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Titre : Figaro : journal non politique

Éditeur : Figaro (Paris)

Date d'édition : 1937-10-15

Contributeur : Villemessant, Hippolyte de (1810-1879). Directeur de publication

Contributeur : Jouvin, Benoît (1810-1886). Directeur de publication

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34355551z

Notice du catalogue : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb34355551z/date

Type : texte

Type : publication en série imprimée

Langue : français

Format : Nombre total de vues : 164718

Description : 15 octobre 1937

Description : 1937/10/15 (Numéro 288).

Description : Collection numérique : BIPFPIG63

Description : Collection numérique : BIPFPIG69

Description : Collection numérique : Arts de la marionnette

Description : Collection numérique : Commun Patrimoine: bibliothèque numérique du réseau des médiathèques de Plaine commune

Description : Collection numérique : La Commune de Paris

Description : Collection numérique : France-Brésil

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k409643n

Source : Bibliothèque nationale de France

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 15/10/2007

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RÈAUTÈS Récemment, les socialistes anglais tenaient un congrès. Une motion y «fut déposée en faveur de l'alliance entre socialistes et communistes. Par 2.116.000 mandats contre 331.000. cette proposition fut repoussée. Les socialistes d'outre-Manche n'admettent. pas qu'on confonde leur parti et leur idéal avec ceux des moscoutaires. Je voudrais qu'un socialiste français m'expliquât pourquoi ce qui est vrai pour son « camarade » anglais ne l'est plus pour lui ? A fortiori, je voudrais qu'un radical français pût me dire comment il accepte ce que le socialisme britannique lui-même n'accepte pas ? En Angleterre, la collusion des partis de gauche travailliste, libéral avec le communisme équivaut à la trahison d'une doctrine. En France, c'est cette non-collusion qu'on voudrait faire passer pour une trahison. Tant que cette opposition existera, nous nous refusons à reconnaître aux partis de gauche fran- çais le droit de parler de leur « harmonie » avec la démocratie britannique. En fait, les deux conceptions se tournent le dos. L'alliance des radicaux, des socialistes avec les communistes représenté le plus grand scandale de notre histoire politique. En dehors de l'Espagne rouge, la France est le seul pays où il se soit produit. Ce scandale nous a coûté cher. Ne parlons pas aujourd'hui de ses rénprcussions intérieures. Ne considérons que le plan extérieur. Lesfaits, qu'aucun homme averti des réalités européennes ne peut dë~mentir, sont les suivants

L'arlîance avec les communistes a déterminé l'axe Rome-Berlin. D'abord, parce que, fort habilement, les deux dictatures ont tout de suite vu le- parti ou'el'es pourraient tirer, sur l'échiquier diptomatimie, de cette faute insi«rie de la politiaue française et qu'elles ont accordé leurs appétits sous le paravent « anticommuniste ». Ensi'ite, parce au'îl existe réellement à Prune, comme à Berlin, la crainte de la contagion révrvlutionriîïire. ce oui se passe en Russie eétànt np-ïJLiseaiï'ç et ce ttuî se nasie en Frâ'nré ÏIPa~ l'étant pas. Ot.1eS di- ri séants anptnanrls et italiens sont résolus à s'onnoser nar tous les movfns à l'inmlpntatîon du c»m-

miir.:c-rnp en Accident. Droù î'in-

te"f<"ation de leurs préparatifs mi'Haires et la fièvre qu'ils inculniie"* f> len^s peuples, Hennis nue leur est apnaru faussement d'fïl'purs. mpis on il'ge. mal de loin le danger d'une épidémie communiste propagée par nous. 1 L'alliance avec les; communistes est une des raisons qui; ont déclenché la guerre civile en Es^ pagne. C'est à partir de -la formation chez nous d'un « front, populaire » suggéré par les communistes (sous les directives de Pimitroff), c'est-à-dire en avril etjmi, que la situation espagnole, déjà agitée, est devenue révolutionnaire. Les extrémistes espagnols se sont sentis encouragés. Mise en échec du présideritZamorà, cortèges communistes à Madrid, Largo Caballero en tête, etc. Peu à peu. les choses se sont tendues juscru'à l'explosion du 18 juillet. Aujourd'hui cette guerre civile met l'Europe au bord de Uabîme. L'alliance avec les communistes a détaché de nous la Belgique. On dira ce que l'on voudra de l'évolu- tion de la politiaue. belse et notamment de la déclaration allemande qui est venue couronner cette évolution (et qui n'a d'autre objet, de la part du Reich, que d'endo.-mir l'opinion britannique). La vérité est oue la Belgiaue cher- che, depuis dix-huit mois, à se désolidariser de nous. à se « garer » d'un conflit qu'elle sent pos- sible. Depuis le pacte franco- soviétique, depuis surtout l'intru- sion communiste dans la politique française, cette idée est devenue 1 une hfTitïse en Belgique. Et c'est il un socialiste betee qui mène le ie'n Ainsi nnus devrons au scan- dale «Jft-ja cn-ilusion avec '"s com- rn1tT^iot<^s r«t antre -scpndnle rrne

le«. BeWes nous mettent au ionr-

d'niii sur: le même pied que les A^ernàndS".

I/al'i^n'-o avec les communistes a éloigné de nous la Roumanie, la Yougoslavie, c'est-à-dire nos 4 plus fidèîes alliés, car. en dépit des manifestations officielles, le « coeur; n'y est plus. Cette al- liance nous vaut encore la suspi- .1 cion de nos amis d'Amérique latine, des Suisses, des Hollandais, etc. Kfême en Angleterre, elle est le seul point faible de notre politique. "j

Telles sont les responsabilités qu'ont prises, en 1936, dans un aveuglement général, les électeurs radicaux et socialistes en; votant pour des communistes. « Les renouvelleront-ils demain. a l'heure la plus grave que la France ait vécue depuis novembre 1918 ?

Wladimir d'Ormesson.

LES RÉPERCUSSIONS DU PROBLEME ESPAGNOL .]

~P

M. EDEN

a conféré W. •avec:>V:

M. GRANDI Le gouvernement italien' ne fait pas d'objection au principe d'imposer une date, limite aux travaux du Comité de Non-Intervention qui se réunira pour la pre• mière fois demain.

(De notre correspondant particulier, par téléphone.) ."̃•

Londres, 14 octobre. Lord Plymouth. président du Comité de nop-intervç lioo, a" passé ta journée d'aujourd'hui' en consultations avec tes autres membres dtt Comité pour, fixer l'ordre du jour de la prochaine réunion des représentants des neuf puissances, qui aura lieu samedi prochain à 10 h. 30. Dès l'ouverture de cette .première séance le président sera chargé de fixer nne date limite aux négociations. Cette date devra' êtr acceptée, d'un commun accord, par toutes les puissances, Le gouvernement britannique a, recommandé cette procédure pour ne pas donner au gouvernement italien l'impression qu'on lui adresse! un ultimatum.

La première réunion sera bien entendu réservée à la-lecture des déclarations des gouvernements représentes. La note que le gouvernement français a adressée ce soir à Londres comprend notamment le projet de la déclaration du représentant français, qui précisera, -en termes identiques à la déclaration anglaises, les mesures précises que proposent les gouvernements français et a riais pour nue. les volontaires soient évacués simultanément sur les deux fronts espagnols.

Gérard Bontelléau.

{Suite page 3, colonne 3)

NOTRE BALANCE COMMERCIALE

EST EN DEFICIT

CE 13 MILLIARDS 283 MILLIONS POUR LES NEUF PREMIERS MOIS DE L'ANNÉE

Le déficit de notre balance commerciale s'élève à 13 milliards 283 millions de francs pour les neuf premiers mois de 1937. Ce déficit, en 1936, pour la période çorrespamlnnté,; n'était que de S milliards îôo nsfHioÉs de francs.; .Peodajit le s«tttl mois de septembre le déficit notre balance commerciale à atteint un milliard 411 millions.. LES joints SE SUIVENT

mm et u mvEKm

Une dame m'écrit pour me con* fier une désiliusion. Elle a cherché tant a V Exposition que dans les grands magasins dés «souvenirs de Paris » pour en rapporter à qui^iques amis et ce qu'on lui a présenté n'a' aucunement. satisfait- son désir et son ({dût. Elle a trouvé ces-souvenirs sans grâce et sans caractère; elle les a, jugés fort peu parisiens et même peu français; et elle me demande de protester avec elle' contre ce qu'elle nomme la laideur des, « souvenirs de Faris e< !e peH d'tnae~os~e de-nes fabricants. •• ;Je vais lui exprimer les choses comme je les pense; c'est-àtdire dans un sens qui n'est pas tout, à fait le sien.: Je. trouve au contraire que nos fabricants et nos artisans ont une ingéniosité exquise, que jamais, les vitrilles .n'ont brillé" d'objets .si désirables. Suivez la rue de la Paix, le faubourg Sàint-Hnnoré, l'avenue. de F Opéra, les Champs-Elysées, l'avenue Victor-Hugo (naguère bourgeoise), vous serez tentés à tous les pas. On a mis l'élégance et le frivole à la portée de tous tes désirs: notre époque a réussi supérieurement l'art du rien, je veux dire de ces menues choses qui embellissent un moment notre vie avant de laisser paraître leur inutilité.

Mais ces objetsrla portent la marque de Paris dans une apparence et non point en lettres dorées. Il est vrai que tout ce qui signe son origine parisienne lisible semble s'en éloigner par le goût. C'est peut-être que les gens qui souhaitent posséder un souvenir certifié n'ont point un goût parfait et qu'on leur- réserve ce que l'expérience-a désigné comme devant leur, plaire.

Tout ce qui est souvenir attesté d'un lieu participe d'une bimbeloterie à laquelle la tendresse seule ou la foi peuvent conférer un prestige. Vous vous rappelez ces pressepapiers imagés, -ces porte-plume en os où une encoche recélait un point de vue, ces tours filigranêes, ces monuments en f aux marbre et ces statuettes en faux bronze Qu'on en a vendu Que nous) en > apons reçu

dans notre jeunesse, dont nous nous

sommes divertis nous étions des enfants! avant qu'ils n'aillent s'entasser dans le panier des:choses. inutiles, ternies, demUdèiraites et qu'on voit étalées sur les tables poussiéreuses de l'Hôtel Drouot.

fi n'est d'agréables souvenirs que ceux qui ne portent pas la marque écrite du souvenir. Ils doivent avoir la grâce d'un' choix, d'une allusion, d'une rareté. Quelqu'un que j'ai connu aimait à faire des présents imprévisibles et"vous rapportait un chien basset d'Allemagne, une perruche des îles, des skis de Norvège, un tonneau de harengs de Plumoûth, un singe de Singapour. Il était charmant, pittoresque, et redoutable,* Nous ne demandons plus tant d'ingéniosité. Les années passent pour nous apprendre qu'on ne nous rapportera jamais le bouquet d'Qphéhè; 1 et que c'ttt la pensée qui signe M souvenir.. Guermantes.

LA QUESTION DES VOLONTAIRES

DOIT ETRE REGLEE

AttiilTE DE NON-INTERVENTION Le Conseil des ministres, unanime sur ce point, a approuve les termes d'une note adressée hier au Foreign Office et dans laquelle-la France réserve sa liberté d'action pour le cas aucun, résultat ne serait acquis après la réunion du Comité de Londres. r

..5 ,i

Après, le Conseil des ministres, M. Camille Chautemps sort du Palais de l'Elysée- en. compagnie de M. Edouard Daladier, ministre de la guerre, ,etM. Campinçhi,. ministre de la marine. Le Conseil 'des ministres d'hier matin a ratifié ainsi qu'on s'y attendait les décisions de principe adoptées la veille par la Conférence interministérielle qui examina dans son ensemble le problème espagnol.

M. Yvbn Delbos refit « l'exposé détaillé des négociations en cours concernant les affaires d'Espagne et notamment la très prochaine réunion du contité de non-intervention, comme le note te communiqué officiel- remis à la pressé à l'issue dn Conseil. '̃̃̃ II ressort dé. cet exposé que le gouvernement britannique entendait d'abord régler définitivement la question des volontaires étrangers combat. tant en Espagne avant d'aborder les. autres points, notamment celui du contrôle maritime à instituer aux îles Baléares. ̃' ̃' Le Cabinet de Londres semble désireux «le redonner, en effet, vie et et" autorité au Comité de non-intervention dont la durée des travaux ne devrait ̃" comporter aucune limite restrictive. ̃ ̃ ̃ « Notre ministre des affaires étrangères a ensuite « indiqué les grandes lignes des propositions précises qui sont envisagées en commun par la France et la Grande-Bretagne » et, ajoute -le communiqué officie],1 « le Conseil a été unanime approuver là teneur de la note envoyë^3cè sujet

M hotub)eœ&* *̃̃• ,<ç.ï-, j. ̃ ..j-V:u.. ̃

Edouard de V-orney.

> ̃ (Suite page 3, colonnes 1 et /2)

L~E~PQsifion:inferna,tionakde.19J1 m a-t-elle prolongé en Î93S sous rétiquéttecT Exposition Nationale ? Pour celte reconduction 7/ partielle, quatre cent millions de francs

¡: seraient nécessaires

La;question 1 de, prolonger,. de faire, international des expositions, aux stasurvivre' ou revivre l'Exposition -en tuts de cet organisme, à nos propres 1938 est toujours agitée. On sait que le engagements. Si nous insistions pour préfet de la Seine vient de répondre que le règlement fût violé en notre

à M.. Georges Prade qu'elle' est essen- faveur, nous risquerions de desobliger

tiellement «d'ordre gouvernemental». les Etats-Unis, dont c'est le tour Le gouvernement n'a encore pris au- de faire une manifestation iiitèrnacune décision. Jusqu'à présent, tout tioriale. •' -̃" ËSSrsï pS'àtedaîÏÏfeef011 •̃̃Ali.sirrtU^n&uS^BMésrlfldèle-

fermera'ses portes,à la d~teflxée, ment renseignés, deux des nations ex-

récem~e~f~c'est~r~le~~ ment renseignés, deux d'es,nations@ex-

SSSv- le 25 posantes^- qui sont, pourtant deux

vembre "• ̃ grandes démocraties,, bien disposées à

I.ikn..(»>.l. ? T».M«.ill I l'égard de la France, ont fait déjà

Internationale Impossible I savoir qu'elles démoliraient leurs pa,». •̃• villons cet automne-ci et.se refusaient

De grandes, difficultés compliquent à envisager une prolongation.. le problème de la survie de l'Exposi- r ̃*̃̃ fïon"; Essayons d'indiquer avec préci- r D'autres nations,. officieusement sion-les principales pressenties, auraient montré une. cerD'. « exposition internationale » en tal^e .répugnance à poursuivie leur France, l'an prochain, il ne saurait Pf^lclPatlorl au delà des limites -tout plus être question. La chose serait d'abord convenues. 1 J 1 contraire aux décisions du • Bureau (Suite page. 3, colonnes 1 et ;2i)

ON INAUGURE AUJOURD'HUI A SAMPIGNY UN M ONUMENT A LA MEMOIRE DE RAYMOND POINC ARE

DEUX GRAVES à AHENTATS EN PALESTINE Un train saute 3 MORTS

Un autocar est mitraillé 1 MORT, 5 BLESSES

Jérusalem, 14 octobre. Un :attfentat d'une gravité exceptionnelle a été commis dans là soirée en Palestine. Dés inconnus ont fait sauter un train sur la ligne de Lydda-Raselei, à Kalkillieh, à une trentaine de kilomètres de Jaffa Trois personnes ont été tuées parl'explosion. Les détails manquent encore. Le couvre-feu a été proclamé à Jérusalem. D'autre part, un > autocar transportant des Juifs et circulant sur une route à cinq milles de Jérusalem a essuyé une trentaine de coups fusil. Cinq Juif s ont éteiblessés* et un Arabe taé L'attentat s'est produit JJrès du sanatorium juif de Notza.

D'autres incidents se sont produits aujourd'hui à 'Jérusalem. Outre un Ara' be tué au moment où il s'apprêtait à lancer une bombe, de nombreux coups de feu ont été tirés- contre tes autobus dans les faubourgs de la ville, mais sans faire de victimes. Enfin, une bombe a été trouvée dans un panier déposé par un Arabe dans un grand café au centre de la ville. Elle a pu être retirée avant de faire explosioin.

A la suite de ces événements, cinq membres du comité suprême arabe, qui séjournent actuellement à l'étranger, ont été frappés d'une mesure d'interdiction de séjour en Palestine,.

EN PAGE 5 t ̃̃ {. POÉSIE

D'ABORD Par FRANCIS CARGO,

de l'Académie Concourt.

tuiluitlIlNiliiiMmiiiuitHtliiuiutMiiiHiiiiiiiiiiMpuiitiiiiHtlllt JEAN BATTENT

la benjamine des championnes de l'air, va tenter de reconquérir le record Australie-Angleterre.

«itiiiiiiitiiiiiiitiiiifitiiiititiii( n. •iiiiiiiiiiiiintiiitiiiittiiniiiiii

Nous sommes heureux d'annoncer à nos lecteurs que notre éminent collaborateur, M.Maurice Donnay, de l'Académie française, va reprendre sa collaboration régulière interrompue par, les vacances..

La prochaine chronique

de M. Maurice Donnay [paraîtra lundi prochain et par la suite, le jeudi de .quinzaine. en quinzaine.

LE NOUVEAU MUSSOLIN~~

r. A Naples, un jour, je

*Pâ regardai les vitrines de

musée où sont exposés

les souvenirs de la royauté de Murât un curieux assemblage de costumes de parade, de reliques d'aventures, de diplômes pour les travaux publics et de médailles agricoles. Près de moi, un campagnard dit à son fils avec l'accent napolitain qui caresse si bien l'éternel et l'éphémère « Ce 'Murat était comme notre Mussolini, »

Pas plus que Murat, M. Mussolini n'a de parenté avec le type bourgeois ce type bourgeois qui a caractérisé, depuis près d'un siècle, la plupart des politiciens de droite ou de gauche, et même des; révolutionnaires d'Occident.

A je/ne sais quelle conférence de Lausanne, Poincaré avait rencontré M; Mussolini, nouveau chef de l'Italie. Le Duce était entré à la- Conférence en guêtres blanches, ne s'était pas assis, avait parlé, le menton projeté, roulant les yeux. Au retour, Poincaré raconta le fait comme si toute la bourgeoisie des Ponts et Chaussées, de l'Université et du Code. civil, qui lui avait appris à vivre, criait vengeance.

Peut-être nos ancêtres, moins bourgeois, traitaient-ils avec plus de réussite que nous avec les personnages de la nature des dictateurs modernes. Politique à part, un des plaisirs de M. Mussolini lorsqu'il connut M. Laval, fut de découvrir un négociateur occidental n'ayant ni les habitudes ni la forme d'esprit bourgeoises. Ce plaisir lui manqua avec M. Edén.

.̃̃̃'̃̃̃•̃̃ ̃i.:V

La personnalité du Duce m*a jusqu'à ces. dernières années intéressé moins en raison dé la dictature, où je suis peu compétent, qu'à cause d'une étonnante expérience de l'homme et de la souffrance humaine qu'il laissait paraître aux moments de confiance.

il avait des périodes de détente, parfois d'épanouissement, de communication presque familière avec les êtres extérieurs à la politique. Il s'amusait au défilé des étrangers, hommes du femmes, notables ou indiscrets, qui venaient l'admirer comme une sorte d'éléphant de mer. Il prenait divertissement et ivresse aux extraordinaires propos que la bêtise peut inventer pour rendre nommage à ceux qu'elle croit des demi-dieux. Quand il voulait, lui d'ordinaire théâtral, il mettait une subtile adresse à jouer des nuancés.

Brutal, on le savait. Cruel ou sanguinaire, on ne pouvait le croire, à cause de sa promptitude à entrer dans la sensibilité d'autrui. Les meilleurs témoins disaient le drame intime de sa conscience après le meurtre. de Matteofi.

Ce personnage est-il changé ? Il vit maintenant beaucoup plus séparé de la lumière des jours qui ne sont que des jours et de la banalité des âmes qui ne sont que des âmes. Il dédaigne de recevoir les visites, même du corps. diplomatique. Il communique moins avec les conseils du fascisme. Les précautions de la police font autour de lui une atmosphère de risques comme les livres de médecine donnent au lecteur la sen-

A PROPOS DE LA MAISON DES AILES Le personnel navigant de l'a é ronautiq ue

n'est pas suffisamment assuré contre les risques de son périlleux métier

On doit et on peut faire mieux pour tes pilotes civils

L'émouvant appel d'un pensionnaire de la « Maison des Ailes », que nous 1 avons publie avant-hier, jette un jour particulier sur la situation du personnel navigant et sur les risques qu'il encourt dans l'exercice de sa périlleuse profession.

Notre correspondant, rappelons-le, nous écrivait ceci

Dans mon cas particulier, ayant été blessé (paraplégique) au service de l'Aéropostale, cette compagnie ne me sert qu'une pension qui était dérisoire il v a un an, mais qui est devenue aujourd'hui une véritable plaisanterie. Elle est déjà p insuffisante pour rémunérer mon infirmière qui' m'est constamment indispensable et pour payer ma pharmacie. Je n'ai donc rien pour vivre et m'habilier. à trente-quatre ans, après avoir donné plus que ma vie à l'aviation Les œuvres d'entr'aide sont généreuses et don- nent des secours, mais' les 'secours sont des choses incertaines et, tout en supportant la situation humiliante de mendiant, je vis dans l'incertitude continuelle du lendemain, alors que là stabilité d'existence devrait pour le moins étre assurée aux grands mutilés, à qui la tranquillité d'esprit serait médicalement nécessaire.

Ce cas tragique n'est pas unique. Toutefois depuis 1928 et par décrets suc-cessifs de 1932 et de' 1937 la situation du personnel navigant a été améliorée et le dernier statut du personnel de

sation qu'il est malade. Dans les représentations rituelles du régime, son masque parait toujours le même, mais avec quelque chose de plus tendu et de moins présent.

Il parle sans cesse comme si son imagination bravait l'idée de la guerre. Et puis sa voix devient curieusement intime dès qu'elle retrouve le mot paix. ̃̃̃ ̃

-A1 •'̃ '̃-

Le caractère du Duce a été profondément éprouvé par l'affaire d'Ethiopie, à l'âge où l'homme fort, sachant qu'il ne recommencera pas sa vie, se raidit sous l'épreuve, et accentue, par réaction, les traits de la personnalité que son oeuvre, ses attitudes, les circonstances et même l'erreur lui ont faite.

Il avait longuement préparé l'entreprise d'Ethiopie. Mais elle le surprit en lui imposant soudain un pari dramatique. Il joua, pendant deux ou trois mois, le tout pour le tout, sa vie, son régime, la sécurité intérieunt et extérieure de l'Italie. Elle le surprit ensuite par l'apparition quasi miraculeuse de l' « étoile du succès, chassant brusquement les cauchemars. Aux heures tragiques, après avoir senti le froid des commencements d'abandon, il découvrit ce que pouvaient donner la discipline et le patriotisme de sa nation. Tout cela mêlant des expériences où la sensibilité s'usait en même temps que croissait l'orgueil du pari gagné.

La hâte de faire Charlemagne, d'ajouter un atout de surcroît à son jeu, le fit intervenir en Espagne. croyant que ce serait bref.

L'idée que l'individualisme ibérique, le plus irréductible qui soit. puisse, en cas de rupture sociale, produire autre chose que de l'anarchie erreur de l'intervention russe l'idée qu'une guerre d'Espagne, ré,pétant des conflits, des incompréhensions, des heurts et des vengeances séculaires, puisse être de courte durée erreur de l'intervention italienne l'idée que le tempérament politique de l'Espagne puisse incliner sincèrement au compromis erreur de l'optimisme franco-anglais tableau complet de ce que produit l'insuffisance d'études sérieuses dans la conduite du destin de l'Europe présente. Des journaux anglais ont prétendu, ces jours derniers, que M. Mussolini employait des forces à la fois en -Ethiopie, en Libye, en Espagne ̃ et en '.Palestine. Si le principe de la stratégie de Clausewitz quant à la concentration dés forces reste vrai, 1« dispersion de l'effort italien entraîne une faiblesse stratégique.

̃

C'est cette faiblesse stratégique, compensant l'avantage d'une initiative à faces multiples, qui soude par nécessité l'Italie à l'Allemagne.

Il n'y a guère d'issue vraisemblable dans des trocs isolés. II n'y en a guère non plus dans des exercices diplomatiques en marge des réalités et des sincérités.

La question est de savoir si M. Mussolini apercevra que sa vraie gloire, désormais, ne peut être que de se montrer supérieur aux autres pour organiser la paix, et non pour la marchander.

LUCIEN ROMIER.

l'Aéronautique prévoit une assurant* en cas d'accident.

Comment fonctionne

l'assurance

Des indemnités spéciales en cas d'ac- cident sont accordées au personnel navigant des Compagnies de navigation aérienne et au personnel navigant de toute entreprise qui met en œuvre des avions, moyennant te versement d'une cotisation mensuelle imputable pour le tiers au salarié, pour les deux tiers à l'entreprise.

Le Fonds de Prévoyance (caisse.centralisant les versements) est géré, par la Caisse des Dépôts et Consignations en application des lois du 30 mars 1928, 16 mars 1932, et du décret du 6 février 1937.

a) Pour le personnel navigant astreint à l'exercice régulier de la navigation aérienne, le prélèvement sur le traitement se fait suivant un taux variable fixé chaque année cette année 7,5 0/0 La retenue n'a lieu que sur,un traitement maximum de 75.000 francs par

an.

b) Les employés (pilotes, mécanicien*, radios, etc..) astreints à l'exercice facultatif de là navigation aérienne versent une prime pour chaque lien» de vol l'heure actuelle 25 francs).

André Reiche].-

(.Suite page 3, colonnes 1 et 2.)


̃ ̃ ̃ ̃ ̃ ̃

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LES ECHOS I

.-•:̃;̃: LA tllUiiNEE

La FtkmitlB du Souvenir

A S. 3 0, à l'Ara de Trtomptje ̃: Vi N €“ sections des et 12* arrondisse-

ments..

Çsrémoniea reliflisusos

En la chapelle au martyre de Salnt-Dc̃ .• nysV 13, rue Antoinette, a 8 Heures Messe <f( vénération des reliques; à 16 heures: •efmon par le chanoine Lorette.

A Notre-Dame, de 14 h. 30 il 17 n. 30 vénération des reliques de rasston. Conférence-promenade

A 17 heures, au Musée de l'Orangerie: -̃' « RerhbraVdt ». par M. Van der Kemp. Expositions

'"̃- 'A la- Bibliothèque Nationale « Les manuscrits à peinture du moyen age fran-

çals

çais ~= ». Sajle Mortreuil vernissagre d'une exposition de peintures chinoises anciennes (Clôture fin octobre). i ̃ 2, 'avenue Stéphane-Mallarmé, en l'église Sainte-Odile exposition d'art sacré --moderne" (Clôture le 15 novembre). ̃̃– 27. boulevard Malesherbes Exposl«oa.Brituleau de Jarny (Souvenirs du Ma-

roc).

V Salle des nouvelles éooîes d'Orsay Association des Artistes ûe la vallée Se Cfte. vreuse (L'après-midi).

̃̃ 84. rue La Boétle Salon d<33 Artiste? de -Montmartre et du Montparnasse.

5 Au Jeu de Paume des Tuileries t Kv% international indépendant.

A l'Ofans-erie des Tuileries Eauxr fortes de Rembrandt.-

iîq rue du Faubourg- Salnt-Honoré ̃̃ Œuvres au Greeo (prolongée jusqu'en no.

:vemore) ̃

51, rue de CHchy 32» Salon Interna- tlonal d'art photographique et rétrospective Hadar des', vedettes féminines. tes coursés

'••" A 15 ù. 16 Enghlen.

b.s·

Comme!' ^fiéi'Baftiulnrî1.f^Z ̃ 1

Le Théâtre d'Essai de J'Expositioïi offre cette particularité qu'il est composé de trois salles superposées. Celle du rez-de-chaussée abrite les compagnies d'ayant-garde et les cercles de comédiens amateurs- au- dessus, la scène appartient aux ma-pionnettes européennes- et, enfin, le • dernier étage est dévolu aux con.certs d'ondes. L'architecte qui a conçu cet édifice a pensé, avec rai«on, qu'il serait plus pratique de loger trois spectacles sous le même toit. L'événement passe ses espérances, En effet, de chacune des salles, on peut entendre ce qui se passe 'dans les autres. C'est ainsi qu'hier, on pouvait écouter à la fois une fugue de gach, le Faust des marion,' nettes -allemandes, de Hohenstein, et La Coupe enchantée par les Cornédiens Routiers.

Si les répétitjohs générales pouvaient avoir lieu concurremment au Théâtre d'Essai, cela 'simplifierait .beaucoup la besogne des critiques. ;'[ Entre la vie et la mort

L'article 49 de la loi du 31 décem'bre' 1936, relative à la location des coffres-forts dans les banques, pré» voit que tout locataire, s'il est marié, r doit, avant d'ouvrir son coffre, si.gner une déclaration affirmant que v Son conjoint est en vie, ceci pour 1 éviter des tentations au survivant 'quand, d'aventure, une succession est ouverte dans un ménage.

Dans une grande société de crédit, un client se présenta l'autre jour et avoua à l'employé du service des coffres qu'il se faisait scrupule d'affir.̃ 'inér par écrit l'existence de sa fenir me, car celle-ci était en voyage à l'étranger et ne lui-avait pas encore donné de ses nouvelles. On délibéra et l'on trouva cette formule ingénieuse qui respectait la loi sans être un mensonge « J'affirme qu'à l'heure présente je n'ai pas eu connaissance du -décès de ma con-

jointe. »

ta propreté des autobus

A la suite de notre écho sur la propreté dans les autobus, nous

~JIR~29~~2 !!)H. ~~Tfl2~S~l

LE JEUDI ACADEMIQUE Un jeune homme de lettres français veut-il faire un séjour d'un an à Rome ? L'Académie française rappelle aux candidats éventuels à la Fondation Prjmoli qu'ils doivent envoyer, le plus tôt possible, leur demande accompagnée de leurs titres.

