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Titre : Figaro : journal non politique

Éditeur : Figaro (Paris)

Date d'édition : 1937-07-15

Contributeur : Villemessant, Hippolyte de (1810-1879). Directeur de publication

Contributeur : Jouvin, Benoît (1810-1886). Directeur de publication

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34355551z

Notice du catalogue : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb34355551z/date

Type : texte

Type : publication en série imprimée

Langue : français

Format : Nombre total de vues : 164718

Description : 15 juillet 1937

Description : 1937/07/15 (Numéro 196).

Description : Collection numérique : BIPFPIG63

Description : Collection numérique : BIPFPIG69

Description : Collection numérique : Arts de la marionnette

Description : Collection numérique : Commun Patrimoine: bibliothèque numérique du réseau des médiathèques de Plaine commune

Description : Collection numérique : La Commune de Paris

Description : Collection numérique : France-Brésil

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k409550j

Source : Bibliothèque nationale de France

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 15/10/2007

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LA FORCE FRANÇAISE

T 1 V

K*i|p^!|: L'apothéose militaire!

par laquelle la France ^jjR. a célébré sa fête na-

tionale a été l'une des plus fières, l'une des plus -impr.es- sionnantes, qu'il nous ait jamais l été. donné d'admirer. Hier, la puissance française s'est mani- festée dans sa plénitude. Dans le ciel et sur terre, les armes modernes au service des disciplines traditionnelles ont resplendi. La Erance a donné le spectacle d'une grande nation qui, sans forfanterie mais sans faiblesse, coriser>Te intacte la force séculaire qui ;lùi- assure son rang. Aucun Fran- çais ne voudrait que cette -.force fût mise au service d'une politi- que aventureuse. Aucun. Français n'admettrait en revanche que cette force fût méconnue. Ainsi, sous des apparences superficielles de fléchissement, l'immuable vigueur de notre pays s'est, une fois de plus, manifestée.

C'est l'éternel mystère de la nation française que dans le même moment où, à Marseille, elle offre un spectacle politique assez peu édifiant, à Paris elle arrache des cris d'admiration.

Qu'on ne s'y trompe pas Le vrai réflexe de la race est celui que nous avons retrouvé hier matin. L'autre n'est que le luxe étourdi d'un'peuple plus heureux qu'il ne le sait lui-même.

Cette journée du 14 Juillet 1937 ne nous a donné, d'ailleurs, que des de satisfaction, et là encore nous nous plaisons à féliciter le gouvernement Chautemps des dispositions qu'il avait prises pour la célébrer. Car ce fut -cette fois une fête ardemment et totalement tricolore. La décoration qu'avait reçue la place de la Concorde était un peu plus qu'un hommage. Elle était comme une discrète' indication' que tout le monde a comprise.

Nous ne voulons pas insister. Mais que l'on mesure la différence de la journée d'hier, où chacun fut à sa place,où aucune note discordante ne s'est produite, avec les débordements « d'Internationales "»' et de poings levés auxquels1 il y a un an les honneurs officiels semblaient aller avec prédilection, et l'on appréciera le chemin parcouru, cette fois, dans -le bon sens. `

Notre fête nationale a' donc marqué, hier, un redressement .tries net de la situation intérieure française. Aucun symptôme n'était plus heureux dans les circonstances actuelles. Que le gouvernement Chautemps persévère dans cette voie, et la nation entière ne tardera pas à én recueillir les bénéfice's.. La force française dans l'ordre français, ce n'est pas seulement la santé et la prospérité du pays, c'est l'Europe calme et la paix sûre.

Wladimir d'Orrfiesson.

'nnnffiiinntiiiiiiiintiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiKniiiiiiiiiiiitiiiiiiiiiiiiu LA LOTERIE NATIONALE Tirage de la .7° tranche

Le tirage de la tranche de la Loterie nationale a eu lieu hier, à 17 heures, à Royan, sous la présidence du ininistre du commerce.

Le numéro 257.903

gagne 3 millions

(Lire, en ê° page, ta liste complète des numéros gagnants.)

LES FEm DU 14 JUILLET DANS L'ORDRE ET L'UNIONI Un spectacle militaire sans précédent

Le mot est d'un des innombrables Parisiens qui s'écrasaient, hier matin, derrière la triple barrière des agents, dès gardes mobiles et des troupes l'arme au pied 1

C'est plus beau qu'à Longchâmp Ce n'était peut-être pas plus e be^u V et la charge finale des'euirassiers, coulée d'argent au milieu des fanfares, avait peut-être plus de séductionthéâtrale que le lourd piétinement des fantassins couleur de terre, escortés de cent .machines impitoyables, que le défilé grondant des chars qui arrachaient, la chaussée par larges plaques et se ruaient dans un brouillard de poussière et de fumée bleue. '•"̃] 1 Mais comme c'était plus émouvant,: plus propre à polariser les enthousiasmes égarés, à rendre-à tous. les Français l'orgueil de la France, de sa force sage, de sa puissance'!

II y eut certains profils adolescents et déjà graves, casqués de cuir, penchés sur la crosse d'une mitrailleuse, entrevus dans le rapide passaged'uhe che-

APRES AVOIR SURVOLÉ LE POLE

LES AVIATEURS RUSSES ont battu te record du monde de distance en ligne droite Partis de Moscou, ils ont atterri

à 140 kilomètres au sud de- Los Angeles ayant couvert ainsi 10.800 kilomètres

DEPART DE MOSCOU 12 JUILLET A 0 H. 23 (G. M. T.) PASSAGE AU-DESSUS DU POLE NORD: 13 JUILLET à 3 h.40 SURVOL DE SAN-FRAN€ISCO 14 JUILLET A 9 H. 28. ATTERRISSAGE A SAN-JACINTO A 14 H. 30. (,DUREE TOTALE DU VOL 62 HEURES 7) L'aviation soviétique a inscrit, à son palmarès, un des exploits les plus remarquables le record du monde de distance en ligne droite. Un exploit remarquable; puisqu'il s'est écoulé quatre années avant que ce record soit battu, Codos et Rossi. t'ayant, en 1933, établi à 9.104 kms, sur le trajet New-York-Rayak.

L'équipage, formé du pilote Cromoy, du navigateur Daniline et du radio Youmachev, a vaincu toutes les difficultés d'un parcours qui, passant par le Pôle Nord, en comporta de sévères. Il a atterri hier, dans un pré, à 5 kms. à l'ouest de la ville de San-Jacinto, à quelque 140 kms. au sud-est de Los-Angclès, après avoir eu à lutter encore contre la brume et l'orage au-dessus des Montagnes Rocheuses.

Après avoir survolé San-Francisco, hier, à 9 h. 28, en indiquant qu'ils comptaient poursuivre leur route jusqu'à' Los- Angeles ou San Diego, les aviateurs ne passèrent plus aucun message. On éprouva quelque inquiétude, d'autant, que la proximité des hautes montagnes pouvait laisser -craindre un accident. Mais il ne s'agissait que d'une panne passagère du poste de radio le raid victorieux -s'acheva sans autre incident.

(Suite page 3, colonnes 1 et 2.)

L'ARMÉE FRANÇAISE

a montré aux Parisiens, qui, l'acclamaient,

sa puissance

et son entraînement Le Roi Carol. le Sultan du Maroc assistaient

à la revue ainsi que le général Nedifch,

chef d'état-major

J^-de; l'armée yougoslave

nillette ou d'un side-car blindé, dont la résolution, la tranquille assurance effaçaient les expressions de haine brouillonne que l'on prête parfois au clair visage de notre pays. Ni nos hôtes royaux, ni les représentants des armées étrangères, silencieux dans leur tribune, ni. la grande foule qui criait sa fierté de l'Arc triomphal au mur tricolore qui fermait l'horizon devant les Tuileries ne s'y sont .trompés.

L'armée, hier matin, a bien mérité notre reconnaissance et, avec elle, ceux qui l'ont sauvegardée, entraînée, renforcée, portée à un degré de perfection qui forçait l'admiration la moins avertie. Les hôtes royaux

Le ciel, cependant, était gris, renfrogné, menaçant. C'est une aube triste qui avait vu-s'acheminer vers les ChampsElysées des' torrents humains si nourris qu'on eût cru que Paris tout entier se hâtait vers la « revue ». Les troupes avaient pris leurs emplacements autour

̃̃̃̃̃'̃'̃

de la place de l'Etoile et dans les voies r voisines.

Puis les gradins édifiés sur l'avenue s'étaient garnis d'officiers en grand uniforme, d'attachés militaires dont les tuniques aux couleurs éclatantes étaient rayées des larges rubans des ordres nationaux, de parlementaires en jaquette, leurs insignes à la boutonnière, de mutilés, d'anciens combattants. Dans la tribune centrale, entre deux touffes de drapeaux; la robe écarlate du patriarche maronite rutilait auprès de l'écharpe de M. Edouard Herriot. i A neuf heures précises arrivait le sultan du Maroc, salué par lés acclamations et bientôt suivi des deux petits princes. On s'amusa de l'étonnement, ravi du plus jeune, ouvrant des yeux admiratifs devant l'appareil guerrier, se cramponnant aux jupes de sa gouvernante pour contempler plus longtemps le sabre scintillant'd'un garde impassible, mais le torse gonflé d'orgueil.

Un remous, un murmure, des applaudissements.

S. M. le roi Carol descend de voiture, une longue cape blanche découvrant par instants son uniforme de général d'artillerie. Les ovations de la foule se font plus vibrantes 'encore, tandis que le souverain prend place dans^la tribuned'evant le général Neditch, chef d'état-major de l'armée yougoslave. ̃̃̃̃'̃

Remise des drapeaux

et des décorations

La musique de la garde sonne « Aux champs ». Précédé d'un escadron dont un timbalier rythme le pas, le. président de la République, après être passé devant le front des troupes, vient s'incliner devant ses illustres invités. Le chef de l'Etat est accompagné de AI. Daladier. Les voitures suivantes amènent MM. Campinchi et Pierre Cot, qui prennent place auprès de leurs collègues. M. Albert Lebrun remet alors plusieurs drapeaux à des aviateurs, à des marins, aux chefs, vêtus de cuir, des formations motorisées aux officiers, uniformément vêtus de kaki, des différentes armes. En compagnie du général Gamelin, il noue les cravates autour des cols chamarrés

1 iniiiiiiiiiini littjiiiinfiiiiiiliiiiiim iiimuilim

EN PAGE 3 «

La grève de la batellerie serait terminée

vendredi matin

VOIR EN PAGE 8

NOS PHOTOGRAPHIES DE LA REVUE

d'or, épingle les rubans sur les poitrines.

Le général Gouraud s'avance, salue longuement de l'épée.. Les fanfares éclatent. •-̃̃̃

Le défilé commence. ̃.

L'infanterie de l'air

En tête viennent les représentants de l'armée sportive, pour la première fois à l'honneur. Equipes, victorieuses et individuels se suivent, vêtus de blanc, -un écusson tricolore sur le cœur, les bras nus et balancés en cadencé. On fait un succès particulier aux athlètes sénégalais, qui'remercient d'une double rangée de soutires.

Lès Ecoles .Polytechnique, Saint-Cyr, Salnt-Maixent, dont la -délégation est exceptionnellement nombreuse, et Poitiers précèdent les troupes spéciales garde républicaine, garde mobile et pompiers. ̃ ̃"••'̃̃

Le défilé des, fusiliers marins, qui portent avec élégance de. courtes guêtres blanches, et des apprentis marins, dont les jeunes musiciens soufflent allégre- ment dans les fifres; est suivi de l'impeccable présentation de l'armée ,de l'air. Voici la première nouveauté de la revue: l'infanterie de l'air. Elle fait grande impression.

Les hommes sont rangés pdans' six lourds camions. Les bretelles de leur parachute dorsal encadrent en se nouant sur les épaules, les têtes casquées de cuir et comme enfoncées dans l'ample combinaison couleur cachou.. Un tableau sorti de l'imagination de Wells. Mais aussi. une belle phalange d'hommes courageux, accoutumés à risquer leur vie,. dans la paix comme dans la guerre. ̃ ̃;̃̃̃̃ Georges Rayon. (Suite page A,' col. 2 et 3.)

Une grave bagarre a éclaté hier soir

au Café de la Paix

Hier soir, vers 23 heures, alors que le Café de la Paix était tout animé de clients, une bande de jeunes énergumènes dont la plupart s'exprimaient avec un fort 'accent étranger, se ruèrent sur le célèbre établissement, le prenant littéralement d'assaut. Ils utilisèrent pour ce faire les tables qui se trouvaient à la terrasse et les projetèrent avec violence contre. les vitres qui tombèrent en morceaux. Le personnel de l'établissement, indigné, interrompu de façon sauvage dans son travail, se dressa aussitôt, armé de ce qui se trouvait sous les mains, contre les agresseurs. Une mêlée générale s'ensuivit. Les consommateurs, pris de panique, fuirent en hâte les lieux où, durant un quart d'heure, régna une véritable atmosphère d'émeute.

Trois agents, les seuls qui se trou-

vaient à proximité, furent bien vite dé.bordés. Ce n'est qu'au bout d'un long moment que les cars de police survinrent. Les vandales réussirent à s'enfuir. A l'heure où nous écrivons ces lignes, on ne signale encore aucune arrestation. Il y a lieu de remarquer que depuis quatre jours des événements de ce genre sont enregistrés quotidiennement dans Paris. Le président du conseil a déclaré qu'il ne resterait pas « impuissant devant le désordre ». Chacun compte que, dès aujourd'hui, les Parisiens et les étrangers qui sont nos hôtes n'auront pas à subir les exactions de bandes qui n'ont rien de commun avec la population et avec les usages de notre capitale. Jusqu'à une heure avancée de la nuit, l'effervescence fut grande sur les boulevards.

LES PROPOSITIONS du gouvernement de Londres ont été communiquées aux puissances Ce projet subordonne la reconnaissance de belligérance au retrait des volontaires

Le Comité de non-intervention qui, le 9 juillet dernier, s'était réuni en séance plénière au Foreign Office, n'avait pu, on s'en souvient, parvenir à se mettre d'accord sur da question du contrôle en Espagne. Devant l'impossibilité de concilier les thèses en présence, le délégué de la Hollande avait, approuvé par l'unanimité de l'Assemblée, proposé que la Grande-Bretagne fût chargée de trouver le compromis que chacun paraissait souhaiter.

Le gouvernement de Londres a donc mis sur pied un projet dont les termes ont été communiqués hier aux puissances, intéressées.

La communication .du gouvernement britannique, parvenue au Quai d'Orsay y à 16 heures 50, a été aussitôt traduite et

examinée par M. Yvon Delbos, ministre

des affaires étrangères, et par les services juridiques et politiques de son département ministériel.

Il est encore trop tôt pour «définir l'attitude du gouvernement français, qui va demander, à Londres, quelques renseignements sur certains points de la note britannique.

Cette réserve s'explique par le fait que les suggestions anglaises devront être soumises au Conseil de cabinet, convoqué pour ce matin. Ce n'est qu'après cette délibération que le gouvernement français pourra prendre définitivement position.

En substance, ce plan, dont on lira plus loin le texte, reconstruit sous une forme nouvelle le contrôle naval. Il insiste sur le rétablissement du contrôle des frontières terrestres, pour le Portugal comme pour la France. Il subordonne enfin la reconnaissance de belligérants .au retrait effectif des ressortissants étrangers.

Et pour la première fois il indique les étapes à observer pour sa réalisation. Nous accueillons avec d'autant plus de satisfaction le projet transactionnel britannique, équilibré et très sage à I l'analyse, qu'il confirme dans ses grands traits la thèse que, dans l'éditorial du Figaro, nous avons été à peu près les seuls 'de la presse française à soutenir. Les principaux points du plan transactionnel

Reconstruction du système de contrôle ;1

'1* Surveillance du trafic maritime à destination de l'Espagne.

a) Le système, qui consiste à placer les 'observateurs sur les navires qui visi-

iiilliiiiiiiiiliiiiiiiiiiiiiisiiiiiiiiiiliiiniiiiiiiiilliiiiiiiiiiiiiimiiw»

EN PAGE 3

LA BATAILLE DE PEKIN

Le gouvernement de Tokio prépare l'opinion

aune «guerre de propagande»

tent les ports espagnols, devra être maintenu

b) Le système des patrouilles navales devra être supprimé et remplacé par l'établissement, avec le consentement des deux parties, d'officiers internationaux dans les ports espagnols avec les garanties désirables.

2° Surveillance du trafic terrestre à destination de l'Espagne.

Le système de contrôle, sur les j.fnoatières terrestres sera immédiatement' rétabli (pour le Portugal comme pour la France)

(Suite page 3, col. 4'et 5.)

»

LES JOURS SE SUIVENT L'ENJEU DU HASARD Ainsi, durant cette fameuse nuit « Directoire » du Palais-Royal, où de charmantes Parisiennes restèrent, paraît-il, sur leur faim, non par régime personnel, mais parce qu'on ne les servit point, un homme heureux gagna à la loterie vingt-quatre heures de Mlle Gaby Morlay. Cela vaut d'être expliqué. Mlle Gaby Morlay se trouvant là, M. Trébor lui demanda si elle consentait à offrir vingt-quatre heures de son existence, comme un lot. Elle accepta. Le lot fut gagné par un mystérieux soupeur et Mlle Gaby Morlay doit aujourd'hui le payer. Tout ce qu'elle sait à présent de son inconnu est qu'il s'appelle Lopez. « Oh! mon' bel inconnu! » Cela se chante; et sur un thème séducteur de M. Reynaldo Hahn.

Mlle Gaby Morlay déclare qu'elle n'est pas effrayée de sa promesse, qu'elle est assurée de rencontrer quelqu'un de courtois, de prévenant, de mesuré, qui, sur ces vingt-quatre heures de sa vie, voudra bien contprendre qu'il en est du moins douze à respecter. Elle se propose en somme de tenir cinquante pour cent de sa promesse. Ce n'est pas trop mal pour une jolie femme c'est peutêtre peu pour un gagnant. Les choses s'arrangeront. Ce M. Lopez, s'il est Parisien, s'il a le goût du cinéma, sera charmé de déjeuner et de dîner avec Mlle Gaby Morlay, présente cent pour cent voilà pour douze heures, et pour les autres, il se fera représenter par des fleurs. Qurt beau départ de comédie pour M. Sacha Guitry, quel début pour un conte philosophique J'y pense: c'est dans ce même Palais-Royal que Balzac a situé la première scène de sou singulier roman La Peau de chagrin. Un jeune homme y vient jouer son reste et sa vie avant de trouver chez un vieillard antiquaire la précieuse et terrible « Peau de chagrin », à laquelle va désormais être mesurée son existence. « Si tu me possèdes, tu posséderas tout mais ta vie m'appartiendra. » Je ne suppose pas un moment que l'inconnu fasse entre le charmant lot qu'il a gagné au Palais-Royal et le roman balzacien le moindre rapprochement, rapprochement dont je me garde moi-même et qui n'est venu sous ma plume que par identité des lieux. J'ai pour l'autorité de Mlle Gaby Morlay l'estime la plus franche, mais je ne lui crois pas le pouvoir de tout accomplir, comme ce mystérieux talisman.

D'ailleurs, les combinaisons romanesques n'engendrent que rarement le romanesque. C'est lorsque l'imagination est le plus fortement exaltée que les choses se passent simplement; lorsque le mystère paraît ordonné pour disposer de nous d'une façon souveraine que rien ne s'accomplit de définitif. C'est un événement très simple qui, le plus souvent, nous engage et l'avenir entre par la porte quand nous ne pensions pas à la regarder s'ouvrir.

Guermanteg.;


r-.fieAKO-âCfjllâl-ITES «-

LES ECHOS

LA IOURNEE

ff§ flamme du Souvenir1 a

̃- A18 lj. 30, à l'Arc de Triomphe

Les Forces Féminines françaises.

Réunions

15 heures, à la Bibliothèque Nationale M. Datif fol présente nu « Génie français » des manuscrits à peintures.

Concerts

A 17 Ijeures, au Pavillon monégasque de l'Exposition Concert de la Société mantlolinistç « La Paladienne ».

Expositions p

.-5– 140, Faubourg-Salnt-Honoré.: Exposition Greco (de 14 à 18 h. 30, aujourd'hui). Au château de Maisons^Lafntte Art primitif catalan.

A la Bibliothfique Nationale Exposition George Washington.

A PQ/angerte des Tuileries Arts de la CHirie1 a*ncienne.;

S-.4.1; rue Royale les maîtres populaires de la réalité..

Au château a> Bag-atelle Exposition de 1! ̃-«. Histoire du Bols de Boulogne »

(L'oprès-riildi)..

̃ .AU, château de Sceaux « Les environs de Paris d'autrefois » (L'après-midi). 'ÂveiMie du- Présidént-Wiison, au Palais National des Arts Chefs-d'œuvre de l'art français.

