Rappel de votre demande:

Format de téléchargement: : Texte

Vues 1 à 8 sur 8

Nombre de pages: 8

Notice complète:

Titre : Figaro : journal non politique

Éditeur : Figaro (Paris)

Date d'édition : 1937-08-04

Contributeur : Villemessant, Hippolyte de (1810-1879). Directeur de publication

Contributeur : Jouvin, Benoît (1810-1886). Directeur de publication

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34355551z

Notice du catalogue : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb34355551z/date

Type : texte

Type : publication en série imprimée

Langue : français

Format : Nombre total de vues : 164718

Description : 04 août 1937

Description : 1937/08/04 (Numéro 216).

Description : Collection numérique : BIPFPIG63

Description : Collection numérique : BIPFPIG69

Description : Collection numérique : Arts de la marionnette

Description : Collection numérique : Commun Patrimoine: bibliothèque numérique du réseau des médiathèques de Plaine commune

Description : Collection numérique : La Commune de Paris

Description : Collection numérique : France-Brésil

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k409571m

Source : Bibliothèque nationale de France

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 15/10/2007

Le texte affiché peut comporter un certain nombre d'erreurs. En effet, le mode texte de ce document a été généré de façon automatique par un programme de reconnaissance optique de caractères (OCR). Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 72%.

ENTRE LONDRES ET ROME.

^t^g-vg II n'est question que

^§|§|a d'un rapprochement

anglo-italien. A vrai

e& dire, nous croyons qu'il

ne faut rien exagérer. Il y a eu, certes, un échange de lettres entre M. Chamberlain et M. Mussolini mais M. Chamberlain venant de prei.re le pouvoir, cette correspondance relève peut-être plus de la correction protocolaire que de la politique pure. Toutefois, il semble certain que le ton de ces messages est très cordial et il est sûr qu'ils ont été appuyés de conversations diplomatiques à Rome et à Londres. La Grande-Bretagne, bien qu'elle songe depuis longtemps à remplacer son ambassadeur en Italie, n'a pas commis, elle, l'étourderie de procéder à ce remplacement, tant que l'affaire d'Ethiopie n'était pas réglée. Bien entendu, la presse italienne monte en épingle cet échange de lettres et elle le célèbre comme s'il s'agissait d'une grande victoire fasciste. Si l'Italie désire remporter des succès de ce genre, elle en collectionnera autant qu'elle voudra et nous l'en féliciterons de tout cœur. Car ce sont des gages de sagesse. Il lui suffit, pour cela, d'adopter une attitude un peu moins tumultueuse.

Certes, il serait puéril de prétendre que les événements de l'an dernier n'ont pas causé des ressentiments en Angleterre. Mais les Anglais sont sages. Ils ont tou- jours admirablement su faire la « part du feu » et encaisser un échec sans broncher. La puissance britannique est si considérable, elle est si vivante et si plastique qu'elle se reforme instantanément. En gens réalistes, les Anglais ont admis la victoire italienne en Ethiopie et ils sont prêts, nous en sommes sûr, à reconnaître la qualité impériale du roi VictorEmmanuel pour peu que l'Italie se prête, par son doigté, à l'opération. Précisément, ce qui a tout gâté jusqu'ici, c'est que le Duce a pratiqué une politique par trop « polémiste » qui a découragé les meilleures intentions. Il suffirait qu'il mît enfin un frein à ses sautes d'humeur pour que tout s'arrangeât entre les Anglais et lui et que le « gentlemen's agrée-, ment », conclu l'hiver dernier devînt une réalité. Peut-être M. Mussolini l'a-t-il compris ? Peut-être voit-il que sans capitaux étrangers, la conquête de l'Ethiopie risque de n'être qu'un trompe-l'œil et que ces capitaux ne peuvent guère lui venir que de la City ou de WallStreet ? Peut-être aussi est-il quelque peu embarrassé des affaires d'Espagne où il s'est si fortement engagé et cherche-t-il une issue honorable ?

-hsperons alors que, de leur cote, les Anglais lui faciliteront cette sortie. Le plan « Eden », d'ailleurs, la ménage déjà. Bien loin de considérer la détente anglo-ita- lienne d'un œil soupçonneux, elle nous apparaît, en efl'et, comme infiniment souhaitable. Nous sommes de ceux qui appelons de toutes nos forces tout ce qui peut rapprocher, sur un terrain sain, les puissances de l'Occident. Face aux événements d'Extrême-Orient, il n'y a plus qu'une Europe fratricidement divisée. C'est un scandale et c'est un crime. Le vrai péché contre l'esprit.

On parle déjà d'un prolongement de l'accord anglo-italien sur le plan locarnien. C'est aller un peu vite en besogne. Sortons d'abord, honorablement et sagement, de l'impasse espagnole et le reste viendra par surcroît. A ce propos, il convient d'approuver sans réserve la note du gouvernement français qui a été publiée avanthier. Dans la forme comme dans le fond, elle est irréprochable. Ce qui est risible, alors, mais pas surprenant, c'est de constater le désarroi et la colère de notre presse d'extrême gauche devant la détente anglo-italienne. Ah cela n'a pas été long Il a suffi que l'on parle de cette détente pour que nos aimables « pacifistes », qui ne rêvent que plaies et bosses en Chine et en Espagne, pourvu que plaies et bosses soient « antifascistes », éclatent d'indignation devant ce qu'ils appellent une « trahison de la paix ». « La France démocratique doit proclamer très haut, aux côtés de l'U; R. S. S., qu'elle ne permettra jamais de tels crimes contre l'humanité », écrivait hier le journal communiste en faisant, sans doute, un jeu de mots. Ramener un peu d'ordre en Europe, entre gens civilisés, quel crime, en effet

Wladimir d'Ormesson.

Le Vatican nommerait

un représentant officiel a auprès du général Franco Saint-Sébastien, 3 août. D'après une information parue dans la presse nationaliste d'aujourd'hui, le Vatican se proposerait d'accepter comme représentation officielle de l'Espagne nationaliste celle que le général Franco possède actuellement près du Saint-Siège.

Le Vatican, de son côté, nommerait Mgr Antoniutti, nonce en Albanie, représentant officiel auprès du gouvernement de Salamanque

M.JOUHAUX est accueilli Il, par des

mouvements divers

au Congrès national des instituteurs

M. Delmas proclame

la nécessité de sauvegarder les conquêtes sociales

Le Congrès National des Instituteurs s'est ouvert hier à la Maison de la Mutualité, devant 300 délégués et 600 auditeurs. A vrai dire, tout l'intérêt du congrès résidait dans la première matinée, consacrée à l'exposé du rapport moral par M. Delmas. Le jeune secrétaire du Syndicat National prend le premier la parole. Son rapport est écouté avec beaucoup d'attention et les congressistes, par leurs applaudissements. en approuvent les principaux passages. M. Delmas fait d'abord le bilan de l'année écoulée au point de vue syndical, bilan qui lui donne toute satisfaction.

Il aborde les questions administratives, pédagogiques et enfin celle des trài-

M. Delmas, secrétaire général,, prononçant son discours.

temeuts. Ce dernier point l'inquiète. Il constate la hausse du prix de la vie Or, dit-il, le ministère Chautemps n'a pus caché sa décision de n'accorder aucun crédit nouveau pour l'amélioration du sort des fonctionnaires avant- le 1er janvier 1938. Les fonctionnaires ne peuvent accepter cette position, et le bureau du Syndicat National est disposé à faire en sorte que dès la rentrée parlementaire des crédits soient votés pour l'attribution d'une indemnité ou d'un traitement avec effet rétroactif. Puis M.. Delmas aborde la question politique.

(Suite page 4, col. 2 et 1 3.)

LES JOURS SE SUIVENT

CAMPAGNE ANGLAISE

Deux vastes pelouses,err quadrilatères s'étendent devant la maison d'un pin- style Queen Ane. Les fenêtres ont la proportion et l'encadrement boisé qui donnent à l'urchite&ture anglaise du dix-huitième siécle un air de dignité familière et de confort tout à fait avenant. De la verdure grimpe vers le toit où des ramiers, lorsqu'ils ne s'ébattent pas, sur une minuscule pièce d'eau, poursuivent leur comédie amoureuse traversée de querelles. Sur la seconde des pelouses, un tennis gazonné avec, pour limites, une pergola couverte de roses de rosés éprouvées par la pluie, mais qui dans l'épreuve ont conservé une charmante splendeur. Hier, quelques rayons de soleil avaient permis de croire à la réussite céleste du Bank Holiday. Aujourd'hui, le ciel s'est fermé et la mer du Nord, à quelques milles, jaune et crétée, répand une fraîcheur d'automne. N'importe sur les routes, les autos se suivent en files, traînant, souvent, une « roulotte » en remorque; sur la côte, les camps de camping sont pleins. Tentes plus ou moins épaisses, installations plus ou moins confortables. Mais les voyageurs en ont pris leur parti ils s'assemblent à la cantine où ils trouveront les provisions qu'ils n'ont pas apportées, et, deux jours et deux nuits durant, si ce n'est plus, ils vont mener au grand air cette vie cellulaire que les générations d'à présent ne redoutent pas, qu' elles recherchent même.

Les grandes propriétés contrastent avec ces improvisations immobilières mais sans soulever ces ressentiments qui sont ,une mauvaise fièvre de l'âme sociale. Le goût de la campagne est constant chez les Anglais un coin de jardin ou d'immenses domaines selon le sort et l'aventure de /u: vie. Nous regardons ici une vivace jeunesse jouer au tennis aussi bien, pourrait-on visiter les dépendances, où la maison du butler et des fermiers feraient envie à bien des bourgeois français, où les pavillons de chasse, les remises, le chenil, l'élevage des faisans sont ordonnés avec une précision de tous les jours. Rien ne compte plus que les événements du domaine, et tout s'y rattache depuis la garde-robe, les gravures pendues au mur, les cannes, les livres de la bibliothèque, les collections. Les journaux sont sans force pour troubler celle sécurité. Ils apporteront en titres égaux la mort du Révérend mangé par la lionne et la réponse du Duce à M. Neville Chamberlain. Mais les affaires d'Europe sont loin, et plus encore pour les jeunes Anglais qui campent sous la tente que pour les propriétaires des maisons Queen Ane ou « géorgiennes ». Belle insularité qui a conservé dans son écrin le collier inestimable des traditions.

Guer mantes.

L'HYDRAVION Lieutenant- de-Vaisseau-Paris a tenu l'air plus de 22 heures Mais les services qu'on peut attendre de:ce vieil appareil pour des traversées de l'Océan jr sont forcément limités

LJamérissage du «LieutenantPde- Vaisseau-Paris à à Biscarosse. (Lire en troisième page, V article de ANDRE REICHEL)

LA GLOIRE EN QUARANTAIN~

~~ec&c~ s~coï~nfsoHs Hyï hangar en attendant d~tre p~c~ dans nïcA~ du Louvre

Dans un hangar ouvert à tous les courants d'air de la cour Visconti, mais heureusement, interdit au public, j'ai trouvé, au Louvre, les. effigies de quatre des plus grands vainqueurs de la Guerre. H y avait là, drapés dans les larges manteaux dont les ont dotés, à défaut de cavale fringante, des sculpteurs à l'âme romantique, Gallieni, Franchet d'Espercy, Joffre et Fayolle. Un chat noir, troublé 'dans ses sommes, sautait familièrement d'épaulette en épaulette. Encadrés par leurs 'anciens des batailles de la première République et des deux Empires, les maréchaux attendaient patiemment, depuis plus d'un an, qu'on leur trouvât une,place dans les niches du Louvre.

Dépouillé,' lui, depuis longtemps, de toute espérance, le Géuie de la Liberlé, perche sur un pied, rouillait tranquillement, à leur côté.

Un « mouvement »

laborieux

Quel destin avait mis ainsi la gloire en quarantaine ? En. dépit de ses légitimes pudeurs, l'Administration responsable a bien voulu nous le conter.

Donc on préparait un vaste mouvement .» dans le- nombreux étatmajor: qui occupe, rue de Rivoli, les niches du Palais national. Il, s'agissait de reformer, dans un rigoureux ordre chronologique, la légion des généraux placés en sentinelles, avec une fantasic tout arbitraire, par les architectes de Louis-Philippe et de Napoléon III. Délicate entreprise Elle comportait des difficultés matérielles considérables, certaines de' ces statues pesant plus de deux tonnes et la rangée supérieure se trouvant à douze mètres du sol. Il fallait construire un gigantesque échafaudage et les travaux, sur le devis, se chiffrait /à plus de cent, mille francs.

Cent mille ..francs, pour rendre plus éloquente et plus claire cette pittoresque illustration de notre histoire militaire, ce n'était pas, penserez-vous, une dépense excessive ? A peine une goutte d'eau dans l'Océan du Budget. Sans doute Mais la

question d'argent, cependant doulou-

reuse, n'était pas seule en cause. On

rensé, n'était pas seule en eau se. On

s'était justement aperçu, en préparant cette révision, que quelquesunes de nos plus pures gloires avaient été cruellement maltraitées par le ciseau des sculpteurs. On avait donc résolu de profiter de l'occasion pour réformer définitivement les statues les moins heureuses. Dans les niches ainsi libérées, les effigies des grands chefs de la dernière guerre pourraient trouver leurs places.

Mais dès que ce projet fut rendu public, ce fut une véritable levée de boucliers! Les familles défen-

i^RlRIlJlÊEoo.

~»:«-

La célèbre championne de patinage, Sonia Henié. devenue grande vedette de l'écran, est arrivée hier en Angleterre, venant d'Hollywood. Avant de débarquer à Plymouth, où' de nombreux amis sont venus l'accueillir, Sonia Henié se poudre • ̃ devant le miroir de sa cabine.

Par GEORGES RAVON

daient leurs ancêtres, aussi lointains qu'ils fussent, avec un homérique acharnement et s'insurgeaient contre tout « limogeage » posthume. Si bien que, dépourvue d'argent et couverte de malédictions, l'Administration se résigna, l'été dernier, à ajourner toute entreprise.

(Suite page "3, colonnes 1 et 2).

Des autos blindées de l'armée japonaise vont prendre position près de Pékin.

NOUVEAUX TARIFS DIS TRANSPORTS PARISIENS

Voici les nouveaux tarifs qui, légalement, doivent entrer en vigueur demain matin

AUTOBUS

Carnet de 20 tickets. S » Ticket au détail 0 55 Ticket-Mutilés .015 Cartes hebd. (6 j.) 12 » » » (5 j.) 1080 Parcours de nuit .4 » METRO ` ;• ̃•;̃̃> 1" classe 1 .50 1" classe (aller-rèt.) 2 20 2" class»; 1 » 2e classe (aliér-rei.) 1 25 Mutilés 0 70 Mutilés (aller-reù).. 0 80

:A partir du If -janvier ces tarifs seront majorés de 0. fr. OS pour le ticket d'autobus et 0 fr. 10 pour le ticket de métro.

^.pÉPiîRTS

~~xa~ru.a:o.z~a~rk.x~~

Avant de quitter Paris, les Reines de beauté coloniales ont visité l'Exposition une dernière fois hier après-midi. Voici, sur la terrasse du Pavillon ce la Presse, Miss Tonkin, devant le micro, fasant ses adieux aux Parisiens. A droite, on reconnaît Miss France d'outre-mer.

TOKIO

REJETTE

la protestation soviétique

L'avance japonaise

se poursuit vers le sud

L'ambassadeur du Japon à Nankin chargé de négocier ?

Les autorités soviétiques se sont élevées avec énergie contre l'attaque .et le pillage du consulat de l'U. R. S. S. à Tien-Tsin. Hier, à Tokio, M. Isaac Deitchman, chargé d'affaires soviétique, a transmis au ministère des affaires étrangères une protestation du gouvernement de Moscou. M. Horinouchi, vice-ministre des affaires étrangères, aurait immédiatement rejeté la protestation, faisant ressortir que l'incident, provenant de Russes blancs, ne regardait eh rien le Japon. Il aurait ajouté que l'allégation- soviétique selon laquelle l'armén japonaise avait participé à l'attaque du consulat constituait une .insulte intolérable à l'égard de l'armée japonaise.

•i A* cette protestation est venu s'ajouter un démenti de l'ambassade d'Italie en Chine, affirmant que jamais des troupes. japonaises'' n'avaient été auto-' risées à traverser la concession italienne et déclarant qu'il était inexact que les portes du quartier italien se fussent fermées devant les Chinois fuyant le bombardement japonais. Une armée chinoise

en Mongolie intérieure

Si !es dépêches d'hier n'ont apporté que peu de renseignements sur les opérations en cours, du moins signalentelles qu'au sud de Pékin l'avance japonaise se poursuit en direction de: PaoTing-Fou, où se sont concentrées les divisions chinoises venues du Nord, que, depuis quatre jours, l'aviation nippone a bombardées à diverses reprises. ̃ ̃"̃̃̃ Paul Mousset.

(Suite page 3, colonne^.)

Le mouvement diplomatique Lemouvement diplomatique qui vient d'être arrêté ne comporte pas, cette fois, croyons-nous, de changement dans les titulaires de nos, ambassades. Ce n'est pas avant l'automne que l'ambassade de Washington sera pourvue d'un nouveau chef. Toutefois, il est probable que M. Laroche, ambassadeur à Bruxelles, prendra sa retraite d'ici à quelques semaines. Il sera 'remplacé, on le sait, par M. Bargeton, directeur des affaires politiques au Quai d'Orsay. Il est probable que M. Massigli, actuellement directeur politique adjoiht.'remplacera M. Bargcton.

Le mouvement actuel porie sur les légations de Belgrade, d'Ottawa, de Sofla, d'Athènes et d'Oslo; Le comte Robert de Dam.pierrc sera nommé ministre de France au Canada M! .Brugère, ministre de France en Yougoslavie,; M. Bruèrc, ministre de France à: Athènes, ira à Oslo remplacer M. Bistelhiieber, appelé à la direction des affaires d'Amérique au Quai d'Orsay M. Cosme, qui occupait cette direction, sera nomme ministre en Grèce. M. Dulong, ministre en Lithuanie, remplacera à Sofia M. Labouret, récemment décédé.

Enfin, il se confirme que c'est M, Lozé qui succédera en octobre à M. de Fouquières à la direction du Protocole.

CHBOITIQUE v UN CERTAIN REQARB Par FRANÇOIS MAURIAC

Dans ce pays de Valois, l'été D n'est que le trouble confluent du printemps et de l'automne. Les dernières cerises que nous mangeons sont mouillées d'une brume qui déjà donne au matin l'odeur de la rentrée. Même au soleil, je ne puis m'étendre sur la prairie sans être saisi du froid de l'argile.

Je sais que l'été règne ailleurs et que son royaume se confond avec celui de mon enfance « Il y a 35° à l'ombre, m'écrit-on. Depuis trois mois nous n'avons pas de pluie. Tout est cuit comme petites récoltes on n'aura rien, à part quelques pommes de terre. L'eau manque nous allons la chercher à la Garonne pour les sulfatages et pour arroser les cyprès. Mais la vigne ne souffre pas. » Autrefois, j'étais com-

me la vigne cette saison meurtrière m'exaltait, je bravais le feu, du ciel ,« On ne sort même pas les bêtes, et tu cours les routes ? » Oui, je courais les routes, je chantais dans la fournaise.

Il me plaît de savoir que la fournaise existe encore, mais aussi d'en être délivre. Le pays de la soif ne m'attire plus. Entre le printemps et l'automne, dans ce Valois qui n'a que trois saisons, j'ai établi ma demeure. Est-ce d'avoir atteint ce tournant de l'âge où un jeune critique, ces jours-ci, m'attaquait avec une délicatesse ravissante ? Je ne sais. Je sais que sous ces ombrages saturés d'eau et dans ce soleil trouble, l'esprit jouit de son propre éveil. -'•̃'•̃

De ce tournant où je suis parvenu, qu'elles me semblent loin les orgies de lectures des vacances d'autrefois, quand on disait « Cet enfant dévore tout. on ne sait plus que lui donner » Quelques lignes me suffisent aujourd'hui; que je rumine et dont je n'épuise pas le suc. Dans la vieille maison pleine de livres, je passe de Montaigne à La Bruyère, du cardinal de Retz à Saint-Simon^ mais c'est quelquefois un moderne qui me donne la joie de toucher le vrai, de le tenir cap.tif et tout vivant dans quelques mots simples et irremplaçables. Par exemple, ces jours-ci, je me récite ce que Chesterton écrit de saint François d'Assise « Il ne voyait point la forêt à cause des arbres, il ne voyait point la popu. lace à cause des hommes. il ne voyait que l'image de Dieu, multi- pliée, mais jamais,monotone. Pour lui, un homme était toujours un homme, et ne disparaissait pas plus dans une foule compacte que dans un désert. Il honorait tous les hommes, c'est-à-dire qu'il ne les aimait pas seulement, mais aussi qu'il les

A LA RECHERCHE DE L'UNITE UN PARTI UNIQUE sociale-communiste briserait-il le Front Populaire ? Il rendrait sans doute impossible la collaboration radicale

L'existence du Rassemblement populaire est-elle compatible avec un parti unique du prolétariat ?

On sait que le Rassemblement comprend, avec les socialistes et les communistes, les radicaux et l'Union socialiste républicaines le parti de MM. Déat, Boncour et Frossard. Dans son récent congrès, l'Union socialiste, tout en protestant de sa fidélité au Front populaire, a demandé une révision du programme commun. Il semble, à. en juger surtout par les propos et les articles de M. Marcel Déat, que l'U, S. R. tienne pour le projet de la C. G. T. dans lequel on retrouve beaucoup de mesures inspirées du Plan préconisé justement par M. Déat. Est-il besoin de dire que ces mesures ne procèdent en rien du libéralisme et qu'elles contredisent, en conséquence les méthodes classiques auxquelles MM. Bonnet et Chautemps demeurent attachés.

L'U. S. R. a d'ailleurs envisagé dans son dernier congrès son retour j au sein du parti unifié. La question a été ajournée précisément en raison de l'éventualité de la formation du parti unique. C'est dire que plus d'un membre de l'U. S. R. ne tient pas autrement à être « fondu avec les communistes.

Rappelons, enfin, la position personnelle de M. Frossard qui, n'accordant qu'une brève existence au Cabinet actuel, prévoit pour un avenir assez proche une expérience politique sur le modèle de celle de M. van Zeeland en Belgique. Les communistes ont beau avoir plein la bouche de la « réconciliation fran- ] çaise », on les voit mal prenant part à cette expérience. 1

Quant aux radicaux, comment pourraient-ils demeurer dans le Front populaire après la fusion so-

de l'Académie française. >

respectait tous. Jamais un hontne n'avait rencontré le regard deses brûlants yeux bruns sans receoir la certitude que François Benardone s'intéressait véritablemert à lui, à sa vie intérieure uniqie et particulière, depuis son bereau jusqu'à sa tombe, qu'il était enpersonne évalué, pris au sérieux.. » Ce texte circonscrit un pajs où nous retrouver, nous tous de croite et de gauche qui, comme l'écrit un compagnon de Gide en U.IÎ..S.S., ne pouvons nous accoutume: aux rapports imbéciles que d'un bout du monde à J'autre, on a avec les êtres.

Ce ne sont pas les idées seules qui nous séparent ce ne sont pas elles non plus qui suffisent à nous rapprocher, mais une certaine qualité du regard que nous fixons sur

autrui. Le regard d'André Gide en U. R. S. S. vaut celui de Georges Bernanos à Majorque. Ces deux écrivains si différents ont en coin-' mun ceci un œil clair qui trahit la loi de la jungle humaine. Non, certes, le regard de Jean. Jacques incapable de saisir que la nature est blessée. La connaissance et l'amour de l'homme, tel qu'il est, ne risquent guère de nous ren.dre aveugles sur sa misère, sur sa férocité, ni de nous gagner aux institutions qui lui accordent trop de confiance mais plus encore cet amour nous rend hostiles à toute doctrine qui le détourne de son âme, de ce royaume au dedans de lui-même.

Cela paraît tout simple, là où il

y a un homme, de voir un homme, et non un chameau, un cheval ou une araignée. Et c'est pourtant cette absence de folie qui aujourd'hui passe pour folie surtout si noua poussons la singularité jusqu'à don.ner à la vie de la créature une valeur absolue. Il n'est rien qui ne nous rend plus insupportables à tous, amis, adversaires, que d'appeler assassin un assassin, et innocent un innocent, que de ne tenir aucun compte de ce que les Staliniens appellent .·' la ligne générale. Car chaque parti a sa ligne générale et ses lignes secondaires, réseau compliqué hors duquel on ne saurait battre impunément les buissons.

Est-ce une influence propre à cette saison entre le printemps et l'automne, à ce ciel brouillé, à ce souffle vif et frais d'un août dénué de torpeur et qui tient l'esprit en éveil ? Mais je rêve d'un parti de « sans parti » venus de tous les ho.rizons et n'ayant rien en commun que ce regard pur, qui se pose sur les êtres avec cette attention d'où peut naître l'amour.

François Mauriac,

de l'Académie française.

cialo-eommuniste ? Ils ont maintenant la direction du gouvernement. Ils prennent, les socialistes aussi, il est vrai, mais enfin, ils prennent, avec une nuance particulière, la responsabilité de la politique Bonnet-Chautemps-Delbos. Hs ont le ferme dessein de ne pas créer d'embarras à leurs chefs. Même, le discours du secrétaire général, M. Mazé, en fait foi, ils ne veulent entendre parler « d'avenant au programme »; avant le congrès d'octobre.

Or, ils savent bien que les communistes et beaucoup de socialistes Marseille l'a prouvé ne voient dans le ministère actuel qu'une transition entre le cabinet Blum et un nouveau ministère qui, par sa composition et son programme, exclurait les radicaux.

D'autre part, la position électorale du radicalisme serait fortement compromise par le parti unique. Aujourd'hui, les radicaux peuvent encore bénéficier dans beaucoup de circonscriptions des désistements du second tour. ils seraient à peu près partout en minorité.

Les radicaux s'inquiètent beaucoup en outre de la propagande communiste près des classes moyennes. Enfin, ils se demandent si l'unification n'aurait pas pour conséquence un changement complet d'attitude des communistes.

Roger Dardenne.

(Suite page 3, colonnes 1 et 2)

tlllll1IIIIIIIJIlltfl!IMIItfatilflllMtftailffitt4ataiiiattitiaiiiatta««a«tm<aiB

'̃̃̃̃̃̃̃̃̃̃fpi,.iifiiii||ii^||[|

EN PAGE 7

L'ESCOMPTE A 4 0/0 UN EMPRUNT

DE CONSOLIDATION

M. ALBERT LEBRUN.

.actuellement en vacances à Mercy-

le-Haut, se promène dans le village,

[, en compagnie de M. André Magre.

a.ES GŸ'99W'

LA iOURRSEE

ta Flamme du Souvenir

j A' H.8 h.' 30, à l'Are de Triomplie Bl:HisJi. ;Legion.

Expositions à 23 -])èures ̃ •

Dè".Sl ,à 23 heures s Salles" du 'LCruvrff

ée-la1r.ées. •'•

•• Au Musée des Arts décoratifs, 107,. rue de Rivoli: Le décor de la vie, de 1000 à 19S5 ». ̃ ̃ 13 Quai Malaquais Travaux et col- lections de l'Ecole nationale supérieure aes ceaux-fts..

A la Bibliothèque, Nationale: Exposition ."Dêscartès. Les plus beaux manuscrits, français à peintures du moyen &ge.: ;U_ ail Pavillon des Salons (Esplanade des Invalides) Salon de l'Union des Femmes peintres: et sculpteurs. Salon d'hiver. • 6,. quai d'Orléans • Frédéric Chopin, "George SaiKl et leurs amis ». ̃̃̃î– 'i-rO, Faubourg-Salnt-Honorê Expos!

tlort Greco'.

S_r Au" 'château de Bagatelle Exposition de 1' « Histoire du Bois de Boulogne »

(L'après"-midi).

^Avenue du Président-Wilson, au Palais National dea Arts Cuefï-d'œuvte de l'art

français.'

:_i--Àu Jeu- de Paume des Tuileries Art international Indépendant.

A palliera-: Cent ans du costume,pari-

sfén.

Au château, de Maisons-Laffitte Art priniitfr catalan.. i tes abeilles :de l'Elysée. '̃

"Des abeilles .sans doute bonapartistes' ̃ ôiit ̃ î orcè rElysée en l'absence: ̃du- président de ,1a Répu1 ilïqiie..En .«ssaim s'est posé, sur la branche 'd'un marronnier du grand éthtii des gardes qui prévinrent anssitôt les pompiers. Ceux-ci arrivèrent avec leur grande échelle et leurs masques et, fort délicatement, ils cueillirent l'essaim qui fut déposé dans un grand sac blanc.

Que va-t-on faire des abeilles de l'Elysée Le gouvernement s'honoKerâit en les logeant à Fontainebleau.

60 FRANCS POUR 8 FRANCS « LES ŒUVRES LIBRES » Une collection unique Chaque mois, :çinq œuvres inédites et complètes des meilleurs auteurs. Au sommaire du mois d'août un reportage à Madagas%a'r de Myriam Harry, un roman de Franz Hellens, un roman de M.-O. .pourdon, une nouvelle de Bertrand de La Salle et un récit de Madeleine Hivert. Un vol.: 8 fr. Librairie A. Fayard.

Les rêves gastronomiques

de Bouillard.

Paul Bouillard, le prestigieux cuisinier qui vient de mourir, connaissait par cœur La Physiologie du Goût. C'était bien naturel.

Il y a, disait-il, dans ce livre admirable une dizaine de lignes qui m'ont toujours désolé. <Brillat-Savarin note et c'est malheureusement exact que dans les rêves le sens tiu goût et celui de l'odorat ne fonctionnent pas. On voit, on admire là couleur d'un pommard aux vertus itieffables, mais il n'a pas plus de "bouquet qu'un peu d'eau dans un verre. N'est-ce pas désastreux ? Et sur sa bonne figure se peignait /une tristesse infinie.

Allez au Soleil.

Pourquoi aller en villégiature, quand on est assuré de trouver toujours du soleil « Au Soleil dans la cave », 6, rue de la Pépinière, le café le plus chic des quartiers SaintLazare et Saint-Augustin.

*̃' Et quelle innovation Tous les jours il est offert à déguster aux visiteurs, avant toute commande de consommations, deux grands vins de .Bourgogne.

Touristes allemands à l'étranger. Les Allemands avaient jusqu'ici le droit de se rendre en excursion à l'étranger avec dix marks en poche, soit cent francs. Beaucoup d'entre eux arrivaient à faire durer longtemps ce maigre viatique. Pour cela, il leur fallait emmener leur ravitaillement et coucher n'importe où. Le gouvernement allemand a jugé que :es pratiques étaient incompatibles avec la dignité de citoyen du Reich. Un touriste qui mange des saucisses de Francfort sur une route étrangère, c'est tout le prestige de l'Allerriagne qui est compromis. Aussi i'ient-on d'interdire les excursions à dix marks.

Le Masaue de Fer.

rs*>#*sr #t*#«^<*r*«sr#*>

J QUEL SOUCI

est épargné à une maîtresse de maison en confiant à l'hôtel de Crillon, dans un cadre unique, l'organisation de ses réceptions, thés, cocktails-parties, lunchei, dîners du plus simple au plus âJBijPtueux. ̃ ̃

C'est sous cet aspect que se présenteront désormais aux visiteurs nocturnes les célèbres ` ruines, que de puissants projecteurs éclaireront de toutes parts.

~1~,de ~t <e~ ~~j~€~ 0 CUH~O~U~ t\JH~

HARMONIE DES ROBES ET DES HEURES

II y a un grand agrément à. nèter ,qu'une collection est le reflet même d'un avenir très proche que chaque tobe,- que chaque costume a été composé pour, une occasion certaine. Ro bert Piguet a saisi si l'on .ose .dire, toutes les occasions pas ùné'hèurç ni un climat pour lesquels il n'ait' trouvé le modèle approprié. Nous y découvrons autant de subtilité, de tact, et de finesse que de sollicitude envers* les femmes à qui s'adresse cet ensemble très, remarquable. ̃ Quelles en sont les grandes 'lignes ? Silhouette droite et naturelle' pour le jour, taille normale, épaules: soulignées sans excès, jupe assez courte. Lés colo-

PRÉSENTATIONS DE COLLECTIONS

7, "I

'••“ ̃ POURM-'fiXPORTATION

r' ACOVlïEfcl-iîMEAT ̃ '•

HI3IM, jeunes filles, 15..av. -Matignon,

à 1-âs heures..

ÇAMERIJVI,: "130,. ̃ Eg Saint-Hono-ré* à

10 heures et 15 heures. JAîSE RBGNï, 22 av. Pieri-e-I0'-de-SerI)ïe. ̃ ̃ DE WAH, 13, i'iie Jeàn-Goujon, à;ll heures et 15 heures.

JÂCQ.1J15S HEIM, "15, av.. Matignon, à 11 heures et 15" heures.

MADELEINE DE RAUCH, 18, rue Croixdes-Petits-Champs, à 10 h.. 15 h. et 17 heures.

lilîCIIiE PARAY, 8, place de la Madeleine, à 11 heures et à 15 heures. MADELEINE-IiEMOINE, 134, Faubourg Saint-Honoré à 15 heures.

FOURRURES MAX ET MAX SPORT. 19, av., Matignon, à 9 h. 45 et à 2 h. 30. MARCELLE DORMOY, 22, rue de la Trémoïlle, à 11 heures et à 15 heures. AUJOURD'HUI 1

FOURRURES WEIL, 4, rue Sainte-Anne, à 10 heures et à 15 heures.

MAINBOCHER, 1.2, avenue George-V., à l'Amérique, à 11 heures et 15 heures. ROBERT PIGUET. 5 bis, rue du Cirque, à l'Europe a 11 heures-

MiTHIIiDB GERAL, 9, r. Scribe, à l'ô h. MARCEL ROCHAS. 12, av. Matignon, à l'Europe, à 10 h. 30 et 15 heures. MVGGY ROUFF, 13G, av. des ChampsElysées, à 10 h. 30 et 15 heures, à l'Amérique.

Le 5 août

PAQUIX, 3, rue de la Paix, à l'Europe, à 15 heures.

MARCEL ROCHAS EUROPE 4 Août y

à 10 h. 30 et 15 h.

s .vSTMATHin5E^ERAL ;£l^

MANTE~1UY PARIS (ge)

FOURRURES Tel- OpePfl 78^4 S P O R T présente sa Collection la 4 Août à 15 heures

FOURRURBS WEIL 4, Rue Saint-Anne (angle avenue de l'Opéra) présentent leur nouvelle collection à 10 heures et 15 heures

6,~ R O v7 ~7 E 1 V ROBES. BLOUSES

OR OS S EN TAILLEURS

COUTURIER MAMTtTATtV

29, Faubourg Saint-Honoré MANTEAUX Anion 73-17 ET ENSEMBLES présentera sa colle<tjon le 6 août 10 k. 30 et 16 hemrea. Jours suivants aux m6meit heuree.

de WAR

TRICOTS DE HAUT LUXE

pour la ville, pour le soir, pour le sport

présente sa nouvelle collection à 11 heures et à 15 heures 18, RUE JEAN-GOUJON, 18 ëlysees 3i-s«

LUCILE PAR~Y 8, PLACE DE LA MADELEINE, 8

présente sa nouvelle collectiorc à Il J~eures et 15 heures.

madelbiinte 1 34, Fg St-Honoré I_, :EC 3VE O I IW IE3 à 15 heures

FRANCE.LAMBERT 370, Rue Saint-Honoré

(Place Vendôme)

présentera sa nouvelle collection à l'Amérique et à l'Europe le 9 AOUT à 15 heures

LES RUINES DE POMPEI ILLUMINEES

ris parmi les tailleurs surtout associent fréquemment deux et trois couleurs, jupe, veste, blouse ou chapeau (celui-ci souvent en. tissu) apportant chacun leur noté. Le bleu roi et le rouille sont favoris, comme le vert associé au violine.

Les robes et les manteaux d'aprèsmidi sont particulièrement heureux évasés sans trop, souples, les uns ornés de fourrures sobres, mais riches, les autres agrémentées de trouvailles tels que drapés et coulissés.

Pour le soir, à côté de longs fourreaux ou de tailleurs en crêpe moelleux (la jupe souvent fendue s'écourte parfois de front jusqu'au genou), on remarque des robes à enforme, arrêtes à la cheville, et d'acres plus larges encore, à crinoline,

G. Clarence.

CRBED, 7, rue Royale, à l'Europe, à 11 heures, 15 et 17 heures.

