quelle fut la chère. Ce fut une séance défendue aux journalistes, mais aux à-côtés curieux et fort attrayants que celle où l'Académie française a invité pour quelques instants à ses travaux la jeune mais illustre Compagnie belge. On n'eut d'yeux que pour une femme. Les Quarante, qui ne sont pas misogynes dans le particulier, mais le sont en corps et ont toujours refusé d'admettre à leur Immortalité une femme écrivain, si illustre et géniale qu'elle soit, ont dépensé hier des trésors de galanterie. « A titre belge », Mme Colette siégeait en invitée chez les Quarante (et noterai-je aussi que dans son ombre s'était introduit, à titre belge également, le plus terrible contempteur des talents grammaticaux de l'Académie française, M. Ferdinand Brunot ?)

L'auteur de La Vagabonde arriva devant le grand escalier, donnant le bras à M. Paul Valéry. M. Abel Hermant, qui remplaçait le secrétaire perpétuel souffrant, était à la gauche de la romancière et sut, dans un baise-main, mettre de la partie la fleur de l'élégance.

Le comte de Kerchove de Denterghem fut le seul profane admis aux honneurs de la séance. Du moins nous a-t-on fait quelques confidences à la sortie.

M. Gabriel Hanotaux, les portes étant bien closes, prononça une allocution de bienvenue. « C'est la langue française, qui nous réunit, déclara le doyen de l'Académie. Pour que le monde jouisse des heures plus douces qu'il attend, il faut que les pensées soient justes, les paroles claires, la langue pure. C'est à cela que s'emploient nos Académies, missionnaires de la paix, parce qu'elles n'ont qu'un seul objet, un grand rêve: qu'on se comprenne, qu'on s'entende! x

M. Carton de Wiart, directeur de FAcadémie belge, eut pour les Qua-, rante un remerciement d'une rare distinction « C'est un grand danger, dit-il, d'aujourd'hui et de demain que cette foule immense ouverte à la lecture par l'instruction gratuite et obligatoire et sur laquelle les inventions nouvelles de la typographie font déferler un flux incessant de médiocrités et de laideurs. A cette marée toujours montante, le souci de la perfection individuelle n'oppose plus les mêmes digues qu'autrefois. Et c'est pourquoi, menacés d'une barbarie nouvelle, nous sommes plus sensibles au bienfait de ces âmes de

LES ANIMAUX DE LA CRECHE LES CHIENS EN SOIE ET LA CROIX.ROUGE En arrivant chez Mme Edmond Gil? let, nous avons trouvé les beaux salons de la rue Barbet-de-Jouy envahis par des animaux et par de très jolies femmes. Mais c'était les bêtes, et non les belles, qu'on apercevait tout d'abordi parce que l'âne était « grandeur nature », que le coq était un doublecoq et que la meute des chiens semblait si nombreuse qu'on se serait cru à la Saint-Hubert.

Nous avons d'abord appris cette chose étrange que, du coq à l'âne, tous .ces animaux sortaient d'un chapeau haut de forme.

iCes « tout-reflets », nous expliqua Mme Gillet, étaient fabriqués avec de la peluche de soie, savamment collée et lustrée. Lyon avait monté des métiers pour cette matière, mais un c3t prlce de la mode une négligence a renversé le règne du « gibus et nos artisans se seraient trouvés sans travail s'ils n'avaient utilisé cette peluche à la fabrication des jouets et plus spécialement de ces animaux dont les enfants raffolent pour leurs étrennes. On ne peut voir, en effet, de bêtes plus vivantes, plus amusantes que celles-ci chiens ironiques, chats affectueux, éléphants presque sacrés, poussins, oiseaux, lions, animaux de la crèche et de la jungle ne sont pas que des jouets, mais aussi des ornements de studio et surtout des porte-bonheur pour 1938. Es porteront même des bonbons, si l'on veut confier des chocolats à leur abdomen qui s'ouvre sur une fermetureéclair. C'est dire s'ils peuvent être utiles et agréables. Mais ils sont surtout bienfaisants.

Car ils portent déjà au cou une petite pancarte, qui annonce « Je serai vendu à parti du 1" décembre, 9, rue Royale, au bénéfice de la Croix-Rouge française, (S. S. B. M. XIII* arrondissement). » Ce sont donc des animaux très bons, qui partageront leurs bienfaits entre tous les enfants, donnant la joie aux uns et la santé aux autres. En les achetant pour étrennes, on fera coup double on amusera les siens, on aidera les autres.

Toute cette ménagerie a été classée en trois catégories les gros, les moyens et les petits. Les uns rédlament 120 fr., les autres se contentent de 60 francs et Jes plus petits se donnent pour 20 fr. Notons donc qu'une équipe de dames vendra ces animaux dès le 1" décembre et que l'on peut commander par téléphone (Anjou 51-52) ces jouets sympathiques, amusants, jolis, bienfaisants et miraculeux, puisqu'ils sont des portebonheur.

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8, rue Cambon (pris Concorde) OPEra 22-38

BAR SALON DE THÉ Un coin de la vieille Angleterre au centre de Paris

Qualité et service impeccables, dans une atmosphère de courtoisie et bon coût. SPECIALITES snndwiclie* cake rare-bits etc., etc..

parmi tes Quarante

résistance qui nous apparaissent > comme une sauvegarde des droits et des devoirs de l'intelligence et de l'imagination créatrice. Votre Académie est le sommet lumineux d'où se répandent à travers le monde la sagesse, la clarté et le sourire du génie français, »

C'est un beau compliment.

Puis, pour donner sur le vif un aperçu de leurs bienfaits, les Quarante firent « du dictionnaire » un peu de dictionnaire ils ont défini un mot, et celui même qui faisait le mieux valoir leurs sentiments accueil.

Vers cinq heures et demie, hôtes et invités sortaient de la salle des séances avec ces visages animés qui témoignaient de l'intérêt et des plaisirs que chacun avait pris à la rencontre.

L'héroïne du jour, Mme Colette, était au bras de M. François Mauriac. Elle parlait « métier » si elle est de nos meilleurs critiques dramatiques, on sait que M. Mauriac faisait avant-hier ses débuts d'auteur. Nous espérions d'elle des confidences de première saveur sur son stage éphémère dans la glorieuse Académie: elle tint à donner l'exemple même de la discrétion et ce n'est pas par la crainte d'un défaut réputé féminin que les Quarante pourront à l'avenir justifier leur refus d'ouvrir à des femmes les hautes et vénérables portes de leur Compagnie.

̃- Maître, demandai-je M. Carton de Wiart, quelles sont vos im- pressions de cette séance ?

L'éminent académicien belge eut un accent chaleureux

Séance intéressante! Elle nous a permis de comparer nos méthodes car, à Bruxeîles aussi, nous travaillons au dictionnaire et, pour être de langue française, ce n'est pas tout à fait le même :,nous conservons beau* coup de vieux mots.

M. Ferdinand Brunot gagnait, solitaire, le quai Conti. Que pensait l'illustre linguiste, qui fut si combattif à l'adresse de la Compagnie? Je me suis abstenu, nous souffla-t-il, de prendre part au débat. Ainsi régna, sur cette haute rencontre franco-belge, une paix sans nuages.

Le soir, les Quarante offrirent un banquet à leurs hôtes belges. Et M. Georges Duhamel, expert gastronome de la Compagnie, avait reçu la mission d'établir le menu au dessert, on ne lui ménageait pas les compliments.

La cuisine vaut bien le Diction-,naire pour l'euphorie d'une bonne amitié.

Louis Chauvet.

AUJOURD'HUI

Mariages. il h. 30 Mlle Françoise Bournisien et M. Alexis Failliot ( NotreDame de Grâce de Passyj.

Cercles. 17 heures Assemblée g-ônérale de l'Association franco britannique (Cercle Interallié).

Deuils. 10 ù. 30 Messe anniversaire por le repos de l'âme de la marquise de Rochechouart (Saint-Philippe du Roule). Il 1 heures Mes'se anniversaire pour la comtesse Paul de Bonvouloir (Saint-Pililippe du Rflule^

COURS

S. A. R. le Comte de Paris- est arrivé hier à 14 h. 25 à l'aérodrome d,'Jîyere, près de Bruxelles, rentrant de Suisse.

Un service funèbre à la mémoire de S. A. R.'la Grande-Duchesse Cécile de Kêsse, née Princesse de Grèce, et des membres de la maison de Hesse victimes de la catastrophe d'Ostende a été célébré hier à midi en l'église grecque dé la rue Georges-Bizet.

La cérémonie- était présidée par l'archimandrite Polakis.

S. A, I. et ,Ç. la Princesse J^icolas de Grèce, Grande-Duchesse de Russie, représentait la famille, dont les autres membres habitant Paris- s'étaient Vendus aux obsèques; solennelles qui cùrént lieu à Darmstadt.' Il 1 1

S. A. R. le Prince Louis de Hesse, à la suite d'un conseil de famille tenu au palais grand-ducal de Darmstadt, a adopté sa jeune nièce, S. A. R. la Princesse Johanna-Marina de Hesse, âgée de moins de deux ans, devenue orpheline par le tragique accident aérien qui coûta la vie à ses parents, à sa grand'mère et à ses deux frères.

De Rome, 23 novembre, on annonce que S. M. la Reine Jeanne de Bulgarie est arrivée à Rome et a été reçue par S. M. la Reine d'Italie, sa mère. AMBASSADES

S. Exe. l'ambassadeur de France près le Saint-Siège et Mme F. CharlesRoux ont offert un déjeuner, ces jours derniers, dont les convives étaient S. Exc. l'ambassadeur du Chili près le Saint-Siège et Mme Eguiguren, LL. EExc. Mgr l'archevêque de Sens et Mgr l'évêque de Meaux, Mme Radimska, M. E. Pontreinoli, membre de l'Institut, et Mme E. Pontremoli M. et Mme Augé-Lai*ibé, le commandant et Mme Donati, Mlle Colette Vercken, M. Rémont, Mlles Charles-Roux, M. du Fournier. S. Exc. l'ambassadeur d'Argentine et Mme Ph. Le Breton ont offert, en l'hôtel de l'ambassade, un déjeuner auquel étaient conviés

Le général Azan, chargé de mission à Buenos-Ayres, et Mme Azan Mme Vesnitch, M. et Mme Van der Heyden a Hauzeur, baron Fouquier, président de l'Académie des. Œnophiles, et baronne Fouquier, M. Sailland Curnonski, etc.

DANS LE MONDE

Mme Merzbach recevra en ses salons de l'avenue Foch les samedis 4 décembre, 5 février, 5 mars, 2 avril, 7 mai. BIENFAISANCE

Rappelons que, lundi prochain 29 novembre, aura lieu à 21 h. 30, en l'hôtel de la duchesse de Broglie, 27, rue Chateaubriand, une soirée musicale organisée par le Club F. A. I. au bénéfice de l'Union des Arts (président M. Sacha Guitry), avec le concours de M. Adolphe Borchard et de Mme Marcel Ragon, de l'Opéra-Comique. Fauteuil 50 francs. ,CERCLES

Réunion des plus intéressantes, hier, aux Annales, au cours de laquelle

R. R.'

> 1.~

l'aviatrice britannique qui, avec Clouston, vient de battre brillam- sera reçu demain sous la Coupole ment le record Londres-Le Cap-Londres, présente un modèle d'avion où il prononcera l'éloge de Pierre à de jeunes écoliers. de Nolhac.

££J ECHOS

M. Ferdinand Brunot chez les Quarante

Comme nous le disons d'autre part, l'Académie belge a été, hier, l'hôte de l'Académie française. Ce fut pour M. Ferdinand Brunot une occasion unique de pénétrer dans cette salle des séances où l'on s'étonne d'ailleurs que sa place ne soit pas marquée depuis longtemps. Il est vrai que M. Ferdinand Brunot a eu avec les Quarante des difficultés d'ordre grammatical dont le souvenir n'est pas encore apaisé. C'est donc en qualité d'académicien belge qu'il assista, hier, au travail du dictionnaire. Bien entendu, il écouta avec une muette déférence les discussions de ses collègues français sur le mot « accus ». Mais peut-être brûlait-il d'intervenir pour faire adopter ce terme familier, consacré par l'usage, et auquel on refusa l'accès du Dictionnaire.

La patience de Frank Carter. Le-grand entraîneur Frank Carter, qui vient de mourir, avait, au service de sa grande science hippique, une patience à toute épreuve. Ce fut justement un de ses plus brillants sujets, le glorieux « Mon Talisman », père du célèbre « Clairvoyant », qui lui donna la meilleure occasion d'exercer sa persévérance. Le ga-

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LE CARNE T E» U « F I GAROi

HiiiiiiilliiliiimiiliiiiililtllliiiiiiiiimuHliliillimiiiiiiilllliiilllll

Mlle Alyette Yemeniz dont le mariage avec le baron Jacques de Lagarde vient d'être béni en la basilique de Sainte-Clotilde.

(Studio de Paris.)

Mlle Hélène Vacaresco a, une fois de plus, charmé l'auditoire par son talent de conférencière.

Après avoir évoqué les souvenirs de son enfance passée en Roumanie et narré avec poésie, en même temps qu'avec beaucoup d'humour, sa première rencontre avec Carmen Sylva (Reine Elisabeth de Roumanie), l'auteur de Lueurs et Flammes et de tant de beaux vers récita quelques poèmes du Rapsode de la Dambovitza, œuvre tirée du folklore roumain.

On entendit ensuite la violoniste roumaine Mlle Lola Bobesco, qui, avec son remarquable talent, exécuta plusieurs pièces de Scarlatesco et de Stan Golestan. L'assistance fit une ovation à la jeune virtuose, accompagnée au piano avec une sensibilité et une musicalité parfaites par Mme A.-M. Ginisty-Brisson.

Parmi les personnes présentes

S. Exc, l'ambassadeur de France à Rio cle Janeiro et la marquise d'Ormesson, Mme D. Gusti, Mme Michel Caribol, M. et Mme Frangulis, M et Mme R. Dorgeiès, M. et Mlle N. Pillât, Mme Martino Harden, vicomtesse de Buysieulx, Mme, de Laire, M. et Mme Lascar, M. et Mme Seymour de Ricci, Mme Crombac de Swarte, Mme Pierre Peissi, Mme M. Constantinesco, Mlle A. Falcoyano, Mme Philippe Gaubert, Mme Campesco, Mme Dupuy, Mme Goelette, Mme Delbet, Mme Cocteau, amirale Dumesnil, Mme Baschet, Mme Ryan, Mme Louis Dauphin, Mlle Marguerite Warrain, M. René Moulin, docteur Ortion, M. René Lara, Mlle E. Bernard, Mme P oirier, Mme Vaschide, M. Basile MunteaRo, comte de Ricaumont, etc. Au dernier scrutin de ballottage dé l'A. C. F., ont été admis

M. Gérard Jàpy, présenté par MM. Henri Bulignier et Robert Parturier M. Robert ('̃aignault, présenté par le vicomte Xavier de Woillemont et le comte Pierre Guy du Bouzet M. Jean Comtc-Offenbech, présenté par MM. Henry Cravoisicr-Papin et Maurice Keller M. Raymond Gouin, présenté par MM. Yvan Amez-Droz et le comte Raoul de Lubersac M. Stanislas Darblay, présenté par MM. Robert Darblay et Geolfroy de là Selle M. Emmanuel Fauehier-Delavigne, préseDté par Roger Ribiére et Edouard Maneuvrier M. Bené Bailly, présenté par MM. Edmond Habille et Victor Piquet; M. Jérôme Richer, présenté par MM. Paul Sevtier et Bernard de PeyerïmhoiT de Fontenelle M. Gabriel Forest, présenté par MM, Marcel Vaucher et Jean-Maurice Ganne. NAISSANCES

M. Jacques Corbière et madame, née Gravelin, sont heureux d'annoncer la naissance de leur fils Francis. Paris, le 11 novembre 1937.

On annonce la naissance

De Marie-Glaire Bclioe d'Alain Seydoux.

FI'6ARO-ACTUAll.TES

Mrs KIRBY GREEN. S. Exc. Mgr GRENTE.

gnant du Derby t de 1927, après son héroïque défaite du Grand Prix, était devenu d'un entraînement extrêmement difficile. Un autre l'eût abandonné et envoyé au haras. Mais s Frank Carter voulut lui faire quit- ter le turf en beauté et, pendant un an, il le prépara pour le prix du Président de la République. Pendant que la course se courait, l'entraîneur, très ému, suivait son pensionnaire à la lorgnette. Quand il vit que la victoire ne pouvait plus lui échapper, il murmura pour lui-même C'est le plus beau succès de ma carrière.

L'émule de Winterhalter,

Peu de peintres contemporains peuvent se flatter d'avoir eu parmi leurs modèles autant de têtes couronnées et de personnages distingués que Philippe de Laszlo, qui vient de mourir à Londres. Sa réputation et l'abondance de sa production en l'ont l'émule de Winterhalter. D'ori| sine hongroise, et quoique naturalise Anglais dès avant la guerre, il eut des moments difficiles pendant la Grande Guerre. Il fut même condamné à la prison pour avoir envoyé en Hongrie, à des parents dans le dénuement, de modestes subsides par l'intermédiaire de la valise diplomatique hollandaise.

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FIANÇAILLES

Nous apprenons les fiançailles de Mlle d'Ormesson, fille du comte Wladimir d'Ormesson et de la comtesse, née Malo y Zayas-Bazan, avec le baron de Ritter-Zahony, fils. du baron de RitterZahony, décédé, et de la baronne, née Salignac-Fénelon.

On annonce les fiançailles de Mlle Ruth Ingrid Richard avec M. Ronald Mason, fils du major J. S. Mason, de Londres.

MARIAGES

Ces jours derniers, en présence d'une nombreuse et élégante assistance, a été célébré en l'église de la GrandeVerrière (Saône-et-Loire), le mariage' de Mlle Elisabeth de Montmorillon, fille du marquis de Montmorillon et de la marquise, née de Vaulchier du Deschaux, avec le lieutenant de La Genardière, du 25° B.C.A., fils de M. de La Genardière et de madame, née d'Arcollières. La bénédiction nuptiale fut donnée aux jeunes époux par le R. P. du Parc, cousin de la mariée, qui prononça à cette occasion une délicate allocution. .1 Les témoins étaient, pour la mariée Mlle de Vaulchier du Deschaux, sa tante, et le général comte d'Ollone, son cousin; pour le marié le commandant Lanquetot, de l'état-major de l'armée, et le capitaine des Plas, représentant le chef ae bataillon commandant le 25° B.C.A. A l'issue de la cérémonie religieuse, les jeunes mariés passèrent sous la traditionnelle voûte d'acier formée par les amis du marié.

Une brillante réception réunit ensuite au château de Bouton les parents et amis des deux familles.

Un certain nombre d'invitations s'étant égarées, on nous prie de rappeler que le mariage de Mlle Marie-Louise Baron avec M. Jean Tessier sera célébré samedi prochain 27 novembre, à midi, en l'église Saint-Louis de Versailles. On annonce le mariage de Mlle Lise Guggenheim, avec M. Jean Grunebaum, codirecteur du Poste Parisien. La cérémonie a eu lieu dans la plus stricte intimité en raison d'un deuil récent.

Le mariage du vicomte Roger de Dampierre avec Mme Raymonde Dreyfus a eu lieu ces jours-ci dans l'intimité.

Mlle Elisabeth Colombier dont le mariage avec M. Eugène Dufour vient d'être célébré en l'église Notre-Dame du Sacré-Cœur à Armentières (Nord).

iStudlo MarHn-Lorclle.)

Les coiffeurs de dames ne dansent pas à Montmartre.

Dans un charmant discours prononcé à propos de l'élection de son ami Francis Carco, M. Roland Dorgelès a tenu un propos imprudent. Il a parlé avec dédain de certains bals de Montmartre qui ne sont fréquentés que par les danseurs nègres et «les coiireurs pour dames ». Or, ce discours a été radiodiffusé et entendu par des membres de cette dernière corporation. D'où une lettre ouverte adressée à notre éminent collaborateur et publiée par L'Eclaiveuv des Coiffeurs.

Cette lettre, assez vive dans certains passages, a pour but de défendre la corporation contre les plaisanteries célèbres bavard comme un perruquier ou « habillé comme une garçon coiffeur ».

Les temps ont marché depuis l'époque ces formules étaient de mise. Les coiffeurs, en persuadant les femmes de se faire couper les che- veux, ont réussi une des plus belles entreprises commerciales du siècle. Cela mérite considération, et les situe sur un plan différent des perruquiers de jadis. ,ont pas i~é-

Les danseurs nègres n'ont pas réclamé.

Le Masque de Fer.

Mlle Madeleine Villault Duchesnois dont le mariage avec M. Guy Hermite a été béni lundi en l'église

Saint-Ferdinand des Ternes.

(Pholo Studio Peelers.)

DEUILS

Nous apprenons la mort, survenue en son château de la Nogarède (Aude), de la comtesse de Lamée de Soulages. De la part du comte de Lamée de Soulages, son fils; du comte et de la comtesse J. de Beaupoil de Saint Aulaire, de la comtesse de Raffin de la Raffinie, de M. et Mme Philippe Jalenques, ses filles et gendres; du comte B. de Lamée de Soulages, Mlle de Lamée de Soulages, le capitaine et la baronne de Roumefort et leurs enfants, le lieutenant et 1? comtesse B. d'Hauteville, le capitaine et la comtesse de Raffin de la Raffinie, le capitaine et la comtesse P. du Boulet de La Boissière et leurs enfants, ses petits-enfants et arrière-petits-enfants. On nous prie d'annoncer la mort de M. André Pecourt, décédé aux Bruyères le lundi 22 novembre. Un service sera célébré demain jeudi 25, à dix heures, en l'église de Chaumont-sur-Tharonne. Un second service, suivi de l'inhumation, aura lieu le vendredi 26 à Précy-sur-Oise.

Nous apprenons la mort de Mme Marc de La Serre, née de Saint-Venant. Elle était la mère et ta belle-mère de M. et Mme Jehan de La Serre, de M. Robert de La Serre, de M. et Mme de Septfons et de Mlle Marcelle de La Serre. Les obsèques auront lieu demain jeudi 25 novembre, à onze heures trente, en l'église Saint-Pierre du Gros-Caillou. On nous prie d'annoncer la mort du comte Sixte O'Gorman, chef d'escadrons de cavalerie en retraite, chevalier de la Légion d'honneur, croix de" guerre, chevalier de l'ordre des Saints Maurice et Lazare, pieusement décédé au château de la Ferté le 23 novembre 1937. Les obsèques seront célébrées demain jeudi 25 novembre, à dix heures et demie, en l'église Saint-Michel de la Ferté-Saint-Aubin (Oise).

Prière de considérer comme invitation le présent avis.

Mme de Beaumont, la comtesse de Bardin, M. Mulard et leurs enfants font part de la mort de M. Henry LambertRoode.

On nous prie d'annoncer la mort de M. Gaston Wormser, survenue le 21 novembre en son domicile, 2, rue d'Andigné. Les obsèques ont eu lieu dans l'intimité.

De la part de Mme Gaston Wormser, de M. Jacques Wormser, de Mlle Suzanne Wormser, de M. et Mme Maurice

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ASMODEE ET LA MODE. La « Première » lundi soir de la première pièce, de M. François Mauriac, nous a valu en même temps que les élonnantes découvertes d'un scalpel psychologique et prestigieux, les plaisirs de contempler une assemblée ultraparisienne, où le dosage politique, diplomatique, et mondain, composait l'assistance la plus élégante qui se puisse trouver.

On y côtoyait tour à tour, le long fourreau étoilé de paillettes groupées telles des constellations, la dalmatique d'hermine, la cape d'hermine noire, la tunique noire égayée de colliers de corail, et la sombre robe aux manches rebrodées d'or. De nombreux boléros de coloris vifs accompagnant des robes marine ou noires, apportaient leur lignes neuves où s'inscrit déjà la mode de demain, tandis que l'on discutait tout le long du Foyer, des noirceurs et fartuferies magistrales de Vf. Couture, ange gardien nouveau style.

L'ambiance était diserte, chaleureuse à souhait (la salle étant comble du parterre au paradis), et l'on applaudissait avec enthousiasme en dépit des précieux grands aux couleurs de pralines, portés par les plus jolies mains. Une fois de plus, Paris, associant la beauté à l'esprit, a donné sa consécration définitive au talent de celui qui sait, comme personne, dépouiller les maisons de leurs toits comme les âmes de leur mystère. Comtesse de S.