Au Musée des Arts décoratifs, 107, rue de ftivoli Le décor de 13 vie de 1000

à 19,89, »": i

Les courses

A ̃14 heures Auteuii,

On nese gêne pas avec ses intimés. Lés haut-parleurs diffusaient la" Marseillaise^ place de la Nation. La foule écoutait avec respect, mais on pouvait observer que la plupart des militants ne se découvraient pas. –̃Pourquoi n'enlèves-tu pas ta casquette"? demanda un radical du « Rassemblement » à un communiste. Tu n'es pas encore réconcilié avéoUa Marseillaise ? -On est réconcilié depuis longtemps, fit l'autre, Oli est même intimés. Vqilà pourquoi on ne se découvre plus. .r.:

PAUL MORAND

LU REVEILLE-MATIN

Observateur incomparable, ^n'est-ce pas dans les tableaux rapides de la vie quotidienne que se révèle le mieux la personnalité de Paul Morand ? Dans « Le RéveilleMatin », suite d'instantanés pris au jour le jour, où un sens

critique aigu s'allie à la vision toujours neuve des choses, le célèbre écrivain, prenant prétexte de l'actualité, donne toute la mesure de son talent, (Grasset, 1 vol. 16 fr. 50.)

Le sauveteur. j

Diras-tu que je suis coûimuniste ? 7

Si cela peut te faire plaisir, je le dirai, car tu es un brave garçon. Alors, dans ces conditions, je vais te donner mon nom.

C'est en ces termes que le cama- E rade Charles Jean, qui s'est jeté dans la Seine avec courage et a propos ( pour sauver le sergent pilote Pàu- 1

ci~-C)UIIPIIP1m il ip I~IR I~IE ~1Il11~1 tU. ~~I~IIEIJ 1

Congrès international

de la Jeunesse Ouvrière chrétienne

Jeudi 15 juillet. A 16 heures, réception officielle par le commissariat de î'Èxposition, Palais de la Chimie. Vendredi 16 juillet. 18 heures, réception â l'Hôtel de Ville.

Samedi 17 juillet. 20 h. 30, Parc des Princes grande fête nocturne du travail, 1.600 exécutants. Dansés, chœurs^ jeux scéniques; etc.

jDtmâiid/ie 18 juillet. 10 heures, Parc des Princes messe devant 60.000 personnes, célébrés par un jeune prêtre ancien jociste. Allocution de S. Em. le

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lhan, a accueilli hier matin un de nos collaborateurs.

Et comme, dans le poste de secours, il était grelottant, sans ses vêtements, enveloppé dans une couverture, ce même collaborateur l'emmena en taxi prendre un grog dans un café voisin, le café de la Légion d'honneur.

Le sauveteur, pendant le trajet,' avait eu le temps de raconter qu'il était chômeur, mais père de deux enfants, et que les patrons.

Le propriétaire de l'établissement n'eut rien de plus pressé que de lui dire de venir avec lui, et quelques, minutes plus tard M. Charles Jean revint, avec une chemise, des chaussufes et un complet brun qu'on, lui avait donnés. ̃

̃•– Ça, C'est chic, s'écria-îtril ,ça( c'est chic. Quand même, y a des chics patrons. ̃

Le joujou.

Descendus de leur tiûbiine pour mieux voir passer, les soldats, les deux fils du sultan du Maroc obtinrent, hier matin, unVigrand succès de sympathique curiosité.

Un photographe se permit même dé prier les Altesses impériales de poser devant son objpctif,. ce qu'elles TOéht avec beaqcp^}- <|e ;complaisan•ce.et un visible pîaîisir.

Mais tout se gâta lorsque l'opérateur voulut prendre congé. Le plus jeune prince, Moulay Oldollah, montrait d'un doigt décidé l'appareil et réclamait é^iergigiieiheRt ^.iqufou nouveau.

Le photographe s'inclina alors devant Moulay Oldolfah et' s'excusa avec les mots du cœur., sinon du protocole- ̃

Excu«ez?inoi| tiion Excellencî,

c'est pas à moi.

Mais il fallut l'intervention Se^ sa gouvernante pour que le princesse calmât. Les ballons qui se dégonflent. La colonne de Juillet était, hier, enroulée, tel un mirliton, d'un ruban tricolore en spirale. A sa base, des ouvriers gonflaient ,des ballons, bleds blancs et rouges qui, exposés au soleil, éclataient avec régularité. La foule s'en amusa, après, le défilé, et l'on pariait sur les « chances » des talions.

Ça va être un bleu ce coup-ci. Mais c'était un rouge qui disparaissait.

Un blanc, maintenant.

G'étiait encore un ballon rouge qui expirait. Et l'un des ouvriers ajouta, sans malice e

Les rouges sont, plus faibles aujourd'hui que l'an dernier.

Le Masaue de Fer.

v~

QUEL SOUCI

ést épargné à une maîtresse dé maison en confiant à l'hôtel de Crillon, dans jin cadre unique, l'organisation de ses réceptions, thés, cocktails-parties, lunches, dîners du plus simple au plus somptueux.

cardinal Verdier 14 heures, Chcéurs parlés de 2.000 choristes « Une jeunesse nouvelle pour des temps nouveaux »̃. Appel de la J. 0. C. mondiale, par Fer-, nand Bouxom, Jeanne Auber, et le chanoine Caidynn.

Congrès catholique

du cinéma

26, avenue de Saxe (Paris'7e) ̃Jeudi, 15 juillet, A 9 h. 30 réunion de travail à 14 heures, réunion géflérale à 21 heures, projection d'un filin avec commentaires.

Vendredi 16 juillet. A 9 h. 30, réunion d'étude sur le format réduit.

POUR L'ERECTION

D'UN MEMORIAL FRANCE DU FRONT D'ORIENT

Uh appel du tnai-échal

Franchet d'Espéfey

fjh Comité vient de se constituer pour l'érection d'un « Mémorial français du front d'Orient à Belgrade (2,' avenue Debrousse à Lyon. C. P. Mplvy Lyon 722.29). Le maréchal Franchet d'Éspérey; qui en fait partie, lance un appel qu'il termine ainsi ̃̃̃'̃̃

« A tous ceux qui sont sensibles h la grandeur.. française, à, tous ceux qui savent la vaîejse de l'amifié franeo-yflugoslave, et je prix du sang qui l'a scellée, nous" jfçniiindons leur aide pour élever à Hcl&i'mle- un mûm.irhil ..dig]!1-' des soldats de France comme de la béUl capitale qui vep.t bien l'accueillir.»

NUIT DE FETE NATIONALE POETES, MUSICIENS ET ARTISTES

dans les rues de Paris

Les fusées furent, en maints endroits', remplacées par des étoiles. Moins de feux d'artifice mais, par contre, des concerts et des spectacles en plein air sur les places, sur les ponts et aux carrefours. C'est là une très ingénieuse initiative dont il faut louer le comité des fêtes de

l'Exposition.

Sur la place de l'Hôtel-de-Vil^ sur la place de là Nation, sur la place de la Bastille, sur la place ArmandCarrel, sur la place Daiimesnil, des orchestres justement réputés ont exécuté de beaux programmes, riches ce qui est à signaler en musique moderne.

Ailleurs, de véritables spectacles étaient donnés. Sur la place du Combat, Serge et Sylvette Filloux avaient organisé un grand' spectacle de mu-

sic-hall, Sur douze autres places

étaient installés des tréteaux sur les- quels parurent des chanteurs et des chanteuses accueillis jiÇ!/Tbi|jhé^ siasme. =-̃ i • ?' Sur le Pont-Neuf ,*ia compagnie des Quatre Saisons présentait un spectacle de farces moliéresques, ressuscitant ainsi le téinps hérijïqiie des bateleurs.

Sur la place de la Concorde étaient évoquées, par des chants et des danses, les provinces françaises dont les statues se dressent à cet endroit. On vit évplner, devant .une foule char-. mée, les ballets de l'Opéra et les danseurs populaires gascons, franc-comtois, languedociens, normands, alsaciens, .provençaux, bretons, etc. On entendit des hymnes larges et puissants composés tout exprès par des poètes et des musiciens régionaux.

NOTRE GRAND CONCOURS PHOTOGRAPHIQUE

Visages et paysages

de vacances

La photographie. n'est pas seulement un passe-temps frivole, mais encore un art à la portée de tous les photogra-

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2, rixe de la Pttlx, Paris

(Opéra 42-42)

CAJJMiîS BIARRITZ VICH\

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Sur la Seine, cependant, commença vers 23 heures un grand concert de chant de marins français. Du pont de Bercy au pont de Solférino, évoluaient des bateaux charges de chanteurs et de poèmes, Suzy Solidor, naturellement, y avait une place de choix.

Place Pigalle, les chansonniers prenaient part à un grand concours organisé par Jean Bastia, pour la grande joie du public.

De plus circulaient à travers Paris des camions charges de vedettes qui donnaient des concerts le long de leurs parcours. Ce circuit était organisé par MM. Evèlinoff, Medrano, Jysor, Houke et l'Union des artistes. Les camions, tendus de toiles jaunes surmontées du bonnet phrygien et pavoisés aux trois couleurs partirent de la place de l'Opéra, aux accents de la Marseillaise, tandis que

le-îianneHx ja«z<;ide^leismfin depp^it1

Ul| fçonceri;- suf fe's' iliarCftes tl^^pa' Jais 'Garnié.r,.iy7Jfuï.ént,.sîir'-iBur'-par!cours, accueillis avec enthousiasme. Mais cet enthousiasme :fut particulièrement chaleureux et émouvant à Mpnilmontant et à Grenelle. A Ménilmontant, Maurice Chevalier était venu* après .minuit, rejoindre ses camarades et chanta dans son quartier, sous les acclamations que l'on devine, tandis qu'à Grenelle c'est Marie Du'bàs qui chantait dans le quartier de son enfance.

Belle nuit de fête, à laquelle le concours de tant d'artistes donnait un caractère qu'aucun 14 juillet n'avait eu jusqu'à présent.

'André Warnod.

phes dits- «. amateurs » rivalisent souvent en effet de goût et d'exécution avec les professionnels,

Si vous faites de la photo pendant vos vacances, adressez-nous les clichés dont vous serez satisfaits.

Chaque jour,. suivant les envois et la place disponible dans ses colonnes, le Figaro publiera une ou plusieurs photos. Ces envois donneront lieu à un concours doté de TRENTE-DEUX PRIX.

Règlement

1° Chaque photographie devra être accompagnée de 10 bons datés que le Figaro publiera chaque jour pendant les mois de. juillet iabût et septembre'; chacun de ces bons devra porter une date différente.

2° L'envoi devra être, fait au plus tard 48 heures 'après la date du dernier bon, le timbre du bureau de poste expéditeur faisant foi,

3" Au dos de- chaque photographie devront être indiqués très lisiblement les nom, prénoms et adresse de la personne qui nous envoie la photo. 4° La légende proposée.

5° Aucune épreuve ne sera rendue, aucune lettre reqomnjandée ne sera admise.

6° Aucune photo rie sera acceptée après le 11, octobre.

Tous les envois devront être adressés au

Grand Concours Photographique du « Figaro »,

14, rond-point des Cbainps-Ëlysees, Paris

Le Jury classera les envois en donnant à chaque photographie un nombre de points allant de 0% 15 et à chaque légende un nombre de points allant de 0 à 5.

CONCOURS

PHOTOGRAPHIQUE

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15 JUILLET 1937

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DÉCORS D'AUJOURD'HUI

Le jeu sur le miroir

Jusqu'ici, on ne trouvait que, chez les antiquaires qui, bien souvent, les tenaient de l'étranger, des jeux d'échecs de caractère précieux ou orif/inal.

1 Le goût de ce jeu viendrait-il en i. France, et sa silhouette éminemment décorative va-l-elle gagner enfin les intérieurs modernes ? L'un de nos verriers vient de créer un séduisant ensemble en cristal taillé rois? dames, fous, cavaliers, tours et pions, [ rangés sous l'indigo ou sous la transparence d'un cristal blanc, évoluent sur un échiquier de glace des carreaux bleutés apportent leur effet. Et le jeu des doigts se réfléchit en même temps que les pièces sur le pla-

teau, dails une lumière un peu fan-

tastique bon élément à ajouter à l'arsenal de luxe des romans policiers. G. C.. «

Gare à l'or

On se plaint que l'or fuit. On en rattrape tout de même quelques bribes chez les décorateurs. Depuis que cette matière est devenue rare et chère, ils la pôsent un peu partout

LE CARNET DU « FIGARO

AUJOURD'HUI

Cercles. 17 h. 45 Réunion des membres de l'Union des Etrangers catholiques S' pour visiter l'Exposition des çhcl's-fl'œuyre de l'art français (Avenue du Présldent-Wll5OI1).

Deuils. -^10 heures jie&se anniversaire pour .M. F. Maison (Saint-François de Sale», rue Ampère).

flIllfllHlHillHIIMIIIlIMMMIIIIimiilllllItlIllllllimilimmMHHItl' S. M. LE ROI DE ROUMANIE OFFRIRA CE SOIR UN DINER EN L'HONNEUR DU PRESID ENT DE LA REPUBLIQUE

Hôte de Paris, S. M. le roi Carol II s'est associé, hier, aux manifestations officielles de la fête nationale. A la droite du président de la République, il a assisté, en grand uniforme, à la revue des troupes, puis s'est rendu au grand déjeuner militaire offert au Palais de l'Elysée par M. Albert Lebrun. Le roi était accompagné de S. Exc. M. Cesiano, ministre de Roumanie, du préfet du palais et des personnages de sa suite.

Aujourd'hui, Sa Majesté inaugurera le stand roumain de la section de l'Habitation rurale, organisée par la Société des Nations à l'Exposition de Paris. Le roi visitera l'Office du tourisme roumain, qui vient d'être ouvert sur les Champs-Elysées et se, rendra à l'Expo-

sition du "Grccofigurent plusieurs1

siti,oii dU.. Greco figurent. pWsIC(!rs

délivres importantes, tirées de'sif :t'6ÏV-' lection particulière et prêtées par lu;. À cinq heures, le souverain sera reçu solennellement à l'Hôtel de Ville. Enfin, ce soir, le roi offrira au Pavillon roumain de l'Exposition un grand diner en l'honneur du président de la République. Le restaurant roumain sera exceptionnellement fermé au public, par suite de cette circonstance.

ÇOURS

LL. AA. RR. le Prince et la Princesse Nicolas de Grèce ont quitté Paris pour se rendre en Yougoslavie.

On annonce la mort à Bâle de S. A. la maharanée d'Indore, âgée de vingt-quatre ans.

A L'ELYSEE

Le président de la République et Mme Albert Lebrun ont offert hier un déjeuner aux officiers généraux et chefs de corps qui avaient participé à la revue des troupes qui eut lieu le matin. S. M. le Roi de Roumanie et S. M. le Sultan du Maroc assistaient à ce déjeuner.

Parmi les convives

S. Exc. M. Constantin Cesiano, ministre de Roumanie; le grand vizir El Hadj Mohammed el Mokri, M. Camille Chautemps, président du conseil M. Yvon Delbos, ministre des affaires étrangères; M. Edouard Daladier, ministre de la défense nationale et de la guerre! M; César Campinelii, ministre de la marine; M. Pierre Cot, ministre de l'air; M. Marc Rucart. ministre de la santé publique M. Léo Lagrange, sous-secrétaire d'Etat aux sports, loisirs et éducation physique le président de la commission de l'air du Sénat le général Nollet, grand chancelier de la Légion d'honneur; le général Noguès, résident général de Irance au Maroc le général Gouraud. gouverneur militaire de Paris; les membres des conseils supérieurs de la guerre, de la marine et de l'air les personnalites accompagnant le Roi de Roumanie et le Sultan du Maroc, etc.

AMBASSADES

S. Exe. le ministre de Roumanie à Berlin et Mme Comnène, aidés par Mlle Irène Comnène, ont offert une série de déjeuners auxquels ont pris part S. A. R. le Prince François-Joseph de Hohenzollern, LL. AA. RR. le Prince et la Princesse de Montenegro, née Duchesse de Mecklenburg; S. Exe. l'ambassadeur et Mme von Schubert, S. Exe. l'ambassadeur de France et Mme François-Poucet, S. Exc. l'ambassadeur et Mme Kadolny, S. Exe. l'ambassadeur de l'U.R.S.S. et Mme Surltz, S. Exc. l'ambassadeur de Turquie et Mme Hemdy Arpag, S. Exc. l'ambassadeur de Pologne, le ministre et Mme von Bülow Schwanté, le ministre et Mme Kirehholtes, le directeur ministériel et Mme Priiiïer, le ministre Ze'chlln, le président Tabacoviei, le directeur général des chemins de ier roumains Macovei, S. Exc. le ministre de Tchécoslovaquie et Mme Mastny, S. Exc. le ministre de Grèce et Mme Rizo-Rangabé, S. Exc. le ministre de Yougoslavie et Mme Cincar-Marcovlc, S. Exc. M. Ricliert, ministre de Suède; S.Exc. le chevalier van Rappard, ministre des PaysBas; le ministre et Mme Diaz, le ministre et Mme Mediiia, le ministre Henry Catargy, S. Exe. le mihistre de l'Uruguay et Mlle Sumpognaro, etc., etc,

BIENFAISANCE

Les oeuvres de colonies de vacances se recommandent à la générosité de tous, particulièrement cette année où les charges s'accumulent. Quantité de petits enfants ne peuvent pas partir. C'est à nous à nous priver du superflu pour leur procurer pendant un ou deux mois bon air et bonne nourriture qui sont de la plus grande urgence pour quantité d; ces pauvres petits privés presque du néces*saire.

La colonie de vacances d'Abeau, dans l'Ardèche, peut en recevoir une cinquantaine en août et autant en septembre, mais le château qui leur est offert manque de tout. Il faudrait tout de suite cinquante lits, dont le prix est de 170 francs chaque. Aussi les dons seront-ils bienvenus afin de procurer à des enfants chétifs l'air et la nourriture si Utiles à leur santé.

sur des tasses, des assiettes, des verres, des bougeoirs et des surtouts de table.

Ç'est, chez eux, une réaction contre le chrome et Je platiné, mais il est bon de n'accueillir cette révolution qu'avec calme. Une assiette tout en porcelaine dorée n'incite guère au rôti toutefois, réservée aux « fruits •' déguisés », ou à certains fruits naturels, et dans un cadre délicat, elle peut être très décorative. De même, le thé que l'on boit dans une tasse tout en or manque d'une indispensable et rustique savettr britannique. Mais qu'un triple filet d'or coure autour d'une porcelaine blanche ou ivoire, et tout change. Enfin, un service à' porto simplement cerné, au bas de chacune de ses pièces, d'un cercle d'or mis en valeur par le relief du cristal, marquera plus de raffinement que des gobelets et carafons chargés comme une châsse.

Diane.

liiiiiiiiiiiiiiiiiiiiitiitiiiiiiMitifiiiiitiiiiiiiiiiiMiiiitifiiiiiiiiiiitiiii VOIR EN PAGE 5

«LA MODE»

¡. '0"1' -7" .C- '='r-fi'"I"'

Les dons seront reçus avec reconnaissance par l'abbé Brongniart, 25, avenue de la République, à Fontenay-sous-Bois (Seine) chèques postaux Paris 1508-33. CERCLES

L'assemblée générale de la Demeure historique vient de se tenir au siège social, 33,"faubourg Saint-Honoré. Le duc de Noailles, président, avait à ses côtés M. de La Raudière, trésorier; M. François Carvallo, délégué général, et M" Paul Parsy, avocat à la cour, conseil juridique de l'association.

Le rapport moral a révélé le nombre croissant des membres de l'association et des châteaux ouverts au public. Ce rapport a manifesté également l'activité de l'association pour la défense de ses adhérents sur le terrain fiscal.

A l'issue de la réunion fut présenté le premier album des archives photographiques de la Demeure historique, consacré aux châteaux de l'Ile-de-France. 11 fut décidé d'organiser vers la fin de juillet une excursion dans l'Eure pour les membres de la Demeure historique. NAISSANCES

On annonce la naissance

De Dominique Dùt'our, d'Aymar de Morcourt, _de _BerJrand _Durùfic. FIANÇAILLES

-M,Mdré?,C\iêuh:etMMi«ae,nêë-

iozan, font parUlÊS-^âiicajJLles de leur. i 'fille Simone avec M. Jean Chevallier. "On" annonce les fiançailles de Mlle Geneviève Trémolières avec M. René Masson,: externe des hôpitaux de Paris. On annonce les fiançailles

De Mlle Régine Lorenzy-Artaud avec M. Georges Langendorff.

MARIAGES

Dernièrement, en l'église SaintPierre de Neuilly, a été célébré le mariage de Mlle Françoise Dupont, fille de M. Henri Dupont, ingénieur civil des Mines, croix de guerre, et de madame, née Coquelin, avec M. Bernard Peyrot des Gaehons, fils de M. Raoul Peyrot des Gachons, directeur commercial des Etablissements Laffly, et de madame, née Desforges. Les témoins étaient, pour la mariée le chef d'escadron Maxime Dupont, commandant la division des E.O.R. à l'Ecole militaire de Poitiers, chevalier de là Légion d'honneur, croix de guerre, son oncle, et M. Henri Dupont, son frère pour le marié M. André Desforges, croix de guerre, son oncle, et M. Jean Hubert, archiviste départemental de Seine-et-Marne, son cousin.

A gauche Mlle Bernadette de Boury, dont le mariage avec le baron Augustin de Meaux vient d'être béni en l'église de Gadancourt (S,-et-O.). A droite Mlle Françoise Dupont, dont le mariage avec M. Bernard Peyrot des Gachons vient d'être eélébré ,en l'église Saint-Pierre de Neuilly.