JEANNE I>ANVIN, 22, Fg Saint-Honoré, à 15 heures. MAINBOCHBR, 12, àv.Gëorge-V, à l'Europe, à 11 heures et 15 heures. WQKTH," 120, Fg Saint-HonoVé, à 11 h, JENNY, 8, rue Royale, à l'Amérique et à l'Europe, à 15 heures.

JHAGGY ROÛFP, 136, av. des ChampsElysées, à 10 h. 30 et 15 heures, à l'Europe, sauf l'Angleterre.

Le 6 août

0' ROSSEN, 29; Fg Saint -Honoré, à 10 h. 30 et 15 heures.

MAGGY ROITFF, 136, av. des ChampsElysées, à. 17 h. 30, à l'Angleterre (gros seulement).

MARIE DE BROME, 73 bis, Faubourg Saint-Honoré, à 15 heures.

Le 9 août

FRANCE LAMBERT, 370, rue Saint-Honorê (place Vendôme), à l'Amérique et à l'Europe, à 15 heures.

MADELEINE DE RAUCH présente sa nouvelle collection à 10 II. 15 h. et 17 heures.

18, rue Croix-des-Petits-Champs

JANE REGNY

S. A. J. R.

COUTURE SPORT COUTURE SOIR 22, Avenue Pierre-I°r-«le-SerT>Ie Tél. Passy 44-36

présente actuellement

sa collection d'hiver

.des boys scouts élèvent dans le camp

de Vogelanzang un poteau de signalisa-

tion internationale, couvert d'attributs

]LE C~RP~ETT DU a FïGrATM

AUJOURD'HUI

Deuils. 10 h. 30 Obsèques de M. Henri Blanchet (Saint-Denis d'Arcueil). 11 heures Obsèques de M. Alexandre Palliez (Salnt-Houoré d'Eylau). 11 heures: Obsèques' de M. Armand B. Gibert (Saint-François de Sales, rue Bremontier).

iiltimitiiimlliimiilliiliniMliiiimiliIllimiilimnfiiiiiiiiiiiiiiii

COURS

Empruntant la voie aérienne pour la première fois depuis son avènement, S. M. le Roi George VI a quitté Smiths Lawn Windsor hier, à bord du monoplan récemment acheté pour les déplacements de la famille royale. Le souverain se rendait à Southwold. (Suffolk), pour, y visiter le camp qu'il à fondé en 1921 et où les élèves des aristocratiques « public schools » viennent fraterniser pendant une quinzaine.

L'avion était piloté par le commandant Fielden, qui a le titre officiel de « capitaine des vols du Roi ».

Après avoir déjeuné sous la tente en compagnie des campeurs, le souverain, vêtu comme eux de culottes courtes de flanelle grise et d'une chemise à col ouvert, a participé à plusieurs jeux en plein air, puis il est reparti pour Londres, salué par un concert d'acclamations encore plus vibrant qu'à son arrivée. :̃: S. M. le, Sultan du Maroc ..Sidi Mohammed, rentrant de France, a débari qué hier matin à Casablanca.

Après les honneurs militaires qui lui ont été rendus, le souverain a gagné le palais de Casablanca, d'où, après quelque repos, il rejoindra Rabat.

Le dimanche 8 août, à midi trente, en la basilique Notre-Dame des Victoires, sera célébrée une messe à l'occasion de la fête de la Duchesse d'Anjou et de San Jaime, Infante Marie des Neiges de Portugal.

LL. AA. RR. la Princesse Joséphine-Charlotte et le Prince Baudouin ont visité mercredi l'une des installations de l'œuvre des Stations de plein air, le parc Parmentier, à Woluwe, où plus de treize cents enfants prennent quotidiennement leurs ébats.

AMBASSADES

S. Exc. le comte de Martel, haut.commissaire de France en Syrie, est arrivé hier matin à Marseille, par le paquebot Mariette-Pacha.

M. de Martel, qui a été salué à son débarquement par différentes personnalités locales, n'a fait aucune déclaration. 11 va passer quelques semaines de congé sur la Côte d'Azur.

A bord du même paquebot se trouvait S. Exc. M. de Witasse, ministre de France en Egypte, se rendant à Paris. Le comte Galeazzo Ciano, ministre des affaires étrangères d'Italie, a offert, à Villa Madama, un diner en l'honneur de S. Exc. M. Yovan Doutchich, ministre de Yougoslavie, qui est à la veille de quitter son poste.

S. Exc. M: Laroche, ambassadeur de France à Bruxelles, a remis à M. van Langenhove, secrétaire général du ministère des affaires étrangères et du commerce extérieur, la plaque de grand officier de la Légion d'honneur.

MONDE OFFICIEL

MM. Daranyi, président du conseil, et Homan, ministre des cultes hongrois, sont arrivés dans la ville d'eau autrichienne de Bad-Gasjtein.

M. de Kanya, ministre autrichien des affaires étrangères, est attendu aujourd'hui en Autriche.

Lord Baldwin, accompagné'de lady Baldwin, quitte aujourd'hui l'Angleterre, se,rendant à Aix-les-Bains, où il compte faire un séjour de deux mois.

CERCLES ̃ /v.

Rappelons que pour accueillir ses amis de province et de l'étranger qui viennent à Paris pour l'Exposition, le Cercle de l'Union artistique a organisé dans ses salons, 4, avenue Gabriel, une importante exposition d'art qui est ouverte tous les jours, de quatorze, à dixneuf heures, jusqu'au mois d'octobre. NAISSANCES

Le baron et la baronne J. de Galembert sont heureux de faire part de la naissance de leur fils Philippe. On annonce la naissance

D'Olivier Pénot. v

FIANÇAILLES

On annonce les fiançailles de Mlle Nicole Cartier-Bresson, fille de M. Bernard Cartier-Bresson et de madame, née Desbrière, tous deux décédés, avec M. Yves Legrix de La Salle, ingénieur I. CS. M., fils de M. Louis Legrix de La Salle et de madame, .née Lisferme. •– Nous apprenons les fiançailles de Mlle Delie de Réals, fille du colonej de Réate et de la comtesse Henry de Réals, née !a Jaille, décédée, avec M. Christian de Lansalut, fils de M. Joseph de Lansaltf, décédé, et de madame, née du Brel de Pontbriand.

AU JAMBOREE MONDIAL.

pittoresques. 1

On annonce les fiançailles De Mlle Olga Hamburger avec M. Raymond Baumgarten.

MARIAGES

A Bordeaux, en la basilique SaintJeurin, a été célébré récemment le mariage de Mlle Janine Faur, fille de M. Jules Faur, chevalier de la Légion d'honneur, et de Mme Faur, avec M. JeanPaul Massart, industriel, fils de M. et Mme Frank Massart.

Les témoins étaient, pour la mariée M. Armand Faur, chevalier de la Légion d'honneur, son oncle pour le marié M. Henri Chabrat, son beau-frère. En l'église Saint-Quiriace, à Provins (Seine-et-Marne), vient d'être célébré en présence d'une élégante et nombreuse assistance le mariage de Mlle Anne-Marie Bouf, fille de M. Georges Bouf, vice-président de la Fédération nationale du bâtiment et des travaux publics, ingénieur civil, officier de la Légion d'honneur, et de madame, née Pagny, avec M. Jean-Emile Usse, garde général des eaux et forêts, ancien élève dei'Ecole polytechnique, fils de M. Jules Usse, greffier honoraire de tribunal, et de madame, neé Ancenay.

Le R. P. Le Josne, directeur du groupe des étudiants catholiques, reçut le serment des jeunes-époux et prononça à cette r"oçÇasion une délicate a.llpçutiôn, -L*es'tembihs' étaient, pour la. mariée Mme ̃P.agy, sa tante, et M.. René Bouf, son frère pour le marié le lieutenant de vaisseau Malroux et M. Orillard, avoué, son cousin.

Après, la cérémonie religieuse, un déjeuner réunit les parents et amis des deux familles.

On annonce le prochain mariage de Mlle Françoise Peyre, fille de M. Marcel Peyre, vice-président à la cour d'ap-

LA SAISON HORS PARIS

DE CANNES

Quand on met un quart d'heure pour faire cinq cents mètres en voiture sur la Croisette, quand il faut attendre une chaise pour s'asseoir il la terrasse des bars à l'heure du cocktail, quand il est impossible d'obtenir le moindre guéridon à trois heures du matin, dans la petite boîte de nuit du Casino d'Eté, quand il n'y a pas un mètre carré de sable libre sur la plage, quand les seuls clients qui ont retenu à l'avance sont logés dans les hôtels, il n'u a pas besoin d'autres événements; la saison se suffit à elle-même.

Pourtant, le comité des fêtes et des sports ne ménage pas peines. Il prépare dans les jardins du Grand Hôtel un veglione nocturne blanc et noir qui sera un des triomphes de la saison. Il organise également quatre spectacles populaires sur la Croisette, le tournoi du tennis du Cannes Club pa bientôt commencer, et hier, les concurrents du Paris Nice Automobile étaient brillamment reçus à leur escale de Cannes;

'Dans les casinos, les restaurants et les uillas, les réceptions se suivent à un rythme: accéléré, ainsi qu'à bord des yachts du port qui sont actuellement tous habités.

Dans les hôtels, les chefs de réception notent sans cesse des arrivées nouvelles. Au Grand Hôtel sont descendus le comte et la comtesse E. de Beaumont; M. et Mrs A. N. Chapereau, M. et ilfrs B. G. Bunford. Mme Bailly, M. et Mrs A. Lorie, M: et Mrs Magnùs, Mrs V. H. Corbiit; M. et Mme J. Snyden; M. et Mrs A. S. Crombie, M. et Mrs Ch. Chase, M. et Mme L. Tonckens, etc.

Sir Robert Throckmorton est au Carllon, ainsi que et Mrs J. B. Pendleton; M. et Mrs J. P. Annaker, Mrs Logan, Mrs Wells, M. Jesse Potter, M. Scheiman, M. et Mrs Newbauer, Mlle Lilian Abbond, M. TV". J. R. Laioson Johnston, M. Alias Dunn, etc.

A l'Hôtel Méditerranée qui va inaugurer son nouveau restaurant « Marvivo », le 7 août prochain au profit des colonies de vacances de notre confrère L'EcIaireur de Nice et du Sud-Est, recoit actuellement Mme de Boulac de Merand, M. Rey de Lacroix, M. Van Wyk, M. de Grandprey, Mme de la Plagne, Mme Kerkhoff, M. R. E, Jones, M. Libermann, Mrs Coals, M. W. M. Leask, etc., etc.

Toute celle foule, plus dense à mesure qu'août s'avance, libre et peu vêtue sous le grand beau temps, donne une des plus belles images du bonheur colectif qui se puisse imaginer. C'est sans doute le miracle d'un soleil constant, dont les rayons plus tranchants que le glaive de l'archange coupe la tête de fous les soucis.

Jean Eparvier.

PATINER EN PLEIN ETE Faire du ski en été n'est pas nouveau. Pourquoi ne pourrait-on pas aussi patiner ? On sait qu'il existe une école de ski au Junfraujoch, où chaque année, à la mi-juillet, ont lieu des courses internationales.

Voici qui est moins connu

En plein été, par une température de 30 degrés, on peut patiner ait Jungfranjoch. A vrai dire, la patinoire ne se trouve pas à la surface du sol, mais à vingt mètres de profondeur, taillée dans le. glacier. Elle est due à deux habitants

ACADEMIE DES SCIENCES DETERMINATION

DE LA « GRAVITE » dans les Etats du Levant Comme suite à une précédente communication, présentant les résultats des déterminations de gravité effectuées par lui dans les Etats du Levant, le R. P. Lejay fait connaitrc à l'Académie l'interprétation de ses résultats, permettant de fixer les caractères généraux de la gravité dans ces Etats.

Il a porté sur la carte des Etats du Levant les courbes d'égales anomalies calculées en réduisant les observations au géoïde par la formule de Bouguer, Au nord-est, l'influence du Taurus se fait sentir par des anomalies négatives de plus en plus fortes à mesure qu'on se rapproche du massif.

A l'est, les anomalies négatives se re- trouvent partout les mêmes, d'où l'on déduit que le sous-sol doit être aussi régulier que la surface.

A l'ouest, les fortes anomalies positives du littoral indiquent une compensation isostatique de la fosse marine au large de Beyrouth.

Au nord, le pays des Alaouitcs et la région séismique d'Antioche, échappent au contraire à la loi de l'isostasie.

M. Louis Martin transmet, au nom du professeur Peyron et de ses collaborateurs, Lafay et Poumeau-Delille, le résultat d'importantes recherches poursuivies à l'Institut Pasteur et qui vont marquer une date dans la thérapeutique expérimentale des tumeurs. Pour la première fois, en effet, on a obtenu la guerison d'une tumeur provoquée par un virus en utilisant une substance n'agissant pas sur le virus lui-même,

pel de Paris, et de madame, née Gagne, avec le lieutenant François Huber, du 33° régiment d'artillerie, fils du docteur Julien Huber, médecin de l'hôpital Hérold, et de madame, née Fournier. DEUILS

Nous apprenons la mort subite du général de brigade André, commandant supérieur des troupes de Madagascar, survenue à bord du « Chantilly », entre Mombassa et Majunga, alors que le général rejoignait l'île pour y prendre son haut commandement, et après avoir effectué une mission officielle, du 27 juin

A gauche Mlle Myriam de Saulieu de la Chomonerie, dont le mariage avec M. Pierre Bures vient d'être béni en l'église de Davayat (Puy-de-Dôme). A droite Mlle Anne-Marie Bouf, dont le mariage avec M. Jean Emile Usse vient d'être célébré en l'église Saint-Quiriace, à Provins. (Studio Paiïs-Francc.)

de Wengen et de Grindelwald, qui l'ont creusée dans une petite grotte de glace. Pendant des mois, ils ont travaillé avec leurs piolets à glace pour accomplir cette œuvre unique.

Ils ont dû transporter sur leur dos, des profondeurs des glaciers jusqu'à la surface, des centaines et des centaines de sacs de glace. Il y a une grande salle creusée dans le glacier horizontal dit Jungfraujoch. On y pénètre par un bar de glace original. Une douzaine de marelles y conduisent. Un tapis sur les escaliers et une rampe à la paroi préviennent les glissades.

Un éclairage électrique impeccable répand la clarté nécessaire. Il a été offert par la direction du chemin de fer de la Jungfrau. De meroeilleux cristaux de glace, que les chercheurs de l'Institut alpestre du Jungfraujoch ont déjà photogi-aphiés dans des buts scientifiques, scintillent aux parois de cette salle, La patinoire elle-même semble une salle de cristal. Trois puissantes colonnes soutiennent la voûte. A droite et à gauche, des bancs, dans des niches. Le visiteur qui sait quelque peu patiner et a envie de s'essayer ici, à 3.457 mètres au-dessus de la mer, n'est pas déçu. La glace est polie comme un miroir. La patinoire est nettoyée et arrosée chaque jour sous une température constante de 3 degrés au-dessous de zéro.

Les visiteurs du Jungfraujoch qui ne connaissent pas l'art du patinage iront néanmoins voir cette merveille. Le Jungfraujoch est un paysage arctique au cœur de l'Europe. Voir ces grandes étendues de glaciers, faire une course en traîneau avec des chiens esquimaux, skier et patiner en été, séjourner au milieu de cet impressionnant paysage de montagne et de glaciers voilà qui couronne dignement un voyage en Suisse.

A BAGNOLES-DE-L'ORNE Cette délicieuse station n'est pas seulement le séjour idéal de ceux qui cherchent le calme et le grand air, elle offre à ses hôtes toutes les distractions susceptibles d'agrémenter leurs cures ou leurs vacances.

Le Casino du Lac organise des fêtes hebdomadaires particulièrement suivies et des galas de théâtre et de, concert où se succèdent les plus grandes vedettes.

Le 15 août aura lieu, cette année, une grandiose manifestation nocturne sur le thème « danses et lumières », parmi les girandoles multicolores et les feux des projecteurs, les ballets lumineux dessineront leurs reflets dans la profondeur des eaux du lac. L'embrasentent des façades, les foi laines lumineuses eonstitueront, sur l'écran des sombres frondaisons, un spectacle féerique difficilement réalisable ailleurs. Cette soirée promet de laisser aux visiteurs un souvenir inoubliable. SUR LA RIVIERA

Au cours du grand gala du 8 août qui suivra la course automobile de Monte-Carlo, un numéro exclusif de danses, «Arlequins et Colombir.es n, sera présenté par les « Monte-Carlo Girls ». Les fameuses « beaulies » ont été inspirées pour composer ces pas nouveaux par les maillots et robes de riJaffe da .lanfîllf>.R Hfiimi

LE CONGRES DESCARTES POURSUIT SES TRAVAUX

La séance pîénière d'hier matin, ~aù. Congrès Descartes, avait à son ordre du jour les mathématiques et la logique. M. Bernays, de Zurich, a traité des principes des mathématiques dans leurs rapports avec la philosophie; M. Fraenkel, de l'Université de Jérusalem, a parlé du continu et du discontinu M. le sénateur Orestano, dans ses nouvelles vues logiques, a montré où était la séparation entre une logique pure et une logique ontologique Qui s'appuie comme celle d'Aristote, su? les catégories de l'être.

Dans l'après-midi, deux séances ont été consacrées aux études cartésiennes, l'une au rapport du cartésianisme avec diverses doctrines antiques (Platon, Carnéade) ou médiévales (Duns Scot), l'autre à l'histoire de l'influence du cartésianisme en divers pays Allemagne,

Angleterre, Hongrie.

mais arrêtant néanmoins la multiplication cellulaire.

M. A. Lacroix étudie une éruption ex- plosive du volcan de Saint-Vincent aux Antilles, d'après un document de 1718, trouvé dans les archives de l'Académie Royale des Sciences. Cette éruption n'était connue que par un article, très romancé, de Daniel de Foë, l'auteur de Roliinson Crusoé, puhlié dans son Journal, et l'existence en était contestée. Elle se signala surtout par le fait qu'on perçut à la Guadeloupe, c'est-à-dire à 75 milles de Saint-Vincent, de violentes détonations qui n'avaient pas été entendues dans des régions intermédiaires. Il s'agit là, on le sait, du phénomène des zones de silence, qui, par la suite, devait être si souvent constaté et étudié, en particulier durant la Grande Guerre.

au 10 juillet, à la Côte française des Somalis.

Né en 1882, ancien élève du Prytanée militaire de la Flèche et de l'Ecole spéciale militaire de Saint-Cyr, le général avait fait toute sa carrière dans les troupes coloniales.

Pendant la grande guerrre, plusieurs fois cité, plusieurs fois blessé, il avait été amputé du bras gauche. Ses magnifi'ques états de service lui avaient valu une brillante carrière. Il était général de brigade en 1935; son dernier commandement en France avait été, de juillet 1935 à mars 1936, le secteur fortifié de Haguenau (Bas-Rhin). Il était commandeur de la Légion d'honneur. Nous apprenons la mort de M. Marcel Eymery, chevalier de la Légion d'honneur, maire de Changis-sur-Marne, directeur de l' « Orientation économique et financière », décédé subitement le 31 juillet.

Ses obsèques ont été célébrées hier, en l'église de Changis-sur-Marne, au milieu de l'affluence de ses amis, de ses confrères de la presse économique et des représentants des sénateurs et conseillers généraux de Seine-et-Marne. De Genève, on annonce la mort de M. Fernand Maurette, directeur du bureau de Paris du Bureau international ..du .travail.. Né. à -Paris le 1er novembre 1879, il entrait, en 1924, au Bureau International du travail, à Genève, comme chef de la, division des recherches scientifiques. En octobre 1933; il était nommé sous-directeur du Bureau international du travail à Genève et, en 1937, il devenait directeur du Bureau de Paris du

Nous apprenons la mort du comte de Rivérieulx de Varax, officier de la Légion d'honneur, croix de guerre. Le 31 juillet ont été célébrées, en l'église de Notre-Dame d'Oë (Indre-etLoire), les obsèques de la comtesse Lecointre, née la Bonninière de Beaumont, pieusement décédée en son domicile à Paris. Le deuil était conduit par le comte Lecointre, M. le Harivel de Gonneville, directeur du haras de Lamballe le comte de Lavaulx, M. André Masquelier, ses fils et gendres; Mme le Harivel de Gonneville, la comtesse de Lavaulx, Mme André Masquelier, ses filles. Le comité de la S.S.B.M. de Tours avait envoyé à son ancienne présidente une superbe couronne de fleurs. Nous apprenons la mort du docteur Henri Béclère, radiologiste des hôpitaux, survenue à Paris, le 31 juillet. Nous apprenons la mort de Mme veuve René Bonnet, décédée 40, rue La Bruyère. Le service religieux et l'inhumation ont eu lieu dans la plus stricte intimité. De la part de M. et Mme Eugène Bonnet-Michaud et leurs enfants, de M. et Mme Lucien Véchot et leurs enfants, de M. René Bonnet-Bienaimé. On annonce la mort de M. AnneArmand Dubois, comte de Moulignon, décédé à Zurg (Suisse), à l'âge de quatre-vingt-cinq ans.

On annonce la mort

Du docteur René Pannier, à Gron (Yonne): Valfleury.

Nous accordons à tous nos abonnés une réduction de 25 0/0 sur le tarif normal des avis de faire part des NAIS. SANCES, FIANÇAILLES. MARIAGES etc.

PETIT CARNET

Profitez des prix d'été pour commen.cer et transformer vos fourrures. 5, avenue Victor-Hugo, 5. Fourrures Renel. Etoile.

Pendant votre séjour à Paris, R. Jeanclaude, 2, rue de la Paix, vous offre de splendides tissus d'hiver, lainages, velours, soiries, valeur 100 à 150 fr., sacrifiés depuis 20 fr. le mètre. Jean Desses,

37, Avenue George-V,

a inauguré ses salons de couture le 2 Août 1937.

Collection tous les jours à 11 heures, 3 heures et 5 heures. Tél. Ely. 91-16.. La peau de porc

à la portée de tous

Pour faciliter les achats de sa fidèle clientèle, la Peau de Porc a maintenant trois maisons dans Paris

2 bis, rue Caumartin

67, Faubourg-Saint-Honoré

240 bis, boulevard Saint-Germain, où vous trouverez ses célèbres chaussures « Sioux », sans talon, en peau de porc spécialement recommandées pour la santé par les plus grands podologues. Evitez les imitations et exigez notre marque déposée « Sioux ».

Smart..

LE CHANCELIER SCHUSCHNIGG ''I 1. a quitté' Vienne >

pour le lac de Saint- Wolf gang

Vienne, 3 août. Le chancelier a bien gagné le repos qu'il va prendre dans le district des lacs et des Alpes des environs de Salzbourg, Repos d'ailleurs relatif n'ayant pas désigné de remplaçant, le chancelier entend continuer de diriger, même de sa villégiature, les affaires de l'Etat.

Trois ans se sont écoulés depuis que, dans les circonstances tragiques que l'on sait, la direction de la politique autrichienne échut au Dr Schuschnigg, alors ministre de l'instruction publique dans le Cabinet Dollfuss trois années de labeur incessant, hérissées d'obstacles matériels et psychologiques, d'attaques ouvertes et dissimulées, de péripéties le plus souvent déterminées par des événements dont la responsabilité n'était pas imputable à l'Autriche, comme pour ne citer que deux exemples l'alliance italo-allemande, dans le domaine politique, ou, sur le plan financier, la dévaluation des monnaies du bloc-or.

A travers tous ces avatars politiques et économiques, la conduite autrichienne est_demeurée et demeure singulièrement rectiligne maintien, extension, approfondissement des amitiés à l'extérieur ̃ pacification, harmonisation à l'intérieur; équilibre budgétaire, stabilité monétaire, développement de l'industrie et du commerce comme remède suprême contre le fléau du chômage tout cela dans l'indépendance, c'est-à-dire sans alliance dangereuse dirigée contre des tiers, et pour l'indépendance. Programme simple en apparence mais combien difficile à réaliser en présence des fluctuations politiques intérieures et extérieures et de la dislocation économique du monde entier.

HIER, A SOMMEPY. l,

.a été inauguré le troisième monument élevé sur les champs de bataille français à la mémoire des soldats américains tués pendant la grande guerre. Voici une vue générale de la cérémonie.

SUITES DE LA PREMIÈRE PAGE LES CONSEQUENCES D'UN PARU UNIQUE

Ceux-ci, jusqu'ici, se sont montrés très soucieux de ne pas rompre le Front populaire. Souvent ils se sont contraints à la modération. Mon ami Raymond Millet rappelait il y a peu dans le Temps une histoire qui se colportait autour du congrès de Mar-seille et selon laquelle un membre éminent du parti communiste serait venu discrètement recommander à la commission des résolutions du congrès de maîtriser ses colères et de ne pas ouvrir une crise ministérielle. L'anecdote n'est évidemment pas vérifiée, mais elle est significative. Seulement, cette tactique ne serat-elle pas tout autre après la fusion '? Les appréhensions radicales ont été exprimées il y a deux jours dans La Dépêche de Toulouse par M. Aimé Berthod, sénateur et ancien ministre. « Maîtres des leviers de commande dans le parti le plus nombreux, le plus discipliné, le plus puissant qu'on aura jamais vu dans notre pays, ne seront-ils pas tentés d'aller jusqu'au bout de leurs succès et d'affirmer de nouveau, dans le.ur intégrité, leur doctrine et leurs buts ? » Qu'adviendrait-il demain, se demande encore M. Berthod, « si l'unification projetée mettait au premier plan, comme expression de la grande majorité du parti, doctrine officielle de ses dirigeants, ces idées de révolution violente, de prise du pouvoir par la force, dont certains discours du dernier congrès socialiste et l'accueil qu'ils reçurent nous ont montré qu'elles ne sont pas non plus sans action sur une fraction considérable de ses militants, et auxquels les communistes apporteraient un irrésistible renfort ».

LES MARECHAUX DE LA GRANDE GUERRE ATTENDENT SOUS UN HANGAR

Un an a passe.

Quand cette situation prendrat-elle fin ? `!

Il nous est impossible de le prévoir. Les crédits du Louvre sont si maigres qu'ils permettront à peine de faire face aux réparations urgentes.

Les statues des maréchaux de la grande Guerre ont-elles été livrées aux Monuments historiques `.'

Quelques-unes. Nous devions placer Foch, Fayolle, Franchet d'Esperey dans les niches supérieures, à l'extrémité de la façade qui touche à la place des Pyramides. Joffre, Gallieni, Pétain et Lyautey devaient occuper les niches inférieures. Les statues ont été commandées. Nous en avons reçu plusieurs. Nous en avons même refusé deux, que je ne vous nommerai pas.

Pourquoi, dans ce cas, ne meton pas en place celles dont on dis-

pose 1

Le fonctionnaire distingué qui me renseigne avec beaucoup d'affabilité se retranche pourtant derrière le secret pvofcsionnel

Quelle tâche ingrate, dès lors, que celle de cet homme politique qui, du fait de l'étendue restreinte et de la situation géographique de son pays n'a souvent pas les coudées franches. "Quelle dépense quotidienne d'énergie et d'efforts de conciliation pour un homme d'Etat, méprisant, comme le chancelier Schuschnigg, les artifices rhétoriques du démagogue et les foudres du dictateur. « Autorité n'est pas dictature a a souvent répété le chancelier Schuschnigg. Cette phrase n'est pas restée dans sa bouche une vaine formule il l'a mise en œuvre en s'inspirant d'idées démocratiques auxquelles ni lui ni les auteurs de la nouvelle constitution corporative n'ont jamais renoncé.

Aux prises avec les plus graves problèmes le chancelier Schuschnigg a jusqu'à présent toujours su trouver les solutions constructives sans faire de concessions ni transiger sur les questions de principe dont la première entre toutes reste l'indépendance et l'intégrité de l'Autriche. Son patriotisme rayonnant, sa foi profonde dans le pays dont le sort lui est confié, son sens des responsabilités n'admettent pas qu'il abandonne la tâche à laquelle il s'est attelé. Sa force de volonté indomptable, secondée heureusement par un tempérament physique des plus résistants, lui permettent 'de persévérer dans son œuvre. Jusque dans ces dernières semaines le chancelier a pu enregistrer maints succès éclatants. Son séjour à la campagne et en province, bien que ne présentant pas un repos absolu, accroîtra, sans aucun doute, les forces dont il a besoin pour continuer dans la voie qu'il s'est tracée pour le bien de son pays.

M. Berthod est persuadé que les radicaux et, dit-il, « les classes moyennes, les paysans », ne suivraient pas. Et, de son côté, M. Marcel Déat, dans le Petit Méridional, écrit « que la fissure éventuelle du Front populaire, accentuée par un débat, pourtant nécessaire et urgent, sur le programme, risquerait d'aboutir plus sûrement encore à cette unité politique, dont il est trop évident qu'elle sonnerait à son tour le glas du Rassemblement populaire, en rejetant les radicaux vers d'autres alliances ».

On assisterait donc à la formation d'une nouvelle concentration qui réunirait aux radicaux des, éléments du centre qui, on le sait, tiennent depuis longtemps cette concentration pour la seule formule valable. Quelle en serait l'étendue '? Et verrait-on MM. Paul Reynaud et Flandin près de M. Frossard ?

Il y a encore une autre hypothèse, indiquée dans le Capital par M. Germain-Martin ce serait que le parti socialiste, rejetant la fusion, vint rejoindre « un groupement de forces démocratiques qui aura le courage de dire aux masses ce qui est possible et compatible avec le maintien et l'essor de l'économie nationale et de dénoncer ce qui est impossible et contraire à l'intérêt général ? » Hypothèse, avouons-le, assez difficile à admettre. Néanmoins, on peut avancer que l' « unité organique'» » n'est pas encore très prochaine, bien que les élections cantonales d'octobre ajoutent certainement au désir communiste d'une prompte réalisation. Roger Dardenne.

Allez les voir me dit-il simplement.

Je les ai vues.

J'ai vu le maréchal Joffre, qui semblait taillé dans le sucre, déployer sur son ventre une carte où l'artiste avait prudemment inscrit le nom de la Marne, pour faciliter l'identification. .l'ai vu Gallicni bien embarrasse de ses lorgnettes. J'ai vu Franchet d'Esperey tenant à grand peine un bâton de commandement tout il fait disproportionné. J'ai vu Favolle, dont le nez et Je manteau s'en allaient par larges plaques considérer avec stupéfaction le geste d'opéra du général Cambronne, qu'on lui a donné pour compagnon de hangar. J'ai vu et j'ai compris. Pétain, Foch et Lyautey ont-ils été l'objet de plus d'égards ? Peut-Être. De toute façon, cri ne peut que trembler en songeant que l'Administration étudie encore l'installation de nos grands chefs dans !es niches de la rue de Rivoli et que les dossiers finissent bien, un jour, par arriver la signature.

Pourra-t-on toujours manquer de crédits ?

Georges Ravon..

A Londres, lord Halifax communique à M. Corbin certaines informations sur tes entretiens anglo=italiens Le rapprochement entre Londres et Rome tirera-Nil les négociations sur la non-intervention en Espagne du point mort où elles sont immobilisées ? (De nos correspondants particuliers, par téléphone)

Londres, 3 août. Depuis quelque temps une atmosphère d'optimisme et de confiance règne sur l'Angleterre et les questions les plus graves sont traitées avec légèreté. Ce n'est peut-être là qu'un optimisme dé vacances. L'ensemble du cabinet britannqiue vient de se disperser. M. Chamberlain n'eut connaissance de la lettre que lui fit remettre M. Mussolini que quelques instants avant son départ pour l'Ecosse.

Depuis, ce matin, lord Halifax, comme l'an dernier, a pris possession du Foreign Office dont il sera le chef pendant trois semaines. M. Corbin a eu, cet après-midi, un-entretien important avec lui. Lord Halifax a communiqué à notre ambassadeur certaines informations sur les récents entretiens diplomatiques qui viennent d'avoir lieu entre Londres et Rome.

Le climat des relations anglo-italien.nes est variable. Nous entrons dans une phase particulièrement tempérée et heureuse après les rudes mois d'hiver. Cependant, il n'est pas douteux que M. Chamberlain ne cherche très naturellement en tant que nouveau premier ministre, à résoudre par de nouvelles méthodes les difficultés que présente pour l'Angleterre le front Rome-Berlin. La lettre qu'il avait fait remettre au comte Grandi pour M. Mussolini avait pour objet de dissiper certaines appréhensions italiennes sur des mesures que vient de prendre l'Amirauté en Méditerranée et d'apaiser l'opinion publique au moment

LE CONFLIT

DE LA CHINE DU NORD guerrTd'dsure OU NEGOCIATIONS ? (Suite de la première page.)

Les informations sont des plus laconiques. On note encore l'échec d'un détachement japonais, repoussé par les avant^gardes chinoises à dix kilomètres au sud de la gare de Liang-Hsi-Yang, le bombardement de la passe de Nankou et un massacre de représailles effectué par les Japonais dans un petit village situé entre Tien-Tsin et Pékin. Enfin, selon une information de Tokio, la 13e armée chinoise, partie de Tatouag (Chansi), aurait fait irruption en Mongolie intérieure, provoquant une vive agitation dans la région de Kalgan. L'intransigeance des militaires L'attitude déterminée des chefs nippons ne prête à aucune équivoque. Ils sont déterminés à la conquête des provinces septentrionales chinoises. Mais, pour la justifier, ils invoquent chaque jour de nouveaux prétextes. La pacification se révélant plus ardue qu'il n'avait escompté, le général Katsuchi n'a pas hésité à proclamer que « l'armée japonaise était alertée contre le danger de bolchevisation de la Chine du Nord ». Et certains militaires, mettant formellement en cause la Russie des Soviets.

n ont pas craint de déclarer que « l'armée japonaise n'a pas abandonné l'idée d'établir un front commun contre le bolchevisme avec la Chine ». Mais « l'attitude sauvage et déloyale des Chinois rend cette réalisation présentement impossible ». Aussi est-il d'abord nécessaire, estiment-ils, « d'administrer à la Chine une correction ».

Cependant, au Japon, où s'accroissent les charges du budget de la guerre et où les impôts augmentent ainsi que le coût de la vie, les experts économiques considèrent avec inquiétude l'effondrement des intérêts japonais en Chine, effondrement provoqué par un boycottage rigoureux de toute marchandise nippone et par le moratoire qui vient d'être appliqué aux créances japonaises. Il est permis de se demander jusqu'à quel point Nankin ne table pas sur l'inquiétude économique régnant chez l'adversaire et ne se prépare pas à une guerre d'usure.

D'ores et déjà les relations diplomatiques avec Tokio sont considérées comme rompues. La fièvre guerrière anime les Chinois. Les généraux semblent s'être mis d'accord sur un plan de collaboration efficace. Les troupes du Chahai-, du Ho-peï, du Chansi et du Chantoung esquissent un mouvement d'encerclement vers Tien-Tsin et Pékin.

En étendant son front, en se refusant d'engager de sérieux combats et en essoufflant l'ennemi par des guérillas ruineuses à plus d'un titre, Nankin possède un atout d'importance.

Tokio l'aurait-il compris?

Un communiqué de Dairen apprend, en effet, que M. Shigeru Kawagoe, ambassadeur du Japon en Chine, qui se rend de Tien-Tsin à Nankin par la voie des airs, se serait déclaré disposé à entamer des négociations en vue d'un règlement à l'amiable du différend sinojaponais. P. M.

L' « EPURATION » SE POURSUIT

EN U. R. S. S.

Des généraux, des amiraux, des diplomates seraient arrêtés Moscou, 3 août. Le général Petrovski, délégué du commissariat du peuple pour les Affaires étrangères en Ukraine, fils de Grégorilvanovitch Petrovski, président du Comité central exécutif d'Ukraine, aurait été fusillé Grégori Petriowski ne serait pas arrêté, mais placé sous étroite surveillance. Des bruits courent sur l'arrestation de l'amiral Orlov, vice-commissaire à la défense de l'U. R. S. S. et chef des forces navales de l'amiral Victorov, de l'escadre du Pacifique du général Kachirihe, ancien chef de la circonscription militaire du Caucase-nord du colonel Borissenko, chef du régiment de tanks ukrainiens. Serait également emprisonné le.vieux bolchevik Krylenko, commissaire à la Justice, qui commença sa carrière révolutionnaire avec la révolution man- quée de 1904 l'aspirant Krylenko, qui avait été nommé chef des forces révo- lutiouuaires après la révolution d'oc- tobre. En 1918, il dirigea la section des tribunaux d'exception au ministère de la Justice et fut ensuite procureur de la République et dirigea tous les grands procès de trahison jusqu'au moment où il fut remplacé par AI. Vychinski. II en serait de même de Moskvine, membre du Comité exécutif du Komin-* tern.

