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Titre : Figaro : journal non politique

Éditeur : Figaro (Paris)

Date d'édition : 1937-07-02

Contributeur : Villemessant, Hippolyte de (1810-1879). Directeur de publication

Contributeur : Jouvin, Benoît (1810-1886). Directeur de publication

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34355551z

Notice du catalogue : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb34355551z/date

Type : texte

Type : publication en série imprimée

Langue : français

Format : Nombre total de vues : 164718

Description : 02 juillet 1937

Description : 1937/07/02 (Numéro 183).

Description : Collection numérique : BIPFPIG63

Description : Collection numérique : BIPFPIG69

Description : Collection numérique : Arts de la marionnette

Description : Collection numérique : Commun Patrimoine: bibliothèque numérique du réseau des médiathèques de Plaine commune

Description : Collection numérique : La Commune de Paris

Description : Collection numérique : France-Brésil

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k409537h

Source : Bibliothèque nationale de France

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 15/10/2007

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L'IMBROGLIO ESPAGNOL

Récapitulons les faits. A la suite des événements

d'Ibiza et d'Alméria, il fut convenu que les flottes

française, anglaise, italienne et allemande seraient désormais solidaires dans leur mission, mais que si un nouvel incident surgissait, les gouvernements dont elles relèvent se concerteraient avant d'agir. Là-dessus éclate l'affaire du Leipzig. L'Allemagne, affirmant que son bâtiment a été l'objet d'une tentative de torpillage, se tourne vers ses coassociés et demande des réparations éclatantes. La France et l'Angleterre proposent diverses mesures propres à donner satisfaction à l'Allemagne mais, esti- j mant que dans le cas du Leipzig, il y a des présomptions, non des faits, écartent l'éventualité de manifestations navales à grand spectacle. Sur quoi, l'Allemagne déclare que l'accord de solidarité n'a pas été observé, et elle se retire du contrôle. L'Italie la suit dans cette décision.

Que va-t-il advenir, dès lors, de ce contrôle ? La France et l'Angleterre proposent de l'assurer à elles seules. Elles offrent même que des observateurs neutres, allemands et italiens, s'embarquent sur leurs navires. Ce matin, les représentants du Reich et de l'Italie doivent donner la réponse de leur gouvernement à cette proposition. Mais tout laisse supposer qu'elle sera négative.

Le système de contrôle se trouve ainsi menacé d'un rapide écroulement. Certes, la France et l'Angleterre peuvent toujours décider d'exercer à elles seules la surveillance des côtes d'Espagne. Mais cette surveillance imposerait un effort considérable à leurs flottes. En outre, la zone des risques se trouverait démesurément j agrandie. Le jeu en vaut-il la chandelle?. Une chose est sûre.; en tout cas. C'est que la politique de non-intervention, dont le con- trôle naval n'est qu'une application, rassemble vingt-sept Etats. La décision de la suppression ou du maintien du contrôle na\:<: et terrestre n'appartient donc en propre ni à Londres, ni à Paris, ni à Berlin, ni à Rome, mais au Co mite" international, qui 'siège r ir Londres. C'est à lui, et à lui seul, 1, de se prononcer.

Quelle est alors la méthode la plus avantageuse pour sauvegarder l'équilibre et la paix ? Telle est la seule et unique question qui se pose. La réponse, à nos yeux, est claire. La meilleure méthode est cellequi consiste à adopter les solutions les plus normales. Or, nous n'avons cessé, depuis des mois, de préconiser ici la reconnaissance de belligérance aux deux camps espagnf>isv. Nous sommes donc fort à l'aise pour affirmer aujourd'hui ;'que là est le moyen raisonnable, de résoudre les difcultés actuelles. La re- connaissance de belligérance permettrait de rentrer aussitôt sur le plan classique du droit international et, sur te terrain normal, de demander avec plus de force le retrait simul\ané des volontaires dont la présence aggrave le cas espagnol.