Comtesse de S.

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M. JULES ROMAINS | ` S'EXPOSE.

Ma vie et mon œuvre disait le programme de ce « Mardi littéraire de l'Exposition », consacré à une conférence de M. Jules Romains.

Quand il s'agit de M. Jules Romains 40 volumes et 52 ans, dont 34 il peu près d'unanimisme faire tenir tout cela en 60 minutes semble une entreprise de haute fantaisie. M. Jules Romains le pensa aussi, qui parut accable par la naïveté des exigences de l'Exposition, et, d'une façon plus générale, douloureusement affecté d'être génie conscient en Béotie organisée.

D'un ton doux, avec de petits coussins d'air entre les mots et quelques soupirs, il exposa la technique de son art,, puisqu'on était sous le signe des Arts et Techniques. On sut son mépris du document en matière littéraire, et qu'il est poète uniquement, et non pas sociologue S'il peint des relieurs assassins et des financiers équivoques, c'est de chic, d'inspiration, comme il évoquerait des fleurs ou des petits oiseaux sans consulter le Grand Larousse. « Le poète est aux ordres de sa nuit », a dit M. Jean Cocteau. La nuit de M. Jules Romains est évidemment très peuplée. Et extensible. « Servir de bonde à toute la ville. Et ne pas éclater jusqu'au ciel » s'exclamait en 1903 le poète de la Vie Unanime. Et il y a trente ans de cela et les Hommes de bonne vo- lonté viennent au jour. Mais si son expérience s'enrichit depuis lors, il est

ML' "j'H ·r J'- .1F~

Wormser, de M. Georges Le Turcq, de M. et Mme Georges Wormser et leurs enfants, de M. et Mme Robert Herzog et leurs enfants.

Nous avons annoncé la mort de Mme Frederic Martens, survenue à Paris le mardi 22 novembre. Ses obsèques seront célébrées le vendredi 26 novembre, à onze heures précises, en la cathédrale américaine de la Sainte-Trinité, 23, avenue George-V (8"), où l'on se réunira. L'inhumation aura lieu dans la plus stricte intimité.

Nous apprenons la mort de M. Paul Guérin, ancien notaire à SaintQuentin. Ses obsèques auront lieu à Paris le vendredi 26 novembre, à onze heures, en l'église Saint-Augustin. On nous prie d'annoncer la mort de M. d'Hotelans, chevalier de la Légion d'honneur, pieusement décédé le 23 novembre au château de Pionnens. Les obsèques auront lieu demain jeudi 25 novembre, à dix heures trente, en l'église paroissiale d'Illiat (Ain). Une messe anniversaire pour le repos de l'âme du regretté poète Alfred Poizat sera dite samedi 27 novembre, à dix heures et demie, chapelle du cimetière, 4, boulevard Edgar-Quinet. Nous apprenons la mort de M. Joseph Coussat, banquier, survenue à Paris. Les obsèques auront lieu demain jeudi 25 novembre, à onze heures précises, en l'église Saint-Pierre de Chaillot où l'on se réunira. Le présent avis tient lieu d'invitation.

Mme Pierre Peugeot, M. et Mme Henri Ponnier, M. et Mme Charles Pacquement ont la douleur d'annoncer la mort de leur mère, Mme Alfred Ponnier. Les obsèques auront lieu demain jeudi 25 novembre, à quatorze heures, en l'église de l'Oratoire du Louvre où l'on se réunira.

Mgr Louis Saunier, prélat de la Maison de Sa Sainteté, ancien Supérieur du séminaire et ancien archiprêtre de Vesoul, a succombé en cette ville, âgé de quatre-vingt-cinq ans.

De San Francisco, on annonce !a mort, à bord du paquebot Santa-Paula, dans les parages du canal de Panama, de M. Kenneth Kingsbury, président de la Standard Oil de Californie dont il faisait partie depuis quarante ans. M. Kingsbury était âgé de soixante et un ans. Il était également administrateur de l'Anglo Californian National Bank et de plusieurs autres sociétés importantes.

M. Marcel-Raymond Gras, conseiller municipal du troisième arrondissement de Lyon, ancien conseiller général du Rhône, vient de mourir.

M. Otto Henrik Minck, consul général de Suède en Tunisie, a succombé à Rome.

On annonce la mort

De Mme Lucien Daridan, à Paris de M. Paul Aynmrd.

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m point sur lequel M. Romains n'a pas changé « Romains passe pour être dittant, dit quelque part Jallez à Jerphanion. Et il en a l'air. »

On se demande si le romancier des Hommes de bonne volonté ne l'est pas aussi pour lui-même, distant, et puisque distance il y a, s'il ne se regarde pas parfois d'en bas.

La conférence d'hier a offert cet aspect remarquablement intelligent qu'a tout travail de M. Jules Romains. Et le public lui a fait fête. C. N.

La poésie

à l'Académie française

L'Académie française vient de corn.muniquer les lauréats de ses prix de poésie

Le prix Davanné (1.500 ïr.), à Nicolas Beauduin pour Marc Nnstrnm. Le prix du Budget (4.000 fr.), à M. Jean Suberville, pour son morceau de concours L'Année du Cid.

Jacques Reynaud reçoit une couronne de 1.000 francs. Germain Trezel est le lauréat du prix Heredia (3,000 fr.) pour Si Canimus situas.

A signaler un geste utile M. A. Joubin, pour son excellente édition de la Correspondance d'FAigène Delacroix, re.çoit un prix d'Académie de 4,000 francs. Petites nouvelles

Le Prix Diderot, décerné à un jour» naliste et consistant en un séjour de deux mois en Chine, a été attribué hier soir chez Mme Roubé-Jansky à M. Henri Rohrer.

L'Académie du Centre vient de tenir à Châteauroùx une séance solennelle â la mémoire du poète Gabriel Xigond. Discours de Lionel Nastorg et Hugues Lapaire.. Les Alffuaziis.

LA IOURNEE

La Flamme du Souvenir 18 h. 30. à l'Arc de Triomphe $ Unton fraternelle clos Vendéens de Paris.

Conférences:

Con^ rences ft rlng,ilut catholique, 21 rue d'Assas séance solennelle de rentrée, en présence des cardinaux. archevêques et évoques .protecteurs, et de S. Em. le cardinal ïappomii.

Réunions:

Réunions Imel.amé Thé en l'honneur de S. Exe l'itmbiissadeur de Grandiï-Brelag-ne et de lacly Phipps.

Expositions:

Au Pavillon des Salons (esplanade des Invalides) Salon d'Automne.

29:i, avenue uanmesnil Peintures et pastel de la Nonvello-i"ulOdoni<\

1(0. Faiiboiii'fr-SuliH-llonoré Exposition Gréco.

avenue du Pivsklnit-Wilson, au Palais1 national des Arts C.hcis-d'œuvre d'art français.

Au Musée Galltéra cent ans du Costnme parisien.

21, avenue de i'rledland Kifurei et paysages d'Indochine. Chine et Japon. A la gare Saint- l.nzure Beaux-ArtS et arts décora llf p.

A la Bibliothèque Mutloiiale Enlumineurs rvançais.

Au Parc des Expositions de la porte de Versailles Salon du Ski. Les surindépendants.

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DANS UN CADRE D'AVANT-GUERRE

Première de'Wallenstein 11, de JAROMIR WE1MBERGER

à l'Opéra de Vienne ( De notre correspondant particulier )

̃ Vienne, 23 novembre. Première à l'Opéra de Vienne Première authentique et intégrale, où les spectateurs se sentent conviés, non seulement pour applaudir, mais encore pour porter ce jugement sans appel auquel se croient autorisés les Viennois; sitôt qu'il s'agit de musique. Oui, la salle est élégante les petites loges de velours rouge sur lesquelles tranchent, rehaussées d'or, les fastueuses loges de la Cour, abritent des femmes aux bijoux étincelants, drapées dans leurs capes de fourrure, et des hpmmes décorés, aux visages importants. Les fauteuils d'orchestre sont occupés par ce public des premières, dont l'aspect stéréotype varie à peine d'une ville à l'autre et oqj, encore, l'Opéra de Vienne a conservé, malgré cela, quelque chose de son cachet d'avantguerre. « Je crois vivre un film », dit à côté de moi une petite Américaine, néophyte viennoise, qui, malgré elle sans doute, fixait la grande loge impériale, dans l'espoir de voir apparaître l'empereur ou un quelconque archiduc. Certes, le cinéma a créé une légende dorée autour de cet opéra, mais

Le duc de. Windsor obtient 1.500.000 francs de dommages et intérêts Londres, 23 novembre. Le duc de Windsor s'étant jugé diffamé dans un ouvrage ayant pour titre Coronation Commentary, avait intenté une action en dommages et intérêts contre l'auteur, M. Geoffroy Dennis, et l'éditeur. L'affaire est venue lundi devant un tribunal présidé par le Lord Ghief Justice qui a déclaré que îes passages incriminés de Coronation Commentary constituaient une cruelle diffamation à l'égard du due et de la duchesse de Windsor.

L'amende infligée serait de 10.000 livres sterling, soit près de 1.500.000 fr.

I SUITES DE LA PREMIÈRE PAGE- LA PASSAGERE

Enfin, nous arrivâmes à Para. i Tout était à craindre dé sa hardies| se. Mais, comme dit Léonore, il y a une Providence. Nous reçûmes en arrivant une invitation au bal chez y -le gouverneur. La Passagère fit repasser par la femme de chambre' éperdue sa robe la plus compliquée. C'était un fourreau blanc uni de l'épaule au genou, mais du genou au pied ce n'étaient plus que i\ bouillonnes. Nous tombâmes d'ac1 cord qu'elle émerveillerait Para. i) Elle l'émerveilla en effet, dansa -toute la nuit; dormit le matin com« I me un paquet et parut au lunch en |V se plaignant qu'on l'eût éveillée à V onze heures. « Mais, lui dis-je, il faut se lever tôt pour explorer l les forêts ». « Je veux explorer i çlès forêts, dit-elle avec colère, et je ;'̃ ne veux pas me lever tôt. > Nous remontions maintenant l'Ai{ mazone. De jeunes Anglais, fixés dans le pays, emplissaient le bateau. On dansait tous les soirs. Le matin, la forêt, tendant ses rideaux chan-

[ LES PROGRES DE L'AVIATION ALLEMANDE

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II ne faut pas nier l'intérêt des dernières performances allemandes et considérer surtout qu'elles marquent l'apparition de prototypes nouveaux, ou i "plutôt les débuts d'un nouveau programme en avance sur le programme j! précédent en grande partie réalisé en Allemagne.

Quelle est notre position ? Nous travaillons pour combler un retard et pour aligner notre aviation sur l'aviation alt lemande actuelle. Or, celle-ci manifeste déjà la possibilité de faire mieux dans J un avenir rapproché. Si bien que, dans j cette course difficile imposée à une industrie en perpétuelle évolution, nous j risquons de ne pas arriver à nous hisser au niveau de nos rivaux.

La chose est grave. Demain, on va présenter les prototypes de notre aviation le Bloch 161, les Potez 630 et 631, le Nieuport 161, le Caudron 710, le Morane f} 405, le Lioré 45, le Farman 222, entre

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UN PROCES AUX ASSISES DE SEINE ET -OISE

Mais tout cela ne prouve pas que cette femme soit une incendiaire Voici nous arrivons à l'accusation. En mars 1936, Victorine Saillard était fçu± gênée, i malgré les subsides touchés de Dijon. Saint-Hilarion ne lui rapportait rien elle gardait son loyer de Paris elle avait pris un appartement à Rambouillet. Elle avait à Montmalin; dans le Jura, où (iémeurait son fiancé et où elle voulait se retirer bientôt, une bicoque sans valeur, qui donc coûtait. Elle était si court d'argent à ce moment, qu'en 1 ce printemps 1935, pour payer une table chauffante elle avait emprunté 200 fr. i Ses maisons étaient hypothéquées son auto mise en vente. Son ami et Harbelot, le fiancé, étaient toujours là. Mais les dettes montaient en une impitoyable crue.

Le 17 mars 1935, elle quittait l'hôtel des Tilleuls avant neuf heures du matin, pour MontmaUn, après avoir confié les clefs de la propriété à un voisin. Elle revenait peu après, en taxi, sous un prétexte quelconque, restait un quart d'heure chez elle, puis prenait l'autobus de Rambouillet en route, pour faire une fin.

A 4 heures du soir, la fumée de Tincendie couronnait sa maison.

Le feu était vite et facilement éteint. Et l'on découvrait, à l'intérieur de l'immeuble, un disposiif d'incendie étrange, dangereux et compliqué. Une batterie de bougies était reliée par un long rat de cave un cordon imprégné d'un liquide inflammable courait dans un escalier de bois, où l'on trouvait aussi un paquet de fulmi-coton un seau était suspendu, plein de pétrole, qui tombait goutte à goutte près des bougies dans les placards étaient posés, en équilibre, prêts à se renverser, des litres d'a%>ol. « La volonté d'incendie était certaine ». Je n'avais jamais vu pareille mise en scène, a dit le lieutenant de pompiers. Si le feu n'avait pas été aperçu à temps, tout brûlait, sans laisser de traces. »

J'étais à Montmalin, quand l'inct.idie a pris, répète l'accusée. Ce n'est

ce qu'il n'a pu rendre, ce qu'il faut vivre pour le connaître, c'est ce frémissement qui passe sur la salle dès l'ouverture, c'est cette attente émue, quasi religieuse, du petit public des premières. Il n'arbore ni robe du soir, ni habit, il se prive de beaucoup de choses pour pouvoir se payer un fauteuil à l'arrière, il se trouve joyeusement .prêt, s'il le faut, à passer quelques heures sur ses jambes, au poulailler ou au parterre debout ». Le second opéra du compositeur tchèque, Jaromir Weinberger, a-t-il déçu ces experts ? Ont-ils reconnu les dons originaux et charmants qu'ils avaient décélés récemment dans l'œuvre première de Weinberger, Scbfwanda et le joueur de cornemuse, ou bien ont-ils retrouvé, dans Wallenstein, le drame schillerien mis en musique, la fougue et le tempérament d'un Verdi, lorsqu'il composa lé Don Carlos de Schiller ? La chose paraît improbable, car la réussite du Don Carlos est unique, Weinberger ne saurait l'égaler et, d'autre part, la tragédie de Wallenstein ne se prête guère au charme facile des airs populaires dans lesquels excelle le compositeur moderne. Et cependant, quelle bejle soirée L'orchestre et les chanteurs s'étaient surpassés. Rompant avec une tradition séculaire, M. Wallerstein, le grand metteur en scène, avait tf ait du spectacle un drame vivant, une émouvante tragédie humaine, où les décors et les moindres nuances du jeu s'harmonisaient avec l'expression de la musique. Le. drame de conscience du prince, qui ne sait s'il va trahir son empereur le'duo d'amour entre Thekla, sa fille, et l'intrépide Max Piccolomini l'assassinat enfin du prince trop ambitieux, déchaînèrent des applaudissements sans fin. Vienne ne vécut pas un chef-d'œuvre, mais elle vécut sans conteste une de ces premières dont le souvenir marquera et dont le succès promet de se. maintenir. Dominique Auclères.

igeants, ouvrait la route aux rêves !par les rideaux des lianes. Le soir, les fox-trotts du phonographe rompaient le silence sacré et les lampes éteignaient les étoiles. Parfois on lisait devant la Passagère quelque grande aventure, qui avait jadis ensanglanté les eaux la lutte de Francisco de Orellana contre les Icamabias, l'assassinat de Pedro Ursua,par son chef Lopo de Aguirre, afin que fût conservé secret le chemin jïu lieu même où nous nous trouvions. Sur les rives muettes du Soiimôes7 cette sinistre "histoireétait assez impressionnante. Mais 4a Passagère réagissait faiblement. Elle ne scrutait pas la boue des anses pour découvrir les crocodiles. Elle ne cherchait pas, dans les couchers de soleil, des aigles aux ailes déployées. Enfin, nous arrivâmes à Manaos. Elle me prit à part « Tâchez donc, me dit-elle, de savoir où se trouve la manucure. » Henry Bidou.

autres Lequel de ces appareils, il faut malheureusement l'écrire, pourrait rivaliser avec le Me. 109, détenteur du record du monde de vitesse sur base, et avec le Heinkel, qui vient de s'octroyer les records de vitesse sur 1.000 kilomètres ?

Bien peu en vérité 1

Or, ces appareils représentent notre aviation de demain. Ils font partie, pour la plupart, d'un programme établi hier, alors qu'aujourd'hui l'aviation allemande passe au programme suivant. Les retards inadmissibles dans les épreuves de réception et dans la fabrication en série, font que des avion*, âgés de deux et trois ans, ne sont pas encore sortis. On s'est décidé à agir, mais sans espoir d'obtenir satisfaction immédiate, et le rétablissement indispensable ne s'opérera que dans plusieurs mois, alors que déjà l'aviation al.lemande aura commencé la réalisation de son nouveau programme.

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pas moi qui l'ai mis, articule-t-elle avec force. Je n'ai rien préparé.

Au surplus, elle conteste qu'à l'époque elle ait été gênée autant qu'on le \teut. prétendre.

S'il n'y avait que cela, et malgré le retour mystérieux de, Mme Saillard chez elle, avant le départ pour Montmalin, il n'y aurait pas grand chose de précis contre elle. Ce qui paraît impressionner le jury, c'est le nombre de fois que les compagnies d'assurances ont dû indemniser l'ancienne artiste, d8 sinistres plus ou moins importants, qui se sont produits, ici ou là, chez elle.

En octobre 1931, elle touche 4.000 fr. « C'est mon domestique,, dit l'accusée, qui avait mis le feu avec des brindilles tombées sur lé parquet. En 1932, un sien tapis brûle (300 francs). L'année suivante, toute sa garde-robe de théâtre prend feu dans la nuit. Indemnité 50.000 francs. Au total, cinq incendies remboursés après enquête « le dernier feu, dit l'agent d'assurances, avait paru douteux x. Mais on enquêta, puis on paya. Quel mauvais sort était donc jeté sur ses objets mobiliers ou ses immeubles

L'incendie de l'hôtel fut aisé à éteindre.

Pendant que les pompiers réduisaient à peu de chose le sinistre de Saint-Hilarion, Mme Saillard arrivait chez son fiancé, M. Harbelot, à Montmalin. Elle y était arrêtée le lendemain avant la noce. Elle resta trois mois en prison, et le mariage n'eut lieu qu'ensuite, et comme si rien ne s'était passé,

Au début de sa carrière théâtrale, elle avait connu cet ami dont, à la fin de sa déposition, le président Thibierge a vanté « la délicatesse de conscience ». Elle était sous la. main de la justice quand M. Herbelot lui donna son nom. On a mandé ce brave cultivateur du Jura à la barre. On l'entendra cet aprèsmidi.

Les hommes ne sont pas si mauvais qu'on le dit.

Ce soir, réquisitoire et plaidoirie de M* Pierre Masse, que Me Henri Delmont assiste.

Henri V<mo*ea.

AVANT LA DECLARATION DE M. CHAMBERLAIN AUX COMMUNES

LA QUESTION COLONIALE reste la condition primordiale du rapprochement anglo- allemand (De notre correspondant particulier, par téléphone)

D'après des renseignements*- qui paraissent certains, le voyage, de lord Halifax n'aurait même pas donné les modestes résultats que les moins optimistes. espéraient. Car même au prix dé lourde sacrifices il n'offre pas, sem-, ble-t-il, la- moindre chance d'établir une base de négociations susceptible d'aboutir à un accord anglo-allemand qui puisse fortifier la sécurité en Europe. Nous avons rapporté, hier, les propos de certains milieux diplomatiques anglais qui avaient quelque raison de penser que la situation en Europe centrale, notamment en Autriche, avait été au fond de l'ehtrevue entre lé chancelier Hitler et lord Halifax, Nous ajouterons, ce soir, que l'envoyé du gouvernement anglais n'a pas eu l'occasion d'appronfondir la discussion à ce sujet comme il l'aurait souhaité parce que le chancelier Hitler, ainsi que les autres dirigeants allemands lui firent clairement entendre que toutes

L'auteur de l'article f avorable à la France donne sa démission de La Tribuna (Par téléphone, de notre correspondant particulier)

Rome, 23 novembre. Le petit scandale de presse provoqué à Rome par l'article sensationnel de la Tribuna préconisant un rapprochement francoitalien, vient d'avoir son épilogue. M. Scardaoni, auteur du papier qui a valu à son journal les foudres du gouvernement, a donné aujourd'hui sa démission de la rédaction de la Tribuna. Il a fait ce geste par une lettre dans laquelle il assume « dans un esprit de discipline fasciste » toutes ses r,csponsabilités. déclare que l'article n'était que la conclusion d'une série d'études déjà publiées par lui dans son Journal sur « les erreurs de la politique française ». Et il conclut en protestant contre les interprétations tendancieuses qui ont provoqué selon lui toutes les polémiques et jeté l'équivoque suj sa pensée.

Après ce désaveu des tendances francophiles de l'article, on aurait pu croire que l'orthodoxie diplomatique

LA POLITIQUE ROUMAINE i DEMEURE INTANGIBLE Un manifeste de M. Tataresco Bucarest, 23 novembre. M. Tata- i resco, président du Conseil, a lu hier, à ses collaborateurs, un manifeste qui se- |( ra publié aujourd'hui et qui est adressé à la population roumaine. Ce manifeste expose les réalisations du gouvernement précédent, ainsi que le programme du nouveau gouvernement dans. tous les domaines. ,>. M. Maniu proclamé président du parti national-paysan

Bucarest, 23 novembre. Le Comité exécutif du parti national-paysan a proclamé M. Jules Maniu président du parti en remplacement de M- Jean Mihalache, démissionnaire.

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Le président Roosevelt reprend ses occupations

̃ Washington, 23 novembre, :̃–̃ Bien

qu'incomplètement remis de la récente indisposition qui l'a obligé de garder la chambre pendant près d'une semaine,le président Roosevelt a repris aujourd'hui ses consultations avec les experts économiques et financiers américains afin d'élaborer, si possible, toute une série de mesures susceptibles de remédier à la nouvelle crise économique américaine qui a amené, durant le mois d'octobre dernier, une augmentation du nombre des chômeurs de plus de 80.000.

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LE CONFLIT ESPAGNOL Valence bombardée

par les avions nationalistes Valence, 23 novembre. Trois avions nationalistes ont bombardé aujourd'hui le port de Valence, provoquant un violent incendie dans les bureaux des douanes.

On ignore encore le nombre de victimes.

EN MARGE

DE LA GUERRE CIVILE A Barcelone, M. Eirik Labonnc, nouvel ambassadeur de France auprès du gouvernement républicain, a rendu visite à M. Negrin, président du Conseil, avec lequel il a eu un long entretien.

L'ARRIVEE DE CODOS A BUENOS-AIRES 1

Ce document, parvenu hier à Paris, représente, de gauche à droite Gimié, Codos et Reine photographies quelques instants après l'atterrissage du « Laurent- G uerrè-o » à Bu enos-Aires. Au centre, on reconnaît M. Peyroulon, ambassadeur de France en Argentine, venu féliciter le glorieux équipage.

les questions relatives aux relations de l'Allemagne avec ses voisins seraient directement examinées par le gouvernement allemand et la puissance intéressée.

Les mandats coloniaux

En un mot, la politique de l'Allemagne à l'égard de ses voisins n'est pas liée au problème des relations ?angloallemandes. Ce problème se réduit aujourd'hui à une seule question les mandats coloniaux dont l'Allemagne a été destituée. Le gouvernement du Reich. admet qu'une' question si complexe concernant plusieurs puissances ne peut être réglée rapidement, mais il ne saurait envisager un rapprochement anglo-allemand qu'il souhaite sincèrement tant Ique le gouvernement britannique n'aura pas publiquement reconnu la lé- gitimité des revendications coloniales

du régime se considérerait comme satisfaite.

II faut croire cependant qu'il n'en est rien puisque la direction de la « Tribuna » a estimé devoir renchérir sur la rétractation de son rédacteur en publiant à la suite de la lettre de démission une série de violentes attaques à l'égard de la France.