Le commissariat dés affaires étrangères aurait vu la disgrâce de Lachkievitch, conseiller juridique du service des affaires de la S. D. N. de Sabanine, directeur du Département juridique l, de Ncyman, directeur du troisième département politique d'Occident. Nathalie Satz, directrice du théâtre pour enfanls, serait également arrêtée.

où le comité de non-intervention est sur le point de constater l'échec de ses travaux et d'abandonner le plan britannique.

Ce n'est pas toutefois la question espagnole qui dominera jusqu'en septembrelés prochaines négociations diplomatiques que lord Halifax pourrait engager avec Rome au cours, des prochaines semaines, mais celle de la reconnaissance, sinon de l'administration de la conquête italienne en Ethiopie.

Le gouvernement italien aimerait que l'Angleterre prît, avant l'assemblée de la Société des Nations, en septembre, l'initiative de reconnaître sa souveraineté en Ethiopie car ce geste pourrait être suivi par les autres nations. En principe, le gouvernement n'est 'pas opposé à cette demande. Et quant aux autres questions, avant d'être traitées avec chance de succès, elles devront mûrir quelque temps sous ce climat favorable créé par l'échange de lettres entre M. Chamberlain et M. Mussolini.

Gérard Boutelleau.

M. MUSSOLINI AURAIT DONNE A M. CHAMBERLAIN

TOUT APAISEMENT

SUR LES INTENTIONS PACIFIQUES DE -L'ITALIE

Rome, 3 août. La presse italienne est aujourd'hui très sobre de commentaires sur la situation générale. En revanche, elle s'étend longuement, dans les correspondances qu'elle reçoit de l'étranger, sur l'action diplomatique entreprise pour le rapprochement italobritannique et sur ses répercussions dans l'opinion mondiale.

LE CONFLIT ESPAGNOL

LES BATTERIES NATIONALISTES BOMBARDENT VIOLEMMENT MADRID

Madrid, 3 août. Vers minuit, après un duel d'artillerie assez intense qui avait duré de 21 à 22 heures, les batteries insurgées ont canonné violem- ment la capitale.

Pendant deux heures, les obus sont tombés, à un rythme rapide, sur la ville. Répondant à l'artillerie insurgée, les canons républicains ont tiré, eux aussi, presque sans arrêt. Les départs des grosses pièces ébranlaient les murs des maisons, que les explosions des projectiles insurgés faisaient également trembler. Le haut commandement républicain avait donné ordre de riposter en bombardant les positions des arrières in-

UN HYDRAVION

AMERICAIN

DISPARAIT EN MER AVEC 14 PASSAGERS Balboa (Panama), ,'i août. Un hydravion de la ligne de la côte ouest de l'Amérique du Sud a disparu entre Guayaquil et Cristoba'I.

L'appareil transportait onze passagers et trois membres d'équipage. La Compagnie a ordonné immédiatement des recherches et a envoyé trois hydravions et un avion de transport. D'autre part, vingt-deux avions de la marine croisent sur le parcours de l'appareil disparu.

L'appareil submergé

Les Panamerican Airways l'ont savoir {juc le Département du la guerre à Washington a reçu de Panama un message selon lequel un avion militaire a repéré l'hydravion disparu il trente milles au Nord-Est de Ci,istobal.

L'appareil semble complètement submergé et personne de vivant n'a été aperçu aux aleutours.

1 LE GENERAL OLRY.

.qui prendra prochainement le commandement du 15" corps d'armée, à Marseille.

M. JEAN APPERT.

.qui vient d'être nommé directeur ¡ général des Contributions indirectes.

En ce qui concerne la lettre de M. Mussolini au Premier anglais, on donne aussi peu de détails sur sa forme que sur sa substance. On croit cependant savoir qu'il s'agit d'un document dactylographié de deux pages revêtu de la signature autographe du Duce dans le texte italien, qui est d'ailleurs accompagné d'une traduction en anglais. Elle donne, en réponse aux' assurances écrites de M. Chamberlain, tout apaisement sur,les intentions pacifiques de l'Italie et sur sa volonté de vivre en bonne harmonie avec l'Angleterre.

Les conséquences pratiques de cet échange de courtoisie ne pourront, bien entendu, être tirées qu'au cours de conversations plus précises entre les chancelleries. L'idée d'une visite de M. Eden à Rome et celle d'un voyage du comte Ciano à Londres, sont toujours envisagées avec sympathie, mais la perspective en apparaît quelque peu lointaine et problématique. Avant ces rencontres, et avant la conférence internationale de Londres que certains journaux anglais prévoient pour l'automne, se poseront des problèmes concrets et urgents à résoudre celui d'Espagne, celui de la Méditerranée, celui de l'Abyssinie. Certes la question d'Espagne peut être considérée comme passant désormais au second plan, devant la portée d'un rapprochement général entre l'Italie et l'Angleterre. A ce point de vue, l'initiative anglaise aura peut-être en tout cas réussi,

en fin de compte, a tirer les négociations de Londres du point mort où elles sont immobilisées. Il apparaît maintenant, à Rome comme ailleurs, qu'une formule d'entente doit nécessairement être trouvée en ce qui concrne le conflit espagnol; ne serait-ce que pour sceller la réconciliation italo-anglaise,

Madeleine R. Anglès.

surgés. Le duel s'est ainsi poursuivi jusque vers 2 heures du matin. Plus de 500 obus seraient tombés sur la capitale.

En parcourant les rues, ce matin, on trouve partout des traces du bombardement. Les effets en sont quelquefois terribles. Les dégâts matériels sont aussi très importants. Les quartiers de la Gran Via et de la Puerta del Sol ont particulièrement souffert.

Le bombardement a été repris aujourd'hui à 15 heures.

On ignore le nombre exact des victimes.

Sur le f ront de Teruel Succès nationalistes.

C"u~ ~o ;a n

aaiamanque, a aour. Les communiqués du grand quartier général affirment que les nationalistes poursuivent leur avance de i-Aopn satisfaisante sur le front de Teruel et Saragossc, à l'est de Madrid.

La 5e division occupé cinq nouveaux sommets d'une grande importance stratégique et les combats se poursuivent à une altitude de 1.000 à 2.000 mètres. .et gouvernementaux

Madrid, 3 août. Un communiqué du général commandant l'armée de l'est déclare que les troupes gouvernementales ont remporté plusieurs succès dans le secteur de Teruel. Elles ont occupé le village de Bodenas, d'où les phalangistes se sont enfuis en déroute. Les positions de La Muela de Amadon ont été améliorées et l'avance continue. EN MARGE

DE LA GUERRE CIVILE Selon une dépêche de Bilbao, sur les côtes de Santander, un navire a été coulé par le contre-torpilleur nationaliste Dafo. L'équipage a été recueilli par deux chalutiers gouvernementaux. On pense qu'il s'agit d'un navire gou- vernemental venant de Gijon qui cher- chait à rompre le blocus de Santander.

♦

Agitation dans le Dodécanèse Ilaïfa, 3 août. Selon des nouvelles parvenues du Dodécanèse à Haïfa, une certaine agitation se serait manifestée dans les îles italiennes de la mer Egée. Les autorités italiennes auraient procédé, dans le courant de juillet, à de nombreuses arrestations dans les îles de Kalymnos, Leros et Patmos. Après avoir subi des interrogatoires sévères, les suspects, dont plusieurs notables, auraient été incarcérés sous l'inculpation d'espionnage.

♦̃

` Le 20e congrès sioniste s'est ouvert à Zurich

Zurich, 3 août. Le 20" congrès sioniste s'est ouvert ce soir à Zurich. C'est le Dr Weizmann, directeur de l'« Agence juive pour la Palestine », qui a prononce le discours d'ouverture. Lecture a été ensuite donnée de nombreux messages émanant notamment du secrétaire général de la S. D. N., du rirecteur du B. I. T., du gouvernement britannique, du gouvernement suisse, etc.

4»

Actualités internationales ALLEMAGNE. La police allemande, sur les instructions de M. Kerri, ministre des « affaires ecclésiastiques », a interdit l'organisation de pèlerinages pour Rome ou pour les lieux saints. L'écrivain allemand Karl von OsI sielsky, longtemps emprisonné comme Hucf'/ix~e et titulaire du Prix Nobel pour la paix: en 1936, fait connaître que le Uouvernement allemand a levé l'interdiction de délivrance pesant sur les fonds de ses prix. Karl von Ossietsky

est actuellement dans un sanatorium de ¡

Xiederschonhausen.

ETATS-UNIS. Dans une lettre adressée à la commission agricole du Sénat, le président Roosevelt déclare qu'il serait inopportun à son avis de stabiliser le dollar actuellement.

GRAXDE-BRETAGXE. M. von Ribbentrop q quitté Londres pour l'EcMse où il passera quelques jours de vacances, deux semaines environ. L'ambassadeur aurait ensuite l'intention de se rendre en Allemagne.

LA LIGNE FRANÇAISE DE L'ATLANTIQUE NORD Le Lieutenant- de -Vaisseau-Paris reprenant ses vols d'essais

a tenu l'air plus de 22 heures Mais les services qu'on peut attendre de ce vieil appareil pour des traversées de l'Océan sont forcément limités

L'hydravion Lieutenant-de-V ais- seau-Paris, pilote par le commandant Bonnet et ayant à bord huit I hommes d'équipage: capitaine Retourna, second pilote radio Emont, mécaniciens Le Morvan, Desseudit, Chapaton et Vallès, navigateur Bese'rahe* et deux ingénieurs du service technique, et qui avait quitté Biscarosse lundi à 13 h. 50 pour un vol d'endurance, est rentré hier à 12 h. 30 à sa base, après un vol de 22 heures 40 minutes qui le conduisit au MontTSaint-Michel, par Rochefort à Bordeaux, puis, de là. par Narbonne, à Ajaccio Hyères et Biscarosse. La croisière s'est effectuée sans incident et ce premier voyage de mise au point depuis que le Lieutenantde^Vaissean-Paris a été reconstruit après l'accident survenu il y a plus de deux ans dans la baie de Pensacola, en Amérique, marque le retour à l'activité d'une unité qui est au- jourd'hui vieille de neuf ans.

Le Lieutenant-de-Vaisseau-Paris est le seul appareil actuellement prêt pour effectuer les premiers essais sur l'Atlantique Nord. Il est muni de six moteurs Hispano-Suiza et de ce fait il est d'une exploitation difficile, onéreuse et peu conforme .au programme de la traversée. A l'époque' de sa création l'hydravion était peut-être capable de rivaliser avec les productions étrangères. Aujourd'hui avec une vitesse maximum de 250 :kilomètres à- l'heure et une vitesse de crojsière de 185 kilomètres ̃ chiffres très optimistes il est nettement inférieur. Ses performances, en-effet, même les meilleures, en

Un des stands très remarqués à l'Exposition est celui de « Klytia », l'Institut de Beauté, 26, place Vendôme, au Pavillon de l'Elégance.

La cour de l'hôtel Matignon est occupée.

par des commerçants

A la sortie du meeting tenu hier

après-midi à la salle Wagram par des commerçants, cent cinquante de ceux-ci prirent des taxis qui, par des voies différentes, les conduisirent rue de Varenne, à l'hôtel de la présidence du Conseil.

Les manifestants ne trouvèrent à la porte que l'habituel garde républicain. Celui-ci laissa passer tacitement les groupes de quatre ou cinq « délégués », mais bientôt les « délégations » furent si nombreuses qu'elles remplissaient la cour d'honneur de l'hôtel Matignon. Le service d'ordre s'aperçut alors qu'il s'agissait d'une véritable manifestation, plus bruyante que méchante, d'ailleurs. Les commerçants protestataires occupèrent ainsi pendant une heure environ la cour de l'hôtel Matignon, les uns discutant entre eux. les autres. moins »r. Il

dents pacifiquement assis sur ]es marches du perron de l'hôtel.

Cette situation ne pouvait se prolonger pour y mettre fin, M. William Bertrand; sous-secrétaire d'Etat, reçut une « députation » de douze manifestants. Il décida les protestataires à se retirer.

Les commerçants évacuèrent sans incident l'hôtel de la présidence du Conseil et police-secours, alerté un peu tardivement, n'eut pas à intervenir.

*>

La grève des abattoirs

En vue de mettre un terme au conflit des abattoirs de la Villette et de Vaugirard, M. William Bertrand a réuni hier les représentants des patrons et des ouvriers pour confronter leurs points de vue.

·

AU QUAlVoRSAY

AU QUAI D'ORSAY ) M. Yvon Delbos, ministre des affaires étrangères, qui a retardé d'un jour son départ en vacances, a reçu hier en audience au Quai d'Orsay, M. Souritz, ambassadeur d'U. R. S. S. à Paris. M. Delbos quittera Paris ce matin, par la route.

Durant l'absence du ministre des affaires étrangères, l'intérim des services du Quai d'Orsay sera assuré par M. Camille Chautemps, président du Conseil.

COMPAGNIE GENERALE TRANSATLANTIQUE

Croisière aux Lochs d'Ecosse DU 14 AU 17 AOUT

par s/s « ILE DE FRANCE » (44.500 T.) i le plus grand paquebot français de croisière

LE HAVRE ILES SCILLY GREENOCK LE HAVRE Billets à partir dé 5OO fr. i! S'adresser COMPAGNIE GENERALE TRANSATLANTIQUE 6, Rue Auber, PARIS

aux Agences de la Compagnie et aux Agences de Voyages

regard de celles que viennent d'accomplir les hydravions américains et britanniques sur le parcours EtatsUnis-Europe et vice versa, sont assez pauvres et montrent qu'il est impossible de compter sur lui pour une exploitation régulière, laquelle aujourd'hui ne se conçoit qu'avec ces deux facteurs vitesse et économie, les deux facteurs qui manquent précisément au Lieulenant-de-VaisseauParis.

Toutefois le marasme de l'hydraviation française ne permet pas,d'escompter, avant longtemps, des ,hydravions susceptibles de se comporter aussi brillamment que les hydravions de Grande-Bretagne ou des Etats-Unis. C'est donc en définitive an Lieutenant-de-Vaisseau-Paris, répétons-le, qu'on va demander d'efféetuer les premiers essais français 'sur l'Atlantique Nord études des' conditions atmosphériques, liaisons' radiophoniques avec les installations terrestres et maritimes. N'attendant pas d'autres services de cette vieille unité les organisateurs de la ligne devront s'employer à pousser la réalisation d'autres machines capables d'assurer la liaison dans des contlitions de rendement satisfaisantes. Pour l'instant la France entend ne pas demeurer absente de' l'Atlantique Nord. Elle confie au Lieutenantde-Vaisseau-Paris et son brillant équipage cette tàche délicate. Souhaitons que celle-ci s'accomplisse de façon satisfaisante sans nous arrêter sur les performances qui seront forcément médiocres. ̃ André Reichel.

Amélioration dans le conflit agricole de l'Aisne

Echec à la C. G. T.

L'Association centrale des employeurs agricoles nous communique

«Une amélioration très nette, ft constatée depuis hier dans la région de Saint-Quentin,' où les communistes cherchaient à généraliser les grèves à l'occasion de la moisson.

» Durant toute la semaine passée, des mesures absolument illégales ont été prises en vue d'empêcher les agriculteurs de faire appel à l'entr'aide professioiinelle, et ces mesures ont profondément ému toute la paysannerie. » En raison de cet état de choses, les agriculteurs ont pris leurs dispositions pour venir en nombre suffisant, afin d'assurer les travaux de récolte, ee à quoi aucun décret ou règlemeftt ne saurait s'opposer ils ont, de plus, très nettement mis l'administration cil fàce de ses responsabilités, à la suite d'une assemblée générale tenue à Saint-Quen-

f! ""r..

nu je 6 auui.

j> La manifestation évidente de la cohésion et de la solidarité agricole :mit fin aux atteintes à la liberté' individuelle systématiquement pratiquées par l'administration dans le département de l'Aisne, atteintes à la liberté qui ont fait l'objet de constats pour recours éventuels. Les agriculteurs bénévoles, venu* des régions voisines pour sauver la moisson, ont pu librement travailler dès hier.

» Cette attitude eut également poar effet de donner confiance aux ouvriers agricoles qui, dans la très grande 'majorité, ont compris le caractère \poli* tique et antiprofcssionnel des grève» décidées pour le rétablissement d« l'ordre. »

La commission d'enquête de l'hôtellerie s'installe

La commission d'enquête chargée d'examiner la situation économique de l'industrie hôtelière, s'est réunie hier i la présidence du Conseil. M. William Bertrand a procédé à l'installation, puis a donné la' présidence à M. Théodore Tissier, vice-président du Conseil d'Etat. La commission- a élaboré son programme de travail et a décidé, notamment, de répartir l'enquête projetée 'entre deux sous-commissions commission du travail et commission des hôtels.

DEUX MILLIONS

DE BIJOUX,SONT VOLES DANS UN HOTEL

DES CHAMPS-ELYSEES Mais qui est l'Américaine victime de ce vol ?

Un vol de bijoux commis il y a peu de temps dans un grand hôtel voisin des Champs-Elysées, au préjudice d'une

Américaine, occupe actuellement le 1 par-

quet de la Seine ainsi que les services de la préfecture de police, qui observent jusqu'ici la plus grande discrétion.

Les malfaiteurs auraient opéré dans la nuit du 2 au 3 juillet, sans attirer l'attention des concierges et garçons d'étages. Le montant de ce vol atteindrait deux .millions.

Voici d'ailleurs la nomenclature des bijoux disparus

Un pendentif plat en brillants de 110 carats avec une chaîne en brillants de quinze carats un second pendentif plat en brillants avec une émeraude une bague en platine avec deux brillants pesant quinze carats et demi deux bagues ornées de brillants pesant cinq carats et quatre carats et demi une bague en platine ornée d'une émeraude une bague ornée de brillants.

Une broche ornée de brillants et d'un saphir en cabochon, pesant trente carats une châtelaine pour dame en perïes et petits brillants une montre-bracelet platine et or un bracelet en platine ayant, au centre, trois gros brillants et plusieurs autres de moindres dimensions.

Un autre bracelet en platine comportant quatre brillants de quatre carats chacun, deux diamants de six carats, un diamant de huit carats 732 et plusieurs autres petits pesant près de 90 carats. Ce bijou a six centimètres et demi de large.

Et, enfin, un dernier bracelet en pla- Une également orné de diamant 1 La victime de ce vol serait assurée à l fcne compagnie d'assurance de Baltimore.

LA SAISON AU TOUQUET

-11

M. Paul Morand, notre éminent collaborateur (à droite), et le commandant Valotte aux «Drags Hunt» du Touquet.

LA VIE RELIGIEUSE

Mgr Couderc sera intronisé demain

L'intronisation de S. Exc. Mgr Gouderc. évêque de Viviers, en son église Cathédrale, aura lieu le jeudi 5 août. Le pèlerinage international des anciens combattants C'est S. Em. le cardinal Liénart, évêfnie de Lille, qui présidera la délégation française du pèlerinage internatlonal des anciens combattants à Vienne. j: La délégation française sera particulièrement importante et comptera de nombreux représentants du Nord. i; Le nouvel archevêque de Bombay

Le P. Thomas Robert, recteur du collège Saint-François-Xavier' de Liverpool, çst nommé archevêque de Bombay. Pèlerinage de l'Aviation

française à Lourdes

On nous communique la note suipante

A l'occasion du premier Pèlerinage de l'Aviation française à Lourdes, qui ifloit avoir lieu du 16 au 19 août prochain, une entente est intervenue, dans le but de manifester l'intérêt porté au développement de l'aviation privée, entre la direction des pèlerinages de Lourdes et l'Aéro-Club de la Bigorre. L'Aéro-Clul) se charge de la réception èt du contrôle à l'arrivée de tous les avions participant au pèlerinage, et la direction de Lourdes met à sa disposition une somme permettant d'offrir, après tirage au sort entre tous les avions {réunis à Tarbes, une indemnité de combustible égale à un franc par kilomètre'du trajet d'arrivée pour les quinze premiers numéros sortis à ce tirage. Ce rassemblement est ouvert à tous les pilotes aviateurs, titulaires d'un Brevet en état de navigabilité pour 1937. Les avions utilisés seront des avions de tourisme..

Les pilotes qui comptent venir à Tartes devront avertir pour le 10 août l'aé-

Petit guide du public pour l'Exposition «llluIllliIllllllumiimiullinililHiilliiiiiiliiiiilliiiiiiiiiiniiiiiiiiiiuHiiiiiiii Minium Aujourd'hui, soixante-douzième jour d'ouverture

6 francs, de 9 h. 30 à 24 heures.

AUJOURD'HUI i_

17 heures Au Palais des Beaux-Arts Réception à la Section polonaise de Peinture et de Sculpture.

9 heures à 24 heures Centre rural (porte Maillot) Semaine de la vallée du Rhône (jusqu'au 6 août) les fruits, pêches, etc. les miels, fromages, volailles de Bresse les crus.

17 et 22 heures Parc des attractions (cours Albcrt-I") Exhibition des skieurs nautiques.

22 heures Sur la Seine et au Trocadéro Fontaines lumineuses.

22 heures Au Pavillon de l'Autriche Soirée en l'honneur de la Corporation des commerçants de Vienne.

DEMAIN ̃• ù*km 11 heures Réception au Pavillon Guyenne et Gascogne. 17 heures Réception au Pavillon de la Société des Artistes Décorateurs.

18 heures Réception au Pavillon du Languedoc-Méditer.ranéen.

21 h. 30 à 23 h. 30 Sur la Seine et au Trocadéro Fontaines Lumineuses.

GÏHÇHETS DE CHANGE DE LA BANQUE TRANSATLANTIQUE Entrée Concorde.. Aima, Troeadéro.

Pavillon de la Banque Transatlantique.

Au Congrès national des instituteurs UN IMPORTANT DISCOURS DE M. DELMAS M. LEON JOUHAUX EST VIOLEMMENT INTERROMPU

(Suite de la première page.)

Autant, l'année dernière, au congrès de Lille, M. Delmas s'est étendu sur cette question, autant cette année il s'y montre bref. Il reconnaît que la situation est trouble. Il veut y voir clair Notre action, dit-il, a été dictée par la motion votée l'année dernière au congrès de Lille tout faire pour éviter la guerre avant qu'elle n'ait éclaté, et si elle éclate sur un point du monde, s'attacher à la faire cesser dès que cela est possible. Ce pacifisme pratique ne s'inspire pas d'une doctrine. Ce qui importe pour nous, c'est de sauver les vies humaines. Nous auons eu le courage de dire que nous apportions des solutions ne donnant pas satisfaction à tous. Mais la vie exige des compromis.

Le gouvernement Blum

M. Delmas analyse ensuite l'expérience du gouvernement Blum. Il observe qu'elle n'ai pas tout à fait échouée et que la classe ouvrière en a tiré de réels avantages. Il rappelle qu'au congrès de 1935, lui-même avait prédit l'échec en disant « pour réussir un gouvernement vraiment démocratique, dès son arrivée au pouvoir, devra prendre dans les 24 heures les trois mesures suivantes 1° mettre les banques à la raison 2° empêcher la presse de pervertir l'opinion 3° épurer l'administration et l'armée. »

M. Delmas constate que ces mesures n'ont pas été prises. H rappelle que pendant ce même congrès, il avait dénoncé l'attitude du « Sénat républicain », ce qui déchaîne les rires de l'assistance. Mais il tient à préciser que le

roport de Tarbes. (Chambre de commerce, à Tarbes). Ils prendront le départ d'un aérodrome de leur choix. Ils feront constater leur départ soit par un

commandant d'aérodrome officiel, soit

par un commissaire agréé par leur aéroclub. Ils se muniront d'une feuille de vol signée par le commissaire ou le commandant.

L'arrivée aura lieu le 16 août sur le terrain de Tarbes-Laloubère, entre 9 heures et 16 heures, et sera contrôlée par un commissaire. Le tirage au sort prévu plus haut sera effectué à 16 h. 30. Le calcul de l'indemnité sera fait sur la distance aérienne du trajet d'arrivée, et réservé seulement aux pilotes français ayant pris leur départ sur un aérodrome de la France continentale. Une réception intime (vin d'honneur avec remise d'une médaille commémorative) sera faite à 16 h. 30 à l'aéroport de Tarbes à tous les aviateurs venus par la voie des airs. La Chambre de commerce ne percevra d'ailleurs ni taxe d'atterrissage, ni taxe de gardiennage, et elle prendra à sa charge le transport de l'aéroport de Tarbes à Lourdes pour les personnes venues en avion.

Noter que l'altitude minima pour le survol de la Ville de Lourdes est de quinze cents mètres au-dessus du niveau de la mer.

♦

Les accidents de la route Dans la côte de Picardie, près de Versailles, une automobile conduite par M. Le Bilt s'est écrasée contre un arbre, par suite de la rupture d'un frein. Le pilote et la passagère, Mlle Ehrat, grièvlement blessés, ont été transportés à l'hôpital de Versailles.

A Alger, un camion a écrasé M. Edouard Martin, membre de l'équipage du vapeur Tivatte.

A Aurillac, trois cantonniers qui se rendaient à leur travail à bicyclette ont été renversés par une automobile. Un des cyclistes, M. Abcher, a eu les deux jambes broyées et a succombé. Les deux autres sont grièvement blessés.

Sénat n'est pas la cause de la chute du gouvernement Blum et qu'il a même rendu un service personnel à M. Léon Blum en mettant fin à une expérience qui se déroulait « dans les circonstances les plus malheureuses ». Pour lui, la cause de l'échec de son ministère ré»side dans les contradictions de la politique de M. Léon Blum. Quelles sont donc ces contradictions ? Le système financier du gouvernement Blum était basé sur l'emprunt. Il ne cessait de s'adresser aux puissances d'argent pour essayer de combler un déficit de 40 milliards. En faisant un constant appel au capitalisme on pratiquait en même temps une politique sociale allant à l'encontre du capitalisme.

M. Delmas refuse de se laisser prendre au « bluff de M. Georges Bonnet » et il s'écrie

La démocratie parlementaire est morte. La Constitution de 1875 est morte. Il vaudrait mieux mettre fin le plus tôt possible à t'expérience. Deux voies s'offrent celle préconisée par M. Paul Reynaud, la sauvegarde du capitalisme par une déflation féroce allant à l'encontre des intérêts du syndicalisme la seconde, un rassemblement populaire élargi, vivifié, loyal, comportant dans son programme des réformes de structare. Sans cela la route est ouverte aux aventures. Et M. Delmas conclut en proclamant « la nécessité de sauvegarder les conquêtes sociales et la liberté ». « A bas l'union sacrée » M. Léon Jouhaux monte ensuite à la tribune. Il est accueilli diversement, par des huées et par des applaudissements. Pendant tout le temps de son discours, l'on sent que chacune de ses paroles est épiée.Tant que le secrétaire confédéral s'en tient à la question intérieure, l'orage n'est que menaçant. Aussi peut-il, sans être interrompu, critiquer les erreurs de l'expérience Blum et réclamer la nationalisation des industries-clefs. Mais, dès qu'il aborde la question extérieure, M. Léon Jouhaux provoque les interruptions. « Comme en 1914 » s'écrie une partie de la salle. Et M. Jouhaux, parmi le bruit, poursuit en disant que l'Afrique du Nord est menacée d'être coupée de la métropole, ce qui est dangereux pour

ja aetense nationale. ues derniers mots déchaînent un véritable orage. On entend les cris de « A bas l'union sacrée Au milieu du tumulte, M. Jouhaux termine en s'écriant, reprenant les paroles de Jaurès « Je préfère être hué par la masse en lui disant la vérité qu'être applaudi en la flattant. r La séance de l'après-midi a été réservée à la discussion des questions administratives et pédagogiques.

A la présidence du Conseil M. Camille Chautemps a reçu, hier, M. Léon Jouhaux, secrétaire général de la Confédération générale du travail, avec lequel il a eu un assez long entretien.

Le président du Conseil s'est aussi entretenu avec M. Amé-Leroy, ministre de France au Portugal. Ce dernier a été également reçu par M. William Bertrand.

D'autre part, le sous-secrétaire d'Etat à la présidence du Conseil s'est entre1» tenu avec M. Capocci, secrétaire de la Fédération des employés, au sujet de la situation des auxiliaires dans les ministères.

L'AFFAIRE FAUVEAU REBONDIT

LA NOUVELLE INSTRUCTION DONNE LIEU

A QUELQUES INCIDENTS Limoges, 3 août. A la suite de l'acquittement du sapeur-pompier Fauveau, accusé d'avoir empoisonné sa femme, le Parquet de Limoges, sur mémoire de la chancellerie, prenait, la semaine dernière, la résolution de faire procéder à une nouvelle instruction.

Ce matin. le procureur de la République, le substitut et le juge d'instruction se sont transportés dans le petit village où se trouvaient déjà les avocats de Fauveau, partie civile dans l'instruction ouverte contre X.

L'émotion au village

de Château-Chervix

Devant la petite ferme, une trentaine d'habitants des environs sont présents. Une certaine effervescence se produit lorsque les photographes opèrent. Les curieux grondent et expriment leur mécontentement pour la façon dont furent accueillies les déclarations des témoins de Labadie devant la cour d'assises de la Seine. Le village est contre Fauveau. Dans la cour de la ferme, les habitants du village discutent avec animation et passion, sous la surveillance des gen-

darmes.

Les avocats de Fauveau sont copieusement hués.

Les magistrats, qui ont convoqué une douzaine de témoins, pénètrent dans la ferme, Ils entendront d'abord les époux Durand, puis Mme Durand mère, M. et Mme Gendarme, puis les personnes qui ont assisté aux derniers moments de la victime dans la soirée du 18 août 1936. Mme Durand, visée particulièrement par la plainte de M. Fauveau, a pro. testé de son innocence.

D'autre part, le docteur Faucher, dont le témoignage avait été très favorable à Fauveau, a renouvelé ses déclarations. Un communiqué

du Parti Social Français Le Parti Social Français a adressé hier un communiqué dans lequel il fait savoir que M' Gabriel Olivier assumerait la défense des inculpés dans l'agression de Saint-Servan.

AUJOURD'HUI

A 21 heures, grand dîner avec attraction surprise au Pavillon du Yachting. Orchestre Pouschine avec le virtuose Kavaff. Retenir sa table Inv. 76-37.

CONCOURS

PHOTOGRAPHIQUE DU « FIGARO

BON N" 33 4 AOUT 1937

Nouvelles diverses

Des cambrioleurs volent des croix

de la Légion d'honneur

dans un château du Calvados Vire, 3 août. Au cours de la nuit, des malfaiteurs se sont introduits dans le château de Pontécoulant, près de Vire, propriété du département du Calvados, auquel il fut légué par les descendants du fameux conventionnel gi- rondin et de son fils, organisateurs de la légion des volontaires français, lors de la révolution belge de 1830. Pénétrant dans le musée, qui occupe une partie du château, les cambrioleurs se sont emparés de plusieurs médailles, d'insignes de la Légion d'honneur et de différents objets de valeur.

A Versailles, un pêcheur se noie dans la pièce d'eau des Suisses M. Jean Nicole et son beau-frère, M. Paul Letté, habitant tous deux au hameau des Gatines, commune de Plaisir, s'étaient rendus, dans la nuit dernière, aux abords de la pièce d'eau des Suisses, à Versailles, pour pécher de fort bonne heure le matin. Tous deux s'étaient allongés sur la berge et n'avaient pas tardé a s'endormir, lorsque, vers 2 heures, M. Letté, réveillé par le froid, constata In disparition de son beau-frère.

La police, immédiatement avisée, fit procéder à des recherches dans la pièce d'eau, mais en vain.

On suppose que M. Nicole, au cours de son sommeil, a glissé et est tombé accidentellement à l'eau.

Deux alpinistes font une chute de 400 mètres et se tuent Saint-Moritz, 3 août. Deux touristes qui tentaient l'ascension du versant nord du Badile, dans le haut Bergell, ont fait une chute de 400 mètres et ont été tués sur le coup. Deux autres touristes qui se trouvaient dans les parages ont raMenê les corps à Bondo.

Les victimes sont M. Kramer et M. Weiziehrer.

Une collision d'avions

aux Etats-Unis

2 morts, 3 blessés graves

Los Angeles, 3 août. Deux avions commerciaux sont entrés aujourd'hui en collision au-dessus de la région de Los Angeles. Au moment où les deux appa- reils s'apprêtaient à atterrir simultanément a l'aérodrome de Dicer, le train d'atterrissage de l'un des appareils s'est pris dans une des ailes de l'autre avion et les deux aéroplanes furent précipités au sol. Deux personnes furent tuées sur le coup et trois autres grièvement blessées.

Un navire britannique

en détresse

sur les côtes du Japon

San Francisco,. 3 août. Le vapeur britannique, Essex Manor, qui faisait roue de Portland à San Francisco, a rencontré une forte tempête qui l'a jeté sur les récifs de la côte japonaise. Ayant capté le signal de détresse lancé par l'Essex Manor, deux navires qui se trouvaient dans les parages ont modifié leur route pour porter secours aux quarante passagers et hommes d'équipage qui se trouvaient à bord du bateau.

• c

A MONTROUGE DES MAlFÂlTÈURS TENTENT D'INCENDIER UN ATELIER Une auto s'arrêtait, la nuit dernière, dans un terrain vague contigu aux ateliers de la coopérative des charpentiers, avenue Verdier, à Montrouge. Trois individus descendaient du véhicule et se rendaient près du mur mitoyen à l'atelier. Là, ils disposèrent quatre boites métalliaues reliées par un cordeau Bick-

ford. Puis ils regagnèrent la voiture, qui démarra rapidement. Une minute plus tard, une explosion se produisit, qui communiqua le feu à la toiture de batelier.

Les débris de la machine infernale ont été saisis et seront examinés par le Laboratoire municipal.

̃•

A Champigny-sur-Marne un camion monte sur le trottoir,

blesse six personnes et défonce six boutiques

Vers six heures du matin, un gros camion attelé d'une remorque venant de Provins est, par suite de la rupture de freins, monte sur le trottoir rue JeanJaurès, à Champigny.

Six personnes ont été blessées légèrement et six boutiques défoncées. Le commissaire de police de Nogent a gardé le chauffeur à sa disposition.

Oëî 1

A Paris, un autobus endommage deux façades

dont celle du cirque Médrano Plus tard, dans l'après-midi, un accident analogue s'est produit rue des Martyrs. L'autobus I, se dirigeant vers la Halle-aux-Vins, a heurté l'étalage des établissements Dubas, situés au 62, puis, par suite d'un trop brusque coup de volant du machiniste, le véhicule est monté sur le trottoir et a heurté également la façade du Cirque Médrano.

Cinq personne ont été légèrement contusionnées. Le commissaire de police du I quartier Saint-Georges enquête pour établir les responsabilités.

LA REVOLTE

DES ALIENES D'HOERDT Les malades ont regagné leurs cellules

Strasbourg, 3 août, M. Chaigneau, secrétaire général de la préfecture, qui s'était rendu à l'asile d'aliénés d'Hoerdt est parvenu à calmer les forcenés qui, un à un, furent reconduits dans leurs cellules. Un peloton de gardes mobiles est resté dans l'asile pour éviter toute nouvelle tentative d'émeute.

Une première révolte, moins importante, s'était produite samedi dernier. Dix forcenés avaient pris la fuite. Huit seulement ont pu être rattrapés.

-.Ogb-

M. LOISEAU-ROUSSEAU S'EST DONNE LA MORT HIER MATIN

M. Loiseau-Rousseau, fondateur des maisons d'alimentation qui portent son nom, s'est donné la mort hier matin, à l'âge de soixante-quatorze ans, dans son domicile du boulevard Sébastopol. La mort de sa femme, survenue il y a dix-huit mois, l'avait affecté profondément. Des soucis matériels le minaient,

En 1914, il avait ouvert un commerce d'articles d'importation. En 1917, de nombreuses succursales étaient créées. Mais la crise survint. En 1933, une société anonyme racheta le commerce de M. Loiseau-Rousseau. Un procès qu'il avait engagé devait le pousser à accomplir son geste fatal.