Les Immortels ont fait progresser le Dictionnaire, hier, jusqu'au mot açi ïuiire. Au passage, ils ont supprimé l'exemple « ces actions montent », jugé probablement trop optimiste. L'Aeadémie française n'a désigné nul de ses membres, cette annéeci, pour choisir et développer un sujet tie lecture à l'occasion de la séance publique annuelle des cinq classes de l'Institut. Mais le fait n'a rien d'anormal. La présidence de l'Institut, attribuée par roulement, est échue au directeur actuel des Quarante, M. Louis-Bertrand, qui, en cette qualité, prononcera le jour de la grande séance, le discours d'usage, au sujet inva> r4able. ±– L. G..

avons reçu d'un lecteur ce" 'complément d'information

« L'essai que vous préconise? a déjà été tenté, en particulier sur la ligne AH, où l'on trouve dans les voi.tures, sous chaque fenêtre, une pe- tite boite dans laquelle le voyageur est invité à glisser les couvertures de ses carnets d'autobus et ses tickets périmés. Il faut reconnaître que bien n des gens se prêtent à ce petit service de nettoiement bénévole. D'après ce ( que j'ai pu observer, car, moi aussi, la question m'intéressait depuis long- i temps, on peut évaluer à un tiers les i usagers sou pi eux de propreté. » j C'est évidemment insuffisant pour que le plancher- des autobus soit net, ̃] Mais peut-être que beaucoup de ( voyageurs hésitent à se séparer de leurs tickets en quittant leur piace, dans la crainte d'un contrôle à la ̃ descente. N'est-ce pas plutôt à la sor* j tie dé la voiture que l'on devrait pla, cer la corbeille aux papiers ? {

uW il IBI i -<

Philanthropie posthume J., Il n'est pas défendu d'être erigi' f nal, ni bienfaisant, après sa mort. ] La preuve, cet avis de décès extrait j ] du journal de Raleigh, dans la Caro- Une du Nord ̃ Aux amis de John G. Allen: Quand vous lirez ceci, il sera un mort. Mais au '}(&£̃ deipi entipuer de/; fleur?,. sf* ffhez un chèque a l'ordre, d'une _œy* vre èftaritabtê, ôrptiéUnpt, Aosprcfe, maison de retraite et envoyez-le à la mémoire de John G. Allen qui vient de s'éteindre. On ne nous dit pas si le défunt avait été un philantbrqp:e de son vivant ou s'il avait attendu de l'être aux frais de ses amis.

Le Masque de Fer.

MADELEINE

LE MOI NE

COVTVRE

Collection à Jl h. et 15 h.

134, faubg. Sainl-Honoré

LA VIE REUGIEUSE Le cardinal Verdier va publier une brochure sur l'Eglise devant le monde moderne

Dans quelques jours, Son Emi le cardinal Verdier publiera sur « l'Eglise devant le monde moderne », une brochure où l'on retrouvera les enseignements, les conseils, les réflexions et les jugements de l'éminent prince de l'Église sur la société contempo- raine, notre monde sans âme, la crise de conscience, etc.

Il y montre la nécessité de restau- rer la morale clirétienne, de répandre la doctrine de l'Eglise. Il y rappelle eu quoi consiste le rôle social de l'Eglise, et met en relief de quel secours l'Eglise serait à- nos contemporains s'ils le voulaient, pour assurer la pat* à l'intérieur et h. l'extérieur.

En terminant, le cardinal lance un

appel aux jeunes Au carrefour des ]

pbçmiy"chers Jeupes,,Ieur dit-tt, vous,

chemins, chers jeunes, leur dit-il, vous

prendrez résolument celui de la vie I, c'est le chemin de votre foi. Vous mon.trerez à tous que les catholiques savent unir dan& leur cœur l'amour de la patrie et l'amour de la grande famille humaine, et qu'ils sont ainsi les vrais fils de Dieu, près de tous les hommes s, Cette brochure, qui parait dans la même collection que le Soyons prêts I du cardinal Baudrillart, connaîtra le même succès.

Mme Colette, François Mauriac et Jacques de Lacretelle v

à l'Exposition

Mardi prochain 19 octobre, à dix-sept heures, à la Comédie des Champs-Elysées, 15, avenue Montaigne, les Mardis littéraires de l'Exposition donneront lieu à un grand débat sur le roman dans la même séance Mme Colette, MM. François Mauriac et Jacques de Lacretelle, de l'Académie française, exposeront leur conception personnelle du roman. L'entrée à cette 'séance est libre. Le 2 novembre, débat sur la poésie 3ue présidera- M. Paul Valéry, de V Acaémie française.

Demain samedi, à 16 heures 15, également à la Comédie des Champs-Elyses, aura lieu la quatrième matinée poétique organisée par les classes II et X de l'Exposition. M. Jean Cocteau parlera de la poésie et des poètes.

Puis Paul Fort, Jutes Supervielle, Pierre-Jean Jouye, Audibertj, Drieu, La Rochelle, George? Pëlqrson, R. de Reneville liront leurs poèmes.

Les Âlguasifot

A SON RETOUR DE ROUMANIE S. Em. LE CARDINAL TISSERANT

donne au « Figaro » ses impressions de voyage S. Em. le cardinal Tisserant, répondant à l'invitation des évêques roumains de rite byzantin, vient d'accomplir un voyage d'études en Roumanie; L'éminent prince de l'Eglise, secrétaire de la congrégation pour l'Eglise orientale, est rentré ces jours-ci à Rome et a bien voulu me donner par lettre, pour le Figaro, ses impressions, me taire quelques déclarations.

Le cardinal Tisserant, qu) était le second cardinal venant en Roumanie le premier avait été, après la guerre, le cardinal Dubois passa une quinzaine de jours en Roumanie et y fut accueilli tant par les autorités civiles que par la population avec" un empressement, une cordialité et une déférence qui le touchèrent beaucoup.

Bien^u'il ait eu l'intentJorn 'de voyager incognito, il trouva dès la frontière roumaine un wagon salon mis a sa disposition par le gouvernement pour la durée de son séjour. Quant aux évêques, tant latins que de rite oriental. qu'il rencontra, chez qui il se rendit, il admira leur zèle pastoral, la prospérité de leurs oeuvres et leur attachement au Saint-Siège. = || Esprit aussi grécis que^ eur^ux et cultivé,' cardinal ffissérâxrtî^ifttéres&a., aussi bien aux questions économiques et sociales qu'aux; questions purement religieuses. On en jugera par les impressions d'ensemble qu'il duigna m'en. voyer.

«Mon impression est que la floamanie est un pays onte et s'organise, lentement peut-être, parce qu'il n'a pas ,voulu admettre des concours étrangers intéressés, comme celui dq l'Angleterre et de l'Amérique. Les ri. chesses fondamentales de la Rounianie, minéraux et foréts, sont loin d'être exploitées au maximum, Mais l'ensemble d'usines métallurgiques et chimU ques de Baïa-Marc, par exemple, montre les possibilités d'un avenir prochain. Ce qui manque le plus, c'est la route, et, d'une façon générale, les moyens de transport, car on en est encore au chariot agricole traîné par deux petits chevaux, J*e p(iys a aussi une population insuffisante, au moins dans lq montagne, il résulte de cette circonstance que l'exploitation des "forêts coin*porte un gaspillage considérable de bois abandonnés! sur place, parce qu'ils ne valent pas ie prix du transport,

» L'Eglise roumaine catholique de rite byiantin, celle à laquelle je devais m'interesser ex professo, est incontesta. blement en ascension. Depuis qu'elle a été libérée de la domination hongroise, cette Eglise a réalisé des progrès considérables, soit dans son organisation, soit dans l'intensité de la vie chrétienne, Grâce: à des subsides importants donnés par S. S.. Pie XI dès le début de son pontifical, air vieux métropolite Suciû, des Instituts d'éducation secondaire ont,été créés ou développés, qui sont aujourd'hui extraordit\airement florissants. Un peu partout des églises nouvelles ont été construites ou sont en construction. Il reste néanmoins beaucoup à faire, soit matériellement, soit spirituellement c'est ce que je suis allé constater, 'af in de pouvoir donner un élan nouveau.

» J'ai trouvé chez S. M. le lioi et chez le président, S. Exe. M. Tatarescu, une compréhension très claire de la situation de l'Eglise roumaine, catholique de rite byzantin et une' sincère' bienveillance ri son endroit. Il y a bien, çà et

là, des dissidents fanatiques, mais je'

crois qu'il en a davantage qui sont philocathohques.

t> Inutile de -vous ajouter que dans tous-les milieux roumains, et chez les Roumains catholiques de Transylvanie aussi bien que dans l'ancien royaume, on a une grande affection pour la France. C'est d'autant plus frappant que sous la domination hongroise il n'a g avait aucun enseignement du françuis en Transylvanie. Depuis la guerre, beaucoup de ceux qui avaient terminé leurs études sous l'ancien régime ont appris à parler notre langue, et c'est une belle preuve de la sympathie unanime pour notre pays. » `

Le cardinal Tisserant a visité Lugoj, Bucarest, Brasov, Blaj surnommee « la petite Rome » Alba-Julin, BaiaMare, Oradea-Mare, Stana-de-Vale, Timisnara. II a présidé des offflces pontificaux de rite oriental et donné la bénédiction en langue roumaine, Il a vu de près toutes tes œuvres et institutions catholiques et admiré le dévouement des Assomptionnistes, des Franciscains, des Jésuites et des autres religieux qui accomplissent là-bas une oeuvre féconde. H a présidé une conférence épiscôpale des cinq évêques' roumjains" de. rite byzantin, Enfin, il a eu la délicate pensée de déposer une gerbede fleurs aux couleurs pontificales sur la-tombe du Soldat Inconnu, à Bucarest. Ajoutons qu'au cours de son séjour, le cardinal Tisserant a eu le plaisir de rencontrer en Roumanie, i son compatriote et ami M. Louis Marin, venu pour le congrès international d'anthropologie, dont il était le président. Ce voyage et ce séjour du cardinal Tisserant auront les plus heureux effets pour l'essor, spirituel de l'Eglise roumaine de rite byzantin.

Paul Lesourd.

l i m i ̃ ̃ i ̃ i u | .lui n. i j um.i^j .t..j .1 ^j^i.n.^iu UI- -'jj- n. •* •• .J. Àt 7 mi ii ̃mu

AUJOURD'HUI i

Deuils. ti= Heures Service pour te J repos: de râniôïdè M. Prouvé Drouot (Bost^ I llque- Sainte- Clbtllde). I

11 beures obsèques de M. Raymond I Inbona (Eglise de Salnt-CJoud).. I

llllllllllllllimtllM<IHHIII!ltHIIIMMHHIMMUUIIMttllllMm?Pkf(>< I

COURS I

A l'occasion de l'anniversaire de I la naissance de S. M. le Roi Carol II de Roumanie, un Té Deum sera chanté le samedi 16 octobre, à onze heures I trente, en l'église roumaine de la rue Jean-de-Beauvais. I

LL. AA. RR. l'Infant don Carlos et l'Infante Louise de Bourbon, née Prln- I cesse de France, sont rentrés à Séville après un exil de six ans. Ils ont été I accueillis à leur arrivée par le gouverneur de l'Andalousie et le maire de Séville, qui leur ont souhaité la bienvenue et ont offert des gerbes de fleurs à l'Infante Louise.

Leurs Altesses Royales ont passé quelques jours dans la capitale anda- louse et se sont rendues ensuite en leur domaine de Villamansèques, d

AMBASSADES t S. Exc. M. de'Egger Moellwald. ancien ministre d'Autriche à Paris, et j Mme de Egger Moellwald' sont arrivés i à Paris. Ils sont descendus au Ritz. { Parmi 'lès personnalités qui assistaient, mardi, à la matinée musicale ( donnée, par S. Bxc. l'ambassadeur de ,ïbgne en l'hôtel de l'irob.assft^'».=PWr i.i â ̃intendre la célèbre ^antatriçe Mm* Ban- ]-;

Jrowska, .eitons. *ft-- ïu\ J:-a?:j^

Mme G. Bonnet, marquise d'AncJigné, ,] vicomtesse iCuilùl, M'. FatiT Gautier, de ]'Institut; comtesse Elie de Gaqay, le commissuire gpnériile d'ADemagne et Mme Rup- pel. M.- 3. Sacljs, etc.

Le charge d'affaires de Roumanie à Lisbonne, M; Michel Çamaracheseo, a j offert dans les salons du pavillon du ̃ nouveau golf de Estoril- (Lisbonne) une brillante réception suivie d'un concert de « fado s très réussi. Très tard dans la soirée, les invités ont applaudi les i chansons nationales portugaises. Parmi les invités t i S. Exe. Je ministre d'Itnlie et Mme Ma- j ineli, S. Exe. le baron Ûswald Huyningcu Huene, ministre d'Allemagne; S. Exe. M. Kaiol J)ubic«-Pei)tlier, ministre de Pologne; mqrquise de t'.qquillu et, de, Vian», vicomte J et Vicomtesse Antonio" Asseca comte et com- tesse de Castéja, M. et Mme Rîcardq de Espi- { J rito Santo, vicomte et vicomtesse de Soverat, comtesse de Beroldingen, S. Exe. le ministre plénipotentiaire et Mme Francisco de Çalliei- ros c Menezes, M. et Mme Joao de Castro Pereira, etc.

M. Ignacio Rodriguez Alegre vient d'être nommé attaché à la légation de Cuba à Bruxelles.

Le lieutenant de vaisseau Guillibert de la Lauzière a pris ses fonctions auprès de l'attache naval à l'ambassade de France à Rome.

Mlle Monica Waterkeyn dont .le mariage avec le baron Arnault Harty de Pierrebourg vient d'être béni en l'église Notre-Dame de Passy.

(Studio de Paris.)

MONDE OFFICIEL

Les membres de la délégation polonaise venus pour visiter l'Exposition internationale sont arrivés à Paris, au Plaza-Athénée.

Cette délégation comprend le président de la ville de Varsovie, M. Starzynski, le vice-président de la ville de Varsovie, M. Julien Kulski, et le docteur Stanis Kirkor. ̃ V.

OANS LE MQ^Pe "̃̃-̃

Comme les années précédentes, une grande réception a clôturé les vacances que le comte et la comtesse Guy de Contaut-Biron passaient avec leur fils Louis à Navaillès, dans les BassesPyrénées.

Parmi les personnalités des environs qui s'étaient rendues à leur invitation Duehes.se de Cadaval, comtesse Orlowska, baron et baronne Jean d'Ariste, M. et Mme de' 13ethnianu, M.'et Mme Paul Aris, M. et Mme de Chovremont, M. et Mine Loubet, cpmte et comtesse de Navailles. comte et comtesse Jean de Naflaitlac, M. et Mme de Paul, baron et baronne de Havignan, M. et Mme de Souhy, M et Mme de 'fuite, M. et Mme de Vangelj docteur Verdenal, maire de Pau, et Mme Verdenal; M. et Mme Wright, comtesse de Lttiiî-ens-Castelet, Mme Mllcent, miss Philipps, Mme Ybarnégaray, Mme d'Andurain, comte Bernard de Gontaut-Biron, comtesse d'Astora, Mme Cinlia, Mme Drummond

Ccl il iode et uid swuy&zd d ̃ cuiurrtuiJ 4ajxc

FERMETURES BAROQUES Il

Une série de doubles crochets en cuir rigide et plat, piqués sellier, s' emboîte ii^ les uns, dans les autres,

pour fermer un manteau de sport, Ce même motif ferme également la ceinture.

Sur une jaquette de lainage noir strié finement de blanc, des

> ERRATUM 7

Une interversion de Iégen<je nous a fait omettre de dire que le manteau paru ci. contre, II y a deux jours, était de Cree4.

Mlle Claude Formery dont Je mariage avec M. Francis Ppstel-Vinay vient d'être célébré en l'église Saint.pierre ̃ du Gros-Caillou.

(Phat, Ooryt-)

Wolfi Mme Foster, Mmes Charles et Alfred de Làssence, M. et Mlle du Moulin de Labartbète, etc.

L'amiral, Mme et Mlle Cecil PiiT

cher viennent de rentrer à Paris, o4 lis séjourneront jusqu'au mois d'avril;

CERCLES ̃• ̃̃•

Les courses de Vianne (Lot-et-i Garonne) viennent d'avoir lieu avec leur succès habituel, par une magnifique., jour»

jjée.'jd'automne. ̃_ ,j v: 1

ù cÀprés'îa réunion, M. Marcel Èrévostl

de l'Académie française, et Mme Marcel Prévost ont donné une élégante réception dans leur beau château de- la Roche, Reconnu

Comtd, comlosse gt Mlle Jean de Nadaillac, Mme X. de Lussy, Mme Kœchlin (l'Andirau, Mme Vallel, Mme do Tauîia, Mme A, Talon, M. et Mme Védrines, Mme et Mlle Jean de Witt, Mme Teyssonnière de Gramont, M. et Mme Hulé, comte et comtesse Louis de Pour* laïcs, M. et Mme L. de Valiandé, Mme G. Boniias, baron et haïoime Pierre de Balz, iiciitenant-colonei et Mme de Vallavielle> baron et baronne M. de Meynard, marquise de Boéry, M. et Mme Le Roy-Dupré, Mme J. Curlier, Mme B, Albiges, M. et Mme lt: Castavide, M. et Mme G. Nègre, M. et Mme P. Labory, Mme Mouillae, M. et Mme Laubenlieinier. Mme de Yillemandy, Mme Yova-t novftch, M. et Mme R. Castres, Mme dit Vignaud, Mme et Mlle Estieu, capitaine et comtesse de Pqmpiguan, Miles Hubault, Castres, Honifas, Tardieu. Aniblard-Aunac JieutenMnt pq|onel Abrial, capitaine de Boéry, lieutenant de Nadaillac, MM. GuiIhot, de France, J. Amblard, C. Nismes, de Ulbiil, H. Lalouche, marquis de Hoquet maurel, comte de La Myre-Hory, M. du Plantier, efc.

Au scrutin de ballottage de samedi; ont été élus membres du Golfers' Club Piiiice Henri de Ligne, çomto Tony de Vibrayc, M. Jeau-Paul Alfassa, M. V. Mirai, princesse liuy de Faucigny-Lucinge, Mme Hubert Fabl'v, M. et Mme Robert Bétolaùd, Mme et Mlle Bqrel de Kinfeelln, eumte Hubert de Gauay, M. Max Barré, M- et Mme Boucbavci'. Mme du Hreil, Mme Georges Broeheton, M. Caldui, princusse Philippe de Caramau-ÇbiuKiV, M. et Mme J. Churpen* tier. M. J. de Clîefdebicn, M. et Mme Hubert Clément, M. Jacques Cerval, M. J.-G. De-f doux, M. Gérard Desouchcs, M. et Mnie Petrococbino, Mme Reiss, vicomte de Souza, -M. Boris Spetchiusky, M. et Mme J. Wiart, M. Stéphane Zarifi, M. et Mme Henri van de "Wàllo, marquise de Drée, M. Paul Uudey, M. Pierre Dudcy, M. lille de Rothschild, Mi René Fenwiek, M. René George, M. Charles Goidlmie, M. Louis de Graan", M. R. d'iîiclitlHil, M. Maurice Hutin, Mme Hai'old Kiiigsland. M. Raoul Helhrprincr, M, Louis Henrion, M. Roger Lecierc, M. Jacques Légliso, M. Lecoq-Vallon, Mine Legueu, M. P, Gautier de Bonneval, M. et Mme Guy Lc- moinc, M. et Mme Paul Muurioury,'M. Roger Picot. M. et Mme IL Watkins. M. Marcel • Boucher, député,

NAISSANChS

M. Marcel Carteron. avocat à Id cour, et madame, née'Huggins, ont le plaisir de faire part de la naissance df leur fils Eric. Paris, le 24 septembre, M. Xavier du Besset et madame. née Jordan, sont heureux de faire part de la naissance de leur fils Louis. Paris, 27 septembre. Le lieutenant Jean du Besset et madame, née Jordan, sont heureux de faire part de la naissance de leur fille Brigitte. Paris, 8 octobre. FIANÇAILLES

On annonce les fiançailles de. Mlle Nicole Gavoty et du capitaine Jacques Rouliot, du 2* génie.

On annonce les fiançailles de M. Gaston-Bernard Perronne avec Aille Marguerite Benoist. On annonce les fiançailles De Mlle Alice Robineau avec M. Jean-Jacques Guerin. MARIAGES

Dernièrement a été célébré en l'église Saint-Honoré d'Eylau, dans là plus stricte intimité, le mariage de Mlle Jacqueline-Marie Denizot, fille de M. Gaston Denizot, décédé, et de madame, née Magenties, avec M. Robert Cesbron Lavau, capitaine au 7° chasseurs, fils de M. J. Cesbron Lavau et de madame, née Dard.

La messe a été dite et la bénédiction nuptiale leur a été donnée par le chanoine Clamorgan, curé de Sainte-Marthe des Quatre-Chemins, qui leur a transmis la bénédiction que le Saint-Père avait daigné leur adresser par l'intermédiaire du cardinal Pacelli.

boutons représentant de petits chevaux sculptés dans l'ivoire sont maintenus au tissu par une petite bride en métal.

♦ Trois brides de cuir se glissent vérticaleinexii les unes dans les autres, après être passées au travers de larges boutonnières. La dernière de

ces brides se boutonne sur une boule de cuir. Cette fermeture originale a été remarquée sur un manteau de lainage, VU ET RETENU

Quelques bijoux de saison Un clip pour la blouse tête dc bouledogue anglais en diamant» avec* collier en rubis.

*(~ Sur une blouse Wootêo en laine verte, de petites pinces formées par des cailles dorées,' posées de biais, sur la fermeture.

Les témoins étaient, pour la mariée M> Pierre Denizot, son frère, et le R. P. Deryekère, Q. P., aumônier de l'Hospitalité du Rosaire ppurle marié: Mme de Nanteuil de li Noryille, sa tante, 9t M. Henri Cesbron Lavau, son oncle. En l'église Sainte.Marie des Bâtignolles, hier, a été célébré le mariage de Mlle Marie-Rose Brousmiche, fille de M. Paul Brousmiche, receveur des finances à Paris, officier de la Légion d'honneur, croix de guerre, et de madame, née Denis, avec M. Raymond le Maistre, fils de M. Pierre le Maistre, expert près la cour d'appel et le tribunat de la Seine, chevalier de la Légion d'hon- neur, et de madame, née PTnlippon. La bénédiction nuptiale a été donnée aux jeunes époux par le chanoine Matteudi, curé de Saint-François de Paule,, à Nice, ami de la famille de la mariée. Les témoins étaient, pour la mariée le capitaine de vaisseau Landriau, officier de la Légion d'honneur, croix de guerre, son oncle; et M. Henri Pichet, président de l'Union fédérale des mutilés, officier de la Légion d'honneur pour le marjé MM. Combe et-Maréchal, experts à la cour d'appel. Ces jours derniers étaient bénis par S. Exc. Mgr Rodié, évêque d'Ajaccio, en la cathédrale de Besançon, les deux mariages: De M: François Blanchard, diplômé des H. E. C., fils du général Blanchard,

coriTmlln4~O:t1a 7.tP.'P-idO"t j1(:' ma~¡¡,mé'; -`

~L ~ro~ts~ ~?~ 4J -L.G., y< ü

Mlle Marie O'Byrne

.'̃-̃' {Studio Ëeâugcrs-Y

née Bompard, avec Mlle Marie O'Byrne, fille du colonel O'Byrne et de madame, née du Cheyron du Pavillon.

Les témoins étaient, pour la mariée. Mme de Ciossellin et le colonel de Rostang, son oncle pour le marié M, Janssens, chef de service commercial aux Forges de la Providence de Réhon, et M. Louis Faucher.

Et de Mlle Solange Blanchard avec M. Marcel Rodié, lieutenant au 73° régi-

Mlle Solange Blanchard

(Studio Bcaugers.)

ment d'ertillerie, fils de M.- Rodié et de madame, née Coudret.

Les témoins étaient, pour la mariée i le général Guillaumat, médaillé niilitairej grand-croix de la Légion d'honneur, et Mme Jacques Bompard, sa tante; pour le marié le colonel Allémandet, commandant; l'artillerie de la VIe division, et le colonel Coudret, commandant le 34° régiment d'artillerie, son oncle. S. Exc: M. Rolarid-Gosselin, éyêt que de Versailles, a béni hier, en l'église Notre-Dame de l'Assomption, le mariage de Mlle Denise Vaucouleur, fille de M. Gustave Vaucouleur, industriel, officier de la Légion d'honneur, et de Mme G. Vaucouleur, avec M. Pierre HenryHaye, fils de M. G. Henry-Hayé, sénateur, maire de Versailles, conseiller général dé Seine-et-Oise, chevalier de la Légion d'honneur, croix de guerre, et de Mme Henry-Haye.

Les témoins de la mariée étaient le général de division René Serdét, commandeur de la Légion d'honneur, et M. Emile Philippe, industriel, chevalier de la Légion d'honneur, son parrain; ceux du marié M. le maréchal Pétain, grand-croix de la Légion d'honneur, croix de guerre, médaille militaire, et le général Pershing, grand-croix de la Légion d'honneur, médaille militaire.

La mariée était précédée de MM. Jean et Michel Cottarel..

• La, .jeune mariée portait une robe de satin blarie à grande ligne. Un diadème

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(Sludio Martin-l'OreUe.) Se fleurs retenai le long voile de tulle. Celle belle toilette était signée Maggy Rouff.

i Le mariage de Mlle Vanda Graziani/ fille du vice-roi d'Abyssinie, avec le comte Sergio Gualandi a été célébré hier à Addis-Abeba.

DEUILS

r- Les obsèques du vicomte Jean de La Barre de Nanteuil ont été célébrées mardi en -l'église de Lhommaizé (Vienne). L'absoute a été donnée par le curé de

la parois'sê. '̃̃ ̃

'̃LéMèuii- étûii- emiiût-psc-M: Hiigues dë: La Barre de Narrteuil, élève à' :ivEcole spéciale' militaire "Se- Saint-Cy-r, et M. Luc de La Barre de Nanteuil,. fils- du défunt'; le colonel de -La Barre de Nanteuil, le- vicomte Gabriel de La Barre de Nanteuil, ses frèrês; le comte de Beauchamp, le baron Christian de La Barre de Nanteuil, le comte de Vitton, le baron de Boutray, le comte M. Frochot et M. Joseph de Villeneuve, ses beaux*irères; du côté des dames, par la vicomtesse Jean de La Barre de Nanteuil, sa veuve; Mlles Cécile et Jeanne de La Barre de Nanteuil, ses filles; la baronne Christion-dé La Barre de Nanteuil, la baronne de Boutray et Mlle Marie-Thérèse de' La Barre de Nanteuil, ses soeurs ]a vicomtesse de La Barre de Nanteuil, la. vicomtesse Gabriel de La Barre de Nanteuil, comtesse René de Moucheron, la comtesse M. Frochot, Mme J. de Villeneuve, ta vicomtesse Jean de Beauchamp et la comtesse de' B-eauchanip, ses belles-sœurs*.

L'inhumation a eu lieu au cimetière de Lhommaizé dans, le caveau de famille.

r- On annonce la mort de Mme de Sorbier de Pougnàdoresse, née de Saintvis, pieusement1 décédée à Poitiers dans sa quatre-vingt-troisième année.

Elle était la mère et belle-mère de M. Pierre de Sorbier de Pougnadoresse, ministre plénipotentiaire, décédé, et de madame, née de Kélépowki; du comte et de la comtesse Charles Lecoiptrer du lieutenant-colonel et. de Mme Gaston Desvaulx, décédés; la grand'mère du comte Pierre Lecointre, du comte Jean Lecointre, du comte et de la comtesse .e Bertrand de Goullard d'Arsay, de Mlle Jeanne Desvaulx.

Nous apprenons ja mort de Mme Louis. Dubois, née L.ucie Marteau, épouse de M. Louis Dubois, ancien député de la Seine;et ancien ministre. Le service religieux aura lieu en l'église de Puteaux demain samedi 16 octobre, à dix heures précises. On annonce la mort du commandant Fleuriot de Langle, officier de la Légion d'honneur, survenue le 5 octobre à Paris. Les obsèques ont eu lieu à Iffendic (Ille-et-Vilaine). Cet avis C tient lieu de faire-part.

Nous apprenons la mort de M. Léon Lafarge, industriel, chevalier de la Légion d'honneur, décédé en son domicile à Angers. On nous prie d'annoncer la mort de M. Philippe, restaurateur,, 10, rue Daunou, survenue à Paris. Ses obsèques auront lieu aujourd'hui vendredi 15 octobre, à onze heures précises, .en 'l'église de la Madeleine où l'on se réunira. Cet avis tient lieu de faire-part. Nous apprenons la mort de M. Paul-Emile Tesnier. Ses obsèques ont eu lieu dans l'intimité.

Mme Jacques Hinstin et ses enfants, profondément touchés des nombreux témoignages de sympathie qu'ils ont reçus dans le grand deuil qui vient de les frapper, prient tous leurs amis de trouver ici l'expression de leurs remerciements émus. "'̃

On annonce la mort, à Pavie, il était hospitalisé depuis trois mois, du peintre Piero Marussig qui était l'un des représentants les plus appréciés de l'art moderne italien.