Une note éditoriale du journal se répand, en effet, contre « les insinuations ridicules et perfides auxquelles la correspondance de M. Scardaoni a donné lieu et contre l' « ignoble spéculation a faite à ce sujet dans la presse étrangère. La main de Moscou

L'organe romain n'est pas loin de voir dans toute cette affaire la main du Komintern. « Il est inutile, conclut-il, d'espérer de la loyauté et de la bonne foi de la part de ceux qui se sont tou-

Les Chinois résistent

à l'arme blanche

Shanghaï, 23 novembre. Les troupes chinoises ont résisté à l'arme blanche à tous les assauts des troupes japonaises contre Pou-Yuan et Tungi Chiang, à 25 kilomètres au sud-ouest jde Ka-Shing, malgré de violents bomj bardements. `

Actualités internationales

ALLEMAGNE. M. Paul Dlnichert, ministre de Suisse à Berlin, a été avisé par la Wilhelmstrasse que la décision des autorités allemandes de ne pas prolonger le permis de séjour de M. Hermann Boeschenstein, correspondant à Berlin des « Basler Nachrichten » est irrévocable. Le chancelier Hitler a inauguré, en présence du docteur Ley, chef du Front du travail de M. Rudolf Hess, du ministre Rust et du général von Reichenau, le « burg de Sontliofen, destiné à recevoir les élèves führers.

ARGENTINE. L'Allemagne et l'Argentine seraient sur le point de signer un nouveau traité de commerce fondé sur le régime de la nation la plus favorisée.

« PORTUGAL. Le gouvernement portugais a frappé de bannissement, pour une période de deux années, le leader monarchiste portugais Paiva Conceiro, pour avoir écrit au docteur Salazar une lettre ouverte contenant de gra-

LE CALME REGNE A ATHENES Athènes, 23 novembre. Les bruits qui ont couru dans la presse étrangère selon lesquels des troubles auraient éclaté à Athènes sont absolument fantaisistes. En effet, le calme est absolu dans la capitale, de même que dans tout Je pays.

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Suicide en U. R. S. S.

Moscou, 23 novembre. Un événement qui fait sensation à Moscou est le suicide du haut fonctionnaire soviétique Postychev, membre du Bureau politique et du Comité central du parti communiste.

M. Postychev et sa femme ont été arrêtés il y a deux semaines à peine, et une semaine après Mme Postychev était condamnée à mort et exécutée. En apprenant cette nouvelle, M. Postychev se précipita du troisième étage de la prison et fut tué sur le coup.

du Reich hitlérien. En 1912, lord Haldane résumait ses entretiens à Berlin par cette phrase qui ne manque pas d'humour « L'empereur voulait l'entente avec nous, mais il voulait au-.si d- nouveaux bateaux ». Si on substitue le mot « colonies » au mot « bateaux », cette phrase mémorable pourrait résutuer exactement les derniers entretiens. Ce matin, lord Halifax, à l'issue du conseil privé, a été reçu en audience par le roi George VI, à qui il fit un exposé d"> ses entretiens avec Berlin. Cet apr^smidi M. Eden a conféré longuement avec notre ambassadeur, M. Corbin. sur le :uème sujet. L'ensemble du cabinet britannique entendra, aujourd'hui, un exposé de lord Halifax et dans l'aprèsmidi M. Nevillc Chamberlain fera une déclaration aux Commune*. Il se confirme que cette déclaration sera extrêmement succincte et réservée-

Gérard Boutelleau.

jours révélés comme les instruments des s forces dissolvantes dirigées contre l'or- s dre national et social en Europe et dans r le monde ». c En somme, à en croire la Tribuna, ( tous les observateurs politiques qui se I sont étonnés d'une prise de position J inattendue et qui en ont recherché les causes seraient de simples agents de c Moscou. Le moins que l'on puisse dire l de cette piètre défense c'est qu'elle ré- l vèle un extrême embarras. Au lieu de se 1 laisser aller à des récriminations injurieuses, la Tribuna ferait mieux d'ex- 1 pliquer pour quelle raison, le jour 1 même de l'entretien Hitler-Halifax, elle publiait en première page un article 1 qu'elle gardait dans ses tiroirs depuis plusieurs semaines un article qui, en raison de son importance politique, ne · pouvait échapper, en régime totalitaire, au contrôle préventif des dirigeants du journal et des autorités compétentes. Un accord commercial -]

italo-autrichien

Un nouvel accord commercial italoautrichien vient d'être signé ce soir. Il succède immédiatement à une conven- tion de même nature conclue dimanche dernier avec la Hongrie. Dans l'un et l'autre cas il s'agit de modifications au régime préférentiel accordé depuis 1934 1 aux deux petits Etats par l'Italie comme suite à son .alliance politique avec eux. Madeleine-R. Angles.

ves allégations contre la situation dans la colonie portugaise de l'Angola, SUISSE. M. Motta, président de la Confédération suisse, a reçu la visite du roi Boris de Bulgarie, qui continue à séjourner dans le plus strict incognito à Zurich.

TURQUIE, -r- M. Dfemil Hardan, président du Conseil de Syrie, est arrivé à Stamboul par le Taurus express. Il est repart immédiatement pour Paris par l'Orient express.

U. R. S. S. M. Slavoutzki, ambassadeur soviétique'à Tokio, a protesté auprès du gouvernement japonais contre les termes grossièrement antlsoviétiques employés par le général Araki dans une interview accordée à un, journaliste étranger.

Le tribunal militaire de Leningrad a.condamné à vingt-cinq ans d'emprisonnement deux Allemands, Paul Silberhoeri et Erwin Klein, accusés d'espionnage au profit de la Gestapo,

Le séjour de M. Daranyi et de M. de Kanya à Berlin Budapest, 23 novembre. Les réceppions chaleureuses faites à Berlin au président du conseil et au ministre des affaires étrangères hongrois sont enregistrées avec une très grande satisfaction à Budapest.

Les journaux germanophiles assurent qu'il n'y a aucune divergence de vues Aitre Budapest et Berlin. Les journaux officieux manifestent une très grande satisfaction en présence des toasts prononcés hier soir par M. von Ncurath et le président Daranyi.

Le souvenir d'Arnold Netter Une plaque a été inaugurée hier, à la mémoire du savant et du grand Français que fut Arnold Netter»; la cérémonie s'est déroulée place de l'Homme-deFer, a Strasbourg.

(Radio-photo Kev*t*m*.)

L'AFFAIRE DES « CAGOULARDS

Déclaration officielle du Gouvernement sur les buts du complot

(Suite de la première page.)

Ce plan des factieux était minutieusement préparé. Au cours des perquisitions effectuées on a découvert, notamment, un matériel destiné à etablir de fausses pièces d'identité des instructions pour le transport d'armes; des renseignements sur la force publique dans la Seine, en Seineet.Oise et en Seine-et-Marne, avec les noms des officiers commandant les unités; des fiches de renseignements sur de nombreux officiers et le matériel des régiments des notes de service en blanc dérobées dans des bureaux militaires; une liste d'immeubles ayant plusieurs issues; le plan précis des égouts de Paris avec des itinéraires tracés aboutissant aux ministères et à la Chambre des députés; des plans intérieurs de locaux occupés par des journaux de gauche et des plans d'appartements de députés socialistes; le fac-similé des signatures de certains ministres; une liste de ministres et de parlementaires à arrêter ait premier signal; un dossier prévoyant les moyens pour s'emparer des dépôts et des autobus de la T. C. R. P. et des bennes de la Cita destinées à être transformées en matériel offensif; un projet pour s'emparer des armes qui se trouvent au Mont-V alérien, etc. Ces préparatifs ont avorté grâce à la vigilance du gouvernement qui a la confiance du pays. Les institutions républicaines n'ont rien à craindre des entreprises dès factieux.

Les recherches, qui ont déjà donné des résultats appréciables, sont poursuivies sans relâche par des fonctionnaires qui se rnontrent une fois de plus les bons serviteurs de l'Etat républiclin. Les agissements des coupables seront sévèrement châtiés. Il n'y aura pas besoin, à cet effet, de réclamer des lois d'exception la loi républicaine suffit pour assurer la sécurité du régime. » Le gouvernement est sûr de lui-même. Il est capable de réduire toute action criminelle' dirigée contre la République. Il en donne l'assurance à la démocratie française.' .of

Interrogatoires et'mandats d'amener

On apprenait, hier en fin d'après-midi, que sept personnes avaient été condui- tes, aux fins d'interrogatoire, quai des Orfèvres, et entendues par M. Roches, commissaire chargé de diriger l'enquête sur l'affaire des Cagoulards. Ces personnes étaient toutes, a priori, considérées par la police comme faisant partie d'associations clandestines. En réalité quatre mandats d'amener seulement fu- rent ultérieurement délivrés par M. le juge d'instruction Béteillc, à savoir Contre M. Joseph Lemaresquier, ancien officier de marine, demeurant 34, avenue Bosquet, directeur de la Caisse des Prêts Hypothécaires, 78, rue de Provence

Contre Mme Berthclot, née Genêt, demeurant 56, rue Bokanowski, à Asnières. secrétaire de M. Lemaresquier Contre M. Antoine Maneby, comptable à la Caisse des Prêts Hypothécaires, 78, rue de Provence

Contre M. Raymond Ghcron, sergent aviateur à la 54e escadrille, demeurant au Blanc-Mesnil.

Chacun d'eux comparaîtra ce matin devant M. Béteille.

D'autre part, M. Marius Olive, administrateur des Etablissements Bréguet nationalisés, demeurant 61 bis, boulevard Beauséjour, a été longuement entendu par M. Roches.

c C'est à titre de témoin, nous a déclaré M. Olive, rentré à son domicile, que j'ai été mandé à la Préfecture où j'ai eu avec M. Roches une conversation. Notre entretien eut, en effet, ce ton plus que celui d'une déposition. Je ne m'attendais d'ailleurs pas à être appelé 'au quai des Orfèvres » Sur notre demande M. Olive a ajouté « Je ne crois pas avoir à déposer de nouveau. » Enfin, M. Henri Delopele, orfèvre, habitant généralement Cannes, a été entendu lui aussi, ainsi que Mme Eugène Deloncle, sa belle-sœur, M. Henri Deloncle étant le frère de M. Deloncle, ingénieur-conseil, actuellement en voyage en Italie, et au domicile duquel une perquisition fut faite avant-hier, 2, avenue Rodin, ainsi que nous l'avons relaté. i Le tableau dé chasse

en province

Les perquisitions opérées en provin- ce n'ont pas ame»E de découvertes intéressantes.

.4 Cannes, rien n'a été trouvé, ni chez M. Sittler, ni à l'hôtel Georges V, si ce e

PHILIP DE LASZLO.

t

4., le célèbre portraitiste britannique, qui vient de mourir à l'âge « de soixante-huit ans.

UNE PRISE D'ARMES A NANCY M. Daladier a inspecté hier la Ligne Maginot. Une prise d'armes eut ensuite lieu à Nancy, place Stanislas.

Aujourd'hui, le ministre inspectera les régions fortifiées de la Sarre et assistera le soir, à Metz, à une revue noc_turne-

La grève générale du gaz et de l'électricité

avant la fin de la semaine ? Le comité général du syndicat, hier, à la Bourse du Travail, a décidé la grève générale, Le secrétaire, M. Marcel ol, a déclaré que le mouvement serait certainement déclenché avant la fin de I la semaine.

LES NOUVEAUX LOCAUX

DE RADIO-FAMILLE

La Fédération des Radio-Famille vient de s'installer 215 bis, boulevard Saint-Germain.

M" Colmet-Daage signala que, par un décret en date du 2 septembre, le ministre des P. T. T. avait placé le radiojournal de France sous l'autorité du directeur du service de la radiodiffusion, auquel il incombe désormais le soin de veiller aux informations qu'il diffuse.

C. MOENCH

VA JUSQU'A TOKIO PAR PETITES ETAPES Contraint d'abandonner son raid Paris-Saïgon, Christian lfoench est.arrivé à Karachi à 12 heures ISO (G.M.T.). Il poursuivra son voyage par petites étapes jusqu'à Saïgon et probablement Tokio.

Il refera une tentative sur le parcours Paris-Saïgon en janvier prochain.

n'est dans ce dernier local trois revolvers, deux carabines de chasse et UM carabine de scout.

An château de Calmont, près de Dieppe, on a fouillé vainement les chambres, la chapelle, sondé les murs et les caces. Le domaine avait été donné à l'Union fraternelle des facteurs, ouvriers et employés des P. T. T.

Dans la région de Têtes, un paquet a été trouvé sur la route, contenant 832 cartouches de fusil-mitrailleur. Une étiquette portant l'inscription « Destiné au poste 4. » Les policiers recherchent le « poste 4 ».

A Toulouse, l'enquête aurait permis dévaluer à 2.000 le nombre des adhérents des organisations secrètes. Une fosse cimentée, masquée par de lourdes plaques de béton et récemment constr*ute dans un garage du centre, abritait un important dépôt d'armes. A Lille, M. Norbert Seys a été écroué. Il avait acheté des armes, cxplique-t-il, à la suite de menaces exprimées contre lui par des communistes.

Une perquisition

dans le pavillon Du Barry Poursuivant l'enquête au sujet de l'affaire des « Cagoulards », M. Sicot, commissaire à la police d'Etat, accompagné d'une vingtaine d'inspecteurs, s'est, hier, rendu à Louveciennes, dans l'ancien pavillon Du Barry, qui fut la propriété de M. François Coty.

Depuis la mort de celui-ci, la propriété est à vendre. M. Moulin, habitant Paris, 22, rue Saint-André-des-Arts, en est le liquidateur judiciaire.

Les policiers ne trouvèrent dans l'immeuble aucune arme. Ils demandèrent alors à descendre dans les sous-sols. Là, ils constatèrent l'existence d'un édifice somptueux, comprenant trois étages et s'enfonçant à une quinzaine de mètres de profondeur le dernier sous-sol relié par des galeries aux carrières et champignonnières voisines.

Les enquêteurs se trouvèrent en présence d'un agencement; comprenant notamment une centrale téléphonique avec de nombreux fils, un chauffage central perfectionné, un système de ventilation et une énorme soufflerie. L'alimentation en eau est assurée par des filtres modernes. Une grille électrique, sort. de machine à produire des rayons infrarouges, permet l'ouverture automatique des portes. Certains planchers pèseraient plusieurs milliers de kilos. Les inspecteurs, ayant visité de nouveau l'édifice supérieur, constatèrent qu'on pouvait monter au faite de l'immeuble par une sorte d'escalier à vis. M. Sicot a transmis le résultat de ses investigations à la direction de la Sûl'eté nationale.

Les constructions, dont l'achèvement remonte à plusieurs années, ne sont d'ailleurs en contradiction avec aucun règlement.

On fait d'ailleurs remarquer que les aménagements souterrains du pavillon Du Barry correspondent, selon les descriptions, à un abri-type caractéristique des dispositions de la défense passive. En outre, il ne faut pas oublier que les travaux exécutés d'après les instructions de M. Coty avaient toujours un aspect d'opulence.

Perquisitions

à la Caisse hypothécaire fluviale et maritime

La police a perquisitionné dans les bureaux occupes par la Caisse hypothécaire fluviale et maritime au 6e étage de l'immeuble situé 78, rue de Provenèe. La concierge a été mise en présence d'un individu qu'elle avait remarqué et qui fréquentait assidûment, depuis quelque temps, les bureaux de la Caisse hypothécaire..

Elle croit qu'il s'agit d'un personnage nommé Grosset. Mais ce dernier aurait fait la preuve d'une identité différente.

On découvre deux paquets suspects

passage de Beaujolais Le concierge de l'immeuble sis 52, rue de Richelieu, ayant découvert, dans un escalier du passage de Beaujolais, deux paquets qui lui parurent suspects, alerta la police. Celle-ci trouva, dans le premier <Je ces paquets, quarante-sept cartouches de revolver du calibre de 7 mm. 65 et deux grenades chargées dans le second, quatre boîtes métalliques.

LES CHEVALIERS (<mùElk TABLE RONDE y DE JEAN COCTEAU,

VIENNENT DE E

PARAITRE EN" LIBRAIRIE, AUX ÉDITIONS DE LA N.R.F.

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Une instruction contre

la « Wallonie Nouvelle »

Bruxelles, 23 novémbre. Le parquet de Charleroi a ouvert une instruction à charge-de la Wallonie Nouvelle, organe hebdomadaire d'action wallonc, pour un article publié dans son numéro du 21 novembre, sous le titre « Léopold III ne serait-il pas l'ambassadeur officieux du Reich à Londres Pes perquisitions ont été opérées dans la région de Charleroi, et tous les parquets du pays ont été priés de faire saisir les numéros imprimés, De nombreuses saisies ont d',jà été effectuées, notamment chez là marchands de journaux d,c Bruxelles et à Liège.


AU CONSEIL DES MINISTRES

Les ministres se sont réunis en conseil hier matin, à 10 heures, à l'Elysée, sous la présidence de M. Albert Lebrun. Le général Denain grand croix -de la Légion d'honneur S.ur la proposition de M. Pierre Cot, ministre de l'air, le général Denain a' été élevé à la dignité de grand-croix de la Légion d'honneur.

Citation à l'ordre de la nation Sur la proposition de M. Marius Montet,% ministre des colonies, le Conseil a décidé de citer à l'ordre de la nation M. F. Jacquet, ingénieur géologue en Afrique occidentale française, assassiné à l'âge de vingt-neuf ans, au cours d'une mission géologique et hydrographique au Sahara mauritanien.

Les indemnités

aux fonctionnaires,

retraités et mutilés

M. Georges Bonnet, ministre des finantes, a été autorisé à déposer jeudi prochain, sur le bureau de la Chambre,, un projet de loi portant ouverture de cré-

AU SÉNAT

INTERPELLATION

sur le fonctionnement

de l'Office du blé

̃ ̃

Le Sénat a consacré sa séance hier à la discussion d'une interpellation de II. René Hachette sur le fonctionnement de l'Office du blé.

M. René Hachette, qui considère la loi du 15 août 1936 comme « la charte du blé français se demande si cette loi est correctement appliquée et surtout si à la spéculation commerciale ne se serait point substituée la spéculation politique.

Comment fut fixé le prix du blé ? 2 l'article 9 de la loi stipule que pour cette fixation trois indices entrent en ligne de compte. Par suite d'une virgule mal placée au Journal officiel on tabla sur quatre indices, le prix fut fixé, de ce fait, à 173 francs 25 au lieu de 191 francs 80 et se traduisit pour l'agriculture par une perte de 500 millions. M. Jules Jeanneney reconnaît que cette légère différence entre le, texte adopté par le Sénat et celui paru à l'Officiel lui a échappé, sinon il eut réclamé une rectification. M. Hachette estime que dans ces conditions une révision de la loi s'impose. Elargissant le débat, l'interpellateur s'éleva ensuite contre la mainmise de l?Etat sur les quatre branches de notre activité nationale producteurs, coopératives, meuniers et boulangers, enserrés dans un système de collectivisation qui tend, par des règles rigides, à fonctionnariser » tous ceux qui produisent, manipulent et transforment le blé. La perte par l'agriculture de sa liiberté et de l'esprit d'initiative qui en est le corollaire prive le pays d'une force nécessaire au maintien de son indépendance.

M. Patizel intervient comme président «Su Conseil central de l'Office du blé. Il reconnaît que la loi n'est pas parfaite et qu'elle peut être amendée, mais il, .assure que telle qu'elle est, elle a rendu des services. La spéculation rendait nécessaire la fixation d'un prix légal. Cette année, le commerce a repris son activité passée, la loi lui laisse une marge de bénéfice suffisante.

Il assure, en terminant, /que la population agricole4 est satisfaite dé l'expérience que reçrësente,<ÎÀtts l'ordre de la réglementation, l'Office du blé. M. Monnet, ministre de l'agriculture, ïépond ensuite à M. René Hachette On a peut-être, dit-il, exagéré l'importance de la virgule avec ou sans virgule^.à mon avis, le résultat eût été le même.

Ceci, monsieur le ministre, répliqua M. Jeanneney, est 'un raisonnement, mais nous avons le droit d'exiger que les textes que nous votons soient promulgués avec une scrupuleuse exactitude.

Soyez assuré, répondit M. Monnet, que si un erratum est nécessaire, le gouvernement ne s'oppose pas à ce qu'il soit publié.

Le ministre affirma que l'Office du était une institution nécessaire. Le cultivateur est aussi libre maintenant qu'il l'était lorsqu'il était qbligé de passer sous les fourches caudines des spéculateurs. H lui paraît possible d'organiser une politique de collaboration professionnelle entre les intéressés et l'Etat. Cette politique qu'il entend suivre servira les intérêts du pays.

Comment, demanda M. J.-L. Dumesnil, entendez-vous, avec votre monnaie, donner un prix rémunérateur aux cultivateurs ? Nous sommes, répliqua le ministre, dans une période de monnaie instable. Les fonctionnaires réclament une revalorisation de leurs traitements sur la base de l'or. Nous pensons qu'il faut les fixer comme la rémunération des cultivateurs en fonction des coefficients intérieurs de hausse des prix et des conditions effectives de la vie. Il est de notre devoir de freiner la hausse de tous les prix.

En conclusion de son interpellation, M. Hachette avait déposé un ordre du jour regrettant que l'Office du blé au lieu d'être professionnel soit devenu en ̃réalité un organisme étatiste.

M. Donon, tout en regrettant que l'Office du blé n'ait, pas été ce <me désirait le Sénat et tout en constatant que le ministre se soit montré un peu trop un -partisan, vint au secours de M. Georges Monnet et réclama le vote d'un ordre du jour pur et simple impliquant la confiance « dans un ministre qui%a fait de son mieux ».

feuilleton du Figaro du 24 Novembre 1937 (50)

̃̃̃•

CHASSEUR NOIR

ROMAN INEDIT

de JAMESJXL1VER CVRWOOD CHAPITRE XXI

{Suite)

La voix de Bigot s'enfla, vibrante de rage et de désespoir

Emmenez-le, Péan, dit-il enfin. Je veux savoir le nom de celui qui, enfreignant mes ordres, a donné au veilleur la nouvelle de notre capture. Le coupable sera puni, je vous lé jure, fût-ce le gouverneur en personne et dussè-je infliger de ma propre main le châtiment. Allez Suivis de Péan, les gardes emmenèrent le pauvre diable. Dès que la porte se fut refermée sur eux, Bigot tomba affaissé sur son siège.

dits tendant à améliorer la situation du personnel en activité ou en retraite des administrations de l'Etat, des tributaires de la caisse des pensions de guerre et des titulaires de pensions d'invalidité, pour la période à compter du 15 octobre 1937.

(Le projet gouvernemental prévoit, en définitive, une dépense de 1 milliard 795 millions pour une année.)

,Les problèmes nord-africains M. Albert Sarraut, ministre d'Etat, a abordé devant le Conseil la première partie de son exposé sur les problèmes politiques, économiques, sociaux et financiers de l'Afrique du Nord. Cet exposé, très flétaillé, sera repris et terminé dans la prochaine réunion du Conseil où M. Albert Sarraut proposera le programme d'ensemble des mesures qu'il envisage.

Les enquêtes sur les dépôts d'armes et de munitions M. Marx Dormoy, ministre de l'intérieur, a mis le Conseil au courant des enquêtes en cours au sujet des dépôts d'armes et de munitions récemment découverts.

M. YVON DELBOS a été entendu

par la Commission sénatoriale des affaires étrangères

M. Yvon Delbos a été-entendu hier par la Commission sénatoriale des affaires étrangères au sujet de son proahain voyage en Europe centrale et des divers problèmes qui compliquent à l'heure actuelle la tension internationale. Au nom de ses collègues, M. Henry Bérenger, président de la Commission, s'est fait rinterprète des préoccupations de ses collègues en ce qui concerne les rapports entre les diverses puissances de l'Europe et notamment la France et l'Angleterre. Il a soumis à M. Delbos le questionnaire détaillé qui avait été élaboré par la commission dans une précédente séance.

Le ministre des affaires étrangères a répondu aux différentes parties de ce questionnairé, notamment en ce qui concerne les engagements existants de la France avec d'autres puissances et ceux d'autres puissances avec la France ou entre elles.

Diverses questions ont été posées au cours de la séance au sujet de la guerre civile espagnole, de nos relations avec l'Italie, des conversations entre Berlin et'Londres, du pacte franco-soviétique et de ses répercussions sur la situation en Europe centrale et le problème Extrême-Oriental dans ses rapports avec la sécurité de l'Indochine française. Au nom de ses collègues, M. Henri Bérenger a remercié M. Yvon Delbos des explications très circonstanciées qu'il a fournies et lui a exprimé les vœux unanimes que la commission forme pour son voyage d'amitié auprès de la Pologne et des puissances de la Petite-Entente.