.;̃̃ (Studio Peelers et Studio

de France.)

Le 12 juillet, en l'église d'Œuilly (Aisne), a été célébré le mariage de Mlle Françoise Gondallier de Tugny, fille de M. Charles Gondallier de Tugny et de madame, née Kemlin, avec M. Bernard de Retz de Serviès, ingénieur E. C. P., fils de M. Lucien de Retz de Servies, décédé, et de madame, née Ferrand. La bénédiction nuptiale fut donnée aux jeunes époux par l'abbé Antoine de Larminat, chevalier de la Légion d'honneur, curé d'Etreillers;

Les témoins étaient, pour la mariée Mlle Marie de Tugny, sa grand'tante, et M. François Kemlin, chevalier de la Légion d'honneur, ingénieur LE., son oncle; pour le marié M. Pierre de Retz, officier de la Légion d'honneur, ingénieur E.P., son oncle, et M. Ferrand, inspecteur principal du Comptoir d'Escompte. En l'église Saint-Louis d'Antin était célébré avant-hier le mariage de Mlle Janine Selonier, fille de M. Emmanuel Selonier et de madame, née Deglos, avec M. Jacques Rodocanachi, fils de M. Jacques fypdocaiiaçhi, décédé,, et de ma-

dart"" ;3 Ca?;ivp?c.ci,

Les .iî moins la mariée étaient MM. Henri Sabatier, architecte, son oncle, et

li GO!N

DE

L'EXPOSITION M Vers la prolongation en Î938 ? L'Exposition sera-t-elle prolongée en 1938 ?

M. Edouard Jouas a fait une proposi tton en ce sens Il la Chambre des députés. Les hautes personnalités dit corn- missariat général et les présidents de, classe sont favorables, semble-t-il, à lafermeture le 25 novembre 1937 et à la 'réouverture l'an prochain. Les techniciens affirment que les bâtiments, peuvent, suns danger, passer l'hiver.. .4)1 Congrès mondial de la .publicité, M. Hodnes, président de l'Advertising Association of America, a déclaré qite la prolongation paraissait possible, aux Américains. ̃̃̃̃̃•

En ef fet, il 'n'a a pas de grande Ex-, position internationale avant 1939, aiinée de l'Exposition de New-York.. .La seule objection notable à la ̃réouverture de l'Exposition de Paris en 1938 est une objection d'ordre matériel. Il fant que chaque nation obtienne des çfèr dits nouveaux, fasse voter des budgets pour couvrir les frais de la prolongation.

NOTÉ SDR MON BLOC Jérôme, 140, faubourg Sàint-Hqnoré, solde tailleurs et manteaux = de voyage, ensembles plage et yatching, shorts, paréos, tailleurs en piqué et shantung.. I Jeanne Burat nous informe que sa Galerie de Chine ancien et Décoration moderne est transférée 10, r. La Boétie (Anjou 42,77).. Suzy. ̃

i

Henry Couasnon, architecte D.P.L^G. son beau-frère ceux du marié le dop* teur Cagninacci, croix de guerre, son oncle, et le capitaine Roy, du 2e chas- «, seurs, chevalier de la Légion d'honneur.

A gauche Mlle Françoise Gofidal-, Lier de Tugny dont le mariage avec M. Bernard de Ret? de Servies vient d'être béni en l'église d'Œuilly. (Aisne). A droite Mlle Janine Selonier dont le mariage avec M. Jacques Rodocattachi vient d'être eéléi. bré en l'église Saint-Louis .d'Antiru

.ïw^ufci. iSlttJier. d,e France et -étudie. s

ÎWh «mifiç.vf ^.yMwtin-LoreUï);

Le 7 juillet a été célébré dans l'ih- timité le mariage de Mme Simone Bltim avec M. Henry Kahn, chevalier de If Légion d'honneur. INFORMATIONS

Oh annonce de Roumanie qu'un envoyé de la baronne Eugène de Rothschild est arrivé à Constantza pour louer et aménager spécialement une villa fen vue d'un séjour de S. A; R. le Duc de Windsor et la Duchesse de Windsor dans les premiers jours du mois d'août. D'autre part; on avait annoncé que le Duc et ia Duchesse de Windsor iraient prochainement en Transylvanie, où ils seraient les hôtes de la famille de Wertheimstein au château de Ciu.telee, dans le département de Bihor.

M. et Mme Léopold Stern, venant de Bucarest, sont de passage à Paris. DEUILS :'̃: .'̃'̃?.. De Mâcon on annonce la mort, survenue hier matin, de M. Philibert Cochard, sénateur de Saône-et^Lbire, décédé dans une clinique de Mâcon à la suite d'une opération chirurgicale. Agé de soixante ans, chevalier de la Légion d'honneur, le défunt était maire de Cuisery et conseiller général, viceprésident de la Caisse régionale agricole mutuelle de Saône-et-Loire, trésorier de l'Association amicale des maires de Saône-et-Loire.

M. Laurent Thi'ej-ry, ancien sénateur du Territoire de Belfort, vient de mourir.

M. Laurent Thierry est décédé à Belfort à l'âge de quatre-vingt-cinq ans. Originaire de Saint-Cosme (Saône-etLoire), il était journaliste lorsqu'il 'ittt élu sénateur en 1912, en remplacement de M. Philippe Berger, décédé. Il conserva son mandat jusqu'en 1927.

Il fut également président du conseil géhéral du Territoire. Après l'armistice, en tant que représentant du lambeau de la terre d'Alsace restée française après la guerre de 1870, il salua, à la tribune de la Haute Assemblée, le retour de l'Alsace à la mère patrie.

On annonce la mort du capitaine Jean Mariani, du 3D cuirassiers, officier de la Légion d'honneur.

On annonce la mort de Mme Hamilton Rice, née Elêânof Elkins, décédée hier «n sa résidence de la if Ue Barbet-de-Jouy.

De Washington on annonce la mort du sénateur Joseph Robinson, Iedder gouvernemental au Sénat et bras droit du président Roosevelt, décédé subitement à l'âge de soixante-cinq ans. ` Nous apprenons la mort de M. Walter Gay, commandeur de la Légion d'honneur, pieusement décédé le 13 juillet, en son château du BréaU (Seine-etMarne), à l'âge de quatre-vingt-un ans. Ses obsèques auront lieu le samedi 17 juillet, à dix heures, en l'église SaintAspais .de Melun, où l'on se réunira. Ni fleurs ni couronnes.

Les obsèques du maître Victor Laloux auront lieu detnain vendredi, à dix heures, en la basilique Sainte-Clotilde, où l'on se réunira. < On annonce la mort 1 -v De Mme Auguste Pôinsignon, à liUssâùdière; de Mme Maurice Desniaeières, à Lille- de M. Julien Bcrhet-Rollandei à Dijon.

'• ^V •̃'•̃ VaîflBiijry/

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Nous accordons à tous nos abonnés Une iv d" de 25 0/0 sur le tarif normal des avis de faire part des NAISSANCES, FIANÇAILLES, MARIAGES etc.

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LA BATAILLE DE PÉKIN

f:E GODVERNEA1EN7' DE TORIOI

prépare l'opinion

lïïne"gnerredepropapnflB"

Nank in, 14 juillet. Les combats entre Chinois -et Japonais se, sont poursuivis dans la nuit, aux portes mêmes de Pékin.

Lés. Japonais ont en v vers Fent Gai de Nouveaux renforts de troupes des détachements chinois tiennent en échec les bataillons japonais qui attaquent le long de la ligne de chemin de fer de Pékin à Fent Gai.

Le gouvernement chinois a protesté aujourd'hui aupris de l'ambassade japonaise à: Nankjn contre le fait que dix mille réservistes japonais ont été mobilisés -en Corée.

̃L Une guerre

de propagande

Tofcio,- 14 juillet. Les autorités poussent fiévreusement les préparatifs d'une guerre de propagande ainsi que la mobilisation de l'opinion devant les événements graves dont l'imminence est prévue en Chine du Nord;

Le personnel du bureau de presse du ministère de la guerre a été triplé et il travaille en permanence. Le colonel Hata, chef de ce bureau, a déclaré « Notre équipe est sur le pied de guerre afin de combattre la fameuse propagande chinoise dans laquelle nous provoque- rons un- court-circuit par la rapidité de nos nouvelles ».

La nouvelle station de radiodiffusion de Tokio, la plus puissante de l'ExtrêmeOrient avec ses 150 kilowats, a été mise en service avant le délai prévu afin de propager dans le monde entier les informations sur le nouvel incident de la Chine du Nord. `

Dès l'affaire de Lou-Kou-Kiao, un état-major spécial de propagande, composé de 20 hommes, a été créé pour diffuser, presque en permanence à travers l'Europe, les Amériques et l'Australie, les nouvelles de source japonaise. Le gouvernement a donné à ses représentants à l'étranger l'instruction

Le 14 Juillet à l'Etranger

k~ À Londres

M. Corbin déclare

« La France ne cédera pas à la pression ou aux menaces» Londres, 14 juillet. Le 14 juillet à Londres a été marqué comme tous les ans par une grande réception des membres de la colonie française dans les salons de l'ambàssade de France.

M. Corhin- prononça, une allocution dont nous extrayons les passages suivants ̃ ̃ ̃" « A: travers tous les incidents qui se succèdent dans la vie internationale, la France s'est toujours montrée prête à des solutions conciliantes et raisonnables. Qu'on ne s'y i méprenne pas cependant, et qu'on ne croit pas qu'elle soit disposée à céder à la pression ou aux menaces.

» Elle ne laissera pas porter atteinte à ses droits et à sa dignité nationale, -s'appuyant sur le sentiment unanime du pays. La fermeté devient aussi un élément de la paix générale en décourageant des initiatives téméraires qui peuvent facilement conduire à des situa2ions irrémédiables. » Nous éprouvons une satisfaction particulière en constatant que la politique extérieure du Royaume-Uni s'inspire des mêmes préoccupations, des mêmes pensées directrices. C'est un gage d'espoir et de confiance que de noter l'union toujours plus intime qui s'affirme dans les relations de nos deux grandes démocraties pour la sauvegarde de la paix générale. »̃

A Berlin, M. François-Poncet t dénonce les excès de la presse Berlin, 14 juillet. A l'occasion de la Fête nationale du 14 juillet, M. André François-Poncet, ambassadeur de France, a reçu les membres de la colonie française et les Français de passage à Berlin. L'ambassadeur a prononcé à cette occasion un discours dans lequel il dé- clare entre autres

« Eu ce qui concerne nos relations avec l'Allemagne, nous avons donné des gages nombreux, de bonne volonté. » Nous ne recherchons pas une lutte d'idéologie, nous laissons chacun se gouverner à sa guise, et la différence des régimes des deux pays rie nous empêche pas de souhaiter l'amitié des deux peuples.

». Du coté de l'Allemagne, je me hâte -de le dire, nous rencontrons, assuré-

SUITE DE LA. PREMIÈRE PAGE LE RAID DES AVIATEURS RUSSES

L'aviation russe peut, à plusieurs titres, être. fière de ce raid, venant confirmer celui réalisé il y a un mois par l'équipage Tçkalow-BaïdoulovBcliakov, qui, empruntant la même route, atterrit à Vancouver. Elle peut être fière de ses aviateurs de grands raids, qui ont montre les plus belles qualités physiques; morales et une valeur tachnique indiscutable.l'appareil A. IV." T. 25 qui a prouve sa magnifique tenue en vol, dans les plus dures conditions atmosphériques, et une entière maniabilité. Des dispositifs spéciaux, qui ont mis en échec et ceci dans des régions redoutables le dangereux givrage, cause de tant de catastrophes. Du moteur de 950 CV, qui n'a pas eu la moindre défaillance, et qui'a a 1 permis une régularité vraiment extraordinaire, sur ce parcours où les varia- tions atmosphériques furent nombreuses. Des installations de radio, enfin, qui fonctionnèrent parfaitement et grâce auxquelles les aviateurs purent rester toujours en liaison avec les postes terrestres, demander les contingences météorologiques, et connaître leur position, alors1 qu'ils- passaient

dans la neige ou la brume. É

Un tel, raid, accompli dans de semblables conditions de régularité et de sûreté, affirme tes hautes qualités des hommes et du matériel dont ils disposent. Il sert l'aviation. de .tous les pays, en marquant une étape dans la -voie de ses progrès.

Il est certain, par ailleurs, que les Russes, après ce .triomphe, vont poursuivre avec plus d'acharnement encore, la réalisation de la ligne commerciale Moscou-Etats-Unis, par le Pôle Nord, plus courte de 3.000 kms. que la ligne prévue et dont on sait les essais satisfaisants par les Américains et les Anglais. "̃̃'

Cependant, il 'reste, pour cette nouvelle voie du -Pôle, à savoir si, en une saison moins propice, les difficultés seront aussi sûrement vaincues. C'est, sans aucun doute, ce que les Russes essayeront bientôt de démontrer. i •̃- •̃ '̃̃ ̃̃;• Par intérim Maurice ̃Capelle. Les premières déclarations des aviateurs

SamFfancisco, 14 juillet. En sautant de la -carlingue, les 'aviateurs russes, ont précisé que c'était une légère fuite au réservoir d'essence qui les avait obligés à atterrir à San-Jaçinto.

Nous avons rencontré un brouillard, épais' au-des fus du sud de la Californie et nous allions survoler la chaîne de montagnes, lorsque nous avons découvert une fuite à notre réservoir d'essence. Pour éviter un acci. dent, nous avons décidé d'atterrir immédiatement et nous 1 avons choisi un pré où nous nous sommes posés .assez brutalement. Les mauvaises conditions météorologiques qnl empêché lell communications par T. S. F. pendant un certain, temps. 'Le .major Victor Strahn, attaché à la base militaire de Marchfièld, atterrit peu: après à côté de t'avion russe, souhaita la' bienvenue aux aviateurs et les emmena immédiatement à Marchfièld en automobile. v

̃ Dès leur arrivée, les aviateurs ont déclaré qu'ils avaient^ faim et tombaient de sommeil, mais qu'ils voulaient ayant tout prendre un bain. M. Claude Ryan, représentant de l'Association aéronautique nationale, est parti pour San-Jacinto, afin de mettre les instruments de bord sous scellés et les envoyer à Washington pour vérification. Des mécaniciens vont réparer la fuite et emmèneront l'appareil à Marchfièld»

d'informer les gouvernements et l'opinion de tous les pays qu'il est absolument indispensable pour le Japon «d'assurer la paix en Chine du Nord qui est un point néyralgiquepour les relations entre le Japon et l'Etat mandchou en Chine » et que les mesures que le Japon pourrait être appelé à prendre en vue de la pacification de la Chine du Nord ne comportent pas de desseins agressifs, mais tendront seulement à assurer la paix en Asie orientale, dans l'intérêt de toutes les puissances; enfin que les Chinois seront seuls responsables si le Japon est. amené à recourir aux armes ».

Le Cabinet japonais

délibère

Tokio, 14 juillet. Le cabinet japonais s'est réuni aujourd'hui à Tokio, sous la présidence de M. Hirota, ministre des affaires étrangères, pour examiner de nouveau le conflit sinOTjaponais.

Le premier ministre, le prince Konoyé, souffrant, n'a assister, à ce Conseil.

On s'attend, dans les milieux bien informés japonais, à ce que des décisions importantes soient prises; elles seront communiquées à l'empereur, après consultation avec le Conseil privé. D'une manière générale, on considère que toute proposition de médiation de la part des gouvernements français, britannique et américain, sera repoussée. Mesures financières

Tokio,' 14 juillet. La Banque du Japon a réduit le taux d'intérêt des avances sur titres afin de faciliter l'obtention des crédits nécessaires à l'expansion des industries de guerre et le placement éventuel d'emprunts extraordinaires. ̃••̃̃•

ment, des dispositions qui répondent aux nôtres. ̃

» pourquoi faut-il, dans ces conditions, qu'au moindre incident, et, à plus forte raison, si l'incident est notable, les polémiques de presse revêtent aussitôt un ton si âpre et ressemblent à un tir d'artillerie du plus, gros calibre ? » La violence, l'excès de la passion, l'incapacité de se modérer ne sont pas des signes de force. lls n'intimident pas la partie adverse. ils la durcissent, la raidissent dans sa dignité offensée.. Tout peut se dire sans injures Et c'est en quoi devraient résider tout l'art et tout le point d'honneur des journalistes. »

..̃ ̃ ̃̃ i* "'̃ ̃̃̃ -<

.:̃ ̃ ..• •' -̃•.

Des cérémonies -analogues ont eu lieu, hier, à l'occasion de la fête nationale, dans toutes les ambassades et légations de la France à l'étranger.

̃: V.V

Actualités internationales ALLEMAGNE Le pasteur Niemoeller, arrêté récemment par la Gestapo, comparaîtra dès cette semaine devant un tribunal politique spécial. BOLIVIE. On annonce, à La Paz, la démission du président de la junte de gouvernement, M. Toro Tas, qui a été immédiatement remplacé par le colonel German Busch, chef de Tétat-major général de l'armée. On déclare officiellement que le calme règne dans tout le pays.

ETATS-UNIS. Le sénateur Joseph T. Robinson, chef du parti démocrate au Sénat, est décédé hier matin subitement, à Washington, à l'âge de soixante-quatre ans.

GRANDE-BRETAGNE. La Chambre des communes discutera mercredi prochain le rapport de la commission royale sur la Palestine.

De grandes manœuvres combinées des forces de terre, de mer et de Pair, ont commencé sur la côte sud de l'Angleterre, entre Portsmouth et Plymouth. ITALIE. Avant de quitter Rome Jt. Lansbury a. rendu visite au cardinal tedeschini, ancien nonce 'apostolique à) Madrid.

U. R. S. S. Le journal Pacific Ocean », publié à Khabarovsk, annonce que soixante-quatre contre-révolutionnaires et espions russes ont' été exécutés le 4 Juillet à Svobodny.

LE PROBLEME DU CONTROLE

LES PROPOSITIONS BRITANNIQUES sont accueillies à Berlin et à Rome avec une grande réserve

Berlin, 14 juillet. Les milieux officieux allemands ont eu connaissance, au cours de l'après-midi, du projet britannique pour résoudre les difficultés surgies en matière de non-intervention et de contrôle dans la guerre civile espagnole. Ils font preuve encore d'une grande réserve et déclarent que le projet britannique demande à être étudié soigneusement.

On pourrait cependant résumer comme suit les premières impressions des milieux allemands

1° La suppression du contrôle naval répond aux objections faites par l'Allemagne. Son remplacement par un système d'observation sur les bateaux et dans les ports paraît discutable. Il faut cependant attendre qu'on ait étudié les détails concrets du fonctionnement du nouveau système pour se faire une opinion

L'Allemagne est entièrement d'accord avec le rétablissement du contrôle à la frontière portugaise et française et elle espère que le contrôle à cette dernière frontière sera effectif;

3" reconnaissance du droit de belligérance répond aussi au point de vue allemand. En revanche, on fait toutes réserves sur les conditions dont la ré- serve de ce droit devrait dépendre. Il est facile, dit-on, d'avoir des garanties que les volontaires du côté du général Franco seront retirés. En revanche, il n'en va pas de même pour Valence. Les LE CARDINAL PACELLI EST RENTRE A ROME Rome, 14 juillet. Le cardinal secrétaire d'Etat Eugenio Pacelli, légat aux fêtes de Lisieux, et les membres de la mission pontificale sont arrivés ce soir, à 17 h. 10, venant de Paris. Le cardinal Pacelli sera reçu demain matin par le Pape, à qui il rendra compte de sa mission en France. On sait que Pie XI l'avait chargé de rapporter de Lisieux trois roses, une rouge, une rose et une blanche, la rose rose symbolisant la santé.

Mgr Pizzardo, secrétaire aux affaires ecclésiastiques extraordinaires, a accueilli le cardinal à sa descente du train, en lui disant « La rose rose est arrivée la première », voulant dire que la santé du Pape est, depuis ces derniers jours, particulièrement satisfaisante. Le légat du Pape

adresse des télégrammes au président Lebrun

et à M. Delbos

Les télégrammes suivants ont été adressés hier matin par le cardinal Pacelli à Ji. Albert Lebrun, président de la République, et à M. Yvon Delbos, ministre des affaires étrangères

« A Son Excellence M. Lebrun, président de la République, Paris.

s> Modane, 14 juillet (4 h. 25).

» Profondément touché accueil de la France au légat du Pape à Lisieux, j'exprime à Votre Excellence, au moment de quitter votre cher pays, mes sentiments de reconnaissance et de respectueux dévouément, avec assurance religieux souhaits pour prospérité grande et noble nation française.

» Cardinal PACELLI, légat du Pape. » » A Son Excellence. M. Delbos, ministre des affaires étrangères.

> Modanc, 14 juillet (4 h. 25).

» En quittant le territoire français, je me fais un devoir de remercier Votre Excellence de son accueii si délicat, en l'assurant de mes fervents souhaits de prospérité et de paix.

> Cardinal PACELLI, légat du Pape. » LA MISSION

ECONOMIQUE

DE M. VAN ZEELAND Bruxelles, 1-1 juillet. Interrogé sur sa mission d'investigation économique, M. Van Zeeland a déclaré ce soir aux journalistes qu'il avait travaillé depuis sa rentrée à la poursuite de cette tâche et notamment aujourd'hui avec M. Van Langenhove, secrétaire général du département des affaires étrangères, et M. Maurice Frère, qui l'assiste dans sa mission.