On annonce la mort: ;">. ̃'̃̃̃-̃ De M. Rollet, à Lyon.

Valfleury*

Nous accordons tous nos abonné» une réduction de 25 sur le tarif normal des avis de faire part" des NAISSANCES. FIANÇAILLES. MARIAGES. etc,


Les Chinois déclenchent une violente contre-offensive i dans le nord du Chansi

Londres. 14 octobre. On mande de

Nankin .,̃̃

Les troopes chinoises ont déclenché une importante contre-offensive dans le l nord du Chansi. Selon des informations i de source étrangère habituellement sûre, les Chinois progressent rapidement vers te Nord, sur trois colonnes partant respectivement de Ning-Wou, Yuan-Ping et Wou-Tai.

Simultanément, la huitième armée de marche harcèle tes derrières de l'armée japonaise.

Selon tes Chinois, !es Japonais se retireraient en déroute, ayant perdu, après un dur engagement à Hsing Kéou, au sud de Yuan-Ping, trois mille hommes et vingt-deux tanks. Les avant-gardes chinoises auraient atteint So-Hsien, au nord coup de main

sur Chapeï

Shanghaï, 14 octobre. La grande offensive japonaise déclenchée hier matin ne s'est pas poprsuivie aujourd'hui. Seules des escarmouches locales et des bombardements d'artillerie ont eu lieu sur les divers fronts.

L'aviation japonaise a effectué ce matin un nouveau raid, de bombardement sur Shanghaï. Une bombe est tombée sur MISS DANEMARK

Mlle Tove Ami, âgée de dix-huit ans, représentera le Danemark à la compé- tition qui se tiendra prochainement en Tunisie pour l'élection de Mise

Univers.

»:

SUITES DE LA PREMIERE PAGE LES DELIBERATIONS

DU CONSEIL DES MINISTRES

Dans, cène note adressée, dès hier, an Foreign Office, nom prenons acte simplement de l'accord intervenu sur la procédure qui sera observée au Comité de non-intervention et réserve la liberté d'action de la France dans le cas aucun résultat ne serait acquis, cette fois encore, après Ta réunion dndit comité.

Cette restriction est conforme d'ailleurs à l'entente diplomatique de la France et de la Grande-Bretagne qui furent convenu d'envitager un changement de leur politique commune dans l'hypothèse d'un nouvel échec du Comité de non-intervention. Il y a pourtant lieu de remarquer que le Foreign Office n'a pas, jusqu'ici, prévu de mesure précise pour redresser l'équilibre entre les avantages dont bénéficient, en Espagne, les gouvernementaux et tes nationalistes.

Les chancelleries sont en pleines négociations, demain lord Plymoulh présidera la séance d'ouverture du comité de non-intervention.

Edouard de Vorney. VERS UNE EXPOSITION NATIONALE ?

Si l'Exposition se survit en 1938, elle, devra donc se contenter -d'une étiquette plus modeste il faudra se résoudre à ce qu'elle ne soit que « nationale ». Mais une fois les pavillons étrangers démolis et remplacés par des plantations hâtives et des jardins improvisés, quelle figure fera-t-eue ? La facture 400 millions Pour ce programme tronqué, des sommes considérables seront néanmoins nécessaires. Des prévisions ont été étudiées,, des devis ont été établis. Selon des calculs plutôt optimistes, il faudrait 400 millions.

On comprend que le gouvernement hésite à faire ouvrir par les Chambrés un tel crédit, alors que les finances publiques sont si obérées, et que l'Exposition a déjà coûté tant d'ar-

gent ̃̃̃•. 1

Les, amis du ministre du commercé ` ne cachent pas que l'idée d'adresser une telle demande au Parlement ne j sourit que médiocrement à M. Chap- sal. Et il est facile de deviner lçs 1 raisons pour lesquelles M. Georges l Bonnet se montre peu enthousiaste lorsque l'on parle de la coûteuse « reconduction ». 1

LES PILOTES CIVïïS

NE -LES:: SUFFIS AMMENT T~ ASSURES I

NE SONT PAS SUFFISAMMENT ASSURES

Les parachutistes versent eus aussi une certaine somme pour chaque descente (à l'heure actuelle 100: francs). En cas, d'accident, l'indemnité varie e suivant le taux de la rémunération an- nuelle (différent si le taux est supérieur à 25.000 francs on plus petit que 25.000 ̃francs).

A-ces assurances vient s'ajouter celle .obligatoire, prévue par la loi de 1898 sur les accidents du travail, mais dont te rendement est infiniment réduit. Le rendement des assurances est nettement insuffisant

La principale critique de ces dispositions apparaît dans le mauvais rendement actuel des assurances ainsi con-tractées. Le fonds de prévoyance: -n'accorde qu'une indemnité de 100.000 francs qui se révèle nettement insuffisante. Encore faut-il noter que du fait des décrets-lois Laval un prélèvement de 10 0/0 intervient fort malencontreusement d'ailleurs qui réduit cette indemnité à 90.000 francs.

Les accidentés n'ont droit, d'autre part, à cette indemnité que s'ils sont frappés dans l'exercice de leur métier. S'il leur arrive d'être accidentés en dehors de .leur profession l'assurance ne joue pas.

Pour remédier à cet inconvénient la ) Compagnie Air-France a pris l'initia• tivè d'assurer son personnel, par une assurance complémentaire de 75.000 francs.

Il ressort toutefois que pilotes de lignes et pilotes d'essais qui exercent un

( un tramway de la. concession înternatioi nale. H y aurait, de nombreux morts et

j blessés.

) D'autre part, au cours d'un duel d'arI tillcrie sur le frontShanghai, un obus

japonais est tombé sur le pont du navire

| amiral américain « Augusta et a blessé

un marin.

Des éclats d'obus sont tombés sur deux navires de guerre britanniques ancrés dans le Wang-Poo les dégâts matériels sont peu importants.

Aux dernières nouvelles, les troupes chinoises, préludant à une offensive générale sur tout le front de Shanghai, ont réussi un important coup de main dans.

le secteur de Chapei. enfonçant les posi- j

Uons japonaises de Darroch Road et at- teignant Xorth-Sue-Chuen Road. immédiatement au sud de Hong-Kew Park. Après l'attaque

du convoi britannique

Le rapport établi par le consul général de Grande-Bretagne à Shanghai sur le bombardement par des avions japonais, des voitures appartenant à l'ambassade d'Angleterre, sur la route de Nankin à Shanghaï, est parvenu à1 Londres.

Le rapport précise que la route suivie par les Voitures avait été notifiée aux autorités militaires japonaises et que les voitures ne s'en sont pas écar-

tées.

Une protestation de la Chine auprès de la S. D. N.

Genève, 14 octobre. La délégation chinoise vient de communiquer à la Société" des nations un rapport contenant de nouvelles accusations formulées contre tes Japonais. Ces derniers sont accusés de bombarder -des villes ouvertes, d'utiliser des gaz délétères et des balles dUm-dura, depuis .le 3 octobre, sur le front de Shanghaï.

Une déclaration du Dr Kung Hong-Kong, 14 octobre. Le docteur Kung, ministre chinois des finances, est arrivé aujourd'hui à Hong-Kong par la voie des airs, venant des îles Philippines. '̃̃̃ Interrogé par les journalistes. le docteur Kung a fait la courte déclaration suivante

« La Chine possède une puissance étonnante de résistance. A l'heure actuelle, elle ne combat pas pour ellemême, mais bien pour la paix mondiale qui se ressentira certainement si nous sommes battus par les Japonais. » La Chine ne demande pas mieux que de mettre fin aux hostilités actuelles, mats elle n'acceptera jamais de concéder au Japon une parcelle quelconque de son territoire. »

Un informateur impartial peut écrire sans hésiter qu'actuellement, sur trente personnalités appelées à donner leur. avis sur la question, un tiers seulement se montre favorable à la théorie de la prolongation. Les deux autres tiers qualifient sévèrement le. projet -qui leur semble une dangereuse rêverie.

Certains réalistes se demandent où l'Exposition prolongée, 1' « exposition nationale » l'an prochain trouverait une clientèle suffisamment nombreuse, et suffisamment empressée. Plutôt, disent-ils, que de poursuivre une chimérique, résurrection, faisons d'urgence tout ce qui est nécessaire pour qu'au printemps prochain soient prêtes plusieurs manifestations qui peuvent contribuer à l'éclat (Je la « Saison de Paris 1938 » inaugurations des' deux musées d'art moderne du quai de Tokio, des iriusées nouveaux ou transformés du Trocadéiro, et de cette salle dès fêtes souterraine qui devait être cette. anïjée l'une des 'merveilles de l'Exposition. Déplorons rque cette dernière n'ait été -prête et. belle que si peu de temps avant sa fin mais ne nous entêtons pas à réparer l'irréparable et,.soyons exacts une autre fois l

métier difficile et plein de risques, ne e sont pas actuellement couverts par des assurances en rapport avec les risques encourus et qui ne: leur ^permettent, de vivre que péniblement. ̃ ̃

Retraite et assurance

Pour l'avenir on songerait à donner plus de tranquillité au personnel navigant en créant une assurance combinée avec la retraite, dont la mise. à l'étude est très avancée.̃̃

Il ne doit pas tarder entrer en application. Comme pour les antres caisses de retraite celle du personnel navigant sera alimentée par les cotisations des employeurs et des employés pendant un certain laps de temps à déterminer. Lés intéressés toucheraient leur retraite à compter d'un âge déterminé lui aussi. Cètte retraite assurerait aux vétérans de l'air une vieillesse honorable.

Reste la question d'association à cette retraite de l'assurance, laquelle jouerait dans le cas» d'un pilote accidenté après un certain nombre d'années de pratique. L'idée est intéressante, car elle permettrait dé mettre à la disposition des vaillants pilotes civils, une indemnité sûre et d'une certaine importance les mettant à l'abri du besoin.

H est inconcevable, en effet, que des hommes qui ont couru les plus grands risques dans l'exercice d'une profession noble entre toutes ne soient pas largement assurés de vivre convenablement après avoir donné ainsi que l'écrivait notre correspondant, « plùs que leur vie à l'aviation ».

André ReicheL

UNE CAMPAGNE TENDANCIEUSE

La presse romaine dénonce de prétendus manquements à la politique de non-intervention CDe notre corresuoàa.caé,aa-fc ^ax-ticialier. :pa,:r téléphone^

Rome, t4 octobre. Les décisions du cabinet anglais au sujet des affaires d'Espagne sont accueillies à:Rome avec une satisfaction qui s'accompagne de | quelque réserve. On se demande en effet jusqu'à quel point le gouvernement de Londres, dont le point de vue modérateur triomphe pour le moment, ue sera pas, en fin de compte, obligé de se rendre aux pressions combinées de la France et de sa propre opposition parle- mentaire au cas où les conclusions -du Comité de non-intervention ne seraient pas entièrement conformes aux voeux britanniques.

Encore Minorqae

L'éventualité de la réouverture de la frontière pyrénéenne ne parait pas, il est vrai. provoquer de préoccupations excessives pour la bonne raison qu'on n'y croit généralement pas. D'autre part on fait connaître que l'Italie est prête à riposter par l'envoi immédiat d'une centaine de mille hommes en Espagne: et cette perspective apparaît comme 'un antidote suffisant aux velléités belliqueuses d'une partie de l'opinion française. En revanche, la question de Miqorque reste au premier plan des inquiétudes italiennes. Les journaux reviennent encore sur ce sujet en déclarant qu'une occupation de l'île constituerait un attentat intolérable à l'intégrité de l'Espagne. M. Gayda s'adresse particulièrement à l'Angleterre eu faisant remarquer qu'il s'agirait d'une infraction caractérisée aux engagements résultant du gentlctnen's agreement. Il est, d'ailleurs, curieux que la presse fasciste, si pointilleuse sur la souveraineté espagnole s'agit, des faits et gestes de la France et de l'Angleterre, persiste à vouloir; ignorer l'occupation italienne de Majorque par des bataillons de chemises noires et par des unités aéronautiques qui comportent à l'heure actuelle plus dé deux cents appareils. Sur ce point, la fiction de la non-intervention joue à plein pal opposition à la réalité stratégique et militaire. et l'on étonnerait beaucoup l'Italien de la rue si on lui LE COMTE GRANDI réclamera la reconnaissance de belligérance

(Suite de ta première, page.)

En fin d'après-midi, M. Eden a reçu le comte Grandi, ambassadeur d'Italie. Le '.juvcxiii. nt italien ne fait aucune objection au principe d'imposer une date limite anx travaux du Comité. Au contraire, il surenchérit et se montre de plus en plus dispose à aboutir à une solution rapide, mais à condition que les autres prob.tmes concernant l'Espagne, notamment la reconnaissance de la belligérance, soient examinés en même

temps.

Cn a ce soir l'impression à Londres que l'Italie cherchera à limiter, les négociations entre les puissances qui lui paraissent las plus intéressées, s'efforvant ainsi de faire renaître à l'ombre du Comité de non-intervention les princi pes de la politir, du Pacte à (Quatre. Les milieux responsables anglais font preuve de peu d'optiniLme sur les résultats que pourront donner les prochaines séances du Comité de non-intepvenlion, mais cette procédure leur parait indispensable à suiwe, car elle va permett. d'une part d'éclairer l'opinion publique anglaise sur les réels dangers de la situation en Espagne et d'autre part de faciliter les conversations franco-britanniques sur le seul problème qui importe, la sécurité des routes méditerranéennes, auquel on ne peut trouver de solut4.on heureuse tant que lus échanges de vues se poursuivent dans Nombre.

Gérard Bontellean.'

Une affaire d'escroquerie émeut la Belgique

Bruxelles, 14 octobre. (De notre cor- respondant particulier, par téléphone.) Parmi tes procès à caractère politicofinancier, dont les débats occupent actuellement l'opinion publique belge, celui de M. Van Cauwelaert, ministre d'Etàt et ex-bourgmestre d'Anvers, contre M. Degrelle, cède le pas à l'affaire Barrnàt dont les débats ont commencé ce matin devant la 20' chambre correctionnelle de Bruxelles.

Julius Barrnat, dont la nationalité est m'ai "'définie,' arriva en Belgique à un moment où la crise allait éprouver gravement certains organismes financiers. TI parvint en peu de temps à se rendre maître, de la banque "Goldzhiér et Penzo et" fonda plus tard une autre banque. Mis en rapport avec la direction de la Banque nationale, Barma obtint– bien qu'il fût repris de justice, condamné en Allemagne pour escroqueries d'importants crédits qui furent renouvelés, et étendus jusqu'au jour où, après avoir tiré des traites sur des personnages imaginaires, il fut obligé, devant un passif impressionnant, de fermer ses guichets.

L'opinion publique s'émut de certaines campagnes de presse qui assuraient que le financier avait bénéficié de complaisances coupables de ia part de politiciens et de personnalités dirigeantes de l'institut 1 el.;e d'émission dont M. Van Zeeland était à l'époque vice-gouverneur. Non seulement M. Léon Degrellc mena campagne dans l'organe du parti rexiste, mais un journal .catholique, « La Libre Belgique », et l'hebdomadaire bruxellois « Cassandre », publièrent des documents troublants. Julius Barmat, qui ce matin ne s'était pas présenté à l'audience, demanda une remise, sur la foi d'un certificat médical.

Le ministère public s'y opposa. L'audition des témoins fut, à la demande de' la défense, renvoyée à huitaine. Les plaidoiries n'auront pas lieu avant le mois prochain. Il est probable que l'affaire n'apportera que peu de surprise, mr.\» elle pourra servir .dant quelque temps

encore à une certaine agitation contre

le1 gouvernement. V. P.

««» ̃ <

Le' duc et la duchesse de Windsor r ont quitté Berlin

Bérlin,it octobre. Le duc de Windsor'.et la duchesse se sont rendus au- jburd'hui à Aarinhall où ils ont été reçus par le général Gœrîng, grand veneur du Heich.

Le mauvais temps persistant. a contraint le duc à renoncer à la visite prévue' des ateliers d'artisans dans le Brunswick. Il a employé sa journée à Berlin 'à, visiter certains' musées et notamment ''arsenal.

Le duc c la duchesse sont partis ce soir dans un wagon spécial accroché au Nord-Express- .pour Wuppertal et Essen, où ils visiteront notamment les usines Krupp. Ils se rendront de à Munich. Après un bref séjour dans la capitale du parti nasi', .ils se rendront à'Obersalsberç, où ils seront reçus par le lîhancehcj: Hitler.

disait que la présence en Espagne de 60.000 légionnaires fascistes avec douze généraux dé l'armée active, ainsi que j l'installation de .bases militaires diins .] les îles ou au Maroc, ;sont considérées à l'étranger comme autant de violations flagrant.es aux accords de neutralité. La fable des six sous-marins A cet égard on relève aujourd'hui dans ta presse romaine une nouvelle tenta- tive audacieuse de donner le change. Tous tes journaux ont publié urçe note reprenant la fable de la livraison de six sous-marins français au gouvernement de Valence. Les navires sont, pa- ra itril, apprêtés à Brest où des équipa- ges communistes espagnols auraient été mis au courant de la manœuvre par des spécialistes français. Ceux-ci conduiraient prochainement les sous-marius à Carthugène les matelots rouges déjà entraînés ont été envoyés par chemin «le fer en attendant la livraison sur place de leurs bâtiments par les soins des officiers et des matelots français.

« L'éloge du soldat roumain n'est plus à faire »,

déclare le général Gamelin Bucarest, 14 ocfobre. L'inauguration du monument aux trois héros et martyrs roumains Horia, Closca et Crisan, a été l'occasion d'une imposante, fête natipnale à Alha-Julia, fête à laquelle ont participé le roi Carol II, le prince hëril'er Michel, le généra! Gamelin et tous les membres du gouvernement. A ta fin des manoeuvres qui se sont déroulées en Transylvanie, le général Gamelin a fait à la» presse des déclarations très élûgieuses sur t'armée roumaine.

Il a déclaré textuellement

« L'éloge du soldat roumain u'est plus à faire. Son endurance est hors de pair et il. montre sa bravoure sur le champ de bataille sous la conduite d'officiers de troupes dignes de lui.

» On a pu constater à nouveau, au cours des manœuvres, ta faveur et la technique des officiers d'état-major qui, sous la direction éclairée de mon camarade Sichitiu, se sont montrés, .dans tops les domaines, à la hauteur de leur tâche, j UN DISCOURS

de M. Neville Chamberlain à Manchester

Manchester 14' octobre. M. Neville Chamberlain a prononcé ce soir, à Manchester, l'Association des Chambres de commerce britanniques avait organisé un banquet en son honneur, un discours principalement consacré aux questions «nduatrielles, mais dans lequel il a également fait quelques allusions à la politique extérieure.

Le premier ministre a notamment déclaré « Si nous sommes attaqués, nous saurons comment nous défendre, ainsi l, que nous l'avons fait dans le passé. » Notre plus grand désir, en particulier, est de voir se terminer ces conflits

qui, en Espagne et en Extrême-Orient,

omt i,en, ,ESP,:agne." eteP.E~tro, tant deJ

ont cause et causent encore tant de

souffrances et de misères. a

Actualités internationales

ALLEMAGNE. Prenant préteste d'une exposition d'art à Prague, où figureraient des caricatures d'un certain nombre dé personnalités du Troisième Reich, la presse allemande déclenche une nouvelle campagne contre la Tchécoslovaquie. ̃ ̃ •.̃ ̃ BELGIQUE: l'acceptation du gouvernement' belge relative à' l'àrganisatiafl de la conférence du Pacifique, sera rendue officielle dès que seront connues les reponses:rle 'Rome, de Tokio et lés précisions supplémentaires demandées à Londres et à Washington sur les conditions et la portée de cette con-

férence.

GRAJWE-BRETAGy_E. Dans an article de l'hebdomadaire d'extrèmegixuche, T-he Tribune, sjStaffard Cripps

expo-se que, malgré sa' nomination à

l'exécutif du parti travailliste, il, n'a pas changé d'opinion sur la nécessité de constituer en Angleterre un front uni des partis de gauche.

On apprend, au quartier général' de l'armée da Salut, que te « Cri de -guerre », organe du mouvement, a été interdit par les autorités allemandes, qui ont refusé de renouveler le permis de publication pour cette année.

GRECE. Le ministre français des pensions, accompagné de Mme Rivière, de IVf. Espiard, directeur de Hpn cabinet de l'intendant Vineensini, directeur des sépultures militaires, est arrivé hier à Athènes par le SimpIon-ExpreSG. HOXGRIE. Le président du conseil a reçu aujourd'hui l'ancien ministre français, .y. Paul Reynaud. Cette visite a duré près d'une heure. Demain,

;• CAMOUFLAGE

En Chine du Nord, les fantassins japonais utilisent un camouflage de paille pour se dissimuler aux aviateurs ennemis.

Ce « roman chez la portière > a déjà fait il y a quelques jours l'objet d'un j démenti officiel de notre ministère de la Marine. Cela ne l'empêche pas de reparaître aujourd'hui, agrémenté <\e nouveaux détails inédits. MM. Campiiichi, Chautemps et même le Président Lebrun sont mis eu cause ainsi que de nombreux parlementaire!! français parmi lesquels le député Jacques Duclos, comme étant intervenus les, uns et, les autres contre le projet inuqinaire de ces"•ioji de submersibles français r t'Espagne. Le plus curieux c'est "ue cette infr/.r, 'ion est datée scion le-, journaux de Vienne (An! Irfoc), tic Berlin ju de Paris, alors que sa rédaction eo termes exactement identiques et le souci qui a présidé à l.i mettre partout en bonne place, ivvèle son origine offi- cielle. Il s'agit manifestement d'une manœuvre cousue de fil blanc destinée à égarer l'opinion en ce qui concerne l'attitude de la France et les responsabilités réelles d'une rupture possible de la non-intervention.

Madeleine-R. Angles.

LA GUERRE CIVILE EN ESPAGNE `

600 obus sur Madrid

Bagonne, 14 octobre. Les batteries nationalistes d'Usera et de la Cité Universitaire opt de nouveau bombardé cette nuit Je centre et le quartier est de lai capitale. 600 obus sont tombés sur la ville, faisant de nombreuses victimes. Suivant le communiqué gouvernemental, 600 personnes auraient' été tuées.

Raids aériens

sur Barcelone et sur Valence 'Bayonne, 14 octobre. L'aviation nationaliste a bombardé aujourd'hui Barcelone, dit déjà 50 morts' ont été retirés des décombres.

D'autre part, 40 bombes ont été jetées sur Valence, faisant 10 morts et 20 bles-

sés..

Les opérations militaires

L~s P -ions militaires

Bàyonne, 14 octobre. La lutte reprend avec intensité sur lé front d'Aragon, où semble se préparer une offensive nationaliste. Une violente attaque gouvernementale a' été repoussée aujourd'hui au sud-est de Saragosse. Sur le front des Asturies., les gouvernementaux annoncent un nouveau repji. au sud-ouest d'Arrcondas, après une résistance désespérée.

Nouveau débarquement d'Italiens à Cadix (?)

Londrès, 14 octobre. Suivant un message de Gibraltar reçu par l'Agence de presse espagnole à Londres, un contingent de 6.000 hommes de troupes italiens aurait débarqué à Cadix les et 10 octobre. Ces troupes auraient immédiatement été transportées par camions à Séville, tous les hôtels regorgeraient d'officiers italiens.

Paul eynaud fera une conférence

sur « La France devant te monde e ». Pour avoir publie une étude sociologique sur la situation des ouvriers agricoles hongrois, jugée tendancieuse par les défenseur de la. grande propriété, l'écrivain: hongrois Geia Feja a, été condamné par le tribunal de Budapest à cinq mois de prison. ITALIE. Le tribunal spécial 1 pour la défense de l'Etat a jugé hier, t à Rome, un groupe de dix-sept individus accusés de propagande communiste. Ils ont été candamnés tous à la peine de réclusion, allant d'un an et demi à dixhuil. ans,

-*• On publie à Rome le communiqué officiel suivant sur les opérations qui viennent de se dérouler en Ethiopie « D'importants groupes de pillards ont attaqué pat surprise certaines de nos pe- tites garnisons isolées de la partie cen.

traie du haut plateau éthiopien,, pendant

la dernière période de la saison des pluies. La réaction prompte et efficace de nos valeureuses troupes coloniales a rétabli partout la situation et a ramené les populations à leurs paisibles occupations en les débarrassant du brigan-

dage. »

PA YS-BAS. La Cour permanente

de La Haye se réunira lundi prochain

pour examiner le différend survenu entre la Belgique et l'Espagne, à la suite de la mort du baron' Jacques de Borçhgrave, assassiné à Madrid dans des circonstances restées mystérieuses. U. R. S. S. Vingt personnes en.viron ont été, au cours de ces. dernières vingt-quatre heures, condamnées à la peine de mort sur divers points du ter. ritoire russe.

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Dernière Heure

~] Théâtrale F

I

AU THEATRE DE L'ŒUVRE Les Chevaliers

de la Table ronde pièce en trois actes

de M. Jean Cocteau

M. Jean Cocteau fait ta chasse aux fausses apparences, et c'est à coups de masques et de déguisements. Tel le donneur qui croit s'éveiller parce qu'il commence un autre rêve, le poète •masqué s'imagine être lui-même quand il endosse un nouvel habit. Il n'en est rien, heureusement, car. nous serions très déçus, si M. Jean Cocteau abandonnait sa mission de faiseur de, tours poétiques pour devenir mora- liste.

Au château du roi Artus, l'enchan-

teur Merlin a suscité un faux neveu du roi et caché le vrai Gauvain dans la' tour d'un château. Voilà bien ta puissance des artifices ce faux. Gau- j vain est préféré au vrai et c'est lui

qui mène tout. Mats Galaad, le che-

valier Blancharmure, interviendra pour brouiller te jeu de Merlin et re- _1 mettre en place tes personnes réelles. C'est ta déroute des faux-semblants. Ainsi, le roi Artus apprendra que son épouse le trompait depuis dix-huit arts avec Lancelot. Les coupables en mour- ront, mais on leur fera cette belle orai- son funèbre qu'il vaut mieux de vrais morts, à une fausse vie. Il y a dans ces trois actes te vieilleur et le pire. Tantôt on croirait assister à un rendez-vous d'une sec- tion de cagoulards et tantôt on trouve de vrais morceaux de poésie incrustés dans la pièce. CeHe-ci n'est point mal jouée par des artistes que l'on devine possédés par cette aventure avuncutaire. M. Jean Marais, en particulier, est tour à tour un faux et un vrai neveu excellent. MM. Lucien Pascal, Rollin, Viiold, Mmes Blanchette Brunoy et S/Iorène se donnent de tout leur cœur et M. Samson Fainsilber fait un roi des Bretons très vraisemblable. ['̃̃̃: 3. C.

-r' r': ni MWm

LE SEJOUR

W M. SrQYADINOyiTCJf ALOMRES

Londres, 14 octobre. Au sujet de l'entretien que M. Sloyadinovitch a eu ce matin avec M'. Eden, on se borne à indiquer, dans tes milieux intéressés, qu'il "a du pour objet de procéder en commun à l'examen de. tous les problèmes internationaux qui se posent à l'heure actuelle.

La situation en Méditerranée semble avoir particulièrement retenu l?attentiop des deux ministres, qui se seraient également longuement entretenus des relations de la Petite Entente avec la Hongrie.

r~LES THES DU CLARIDGE–n

I Rendez-val» de I'élésahcç

Tous les jours de 5 à 1. heures.

Avec, le concours de l'Orchestre Leeni

I PRIX FIXE 12 francs ;• (Pâtisserie et service nnmpri.rt I Le prochain Conseil des ministres examinera les revendications des fonctionnaires

A la fin du conseil des ministres d'hier, M. Georges Bonnet exposa à ses collègues la situation financière, mais comme il se faisait tard on décida de reporter au prochain conseil, qui aura lieu mardi, c'est à dire après le scrutin de ballottage des élections cantonales, Pexamçn des revendications dès fonctionnaires et des répercussions budgétaires dp rajustement des- pensions des grands invalides pi retraités. La délibération ministérielle sera entièrement consacrée à ces problèmes susceptibles d'influer beaucoup sur la situation politique.

A nos lecteurs

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1 abonnés

L'affranchissement de jour-

naux «.isolés » a été porté de 2

à 10 centimes. ^2]

Nous informons nos lecteurs

et abonnés qu'il ne sera plus te-

nu compte des demandes de nu-

méros qui ne seront pas accom-

pagnées de 0,50 .par exemplaire. < i i

CONGRES DU BLE v s

DE SEINE ET OISE

A L'EXPOSITION L

Le mercredi 13 octobre 1937, s'est ténu, au pavillon de J'Ile de France, à l'i.xpusit.dii, e cungreh régional du blé, en Seine-et-Oise. Ce congres avait été organise par la société d'agriculture et des Arts dp Seine-et-Oise, dont M- Ménager, ingénieur-agronome, est le président, 'avec, le concours de la Chambre d'agriculture, dont AI. Lucas, ingénieur agronome, est le président, cl de la Fédération des coopératives de blé, présidée par hl. Cafl'in, conseiller.général.

M. le professeur Schribaux, membra de l'Institut, ancien président de l'académie d'agriculture, avait bien voulu accepter la présidence de ce congrès. Après uu discours de M. Ménager, souhaitant la bienvenue aux congressistes, M. Lucas, président de la chambre d'agriculture et M. Caffin, conseiller général, ont pris la parole M. Le Guelmel, ingénieur agronome, professeur d'agriculture, a fait ensuite une conférence sur les variétés de blé à essayer et à adopter dans le département, en vue d'obtenir un rendement élevé, une résistance au froid, à l'eci ;nidage et aux maladies cryptogamiques et une bonne valeur boulangère. M. Schribaux a pris ensuite ta parole pour conclure et a prononce une allocution, dans laquelle il à vivement félicité le conférencier puis il a indiqué quelle devait être l'orientation à donner aux rpfhpr-hi's des M'ieninnneurs île blé et à la multiplication des variétés méritantes.