En quelques lignes

♦ UN CAMION S'EST JETE DANS UN GROUPE DE DANSEURS, au coutà d'une fête locale,_près de Saljes-de-Béarn. Deux personnes ont été tuées, une troisième grièvement blessée.

LE RECEVEUR DES CONTRIBUTIONS DE NANGIS, Roger Locat, parti le 12 novembre, emportant douze mille francs, a été arrêté a Paris, dans un hôtel, rue Gustave-Goublier.

♦ UN ACTE DE SABOTAGE NOCTURNE a été commis à Saint-Saulve, près de Valenciennes. Pendant l'absence du comptable, logé à l'usine, un individu appartenant probablement au personnel, s'est introduit dans la savonnerie Palmia, et a ouvert lés vannes des cuves contenant du savon liquide en fabrication. Le produit s'est écoulé dans l'Escaut. La perte s'élève à plus de 50.000 francs. A LA STATION DE METRO BIENVENUE, un enfant de 13 ans, Albert B. demandait la charité aux passants. Conduit au poste, il déclara s'être échappé d'une maison de santé du Mans. Depuis huit jours il était à Paris, il vivait à la soupe populaire; parfois il restait des journées entières sans manger. L'enfant a été confié à une œuvre en attendant d'être rendu à ses parents.

♦ ON A DECOUVERT, LE CRANE FRACASSE, à sa résidence de Sea Island, M. Earle Coffin, riche industriel. Un fusil de chasse était placé près du corps. Les affaires de M. Coffin marchaient bien la famille se refuse à croire au suicide, et la police américaine a ouvert une enquête.

~M~«~~<~««.«~M~M<

44, RUE de CHATEAUDUN à

Les meilleures As'su.to,lnces

L'ordre du jour pur et simple fut adopté par 195 voix contre 100. Au début de sa séance, le Sénat valida l'élection de M. Louis Jpreyf us dans les Alpes-Maritimes. v

Prochaine séance vendredi.

̃;•'̃ H^B.

Grand Dieu que faire, maintenant ? soupira-t-il.

Derrière lui un léger bruit de pas se fit entendre, mais il né tourna la tête qu'au moment où une voix de femme lui disait

Monsieur l

Alors seulement, il fit' face à Anne. Si blême qu'elle fût, elle n'offrait pas le spectacle d'un plus grand désarroi que Bigot lui-même. L'air effaré, incapable de trouver un mot, il considérait la jeune fille arrêtée devant lui, le regardant de ses grands yeux.

Comme s'il ne pouvait recouvrer l'usage de la parole, il lui tendit les mains. Anne parut ne pas les voir. Ses yeux ne quittaient pas ceux de l'homme.

Il s'agit de. David, n'est-ce pas ? souffla-t-elle tout bas.

Oui de David

Prise comme d'un étourdissement, Anne chancela. Du fond de ses yeux monta une flamme une flamme de folie. Vite, elle se ressaisit. Bigot lui posa paternellement une main sur le bras, la conduisit vers un fauteuil, l'y fit asseoir, et d'un geste plein de douceur lui dégagea sa tête de son capuchon. Se reculant légèrement,- il lui demanda

Ai-je bien agi en vous envoyant chercher ?

Immobile et muette, Anne regardait droit devant elle, mais Bigot vit ses mains trembler sur ses ge"onx.

INFORMATIONS POLITIQUES La Commission des Finances termine aujourd'hui

l'examen du budget de 1938 Hier matin, après avoir entendu toi. Georges Bonnet et^Brunet, la Commission a disjoint, dé la loi. de Finances les articles 31 à 33 qui tendaient à modifier la loi de 1867 sur les sociétés, préférant que ces articles, à propos desquels elle veut encore entendre le Garde des Sceaux, fissent l'objet d'un projet de loi spécial.

La Commission a pris en considération un article additionnel de MM. Denàis et Bardoul, attribuant une bonification aux assistés obligatoires. Elle a, par ailleurs, adopté un voeu, invitant le gouvernement à hâter l'étude du projet de retraite aux vieux travail-

leurs.

Au budget des P. T. 'T. et à la re- quête de M. Mandel, la Commission a demandé des justifications de l'emploi des crédits relatifs aux émissions de ra- diodiffusion.

Dans la loi de Finances, MM. Denais et Baréty ont fait inscrire un dégrève- ment de dix pour cent en faveur des contribuables mariés, assujettis à la cé- dule des bénéfices industriels et commerciaux, lorsque le bénéfice net de l'exercice ne dépasse pas 20.000 francs. Une démarche du groupe de défense de la Famille Le groupe parlementaire de défense de la Famille a chargé M. Mallarmé d'une démarche auprès de M. Chautemps, pour attirer'son attention sur l'effet psychologique que produira dans le monde rural un projet destiné à améliorer le sort des seuls fonctionnaires et pensionnés, alors que la vie chère est particulièrement lourde aux paysans.

Le candidat du parti social français à la succession

de M. Varilant-Couturier

La section de Villejuif du Parti social français, a choisi son candidat pour l'élection législative complémentaire provoquée par le décès de M. VaillantCouturier, député de la circonscription. Elle a désigné M. Jean-Louis Moine, délégué à la propagande du P.S.F. La convention collective nationale des journalistes a été signée

Au cours d'une réunion qui s'est tenue hier, au ministère du travail, la convention nationale des journalistes a été 'signée entre, d'une part, la Fédération nationale des journaux français, représentée par MM. Maurice Maillard, Fernand Destin, Ernest Gaubert, de Grandyilliers et, d'autre part, le Syndicat national des journalistes, représenté par MM. Georges Bourdon, Stephen Vallot, Jean-Maurice Hermann.

La signature de cette convention est l'aboutissement des travaux qui, poursuivis dans un esprit de collaboration absolue, règlent les rapports des directeurs de journaux avec leurs rédacteurs. Elle apporte un intéressant exemple d'une convention collective dans l'esprit de la loi du 24 juin 1936 appliquée à une catégorie de travailleurs intellectuels.

LE BUDGET DE PARIS FOUR 4938

Les membres du Conseil municipal sont en possession du projet de budget de la Ville de Paris pour 1938 que leur a'fait tenir hier le préfet de la Seine. Deux constatations importantes se dégagent de ce document les grandes difficultés que l'on éprouve à tenter de résorber le déficit et la presque impossibilité de demander aux contribuables et .aux usagers des services publics un important et nouvel effort fiscal. C'est ce sentiment que le préfet de la Seine traduit en ces termes

« Sans assainir complètement une situation financière difficile, le présent budget est, comme îe précédent, un budget de transition et d'attente. »

M. ViJley propose donc un emprunt pour combler tant bien que mal le découvert, emprunt auquel s'ajouteront un autre emprunt pour le chômage et 60 millions à attendre du relèvement de quelques taxes (foncières, ordures ménagères et déversement à l'égout), qui seront au moins nécessaires en dépit d'une compression de dépenses s'élevant à 126 millions et du report au budget de l'Etat d'une somme de 92 millions.

IL Y A 2 MILLIARDS 116 MILLIONS D'HABITANTS SUR LA TERRE miuions ASIE nHHHHHHIIHQiSEQSESZallHIHIHHHHB 516 £53 eu/topewÊÊKm&iBmmm AM£RIQUEWEŒi2im

M t t t (!9 f~?~ ~<MO*«M

BRITANNIQUE CB*N« B.R.S.S. 3T«I8-ËHifl3 W«WE «fcfcPON «&BMAGNE rF&WE

BRITANNIQUE CBIII1\IIE ,tl..R.s.s. iif~1!JNIS ev OOtONIfS JrAoPON 8BMAGNE rTMJE

j Ce tableau indique la répartition de la population mondiale sur les cinq continents et les puissances qui comptent t le plus d'habitants.

Elle était à bout de forces, brisée. dans l'état où il avait voulu la réduire.

Il se pencha sur elle et lui glissa dans l'oreille » Des espions du conseil militaire l'ont surpris, voilà deux jours, je n'ai appris la nouvelle que ce soir, allant porter des pièces secrètes aux émissaires des Anglais. On a trouvé sur lui, cachés dans la doublure de son habit, les plans des ouvrages défensifs de Québec, des cartes et diagrammes avec tous les détails de notre forteresse, ainsi que des indications destinées aux commandants des forts Edward et William-Henry sur la route à suivre pour se rendre au Richelieu, et l'emplacement des forces combattantes. S'il lui avait murmuré des horreurs, des injures, il n'aurait pas réussi à soulever davantage l'indignation de la jeune fille elle bondit devant lui, le toisant de haut en bas, les narines dilatées, les yeux fulgurants et les poings crispés comme pour le frapper.

Vous mentez, monsieur Tout cela est faux Ils mentent tous, ceux qui accusent David de trahison. et vous. vous. le premier, quand vous osez me raconter ces histoires au sujet du Richelieu!

Chancelant de nouveau, elle dut se raccrocher à la table pour ne pas perdre l'équilibre.

Si David est un traître, pour-

AUX, ASSISES DE LA SEINE LE DOUBLE CRIME D'UN PORTUGAIS Bandara est condamné à mort Déjà condamné pour tentative de meurtre et menaces de mort sous condition, le Portugais Joaquin Bandara répondait, hier, devant la Cour d'assises, d'un double assassinat.

Abandonné par son amie, Berthe Capitaine, qui était lasse de ses brutalités, Bandara annonça publiquement qu'il allait la tuer, -et à plusieurs reprises, il l'épia dans la rue. Peine perdue, car la jeune femme, alertée par des amis, avait changé de domicile. Mais, tenue au courant des allées et venues de son ex-ami, elle résolut de mettre à profit une de ces absences pour reprendre possession du mobilier qu'elle avait laissé dans leur chambre commune, à Saint-Ouen. Le 26 mai 1936, elle s'y rendait, prudemment accompagnée de deux hommes, Henri Caillat, Albert Poumier et d'une amie, Blanche Florecq, mais Bandara était aux aguets.

Lorsqu'il aperçut le groupe, il s'arma d'un pistolet automatique et d'une hachette qu'il enveloppa dans un journal, puis il sortit de la cantine où il s'était dissimulé. Caillat lui ayant porté un coup de pied, il ripoSta en faisant feu dans sa direction se lançant alorsfà la poursuite de Poumier, il le rejoignit bientôt et tira sur lui les deux hommes furent mortellement ^frappés.

Ce Portugais, deux fois meurtrier, deux fois assassin, devrait-on dire, puisqu'il avait prémédité son acte, a, devant les jurés, renversé les rôles. La victime, c'est lui, puisque, après avoir été trahi, bafoué, délaissé, on était venu, à quatre, pour l'attaquer et le tuer 1. Que n'êtçs-vous resté dans votre pays, lui disait, hier, le président Lapeyre.

Mais je ne pouvais pas, répondit vivement l'accusé. J'étais malade, sans un sou et je sortais de prison. Dans ce cas-là, tout le monde vient en France. Voilà qui n'est guère rassurant pour la sécurité de notre pays, mais ce que disait Bandara est malheureusement une vérité ̃ ̃

Après le réquisitoire de l'avocat gé- néral Falco, qui réclama la peine de mort, MI Suzanne Lévy présenta une défense habile de son client.

Après une courte délibération des jurés, Joaquin Bandara a été condamné à la peine capitale. C'est la seconde condamnation à mort qui est prononcée depuis le début de la session.

Notre visite au dernier des élus de l'Assemblée Nationale r

M. Blin de Bourdon.

promu officier de la Légion d'honneur M. Blin de Bourdon, ancien député, le dernier des élus de l'Assemblée nationale, vient d'être promu officier de la Légion d'honneur. Il avait été, à titre militaire, nommé chevalier. le 12 mars 1871 et était leur doyen.

Le nouveau promu, auquel nous apportons la nouvelle et nos félicitations, nous accueille avec bonne grâce dans l'appartement qu'il occupe depuis plus de trente ans, faubourg Saint-Honoré. Malgré ses 101 ans, il a l'allure étonnamment jeune, mince, se tenant très droit, une longue moustache blanche orne chaque côté de la bouche.

Voulez-vous, lui demandons-nous, évoquer pour nos lecteurs quelques sou-

venirs ?

–-Des souvenirs ? J'en ait tant !> En quelques secondes, toute une vie et un siècle d'histoire traversent l'esprit de notre interlocuteur

Mais c'est de sa jeunesse, de ses voyages que M. Blin de Bourdon conserve les plus vivants souvenirs.

Louis-Philippe ? Je me souviens encore, comme si c'était hier, des quelques fois où je le vis. Je me souviens également des barricades de 1848 sur lesquelles, au lendemain de l'émeute, je grimpais, d'un pas mal assuré, donnant la main à mon grand-père.

Puis, avec nostalgie, c'est l'évocation des victorias étincelantes parmi lesquelles se glissait parfois le landau im-, périal, les promenades équestres de son domicile, alors la rue Boissy-d'Anglas, au théâtre du Pré-Catelan, et enfin les longs voyages, les explorations le long du rail, en Palestine, puis dans la cordillère des Andes. t

Ces merveilleux souvenirs, M. Blin de Bourdon les revit souriant, sans trop s'y appesantir, d'ailleurs, et attendant de pouvoir, avec le printemps, retrouver les Champs-Elysées et, il le dit lui-même joliment, « la fraîche odeur des marronniers sous la pluie d'avril ».

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suivit-elle. alors. alors. Dieu n'existe plus 1

Sans répondre, Bigot la regarda avec un air de douloureuse compassion, se traîna vers un autre siège et s'y assit, la tête enfouie dans ses mains. Anne s'effondra dans le fauteuil qu'elle venait de quitter et emplit la pièce de sanglots déchirants. Il s'attendait à cette crise. Il releva les yeux. Prostrée sur la table, Anne avait la tête entre ses bras, le cœur brisé par là douleur.

H s'approcha d'elle et pendant quelques secondes, lui dit des paroles de- réconfort qu'elle perçut à peine. Elle comprit seulement qu'il prenait Dieu à témoin des efforts accomplis par lui en vue de sauver David, mais il n'avait pu vaincre les circonstances. Lorsque la «crise de nerfs de la jeune fille se fut légèrement calmée, il laissa tomber des paroles qui pénétrèrent comme des poignards dans ses oreilles. Il expliqua que c'était le 'parti militaire, à la tête duquel figurait Vaudreuil, et tous les membres du conseil et non ses propres ,amis qui avait capturé David. Ce parti, comprenant les officiers supérieurs de l'armée, était résolu à écraser les traîtres qui mettaient en péril la NouvelleFrance. Tous,, étaient impitoyablement partisans de -la peine'cnpitale Les préparatifs étaient déjà faits pour faire passer David en conseil de guerre, et son sort allait être dé-

L'ART

ET LA CURIOSITE A L'HOTEL, DROUOT La vente de la cinquième partie des objets dépendant de la succesion de M. Louis Deglatigny, de Rouen, a pris fin hier, sous la direction de Me Etienne Ader, assisté de MM. Féral, Catroux, Huteau, de Kerviler et de' Mme Noël Gharavay. Nous avons noté' un dessin attribué à Hubert Robert La colonne rajane, 2.600 francs un autre Couple près d'une cheminée, 1.550 francs une sangujné, de l'Ecole du même artiste La Grotte du Pausilippe, à Naples, 1.900 francs, et une lettre de Géricault au chevalier Derville, 1.900 francs. Au cours de la vente d'autographes qu'achevaient Me Edouard Giard et M. G. Andrieux, un dossier concernant la maison Lamoignon de Malesherbes fit 1.000 francs, et un dossier sur Necker et sa famille, 2.215 francs. Dans une vente après décès, quelques tapisseries ont été adjugées entre 5.000 et 10.000 francs. ̃ Maurice Monda.

Vente après décès de Mme G. Exposition, aujourd'hui (salle 2), des meubles, objets d'art, 'salon garni d'Aubusson, sièges, meubles, argenterie, bijoux, livres, etc., que M* Edmond Petit dispersera jeudi 25 et vendredi 26. Ventes d'aujourd'hui

HOTEL DROUOT. Salle n° 9. Vente. Autographes anciens et modernes. Collection de portraits dessinés à la plume. M° Etienne Ader M. Pierre Cornuau.

HOTEL DROUOT. Salles 10 et 11 réunies. Collection de la princesse de Faucigny-Lucinge. M" ALPH. BELLIER; MM. Lebel, Portier et Prost.

Il MORTS EN SYRIE LE CARDINAL TAPPOUNI VA RENDRE HOMMAGE A NOS MISSIONNAIRES MARINS ET SOLDATS En présence des cardinaux Verdier et Baudrïlilart et du général Gamelin, Sa Béatitude Eminentissime le .cardinal Tappouni officiera pontificalement suivant le rite syrien le dimanche 28 novembre, à 9 heures 30. en l'église SaintLouis des Invalides. Ce sera la veille de son départ. 1

Un de ses secrétaires m'a déclaré à cette occasion Avant de quitter la terre de France ou Elle a reçu un si chaleureux et si généreux accueil, Sa Béatitude Eminentissime le cardinal Ignace-Gabriel I Tappouni, patriarche d'Antioche,tient à rendi.e -hommage à la mémoire des missionnaires,des marins et des soldats français morts pour la Syrie, Elle a donc voulu célébrer une messe pontificale de rite syrien, aux Invalides, pour ces héros à qui la Syrie est redevable de sa liberté. Ce geste si délicat a été hautement apprécie, par toutes les personnes qui l'ont su, et nous ne doutons pas qu'il ira au cœur de tous les Français.

Son Eminence voudrait que tous les Français, que le monde entier, sût que les Syriens seront éternellement reconnaissants à ceux qui sont tombés au champ d'honneur pour eux.

Des .places1 spéciales seront -réservées aux officiers en uniforme.

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LES ESPIONS ARRETES

DANS LA REGION D'HUNINGUE ONT AVOUE

Strasbourg, 23 novembre. Les six espions arrêtes cette nuit dans la région d'Huningue ont fait des aveux complets aux enquêteurs chargés de l'affaire. Ils ont reconnu qu'ils se rendaient régulièrement à Fribourg-en-Brisgau, centre du service d'espionnage allemand de la région, et que là, moyennant des indemnités qui étaient parfois de 500 marks, ifs fournissaient des renseignements militairès.

Le chef de la bande, un Allemand que l'on suppose s'appeler Splenger, et ses complices ont été écroués à la prison militaire de Besançon. Mais la police continue ses recherches pour découvrir si,d'autres individus n'étaient pas af filiés à cette association.

cidë très prochainement. D'une voix tremblante d'émotion, Bigot invo-l quait l'aide de Dieu dans ce suprême combat qu'il allait engager pour David..

En même temps, il faisait luire un espoir. Tant qu'il y avait une ombre de chance, disait-il, il ne fallait pas abandonner la partie. Tout son pouvoir et son influence, il les exercerait en faveur de David. Il risquerait tout, jusqu'à l'Intendance de la Nouvelle-France, si ce sacrifice pouvait assurer le bonheur d'Anne.

Sur l'esprit, torturé et brisé de la jeune fille, cette voix agissait comme un baume n'était-ce, pas la voix de son plus grand ami, du seul homme influent qui pût sauver David ? A cette pensée, sa main rencontrant celle de Bigot, s'y agrippa avec une sorte de ferveur. Elle cessa de sangloter

Il faut absolument que je voie David murmura-t-elle.

Voilà précisément pourquoi je vous ai priée de venir, ma chère enfant, répondit-il en lui entourant doucement la taille de son bras libre. Elle sentit ses lèvres brûlantes qui la baisaient au front. A ce contact, elle se dégagea, se leva de son siège et leva les yeux sur lui. La lampe brûlait en veilleuse. Le maquillage gavant de Deschenaux atténuait le désir malsain qui se dissimulait sous le masque de Bigot, dont elle ne vit mie les trait pâles et donlonremç d'un

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Sont promus officiers MM. Blin de Bourdon. ancien député; Cavenel, ingénieur en chef du service vicinal du Finistère. à Quimper Lemonon, 'directeur administratif du « Petit Parisien à Paris; Monnier, préfet du Var.

Sont nommés chevaliers MM. Aury. Barnachon. Boniface, Canavaggio, Estienne, Janaud, Lecomte, Rullion. Tartary.

Promotion des maires

Maires ayant au moins trente ans de fonctions

Sont nommés chevaliers MM. ConstenUn, Foucaud. Ferre, de Manneville, Parizel,

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COMMUNIQUE

DU COMMISSARIAT

GENERAL DU PORTUGAL v A L'EXPOSITION

Une marque de vin de Porto se recommandant de l'exclusivité qui lui a été 'accordée par le concessionnaire du restaurant établi sur la terrasse du Pavillon du Portugal, le commissaire général portugais à l'Exposition de Paris 1937 fait savoir qu'il n'est pour rien dans l'octroi d'un tel privilège. Toute publicité faite à ce sujet n'est donc pas de la responsabilité du commissariat et ne présente aucun caractère officiel.

Le seul organisme officiel ayant à sa charge la propagande et le contrôle des vins de Porto, et qui garantit leur authenticité et qualité, est V Institut du Vin de Porto, dont le Pavillon de dégustation, annexe du Pavillon du Portugal, fait partie intégrante de la représentation officielle du Portugal à l'Exposition.

Les vins de la marque en question se trouvent dans le Pavillon de dégustation de l'Institut du Vin de Porto, au même titre que ceux de toutes, les autres marques des exportateurs, dont la liste officielle est distribuée au public au Pavillon de dégustation de l'Institut,

martyr qui se morfondait d'amour pour elle. Comment douter de s"a sincérité devant de telles preuves d'attachemen*' Elle ne s'offusqua point de l'attitude équivoque de Bigot, n'en conçut ni révolte, ni frayeur, convaincue, dans son innocence, que l'amour de cet homme reposait sur trois grands principes sa foi, son honneur et son affection pour David.

Bientôt, elle se ressaisit et recouvra toute sa vigueur physique à l'idée de l'ultime appui que le ciel lui envoyait. Bigot, percevant ce changement, réagit encore plus rapidement qu'elle il redressa la taille, ses yeux brillèrent, et quand Anne manifesta de nouveau le désir de revoir David, Bigot éprouva une joie qui n'était pas feinte tout se réalisait suivant ses desseins Anne, allait d'elle-même tomber dans le piège qu'il lui tendait

Allons! fit-il, vous avez raison, il faut être courageuse La bataille n'est pas encore perdue. Le sort de David, en ce moment, demeure en suspens lorsque le Conseil, après avoir examiné toutes les pièces et tous les témoignages à charge, se déclarera prêt à prendre une décision, je paraîtrai devant lui pour requérir l'indulgence. En attendant, si vous pouvez persuader à David d'imputer au Chasseur Noir et, à son influence sur lui sa malheureuse situation actuelle, et le convaincre

otfre ̃ Leroy» organisation unique en France– vous est garantie par les titres de ses 10 Médecins-Oculistes et de ses 50 Opticiens.

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Pasté. Pointis, Poullard. Bicorne,, Trouttl««s Maire à « titre exceptionnel

Est nomme chevalier: M. Mars.

Promotion des retraité»

Sont promus commandeurs MM. Marlier, préfet du Lot-et-Garonne; Remyon, préfet honoraire Helly, inspecteur général honoraire des services de police de la Sûre» nationale. ̃

Officiers MM. Valabregue, préfet honoraire Bressolle, rédacteur honoraire au ministère de l'intérieur; Cals, commissaire divisionnaire honoraire de police spéciale Lluscia. commissaire spécial de police honoraire Quéré, commissaire spécial de police honoraire.

Sont nommés chevaliers MM. Gouffier, Grandamy, Armani, Barbier, Béjean, BUlaudel, Burles, Caillou, Crépin, Demailly, Depeige, Domercq. Droiton, Généteix, Grégoire, Kieffer, Lacroix, Lala, Le Bihan. !#• noël, Olivier. Pennanti Poyaud. Protche. Pugnière, Pujol, Rodière, Roussel, Schwarte, Unbewust, SébeilJe et Verleve.

Ministère de l'éducation national» Sont promus

Officiers MM. Louis Icart, artiste peintre Marcel Masbou, directeur de l'enseignement primaire de la Seine.

Sont nommés chevaliers Mlle Marie Bourqui, M. Claude Chambard, Mme Marthe Chenal; MM. Joseph Cosinii, François Croze, Michel Dufet, Jérémie Dulaar, Alphonse Gilet, Mlle Elisabeth Julia; MM. Gabriel Lagorsse, René Pajot, Joseph Petit, René Sordes.