En outre, cette reconnaissance bilatérale de, belligérance modifierait la substance même du conflit international qui s'est greffé sur Iv ) utte espagnole puisque, d'un cc-Lij, il semble quil y ait l'Italie {.f l'Allemagne, ayant lié leur cause à celle de l'ordre, et, de l'auijre, la France et l'An- gleterre a>}ant lié la leur à la révolution' anarchique. C'est, du moins, la façon primaire dont M. Miissalirii* s'évertuait encore hier à présenter les choses dans im article parfaitement tendancieux et qui appelle les plus formelles iréserves.

Au lieu de se quereller ainsi entre ipuissances et de jouer avec cl es difficultés redoutables, ïiiieu^ vaudrait aller au fond du débat.; et se demander de quoi il s'agit' ? La réponse est simple.

Les puissances onf un devoir com-

mun c'est de tout faire pour rameiier le plus tôt possible l'unit^, la paix et l'ordre dans un pays qui se déchire et qui risque, si on 'ne lui parle pas raison, de se déchirer encore longtemps. Pourquoi la France et l'Angleterre i-e prioposeraient-elles pas alors à ï'àlteinagne et à l'Italie de se tours ̃>.<*r toutes quatre ensemble vers ViUen;cë et vers Salamanque et de reepiiiimander conjointement aux <U»iiy' fcamps de refaire l'unité et up:>i4eménl de l'Espagne en restnur::tl1L la monarchie et en choisissait comme clé de voûte un prino'e de la dynastie qui régnait

hier/? ~'t

U semble que ce soit là le seul terrain sur lequel toutes les concordjes espagnoles et internaticiiiales pourraient s'établir? I Wiadimir d'Ormesson.

imn^ltmitu,i itiiutiiiiuiillutiiiHiiHiiHiiiiniiiiiitiiiiiii '1

Elg PAGE 3

UETAT DE SANTE BS. -L'ABBE' LAMBERT

1

lEMEURElNQUIETANT

DEVANT LA COMMISSION

DES AFFAIRES ETRANGERES

M. YVON DBLB0S a fait Un large exposé de la situation internationale.. .et notamment des problèmes soulevés par la non-intervention en Espagne La commission des affaires étrangères de, la '.Chambre a consacré hier aux affaires d'Espagne une. importante, séance,, marquée par', -sn exposé de M. Delbos. Le communiqué officiel 'de. la commission b xisume ainsi

« Le ministre a fait un historique détaiilè des ̃' événements d'Espagne et il a relaté les diverses étapes de l'activité diplotnatkiue\ à la suite des derniers incidents.. » Au cours de son exposé et de ses réponses aux questions posées par MM. de Kérillis, Grumbach, Bergery, Desb'ons, Bonté Péri, Pezet, Margaine et P.-E. Flandin, le ministre, a insisté avec foKe. sur l'étroite solidarité de la France et de la Grande-Bretagne dans îes négociations en cours et rappele que cette solidarité n'a été possiHe que par .l'adoption de la politique de non'intervention. Il a' indiqué que France maintiendra avec fermeté sa position en faveur du contrôle effectif de la non-interventions: > '̃̃ M. Delbos n'a nullement caché le danger que le problème, espagnol faisait courir à. la paix. Gomme M. de FériHis 'lui démaTidait si l'on était sur le chemin de la guerre, le miKstre déclara qu'il avait connu des heures plus rudes, mais que la situation était sérieuse. Les membres, de la-commission •̃uit insisté dans lés cpuloirssur l'unanimité qui s'y était. manifestée. (tsant à la nécessité .de maintenir la politique de la non-intervention, Cjiii a «empêché jusqu'à présent, dit M. Delbos, l'élargissement d* conflit ». Jl. Delbos a rappelé les efforts de la France et du l'Aiigklerre p'our> retenir l'Allemagne et l'Italie dans le concert des puissances contrôleuses. La réponse de ces deux puissances es; attendue incessamment^ par Je Comité de Londres,qui se réunit aujourd'hui ` C Paul Camus. ̃̃ (Suite page 3, colonne 1 et 2.) ̃'