M. Chaimetle, secrétaire général, a çusuite proclamé les noms des lauréats du pon.cou.rji du blé. La réunion s'est terminée par une visite du centre rural.

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9 rue de! Pyramides (Fermé le lundi I

L'autocar Dijon-Paris s'écrase contre un arbre TROIS MORTS, HUIT BLESSES L'accident est dû à une rupture de direction

Dijon, 14 octobre. L'autocar du service Dijon-Paris, qui avait quitté Dijon à 12 heures 45, s est écrasé contre un arbre, cet après-midi; vers 14 heures, un peu avant VitteaUx, la suite d'une rupture de direction.

L'accident a fait trois morts M. et Mme Lévêque, de Vitteaux, âgé de 77 et 70 ans, et Mme Charles Boisseaux, 70 ans, qui demeurait 12. rue de Cotte, » · Paris. ̃̃•• Les blessés sont au nombre de huit. Ce sont Mlle Marguerite Erny, avenue Victor-Hugo, à Dijon, sérieusement atteinte sa mère, Mme Maria Erny, âgée de 70 ans. qui est dans un état très grave; M. Maxime Sauvignon, 36 ans, 3, rue des Lombards, à Auxerre, qui a la colonne vertébrale brisée; M. Louis Durin, le chauffeur de l'autocar. 37 ans, 6, rue dés Ecoles, à Paris: un Chinois, M. Min'Che Nhen, 25 ans, demeurant à Jonzac (Charente) M. Charles Bois- seaux, 70 aiis, qui a une jambe fracturée; Mme Michel Auguste, 41. rue Lafayette,' à Paris; Mlle Denise Theurei, 17 ans, rue de,la Reynière, à Paris.

:N~,

LES ENFANTS ET LES JEUX Les enfants bien portants doivent jouer, si votre fils n'a pas de goût pour les jeux de son âge c'est probablement qu'il est fatigué, surmené et un peu anémié. Un bon conseil, faites-lui donc beaucoup de ces plats et entremets sucrés qu il aime tant, ils constituent une nourriture à la fois peu coûteuse, et très nourrissante qui aura vite fait de le fortifier et de le remettre dans son état normal.

Emeraudes et Brillants

MM. Yves Roué, joailliers experts près les Compagnies d'assurances, sont acquéreurs de brillants et d'émeraudes, 61, boulevard Malïtherbes (Saint-Augustin).


LESELECTIONS

CANTONALES

LE DEUXIEME TOUR Questiop de nuances

ï.c iriiaistère de l'Intérieur communique la note suivante

A l'issue du premier tour de l'élection cantonale, le ministère de l'Intérieur a publié une statistique donnant pour chaque parti le nombre des sièges obtenus par ses candidats. I

Des doutes ayant été, émis sur I'exac-'titude des indications contenues dans cette statistique, le ministère de l'Intérieur a prié les préfets de lui préciser la nuance politique des élus dont l'éti-. quitté était contestée.

Les nouveaux renseignements qdres- sée permettent de confirmer l'entière exactitude des indications précédemment fournies.

Si certains partis revendiquent des candidats compte leur appartenant, il y a lieu d'observer que ceux-ci ne se sont pas réclamés de ces formations et ont adopté publiquement soit dans leur profession de foi, soit dans leur bulletin, la nuance qui correspond à celle qui est entrée en ligne de compte pour l'établissement de la statistique.

Statistiques officielles `

Le ministère de l'Intérieur fait suivre cette note de la réédition de statistiques déjà publiées dans le Populaire du matin. Elles présentent les S.F.I.O. comme réunissant le plus grand nombre de voix Ils remporteraient sur les radieaux de 48.595/ .1

Les partis modérés sont morcelés, en outre, en nombreuses fractions. Enfin les radicaux ne sont pas distingués en radicaux de front populaire et radicaux purs et simples.

M. DORMOY

DANS LES COULOIRS

DE CHAMBRE

M. Marx Dormoy a paru, bier, dans ïes vouloirs de la Chambre, s'esquisse «ne timide reprise des bavardages politiques.

Le ministre de l'Intérieur commente avec satisfaction les premiers résultats de la consultation électorale. Il souligne particulièrement le succès de son parti, qui aurait battu, dimanche, le feeord des suffrages recueillis.

Par ailleurs, M. Dormoy reconnaît que <Jans de nombreux cantons, les électeurs modérés ont donné leurs voix aux candidats radicaux pour barrer la route au révolutionnaire.

La mésentente à Amiens La Fédération socialiste de la Somme • refusé de retirer ses candidats dans la circonscription d'Amiens Sud-Est, oii les radicaux-socialistes sont en tête du ballottage. De son côté, Fédération Communiste a également refusé de retirer ses candidats en faveur des radicaux •ocialistes. En conséquence, le candidat radical-socialiste, dans la circonscription d'Amiens Nord-Ouest maintient sa candidature contre le communiste, arrive en tête du ballottage.

M. Blum prononcera

un discours le 24 octobre à Bruay

M. Léon Blum, vice-président du coït' «sil, qui sera accompagné de M. Marx, Dormoy. ministre de. l'intérieur, profton-

eer4,le,.à'nm»ehe 24.ociol>re, un discours"

politique au banquet -qui suivra rin.auguration, à BrUay, d'un monument érigé à Ja mémoire de Roger Salengro. On sait que, le même jour, Camille Cbautemps parlera à Çhâteauraux.

̃ ̃̃̃̃' ̃ 'K> <̃.̃'̃<•'• ̃̃».».•

Jl Conformément aux instructions du Ministre des Finances, en date du 13 octobre, la Bourse des valeurs sera fer- orée tous les samedis des mois de novembre et décembre.

UNE CONFERENCE

DE M. GERMAm^MARTIN .M. Germain-Martin a fait hieir, à fteiins, une conférence sur la situation du chef d'entreprise, en. France, en 1936 et Ï9?7. ••̃̃ Le président de la chambre de coinmerce. M, de Mun, présenta l'orateur à t'auditoire, qui comprenait plus de huit' Cents personnes.

Apres avoir dégagé le caractère de la

lutte menée contre l'autorité du patron, ou cours de ces dernières années, .M.; Çerroaih-Sfartin rechercha lés causes du' malaise social en France, -rrr Au premier rang* dit-il, se placer I*jnl|uence de la doctrine marxiste qui a; été 'acceptée par la Confédération gé-i Bérajé du travail qui poursuit la destructîoïi du patronat et repd impossible tou: te collaboration entre les chefs d'entreprises et les masses ouvrières Partout où le marxisme a pu être applique la production a diminué. S'il gardait, en Frapées une force d'action sur les mas»es,:|ë- patrimoine de la nation s'amenuiterait sans aucun profit pour elles. Comment réagir contre ce péril ? « .Le Comité de prévoyance et d'action; sociale s, déclare l'orateur, offre au patronat un moyen de lutte contre les doctrines qui détruisent l'organisation sociale, un moyen de rapprochement des «nmloyèurs et des einployés, sur la base rie justice dans la répartition. »

Npns prions Instamment nos abonnis

da toujours joindre une qes DERNiènES

«an des à leurs demandes Je renouvellement, de chaudement d'adresse ou à

leurs réclamations

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̃̃̃fuiAiitts- I

jLE~' DATJE~ RETENUES

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>î*tiw»«M 4'a«* cw.̃ ̃ ̃:̃"̃•

:̃̃ ̃̃̃̃ .• •̃• os soin ̃'̃•' CPERA (Opéra 59-59), $ 20 h. Bori» Godeunov (M. Am4p*'Pèniiet: Mmw Marisa Ferrer, Lapeyreffe, Yvonne (Servais, Ricouiw; MM. Rouquetty, de Trévi,. Jfédu», 3- Beçkman», Hufferty, GDles, Nore, Cfiaibon, CbarJes-J'aiil, Nogucr»), etc. Orchestré M. l'b. Gaubert. -™ Demsi» F»nst,

COMEPIE-FRANÇAISE (JUch. 22-70), ao'o.'4S G«o««-:p»wi'n. (MM. Ledoux, Chanibreuil, Jeun MartlneJHi Mmes Aiade-

ïeini Renaud, Catherine fonteuey, ftc). ne dut jnrer

4* rien (MM; Jean Weber. Bwquéi >lmes Jenc .Kabçr,- Dnlr

4.ueJ} (MM. JeanWeher. $aaqué, M,mes JIIIW l'aber. DIII-

l&i*). Beniain Matinée poétique i->en soirée fc'Eeote

4e» M»ri»î. ï-e Chfiidelief.

OPÊSÀ-COMIQÙÉ (Wcli. 72-OD), à 30 h. 15 Pellë»s et. Mali» g*nde (Mmes Rolland, Sibille, ft»«del; MM. Gaudlh, Etch.eterry, Guéoot et .Bouvier).. Orchestre M, Albert Wbtffr Dciiiain Les Pécheur» de Perle»; Les Noces de Jeannette» ODEON (tteut. 58-13), s 30 H. 45 L'ArW»tenne (Mnje Toiiie Navar; MM. Louis Scigner, Mm'zçau, Harry-Jam^s, Darras;

Mmes Sfadeleinc Silvaiu, Nenih-lilanc, etc.). Demain, en

m*tj»«ie i Petite Ch»eol»tièr«; en sojrée L'ArléBierine. ATHENEE (Opéra S2-28), « ïi a. f EI«eW«, de M. G-, Giraû- doux. (MM. Louis Jouset, P. Reiioir, R. Bouquet i Mm«»

Gabrielie Dorelat, f.e\m Uevillers, Madeleine (5»er»y>.

6AITP'l''ÏIMQUE (Aroh. Ï8-2C). Oemaiu Le Roi <Jw Cirque Le Clezlo, Mary Viat<l= Suzy Qosjen, DeliwogCB, ?éiia.Zkk, Allain-Dhurtal, avec Mortoti et Pasquall). Jeu4i, matinée. GÏMNA6E (^ro. 16-15), à 20 1). 30 i C»p des Tempête», jjitce

en 5 actes de M. Henry Berastein (Vfçtor Franeon, Jeanine

Crjsplrj, 'Claude Dauphin, Jean Wall, JjU«y I4w; Hélène Gerber, Georges Pally et Betty-Oau&»won4>' Matinées dimanches et jeuiiis.

MADELEINE (Anj. 07-03), .*• 31 h. 15 Quadrille, eoniédie de JL Sacha Guitry. (Mmèa Gaby Morlsy, Jacqueline Delubaç,: Pauline Carton; M. George» Grey «t l'auteur),

MCHEL (Anj. 35-02), à 21 b.: Saper.p»o»«, revue da Dorio ̃̃«« Saint-Granier. (Mmes Mars. nev«l, Parisys; JW Tvpud, [ Oorin, Ed. Rozc; Sahit-Granier).>• ̃̃̃

LE DRAME DU KIWMETfΠ56,600

On s'efforce de savoir si Mme Renard n'était pas sous l'influence d'un narcotique ¥m lorsqu'elle fut assassinée

Cet après-midi, à 15 heures, M- Henuocque, juge d'instruction à Fontaine-lileàu, s'est rendu en automobile, acr compagiié du frère de Mme Renard, pour la reconnaissance du corps, à la morgue du cimetière de Fontainebleau- Cette formalité accomplie, le copps de Mme Renard a été conduit au caveau provisoire du' cimetière, sans aucune cérémonie ni civile ni religieuse. Aucun membre de la famille ne suivait te convoi. Avant sa mort, en effet, la défunt* avait manifesté le désir d'être inhumée sans cérémonie, "là "où elle mourrait.

Interrogé, le frère de la victime a déclaré ne rien connaître de l'existence de sa sceur et qu'à son avis, elle ne pouvait s'être donné la mort.

De retour au Palais de Justice, le magistrat instructeur a interrogé Mme Camion, sœur de la victime et *s'est borné à déclarer à la presse que le témoin maintenait ses déclarations; antérieures.

ce qu'on appelle le crime du kilomètre 56,600 est donc loin d'être éclair* ci.

Le chef d'équipe Fernand Dupré. qui alla à la découverte du cadavre, (un mécanicien d'un train l'avait signalé au chef de gare de Fontainebleau) 'a précisé la position du corps de Mme Renard. a-t-il diti le,tète vers

Elle gisait, a-t-il dit, ta tête vers

Paris, les pieds vers Fontainebleau. La jambe gauche, sectionnée, avait roulé dans' l'entrevoie. La tête, tachée de sang, était entre les rails. Le corsage vert, déchiré probablement par le balai de répétition des signaux, mettait la poitrine à nu. A 60 mètres du corps se trouvait une touffe de cheveux et un soulier, celui de la jambe coupée. Quant à l'autopsie, qu'a-t-elle appris exactement ?

Le médecin-légiste n'a pu expliquer la cause de la mort de Mme Renard. Il a seulement constaté à la tempe droite un enfoncement du crâne, qui a bien' pu être provoqué par un train. Est-ce donc un train qui a tué Mme Renard, déposée vivante et endormie sur la voie?

Ou bien Mme Renard était-elle déjà morte lorsqu'elle fut, soit précipitée d'un train, soit apportée 'sur la. voie? 2 U est donc d'importance capitale de savoir si Mme Renard était endormie. L'envoi par le médecin-légiste des viscères de la victime au docteur Kohn-; Abrest montre qu'on s'inquiète de sa*

Nouvelles

diverses

C'est bien un cambrioleur qui mourut de faim'

dans la grotte de Voreppe Grenoble, 14 octobre. ̃•«~ Le parquet et la gendarmerie se sont transportés aujourd'hui dans la grotte située aux environs de Voreppe, et dans laquelle des touristes ont découvert un squelette hu- ¡ mai près duquel se trouvait un atti-' j ~j

rail de cambrioleur. j

II fallut deux heures aux magis- trats pour attendre, à traver taillis épais ( ou rochers abrupts, le repaire le < malfaiteur dut mourir ̃ d'inanitiott. Le médecin -légiste pense que- la mort, cenwnte- àidis- ,ans.,eijvjçon.Divers oh* ̃

jets trouvés prèg-j}»' squelette provien-

̃jient de vols commis dans région eu 1926 et 1927. L'individu soupçonné d'en être l'auteur itait un nommé Jean Ca- doux; né et» 1898, à Chambéry, plusieurs fois condamné, disparu. depuis. i Le» tirailleurs gardent l'épave du « Ct~bo'Saoto'Toïnc » Alger, 14 octobre. L'administra- < teur de la niarine à Bônc a communique

au port le télégramme suivant i

au port le têlégNl~me 's\Jlvant 1

l', Toute navigation est interdite aux abords du cap Rosa, autour de l'épave du « Cabo-Santo-ïome »ï à l'intérieur d'une ?one limitée comme suit au sud, la côte, au nord le paratlèle passant à un denni-mille du cap Rosa à lest et a l'ouest, les méridiens passant respective- ment à un mille et a trois mille du feu'

du cap Rosa. »

La plage est gardée par des tirailleur^; ( elle est jonchée d'épaves de toutes sorrtes. Ces pièces d'acier pesant près, de cent kilos ont été retrouvées à près de 1 1,500 mètres de là-

Une nouvelle perquisition i

À la villa de Skobïine

M. Machat, ju$e d'instruction, a fait -.] opérer, par le juge de Mélùn, une non- velle perquisition dans la villa des Ska- bline à Oîo}r-la-Ferrlères, et y a fait i saisir des documents négligés la première fois.

>. ̃>̃ ̃̃̃<»̃̃

Mêmes contre la disette

dubléauMawc ] î

̃ ̃•

Rabah 14 octobre, Pour assurer au* J indigènes le moyen d'avoir une récolte. normale l'an prochain et venir en aide aux minoteries locales qui éprouvent 1 des difficultés à se ravitailler eu blés i marocains, en raison de leur rareté et > de la hausse rapide des cours, le général < Noguès vient d obtenir de. la métropole { l'autorisation de laisser importer au t Maroc une première tranche de iiou.uuu quintaux de bjés exotiques. Ces blés 66- j I ront achetés sur le marché mondial, sous le contréle de l'Offlee du Blé. t

'f.~O B)B~<A1~)!'I~TSBC I

v ? ^SZ^fc*^ ^l, 'h^t b ^bHBlH#- ^Cv*v 'îy ^SSS^^ ^25^j %SSJ iChJ ^SSLi n i^^ïi i^u ^MWw f jp^»p| 9PI^^ ^^pBBBPtf ^^S^^GS*

jnCHODIEBrdHêh. *5-23),-à 21 h. Fric-Froc, de M. ^Vard Bouîdet Victor Boucfter, Arietty, Michel Staon, Andr«e Guize, Suzanne :'Hehry, H. Bonvalet, etc.).)

MONTPARNASSE .(Gaaion-Uaty), à 21 U. Mad*jne Botot.

20 tableau^, d'après Gustave Flaubert, adaptation de Ga»-

1IIQ,tab, Icatll'. in4&iquo, (t\JS, tavq f"j,¡¡'Jh,e!'tl ada.¡ita.HQI1 el' GaI>-

toa 'toty T musique d'André C»dpu, (Mlle Marguerite Jg.

moiif M LucJni Ngt. G Vitray, H, Beauîleu,'Rolla»Noi>

«nan, etc.) i ̃

•AMBASSADïUJBfc St b..15 Paeifiiju» (^Iwe Coceà). ANTOINE, ïl h. Le Procès de *|ary Pu^fB.

ATBLIEK. 20 h. 45 'i Volpon»,

BGVmm-VXS-, 21 b-: Trois V»Ues (Y. Printemps F, FrwnBy)

OAPUCIJÎES. «il 11. Ls NttU du ï. CHATELET, a 31 n. Kirns (Bach, Roger Rourdln), COM. CH.-Bt'ïSJBBS, 21 h. L'Ineonhus d'Arr*

ùAUNlili 17 l-ui UauriOU), ^1 U rainpiemqow». 'BÊJAiîKX. a1 0 •' Irma, troisième 4 gauche-

DB PX.SÏA8ÔWB8. ?1 b. Les raauvaia Ange».

ETOILE, ^Ih'- t:L»ap«r» de QHst'goas.

GfcAND-GplGΫOL, 21 11. JEOourante «t w»,

Hl'MOUR,' ïl 11. 15 L'Honneur du Mili««.

MAB1GNV. :i-li, La flelfe Saiion (U Bayer. PI.IU; Tsbef). JÏATHl'mNB^PlïOEÏ'F. ïl; 11. S Celui a»i résoit les ç»*l««> NOUVEAUTES. 21 II- V'js lUrevail!

C&IJVBE, à H h. Us C\\tiAUen Hc la T»ble Bsndt. PALAlS-KOyAL, ..21 h. Madarae est «yee mai!

rORTE-SAïNT-MABTIN. S!0 b. 30 Le Koiiier du Mme 8at«an- BEKAI8SÀNCÉ, 2U h. V Mon -Curé chu» le» ftiehet, SAINT-GEORGES, 21 h., 15 L'Bcnrl» Wnt*oin

SAÊAHBEBNHABDT. 21 tt. La Mère

TH, DES CH.'ELYSIBBS, 21 11, Gala de musique paloOTiS" TH. D'ESSAI DE 1,'EXPO., 21 I}. Picrochule.

TH. DE PARIS, U n. La Fe*s«e.

VA1UKÏKS. 21 n Un d, la C«)inebltr« (Allbert), VIEUX-COLOMBIER,'20 h, 45: Le JI*ri»gefitno.

t'yeIC.JEf1\L1.f~' C:]RQ~J~~

;.I; ̃' ̃ cwjm®oi$iswm& ̃'̃

evr awiw-hiubi

Cet aprifronidi, méaie spectacle ̃̃. iro'ea soirée

Ar 1G-6.xô' l~fiaei

voir si Mme Renard n'avait pas absorbé un narcotique.

L'enquête à Nice

La Sûreté niçoise parait particulièrement s'attacher à découvrir les ressources supplémentaires de Mme Renard qui menait un train de vie bien supérieur à ses rqvenus. L'enquête est d'autant plus difficile que la veuve du commandant n'avait aucune relation au Cap d'Ail et ne .faisait que très rarement des confidences.

D'autre part, un fait qui remonte et qui a été porté à la connaissance des enquêteurs, pourrait éclairer d'un jour nouveau les circonstances -de la mort mystérieuse de Mme Renard.

Cette scène, qui s'était déroulée le 6 octobre, place du Palais à Nice, laisserait, en effet, supposer que Mme Renard était atteinte du délire de la persécution. Ce jour-là, dans un café, elle tint des propos incohérents. Parlant des menaces dont elle se croyait l'objet, elle déclara qu'elle était une femme traquée, que des membres d'un parti politique avaient empoisonné « son puits » et qu'elle ne pouvait même plus arroser, ses fleurs montrant du doigt la place vide, elle y découvrait d'invisibles ennemis.

Par ailleurs, une perquisition a été opérée au domicile de Mme Renard, au Cap-d'Ail Elle n'a apporté aucun élément intéressant à l'enquête. On a néanmoins appris que Mme Renard se livrait

à une active propagande pour un parti

politique au profit duquel elle recueillait des abonnements aux journaux qu'il édite.

Un télégramme daté de Paris et signé Mme Renard-Camion est parvenu le jeudi 7 octobre A là mairie du Cap-d'Ail. Il était ainsi rédigé

« Maire Çap^d'Ail. Suis en 'voyage ai quitté -mon adresse 12, boulevard Diderot, poste restante, Paris. Mme Re-

nard. »

L'enquête a établi que Mme Renard n'est pas descendue a l'hôtel Dauphinois et Oriental, situé -12, boulevard Diderot. Quant au télégramme, il a été déposé au •'bureau de poste de la garede è Lyon, 'Paris, le jeudi 7 octobre, à 10 heures. Or, à ce moment-là, Mme-Renard-Caipjon était déjà à Chàrleville ainsi qrçe» l'a formellement déclaré sa sœur.

En quelques

~~ti,r-~

APRES LA DISPARITI0N du «* d'une débn tante de Saint-Mary, près d'AngouJème, âgé 4e deux ans, on a dé* couvert l'enfant dans an boie où il avait é(.ë amené par un nommé Pierre Brunet, 58 ans, être à demi-sauvage et se nourrisBant de feuille» et de racines. BiV RADÇ DE LA CAROSSE, oft il

était au' mouillage, le vapeur Vîot» a

été abordé par le vapeur Léon-Martin. Lé Viïma a éprouvé une grave déchirure, mais n'<t pas coulé. Du secours lui <l été apporté du Havre par des remor- queurs qui l'ont conduit sur le banc du Grand,Placard, il a été échoué pro- visoirement. <

̃ rWÊÊSÊÊÈÈÊm

de Lyon, LuçieiîïeWtrWWmiwP*w»7 l'inculpation d'espionnage. H a reconnu l'exactitude de la plupart des faits retenus par l'accusation. Le tribunal l'a con- damné à huit ans de détention -et vingt ans d'interdiction de séjour.

J7.V COVP ÛE GRISOU a tué sept

mineurs dans la mine Nordstern, à Gelsenkirchen. Deux autres mineurs ont

étd blessés.

UNE EXPLOSION s'est produite dans une fabrique de munitions à Kiew. Tren-' te onvrièra ont été tués et de nombreux- autres blessés. Le» dégâts s'élèvent â plus d'un million de roubles.

̃ LE BRETON LE FORESTIER, engagé dans les milices espagnoles, revint en France naguère et y poignarda sa femnte, qu'il soupçonnait d infidélité- Hier, aux assises, il fut candeunné à quinze ans de travaux forcés.

UN INCENDIE d'une extrême v}ot lence s'est déclaré ce matin a Parthenty (Deux-Sèvres), dans les atelier» de M. Fillpn, négociant en bimbolotarle. Les dé8$ts éteindraient quatre million*. •♦ LE NOUVEAU PROLONGEMENT du réseau du métropolitain, 4? la Porte de Hontreuil à la mairie de itontreuil, a été inauguré hier. Un lunch fut offert aux invités officiels. A 18 heures, la ligne était ouverte au public.

Mouvements de bâtiments Torpilleurs. Le Boulonnais a Qujtt* Tanger à destination de Casablanca s Je forliin fait route vers Valence J'E/iseto<Gabolde, venant de Toulon, est «rrivé à Fort-Vendm le Fougueux, venant de Brest. est arrivé à Cherbourg lu Rail- leuse est arrivée â Bône.

Avisos. Le D'ibcrviUe, venant de la baie de Qavrjon, est arrivé à Eubée, ba}e de Marmari VUpirial fait route vers Brest i ls Quentin-HaoseutU, venant de Brest, est «rrive à Cherbourg Je Vanquois, venant de Brest, <!st arrive ru Verdon i ]a Dédaigneuse, venant de Port-Yendrcs, est arrivée a Toulon,

Le trousport pétrolier ^(orn a quitté Qtt»B h destioatioi) de Bjisei-t».

L» goéleHP Zélée, venant de Pspeete, est arrivée aux Iles Spus-le-Vent.

Une troupe d'Espagnols' qui tentait' de passer la frontière d'Andorre est attaquée par les carabiniers Trois fugitifs tant blessés Dix-neuf autres

faits prisonniers

sont passés par les armes Perpignan, 14 'octobre. On- apprend de San Julia de Lorjâ (Andorre) que, lundi dernier, un groupe de trois cents Espagnols se trouvant à proximité de la frontière, a tenté de se réfugier en An- dort*. Plusieurs d'entre eux avaient dé' jà franchi la limite du pays lorsque les carabiniers ouvrirent le feu éûr lés fuyards. Ce fut une débandade générale.' Les guides du groupe gagnèrent l'Andorre, mais trois fugitifs, blessés griè- vement, furent conduits, deux à l'hôpital d'Andorre-la-Vieille, le troisième à Pamiers (Ariège), par les soins des gar' des mobiles accourus à leur secours. Un groupe, bloqué par un rocher Jnr franchissable, essuya les salves des carabiniers. Un autre groupe, se fiant aux indications d'ùne; pancarte, retournée depuis longtemps par les carabiniers, se dirigea vers Je village espagnol d'Arcabel!, au lieu de se' rendre en Andorre. Deux réfugiés ont déclaré que dix-neuf hommes de ce groupe ont été fusillée sur le champ pour avoir opposé de la résistance aux carabiniers. Le reste de la troupe a été dirigé sur l'Espagne po<ur être interné. pas,

Huit mille Français

d'Espagne

sont dans une tragique

détresse

Oubliés,

privés de toute ressource, ils lancent un nouvel appel à leur patrie

Dès le 'début de la guerre civile espa- gnole, la plupart de nos Compatriotes résidant dans les villes de la péninsule

ibérique soumises au bombardement ren-

trèrent en sur les instances de nos agents consulaires. Ils se résignèrent à abandonner leurs situations, ou leurs biens, après avoir reçu la promesse formelle qu'ils ne manqueraient de rien dans leur patrie. Il <1 Le moins qu'on puisse dire est que cette promesse a été peu fidèlement tenue. Les Français rapatriés, au nowbre de huit mille environ, touchèrent des Jndemnité» qui s'élevaient, en inqyenne. à deux cent cinquante francs par mois. Avec cet infime secours, ils devaient se vêtir, ce nourrir, se loger et se chauffer. Les réfugiés espagnols étalent reçus dans des centres d'hébergement' :.eu?f, non. Des subventions étaient votées par tçlles municipalités en faveur de person* nalités basques en «il rien eûuF' tes rapatriés français,

Ceux-ci alors s'adressaient aux prêanisatiops locales de bienfaisance, aus particuliers mêmes les don* na faveur des Espagnols avaient épuisé les resr sources de la charité publique. Les cas de détresse extrême se multiplièrent- Maints de :hqs compatriotes' épuisèrent vite leur petit avoir. Ils jne* lièrent une «xistence de parias, échouant parfois dans tes asiles de miséreu*. MM. Çasa]ong.i et de Rouvex fondèrent un comité d'aide, pour attirer l'attention des pouvoirs publics sur le sort de leur» compagnons d'infortune. Ils vendirent leurs derniers bijoux afin de venir solltcitcr une audience ministérielle à Paris. Ce fut pour apprendre, dès leur arr

rivée, qu'à partir du 15 courant, même

rlvée, qu'à partir du 15 courant, même

leur hunïbJe ««cours mensuel serait sup» arlmé, faute 'de nouveaux crédits 1 Da · Bnfent donc abandonnés dêflJîmvMWWp

fifert tragique si l'on pen&e a ja-çoiMcl^ 't tude constante dont les rapatriés suisses, anglais., italiens, et allc-mands ont été l'objet de 'la part de leurs gouvernements respectif i> tous ont retrouve des situations obtenu m&ne d'appréciables, dé- dommagements dés autorités espagnole». Les rapatriés français ont soumis au gouvcrnoinent divers projets dont la réalisation assurerait leur subsistance et ne poserait au ministre des Finance au» çuq problème insoluble. Mais Ht deman- dent qu'on adopté en leur faveur la pror céduf'e d'extrèéie urgence pour abrçgep teur supplice riiatériel et pioral. L-

'-̃̃»: ̃'»̃̃̃̃ ^^•^»ii' ̃ »' ..i.'i i

LE OHAUFFEim

DU COMMANDANT TRONCOSO EST DE NOUVEAU IÎTOROGI Brest, 14 octobre, • Parella, le ̃chauffeur du commandant Troncbso, a

été de nouveau interrogé ce matfn par

le de nouve, au, ¡nt~rr(), II a mll.ttl1 P,I/

le juge d'instmetion. Il a confirnté fif?

premières déclarations au c^urs desquelsles il avait prétendu -ne pa» avqir parti- cipé au coup de main contre le sousmarin « C-2 »,

L'inculpé avait quitté Br»rt la v«j)l«

pour se rendre à Bordeaux.