Promotion des retraités

MM. Joseph Delcourt, François Parte. Sous-secrétariat d'Etat à l'enseignement techniaue

Est promu officier M. Henri Strube, vice-président de l'Association technique de fonderie.

Sont nommés chevaliers MM. Gustave Deflin, Jean Fressinet, Wladimir Koudrine.

Le coin de l'Exposition

La dernière journée sera la «Journée des pauvres» La dernière journée de l'Exposition, demain 25 novembre, sera la « Journée des pauvres », organisée par notre confrère l'Intransigeant.

Le prix d'entrée est fixé à trois francs. Voici le programme succinct des fêtes: De 10 à 18 heures Cinéma 37. 14 h. 30 Défilé des invités à la cérémonie de la distribution des récompenses, au Trocadéro. M. Albert Lebrun arrivera par l'allée qui longe le pavillon allemand. De 15 à 17 heures au Centre Régional Concert par une. musique militaire.

De 17 à 19 heures, dans la salle des fêtes du Centre Régional Bal populaire gratuit.

De 22 à 23 heures Musiques militaires (1° sous la grande terrasse du Trocadéro 2° entre les pavillons canadien et belge 3° place centrale, du Centre Régional).

23 heures les trois musiques formeront trois retraites et quitteront l'Exposition.

de témoigner contre le gredin qui est cause de sa perte, cett# déclaration améliorera tellement son cas que le Conseil se montrera peut-être miséricordieux et lui fera grâce de. la mort.

De la mort ? s'exclama Anne, terrifiée.

Oui, c'est le sort qui l'attend. Un instant, elle se sentit défaillir, les murs lui semblèrent chavirer autour d'elle et la voix de Bigot lui parvenait faible, tel un lointain écho. Cependant, ce, moment de faiblesse passé, Anne se ressaisit n'était-ce pas là le châtiment évoqué- en elle par l'annonce du veilleur de nuit ? Pourquoi donc ce mot sortant des lèvres de l'intendant la frappait-il au cœur ?

Bigot poursuivit r

Un de mes adversaires ayant, paraît-il, enjoint au veilleur de proclamer cette nouvelle en ville, la condamnation est pour ainsi dire certaine. Tout le monde sait que la trahison affaiblit notre position visà-vis de nos ennemis. Dans ces conditions, surprendre un traître en flagf ant délit et lui accorder sa grâce risquerait de déclencher la révolution. Si la capture dé David ét\it au moins restée secrète, entre nous. James-OI-vpr Curwood.

(A suivre)

(TrnrinH rie l'nnn^n1" ̃'•:


Michèle Morgan et Chartes Boyer dans une sçènsi du « Venin» que Marc Allégret réalise en ce moment à Billancourt.

Ck ron iq ue du Music -JH a 1 1 MIREILLE AIXB.C. 1

MARIANNE OSWALD A ROBIN»

LA REVUE HU MOUMN-BLEU j

M8IV i|||||| ireille a fait, à l'A. B. C., une

̃Rot rentrée très brillante. Elle

l\sf chante toujours, avec sa petite

I » lilljll voix de souris et ses petits' gestes et sa gentillesse, aiguë, des chansons qui lui conviennent parfaitement. Isabelle, Hop nous voilà repartis. C'est le début d'une aventure. Elle interprète aussi une sorte de sketch chanson, dont l'auteur est Sacha Guitry, et gui, est d'une invention très ingénieuse. Au piano, Mireille compose une chanson rur celui qu'elle aime et chante devant le récepteur du téléphone, pocr oue làbas, l'autre l'entende. Et puis, elle finit par' avouer qu'il n'y a personne à l'autre bout du fil mais que cette illusion lui rend l'inspiration plus facile. C'est très joli.. ̃ Nous avons assisté ensuite aux débuts 'de Paul Reboux, faisant aussi bonne contenance que possible sous les tor-

rents aveuglants de lumière Jaillissant,

des projecteurs. Il entreprend la réha-

bilitizptioojn. des, bieiles-mères avec beal4-,l

bilitation: des bejlesrmères avec beau-

jconp d'esprits

Au même pi'ogrâmme encore, la Df6mè

Au même programme encore, Môme

Piaff, que, dorénavant, r i7 faut appeler

Edith Piaf f, très en forme, et qui, chante '1 une chanson' de Goldin, Un marin faut que ça voyage, avec beaucoup d'âme, en plus de ses chansons habituelles^ peuplées de légionnaires et de mauvais garçons. Doumel raconte quelques tonnes histoires et Jo Bouillon dirige son orchestre auec tout son entrain et sa fan-

taisie.

/̃̃̃/̃. ̃̃;̃̃̃̃̃;

A Bobino, Marianne Oswald chante des chansons étranges et passionnées. Le public de la rue de la Gaîté en reste d'a- bord un peu pantois, mais,' dès se- conde, it est pris par ces rythmes doit- loureux, rappelant souvent ̃ Kurt Weil, j par l'angoisse, le malaise que dégagent et la chanson et l'amère volupté qu'éprouve; Marianne Oswald à la chanter. Son succès est très vif. Elle chante Le, chauffeur de taxi obsédé par le 'nom des rues, le malheureux qui meurt de faim, dans un vertige résonnant de « café crè- me, croissant », Bagne d'Enfant, d'au- très encore d'un effet saisissant.

̃•v-r •A. •' {

::•̃ ̃̃• ̃

i H.g~ a^quelque temps, le compte rendu < d'une opérette nous a valu une lettre de J lecteur nous reprochant de l'avoir encou- J ragé à aller voir un spectacle qu'il n'es- timait pas digne de lui. Nous pensions i pourtant avoir mis les points sur lès i. Nous mettrons*donc des doubles points i sur les ipour parler de la revue, du < Moulin Bleu.. Ce n'est point un spectacle. s pour les ingénues, ni pour tes délicats soucieux de bon ton et de belles ma-1

SOIREES. Ce soir

/$£^$ï\ mercredi, jeudi, samedi ($; \KV Asmodée vendredi Le (ïï(l680l>j Chandelier, L'Epreuve diW&L Jù!l manche La Rabouilleuse.

WT^ MATINEES. Jeudi Horace, L'Epreuve; same-

di-: Quatrième matinée poétique La musique et les écrivains français di- manche Asmodée.

Des Capucines l'idolâtre

Aime la pièce policière.

I Celui que ce grenre exaspère

Adore' pourtant ce théâtre.

TRlEAI,RIS.

t'tn E~ a't~E~.

-LÈS DATES MËTEJNXJE©

Jeudi 25

OPÉRA-COMIQDE. En soirée, reprise de: 'Louise. CE SOIR

OPERA (Opéra 59-59), à 20 h. Rolande et le mauvais carçon (Mmes Marisa Ferrer, Màhé, Gervais, Ricquier; Courtin MM. J. de Trfvi, Etcheverry, Huijerty, Nàrçon, Chas^tenet, Gilles, Gourgues, Madlen, etc.). Orca. M. Henn Babaud. Demain, relâche.. Il COMEDIE-FRANÇAISE (Rich. 22-70), à' 21'h. Asmodée. (MM. Dessonnes, Ledoux, Jean Martinelli, Bonifas; Mmes Germaine Rouer, Henriette Barreau, Casadesus).

Demain, en matinée Horace, L'Epreave; en soirée Asmodée. OPERA-COMIQUE (Rich. 72-00), 20 h; 30 Werther (M. Charles Priant; Mmes R. Gilly, Gros; MM. Gaudin, Morturier, Gouret et Dufont). Orch.: M. Eugène Bigot. L'Invitation à la valse. Demain Les Contes d'Hoffmann. ODEON (Danton 58-13), à 20 h. 45 Catherine «mperenr (Mme Yvonne de Bray, M. François Rozet, Louis Seigiier, Guy Parzy, Raymond-Girard, Gautier-Sylla; Mmes Jeanne Reinhart, Blanche Dars, etc.). Demain, en matinée Mithri.date. Les Fausses Confidences soirée "Catherine empereur.' ARTS (Wag. 86-03), à 20 h. 45 Sixième étage (Mmes Andrée Sérvilanges, Laure Diana, Glaire Gérard, Claude Anny; MM. Henri Guisol, Maurice Dorléac, Arthur Devère, André Moreau)..

ATHENEE (Opéra 82-23), â 21 h. Electre, de M. G. Giraudoux. (MM. Louis Jouvet P Renoir, R. Bouquet; Mmes Gabrielle Dorziat, Kenée Deyillers, Madeleine Ozeray).. GAITE-LYRIQUE (Aroh. 29-20), 21 h.: Le Paya da Sourire (M. Willy Thunis)..

GYMNASE (Pro. 16-15), à 21 h. Le Cap des Tempêtes, pièce en 5 actes de M. Henry Berastein. (Victor Francen Jeanine Crispin, Claude Dauphin, Jean Wall, Lucy Léger, Hélène Gerber, Georges PaJly et Betty-Daussmond). Matinées samedis, dimanches.

MADELEINE (Anj. 07-09), à 21 h. 15 Quadrille, comédie de M. Sacha Guitry. (Mmes Gaby Morlay, Jacqueline Delubac, Pauline Carton; M. Georges Grey et l'auteur).

MICHEL (Anj. 35-02), à 21 h. Super-Panse, revue de Dorin et Saint-Granier. (Mmes Marg. Deval, Parisys; MM. Trame), Doris. Ed. Roze, Saint-Granier).

nières. Nous avons pourtant aperçu André de Fouquières le soir de la.générale. Le gros sel de cuisine remplace le sel attique. Les «artistes » sur ta scène sont encore moins vêtues qu'au musichall, et nous ajouterons même que souvent elles n'ont ni la pureté de ligne, ni l'harmonie des formes -qu'exiqerait une telle liberté.

A présent, la mise au point étant faité, nous -pouvons' parler de la revue de Valentin Tardait' et dire que, dans la seconde partie,surtout, elle contient des scënes~ amusantes." Un sketch politique met en scène un brave, homme, qui devient fou de bonheur à l'avènement, en

Mireille à son piano.

mai 1936, du Front populaire, et qui, retrouvant la raison à la fin de l' expérience », retombe dans une crise de folie furieuse en apprenant'que pour se plaindre des méfaits de l'ex-ministre des finances, au ministre de la justice, c'est au même qu'il doit s'adresser. Le défilé des plaisirs montmartrois fait àpparaitre des modèles représentant, les peintres à.la mode. Que dirait J.-J. Domergue devant 7a jeune personne, généreusement plantureuse, chargée d'évoquer, vêtue d'un grand chapeau et d'un boa, les' élégantes désincarnées qu'il aim,e peindre Cela se termina par une séance, de catch ,J féminin, qui enthousiasma Pierre Varenne.

André Warnod.

AUX BOUFFES-PARISIENS

Mlle Yvonne PHINTEMPS, souffrant

d'un léger accès de grippe, et la Directton me voulant pas remplacer l'incomparable créatrice de TROIS VALSES, a décidé de faire relâche Jusqu'à, vendredi soir Inciusivement.

Samedi, en soirée, Bille Yvonne PRINTEMPS reprendra le rôle qu'elle a si magnifiquement' interprété pendant 240 représentations consécutives. La Direction s'excuse auprès des personnes qui avaient pris des places en location, et les inf ornte que les coupons seront rembourses on reportés, s'ils en expriment

le désir..̃̃̃ '̃̃̃

MICHODIERE (Rich. 95-23), à 21 h. Fric-Frac, de M. Edouard Boùrdet. (Victor Boucher, Arletty, Michel Simon, Andrée Guize, Suzanne Henry, H. Bonvalet, etc.).)

MONTPARNASSE (Gaston-Baty), à 21 h. Cris des Cœurs, de M. Jean-Victor Pellerin; Les Caprices de Marianne .(Marguérite Jamois, Lucien Nat, G. Vitray, H. Beaulieu, Rolla Norman).

AMBASSADEURS. 21 h., 15 Pacifique (Alice Coeéa). ANTOINE, 21 h. L'Homme qui te donnait la comédie. A'rELIER. 20 h. 45: Volpone.

BOUF.-PAR,, 21 relâche. Samedi Trois Valses. CAPUCINES. 21 h. La Nuit du 7.

CH.-DË-ROCHEFORT, 21 h. 15 La Nuit perrers», CHATELET, 21 h. Yana (Roger Bourdin).

DAUNOU (7, rue Daunou), 21 h. Chaleur du Sein. DEJAZET, à h. Le Lycée Papillon.

DEUX.MASQUES, 21 h. Les mauraia Ange*.

ETOILE, 21 h. L'Ecurie Watson.

GRAND.GUIGNOL. 21 h. Sa veuve. Le Baiser de sanr. HUMOUR, 21 h. 15 L'Honneur dn MUien.

ISOLA, 21 h. Mystères et Illusions.

MATHURINS-PITOEFF, 21 h. L'Echange.

MOGADOR, 21 h. Ballets polonais.

NOUVEAUTES, 21 h. j-.V'la l'travaUt

ŒUVRE, 21 h. Les Chevaliers de la Table Ronde. PALAIS-ROÏAL, 21 h. Madame est avec moi! PORTE-SAINT-MARTIN, 20 h. SU Le Roaier de Mme flusson. RENAISSANCE. 20 h. 45: Mon Cnr« chez les Riches. SAINT-GEORGES, 21 h. Famille.

SARAH-BERNHARDT, 21 h. La Mère

TH. DE PARIS. 21 h. La Fouie.

VARIETES. 21 a. Un de la Cannebière (AUbert). VIEUX-COLOMBIER, 21 h. La Borgia. famille étrange. MTLJSIC-HilLLS CIRQUES CHANSONWER8

Méjne spectacle qu'en soirée V. B. C., h. h.

L A P R E M I E R E i LES FILMS NOUVEAUX

d'« ASMODEE» La répétition générale et la première d' Asmodée ont réuni, à la ComédieFrançaise, les personnalités parisiennes parmi lesquelles on remarquait: MM. Camille Chautemps, Léon Blum, Violette, Yvon Delbos, Jean Zay, S. Exe; l'ambassadeur d'Angleterre et Mme Phipps, S. Exc. l'ambassadeur de Belgi- que et madame, le général Weygand, MM. René Doumic, Georges Goyau, Henry Bordeaux, Abel Hermant, Henri Lavedan, Georges Lecomte, Abel Bonnard, André Chaumeix, Georges Duhamel, Louis Gillet, Edmond Jaloux, Jacques de Lacretelle, Marcel Prévost, de l'Académie française. M. Failliot, président du Conseil municipal M. Langeron, préfet de police MM. Jacques Rouché, AIberjt Carré, Eugène Fasquelle, Louis Brun, Jacques-Emile Blanche, Paul Claudel, Georges Huisman, directeur des Beaux-Arts; M. et Mme Gay-Lussac, comtesse de La Rochefoucauld, M. André Maurois, Mme Marcelle Auclair, M. Petsche, MM. Marcel Achard, Steve Passeur, Sacha Guitry, Henry Bernstein, le baron Maurice de Rothschild, M. Charles Boyer et Pat Paterson, MM Paul Boncour, Paul Géraldy, Henri Rabaud, Paul Fort, Mme Georges Courteline, MM. Edmond Haraucourt, Tristan 'Bernard, Louis Beydts, Jacques Chardonne, MI Maurice Garçon, MM. Roland Marcel, le bâtonnier Fourcade, Paul Morand, Georges Mandel, Massigli, comte et comtesse de Cossé-Brissac, MM. Georges Auric, Victor Boucher, Christian Bérard, J.-J. Bernard, Marc Chadourne, Jean Cocteau, Albert Flament, H.-R. Lenormand, comtesse de Montgomery, M. François Por ché, M. Armand Salacrou, etc.

Une magnifique soirée après une glo rieuse matinée.

La Comédie-Française a repris sa place de premier théâtre français.

LE SOUVENIR

DE MARIE DELNA

On achève en ce moment, à Meudon, nous dit le poète Henri AUorge, de raser le café où, jadis, la jeune Marie Ledan, qui devait illustrer le pseudonyme de Delna, fut remarquée par des artistes. On lui fit donner des leçons de chant et bientôt commença la prestigieuse carrière de ce rare contralto- qui devait triompher surtout dans La Vivandière, de Benjamin Godard. Plus rien ne reste du « café du Panoramas, naguère encore gare provisoire de Meudon-rive gauche. La pauvre Delna est morte à l'hôpital. Vanité des vanités 1

Mme YVONNE GALL AU CONSERVATOIRE Mme Yvonne Gall vient de commencer brillamment son cours au Conservatoire. On sait que nommée à ce poste depuis quelque temps déjà elle n'avait pas encore commencé son enseignement, retenue qu'elle était à. Munich pour y tourner Les Gens du voyage avec André Brulé sous la direction de Jacques Feyder.

La reprise de « Louise » est ajournée

A la suite d'un nouvel examen radiographique pratiqué hier, les médecins ont dû interdire à Mme Fanny Heldy de reprendre son service à l'Opéra et

èli'Cfpét&-Gomïiiue,kVàâi lé-deBut'a'e la

semaine prochaine. :;v: ̃'̃̃-̃̃-• s Dans ces conditions, on donnera demain soir, à la Salle Favart, pour l'abonnement du jeudi, série B, Les Contes d'Hoffmann, avec Mmes Solange Delmas, Bernadette Delprat, Véra Pee- ters MM. 'Raoul Jobin et Cabanel. La représentation commencera à 20 h. 30.

les3:oups CE SOIR

'♦A l'Opéra, à 20 heures, reprise de Rolande et le mauvais garçon, opéra de e M. Henri Rabaud.

A la Gattè-Lgrique, à 21 heures, reprise de Le Pays du Sourire, opérette de Frantz Lehar.

+ Plus que Reine, le- drame lyrique de Marcel-Bertrand, vient de remporter un nouveau et triomphal succès au théâtre de Grenoble. Le directeur, M. Gulchard, peut être fier de ce magnifique effort de décentralisation.

I-VATEUER ̃. CHARLES DULLIN-J

VOLPONÉ

Un ipectaele magnifique et joyeux

MUSIQUE

Le violoniste Szigeti donnera son unique récital de la saison le jeudi 2 décembre, à la Salle Gaveau.

Ce soir, Salle Gaveau, a 21 heures, Quatuor LESER.

i Ce soir, Salle Chopin, a 31 heures (Kiesgen). Récital dn violoniste MAL.VESIN.

Bmil SAUER, le grand pianiste viennois, A la veille de son départ pour l'Amérique, ae fera entendre dans un unique concert le mardi 30 novembre a la Salle Pleyel, sons la direction du maître Georges ZASLAWSKY.

W ~BB ~B H~t~ T~ ~~tP~~P W~ ~B

&ë~ fMOQM~MMES

CET APRES-MIDI

AUPIGALLE

PIERRE LE GRAND Après s'être approprie les joyaux de la couronne, pour couvrir ses frais, le gouvernement de VU. R. S. S. s'empare de l'épopée impériale afin d'en tirer des films à sa propre gloire. Comme le faisait remarquer fort justement notre confrère René Jeanne, la silhouette de Staline se dessine derrière celle de Pierre le Grand

Pierre le Grand, en dépit de ses qualités de souverain, n'était pas précisément le modèle des vertus bourgeoises: un couvent lui sembla tout indiqué pour entourer sa sœur Sophie d'une zone de silence, et son frère Ivan, qui inclinait à le conseiller, fut à son tour invité à se mêler de ses affaires. (Staline, aujourd'hui, emploie, pour se débarrasser des gêneurs, des procédés encore plus convaincants.) Libre de tout lien fraternel, Pierre le Grand s'occupa de l'armée et, d'abord battu par le roi de Suède, il fut assez heureux pour le vaincre à son tour. Après quoi, il recula largement ses frontières et fonda SaintPétersbourg.

C'est cette épopée que le film retrace avec des moyens puissants. Le cinéma russe, qui dédaigna longtemps la mise en scène à grand spectacle, semble venir à la somptuosite que Hollywood mit au goût du jour. L'actéur Simonof, tient avec classe et talent le rôle du tsar. Et les seigneurs opulents, les gens d'Eglise à l'autorité souveraine, les moines fanatiques composent une figuration qui n'est placée là que pour être vaincue, pour justifier la puissance d'un seul homme travaillant pour la masse. Nous' ne pouvions espérer d'autres tendances, d'autre esprit ni d'autre conclusion, et ce film est, cinématographiquement partant, l'un des meilleurs qui nous soient venus de Russie. Jean Laury.

I GRAND I

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«PRÉSENTÉS AU JURY DE 1

| L'EXPOSITION 1937 1

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D'APRES LA NOUVELLE DE P A U L MO R A N D CHORÉAUTEUR.-CHORÉGRAPH E SERGE LIFAR Musioue oe szyfer

CONFERENCES

COXFERENCIA. Université des Annales, Salle Oavean, 45, rue La Boétie Aujourd'hui, 3 heures. « Le Monde en marche La leçon du Couronnement et le caractère anglais », par M. Louis GILLET. de l'Académie Française.

Demain jeudi, 3 h. 45 et 5 heure». « Auteur de chefs-d'œuvre », par M. Adolphe UOSOHOT, de l'Institut. Grésor PIATIGORSKY, accompagné par Orchestre de chambre.

Abonnements et location 2, me de Penthiëvre. Anjou 13-35. « Conferencia » publie toutes les conférences.

CE SOIR

FOLIES-BERGERE (Prov. 98-49), à 21 h. En Super-Folies, 'revue à grand spectacle, en 50 tableaux. de M. Maurice Hermite. (Joséphine Baker). Matinées samedis et dim. A. B. C., 21 h. Mireille. Paul Reboux, Géo Bouillon. ALCAZAR, 21 h Beautés de femmes.

CASINO DE 'PARIS, 21 h. Paris en Joie (Maurice Chevalier). COUCOU, 21 heures La Grande Allusion.

DEUX- ANES, 21 h. Dorin, Gabaroche, Bach, Tïssot La revue. DIX-HEURES, 22 h.: Martini (en exclus.). P. Colline, J. RieùX. LUNE-ROUSSE, 21 h. Une de la Lune.

MEDRANO, 21 h. Les Alizés, ours savante, Cairoli, etc. NOCTAMBULES-37, 21 h. Durcra-t-onî t

PERCHOIR. 21 h. Tonché!

GilBARETS DilNCINGS: BAGATELLE Ford Harrison, Glykson, The Townsends. BAL DU MOULIN-ROUGE. 21 h. 30 dancing; 23 h. spectacle. CABARET DES FAMEUX TZIGANES. 4, r. de La Michodiére, · CABARET DE MONSEIGNEUR: Skarjlnsky. Saala, Seversky. CHEZ SARTORI (Au Patio du Florian, 74, Champs-Elysées) au thé Fred Addison. Dîners et soupers dansants. CHIQUITO-37 (34, rue du Colisée) Thés, diners dansants. CLUB DES OISEAUX Thés, cocktails, diners dansants. LIDO Thés. dancing, soupers, attractions.

MONTE-CRISTO, s. rue Fromentin <TW 42-31 > Cabaret-danc. POULAILLER (place du Tertre); 22 h. J. Stick, attract. RON-RON (7, rd-pt Ch.-Elys.), 4 et 9 h. Danses. attractions.SHEHERAZADE: Haçhem Khan, Yolanda, Gerda N'ewman. TABARIN La Joie de vivre. Attractions.

VIE PARISIENNE Suzy SoUdor, Henri Bry, G.-A. Martn

c~a~

films parlant français.

AUBERT 12 b.-O h. 45 L'Affaire du courrier de Lyon. BONAPARTE 15 h,, 21 h. Anges noirs.

CINE OPERA 14-20 h. S., 21 h. Gueule d'amour. CIME L'AUTO L'Impératrice rouge.

Le dixième anniversaire

duParamount

A l'occasion du dixième anniversaire de son ouverture, le Théâtre Paramount présentera jeudi prochain un spectacle réunissant les noms de Marlène Dietrich, d'Ernst Lubitsch, interprète et réalisateur d'Ange, et dé Ray Ventura et ses Collégiens. Ces derniers feront leur rentrée à Paris dans un répertoire entièrement nouveau.

DI;MAIN à 14 heurea 34

DEMAIN à 14 heures 30

Claude Rains (à droite), Edward Noriss (au centre) et Gloria Dickson (la deuxième à gauche) dans une scène de «La ville gronde qui passe depuis hier àTApoïIo.