DE VIOLENTS ORAGES SUR LA REGION

TOULOUSAINE

Les dégâts sont considérables Toulouse, 3 août. Les violents orages qui se sont abattus sur le Lauragais et la vallée de l'Ariège, ainsi que dans s le département de la Haute-Garonne, ont causé des dégâts considérables dans les cantons de Villefranche, Mailloux, Cintegabelle et Auterive;

Les ruisseaux qui dévalent des coteaux bordant la vallée de l'Ariège ou dominant la plaine du Lauragais ont été brusquement transformés en torrents Impétueux par des pluies diluviennes qui ont ravagé les champs et les jardins et inondé les plaines.

Jamais, de mémoire d'homme, on n'avait vu pareille tornade. Les rivières la Mouillonne. la Luchonne, Larcla, Merlan et Hers ont débordé sur les propriétés avoisinantes, dont les fermes ont été envahies par les eaux. Les cultures de maïs, de pommes de terre, de betteraves, de haricots, ainsi que les vignobles, ont été gravement compromis. Les localités les plus éprouvées sont celles de Beaumont, Grazac, Miremont. Mauressac, Puy-Daniel, la Grâce-Dieu, Auribail, Auterive, Cintegabelle, Baziège, etc. Plusieurs milliers d'animaux de basse-cour ont été noyés.

Les ponts de Puy-Daniel, de Grazac, de Cintegabelle-sur-Larcia ont été emportés par les eaux.

Plusieurs kilomètres de routes et de chemins, ravinés par Tes eaux torrentielles, ont été rendus impraticables; les plantations de maïs ont été couchées; des nappes bourbeuses recouvrent des propriétés entières.

Les dégâts sont estimés à près de deux millions de francs. Les municipalités et le conseil général ont été saisis de demandes de secours.

LE MATELOT MORAVINE par JEAN FEUGA

Trotsky, Toukhatchevsky, Zinoviev revivent de façon hallucinante dans ces pages qui retracent la révolte sanglante des marins de Cronstadt contre le Soviet de Petrograd. Un roman n bouleversant qui vous

laissera le souffle court. Un vol.: 15 fr. Librairie Fayard, Paris.

~~e~ ~e~

~n~

♦ AYANT TROUVE CHEZ LUI UNE LETTRE DE SA FEMME lui annonçant son intention de se donner la mort, M. Berret s'est jeté du haut de la falaise, à Roussillon (Vaucluse), et s'est tué. Le corps de sa femme a été découvert dans un puits.

♦ MONTE SUR LE TOIT D'UN IMMEUBLE, avenue Lasbordes, à Toulouse, un cambrioleur a été surpris et s'est jeté dans la rue, d'une hauteur de 15 mètres. Le crâne f racassé, il a succontbé aussitôt.

♦ DEUX DES BLESSES DE L'EXPLOSION DE LA PETITE-ROSSELLE, MM. Otto Sticher et Louis Meyer, ont succombé, ce qui porte le nombre des victimes à six.

♦ LADY KAILASH SR1VASTAVA épouse de sir J. P. Srivastava, ancien ministre hindou, a été grièvement blessée, dans une collision de voiture, à Tirlemont, en Belgique. Sa fille aînée a été également blessée aux genoux. ♦ APRES AVOIR A DEMI ETRANGLE SA FEMME, Edmond Roste, habitant Auxerre, s'est donné la mort en se jetant dans la citerne de sa maison.

♦ UN LEGER SEISME a été enregistré, hier, à Pontremoli (Italie). On ne signale ni victime ni dégât.

♦ LE RESTAURATEUR VIGOUROUX, qui avait tué, à Agen, le contrôleur des Contributions, M. Delrleu, a été condamné à cinq années de réclusion,

♦ UN VIOLENT incendie s'est déclaré dans zinc raffinerie de pétrole, en Turquie. Les réservoirs de pétrole ont explosé, détruisant tous les bâtiments de la société, ainsi que les annexes, les habitations du personnel et les ateliers. Il y aurait 35 victimes.

♦ UNE ARTISTE HONGROISE bien connue du public des music-halls, Mme Jules Munkacsi, a tenté de se donner la mort, à Budapest; c'est la cent et unième fois, paraît-il, que Mme Munkacsi essaie de se tuer.

«j2n»

MATFORD A OUVERT

aux Champs-Elysées un magasin ultra-moderne

et d'une grande originalité

Un nouveau magasin d'exposition de véhicules automobiles s'est ouvert aux Champs-Elysées. En écrivant nouveau on ne veut pas dire seulement qu'il y a sur les Champs-Elysées un magasin de plus consacré a l'industrie automobile, mais plutôt que ce magasin est véritablement nouveau, c'est original qu'il faudrait dire, original en vce sens qu'il présente aux visiteurs et aux acheteurs surtout, l'automobile sous un Jour insoupçonné et qu'on apporte au client, sur-le-champ, la preuve des affirmations que peuvent formuler les vendeurs. C'est Matford qui à réalisé cette initiative Intéressante, passionnante il faut

écrire.

Que dit Matford ? 7

« La voiture que je vous propose est la simplicité même, la puissance, le silence, la solidité, l'économie, la rigidité, la sécurité. Eu doutez-vous? »

On conduit alors l'acheteur éventuel au premier étage où sont disposés les appareils de contrôle mis en service dans les usines Matford. Les démonstrations se suivent et le visiteur émerveillé, stupéfié même, constate avec quelle précision, avec quelle minutie on procède au contrôle des pièces primordiales qui composent un moteur V. 8. Il serait long et fastidieux de décrire tout le fonctionnement de ces machines incomparables. Il y a là l'appareil de contrôle et de calibrage des billes, la machine à vérifier les sièges de soupapes, l'appareil d'équilibrage des vilbrequins, le fadéomètre pour apprécier la résistance des matières textiles, le traitement thermique sélectif, qui est le triomphe tie l'électricité. Autant de merveilles qui démontrent le génie des hommes et fonctionnent avec une précision mathématique admirable, éliminant les pièces défectueuses, écartant celles qui ne sont pas d'une exactitude rigoureuse, réceptionnant celles qui sont conformes au gabarit. Un verdict sans appel que rend un juge mécanique que l'on découvre Ici avec admiration,

Le reste du magasin est consacré a la présentation des divers modèles Matford. Le tout dans un cadre moderne, sobre, plaisant, d'un goût sûr qui fait honneur au réalisateur.

Et en partant on peut voir affichée au mur cette pensée d'Henry Ford « Je me refuse à croire qu'il y ait quelque chose d'impossiblr s.

En effet, quand on a vu ce que la science des Ingénieurs a pu produire pour assurer le triomphe de la construction en grande série, on pense qu'il n'y a rien d'impossible et que la perfection est aujourd'hui atteinte dans le domaine mécanique pour le plus grand profit de l'automobile et de ceux qui l'utilisent. A. R.

«p

LEGION D'HONNEUR Ministère de la marine

M. Maurice Grasset, sous-directeur de l'administration cen raie de la marine, est nommé commandeur.

Ministère de l'air

Le capitaine en congé Pierre Tache, du personnel navigant, vient d'être promu ofticier, ̃

M. PAUL BOUILLARD

LE CELEBRE GASTRONOME meurt accidentellement Bruxelles, 3 août. M. Bouillard, le gastronome bien connu, qui dirigeait le restaurant « Au filet de sole », est mort hier accidentellement.

Pris de syncope en procédant à sa toilette du matin, il tomba contre le marbre de la cheminée. Le crâne fracturé, il ne devait pas' tarder à succomber.

M. Paul Bouillard, ancien combattant, titulaire de nombreuses décorations françaises et étrangères, était né à Valence en 1874. Sa disparition lais- sera dans les milieux gastronomiques franco-belsjes des regrets unanimes. LES INCENDIES DE FORETS Dans le Gard

Un violent incendie de forêt a dévasté plusieurs hectares de bois dans les concessions des mines de la Grand'Combe, près de Champelauson, dans le Gard.

Les ingénieurs, les surveillants des mines et 1,500 mineurs ont combattu le sinistre.

Non loin de là, un autre incendie a causé des dégâts importants dans les bois du château de Broves.

En Algérie

L'incendie qui a éclaté le 2!1 juille dans la région de Letourneux, ravage actuellement plus de 7,000 hectares de forêts. Le fléau ne cesse de progresser et, après avoir détruit des vignobles, des gourbis et endommagé plusieurs fermes, menace des groupes de maisons d'habitation.

Dans la Dordogne

Dans la Dordogne, à Carsac, le feu s'est déclaré dans un bois. Un des cultivateurs a péri asphyxié.

LE MYSTERE DE LA RUE DE LA VILLENEUVE Le 24 juillet, M. Pascal, qui dirige un hôtel 8, rue de la Villeneuve, sortant l'une chambre vide où il venait d'éteiuire l'électricité, se trouva, face à face, ivec un gérant d'immeubles nommé Da?uet, qui avait été son client et avec lequel il était en procès. Ce dernier tenait un revolver d'une main et un coup :1e poing américain de l'autre il fit feu sur l'hôtelier qui fut atteint au front. M. Pascal enleva l'arme à son adversaire, lui en porta un coup à la tête, puis alla prévenir la police. Quand les agents arrivèrent, Daguet avait cessé de vivre. Pascal avait été consigné à l'hôpital Bichat. M. Bru, juge d'instruction, l'a interrogé hbier et l'a remis en liberté provisoire, l'enquête ayant établi qu'il était en état de légitime défense. Ajoutons que Daguet porte également les tracess d'un projectile. Sur lui on a trouvé un tube renfermant un liquide qui est soumis à l'examen de M. Kohn-Abrest, directeur du Laboratoire de toxicologie. H semble qu'il y ait eu tentative de meurtre et suicide.

{majoration temporaire de 13 p. 100) Confort et organisation irréprochables (Guides et accompagnât, sélectionnés) Supplément Hôtel 1" ordre 175 tr.

Pï AfëS? TPAT1T1Î

GLOBE-TROTTER

3, rue Auber (angle rue Scribe, Grand Portique) Paris Tôléph. Opéra 94-12

~h~ro~

Un hommage à la mémoire

de l'équipage du « Pourquoi-Pas? » Sur la proposition de M. Campinchi, ministre de la marine, des récompenses à titre posthume viennent d'être décernées aux officiers mariniers et matelots qui ont trouvé une mort glorieuse lors du naufrage du Pourquoi-Pas ? 7 Ils aveient été cités à l'ordre de l'armée navale, le 6 décembre 1936, pour « avoir donné un bel exemple de grandeur morale au cours des événements qui ont conduit le Pourquoi-Pas ? à sa perte, glorieusement engloutis avec leur bâtiment, le 15 septembre 1936 ». Ces récompenses posthumes sont un juste hommage à la mémoire de ces braves qui sont morts au service de l'a science et de la patrie.

Ont été nommés au grade de chevalier de la Légion d'honneur à titre posthume

Le Guen, premier maître de manœuvre Floury, maître principal pilote Bastien, premier maître mécanicien Cabou, maître timonier.

La médaille militaire a été concédée à titre posthume

Aux quartiers-maîtres de manœuvre: Renault, Le Person. Brochu, Esnoux, Pohle, Bougeard, Le Chcvanton, Cordier. Aux quartiers-maîtres timoniers Mahé, Perhéin.

Au quartier-maître électricien Billy. Aux quartiers-maîtres radio-télégraphistes Vigne, Baudet.

Aux quartiers-maîtres mécaniciens Pcrou, Piriou, Nicolas.

Aux quartiers-maîtres chauffeurs Le Menn, Guillou, Vnucelle.

Au quartier-maître fourrier Seven. Au quartier-maître boulanger MaIcsieux.

Au quartier-maître cuisinier Simon. Au quartier-maître maître d'hôtel Even.

Aux matelots Lebris, Kervella, Stephan, Jaouen, Raoul.

«»

ÇA ET LA

Jt L'administration des P. T. T. rappelle que, désireuse de diffuser de plus en plus l'usage du télégraphe en France, elle a maintenu le télégramme à bon marché jusqu'à quinze mots au maximum.

VENISE

25 nvriI-4 novembre, Palais Pesaro.

Exposition dix Tintoret

25 avril. Réouverture du Musée du « Settecento » à Ca'Rexzonieo* 10 août-;{ septembre. Exposition internationale du cinéma au Lido. 7-14 septembre. V" Festival international de musique contemporaine. LIDO. Plage enchantée. Etfâgunce. Mondanité» et Sports.

Profitez des chèques et lettres de crédit en LIRES TOURISTIQUES (Fis 127 = Lire» ÎOO) i >~ Bons d'hôtel et d'essence des réduction* sur les cheutins de fer (SG-.O O/O)

Renseignements et brochures ENIT, 40, av. de l'Opérn, PARIS ENIT, 14, nvenue de Verdun, NICE} Bureau de Tourisme de la Miiirie de VENISE i et tous les Bureaux de Voyage* et Tourisme.

-PLAISIR DE

FRANCE PUBLIE AUJOURD'HUI UN NUMÉRO SPÉCIAL SUR L'mSiliÛtl PgiS 1937 Luxueux album abondamment illustré de photographies et gravures. inédites avec de magnifiques reproductions en couleurs. PRIX DE CE NUMÉRO SPÉCJAL.J 1 10 FRANCS

SHOPPING

DE LA

PARISIENNE

Porter jeux et jouets jusqu'à la plage est, pour les enfants, une fatique qu'on leur évitera en mettant tous ces accessoires sur un petit chariot, ou simplement dwts une hotte munie de roues, aussi faciles à traîner qu'à pousser, S. Louis Sherry

Rond-Point des ChampsElysées

Elysêes 04-37.

Salon de Thé.

Confiseur.

LES ATELIERS D'ART RUSTIQUE ET MODERNE 10, r. Pépinière, vendent aux prix de leur usine Meubles, Studios, Décorat., Lustres. Ancien et Copie. Remarqué un sac de plage, en forme de bateau à voiles, dont le fond est en toile cirée rouge et le haut en piqué blanc.

Shoppinettb.

~r.

« CROISÉES EN DALMÂT1E

en Septembre, le mois idéal 15 JOURS, DEPUIS 995 fr. ,(de Paris à Paris)

Départs les 29 août, 5 et 12 sept. Escales à VENISE, ZARA, SPLIT, DUBROVNIK, CATTARO, VALONA, BRINDISI, BARI et retour

Agence Française de voyages

25, rue Royale, PARIS

Téléphone Anjou 14-45

'm PLACES LIMITEES tSBB

~t~<

Etes-vous rouge après les repas ? Soignez votre foie

La congestion du visage et la somnolence après les repas, accompagnées de ballonnements du ventre, de gaz, de renvois, sont des signes certains de paresse ou de surmenage du foie. Vous recommencerez à bien digérer lorsque vous prendrez, au début de vos repas, de 20 à 30 gouttes d'Hépascol François, qui stimule le foie, supprime la constipation et les fermentations intestinales, met fin aux accidents d'autointoxication (migraines, vertiges, démangeaisons, etc.).

« Je viens vous dire tout le bien que m'a fait l'Hépascol François écrit M. C. à N. (M.-et-M.). Après les repas, j'avais le sang à la tête et des douleurs dans le côté droit. J'étais toujours constipé avec, parfois, des crises épuisantes de diarrhée. L'Hépascol François m'a guéri complètement. » (Lettre F. 386.)

L'efficacité de l'Hépascol François est telle qu'elle se manifeste souvent dès la nromière semaine. Aucune contreindication on peut en donner même aux jeunes enfants. Toutes pharmacies: 10 fr. 60 le flacon 16 fr. 95 le double flacon.

AU GRAND PALAIS

Les C, 7, S août:

Chnnipionnnt du monde professionnel de tennis.

Du 12 au 22 août

I,e Cirime des Cirques.

AU THEATRE

DES CHAMPS-ELYSEES

A partir du 7 août

Représentation* du Théâtre Académique d'Art de Moscou.

SUR LE PARVIS

NOTRE-DAME

Depuis le 30 juillet

Le Vray Mistêre de la Passion. (Représentations organisées pur le Commissariat des Fêtes de Paris.). FETES DE LUMIERE

CALAS LUMINEUX- SUR LA SEINE. SUR IjA. TOUR EIFFEL. TOUS I,ES SOIRS, FONTAINES LUMINEUSES SUR LA SEINE.

FAILLITES

Liquidations Judiciaires, Benard et Petot, Sté à R. L. au cap. de 25.000 fr., ayant pour objet Ja fabrication et la vente rie matières plastiques, avec siège social à Paris, 07, rue • Traverstère, et sa, rue de Charentori. M. Plerron, juge-coin.; M. Pis.s:ivy. liquidateur. Oster (Maurice), fiw t repreneur électricien, ci-devant à Créteil il (Seine), 1, rue de Paris, et actuellement à Maisons-Alfort (Seine), 08, av. Gambetta, M. Crespin, Juge-corn.; M. Lefèvre, liquida-

tour.

~f~~y~yJT~i~~

Il par ail que. De la musique pour « ne faut jurer de rien s>.

La Comédie-Française ua reprendre II ne faut jurer de rien dans une nouvelle mise en scène de Pierre Dux, avec de la musique composée par Louis Begdts.

Louis Beudts uient, d'autre part, d'achever la partition du film de Pierre Billon, La Bataille silencieuse, et il écrit en ce moment la musique de La Dame de Malacca et du Courrier de Lyon. Milton reprend l'uniforme. Nous allons reuoir Milton sous l'uniforme bleu horizon, non pas qu'il soit convoqué pour une période militaire. Ce n'est pas à ta caserne qu'il est appelé mais au théâtre de la Porte-Saint-Martin, pour une reprise de Un de la musique.

Al ma vi va.

?les3:c>uds 1 ♦ Demain soir, à l'Opéra-Comique, dans Pèlléas et Mélisande, C'est M. Etcheverry, de l'Opéra, qui tiendra le rôle de Golaud, rôle qu'il a chanté au Mai Florentin, en alternance avec M. Claude Got. Mlle Eisa Buhlmann sera Mélisande et M. Cathelat, Pèlléas. Les autres rôles seront tenus par M. Bernasconi (ArkelJ, Mlle Sibille (Geneviève), MUe Gauley (le petit Yniold) et M. Julia (le Médecin). Au pupitre M. Al-

bert Wolfï.

♦ La première série de représentation» de Kirilta se terminera ce soir mercredi, aux Mathurins-Pitoëff. Demain jeudi, ce théâtre commencera sa clôture annuelle. Kù-tka, comme les deux autres pièces montées à l'occasion de l'Exposition (Eve, Roméo et Juliette), sera repris au cours de la saison prochaine.

♦ C'est le lundi 27 septembre prochain qu'aura lieu, au Vélodrome Buffalo, la fête annuelle dite « des Caf' Cône') au bénéfice de la Maison de retraite de RisOrangls (Fondation Dranem).

PROGRAMME DES THEATRES

EN BOIRES

OPERA (Opéra 59-59), à 20 h. 15 Marouf, savetier du Caire (Urnes Nespoulous, Hamy MM. J. de Tlévi, Morot, Huberty, Claverie, Cambon). Orch. M. Henri Hauaud.Demain, relâche.

COMEDIE-FRANÇAISE (Rich. 22-70), à 20 h. 45: Les Corbeaux (MM. Denis d'Inès, Lafon, Pierre Berttn, André Bacqué; Mmes Marie Bell, Andrée de Chauveron, Catherine Fonteney, etc.). Demain « II faut qu'une porte soit ouverte ou fermée », « Nicomède b.

OPERA-COMIQUE (Rich. 72-00), relâche. Demain « Pelléas et Mélisande ».

ANTOINE (Jeunes-Comédiens 37), 20 h. 45 Macbeth, Œdipe

Roi,

ATELIER relâche pour répétitions.

BOUFFES-PARISIENS, 21 h. Trois Valses (Yv. Printemps, P. Fresnay).

CAPUCINES, a 21 h. La Nuit du 7.

COMEDIE DES C,HAMPS-ELYSEES, 21 h. 15 Le Roi cerf. CHATELET. 21 h. Yana (Bach, Roger Bourdln). DAUNOU (7, rue Daunou), 21 h. Pamplemousse. DEJAZET, 21 h. Irma, troisième à gauche.

DEUX-MASQUES, à 21 h. Boccace conte 19.

GRAND-GUIGNOL, à 21 h. Epouvante et rire.

MARIGNY, à 21 h. La Belle Saison (L. Boyer, Pllls, T&bet ) MATHURINS-PITOEFF. à 20 h. 45 Kirika. *««ew

MICHEL (English Players), 21 h. Oscar Wilde.

PALAIS-ROYAL. à 21 h, Madame est avec molt PARVIS NOTRE-DAME. 21 b. Le Vray Mister* de la Pas. sion.

RENAISSANCE, à 20 h. 45 Maud. habille.toi!

SAINT-GEORGES, il 21 h. 10 L'Ecurie Watson. SARAH-BERNHARDT, à 21 h. La Mère.

VOUS AVEZ CHAUD VOUS AVEZ SOIF

Fenllleton du Figaro » dn i Août 1937 (2)

!B!)LAM€

CHAPITRE PREMIER

f

La mission

La lettre était signée S. Dod-Chambers.

Grày jeta un regard interrogateur

au gênerai. 11 savait que les lamas Nyin-ma ou « Chapeau rouge sont les adorateurs du démon. Qui donc était cet Européen, S. Dod-Chambers, qui prenait leur défense avec tant d'enthousiasme ?

Qui est-ce ? demanda-t-il.

Le général haussa les épaules. Je ne sais pas. Et je vous demande de le découvrir. II habite au D" 33, Waldgrave Square, tout près d'ici. Nous avons essayé de nous introduire chez lui, mais il ne veut voir personne. Je crois cependant que vous aurez plus de chance que

Voici la première photo de Greta Garbo dans « Marie Walewska », qu'elle vient de tourner à Hollywood avec Charles Boyer comme partenaire dans le rôle de Napoléon.

DES NOUVELLES D'HOLLYWOOD.». ̃+ On sait que William Powell et Luise Rainer seront les vedettes de The Emperor's Candlesttcks, A leurs côtés parailront dans ce film Maureen O'Sullivan, Robert Young, Frank Morgan et Henry Stephenson. ♦ Wallace Beery et James Stuart vont tourner dans Les mauvais garçons de Brinistoize.

♦ Merle Oberon tournera prochainement un film intitulé Printemps dans mon cœur. Son partenaire sera Gary Cooper. Le scénario est d'Anita Loos et William Wyler fera la mise en scène.

♦ Dans La Mascotte du Régiment, nous verrons Shirley Temple aux côtés de Victor Mae Laeglen.

♦ Le dernier Négrier est une œuvre que la presse américaine considère comme l'une des plus importantes de ces temps derniers. Elisabeth Allan, Wallace Beery, Victor Mac Laeglen, Warner Baxter et Mickey Rooney en sont les principaux interprètes. ♦ La distribution de Chicago, un film qui doit retracer l'histoire de la vaste cité américaine, comprendra Tyrone Power, Alice Faye, Don Ameche, Brian Donlevy, Alice Brady, Berton Churchill, Phyllis Brooks et June Storey. Henry King dirigera la mise en scène..

+ Franciska Gaal, qui paraitra bientôt dans le film de Çecil B. de Mille Les Flibustiers (Buccaneerj) sera en outre la vedette féminine de And then came spring. ♦ Les aventures du fameux Docteur Fu Manchu. serviront de prétexte à des réalisations qui mettront en valeur les talents de Akim Tanriroff et d'Anna May Wong. Du temps du muet, le rôle de Fu Manchu avait été créé, on sen souvient, par Warner Oland.

♦ Manana est le titre d'un film musical dont l'action se déroulera au Mexique Le premier tour de manivelle en sera donné incessamment.

♦ Le dernier film de Sonja Henie La voiture de Sa Majesté, est terminé. Sonja y paraitra pour la première fois aux côtés de Tyrone Power avec qui elle vient de se Cancer.

TH. DES CHAMPS-ELYSEES, relâche.

TH. DE L'ETOILE. 21 h., Ombarka.

THEATRE DE PARIS, à 21 h. s La Fessée.

(Husic-Halls Chansonniers

A.B.C., 21 h. La Revus du Rire. Marie Dubas et 10 comiques. ALCAZAR. à 21 h. Beauté de Femme (revue nouvelle). CASINO DE PARIS. 21 h. Paris en joie (Maurice Chevalier). DEUX-ANES, à '21 h.: Anerles 1937, revue.

TH. DE DIX-HEURES, à 22 h. Martini, Victor Vallier, et la revue Les Huîtres de la Couronne. <t

FOLIES-BERGERE, à 21 h.: En Super-Folies.

LUNA-PARK Tous les jouis, matinée et soirée attractions, dancing.

Cabarets Dancings

MONTE-CRISTO. 8. rue Fromentin (Tri 42-31) Cabaret-dane. BAL DU MOULIN-ROUGE 21 h. 30 Le premier spectacle Moulin-Rouge (Ray Ventura et ses Collégiens),

TABARIN La Joie de vivre. Attractions,

BAGATELLE, 20, rue de Clichy (Trinité 79-33).

CHEZ SUZY SOLIDOIt, 12, rue Sainte-Anne Attractions. CABARET DE MONSEIGNEUR, 94, r. d'Amsterdam (Tï. 25-35) j t Skarjinsky, Saala. Seversky, Aza Razsadova.

CABARET DES FAMEUX TZIGANES. 4, r. de La Micbodière. CLUB DES OISEAUX Thés, cocktails, dîners dansants. SHEHERAZADE Marianne Davis, J. Manet, Hachem Khan. AU FLORIAN (74, Champs-Elysées). (Elysées 14-70). Direc- tlon Sartori. Salle réfrigérée. Un diner dansant à prix fixe 30 francs.

LIDO Thés, dancing, soupers, attractions.

AU RON-RON (7, rd.pt Ch.-Elys.). 4 et 9 h. Danses, sttract.

UN h A DTEI I -E d S IF DESALTERE ̃~̃W^ 1 ̃̃̃ OU 6Z RÉCONFORTE

nous. Sa maison appartenait autrefois à un riche Birman. C'est tout ce que nous savons.

Je ne vois pas encore le rapport qui peut exister entre ces lettres et les assassinats.

Le général Dalziell enleva son monocle et le frotta avec son mouchoir. Vous le découvrirez quand vous serez au Thibet, Gray, dit-il. Et il ajusta le monocle avec soin. Colin Gray le regarda fixement. Pristi 1 Est-ce à dire que je dois y aller ? Mais j'en rêve depuis. Oui, je vous envoie au Thibet. Deux autres étaient sur les rangs, mais je vous ai choisi, Gray, à cause de l'excellent travail que vous avez fait pour nous vous êtes aussi le seul à connaître à fond le russe et

le thibétain.

Il contempla un moment les larges épaules de son invité.

Je pourrais ajouter que, physiquement, vous êtes qualifié pour cette tâche Si votre intelligence égale votre force, Gray, vous irez loin. et je crois que les deux vous seront très utiles avant longtemps.

Alors, il démasqua ses batteries. fi L'homme qui suscite tous les troubles au Thibet est un certain Chorjieff il veut séparer le Thibet de l'Inde et se rapprocher des Tartares de Buriat. ce qui, éyidejnmeait,

r 'j~, tf

et- gens de mer

~S~COMMUM~

Of PHOTOGRAPHIES

A l'occasion de la sortie, au cinéma La 'aria, du film « Capitaines courageux », Metro-Goldwyn-Mayer Organise, en collaDoratton avec la Société Kodak-Pathé, un grand concours de photographiel de marine, dont voici le roulement

Règlement

ls Le concours est ouvert à tous, à l'exception des photographes professionnels, des collaborateurs de Metro-Goidwyn-Mayer et de Kodak-Pathé;

2° Les photographies soumises au jury devront toutes avoir obligatoirement la mer ou les gens de mer pour sujet;

3° Chaque concurrent aura le droit de soumettre, au maximum, six photographies différentes. Chaque épreuve devra porter, Inscrite au dos, l'indication du site ou de l'épisode représenté, ainsi que le nom et 1 adresse du concurrent;

4» Les envois devront parvenir le 21 août 1937, à midi, dernière limite. L'adresse devra être libellée ainsi « Concours photographique (Mer et Gens de mer), MetroGoldwyn Mayer, 37, rue Çondorcet »; 5° Aucun envoi ne sera retourné;

6° Les décisions du jury seront publiées dans le « Figaro » du 15 août 1937 et seront sans appel.

Prix

1 Kodak n° 3, obj. 6x3, obt. Diomatio. 1 Kodak n» 3, obj. Kodak, obt. Kodex. 1 Anca 10, obj. Nagel 6x8, obt. Pronto. 1 Pocket Kodak 2 C achrom.

3 Hawk-Eye, boites BB,

3 Hawk-Eye, bottes CC.

60 volumes « Comment obtenir de bonnes photographies ».

EN SOIREE

ne fait pas l'affaire du gouvernement des Indes. K. B., notre agent au Thibet, dit que Chorjieff a terrorisé le pays. De plus, il proclame qu'il envahira le Thibet et se fera nommer roi. Je vous expliquerai tout à l'heure ses raisons. La mort soudaine du Lama Dalai précipitera les événe- ments. Il faut savoir où est Chorjieff et, à tout prix, détruire les effets de sa propagande.

Gray fit un signe affirmatif. II devinait ce qui se passerait aux Indes si Chorjieff réussissait.

Voici maintenant ses raisons. Vous avez cru que je n'attachais aucune importance à votre histoire du papyrus cingalais, Gray. En réalité, vous étiez très près de la vérité. Il y a un papyrus dans l'affaire. Et c'est

I l'arme principale de Chorjieff. Les Thibétains appellent ce document la prophétie du roi, et il est sacré pour eux. Ils racontent un tas de blagues à ce sujet comme votre ami de Ceylan. Ils jurent que si son possesseur obéit à je ne sais quelle tradition, il sera roi du Thibet

Le général frappa la table du poing.

C'est une sorte de titre de royauté, remarqua Gray avec un sourire. C. U"l

-Exactement, mais notre gouvernement a une autre raison pour

Maurice LEHMANN va mettre en scène son premier film « L'AFFAIRE LESURQUES » Personne ne semble mieux qualifié que Maurice Lehmann pour faire un bon film. En tant que directeur du Châtelet, l'art de la mise en scène n'a pas de secrets pour lai. ,11 est tout naturel qu'il se soit laissé tenter par le septième art. Le voici donc faisant ses premières armes de metteur en scène de cinéma avec L'Affaire Lesurques, plus connue sous le titre du Courrier de Lyon, qu'il fit jouer, plusieurs reprises, à la Porte-Saint-Martin. L'Affaire Lesurques, nous dit-il, est l'histoire d'une authentique erreur judiciaire qui s'est produite en 1796, au temps du Directoire, et que j'ai pu reconstituer grâce à une documentation très approfondie acquise à la suite de longues recherches à la Bibliothèque nationale.

» J'ai une conception très spéciale du cinéma. Je le vois peut-être avec les yeux d'un homme de théâtre et, au fond, je ne crois pas avoir tort. Je place au premier plan les artistes et le scénario, ensuite je pense aux exigences et aux concessions qu'exige l'écran. j> Nous avons en France, des artistes admirables. Ils sont tous venus du théâtre au cinéma et le contraire ne s'est presque jamais produit.

» L'artiste, au théâtre, garde toute la spontanéité de son talent au cinéma, c'est plutôt du talent en conserve. Celui-ci est freiné en quelque sorte par les multitudes de courtes scènes qui ne suivent pas toujours, s'enchaînent rarement, et parfois paralysent tous les élans.

Avez-vous fait quelques changements dans l'histoire si pathétique du Courrier de Lyon ? 7

Je l'ai très légèrement modifié. J'ai conservé la majeure partie de la trame, sans lui enlever ce côté vieillot

qui constitue run aes attraits essentiels de ce célèbre mélo.

» Vous savez que cette fameuse affaire Lesurques est basée sur la ressemblance de deux hommes Dubosc et Lesurques ce double rôle sera interprété par Pierre Blanchar. Notre grand Copeau sera le juge d'instruction Daubenton. Charles Dullin créera un de ces personnages dont lui seul a le secret. Jean Périer sera le bijoutier Legrand. Dorville incarnera Choppard et Alcover un Durochat impressionnant. Dita Parlo prêtera sa grâce et son talent au rôle de Mme Lesurques. Hélène Robert sera l'amie très tendre de son époux. » Jean Aurenohe a adapté la pièce pour l'écran; les dialogues sont de Jacques Prévert et la musique de Louis

Beydts. »

Nous pénétrons avec Maurice Lehmann dans le studio et nous assistons à une scène dans le cabinet du juge. Pierre Blanchar se défend farouchement et Copeau, de sa belle voix grave, a l'air de le consoler « Je ne vous accuse pas, mon ami, je vous questionne. ».

FILMS RECOMMANDES Exclusivités PATHE

MARIGNAN

Les sept Perles de la Couronne i OLYMPIA

LA DAME DE PIQUE MOULIN-ROUGE

13e ENQUETE. MYSTERE DE LA SECTION 8

IMPERIAL

NUITS DE FEU

s'en occuper. On a appris que ce papyrus indiquait la cachette d'un trésor inestimable à notre époquie de disette, ce serait une bonne aubaine. H faut donc mettre la main dessus. Voilà l'histoire.

Mais si un trésor était trouvé au Thibet, le gouvernement thibétain le revendiquerait sûrement. Le général ferme à demi les yeux. Nous avons fait un traité avec le gouvernement du Thibet, Gray. Si nous empêchons Chorjieff d'exécuter ses plans, on nous laissera le trésor si nous le trouvons pour moi, je ne crois guère à toutes ces bêtises.

Est-ce que quelqu'un a déjà vu le papyrus, général ? Ce serait beaucoup plus facile si l'on savait

a quoi il ressemble.

J'imagine que c'est un vieux papier tout jaune et tout chiffonné. K. B. vous sera très utile. Il connaît le Thibet comme sa poche. C'est un Bengali qui a été autrefois l'aide e d'un chirurgien. Un de nos meilleurs agents. Il dit que Chorjieff est un traître cruel comme un tigre. Les Thibétains l'ont surnommé le Diable Boiteux. Le plus tôt vous vous mettrez à sa poursuite, le mieux cela vaudra. Je pensais vous envoyer à bord de l'Orluniba qui part demain à l'aube, mais je yeux vous donner, un

E^j^jg cotés

fHtBaCRAM

CET APRES-MIDI

♦ A la S. P. E. C., à 16 heures, conféMnce (strictement réservée aux critiques cinématographiques) de MM. Jean Renoir et André Seigneur a l'occasion du film La Marseillaise.

♦ A la Salle F, l. F., à 16 heures, présentation privée de Occitanie, film de M. J K. Raymond-Millet.

♦ C'est demain que le Balzac présen- fera ses deux nouveaux films Charlie Chan à l'Opéra, avec Warner Oland et Boris Kurloif, et Déjeuner gratis, un film gai dont Rochelle Hudson, Eugène Palette,

~~1\mA\G~UIFUQ1IJJE EFFORT

̃«̃̃1

"appartenait à la plus 'belle salle d'exclusivité de la plus

:~6elle, ville'~ du monde, d'offrir aux parisiens et à leurs hôtes

pendant l'Exposition Universelle d-- 1937, les spectacles les 1

attrayants;'

,Après avoir donné pendant 13 semaines Les Perles

de la Couronne c'est maintenant un film de

LA PLUS GRANDE VEDETTE FÉMININE FRANCAISE~ v n 1 I

HSHHEEH|aJHDHEfflBfflaKB^HB «̃̃̃̃̃̃̃H

C'est la première fois qu'un 1 théâtre cinématographique 'inscrit a,son programme des productions de cette classe pendant la · WËÊÊÊÈÈÈÈÈÊÈÊËËÊ

"MADEMOISELLE MA MÈRE où Danielle Darrieux

est plus adorable · que jamais, est un film gai, tiré

iBiiiilliiiiiiiiiilll^H

Mis en scene par Henri Decoin et interprété par

Danielle Darrieux, Pier-re Brasseur, larquey, Robert

Arnoux Pasquali, Marcel Simon et Alerme.

M D E E M 0 1 EL L L E A A M ÈRE. E

sera, 1 · pour 10 première fois ou

M A l~: G N A N L E: JEUDI 1 5 A Q U T

,.> PROGRAMME DES CINEMAS 1

,Films parlants français.