A la fln de l'interrogatoire, PareUa a déclaré que, soldat avant tout, il ssécutait les ordres du commandant Tron» coso qui ne lui en avait jamais donné de' contraires à la loi et i I'Imhjiwujv Le secrétaire de l'Union des syndicats de la région parisienne

réd&mç l'échue mpbiJe

L'Unisn d«s syndicats de la Pégfo»

parisienne a tenu mercredi soir, à Cquïv

un raeeting contre la vie «hère. Le secrétaire de l'Union des syndicats, HénafF, a déclaré en substaftçe La pause est finie. Nous exigeons

l'échelle mobile. %t si le Sénat ne vey.t

pas la voter, nous passerons à l'action

directe.

CE SOIR i

fOLIES.BBHGEBE (Prov. 98-49), à 81 h. En Saptr-Foli*», j 'I

«vue à grand "spectacle, en 50 tableaux, de M. Maurice i Herjnîte. «JosépUin* Bafeer). Matinées i Htnedts et dlin. j t A. B, C. 31 h. Lys Gauty, Ctiarpini, CollfSiuû, 13 attractians, ] ALCAZAR, 31 h.: B«aut<« df femme. j CASINO DE PARIS, 31 h. Paris «n jok. j PKUX-ANB8, 31 h. Qorin, Gabaroche, Baeb,, Ti«spt. rçvue. j J DIX-HEURES, ïï h.: Martin) («n exclus), P. ealllDC, i. Rien*. | LUNlî-KOUSSE. ïl h. î La Kcvne de U Lnne-R«o»Be. j MJNA-PARJC Aîtract, tous les jours. pi«n. matinée «t wirée. 1 MEOBANO, n b. Pe l'Eïposîtion 1980 à l'Espo 37. MPGAPOR. 3) b. j Ça, c'«t parisien I lM|sttD«uett). | NOCTAMBULES $7, 31 h. Riez pour neu»! j PERCHOIB, b. i ToueRét )

Çi\Bi\JR.E;T8" PAN<N(1~ 1

BASATBLLB t- Ford i(arri»oB, G)ykwn. Tbe Townsends.

BAL OU MOULtNfROVQË, 21 h. 30 dancing; 23 h. spectacle. -i

~.t.. ,nJJ MOUL, lN,' .JlQ, lI,' GE, ~t h, ;;1(1 4allol1l8 dt t,a 1:1, IiVsI: tl, cIlI. t

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on mm m girouette DE LA TOUR CARREE

AU PALAIS DE JUSTICE

Un échafaudage surfnonté aotuelleinent le' faite 'de la tour carrée du Palais de Justice, quai d#S Orfèvres. Des ouvriers travaillent à changer les girouettes que les intempéries et les fumées nocives ont lentement détériorées. Cette opération est particulièrement difficultuéuse, car les tiges doivent être tirées perpendiculairement et la forte déclivité du toit oblige les ouvriers à prendre des précautions spéciales. Les girouettes étaient en place depuis

1914.

WËJOUVELLE LIAISON RAD1OTELEPHOMQUE ANGLETERRE-IRLANDE Pour éviter l'installation onéreuse dos câbles téléphoniques sous-marins de continent à continent, les liaisons radioélectriques par ondes ultra-courtes se révèlent particulièrement précieuses. C'est ainsi qu'une nouvelle liaison téléphonique vient d'être établie entre l'Augleterre et' l'Irlande du Xord, à l'aide d'un équipement radio électrique à ondes ultra-courtes. Grâce à un nouveau système dit « muliplex », qui permet de transmettre jusqu'à neuf communications la fois, il a été possible de relier les circuits téléphoniques entr Belfast et Stauraer.

L'équipement radio est commandé à distance par les bureaux téléphoniques, et tout abonné peut parler d'une "fie à l'autre commç si la communication pas- sait par un câble ordinaire.

t~~j~f~f~

Congrès de la Fédération générale ;A des transports automobiles

La Fédération générale des transports automobiles a tenu hier, 14' octobre, son congrès annuel dans les salons de l'hôtel Lutfetia. La réunion fut précédée d'un banquet auquel prirent part d'éininénts représentants de l'aamin}strâtion, du Parle-! ipisnt et de la- presse. v

On remarquait notamment, aux côtés dé' M. André Mariage, président, et dé MM. Bonhomme et hauchat, viee-prési-l dents de la Fédération, la présence de; M. Devinat, directeur du cabinet du ministre des Travaux publics, représentant M. Queuille M. Fianoette, sénateur HM. Beisse, Denais Fernand-Laurept, 4âputé,s; ClawJon, directeur général des chemins de fer et des transports; Boulloche, directeur des routes nationales Moroni, directeur adjoint des, chemins de fer et des transports Ro-; bert, Ingénieur en chef au ministère des Travaux publics.

Au cours de la réunion, M. André Mariage fit un exposé complet de l'activlr té de la Fédération au cours de l'année écoulée.

D'importantes questions furent e»a- mlnées, dont l'application de la semai.' ne de quarante heures aux entj<eprises

de transport par terre, l'état actuel du

de" tl', ai1~p,Q,r~p.ar\terré, 'l'état '.aatQc! trana·; 1,1:

nrobtem« de la .eoord'naUon des trans-

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tin, pour les nerfs sans obtenir de sou-

jajjejnent, alors qu'une cure d'Hépascol

Fraiiçois de guelques, séinaines mettrait,

fin k leurs ni#Iaisè« ep rétablissant leur t,

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<#» Le prochain spectacle de ballets est fixé par la direction de l'Opéra au lundi 18. Au programme Soir 4e Féte, Alexandre le Grand, Elvire, et la reprise de Salade de .M. Darius .Milhaud.

«̃ Dljf-huit élèves de l'Ecole Coloniale, en uniforme, ont assisté hier eoir, au Thptre des Àrobassadeurs, la représentation de Pacifique. lis étaient accompagnes de

leur directeur, M. Delavignettc, mu, -de sa

leur, cllrecte¡¡f, )If, ~ols .e,tt"c, ,(,fI,I1J, des sa

loge, lonna maintes XoU le signal des ap-

plaudisseroents.

C'est seulement jeudi pnSèïiain 21 courant que le Petit-Monde reprendra. Le Gêné'ral Daurakiw, à la Salle d?lé»a,j

̃+ Le Théâtre Charles de Hociefort effectuera sa réouverture le jeudi 4: novembre prochain, avec La Fuit perverse, çotnedie en quatre actes de M. Charles Etienne. A> Le service de seconde pour Le Cap des Tempêtes sera reçu ce soir au Gymnase.

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CI \ËMA

1^

veut f aire un film sur. la paix

De' tous les metteurs .en scène anîér?;çains, King Vider est certainement celfi qui, par son indépendance et l'originîhté de son esprit, s'est créé une pl;ce prépondérante aux Etats-Unis. Tes jeune, à peine ses études terminées il partit pour Hollywood. Bientôt il devnt, parmi les écrivains de l'écran, celui <bnt les scénarios avaient le plus de suces. Actuellement, il se trouve à Rris, après un voyage de trois mois en Iftlie, en Allemagne et en France.

Voyage d'agrément ? E lui • axmsnous demandé.

Pas exactement. J'ai yoyagêttour mon S plaisir; «mais ~M»«si j'ai étiûfê les pays que je visitais. Car s'il ni faut jamais comparer, il, convient néàïnoins de voir ce que font, les autres.

i > J'écris presque tous les sauarios des films que je réalise, parfoJ- même je suis mon propre producteur Le cas s'est produit pour Notre painq'.otidien, i car tous les producteurs à <jii je me suis adressé ne croyaient pas m succès purement « commercial 2 dt film. » A Hollywood, on m'accust souvent d'avoir des idées arrêtées, mafe je persiste à ne vouloir me soumitfre à personne et je ne tourne un ilu» que si vraiment le scénario me plat.

» D'ailleurs, il y a pénrùe de bons scénarios en Amérique. Lesjlms reviennent de plus en plus ché et les exigences du public vont sab cesse crois- sant. Le dialogue prend ne importance considérable. Ainsi, voye?Gharlie Chaplin, il travaille depuis des années à trouver des dialogues sissi éloquents que ses films muets

» Hier on a présenté à Paris un de mes films, Stella Dalls. C'est un de ceux que je préfère, ap^s Texas RanI gers et Hallelmja. J'a? tourné Stella Dallas il y a quelques ânées en version muette, et je n'ai rier change au scénario.

Quel sera rotreVrochain film '1 Je suis à la recterche d'un scénario, ou tout au mois d'une documentation qui me pern'ttrait de réaliser | un film sur la paix:'

> Cette année, j'a" décidé de ne tourner qu'un film et jfespàre bien que ce sera celui-là. >

A. d'H.

̃•̃̃ ̃ -fc

Robert Rontgomery voidrait

réaliser des drames Hollywood, S octobre. (De notre correspondant particulier). «Si je n'étais pas aieur ou si quelque catastrophe devaifinterrompre brusquement ma carrière comédien, je deviendrais écrivain ou,metteur en scène », disait récemment ftobert Montgomery à un ami.

Ecrivain le préférence. Car il n'est pas tout è fait sùr que la vie ne le destinait j»s à être écrivain et point acteur.

D'ailleus Montgomery adore les livres. Sa tbliothèque est l'une des plus riches et les mieux composées d'Hollywood. Mis quand il se lance sur ce sujet il 11 plus loin encore. C'est ainsi qu'il novs a confié devant quelques intimes

Si e ne pouvais être ni acteur, ni écrivain je tâcherais d'être metteur en scène.

Et le vôVi parti pour de nouvelles conjectures:

Je supose qu'il est naturel que la plupart de acteurs se croient capables de deveni; de buns réalisateurs si on leur en onnait l'occasion. Et il est d'autre pst certain que presque tous les metteurs N scène ont l'impression qu'ils pourraiejt « l'emporter » sur les acteurs^

» Mai je n'aurais pas grande envie de dirjer des comédies. Je voudrais plutôt ssayer mes talents dans des drames el -avant que ma carrière d'acteur de ciijnia ne compte quelques années de pli?, voilà exactement ce que je vais tenteirde faire.

» (m ne peut pas être à la fois acteur, iuteur, metteur en scène et Dieu sait flioi d'autre. On ne peut pas tout '1 savo/ mais c'est si amusant d'essayf? »

_#nsi parla Robert Montgomery. L. M.

'wiunnmnnuuummmn~uuuuemnumuunnumuunnv·

«MtitiiiimtinuutiiiiniinnttiiiitiiiiiiiHiiiiiHitiiMiitiiiiiiiiiur VOIR PAGE '4 t

LE THEATRE

et LES PROGR A MMES

Visiteurs de marque Les actualités cinématographiques sont transformées en illustrations du parfait savoir-vivre plus exactement du parfait savoir-arriver. Elles détaillent les différentes façons de descendre de chemin de fer, d'avion ou d'automobile, selon que l'hôte de marque est tchécoslovaque, britannique ou allemand. Nous ne perdons aucun des gestes d'accueil des officiels en uniforme ou en jaquette, et nous apprenons, en sus, qu'un président du Conseil, pour déjeuner avec M. Krofta, a tout loisir de porter veston fantaisie et^nœud papillon.

Au Bourget, M. Audrand s'avance, le tube à la main, pers le général Milch et le major Vdet il s'incline à angle droit, avec une raideur à la mode de Berlin, cependant que l'ambassadeur d'Allemagne arrondit son salut à la manière latine.

A l'Exposition, la duchesse de Windsor semble prendre goût aux hommages curieux de la foule. Elle arbore, à son habitude, un chapeau qui commence là où il pourrait, somme toute, finir à mi-chemin du front et de la nuque.

L'extraordinaire destin de la duchesse de Windsor a fourni autant de travail, aux coiffeurs et aux modistes qu'aux photographes et aux reporters. Nous lui devons toutes ces raies médianes, ces bibis étonnants vite adoptés par les femmes qui se flattent d'avoir le « type Wallis ». Près de moi, une dame, pointue, déclare « Je n'aimerais pas comme elle porter le chapeau de tout le monde. Et son compagnon, qu'elle ennuie, de riposter « Tu veux dire que c'est tout le monde qui porte son chapeau. »

Voici ce à quoi la reine Mary, faisant fi de la mode et soucieuse de rester ellemême, ne risquait pas de s'exposer 1 J. L.

LES TAUDIS

Le cinéma belge naît lentement,.mais sûrement. De nouveaux studios sont en construction à Bruxelles, plusieurs grands films ont été tournés cette saison Passeurs d'hommes, Le Mort, Le Mauvais œil, Le Roi Soldat, pour ne citer que ceux-là.

Henri Storck est, avec Dekeûfceleire, le plus actif des jeunes metteurs en scène belges. Depuis 1935, où il présentait Trois vies et une corde, exéellent documentaire sur l'alpinisme, StoTck a réalisé quelque huit films, parmi lesquels Les Carillons et Regards sur la Belgique ancienne. Il termine actuellement une œuvre de propagande sociale contre les Taudis. Des scènes d'une authentique et cruelle vérité, tournées dans plusieurs grandes villes, alternent avec les images poignantes de person-;nages pris sur le vif. Le film sera présenté en deux versions française et flamande. .̃.̃

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B^HKTcotés

DE L"ÉCRAN

CET APRES-MIDI

Au Cinéma de l'Avenue, à 14 h. 30, première représentation de Deanna et ses boys (100 îlcn and a Girl).

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♦ Le Mensonge de Nina Petrovha; le beau film de lourjanskv, interprété par Fernand Gravey et Isa Miranda, sortira en exclusivité au Paraniount après Ames à la

Mer.

?♦ .L'Appel du Silence, de; 'Léon Poirier, vient d'être acheté 'pour les Etats-Unis par une firme de Nê\Y-York que dirige M. René Huisman. Le filin' sera exploité là-bas en version doublée.

Sacha Guitry réalise actuellénieiit1 un

fllm tiré de sa. pièce Désiré et qui est in-

terprété par Jacqueline Delubac, Jacques Baumer, Pauline Carton. Saturnin Fabre. Alys Delonde, Arletty et l'auteur.. Un « cocktail d'adieu réunira les amis de Julien Duvivier en même temps qu'il fêtera la 300° représentation du Carnet de Bal, lundi prochain, au foyer du Cinéma Marivaux.

Boris Karioff, le héros de,tant de films de terreur et d'épouvanté, songe, pa- rait-il, à changer d'emploi. En attendant, nous le verrons prochainement dans Alerte- la nuit, où il incarnera un très humble Inventeur. Sessùe Hayakawa, qui vient de tour- 1 ner plusieurs films en France, a été pressenti dès son retour à Hollywood pour tenir J un rôle important dans East ôf Shanghaï,il aurait Anna May Wông comme partenaire. .̃.•̃̃• On sait que le prochain filin de Sonja Hénie est intitulé Du pain, du beurre et du rythme. Dans ce film paraîtra également Don Ameche, Jean Hersholt sera le père de Soùja.

LE «COUPLE» i LAUREL ET HARDY

CONTINUE.

/En dépit des bruits qui ont couru, Laurel et Hardy n'ont pas l'intention de se séparer. Ils viennent même de signer un nouveau contrat avec la M. G. M. qui t nous permettra de les applaudir quelque jour dans.un film; aux « joyeusetés » y nombreuses et imprévues. j «VIVRE SA VIE» 1

b'iure sa i'ie, l1'~st~cepas le r6ve secret t de chacun C'est en tout cas la profonde ambition d'Audrey G»eenwood, rhéroïrie si

séduisante du célèbre roman de Francis de ]

Croisset La Dame de Matacca que Marc Allegret a porté à l'écran. ',¡ (

Sous les traits charmants d'Edwige ;Feuil- t lèrei nous retrouvons Audrey Greenwood et le film nous permet d'assister à son ascension, qui, après de multiples et passion- 1 nantes péripéties, fait d'une petite protesseur de piano du Havre la Ir'gitime > épouse { du prince Sélini, sultan d'Uuaiiïor (Pierre i

Rjchard-Winm).

Des «Pirates du rail»

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sèment la terreur en Provence

Peut-être ignorez-vous l'étonnant paysage qui se cache derrière La Turtie, les immenses espaces rocailleux où des kilomètres durant on ne rencontre âme qui vive, les hautes murailles surplombant la route sinueuse qui s'avance à travers cette vision d'Apocalypse .le désert de Peille. C'est là que, des nuits et des nuits, voici quelques mois,

paysans et gendarmes chassèrent la

panthère.

Aujourd'hui, ce coin de Provence est envahi à la ronde par des bandits chinois et, de Nice a Colomars, d'Eze à Saint-Laurent-du-Var, vous risquez de •rencontrer les « pirates du rail ». Moitié soldats, moitié bandits, farouches et hors.la loi, ils razzient, rançonnent, tuent, pillent, brûlent des villages entiers. La volonté dévastatrice de ces hordes n'est ici arrêtée que par l'autorité d'un homme, un metteur en scène Christian-Jaque.

Le réalisateur des Perles de la Couronne et à'A Venise, une nuit, tourne maintenant Les Pirates du rail d'après le roman d'O.-P. Gilbert un .film dé-, dié à la mémoire des cinquante ingénieurs français et des 20.000 coolies morts pour la construction du chemin de fer du Yunnan, la' partie tropicale de la Chine où une voie étroite relie Hanoï à Yunnan-Fou. Déjà, avant même., le conflit sino-japonais, ce pays de mystère et de légende livrait peu a peu ses secrets. Un livre aussi passionnant que Lampes de Chine nous découvrait la lutte anarchique, l'épidémie, les fléaux qui tour à tour s'abattaient sur ces terres lointaines. '1 Un film comme Les Pirates du rail veut maintenant rénover l'aventure, évoquer l'odyssée de ces Européens qui, perdus dans la brousse, isolés les uns des autres par des dizaines de kilomètres, surent lutter pendant treize ans pour servir le prestige français. A la vérité, on dissimule mal un certain malaise en écoutant le général Tchoy-Kin'g, alias Eric von Stroheim, murmurer sur un ton sarcastique, à Simone Renant

La présence dés Européens en Chine n'a jamais amené que du sang. C'est pourquoi ils en seront chassés rapidement maintenant. Soit qu'ils s'en aillent, soit qu'on les tue. Ingénieurs et colons, hommes com- me femmes, devront s'unir contre pirates et généraux rivaux. Charles Vanel, Jean Périer, Marcel André, Pierre Nay, Tourreil, Doumél, Sùzy Prim, Simone Renant, Helena Manson, Régine Dancourt sauront résister à Inkijinoff, Lucas-Gridoux, ,Dàlio et à l'implacable Stroheim.

Ceux qui pourraient douter des beautés inestimables de notre Provence et des surprises qu'elle sait parfois réserver n'ont qu'à écouter^O.-P. Gilbert, un auteur qui ose s'avouer satis-

fait du cinéma par un hasard unique La ligne des chemins de fer de la Compagnie Sud-France a exactement les mêmes caractéristiques que celles de la compagnie franco-chinoise même espacement des rails, mêmes wagons. Il a suffi d'un peu de galéjade pour faire de la gare de Colomars la gare de Kay-Yuen et de quelque patience pour édifier dans ce studio niçois une reconstitution exacte de la Pagode des 500.000 génies qui s'élève à YûnnanFou.

Nous ajouterons, quant à nous, qu'il faut aussi un admirable courage à Christian-Jaque pour terminer ses prises de vues. Vaincu par la fatigue, après avoir dirigé toute une journée, en pleine montagne,.les attaques des pirates, n'a-t-il pas, voici quelques jours, écrasé sa voiture contre un camion mal éclairé ? La têtu bandée, il éponge les gouttes de sueur perlant à son front, donne des indications à ses interprètes, crispé sur un petit fauteuil d'infirme. Il a deux côtes fracturées Christian-Jaque travaille--

MEMt O'ABMi)'

Par FRANCIS CARCO

~f~ de l'Académie Goncourt

WOUS êtes-vous demandé de

quelle espèce de gens est WM constitué le grand public

qu'on rencontre au ciné ? Certains prétendent qu'il est formé par ces honnêtes personnes, un peu simples, mais de bonne volonté, qui, jadis, ne manquaient pas une pièce nouvelle ou qui, le soir, lisaient, sous le globe d'une suspension, le feuilleton de leur journal ou un bouquin prêté. C'est peut-être vrai pour une partie, une partie infime. Le reste, à mon avis, comprend la foule qui .ne lit jamais parce qu'elle n'en éprouve pas le besoin ou qui ne se rend au spectacle que pour admirer les artistes. La preuve en est que si ces milliers et milliers de braves gens, qui font la queue au guichet

dés salles de projection, avaient 1 réellement fréquenté les théâtres, ils eussent sauvé l'art dramatique 1 de la faillite. Comédie, farce, mélo, vaudeville, c'était encore trop fort pour cette énorme masse incapable de tirer, par ses propres moyens, une opinion quelconque de l'œuvre i représentée.

Toutefois, ce que cette masse va chercher dans un film mérite d'être retenu. Si confusément qu'elle l'éprouve, c'est ce que nous cher- < chons nous-mêmes je veux dire ] une évasion hors, de la vie quoti- dienne, l'oubli de nos soucis, de nos misères, un changement du milieu, 1 de l'atmosphère, des sentiments qui nous sont familiers en un mot le dépaysement., Or, le dépaysement est à l'origine de la poésie •: Plonger dans l'inconnu pour trou[ver du nouveau

a soupiré Baudelaire. Et Mallarmé Fuir 1 Là-bas, fuir 1.

Je n'affirme pas que chez les spectateurs des inepties que certains producteurs français s'obstinent à fabriquer, la nécessité de rompre avec le bureau ou l'usine permette 1

I Une nouvelle star:

QUATRIEME DIMENSION présentée par Jean Painlevé

Ilil Hll IIHIII ES spectateurs peuvent-ils

lUi -imaginer, après avoir vu

le film projeté au Palais

Ullll le film projeté au Palais

llllIlL de la Découverte, ce qu'est la quatrième dimension ? » Certes pas », affirme Jean Painlevé. « Alors, pourquoi poser, à l'écran, ce pro- blême ? « Parce qu'il est bon de faire réfléchir par analogie. Quatre dimensions ne se peuvent concevoir par qui vit à trois dimensions l'homme. De même des êtres vivant à deux dimensions ne sauraient imaginer notre'existence. C'est cette impossibilité de comprendre que nous avons, en quelque sorte, illustrée, avec Dufour. Nous représentons des animaux cachant un trésor dans un coffre coffre, trésor, animaux à deux dimensions. Une main humaine à trois dimensions dérobe ce trésor stupeur Et en matière de représailles, l'extrémité d'un être vivant à quatre dimensions ôte un os du bras voleur. lequel devient mou, bien entendu! Et ceci plaît à la, massé ?

Mais oui, on en redemande. Oh 1 nous ne faisons pas une sérieuse concurrence à l'homme de verre, bien sûr, ni à la reconstitution d'une prise de vue subagnatique, peuplée de pieuvres et de monstres marins.

Les autres films ?

Similitude des longueurs et vitesses scénario de Sainte.-Lagûe est une explication par l'image de l'impossibilité de franchir les dimensions d'une manière homothétique; La tour Eiffel, grandie, croule-

'DEPARTS.

Duvivier Hollywood, Clair à Londres, Feyder à Munich il était permis de penser que la liste s'arrêterait là. Hélas 1 il n en est rien Vôîci' qu'à son tour Marcel L'Herbier nous quittera au début de l'année pour Berlin, où id doit réaliser plusieurs films.

De tels départs nous semblent malheureusement plus graves pour l'avenir du cinéma français que ceux de nos vedettes. ou futures vedettes. Il est, en effet, beaucoup plus facile de renouveler les interprètes que les metteurs en scène, surtout quand les noms de ces derniers représentent comme ici des garanties de réussite commerciale et artistique. Sans doute, chacun d'eux s'écrie-t-il qu'il reviendra bientôt. Mais lequel tournera le premier Le Retour de l'Enfant prodigue ? A. R.

CEUX QU'ILS ADMIRENT. Les vedettes d'Hollywood ont des préférences pour certains hommes illustres. Mary Boland, Jtfae West et Gail Patrick admirent le président Roosevelt, à qui Carole Lombard préfère le duc de Windsor.

Claudette Colbert. a- un véritaMe culte pour Marie Curie.

Quant à Fred 'Mac Murray, il a toujours montré une grande admiration pour Gary Cooper, cela, bien avant même que celui-ci soit devenu célèbre. Et, ce qui est plus méritoire, il parait que ses sentiments n'ont pas changé depuis

AUJOURD'HUI A 14 H. 30

le conclure que le gros public est, avant tout, friand de poésie. Cependant, c'est un fait. L'image a révélé à quantité d'automobilistes qui n'y songeaient nullement, la poésie de [a route, et nos grands quotidiens ont pu tripler, quintupler leurs tirages depuis que la photographie permet au lecteur le plus positif t'imaginer l'existence sous un angle différent de celui où il la voyait. Je sais que limiter la poésie à de telles aspirations, c'est la dimiluer. Néanmoins, lorsqu'on songe à l'horreur qu'affichait le bourgeois pour tout ce qui tentait d'élargir son horizon et quelquefois de provoquer de brusques découvertes, on se demande à qui s'adressaient lès poètes. Il est vrai que les grands artistes ne s'adressent à personne en particulier. S'ils écrivent des vers, c'est sans calcul d'être entendus ou non. Ils devraient pourtant ;e dire aujourd'hui que le filma besoin d'eux, afin de devenir, vraiment, ce septième art auquel nous avons cru, jadis, avant qu'il ne tombât au rang, dans la plupart des cas, d'une vulgaire industrie.

Francis Carco,

de l'Académie Goncourt.

rait à partir d'une certaine hauteur. Un homme dix fois plus grand que nature, ne serait plus porté par ses tibias. Des éléphants. »

Je semble si ahurie que Jean Painlevé change de sujet.

Images mathématiques de la lutte pour la vie scénario de Kostitzin est une bande tragique. Elle cherche à montrer les différentes solutions intervenant lorsqu'il y a présence simultanée de plusieurs groupes. Les uns peuvent détruire les autres. Les uns et les autres peuvent disparaître le mort tue le vif, et c'est le cas le plus fréquent. Enfin, il peut se produire, fait plus rare, un équilibre. Nous nous basons ici sur les travaux d'un fameux mathématicien italien Volterra. Ainsi les poissons dans la mer les uns sont proies, les autres prédateurs consommateurs. Les prédateurs dévorent, les proies diminuent, les prédateurs jeûnent et se raréfient et les proies se multiplient à nouveau pour nourrir les prédateurs. C'est ce qu'on appelle fluctuations biologiques. Mais l'exemple peut se transposer.

» Enfin, termine Jean Painlevé, un film en couleurs de M. Moret traite dés Plissements des Alpes. Notre étude remonte au commencement des siècles et toutes les étapes de ces plissements sont connues. Ce qu'on ne peut flxer exactement, c'est leur durée. Ainsi, ces vingt dernières années, on a dû multiplierpar dix la plupart des périodes géologiques. Et ces coupes coloriées de terrains, depuis les plans profonds jusqu'à la surface, ressemblent étonnamment à des tranche* napolitaines. »

Sur cette conclusion d'ordre culinaire, j'abandonne Jean Painlevé à la préparation des conférences qu'il doit faire prochainement au Conservatoire des Arts et Métiers sur la technique du cinéma, le truquage et le cinéma en couleurs. Et peut-être sur la quatrième dimension, nouvelle vedette de l'écran.

Jean Laury.

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feuilleton du « Figaro » dn 15 Octobre 1937 (15)

CHASSEUR

NOIR

ROA1AM INEDIT

de IAUES.OLIVER CVRWOOD

CHAPITRE VII

(Suite)

Elle inclina légèrement la tète, ̃cherchant apparemment par où com* mencer. Dans la courte pause qui suivit, David murmura

Bah ce ne peut être bien terri* Me Anne comprendra

Marie Rock feignit de ne pas l'en,|»ndre et, fixant de ses grands yeux 'l'espace, comme pour plonger dans ses souvenirs, elle débuta

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Mme Jean DE PREMESNIL, à Clermont-Ferrand; M. PAGNIEZ. à Saint-Mandé Mme la duchesse DE PLAISANCE, née HAWSONVILLE, à Beaupréau M. le comte Jean DE POLIGNAC. au château de Kerbastic M. le capitaine DES PLAS, à Menton M. Paul PLATET, à Lyon M. le lieutenant Louis PASTEAU, à Marrakech Mme Hubert PLUMET, à Bolbec M. Antoine ROUGERIE, à Angoulême M. RENAULT DE LA TEMPLËRIE, àV"illefranche-s.-Sa6ne M. le ca. pitaine RIVET, à Versailles Mme la baronne DE RYCKMAN DE BETZ, à Bruxelles Mlle Marguerite ROUX, à Saint-Genest Serpt M. Didier SCIAMA, à Sainte-Masime-sur-Mer Mme la comtesse DE SAIXT-BLANQUAT, au château de 1 Rochegude .M. le docteur SPEIDEL, à Manheim Mme la comtesse Raymond SABRAN PONTEVE, à Bazas Mme Jean DE SEGUIN, à Biar-

II y a de cela bien longtemps, je fis, à Louisebourg, connaissance avec ton père. 11 était Anglais et, bien que nos deux pays fussent ennemis, je m'épris de lui, et m'enfuis en sa compagnie chez les colons anglais, où nous nous mariâmes. Tout cela, tu le sais déjà, David tu n'ignores pas que c'est par amour pour lui que j'ai adopté la nationalité anglaise et que je l'ai suivi de frontière en frontière dans toutes ses aventureuses pérégrinations. Nous finîmes par nous établir définitivement dans la belle vallée de la Juanita, en Pensylvanie. C'est là où tu naquis, David. Nous vivions heureux, prospères, en excellents termes avec les Indiens. Nous avions pour voisins une autre famille dont le chef se nommait Fêter Joel. J'éprouvais une vive affection pour Betsy Joel, sa femme. Elle était plus âgée que moi, aussi belle que bonne, et mère de deux petites filles, tout son portrait, ainsi que,d'un garçon de ton âge, David, à une semaine près.