CESAR :♦ 14 h. à 23 h. 30 Les Anges noir». COLISEE 14 h. à 1 h. du matin Drôle de drame. DEMOURS 14 h. 45, 20 h. 45 Le Messager. ELYSEES-CINEMA 14 h. à 24 h. Sur l'avenue. GAUMONT # 15 h. à 1 h, mat.: Double crime ligne Magioot. IMPERIAL 14 h. à 1 il. La Dame de Malacca. LUTETIA 14 h. à 2 h. La Grande Illusion. LUX Le Roi. Lévriers de la neige.

MADELEINE ♦' 12 h. à 1 h. du matin Feu! MAILLOT-PALACE Homme à abattre, Sonate à Kreutzer. MARIGNAN « 13 h. à 23 h. 55 Regain.

MARIGNY 14 à 19 h. S., 21 h. La Fessée. MARIVAUX 10 h. à 19 h. Un Carnet de bal. MAX-LINDER 12 h. à 2 h. du mat. Le* Rois du Sport. MOZART 14 h. 45-20 h. 45 Yoshiwara.

MOULIN-R. ♦ 14 h. à 24 h. Clo-Clo, A Venise, une nuit. OLYMPIA ♦ 10 h. à 1 h. 30 du m. L'Habit vert 1 PANTHEON 4 14 h. 15 à 24 h. La Grande Illusion. PARAMOUNT 9 li. 30 à 2 h. mat.: Mensonge de Nina Petr. PEREIRE 14 h. 30, 20 h. 45 Le..Messager.

KEX 12 h. à 2 h. du mat. Gribouille. Rayons X. ROYAL-PASSY La Sonate à Kreutzer.,

VICTOR-HUGO > 14 h. à 19 h. S., 20 h. 45 Grande Illusion. Films partant anglais. i

APOLLO 14 h. à 2 h. Ville gronde. Aventure de -minait.' AVENUE 14 h. 30 à 19 h. S.: 21 h. 15 :Deanna et ses boys. BALZAC 14 h. 30 à 1 h. du m. Nuits d'Arabie. BIARRITZ 14 h. à 23 il. 25 Le Prisonnier de Zenda. CAMEO 14 h. à minuit Capitaines courageux. CH.-ELYSEES ♦ 14 h. 19 h. S., 21 h. 15 Saratoga. COURCELLES 14 h. 30, 17 h. S., 21 h. Six heures a terre. EDOUAED-VII 14 h. à 23 h. 30 Le Cœur en fête. ERMITAGE + 14 h. à 24 h. Café Métropole.

HELDER 12 h. à 2 h. Pension d'artistes.

MARBEUF ♦14,30-19 h. S., 21 h. Couple invisible (Topper). MIR.-LORD-BYRON 14 h. 30-19 h. S., 21 h. Vie facile. NORMANDIE 14 h, 30 à 1 h. du mat. Pension d'artistes. PAGODE; 14 30-19 b. S., 21 h. Dcrn. chance. Mme pours. Mr PARIS 14 h. à 19 h. Roman de Margerite Gantier. SCALA 12 h. à 2 h. du matin Armes à la mer! STUDIO 2S 15 h, 17 h., 21 h. Artiste and MmM*,

q"E,~> ~COT,ES

BlfSUH Je R AN

CE MATIN .̃: Au Cinéma Radio-Cité (8, bddesCa- pucines),, à M heures inauguration. CET APRES-MIDI,

.lu Cinéma' des- Champs-Elysées, à 14 h. 30, première -représentation- publique de Saratoga, film de Jack Gonway. CE SOIR .• ̃:• + A Marivàuaî, â 21 heures, gala,, eu l'honneur du GraAâ' Prtx du film l'Exposition r première représentation de La Mort du Cygne, film de Jedn-Benoit-Lèvy, d'après la nouvelle Paul Morand, chorégraphie de Serge, Lifar,.

̃+ An Paris, à 21 h. 15, première: représentation publique' de "pnè° journée/ aux courses, ̃ Georges Legrand va réaliser, au début de l'année prochaine, un film intitulé ̃ La Division sauvage et dont le rôle principal sera interprété par Michel Panaief, danseur des Ballets de Monte-Carlo.' La direction1 des Miracles-Lord Byron a décidé de donner à partir du jeudi 25 courant, un spectacle permanent de 14: h. -30- à minuit.' ̃ .,̃ .-•̃̃̃

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LE SWEEPSTAKE

DES MARX BROTHERS

ewcwd tous tes spectateurs ERS,

PRKMÀGNJFIQUES.fll

Film* partant espagnol

AGRICULTEURS 15 h., 21 h. RÔTOltés d'Alvarado. Italien

ST. BTOIIJE i 4 14 à 19 h. rS* U ta. Capitaine de Florence Film partant russe ̃;•' ••̃ ̃ ̃• PIGAI^: 14:h. 45.S^ 2tfh.-45: Pierre Grand.

Salles d'actuaHté.

PARIS-SOIR: 10 h.-l h. Rhodes of Af rie»;

rniiu^si ou g^ano j m

Affaire du courrier de Lyon: 12 h. 25, 14 h. 32, 16 h. 41, 19 h. 50, 21, h., 22 h. 51. 0 h. 10. Aubert. Anges noirs 15 h. 30, 22 h. Bonaparte. Anges noir» 14 36, 16 15, 19 h., 21 30, 23 30. César. Artists and Models 15 b., 17 h., 2a h. Studio 28. Aventure de minuit 15 h. 10, 18 h., 20 h.-50, 23 h. 40. Avollo. Capitaine de Florence 15 h., 17 h., 22 h. Studio de l'Etoile. Carnet de bal 10 h., 12 10, 14 25, 16 30, 19 h. Marivaux. Cœur en fête: 14 h, 28, 16 h. 50, la û. 15, 21 h. 45. Edouard-VII. Couple invisible^ 15 h..10, 17 h. 10, 22 h. Marbeuf. Deanna et s«s boys 15 h. 18, 17 h. 39, 22 h. 12. Avenue. Drôle de drame 14 53, 17 16, 19 27, 21 50, 23 44. _Colisée. Fen! 12 56, 15 h., 17 28, 19 44, 22 h., 0 h. 16. Madeleine. Guenle d'Amour 14 h. 25, 16 fa. 25, 18 h. 25. 22 h. Ciné-Opéra. Habit' vert: 10 5, 12 15, 14 25, 16 40, 18 55, 21 25, 23 40. Olympia. Mensonge de Nina Petrovaa 'J h. 20, 11 il. 22, 13 h. 14, 15 heu. res 36, 17 h. 58, 20 h. 20, 22 h. 42, 0 h. 34. Paramount. Nuits d'Arabie 14 50, 17 10, 19 20, 21 25, 23 20. Balzac Pension d'artistes 14 50, 17 10, .21 25, 23 47. Normandie. 0h. 15.- Helder. Pension d'artistes 12; h. 45, 15 h., 17 h. 15, 19 h. 35, 21 h. 50 Prisonnier de Zenda 14 15, 16 45, .19, 21,30, 23 15, Biarritz. Regain :.13 h., 15: h. 45, 18 h. 30, 21 h. 15, 23 h. 55. Marienan. Révoltés d'Alvarado :15 h. 30, 22 h. Agriculteurs. Roi des Sports »:10 h.. Il; h. 45, 13 h. 35, 15 h. 25, 17 h. 15, 19 h. 5, 21 h 10, 23 h. 45. Max-Linder* Roman de Marguerite Gautier 14 54, 17 6, 19 18. Paris Saratoga: 15 h., 17 h. 10, 22 h. Ciné-Ch. -Elysée*. Vie facile 15 ni 9, 17 h. 23. 22 h. 6. MiracteaJLord-Byron. VUU «rondo 3>14 h., 16 h. 50, 19 h. 40, 22 h. 30, 1 h. 20. A poil*

̃ ̃̃̃<̃ j j

Robert Taylor voyage. Robert Taylor a quitté Paris hier 'matin, à 10 h. 40, par avion spécial, & destination d'Amsterdam.

Il rendra ensuite à Stockholm et k Copenhague avant de revenir une dernière fois à Londres pour assister à la première de son film. Robert Taylor s'embarquera ensuite pour New- York.

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et Pierre-Richard Wilm.

la signe signifie permanent,


LE FIGARO ECONOMIQUE ET FINANCIER

LES MARCHES

EN PERÎE DE VITESSE Bien qu'elle continue d'être préoccupante, la faiblesse des marchés américains ne s'est pas accentuée au point de faire changer les .observations qui ont été présentées, ici même, à son sujet. L'Amérique se débat au bord de très sérieuses difficultés. Mais elle n'est pas emportée dans une débâcle irrésistible. Elle conserve la liberté de ses décisions. Ce que seront celles-ci, on ne le sait pas. Les intentions exprimées par le président Roosevelt témoignent de son esprit d'adaptation aux réalités. Ce que l'on croit deviner de son programme de redressement paraît raisonnable. Mais la restauration de l'esprit d'entreprise et la reconstruction de la mécanique du crédit seront certainement plus lentes que leur démolition. Par conséquent^- le point capital, à présent, est que ce travail ne soit plus longtemps différé.

Le fait nouveau, c'est que les troubles de l'économie américaine se sont communiqués à la place de Londres. Pendant une première période, des rapatriements de capitaux vers l'Europe avaient compensé, en partie, les effets directs de la chute des cours. Pendant la seconde, qui est commencée, le malaise domine. Demain, si fe choc ai'est- pas, amorti, le système" français, après un bref inoment d'euphorie, sera frappé 'à son tour.

Assurément, la place de Londres est la mieux organisée qui soit au monde pour résister à de tels contrecoups. Ses chances résultent de sa technique supérieure, de ses ressources immenses, du soutien que lui procure une opinion imperturbable. Aussi bien n'est-il pas. jusqu'aux malheurs d'autrui dont la Cité ne saèhè pas tirer parti habilement_ pour' né pas le reconnaître à Paris, il faudrait être aveugle.

Cela dit, il reste à considérer que les forces anglaises sont mises à rude épreuve. Tous les marchés de matières premières sont dérangés. Les investissements faits en Amérique sont décevants. En Extrême-Orient, ils «ont ruineux. Au Brésil, où ils sont fort engagés, les intérêts de la finance anglaise sont bloqués. En revanche, le maintien laborieux de l'ordre, en Palestine, coûte très cher. Et il va de soi que les frais d'un réarmement précipité sont colossaux, parce que lç temps perdu doit se payer à part.

Dans ces conditions, s'il n'existe aucune raison de 'former sur l'avenir un pronostic inquiétant, il est nécessaire de prendre clairement, conscience des risques courus. Des aviateurs les résumeraient d'un mot en disant que la plus légère faute de manœuvre suffirait pour mettre la machine britannique en perte de vitesse. On ne veut pas s'arrêter à cette hypothèse. Mais celle d'un incident ne peut pas être exclue.. Il se produirait, à coup sûr, si la France, décidément, ne parvenait pas à se rétablir elle-même en ligne de vol. Telle est la responsabilité présente 'des pilotes français.

F.-F. Legueu.

LES CHANGES

Tendance calme

Au comptant, la livre s'établit à 147,15 contre 147,19, tandis que le dollar est légèrement plus ferme à 29,405 contre 29,4025. ni

Tension des reports trois mois sur la liva-e, 3,25 contre 2,65.

INFORMATIONS

Crédit Lyonnais

Voici, comparée avec celle du mois précèdent, la situation de cet établissement au 30 septembre de francs

Actif

Encaisse, Trésor, Banque de

l*"rîiiîCfi .».•••-• 927 9

Avoirs dans les banques. 1.123 -J- 108 Portefeuille et bons de la

Défense nationale /.iiu -f- à Avances sur garanties et re- 403+ 10

nnrts «- ̃*03 4-10 Comptes courants' 3.016 + 235 Portefeuille titres (actions

bons, obligations, rentes) 3 » Comptes d'ordre et divers.. «2 + 43 Immeubles -••• s Fr. 13.101 + 398

̃ Passif

Dépôts et bons à vue. 4. 527 + 38 Comptes courants -0.221 -r 315 Comptes exigibles après en- calssement 2d2 + T Acceptations ̃»» + °* Bons à échéance -“« T a? 8 Comptes d'ordre et divers.. o90 •+• 65 Solde du compte « Profits

et pertes des exercices an-

téneurs » Réserves diverses 800 » Capital entièrement versé. 400 » Fr. 13.161 + 398

Activité des aciéries

américaines

D'après VAmerivan Iron and Steel Insfitute, les aciéries américaines travaillent actuellement à 31' de leur capacité contre 36,4 la semaine précédente, et.74,3 pour la- semaine correspondante de 1936.

Dans le district de Pittsburg, l'activité des aciéries est maintenant seulement d'environ 21 à 28

Droits de souscription

29 nov 1037. Distill. de ̃ l'Indochine 93,50, 95,50 c. 5 2,75, 2,85.

30 nov. 1937. Suer. Brésiliennes D3. 3 dèc;;1937. M'Zalta t. c., 3,50: part 41. 15 déc. 1937. Cartonn. de la Rochette

167, 175.

15 déc. 1937. Autom. Indust. Latil

i îo.

17 dée. 1937. Urbaine Incendie 135. 31 déc. 1937. Roan Anlelopc. un. 225, 235 c. 5 227, 237 c. 2 t 227, 237.

Le fonds d'or inactif

aux Etats-Unis

d la date du 19 novembre, le montant du fonds d'or inactif ressortait à 1.247.466.762 dollars, en diminution, par rapport à la dfcrnière statistique, du montant correspondant aux deuxième envoi de 10 millions de dollars à destination de la France. Aucune autre expédition n'est annoncée pour le moment.

D'autre part. M. Morgenthau s'est refuse à démentir ou à confirmer les bruits d'après lesquels le Département du Trésor envisagerait de libérer de nouveaux montants d'or, du fonds inactif. Aux questions qui lui ont été posées à ce sujet, le secrétaire du Trésor s'est borné à répéter Je ne tiens pas à faire une déclaration sur ce point ».

Bourse du soir

̃ Métropolitain. 905.

Plan Voung. 397, 399.

Foncier Egyptien. 5.000, 5.030. Canadian Pacific. 228,50, 231.

Philips. 3.650.

S. K. F. 2.055, 2.058.

Central Mining. 3.180, 3.240.

Geduld. 1.325, 1.330.

Rio Tinto. 2.529, 2.550, 2.529, 2.519. Norvégienne de l'Azote. 1.252, 1^258. Jtoyal Dutch. 5.272, 5.325, 5.272. iâ.324. Amsterdam Rubber. 3.225.

H. V. A. 33.368.

3STE^V-"X"OieŒS: «TIE35TT» LES B^A.S COTTES JDTX ± 9 OCTOBRE Est-ce le moment ^d'acheter ? Le programme américain en faveur du bâtiment. Recul des prix de gros français. 1

© Cette séance a été moins mauvaise qu'il était permis de le craindre à la suite de l'accès de faiblesse de New-York la veille. Après une ouverture faible, le marché s'est redressé assez vigoureusement. La clôture a marqué, dans bien des cas, des plus-values sur la veille. Il con.vient de noter que tes indications plus favorables que l'on a eues, dans la seconde partie de la séance, sur la tenue du marché de Londres et particulièrement des américaines cotées sur cette place ont contribué au redressement de la cote.

© Les rentes restent soutenues, diverses séries prenant des fractions. Aux valeurs- à revenu variable françaises, on note la fermeté. des chemins de fer et des produits chimiques.

© Aux internationales, redressement final des cuprifères, des caoutchoutières et de plusieurs mines d'or. Pétrolières et diamantifères encore lourdes. © Le ministère des finances communique la note suivante

L'indice des prix de gros de 45 articles de la statistique générale de la France a subi, cette semaine, une, nouvelle baisse de 9 points, revenant de 604 à 595.

Cette baisse a été provoquée, à là fois, par le recul des produits importés, dont indice est passé de 536 à ,517, et par le recul des vroduits nationaux, dont l'indice est passé de 642 à 638, cette baisse de 4 points étant la plus forte enregistrée depuis le maximum du 16 octobre.

Les denrées alimentaires et les ma-

PARIS

PRINCIPALES FLUCTUATIONS

Hausse.

40/01917. ti920+ 015 41/21917. 1~3 40.+ 0 27 Banque de France 6365 + 75 Midf. 654 +29 Nord 835 +32 Creusot.f. 1115 +25 Pééhiney 1975 +23 Saint-Gobain 2052 +37 Ail-Liquide. 1110 +21 Central Mining. 3240 +103 2 549 +54 Haut- N ta 362 + 11 EastGedutd. 1428 +28 Goldfields 505 + 15 a Baisse'

Sub Nigel 1390 28 DeBeersord. 1590 29 De Beerspréf. 1815 37

PRINCIPALES TRANSACTIONS En franc* at rem»

3 0/0. 177.891 4 1/2% 32 A 817.488 4 0/0 17, 94.452 4 1/2% 32 B 629.325 4 0/0 18.« 250.862 4 1/2 1937.. 552.627 5 0/0 20 ..̃ 86.025 Ob. 3'i 36 A 2.169.100 4 0/0 25. 84.844 Ob. 4 36 B 3.668.800 «i tare» i

B. de France 70 Satat-Gobain,, 990

B. de Paris.. 1.568 Air Liquide.. 2.963 B. Un. Paris.. 809 Quilmès 197 C. Lyonnais.» 418 Caontch. Ind. 426 Suez cap 125 Distiller. Ind. 731 Tr. Shanghai. 1.288 Indo Hévéas.. 1.183 Distrib. Eleci 2.481 Say .i 704 Forges N.-Est 2.202 Terres R 2.470 Courrlères. 1.607 Canadian Pac. 6.863 Lens 1.360 Wagons-Lits.. 1.487 Maries ». 375 Central Mining 6fa7 Nickel iïT.r.] 1.433 Geduld «.•• 2.618 Penarroya 1.7«3 Rio 2.803 Fr. des Pétr.. 336 Azote r.- i 415 Dgine. 1.088 Royal Dutch.. b-017 Klu&te ïbér. 1.777 Aœsterd. Rub. 283 Kuhlmann 6M 2.178 Cr. Nat. 1919. 1-297 Pécnlney 1.310 Cr. Nat. 1920. 1.417 Rhône-Poulenc 1.315 Cr. Nat. 1923. 1.157

BOURSE OLJ 23 NOVEMBRE 1937

VALEURS p,afe VALEURS LgU Dern. | VALEURS |^t| Dern. ̃ VALEURS Iffjjg

VALEURS précdd coars précéd, csur9 ~prdcdd _coar9 VALEURS précéd. cours

̃̃̃̃ ̃̃ ̃ ̃̃ ̃ ̃ 1 crédit national 5 1919 485 485.. Banque Franco-Japonaise. 82 82.. Ciments de l'Indochine.. 41S 419..

TERME & Sat oblig TO'PAwo 475 473.. Ban.Kat.p.IeCom.etWnd. 568.. 561.. poa.t Coausson (part). 4125 4199

9 il 9! !9 ~8at.obttg.800rg,~ai 175 le &n.Hat.p.leCom,etl9ad. 869 i6'1 Bon Marché lf2a 4f89

»% 1150 714» ™_ïons (%«£?. 618 519.. Banque des Pays da Mord iss 192.. Bon Maroké T. 150.. 150..

4% 1517 8905 6920 Bons t% Jut.1123 490 488.. Crédit Algérien 1538 1535 Coty (Société Anonyme).. 190.. 199.. 4 5' 1918 68.. UU £ons6%Jnin1923 488 486.. Crédit lndast. et commorc. 280.. 285.. Galeries Latayette 38.. 38.. 5 1920 amortissable. 95 35 SS 10 oïlle r«lMt 4M «♦ •̃ Crédit Fon.d>AlEorie-In»l 437 435 (part). 23950 4 1925 (à enanse) 102 « 10145 Emart de l'Aisne 7 »“' 1926 497 493.. Crédit Foncier Colonial.. 200.. 19> Nouvelles Galeries 313.. 311.. 4$%MSîA. 1515 1510 "ÎT^ tSiSÎ 5*S Crédit F. Îndch-Cbiae (part) 1000 950.. Printemps, ord. lie 120.. 4}Î%19S2B. 74 146t s«i928 172 881.. CreditFoncierHadajasoar 86 Agence Havas 500.. 496.. Oblis.dulrésor4«%l«33 »02 «03.. a»taHar»«6^ ».. "«2 468.. V-- Fran.de Bai. «tDépôts. 535.. 536.. Didot Bottin 1438 1430 Obli?. du Trésor k% 1934. 1»».. 731.. A Me™rt.-et-M 6 «Y 450 450.. de Reports et Dépôts 520.. 525.. chaix 860.850.. Obi. Tt. 19Meat.net. 1»* 747. de iSease 6 « 182J 462 Y 485.. Soc. Oi« Alsacienne de Ban. 41i> 415.. Librairie Hachette 1440 1450

Oblig.dnTréjor 3-,aO,,193« 132 23 132 60 _duKor46«wll 4U Société Marseillaise «68.. 469,. Afrique Occidentale (C«). 1059 1050

Oblig.d» Trésor 4^61936. 102 20 102 « J 0 «£ 4J8 M Sons Comp. ïntreprenews 322.. 310.. Air tiqnido (parts) 3"6 3210 BonsTr.àlO«M4}T?«W3S 633 50 »>» 50 7 0 ïiîi 4S6 493.. DniO» des Mines 140.. 140.. Berprasnan 548.. 545.. Bons Tr. à 6 ans 5% 1933 S91 991.. p«*4e-Calals19'1926 490. 494.. Foncière lyonnaise 160.. 746.. Cirages Français .O.. 306.. 299.. BonsTr.5-lo-15»n»3J«1984 991 1000 _T^ 7a?i927 ass 492 Immobilier» Marseillaise. 1895 1965 colonies (Générale des) 249.. 237.. BonsTr.3*-10au»4«;M34 «74 so 915.. J5S19M «1 859 ACTIOHSUIDUSTRIMLBS Continent, Compteurs à gai 310.. 305..

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3

tières industrielles sont également en baisse et leurs indices se retrouvent à un niveau très voisin, avec 592 pour les denrées alimentaires, et 598 pour les matières industrielles.

L'interruption dans la progression du nombre des wagons chargés pour la semaine terminée le 6 novembre est la conséquence des fêtes de la Toussaint. Mais l'indice ajusté continue à marquer une légère hausse.

Les liquidations ayant cessé à Londres, le marché, après une ouverture encore faible se ressaliit. La clôture est en reprise sur la plupart des compartiments. Toutefois les fonds japonais, chinois et brésiliens restent lourds.

© Metal Exchange encore lourd cuivre standard 10/7 1/2 à Liv. 37/113, étain Liv. 2/5/0 à Liv. 181/5/0, zinc 7/6 à Liv. 14/18/1 1/2. Toutefois, le plomb prend 3 sh. 1 1/2 à Liv. 11/3/9. Reprise des cours en séance officieuse. © 11 a été traité 2.000 tonnes de cuivre, 250 tonnes d'étain, 1.200 tonnes de plomb et 650 tonnes de zinc.

© 11 a été vendu, sur le Marché libre de l'or à Londres, 112 barres d'une valeur de 313.000 livres sterling environ, au prix de 140 sh. par once, soit une baisse d'un penny sur la veille. Ce prix, basé sur les offres et demandes, renferme une prime de 1 sh. 1 p. 1/2 sur la parité du dollar à 5,007.

© New-York est ferme. A l'ouverture, le marché est bien disposé, mais faiblit un peu pendant l'après-midi, pour reprendre en clôture. Celle-ci s'effectue avec une

LONDRES clôture en reprise NEW-VORK assez ferme

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hausse de 1 à 3 points sur la veille. Total des transactions 1.640.000.

© La plupart des valeurs américaines ayant refait leurs cours bas de la séance du 19 octobre, sans les « casser » dans la plupart des cas, et, d'autre part, le volume des transactions étant inférieur en baisse au volume en hausse, de nombreux observateurs du marché américain sont tentés de conclure qu'il a trouvé un fond solide, et qu'à moins d'événements imprévus, ce palier sera défendu pendant longtemps. Dans ces conditions, ils considèrent les niveaux actuels comme des cours d'achat et sont tentés d'envisager une reprise substantielle du marché, à plus ou moins bref délai. Les valeurs de services publics leur paraissent les plus intéressantes pour les raisons exposées ici même dans nos récentes « Semaines Financières ». D'ailleurs, il faut noter que techniquement la tenue de ces valeurs depuis un mois est excellente.