"CESAR: Le Nouveau Testament, La Kermesse héroïque. BONAPARTE 14 Juillet, Le GrelUchon délicat.

CINE-OPERA ♦ 14 à 20 h. Soir., 21 h. Le Nouveau Testament, La Kermesse héroïque.

DEMOURS 15 11., 17 h., 21 11. La Charge de la Brigade lègère.

GAUMONT :♦ De 15 h, à 1 h. du matin Pépé le Moko. IMPERIAL 4 14 li. à 1 h. Nuits de feu.

LUTETIA « De 14 h. à minuit Boissière.

LUX Le Congrès s'amuse, Blanchette.

MADELEINE 12 h. à 2 h. 40 Sarrati le Terrible. MARIGNAN + 14 h. 25 à 23 h. 20 Les Sept Perles de la Couronne.

MARIVAUX ♦ De 10 h. à 2 h. matin La Grande Illusion. MAX-LINDER ♦ 12 h. à 2 h. m. Ignace.

MOULIN-ROUGE P. 14 h. 30-19 h. S., 21 h. La 13» enquête, Mystère de la Section B.

MOZART 15 h., 17 h., 21 h. Angèlc.

NOTRE-CINE 15 h., 17 h. 21 h. Les Deux Roli. OLYMPIA « 10 h. à 24 h. La Dame de Pique.

TARAMOUNT ♦ De 9 h. 30 à 1 h. du matin Mon député et sa femme.

PEREIRE relâche.

RANELAGH 15 h., 21 h. Adémaï aviateur, Tundra. KEX ♦ De 12 à 2 h. 30 du matin La Tour de Nesle. Films pariants anglais.

APOLLO ♦ 14 h. à 2 h. matin Meurtre d'un aristocrate, Puits n° 3.

AUBERT ♦ 12 h. à 0 h. 45 La Route déserte. AVENUE « 14 h. 30 et 19 h. Soir., 21 h. 15 Fantôme radiophonique, L'Enigmatiquc M. Moto.

BALZAC ♦ 14 h. 15 à 20 h. 30. S., 21 h. 45 Sur l'avenne.

Le Dame de Pique 10 h., 12 h., 13 h. 40, 15 h. 35, 17 h. 40 19 h. 45, 21 h. 45, 22 h. 55. Olympia. Madame poursuit Monsieur: 15 15, 17 22, 22 10. Mir-Lord-Byron Première 15 h.. 17 h., 22 h. Studio Etoile, A Paris, tous les trois 15 h., 15, 17 h. 15, 22 h. Marbeuf. Sur t'avenue 14 50, 16 55, 18 55, 22 h. Balzac. L'Entreprenant M. Petroff De 14 h. à 2 h. Helder. La Grande Illusion 10 h., 12 h., 14 h. 10, 16 h. 30, 19 h., 21 h. 20, 23 h. 50. Marivaux. La fin de Mrs Cheney 15 h., 17 h. 15, 22 h. Ciné-Ch -Elysées Jeune Fille délurée 15 h. 50, 18 h. 10, 22 h. 35. Panthéon Match aux étoiles 15 6, 17 34, 20 2, 22 30, 24 58. Normandie. Meurtre d'un aristocrate 15 h. 20, 17 Il. 50, 20 h. 5, 22 h. 30 1 h. 5. Apollo. Monnaie de singe 15 h., 17 h., 22 h, 15. Studio 28. Crime en haute mer 14 h. 45, 17 h. 10, 21 h. 20. Panthéon

ou deux jours pour que vous ayez le temps de trouver Mr S. Dod-Chambers.

Une demi-heure plus tard, les deux hommes étaient dans le hall du Babylonia. Gray enfilait son pardessus.

Au revoir et bonne chance, Gray Ne voyez que K. B. et gardez votre indépendance, à moins, bien entendu, que vous soyez dans une situation critique. et n'oubliez pas les gens ne doivent pas savoir que vous êtes en mission on vous a donné un congé et vous visitez un pays étranger pour votre agrément c'est tout. Le brouillard est encore plus épais, je crois. Heureusement que nous n'allez pas loin.

Après avoir tâtonné pendant une heure le long des grilles et des magasins, Gray se trouva dans Little Andrew Street à Bloomsbury, à environ cinq cents mètres de Waldgrave Square. Le brouillard semblait s'éclaircir un peu. Gray s'arrêta sous un réverbère, regarda Je nom de la rue et tendit l'oreille. II était perdu et il était suivi Depuis qu'il avait quitté le club, H entendait le même bruit de pas derrière lui. II avait essayé d'échapper à cette poursuite, mais n'avait pas réussi. Il décida d'essayer une vieiMe ruse. S'élançact

Rendons à César. Plusieurs journaux ont annoncé que les dialogues du film que va tourner très prochainement Tino Rossi, Saples au baiser de feu, seraient signés Marcel Achard et Henri Jeanson.

Or, cela est tout à fait inexact. M. Henri Jeanson seul fera les dialogues de cette production, à laquelle Marcel Achard De collaborera en aucune façon.

Jack Haly et Arthur 'freacher sont tes principaux interprètes.

♦ C'est également demain que sera présente au Marignan Mademoiselle ma Mère, le film adapté de la comédie de Louis Verneuil, par Henri Decoin, et dont Danielle Darricux est la principale interprète. A ses côtés nous verrons, en outre, Pierre Brasseur, Larquey, Robert Arnoux, Marcel Simon et Alerme.

CAMERA 15 h., 17 h., 21 h. Let's love Again. CH.-ELYSEE!T: 4 1 h. 30 à 19 h. S., 21 h. 45 La fin d» Mrs Cheney.

COLISEE 15 h., 17 b., 21 h. Quality Street. COURCELLES 15 h., 17 h., 81 h. L'Amour en première f page, Saint-Louis Blucs.

EDOUARD-VII 14 h., 21 h.: Six heures à terre. ELYSEE-CINEMA 15 h., 17 h., 21 h. Private Number. ERMITAGE ♦ 14 h. à minuit Le Destin se joue la nuit. HELDER ♦ 14 à 2 h. du matin L'Entreprenant M. Petroff. MARBEUP i ♦ 14 h. 45 à lit h. Soir., 21 h. A Paris, tous

les trois.

MIR.-LORplBYRON + 14 h. 30-19 h. S., 21 h. Madame poursuit Monsieur.

NAPOLEON 15 h., 17 II., 21 h. Je n'ai pas tué Lincoln. NORMANDIE ♦ De 14 h. 30 à 1 h. du matin Ville de l'or. Match aux étoiles.

PANTHEON ♦ 14 h. 30 à 19 h. 15. S., 21 h. 10 Crime en haute mer. Jeune Fille délurée.

LE PARIS ♦ 14 h. à 1 h. 30 Visages d'Orient. SCALA ♦ 12 à 2 h. Femmes marquées, L'Irrésistible. STUDIO UNIVERSEL ♦ 12 à 24 h.: L'Amiral mène la danse. STUDIO 28 15 h., 17 h., 21 h. Monnaie de singe. VICTOR-HUGO ♦ 14 à 19 h. S., 20 h. 45 Mystère de la Section 8; Joffrol.

Films parlants allemands

AGRICULTEURS 15 h., 17 h., 22 h. Jeunes Filles en uni-

forme.

STUDIO DE L'ETOILE 15 h., 17 h., 22 h. Première. Film parlant russe

AGRICULTEURS 15 h., 17 h., 21 h. Le Chemin de la vie. Salles d'actualité.

PARIS-SOIR + 10 h.-1 h. Pwteur. Allons, embrassez-vous!

Le signe ♦ signifie permanent. Il~ <,>1 1

L'HEURE DU GRAND FILM: 1- 1

Quality Street 14 h. 15, 17 h., 22 h. 45 Coliiée. Ville de l'or 14 h., 16 28, 18 56, 21 24, 23 52. Normandie. L'Enicmatique M. Moto 14 h. 30, 17 h. 30, 21 h. 20. Avenue. Les Sept Perles de la Couronne 14 h. 25, 16 h. 35, 18 h. 45, 21 h. 20, 23 h. 20. Marignan! Six heures à terre 14 15, 16 30, 21 15. Edouard-VII. Le Fantôme radiophonique: 15 h. 42, 18 li. 42, 22 h. 40. Avenue. Mon député et sa femme 9 h. 40, 11 h. 30, 13 h. 20, 15 h. 40, 17 h. 55, 20 h. 15. 22 h. 30, 0 h. 30. Paramount. Puits n» 3 14 10, 16 40, 18 50, 21 15, 23 50. Apollo. La Route déserte 10 h. 51, 12 h. 51, 15 h. 1, 17 h. 6, 19 h, 6, 21 h. 10, 23 h. 20. Aubert! Sarrati le Terrible « 12 h. 28, 14 h. 42, 16 h. 59, 19 h. 26, 21 h. 33, 23 h. 50. Madeleine Visages d'Orient 14 il., 16 h. 33, 19 h., 21 h. 33. Le Paris.

dans une porte cochère, il s'aplatit contre le mur.

Les pas aussitôt s'approchèrent. Il aperçut alors vaguement la silhouette d'un homme qui portait un pardessus pareil au sien. Un homme plus petit le suivait sans bruit. Un quart d'heure plus tard, Colin Gray était arrivé au n° 33 de Waldgrave Square.

CHAPTRE II

La maison

de Waldgrave Square

La grande maison était plongée dans une obscurité complète. A l'aide de sa lampe électrique, Colin Gray

vit qu'elle était en triste état. Ses fenêtres étaient sales et plusieurs vitres manquaient. Les volets étaient fermés.

Il promena de tous côtés le rayon de sa lampe et remarqua que la moitié de la cour était protégée par un toit comme si un corridor était construit entre la maison et la cave. Le cordon de sonnette à l'ancienne mode semblait lourd, mais à peine l'eut-il tiré qu'une sonnerie retentit avec force.

Le vacarme ne s'était pas encore éteint quand la porte s'ouvrit pour

Z~6~FMWM

UNE IDEE ORIGINALE C'est celle que le producteur de La Bataille silencieuse semble bien décidé à mettre à exécution. Le film de Pierre Billon doit être, en effet, présente très prochainement à la presse cinématographique dans un wagon aménagé en salle de projection et rattaché à un grand train international.

Ainsi, pour la première fois, la critique aurait le privilège de juger en voyageant.

montrer dans le vestibule sombre un Mongol bossu et sale qui tenait une bougie allumée. Son visage ressemblait à un masque de cuir jaune tout plissé avec cinq fentes.

A la grande surprise de Gray, il prit la parole en thibétain.

Le Seigneur Lama Samdad Chiemba vous attend, dit-il d'une voix rude.

Et il resta immobile.

Samdad Chiemba, pensa Gray. '« S. Dod-Chambers » et « Samdad Chiemba étaient-ils la même personne ? ?, Les sons des deux noms étaient presque identiques. Mon Dieu Comme Dalziell était perspicace

La porte d'entrée se referma avec un grincement.

Gray se retourna. Aucun moyen de la refermer à distance n'était visible. Cependant le bossu n'avait pas fait un geste. A l'intérieur, la porte était couverte de plaques d'acier.

Impassible, le Mongol indiqua un escalier qui menait au sous-sol. Gray descendit, la main droite crispée sur la crosse de son revolver.

Mark Channing.

(A suivre.)

(Traduit de l'anglais

par Jeanne Fournier-Pargoir&jf, -jgy

DEPLACEMENTS ET VILLEGIATURES DES ABONNES DU FIGARO

Nous prions nos Abonnés, dans leur propre intérêt, de nous communiquer leurs demandes d'abonnements et de changements d'adresses 3 JOURS A L'AVANCE.

0

Mde Raoul AARON, à Crans-sur-Sierre Mme APOLLINAIRE, à Cbandon M. le comte B. D'ARAMON1, à Salzburg Mme la comtesse J. D'ANDIGNE, au château de Noirétable Mme AUGUSTINS, à Vittel M. Robert ALEXANDRE, à Guithary Mme L. ARNOULD, à Berne Mme la vicomtesse D'AOTUME, à Montceau-Ies-Mines; Mme la comtesse Pierre B'AURAY DE SAINTEPOIS, au château du Touvet Maître Etienne ADER, à Saint-Cyr-s.-Loire Mme APPERT, à Loctudy Mme Pauline AVER\ CRAWFORD, à à Kammer am Attersee; M. le comte P. D'ARUNDEL DE CONDE, à Melun Mme Léon ANGOULVENT, à Salency M. H. D'ALLENS, à Bourg Dun Mme P.-S. ABREU, à Saint-Jeande-Luz M. le docteur A ARTS, à Pisano Novarese Mme Jacques ALPMEN, à Antibes Mme la comtesse D'AGOULT. au château de Béauplars 31. Paul DE ANDREIS à Ladignac-le-Loug M. le marquis D'ARGOUGES, au château de La MotteHenry M. Femand ALBERT, à Versailles. M. Henri BERSON, à Saint-Malo M. Jean BUDIN, à Epinay-ss-Sénàrt Mme BILLET, à Reims Mme BAZIRE, à Saint-Malo Mme la vicomtesse J. DE BEAUREPAIRE LOUVAGNY, à Noirmoutier M. le prince Eric DE BROGLiE, au château de Gros-Bois M. le comte BRUNET DE COÛDRONNIAC, au château du Pont-de-Langon Mlle BETTON, à La Balme-de-Rencurel M. Jacques BEX, à Contrexéville M. le docteur H. BALLAND, a Royan Mme Maurice BERNARD, à Letraye-Ramonchamp M. BAJON, à Dinard Mrs BUCKLEY, à Etretat ;.M. le comte et Mme la comtesse Jean DE BONDY, à Romefort M. Daniel BROWN DE COLSTOUN, à Plombières M. Félix BEAUDOIN, à Rigny-laSalle Mme Lucie BOURGOGNE-VESNEUIL, à l'ile d'Yeu M. Georges BAUDIN, à Vaux-sur-

ùeme JMme la comtesse p.. bai^in 1 u n v *\aCOURT, à Villemetrie Maître BEAUGE, à Biarritz Mme la marquise DE BELLOY, à Breaza Mme BIGNON, à Senarpont M. BERNIER, à Varenne-en-Gâtinais M. BLAMPIN, à Meungsur-Loire Mme Marcel BOUIS, à Royan M. J. i BLONDEAU, à Ecouis Mme BRESSET, au ValAndré Mme Henri BIRON, à Hermanville-s.Jler Mme P.-A. BOYER, à l'ile de Port-Cros Mme BARRET-DECAP. Anglet; Mme G. BIZET, à Hermès M.' Th. BAGUENAULT DE VIEV7LLE, au château de Vievilie M. Maurice BONFILS, aux Esclamandes Mlle Catherine BON\RDI, i Saint-Cast M. W. BEASMISH, à Deauville Mme Jacques BOMPARD, à Lainville II. le docteur BAUMGARTNER, à Talloires M. BERTRAND, à Tamaris-sur-Mer Mme André BERALDI, à Grisy-les-Plâtres Mme la baronne Jacques DE BALORRE, au château de Merantais Mme la baronne Edouard DE BARANTE, au château de Virieu Maître BIDAULT, à Primel-Tregastel M. Yves BELLEC, à Saint-Pierre-duLorouer M. Charles BAUDRY, à Genève M. Joseph DE BOISLAVILLE, au manoir de l'Ortier Mme C. BEHETY EYEN, à Lorient M. Maurice BOURGERIE, à Boulogne M. G. BERNHEIM DE VILLERS, à Divonne-les-Bains Mlle A. BUFFARD, à Waulsort-s.-Meuse M. J.-E. BONNIKE, à Nokolsdorf M. le docteur Gabriel JJERAUD, à La Rochelle Mme Rémy BUFFET à Piriac-s.-Mer M. BOUCHENY, à Marlotte. Mme BOUQUET, au château de L'Eérmitage Mme J. DE BAVIER, au château de Dully M. et Mme Louis BURIN DES ROZIERS, au château des Modières Mme BRUNO-RIVIERE, à La Ciotat.

Mme DE CABRUYA, au château de Kerguirione M. Pierre CHAPOULAUD, à Gérardmer M. CARTERON, aux Riceys Mme Georges COLLARD, à Merlimont-Plage M. le général CADIOT, à Aubeterre-s.-Dronne M. M. COUDOUR, à Saint-Just-en-Chevalet Mlle DE COUBERTIN, au château de Coubertin Mme la baronne CRELLET DE LA DEYTE, à Allègre Mme la comtesse Christian DE CASTRIES, à Achnacloich M. Auguste CHENET, au Vésinet Mme ia comtesse DES CORDES, à Saint-Jean-de-Luz M. L.-W. CART, à Mantes Mme CASSART SABE, à Brides-les-Bains Mme L.-G. CORBLET, au château de Rigny Mme DE CAGNY, au château de Grentheville M. Claude CHAMPEAUX, à Gstaad M. Etienne CLAPPIER, à MoustierSainte-Marie M. Jean CHOUMERT, à Many Mlle Alice CAHEN, à Bourg-la-Reine M. Ch. CUAU, à Houlgate Mme la vicomtesse DE CUREL, à Saint-Lunaire M. Jean CARDIN, à Fontenay-le-Comte M. Noël DE COULHAC-MAZERIEUX, à Pyla-sur-Mer M. Jules CAUBERT DE CLERY, à Vichy Mme DE GOSSELLIN, au château de Beauregard Mme la comtesse DE CATALAN, à Néris-les-Bains .M. le docteur Noël COJAN, au Val-André M. le docteur Jean CALLET, à Poitiers Mme la vicomtesse Jean DE CHEZELLES, au château du Boulleaumç Mlle G. CAVALIERI, au Giffre M. le capitaine Bernard CASTAING, à Toulouse-Francazals Mme Claude CUENOT DE MAUPASSANT, à hlare-Vivo M. COUDROY DE LILLE, 4 Angoulême-Lhoumeaux M. Albert CLERC, 4

INSTRUCTION7! D U CATION 1

COURS DE VACANCES

Coûts de Vacances (Brevet, Baccalauréat) jeunes gens, Ier août-27 septembre. Ecole Notre-Dame, Le Raincy (S.-et-0.).

COURS ÏÏBNRI-POINCARE

74, avenue Kléber (16e).

Bacc. Cours de vacances. Ouvert. le 23 août. Cours normaux mathématiq. et philosophie. Ouverture le 8 octobre.

Répétitions Direction d'études.

SEJOUR A LA MONTAGNE

LE PORTIQUE.VILLARD-DE-LANS (Isère) Tél. 107. Ens. sec. lib. Séj.et cours de vac., ic juill. (Prép^aux bacc., 16 août). Int. et «tt. Surv. média Sports et jeus. Beau parc. CLAIRFLEURIE à Trévignin, pr. du Revard. Alt. 700. Mais. (amil., médic, scolaire p. eniants. Exc, réf. Tous rens. à Mlles Labioz. 1

HOTELS ET PENSIONS^» m

Pension, 31, r. Cortambert, tt conf., jardin, cuisine extr. Prix mod. Trocad, 58-80. Jard. ombrag. Avec repas sans pension à 13 ft. SQ. rTlTTATîC NeuUly, 23. Bd Vict.-Hugo. \Aj\ I AUC Pens. Ps mod. Mail, o3-5*. 6, r. Corot (i6«). App.2 pièc.lux., bains.cuis. Rue et imm.calm., 850. M» Eglise d'Auteuil. COR- Eugène-Carrière (i8°),5 m.pl.Clichy. vit 3 p,claires, lux.cuis.,bains.tt cft, 850 ff. NEUILLY. Exc. Pens. Gd air, calme, JARjjIN ji. rue du Marché. Maill. 16-52.

LBS~ARRONMERS~S

niera (16«)-Aut. 50-02. Hôtel-pension, régime. Studios. Service en appartement. Terrasses.

PENSION lor ordrc. Dep. 4o tr. 7. av.

rCnolUi> Présid.-Wilson (Ch-Elysées) LA TOUR, 37, r. de la Tour, Passy. Pension tt conf Gd jari. Dep. 30 h. Tél.Troc.42-39. P. recomm. bne cuis. Jol. hot. part. jardin Mme Paulhan, 5, rue des Arènes. Port. 28-15 ENVIRONS

LE LYS DE LA VALLEE Pens. tout conl. Gd jard. Prix modérés. ï* Cêlle-St-Cloud. Tél. Bougival 30 et 320.

Vesoul. M. L.-P. COULON, à Lisbonne-; M. J. COMMISSAIRE, à La Baule-s.-Mer M. Raoul CHARLES, à Dijon Mme Jacques CHAMEROY, à Seefeld M. et Mme André CASTEX, à Spa Mme CAPRON, au château de Cuzy Mme Fran-. ci3 CHAUVEAU, à Santranges Robert CASTELNEAU. à Hennebont M. Antoine CASTEX, à Murols M. le docteur et Mme la G. CHEVRIER, à Deauville Mme baronne DE CHIVRE, à Tangr'ais-Sainte-Marguerite Mme DE CAGARRIGA, au château de Ribbaye M. le docteur CAMBIER, à Lens Mme la vicomtesse A. DE CUREL, née DURFORT, à Ourville-en-Caux Mme Antoine CONTE, à Munich Mme J. DU CHARLAT, à Pornichet M. CARTON DUSSEIGNEUR, à Saint- Trojan-lcs-Bains.

Mme DAVIDO-LEON, à Pyla-s.-Mer M. et Mme Robert DANNIAUX, à Zell am See Mme G. DESCHAMPS, à Chamboulive Mme Robert DORMEUIL, à Villars-s.-Bex M. DELERBA, à Barcelonnettes Mme DOMON, à Picquigny Mme Jacques DEVYS, au château de Phïiomel Mme Lambert DAVID, au château de Ffrey M. DECROCQ, à Vittel' Mme R. DUSSAUD, au Mont-s.-Lausanne M. Adolphe DEMANGEAT, à Angers M. le docteur DRECOURT, à Agon M R DUCHENE, à Ogel M. DORTU, à Verpillières-s.-Ource Mme DAVRAINVILLE, à Merlimont-Plage Mme E. DILIGEON, à Montana Mme DESSERTEAUX, au Champ-Renard M. DOBLER, à Sausset-les-Pins M. DUNANT, à Mies M. Maurice DENIS, à Perros-Gtiirec Mme DARLAY, à Aix-les-Bains M. DEROUET, à Bretignolles-s.-Mer Mme Emile DUBONNET, au Pré Riant M. Pierre-Paul DAUPHIN, à Argagnon Mme DUCAS, à Etretat Mme Yves DESPREZ. au château de Maniquerville M. le général André DETROYAT, à Bayonne M. DEFRESNE, à Vichy Mme Paul DUMAS, à Pelissanne 3t. Fernand DIOLE, à Evian M. le docteur Louis DESORMEAUX, à Vouziers M. Pierre DARRAS, à Deauville M. le lieutenant et Mme DA. à Pornic Mlle Geneviève DUPOIRIEUX, à Talloires M. Maurice DEMOLL1ENS, à Compiègne M. Paul DAHL, à Trouville Mme Pierre DELBET, à Evian Mme la comtesse Aymar DE DAMPIERRE, à Aix-les-Bains Mme EI- GENSCHENCK, à Auxerre M. EXBRAYAT, à Pontresina..

M. le lieutenant FAVERIS, au camp de Mourmelon Mme Marcel FRANÇOIS, à Saint-Gervaisles-Bains M. Jean Axel FABRE, à Saint-Wolfgang M. FIRMÏNHAC, à Boulogne-s.-Seine M. le docteur Roger FELDSTEIN,. au château d'Aubergenville M. Julien FABRE, à Primel Tfégastel M. Jules FANTAUZZI, à Compiègne Mme Charles FILIPPI, à Vescovato M. Albert FEUILLASTRE, à Orbey Mme Fernand FOUCHER. à Chantilly Mme Robert PAYE, à Hos-

segor M. ri. *.l£.ukï.- a-sainie-Aaresse iu. Marc FERLET, au Charobon-s.-Lignon M. Eugène FERRAND, à Amfreville-la-Campagne M. Henry FAGE, à Alvignac Mme Maxime FRETTE, à Sarge Mme la vicomtesse DE FENOYL, au château d'Aubigny M. François FLORY, à Valsles-Bains Mme FLEUR, à Morzine M. le comte et Mme la comtesse DE FONTENAILLES, au château de Fosseux Mme Philippe FARGEAUD, à Evian-les-Bains M. FIX, à Rennes. NI. et Mme Octave GOUDEAU, à Combleux M. Louis GAUVAIN, à Cabourg Mme la comtesse Marcella GIANOTTI, à Cortina d'Ampezzo Mme L. GASNE, à Cabourg Mme Léopold DE GUIBERT, à Cannes M. Victor GAZEL, à BouiIon Mme GUIDON, à Nacqueville M. le docteur GUEDON, à Seurre Mme Paul GILLETBLANCHET, à Burgenstok Mme Edouard GAUTIER, à Zermatt M. André GARNIER, à Gmunden Mme Edmond GIRARD, à Vernon M. Edmond GISCARD D'ESTAING, à Chanonat Mme la comtesse DE GONTAUT, à SainWBlancard M. Maurice GUENOT, à Megève Mme GAUTIER, à Evian-les-Bains M. T. H. GREENE, au Zoute M. René GAUDIER, à Carnac Mme GAUTRAT DE LOMPRE, à Cauterets Mlle Odile GUEBEL, au château de Maisons Mme Jean GLENISSON, à Ramouly M. GOUPIL DE BOUILLE au châ- teau de Pavée M. André GRANGER, a Binic M. le docteur Maurice GILSON, à Verrnenton M. Roger GRENIER, à Villemoisson Mlle Marguerite A. GEDALCE, à Saint-Germain-en-Laye M. GIRAUD-BADIN, à La Verpillière Mme la baronne- Eugène D'HUART, à Bains-les-Bains M. DE HONNAVILLE, au château de Chiliy Mme HEINEMANN, à Badgastein M. René HOLTZER, à Benodet Mme Roger HELY D'OISSEL, à Saint-Saëns Mme J. HINCKYRATTI, à La Bourboule M. le docteur HUGGINS, à Spiez Mme Marcel HEIDSIECH, à Bad Bilsen Lei Bucheburg M. L. HERCKENRATH, à Ceyzerieu -M. le docteur D'HEUCQUEVILLE, à Saint-Denis-les-Ponts M. Pierre HANNEBELLE, à Saint-Lunaire Mme Paul D'HANNONCELLES, à Saint-Lunaire Mlle HEBERT, à Compiègne Mme veuve HOUDOUIN, à Royat-Ies-Bains M. Paul HENRY, à SaintQuay-Portrieux M. R. HELSON, au Val-André M. HUET DE PAISY, à Burgenstock Mme HOPPENOT, à Villars-s.-Bex M. le général HELLOT, à Sierville Mme HUNEBELLE, à Aix-lesBains M. Maurice IMBERT. au Peloux. M Louis JOLY, à Malo-les-Bains Mme JACOB, à Vernouillet M. JENVRIN, à Laval Mme la vicomtesse DE JACQUELOT DU BOISROUVRAY, à Igls Mme JUVENTY,. à Allonzicr-la-Caille Mme JANVIER, à Villcrs M.

(10 francs la ligne)

• ECOLES DE PLEIN AIR

L'ENFANCE HEUREUSE

Ecole Montessori de plein air. Enfants à partir de 3 ans. Classe ininterrompue pendant séjour hiver montagne, été mer. CHATEAU St-MICHEU BOUGIVAL.TéUo. Enseignement (6 fr.) CQUES ET LEÇONS

DI11UD A tango.etc. Mlle Argentin. Pieyel,

RUlI~BA tango,etc. Mlle Argentin. Pleyel,

KUiTlDA 2%i, Fg St-Honoré. Carn.64-23. Pour leçons d'allemand. Ecrire N° 60372, Figaro (Annonces).

licencié (université anglaise) offre leçons d'anglais contre admission de 2-3 semaines dans famille française à partir 28 août. Paris ou province. Winelake, 3 Raleigh Driven Whetstone, Londres N. 20 (Angleterre).

PARIS

PLEINE FORET. Host. du Lys, par Lamorlaye (Oise). Tél. 1°. Pens. fam., tout conf., depuis 35 fr. Week end. Repas. PROVINCE

HOTEL ALBERTI, 20, rue Alberti, Nice. Entier, neuf. Centre. Près Casino. Gd jard. ombr. Chamb. voyag. dep, 15 fr. ETRANGER Fam. angl. Hove, 2 filles sportives, près mer. Répétit. d'angl. prendrait 2 jnes Françaises. Référ. Mme Vuillard, i, Bd Gambetta, Nogent-s.-Marne (Seine). Trejn. 16-29. Chambres meublées

CHAMBRES MEUBLEES. Pied-à-tcire, 34, rue Dssrenaudes (Métro Ternes), tout confort, de 20 à 60 francs.,

Maisons de repos

CTEI I AMARYS- Gd &̃ Plein air, O 1 ELLA 40, r. Guetsant (Champerret). REPOS. REGIME. Tt cft.Exc.cuis.A p.35 fr. Villégiatures

MER

Hôtel du Pont. Plage Min&ic, Paramé (Illeet-Vilaine). Tout confort. Prix modère.

Maurice JEANCE, à Théoule-sur-Mer lllle DE JESSAINT, au château de Cervisy M. Maurice JEANTET, à Oyonnax M. Pierre JACHIET, à Saint-Soupplets M. Roger JULIA, à Chissey-enMorvan M. JACQUOTTE, à Bourbon-Lancy Mme Georges KALINDERO, à La Chapelle-duCol-du-Chat M. Charles N. KENNEDY, au château de La Haute-Frecnaye Mme Louis KRANTZ, à ChâIons-s.-Vesle Mme Jacques K.EMPF, à Schinznach-Bad M. le vicomte DE K.ERMOYSAN, au château du Châtelet; Mme Georges KOHN, à Bagnoles-de-l'O ne M. le comte KOSTIA DE LOUVENCOURT, à Malborough.

M. le docteur LE ROY, à Perros-Guirec Mme la duchesse DE LA MOTHE HOUDANCOURT, au château d'Anglesqueville-les-Murs M. Eiisebe LEVASSEUR, à Neufchâtel-en-Bray Mme LE PESANT, à Saint-Pair-sur-Mer M. E. LIBERSAT, à Massy M. Pierre LANVIN, au Homes.-Mer M. H. LABBE DE LA MAUVINIERE, à Châlons-s.-Vcsle M. Paul LANCRENON, à Barfleur M. Jean LAFFILHE, à Villefranche Mme la comtesse DE LA BASTIDE D'HULST, à Magnac-Bourg Mme la princesse Guy DE LA TOURD'AUVËRGNE, au Touquet M. et Mme G. LIBERT, à Urrugne M. André LINZELER, à Misurina M. F. LU-GT, à La Haye S. A. Mme la princesse DE LIGNE, au château de Baudour S. Em le cardinal LIENART, à Lausanne Mme Pierre LANQUETOT, à La Bourboule M. G. LECROART, à La Bosse M. André LE ROUX, à Trouvillc M. le docteur LACHENY, à SaintJean-de-Monts Mme LATRASSE. à LucenayL'Evêque M. J. LE CABEC, à Bndes-les-Bains Mme la baronne H. DE LAGGER, à Castres M. A-J.LOYENS, à Zurich Mme la comtesse DE LA BOURDONNAYE BLOSSAC, aux Contamines Mme DE LAOUTRE, au château de Vernée M. le docteur LIACRE, à Fontaine-Simon Mme LEJEUNE, à Malakotf Mme la comtesse Christian DE'LORGERIL, au château du Colombier Mme la comtesse DE LAUZON, à Villegontier M. R. LE PLOGE, à Vignoux-s.-Barangeon M. le chanoine H. LUDVIG, à Auboue M. le colonel LUSANÇAY, au Pouliguen Maître LE BOUCQ, à l'île de Port-Cros Mme Margaret LEVY à Alassio M. le comte Aymar-Eric DE DAMPIERRE, à Deauville M. le baron et Mme la baronne LIMNANDER DE NIEUWENHOVE, à Antibes Mme DE LA BOULINIERE, au château de Magnières Mme la baronne LA FAURIE, à Fontainebleau Mme LAMPERIERE, au Plessis-Dampierre M. DE LIONCOURT, à FontDuzon Mme LABOUCHERE, au château de Peyrieu Mme Jacques DE LAVERGNOLLE au château de La Fayolle Mme LHUILLIER, à Saint-Lunaire Mme la baronne LE FEBVRE, à Néris-les-Bains Mme Charles LAFAURIE, au Havre Mme Marc LANDOLT, à Vichy Mme Charles LEGROS, à Rocquigny.

M. MINSSART, au château de la Motte M. Jacques MEUNIE, à l'île de Port-Cros Mme

MELIN.à Asnelles Mme MARQUE, à vicuy Mme Emile MARTIN VALACCA, à Quinirac-enMesquer Mme MAUGER, à Villerville-sur-Mer Mme MOSER, à Glion-sur-Montreux M. G. M^RCILLE, à Villers-sur-Mer Mme Edouard MEUNIER, à Barèges M. L. MEGRET, au cha:teau Bougevin Mme H. MARC-LENOBLE, à Senneville M. MICHEL, à Seillans Mme J. MYARD, au Bourget-du-Lac M. Marcel MICHELIN, à Gressigny M. Pierre MIGNOT, au château du Bec Mme la comtesse A. DE MUN, à Pertisan-am-Achensee M. MELISSENT, à Edenville-Plage M. François MILLET, à Perros-Guirec Mme MAUBERT, à Ault M. Henri-Michel DANSAC, à Villers-sur-Mer M. le docteur Léon MABILLE, à Aigueville M, Julien MACK, à Dijon M. Jacques MASSON, à Ciboure Mlle Germaine MEYER, à Sainte-Maxime Maître MAILLARD, à Chambéry M. D. MISSIRIAN, au Touquet M. MENGIN, à Cannes Mme Adolphe MULLER à Saint-Geours-da-Maremne Mme la comtesse 'Gabriel DE MORTEMART, à Noirmoutier Ai. W. MEYER, à Nice M. Honoré MILLET, au château de Coulonne M Louis AIERCADIER, à Coubirac Mme Paul MAYER, à Bernay M. F. MONTANDON. à Montmorency Mme F. DE MONTREMY, au château de Balaives M. E. MERE, à Châtelguyon M. MATAR, à Meusnes M. Maurice MOUbSET. à Lion-sur-Mer Mme Jules MANHEIM, à Trouville; Mme M^LAQUIN, à Evian-les-Bains Mme MARCHAL, à Dinàrd M. MAUGERE, à Lamballe.

M. Edmond NOBECOURT, à Louveciennes Mme Henry DE NISSOLE, à Châtelguyon Mme Alfred NEYMARCK, à Saint-Valéry-en-Caux Mme A. NOIRCLAUDE, à Territet-s.-Montreus Mme NARET, à Saint-Va!éry-en-Caux M. Joseph OLIVIER, à Cannes M. le docteur René ON- FRAY, à Semalle Mlle Anne ORIOL, à Chambon; Mme ORCEL, à La Possonnière M. Jean-Georges PEBREL, à Mauriac Mme Al am PETIT, au château Vilain Mme E. PAULMIER, à Houlgate Mme PRINGAULT, à Monloire-sur-Loir Mme H. PRINGO, à Lausanne M. Yves PARENT, au domaine de Monsalut Mme Louis POMMERY, à Cancale Mgr PETIT DE JULLEVILLE, à Vattetob-sur-licr M- PauKDf"1» DU PEAGE, à Paris-Plage M. PEGA/D D'ALRIAC, à Saint-Tropez Mme PLOURIN, a Corvoll'Orgueilleux Mme la comtesse L. DE PERIER, au château de Mazières Mlle POULLEAU, à Buzancy Mme PRIN DÎ.ORIGNY, à Lux M. le baron Philipp PRISSE, à Compiègne Mme Miehaël PEYTEL au château de L Etville M- vietor POULDJIAN, à Vizzavona Mme Marguerite

c,· 1I.,r,t,.f' Pip1"r,¡~ PL.4i·,

PAIN, à Crans-s.-Sicrre Jiaitre werre JL>±>"

GNAUD, à Arnac-la-poste M. Camille PI~EL, à

Vouvray-les-Vins; )1. PERREAU-SAUSSINE, à

Montfort-sur-Meu M. Gilbert PLOUX, à SaintDenis-d'Oléron bi. Paul PESCHEL, au Coutin M. PEGON, aux Lecques M. GfrfJe|vPRISSAIi au Bois-d'Oingt M. Emmanuel PtYRON, à Saint-Rémy-sur-Avre Mme Maurice PERARD, à O^t Mme PAMS, à Prades Mme la comtesse J. DE PUYSEGUR, au château de Saint-Martin Mme la baronne PARMENTIER, à Lunéville Mme PETSCHE BRUNIQUEL, au château de Gi-

verville.