LE LOUIS D'OR ^AL AIT

fj

LES JOURS SE SUIVENT

EN REGARDANT LE BAL J Bals et Jjalas tous les soirs. Les femmes n'ont jamais été si belles et si élégantes qu'à Paris en ce moment. Les restaurants sont pleins et, sous lé scintillement des lumières, une U société s'anime, luxueuse et séduisante, qui fait penser à une ciuilisation au comble de l'aisé et de Vin- U souciance. Prenant plus d'intérêt à regarder les plaisirs qu'à m'y sou-

mettre, je suis des yeux le bal. Il ij

a deux jours, sur la terrasse du pavil- j Ion du Portugal où de jeunes femmes L~ en costumes paysans montraient les plus fiers atours (ce sont les filles les plus droites du monde, a écrit £t Valéry Larbaud des Portugaises.) hier soir, dans nue vaste cour à l'ita- lienne, tout Paris dînait, sous les blasons de la péninsule. Ce soir, dans quelque autre pavillon oit l'amitié nous convoque.

Quand je vois tant de grâces flexibles, ce plaisir, cet oubli, je pense qu'il est juste, qu'il est légitime et ç, utile que les choses se produisent Cy ainsi mais je pense aussi, par un Bi travers d'inquiétude que je n'ai ja- vi mais pu réduire, au moment dans m l'histoire des peuples la fête est in- s'1 terrompue. Nous sommes a peu près lés seuls avec l'Angleterre, en Eu- ,'̃ rope, a pouvoir composer des divertissements si brillants. Comprenons- nous bien que si notre sort politique n'est pas enviable, noire société, par

un paradoxe qu'il faut reconnaître,

l'est encore pleinement ? Et- que ces facilités heureuses, ce luxe, ce parfum de vie libre doivent inspirer] l'envie aux hommes et même au i destin.

Précisément, quelques nouvelles j qu'on ne lit point dans les journaux

précisent pour les initiés un sanglant

malaise en Russie. On démêle mal, parmi l'atrocité des dernières exéculions, le vœu tragique qui les a ordonnées. D'autres les ont suivies, moins criantes d'autres menacent; des intellectuels après 7es généraux sont jetés en prison. Et, sur le fleuve Amour, les avant-gardes soviétiques cherchent les Japonais et les trou- r vent. Quelles intrigues ordonnent là un dénouement pour la peur on le 1 désordre ? L'Espagne en flammes, les frontières de l'Asie brûlante et entre les deux, ces communautés 'qui n'ont trouvé leur ordre que dans de dures contraintes -et tous les puys ruinés, plus ou moins.

Je ne dresse pas ces deux tableaux par goût antithétique ou. par effet romanesque.Je ne puis regarder l'un, sans voir apparaitre l'autre. Cette laque qui forme le brillant de notre civilisation et oit se reflètent encore l, tant de grâces parisiennes; qu'elle est1 fragile, en somme, menacée de cra- l' quelures: Et comme noiis devons y ` pailler i

.«̃» Gu«rmant«s.-

APRES LA REOUVERTURE l LÀ BOURSE

.A LIVRE A TERMINE à 128;93 ` 28 jiàn ̃ .;̃ 110,55 E DOLLAR A TERMINE à. 26,06 28 juin 22,42 E FLORIN A TERMINEà 14,30 28 juin.. 12,3325 ES RENTES GAGNENT de 1,80 à 5 fr.