Le premier ministre a ajouté qu'il avait réalisé de grands progrès. v La succession

de M. de Laveleye

Bruxelles, 14 juillet. M. Van Zeeland poursuit activement ses consultations afin de pourvoir au remplacement de M. de Laveleye, ministre de la justice démissionnaire. Le nom du futur ministre sera connu demain soir et sera publié vendredi matin par le « Moniteur ».

r,».' o

M. GEORGES BONNET REÇOIT M. COLIJN M.: Georges Bonnet, ministre des finances, a reçu hier M. Colijn, prési-'dent du Conseil de Hollande.

AU COURS DU DEFILE UN AVION TOMBE DANS LA SEINE

L'avion de chasse du sergent Paulhan ayant eu un accident de moteur en plein vol, alors qu'il défilait au-dessus des Champs-Elysées, le pilote manœuvra pour ne pas tomber dans la foule. On voit ici l'appareil rasant le pont de la Concorde. Quelques secondes plus tard, il se posait sur la Seine. Dans le médaillon, le sergent Paulhan, qui vient ¡ d'être repêché par deux courageux sauveteurs.. (Lire le compte rendu engage A.)

restrictions apportées à t'exercice du droit de belligérance demandent à être soigneusement étudiées, car elles ont pour but d'éviter des incidents navals résultant de l'arraisonnement ou 'de la capture de navires de commerce étrangers.

LA SOLIDARITE

ITALO-ALLEMANDE

(De notre correspondant particulier, par téléphone.)

Rome, 14 juillet. Le projet élaboré par le cabinet britannique en vue d'un compromis international pour le contrôle en Espagne est parvenu ce soir à Rome, par l'entremise de l'ambassade

LES GRANDES LIGNES

des suggestions anglaises

des,s'u-gg:es,~ a 9

(Suite de la première page)

Mesures supplémentaires destinées à faire face à la situa- tion présente et à combler certaines lacunes du système de contrôle

3° En vue, d'une application plus effective de la politiquede non-intervention. tous les gouvernements qui ont adhéré à l'accord de non-intervention reconnaissent aux deux partis, en Espagne, la possession d'un statut qui les autorise à accepter, sur mer, les droits debellfgérants, conformément aux règles qui en régissent l'exercice, mais sous réserve de certaines conditions spéciales (énumérées.dans le texte intégral). 5° Le Comité devra informer,les puissances, non membres de son intention de reconnaître l'état de belligérant des deux parties dans les termes mentionnés plus haut, et leur demander leur coopération en vue de rendre plus effective la politique de non-intervention.. 6° Le Comité devra examiner de plus la question de l'emploi, par les deux parties, d'aviation étrangère qui gagne l'Espagne par ses propres moyens, et, en particulier, la possibilité d'inviter les deux parties à accepter les observateurs étrangers dans Àes aérodromes spécifiés en Espagne.

Retrait des ressortissants

étrangers

7° a) Le Comité devra passer, une résolution unanime en faveur du retrait d'Espagne de toutes les personnes dont l'évacuation est recommandée dans le rapport du sous-comité technique.. b) Une commission devra ètre envoyée auprès de chacune des parties en

SUR LE FRONT DE MADRID o~ « NOS FORCES NE DONNENT AUCUN REPIT AUX NATIONALISTES' v assurent les gouvernementaux

Madrid, 14 juillet. Une grande activité règne sur presque tous les fronts. Les forces gouvernementales ne donnent aucun répit aux 'nationalistes. Dans le secteur de Majadahonda, sur le front ouest de Madrid, les miliciens ont attaqué entre El Plancio et Las Rosas, sur la route de la Corogne, essayant d'étrangler le saillant ennemi enfermé daps ce secteur.

« L'offensive républicaine est un échec complet », aff irment les nationalistes Salamanque, 14 juillet. « RadioNational » confirme que l'offensive des forces gouvernementales sur le front de Madrid est un échec complet.

Sans avoir pu conquérir les objectifs fixés, l'armée rouges a perdu plus de 24,000 hommes, tués, blessés ou prisonniers. Une quarantaine de chars d'assaut ont été pris ou détruits; 57 avions ont été abattus par l'aviation nationa'•stes ou les batteries antiaériennes. Le cercle autour de Madrid se resserre et les attaques des rouges diminuent d'intensité.

Un vapeur britannique

arraisonné par un croiseur

nationaliste '1

Londres, 14 juillet. L'Amirauté annonce qnc le vapeur britannique ,Mp/- ton, jaugeant 3,091 tonnes, a été arrai-

d'Italie en Grande-Bretagne.

Les milieux italiens autorisés déclarent que lés propositions anglaises ont été immédiatement soumises à l'étude des services compétents du palais Chigi. Ils se 'refusent, en attendant le résultat de cet examen, à formuler. une précision quelconque sur l'accueil que réservera le gouvernement fasciste aux suggestions qui lui sont présentées. Une seule appréciation catégorique est donnée dan* les sphères officielles. On annonce qu'étant donnée l'analogie des positions de l'Italie et de l'Allemagne et leur étroite solidarité, les deux gouvernements procéderont entre eux à une consultation approfondie avant de fournir leur réponse, qui 'sera probablement commune ou conçue, en tout cas, sur des bases identiques.

Madeleine-R. Angles.

Espagne, afin d'organiser et de contrôler aussi rapidement que possible -le retrait de toutes les personnes en ques-

tion,

c) Tous les1 gouvernements devront s'engager à collaborer à toutes les mesures pratiques qui pourront apparaître nécessaires pour effectuer ce retrait. Exécution du programme cL-dessus

8" Le gouvernement de .Sa Majesté propose que le programme ci-dessus soit mis à exécution de la manière'suivante 1° Etablissement d'officiers dans- les ports espagnols et retrait des patrouilles navales dès que possible > Etablissement de commissions pour organiser et contrôler le retrait' dés ressortissants étrangers 3° Reconnaissance effective des droits de belligérants lorsque le comité de non.intervention aura exprimé l'opinion que les arrangements prévus pour le retrait des ressortissants étrangers fonctionnent d'une façon satisfaisante et que ce retrait a réalisé matériellement des progrès substantiels.

Action immédiate

du gouvernement de Sa Majesté avec l'autorisation du comité Le gouvernement de Sa Majesté sera autorisé par le comité à entrer immédiatement en négociation avec les deux parties, en. Espagne sur lçs points suivants '• ̃ ̃/ 1) Etablissement d'officiers dans les ports espagnols

2) Retrait des volontaires étrangers; compris rétablissement des commissions en Espagne

3) Conditions auxquelles les droits de belligérants devront être accordées.

sonné aujourd'hui par le. croiseur nationaliste Àlmirante-Cervera, au large de Santander, dans la limite des eaux territoriales.

Le croiseur avait tiré deux coups de canon sur le Molton pour le sommer de s'arrêter.

M. Eden déclare

qu'un emprunt anglais

au général Franco

« n'est pas possible » Londres, 14 juillet. M. Riley, membre du groupe travailliste, a demandé cet après-midi à M. Eden. au cours la séance à la Chambre des Communes, « s'il pouvait communiquer des informations à l'Assemblée sur la visite de financiers britanniques au général Franco, à son quartier général de Burgos, et sur leur intention de négocier un emprunt au généra] Franco, et s'il pouvait donner l'assurance que le gouvernement refuserait d'accorder un tel emprunt qui serait contraire à la poli-1 tique de non-intervention ».

A ma connaissance, a répondu le ministre; aucun financier britannique n'a rendu visite au général Franco à son quartier général de Burgos. > M. Eden, a demandé ensuite M. Noël Baker (travailliste), veut-il répondre à" la détixième partie de la question. '• A ma connaissance, a; répondu M. Eden, un tel emprunt ne .serait: pas possible dans les conditions actuelles.

LA GREVE DE LA BATELLERIE doit être terminée

vendredi matin

Mais les artisans-mariniers veulent déclencher un « mouvement de protestation »

Le conflit' de la batellerie va-t-il renaître, ? On • se souvient des péripéties de la grève de 1933, à Conflans-SainteHonorine, et plus récemment de la grève de 1936, qui opposa les mariniers salariés aux grandes compagnies de navigation fluviale. Depuis deux jours. certains canaux sont de nouveau obstrués par dés barrages le canal SaintMartin, à la hauteur de la première écliise à Saint-Ouen, à Saint-Denis. Conflans-Saiiilc-Honorinc, Rouen. Cambrai, Saint-Dizier d'autres bases sont également prises dans le mouvement. Les mariniers attendent paisiblement, sur leurs péniches, le moment de reprendre le travail. Je leur ai rendu visite et je les ai trouvés, à l'heure du diner, installés pour la plupart à l'avant de leurs bateaux, la table plus chargée que de coutume et reluisante d'une nappe blanche. Les « canaux » ont célébré le 14 juillet à leur manière. Un délégué nous déclare. Nos revendications ? Toujours les mêmes depuis l'an passé, m'ont-ils dit. Un délégué à qui l'on m'adresse me donne quelques précisions des journées trop longues. 11 heures de travail et le reste de présence sur la péniche des salaires trop bas des péniches mal aménagées, pas d'h}'giène, une promiscuité trop grande. Voilà ce contre quoi nous nous élevons.

Les mariniers ne rendent pas seulement les grandes compagnies responsables de leurs mauvaises conditions d'existence. mais aussi le gouvernement. Les patrons se plaignent, en effet, d'une concurrence dangereuse des transports par voie ferrée. Ces derniers bénéficient de tarifs plus avantageux, que la tutelle de l'Etat leur permet d'obtenir; Ces avantages, appelés « prix fermes », les patrons sont obligés de Jes compense par des économies dans leur exploitation. C'est donc, en définitive, au gouvernement qu'il appartient de régler définitivement la question.

Les,mariniers salariés veulent donc attirer l'attention des pouvoirs publics sur leur cas, et sur le. canal Saint-Martin, ils ont établi leurs barrages à la hauteur de l'immeuble de l'administration des Douanes, afin de bien prouver leur « volonté d'en .finir ».

Cette grève peut-elle s'étendre ? Sera-t-elle longue ?

Nous avons évité, me répond le

JOURNEE DRAMATIQUE A MARSEILLE

Des coups de revolver sont échangés au cours de la manifestation du Front populaire.

Huit blessés. Huit arrestations (Téléphone « Figaro »)

Marseille, 14 juillet. De graves incidents se sont produits ce matin au cours du défilé. du Rassemblement po>ulaire. Une première bagarre éclata devant un bar où se tenait un groupe de nationaux.

Puis, comme le cortège, à la hauteur de la rue Pavillon, passait devant le local d'un parti de formation récente, dés coups de revolver éclatèrent. Les uns avaient été tirés de la rue, les autres d'une fenêtre et d'un baléon. Une panique .s'ensuivit/

Tandis qu'on relevait des' blessés, la police effectua des investigations immédiates qui entraînèrent :plusieurs arrestations.

Le nombre des personnes blessées dans la foule est de huit, dont cinq ont été hospitalisées. Dix agents ont été contusionnés. ̃

Huit arrestations" ont été maintenues. Un incident .dramatique d'une autre nature' s'est produit à l'hippodrome de Porit-de-Vivaux où' la. foule a mis le feu aux baraques du pari mutuel et tenté d'incendier les tribunes à la suite d'un départ contesté.

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délégué, d'établir des barrages qui puisr sent gêner le trafic provoqué par l'Exposition. Notre mouvement se terminera vendredi matin. Il n'est done pas question de l'étendre. C'est uniquement un mouvement de protestation, une mise en garde.

Mais les mariniers salariés ne sont pas seuls. Il existe aussi une catégorie importante de mariniers artisans. Ceuxci ne goûtent guère la grève ouvrière qui, expliquent-ils, tout en étant dirigée contre les grandes compagnies se tourne finalement contre eux qui n'ont pas les moyens suffisants pour arrêter longtemps le trafic. Devant une telle situation ils se sont réunis hier au Palais de la Mutualité et ont voté à l'unanimité la motion suivante

Les mariniers artisans décident une grève de protestation d'une durée égale à la durée des barrages établis par la marine cégétiste le 13 juillet, en la limitant toutefois à la Seine 2° Après avoir constaté l'échec du bureau de tour de rôle expérimenté depuis un an, les mariniers s'étonnent que le gouvernement ait l'intention de généraliser un système à ruiner l'artisan et où la preuve de sa malfaisance est donnée chaque jour.

Ils s'opposeront par un refus général et concerté du travail avec établissement de barrages dans toute la France, à tout bureau de tour de rôle qui viendrait à être installé dans un nouveau centre sans être intégral par catégorie de bateau, c'est-à-dire sans être appliqué aux compagnies de navigation comme à eux-mêmes. Ils se déclarent décidés à lutter sans défaillance contre toute loi d'exception

H" Les mariniers artisans des syndicats non cégétistes jusqu'ici indépendants décident de soutenir leur effort et de prendre désormais des décisions unanimes sur toutes les questions dont dépend l'avenir de la profession. Si la grève des artisans doit éclater avec constitution de barrages, celle-ci arrêtera à nouveau tout trafic des grandes compagnies. Les salariés à leur tour seront donc immobilisés aux écluses. Quelle sera leur réaction '? Et celle des grandes compagnies ? C'est pourquoi on ne peut affirmer que ce mouvement cessera effectivement vendredi; ce mouvement peut se transformer en conflit sérieux.

11,~

Un secret des blanchisseuses Mesdames, lorsque vous repassez à l'amidon des lingeries délicates, des dentelles notamment, vous n'êtes que très rarement satisfaites de votre travail, si vous le comparez à celui que vous aurait livré la blanchisseuse. Vous avez certainement pris beaucoup de précautions, oui, mais vous n'avez pas ajouté, dans votre amidon ou votre empois, une bonne pincée de sucre en poudre, comme font de nombreuses blanchisseuses, qui, bien entendu, gardent jalousement ce « secret professionnel ». ~#####,#,########## JNDE^

MAGIE <2>» TIGRES, FORÊTS VIERGES par

MAURICE MAGRE GRAND PRIX DE LITTÉRATURE DE L'ACADÉMIE FRANÇAISE


LA CONCLUSION DU CONGRES

SOCIAUSTE

DE MARSEILLE La minorité est irréductible (De notre envoyé spécial)'

Marseille, 14 juillet. Le Congrès soclaltste s'est achevé, comme on l'avait prévu, par la victoire de la tendance Paul Faure-Blum.

Mais on ne peut pas dire que l'imité du parti sorte fortifiée de ce congres. N'insistons pas même sur la scène de désordre qui a été l'épisode dramatique de la dernière séance, et qui fut d'une violence rarement vue en réunion publique. Ne soulignons même pas les propos où sous le vocabulaire amical qui est de règle, percent des haines personnelles aiguës. Mais il faut bien constater que la majorité recueillie par la motion Blum-Paul Faure n'est pas considérable. Encore, de l'avis unanime, eût-elle été sensiblement moindre sans le très gros effort personnel de M. Léon Blum qui n'a pas permis qu'on pût biaiser et qui a, catégoriquement, obligé ses adversaires à se prononcer. Il lui a fallu jeter dans la bataille le poids de toute son autorité. Encore sentaiton bien que cette autorité n'est plus tout à fait ce qu'elle fut.

L'unanimité n'a pu être faite. Les délibérations si longues, et dit-on si orageuses, de la commission, sont pratiquement demeurées sans résultat. La minprité est restée irréductible. Et ce que l'on pouvait nommer le centre groupé sur la motion Bracke-Zyromski n'est, en fait, pas bien éloigné des minoritaires. Si l'on additionne leurs voix, le résultat obtenu par les partisans de M. Blum n'est pas très brillant.

Cependant, les ministres socialistes sont autorisés à rester au gouvernement. Ils reçoivent mandat d'y faire aboutir un programme, qui exigerait nécessairement l'approbation de tout le Rassemblement populaire. Sans mettre en doute leur loyauté parfaite envers le chef du gouvernement, on peut bien penser que ces injonctions des.militants fort peu soucieux de la pause ne sont pas pour faciliter la tâche de M. Chautemps. Quant au parti lui-même, l'épreuve du pouvoir semble bien avoir inspire a ceux qui l'ont pratiqué et en dépit des négations intéressées de tout échec de salutaires réflexions sur les difficultés mêmes du pouvoir et sur les possibilités de l'exercer. Assurément, c'est au détriment de la doctrine révolutionnaire. C'est ce qui fait la logique de la position doctrinaire de la mino-

rité.

rité. Roger Dardenne.

Les félicitations aux troupes M. Albert Lebrun a adressé ses plus vives félicitations à M. Daladier, ministre de la Guerre, sur la belle tenue des troupes ayant participé à la revue. « La correction sous les armes, a-t-il écrit, la fière allure des unités à pied et à cheval et l'ordre magnifique des éléments motorisés ne manqueront pas de donner à nos hôtes étrangers et au peuple de Paris l'impression d'une armée instruite, disciplinée, pénétrée de la grandeur de ses devoirs envers la Patrie dont elle mérite toute la confiance. »

Le chef de l'Etat a, d'autre part, exprimé à M. Campinchi, ministre de la Marine, sa satisfaction du beau défilé des marins.

< La France est fière d'eux, diMl no* t junment. Elle, a confiance en. leur .valeur et en leur dévouement. »

Petit guide du public

pour l'Exposition

uimilitiniliiiiiilltiiiiiiiiiiifiiiiiiitiiiiiiiiiiiiiiiiiiMliiimuiiiiiliiiilfiililliiitiiuitiiiiiiMiii

Aujourd'hui, cinquante-deuxième jour 'd'ouverture i

6 francs, de 9 fc.' 30 à 24 heures.

AUJOVRD'HUi » '"̃̃ ̃'̃ ,.V. ̃̃'̃ ̃̃̃̃̃̃

11 heures Inauguration de la Section roumaine de l'Habitation rurale.

14 h. 30 A la France d'outre-nier (Ile aux Cygnes)

Conférence de M. Louis Roubaud « Les élites indigènes ». 15 h. et 21 h. Centre rural (Porte Maillot) Fête folklo.rique avec « Graichous et Diechottes ».

15 h. à 17 h. Centre « Femme, Enfant, Famille » (ChampsElysées) Au Théâtre « Une Aventure de Babar ». 21 h. Démons- tration sur la musique, par P. Loyonnet.

17 h. Pavillon du Maroc (Ile aux Cygnes) Réception en

t'honneur du Sultan.

21 h. 30 à 23 h. 30 Sur la Seine (Pont d'Iéna) Fontainea

lumineuses.

DEMAIN ̃ ̃" .'•

10 h. 30 Inauguration du Pavillon de la Marine marchande. 14 h. 30 A la France d'outre-mer (He aux Cygnes) Confé-

rence de Mme Mad. Prevaudeau « Au pays et au temps det Amazones » (Dahomey).

18 heures Inauguration du Pavillon de l'Architecture privée.

22 heures Sur la Seine (Pont d'Iéna) Fête de l'Eau et de -la

Lumière. « Musique de Darius Milhaud.

22 heures Parc d'Attractions (Cours Âlbért-I"), grand feu d'artifice.

GUICHETS DE CHANGE DE LA BANQUE TRANSATLANTIQUE Entrée Concorde, Aima, Trocadéro.

Pavillon de la Banque Transatlantique.

Teaffleton du «Figaro- du 15 JnlHet 1937 (38)

la double énigme VIII

(.Suite)

Franchement, dit Peter, j'aimerâls mieux pas. Je me trompe peutêtre, je vous le répète, et si cela était, j'aurais la même impression que si je diffamais l'archevêque de Canterbury.

Apprenez-moi seulement s'il y a un seul mystère, ou deux ?

Un seul.

Vous parliez du meurtre de Jaçobs ? 11 serait donc mort ?

--Mou Dieu. oui. dit Peter avec geand -frisson.

LA REVUE DU 14 JV1UE1 i UN SPECTACLE MILITAIRE 1 SANS PRECEDENT

(Suite de la première page.)

Les formations sont si nombreuses qu'il faut renoncer à les dépeindre dans le détail. Unissons donc dans un même hommage les petits chasseurs, qui çon- servent leur gracieux uniforme bleu au sein de l'armée en kaki et qu'accompa- gnent les skieurs grimpeurs, trapus, alertes les bataillons de forteresse, suivis de leurs chenillettes et de leurs éléments antichars lés tirailleurs algé- j riens, dont la nouba fait merveille les zouaves, dont le drapeau est escorté par une garde en uniforme d'avant-guerre j culotte bouffante, boléro et chéchia à pompon.

Donnons la vedette à la garde chérifienne. Ces soldats noirs, vêtus d'écar- late, coiffés du turban plat bordé d'une torsade, passèrent devant leur sultan avec une majesté inégalable. On leur fit un succès mérité. Mais on fit un triom- phe à leur tambour-major, qui ràttrapait sa canne au ras du sol avec une admi- rable nonchalance, comme on cueille une fleur.

Et comment oublier la somptueuse chevauchée des spahis, dont les officiers indigènes étalaient des tapis de selle brodés d'argent et d'or ?

La parade aérienne

Le temps bouché, le plafond très bas ont rendu difficile la tâche des pilotes qui devaient présenter, en vol, cinq cents avions choisis parmi les plus modernes de notre arme aérienne.