A cette évocation, David vit les yeux de sa mère s'emplir de larmes qu'elle ne tenta même pas d'essuyer. Peter Joel, poursuivit-elle, adorait sa femme et ses enfants. Ce ménage formait un charmant tableau et l

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je n'ai jamais tiré que du bien de l'exemple de Betsy Joël. Elle représentait plus qu'une amie pour moi une mère et une sœur à la fois. Quant à Peter. Peter Joel, mon fils, c'est lui l'homme que tu connais sous le nom du Chasseur Noir

Elle fit une légère pause devant les yeux stupéfaits de son fils Puis vint la terrible nuit, continua Marie Rock en frémissant dans son fauteuil. Je t'ai toujours un peu menti à ce sujet. Je te laissais igno,rer à dessein que ce cauchemar dont tu te plains souvent n'était pas un rêve, mais une terrible réalité, le j souvenir lointain d'horribles événements gravés avec une telle intensité dans ta cervelle d'enfant que ces images reviennent parfois troubler ton sommeil. Tu avais quatre ans lorsque, une nuit, les Hurons survinrent. Ils retournaient bredouilles d'une incursion chez les Sénécas, et des anges mêmes n'eussent pas apaisé leur colère. Ton père, malade, était au lit, et Peter Joel était au bord d'une saline à quatre kilomètres de là où il était parti au clair de lune pour chercher un quartier de fraîche venaison. Je ne puis me rappeler tous les détails de l'épouvanta- ble scène tout ce dont je me sou-

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» Je te serrais dans mes bras, à te briser. Nous èchûmes en partage, comme butin personnel, au chef de la bande, ce qui nous sauva la vie. Les Indiens n'étaient pas nombreux: huit ou dix, je crois, mais tous, sauf le chef, se prirent de querelle pour la possession de Betsy Joel et de ses enfants. Betsy était près de moi, si près que je l'appelai et cherchai à l'atteindre. Elle était toute nue et sa magnifique chevelure blonde lui tombait sur les épaules, l'enveloppait comme d'un manteau d'or. Une de ces brutes lui arracha son petit garçon et le tua d'un coup de tomahawk. J'entendis les cris d'effroi, les gémissements des deux fillettes. Puis le monstre qui se tenait près de nous bondit vers Betsy. Paralysée par la terreur, incapable d'un seul mouvement, même de fermer les

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18 heures Au Club des Architectes Conférence par M. François Girard, architecte S. A. M. « Un architecte français aux Etats-Unis. »

18 heures Au Pavillon du Haut-Commiesariat de la France d'outre-mer Conférence par le docteur Berny « La Guyane mé-

connue. t

connue. 21 » heures Au Théâtre d'Essai du Centre des Métiers, les Comédiens routiers présentent « Variétés », « La Coupe enchantée », de La Fontaine Champmeslé « Picrochole ou les Coquecigrues », d'après Rabelais.

21 h. 30 Pare des Attractions (cours Albert-1") Feu d'artifice

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yeux, j'assistai à tout le drame. L'homme l'empoigna par les cheveux au moment où elle se précipitait vers ses enfants je la vis se rejeter en arrière et tomber, je vis la hachette se lever et s'abattre, puis la bête humaine s'agenouilla sur son corp nu, et se releva en poussant un horrible cri d'animal et en brandissant entre les flammes et moi, la belle chevelure blonde dont le sang lui dégoulinait des mains A présent le yeux de Marie Rock n'étaient plus baignés de larmes, son regard fixe où luisait une flamme dévorante se perdait dans le vide elle semblait de nouveau frappée d'horreur par cette nuitrtragique, qu'elle revivait dans tous ses détails. Elle se tut un moment, comme incapable de continuer. Figé sur place, David attendait la suite. Puis toujours avec ce même regard lointain, elle reprit

Toi aussi, David, tu fus le témoin de cette tragédie. Tu poussais des cris d'effroi, et jamais cette nuit ne s'est effacée de tes rêves. C'est miracle que je ne t'aie étouffé. J'étais tellement folle de peur que je te serrais convulsivement contre mon sein, pour te cacher. Il s'en est fallu

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de peu que j'aie trouvé le courage de fuir, ce qui nous eût fait inévitablement tuer tous deux, comme Betsy et ces enfants, par ces rouges bêtes de proie.

î> Mais il se passa alors un événement providentiel. De la nuit surgit dans cet enfer de feu et de sang Peter Joel. Devenu fou, hurlant comme un possédé, dépouillé de tout vêtement, tête nue et n'ayant en main, au lieu de son fusil, qu'une énorme massue, il se jeta sur ces bourreaux. Le chef, qui Grandissait le scalp sanglant de Betsy, n'avait pas eu le temps de crier ouf qu'un coup formidable lui enlevait la tête, comme une citrouille qu'on abat au bout d'un mât. Spectacle si terrible que je te voilai la face, mon petit, car Peter Joel était devenu fou, fou furieux, et les cris qui lui sortaient de la gorge dépassaient en horreur les pires vociférations des Indiens. Les assassins, voyant qu'il avait perdu la raison, décampèrent sans lui résister, com- me s'ils avaient eu le diable à leurs 1 trousses, selon la coutume des Indiens devant les déments. S'ils l'avaient attaqué, Peter en eût abattu sur place autant qu'il le fit en leur donnant la chasse, car rien n'eùt arrêté sa fureur vengeresse. Il en occit

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trois de son impitoyable massue. Et après cet exploit, toute lanuit, jusqu'à ce que l'aube se levt sur les ruines fumantes de nos deieures, il resta assis sur un débris d poutre, berçant entre ses bras les :orps de sa femme et de ses enfant: et leur chantonnant des paroles incohérentes. C'était effrayant à cr«ire que j'allais devenir folle à inortour! » Pendant tout ce terros, il tte fit aucun cas de nous, il semblait ignorer notre présence. Mai, au lever du jour, il me laissa vêt? le corps de Betsy dans quelques-ms de mes habits, et ce matin-là nousPenterràmes, elle et ses enfants, tans une fosse que nous creusâmes irès des cabanes incendiées. Notre trste mission achevée et quand la U-re eût recouvert leurs restes, les tiûls de Peter Joël revêtirent une étraige expression de calme. Il te saisi, dans ses bras et répétant continuellement « Mon petit garçon mon petit gar çon », il s'enfonça avec toi dsns U forêt, où je le suivis. >.

(A suivre)

James-Oliver Curwood.

(Traduit de l'anglais par Louis l'oslif.


LE FIGARO ECONOMIQUE ET FINANCIER I

L'ETAU DES PRIX

Les plus récentes variations des prix eu France présentent des caractéristiques qui méritent attention. Le phénomène dominant, celui qui frappe directement l'opinion, c'est la hausse. Mais ses composantes ne sont pas moins intéressantes à observer.

La baisse des matières premières, sur tous les grands marchés, a atténué, pour le système économique français, les conséquences de la dépréciation de la monnaie nationale. C'est une chance qu'il convient de noter avec soin. Et pour cause elle est unique. Toutes les autres constatations que permettent de faire les statistiques sont uniformément défavorables et deux d'entre elles sont d'importance capitale.

D'abord, les prix intérieurs, les prix proprement français, montent aussi vite que les prix étrangers. La baisse du franc devrait au moins servir à déterminer une marge entre les prix français et les prix étrangers. Sur cette -marge, 1 exportation pourrait se ranimer. A en juger par les chiffres, ses progrès semblent ne pouvoir être que faibles et fugitifs. C'est-à-dire que, dans le cas français, le mécanisme par lequel une déva> luation tend au rétablissement de l'équilibre économique se trouve détraqué. Comme on l'a fait observer ici «.diverses reprises, la manœuvre en retraite de la monnaie n'est plus d'aucune utilité au pays. En échange d'un appauvrissement inquiétant, elle ne lui rapportera plus rien. Pourquoi ? Une cause de ce dérangement est temporaire. Les vicissitudes du franc ont provoqué des achats de couverture et les prix en ont été bousculés. D'autres motifs seront plus durables, s'ils ne sont pas corrigés. C'est, en premier lieu, la médiocrité de la récolte, prise en généraj. Conjuguée avec la mauvaise saison, elle pousse les prix agricoles. Secondement les prix industriels ont une allure désastreuse. Leur évolution n'est pas facile à étudier de près, quand on se place au point de vue du consommateur. Cependant, des travaux très intéressants, qu'a entrepris la Statistique générale de la France montrent qu'un indice spécial des prix des produits fabriqués, partant de la base 100 en 1930, était passé de 68 en janvier 1936 à 131,2 en février 1937. Comment la clientèle pourraitelle suivre cette ascension ? Jamais crise de débouchés n'a été annoncée plus clairement.

Non moins préoccupante est la divergence qui se manifeste, siinultanément, entre les prix agricoles français et les prix industriels. Au milieu de 1936, le coefficient général était à 449 et celui de l'industrie à 396. Ce rapport s'est renversé. L'industrie est maintenant à fififi, et les produits agricoles sont à 612 seulement. Comme la première représente les deux tiers, peut-être, la moitié sûrement de la communauté française, les perspectives du marèhé national sont fâcheusement obscurcies.

Le mal et son avance insidieuse ̃ Jie sont- pas difficiles à reconnaîtra. Ses causes sont déterminées, d'un aveu quasi unanime, avec une égale .précision. La principale est le régime auquel est soumis, par l'application étriquée des quarante heures, la production française. Qu'est-ce qu'on attend pour y remédier"? Voilà ce qu'on serait curieux de savoir. Car il ne serait pas poli de dire ce que l'on croit deviner.

F.-F. Legueu.

LES CHANGES

Détente au comptant

Tension à terme

Au comptant, le cours du franc continue de s'améliorer la livre revient de 147,72 à 147,10 et le dollar s'inscrit à 29,65 contre 29,7925.

Mais à terme, la tension s'accroît sur la livre, à trois mois, 4,30 contre 3,25, à un mois 1,25 contre' 80 centimes.

m

^FORMATIONS

Situation

de la Banque de France

au 7 octobre 1937

ACTIF

> En millions

Encaisse-or 55.805 » Argent 385 12 «-~ Comptes postaux 821 + 295 Disponibilités à l'étranger. 17 -f- 4 Avances sur lingots 17 -j- 4 Effets escomptés 10.491 + 1.035 Effets agric. 439 + 140 Effets banques populaires.. 227 73 Effets négociables France.. 358 + 3 Effets nagociables étrang. 791 1 Avances sur titres. 3.983 191 Avances à 30 jours 1.234 105 Bons Caisse autonome. 5.637 » Avances provisoires sans in-

térêt a l'Etat (couv. 18

juin 1936)

Art. 1 et 2 12.098 » Art. 3. 10.000 » conv. 30 juin 1937 4.820 + 920 Olvérs 3.034 1.285 PASSIF

KiHels en circulation 90.991 378 Compte Trésor public. 22 35 Compte Caisse autonome 2.148 143 Comptes courants 16.772 + 98!; Divers. 2.779 + 153 Montant des engagements à vue 110.176 Ratio 50.65 0/0 c. 50,91 0/0

Accroissement du déficit

commercial britannique

Les exportations anglaises ont atteint, en septembreT £ 44.263.000, soit £ 1 million 717.000 de plus qu'en août et £ 7.301.000, soit 20 0/0, de plus qu'en septembre 1936. C'est, à ce point de vue, le mois de septembre le plus favorable qui ait été constaté depuis 1929. Les réexportations ont atteint £ 5,206.000, soit une augmentation de £ 1.291.000 sur le mois correspondant de l'an-dernier.

Les importations ont atteint une valeur de £ 87.809.000, chiffre qui n'avait pas été constaté, pour le mois en question, depuis 1929. Par rapport à 1936, l'avance est de £ 15.913.000. La progression constatée sous les deux rubriques, par rapport à l'an dernier, est due, dans une grande mesure, à la hausse des cours.

Par rapport au mois de septembre 1936, le déficit commercial britannique s'est donc accru de £ 7.320.000, à un total de £ 38.340.000.

Pour les neuf premiers mois de l'année, la valeur des importations s'établit à £ 741.888.000, contre £ 607.979.000 dans la période correspondante de 1936; celle des exportations, à £ 385.652.000, contre £ 320.092.000 et celle des réexportations à £ 59.375.000 contre £ 45.713.000. La balance négative est, jusqu'à présent, de £ 296.861.000, contre £ 242.174.000 il y a

de francs

iFE^lwEETÉ IDES MINES D'OB.

.et de la plupart des internationales, tandis que les Rentes et les valeurs françaises subissent des réalisations. La situation de la Banque de France.

© La physionomie du marché s'est quelque peu modifiée hier. A l'inverse des séances précédentes, tandis que les rentes et les valeurs françaises s'affaiblissaient, les internationales surtout dans la seconde partie de la séance se sont affermies. Les mines d'or notamment gagnent des fractions de l'ordre de 3 à 4

© La raison de ce mouvement de bascule doit étre trouvée dans la mauvaise impression faite par la dernière situation de la Banque de France, encore que le fait n'ait eu rien que de prévu, et dans la tension des changes à ternie qui en est résultée.

© De plus, et nous le signalions dès hier, on avait l'impression que le groupe français était arrivé à un plafond temporaire.

© II faut noter que l'excellence du résultat des élections cantonales, tout en consacrant le fait que le cap de la crise politique française est désormais doublé, risque de prolonger la crise technique. Il est à craindre que, dans l'euphorie de son succès électoral, le gouvernement ne s'endorme et ne reporte une date indéterminée les réformes nécessaires. Les diverses séries de rentes cèdent un peu plus d'un demi-point en moyen- ne. Le 4,50 1937 est l'objet de réalisations importantes et perd. 85 centinzes. © La situation de la Banque de France, arrêtée au 7 octobre, fait ressortir un prélèvement de 920 millions au compte de l'Etat correspondant au remboursement des bons 4,50 J934, le 5 octobre et un gonflement inusité du portefeuille d'effets escomptés de 1,035 millions. La proportion des enga-

PARIS

PRINCIPALES FLUCTUATIONS

üausse

Credito Argentino. 905 +19 Egypte Unl!1ée 3079 +39 Suez. 25950 +E85 Central Minlug 3370 +115 Geduld 1318 + 43 Banque d'Egypte 5845 +100 Crown Mines. 2043 +68 Sub Nigel. 1509 +40 Rand Mines. 1140 +58 De Beersord. 2040 +35 8aiase

4 0/0 1017 71 20 0 60 50/01920. 97 60 0 80 40/01925. 102 70 045 41/2 1932A. 77 05 055 41/21937. 108 90 0 85 Banque de France. 6480 -150 Crédit Lyonnais 1473 42 Pechincy. 1982 51 Saint-Gobain 1996 74

PRINCIPALES TRANSACTIONS En francs <f« rente

t 0/0 .i 747.537 4 1/2% 32 A 2.430 453 4 0/0 17. 112.790 4 1/2% 32 B 2.029.203 4 0/0 18. 547.230 4 1/2 1837.. 1.414.980 5 0/0 20 247.325 Ob. 3 A 36 A 4.622.700

4 0/0 25. 230.260 Ob. 4 36 B 2.327.700

En tttru i

B. de France 385 Saint-Gocain.. 1.159 B. de Paris.. 3.463 Air Liquide.. 4.183 B. Un. Paris.. 588 Quilmès 191 (i. Lyonnais. 1.786 Caoutch. Ind, 796 Suez cap. 306 Distiller. Ind. 607 Tr. Shanghaï. 381 Indo Hévéas.. 455 Dtatrib. Klect 3.942 Say 1.730 Forges N.-Est 2.697 Terres R 893 Tréfileries 659 Canadien Pae. 7.169 Courrières. 3.484 Wagons-Lits.. 4.907 Len» 3.193 Central Mining g 916 Maries 835 Geduld M. 3.093 Nickel 1.318 Rio 2.190 Penarroya 3.114 Azote 339 Fr. des Pétr.. 1.081 Royal Dutch.. 3.880 Uglne 1.567 Amsterd. Rub. S50 Kali Ste Thér. 2.719 Cr. Nat. 1919. 1.367 Kuhlmann 3.413 Cr. Nat. 1920. 1.727 P<s«?ftlnw l.smi Cr. Nat. 1M3. 1.484 Rhône-Poulent 1.920

BOURSE PU 1«5- OCTOBRE 1337

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VALEURS C!ôt:d 08rn. FLEURS précdd. coura VALEURS prdcdd. couro VALEURS préçéd, cour.

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gements à vue à l'encaisse revient à 50,65 p.100 contre 50,91 p. 100. © Dans le « Capital », M. Joseph Barthélemy blâme les expédients que multiplie l'étatisme, Parlant de l'excédent de recettes présenté pour le budget de 1938 par le ministre des Finances, il écrit Ce p l'étendu excédent est fictif, puisqu'il ne porte pas sur l'ensemble des recettes et des dépenses de l'Etat, mais seulement sur le budget ordinaire. Un particulier qui se fabriquerait ainsi des bénéfices avec des jeux d'écritures serait vite ruiné. L'ensemble des dépenses prévues dépasse en effet les recettes prévues d'une bonne douzaine de milliards. On ne change rien aux choses par l'invention mirobolante qui consiste à prétendre que certaines dépenses ne sont pas des dépenses véritables mais des investissements, c'est-à-dire, en termes courants, des placements. Par exemple, un propriétaire qui fait ajouter une aile a sou habitation ou augmente les gardes de son domaine fait des Investissements. Mais, ait bout de quelques années, en dépit du mot savant, il est mine.

@ M. Robert Lacoste écrit dans « Finances Publiques »

La dévaluation d'octobre ne pouvait réussir que si la pause l'avait suivie immédiatement, écartant l'augmentation ultérieure du prix de revient et la remise en question de l'équilibre des prix intérieurs et extérieurs. Cela supposait l'abandon de certaines des lois votées, une déProduction américaine

d'électricité

La production d'électricité aux EtatsUnis pour la semaine terminée le 9 octobre s'est élevée à 2.280.065.000 kwh. soit 5,1 0/0 de plus que la semaine correspondante de 1936.

LONDRES bien disposé

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VALEURS p clôt Dem. ll 4AlEU8S C\6t. 1 Darn.

VALEURS préoéd (^ | VALEURS prêGéd. cours

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BRUXELLES soutenu

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mission inconcevable de la classe ouvrière; une dévaluation plus ample s'imposait donc certainement.

Mais il est possible que l'état des re- lations internationales et la course aux armements rendent aujourd'hui toutes ces discussions vaines. Le stade de la dévaluation, si l'on peut ainsi parler, est sans doute dépassé il est probable que les réformes de structure et la réglementation des mouvements des capitaux dont ou n'a pas voulu pour consolider la reflation par voie de réformes sociales inaugurée en juin 1936 s'imposeront pour financer les dépenses d'armement.

Ceux qui n'ont pas voulu de la théorie du pouvoir d'achat s'y rallieront peutétre bientôt mais au sein d'une économie de guerre!

© Londres est bien disposé dans l'ensemble. On enregistre la fermeté particulière des mines d'or.

1 © Au Métal Exchange, le cuivre atandard cède 4/4 1/2 à livres 45/8/9. Par contre, l'étain gagne livres 2/10/0 à livres 226112/6, le zinc 1/10 1/2 à livres 17/18 1/2. Le plomb est inchangé, à livres 18/0/7 1/2.

Il a été traité 1,100 tonnes de cuiure, 400 tonnes d'êtain, 650 tonnes de plomb et 1,750 tonnes de zinc.

© New-York est lourd en clôture. Le marché, qui était ferme pendant la séance, baisse brusquement vers la clôture, qui s'effectue en baisse de 1 à 8 points. Total des transactions 1.680.000. © Jl a été vendu, sur le marché libre de l'or à Londres,, 95 barres d'une valeur de 266.000 livres sterling environ, au prix de 140 sh. ,4 p. par once, cours, inchangé. Ce prix, basé sur les offres et demandes, renferme une prime de 2 p. sur la parité du dollar à 4,96.

NEW-YORK hésitant

VAl~URS 1 clôt. 1 Dern. Il VAlEURS 1 ç¡it; 1 Bern.

VALEURS précéd cours MLEHK prâeéd. coure

AlrReii». si » .»• M»» Ma»» »»/4 87 1,» AUieiaem lit m 1/4|*«wmot«. S/» M. Amer. cas. 83. 93 1/4 Kntsoae. 41 t/4 40 3,4 AmcrSmel. 33. 57 Rat-Dairrï 16 1/» Si !/» AoLT.eiT 'M 1,8 151 1/3 Rat. DtStil. 34 1/4 24 1/4 Am.TotacB. 13 ̃ n 1/8 B.-Y.ttïtr. il 7/8 sa 3/4 Aiacoida.. a 3/8 31 Sorti Am»r »,8 la i/8 Atokison.. 46 1/4 43 1/5 PMBJlva», 24 1/2 23 7;8 uanad. ï»c. 8 3/8 s s/6 fuMicSon; 36 1,8 se t;4 Case. 111. 103 1/î RaâiQ S 8/4 J 3/4 Ser.d.PasM 53 1/2 51 ReﻫWs.. «5 7/8 49 oiiBs.».Oiile 1/i M t,3 Sear» Kosh. 67 1/2 « ^OB-SoUe» » »7,iSkial 17 3/4 17ïy4 UOMOl.Edls 27 26 S/4 Si. Braais. 9 3./« » s;» Jty 13/4 4S,6 St.OUlliHJ 3/4 tl 1/î tirysler. 80 3,» 7S 3/4 TexajCcrp. H « 1,2 BttPost. 128 5/8 128./ leia» 6bU. 30 1/2 30. Bl9cB.a.S. S. 9»/2 SW UïtoaPacI. w 3/4 9*1/2 Gener.aec. 40 39 7/1 Bnit-AIrCr 31 3/4 M 1/4 Ge»er. Bot 7,'S 41 B. S. Saatt. es. M. aoodj»ar.. 24 J/8 22 3/4 U.S. St««l. «S 66./

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MARCHES COMMERCIAUX

Cours | Dern.

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LES COURSES AU BOIS DE BOULOGNE Deux beaux handicaps

Devons-nous dire, pour l'éloge, le ou tes

handicapeurs de la Société d'Encourage-

ment En tous les cas, l'un d'entre eux ou tous les deux étaient, hier, en grande forme, car le Prix du Connétable, handicap pour deux ans, et le Handicap Limité, pour trois ans, se sont terminés l'un et l'autre par des arrivées terriblement disputées. Dans e premier, le plus petit poids Tassili n'a, en effet, battn le plus gros poids, Milord l'Arsouille, que d'une tête (félicitations au jeune Gaudinet pour n'avoir pas désespéré) et, dans le second, le juge n'a pu départager le tenace Tout Souleou et {"élégant Vent du Nord, à la pointe fulgurante, mais un peu brève. Venu dix mètres plus tard, Vent du Nord aurait gagné seui, mais le meilleur jockey lui-même peut se tromper de ça.

Les deux Prix d'Automne, sur 1.600 motres, sont revenus à des deux ans inédits, Legend of France pour les poulains, et Turtupinade pour les pouliches. Il a paru que le lot des mâles était supérieur à celui des femelles. J. Trarienx.

PRIX DES CHAMPS-ELYSEES

(A. réel. 10.00(1 francs, 2.000 m.) J. Khorassan 53 (P. Francolon) .O. 13 50 (à M. A. B- de Puchesse) P. 8 » 2. Floréal 52} (L. Tache) P. 21 50 3. La Mist' eu l'A. 54 (R. Gaudinet)P- 16 50 Non placés Hatiès 54, Belle des Prés 54, Zahra 564, Sequana 53, Toute Rose à6J. (1 long., 3/4 long., 2 ilong.)

PRIX JOUVENCE

(25.000 francs, 4.800 mètres)

Ec. de BoUiscuild 6. 6 » 1. Turbotin 55 (C. Bouillon) F- 6 » 2. Trévisani 59 (P. Villeeourt) P. 6 » Jumelé 12 50

3. Evohé II 57J, Prédicateur 57.

(3 long., 5 long., loin.)

PRIX DU CONNETABLE

(Haud. de 2 ans. 20.000 fr., 1,400 m.) 1. Tassili 41i (R, GnudlneU G. 68 50 (à M. Maurice Porte) P. 17 » 2. Milord l'Ars. 54 (R. Brethés).P. S » 3. Nevil 504 (L. Robson) P- 12 50 Non placés Belle Lolette 40, Ramona IV 44, Fadette 11 41, Rousserple 49 1/2, Lacotterie 45J, Nitakrit 44;, Umêa 44, Pénthée 42, Trois Mou!. 4SI.

(Tête, 1/2 long., 1 long. 1/2.)

HANDICAP LIMITE

(40.000 francs, 2.400 mètres)

1. Vent du Nord 56 (G. Duforez).G. 30 50 (à M. H. La Mootagne) P. 23 » 1. Tout Souléou 34, (P. di Cicco)..G. 17 50 (à H, Mon Volterra) .P. 12 50 2. Flniand 49 (A. Chéret) P. 36 50 Non placés Tamaris II 544, Mon Cher Maître 60, La Chope 48, MalSowicïe 54$, Fazulbhai 51. Carpi 50. Sorix 484, Tire Larigot 47, Normaîist 46, Copyright 45J, Syndicaliste 45.

Dead-beat, 1 long. 1/2, 1 long.)

PREMIER PRIX D'AUTOMNE

(15.000 francs, 1.600 mètres)

1. L. of France 52 (W. Johnstone).G. 272 50 (à SI. L. L. Lawrence). P. 68 50 2. Foxglove 52 (C.-H. Semblât).?. 9 » 3. Gay Lord 52 (G. Bridgland) P. 62 » Nou placés Lago Maggiore 52, Gaël 52, Bisoutoun 52, Le Radjah o2. Vaisseau Faurtôme 52, Chichourjier 52, Molitor 52, Laquais 52, Sapho's Grey 52, Trlancpurt 52. (1 long., 2 long., encolure.)

DEUXIEME PRIX D'AUTOMNE

(15.000 francs, 1.600 mètres)

1. Turlupinade 52 (C. Bouillon)..G. 33 » (au baron E. de Rothschild)., P. 18 59 2. Magalo 52 (R. Brethès) P. 12 50 Jumelé 49 »

Non placés Cutie 52, Pamiua 60, La Lumière 52, Saucy Sarah 59, Séductrice 5». (Encolure, 1 long., 2 long.)

A ENGHIEN

Aujourd'hui, à 13 h. 15 Courses à Env ghiei». Gagnants du Figaro

Prix de Treyes. Maori, Borréca. Prix de l'Aube. Dalagos, Albauy. Prix à'Kpernay. Kribi, MaSmou. Prix Styrax. Sundange, Bénédictus. Prix de ta Champagne. Porte Bonhtur 11, Treize Mai.

Prix du Mont-Blanc. Littry, Estafette. Prix Jongleur. Kermesse LX, Klddie.

100

MOTS CROISES

Horizontalement. i. Ils préservent Je» charges de certaines âmes. II. Sans auxi- liaire Borne. III. Du nom d'un petit repas vespéral Les connaisseurs la réchauffent dans leurs mains. IV. Exprime les voeux d'une assemblée. V. Pronom II comporte cinquante grains. VI. Conséquence, pour beaucoup, de la vie chère Abréviation musicale. VII. Fin d'infinitif Les anciens en faisaient des serviettes incombustibles (plur.). VIII. Quartier du 16« arrondissement Initiales d'un corsaire. IX. Sert à mesurer une immense muraille Deux lettres de « Menton » Révèle une brusque souffrance. X. Disjonctions. XI. Manies d'idéologues Concerne des porteurs de jupons.

Verticalement. 1: Timbrer. 2. Manque de zèle Glace anglaise. 3. Célèbre calife Phonétiquement salutation augélique. 4. Deux lettres de « Maupéou » Destiné au nieunier. ô. Sont à l'origine de certaines chaînes. 6. Fin de participe Possessif Phonétiquement invitation au départ. 7. Ancien vivant Corps relativement très petit. S. On t'invoque pour

certaines ouvertures Utilisée par les ven-

dangeurs Initiales d'un illustre Trécorrois. 9. Décorai Vieillesse. 10. De noble origine (/ém.) Se disait d'un fonctionnaire en retraite. 11. Pronom Gros pinceaux.

Solution du IV° 142S

COURS DE LA VILLETTE Gros, bétail 3.330 amenés et 1.63S aux réserves. Renvoi 80 (au kilo de viande nette)

Bœul's. extra 10,40; première qualité, 9,80; deuxième, 8,60; troisième, T.20. Veaux 1.J28 amenés et 7ï6 aux réser. ves. Renvoi 106 (au kilo de viande nette) Extra 13,00; première qualité, 13 deuxième, 13; troisième, il.

Mouton» 7.506 amenés et 4.675 aux réserves. Renvoi 500 (au Vilo de viande nette)

Extra, 17,60: première qualité, 16,20 deuxième, tl,80; troisième, 8,50. Porc* 1.359 amenés, 1.373 aux réserves et 4.756 entrés directement (an kilo vif) Extra, 7,60; première qualité, 7,30 deuxième, «,80; troisième, 5,60.

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Bourse du soir

Metropotitain. 919 jouiss. W. Plan \oung. 383, 384. Foncier Egvptien. 5,050, 5.060. Canadien Pacifie. 259, 262, 35". Philips. 4.200. 4,250.