ES VALEURS FRANÇAISES ET ETRANGERES montent de 10 à 15% (Voir les détails dans lé « Figaro 'conomique et Financier », page 9.) Deux démissions à l'Exposition

Nous apprenons que Je comte Mean de as.telfanè,. président du Comité d?aeuejl,' conseiller municipal, et H: Victor ucaille, syndic du Conseil municipal, iêniient de donner tous deux leur, dé-' îission- du Comité d'accueil de l'Exp.oition.. ;̃•' :̃;̃'

ce; BéiR, mu 'pE"kiriA\N~E~o~:

.(lui sera donné au Grand Palais, paraîtront les 48 « Rocketi Girls, fameuses danseuses américaines venues spécialement à Paris' à l'occasion de cette fête. Le-, voici, ai,rèb leur visite à l'Opéra, r'h'»'a»hiëeta devant le célèbre greiij- c'.e la danse de Çarisgçux. `. -r,

AUCUNE SOLUTION

i

N'EST INTERVENUE dons le conflit

Df L'HOTELLERIE Noyselhs délibérations s aujourd'hui A 9 h. au ministère du Travail A 14 h. à la présidence du Conseil

Le gouvernement, en dépit de l'urgence de certains autres problèmes, s'est employé, hier, presque exclusivement, à! éviter 'le grave conflit qui menace d'éclater demain dans l'hôtellerie, et- dont les conséquences seraient, incalculables, tant au point .de vue social, qu'écono- mique. '̃̃ 'Le conseil de cabinet, le' matin, en avait longuement délibéré M. Chàutemps. exposa le sens- de la- proposition transactionnelle qu'il avait l'intention de soumettre aux. deux parties. La réunion ministérielle à peine terminée, M. Chautemps reçut simultanément,' dans son cabinet dé -travail, la dé- I', légation patronale, conduite par MM. Plottier, président de 1-a Confédération générale des boissons, et Fourmy, -pré- sident de la Chambre nationale de l'hỗ .iejlcrie, et. la délégati^'ide .la Fédéra- tion des employés d'iicLels, conduite par 'M..Savoie, secrétaire 'général de la Fé- dération ouvrière de, l'alimentation. Le président du Conseil était entouré de ses ministres des affaires étrangères et du travail, de son sous-secrétaire d'Etat et de hauts fonctionnaires du ministère du travail.

M. Chautemps,' se faisant persuasif et pressant, après avoir exposé la situation I dans1 laquelle se trouvait le pays, de-, manda aux deux délégations de faire preuve de conciliation'et de patriotisme pour éviter un redoutable conflit. Le ministre des ""aff aires étrangères souli- gna l'impression fâcheuse que provo- querait' hors nos frontières la fermeture générale des hôtels. Celle-ci ne porte- s rait pas seulement atteinte V- bon re- s nom de rhospitalité française, mais:elle s serait surtout considérée à l'extérieur r comme la preuve matérielle de nos lut- 9 tes intestines et cela, au moment où la £' situation diplomatique nécessite une vi- ° gilance particulière. n Edouard de Vorney. ],

(Suite P'age.3, colonnes et 2) j,

̃ '•̃ '̃ ̃ li

« Les hôteliers £

restent inébranlables. », [ t nous dit M.. Plottier c

.1

A 23 h. 45, M. Plottier nous a fait, au siège du Comité exécutif de l'hôtellerie, la déclaration que voici La réunion de ce matin à la'.p'rêsidence du Conseil; avait/débuté par une déclarations pathétique M. Yvôn Delbos, et de M. Camille Chautemps, en mettant en valeur la situation difficile du pays. On fit appel àv nôtre esprit de conciliation.

'̃»: La discussion s'engagea ensuite avec la délégation ouvrière, tout particulièrement sur les disponibilités de main-d'oeuvre dans le pays tout entier pour .permettre à nos professions de s'accommoder aux dispositions du. décret des quarante heures. Malgré la Documentation positive que nous avons remise au président du Conseil, la délégation ouvrière, constestant nos dires, provoqua de la part du chef dlti-,gouvernement la nécessité de se livrer à une enquête plus approfondie, et c'est précisément pour permettre à cette enquête de s'accomplir, qu'une^ proposition cop- eiliatrice' fut émise par un des membres des délégations^ tendant à voir s'instituer pendant une période de trois mois un régime transitoire Basé sur une répartition des heures de présence, à raison de cinq jours et demie par semaine, autrement dit application de la semaine anglaise. Il » C'est précisément sur cette proposition conciliatrice que le président du Conseil a démandé aux. délégations de réaliser un accord. Les délégations furent priées de revenir vers 19 heures pour rapporter au président du Conseil leur réponse. '1