C'est donc avec un peu d'appréhension que l'on voit tout à coup se faufiler entre deux nuages, au-dessus de l'Arc de Triomphe, quatre gros biplans de bomhardement, qui. passent;- dans le tonnerre des moteurs, au-dessus des tribunes et sont bientôt effacés par la brume. A leur suite, des dizaines d'appareils se précipitent bientôt dans la trouée. Les monoplans de la chasse sont secoués, malmenés et, sans doute, à demi-aveu.glés. Ils n'en défilent pas moins dans un ordre parfait, obéissant aux battements d'ailes des avions de commandement.

En arrivant à la hauteur du Grand Palais, un appareil se détache, titube, disparaît derrière les arbres. Un brusque silence tombe sur la foule. Quelques secondes suffisent aux spectateurs pour apprendre, mystérieusement, que l'accident est sans gravité et .le défilé des formations motorisées est accueilli d'un coeur plus léger.

Dragons, sapeurs du génie, fantassins, cuirassiers, toutes les armes sont à pré-

La manifestation du Rassemblement v Populaire s'est déroulée dans le calme

Le Comité du Rassemblement populaire avait organisé hier, place de la Nation, sa manifestation devenue habituelle. ̃̃̃̃ ̃̃̃̃ Quatre cortèges partis de différents points de la capitale convergeaient sur

La duchesse qui lisait le Tatler releva la tête.

Peter, est-ce votre crise de pa- ludisme qui vous reprend ? Quel que soit le sujet dont vous vous entretenez, tous les deux, vous feriez mieux de vous interrompre, si cela vous excite. D'ailleurs, il est temps de partir.

Bien, ma mère.

Lord Peter se tourna vers Bunter qui, respectueusement debout sur le seuil, tenait un paletot et une valise. Vous avez compris vos instructions ? demanda-t-il.

Parfaitement, merci, milord. La voiture, de Sa Grâce arrive. Avec Mme Tbipps à l'intérieur, ajouta la duchesse. Elle sera charmée de vous revoir, Peter, vous lui rappelez étonnamment M. Thipps. Bonjour, Bunter.

Au revoir, Votre Grâce.

Parker lés accompagna jusqu'en bas. Après leur départ, il regarda d'un œil vague le papier qu'il tenait à la main, puis, se rappelant que c'était samedi et qu'il fallait se presser, il heja un taxi.

Le mardi matin vit lord Peter et un homme en jaquette de velours, qui parcouraient gaiement sept arpents- de- navets que les gelées pré-

sent tributaires de la chenille, qui glisse en ronronnant sous les 'bataillons et les escadrons. Les ponts de bateaux eux- j mêmes, s'ils n'ont pas encore des jam. bes, ont déjà des rubans dentelés qui leur donnent une apparence de millepattes.

On,applaudit les marins « motorisés » de la défense côtière, les artilleurs c motorisés » de la D. C. A., et même les zouaves « motorisés s>. de la compagnie divisionnaire antichars. Deux projecteurs géants suivent, selon la nouvelle mode, i leurs plates-formes et leurs servants éga. lement motorisés. Un temps de repos. Les tracteurs, les camions et les chenillettes prennent du champ. Et c'est la charge des tanks. On nous avait montré jusqu'ici quel- ques échantillons de ces forteresses ter- restres, se dandinant, au ralenti, devant nos regards curieux.

-Cette fois, ce sont des unités entières qui se succèdent dans le fracas des ton- nerres lancés à plein gaz..

Chars légers, qui précèdent la meute, rapides, maniables, évoluant avec des grâces balourdes, mais savantes. Lancés sur leurs traces, les 98 chars Hotchkiss, matériel nouveau et dont la puissance semble irrésistible, dévalent à leur tour vers la Concorde. Ils. portent sur leurs coupoles maquillées des noms d'étoiles. Saturne, Mars, Neptune sont ainsi em.portés dans une course folle, tandis que les pots d'échappement jettent de brefs éclairs et que les chefs d'équipages, ins.tallés sûr une -étroite sellette, hors de la tourelle, saluent de leur main gantée de blanc.:

Les chars lourds ferment le défilé. La terre tremble, les copeaux J'asphalte volent de la chaussée, comme sous l'assaut de mille rabots. L.es vapeurs d'essence font vibrer l'air et les yeux distinguent mal les lettres dansantes peintes sur le flanc des monstres. On déchiffre Alsace, Metz, Reims, les noms dés plus nobles provinces, des plus glorieuses cités.

Lorsque les chars ont disparu dans un nuage dé poussière, la foule demeure une minute sans voix. L'image fantastique est lente à quitter ses prunelles. Et c'est avec un sursaut d'étonnement qu'elle accueille l'escadron piaffant des derniers soldats de parade qui escorte les voitures officielles et lui signifie que, commencée à neuf heures, la plus importante revue militaire d'après-guerre ne s'achève qu'un quart d'heure avant midi. Georges Ravoii.

,<

la place où les discours devaient être prononcés.

A 15 heures, le premier cortège, pré- cédé des slogans « .Application du programme du Rassemblement populaire », « Pour la paix; pour la liberté, le Pacte de la S. D. N. », « Fidélité au serment du 14 juillet 1935 », débouchait, suivi bientôt des trois autres. Massée sur la place, la foule, que l'on pouvait évaluer à 200.000 personnes, semblait avoir perdu le dynamisme qui l'animait aux manifestations précédentes.

Elle écoutait dans l'indifférence le message de fraternité du président du Conseil, ainsi que la Marseillaise qui lui succédait.

M. Léon Jouhnax prenait la parole pour affirmer que les résultats obtenus' ne limitaient en rien ses espoirs. Après lui, M. Jacques Duclos déclarait que « le 14 juillet était désormais indissolublement lie a l'histoire du Front populaire ». Puis il s'éleva contre les récentes mesures financières du gouvernement de M. Chautemps, et no- jtamment contre l'augmentation des charges.

Le message de M. Chautemps à la manifestation de la Nation

Dans le message qu'il a fait lire à la ·'

manifestation de la place de la Nation, M. Chautemps a dit notamment « Après deux années écoulées, depuis le serinent émouvant du 14 juillet 1935, la démocratie française se retrouve, en dépit de tous les obstacles, plus unie et plus fervente que jamais, au service de son idéal. »

Après avoir rendu hommage à « l'oeuvre immense et généreuse du gouvernement Blum », le président du Conseil a déclaré

« Le peuple de Paris, acclamant ce matin l'aimée nationale, gage précieux de la sécurité française, apporte au monde la preuve que la démocratie, loin d'affaiblir la nation, a su porter sa puissance au service de la paix à un degré jamais atteint.

» Le gouvernement actuel, fidèle aux volontés souveraines du Suffrage universel, est résolu à continuer sa tâche d'un même cœur. Il saura maintenir et étendre les justes conquêtes ^sociales de la démocratie, il défendra sans faiblesse les libertés publiques il apportera à la consolidation de la paix le double appui de la force française et de la foi démocratique. »

edees avaient striés de jaune. Un peu plus loin, un mouvement sinueux sous les feuilles attestait la présence, invisible mais toujours proche, d'un des jeunes chiens setter du duc de Denver. Une perdrix s'èn- vola avec un bruit de crécelle de po<lice, et lord Peter s'en rendit compte avec une perspicacité très méritoire chez un homme qui, quelques nuits auparavant, entendait des sapeurs imaginaires. Comme un fou, le setter bondit entre les navets et rapporta l'oiseau mort.

Brave chien, dit lord Peter. Encouragé, l'animal fit une gamMde brusque et risible et aboya, son oreille retournée pendante sur sa tête.

Arrière, dit avec violence l'homme en velours.,

Le setter s'écarta, confus.

Un peu toqué, ce chien, dit l'homme en velours, il ne tient pas en place. Trop nerveux, milord. Un des chiots de la Fille Noire.

Comment, demanda lord Peter, la vieille chienne est toujours ? 2 Non, milord, il nous a fallu l'expédier au printemps.

Péter approuva de la tête il proclamait volontiers qu'il détestait la campagne et se félicitait de n'avoir pas à s'occuper des- domaines de la

Ui1 S~E'.rg~'1'1~ ~1~0'~e évite une ca±a<stroph e « assoit » son avion, en panne de moteur, sur la Seine, pendant la revue,

Le Chef d'état-major général de l'armée de l'air l'a décoré de la Médaille militaire

Un accident d'aviation, qui aurait pu avoir les plus tragiques conséquences si le. pilote de l'appareil n'avait pas gardé son sang-froid, s'est produit hier matin près de la foule amassée place de la Concorde, pendant que se déroulait la Revue.

Un moteur qui lâche

II était environ dix heures et demie. Déjà, plusieurs avions militaires de bombardement qui participaient au défilé avaient survolé les Champs-Elysées, quand apparurent au dessus de l'Arc de Triomphe plusieurs escadrilles d'appareils monoplaces de chasse Dewoitinc D-500. Soudain, les spectateurs de la revue qui se trouvaient aux étages supérieurs des maisons de l'avenue virent, avec effroi, l'un des appareils se détacher de son groupe, perdre rapidement son altitude, tandis que Phelice tournant au ralenti témoignait que le moteur de cet avion était tombé en panne. L'appareil passa ainsi à très faible hauteur au-dessus du Grand-Palais, puis du Petit-Palais et des arbres du Cours-la-Reine. Avec ce sang-froid et ce courage extraordinaire dont on fait preuve dans l'armée de l'air, le pilote, comprenant qu'il était perdu, n abandonna pas son avion, alors qu'il aurait pu tenter un saut en parachute. Il n eut qu'une pensée ne pas aller s'écraser dans la foule et, dans une ultime manœuvre, dirigea son avion vers la Seine. La chute

Le fuselage de l'avion" rasa les parapets du .pont de la Concordé tes. ailes frôlèrent deux candélabres et devant le bain Deligny, entre le pont de la Concordé et le pont-de Solférino, le pilote mit son avion en perte de vitesse et 1' « assit » sur le fleuve, libre à cet insrtant de toute navigation. Une gerbe d'écume, mais l'avion freiné ne se retourna, heureusement pas. Il flotta même quelques secondes avant de commencer à s'enfoncer, ce qui permit au pilote de sauter de la carlingue. et de se jeter à l'eau.

Sur la berge, se trouvait M. Charles Jean, âgé de 29 ans, malletier chômeur, demeurant 2, rue du Cardinal-Mercier, qui pêchait à la ligne. Se débarrassant prestement de ses vêtements, M. Charles Jean n'hésita pas à plonger pour se porter au secours du pilote qui, alourdi par sa combinaison, s'enfonçait et allait couler à pic. En quelques battements do crawl, M. Charles Jean arriva ju&qu a l'aviateur et put lui maintenir la tête hors de l'eau. Pendant ce temps, la vedette de l'Exposition n° 29, conduits par M. Boger Monty, et qui arrivait au pont la Concorde, força sa vitesse. Elle fut bientôt sur les lieux de l'accident et quelques instants plus tard, M. Morily et son marinier, M. Gilloux, hissaient à leur bord le pilote et son sauveteur.

Au poste de secours

C'est au poste de secours B, situé quai d'Orsay, que fut transporté l'aviateur, qui n'avait pas perdu connaissance et ce semblait pas blessé grièvement. Une simple éraflure sanglante barrait sa LA LOTERIE NATIONALE

fl

Tirage de la T tranche Royan, 14 Juillet. Voici la liste des numéros gagnants de y la septième tranche de la Loterie Nationale

Les numéros finissant par

1 gagnent 120 francs

79 gagnent 500 francs

03 gagnent 1.000 francs

123 gagnent 5.000 francs

290 gagnent 10.000 francs

5.843 gagnent 50.000 francs 80.709 gagnent 120.000 francs 60.090 gagnent 120.000 francs Gagnent 500.000 /> les numéros 042.071 599..299 1.242.948 1.443.118 1.480.414 209.451 Il sera attribué un lot de consolation de 5.000 francs à tout billet, et dont le numéro reproduit, à un chiffre près quel que soit ce chiffre le numéro de l'un des billets ayant gagné 500.000 francs.

Gagnent un million, les numéros: 278.050 527.067 1.081.394 1.275.548 Il sera attribué un lot de consolation de 10.000 francs à tout billet dont le numéro reproduit, à un chiffre près quel que soit ce chiffre le numéro de l'un des billets ayant gagné un million.

Le 257.903 gagne 3 millions II sera attribué un lot de consolation de 30.000 francs à tout billet,, dont le numéro reproduit, à un chiffre près quel que soit ce chiffré le numéro du billet ayant jjagné trois millions.

famille, mais, ce matin, il jouissait de l'air vif et des feuilles séches qui balayaient, dans un tourbillon soinbre, ses'bottes luisantes. A Denver, les choses suivaient un cours ordonné. Personne n'y mourait de mort violente sauf les vieux setters et, naturellement, les perdrix, II reniflait avec satisfaction les senteurs automnales. Dans sa poche, il avait une lettre arrivée par le courrier du matin, mais il n'éprouvait aucune curiosité de la lire. De Parker, toujours aucun télégramme. Inutile de se presser.

Il la lut au fumoir, après déjeuner. Son frère était là, assoupi sur le Times, un brave Anglais net, vigoureux et conformiste, qui ressemblait un peu à Henri VIII dans sa jeunesse Geraid, seizième duc de Denver. Le duc estimait que son cadet était un dégénéré, d'un genre assez douteux. Il n'aimait pas son goût des affaires policières.

La lettre était de M. Bunter.

« 110 a, Ficcadilly.

» Milord,

Je vous écris (M. Bunter ayant reçu une éducation soignée, savait qu'il,n'y a rien de vulgaire comme de s'abstenir rigoureusement de commencer ii ne, lettre .par la première

joue gauche. On sut bientôt qu'il s'agissait du sergent pilote Jean Pauhlan, de la 4" escadrille de Reims. Quelques minutes plus tard, une ambulance militaire emmenait sur une civière, an Valde-Grâce, Jean Paulhau, sous les applaudissements de la foule qui avait envahi les alentours du poste. Le médecin capitaine qui accompagnait l'ambulance et qui examina Jean Paulhan confinnnit que le sergent aviateur n'était pas blessé et seulement'sous le coup de la com-

motion.

Le sergent Paulhan est décoré de la Médaille militaire Le général Féquant, chef d'état-major général de l'armée de l'air, s'est rendu dans l'après-midi au Val-de-Grâce. Il l'a chaleureusement félicité de sa belle c M.duite, du sang-froid et de la maîtrise de pilote dont il a fait preuve.

Au nom du ministre de l'air, le général Féquant a remis la médaille militaire au sergent Paulhan

Le sauvetage de l'appareil Tout l'après-midi, et sous les yeux d'une foule compacte qui se trouvait sur les quais et sur le pont de la Concorde, la brigade fluviale et les pompiers se sont efforcés d'amener vers la berge l'épave de l'avion qui entravait la circulation des bateaux. Cette opération a été terminée en fin d'après-midi. DEUX AUTRES AVIONS du même modèle

st de la même escadrille, sont également tombés. L'un des appareils tombe à Vigneux en regagnant Orly Hier, vers 11 heures 15, revenant de la revue, un avion militaire de la première escadrille de la 4" escadre de la base de Reims, piloté par le sergent André Vallatore, eut une panne d'essence et se vit contraint d'atterrir dans un champ de blé en bordure de la rue de Paris. L'appareil capota et se retourna. Le pilote put heureusement se dégager; ie en fut quitte pour quelques contusions.

L'autre avion

tombe dans la Seine à Ablon Un accident semblable est survenu à un pilote de la même escadre sur le territoire d'Ablon. L'appareil tomba, comme celui du sergent Paulhan, dans la Seine, mais le pilote put être repêché sain et sauf.

En g ne tiques lignes»,*

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D'ORLEANS, deux jeunes gens voulutent arracher un drapeau rouge qui venait d'être arboré à l'arrière de la voi. ture. Quatre conseillers municipaux de Fresnes voulurent intervenir et une violente altercation se produisit. Tout le monde a été emmené au commissariat de la Santé.

UN CANDELABRE A GAZ est tombé, rue du Croissant, vers 16 h. 30, quatre personnes ont été blessées.

♦ LE CADAVRE DECHIQUETE d'un inconnu a été trouvé sur la voie ferrée, entre Nice et Biot. On ne sait s'il s'agit d'un suicide ou d'un accident.

DE NOUVELLES BAGARRES A BOULOGNE-SUR-SEINE De nouveaux incidents se sont produits, hier matin, à Boulogne-sur-Seinc. Alors que le service d'ordre des gardes mobiles avait été relevé, les bagarres ont subitement recommencé 400 individus, la plupart en état d'ébriété ont envahi un café, place Marcel-Sembat, et ont lancé des chaises, des verres et d'autres. projectiles sur les quelque: gardes restés sur place. Des reporters nhotographiques ont été également pris dans la bousculade et l'ordre n'a pu être rétabli qu'une heure plus tard.

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» Il m'a été facile. de faire la connaissance du domestique de sir Julien Freke. Il est du même club que le valet de chambre de l'Honorable Frédéric Arbuthnot, qui est de mes amis, et s'est montré tout disposé à me présenter. Il m'a donc mené au club hier dimanche soir, et nous avons dîné avec cet homme qui se nomme John Cummings. J'ai invité ensuite Cummings à prendre des liqueurs et à fumer un cigare à l'appartement. Votre Seigneurie m'excusera, sachant que ce n'est pas dans mes habitudes, mais je sais par expérience que le meilleur moyen de gagner la confiance d'un valet est de lui faire croire que nous tirons de notre patron des profits illicites. (J'ai toujours soupçonné Bunter de se livrer à des études sur la nature humaine, commenta lord Péter.) » Je lui ai donné du meilleur et plus vieux porto (Diantre, se dit lord Peter), vous en ayant entendu parler

avec M. Arbuthnot. (Hum, fit lord

Peter.)

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en ce qui concerne la principale affaire, celle dont nous nous occu-

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Pksieurs incitais encore prouvé Mer pi y avait te grévistes de rhotePere

Qui aurait pu prétendre hier tout au moins avant la soirée, moins calme que la grève générale de l'hôtellerie n'était pas un vain mot ? Les terrasses des cafés ont* en effet, regorgé de clients, en cette journée de fête nationale, ensoleillée. Les cafetiers avaient obéi aux consignes de la Confédération de l'Hôtellerie française. Dans un communiqué, ce groupement avait engagé ses adhérents « à conserver la ligne de conduite qui leur avait été indiquée. Tout en se refusant à tout accord particulier, ils devront, disait le communiqué, s'efforcer de permettre à leur personnel de continuer le travail. Il faut que le 14 juillet 1937, année de l'Exposition, soit une journée de bon accueil pour la population et pour nos visiteurs étrangers. »

Malheureusement, ces bonnes intentions n'ont été qu'unilatérales car des grévistes ont provoqué divers incidents dont les plus vifs éclatèrent, au cours de la soirée, en plein Café de la Paix, comme on l'a vu en première page.

Des incidents

place de la République

Une assez vive effervescence s'est manifestée au début de l'après-midi place de la République. Des grévistes ont brisé plusieurs vitres de l'Hôtel Moderne. Les services d'ordre, rapidement intervenus, ont dispersé les manifestants. D'autre part, rue La Boétie, les grévistes ont tenté de débaucher du personnel huit arrestations ont été opérées. Des vitres ont été brisées également dans les cafés du boulevard Voltaire, à la hauteur des numéros 50, 60, 76, 83, 100, ainsi qu'au numéro 78 de la place Voltaire. Au café Oriental, rue DenfertRochereau, une personne d'origine étrangère, qui se trouvait à la terrasse, a été blessée par des éclats de vitres. Aucune arrestation n'a été opérée.

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pons mais je regrette d'avoir à ajouter que cet individu est si peu connaisseur que tout en dégustant son porto, il fumait un cigare un Villary Villar de Votre Seigneurie. ] Je me suis naturellement abstenu de toute remarque, mais Votre Seigneurie comprendra ce que j'ai pu res- sentir. Puis-je saisir cette occasion d'exprimer combien j'apprécie le goût parfait, de Votre Seigneurie 1 pour tout ce qui touche à la nourri- ture, aux vins et à l'élégance vesti- mentaire ? Servir de valet de cham- i bre et de maître d'hôtel à Votre Sei- 1 gneurie, c'est j'ose le dire plus qu'un plaisir, c'est toute une éduca- tion. » Lord Peter hocha gravement la tête en signe d'approbation.

̃ Que diable faites-vous là, Peter, à dodeliner du chef en ricanant, comme un. je ne sais trop comment cela s'appelle, demanda le duc, ré- veillé en sursaut. Quelqu'un vous écrit probablement de jolies choses? 2 Des choses charmantes, dit lord ] Peter. ] Le duc le considéra d'un oeil de doute.

Plaise au ciel que vous ne vous uvi ].-as d'épouser une beauîé de café-concert. nuira ura-t-il à part soi, et il retournt à son TimeSt

Perriew

Nouveaux incidents

de la soirée dans Paris

Outre les envahisseurs du Café de la Paix, un certain nombre de grévis»tes de l'alimentation se sont livrés hier soir à des manifestations en différents points de Paris, notamment sur les grands boulevards et place Clichy. Au coin de la rue Drouot et du boulevard Montmartre, des glaces du Café d'Angleterre ont été brisées une arrestation a été opérée. Au Café Wepler, place Clichy, une grande glace a été détruite. Au Café de la Tour d'Argent, place de la Bastille, plusieurs glaces ont été fendues à. coups de pierres; à l'arrivée des agents, les manifestants avaient pris la fuite.