"m'iik QUARRE, au Pont-Evrat M. Lucien REUSSE, à La Ferté-sous-Jouarre M Ma«m« ROBERT, à Charbonnières ;DM™S,Jir^Pif S' à Viareggo • M Jean DE RIBE4-CHRIST0FLE, à Villandrau M. H. ROUZEE, à Marseille Mme Henry ROY, au Moulleau M. Michel ROBIDA, à Plougrescant Mme ROCHAT, à V?yr.er-duLac M. André ROYER, à Biarritz M. Marcel ROYER. au château de Tremblay Mme Théodore RODOCANACHI, à Evian Mme Henry ROUEN, au château de Bussieres Maître DES RIEUX, à Carolles Mme Louis RHEIMS, à Pourville-s.Mer Mme A. ROSEMBERT, à Collonges-ssSalève Mme Maurice RETOUR, à l'île de Bréhat; M. René ROUSSEL, à Lussault Mme RENCUREL, à Hemtanville Mme M. DE RENTY, à

Isle-Saint-Cast M. le docteur J, RENARD, à

Lansrune-sur-.Mer M. Léonce RIOUFOL, à Che-

v7lard Mme la baronne DE ROTHIACOB, à

Etretat M. P. DE RIBES CHRISTOFLE, au château de Villaudran Mme RENAUDEAU D'ARC, au château de Wargemont Mme Claude RICHARD, à La Madeleine M. Arthur REISb, au Touquet-Paris-Plage M. Henri RUAUX, à Orbey Mme la vicomtesse Pierre DE ROMANET DE BEAUXE, au château de Soheit Mme REMOND, à La Jonchèrc-Saint-Maurice M. RtVhL, à Deauville M. Léon ROGER, à Charapoux. M Edgard STERN, à Houlgate M. le lieutenant de vaisseau René SACAZE, à Ascain Mme P. DE SUYROT, à Poitiers M. Fernand SAPIN, au Lavandou Mme la générale SABATIE, a Luchon Mme la baronne DE SAINT-DIDIER à Spiez Mme M. SALOMON, à Kosters M- Paul SCIALOM, à Lausanne Mme SCHELCHER, au château de Brou Mme Raymond SCHWOB, à Montreux Mme A. DE STOCKAR. à La Bauleles-Pins • M le lieutenant DE SCORBIAC, au château de Barbet M. SARAZIN, à Etretat Mlle SIRE, à Marlotte Mme la baronne DE

LES PETITES ANNONCES DU FIGARO 1 SONT REÇUESDANB NOS BUREAUX ET PAR TÉLÉPHONE (ÊUVSÉES 3O-86I JUSQU'A 6 HEURtS

OFFRES D'EMPLOIS,. JLSZL* 1

GOUVERNANTES D'ENFANTS Gouv. d'enf. pr camp. 6 sem. Prés, aujourd. i à 3 h. Herz, 38, av. Présid.-Wilson, ié«. INSTITUTRICES

On dem., pour excellente famille Est, institutrice cath., capable assurer instruction à filles 5e et 6e. Ecr. n" 60199, Figaro (Ann.). Campagne, cherche institutrice cavhol. 2 eni. 5» et 7. Hattemer, latin, anglais. Septembre et année scolaire. S. Dubois, Les Sorbiers, Petites.Dalles (Seine-Inférieure).

Jeune fille instruite pour surv. trav. enf. septembre. Au pair, argent de poche. Dillard, côte Madeleine, Evrèux (Eure). « Pr sept., env. Amiens, j. f. conn. parf. math., angl., pr revision seconde avec j. f. 15 et 16 ans. Ecrire Dupont, Marot-Clérey (Aube).« « {Emplois de bureau |

SECRETAIRES

J hme courag., 25-00 ans, pari, très bien angl., dact., permis conduire. Ecrire réf., prêtent. Roc, ab. P.O.P., 50, r. de Douai. STENO-DACTYLOS

Jeune fille sténodactylo débutante. Se présenter E. F. S.. 2S, rue d'Astorg. Très urgent. Ne pas écrire,

DIVERS On dem. jeune homme, 16 ans, libre de suite, pour emploi bureau: très sérieux, bonne éducation exigée. Ecrire Compagnie des Bananes, 5, rue Feydeau, Paris (2*). Gens de maison { `

CONCIERGES

On dem. un ménage de concierges, valet de chambre. Références exigées. So. présenter Sr, avenue de la République, Paris. CUISINIERES

Demande bonne cuisinière. Référ. exigées. Colin; 2, avenue Vion-Whitcomb, 2 Paris. Tr. b. cuis. pr le 18 août, mais. bourg., fam. nombr. Exc, réf. exig. B. gages. Se prés. de suite Schillio, 4O,av.République. Roci.83-oi.

SEROUX, à Châtelguyon Mme M. SCHWARTZ, à Saint-Germain-en-Laye Mme la marquise DE SAINT-CHAMANS, à Tessé-la-Madelcine M. Edouard SAUFFROY, à Venise Mme la baronne R DE SOULTRAIT, au château de Parax Mme Germaine SEROCOLD, à Londres M. A. SIRE, à- Saint-Martin- Vesubic M. C.-A. SAINT01', à Fontainebleau M. le lieutenant-colonel SO'/HARl DE NULLY à Woinvillc M. H. SCHULTiî MALBUN, à Celerina Roger SONNEVILLE, à Canazeï Mme STUPLER, à Boulouris Ml le S. SCHMITT, au Petit-Rombach M. R. DE SAUSSURE, au château de Vuff!ens-s.-Morges ;̃ Mme YNCI SRBOVA, à Lucerne.

M TEPLANSKY, à Franzensbad Mme Dora Bianka THOMAZI, à Marlow; llmc THUREAU, au manoir de Lanros; Mlle DU TAILLIS, à Neuvelle-les-la-Charité Mme Edmond TOUTAIN, à Fontainebleau M L. THURET, à Saint-Palaissur-Mer Mme Henri TISSOT, à Eveaux-lesBains M. le général TARGE, à Vichy NI. le lieutenant-colonel TREMEAU, au Beau-Deiert Mme Edmond TRUELLE, à Fontainebleau M. G. TEZENAS, à Bregançon M. le docteur TEISSEIRE, à Fays-Billot Mlles TABOUREAU, à Villard-de-Lans M. le docteur THOMAS, à Vichy M. Jules TEISSERENC, à Châtelguyon Mme la baronne THIRY, à Cannes Mme Alfred TILLIARD, à Aix-les-Bains Mme Louis TRUCHON, à Epernay Mme Charles ULLMANN, à Cabourg Mme Alfred VIGNON, à La Chassagne Mme H. DE VILLEBONNE, au château de la Belouze M. le comte R.-J. DE VOGUE, à Silleron M. Henri VILLEMIN, à Grande-Rive Mme Paul VERDE-DELISLE, à Six-Fours M. Antoine DE VAUGELAS, à Cherines M. le docteur Louis VEZOUX, à Vichy Mme VAN DER VLIET, au Macaloup M. le docteur VERMOREL, à Conches-en-Ouche.

M Edmond WEINSTEIN, au château de Kergomar • Mme Robert WYBO. à Saiut-Germain-«nLaye Mme WIRIOT, à Brides-les-Bains Mme Ado DE WARU, à Flers-de-1'Orne M. Robert WADDINGTON, à Saint-Bandelle Mlle WEISS, au Port-Blanc Mme A. WITZIG, à Saint-Palaissur-Mer Mme Fernand WIDAL, à Aix-les-Bains Mme Ernest WAGNER, au château d'Œx M. L. WOUTERS, à Nogent-sur-Marne Mme WATEL DEHAYNIN, à Trouville Maître ZARZYCKI, à Blouville-sur-Mer Mme H.-E. Z.UBER, à Thann.

Mme Alice BAMBERGER, à Carlsbad M. Jacques BERMOND, à Plainlain Mlle G. COCARD, à Pornichet Mme Henri CUNY, à Versailles Mme André DUBOURG, à Annet-sur-Marne M. P. EPRON, à Lège M. D'ESTAILLEUR-LHANTERAINE, à Kchruten-Burgenstock Mme .Maurice F\Y, à Morgat Mme Pierre HALBRON, à hforgat M. Abei JAURAS, à Bissy-sur-Uxelles M. le docteur Marcel Kalt, à Grostouvres Mme A. L^NOTE, à Finhaut Mme LAVE.RTUJON, à 'Londres M. LEVANTAL, au Canadel Mme

̃«̃^ïa' rtir/n C"ï_ \f^_I* • Vf T,»]tnn AiflïOi'l!

DE MIMONT, à Sils-Marie M. Julien MURi.AU, à La Baule-les-Pins M. l'abbé PIERRA, a Charlieu Mme Jean RALLI, au Cap-d'Ail Mme DE RICHEMOND, à Rives Mlle J. RICQUILR, à Veyrier-du-Lac M. le vicomte DE ROHAN a Carrezza de Lago Mme la générale TREMEAU, à Beaudevert M. J. VIEILLARD, au château de Mequardon M. Daniel CORDIER, au Crotoy. M. Maurice ADNET, à Hyères-Piagc M. Jean ADAM, à Fromental Mme V. ALIBERT, à La Délivrande Mme la comtesse J. D ARGtiNTRE, au château de Billeanviile Mme Fernand AUMONT, au Bourget-du-Lac M. AUBERT, a Houlgate Mme Erner-t AMPHOUX, à Vannes M. le vicomte R. D'ALES, au château de Ropiteau • Mme la marquise D'ARCANGUES, à Deauville • Mme Odette ARNAUD, à Brides-les-Bains Mme Pierre AZAMBRE, à Messimy Mme Richard DE AYALA, à Budapest Mme AGHION, à Varèse Mme Gabriel AGHION, à Marienbad M. Joseph ALCOCK, au château de La Motte Mme la comtesse ALVENSLEBEN SCHONBORN, au château d'Ostromesko M. Jean ALBERTSOREL, à Viu Mme BORE-VERRIER, au château de Coudre M. BISEUIL, au château de Chirac M. Albert BRUN, à Montjay Mme Jean BUFFET, à Megève M. Pierre BRAYE, à Nancy M. BREYNAERT, a Malo-les-Bains Mme Fernand DE BOUSQUET, au château de Saint-Michel-cn-L'Herm M. le colonel BOUCHACOURT, à Orléans Mme BOHIN, a SamtDié M. BARDY, à Préfaillcs M. Paul BOE, à Saint-Germain-en-Laye Mme Gaston BACH, à Luchon Mme BOURGEOIS, à Daon M. Georges BUTTIN, à Sales M. DE BELLAIGUE, a Biarritz M. le colonel BAUDOIN, à lsneauville M E. BOUILLON, à Talloire Mme Alfred BOIZEL, à Aix-les-Bains M. Gabriel BOURSE, à Senlis Mme la baronne DE BLOMAC, née MONTBRON, au château de Vicq M. E. BONNICHON, au château du Bourget Mlle Matnilde BONNET, à Dun-le-Palleteau Mme Albert BELEYS, à Morgat M. Jacques BESSON, à Bourgsur-Gironde M. le capitaine de frégate Jacques BOS, à Dubrovnik Mme la générale BEAUNE, au château de Laverdines M. Léon BARNEOUD, à Badbastein Mme la princesse BIRON DE COURLANDE, au château de Wartenberg M. le prince DE BRANCOVAN, à Prahova Mme Marcel BOUTET, à Biarritz Mme Pierre DE BOUCHAUD, au château de Relibert Mme Jean BAZIN, à Morgat-en-Crozon M. Edouard BERTIN, à Evian Mme la comtesse Albert DE BLOIS, au château de Changé Mme la baronne DE BUSSIERE, à Blonville M. Henri BOURGEVT, à Grenoble Mme Isabel BARRIS, à SaintF.élix-Lauragais. Mme Thérèse BOLLACK à Vil-

lars-s.-Bex M. Patrick BATAlLLii, au ruyd'Auzon M. René BARILLOT, à Chexbres M. BENNO BORZYXOWSKI, à Spa M. Alec W. BARBEY à Mies Mme DE BROUTELLES, à Corbeville Mme BRUNEL, au château Maucamps ̃ Maître Marcel BOURGEOIS, à Agay M. le comte Jacques DE BONNEVAL, au château de Soquence M. le docteur BOUTERON, au château d'ilanneucourt Mme la comtesse H. DE BONNEVAL, à Binic.

Mme Paul CREMIEUX, à Deauville Maître DE CHAUVERON, au château du Boulay-Monn Mme Georges CLAUSSE, à Recey-sur-Ource M. le comte DE CHASSEVAL, au Pouliguen Mme Louis CAUVIN, à Saint-Marc -sur-Mer Maître Jacques CHARTIER, à Houlgate Mme la comtesse DE CASTELLANE, au château de Châtillon-en-Bazois M. Edmond COURTOIS, à La Baule M. CHANCEREL, à La Roche-enForon M. le capitaine de frégate CHARDENOT, à Luneray M. Lionel CAZALIS, à Saint-Gervais M. COUGET, à Benodet M. CHEVRIER DE BEAUCHESNE, aux Trois-Epis M. Gaston CAZALIERES, à Amphion-les-Bains Mlle Louise CALLA, à Nice Mme CHANCEL. à Vichy M. l'abbé H» COSSON, à Bernay-s.-Champagne Ml CAYAR, à Plougasnou-Primel M. Raymond CORNELY, à Evian-les-Bains Mme CLINCHANT, au château de Boissettes Mme CRAPONNE-EUDEL, à Neufmarche Mme la comtesse DE CLERMONT-TONNERRE, à Megève Mme la comtesse Elisabeth CAHEN D'ANVERS, à San Gilgen Mme Louis DE CAZOTTE, à Dax M. Marcel COTY, à Axenstein Mme Ivan CARÔF à Port-Blanc M. Adrien COUSIN, à Gstaad Daniel CHOLLET, à BourbourgCampagne Mme CHRETIEN, à Cabourg. M. Henry DEFREYN, à Cabourg Mme DELMAS, à Kerminisy-Saint-Tugdual Mme J. DELAAGE DE MEUX, à La Baule-Escoublac M. J. DELAVAUD DUM0NTEI1, à La Berthenoux M A. DUFAY, à Carantec M. Léon DESBUISSONS, à Tréboul Mme P. DUCAROY. à SaintDWier-du-Mont-d'Or Mme G. OLRVIEU DE VAREY, au manoir des Cormiers M. Roger DERNIS â Barcelonnette Mme André DtZ.ARKUlï>. à Saint-Malo Mlle DELASSIS, à Saint-Léonardde-Noblat M. Gaston DURIVAULT, à Essomessur-Marne Maître Marcel DUPONT, au château de La Chèze M. Auguste DESCHAUX à Pralognan-la-Vanoise Mme Paul DESVOUGES, à Saint-Lunaire Mme Auguste DUPLAN, à La

FEMMES DE CHAMBRE

Pour partir suite, demande 1™ fme de ch. expérimentée, pour 2 mois montagne. Villan, 205, rue du Faubourg-Saint-Honoré. le matm. On dem. pr 2 mois, ds ppté C.-d'Or, f.de ch. conn. serv., cout.,ling. Eor. av. réf. et prétentions Mme Mathieu, à Charrey,surSeine, par Pothières (Côte-d'Or). « On dem. f. de ch.-couturière et serv. cour. Camp., Paris. Exc. référ. •exigées. Se près. 10 h. à il,: entresol, 18, av.Bugeaud, i6*.« Dem. f. de ch., cout. et lav., pr camp. 2 mois urgent. Se prés.: Mme Herz, 38, av. Prés.Wdlson (16e), aujourd'hui de 1 h. à 3 heures. Urgent. F. de ch., extra. Réf. Se prés. 9 à 10 h., 1 à 2 h. 95, rue Monceau; Paris. «

DEMANDES C fravaux à fagon (6 fr.) DEMANDES

Ex-prem. de gde maison dem. trav. à façon. Renée, 9, rue Oudinot. Ségur 57-36.

100 fr., chambre, plafond, peint., pap., trav. soigné. Peintre Alexis, si, Bd Aug.-Blanqui. GOUVERNANTES D'INTERIEUR DAMES DE COMPAGNIE

D. dist., éduc., inst., agr., d. pl. chez pers.sle ou pr.enf.Donn.soins.Voy. Ec.n" 60395, F.-A. GOUVERNANTES D'ENFANTS Vienn.,cult.,exc.réf., çh.occup.mat.,log.,ref>.nudi. Mer,camp.,Paris.«Ecr. n° 60394, F.-Ann. J. Autrich., m. réf., ch. occup. 1/2 jnée ou vacances; mer voyag., extra. Ecrire Mlle Edith, 3, rue Nicolo, Paris do"). INSTITUTRICES

Dame angl. dem. pr 3 mois été pr enseign. ansl. Ecr.: Miss Hooper, 26, rue d'Anjou.

Bourboule Mme André DALSACE, à VernetSainte-Marguerite JIme Pierre DELMAS GUICHENNE, à Lahonce Mme la duchesse DE DOUDEAUVILLE, à Deauville Mme Robert DARBLAY, à Kelschau Mme A. DUTREUX, à Aix-les-Bains Noël DESURMONT, à SaintIdesbald-Coxyde Mme Arlette DORGERE, à Divonne-les-Bains M. Jacques DUPONT, à Audruicq M. Michel DAMERON, à Evian Mme Marcel DOURDIN, à Cannes Charles DUPUY, à Mercury-Gemilly M. Robert DIRR, à Ezanville M. A. DUMONT, à Gryon-s.-Bex M et Mme E. DREYFOUS DU MOULIN, à Mondorf-les-Bains Maître DETIS, à Hebecourt M Jean L. DUPONT, à Saint-Jean-Cap-Ferrat Mme DIDIER-JORDAN, à Barbizon.

M. Henri ENJALBERT DENFERT-ROCHERE\U, à Urrugne Mme J. EBRARD, au château de la Carte M. Albert EWALD, à CarollcsBourg • M. J. ESTERAN DE ANCHORENA, à Bénerville Mme C. ETIENNA-MAY, aux Chablais Mme la marquise D'ESPINAY SAINTLUC, au château de Senault M. André EMERY, à Perros-Guirec.

M. Lucien ALLEGRE, M. Lars M. ALMSTROM, 1, M BUIRON, M. BLAUD, Mme Louis BLERIOT, Mme Maurice BERARD, M. Ludovic BARTHELEMY, Mme L. BARAGUEY D'HILLIERS, Mme Alphonse BURAT, M. Jacques BLIAUX, M. Henry CONRIE, Mme Jean COEFFIN, M. M. CLEMANG, M. L.-F. CANTE, Mme Roger COUTEN, M. -H. PIGFAU, Mme CUVELETTE, Mme Albert CAUCHOIX, Mlle DE CATHEU, M. André DE CANDILLAC, Mme Jean DURAND, M. R. DUT1LLEULFRANCŒUR, M. le commandant D'ESPAGNAT, M. le comte René D'ESTAINVILLE, M. le duc DE FEZENSAC, Mme FAURE-GALLAY, M. Gilbert FA.RAUT, Mme Edouard GENERES, M. NILS GIESECKE, M. Edouard GAUTIER, Mme Paul GAUTHIER, Mme DE GUIRINGAUD, Mlles HAUTERIVE, Mile E. HENRIOT, Mlle HERRICK, M. Jean HUBIN, M fe docteur

et Mme Achille HAUSER, M. JANSSENS, Mme

B 1\CQUEMONT, M. J. KAUFFMANN, Mme

Jean LAMB1OTTE, Mme Jean-Baptiste LAJOINIE, Mme Marcel LOUVET, M. Philippe LANG, Mme la marquise DE LA TOUR DU PIN, Mme la vicomtesse Yvon DE LA ROCHEBROCHARD, M L^MAGAT, M. D. DE MASCAREL, M. René MARCHAND, M. MOUSSIE, Mme la vicomtesse Alain DE MAUDUIT, S. Exe. Mgr DE MAYOL DE LUPE, M. Victor DE METZ, Mme veuve Albert MOREAU. M. Ernest MASSIN, M P MOUSSIERE, Mme René MERCIER, M. et 'Mme Henri NAVARRE, M. Jean PAYELLE, Mme Robert PIGALLE, Mlle Mag. QUINT Mme

̃-fclrt»^-t-rT^T ̃% r ̃%€̃ \«u~i c A-rr w

Pierre ROBELIN. M. et -Mme Nicnet s.<u,cDOTE, M. le comte DE SAINTE-FOY, M. Pierre S^LADIN DE l'OSSE, lt. Jean SACHOT, Mlle DE SAINT-EVRON, Mme René SIMON, M. Eugène SUTER, M. Arthur TOULOUSE, Mme la baronne Eugène DE TURCKEIM, Mlle Y. M. ZWILLER.

ALAREUGIEUSE-DEUILIMMËDIAT 2 Rue Troncaet. 32 Place de ta Madeleine MOTS CROISES S» 1373

Ilorizontalcment. J. Inactivité mystique très en vogue au xyii" siècle. II. Doublement pratiquée par Napoléon Fut souvent domine par des chômeurs volontaires. IH. Cri d'étonné Français depuis 1659. IV. Couverture Deux lettres de « Roumanie » Peintre anglais ou général américain. V. Département. VI. Ville d'Allemagne ou avenue de Paris Préfixe.

VII. Comme un gouffre Un cheval sans

uC~J~2~~i:~ ,t~ ~TT.I 1~~1~~

vie y oecicia ae la vicioire. \m* uu proverbe sur l'instabilité de la joie Article en chiffre; Débute par des cadeaux. IX. Elle devait la vie à Dagobert II Ordonne une reprise. X. Préfixe L'augmentation du tarif postal ne l'affecte guère. XI. Bénéficiaire d'un miracle.

Verticalement. 1. On s'y battit l'avantveille de Waterloo. 2. On le dépouille pour nous tenir les pieds au chaud. 3. 1 modifia l'armement du fantassin athénien. 4. Elle inspirait Anacréon Ils refteurirent en 1814. 5. Représente un corps noir Aide-mémoire de l'officiant (plilr.). 6. Prétendue fondatrice de célèbres jeux toulousains Souvent écrit par l'auxiliaire d'un éditeur. 7, Parfois prêté à la demande d'un juge Possessif. 8. Fut la capitale des Dâlmates Initiales d'une grande association de voyageurs. 9. Ornement d'église Sujet incertain Deux lettres de « Ratisbonne ». ^10. Révèle une subite douleur Ecrit parfois au lieu de 1794 Son homme doit etre diplômé. 11. Ce que serait une garde-chasse si cet emploi était tenu par une femme. Solution du X° 1.173

Dem. anén. franc, p. Paris, exe. réf., saoh. b. cuisine. Baudelot, 25, avenue Gcorge-V. NURSES

Dem. pr l'r sept. pets. exp. pr enfts 6 m., 2 ans et 4 ans. Env. réf. jr0 lettre lime Guy, 40, rue des Réservoirs, Compiègne. Dem. nurse tte conf. pr-s'occup. nouv.-né et bébé 15 mois, région Est; lav. et repass. Ecr. réf. et cond. Mme Charoy.Nassandres (Eure).» i VALETS-CHAUFFEURS

Dem, vaî.-chauff.-méc., libre suite. Campagne, hiver Monte-Carlo. Référ. exigées. Ecrire Levas, ?3, rue de Bizy, Vernon (Eure), télépfa. 383, qui convoquera.

VALETS-CUISINIERS

Dem, chauf!valet très expérimenté, Référ. exigées. 35, avenue d'Eylau, Paris. (Fin des offres d'emploi)

)'EMPLOIS cm JOURNEES BOURGEOISES

Hte cout., robes, mant., dem. journ. Ecrire Mlle Marguerite, 101, rue de la Tour (16°). EMPLOIS DIVERS

J. fme sér., entier, libre, pari. cour. franc., angl., allem., ital., ch. empl. Exc. réf. verb. Ecr.: Mme Alberto, 3o,r.Gut.-Courbet, 16e. J. fille, 27 ans, ch. place dame de compagnie ou autre. P. rétributions. Ecrire N° 60392. Figaro (Annonces).

Jne fme, sach. angl., allem., ch. sit. comme., bur., voyag. Ecr.: Rey, 59, rue Fjoidevaus. (Gens de maison |

BONNES A TOUT FAIRE

Dame,45 a.,d.pl.b.à tt f.ch.i ou 2 pers.; b. cuis. Lg.réf. Ecr.Mme Berry,so,av.Wagram. CHAUFFEURS-MECANICIENS 2 chauff.-mécan-, bnes référ., dem. place. Chelle, So, rue Pierre-Demours, Paris (170).

RENTREES A PARIS

MENAGES

Ohauf f.-mécan., 33 ans, cherc. place maison bourg. Libre de suite. Très bnes références. Rebardeau, 42. rue de l'Orillon, Paris (11e). Chauff, noir dem. pl. niais, bourg., connais. ttes voit. Ni logé ni nourri. Référ. ior ordre. Ecrire N° 60355, Figaro (Annonces). Chauffeur-mécan. fiançais, 38 ans, spécialiste Rol1s, Hispano, référ. ier ordre, dem.place ou extra. Voyag. Ives, 144, r.Martre, Clichy (S.). Chauff., 25 a. même maison, dem. extra i mois. M. Dureau, 9, r. Fiançpis-I" (8e). CUISINIERS

Chef cuis.-pàt.-gîac, long. référ. Province, étranger. Van Egros, château du HautBuc, Bue (Sedne-et-Oise).

CUISINIERES

Cuis., 40 ans, ch. place Paris, camp., ou ext. Ecr.: Colette, 22, rue Nungesser.et-Coli, 16e. Cuis., 50 a., dés. place ou extra. Bnes référ. Ecrire Mme Freludie, 24, r. de Téhéran, Se. Très bne cuis.-pâtiss. dés. pi. ou extra. Bnes référ. Pauline, 17, place des Etats-Unis. B. cuis., fais. mén., cherc. place ou extra. Bnes référ. Maria, 56, rue Saint-Didier, 56. Fte cuis., cap.,act.,pr banl.av.f.de ch., fam. nombr. Louise. 5, r.Parmentier, Courbevoie. Cuis.-b.à tt f., tr.b.réf., ch.extr.p.camp.seulenîAav.f. de ch, Delattre,26,r.Louis-Morard. FEMMES DE CHAMBRE

F. de ch. sér., extra 1 à 2 mois. Libre 12 août. Mlle Jeanne, 146 bis, r. de Rennes. Très bne couturière, conn. parfaiiem. service trc fmc de ch., cherche extra r ou 2 mois. Ecrire N» 603S9, Figaro (Annonces). FEMMES DE MENAGE

F. de mén., ex-f. ch., ch. mén., coût., lav.,rep; 3 à 4 h.mat.,ap.-midi. Edith,93, Ch.-Elysées. Fme certain âge dem. heures de mén. ou pl. de b. à tt faire de 8 h. à 18 h.^sauf dimanche. Bnes réf. Ecr. n° 60343, Figaro (Ann.). Fme de ménage, sér. réf., dem. travail le matin. Ecrire N" 60375, Fig. (Ann.).

La transpiration a, sur la lingerie, des effets désastreux!

Il n'est pas de tissu délicat capable de résister à l'acidité de la transpiration. Or, nous transpirons tous, beaucoup plus, d'ailleurs, que nous ne l'imaginons. Même en un seul jour, les dessous absorbent, en grandequantité, des substances qui abîment, bien vite, les tissus fragiles. Il est donc évident que les dessous ont besoin d'être lavés le plus souvent possible.

Rendons grâce à Lux, toujours si mer-' < veilleusement sûr. il est si pur aussi que < ses fines paillettes se dissolvent même à l'eau froide. Sa mousse nettoie très doucement et ? élimine, cependant, toutes traces de «ans- < piration. La meilleure façon de conserver Notre lingerie en parfait état est de la laver, fréquemment, avec Lux. En agissant ainsi vous travaillez, du reste, dans votre intérêt personnel, car vous augmentez, en rnême temps, votre fraîcheur corporelle. «

L U c EST riNIE SPPCIALITI tf-VERi,

fflilBi iX «, TOUS çkoduit français

2 VOYAGES EN ITALltt A l'occasion du BiaiIIiI<ElVAIRE B'ACGt'STB organisé par le COMITE D'ENTENTE LATINE.

Du 3 au 13 septembre. Paris, Turin, Gênes, Florence, Arezzo. Rome, Pise, Rapallo, Paris.

Du 1er au 18 septembre. Paris, Turin, Milan Venise, Bologne, Florence, Arezzo, Rome, Naples, Sienne, Milan, Stresa. Lausanne, Paris. Les 7, 8, 9 septembre. ROME Festivals et réceptions. Audience spéciale par S. S. le Souverain Pontife à Cnstelgnndolfo.

PRIX FORFAITAIRE (tout compris) Itinéraire • IV» 1. 980 et 838 francs. Itinéraire N» 2. 2.380, 2.13O et 1.080 francs.

Programmes et renseignements Comité d'Entente Latiue. 6, rue du Conservatoire, Paris (Provence 61-23)

̃ AUTOMOBILES m^u^

Splendide cabriolet décapotable PACKARD spider 36 HP, modèle 1936. Vendue par particulier. Très peu roulé, absolument ianpeccab. Valeur 150.000. A vendre pour moitié. S'adr. 6, r. Vivienne, 2e. Central 57-10. OCCASIONS EXCEPTIONNELLES PANHARD 1934- 23 CV X-71, non panoramique, 37.800 km., cond. 7 pi. face route, 6 roues, ts access.. état de neuf, net. 14.000 PANHARD 1935 16 CV X-73, panoramique, 31.500 kilom., 7 pi. face route état neuf, net 22.000 Ts renseign.. expertises, essais sur demande. CHARTON Fr., 4, rue Coustou (i8«).

Occasions (io fr.) AMEUBLEMENT

4 nil/L T* au meilleur prix beaux mobiliers. AvIlrVl ABRAN, expert, 23, r. Fontaine. BIJOUX

ACHAT BIJOUX J3I Brillants,or.arg.,montre5,dégagem. Rich. 81-37. LIVRES

\/C\inP7 LIVRES en ce moment. \Cl\lfC1L1 Jc les paie cher. Ecrire Globe, 40, rue lfont-Sainte-Geneviéve (5e). DIVERS

Suis,achet. Hattemer ge et :o". Ecrire prix Merle, 53 bis, rue Boilcau, Paris. Proven. faillite, manteaux astrakan, agneau des Indes, agn.rasé, vison Austral. dep. 400. Mailliart, antkj.,53,r.de Rennes.Ouv.&amedi.

Mén., po a., v.-m. d'h. et cuis.-pâtï, dent pi. Sérjéf. Louis, 13, r. Houdon, Paris-iS". MENAGES

Mén. franc., m. d'hôt. et cuisin., dom. extra campagne. Thomas, 46, r. Condamine (17e). Mén; als., 30-28 a., chauff.-méc. et cuis.-b. à tt f., rec. p. maît. Ecr. n° 60368, Fig.-Ann. NURSES

Nurse dipl. suisse, carte de travail, esc. réf., cherche place, nouveau-né préférence. Lambert, 26, avenue Charles-Ftoquet, Paris. •

'Lux n'est mmats

vendu en vrac mais,

exclusivement" ~0 paqueMd'ODgms.

Train supplémentaire le 6 août, pour la Côte d'Azur Les personnes qui se rendent en varan- ces sur la côte d'Azur sont informées que. pour faciliter les départs, un train rapide supplémentaire toutes classes Paris-Nice est mis eii marche le 6 août. Départ de PartsP -L -<M. à 16 h. 45. Arrivée à Avignon à 2 h. 18, Marseille à i h. 2, Toulon il S hett-: res 11, Cannes à 7 h. 31, Nice à 8 ». 35. \rrét également aux ArcS, Saint-Raphaël. Golfe-Juan, juan-les-PIns, Antibes.

~M~<M~~«~«~<«~~M'

Vous trouverez, quand vous voudrez, où vous voudrez, l'appartement que voùs voulez par les annonces immobilières du FIGARO, rubrique « Ventes et locations », paraissant tous les jours, sauf, dimanches.

Lecteurs de ce journal, consultez la seule maison de confiance pour voitures d'occasion, révisées.

ROBIAC, 171, rue de Grenelle. Inv. 29-93.

PArK"Al?n Cabf- 2 &• l'v px Conc'

PAC,KARDécla~t-nc2e Pl- "r Px col'

F rVvnniVU élégance 1934, absol. im-

peccab. 43, rue \rauvenargues. Marc. 0S-70.. Achat

ACHETONS MAXIMUM Voitures récentes. Paiement comptant Marbeuf, 32, rue Marbeuf. Elys. 97-61.

Sté Horlog.

Recherches (io fr.) CABINE'l Ancien chef de la Sûreté de fïADrtX! Paris- Enquêtes, surveillances, divorces. S.r.Berri (8«).Ely.28-28

Paris. Imprimerie du Figaro.

Imprimeur-gérant DETOT.

14, Rond-Point des Champs-Elysées.

p~ 2.

Les abonnés au

TÉLÉPHONE

peuvent nous passer'

par notre ligne spéciale Elysées 30-86 le texte de leurs

PETITES ANNONCES

Suissesse dipl.. tr.csp., b.rcf., ch.pl.p.n.-né ou prendr.gr.enf.pr vac. Lily.:i,r.de l'Avre (I5P). Nurse anglaise cherc. place enfant 3 an-. Bnes ref. Mme Webster, 26, r. Bayard, ï> VALETS DE CHAMBRE

MAITRES D'HOTEL

Valet-m. d'hôtel, 44 a., cb, place. Bnes rétér, Louis, 14, rué des Boulangers (5e).

V.-m. d'hôt., long. réf., con. tr. bien serv., d. pi. ou extra. Burson, 14, rue Castiglione. (Fin des demandes d'emploi)

LE FIGARO ECONOMIQUE ET FINANCIER

L'escompte ramené à 4 pour cent

On finissait par se demander sérieusement si les finances francaises n'étaient pas frappées d'un mauvais sort. Dans leur conduite, les coq-àl'âne, les menteries impudentes, les fautes grossières se succédaient sans arrêt. Tantôt les surintendants connaissaient leur métier, mais ils n'osaient pas l'exercer. Tantôt ils se montraient incapables même d'en apprendre l'alphabet. Cette série noire aurait-elle pris fin ? Il y a tout lieu de lè croire.

Les manœuvres de rétablissement du crédit se développent harmonieusement. Une étape nouvelle a été franchie. A partir d'aujourd'hui, le taux d'escompte de la Banque de France est ramené à 4 p. 100. Comme il était à 6 p. 100 au début de juin, le progrès s'exprime par des chiffres assez clairs pour n'avoir pas besoin d'être commentés.

On se rapproche ainsi du double objectif à atteindre remonter les rentes, soulager l'économie nationale. Quant au premier, la méthode choisie est la seule qui puisse convenir. Elle complète l'action qui sera, éventuellement, celle du fonds de soutien des rentes. Si l'argent devait rester cher, la hausse des fonds publics serait impossible par définition. Au contraire, la réduction effective du taux de l'intérêt déblaye ces perspectives. On voit que les rentes s'y engagent naturellement. Le rôle essentiel du fonds de contrôle est, le cas échéant, sinon d'empêcher, au moins de limiter une baisse accidentelle. On tient pour assuré qu'il n'a pas d'autre dessein. Par conséquent, de ce côté, tout va bien. Et les conversions ? Ce sera pour plus tard; mais le décalage, qui paraît désormais inévitable, ne présente pas d'inconvénient majeur.

D'un point de vue plus élevé, la baisse de l'escompte est surtout intéressante parce qu'elle illustre l'amélioration de la balance des paiements. Seulement, il faut prendre garde de ne pas s'y tromper. Les capitaux, ne rentrent, en ce moment, que par obligation, et parce que les entreprises éprouvent de sérieuses difficultés dans leurs trésoreries. Que le fonds d'égalisation y trouve le moyen de renforcer ses réserves, c'est très bien. Tout de même, le signe n'est pas favorable.