» La délégation patronale se rendit donc à cette seconde audience de la .journée elle fit connaître que son Comité exécutif sj'étânt réuni dans Tinter- j

yalle ne pouvait admettre d'autre forme

transactionnelle que celle contenue

dans le projet de résolution adopté par l :le Sénat, c'est-à-dire semaine de 54 heures; pour les cuisiniers et de 60 heures p^our le restant du personnel, avec répartition sur six jours égaux ou inégaux, devant entendre que dans ces heures de prés'ence se trouvent incluses les heures des repas. La délégation a, en ou-' ̃trs, déclaré qu'elle ne s'opposait "ffullç- j. Ornent à l'ouverture d'une enquête, mais l, que;celle.-ci ne. devait pas.se horner à Ja question de la 'main-d'œuvre mais aussi

aux possibilités financières des établis-

sements et également aux conditions j .d'exploitation des. établissements sai- sonniers ou non saisonniers.EUe* a-éri-i 1

La délégation des hôteliers ayant à sa tête M. Gommy, président de la Chambre Nationale de l'Hôtellerie,; quitte la:Présidence du Conseil. suite exprimé son désir d'apporter toute sa collaboration à l'application des lois sociales, notamment à celle des quarante heures elle a affirmé ensuite ju'eJle serait obligée d'envisager pour ses commettants la fermeture des établissements cette décision n'est ni plus :ii moins conforme à celle qui est faitf i un commerçant de déposer son bilan lorsqu'il n'est plus in bonis.

» Le président du Conseil a paru impressionné par cette décision et a prié !a délégation patronale de réfléchir à nouveau à la nécessité d'un accord immédiat pour éviter à notre pays une agi- tation qui, dans les circonstances ac.tuelles, ne peut que lui être préjudi:iable.

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Le franc flottant ou le repas à la cafte

Pendant plus d'un e: iècle, depuis le premier xi Honsul jusqu'à 1914, le s< ranc fut fixe. -11- p

1- .1" "1,

t,c tut mcmc ia acuâc muac 4ut a~ demeura fixe dans l'évolution politi- la que, économique et sociale du siècle, so évolution tout empreinte d'un parti Yt pris de changement. fa d<

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1

Les Français respectèrent la fixité du franc plus que rien autre, comme s'ils sentaient que, faute de perma- su nence dans les institutions, la perma- la nence de cette mesure des contrats qu'est la monnaie devenait plus né- le cessaire à des relations civilisées. gl Sur cette fixité du franc se fit la ti< lente et continue accumulation de d< l'épargne, engendrant le fameux cré- « dit de la France. L'encaisse-or, trésor er de sécurité de la patrie, monta peu c( à peu. Moyennant quoi, invasions, si discordes, changements de régime, cc crises et faillites passèrent sans que te fût épuisée ou découragée l'énergie fc de relèvement de la nation.

̃̃-̃ ̃̃̃'•. r*v -̃.̃• fi:

En' 1914, la convertibilité du franc- te papier fut suspendue. Mais pendant L toute la guerre, grâce, d'abord, aux sc réserves de crédit que possédait notre ci pays, puis grâce au soutien du crédit 7 britannique et du crédit américain, le g franc ne perdit guère de sa valeur. p C'est après la guerre, quand cessa C le soutien anglo-américain, que le q franc commença de descendre sensi- ir blement. La descente devint de plus g: i en plus sensible, puis rapide, à mesure que crût la charge des emprunts d'après guerre, doublant la charge ï des emprunts de guerre, et qu'apparut le caractère illusoire des combinaisons p successives pour « faire payer l'Alle- ci magne ». Arriva 1926. n