A Lille, où trois établissements ont été fermés,

des incidents se sent également produits

Lille, 14 juillet. Sur un ordre venu de la Fédération de Paris, les garçons d'hôtels, cafés et restaurants de Lille, qui avaient, cependant, signé un accord ces jours-ci avec leurs patrons, sont revenus hier soir sur leur décision. La grève a été effective dès ce matin dans trois établissements du centre de la ville le Carlton, le Bellevueetle restaurant Elie.

Vers 11 heures, les garçons de café en grève ont provoqué quelques incidents. Ils ont d'abord tenté de débaucher, sans succès, leurs camarades qui travaillaient à l'hôtel de Strasbourg. Puis au café de rEntr'acte, ils ont renversé deux tables autour desquelles se trouvaient assis quelques consommateurs. La garde mobile a vigoureusement réagi et. a arrêté deux des perturbateurs qui ont été conduits au poste de police.

La foule, très nombreuse, a, de son côté, pris parti contre les grévistes.

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« Au cours du diner, je m'étais appliqué à découvrir les goûts de Cummings et je m'aperçus qu'il avait un penchant marqué pour le musichall. Pendant qu'il vidait son premier verre, je le mis sur ce chapitre, Votre Seigneurie ayant bien voulu me donner l'occasion de voir tous les spectacles de Londres, et je m'exprimai avec plus de liberté que je ne l'eusse jugé convenable en temps ordinaire, afin de me faire bien venir. Je constatai que ses opinions sur les femmes et sur le théâtre étaient bien telles qu'on pouvait s'y attendre de la part d'un homme assez épais pour fumer en dégustant le porto de Votre Seigneurie •.

» Au second verre, j'abordai le sujet des recherches de Votre Seigneurie. Pour la brièveté du récit, j;: retracerai notre conversation sous forme de dialogue, en m'appliquant à serrer la vérité d'aussi près que possible. «

» Cummings. Vous avez souvent l'occasion de vous amuser, monsieur Bunter 3

Dorothy Sayers.

(A snivre.]

Traduit de l'anglais par L. Sefvicen. Copyright by.D. Clairouin.


MOTS CROISES 1359

Horizontalement. I. Plus difficile à prendre quand elle est courte On peut le franchir d'une enjambée Exclamation d'un désespéré. II. Enflure. III. Deux lettres de « Jutland » Mal accueillies par les personnes susceptibles. IV. Phonetiquement couche pigmentaire de l'iris. V. Ce qu'est de plus en plus la vie. VI. Reçu parfois par un insulteur Point cardinal Sauvegarde de notre indépendance en cas de guerre. VII. Article Pronom indéfini Sur la carte d'un diplômé. VIII. Pronom personnel Accablent les neurasthéniques. IX. Rivière du département Existant. X. Entre deux continents Négation. XI. De noble origine (fénv.) II fit d'un borgne un aveugle. Verticalement. 1. Redoutée par les mauvais élèves le jour des prix. 2. Parait souvent plus beau que n'est Père d'un globe-trotter israélite. 3. A payer Désigne deux fois le même point Supérieure. 4. Réalisera. 5. Nom d'une clé Produit d'une majorité. 6. Bien de plus en plus précaire. 7. Se dit d'un argument sans valeur Deux lettres de c Rouergue » Au début d'une interdiction. 8. Qui rendent un son aigu (/cm.). 9. L'idole d'une amoureuse Fut en nage. 10. Il n'aimait pas qu'on vive en paix Reçu dès le berceau. 11. Possessif Agile. ̃

V.! .̃̃' Solution du Jî° 1358

La réduction de 10 pour cent sur les loyers

On s'était demandé si les locataires entrés en possession après le 15 juillet 1935 pouvaient bénéficier de la réduction de 10 pour cent sur les loyers en vertu,du décret du 16 juillet. La Commission supérieure de Cassation vient de juger que seuls les locataires en possession au 15 juillet 1935 pouvaient avoir droit cette réduction. Le décret ne s'applique donc pas aux locataires postérieurs.

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Jeudi 15 juillet

14, h. 30, TOUR EIFFEL Molière et ses ennemis, matinée classique présentée par M. Bereazi. Elmire hypocondre, comédie de Le Boulenger de Chalussay (1670) Estraits de l'Impromptu de Versailles, de Molière.

20 h. 30, PARIS P. T. T. Théâtre. Les masques dans la maison, trois actes d'A. Cuel et M. Belvane, musique d'A. Lavagne, avec la Troupe de la « Petite Scène ».

20 b. 30, RADIO-PARIS Depuis le Casino de Vichy. Le Coq d'Or, de Rimsky Korsakov. 20 h. 30, STRASBOURG Orchestre et chœurs Saint-Guillaume, sous la direction de M. Munch. Cinquième concerto brandebourgeois pour piano solo, violon solo, flûte solo et cordes (Bach) Komm, Jesu, Komm, motet pour deux chœurs (Bach) Symphonie concertante pour sept instruments, soli et orchestre (Siamitz) Salve Regina, cantate pour soprano, violon, violoncelle et cembala (Haendeî) H Re eastore (Mozart) Symphonie 1 en mi bémol (Haydn).

ORCHESTRE

19 h. 30, LONDRES REGIONAL La Nursery, suite Elgar).

21 h. 10, MUNICH Weber, Mozart, Bach, Wagner, Beethoven.

21 h. 10, SCOTTISH REGIONAL Symphonie 8 (Beethoven).

21 h. 15, FRANCFORT Ouverture de Fête (Schumann) Sérénade (Brahms).

21 h. 30, LUXEMBOURG Concert sous la direction de M. Pensis, avec Jacques Février, pianiste. Léonore n° 3, ouv. (Beethoven) Concerto pour la main gauche (Ravel) Symphonie inachevée (Schubert).

MUSIQUE DE CHAMBRE ET SOtl

18 h., PARIS P. T. T. Récital d'orgue par Pierre Revel. ̃

-19 h. 3, RADIO-PARIS Mélodies et pièces pour piano:

19 h. 20, BERLIN Quatuor en: la mineur (Grieg). 21 h. 15, STUTTGART Musique de chambre chez Léopold Mozart:

21 h. 25, POSTE- PARISIEN Madeleine Grey. 22 h. 30, COLOGNE Haendeî, Telemann, Schickhardt.

MUSIQUE LEGERE ET VARIETES

13 h. 40, POSTE PARISIEN Emission pour la jeunesse.

14 h. 30, PARIS P. TV T. Emission enfantine. 19 h. 30, RADIO-PARIS Demi-heure d'aventures.

20 h., RADIO-CITE Le Club des loufoques. 21 h. 10,- POSTE PARISIEN La voie lactée, avec, les Sœurs Schwartz, orés-.ntatioa par Sou- plex. ·

OPERA

20 h. 3O, TOUR EIFFEL Fortunio, de Messager.

21 h., ROME Les chevaliers d'Ekebu, de Zandonai.

THEATRE

16 h. 45, RADIO-PARIS Le Barbier de Sê- 1 ville, de Beaumarchais.

Radio-Cité, jeudi, 30 h. SO, le 1/4 d'heure dn TROUBADOUR DE BYRRH

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so h. 30, PARIS P. T. T. Depuis Vichy Concert symphonique. ( 20 h. 30, RADIO-PARIS Récital de chant par Mmes Lina Falk et Malnory-Morseillac. Deux i 10s Cantate du 14" dimanche après'la Trinité 1 {Bach) Judas Macchabée (Haendel) Sa voix II

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20 h., NATIONAL ANGLAIS Symphonie 4 en ré op. 130 (Schumann).

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pétition générale A (billets verts) de Taba-

p<'(tftoh'!f'ncrc!cA(&fHe(su<'rf.)<j'eTaba-

can, comédie en trois actes de M. Edouard

Continu.

A bord du paquebot Alçantara, Mme Elvire Popesco et sa compagnie voguent en ce moment vers l'Amérique du Sud. + Mlle Alice ftaveau ci M. André Pernet ont accepté de chanter au cours de la messe qui sera dite à la mémoire d'Argeiitina, le mardi 20 juillet, à.11 heures, à l'église de la Madeleine.

M. Camille Choisy, directeur du Théâtre de l'Etoile, retient définitivement la date du vendredi 16 juillet, en soirée, pour la répétition générale de Ontbarku, pièce en trois actes et six tableaux de M. Jean Targuy.

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A EN MATINEE

COMEDIE-FRANÇAISE (Kich. 22-70), à 14 h. 30 Polyeucte (MM. Le Roy, Yonnel, Esrande, Chambreuil Mmcs Delvair, lienriettc Barreau, etc.). On commencera y.ar La Nuit de Mai (M. Jean VUlcourt, Mlle Jeanne Sully).

ODEON (Danton 58-13), à 14 h. 30 Les Femmes savantes (MM. Lucien Pascal, Chumurat, Schneider, Amlot; JImes Suzanne Courtal, Rejniil, Simonot, Deluur, etc.). L'Ecole des Mères (ïIM. Guy Parzy, Carras, Barré; JImes Parry, Marinier, Dura).

Même spectacle qu'en soirée

Châtelet. 14 h. 30; Palais-Royal, 15 h.

` EN SOIREE

OPERA (Opéra 59-59), relâche. Demain La Damnation de Fuust

COMEDIE-FRANÇAISE (Kich. 22-70), ù 21 h. Madame SansGêne (MM. Alexandre, Denis d'Inès, Hervé, Berlin, Escande, Mines Dussane, Gabrlrllc Bobinne, Jeanne Sully, Barreau, ïiarjac, etc.). Demain « Madanm Sans-Gène1».

OPERA-COMIQUE (Piich. 72-00), à 20 h. 15 Lakmé (Mme Turba-Raliler, Lianys MM. Amoult, Carlton-GauM, Rayons, etc.). Reflets (Mlles Juanina, Byzanti). Demain »v l'elléas et Méiisande ».

ODEON (Danton 58-13), à 21 h. La Paix est pour demain (Mlle Hélène Perdrière; JIM. Wasley, R. Murzr-au, Bourdcl, Parzy; Mme S. Courial, etc.). La Nuit d'Octobre (M. RogerWeber, Mlle Suzanne Sancley). Demain « La Dame aux Camélias ».

ATHENEE (Opéra 82-23), 21 h.: Electre, de M. Jean Giraw doux. (MM Jouyet, Renoir, Bouquet, Adam: Mmes Deviller, Dorziat. Madeleine Ozerny)

GAITE-LYRIQUE, à 21 h.: Le Pays du Sourire (MM. Juîé Jansou. Allain Dhurtal, R Allard; Mmes R. Ardenti, £ébron-Norbens, C. Navarre, etc.).

ANTOINE (Jeunes-Comédiens Ji7), 20 h. 15 Macbeth, Œdipe. ATELIER, 21 heures Jules César.

BOUFFES-PARISIENS, à 20 h. 45 Trois valses (Yvoimt Prin- temps).

CAPUCINES, à 21 h. La Nmit du 7.

COMEDIE DES CHAMPS-ELYSEES, à 21 h. Opéras-bouffes. CHATELE1 a 21 H. s ïana lliucli, Roger Bourdin).

DAUNOU (7, rue Daunou), 21 h. Pamplemousse.

DEUX-MASQUES, à 21 h. 15 Le Dard.

GRAND-GUIGNOL, à 21 h. t Epouvante et rire

MARIGNY, à 21 h. La Belle Saison (L. Boyer, Pills, Tabet.) MATHURINS.PITOEFF, 20 h. 45, répétition générale Kirika,

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précéa. cours

DEPLACEMENTS ET VILLEGIATURES DES ABONNES DU FIGARO Il

Mlle Yvonne ASTIER, aux Robins Mme la Saint-Germain-iLaval Mme CHIVOT Ff.ANOIN, comtesse ALLARD DU CHOLLET, à TrouviHe à Cabourg Mme la comtesse DU DORE, à La M. BOURUET AUBERTOT, à Cocherel Mme Baule-les-Pins Mme Louis DELAPORT12, à AixRené ANDRE, à Vevey M. le comte D'AU- Ics-Bains Mme DUJARDIN, à Vittel Mme BERT, au Val-André Mme AUDEMARD Pierre DAVID-WEIL, au château de la Croc D'ALENÇON, à Brout-Vernct M. -le baron Max M. Jean DELPUECH, au Pecq M. Maurice DEDE BODMAN, à Pyla-Plage M. André BAUR, MANCHE, à Sèvres Mme S. DESCHAMPS, à au Touquet ̃ Mme DE BMTIDrX, à Bourirïont l'ile de Noirmouiier M. DURIXGE, à Saint-JuMmc René BOURLON DE SARTY, à Biarritz lien de Ratz M. Alfred DROIN, à LouvecienMme BOURBONNEUX, à Vic-s.-Aisne Mme DE nes Mme Charles DEMACHV, au château BOISLISLE, à Chantilly Mme DE BAROLET, d'Ognon M. Louis DUCHE, ù Benodet Mme, à Flcurler M. Francis BLANCHARD, à Bor- J.JL. DUPLAN, à Morgat M. le baron li. DE deaux M. Albert BEAUMONT, à Knocke-s.- DROUAS, à Cabourg Mme R. DROUET, au 1 'Mer ̃ Mme Lucien BOCCARD, au château de Pecq le lieutenant-colonel G. DAUPHIN, à Val-Seine Mme 'Marcel BOYER, à Kerena en Sermizelles Mme DECORIO SAINT-CLAIR, à Treflez Mme BELLON, à Salnt-Didier-au-Mcnt Dinard M. André DOBLER, à Samte-Margued'Or M. Georges BERTIN, à Versailles NI. rite M. ESMERIAN, i Dinard Mme la baIcan BROUCHOT, à Bourron iî. l'abbé BIS- ronne D'ETCHEGOYEN, au château de Baclair QUEY à Louhossoa M. BERNHEIM, à Fiinrs- Mme Robert FAUQUET. à Darnétal-les-Rouen Waldhaus M. Hugo BACH, aux Sable-d'Or-les- M. André FLEURIET, à Concressault Mme la 1 Pins ̃ M le colonel BRENOT, à Saint-Palais- comtesse FRESSON, au château de Sermauge M. «urJIer M. Jacques BOREL, à Pornichct Mme A. FABRE, à Saint-Christol-les-Ales Mme ÏOla marquise DE BREMOND D'ARS, à Noirmou- REST, à La Baule-s.Mer -M. H. FOURGASS1K, tier M BEAURY DEWAILLY, à Bray-sur-Seine; à Lamoiuie-Saint-'Martin Mme Thomas FALAM Edouard BOYER, à Gaillon M. Robert BRUS- TEUF, à Isle-Saint-Cast Mme Georges FOSEL à Vichy Mme la vicomtesse DE BOUR- REST. à Choisy-au-Bac M. Charles FLAM-MAGOIN'G au château de Quîncize M. Félis BAS- RION, à Contrexéville Mme DE FORCEVII.Lt, TIEN, au château de Walbourg M. le comman- à Saumur M. Pierre FAUTELEE, a Bourgagneuf; dant DE BERNARD, à Bcllerive Mme CANI- M. Jean FRIBOURG, à Fontainebleau M. Paul VET au Puys • Mme CORE, à Cauterets Mme GUY, a Dieppe Mlle Jacqueline GALl'ILLAI, Jeanne CHABRIER, à Benodet M. Jean-Marie au Rozier; M. GACKEL, à Vevey Mlle Hé^ne CONRAD, à Avise M..le marquas DE CHAM- GOLDSCHMIDT, à Trangis M. GtXDRON. BR\Y à Chambray M. le comte CORNET à Monetier-les-Bains Mme veuve GAILLARD D'ÊLZINS à Evian M. l'abbé CAFFARENA, LURQUIE. à Luzech M. Henri GUIBERT, à à Villevêq'ue Mme OHASTBLIN DE THE- Morgat M. Louis GORISSE, à Trouville-sur-Mer; ROUANNE au château d'Estrecs "il. Emile M. Antoine GILT.Y, à Barcelonnette M Imile CH\RBONNEAUX, à Evian M. Edouard CO- GUERIN, à Nogent-sur-Marne M. Piene GAZON, à Quiberon M. le comte DE COMPIE- DENNE, à Wimereux Mme Paul GILLï-TGNE au château de Quiney Mme Robert DU BLANCHET, à Evian M. le comte E. DE GUI.CORAIL au château de Terze M. et Mme CUR- TAUT, ait château de Cannes Mme René GRINIER. à Sèvres M. Henri CHAUVEAU, à Deau- VET, au domaine de Cos Mme Gaston GOUEN, ville Mme la baronne DE COURCELLES. au à Morgat Mme la comtesse DU HAMEL DE château de Montigny-les-Metz Mile Agnès CAR- BREUUL, au château du Réconfort M. René IIER à Berck-Plage M. Robert CHABRIE, à HANIN. à Chartres Mme HOMBERG, à Cognac; luc-sùr-Mer Mme CHARVERIAT, au Touquet Mme HAMBERGER, à Houlgate M. Ernest Mme la marquise DE COURCY NANTOIS, au HEÏLBRONN, au château de Bergeries M. Maumanoir de la Cnc-ltain Mme F. CHALEYER, rice HOCHE, à Montluçon Mme HUGOT-DER-

LES COURSES 1

A SAINT-CLOUD

Le Prix des Maréchaux

La fête nationale des sportsmen a été aussi fort belle. Le culte du pur sang, célébré sur les autels du Pari Mutuel, garde intacte sa foule d'officiants. A ce point que l'on en est à se demander si l'allocation de l'épreuve principale d'un tel jour ne devrait pas être portée à nouveau à 100.00.0 francs au moins.

Cette épreuve est le Prix des Maréchaux. Deux excellents trois ans, Alfredo et Chinchilla, y affrontaient un quatre ans, Tiepoletto, et deux vétérans, Sanglot et Mont à la Quesne. Celui-ci, qui a sept ans, grandit d'audace en vieillissant. En sou jeune temps, il paraissait limité quant à la distance et même quant à la qualité. Ne le vimes-nous pas a réclamer Cette année, il ne cesse d'être meilleur et d'aller plus loin, du moins sur le terrain sec, qui seul lui convient, et à Saint-Cloud, où il est chez lui. C'est ainsi qu'hier, sur 2.600 mètres, il se rendit rapidement maître de Tiepoletto, qui chercha vainement à lui ravir le commandement et résista par la suite à tous les assauts. A vrai dire, dès l'entrée de la ligne droite, la cause était entendue, et sans doute le jockey lui-même de Chinchilla en était-il convaincu, car H ne nous sembla pas qu'il fit preuve, au cours de cette ligne droite, de toute sa vigueur coutumière. Et pourtant Mont à la Quesne, un instant, baissa de pied. Il est également possible, d'ailleurs, que Chinchilla, pour sa propre part, fût au bout de ses possibilités. En tous les cas, Mont à la Quesne, en son automne, a eu un printemps merveilleux, dont il convient de féliciter son entraîneur, Ch. Cunnington, et son jockey, W. Johnstone, étroitement associés à ses succès Ininterrompus. Trarieux.

SAINT-CCOUD

PRIX DE SAJNT-MIHIEL

(à vendre. 8.000 francs, 900 mètres). 1 Primerose VI, 51 (R. Ariial) G. 18 50 (à M. Louis Marchât) P 8 » 2. La Bécasse II, 55 (A. Rabbe). P. 7 50 Jumelé. 50 »

Non placés Thanase, 521, Tarai, 47^. (1 long. 1/2, 1 long., 2 long.)

PRIX DE MAI. MAISON

(handicap. J2.G0O lianes, 2.HI0 infères). î. Gouyaté. 51 (R. Arnal) G. 33 (à Mme J. Winkfield).P. 50 ,2. Inspecteur, 45 (R. Guisurd) ,J> 7 50

M. Charles Dullin doit diriger le Théâtre Sarah-Bernhardt M. Jules Romains écrit avec beaucoup de bon sens dans l'Intransigeant « Dullin vient de poser officiellement sa candidature à la direction du Théâtre Sarah-Bernhardt. Je crois qu'il suffit d'énoncer la nouvelle pour que tous les amis du théâtre, et tous les amis de Paris, en tirent la même conclusion cette candidature doit aboutir. Il serait désolant qu'une telle opportunité de bien faire, de choisir l'homme qu'il faut, fût manquée.

» Je ne sais pas si Dullin a des concurrents, ni quels ils peuvent être. Mais je suis persuadé que, s'ils ont le sens et l'amour du théâtre, ils conviendront I eux-mêmes que personne, en la circonstance, n'est mieux désigné que Dullin. » Nous souscrivons absolument à ce jugement.

Bien que le Théâtre du Peuple prépare son entrée au Théâtre Sarah-Bernnardt, et que M. Lesieur, son metteur en scène, parle de ses projets, nous gardons l'espoir que M. Charles Dullin prendra la direction de cette scène, avec la collaboration de M. Karsenty. Nous ne voulons pas croire non plus le bruit qui court, et selon lequel le Conseil municipal songerait à faire démolir le théâtre pour le sortir de la situation invraisemblable où il se trouve. A. W.