© Le correspondant à Washington du \Vall Street Journal télégraphie ce matin que le nouveau programme de constructions de maisons d'habitation est sur le point d'être mis sur pied. Comme il implique une coopération entre la Federal Housing Agency et la Chambre de Commerce des Etats-Unis, on envisage une participation à la fois du Gouvernement et des entreprises privées. D'autre part, des modifications seraient apportées au Housing Act, ce qui permettrait de mettre à la disposition des constructeurs d'immeubles 1 milliard de dollars d'avances hypothécaires à un taux voisin de 5 1/4 0/0.

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Non placés L'Indigène 63, Anca 62, Pellegrino 65, Albi 61, Kaba Kaba 69. (3 long., 6 long., 4 long.)

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Mort de l'entraîneur

Frank Carter

L'entraîneur Frank Carter, dont la santé laissait à désirer depuis quelque temps, est mort subitement d'une congestion cérébrale dans la nuit de lundi à mardi.

Telle est la nouvelle brutale qu'apprenait, hier, avec une tristesse unanime, le monde des courses. Agé seulement de 57 ans, Frank Carter avait si complètement et si justement réussi dans sa carrière que sa fin prématurée surprend et peine davantage. Nous

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n'avons pas ici la place de rappeler tous ses triomphes qui, depuis Chulo jusqu'à Clairvoyant, ne se comptaient plus. Cet entraîneur de la plus grande classe a collectionné toutes les épreuves classiques, et l'on doit dire que, s'il a eu entre les mains les chevaux les meilleurs, il était digne de sa fortune. Une remarquable connaissance de toutes les questions d'élevage était à la base de l'exceptionnelle science qu'il avait de son métier. Aussi a-t-il aussi bien réussi comme éleveur que comme entraîneur et, à ce point de vue, sa disparition sera doublement ressentie par les propriétaires qui lui avaient fait confiance et qui avaient trouvé en lui un collaborateur irremplaçable. Nous tenons à ajouter que sa correctionvalait son savoir. 'entraîneur Frank Carter était de ceux, très rares, sur lesquels il n'y a jamais aucune critique à formuler. Si bien que, s'il avait conquis le succès, il avait également fini par forcer la sympathie, et ceux qui le connaissaient lé mieux ne se trompaient pas sur ses manières un peu distantes elles cachaient un coeur excellent.

Nous prions sa famille d'agréér l'assurance de nos sentiments attristés. J. Trarieux.

« LE FIGARO ILLUSTRE » -Pour éviter toute source d'erreur, nous prions nos abonnés à cette revue de bien vouloir noua adresser séparément les demandes de changements d'adresses con.cernant cette publication.

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13 heures. Visite de l'Exposition par les membres de l'Académie royale belge aux Musées d'Art Moderne.

13 heures. Visite de l'Exposition par le ministre des Affaires étrangères de Lettonie.

13 heures. Visite de l'Exposition par le Duc et la Duchesse de Windsor.

17 heures. Au Pavillon de la Savoie, concert.de carillon par M. R. Lannoy.

^t Bien que la fermeture de l'Exposition soit fixée irrévocablement au jeudi 25 novembre, à minuit, l'Exposition rétrospective des chefs-d'ceuvre de l'art français, au Musée d'art moderne, a obtenu, par décision spéciale, le privilège de demeurer ouverte jusqu'au dimanche 28 novembre.

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Nous avons critiqué ici le programme du récent concert d'échange francoallemand. Les œuvres de Berlioz et de Saint-Saëns dirigées par M. Wolff nous semblaient trop répandues pour servir la cause de la musique française. Que tîïions-nous alors du concert de la « Reichsrundfunk » transmis par les émetteurs français ? Une sonate de Beethoven, suivie d'une salade de musique légère (qu'ils disent) où alternent le saxophone et les duos de piano. Des titres ? Yeux bleus, Coup d'eau-de-vie, Le premier rhume. C'est tout. P.-D. T. £ Mercredi 24 novembre .18 b. 35, VIENNE Orchestre symphonique et Robert Casadesus, piano, sous la direction de M. 0. Kabasta Penthesilca, poème symphonique (Hugo WolS) Concert pour piano et orchestre en re majeur (Mozart) Symphonie en mi bémol majeur Ero'ica (Beethoven).

20 h., TOUR EIFFEL Concert avec Mlle Cerriay, cantatrice, et Urne Cordon, pianiste Nocturne (Beydts) La petite noix (Beydis) Deux préludes et fugue (Bach) Les sauvages (Rameau); 123e sonnet de Pétrarque (Liszt) Mélodies La mosquée (Clergue) Carmen (Clergue).

20 h. 30, PARIS P. T. T. Concert d'échaages artistiques, donné par la Reichrundliink de Berlin. 20 h. 50, TOUR EIFFEL Théâtre Relais du Théâtre Montparnasse (G. Baly) Les caprltes de Marianne, deux actes d'A. de Musset.

ORCHESTRE

M ». «ï, LONDRES REGIONAL Orchestre B. B. C. (Schubert, Respighi, Ravel, Knipper). 17 h. 15, HAMBOURG Concerto en si majeur, op. 19, pour piano et orchestre (Beethoven). 19 h. 30, SUISSE ROMANDE Re!ais du Grand Théâtre Concert sous la direction de M. Ansermet (Haydn, Mendelssohn, Malipiero, Lalo). 20 h., BRUXELLES FLAMAND Concert du Conservatoire de Louvain.

20 h., ROME Concert (Mozart, Germiniani, Ferro, Ravel, Corelli, Beethoven).

20 h. 15, NATIONAL ANGLAIS Orchestre B. B, C. (Queen's Hall) (Sçhumann, Delius. Beethoven, Tchaïkowsky).

20 h. 30. LILLE P. T. T. Concert d'orchestre. MUSIQUE DE CHAMBRE ET SOLIi

15 h., RADÏO-PARÏS Pièces pour piano. 16 h., TOUR EIFFEL Musique de chambre avec le quatuor de clarinettes Hamelin.

19 h. 45, WEST Orgue.

20 h., VARSOVIE Œuvres de Chopin. 20 h. 30, COLOGNE Sonate en ré majeur pour Violon et- piano (Beethoven).

20 h. 30, DEUTSCHLAND Sonate en ut mineur pour* piano et violon (Beethoven).

21 h., MILAN Récital de piano (Scarlatti, Chopin, List, Debussy, Casell).

MUSIQUE LEGERE ET VARIETES

12 h., RADIO-PARIS Musique légère par l'Orchestre de. la Garde républicaine.

14 h. 30, PARIS P. T. T. La Radio aux aveugles.

17 h., RADIO-PARIS Orchestre Bailly. 18 h. 10. FRANCFORT Musique légère. 20 h., BADIO-CTE Music-hall des jeunes. OPERA

19 h. 30, PRAGUE Airs et duos d'opéras-coînîques avec l'Orchestre (Mozart, Smetana, Lort-. ting).

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20 h. 5, SUISSE ROMANDE Concert consacré aux œuvres d'Erik Satie et donné avec le concours de Mme Picabia, de Paris de Mme Violette Androssi, cantatrice, et de l'orchestre Souvenirs sur Erik Satie, par Mme Picabia Mercure, ballet. Cinq grimaces pour le Songe d'une nuit d'été. Socrate, drame symphonique en trois parties, avec voix sur des dialogues de Platon Portrait de Socrate Les bords de l'ilissus Mort de Socrate (Voix Mme Violette Andreossi). 20 h. 30, RADIO-PARIS Concert ̃ symphonique national sous la direction de M. Gaubert Le Carnaval romain, ouv. (Berlioz), Symphonie en fa (Gaubert) Ma Mère l'Oye (Rtvel), Iberia (Debussy), Bourrée fantasque (Chabrier). 20 h. 30, PARIS P.T.T. Théâtre, La ComédieFrançaise Le Simoun, pièce en treize tableaux, de H.-R. Lcnormand, prés. par G. Reuillard. 20 30, TOUR EIFFEL Soiree lyrique Le Sire de Vergy, de- Claude Terrasse, orchestre sous la direction de M. Labis.

21 h. 30, LUXEMBOURG Concert symphonique avec la violoncelliste Jacqueline Roussel, sous la direction de M. Pcnsis Concerto pour violoncelle et orchestre (Boccherini) Danses polovtsienr.es du Prince Igor (Borodine), Poème romanesque (Gaubert), Cigales de Murcie (Bernard), Tanzspiel (Thilman), Le bal des pendus (Bondeville),

ORCHESTRE

15 b. 15, NATIONAL ANGLAIS Oichestre municipal de Bournemouth (Brahms, Scriabine, Delius, C. P. E. Bach, Delius).

18 h. 10, BERLIN Concert (Mozart, Schubert, Bruckner).

20 h., VIENNE: Orchestre.

20 h. 15, WELSH Concert (Mozart, Pergolesi, A. Hughes, V. Thomas).

21 h. 10, HILVERSUM Orchestre du Concertgebouw Symphonie fantaslique (Berlioz). MUSIQUE DE CHAMBRE ET SOLI 13 h. 30, RADIO-PARIS Mélodies.

17 h., HAMBOURG Musique de chambre (C. P. E., Bach, Haydn, Hye-Knudsin). 1 1S h. 30, PARIS P.TT. Visite de l'église Saint-Séverin sous la direction de M. Dufourcq avec M. Duruflé.

18 h. 3O, STRASBOURG Musique de chambre (Delaunay. Lazzari).

19 h., NATIONAL ANGLAIS Les B. B. C. Singers.

20 h., STUTTGART Quatuer en sol majeur (Haydn).

20 h., TOUR EIFFEL Piano et chant. 21 h., VARSOVIE Musique de chambre (Mozart, Himmel).

21 h. 25 PRAGUE Récital de violon (Bach,

Leclair). i

23 h. 40, LONDRES REGIONAL Violon. MUSIQUE LEGERE ET VARIETES

12 h. 20, RADIO-PARIS Musique légère par l'orchestre Cantrelle.

'16 h. 45, PARIS P.T.T. Orchestre tzigane. 19 h. 10, RADIO 37 Jean Wiener et son

piano.

pt 20 h., RADIO-CITE Soirée Parisienne du Louvre.

21 h. 30, POSTE PARISIEN En correction-

nelle.

22 h. RADIO 37 Relais de la Fête des Catherinettes du Palais des Sports.

22 h. 10, POSTE PARISIEN Vedettes internationales.

OPERA

20 h., STRASBOURG Louise, opéra-comique de G. Charpentier (De l'Opéra-Comique). 20 h., MILAN Ginevra degli Almieri, opéra de Mario Pergallio.

THEATRE

15 h. 45, TOUR EIFFEL Le Voile du Bonheur, 1 acte de G. Clemenceau.

17 h., RADIO-PARIS L'Odéon 1 Les Contens, 5 actes d'Odet de Turnèbe.

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Horizontalement. I Astronome du selsième siècle auteur de célèbres prédictions. II. Article arabe Petit poème Marchera. III. Digues de commisération. IV. Bénéfice. V. Perroquets d'Amérique Stupéfia. VI. Dlminutif d'un prénom masculin Utilisé pour la publicite lumineuse. VII. Romancier français des dixseptième et dix-huitième siècles, peintre de la Société précieuse Laps de temps Note. VIII. Me servis Mesure agraire Pronom. IX. Station thermale de l'Ailler Immense étendue. X. Qui se nourrit des fruits des céréales. XI. Saison Victoire de Napoléon Aviateur d'élite.

Verticalement. 1. Désigne abréviativement un ensemble de dérogations au marxisme décidé par Lénine après l'échec de ses premières expériences Abréviation d'un titre royal Se remplit les jours d'élections. 2. Fanfaron. 3, Met en ordre. 4. Durcir les parties membraneuses et cartilagineuses. 5. Ministre des finances sous la Restauration Partie d'une roue (singulier peu usité). ti. Maximes Le plus âgé. 7. Controverse Bois endommage par le feu. S. Femelle d'un roi du désert Pars. 'J. Possessif Abréviation musicale. 10. Partie du nom abrégé d'un Etat slave Choisira pour remplir une fonction. 11. Possessif Repaires de bêtes sauvages.

Solution du 144S

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Au retour. Départ de Bruxelles ou Liège les dimanches et lundis, avec faculté d'utiliser, dans'la nuit du lundi au mardi, les trains de 23 h. 44 au départ de Liège et de 0 h. 55 au départ de Bruxelles. (Les jours fériés légaux, les veilles et lendemains de ces jours' fériés sont assimilés respectivement aux dimanches, samedis et lundis pour l'obtention et l'utilisation de ces billets).

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TÉLÉPHONE

peuvent nous passer

par notre ligne spéciale Elysées 30-86 le texte de leurs

PETITES ANNONCES


A PROPOS DE L'ECOLE NATIONALE

DE LA NECESSITE POUR TOUS LES SKIEURS

DE "TRAVAILLER LE SLALOM

Nous avons dit dans notre dernière page que beaucoup de nouveautés s'annoncent pour cet hiver, et qu'en lait de nouveautés, la France ne veut pas être de reste, bien au contraire Puisque'la Fédération fonde une école; espérons qu'elle y introduira une large diffusion du slalom. Pour ma part, je ne comprends pas que l'étude du slalom ne soit pas enseignée au même titre que celle du virage pur. Le slalom, c'est une sorte de -symphonie du virage, composée dans un cadre de lois assez' sévères. Or, qu'est-ce qu'une descente, pour un simple amateur qui H'est pas poussé dans le dos par l'idée fixe d'aller vite ? C'est une série de lignes brisées reliées entre elles par des virages. Ces virages, on les travaille dans toutes les écoles, mais on néglige beaucoup trop leur enchaînement d'une part et, d'autre part, leur imprévu..

Touleja descente est cependant faite de cet enchaînement, de cet imprévu or, s'il va vite, cinquante fois sut cent au minimum, un skieur n'a pas le choix du terrain

Toni Ducia vient d'inventer un ski d'appartement destiné à inculquer aux skieurs la notion fondamentale de 1" « avancée». Voici Toni Ducia faisant une démonstration.

CE QU'IL FAUT SAVOIR.

£é livre Ski Français est paru « Ski Français » (Arthaud, Grenoble) Tient de paraitre. C'est le manuel officiel de l'enseignement du ski français. Ce livre est' l'œuvre d'E. Allait, en collaboration avec Paul Gignoux, capitaine de l'équipe de France, et G. ̃ Blandin, viceprésident de la F. F. de ski. Ce livre, étonne d'abord par ce lait qu'il exprime en « raccourci » tout c». que les manuels parus jusqu'à ce jour décrivaient à grand renfort d'écriture et de dessins. Très peu de texte et pas un seul des*in Un exposé clair et précis écrit dans un français pur, de l'essentiel du ski. Le livre commence par une déclaration de principe. Puis description des virages « classiques » sans en omettre un seul, enfin méthode française pure et description du christiannia d'AIlais. Chaque virage est décrit en une seule page, format d'un livre ordinaire. Des photos remarquables d'E. Allais illustrent clairement les principes traités.

Le livre est d'un format pratique. et; d'un prix très modique. M. B.

LES SPORTS EN BELGIQUE ENTRE LES UNIVERSITAIRES BELGES ET ALLEMANDS ` LES RELATIONS

SONT TRES SUIVIES

Bruxelles, 23 novembre. (De notre cor-

respondant particulier.) Une équipe, ds sportifs universitaires allemands est arrivée- à Bruxelles où elle a été l'objet des traditionnelles présentations aux autorités académiques de l'Aima Mater bruxelloise. La phalange allemande se scindera en trois groupes. Les joueurs de footbal!, parmi lesquels figurent plusieurs des iuternationaux qui opérèrent à Jean-Boujn, renconteront les footballeurs belges à .Couvain. Les nageurs, parmi lesquels Otto Wille, Sçhulté, Schuman et les joueurs de polo Braun et Strauss, auront affaire aux Place, Tyteca et Matthys, au bassin Van Eyck, à Gand. Quant aux hockeyeurs, ils joueront à Bruxelles, au stade du Léopold Club, con- tre une très forte sélection d'étudiants belges.

Une matinée de vrai sport C'est celle que passèrent les trois ou quatre 'milli Bruxellois bien avisés qui allèrent voir courir, à l'aérodrome d'Evere, la finale du Cross Populaire National du Soir. Le ministre de la santé était là et il s'intéressa vivement aux opérations du contrôle médical qui examina quelque quatre cents cadets, trois cents scolaires et plus de six cents seniors, venus de tous les coins du pays où, un mois à l'avance, des épreuves dominicales de propagande avaient été mises sur pied.

Le Gantois Van Rumst, qui court le cross du Soir depuis une dizaine d'années, en se classant chaque fois aux places d'honneur, a enfin réussi à triompher.

Une rencontre f ranco-belge. à ï'épée à Bruxelles ?

On sait qu'un grand gala mettra en présence, le 27 courant, les équipes belge et italienne, deux tireurs à chaque arme. Mais des communiqués à la presse ont d'autre part annoncé, outre un match .lenny Addams-Mlle Lebrefon", une rencontre i francobelge à à Ï'épée. On ne sait encore de quels tireurs sera formée l'équipe française, mais la date annoncée pour ce dernier gala, le 27 novembre, est en concurrence, avec celle du Belgiflue-Italie. Y a-t-il maldonne ? 1 En attendant, voici les tireurs du Belgique-Italie

Fleuret Paterndster et de Bourguignon contre Giorgio Bocchino et Ugo Purcaro. Epée de Beur et Constant contre Edgardo Mangiarotti et Aldo Cerchiari.

Sabre Hçrrem;:ns et Lacrnmns contre Sdïoii Pinton ef Gitiscppc Pcdenno. Le match des professionnels, à Ï'épée, sera dispute par le .maître Enrilio JPoiisi et le champion belge Emile Barbier.

pour effectuer son virage, et le temps même de choisir.

Un skieur qui a beaucoup travaillé ses virages sur un terrain d'école dont le relief est forcément très limité, ou qui a répété indéfiniment le même virage sur un sol donné dont il a, au surplus, pris l'habitude, perd 90 0/0 de ses moyens en face d'une piste inconnue ou qu'il aborde selon le jour de façons différentes.

Un cours de slalom, 'slalom dont on variera à l'infini la place des portes, leur direction, les reliefs du sol, est absolument nécessaire dans toutes les écoles. Mieux encore dès que l'élève sera bien « débrouillé » et commencera à apprendre les virages, il faudra lui apprendre à placer ses virages n'importe où on le forcera à les placer là où il éprouvera le plus de difficulté. Le bon cavalier ramène ainsi le cheval devant l'obstacle jusqu'à ce qu'il le saute. Dès qu'un élève éprouvera une difficulté d'un ordre défini, il faudra insister sur le fait qu'aucune difficulté ne doit être résolue par

Deux galas

Deux grands galas de ski sont inscrits à la première semaine de décembre. Ce sont « Le Gala dit Ski », organisé ait Salon du Ski pour le 3 décembre, patronnè par Paris Soir,l'on pourra voir. en plus des mugnifiqiies évolutions des skieurs sur la piste, d'hyposulfite, et des exhibitions du champion du monde Allais, une pléiade d'artistes dont Slislinguctt, Moussia, Renée Gei'lez, etc. Jean Tranchant, Joséphine Baker viendront se joindre à eux. La recette de ce gala est versée aux œuvres du P.-L.-M. « pour les anciens combattants du réseau ». Les places sont limitées à 1.000.

D'autre part, la revue Neige et Glace organise, le 7 décembre, à la Salle Pleyel, à 20 h. 45, un grand gala de films de ski. On y verra Jeux du Monde, de M. Ichac et R. Ru/fin.'

Cèrvinia, un film romancé, joué dans les magnifiques stations italiennes.

Ski en Silvretta, ski de printemps. L'enchantement du ski, pris dans les stations suisses et allemandes.

TENNIS

LA TOURNEE VICTORIEUSE DES « INTERNATIONAUX » FRANÇAIS DANS

LES PAYS NORDIQUES L'équipe de l'international Lawn-TennisClub de France, brillamment conduite par Jean Borctra, poursuit au Danemark la sérfe de ses victoires, série commencée en Suède. Les quatre premières rencontres avec les champions, danois ont donné lieu à quatre succès, et il est probable qu'à Copenhague l'équipe triomphera aussi nettement qu'elle le fit, la semaine dernière, à Stockholm.

Malgré les efforts entrepris depuis plusieurs années dans les pays nordiques par les dirigeants du tennis, le recrutement reste bien restreint il ne semble pas que le tennis trouve beaucoup d'adeptes et le patient travail de propagande n'a réussi Jusqu'à présent qu'à « sortir un Schrceder. Il convient d'ailleurs de remarquer que le tennis ne répond guère au tempérament sportif des nordiques, ni à leurs particularités musculaires. Et l'exemple de Schrœder même est typique son Jeu est heurté, rugueux, impulsif parfois Jusqu'à l'incohérence. Son ascension fut soudaine et une grande part de ses retentissants succès peut être attribuée à la surprise causée par ses répliques imprévues, sa technique déconcertante. Mais son règne n'a pas eu une longue durée depuis l'hiver dernier, il a marqué une nette régression, sans qu'il paraisse que son étoile puisse de nouveau briller de l'éclat qu'elle eut.

Les Tournois du T. C. France Les deux tournois organisés par le T. C. France se sont poursuivis hier, avenue de Versailles. Les résultats ont été

Simple messieurs. Gaillard b. Aldebert, 7-5, t-fi, 6-4 Cavclti b. Bouzou, 6-2, 1-6, 6-2 Lo Monaco b. Pillot, 4-d, (i-4, 6-3 Grouchetskv b. Chéreau. 5-7, 6-3, 6-2. Simple dames. Mme Soulagé 1). Mlle Le Bel. 6-2, 0-2 Mlle Heck b. Mlle Camus, 6-4, 6-4.

Convocations pour aujourd'hui 11 h. 30. Mme Cor c. Mlle Heck. 19 heures. Gaillard c. Lo Monaco, Cavelti c. Andrieux.

20 heures. Mme Soulage c. Mlle Friedel, Mlle Briennc c. Mme Arandel ou Mme Aubërt.

21 heures. Léfcbvre c. Grandjean, Mlle Moritz c. Mlle Faure ou Mlle Donjon.

Résultats des parties disputées rue du Chemin-Vert

llouliir. mixte. Mlle Lapidoiize-Knosc-hé

b. Mme Carlior-Bchar. 11-13, «-3, 0-2 Mlle

Dunaymi-Bresson b. Mlle Lascaze-Jacquc-

mler, S-6, 6-1.

Doi*>ile dames. •. SHlo Piquêe-Mme

une tricherie. En descente, on doit virer selon la loi imposée par la montagne et non selon la loi humaine.

Ainsi, les skieurs rompus aux exercices du slalom pourront descendre n'importe quelle montagne ou n'importe quelle piste avec une véritable aisance, donc un plaisir certain.

Ce point de vue, qui n'est pas « personnel », a été décrit et préconisé dans la Revue du Ski, que dirige avec compétence Jacques Diéterlen. Ce court article, s'il vous a convaincu, peut être complété par celui qu'a écrit à ce sujet Reussner, le grand traceur officiel de slalom, dans la Revue du ski de novembre. Pour moi, il me paraît absolument impossible que, dans les écoles modernes, l'étude du slalom et sa diffusion ne soit pas résolument et largement appliquée. Le virage seul, c'est l'étude de l'harmonie. Le slalom, c'est une belle symphonie, une i descente de ski sur une piste ou dans la montagne sauvage en est le développement naturel.

Marcelle Baudry.

LA VIE DES CLUBS Au groupe des skieurs du T.C.F. Le groupe des skieurs du Touring Club de France avait réuni hier soir, en un dîner amical, quelques-uns de ses membres, uinsi que ses délégués régionaux de Nice, Strasbourg, Mulhouse, Le Havre, Marseille, Ronbaix, Chambéry, Toulouse, etc. Aux côtés du président du T. C. F., M. E. Chaix, se trouvaient notamment M. Grumbach, président dit groupe des skieurs du T. C. F. M. Montefiore, président de la Fédération parisienne de ski, et M. François, président dit Ski Club Alpin parisien.

M. Chaix et M. Grnmbach prirent la parole et célébrèrent rheùreuse activité du groupe des skieurs dit T. C. F., qui ne fait tjae grandir et que la saison 1U37-38 -verra très certainement prendre plus d'ampleur encore.