Enfin, la baisse du taux de l'intérêt n'est pas une fin. Elle n'est qu'un des moyens d'accélérer l'activité productrice et les échanges. Or, ce ne sont pas les crédits qui, pour l'instant, manquent le plus cruellement à l'économie française, ce sont primo, la capacité de produire, et, secundo, la faculté de vendre à des prix rémunérateurs.

Aussi longtemps que sa position sera fixée de cette façon, son avenir demeurera non pas incertain, 'mais sans espoir. Mieux vaut le dire catégoriquement et agir en conséquence. S'y prendre autrement, ce ne sera jamais que tourner autour du pot.•̃

's, ̃̃- i ï\-F.' Legueu.

La couverture

du remboursement

des bons 4 1/2 1934

Une émission de Bons du Trésor Le Journal officiel publie ce matin un décret autorisant une émission de bons du Trésor à un an d'échéance réservés aux porteurs de bons du Trésor 4,50 1934 ayant déposé leurs titres aux fins de remboursement.

Ces bons qui porteront un 'intérêt de 4 payable d'avance en totalité au moment de la souscription, seront émis avec jouissance du 5 août 1937 et viendront à échéance le 5 août 1938. Ils seront délivrés en coupures de 1.000, 5.000 et 10,000 francs de valeur nominale et seront établis sous la forme au porteur ou à ordre et seront assimilés aux bons de la Défense nationale en ce qui concerne les opérations de barrement, d'endossement et de domiciliation. Ils seront exempts, comme les bons ordinaires, de toutes taxes spéciales frappant les valeurs mobilières et de l'impôt général sur le revenu.

Les quittances, reçus ou décharges seront exempts du droit de timbre spécial sur les quittances.

Les souscriptions seront libérées exclusivement au moyen de bons du Trésor 4,50 1934 qui, déposés en vue de leur remboursement au 5 octobre 1937, seront repris à leur valeur nominale de remboursement et pourront être affectés pour tout ou partie de cette valeur nominale à la souscription de nouveaux bons à un an, sous la réserve que la fraction affectée à la souscription corresponde au montant exact de l'une des coupures prévues.

Les souscripteurs recevront au moment de la souscription, les intérêts leur revenant, soit 40 francs pour un bon de 1.000 francs, 200 francs pour un bon de 5,000 francs et 4,000 francs pour un bon de 100.000 francs.

Les souscripteurs dont les titres 4,50 1934 doivent subir la retenue de 10 sur la prime de remboursement, prévue par le décret-loi du 16 juillet 1935, demeurent toutefois redevables de cette retenue envers le Trésor.

Les bons à un an émis en application du présent décret seront admis en libération des souscriptions à toutes les émissions, par le Trésor, de titres à plus de deux ans d'échéance.

Leur valeur de reprise sera égale à leur valeur nominale, diminuée, s'il y a lieu, de l'intérêt correspondant au temps qui restera à courir jusqu'à leur échéance et majorée, d'autre part, d'une prime qui sera fixée au moment de l'émission.

Un arrêté du ministre des finances fixe en outre la date d'ouverture de l'émission au 4 août et sa clôture au 19 août. Recevant les représentants de la presse, M. Georges Bonnet leur a fait à ce sujet la déclaration suivante

« Nous faisons aujourd'hui une opération destinée à consolider les bons du Trésor 4,50 p. 100 1934 qui ont été présentés le 5 juin dernier en vue de leur remboursement. Il ne s'agit donc en aucune manière d'un appel des capitaux nouveaux. Il ne s'agit pas davantage de réaliser une opération d'ensemble de consolidation des bons de 1934.

» Nous avons en vue une opération très limitée destinée à offrir à ceux des porteurs de bons 4,50 p. 100 1934 qui ont fait un placement de Trésorerie, un titre présentant des avantages analogues à ceux qu'ils ont précédemment recherchés.

» L'échéance de ces bons n'aura lieu d'ailleurs que le 5 octobre. Je n'étais donc point pressé. Mais, conformément à la politique que j'ai toujours suivie, j'aâ pensé qu'il convenait de s'attacher le plus tôt possible, malgré les difficultés dues à la période de vacances, à résoudre o» problème important. »

NOUVELLE AVANCE DES RENTES ET VALEURS FRANÇAISES. .sur l'abaissement des taux des opérations de la Banque de France. Fermeté des valeurs de matières premières. Prises de bénéfice sur les mines d'or. La question des prix de revient.

© La reprise du marché, commencée au début de la semaine, s'est accentuée hier, L'abaissement du taux de l'escompte officil de 5 à 4 p. 100, dont il est parlé cicontre, a favorisé la continuation de ce mouvement, qui a affecté surtout les rentes et les valeurs françaises.

S3 Dans sa séance d'hier, le,conseil général de la Banque de France a abaissé le taux de son escompte de 5 à 4 p. 100, le taux des avances sur titres de 6 à 5 pour cent et le taux des avances à trente jours de 5 à 4 p. 100.

© Dans un marché relativement actif, les diverses séries de rentes gagnent un peu plus d'un demi-point en moyenne, malgré que la clôture n'ait pas lieu exactement au plus haut. Aux séries à garantie de change, le 4 p. 100 1925 prend 70 centimes et le 4,50 1937 enlève 35 centimes. Les valeurs du Trésor demeurent achalandées et fermes. © Lec valeurs françaises à revenu variable gagnent des fractions importantes. Les métallurgiques et les produits chimiques sont particulièrement favorisées.

Aux internationales, on' note la fermeté des pétroles, des cuprifères et des diamantifères. Après leur avance antérieure, les mines d'or subissent des prises de bénéfice, surtout aux approches de la clôture. Certaines mines perdent finalement des fractions allant jusqu'à 5 p. 100.

© Les socialistes nous font penser à ces gens qui n'avaient rien oublié, ce qui n'est pas grave, mais qui n'avaient rien appris, ce qui est plus grave. Dans le « Populaire », M. Jules Moch reconnaît que le poids des réformes sociales entreprises depuis juin 1936 a entraîné une hausse

PARIS

PRINCIPALES FLUCTUATIONS Hausse

3 0/0 73 55 + 045 4 0/0 1918 7135+ 0 40 5 0/0 1920 9460+ 0 10 4 0/0 1925 101 70 + 0 70 4 1/2 1932 A 75 60+ 0 70 4 1/2 1937 99 40+ 0 35 Banque de Paris 1298 + 38 Crédit Foncier 2350 + 40 .Nléti~opolitaiii 970 +35 Lyonnaise desEaux 1280 + 54 Générale d'Electricité 1280 + 45 Tréfileries 910 + 35 Penarroya 432 + 17 Rhône-Poulenc 1147 + 62 Ujiion Européenne 824 + 20 Rio Tinto. 2977 +47 De Beers ord 2510 + 72 Baisse

Crown Mines 1875 37 East Geduld 1200 60 Sub Nigel 1440 43 PRINCIPALES TRANSACTIONS En francs de rente r

5 0/0 544.575 4 1/2 0/0 322.540.880 «0/0 17. 190.502 4 A 1937. 768.267 4 0/0 18. 396.372 Ob. 3 A 3li A. 6.644.00 5 0/0 20 107.150 Ob. 4 36 B 2.936.600 4 0/0 25. 117.304 1

En titres i

Bons Trésor Salnt-Gobain.. 511 4 1/2 0/0 34 Air Liouide.. 2.315 B. de France 173 Citroënact.B. B. de Paris.. 3.679 N. U. Parisienne 2.015 Quilmès 135 C. Lyonnais. ,J 831 Caôutcli. Ind. 559 Suez cap. 84 Distiller. Ind. 1.289 Tr. Shanghaï. 665 Indo Hévéas.. 1.563 Distrib. tilect 1.464 Say 874 Forges N.-Est 2.433 Terres R 3.678 Tréfileries 1.064 Young 5J% 30 450 Courrières. 2.416 Canadian Pac 20.574 Lens 3.386 Wagons-Lits.. 8.794 Marles 678 Central Mining 408 Niekel 2.696 Geduld M 1.44!) Penarroya ̃ 8.180 Rio 4.312 Fse Pétroles. 1.423 Azote 70(i Ugine 989 Royal Dutch.. 1.132 Kali Ste Thér. 3.681 Amsterd. Rub. 295 Kuhlmann «., 3.466 Cr. Nat. 1919 9315 Péchiney 1.151 Cr. Nat. 1920 70rt R. Poulenc 1.808 Cr. Nat. 1923 1.218

BOURSE PU 3 AOUT 1937

VALEURS Clôt. De nClôt. Dern. n. VALEURS Clôt. Dern. VALEURS Clôt. Dern.

VALEURS pnlc^s VALEURS L^, S, VALEURS prC^d Ss VALEURS ^1^

ALEURS précéd cours p cours p cours précéd, cours

TERME Crédit National 5 ?s; 1919. 458.. 465.. Banque Franco-Japonaise. 81.. 83 Poliet i Cnansson (part). 4345.. 4415 3 73 Cr.Nat.oMis.500'5%1920 4W 446.. Ean.Nat.p.teCom.et!'Ind. 564.. 565.. Bon J'f1arche. 140 1140 ÏSii, Il ii 5 ™ Bons6%1922 479.. 485.. Banque des Pays du Nord 201.. 207.. Coty (Société Anonyme).. 214.. 210.. *»}•" ZJ" i? 'S Bons6«, Janv.1923. 455.. 460.. Crédit Algérien 1400.. 1400.. Galeries Lafayette 38 50 40.. Bo'io?n^nri'i«ii,i; ol Jl eo Bons 6 juin 1923 462 470.. Crédit Indust.etCominerc. 267 (part). 28300 29750

lîîîoîi?- v .nn » in? ?n OMIg. 6 1924 468 50 475.. Crédit Fon.d'Alsérie-Tnni 438.. 438.. Nouvelles Galeries 310.. 310..

+ m9A8 (à change) f00 8 f0t 70 ` OAtig. 6;ô f9ô+. k08 50 475 Crediü Fon.d'Algérie·Tnvi 496 4% Rcuvellen Galerles. 910 9f0

î(îl>«Si W>- Si 52 Son Départ, de l'Aisne 7 1926 471.. 476.. Crédit Foncier Colonial 175.. 179.. Printemps, ord 118.. 118.. îi?i3;!S;5 iî7> i??ï 7;'0'1927 525.. 526.. CroditF. Indo-Chine (part) 1300 1380.. Agence Havas 485.. 510..

î<??°*fïli.^ï<y;:iiii .m «A? 05 6%-192S 828.. 828.. CrcditFoncierMadagascar 86 Didot Bottln 1B85 1600

Õb~;Qd 9r' "1933 789 02 61 828.. 828.. CredltFonclerMadag:t5~ar 86 DidetBctttn. 1636 ..1600..

nkrf'^TSAH?0^?? ?S" fâ -de la Marne 6 «»; 412.. 418.. s» Fran.de Ban. et Dépôts S39.. Chaix 890.. «95.. ÎKtÏi/Ï ̃«•*>•"»» 2« Jiï" de Meurt.-et-M. 6 406.. 414.. de Reports et Dépôts 424 424.. Librairie Haciietto 1440.. 1440..

SÏV- a #'̃" .v«'<oai ï?5 '̃ ÏS» ·. de Meuse 6 }<; 1923 423.. 428.. Soc. G'' Alsacienne de Ban. 433.. 434.. Afrique Occidentale (C'«). 1055 1068

OAlig.dnSrésorS;~4·pi 123 S2§ 50 de Mens 6 9tt1971. 4t7 4f7 Société Alsacienne de Ban. 414 47§ Air Ÿiqvide (parts).L~. 3950 3%0

0Bi[Jitanr!)j)i«l 123^ 124 50 duNord6%19Jl. 417.. 417.. Société Marseillaise 474.. 474.. Air Liquide (parts) 3350 3380

SiAt '^SÎïitîySSi 'JS «II 6%M»3"- «6 Sous Comp. Entrepreneurs 297.. 290.. Bergougnan 565.. 555.. XXÏ! iîJ?.&#ÎSÎ SI 9?i 7&1927. 471 DniondesMines 152.. 153.. Cirages Français 356.. 363.. Bons Tr. a .5 ans 5 1933 873.. ara.. pas-de-Calals7»i;i326 475.. 475.. Foncière Lyonnaise 725.. 755.. Colonies (Générale des) 316.. 319..

B0BsTr.5-10-15an85?ç1934 940 960 7^1027 463 465 Immobilière Marseillaise. 2030 2040 Continent, Compteurs à &aa 265 275

~5~~S:3 937:: 9" 7%1927 463M Immobilière Marseillaise. 2030. 2040.. Continent, Compteurs à gaz 265.. 275..

Tr.S-&Igans4~1934 750 7159 5%1929 811.. ACTIONS INDUSTRIELLES Bec Aver 240 240

~alsse a:to:ome4 }.'01 ~o.. 6990 798 Somme 6 1923.. 425.. 427.. Buenos-Ayres (cho. de fer) S9S.. 918. Maroc (C,e Ger.erale du). 435..

Caisse de Francé. 6990 7A78 Somme $° 4M 427 Boenoa·Ayros (tbo. de fer) 89g · 918 ( (Ci- Générale du).435

Banque de ,ran~e: 4980 7075 Ville de Reims 6%1927. 811.. Dakar à Saint-Louis f225 1245 Tabac au Maroc. 7100 w

r.iddeVa?^yS--Ba. SS -88 *MSe» 392 V..g %&£&- '£ V. 1S V. S&fèSïï^: g 3jio V.

Transatlantique.. 55» •• »«•• 1255 i,«""s««r!i,^ rr g «mIm «6 SS I°do-C°ine et Yunnan. 1775 1865 _g>snowicc 262.. 263..

de i'~nni~~t~f: ++9.. 455:: Jnd. Sucriere Fr. 6 9~(,1 192 406.. +05 346.

r eue 4u 455 Industriels Alsaciens 1921 400 ~2.. Cn~nOne,t.A)Eer,en; 362 37f MARCHE EN BANQUE

Compagnie Algérienne 9+7 97S · · AI érie 3 y' 1902. 341 3S0 GAamln Oneat-Algérien. ·~ MARCHÉ EN BANQUE

Comptoir d'EMOmptt. M5.. ''09.. ~<.M" ;A4" 350.. Rosario a Puerto Belgrano 228.. 229.. ·.

Crédit Commere. de Franc 470 4w Indo.chln8 1899-1905 2" 2~9.. Tunisiens (chemins de fer) 4W 400.. TERME

–r~er~~ 2295 2»0 T..ls 3 190:&-1907 239 240.. Tram. de l'Indo-Chine cap. 1675 675,

ODcler e raDce. H68" TUDis.ie4%1931. 588.. 605.. Magasins Géiiér. de Paris 1670..1702.. Alhi 438. 453..

ais 1430 14U Allem.g,19:14 Dawes100L 5995 Magasivs Génér, do Patie 1670 180 Areas 210.. 2f0

y^gS! *g J| Afe^^sl0O.L an 0000.. £™ des) 'îS «i iï^ï– ,S 5I1S

Rente Foncière ,S1 25690 Argentin 5 1907 2695 vitteî 370 370" Barçelona Traction 213.. 220..

Suez Z555U *ooîri en' 4oA4 iR&iï Iliei • 3IU • • Braknan ^bï ira

Suex (part de fondateur).. 22100 ..24000 .irf^.aVïso^Msi; 1? 2s ''ai 50 vicly (Etabl. thermal). 1550 1530 S'" »» Jg ••

Sue:;(p~~def~nda~~ur).. 66')S 6M Belglque39f1S95~19Õ5i~ s 62 25 82 50 Air comprimé 17:0:: Bruay. M664

Suet (civile) (Cinquième). 6605 6600 »«ISi«»«3^1^1«Bl'i« 82 25 82 50 Airc(mprimé 1760.. Sodge 649" 664"

«•t '.).Z. |32.. 556.. b^Im^I^^j: 5^" "°. V. ffiïK»- îfo • }?î CaïadTa? EaBie M ?W 50

EsL. 632.. S56.. Bre.lI1909(Pernambuco), 505. Bitteroise Force et Loin. 170., 178.. Ca.adlan £agie. 111.. 11650

g»» SS •̃ %£ Chili6% 220.. 221.. gjttjrow Force et Un. 170-. 176.. Caoutchouc (Financ.) ord. 337.. 339.. S S:: S:: ^tëV!fm "m"»- ^SSunïuiui^iu.: «».: S:: Caoutchouc act. V 1Sli 1IH

Nord 739 Congoobl.-t%19.01. 455 ffl> Elettricité de Manellle.. 309 sio Chartered 245 246..

Orléans 641.. 63S S*L"S;iîlttJS? isS'iSTo" Eleotrieité de Strasbourg 1380 1330 Hfty Deep" 230 50 W

SanU-Fé(Ci.fr.Ch.ferPr.) 798.. Mo.. ||ï^ t"»1" -2S68 •• a™ •• Energie Electrique (Oi.).. 500.. 525.. ^Z\r\ ^4 g £

Métro Iita9adeParls. 798 ·· 979 Haïti50/1810 640" Energie Electrlque 5W ·. 7W~ Colomhia. 164 171 50

Métropolitain de Paris. 920.. Paris. 973 Jgwc ,V5l(! 402 422" Energie du Maroc 720.. 760.. Crow MiM, .1912 1875 Parisienne Industrie S42 352 00 E-iVim? 1900 Energie du Rhin 160.. 161.. Bagsafontein 292 bo 291

Trm.d.saasa.i 1002.. 1047.. ™g£, »«J ™ Energie Sud-Oueat. 530.. 531.. ÏÏ&Î% £& f 2gj

Tram. deSanghai. 1002.. 1047.. ~se'r,e:2tM: Enorgie Sud-Ouest 190" e¡s~ D~r?.rdi.aYre"24~~2So:;

Eaux et Eclairage (Lyon). 1205 1280 Roumaitte 4 Est-Lumière 190 190 preférence. 2100 2085

Distr. Parisien. (Lyon) 1205 1280 Rounfjie 4 J.< 1922 Bons 150.. 151 i±esMOt Aeoût 48°" Z J*ct 2100 2085

Distr. Par sien. d'Electri. 560.. -584.. viiUc 4 218.. 221.. forces Mot. Agout. •̃•.̃ *».. Burban Deep 395.. 393..

Electricité de Paris 527.. 549.. ï y Sïà 985 945 Jaut:R'lltt- • ̃ • !S! • fJJ" East Gedold 1260 1200

Electricité de la Seine. 36S.. 379 ï<So?i«"" 380 3M du Rhône. 480 480 Et M6 JM

Elcctr!C!t~delaSeiJ1e. 382" 399'" ôj'a 9° f981 %6 %t de la Tru'ère' 520 530 Eastern 216.; 235..

Electr~c~t~et.Ga¡.d~Nord 3S2.. 39~ santa~Fê SO,{1910. 1840 1840.. d 1 y. 20s 213 East Rand. 445.. 435..

£SîiaîSS.?a&"î5!1g:S:: S§tf/èr € = .= «SfESSiT: S:: g:: g?^ i::

Energie Littoral Méditer. 9TB §% fior6e 6 f f919. 21i 2G6 Aavraise d'Eacrgie EIeM. · 61S Franco 9 W omin 266 271

En 479.. 496.. ~3tM::3iM;: g~'H. 749" ,50" Franco Wyoming 396;: 414

^Se^KS S:: 295 SS.'&î^«::«1! ÇïSSffî:^Si « g:: fcîSS?. g?:: Sî" Nord-Lumière 658 675 OBLIGATIONS MochiMis.Etctr.(cap.) 465 478 Mdaelds. M9" 543 Télégraphi- sans Fil 471.. «2.. im 3 367.. 368.. £'"£"'?''̃̃ 345" 3IS" Gula KalïmponB 274" 288 50 Thomson-Kouston 154.. 161.. 1875 4 0/ 4M 43, Nantaise d Eclairase a«.. 340.. Hotchkiss. 753 715 Union d'Electricité 370.. 388.. 1876 « 9? 439.. 436.. Ou«t Parisien. 565.. 580.. HnanchaM M •• 94 75 DollfusMieg 4875. wntty% 204.. 210.. Pyrénéenne dTnerB.Elec. |40.. 982.. Hydro-Cère 75 75 Fcr.»Acié.duNordetEst 805.. 822.. ·· 189W896 a 208.. 208.. Ralio-France 361.. 36I ,0J,,ailIll,sbllrg 49J Schneider (Creusot) 1152 12OO.- 1898 2% 240.. 240.. Secteur Rive Gauche 2<™ Langlaagte 127 130 TreUler. et Lam. in Havre 870.. 910 50 g 1889 2 Met 223 224 50 Sud-Lumière prier .̃̃ 92 •• London Tin ord 3775 3950 Courrières 22S 237 60 1904 2 Si Met 226.. 229.. jouissance.. 1039.. 1006.. Mam Reef 548 544 Uns 275.. 296 50 ». 1910 2 g Met 212.. 214.. Téléphones 200.. 203.. Malacca, ord 237 248

vicoignea et Hmuu f!S 491 aa t9lg 8 t99 20f YeraaillaiseTram. elDtst. 9f9 Mexican Eagie 0il ~ord. f16 !26 50

Vicoisnes et Bosux 413.. 431.. 19105% 199.. 204.. VersaillaiseTram.etDist. JJ» ̃̃ 419.. Mexican Eagle Oil ord. 116 50 126 50

Boléo 164. 17660 g 19t23$ 228.. 229.. Dollfus-Mieg 4990.. 5040.. Michelin (part) 1380 1439. Nickel 1042 ..1040 19285% 671.. 691.. Industries Textiles (C<). «ÎJ •̃ 1000 Minière des Grands Lacs 830 860.. Penarroya. 410.. 432 m 1929,4)5% 659.. 670.. Industrie Textile. 270 283 Moteurs Gnome 671.. 681. Française des Pétroles. "J0,™0-- rf 1930 4 oj 620.. 636.. Perenchies 327 345.. Moiambique 47. 4925 Electro-Chimie Usine 1290 1311 p 193040/1,0*, 611 611 Centrale d'Eclair. (Leben) 1515 1575 Naraguta Tin f25 50 133 Kuhlmann 643 664 19314% 596.. 600.. Continentale du Gaz «JJ Nationale Viscose 467.. 478' Matièr.coIor.St-Denis. 1100 1134 4 FortiSoations.. 597.. 615.. Eclairage.Chauf.et F.M. |JJ.. 585.. Padans 660. 673.. Phosphates de Gafsa ®2S •" -IÎ5 V.Parisl9324K%Iots 656.. 665.. Franc. d'Eclairage par Ga: 555.. 558.. Pernod 1910 .1995.. Prod.chim.d'AlaisFroges 1920 1950 l934 5,- ^lots m 829 Gai de Paris 211.. 223.. Phosphates de Constantine 294. 310.. Rhône-Poulenc 1080 «*7 «35 50/ lota 805.. 815.. Acétylène & Électro-Métal va ̃ ̃ 424.. Phosphates Tunisiens. 132 50 139..

Saint-GohaU. "ïï?-'2^" /Com. 1879 2 60 0!; 570.. 581.. Aciéries de Longwy «8.- 452.. Pointe à Pitre 387.. 410..

8a1nt-Gohaln; 2010 2m Coin. 1879260 $à. 570., 581 Aciéries de Longw~ 428.. 452.. Pointe à Pitre. 387.. 4t0 .·

Chargeurs Reunis .ÎS-.Î5" Fonc. 1879 3 %̃̃̃ 540.. 540.. de Micheville '«.. 805.. Randfontein 380.. 371.. Air Liquide. "IJ-'ISS" Corn. 1880 3 570.. 570.. Atel.iCbantiersdelaLoire «0 433.. Rand Mines lois 1002.. Brasserie Ouilmes 5760 5785 Fonc. 1883 3 S. 227.. 22850 Const.Kord de la France J20-- 443 Roan Antelope 469.. 47350 Caoutchoucs de l'Indochine 713.. 729 J883 gj m Chantiers de St-Hajairc 676 ̃̃ 682.. Shell Transport. 740 750.. Citroen B 544.. 560 g a 1891 3 «“ 238.. 244 Châtillon-Commentry «90.. J670.. SpriiKs Mines 225.. 225.. CitroenN.. 630.. ««̃̃* 1892 2 60 « 284.. 282.. Fives-Lille 665.. 690.. Sub Nigel 1483..1440..

Compteur$ à Gaz .m675 < f892 2 6Ô 284 281 B 1469 1440

Compteurs a Cas 665.. 675.. ̃« ro«. 1M5 j M »? • 300.. 303.. For.» Acier.Huta-Bunkova «g •• 163.. Tanganylka 98 50 10150 Ford. 77 75 ™ E Com 899 260% 267 269 Marine & Homéo J™ -̃ 510.. Tharsis. 318 327 50 Peugeot 490.. 495 *nc J »•̃• m m Jeumont «0,. «5.. Townshyps (South Afric.) 94 75 93 50 Raffineries et Sucrer. Say 575.. 591.. g 1906 3 S 260 262.. Méditerranée (For. Chant.) M< •• 663.. Transvaal Land 284.. 295..

TerresRouges 572.. 581.. Fouc 1909 3 138.. 140. F. Belge Mat. Ci. de Fer. "<"> 1725 Tubize 213.. 211..

Union Européenne 799.. 824.. çg coœ. 1912 3 136 50 133 Denain-Anzln 1480.. 1495.. Union Corporation 1123.. 1129..

Union 0 ;uropéenne. 799.. 323 Pa Coin. 1912 iB6 5 133 Deaain-Anein 1480 1495 Union Corporation 1123 1129

Est3% 316.. 323 g S p 3 &̃£̃̃ 275 250.. Mat. de Ch. do Fer (C" Fr.) 550.. 555.. Minière Ht. Kataugapr. 4205 4260 Lyon 3% Fusion nouv. 283.. 230 g 1M3 4 & «6 406 Métaux (&• Française) 2120.. 2240 cap. 4175 4240.. M«di3% 804.. 311.. tmp. 1B26 0 62e.. 535.. Seneile-Maubeuge •».. 710.. Vieille Montagne 2565 2630

Hord 3% ancienne 358.. 362 c 1937 7 S 471.. 475.. Béthune (C" de) nouv. i3° 462.. Vins et Spiritueux 235.. 248..

tord3%Mci<.Me.3M.. 329 Coin. 19277~ 471.. 475..BtthMe(C"de)MM. 4.!0..462..ViMetSptritMM. M6..243..

Orléa»s3»i; 326.. 329.. g 1830 4 «2 583.. 588.. Charbonnages du Tonkin 3200.. 3230.. West Rand 226.. 225..

Orleans 3/°" $13 r-c  6om. t930 oj e'· 5B3 588 Charbonnages du Tonkiv S2 3290 West Rand 226 225

Ouest 3;^ nouveau. 308.. 313 g atl *$. 618.. 619.. Commentr.-Fourchambault J« 470.. West Springs 298.. 296.. Alem.5«%30Pl Jouub 3W 8J3M g 1831-32 4 «% 600.. 615.. Dombrowa (Houillère) part f f f 390

Belge Extr. S }£K 1934. 1821 1787 g E M» m $ Montrambert et la Beraud. «J 440., COMPTANT feVb^TmVrtt2^: £:: «5 d'î^il'– S" S" fiiS» <•*̃>•̃•• ïg- ÎS- Houb,.sienne d'Éclairage 1275 1295 Turc 7 iT% 1933 274.. 264.. S «Fr W'" 68 a" BlaïiV «2 503 Bardin, Renaud, Couche.. 1490 1490 Banque Batîon.du Mexique 246.. 258.. g»" ÎSfï'îlS"" 68 68 CarSx 495.. 500 Moteurs Salmson (cap.). 36.. 36 50

Banque Ottomane 489.. 500. Bo™ 10?lr« '5?^ <ïï bo«" DouVges 615. 625 Forges de la Providence. 1600O 16150

~2~eF~n:gy'pÙen': 9680 ..4700.. ttKoe-L<rratM5%1921 531.. 598.. 357 366. C:e!adt. 510 b10

sLïîSS'J^?.1»:: 41S-™ 1 1 g:: S:: £.s. «j 366.. %l*

CanadlanPaciBc. 8YP 32360 6G 336.. 8~f9N 214 225 Ostricourt 857 S10 35.. 3650

Ca.adian Paciftc, 323 336.. 6 19% 670 683 Ostricoú;i: 810 S10:: Steaua Romana 85.. S550

ffia^K: » ï.îf.îîîî g:: g:: &$™$$rii* 5S::S" «« «»: :SS:: ÎS:: Geduld 1190 1195 •̃̃ 326.. 328.. Bor (Mines de) ,700 .liôo Talcs et LuHnac 3445.. 2445

Geduld 1190.. 1195,. 4 ~q 328 Guerganr soi .«1700 fA00 Talcs de Lutenac 2445., 2445

~T~ 22f 29. 2}¡1 ~(. 695 320 693 928 Hokta-e1·Had.cap.(déj.ina) ~f800 4870.. F~Sapp.a:2475

Rfo-TSnto. 1288 2999 État51933 .6 G7S" 689 Française des Pétroles 666.. g00" Fitat.5chappedvEpan,ca. 2S6O.. 2475

Azote (NOrrégienna). 12.88.. 19i0 Etat 6 Ó~ 1933.· 6T5 689 Hydro-Carbur.deSt.Denls 395.. 407.. VJscose.Franç~usc. 5235.. 5200..

ÎSSflr* ::««:: SiJpîS: g:: g:: ï~&tSiï S:- »=& Sî 5M0

PétroAna. 625.. 649.. LY0113/1'855H' ..317.. LUleBonDtêres Colomb (1) 285.. 390.. Brasserie Comète sel. une. 2040

Royal Dutch(dixièmes). 6220 62.50.. 669 .1372 pothelbroon 386.. 4f0 UmonSucrlere dafAisne 235.. 237

Portugitese de Tabacu 4U 489 i 6 1921 61." 323 Dynamite (Societê Centr. 850.. 8~ 1210..1259..

Sncrn t Ra®aer. dBgppt 7P4 704 6 $ô f834. 67$ 684 DYnamite (Soeiété Gentr. 6~ 840 Bastos (Tabacs) t2f0 f259

^̃"• m- 104- «"« | "= g:: g:: ~ilbV'ur *ÎS ÎSS-SÎSfe^J S 5::

MIdi 6 Sol Engrais d'Auby. 137.. !to.. ParlsnodEdtt.(Ofnstadt 186 183..

4%goe 932.. 332.. GlaeesduNorddelaFrance 3466 ·· 34SD

COMPTANT ~Gi9sà' ~72 Kali 5ainte-Therèse 141~ o' 1435 CHANGBS

PONDS D'ETAT 6 $0 1898·····.···· 672 ·· fiT2. 2~ 1435 C~ANGErMÎ

FOMSMTAT 71 89 Nord 6 ? strie F' 996 3S9 Le Aipolia, jonie. 2f75

3% Amortissable 74 80 75 05 s 9? «érie K 369" 376" Saint-Gobain, Chauny 2025 2035 3$ Amortissable S9 ï b TS\Î S «4 «S" Salins du Midi 760.. 735.. PARIS,

4<4%1932A 7470 75 20 J Q ïï sériée"" 384" 384" Port du Rosario 5650.. 5775.. Lon4res 132 82. 132 76

4t,(l%1932A. ?t'10 '7520 2%%sérieC. 384.. 384.. Port_~u.RosarJ~ 585" 5775.. Londres"'H"

B 75 20 75 75 I&Ub 674 683 Auxiliaire Navigation 1585 1675 Mew-York 2667 25 2664 50 4 %i 1937 amortissable. 99.. 99 20 n-ii, »- 351 38c Touage et Remorquage 12a.. 125.. Bruxelles 449 12 448 25 OW.ch.lerEUt4Ji;i912-14 805.. 309.. ur'™M • » '̃̃̃̃ •"̃• 3^" Transports en Commun.. 5o2.. 590.. Madrid 207 20 5%1919.. 325.. 328.. 5 o°-«i44 689 695 Bénédictine 5900.. 5850.. EOme 140 70 140 25 P.T.T. 5 192» r. a 500. 407.. 420.. n-est 2 li't- 297" 300 D»moy (Julien) 995.. 1040.. Berne 612 50 612 12 4M%1929r.è400. 383.. 388.. 0ÏMt 2 *» J* Distillerie Cnsenier 1925.. 1M8.. Amsterdam.. 1470 1469 75 B»*1934-1935 756.. 767.. BARQUES Distillerie de l'Indochine. 594.. 600..

CaisseNàt.Cr.Agr.5%193S 901.. 904.. Banque Afrique Occident. 715.. 740.. Entrepôt de Grenelle 520.. 520.. LONDRES 7««or1921(lOOdollars). 2708.. 2710.. de l'Indo-Chiae 3780.. 3900.. G*> Moul: de Corbcil, ord. 150.. 157.. 7 or 1924 (100 dollars).. 3260 de la Guadeloupe. 2230 2230 Nicolas 425.. 4o3.. {.Vii' i1.? îî 1 2 1?

Afrique Occid. Franc. î% 384-. 383.. de la Guyane 2300.. 2300.. Nossl-Bé 860.. 866.. ïf*oïï,V, 4 91 12 4 90 M

AfriqueOccid.Franç.i% SM'. 393.. de la Guyane. 2300.. 2300.. N~ssi.Be. 860.. Rio de JanéiN" 33

Indo-ÎChlne3»/i9O9 255.. 257.. de Madagascar. 310.. 310.. Olida 2650.. 2800.. Rio de Janeiro 9..i.. 3..f.: S'iSini. 268 275.. de la Martinique 2850.. -part 6705.. «,75.. Buenos-Ayres 17 10 17 15 Madagascar 1903-1905. 319.. 317.. de la Réunion 2630.. Potin (Félix) 85.. S7 KEW-Ï0RK Ma«œ4%1914 290.. 394.. Europe C. (Pays) or 384 380.. Saint-Raphaël 5865 5990 a&w »»«fc S%m» 344 3SJ irlv. 305 Ciments Français 1380 1410 Paris 375 1/4 375 3/» S(8 lunii 3 1891 251.. 262.. Basque Iid. de l'Afr. Nord 235 do llndocilne i60 470.. Londres 403 1,8 498 3,»

considérable des prix français, et par voie de conséquence, la dépréciation de la monnaie. Mais il conclut

Notre raisonnement a été fondé sur le Spincipe du maintien intégral de la marge bénéficiaire patronale, puisque le coût des réformes augmente d'autant le prix de vente. C'est donc, le raisonnement étant vértfé, que le patronat producteur (nous ne parlons pas ici des détaillants) a maintenu sa marge de bénéfices (n'opérait-il pas dans le cadre du régime ?) qu'il u donc fait payer les lois sociales aux acheteurs, c'est-à-dire, en fait, à ceux qui devaient en profiter.

Ainsi toute réforme de répartition, selon le jargon à la mode, ne s'accompagnant pas d'une réforme de structure, d'une colIectivisation au moins partielle des bénéfices, se traduit en fin de compte par une hausse du prix de revient, par un nouveau désavantage pour notre commerce extérieur, donc nous l'avons vu antérieurement pour notre Trésorerie et notre monnaie. © M. Jules Moch s'étonne que les entrepreneurs aient repassé aux acheteurs de leurs produits le coût des réformes sociales. Comment auraient-ils pu faire

LES CHARHàES

Le franc reste ferme

La tendance du marché des changes demeure favorable au franc. La livre se représente à 132,76 contre 132,82. Le dollar à 26,645 contre 66,6725. A terme, l'abaissement du taux de l'escompte entraîne une contraction du taux des reports hier, la livre, à trois mois, 3 points contre 3,20 à un mois, 0,95 contre 1,25 sur le dollar, à trois mois, 0,65 contre 0,75, à un mois, 0,20 contre 0,25.