CHATELET. Aujourd'hui, à 14 h. 30. matinée de « YANA », l'opérette à grand spectacle, avec ROGER BOURDIN et BACH, MONIQUE BERT. ED. CASTEU J. HOPSTEIN et l'extraordinaire danseuse acrobatique BOBBE JOYCE.

Matinées jeudis et dimanches, à 14 h. 30.

EN MATINEE

3. Faraud, 53 (A. Rabbe).P. 10 50 Non placés Hobal Feï, 48 Angelita, 50 Sableuse, 47 Vesper, 48 1/2 Magglo, 44.

(3/4 long., 2 long. 1/2, courte tête.) PRIX DE NOYON

(à vendre. 8.000 francs, 2.800 mètres). 1. Belle Mab, 50 (P. Villecourt). G. 17 » (à M. Paul Destiiarais) P. 8 » 2. Falirette, 50 (A. Rabbe). P. 11 50 3. Hernani, 52 (G. Duforez) P. 10 50 ton placés Bas Empire, 50 Sarastro, 57 La Flamme III, 52 1/2 Œuillet Rouge, 57 Ever Fit, 50 1/2.

(2 long. 1/2, 1 long. 1/2, tête.)

PRIX DES MARECHAUX

lSU.000 francs, 2.600 mètres).

1. Mont à la Qu., 58 (Johnstone).G. 12 50 (à M. T. P. Corzika) P. 7 50 2. Chinchilla, 52 (C. Bouillon) P. 9 » Jumelé. 28 50

Non places Tlepoletto, 57 Sanglot, 58; Alfredo 50 1/2.

(3/4 long., 1 long. 1/2, 3 long.)

PRIX DE VERDUN

(haudicap. 20.000 francs, 1.600 mètres). 1. Helliot, 57 (W. Johnstone) G. 33 50 (à M. G. Chemoul) .P. 13 « 2. Lord Motlev, 55 U1- Rochettl).P. 21 » 3..Ethfiiin, 45 (A. Tucker) P. 12 50 L'on placés Béuédlctus, 57 1/2 Magic Grey, 49 1/2 Evolene, 52 4 eu Chiffres, 58 Hay Markct, 57 Rumball, 54 1/2 Amandine, 48.

(1 long., 3/4 long., tête.)

PRIX DE REIMS `

(12.000 francs, 900 mètres).

1. Trois s. Atout, 54 (A. Rabbe).G. 13 50 (à M. Jean Lieux).P. 8 50 00 2. Asthaël, 54 (P. di Clcco) P. 13 » Jumelé 00 50

Non placés Tereeina, 54 Ramona IV, 54. »

(1 long. 1/2, 2 long. 1/2, 3 long.)

A AUTEUIL

Aujourd'hui, à 14 heures Courses à Auteuil. Gagnants du Figaro

Prix Gontran. Passe Partout, Hong Vol. Prix Géographie. Iman, Ensorceleur II. Prix Mmirlre ilu Ghee.it. Roi du Porto,

Incompris 11.

̃Prix de VHIel. lîcuiie de Hivaud, Tak-

̃vor Pacha. \'if./t'I. l';t'III'I,, df' Hi"a, Tak-

Prix Old Uridije. Pilou, Royal Kidiiey.

Prix Galanlin. Le Vainqueur, Le Soliu.

AUX MIRACLES-LORD BYRON Madame poursuit Monsieur Ce film est* une nouvelle illustration du fameux adage a Ce que femme veut. » Les moyens employés par Virginia l'ravis pour séduire Kenneth A'olan sont assez classiques. Mais là n'est pas l'intérêt. L'on sait fort bien que Madame réussira, le tout est de créer dans le développement une ambiance distrayante. Les Américains excellent dans le choix de leurs personnages de second plan et les trouvailles humoristiques et comiques abondent dans cette comédie parfois un peu lente, mais qui n'a d'autre prétention que de nous amuser.

li. J. Nolan, original et prodigue, voit son thésaurisateur de fils, Kenneth, hériter de la fortune de sa femme. Ce fils aux idées conservatrices, gère cette fortune avec calme et pondération il laisse son père dans le plus complet dé-

nuement. Toutefois, ce dernier conserve

~tuemenf. Ï'ou<e/o!'s, ce dern;er conserve

l'espoir de réaliser une de ses grandes idées Nolan Heights, village moderne perfectionné, et, pour ce faire, demande vainement à son fils 100.000 dollars. Il sera aidé dans cette entreprise par une jeune et séduisante architecte, à la faconde généreuse Virginia qui démontrera à Kenneth les avantages d'une vie moins réglée et moins monotone que la sienne. Après une coupe de champagne accompagnée d'une fine Napoléon, Kenneth, transformé, réalisera le plan généreux de son père et tombera d'un arbre, dans les bras de Virginia.

Le dialogue est très spirituel. Myriam Hopkins, une des plus parfaites comédiennes d'Hollywood, se trouve très à l'aise dans un rôle de comédie pure. Joël Mac Crea est sympathique à souhait. Charles Winninger, décidément voilé aux rôles de père, est parfait. Intérim.

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LA DAME DE PïQUE MOULIN-ROUGE

LA GRIFFE DU HASARD

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VILLE, au manoir du Bois Mme la princesse D'HENIN, à Neufch&teau il. René HOLTZER, au château de la Montagne.

Mme Georges IMHAUS, au manoir du ValFleuri M. JOUFFROY, à Ceyzerjeu Mnv. veuve Frédéric JARRY, à Lardy Ml.e JUNOD. à VilIers-F;:rlay Mme la comtesse Albert DE JONQUIERE, au château de Villicrs-F.-Loir Mme la baronne A. DE KAINUS, au château de La Seillerayc M. le professeur Jules KLEINER. a Cracovfe Mme ELLA DE KOHL KOHLE.MEGG, à Gstaad M. Maurice DE LA ROCQUE, au château de Mcnt-TEvêque Mme la baronne J. LE VAVASSEUR. à Saint-Nectaire M. Jacques LAUDRY, à Cauterets M. le colonel LEROUX, à Granviilc Mme la comtesse ODON DE LUBERSAC, à Corbeil Cerf Mme Ch. LE MENESTREL. à Aimé Mme Maurice LESIEUR, à Fouesnant M. le comte Christian DE LUZY DE l'E'LLSSAC. au château de Goutefrey Mme DE LUXER, à Dinard Saint-Enogat M. DE LAVALETTE, à Paramé Mme la comtesse Robert DE LONGUEAU, à Saint-Cast M. LE NOIR, à Saint-Germain-en-Laye M. LOVENBACH. au manoir de Gréges M. Roger LE-MORO, à Saint-Poi-de-Léon Mme DE LOCHNER, à Divessur-Mer M. DE LA VERNETTE. au Thil M. le comte L. DE LA MORANDIERE, à Vaimont M. Jacques LABOURET. à Sofia Mme DE LA FAVERIE DUCHE, au château du Ché Mme V. DE LANE, à Meulan Mme Maurice LEPETIT, à Locquirec M. Roger LYON, à Morzines Mme la comtesse DE LA FLEURIAYE, au château de Lignou M. Gérard LACAN, à Megcve M. le baron DE LASSUS, au château de Valmirande Mme LARDON, au château de Montans M. Ch. LEGRAND, à Cires-lcs-Mello Mme Joseph LAFOND. à Néris-les-Bains M. Robert LE COQ DE KERLANO, à Jouy-en-Josas. Mme Jacques MERiLIN. au Pyla M. MICHEL, à Mussy-s.-Seine M. MENNESSIER NODIER, à Royat M. Serge MEYER, à Beg-Meil Mme DE MONVAL, à Autet Mme DE MONLEZUN, à Bonnefont-s. -Baise M. le comte H. DE ME- HERENC DE SAINT-PIERRE, au château de Beaumanoir M. le capitaine et Mme Henri MESNET, à Wissanl Mme la marquise DE MIEULET DE RICAUMONT, au château de Miaurey Mme la comtesse G. DE MAISTRE, à Deauville M. le colonel MOREL, à Alençon Mme MORIZE. au château de Bonneval M. Ernest DE MAZIERES, à MontHgnon Mme DE MANDIARGUES, à Montfort-l'Amaury Mme la vicomtesse P. DE MOUGINS-ROCQUEFORT, au château de Bellevue Mme ia comtesse DE MAURES DE MALARTIC, au château de la Ravoire Mme DE MAZENOD au château du Plessis-aux-Chaptes Si le docteur NISSIM. à Rambouillet M. NICOL^RDOT, à Tournon-s.-Rhône M. et Mme Jacques OGLIASTRO, au château de Dacq Mme OMETRE, à Alvignac Maitre Albert OZANNE. à Rouen M. Georges OUIZILLE, à S.ilzburg Mme H. PBDEBIDOU. à Cauterets M. PERRAT, au Petit-Ermitage Mme André PASSEZ, à Orgentont M. le comte DU PETIT-TROU ARS, à Montsoreau M. POITTEVIN, aux Troh-Epis M. Gabriel PELLETIER, au Pouliguen lime la comtesse Maurice DE POURTALES, au château de la Forêt Mme Simon DU PERRON, au château d'Hautot M. H. PICQ. à Triel-sur-Seine M Henri PERREAU, à Cièvecœur-en-Augc M. Guy PAPONOT, à Chartrettes.

Mme G. ROLLAND, à Monte-Carlo M. le baron G. S. DE ROSEXGRANTZ, au Hohwald Mme RAHXARD, à Carentec M. ROLLAND, à Cauterets M. ROCHE DE LA RIGODIERE, au château de Fromente Mme la comtesse C. DE ROUGE, au château de Baronville M Marcel RMMON, à Villers-s.-Mer M. le marquis DI RENDE à Rome Mme la comtesse Guillaume DE ROHAN CHABOT, à Pertos-Gulrec M. JeanJacques ROMAN, à Féricy M. RAUD, à Hennequeville-Trouville Mme la baronae Jacques RISTOX, à Villars-sur-Bex M. DE sANDOL-ROV, au château du Marais Mme James bCOTT. à Montrcux Mme SARGENTON, à Chatou Mme Jeanne Ch. SARRUS, à Chamigny Mme Berthelemy SANDRAT, à Sains-du-Nôrd Mme G. DE SAINT-VICTOR. au château de Barre M. le capitaine SEGUR, à Vichy M. Charles SERGENT, à Vichy Mme SIMEONOGLOU, aux Fines M. Francif-SANTOS SUARES à Gradlle M. Armand SIMONIN, au château de Savoyeux Mme DE SÛNT-PERE, à l'ile des Chevaliers Mme Léon THÔME. à Vichy M. Léon T1SSIER, à Lugano Mlle Adrienne TARTE, à Epinai M. Michel VALERY-OLLIV1ER, à Cannes Mms Yves YALLADOX. à Vichy Mme VERGNIAUD, à Por.trieux-Saint-Qauay 8. Exc. le comte Guiseppe VOLPI DI MlSURATA, à Venise ̃; M. le baron DE VERNA. au château de Bateau M. le comte Fr. DE VILLOUTREYS. au château de Ruaux

AL et Mme Guy DE VERDILHAC, au Pouldu »,

Mme la baronne Marc DE \'l'LLIERS- TERRAGE,

au château de Kerminy M. et Mme Maurice

yj$%£vt à Vironvay 7IlUe WISLIN, à Wangeobourg M. L. WOUTERS, à Evian-lesBains.

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CAMERA La Kermesse héroïque, Winterset. ?*8|p?§?i

CESAR Le Grcluchon délicat.

BONAPARTE Lac aux Dames.

CINE-OPERA P. 11 à 20 11. Soir., 21 h. Le Greluchon délicat.

DEMOURS Veille d'armes.

ELYSEE-CINEMA 15 II., 17 11., 21 h. Josette.

GAUMONT P. 17 h. à 21 h. 17 Le Maitre de Forges. IMPERIAL P. 14 à 1 h. Angèle.

LUTETIA La Belle de Môntparrtasso.

MADELEINE P. 12 à 2 h. 40 Troïka sur la piste blanche. MAX-LINDER 12 2, 14 11, 16 4, 18 h., 2115. 24 h. Ignace. MARIGNAN 14 h. 25 à 23 h. 20 Le» sept perles de la Couronnne.

MARIVAUX P. de 14 h. à 19 h. La Grande Illusion. MOULIN-ROUGE P. 14 h. 30-19 11., 21 h. La Griffe da hasard.

MOZART 15 à 21 h. Veille d'armes.

NORMANDIE 14 h. 52 it 24 11. 18': L'Homme de proie. NOTRE-CINE 15 h., 17 h., 21 h. Kermesse héroïque. + OLYMPIA P. 10 b. à 2t h. La Dame do Pique. FARAMOUNT P. de 9 h. 30 à 2 h. du mat. I^e Cantinicr de la Coloniale.

RANELAGH P. 14 à 21 h. A nous la liberté! 1

REX La Danseuse rouge.

Films pariants anglais.

AGRICULTEURS 15, 17, 21 h.: La Vie privée d'Henry VIII. APOLLO 11 1 h., 2 h. matin Les Derniers Hors-Ia-Loi, La Lumière verte.

AUBERT Feu Jim Blake.

AVENUE P. 14 h. 30 et 19 h. Soir., 21 h. 15 Weeok-end mouvementé et Taxi dans la nuit.

Il L'HEURE DU GRAND FILM: `, 1

La Dame de Pique 10 h., 12 h., 13 h. 40, 15 h. 35, 17 11. 40, 19 h. 45, 21 h. 45, 22 h. 55. Olympia. Madame poursuit Monsieur: 15 15, 17 22, 22 10. Mir-Lord-Byron. L'Escadron blanc: 15 h., 17 h. Studio Etoile. A Parts tous les trois 14 h. 30, 15 h. 20, 21 h. 30. Marbeuf. Sur l'avenue 14 50, 10 55, 18 55, 22 h. Balzac. L'Entreprenant M. Petroff De 14 h. a 2 h. Helder. La Grande Illusion 10 h. 12, 14 h. 10, 16 h. 30, 19 h., 21 h. 20, 23 b. 50. Marivaux. Chant du Printemps: 14 h., 10 10, 18 15, 22 h. Ciné-Ch.-Elysées. Jeune Fille délurée t 15 h. 50, 18 h. 10, 22 h. 35. Panthéon. Monnaie de singo 15 h., 17 h., 22 h. 15 Studio 28. Crime en haute mer 14 b. 45, 17 h. 10, 21 h. 20. Panthéon.

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NAPOLEON Message à Garcia.

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LE 31° TOUR DE FRANCE CYCLISTE ENTRE MARSEILLE ET MONTPELLIER, (12e étape)

la course n'a pas été très animée ANTOINE ET PEDROLI ·.

sont les vainqueurs de la journée yiçini reprend la troisième place au classement général derrièreS. Maes et Lapébie

MU moment où tous les spoptifs gui suivent les péripéties du Tour de France s'attendaient à voir l'équipe belge essayer d'augmenter son avance dans les étapes contre la montre, pour lesquelles ces coureurs s'étaient, avec juste raison, réservés, les commissaires décident de supprimer les étapes contre la montre pour ne pas désavantager certains coureurs.

Il semble qu'une semblable décision, prise alors qu'il reste la moitié de l'épreuve à courir, soit contraire la logique sportive. Le règlement d'une épreuve de l'importance du tour de France est publié avant la course, et les coureurs qui s'engagent dans l'épreuve se basent sur ce règlement pour conduire leur course. Il est évident que les courses contré la montre sont un handicap pour les équipes incomplètes comme pour les Individuels.

iOa n'est cependant pas au cours de l'épreuve que le règlement devrait être changé. L'organisation s'expose, dans ces conditions, à s'entendre reprocher que la décision des commissaires soit de nature à favoriser certains coureurs. La douzième étape, disputée hier de Marseille à Montpellier, avec arrêt à Nîmes, a donc été courue en ligne, en deux demi-étapes. Le résultat de ses deux demi-étapes n'apporte pas de changement Important au classement général. L'Italien Vicini reprend la troisième place à Disseaux, qui fut retardé avec ses camarades d'équipé par une crevaison de è. Maes.

Lapébie, par tg même occasion, reprend trente-cinq secondes à Maes Lowie, qui dans la première demi-étape faisait partie d'un groupe d'échappés qui prit dix minutes au peloton, remonte de deux places au classement général.

La première demi-étape fut gagnée au sprint par l'individuel français Antoine et la seconde par le Suisse Pedroli.

L'italien Bartali, qui avait annoncé son intention d'abandonner la veille, ne s'était pas présenté au départ, hier matin. L'équipe italienne est donc désormais réduite à quatre coureurs.

Le résumé de la douzième ?° '<• -° >»• 38 s.; 4. Disseaux, 80 h. 21 m. 2 s.; ô. Vissera, 80 h. 23 m. 50 s.; 6. Amétape im-g, so h. S3 m. « s.; i. Lowie, sa h. 36 m.

n d, d 55 s.; 8. Vel@vaecke, 80 fi. 44 111. 28 s.

H ne reste que 57 coureurs au départ de g3 ri^u^^a ^N/V-Nlf Mar' M; -Mlle et la chaleur incite les coureurs caillou, 80 h. 49 m. 2 s à adopter une allure de promenade. Il en calllou> su «• ia m- ̃* =>•

sera ainsi pendant de nombreux kilome- j^ classement international

tres.

A l'entrée de Salon, six coureurs se déta- L'équipe belge conserve la tête du clasclient, Antoine Lowie, Marcaillou, Ziramer- sentent international par équipes, totalimaiin, Iutiozzi et T. Van Schendel. saut 211 h. 13 in. 42 s. contre 2il h. 55 In. Le peloton ne semble pas s'en inquiéter 2U à l'équipé française, et les fugitifs vont augmenter rapidement L" 'd'" leur avance. L étape d aujourd nui

Quelques kllotnOtres avant Nïmca, les Voici l'itinéraire d l'Jtoraire probable de

coule41s du peloton aeeel~l!1~ 1 a11ule, 1, -t

mais il est trop tard et les fugitifs ne se- K'tapetldu.)onanni

ro4t pas est ,trop tard sprint, Aittoine ne ,se- Première 'lel11i-éll1pc Monlpellier, 10 Il.;

roilt pas rejoints. Au spriiit, Anlol11e ~f'a~e

et conserve 1 avantage. i 1 U t) J£il)» } y J. il. JnlJ

Le classement de la première' Deuxième demi-étape Narbonnc, départ r vers 11 h. 3(1 Perpignan (Vélodrome, demi-étape ÎUO km.), arrivée vers 10 h. 15.

« yi, j j, Demain, les coureurs se r&noserout à

1.. Antoine (M-, premier des individuels, 1>cl.uiguan avant d'aborder les Pyrénées, les 112 km. en i h. J9 ni. 37 s.; 2. Mar-

caillou, à 2 longueurs; X T. van Schendel, à une longueur; -1. ïntrozzi 5; Zimmermann

6. Lowie, tous même temps 7. Baulz, WI AFMYNfïC fiAHNF

3 h; 411 m. 30 s.; 8. Martuuo; 0. Deltour TT li/iDWl Hl VU UftUnEi

10j_fa~de demi-élape est pal' dédsion TOULOUSE-P ARIS

La seconde dmni-élape est par décision 1 UULUUijIj"! A«iû

des commissaires disputée également en

ligne. Les coureurs partent de Nîmes pour j\. (Je Caluwé la dernière étape joindre Montpellier. Les Belges mènent le

peloton à une allure assez rapide, ce qui La dernière étape de Toulouse-Paris a n'empêche pas Danneels et Bautz de confirmé la valeur du routier belge Vlaes'éciiapper. mynck qui, termii)ant en tête avec de GaUn passage à niveau fermé va leur per- luwé, Waiie et Mithouard sur la piste du mettre d'augmenter leur avance sur le pe- Vélodrome Buffalo remporte ainsi la prejot0n ::1 mière course Toulouse-I ans, ayant pris la Dans celui-ci, S. Maes va être victime tète au classement général dpB la pfèmlW'e d'une crevaison et ses rivaux les plus di- étape.

rects vont en profiter aussitôt pour activer Cette dernière étape, rendue pénible par l'allure. la chaleur, ne fut pas très mouvementée. Danneels et Bautz vont être rejoints et un te Luxembourgeois Monetta «t une fugue peloton assez compact va se présenter n aux environs d'Orléans et eut jusqu'à trois l'arrivée. Le Suisse Pedroli gagne le sprint minutes d avance,

devant Wengler et Canardo. Puis les coureurs se regroupèrent et ce Trente-cinq secondes après l'arrivée du n'est que dans vallée de Çhevreuse que peloton, S. Macs et ses équipiers franchis- Mithouard, Walle, De Caluwé et Vlàesent la ligne d'arrivée. niynck se détachèrent pour terminer en'1' semble à RuFfalo. Mithouard, entré le pre-

L t* 1 t d 1 tton~&mf miel- vélodrome, lit une chute à la sortie

Urla>s«msnf An la ilcnYièmp lnier !lu vélodrome, fit une chute à la sortie

classement de la deuxième àu tunne, et Dc Caluwe battlt au sprint

,-v demi-étape Vlaemynck et Walle, dans l'ordre. .̃!̃.• Au classement général, Vlaemynck est i, Pedroli (Suisse), les 51 km. en 1 il. premier devant Van Slmaèys, De Caluwë, 16 râ-^S-s^-î- Wéhgéi* -<*H-.)ï =3. -CàHardo^ /Miihouawi. et Lâchât ,r r..». 4. Goujon; 5 ex equo Tanneveau, Wec-

kerling, iiarcaillou, Ducazeaux, T. van l* Soheridel, Pàstsat, Camusso, Oalllen, Choc-

que, Cosson, Fnichant, Bcrrendero, Lapé- Au cours de la réunion organisée au bie, Puppo, Delqor, Amberg, Cloarec, Vis- Vélodrome Buffalo pour encadrer les arrisers; Ezquerra, Vicini, Bautz et Dannecls,' vées de Toulouse-Paris, G. Wanibst reintous en 1 h. 10 m. 49 s. porta la revanche du championnat de France de demi-fond, devant le tenant du

t i> rl»«pmpnl crpnpwal iitre Ernest Terreau, Paillard, Lacqùehav

Le, elassement général Ç iitr° Lrnest Totteau l'aillard, Lüëqûéltav

te Classement gênerai et A. wambst. celui-ci, en tête jusqu'au

après la douzième étape B()c kilomètre, s'arrêta, puis repartit, ayant perdu plusieurs tours.