Deux films furent projetés qui furent très appréciés par les skieurs « Jeux du inonde » et « Neige dit Sud n d'ichac, dont les photographies et les vues servent de façon très utile la propagande en faveur du

i'ti.

Au Stade Français

'La section du ski du Stade Français que dirige Jacques Brillard annonce l'ouverture d'une école réservée à ses membres au Grand Bornand.

Les moniteurs de l'Ecole nationale, an nombre d'environ une dizaine, donneront l'enseignement officiel pendant les vacances dit Noël et dit Jour de l'An.

Le Stade Français organise un déplacement de 200 skieurs à ce moment-là. Pour tous renseignements, s'adresser an Stade Français, 11, rite Louis-le-Grand. Paris.

Le Ski Club de Chamonix annonce que son gala annuel aura lieu ce soir, à 21 h. 30. chez Ray Venturu, 79, Champs-Elysées.

Beaucoup de vedettes, de l'entrain, l'excellent jazz de Ray Ventura, à cette soirée où vous retrouverez tous vos amis de Chamonix.

Le dîner du Ski Club de Paris Le dîner de gala du S. C. P. aura lieu le .1" décembre dans les salons de l'hôtel Ritz. Rappelons que l'oh peut des maintenant s'inscrire ait siège dit club, 127 avenue des Champs-Elysées. Rappelons qne l'on peut faire partie du S. C. P. présenté par eux parrains. La cotisation d'entrée est de 100 francs.

Au S. C. A P.

Le S. C. A. P. donne un grand gala de cinéma le jeudi 25 novembre, à la salle Pleyel, à 21 heures.

Ce gala est donné au profit de l' « Enfant au Grand Air ». On y verra notamment le film de Schac et Huffin « Neiges du Sud » un film de teclinique avec l'Autrichien Seelos, et, en première représentation, ait film tourné par des enfants.

AUTOMOBILE PRESENTATION D'UN FILM SUR LES CARBURANTS FORESTIERS

Une très intéressante manifestation, organisée par M. Edouard Néron, sénateur, président du comité des Eaux et forêts, pré- sident de la Société d'encouragement pour l'utilisation du gaz des forêts, aura lieu vendredi 26 novembre au cinéma Marignan. On y projetera deux films, l'un consacré à la forêt française, l'autre aux carburants forestiers, films documentaires d'un réel intérêt qui permettront de mesurer l'effort qui a été fourni par les Eaux et j forêts pour assurer la revalorisation de la forêt française et contribuer au développe- j ment des carburants de remplacement. ESCRIME Albert Wolff a gagné le Tournoi d'épée d'Epinal Le tournoi d'épée dit « des Images d'Epinal » avait réuni une quarantaine de tireurs venus des sociétés de Strasbourgj CoJmar, Mulhouse, Nancy, Metz, Bâle, Sochaux, Tout. On remarquait également le maître berlinois Thalmann. Après une ardente compétition, les tireurs qui arrivèrent à la finale se classèrent dans l'ordre ci-après 1. Albert Wolff (Strasbourg), 15 points 2. Bitchiné (Nancy), 14 points 3. Garnier (Nancy), 14 points 4. Thalmann (Berlin), 13 points 5. Brenti, 12 points 6. Lepage. 11 points 7. Mathis, 11 points S. maître d'armes Couthier, 10 points ». Christmann père, 10 points 10. Bontemps 11. Dreyfus 12. Seguilla.

Bresson b. Mlle Lascaze-Mtne Lecas, 1-6, 7-5, fi-3 Mme Aiidrivot-Mmc Maujard b. Mlle Xormand-Mme Fayolle, 0-2, 6-2 Mlle Uipidouze-MUr Lavicilln b. Mme BrunetMlle Athalès, S-li, li-ll.

Demi-finale Mme natïer-Mmc Pollack b. Mlle JLapidouze-iiUc Lavieille, 1-0, 7^5, 8-7.

C'est par la maîtrise des virages imposés par un slalom qu'on acquiert l' l'aisance absolue dans une descente de tourisme.

LES AMELIORATIONS DES DESCENTES

CLASSIQUES

Commençons par tous parler d'une des plus célèbres descentes d'Europe celle desservie par le télcfërique de l'Aiguille du Midi (et profitons-en pour rectifier l'erreur glissée sur notre graphique de la page de ski de mercredi dernier lire Aiguille du Midi et non Pic du Midi), un très gros travail a ete entrepris cet été par l'administration du téléférique, sur l'impulsion de son distingué président, II. Durteste.

M. Durteste m'a affirmé que le bali- sage de la première pente serait complété, l'axe de la piste qui est très large dans la partie Les Glaciers-La Para, sera mieux indique. Un énorme travail permet d'annoncer, en outre, que la partie La Para-Le& Pèlerins, si défectueuse l'an dernier, a été considérablement améliorée.

La descente du Mont d'Aubois qui est

Voici une des plus fameuses descentes d'Europe: celle des Glaciers aux Pèlerins que dessert le téléférique de l'Aiguille du Midi.

1 desservie par un téléférique se complète d'un tronçon allant de l'hôtel du même non jusqu'à l'Isba de Megève. M. Parodi, directeur de l'hôtel, nous signale qu'un slalom très intéressant sera en permanence sur la pente du calvaire. Il nous signale égailement que quarante nouvelles chambres seront ouvertes cet hiver dans une aile de l'hôtel du Mont d'Arbois, d'une formule toute nouvelle petites cabines-skieurs, très confortables, -pour les sportifs amateurs de confort.

Enfin, de. Saint-Anton, nous apprenons certains détails concernant le nouveau téléférique du Galzig. On a créé des cartes spéciales d'abonnement, des tarifs pour les élèves de l'école, accompagnés

r. r J

Teddy Yarosz a commencé son entraînement en vue des trois combats qu'il doit livrer à Paris et dont le premier l'opposera à Candel.

NOUVELLES AERIENNES L'aviation commerciale

<+< M. Etienne Paszkewicz, ingénieur du ministère de 1,'air français, est rentré des Etats-Unis, où il vient d'étudire les systèmes de sécurité de l'aviation commerciale américaine. D'autre part, il a examiné, à Saint-Pierre-et-Miquelon, la possiblité d'y installer une escale pour le service transatlantique. Sa conclusion est favorable. En tout cas, un poste de T. S. F. sera installé afin de guider les avions. Sa portée sera de 1,600 i 2.000 kilomètres,

DANS LES ALPES ET LE JURA j

Nouvelles stations bénéficiant du billet de week-end

Moriond (1.6M m.); Saint-François-de-Bugeon (1.300) Bourg-St.-Maurice-Courbatin (1.565) Charmant Som (1.8C5).

Nouveaux monte-pentes

Création d'un téleski à Mt Revard, à la Feclaz (2 monte-pentes vers la, crête de 1 '(Monde), à Tignes, à Val-d'Isère, à Valloire (création d'un téleski), à Lanslebourg (création d'un monte-pente de 400 m.) à ii l'Alpe d'Huez (2 monte-pentes nouveaux en plus des 2 existants), à St-François-deBugeon.

Relations ferroviaires

Presque tous les skieurs pourront partir en week-end le vendredi soir. Les enfants voyagent gratuitement jusqu'à i ans, à demi-tarif de 1 à 10 ans.

Les cartes d'abonnement partant de Paris sont valables de 3 à 6 mois.

Les trains de neige à tarifs réduits partent à date fixe de Paris et de Lyon (se renseigner aux gares) la réduction du billet est de 60% sur les deux parcours simples. Les trains se composent de voitures de et 3° classe ( pas de hamacs). Les billets collectifs ne sont plus utilisables dans tous les trains Les porteurs ou leaders de billets de groupe doivent savoir que le voyage à certaines dates est impossible pour les porteurs de ces billets. La liste de ces dates leur sera fournie aux gares principales ou au fiches Plaisir de neige en lecture dans les grandes agences de voyage et de billets. DANS LES PYRENEES ET LE CENTRE

Dans les hôtels on signale qu'au col de Puymorens et au Mont-Dore, de nombreux hôtels qui jusqu'à cet hiver ne faisaient l'ouverture que l'été seront ouverts cet hiver.

Ecoles de ski L'école du Mdnl-Dore du Ski-Club de Paris sera maintenue. A Pnymorens le S.C.A.P. ouvrira une «cole. Remonte-pentes

Trois nouveaux remonte-pentes sont installés à partir de Noël, lun partant de Superbagnères vers la Cabane des Pâtres, l'autre au Val-d'Enf«r (Hont-Dore) et le troisième plateau du Sancy.

Améliorations ferrovières Les trains de -week-end, les trains dits accélérés sont maintenus, départ Paris et Bordeaux.

Dans le train allant vers l'Auvergne, partant à 22 h. 15, il existera toutes places couchées y compris hamacs.

Même arrangement pour les trains allant vers les Pyrénées.

Garages de skis

Les garages de skis sont ouverts à Paris, Bordeaux, Toulouse, Béziers, le Mont-Dore. Billets. Les. billets de club sont supprimés et remplacés par la carte d'abon- nement de "week-end. Il existe des billets de sports d'hiver, très avantageux. Enfin des billets spéciaux dans les « Trains de Neige » circulant à date fixe. Se renseigner à la gare d'Orsay. ̃

de leurs professeurs, etc. Tous les renseignements se trouvent en détail il l'Office du Tourisme autrichien, 13, rue Auber.

CYCLISME

La mise au point

d'une équipe d'américaine demande

des soins et du temps

Dans leur désir de trouver des adversaires à l'équipe Slaats-Pellenaars, engagée dans la course à l'américaine qui sera disputée dimanche prochain, à Paris, les dirigeants du Vélodrome d'Hiver ont dissocié l'association Buysse-Billiet. l'une des seules

ayant réussi à triompher régulièrement des

redoutables Hollandais.

Dimanche prochain, Buysse fera équipe avec Ch. Pélissier, alors que Billiet sera associé avec Georges Paillard.

Au temps de sa grande forme, et malgré sa valeur, Charles Pélissier n'a jamais été considéré comme un spécialiste de la classe de Pijnenburg, Wals et quelques autres vedettes de la cour,se à l'américaine et, à en juger par l'exhibition qu'il a fournie dimanche dernier c'est de sa course à l'américaine qu'il est question le frère du grand champion que fut Henri Pélissier, ne peut être considéré comme ayant retrouvé sa forme d'antan.

Pour Paillard, c'est uue autre affaire. Celui qui fut plusieurs fois champion de France et champion du monde de demifond n'a jamais fourni aucune preuve de sa valeur en tant que spécialiste d'américaine.

Slaats et Pellenaars sont c'est l'avis de tous ceux qui s'intéressent aux course .s à l'américaine les meilleurs des spécialistes actuels.

Une équipe de spécialistes d'américaines peut être comparée une association entraineur-stayer, qui n'obtient pas son meil- leur rendement dès sa première sortie. Une équipe de spécialistes d'américaines tire sa valeur des qualités complémentaires que l'un des associés apporte à son coéquipier.

Buysse et Billiet, habitués l'un à l'autre, auraient, pu. dimanche prochain, livrer un uouvel assaut à Slaats-lVlli'naiirs. Il semble bien que les dirigeants du Vé-

lodrome d'Hiver parisien ont voulu épar-

gner ce spectacle à leurs flidèle? habitués. G. Belpluuque,

Dans les stations

Des nouvelles d'Italie

Nous recevons une lettre fort intéressante du comte d'Albertis, président du SkiClnb de Sestrières..

Et d'abord, précisons que l'équipe de descente d'Italie, au grand complet, se prépare à livrer un combat acharne contre toutes les équipes européennes, ellc n'est à ta recherche que d'un bon capitaine. « Son absence l'année dernière de l'équipe auait seulement un entraîneur (ce qui est différent), nous écrit M. d'Albertis, a été la raison des malheurs dans la F. 1. S. de Chamonix et pendant les six jours de Sestrières il faudrait, poursuit-il, un homme sérieux, ayant beaucoup d'autorité pour bien diriger la « vivacité » de nos jeunes athlètes. » Espérons que le bon capitaine sera trouvé.

Les 6 jours ont vécu 1

La fameuse Coupe du Roi a vécu. Là encore, le sport évolue. Formule harassante et donnant des chances trop inégales aux skieurs de même classe, ils sont avantageusement remplacés par une Coupe des 3 teles. Trois télés ? N'y en a-t-il pas seulement deux à Sestrières ? Jusqu'à cet hiuer, oui. Mais le télé du Fruitières est terminé et fonctionnera à partir de Noël. Donc trois descentes au lieu de six.

Les • coureurs déjà sélectionnés pour l'équipe nationale italienne sont Giacinto Sertorelli, Chierroni, Tertanna, Camillo et Francesco Passet (un nouuau), Paluselli. Ces coureurs participeront aux courses internationales.

L'enseignement du ski

en Autriche

s'oriente différemment. C'est d'une réforme fondamentale qu'il s'agit d'une nouvelle méthode d'enseignement à inculquer d'abord aux professeurs, puis, par eux, aux élèves. L'Autriche, qui a donné le ton dans toute l'Europe, reconnaît comme la France, l'évolution constante de la technique du ski. Ce qu'on a tant critiqué en France, l'Autriche, sportivement, l'admet elle aligne son effort aux côtés du nôtre son geste donnera un poids énorme à nos propres réformes. Car tout ce qui vient d'Autriche fait autorité en matière de réforme dit ski. Les éléments fondamentaux qui détermineront la méthode de ski autrichienne seront filmés à Saint-Christophe-en-Arlberg.

Un stade de ski à Willach (Carinthie)

Le grand stade de ski de Garmish (Allemagne) construit à l'occasion des Jeux Olympiques de. 1936, va trouver sa réplique en Autriche. Commencé cet automne, ce stade prendra quatre années pour être complètement termine (grands et petits tremplins, slaloms, etc.).

Entraînement

de l'equipe de France

Les coureurs de l'équipe de France commenceront leur entraînement au commencement de décembre, au col de Voza. Les entraîneurs seront Emile Allais pour la descente et Seelos pour le slalom. L'entraî- neur de l'équipe de France n'est pas encore désigné en ce qui concerne le fond. Une proposition vient du Japon Le comité d'organisation des Cinquièmes Jeux Olympiques d'hiver et la Fédération nippone de demanderont prochainement à la Fédération internationale de ski de considérer les J. 0. de 1940, prévus au

LA BROCHURE

QUE TOUS LES SKIEURS ATTENDENT.

TERRES BLANCHES On connaît les efforts déployés depuis plusieurs années par les agences Wagons-Lits Cook pour familiariser le grand public avec la neige et mettre les Sports d'Hiver à la portée du plus grand nombre.

La nouvelle brochure qu'elles yi/snnent de publier, et que tous les skieurs attendent avec impatience, est une preuve de plus de leur désir de mieux faire chaque hiver. Luxueusement illustrée, présentée avec un soin tout particulier, cette brochure compte parmi les plus belles publications touristiques qui aient jamais été éditées en France. Elle offre aux lecteurs non seulement des indications techniques très précises sur ce que doivent savoir tous les amateurs de neige, mais aussi une foule de renseignements sur la plupart des grandes stations françaises et étrangères sports pratiques, conditions d'enneigement, moyens d'accès, tableaux de prix pour séjours dans des hôtels de différentes catégories, etc. De nombreuses protograpliies ajoutent au plaisir de la lecture, et nous ne saurions trop encourager tous ceux de nos lecteurs qui désirent se rendre aux Sports d'Hiver, de demander, soit par lettre adressée à Wagons-Lits Cook, 40, rue de l'Arcade, soit par un coup de téléphone, Anjou 42-80, soit directement dans une agence, cette publication du plus haut intérêt. Une fois de plus, Wagons-Lits Cook, la Maison de la Neige, a bien mérité du Sport blanc.

10 JOURS DE SKI DEPUIS 7 O O COMPBENANT voyage, hôtcl, services, locutions skis et cours de shi des Ecoles André LEDOUX. Centres d'alpinisme et de Sports d'hiver. 6, place de la Madeleine, PARIS.

tjùi pi des ^perds

Un nouveau traitement

Danny London, boxeur poids plume de Brooklyn, était sourd et muet de naissance au cours d'un combat avec Léo Rodack, il reçut de ce dernier un coup dur derrière la tête.

Ce coup dur a en le meilleur effet depuis son match avec Rodack, Danny London entend parfaitement et il a commencé à apprendre il parler London posséderait une classe certaine de combattant il a été le seul à mettre hors de combat Harnj Jeffra, autre boxeur dont les exploits ont été relatés pur les journaux canadiens. Ce que Carnera ne dit pas Le retour de Carnera sur le ring lui a valu dans toute la presse, des contmentaires sévères, mais justes. L'Italien est venu donner" le lendemain, des explications de sa défaite. C'est la règle1 inaction pendant deux années, manque d'entraînement, etc.

Ce que ne dit pas Carnera c'est qu'il n'a jamais fait une carrière normale en boxe. Les révélations de son ex-manager, M. Léon Sée, doivent être présentes à la mémoire de tous pour comprendre que Carnera n'a pas sa chance dans un combat de boxe véritable. Et nous regrettons de n'avoir vu que quelques journalistes capables de situer la question bien avant le match. Après on accable le vaincu, mais avant on avait omis de dire qu'il était impossible à Caméra de revenir sur le ring. On a laissé 2 on 3.000 personnes accourir à Wagram pour assister il un match qui n'en était pas un.

Le passé de Caméra qu'il en soit. responsable ou non suffisait à commander la plus extrême prudence en la matière.

Et qu'on ne parle plus de la possibilité de donner sa chance au géant italien.

Histoires de ballons

L'aèronauie belge Léon Gheude vient de fêter son jubilé. A cette occasion, il a raconté il ses bons amis les journalistes maints souvenirs de son heureuse jeunesse.

Il évoqua notamment avec plaisir, icejtte ascension qvjii. fit fin jaur, assis,

Japon, à Sapporo, comme devant compter en même temps pour la F. 1. S. de cett* année-là.

Au Club des Sports de Megève M. jlantout a été nommé président du Club des Sports de Megève. ̃̃̃̃̃

Chez André Ledoux

André Ledoux vient de passer un accord avec la Fédération française de ski pour l'obtention du nouveau brevet de moniteur national, pour les professeurs de ses écoles, Cours nationaux de moniteurs Les cours nationaux de moniteurs pour l'obtention du nouveau brevet de laiédération auront lieu

Au col de Voza sous la direction d*S. Allais et Seelos, du 1er au H décembre puis du 12 au 21 décembre.

2° A Superbagnères, du 25 janvier au 3 février, sous la direction de Folliguet et Morand..

3° Auron du 6 au 14 février, sous direction d'André Tournier.

Val d'Isère du 27 mars au S avril, sous la direction d'A. Tournier.

Voyages aux Sports d'Hiver II convient de stgnaler quelques beaux voyacs aux sports d'hiver organisés à l'occasion des Fêtes de ,Noël et du Jour de l'An.

Départ 22 décembre ·

Retour le 3 janvier

En France Morzine, ait. 1.000 m., 1.500 m., à partir de 880 » Alpe d'Huez, ait. 1.850 m., en au-

tocars' sleeping S90 » Voyage circulaire aux grandes

Stations de ski françaises, 6

jours :Paris, Megève, ïigues.

Val d'Isère, l'Alpe d'Huez, tout

compris 190 » En Italie Praguelato, ait. 1.500

m. à partir de 790 » Clavières, ait. 1.800 m. à partir

de 1.MO Aux Dolomites: Vanèze, ait. 1.300

m., à partir de 950 St.-Cristina, ait. 1.600 m., à

partir de- 1.200 » Pordoi, ait. 2.250 m., à partir

de 1.280 » En Suisse Montana, ait. 1.550

m., à partir de 990 » Zermatt, ait. 1.700 m., à partir

de 1.100 t Davos, ait. 1.700 m.; à partir

de 1.250 s

Tous ces prix s'entendent de Paris à Paris pour un séjour .dans les stations de 10 jours complets et comprenant toutes taxes et pourboires. Pour tous renseignements, s'adresser au Cercle Universitaire et au Comité de Propagande française à l'Etranger, 112, boulevard Haussmann, Paris-Se. Tél.: Europe 34-15 et 16.

SPORTS D'HÏVER Départs spéciaux pour les fêtes de fin d'année

OLAVIBRES (ITALIE) (1.800 m.) 13 jours tout compris fiQC fr de Paris à Paris, dep. "•'•' "• MEGEVE, CHAMONIX

TIGNES, COL DE VOZA

PRALOGNAN, LES HOUCHES ARGENTIERES, LA GIETTAZ COL DES ARAVIS

PEISEY NANCROIX, St-BON COURCHEVEL, VALLOIRE BONNEVAL (Iseran, etc.) 12 jours tout compris RAK {*• de Paris à Paris, dep. w^«* **• Veek end dans la nei- 9ÛC |~ ge, depuis CVO W. Pour les débutants, voyage spécial au COL DE VOZA, cours de ski et locations de ski compris. 5 jours (3 jours pleins AÛC (r de séjour) **•» «• Brochures gratuites sur demande VOYAGES GIVAIS 115, avenue des Champs-Elysées Paris. Elys. 53-91

Se recommander du « Figaro >.

2SALONSSKI PORTE DE VERSAILLES

2 pistes de ski Village sous la neig» Emile ALLAIS et 10 AS du ski

le grand film « Bolides de la Neige » Cours des écoles de ski André LEDOUX Tous les jours matin, après-midi, soir LA NUIT DU SKI

aura lieu le 3 décembre au Salon du Ski avec toutes les vedettes de l'Art et du Sport Retenez votre s'oirée. Nomb. d'entrées limité il 1.000. Billets en vente au Salon du Ski. Entrée 100 francs.

CULTURE PHYSIQUE PREPARATOIRE AU SKI

CORPOSANO

7e arr. 16, rue Saint-Simon. Lit. 87-871 16° arr.- 30, rue Vineuse. Passy 31-26.

1 califourchon sur une bicyclette qu'il avait promue au grade de nacelle. Mais ceci se passait avant la guerre On était jeune alors, et un peu fou l. conclut Gheude.

Quand Ernest Demuyter fêtera son jubilé, peut-être racontera-t-il l'histoire de certain rallye-ballon, trompé par la déclaration d'un de ses passagers qui craignait d'être débarqué, le glorieux vainqueur de la Coulir Gordon-Bennett atterrit avec un « Belgica » surchargé au beau milieu du cimetière de Bruxelles après un voyage de six kilomètres, soit son record de la plus courte. dis- ̃- lance.

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Nouvelles de tous les sports BOXE. A Pittsburg-. AI. Gainor 3 fcattu aux points, en 15 rounds', Tiger Jack Fox, après un combat très disputé.

A Londres, Hans Lazek, champion d'Autriche des poids lourds, a battu Tomrny Martin, par K. 0., en 90 secondes. CAMPING. Le Camping-Club de France organisera, les 27 et 2S novembre, les trois sorties" suivantes la première aura pour cadre Ja forêt de Saint-Germain, avec camp à Achères; la seconde, réservée- à 4a section auto, se fera dans la forêt de Coma piègrie, le camp étant établi au Camp Romain (fiche 1775 B); la troisième, réservée aux motocyclistes, dont Je départ aura lieu samedi soir, aura pour but La Dame-Jeanne (fiche n° 5032).

TIR. Chez Gastinne-Renette. = Offi. cîers de réserves. Concours d'entraînement. Lebel 1. Bernard et de Llsle; 3., Ben nard. Sous-officiers de réserve (génie.) Carabine 1. Chabrier et Druon; 3. Launay et Meunier. Pistolet de combat 1. Raban; 2. Froud et Meunier. Revolver 1. Druon 2. Duproz. Classement final l. Druon et Launay; 3. Raban; 4. Bernard et Chabrler.

Société Le Faisceau. Carabine i Chaudoye; 2. Lacour. Pistolet de combat l. Bourin; 2. Chaudoye. Classement final i. Chaudoye; 2. Boûrin; 3. marquis Le Gouëslier d'Arg-ence.

Les poules' ont été gagnées au pistolet de combat, par D.lot; au pistolet automati-' que, par Bourin et Guy Sauvalle; au revolver, ,Cnaiidoye et Le Gouësller d'Argence, ESCRIME. Les éliminatoires, et les pre^ ralcres demi-finales du Challenge Ivanovltch seront, disputées, le 28 novembre, des neuf heures du matin, au lycée Carnot. Aucune Inscription ne sera r-eçue après le 2S no-

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