S. K. F. 2.300, 2.305, 2.298..

Central MlnlnK. 3.270.

Geduld. 1.322, 1.S23. I.31S.

Rio Tinto. 2.565, 2.575. 2.545.

Norvégienne de l'Azote. 1.303, 1,355, Royal Duteli, 5.!)0U, 5.015, 5.S80. Amsterdam Bubbrr. X020, XWfl». H. V. A. 30.650, 36.000.

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'Jusqu'au 17 octobre, à 15 heures au PARC DES PRINCES

Championnat d'Europe de rugby Du 18 au 21 octobre Baskett BaJl (Palais sportif Exposition)

SUR LA SEINE le 16 octobre, à 14 h», Grande Journée Motonautique "organisée par le Y.M.C.B. et le Cercle de la Voile de Paris.

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Le Vin (Rosenihal)

Lundi 18 octobre, à 21 h. 30 « Fantastique » (Vcllones)

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LES TRANSPORTS AUTOMOBILES ̃Jt La Fédération générale des transporta automobiles a tenu, hier, son congrès annuel. La réunion a été préfedee d'un banquet, auquel ont pris part des personnalités de radminiitration, <!u Parlement et de la presse, aux côtés 'de M. André Mariage, président de la Fédération.

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Vendredi 15 octobre

20 h., LONDRES REGIONAL Orchestre B.B.C. et Muriel BrunskUl, contralto La Reine des fées (Purcett) danses SemeU, récit et air (Haendel) Beni mura, suite (.Bolst) ;̃ La liatteie du Timbalier (Saint~aïms) Béatrica es Bentdlet, ouverture

(Berlio5).

2OWÂ.'3O, TOUR EIFFEL Musiques icritei. pour le ̃ microphone Feuilles d'images (Aubert), Giration (Pierné), Radia panoramique (Honegger), Géographiques Uaubert), Sens unique (SchmM), A travers Paris (Beydts), Tarn Tam (Tomasi), Orchestre National sous la direction de M. Manuel Rosenthal.

23 h., RADIO-PARIS Concert de nuit sous la direction de M. Rhené-Baton. avec Mme MalnoryMarseillac Sinjonia en(W. Fr. Bach), Cantate 202 (/S. Bach); Les heures dolentes (Dupont) La procession du Ratio dViua) Bal des pendus (Bondeville).-

ORCHESTRE

1S h. 10 DEUTSCHLAND Cancer; (Cheruoini, Busom.- Bcrlios, Pfitzner, R. Strauss). 18 h. 30, HAMBOURG Festival Brahms. 19 h COLOGNE De Sarrebrück, concert aile-, j mand (Bach, Mozart, Beethoven, Wagner. Weber). 19 h. 10, LEIPZIG Concert.

20 h. I5, WELSH Orchestre B.B.C. (Offea>aii, Massenet, Humperdinck).

21 h. 20, VIENNE Soirée Von Franckenstein, irchestre eoUs la direction de l'auteur.

,MUSIQUE DE CHAMBRE ET SOLI

17 h. 10, HAMBOURG Concert ponr trois

lianos.

17 h 45 RADIO-PARIS Pièces pour piano. 18 h., PARIS l'. T. T. Pièces pour clavecin. 1S S. îS, LONDRES REGIONAL 'Piano. 19 h. 30, RADIO-PARIS Quatuor vocal Seupel. 20 h-, TOUR EIFFEL Concel 20 h. -sO, RADIO-PARIS Récital violon et piano par M. R. Soctens et M. Tibûr Harsanyi. MUSIQUE LEGLKE ET VAHIETES

17 h. 45, STRASBOURG Concert varié. 20 h., RADIO-CITE Gala des vedettes avec

Jeanne' Aubert.

JeTonlA5sf POSTE PARISIEN Se k OiltéLyrique Roi du Cirque.

21 h.. R.\DIO-PARIS Variétés.

OPERi*

1S h. 55, BUCAREST Les Noces de ïigaro. opéra en actes de Mozart. 20 h., LILLE P. T. T. Boris Godounov. opéra en 4 actes de Moussorgsky. ̃ 20 h., ROME :'Aucassin et Nttolette, opex», comique de îîarbieri-

THEATRE

14 h. 30, RADIO-PARIS Marie ou a, manière douce, comédie en trois actes de Claude-Roger Marx. Première audition.

20 h. 30, STRASBOURG Théâtre de l'Odeon La ville -morte,. de Gabriele d'Anaunzio. Deux 'émissions qui font farenr t LE QALA DES VEDETTES Chaque* vendredi à 19 h. 55 à Radio-Cité (rotransmissiori du Ciné Normandie) Aujourd'hui Jeanne Aubert

En première partie Max'-Blot, présente, le tirage au ̃sort' d'un renard argenté offert par Brunswick. ̃

LE BAR DES VEDETTES Chaque jour à 12 h. 30 à Kadto-37 Deux émissions offertes par Brunawtek Samedi 16 octobre

20 h., TOUR EIFFEL Depuis Bruxelles, retransmission de T « Hommage à Albert Roussel », organisé par FI. N. R. Grand Orchestre symphoiiique sous la direction de U. Frans André, avec Mme Marcelle Meyer, pianiste, et Mme Sariban, cantatrice: Deuxième Suite de Bacchus « Souvenir », causerie par il: Weterings Concerto pour piano et orchestre La. Réponse d'une épouse sage Quatrième symphonie. Orchestre B. B.. C.

21 h., NORD REGIONAL Orchestre B.B..C. Suite en sol'U.S. Bach) Ma mère l'Oye (Ravel); Le triomphe de Neptune (Berners).

21 h., LUXEMBOURG A la mémoire de G.

Pkrnê, A. Roussel et Ch. Ssymcnowsky, Concert

symphonique sous-la direction de M. Pensis, avec M.. Ignacy Blochman, pianiste Izëyl iPierné)

Symphonie, concertante pour piano et orchestre

iSzymanowsky) Viennoise (Picrné) Quatrième

symphonie pour orchestre (Roussel).

ORCHESTRE

9 h. 15, RADIO-CITE Répétition générale du Concert de 0. S. P.

16 h., NATIONAL ANGLAIS Orchestre B. B. C. (Schubert, Haydn, Saint-Saëns, Bach). 18 h. 10, BRESLAU Concert (Stotzell, Giuck, Montcverdi, Haendel, Bach).

1S h. 10, STUTTGART Concert.

20 h. 5, VIENNE Soirée Emil Sauer. Orchestre sous la direction de M. Oswald Kabasta Conçeito en mi mineur (E. Sauer) Concerto en la majeur (Liszt).

20 h. 50, NORTHERN JRjiLAND Orchestre

B. B. C.

21 h. 10, LONDRES REGIONAL Symphonie pathétique (Tchaikowsky).

MUSIQUE DE CHAMBRE ET SOLI

1.3 h. 15. RADIO-PARIS Mélodies (Chabrier, d'Indy).

19 h., SUISSE ROMAiNDii Çuuteti.

21 h., MILAN Concert de musique de chambre. 21 h. 30, DEUTSCHLAND Sonate en fa majeur (Loeillet) Andante en ut majeur (Mozart). MUSIQUE LEGERE ET VARIETES

Mb. 30, PARIS P. T. T. La T. S. F. à l'hôpital.

15 h., POSTE PARISIEN Relais de Music̃HaH.

15 u. 30, RADIO-CITE Le Club des loufoques. 16 h. 15, RADIO-PARIS Emission enfantine. 20 h., PARIS P. T. T. Demi-heure gaie Evocations radiophoniques par P. Clérouc. 20 h., RADIO-CITE Les chansonniers en liberté.

20 h. ROME Zfngaresca, opérette de Franz Lehar.

20 h. 25, POSTE PAIUSJEN Le dernier salon où l'on cause, par Mas Régnier et sa compagnie. 20 h. 30, PARIS P. T. T. Cocorico, opérette en trois actes, 4* L. Ganne.

THEATRE

21 h., RAIHO 37 Depuis ie Théâtre des Deux-Masque» Les Mauvais anges.

23 h., PARIS :P. T. T. Mai 36 présente < Le marin d'Aline ». troi*i actes de F. Noziêres.

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"La programme de fabrication présenté, cette année, par Gabriel Voisin, au Salon, rallie tous les suffrages des amateurs de belle mécanique. Le. nom. de Voisin est,

du reste, attaché à révQlutiQn.j.4» deijx de e

nos 'pnre "importantes indtistriëïiyïn France; l'aviation _et l'automobile.

En dehors de la" nouvelle voiture que nous avons présentée, .Voisin construit, aussi, ses modèles classiques bien connus. ̃ La 12 eyl. de 6 litres de cylindrée termine la' liste de ces constructions.

Le moteur constitué par un 12 cylindres, en ligne, développe 180 CV. à quatre mille tours. Carrossée avec des formes appropriées, la 12 cylindres « Voisin » atteint deux cents kilomètres à l'heure et permet d'établir, dans des conditions de confort et d'emplacement exceptionnels, la voiture de tourisme la plus vite du monde. Dunlop f

'Au stand Dunlop une abondante et., intéressante documentation est mise à la disposition des visiteurs qui y puisent des enseignements précieux, tant au point de vue économique qu'au point de vue- spor-

tif. ̃

'Dunlop ne s'est pas contenté, en effet de: remporter, avec son célèbre pneu « Fort », les plus importantes épreuves dé la saison

Les Grands Prix de l'A. C. F., de la Marne, de Pau, de Tunisie, du Sud-Afrique, de Bône, de Picardie, d'Albi, la Coupe dé la Commission Sportive, le Bol d'Or, les 3 heures de Marseille, les 24 heures dû Mans, le Rallye de Monte-Carlo, etc, et d'équiper la Delàhaye gagnante de la prime du million, il a encore réussi à réaliser des tours de force en ce qui concerne lés prix de vente.

Le prix d'une envelope et d'une chambre Dunlop pour voiture 10 CV, en 1926, était de 5*0 frs en 1937, il est de 239 frs, soit une baisse de plus de moitié.

Par l'amélioration de la qualité, le prix du kilomètre pneu a baisse de 0 fr. 045 en 1926 à 0 fr. 010 en 1937.

Ainsi M dépense réelle est aujourd'hui quatre fois et demie moindre.

On comprend qu'à" l'énoncé de ces indications le lidèle client de Dunlop se déclare satisfait et que le Président de la République, lors de sa visite, n'ait trouvé qu'une exclamation à l'adresse de M. Pétavy, administrateur délégué de la Société Dunlop « Continuez. »

Salmson

Chaque journée accentue le succès de e Salmson, dont le stand est littéralement assailli par, les nombreux fidèles de la marque. Les vendeurs sur le stand ont fort à faire pour instruire tous ces visi-

AVEC 3.277 KM. 500 à la moyenne horaire de 136 km, 563 une motocyclette Gnome-Rhône a battu le record du monde des 24 heures

Hué. nouvelle et belle performance a été « réalisée, hier, à l'autodrome de Montlhéry, par une équipe composée de Bour&uin, Re- 1 glu, Besnard, Maingot et Fournel, pilotant une Gnome et Rhône, de série, 750 ce, qui s'est attaquée au record des 24 heures qu'eue a très' nettement et très régulière- ment battu. Dans les deux tours de cadran, 3.277 km. 500 ont été parcourus, ce qui donne une moyenne générale de 136 km. 563, alors que, pour la même durée, le précédent record était de 3.325 km. 602, soit à la l moyenne .de 13d-km. 320. En: outre du record général, la Gnome et Rttône s'est approprié les records suivants

3:000 km. en 21 h. 59' 54" 15/100 moyenne 136 km. 370. 2.000 milles, en 23 h. 34' 12" 93/100. moyenne. 13 6 km. ôfirt.

Ce résultat est l'aboutissement d'une série d« performances qui mettent la fabrication Gnome et Rhône au tout premier plan de < l'industrie motocycliste française II nous suffira de rappeler, pour, l'édifi- l cation de nos lecteurs, que cette même < 750 ce, en endurance, a tourné à Mont- 1 lhéry, sans arrêt, pendant 4 jours et 4 nuits à la vitesse de' 109 km. à l'heure, s'appro- ( priant,' entre autres, les' records des 96 1 heures, lo.000.km., 5.000 milles, 'et plus 1 récemment, en vitesse solo, les records des t 2.000 km., à 145 km. 877 et des 13 heures-, à i 47 Sm., ainsi que le record ûe l'heure I sidedar, à 147 km. 854. a L'exposé de ces résultats suffirait, à lui 1 seul, à souligner la haute valeur de la cons- ( truction Gnome-Rhône, car en matière de re- c c

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tours, avides d'être abondamment et complètement documentés sur la dernière créa- tion de Salmson, la S 4 DA., la nouvelle 4 cylindres à 2 arbres à cames en. tête, ce qui est une'formule qu'affectionne Salm-

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Munie de "nombreux perfectionnements,

îoïSfs- avant Indépendantes, barre- *«6V toï* f sion, châssis tubulaire, etc. cette voiture de grande classe» répétons-lé, atteint, le 135 à l'heure avec une consommation contrôlée de 13 1. 800 aux cent kilomètres. ('/est une très belle acquisition i>our de vrais connaisseurs. Rosengart y

Notre grande marque française des pc- tites voitures, suivant une ligne de conduite bien déterminée, améliore toujours la qualité et la sécurité de ses voitures. Elle présente, en effet, au Salon, sa fameuse Supercinq modernisée par une suspension assouplie, par un moteur d'un rendement accru, bien que plus silencieux parce que suspendu sur trois points, d'une consommation d'essence réduite et enfin par un radiateur d'une ligne moderne particulièrement heureuse.

Elle ajoute à sa gamme une voiture qui fera sensation, la Supersept, moteur 1120 cm3, 6 cylindres, donnant près de 30 CV. au frein, boite 4 vitesses. Cette voiture légère souple,'rapide et agréable est une digne descendante de la fameuse 0 CV. 6 cylindres.

Enfin, elle continue la fabrication de la Supertraction, voiture à traction avant, 4 roues réellement indépendantes, mais avec moteur de 2 litres de cylindrée, dont la réputation n'est plus à faire.

A noter que Rosengart fabrique actuellement 40 voitures par jour.

Talbot

Cette marque présente au Salon un nouveau châssis 4 cylindres carrossé en conduite intérieure 4 portes, très confortable, de ligne basse rappelant la célèbre Baby Talbot.

Le moteur d'une cylindrée de 2 litres 270 développe une puissance effective de 62 CV. puissance aux Mines 13 CV., soupapes en tête, allumage par batterie'et distributeur, boite à 4 vitesses synchronisées dont trois silencieuses, pont arrière couple Gleason, rpuès avant indépendantes, amortisseurs hydrauliques, freins Bondix à câbles.

Cette voiture livrée absolument complète avec accessoires de tout premier choix réalise une vitesse de 125 kms à l'heure. Son prix exceptionnellement bas pour une voiture de cette classe la fera rechercher par tous les automobilistes avertis.

On n'a pas oublié que Talbot fut autrefois le champion de la 4 cylindres avec ses fameux modèles types D. <i. et D. D.

eords', il ne s'agit pas d'atermoyer, mais il faut pousser au maximum le, rendement de la mécanique.

Or, nous qui connaissons cette superbe 750 ce, à transmission rigide, couramment employée dans les' formations motorisées et dans la police montée, à la plus grande satisfaction des conducteurs, nous. sommes certains qu'on doit attendre beaucoup mieux et beaucoup plus' de cette machine. Cette fois, elle a été utilisée bien en dedans de ses moyens et nous ne serons pas surpris lorsque, dans- une tentative nouvelle, elle reprendra la piste, de réussir avec la même aisance et la même régularité. C'est parce que depuis toujours, on a compris, chez Gnome-Rhône, que traiter la construction motocycliste autrement que sous' la formule automobile, c'est adopter une s'olutlon qui ne correspond plus aux exigences de l'heure.

Mais pour arriver à un résultat positif, en pareille circonstance, il faut disposer de moyens' pratiques importants, aussi bien en ouvriers spécialisés, qu'en outillage moderne et puissant, et s'appuyer sur une organisation intérieure capable d'assurer le meilleur rendement. Aux usines Gnome-Rhône, on construit selon les données de la technique la plus -récente et dans des conditions sévères de la matière et vérification constante de l'usinage.

Un travail sobre et sérieux vaut à GnomeRhône, aujourd'hui, des succès qui se sont accentués d'année en année et une confiance illimitée de la part de la clientèle qui sait apprécier et reconnaître la valeur d'une construction.

Après s'être consacré plusieurs années exclusivement à la fabrication des 6 cylindres, Talbot a voulu compléter à nou- veau cette gamme par un modèle J cylindres et cette dernière création, dont on parle déjà beaucoup, est appelée à remporter le jrèsjïjf succès qu'elle mérite. Delahaye

fa marque victorieuse

L'ensemble de l'exposition des automobiles Delahaye, tant au point de vue de la technique qu'à celui de l'élégance est remarquable. Poursuivant un effort ininterrompu, cette grande marque française a conquis une place enviée parmi les constructeurs qui ne produisent pas en grande série. Tous les modèles Delahaye 1937 ̃̃ 12 CV. 4 cylindres, 18 CV. 6 cylindres et 18 CV.. sport sont carrossés avec un goût parfait, leurs lignes modernes et harmonieuses sont d'une rare eifigsnee.

Quant à la technique, est-il même besoin d'en parler ? La construction Delahaye a montré ses qualités exceptionnelles de rapidité, de souplesse, 'Je maniabilité et de tenue de route sur ces bans d'essais redoutables des courses et des* compétitions. Le palmarès sportif de Delahaye est, cette saison, au moins aussi éloquent que celui des années précédentes il s'est enrichi d'une victoire particulièrement brillante dans le Rallye de Monte-Carlo enfin, rappelons que seul Delahaye a réussi à remplir les conditions imposées par l'A. C. F. pour l'attribution du fonds de course de 1 million. En réalisant sur 200 kilomètres, une vitesse muyeune de 146 kilomètres 654 à l'heure, Dreyfus a donné la victoire à Delahaye et a accompli l'exploit le plus beau et le plus caractéristique de la saison.

Un grand inventeur français Le prestige de la technique automobile française est lié a celui de ses techniciens. Pour arrirmer ce prestige, la Société des Iugénieurs de l'Automobile, en collaboration avec la Société des Ingénieurs civils de France, la Société française dos Mécaniciens, la Société d'Encouragement pour l'Industrie nationale, a constitué un comité dit Comité Beau de Rochas, en vue de rappeler les mérites de cet ingénieur français, génial inventeur du cycle à 4 temps.

Delage, plus que jamais, reste l'ambassadeur de la qualité et de l'élégance française/Par sa présentation nouvelle, le stand de Delage a. obtenu un succès sans précédent, en particulier la voiture que nous reproduisons est, sans conteste, la plus admirée de tout le Salon. Une heureuse présentation met, remarquablement, en valeur la ligne, d'une élégance rare de cette' nouvelle 8 cylindres. A côté de sa légendaire 8 cylindres, Delage présente, cette ~w année, deux autres prestigieux modèles: une 4 cylindres 12 CV et une 6 cylindres 17 CV, deux modèles aux possibilités étonnantes. Le présent Salon confirme à l'actif de Delage: la plus belle voiture française en tête' de, notre construction. '̃•̃•

LA QUESTION DU JOUR

Comment concevez-vous votre petite voiture ? Le public est invité par Peugeot, qui l ouvre un référendum, à donner son avis sur la voiture de ses rêves:

Vous aurez la voiture de vos rêves t Il est un fait certain que cette voiture ( idéale voulue par le public n'existe c pas. Nous ne parlons pas de la voiture >hénomène, mais de la voiture conçue selon les goûts de la clientèle, réalisée pour elle et par elle. Oui, par elle, et j 1 'idée est intéressante en ce sens qu'elle permettra de connaître les véritables aspirations du public en matière de carrosserie et de confort. En même temps; elle simplifiera Ja tâche du constructeur et lui fera réaliser d'importantes économies.

Il n'est pas douteux que l'étude et la réalisation d'une voiture surtout d'une voiture populaire demandent d'importants sacrifices.

Combien de fois les constructeurs, entraînés par le désir de^ la clientèle d'avoir sans cesse ,du nouveau, sont-ils amenés à mettre .en circulation des véhicules qui n'ont pas, faute de temps, réuni tous les avantages que le public est en droit d'attendre.

C'est pourquoi aujourd'hui Peugeot,avant de sortir un modèle nouveau, s'adresse à sa clientèle. Il enrichit la gamme de ses 302, 402 et 402 légère d'une petite voiture 6 CV, a propulsion arrière et à roues avant indépendantes, capable de réaliser le 100 à l'heure et consommant 6 'litres aux cent à la moyenne de 60 kilomètres.

Cette petite voiture, c'est la' 202 dont on parle déjàcomme d'une voiture sensationnelle -.dont le moteur et le châssis ont été l'objet de tous les soins, ont subi une mise au point sévère, dont nous signalions ces jours-ci qu'ils avaient porté sur des essais de 400.000 kilomètres subis sans incidents mécaniques. Comment ce châssis sera-t-il habillé ?

Voilà ce que demande Peugeot.

'̃' i: --̃̃ -1

A cet effet, depuis hier 14 octobre, on distribue au stand Peugeot, au Salon de l'Automobile, un questionnaire, que le public pourra obtenir également à la Société des Automobiles Peugeot, 29, rue de Berri, Paris-VIII".

A ce questionnaire, le public devra répondre précisément et donner son avis sur les aménagements qu'il souhaite

AU BANQUET DE L'A. C. F. M. de Rohan demande

à l'Etat de poursuivre

sa politique d'encouragement au sport automobiliste

Prenant la parole hier soir au banquet de l'Automobile Club de France, en présence de M; Ramadier, sous-secrétaire d'Etat des travaux publics, M. de Rohan,, président de l'A.C.F., a pose la question du «million » du fonds de course.

Très précisément, M. de' Rohan a demandé que l'Etat poursuive la politique d'aide aux constructeurs instaurée en 1937, au cours des années à venir. 11 a dit que •les au&miqshiUst.es qui .font, les frais; de. Ja subvention e comprendraient pas qu'on laissât disparaître dans le. gouffre du budget les sommes destinées à venir en aide à la construction automobiliste et à permettre les progrès techniques de l'industrie française*;

Nous devons à la vérité de dire que le représentant du gouvernement s'est abstenu de répondre à cette manière d'interpellation. Si bien que la question demeure entière.

Outre cette question précise, M. de Rohan tint à distribuer des félicitations. Félicitations méritées aux ponts et chaussées surtout, pour le bon état de nos routes, qui se transforment de façon satisfaisante. Félicitations pour la signalisation, que nous jugeons encore imparfaite toutefois. Félicitations aux coureurs présents ChirOn, Sommer, champion de France, Comniotti, R. Caraeeiolà, Wimille, Dreyfus, etc. Félicitations à Talbot, vainqueur du Grand Prix de l'AC.F. à Delahaye, gagnant de la prime d'un million, et à M. Charles Weifrenbach, animateur de la marque à Bugatti enfin.

Après lui, M. O'Gormann, au nom de l'A.f.A.C.R. M. Petiet, au nom de la Chambre syndicale des constructeurs M. Failliot, au nom de la Ville de Paris M. H. Franchomme M. Drigny, au nom de la presse sportive, prirent la parole. Pour terminer, M. Ramadier, sous-secrétaire d'Etat, remercia l'A.C.F. Mais, avec beaucoup de finesse, écarta les difficultés accumulées sur sa route et ne répondit pas aux questions qui lui étaient posées. Les sportifs ceux de l'automobile notamment, qui aiment les choses positives aimeraient trouver un jour un ministre ou un représentant de gouvernement capable de prendre la responsabilité de s'engager à défendre les intérêts de l'automobile, qui sont en définitive des intérêts du pays tout entier.

.Dans la nombreuse et brillante assistance, aux côtés de MM. Ramadier et,de Rohan, nous avons noté MM. Ed. Chaix, Petiet, Leuis Renault, Robert Peugeot, Pérouse, P. Roy, R. Failliot, V. Constant, Villey, Laurent-Eyuac, Wateau, Pétavy, P. Morane, Charles Weiffeubach, Peigney, F. Lehideux, Roland Marcel, Musnier, Desmarais, Gillabert, général Maurin, généra! Sarrigny, F. l Peugeot, Donnay, Ainsworth, Gentil, H. Laboûrdette, P. Marchai, Portal, etc. A. R.

rouver à bord d'une voiture, la forme le la carrosserie, la disposition des pla;es, etc..

Voici d'ailleurs ce questionnaire Forme aérodynamique ou classique ?

Carrosserie métallique avec ou sana toit ouvrant ?

Carrosserie avec capotage découvra-

ble en toile?

Deux places abritées ? ̃̃ ̃̃̃̃ ,s Deux places abritées plus deux dans le spider ?

Quatre places abritées ?

Quatre portes ?

Coffre arrière dans la carrosserie ? Malle extérieure prolongeant la carrosserie ? ̃ ̃

Porte-bagages sur le toit ?

Crochet .pour remorque légère.? Cric latéral à main ou cric automatique ? ·'

Réservoir d'essence arrière ou avant? Contenance du. réservoir en litres 7 Avertisseur ville et route ou ville seul ?

Tapis brosse, ou caoutchouc

.-̃• .'̃.♦' ̃- r

Telles sont les questions de-cet ingénieux référendum.

Ce n'est pas la première fois, certes,. qu'on fait appel au public pour corînaître' ses goûts exacts en matière d'automobile. La Société des Ingénieurs de l'Automobile, après une consultation, a arrêté un modèle de petite voiture qui' devait être le' prototype de la voiture populaire.

Mais c'est la première fois, croyonsnous,. qu'un constructeur s'adresse à la masse'avant de sortir un modèle. L'initiative est heureuse, intéressante à plus d'un titre. Elle doit, avant tout, permettre aux clients de Peugeot de trouver la voiture de leur goût, dpnt ils auront été les inspirateurs, celle qu'ils ont rêvée de posséder. C'est là le principal. Elle doit aussi avoir des conséquences heureuses pour l'ensemble de l'industrie de l'automobile. La voiture qui sortira de cette consultation sera, en effet, une voiture économique, construite en grande série, sur les indications du public. Ce sera Je véritable prototype-de la voiture populaire. André Reichel.

@

272 kms, 064 record du monde motocycliste sur le mille lancé battu par Taruffi à Milan

Sur l'autostrade Berg-arno-Brescia, le coureur italien Taruffï, pilotant une motocyclette 500 ce. entièrement carrossée et profilée à l'extrême, a battu plusieurs' records du monde de vitesse.

les deux essais ont donné Jes temps sulvants aller :M s'. 2/1'00. moy. 268; km. 5U6- retour 21 s. 27/100, moy. 268 km. 5 a 6,' temps, moyen 21 s. 295/1000, moy.

272 ktnt 06h.

Le précédent record était de 262 km; 700, pour .la catégorie 500.ee. et 270 km. 983 pour la' catég-orie 1000 ce.

Le record du kilomètre, départ arrêté, a également été battu avec- 24 s. 6/.100, à la moyenne de 149 km. 625, ancien record 147 km. 021.

LE SALON DE LONDRES A OUVERT SES PORTES HIER Le 3l« Salon de l'Automobile s'est ouvert, hier, à Londres, et durera jusqu'au 23 ou-

rant.

Pour la première fois, cette manifestation commerciale et sportive a lieu dans le nouveau parc d'expositions d'Earls Court, qui vient fl'être terminé.

La participation étrangère est considérable le nombre des voitures non anglaises est sensiblement égal a la production de l'in-

UNE VOITURE SENSATlONNii-ili

~LA. SlMC~-HUiT

On sait ce que l'automobile en général doit à Siirica., La sortie de la petite Simcaci/wa amené, en effet, à l'automobile une foule de nouveaux clients qui ignoraient autrefois les joies et les avantages que procure l'automobile. Aujourd'hui, c'est autant de clients convaincus, conquis, heuréûx de posséder une voiture, de pouvoir, grâce à elle, goûter les joies du tourisme. Mise, en goût, cette clientèle ne devait pas s'arrêter en si bon chemin. A l'admirable deux-' places réalisée par les usines dé Nanterre; il fallait ajouter une quatre places réclamée par la clientèle.

Cette quatre places est née, c'est la, Simcahait dont l'apparition au Salon de l'automobile obtient un succès, sans précédent. On eut dire, en effet, de la Simcâhuit [ qu'elle est une voiture sensationnelle par ses perfectionnements, par ses performances. ',[ "̃>

Celles-ci ';se résument ainsi':

Plus de 110 kilomètres à:Vtieure.. Moins de; 9 .litres' aux. 100..

L'énoncé de ces chiffres se passerait alsément de commentaires. Mais il est bon de souligner que la Simcahuit est une voiture nerveuse, rapide, 'exceptionnellement brillante, capable de combler lés désirs d'une clientèle qui réclame une voiture agréable" à conduire mais c'est la seule voiture du marché qui possède en même temps que ces qualités de brio, la qualité éminemment nécessaire à notre époque l'économie.

Il faut. encore énnmérer. tous les perfectionnements techniques qui sont groupés sur la Simvahuit pour en faire une voiture

ô- ̃ i .̃̃̃ ̃' ̃-

LA COUPE LONClITUDINktE DE LA SIMéA-8 Le moteur à soupapes en tête et culbuteurs, –-lia Culasse aluminiuni. 4 vitesses et une marche arrière. Les roues avant indépendantes. Les freins hydrauliques sur les 4 roues. Les 4 amortisseurs hydrauliques. Le stabilisateur anti-deportant à l'AR. La carrosserie monocoque tout acier.