1. Silvèi-e Macs (Belge), 80 h. 15 m. 45 s.; G. Wanibst prit alors la tête et conserva 2. Lapébie (Français), 80 h. 18 m. s. l'avantage malgré les attaques (Je Terreau 3. Vicini (Italien), premier des individuels, et Paillard.

DIMANCHE AU FRONTON DE PARIS SOUS LE PATRONAGE DU « FIGARO »

LE MATCH MAULÉON-S. C. U. F., au grand chistera, promet une lutte sévère

Deux arguments ont décidé l'équipe de Mauléon, championne de France au grand chutera, à venir dimanche prochain à Paris» Le premier, c'est que lés Mauléonais aiment Jouer devant le publie parisien, dans lequel ils retrouvent d'ailleurs nombre de Basques, et le second c'est qu'ils n'ont pas été très satisfaits de leur récente partie.au Fronton de Paris, partie qu'ils gagnèrent de peu sur l'équipe du Bousquet, Moréùx et Lions.

Ne parvenir à gagner que malaisément lorsqu'on s'appelle Aguer, qu'on est surnommé le « roi des frontons » et qu'on est assisté de Recalt et Vigneau, en un mot lorsque, depuis longtemps, on est champion de France, voilà qui est difficile à admettre.

Aussi, les Mauléonais sont décidés à prouver aux Parisiens, et ceci aux dépens ria l'ânilina rill fi Ct 11 nopâa fin tifttft

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de champion dé Paris, qu'ils peuvent triompher largement.

« Fort bien, messieurs de Maulëon », disent les Scufistes, du Bousquet, lYloreux et Garcia, « mais attendons la fin ». Et voici du Bousquet, préparant ses coups de boutoir et ses rapides « cortedas »; Carcia combinant ses répliques lés plus astucieuses et Woreux « piochant sa précision et sa décision sur les balles longues. « Attendons la fin », disent également les amateurs de pelote basque en songeant à la magnifique démonstration à laquelle Ils vont assister dimanche aU Fronton de Paris.

Tandis qu'à Mauléon Aguer pense aux sauts acrobatiques qu'il va exécuter, aux coups brillants qui prendront ces diables do Scufistes en défaut. et aux acclamations qui lui seront lancées et qu'il « cueillera » comme la pelote.

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P Q RT S

"r; J

LE BREVET SPORTIF t

POPULAIRE OBLIGATOIRE BRAVO! I

LA FEDERATION DE BOXE îl est bien difficile de dire si le breVet sportif populaire a eu, ou non, de la part des sportifs, l'accueil qu'il méritait. On te saura plus exactement à la fin de l'année.

En tout cas, une chose est certaine il n'a pas reçu de la part des corps

rations, les égards auxquels il avait droit.

Bien que tous leurs dirigeants soient d'accord pour reconnaître Vintèïêt dit noilveail diplôme, bien que. tous admettent la nécessité d'un minimum de débrouitiage athiéfigtte avant de s'adonner à Une spécialisation sportive quelconque, il ne s'était pas trouvé jusqu'ici une seule fédération pour avoir 1 courage de ses opinions et imposer à ses ressortissants la possession du brevet sportif.

La Fédération Française de Boxe, par une heureuse décision qu'elle vient de prendre, va faire exception. Elle a résolu que, dorénavant, il faudrait être dcttenteur du B. S. P. pour solliciter x\\ie licence d'amateur aussi bien tyiii* de pro-

fessionnel.

Ça n'a l'air de rien, mais quoi qu'on fasse, on lie saurait, pour le diplôme créé par M. Léo Lagrange, concevoir Une propagande plus solide, ni plus efficace, et cette simple résolution est préférable à tout le battage, à toute la réclame qu'on pourra imaginer.

Si les autres Fédérations suivaient le mouvement, toute la Fiance sportiac se déciderait, forcement, il passer cet e.r.atneit qu'elle néglige encarte pour indolence.

Mais maintenant que voici le mouvement amorcé, peut-être d'autres organismes directeurs vont-ils se résoudre à silivre.

A qui le numéro deux ?

Qu'attend, au fait, la Fédération Française d'Athlétisme ?

Jean Dauveii.

L'ACTIVITE SUR LES LINKS

Au Golf de Marly

Prix du 14 juillet eclectiç, daines. 1. Mme tow (4 1/2), fi!) 1/2 2, Mme Le (îendie (il 1/2) 74 1/2; 3. Mme Marandon (14), 82 4. Mille Sohuhl (14), 87.

Ont également pris part à l'épreuve Mme Batteii, Mme Mure.

Messieurs. i. Parsons (1 1/2), fit 1/2 (32,3 sur les derniers trous) 2. Schùhl (8 1/2), 64 1/2 (32,8 sur les 9 derniers tious) 3. Braiilt (7), 0H 4. RabaU (5 1/2), 60 1/2 Teintant (6 1/2), 06 1/2 0. Deligily (5), 67 Piperhs (8), «7 Rousset (12), 07 9. Caêl (n 1/2), (17 1/2 Salles (7 1/2.1, 67 1/2 11. Prieur (5 1/2), 08 1/2 12. B. BrialiH (4), 70 Wormser (5), 70 Vincent (9), 70 j Vincent (9), 70 15. Peschler (9 1/2), 70 1/2 16. YVolff (il), 7i 17. François (3 1/2), 71 1/2 Le Gendre (4 1/2) 71 i/2 1». Denis (12K 72 l'. Lipptiiann (12), 72 21. Uatteli (11 1/2), 72 1/2 Katkoff (8 1/2), 72 1/2" 23. Haas (8), 74 Marlno (8), 74 Hellstern (9), 74 20. Love (10), 75 27. Tunmer (11), 76 28. comte de Montale (10), 80.

An Golf de Foui-queux

Prix Eleetle. Messieurs 1. Barrientos

(8), 66 2. R. Dùcas (5 1/2), 69 1/2 3.

Salles (S), 70 4. Williams (2 1/2), 70 i/2

5. M. Saillard (6), 71 Riley (2), 71 7. 1. Charpentier (5 1/2), 71 1/2 vicomte de Dampierre (2 1/2), 71 1/2 Snlvely (2 1/2),! 71 1/2 10. Bréider (11), 72 Dernis (10),

72 François (4), 72 de Guichen (10), 72

Levalpis (4). 72 YoimK (9). 72 16. Parnnn l\ /•n 79-1/9 -17. H himas ti\ 7*^

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LES CHAMPIONNATS. DE FRANCE SCOLAIRES DE NATATION AVX TOVRELLES

Le Constantinof s Bobcoff et l'équipe de relais du lycée Voltaire sont les principaux vainqueurs

Les championnats scolaires 1837 ont mar- que un progrès dans la natation française.

II y a de mettre tout d'abord eh

valeur le 100 mètres, du Constpntinois Bob-

coff qui réalise le fort joli temps de 1 m. 3 s. 8/10 (l'an dernier, daiis la même épreuve, il se classait 7e, en 1 m. 8 s. 2/10). Jierre Jesum, qui avait paru aux deux tiers de la course pouvoir fournir le Vainqueur, se classe 2», en 1 m. 4 s. 0/10 sa meil- j leure performance.

Chez les minimes, on assiste à une course disputée avec acharnement, quelques dixièmes seulement séparant les six concurrents. Trinquecoste, du lycée Voltaire, l'emporte finalement sur le Perpign&nais Vila. Aux 200 mètres seniors, nous retrouvons le Rémois DesUxliide, junior, qui gagne sans forcer.

Côté « demoiselles », les Tourquennoises Jehonlet et Wibaut sont eh progrès tandis que Lucette Berlioux devance de peu Françoise Smith.

Le relais 5X5" mètres est un triomphe pour le lycée Voltaire. Son équipe première bat le record de France, apportant ainsi une belle récompense au professeur Troucellier.

"Des titres de champions de France ont été attribués hier à Nakache (200 raj, à Christian Talll (i.500 ni.), à Paulette Jobert et à Bazin (sauvetage).

Signalons l'excellente performance de Tiilii sa meilleure, il est à moins d'une minute du record de Taris, ce qui

n'est déjà pas si mal.

Soixante-quinze mètres derrière lui s'organisait une lutte sévère Cavalero, Dhoze et Desbonnet se classant dans l'ordre. Yvonne Jeanne.

Résultats

Championnats de Fiance scolaires.

18. Sudreau (1 1/2), 73 1/2 19. R. Barhier (41, 74 20. Clausse (7 1/2), 71 1/2 2i. Vermont (8), 75 22. Adliugtoii (7), 76 Audemars (9), 76 Mirabeau (9), 76 25. Delamarie-Deboutteville (1 1/2), 70 1/2 20 Amy 10), 77 Chaténay (3)t 77 Goldman (9i; 77 Le Gendre (5), 77 de P.eyerlmhoff (10), 77 3i. Wormser (5 1/2), 77 1/2 32. Schtlhl (10), 78 Lillaz (U), 78 31. Deligny (5 1/2), 78 1/2 35. Liotier (il) 79 Sée (9), 79 37. Bellocq (7), 80

Dugardin (7), 80 Peschiér (10), 80 40.

Gaùtrat (10), 82 41. Lévy-Haussmann (10 i/2), 82 1/2 42. Renàudin (9), 83 Fried (11), 83 44. Apiat (6 1/2), 83 1/2. Dames. 1. Mme Gautrat (6), 73 (sur les 9 derniers) 2. Mine Heiss (5), 73 3. Mme P. Bouchayer (14), 74 4. Mme Domange (7 1/2), 74 1/2 5. Mme Piat (8 1/2), 75 1/2 6. Mme Lévy-Haussmann (12), 76 Mme Pervana (9), 76 Mme M. Sailkird (14), 76 9. Mme R. Lévy (13), 79 Mme Audemars (13), 79 Mile V. Gallay (9), 79 12. Mme Mottet (6 1/2), 79 1/2 13. Mme Marquisan (3), 80 Mme Wormser (14), 80 15. Mme R. Ducas (4 1/2), 84 1/2 Mlle Olavavrla (3 1/2). 84 1/2 17: Mme Thalmann (14), 87 18. Mme Hemsi (12), 88. Ont également pris part à l'épreuve Dames: Mme

Mmes Aditit, Delafou, Goldachmidt, Heftlei-.

MM. A. Dormeuil. P. Bouchayer, Boutet, DônianSe, Dehlfon, Fûnsèdue, Favié, lJleur, Guerinl, Heudeloti G. Hélft, R. Hclft, Jac- quault, Mottet, Nîewman, de Rafenij-, Tennant, Ùllmann, Wessel, Wentworth.

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Relais 5X30. 1. Lycée Voltaire (Leroy, Pichort, Galy, Lambert, P. Bbrot), m. 3P s. 4/10 (record de France) 2. Lyéée Voltaire II Institut Colbert de Tourcoing.

Championnats de France. Sauvetage, daiiies 1. Paulette Jobert (Mouettes), 1 m. 22 s. 8/10.

Messieurs 1. Bazin (S.C.P.), 1 m. 3/10 2. Barthel (A.S.P.P.), i m. 1 s. 1/10. 'I Classement par équipes. 1. A.S.P.P" 8 ni. 17 s. 5/10 2. S;G.P., 3 m. 23 s. 4/10. 200 m. nagé libre, messieurs 1. Nakache (aN.P;), 2 ni. 21 s. 5/10 2. Cavalero (C. M.P;), 2 m. 22 s, 6/10.

1.300 m. nage libre, messieurs. 1. Talli (T.Q.L.C.)> 20 m. 37 s. 4/10 2. Cavalero (C.K-P.), 'il ">• 3 s. 0/10.

Critérium de plongeons. Tremplin 1. Muiinghausen (S.C.U.F,), 70 pts 77 2. CoUdrây (Rouen), 07 pts 10.

Haut vol i. Mulinghausen (S.C.U.F.), 46 pts 13 2. Parodi (C.R.S. Marseille), 3? pts 70.

Gyhikhana. Concours de drives, messieurs. 1. Vicomte de Dampierre. Dames. 1. Mme Piat.

« Pitch ». Messieurs 1. Riley. Dames i. Mme P. Bouchayer.

Pitch et Run. Messieurs. 1. Riley. Dames 1. Mme Lévy-Haussmann. Sorties de « bunker ». Messieurs 1. J. Nouel.

Dames 1. Mme Piat.

frix total. Messieurs 1. Riley. Dûmes 1. Mme Lévy-Haussmann. Au Golf du Lys

Prix de Consolation de la Médaille mensuelle. Première série 1. Simon Reginal, 80.

Deuxième série 1. Piganeau, 77.

A L'ETRANGER

En Belgique

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DIMANCHE PROCHAIN A VILLACOUBLAY DEUX DEMONSTRATIONS INÉDITES DES PARACHUTISTES MILITAIRESA LA FETE DE L'AIR 1-11~-1

Sous la direction du commandant Geille, directeur de l'Ecole de purauchutisnie d'Avignon, les parachutistes militaires, dont la première présentation fut vivement remârqnée en 193», prendront part encore cette année à la fête de l'Air de dimanche prochain à Villacoublay. avec un programme des plus Intéressants qui a exigé une minutieuse préparation, ainsi qu'un entraînement physique et technique des plus rigoureux.

Ce programme comporte deux parties en premier lieu, une démonstration des insructeurs de l'école de parachutisme d'Avignon en second lieu, la présentation d'une Unité d'infanterie de l'air.

La démonstration des instructeurs d Avignon est absolument inédite et n'a encore jamais été réalisée jusqu'à ce jour. Elle comporte l'exécution d'un saut collectif dont la précision au moment de l'abandon de l'avion et l'effort exigé pendant la descente en chute libre nécessitent une audace réfléchie et une volonté sans défaillance. On verra, en effet, cinq parachutistes exécutant ensemble une chute libre de 8 à 10 secondes après s'être jetés chacun d'un avion d'acrobatie volant sur le dos en formation de patrouille.

Encore de l'inédit, dans la seconde partie. Pour la première fois en France, une unité d'infanterie de l'air exécutera une dé- monstration dans des conditions très pro- ches de la réalité. En effet, nos modernes fantassins, abandonnant leurs avions de transport, se jetteront dans le vide en emportant avec eux, armes, munitions et vivres, travailleront leurs parachutes au cours de la descente pour se rapprocher le plus possible les uns des autres, atterriront, se grouperont, prendront leurs formations de combat, attaqueront et occuperont l'objectif qui leur aura été préalablement assigné. Ensuite, Ils se regrouperont rapide-

L'ATHLETISME 7 FEMININ

Rien de nouveau dans les Championnats de France

La Fédération française d'athlétisme féminin faisait disputer, hier. porte de Saint- I Cloud, ses championnats d'athlétisme. A trois jours des épreuves masculines, celles-ri risquaient d'apparaître ternes et délaissées. Ce lie fut pas le cas. Un public nombreux oh relativement cinq au six, cents personnes suivit les compétitions qui, toutes, furent Intéressantes. C'en est même surprenant.

l'our lie vous rien cacher l'athlétisme des dames, en France, est le digne équivalent de celui des messieurs. Il n'a pas eu son affaire Latloumègue, il n'a pas souffert de In concurrence écrasante des sports commerciaux, mais ça ne l'a pas empêché de descendre» très bas.

Il fut un temps, en effet, où nos athlètes femmes détenaient des records du monde. Toits nos records de courses remontent à cette époque,, lointaine déjà (1920-19211). On ne saurait dire quand nous en connaîtrons Une semblable, mais tout de môme, les nouvelles sont, celte fois, un peu plus rassurantes il semble qu'on ait touché le fond et que la baisse soit enrayée.

Certes, a peu d'exceptions près, les championnes établies ont Une fois de plus repoussé l'assaut de la neuve génération.

Nous retrouvons ait palmarès Mlles Vellu

(poids et disque), Perrou (100 et 200), Ni- colas (hauteur), Renaud (longueur), Behr (javelot), ce qui ne laisse aux nouvelles venues que trois épreuves en tout et pour tout.

Encore le 800 n'eût-i! pas échappé à la tenante du titre, Mlle Lenoir, si elle s'était présentée. Malgré cela, en dépit de ce peu de changement, nous croyons vraiment que s'amorce une timide convalescence. Dans les courses de vitesse quatre nouvelles ont fort belle allure Cafl'et (qui, selon les juges, gagna le H0 mètres), Morls"son (qui le gagna selon 'es chronométreurs),

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ment et prendront place à nouveau dans leurs avions venus spécialement lès rechercher.

Quelques détails pratiques En dehors du programme particulièrement brillant cette année, les efforts jju commissariat général ont porté sur les détails matériels d'organisation de la 1-cte de l'air, Hien n'a été négligé pour que les epectateurs pussent assister à la tète dans les meilleures conditions de confort. Les enceiutes ont été étudiées en vue d'obtenir un maximum de visibilité et de bien-être. Des sièges très confortables seront disposés dans certaines des enceintes; loges à Ut) francs In place, tribunes à :10 francs, fauteuils réservés, numérotés à af> francs. Les droits d'entrée ont été fixés à 20 francs la place pour le pesage et 10 francs pour la pelouse.

Signalons que des billets à prix réduits sont dès maintenant en veille dans plus de deux cents bureaux à Paris jusqu'au samedi 17 juillet à înidi.

De plus, grâce à un accord avec les chemins de fer de l'Etat, des billets combinés ont pu être créés. Ils pourront être retenus au prix de 10 francs (voyage et entrée de pelouse) et de 20 francs (voyage et entrée pesage) jusqu'au 17 juillet et a 22 et la franés le jour de la manifestation. Ces prix comportent le trajet Paris (SaintLazare-Montparnasse-Invalides) à ChnvilleVélizy et retour et l'entrée à la Fête de l'air. Entre Chaville et le terrain de Villacoublay fonctionnera une navette au moyen d'autocars de la T. C. R. P.

Un service direct d'autobus fonctionnera également entre Paris (Porte d'Orléans) et le terrain de Villacoublay (prix du voyage 5 francs).

Fize qui prit, en finissant très fort; Uiie brillante troisième place au 20(1, Dans la course de fond, la petite Merseillaise Gravi! fit sensation. Partie trop vite elle termina à grand'peiue et se Ht, sur le poteau, souffler ta première place par Mlle Sassobarca qui n'a ni son style ni sa qualité. Si Mlle Gravil sait ne pas prodiguer prématurément ses dons, qui sont certain», il est inutile de chercher édlleurs celle qui succédera a Mlle Lenoir. Les progrès sont moins marqués da.ns tes concours. Mlle Vellu a cueilli ses deux titres Habituels et, à l'accoutumée, Mlle Nicolas a raté de i>eu 1 m. 00 en hauteur. RESULTATS

00 mètres. 1. Cafîet (A.L.P.), 7" 4/3 2. Morissoil (B.E.C;) m. t.j 3. Vellu (Lin.) 100 mitres. 1. Perrou (A.L.P.) 13"; 2. Boite! (j.S.B.); 3. Morisson (B.E.C.). 200 mètres. 1. Perrou (A.L.P.) 26" 2/5 2. Caffet (A.L.P.); 3. Fize (vS.M.t'.C). 800 mitres.. 1, Sassobarca (N,F.)J 2. Gravil (S.M.U.C.); 3. Lhote (A.).

80 m. haïes. i. Boltel (.I.S.B.) 13" | 2. Mflbilie (F.S.); 3. iterly (F.S.).

Lancement du poids. 1. Vellu (Lin.) 9 m. 93; 2. Avond (C.) 3. Pierson (C.E.P.). Lancement du disque. 1. Vellu (Un.) 32 m. 93 ( 2. CadUhac (A.L.P.) 29 m. 54 3. Càbannes (F.C.G.).

Lancement du javelot. 1. Behr (F.8.) 33 in. 57 2. Roy (A.L.R.) s 3 Saîntais (L,). Saut en hauteur. 1. Nicolas (A.L.P.) 1 m. 53; 2. Folichon (Mouettes de Nice); 3. Leciercq (A.S. Strasbourg).

Saut en longueur. 1. Renaud (Lui.) 5 m. 31 2. Boitel (J.S.B.) 3. Monniil (A.

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