LONDRES ferme

Vil FUR'! Clôt- Dern' uâipims a°l- Dera-

¥ALtUIK> précé(| cours ÏALtUKb précéd cours

VALEURS Cl t' cours VALEURS recéd.1 cours

Cons. 2K..J4 MrtS 74 11/16 Crown -Min 13 3,8 13 5,8 1% 101 1/2 107 1/2 EastRasd. 63,3 63/9 WarLOM.. 100 3/16 100 3/16 Geduld. 8 1/2 8 7,8 Franc. 3% uni 13 1/4 Coldflelds.. 81/3 81/io;i 4 14 1/2 14. Rand Mines 144/6 :so/. 4;j(lM7) 13 1/2 «1/2 uhartered 35/. 36/1 ;j Arr. 101. 101. RioTinto.. 211,4 22 1/2 8rési(1889) 25 1/2 24 3/4 Ikarais 46/3 47/6 CMne4% 93 1/2 "9 Tansanyika 14,. 14/9 ïsypt unif 1011/2 1011/2 Anaconda.. 221/6 137/6 Young 45 15 RoyalDutch 46 1/2 47 Italiens^ i4 Shell 5 1/2 5 9/16 J»P.4%(99) 59. 58 1/2 Mei.Eagle. 17/6 17.7SS Porttts.3Pi, SI 1/2 81 1.2 Anglo-Iran 86/3 36/» Stt»ae(1906) 0 6/8 0 5/8 Gala 37/6 38/9 Espag. ext. 42. Î2 Raïb. Trust S'/a 36,10% Turc 7% 3i/4 2 1/4 jualacea. 35'. 35,. Hydro-Elec 9 3/8 3 3,6 saunai 47/6 48/3 Int.Koldme 3 2 15/16 "Onrtaulds. 62/fc 32/6 Imp. Tohao. !50/7ii 151/10>2 Bmt.Celan 1/i% 7/6 Steel Urp. 117. 119 1/4 Imp.Uiemic 39 1/4 -9 1/2 De Béera. u 3/s 19. UnUever 41/S «./(. Jagersfont. l s/8 11/6 AtcUioa. 80. 80 1/2 BraJtpan. 63/1Î4 53/9 ^anad.Pac. 12 i/t 12 3/8 Cent,Mi»B. 23 5/8 233/» Union Pact. m v. 124.

Il

BRUXELLES assez ferme

tcbmc Clôt. Dern. Il -,nMp,T.UT Clôt. Cern.

TERmE DIDt· I Dern. gD~pTAHT 0'~êt' Dern.

itKmt pp&éd. cours ||i.oi«piani précé(| cours

Tutize 235.. 233 75 R.B.3%2't 9225 9210.. Sidro 315 317 S0 Banq.Bruz. 920 975 Baro. Trac- 243 75 245 Banig.N.Bel. !880 1885 BrazilTrac. 823 75 825 Caisse R. D. 2710 2725 Baenos-Ayr 187 bo 186 Cr Anvers. 500 soo Keliopolis 1650 1640 Ses. G. Bel. *920 4970 Nitr.RailW 393 397 50 Electrobel 2120 2130 Banq.deFar 1435.. 1455.. E.Rail (cp.) 1220.. 123j.. Elect. Seine 427 50 430 (fon.) 3420 3460 El.GazNord 445 455 Soûna 9950 3950 Metropolit. 1070.. jioo.. Hydronna.. 312 50 320.. Tanganyika 113 50 113.. J. uickerin I3t5-i '2345 ̃ Ht-Kat(pr.) 4545 Ougrée-Mar 2125 2175 (cp.) 4550 Astu. Mines 272 50 277 50 (drd.) 4t9e Vieille-Mon 2865 2960 Concordla.. 123.. m 50 Maurase :i675 11800 Petrolna 707 f 0 715 Nord Charl 4400 4290

Engrais d'AUhp. 137 440 Paris~~=d'Edit.(OCentadt 186:. l83..

'autrement sans se ruiner ? L'Etat lui-' même lorsqu'il est entrepreneur, reste soumis à la loi du prix de revient. Nous commençons d'en savoir quelque chose avec les récentes augmentations de tarifs des services publics décidées par les amis de M. Jules Moch qui siègent au Conseil des ministres. En système socialiste comme en système capitaliste, on ne peut méconailre longtemps l'arithmétique et produire plâs cher que l'on ne vend.

'5 Londres rouvre, après les trois jours de fermeture du Bank Holiday, dans une atmosphère de fermeté, dont bénéficient principalement les mines d'or, les valeurs de métaux et les diamantifères. Fonds britanniques bien disposés.

© Métal Exchange ferme cuivre standard + 7/6 à livres 52/16/10 1/2, étain + livre 1/10/0 à livres 262/12/6, zinc + 5/7 à livres 23/6/10 1/2, plomb inchangé.

Si 11 a été traité 1,500 tonnes de cuivre, 5 tonnes d'étain, 1,200 tonnes de plomb et 2,000 tonnes de zinc.

© New-York est alourdi. Le marché, qui est soutenu au début, s'effrite jusqu'à la clôture, qui est 1 ou 2 points en baisse sur hier. Total des transactions 900,000. Céréales et caoutchoucs plus faibles. Coton très soutenu.

La dernière émission hebdomadaide de bons du Trésor américains à 273 jours s'est effectuée au taux de 0,467 pour cent, contre 0,485 p. 100 la semaine précédente.

© La société Ford annonce qu'elle majore ses différents modèles d'automobiles de 15 à 35 dolars à partir du 2 août.

NEW-YORK alourdi

imciiDc Clôt. Oern. uimins G|ô'- Oern-

VALEURS Clôt. 1 Dern, VALEURS Clôt. 1 Dern,

VALEURS précéd cours VALEURS précéd; cours Air Red. m 713/4 73. John» Manv 136. 136. AlliedCiem 239. 239. Kennecott 611/2 613/4 Amer. Can 111 112 1/8 Montgome 63 l/< 62 1/2 Amer Smel. 95. 94 3/4 Nat.DairyP 21 20 1/2 Am. T.etT. 1717/8 172. Hat. Oiitil. 30 1/4 30. Am.TobacB. 83 1,4 83 3,4 Ï.-Y. Centr. 40 1,4 39 1/8 Anaconda. 58 7/8 59.lorthAmer 28 S; 27 7,8 Atchisoa.. 80 î/2 78 1,4 Pensylvan. 367/8 36 1/2 nanad. Pac. 12 1,8 12 5/8 Puhlic Serv 43. 42 7/8 Case i81 190. Radio 9. 9 3/4 cer.d.Pasco 73 1/2 74. Reynolds.. 53. 53 1/8 clies.a.OMo Si 52. Sears Roeb. 95 1,2 95. uom. Solven 14 3/8 :4 1/8 Shell 28./ ,J 28 1/4 uonsol.Edis 381/4 38. àt. Brands. 12. 12 1/8 ..oty 7 3/4 7 0,4 St.OiloiNJ 69 3/4 63 1/2 thryslur. 117 3/8 115 1,8 Texas Corp. 46 1/2 63 1/8 BuPont. 162. 160 3/4 Texas Golf. 38 3/4 38 7/8 Elec.B.a.S. 205/8 19 3/8 UnionPaci. 125. 123 1/2 Gener.Elec! 58 1,4 57 1,4 Unit.AirUr 30 1/2 30 3,8 Gêner. Mot. -8 56 3,4 U. s. Smelt. 91 3,4 90 1/2 uoodyear.. 42 1/6 42 1/ï a. s. Steel. 120 1,8 118. »nter Har». 117 7/6 118 1/2 Wester.Un. 50 3/8 49. interKict 66 1/4 65. 1. Westingh.. 155. 153 l/-i lnt.T.etTel 11 3/8 11 1/2 Woolworth. 50 48 3/4

.«..

MARCHES COMMERCIAUX 1 Cours Dern.

I précéo. cours

BLE. (prix imposé dép. culture BLE. liverpool. Juillet 8,111/2 Chicago Ssp embre 115 1/8 113 1/8 Octobre 116 3/8 113 7/8 AVOINE Paris Août 116 Septembre 115 75 116 fARINES pan. 235 235 COTON (Sakels) Alexandrie. Novembre i7 18 17 10 Janvier 17 19 1719

New-York.. Octobre 10 58 10 64 Décembre 10 62 10 58 SUCRE. New-York.. Sep ombre 253 2S4 Décembre 245 246 CAOUTCHOUC.. fumé feuil..

Londres. Disponible 8 3 '4 CAOUTCHOUC.. New-York Septembre 18 45 18 26 Octobre là 48 SUIVRE (SUn.) Londres Comptant il'WJ> Hew-Yort,. Septembre 1315 iâ'30 •.̃̃̃_ Décaibre 13 12 13 30 ET.MN Londres. (.omptani 262 12,6 PLOMB étrang. Comptant 21 18/j ZINC Comptant O 246,10; ARGENT (bar.) Comptant S» 20. OR FIN Comptant w 13g, 71^

RADJO Mercredi 4 août

20 le. 5, VIENNE Du Mozarteum Festival Richard Strauss Don Juan, poème sytnphonique Ainsi parla Zarathoustra, poème sytnphonique Till Eulenspicgel.

20 h. 30, RADIO-PARIS Relais du Casino de Vichy L'Ecole des maris, d'E. Bondcville. 21 h., PARIS P. T. T. Chorale « Le Cavipfnile D, saus ta direction de M. Noyan Il est bon {Passereau) Querelle d'amour {hann. d'indy) Les Cordonniers (.Piernê) Le Cordier (arr. Duhamel).

21 h. 30, PARIS P. T. T. Musique de chambre avec le quatuor Amati, M. Hubeau, pianiste, et Mlle Cernay, cantatrice Choral iBach) Bois épais, extrait de l'opéra « Amadis (Lulli) Pastorale (Hsttich, Purcell) Deux pièces en forme de mazurka (Auberl) Lied (Franck) Fédia (Er.langer) Lied maritime (d'indy) Quatuor en da mineur (Brahms).

21 h. 40, NATIONAL ANGLAIS Orchestre B. B. C. et K. Long, pianiste, sous la direction de C. Lambert La Princesse de Navarre, suite (Rameau) Concerto en ja (Mozart) Ouverture sur trois thèmes russes (Balakirev).

ORCHESTRE

14 h. 30, TOUR EIFFEL Concert.

19 h. 30, WELSH Concert de soli, chœur et orchestre (Mozart, Thomas. Turina, Elgar, Parry). 20 h. 20, NORD REGIONAL Orchestre de la B. B. C. Festival slave.

21 h., ROME Concert symphonique (Spontini, Donizetti, Rossini, Verdi).

21 h. 15, FRANCFORT-SUR-MEIN Concert (Erlebach, Biber).

MUSIQUE DE CHAMBRE ET SOLI 13 h. 15, RADIO-PARIS Mélodies.

15 h. 30, RADIO-PARIS Pièces pour violon et mélodies.

IS h. IS, PARIS P. T. T. Pièces pour piano et mélodies.

19 h., RADIO-PARIS Histoire de la musique de clavecin aux 17e et ISe siècles.

19 h., NATIONAL ANGLAIS Récital- de chant. 19 Il. 30, RADIO-PARIS Mélodies.

20 Il. 35, SUISSE ROMANDE Concert par le Motet de Genève.

21 h., VARSOVIE Concert Chopin.

21 h. 15, LEIPZIG Concert.

22 h. 30, DEUTSCHLAND Trio pour deux flûtes et violoncelle (Haydn).

MUSIQUE LEGERE ET VARIETES 14 h. 30, PARIS P. T. T. La Radio aus aveugles.

15 h. 30, PARIS P. T. T. Depuis Vichy, concert de musique légère.

17 h., RADIO-PARIS Concert de musique variée.

20 h. 5, POSTE PARISIEN La Bonne histoire. 20 h. 3O, PARIS P. T. T. L'Air du pays, fantaisie radiophon. berrichonne en un acte de J. Martel.

21 h. 10, POSTE PARISIEN En correctionnelle, de M. Diamant-Berger.

THEATRE

20 h. 30, TOUR EIFFEL La troupe de l'Odéon Bava l'Africain, comédie en quatre actes de B. Zimmer.

Jeudi 5 août

L'émission théâtrale de la Tour Eiffel nous permet de revenir sur la légèreté avec laquelle le Réseau d'Etat modifie (pour en diminuer, hélas la valeur) la distribution des émissions théâtrales. Il y a là une sorte d'abus de confiance. Que cette remarque amère ne nous empêche pas de noter la qualité radiogéni- que du Théâtre en liberté. Signalons de nombreux et impressionnants relais d'oeuvres lyriques. P.-D. T.

14 h. 30, TOUR EIFFEL Le Théâtre en liberté de Victor Hugo, fragment présenté par Ed. Dujardin L'Epée, La Grand'mère, La Forêt mouillés, avec MM. Donneaud; Arquillière, Weber, Argentin, BeauXieu, Angeli, LaviaUe Mmes B-ugtirdi Dufrènc, Tellier, Dujardin, Gire, Cartier, Gallon, Fillacier, Carlos.

17 TOUR EIFFEL De Salzbourg Les Uaitres Chanteurs de Wagner. Orchestre philharmonique de Vienne sous la direction de Jf..4. Toscarriui. 20 h.. RADIO-PARIS Relais de Vichy Tristan et Yscult de Wagner.

21 h., ROME Relais des Terme di Caracalla à Rome Lucie de Lammermoor, opéra de G. Donizetti. Artistes Luigi Montesendo, Toti Dal Monte, Benjamino Gigli, Nino Maieiolti, Ernalo Dominici.

ORCHESTRE

19. h,. 10, BUDAPEST Weber, Zador, Mozart,

J£odà!y.

20 h., MÎDLAXD REôIOXAL Rivalités oubliées Puccini-Gltick.

20 h. 55, PRAGUE Orchestre symphonique (Moyzes, Finke, Ridky).

21 h., DEUTSCHLAND Concert (Weber, Mozart, Verdi, Smetana, Bizet, Berlioz).

22 h. 30, COLOGNE Symphonie en fa majeur (Brahms) Symphonie fantastique (Berlioz). MUSIQUE DE CHAMBRE ET SOLI 13 h., NATIONAL ANGLAIS Quatuor en ré de Mozart et mélodies de Haendel, Head, Lawson, Quilter.

15 h. 45, RADIO-PARIS Mélodies.

18 h., PARIS P. T. T. Concert d'orgue (Bach, Peters, Dupré).

18 h. 30. PARIS P. T. T. Pièces pour piano (Padre Soler, de Falla, Strawins).

19 h. 20, BERLIN Musique dz chamhre (Joh. Sixt, Mozart). 19 h. 30, RADIO-PARIS Mélodies.

22 h.. VARSOVIE Piano et chansons. MUSIQUE LEGERE ET VARIETES 14 h. 30, PARIS P. T. T. Emission enfantine. 15 h. 30, PARIS P. T. T. Depuis Vichy, concert de musique légère.

17 h., PARIS P. T. T. Orchestre Andolfi. 20 h. 38, POSTE PARISIEN Le Monde à l'envers, avec Bordas. Charpini, Brancato et Radiolo. 21 h. 10, POSTE PARISIEN La Voie lactée, avec A. Beaugé, présenté par Mistinguett. THEATRE

16 h. 45, RADIO-PARIS Matinée classique Le Philosophe sans le savoir, comédie en cinq actes en prose de Sedaine, prés. par F.-H. Michel Le Roman d'une heure, comédie en un acte en prose de Hoffmann.

20 h. 30, PARIS P. T. T. Théroigne de Méricourt, drame en cinq actes de P. Hervieu, par l'équipe Art et Travail.

20 h. 30, MARSEILLE Prenez garde à la peinture, pièce en trois actes de R. Fauchois.

BMTJDGrE

Problème N° 148 bis

A, avec 6 piques, dont l'As, le Roi et la Dame, l'As de carreau et l'As de trèfle, est autorisé à demander 4 sans atout, n'ayant normalement que 3 cœurs à perdre, mais il préfère n'en demander que 2 pour mieux connaître le jeu de son partenaire. B ayant l'As de cœur, déclare 3 sans atout. A est ainsi renseigné, mais il veut apprendre à B qu'il a l'As de trèfle, et c'est la raison pour laquelle il déclare 4 trèfles. B a ainsi le choix entre le Chelem à trèfle ou à sans atout. 11 donne la préférence à la couleur. La solution paraîtra la 11 Août Solution du problème N" 147 bis paru le 28 juillet

(A. REYNALD)

V A joue pique A 4» ti joue carr. V C » » D D » » 8 B»»2 2 A»»A A 1)»»V V G»»7 7 2» A » îrèfle 3 5» A » trèfle n C » » A 0 » carr. 9 B » pique 3 B « cœur 4 D » trèfle 5 D » trèfle 9 3° B » cœur R 6» A » » 4 1» » » 6 C » carr. D A » » 2 B » trèfle 10 C » » S D » pique 1U 7°B B s. pique R

Quels que soient .tes écarts de I) et de C,

tes deux ̃ dernières levées sont faites par A et B ou par A tout smil.

A et B font toutes les 9 levée*.

LES COURSES

M. Fribourg contre la Société des Steeple-Chases

Les sportsmen se préparaient à goûter en paix leurs vacances deauvillaises lorsque 'assignation de la Société des Steeph;-Chases par M. Fribourg, à propos du distanee-

ment dl' Larringes' dans le Grand Steeplc,

ment de Larringes dans le Grand Steeple,

les rappelait brusquement à la discordante réalité. Nous aurons à revenir sur le fond du débat, ayant été de ceux qui, même avant le verdict, avaient jugé flagrante la faute du jockey de Larringcs et M. Fribourg luimême ne pouvant supposer que les commissaires l'aient de gaite de cœur frustré de sa victoire au profit de M. Voil-Picard. Mais nous voulons dès aujourd'hui dire en toute sincérité que ce procès nous semble doublement regrettable, d'abord parce que nous avons la plus haute estime pour. les couleurs de M. Fribourg et que nous pensons qu'en l'espèce mieux valait s'iucliner devant une sentence souveraine, si pénible fût-elle. Ensuite parce qu'aimant le sport avant tout, nous sommes sûr que le sport n'a en tout cas rien à gagner encette affaire. Trarieux.

A VICHY

PRIX SEVIGNE

(A vendre. 6.000 francs, 825 m.) 1. L'Ahuri, 56 (D. -Jalfeux) G. 20 50, à M. de»Andréis P. 9 50 2. Fishguard, 5t> (P. di Cicco) P. 10 » Jumelé 24 »

Non placés Trajanus, 56 Sans Tache, 54A Carmin, 56.

(1 long. 1/2, 2 long., 1 long. 1/2.)

PRIX DU SYNDICAT DES LIMONADIERS (10.000 francs, 1.600 mètres).

1. Marthon, 53 (J. Rigaud) G. 23 50 à M. René Bedel P. 9 50 2. Clé d'Atout, 50i (P. di Cicco). P. 7 50 3. Asticoteur, 52 (R. Montaron) P. 19 50 Non placés Le Palmier, 56 Springstar, 5S£ Santonina, 52J Joli Garçon, 58 Frileux, 56 Farneto, 55i Merlin III, 55 Otrante, 54} Montera, 53 Milord, 53. (3/4 long' .1/2 long., tète.)

PRIX DES REVES D'OIt

(Intern. 80.000 francs, 1.000 m.) 1. Shrew 54J (C.-H. Semblât) U. 10 » à M. Edward Esmond P. 6 50 2. Radouga 54i (W. Johtistone). P. 10 » 3. Oxana 54 (R. Ferré) P. 11 50 Non placés Cantharide 54^, Nuit de Longchamp 54.}, Turbator 56, Rêve d'Argent 56, Rosilia 54£, Rosaria 54A.

(3/4 long., 1/2 long., 3/4 long.)

PRIX DE L'ALLIER

(Hand. limité. 10.000 fr., 2.400 m.) 1. Forban 57 (R. Emery) G. 39 50 à M. Louis Eschenauer P. 14 » 2. Meknasi 59 (P. di Cicco) .P. 9 50 Jumelé. 46 50

Non placés Buckingmuu 51^, Marlêne 51, Saint Sever 60, Forkill 55.

(Courte tête, 1 long. 1/2, 1 long. 1/2.) PRIX JURIETTI

(Intern. 16.000 francs, 2.000 m.) Ecurie R. Bédel G. "ÏÏS" 1. Physalis 59 (R. Ferré) P. 6 50 2. Gazetti 60 (R. Tendero) P. 18 » 3. Vers l'Aurore 50 J, (P. di Cicco) T?. 5 50 Non placés Rob Roy 57, Pàdiçhah 58, Masséna 56^, Cambridge .53 J, Chiiouk 53, Flcury 52.

(Encol., courte tête, tête.)

A CAEN

PRIX DE LA PORTE MILET

(A réclamer. 6.000 francs, 1.300 m.) 1. Vert Galant VI 53J (A. Rabbe).G. 60 5U à M. Edouard Bellet P. 11 50 ̃>. Alvéole 541 (S. Smith) P. 6 50

3. Conchlta 54 (R. Vonwill) P. 6 50 0

Non placés Cartolina 54£, Les Glaïeuls

55 i, Pyrolux 52, Kyllara 54}, Radico 53.

(Courte tête. 1 long. '1/2, 2 long. 1/2.) PRIX DE LA SOCIETE SPORTIVE D'ENCOURAGEMENT

(8.000 francs, 2.100 mètres)

Libyens 50.i (F. Rochetti) G. 21 » » à M. Jean Stern P. 8 » 2. Le Brasier 60 TA. Dupuit).P. 6 » 3. La Saga 56J, Stirling 521.

(Courte encolure, 3/4 long., 3 long.) PRIX ROLLON

(8.000 francs, 1.300 mètres)

1. Bellemoise 54J (A. Rabbe) G. 11 50 à M. Paul L'evesque P. 6 2. Hasty 52J (A. Dupuil). P. 7 » Non placés La Caricature 54J, Fine Mouche 52}, La Ruée 52.

(Encolure, 2 long. 1/2, 5 long.)

PRIX DU BOURG-L'ABISE

(A réclamer. 6.000 fr., 2.100 m.) 1. Fifrelin 57 (G. Oelaurle) (i. 9 »

à M. Georges Fouchet P. 6 »

2. Makurbin 60 (A. Dupuit) P. 10 »

2. lIIaknrbln 60 (A. Dupuit) oP, 10 »

Non placés Bout de l'An 58, Platinum llln Blonde 50, Karagheuz 57, Palatin 52J. (Courte tête, 1 long., 2 long. 1/2.)

VENTES & LOCATIONS Paraît tous les jours, sauf le dimanche

Officiers ~] 1 I ministériels

i

Etude de M" L. Gnirnud* Licencié en droit, avoué à Espalion (Aveyron). A VENDUE aux enchères publiques à suite de saisie immobilière au Tribunal

Civil d'Espalion (Aveyron), le 20 août

iïoYLE ROYAL HOTEL D'AUBRAC (Aveyron). Cure d'air réputée. Voies respiratoires, à 1.400 m. d'alt. Conv. pour SANATORIUM OU PREVENTORIUM Grand Immeuble. granit et pierre de taille. 60 chambres, confort annexe 40 chambres. Garage, matériel et mobilier. Superf. avec bois 7 hectares envir. Mise à prix i KI&.00O fr. S'adresser à M' Gulrnud, avoué à Espalion, et & M" de Vernon, not. à Cusset,près Vichy (Allier)

VENTES

I "^Propriétés

I +

®' Fr, Pney-Enre. Très jol. propté. Tt

cft. Pc sôc.Herb.Bord.p.riv.Vue. 3 ha. 1/2, 200.000. Jammes,57,BdHaussmann A VENDRÊT ==^lWMAiSDiË" BELLE PROPRIETE

anciennem' à usage d'Institution. Toute ( installée pour Colonie de vacances, ? Orphelinat, !UiifN<in de reno*, etc.. Kxi'*i>tfouiiel. Prix IHO.Iïm) i'rmicx. BEHTIJT, Géomètre,

10, rue du Bel-EIisit, à_BVBElX (Eure). f Touralne. Belle propté près Tfours. Mai- i ison de mail. 11 p, conf. et Ferme 14 ha.: iôO.ÛOO fr. J/Ind lenteur (Agence fon- dêe en 1S73). 4, place du Palais, Touik. | 50 km. Paris. Ferme mod. 125 ha dt~50 ha. seul ten. Herbagr.l" quai. Louée 2 Qxl/2. C Bel. chasse. Riv. truites.Bx bâtimts. Parf. c état.Px 750.000. SiucxsaeH.Noittlles (Oise) 1

SUPERBE PROPRIETE

HISTORIQUE

A LOlVECIEX.MiS (Seine-ct-Oisc). Don de Lcuis XIV au Docteur Fagon. Dern. conf. mod. dans cadre ancien unie). Parc bi-centenaire, orné sta.tues anciennes, 4 sa! 7 ch., 2 s. de b., garage, écurie, mais.jard., remises 2 serres, piscine mod. Sup. totale 1 hect. Px demandé 000.000 fr. Ecr.: FWuirvilJe, 26, pi. des Vosges, Paris.

LOCATIONS

Appartements ~] I meublés

I

Bois Boulogne. Lux. studios meublés, tt conf. Px mod. 10, r. Marbeau. Pass. 31-44. Présent., au 25 sept., êlég.app.meub. 2 p., cuis., bs, cit., tél..t. «qii. Ylllaret-Joyeiitie. Auteuil. Studio r.-de-ch., cft, s.de b., entr. indép. s. rue, 1.500. 10 à 12 .Tasrn. 25-50. Trocadéro. Appt 4 p. b. meubl., tt conf., salle de b. 3, rue Paul-Sauniêre- (16»). Appartements ~] | non meublés i + H. Heurl-Mnrtin. 6 p.,bs,conf., 0.500 pl. ch. Wale8herI>eK.5 p.,bs,conf.. 10.500.Ely.47~O4. ̃y bis, n I ppA| IV "° (5t-. vue étendue K. LCI\UUASIU. iiotel partirai. 1. Soleil, calme. 4 ch., 2 sul. (10X6.50 et 6.50 X5).,s.à m.. 2 bs, 3 toil., eau ch., hts plaf. Bounefoy, 20, rue Capucines. Opéra OS-55. Tous renseignements gratuits.

DEMANDES

)n dem. à louer maison 12 p. priric. gd ̃ouf., Auteuil-Neuilly. Ag. s'abstenir. • écrire N» 003'SS, Figaro (Ifimobilîer).

PRIX DE SAINT-ETIENNE

(Handicap. «J.000 fr., 2.100 m.)

1. Lijilithcartcil 54 (H. S ignore!) ..G. 27 » à M. L. Duval-Lemon P. 11 50 2. Ursus 50 (N. Truin) P. 9 50 Non placés .Stocker 50. Donalda 54,

Joveux Convive 18.

(1/2 long., 1 long., 2 long.

PRIX DE LA PORTE DES CHAMPS 1. Atlas II 2. Mistrcss a. SHver l'ern; 4 Armando 5. Carlciosu (5 part.). Mutuel gag., 11 fr. 50 )> 7 fr. 50, 14 fr. A DEAUVILLE

Aujourd'hui, à 14 heures Courses à Deauville. Gagnants du Fiijuvo Prix de Ilennequevtllc. I.e Cyclone II, Catherinette.

Prix Caprice. Magic Giey, Mérinol. Prix. Ridmuay. Athalaric, Ecurie Rothschild.

Prix de Honflcnr et dé Villers. Argolide, Brochet.

Prix de Fervacques. Mordicus, l.iserb.

i NIJV~NWIINNAJ

COURRIERS A POSTER,

AMERIQUE DU NORD

POUR NEW- YORK Queen-Mary (dép. de Cherbourg le 4 août, arr. le S).

DEPART DES TRAINS. Queen-Maro (dép. gare Saint-Lazare à 11 h. et à 12 h. 3, le 4 août).

POUR LE CANADA Ausonia (dép. du Havre le (i).

AMERIQUE DU SUD

POUR RIO-DE-JANEIRO ET BUENOSAIRES Asturias (dép. de Cherbourg le 7). POUR LES ANTILLES Bretagne (dép. de Bordeaux le 10 août).

AFRIQUE-MADAGASCAR

POUR COTE OCCIDENTALE D'AFRIQUE Asie (dép. de Bordeaux le 20 août)» POUR MADAGASCAR, LA REUNION Général-Metztnger (dép. de Marseille le 12 août).

POUR ALEXANDRIE ET BEYROUTH I Providence (dép. de Marseille le 10 août). EXTREME-ORIENT

POUR INDOCHINE. CHINE ET JAPON t D'Artaqnan (dép. (le Marseille le (i août). POUR L'INDOCHINE Cup-Varella (dép. de Marseille le 27 août).

'NPCY.f

A NOS ABONNES

Pour éviter toute interruption dans leur service, nous prions ceux de nos abonnés dont l'abonnement se termine le 15 de ce mois de bien vouloir ne pas attendre le dernier jour pour nous adresser le montant du renouvellement.

La date d'échéance est indiquée sur la bande d'envoi.

LE TENNIS

LES ELIMINATOIRES DE NOTRE SECONDE COUPE DE PROPAGANDE" r~

se poursuivent avec un très vif succès Sont qualifiés pour les finales C. Marin (T.C. Vittel), Mme Lafons

et Peltre (T.G. Savigny), Mme Yot et Beaudonnet (S. C. Vichy)

Au Tennis Club de Vittel, la Coupe du Figaro réunit de nombreux engagements et se déroula avec le plus grand succès. Trois joueurs dominaient assez manifestement tous les autres Louis, X. Marin et Christian Marin;-

Ce fut ce dernier, en définitive, qui fournit le vainqueur de cette intéressante compétition. Après avoir aisément éliminé Legris, Louis se heurta en demi-finale à X. Slarin, celui-ci, après avoir perdu la première manche par 6 jeux à 0, s'accrocha si bien qu'il enleva à son tour le set suivant et ne succomba que de peu au troisième. De son côté, Ch. Marin se qualifiait pour la finale avec moins de peine, aux dépens de Jean.

La finale, intéressante de bout en bout, demeura indécise jusqu'à la dernière balle, les deux joueurs faisant preuve d'excellentes qualités. Après un départ rapide, qui lui valut le gain du -premier set, Louis faiblit et dut céder la seconde manche la troitième fut acharnée, Christian Marin, en dépi,t des efforts de son adversaire, réussit à enlever la décision par sept jeux à cinq. Voici les résultats

Simple messieurs. Premier tour X. Marin b. Marvaud, 6-2, 6-2 Girmonsky b. Oppet, 6-3, 6-2 Moullot b. Grandgérard, 6-0, <î-0 Ch. Marin b. Porte, -6-0, 6-1. Deuxième tour Louis b. Legris, 6-1, 6-2 X. Marin b. Girmonsky, 6-0, 6-3 ;> Jean b. Guitton, 6-3, 6-0.

Demi-finales Louis b. X. Marin, 6-0, 3-6, 6-4 Ch. Marin b. Jean, 6-1, 6-3. Finale Ch. Marin b. Louis, 2-6, 6-1, 7-5. Mme Lafons et Peltre

gagnent à Savigny

Parfaitement organisée par le Tennis Club de Savigny, la Coupe du Figaro- a donné lieu à des luttes fort intéressantes, tant en simple messieurs qu'en simple dames.

Dès son premier match, Peltre, l'excellent joueur du Club de Maintenon, affirma sa maîtrise et remporta l'épreuve sans avoir été sérieusement inquiète.

Successivement, et malgré tous leurs efforts, Delaitre, Verdet, et en finale Lafons, durent s'incliner devant lui sans avoir pu lui prendre un set.

En demi-finale, Sevestre avait opposé une énergique résistance à Lafons, ne succombant que par 4 jeux à G dans la dernière manche.

Chez les dames, Mme Lafons remporta »ur Mlle Villemin une victoire d'autant plus méritoire qu'elle fut difficile à obtenir. Mlle Villemin fut, en effet, bien près de triompher en deux sets Elle gagna le premier 6-4 et mena dans le second, qu'elle ne perdit que de justesse, 5-7 1 Mme Lafons, encouragée par le gain de cette manche, redoubla d'attention, tandis que son adversaire faiblit légèrement, tomme il arrive toujours quand on a été Îirès du but sans pouvoir l'atteindre, et que l'on voit la victoire s'échapper. En demi-finale, Mlle Massicard, et Mlle Coindre avaient fort bien résisté, la première à Mlle Villemin, la seconde à la gagnante de l'épreuve.

Voici les résultats

Simple messieurs. Quaj'ts de finale Peltre b. Delaitre, 6-1, 6-1 Verdet b. Laporte, 7-5, 7-5 Sevestrp b. Granler, 6-1, 6-1 Lafons b. Derains, 6-1, 6-2.

te Portugais Ferraro dos Sanlos r sur m avion français, a gagné le Rallye international de l'Exposition Une belle réception, dans te: cadre de l'Exposition

Le classement du rallye international de 1 l'Exposition est connu. C'est, ainsi qu'il avait été prévu, le Portugais Ferraro dos ~l, Santos qui l'emporte, selon la formule du règlement, avec un total de 55.215 kilomètres-voyageurs.

L'avion de Ferraro dos Santos, à bord duquel avaient pris place neur personnes, dont le pilote professionnel français Léon Challe, ayant parcouru avec ses neuf personnes à bord 6.135 kilomètres, est un Caudron Renault Go'land. 11 obtient un beau succès d'aviation pratique, ceci devant d'autres avions étrangers de grande qualité. Ainsi le second classé, celui de Charles Gardncr, Britannique, sur Beechcraft, réalise un bel exploit, lui aussi, ayant emmené cinq personnes et totalisant 43.580 kilomètres-passagers, soit un parcours de 8.716 kilomètres.

La formule veut que le nombre des passagers transportés intervienne plus particulièrement. Il n'empêche que la performance du second est remarquable et doit être soulignée tout spécialement. Dès la troisième, la moyenne tombe considérablement.

Au classement par pays, la Grande-Bretagne, qui présentait un grand nombre d'arrivants, est victorieuse avec un total de 66.850 kilomètres-voyagurs.

Voici les résultats

Classement par pays. 1er Grande-Bretagne, 66.850 kilom.-voyageurs, prix de 50.0000 francs et une coupe dite « Coupe de l'Exposition Internationale, Paris 1937 » 2" Portugal, 55.215 kms-voy., prix de 20.000 francs et une coupe dite « Coupe » de l'Exposition Internationale, Paris 1937 » 3" Allemagne, 45.340 kms-v., prix de 10.000 francs et une coupe, dite « Coupe de l'Exposition Internationale, Paris 1937 » 4° Pologne, 32.311 kms-v. 5* Belgique, 29.591 kms-v. 6« Tchécoslovaquie, 16.766 kms-v. 7" Hongrie, 15.052 kms-v. 8" Grèce, 13.444 kms-v. 9° Suisse, 8.052 kms-v. 10° Lettonie, 5.598 kms-v. ;11° Luxembourg, 4.472 kms-v. 12« Suède, 4.004 kms-v. 13° Pays-Bas^ 2.746 kms-v.

Classement individuel. 1" Ferrera dos Santos, sur Caudron-Goeland, 55.215 kms-v. (de nationalité portugaise), prix de 40.000 francs 2° Charles Gardner, sur Beechcraft, 43.580 kms-v. (de nationalité anglaise); prix de 20.000 francs 3e Jules Timar, sur Messerschmidt, 15.052 kms-v. (de nationalité hongroise), prix de 10.000 francs 4e C. Adossides, sur Caudron-Phalène, 13.444 kms-v. (de nationalité grecque), prix de 5.000 francs. 5° le colonel Augustin Domes (Portugais) R. W. D. 13, 12.224 kms-v., prix de 5.000 francs 6« Iferrmann Matthiessen (Allemand M" 108, 12.008 kms-v., prix 4.000 francs 7° Provost (Belge), Léopard Moth, 11. 325 kms-v., prix de -t.OOO francs 8» Wroblenski (Polonais) R.W.D. 13, 10.593, prix de 3.000 francs 9e A Bauwens (Belge), Caudron Phalène, 8.892 kms-v., prix de 2.000 fr. 10e Cari. Bucker (Allemand), Klem L. 25, 8.200 kms-v., prix de 2.000 francs 11* Heinz Fusbahn (Suisse), Klemm L. 26, 8.052 kms-v 12° Krejci Ladislaw (Tchéco- slovaque), Be 50, 7.542 kms-v. 13» Vojtech (Tchécoslovaque), Be 51, 6.490 14« Karlis Bandinieks (Letton) V.E.F. Riga, 5.598 bns-v. ̃ 15e Max Schnabel (Allemand) Klemm L. 25, 5.108 kms-v. 16» R. C. Preston (Anglais), Percival Gull, 4.826 kms-v. 17" Wilhelm Wiesner (Allemand) D. H. Moth, 4.588 17° Wilhelm Sachenberg (Allemand), Klenun K. L. 35, 4.56 kms-v. 19° Goesta Fraenkel (Suédois), Moth, 4.001 20" Dr Webb (Anglais), Léopard Moth, 3.794 kms-v. 21° Mlle Lisl Schwab (Allemande) B.F.W. M 25 B, 3.676 kms-v.