Recherche du meilear rendement et améliorions de détails

Le Salon de TAutopoluletConnaît, cette§! ̃ année, un, succès incomparable. Tous ceux qui ont foulé la Carpette du GrandPalais, qui ont évolué à travers les stands, ont pu se rendre compte que cette exposition est l'une des plus complètes, en même temps que des plus attrayantes qu'il nous ait été donné de voir iusqu'iei. Salon complet, -parfait, bien équilibré et intéressant en tous points.

Malgré une situation difficile, les constructeurs ont su conserver à la production son standing de développement dont on doit reconnaître "qu'il, fait le plus grand lionneur leur sciençe;et à leur .méthode.. II ne s'agit pas d'un salon aux présentations révolutionnaires, les temps en sont définitivement résolus. Mais, plus généralement et plus opportunément d'un salon du perfectionnement, du raffinement de la construction dans ses moindres détails pour atteindre à ce rendement optimum, qui permet de réaliser les économies, que la situation, impose et qui rend agréable la conduite des voitures actuelles.

Côté' moteur et plus que jamais la recherche des liants rendements est à l'ordre du jour, toutes les solutions ont été étudiées pour y parvenir et des dispositifs ont été adoptés qui Cournissent les plus larges satisfactions. On a augmenté fa;!compression possible, sans détonation, en utilisant pour les culasses un matériau à un alliage d'aluminium, bon conducteur de la chaleur et la répartissant uniformément sur toute la surface, en évitant les points chauds ». C'est un beau succès .pour l'aluminium, qui verra son-emploi se généraliser.

Egalement à signaler un soin évident de favoriser le graissage a circulation ininterrompue pour que toutes les parties du moteur soient également- et ju- dicieusement lubrifiées.

Développement de toutes ,lcs formules qui ont fait école et qu'on trouve partout les boîtes à 4 vitesses, de plus en plus en. route vers l'automatisme, les roues avant indépendantes, profilage des carrosseries qui favorisent à la fois tenue de route impeccable et économie "énérale.

Iln'yîa a rien de très apparent sur les voitures les^progrès ne se décèlent pas 1; à l'œil à un simple examen, mais on sait que quelque chose a été modifié, qui se traduit par de grands avantages. i,, un agrément de conduite incomparable

et une économie à-laquelleon ne: saurait

porter trop, d'attention.

Georges Bonnet.

Ci'PA ~c~

e~ C~

]

de très grande classe moteur sm-puissàufti un 4 cylindres de 1.100 cm3 de cylindrée qui développe à 4.000 tours-minute, plus de .32 CV de puissance effective soupape. en tête et culbuteurs, culasse aluminiun» dont les avantages sont aujourd'hui universellement connus carburateur inversé, vilbrequin sur trois paliers, suspension spéciale du moteur, quatre vitesses synçnrpnvsées, la troisième vitesse silencieuse suspension avant à roues indépendantes, stailisateur de roues arrière anti-deportant assurant un confort de marche remarquable quatre freins hydrauliques, carrosseïi» monocoque tout acier.

'Inutile d'insister donc sur tous les ayan» tages que présente la Simcâhuit, avantagea dont ";les usagers pourront constater les' etfets dans la tenue de route. Si l'on ajoute à cela l'évidente sécurité que procurent une carrosserie monocoque tout ac<er,resistante comme une forteresse ;!des frein» hvdrauliques efficaces et sûrs des roues avant commandées séparément des glaces Sécurit partout une tenue de route à toute épreuve, on conviendra que la Simcahuit est la voiture qu'attendait toute une clientèle importante. c,'

Conduire une voiture puissante, nerveuse, brillante comme une voiture dé sport,! se griser d'espace, de grand air et de vitesse, se sentir des réflexes tout neufs grâce a perfection mécanique de cette voiture, tels sont les rêves que permet de reâhserr Simcahuit. Mais elle met ces rèvrs à ia portée i d» tous ceux que des soucis légitimes d'économie éloignaient jusqu'ici des voijures puissantes. ''̃̃: ̃


ECONOMIES

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GAZETTE DES TRIBUNAUX l LE PROCES HOSTALIER Le chanoine Arthur Leroy

est acquitté

Les jurés de la Seine ont rapporté un verdict négatif en faveur du chanoine Arthur Leroy, président de la Fédération agricole du Pas-de-Calais, de son comptable Henri Leclercq, et de Victor Hennequet.

En revanche, René Paillet, commis d'agent de change, et Eugène Nachbaur, ancien avocat conseil, reconnus coupables; Qnt été condamnés à trois ans de prison et à cent francs d'amende. Gaston François s'est vu infliger cinq ans de prison, mais avec sursis.

Un conseiller municipal

est condamné à 1.000 franca d'indemnités

Le 24 novembre 1936, à la suite d'une discussion survenue entre patron et barman, au sujet de la répartition des pourboires, M. Darquier de Pellepoix, conseiller municipal du quartier des Ternes, qui se trouvait dans un café situé rue François-I", avec sa femme, ayant fait remarquer que ces discussions n intéressaient pas les clients, fut frappé par Diner Banatzeanc. ancien

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̃ Jf Le tirage de la dixième tranche de la Loterie Nationale 1937 aura lieu à Paris, salle Plevel, 252, faubourg SaintHonoré, le lundi 8 novembre, à' 21 heures.

A dater d'aujourd'hui 15 octobre et à titre d'essai, le sens unique de circulation des véhicules déjà institué rue d'Angoulême, de l'avenue de la République vers et jusqu'à la rue de Nemours, sera prolongé jusqu'à l'avenue Parmentier.

<!& La deuxième partie du Congrès international du tourisme, du thermalisme et du climatisme, consacrée exclusivement au thermalisme et au climatisme, a débuté hier après-midi, au Palais du thermalisme, à l'Exposition. Après des discours prononcés par MM. Çllâix, Mongorgé, Flurin, Beaudoin et par le ministre de la Santé publique, des rapports furent présentés par les professeurs Rahry, Villaret, Grouzon, Justin Besançon et par le docteur Flurin.

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DANS LES T. C. R. P.

A dater'du dimanche 17 octobre 1937, par suite du prolongement de lu ligne métropolitaine 9 à la mairie de Montreull, les modifications suivantes seront apportées aux lignes d'autobus ci-après désignées · Ligne 22. « Montreuil (Place de Villiers) -Louvre »

a) Suppression du parcours « Place de ViUiers-Marie de Montreuil »

b) Prolongement de la « Marie de Montreuil » à Homainville (Place Carnot), par lu place Jean-Jaurès, le boulevard de Belfort, le rond-point d'Alsace-Lorraine, le boulevard Henrj-Bax'busse, l'avenue Berlioz, la rue du Docteur-Calmette, la rue de Homainville, la route de Montreuil, la place des Ïrois-Communes, l'avenue de Brazza, t'avenue de Brazza (place Carnet) (terminus)

c) Déviation du parcours intra-muros entre la porte de Montreuil et la place de la République, par l'avenue de la Porte-deMoiUreuil, la porte de; Montreuil, le boulevard Davout, la rue des Orlcaux, la rue de Bagnolet, le boulevard de Cliaronuc, le boulevard de Ménilmontant, l'avenue de la Hépublique, In place de la République, puis ensuite l'itinéraire normal.

Ligue BU. « Montreuil (Rue des Gravicrsj-Opéra ».

Report du terminus « Rue des Graviers u la « Mairie de Montreuil (métro.) ». Ligne 97. « Montreuil (Carrefour Théo1 phile SueuI' Pierre-Curie) Porte de Mon treuil »

a) Suppression du parcours « Carrefour des rues Michelet et de Vincenues-Porte de

Montreuil ».

b) Prolongement à la Porte de Vincennes depuis le « Carrefour des rues Michelet et de Vincennes » par

Dans Montreuil, la rue de Vincennes Dans Vincennes, la rue de Montreuit, l'a venue de la République, la rue de Fontenay, la rue de Lagny

Dans Saint-Mande, l'avenue Joffre, ia place de la Toureiie, l'avenue Galliéni Dans Parts, l'avenue de la l'orte-de-Vin- cennes, la porte de Vincennes, le cours de Vincennes (Terminus).

La ligne US « Montreuil (La Bolsslère)Républl<iun » sera supprimée.

Ligne 121 « Villeiuomblo (Gare de Gagny)-Porte de Montreull »

Report du terminus « Porte de Montreuil » à la «Mairie de Montreuil (Méli-o) ». Itinéraire De la « Gare de Gagny » au carrefour Rue de Bosny-avenue de Yaivelu », à Montreuil sans changement, ensuite avenue de Valvein et place JeanJaurès (Terminus).

Ligne ER. « Montreuil (Carrefour Théo-

phile-Sueur-Pierre-CurkO-ï'orte de Vincen-

nes »

a) Suppression du parcours « Carrefour des rues Michelet et de Vincennes-Porte de Vincennes »

b) Prolongement à la Porte de Montreuil depuis le »! Carrefour des rues. Michelet et

de Viut'ennes », par4fl rue Michelet, la rue

Raspail, la rue' Voltaire, la rqe de Paris, l'avenue de la Porte-de-Montreuil. I

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Grande victoire de l'Italie sur r Allemagne par 9 points à 7 En finale, dimanche, les Italiens rencontreront les Français qui ont éliminé les Roumains par 27 points à II il faut, dès maintenant, établir un calendrier international

L'équipe d'Italie a remporté hier aprèsmidi, au Stade Joan-Bouin, une éclatante victoire elle a battu l'équipe d'Allemagnf, en demi-iiimle du Tournoi de l'Exposition, Le succès des rugbymen transalpins est régulier ils ont joué avec plus de variété que leurs rivaux, ont pris la direction dans les offensives et ont lutté sans la moindre défaillance contre la sévère défense allemande.

Mais, tout cil tenant un compte exact du brio des Italiens, il nous faut reconnaître que le c quinze » d'outre-Rhin n'a pus clé à la hauteur de celui qui, à la fin de la saison dernière, joua contre l'équipe de France à Paris.

Les nouveaux éléments qui y ont été Incorporés ne manquent pas d'ardeur, mais n'ont pas cette discipline qui faisait la force de l'ancienne formation.

Et nous avons été surpris des nombreuses maladresses des trots-quarts allemands et de leur manque de vitesse. Que d'attaques qui eussent du aboutir et qui échouèrent sur une mauvaise réception du ballon ou sur une hésitation.

Pour ce qui est du cran et de la vigueur dans la défense, les Allemands d'hier sont égaux à leurs prédécesseurs. Mais les avants n'ont pas montré dans les touches et dans les mêlées la cohésion qui les rendait si dangereux.

Ils ont été tenus eu échec par les avants italiens, qui ont fait une excellente partie, servant avec netteté leurs trois-quarts et se repliant eu défense avec un bel en-

semble.

Quant aux lignes d'attaque. elle ont affirme leurs brillantes qualités, surtout en ce qui concerne lu décision, la vitesse et l'adresse. Mis constamment à contribution par l'uvantu^n acquis par les avants. les trois-quarts transalpins ont déclenché offensives sur offensives avec une .variété et un sens du jeu vraiment remarquables. Durement sloppés par leurs rivaux, ils ne se sont pas découragés et la victoire a été la juste récompense de leurs durs efforts. Ils ont acquis cette victoire, à la fin de ia seconde mi-temps, par un essai d'nne très belle factures, réussi sur descente d'un ordre parfait, menée à toute vitesse.

Mais regrettons que l'arbitre ait eu il sanctionner, de part et d'autre, de trop nombreux hors-jeu, ce qui l'amena à commettre quelques injustices involontaires, sans doute dont la plus flagrante fut celle qui permit à l'Italie, en première mitemps, de marquer un but sur coup franc. L'équipe de France a joué pendant 20 minutes devant la vaillante équipe de Rouinanie. Les Roumains n'escomptaient pas une victoire Ils tenaient à taire bonne figure devant les Français. Disons tout de suite qu'ils y ont parfaitement réussi et qu'ils sortent du combat avec tous les honneurs. Qu'ils continuent dans cette voie et ils progresseront très rapidement i1 leur manque peu de chose pour être vraiment des joueurs de grande classe.

TENNIS

LE TOURNOI

de l'A. S. Léopoid-Bellan Les éliminatoires du simple messieurs sont terminées le tableau final est commencé. Le simple dames va également passer dans su phase définitive. Voici les résultats d'hier:

Simple messieurs. Premier tour, tableau final Malosse b. M. Boutin, «-4, 5-7, U- Coessin b. Massapian. 0-3, (M UulacIiazin b. F. Richard. fi-1, «-IS A. Penot b. Charnier, 4-0, 6-1, 0-3 Masson b. Woffg, 3-6, 17-15, 7-5 Laborde b. Pantin, 6-:i, C-4 Dubreull b. Guy, 15-13, 4-6, 6-4 Raiiuond b. Caminadc, 6-3, 0-4 Duchemin b. Laloy, (i-1, 3-6, 7-5 Caramaman b. Buranton,*0-:s, 0-2 M. Petit b. Forneret, 7-5, 0-3 Dclhaye b. Lefebvre-Dibou, fi-0, 0-4 Reynier b. Vazeux, 6-4, 9-7 Toubas b. Castaigne, 6-:), 7-5.

Simple dames. Troisième tour Mlle Friedel b. Mlle Ouivet, 4-0, 7-5, 6-2 Mme Putz b. Mlle Hallard, 6-2, 6-3 Pelletier b. Mme Cor, 0-2. 6-1 Mlle Lainé b. Mlle Thévenon, 6-1, S-0 Mme Baudin b. Mlle Bernard, 0-4, 0-2.

Les convocations

pour aujourd'hui

10 heures. Paramelle c. M. Andrieux R. Boyer c. Prat.

11 h. 45. Davidson c. Argaud ou Coessiu G. Blanchard c. Laruc ou Pénot Castout ou Dubreull.

12 h. 45. Tissot ou Laborde c. A. Blanchard Lefèvre c. Caramania ou Le Tellier.

13 h. 45. Mlle block-Poignon c. Mme Zblnden-Larue Mme Putz-Tissot c. Mlle Einstciu-Sajovik.

14 h. 45. Toubas c. Saladin Mme Baudin c. Mlle Pelletier ou Mlle Laine. 15 h. 45. Mme Putz c. Mme Eliopoulo ou Mme Klein Fabre c. Malosse.

10 h. 45. Vetillard c. Hin.il ou Duchemin.

17 h. !>. E. Bérard c. Beaudelot. 18 Il. 30. Dulau-Bazin c. Mottet. 20 h. 45. Boulle c. Lembaye ou M. Petit.

21 h. 30. Dulau-Bazin ou Mottet c. Le Monaco.

21 h. 45. Reiievey-Lambert c. ChambostGermaine ou Boulogne-Senouf.

22 h. 15. Blond c. Raimond on de Sairigné.

22 h. 45. Bonnal c. Simbozel ou Reynier.

CYCLISM E

Au premier essai des amateurs anglais battent des records à Milan Au moment où l'équipe Richard-Pecqueux battait le record de l'heure à tandem, nous avions signalé la valeur relative de ce record, dont la solidité, à notre vais, était limitée au petite nombre de tentatives effectuées pour son amélioration.

Str la piste du vélodrome Vigorelli, à Milan, deux coureurs britanniques ont justifié notre théorie, en améliorant, dès le premier essai, le record des 20 kilomètres i tandem, que les deux coureurs français détenaient avec 24 m. 10 s. 4/5.

Les deux nouveaux recordmen, Paul et Mills, sont deux amateurs qui, travaillant régulièrement, dans un garage, ne disposent plus du temps nécessaire pour s'entraîner sérieusement. Leurs moyens matériels sont également assez réduits les deux hommes sont venus à Milan grâce à une souscription, dont le montant leur permettra un séjour d'une quinzaine de jours dans la Cité des Records.

Pour les vingt kilomètres, Paul et Mills ont réussi le temps de 23 m. 53 s. contre 24 m. 10 s. 4/5, temps de l'ancien record, soit une amélioration de près de dix-huit secondes.

Avant l'essai de ses camarades, le Britannique Hill un amateur, lui aussi avait effectué une tentative contre le record du monde des cinq miles, propriété de Richard, qu'il avait battu en 10 m. 35 s. contre 10 m. 39 «. 1 /S.

A signaler, pour mémoire, que tous les records de un à cinquante kilomètres sans entraîneurs, bicyclette ou tandem, appartenaient à des coureurs professionnels. Henri Desgranges et Marcel Berthet (dans sa tentative du 20 juin 1907) ayant été les seuls amateurs dont les noms ont figuré au palmarès officiel de ces records.

G. Delpanque.

BASKET-BALL. L'Allemagne, l'Angleterre, la Belgique, la France, l;i Hongrie, la Lettonie, le Luxembourg: et la Suis'se participeront à la compétition internationale qui,

organisée par ta Fédération avec le concours

de l'Exposition, sera disputée du 19 ait '-̃ cifiobre, au Palais des Sports de l'Exposition de In Porte de Snint-CIoud.

r r- J

LE TOURNOI INTERNATIONAL DE RUGBY DE L'EXPOSITION

j,eur sens de l'attaque et la décision de leurs offensées sont, en particulier, remarquables. Les « troisième ligne les demis et les trois-quarts sont rapides, volontaires et adroits. Ils avent opportunément déplacer l'attaque et user du coup de pied à suivre.

Les avants ont encore un peu brouilLons en mêlée, mais jouent la touche avec précision. Us sont courageux en défense et leur souffle est presque inépuisable. Mais ils onl eux aussi une fâcheuse tendance à pratiquer le hors-jeu. Une mention à l'arrière, qui a fait une très belle partie.

Venons-en maintenant à l'équipe de France, qui jouera dimanche la finale contre celle d'Italie. Nous sommes tout prêts à lui accorder le bénéfice des circonstances atténuantes c'est un début de saison et on ne peut demander à ses titulaires ce qu'on exigerait au milieu ou à la fin de la saison. Nous mettrons sur le compte de ce défaut d'etltraînement le jeu confus des avants, en mêlée et surtout à la touche leur lenteur dans la défense et leur indecision dans les attaques groupées. Xous imputerons également à ce manque de préparation les maladresses des gnes d'attaque et leurs hésitations. C'est, avouons-le, faire montre d'aucune sévérité. Mais si les avants sont aussi

` GOLF

L'équipe de Chantilly gardera-t-elle

la Coupe P. Maneuvrier ? La Coupe Pierre Maneuvrier, interclubs. scratch, par équipes, sera disputée demain sur le parcours de Morfontaine.

Douze clubs sont engagés dans cette importante compétition. L'un d'eux parviendra-t-il à mettre un terme aux victoires consécutives que Chantilly remporte depuis 1930 1

Les équipes de Cliantaco, Saint-Cloud et Morfontaine paraissent devoir être les plus dangereuses pour les tenants.

Voici l'ordre des départs

Doubles messieurs (départ n° 1). !l b. .1. Lithiby-vicomte de Saint-Sauveur (Morfontaine), D. J. 0. Sinclaire-R. Thlon de La Chaume (Cliantaco). 9 h. 5 M, CarlhianIl. Archibald (Chantilly), A. M. Vagllanobaron A. de Seroux (Compiègne). i) heures 10 G. Huet-J. Cavrols (Sart), P. Taylor-comte du Bouzet (Dieppe). 9 h. 15 J. Xouel-R. Boulot (Sarlabot), Pierson-P. Domange (Etretat). S) h. 20 Y. Le Quel- lec-G. de Maret (Saint-Cloud), R. Charrierprince L. J. Murat (Saint-Germain). 9 h. 25 Mlle Griolet-Mtle liapferer (La Boulie), G. Delamare-Deboutteville-R. Barbier (Fourqueux).

Doubles dames (départ n° 10). 9 h. 1 Mlle L. Vagliano-Mlle C. de Rothschild (.Morfontaine), Mme R. Lacoste-Mlle F. Toiion (Chantaco). 9 h. 5 Mme J. FlorantMme C. Sébline (Chantilly), Mme A. M. Vagiiano-Mllc S. Vagliano (Compiégue). » h. 10 Mme P. Fix-Mme R. Dansette (Sert), Mme R. C. Aublin-Mme H. Hirscii (Dieppe). 9 h. 15 Mme J. Jsouel-Mllc Benoist (Sarlabot), Mme Y. Le Quellec-Mme M. Reiss (Etretat). 9 h. 20 Mme J. Gareau-Mmc A. Strauss (Saint-Cloud), Mlle 0. Fay-MIle J. Bheims (Saint-Germain). 9 h. 25 Mlle Griolet-Mllc Y. Kapt'erer (La Boulie), Mme D. Dreyfus-Mme II. Barbier (Fourqueux).

Simples messieurs (départ n" 1). 12 heures 30 J. Lithiby (Moi-fontaine), M. Car-'lhlan (Chantilly). 12 h. 35 D. J. 0. Sinclaire (Chantaco), A. M. Vagliano (Compiègne). 12 h, 40 vicomte de SuintSauveur (Morfontaine), H. Archibald (Chantilly), 12 h. 45 R. Thiou de, La. Chaume (Chantaco), baron A. de Seroux (Compiègne). 12 h. 50 GIlpet (Sart), J, Nouel (Sarlabot). 12 h. 55 P. Taylor (Dieppe), Pierson (Etretat). 13 heures J. Cavrois (Sart), R, Boulot (Sarlabot). 13 h. 5. comte du Bouzet (Dieppe), P. Domange (Etretat). 13 h. 10 Y. Le Quellec (Saiut-Cloud), C. G. Coates (La Boulie). lit h. 15 R. Charrier (Saint-Germain), G. Delamare Deboutteville (Fourqueux). 13 h. 20 G. de Maret (Saint-Cloud), G. Dashwood (La Boulie), 13 h..25 prince L. J. Murat (Saint-Germain), R. Barbier (Fourqueux).

Simples dames (départ 10). 12 heures 30 Mlle L. Vagliano (Morfontainc), Mme .1. Florapt (Chantilly). –.12 h. 35 Mme R. Lacoste (Cliantaco), Mme A, M. Vagliauo (Compiègne). 12 1i. 40 Mlle C. cte Rothschild (Morfontaine), Mme C. Sebline (Chantilly). 12 h. 45 Mlle F. Tollou (Chantaco), Mlle S. Vagliano (Compiégue). 12 h. 50 Mme P. Tix (Sart). Mme J. Nouel (Sarlabot). 12 h. 55 Mme R. C. Aublin (Dieppe), Mme Y. Le Quellec (Etretat), 13 heures Mme R. Dansette (Sait), Mlle Benoist (Sarlabot). 13 h, 5 -Mme H. Hirsch (Dieppe), Mme M. Reiss (Etretat). 13 h. 10 Mme J. Gaveau (Saint-Cloud), Mile Griolet (La Boulie). 13 h. 15 Mlle O. Fay (Saint-Germain), Mme D. Dreyfus (Fourqueux).– 13 h. 20 Mme A. Strauss (Saint-Cloud), Mlle Y. Kapferer (La Boulie). 13 h. 25 Mlle J. Reims (Saint-Germain), Mme R. Barbier (Fourqueux). L'ACTIVITE SUR LES LINKS Au (Jolf de Chantilly

Prix Cadum, éliminatoires, scratch. 1. Mme Sebline, 85 2, Mme J. Florunt, S7 3. Mme R.-C. Aublin, «5 4. Mme A. Thi. baud, 1)0 Mme G. Bechmaun, !)6 U. Mllt G. Beehmann, 97 7. Mme Lhomnie. 99 Mme Von de Walle. 99 9. Mlle de Borcligrave, 101 Mme G. Hclbronncr, 101 11. Mme de La Courtic, 102 Mlle J, Fleury, 102 13. Mme R. Betolaud, 100 14. Mlle R, Iiorel de Kinkelin. 107 15. Mlle M. Lovenbach, 10S 10. Mme Romain, 109 17. Mlle C. Georgeson, 111 18. Mme L. Thalinann, 114 19. Mlle L. Beechiuann, 117 20. Mlle Vassal, 118 21. Mlle M. Lévy Torvel, 119 22. Mlle S. Panier, 120. Mme R. Bechmann a également pris part à l'épreuve.

Au Golfer's Club

L'excellent et réputé professeur de Chantilly Pierre Hirigoyen donne maintenant des leçons au Golfer's Club, trois fois par semaine, les lundi, mercredi et vendredi. Au Golf de 8aint>Clouci

Coupe d'Aiitomne.' 1. Mme J. Lassalle (10), 80 Mme Lambiotle* (1!>>, 80 3. Mme

brouillons et aussi peu ardents, si les attaquants sont aussi peu variés et aussi personnels, l'équipe de France pourrait, fort bien être mise dimanche en sérieuse difficulté par l'équipe d'Italie.

Les joueurs français n'auront pas, devant les Italiens, la latitude de marquer 14 pts en dix minutes, comme Ils le firent hier au début de leur match contre les K<nimains.

Et ils ne devront pas rester pendant cinquante minutes à « jouasser ». Déjà hier, deux essais réussis coup sur coup par les Roumains les surprirent leur surprl»e pourrait être plus grande et plus désagréable avec les joueurs transalpins. D'ores et déjà, le manque d'entraînement sera pour eux un lourd handicap ils auront besoin, pour y remédier, de toute leur expérience et de toute leur volonté. .Et il est certains d'entre eux qui (loivent racheter leur piètre exhibition d'hier. Félicitons-les cependant d'avoir garri* leur sang-froid devant les erreurs grossières de l'arbitre qui eut pour eux des rigneurs exagérées, alors qu'il était souvent frappé ae cécité sur les fautes les plus flagrantes des Roumains. Signalons simplement, à l'appui de nos dires, que les Français furent sanctionnés de plus de quinze coups francs, alors qu'un seul leur éfait accordé Maurice Capelle.

BOXE

DUPUIS, MALMENE PARSANGCHÏLLI abandonne à la 6e reprise L'Espagnol Sangehilli, champion du monde poids coq, a prouvé enfin, hier soir à la salle Wagrani, qu'il pouvait ne pas compter sur le hasard, pour battre ses rivaux. C'est avec le seul secours de ses poings et de sa technique qu'il a obligé Dupuis à abandonner à ia (>*> reprise. Dupuis avait, tout comme Cotte jeudi dernier, fort bien débuté pendant deux reprises il fit jeu égal avec son uhampiou d'adversaire. Mais ce dernier, au 3" round, activait l'allure et, durement touché, Dupuis alla à torre pour 9 secondes. Il se remit de cette- algarade et l'on put penser que le uuuibnt irait à la liiuile, tout eu se terminant à l'avantage de Sanschilli.

Et voici qu'au U" round, l'Espagnol, de nouveau, accéléra la cadence de ses attaqués. Sur l'une d'elle, Dupuis eut la ppmmette ouverte. Sagement, n'ayant plus rien it espérer et tout à craindre, il abandonna. Le second match vedette fut acharné à souhait entre M. de Alfara et Casadeï. Mais contrairement aux pronostics ce [ut Casadei qui t'emporta aux points.

40

NOUVELLES AERIENNES Le capitaine Paul, après un voyage de 25.000 kilomètres, est rentré au Bourget

L'avion Amlot 14.'t, bimoteur Gnome et

Rhône, est rentré au llouryct hier après-

fthdne, csl rentre art $nurget hier aprés-

midi, à 15 h. Irr. Il a terminé ainsi un périple de e 25.000 -liilomètrcs à travers l'Afrique, sajis le moindre incident, dont en peut dire qu'il fait honneur à notre aviation militaire, équipaije et matériel. A son arrivée, 'l'équipage, qui a prépart le chemin à l'encadre qui doit rendra visite à notre colonie de la mer dés Indes et qui anait qiiiié Tananarive samedi, a été félicité par l'état-major des escadres de la gare aérienne, par' M. Amlot, et de nombreux pareuls et amis.-

Un vin d'honneur lui a été offert au

mess. ,̃̃-

L'.tmiol l-lo,- bimoteur Gnome-Rhône, du type en service, dans l'aéronautique militaire fvançuise. était parti de Paris le 21 septembre et avait rallié Tananarive le 2 octobre, après avoir étudié le parcours en vue de lu croisière qui doit, avoir lieu incessamment et qui est organisée pur le ministère de l'ait:

''Ait retour, l'avion, qui a décollé le 3 octobrc de Tananarive. a réalisé la liaison ̃Madagascar-France, 12.500 kilomètres, en six jours, avec sept personnes à bi)rd. Lambert', pilote-chef de bord capitaine Paul, chargé de mission capitaine Huclic:, lieutenant Frebillot, radiotélégraphiste Faaclie, sergent Spinelli et mécanicien Dessai~gne, ̃'

ATHLETISME

Jesse Owens sera-t-iL

enfin recordman du monde des 100 mètres ?

Après plus d'un an de réflexion, les offioiels ayant assisté à la réunion organisée, le 20 juin dernier, sue la piste de l'Université de Chicago, ont décidé de demander au Comité des Records de Boston, l'homologation du temps de 10 s. 2/10 effectué, sur 100 mètres, par Jesse Owens.

Il est fort probable que Jesse Owens, devenu professionnel, sera bientôt le recordman officiel des 1Q0 mitres.

Bouchon (21). 81 4. Mme F. Gallot (24), SU 5. Mme Bruno (21), 92 B. Mme P. Neveu (12), 97 7. Mme A. Caveau (15), 98 S. comtesse de Menthon \VJ), 101,

A également pris part à l'épreuve Mme

Marlin Schumann.

Aujourd'hui, match play. Voici l'ordre des rencontres:

13 heures Mme Bouchon c. Mme Lassalle 13 h. 5 Mme P. Neveu c. comtesse

Menthon 13 h. 10 Mme Lambiotte c.

Mme A. Gaveau 13 li. 15 Mme Bruno

c. Mme Gallot.

A l'American C. C.

Demain aura ̃ lim une rencontre interclubs entre Ormcsson et l'American C. C. sur le parcours tic ces dernier club. Premiers

départs à i:i h. :w.