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ci Poincaré, patriote, grandi dans le n culte de ce. franc intègre qui avait ei préservé, au dix-neuvième siècle, à p travers tant d'aventures, les libres des- n tinées nationales, s'acharna à le re- p lever de sa chute. Malgré sa passion, il ne put l'impossible. Du moins, rési- p gné à l'amputation, finit-il par sta- p biliser le franc, par lui rendre sa fixité sc sous des garanties si fortes qu'elles h semblaient laisser une marge géné- e: reuse aux imprudences politiciennes et n aux aléas économiques. p Trop de marge peut être une tentation. On sait ce qui advint. Et nous sommes, aujourd'hui, au régime de la monnaie « flottante » d'un q franc qui flotte autour d'un niveau de u quarante pour cent inférieur au niveau-or du franc Poincaré. a n

̃ •' ̃ !w ̃.̃̃̃̃; éi .̃̃̃ ̃̃- ̃ q Une monnaie flottante n'est défen- te due ni par des sorties d'or ni par un ri contrôle des changes. Elle oscille sui- n vant la compensation des crédits et des dettes exigibles avec l'étranger, s< sous la surveillance active d'un Fonds ei d'égalisation des changes destiné à en ri régulariser ou atténuer les mouve- « ments. d Procédé facile ? Certes non. Mais

Avec tes derniers occupants du dernier établissement

parisien en grève

Depuis 73 jours les employés de la Société « La Soie » font la grève. sur les coupons i"

Dans le discours qu'il prononçait mardi à la tribune de Ja Chambre, M. Paul Reynaud évoquait le cas presque incroyable d'un immeuble occupé illégalement depuis 73 jours.

Cet immeuble, qui semble détenir de la sorte le record de la durée d'occupation, est celui de la Société « La Soie », situé 115, rue Saint-Denis, non loin des Halles. Nous lui avons rendu visite. Une façade grise, découpée de larges 1 baies, des poutres de fer apparentes. Rien qui puisse attirer particulièrement l'attention, et cependant des passants, nombreux en cette rue, s'arrêtent. I Le rideau de tole ondulée est tiré. Une pancarte manuscrite attire le regard Nous sommes en grève, peut-on lire, parce que l'on veut jeter dix de nos camarades sur le pavé. L'un d'eux, père de famille, a 45 ans de maison. Nous demandons leur x-cintégration. »

« Nous tiendrons

jusqu'au bout »

Un calicot blanc, tendu à hauteur du premier étage, annonce .fièrement « 73' jour de grève. Nous tiendrons jusqu'au bout » Il est timbré dans chacun de ses angles des initiales rouges de la Confédération générale du travail.

Derrière les vitres, des employées. tricotent. Devant la porte, un jeune homme est assis, mélancolique, sur un tabouret. C'est lé « peloton de grève ». En l'absence du délégué qui se repose des iati;uK'sd'uic soirée très. occupée, un pi.Mii. (.^lisent', après de nnmbreu-

expédient relativement discret, s'il réussit, pour sauvegarder l'encaisse-or sans sacrifier la liberté des échanges, pour attendre qu'un nouvel équilibre ajuste les prix intérieurs au niveau de la concurrence extérieure et aux besoins du budget, et pour réduire à l'exact minimum, le moment venu, la faillite partielle que comporte toute dévaluation légale.

̃'̃* /•̃ "W

*i

C'est le procédé monétaire que suivent l'Angleterre depuis 1931 et la Hollande depuis l'an dernier. Mais on est prié de ne pas prendre les exemples trop à la lettre. L'Angleterre et la Hollande sont des nations de vieille tradition marchande, dont l'opinion a le sens familier de ce qu'il faut faire ou ne pas faire en matière de finances publiques comme de direction économique, et, surtout, qui sont gardées contre l'incompétence et l'imprévoyance électotorale par des institutions dites gardefous, que nous n'avons pas.

J'ai dit que les Français du dixneuvième siècle avaient respecté la fixité du franc comme une garantie essentielle de permanence dans l'instabilité générale de leurs institutions. Les Anglais ont joué avec plus de souplesse de leur monnaie, mais précisément parce que leurs institutions, Trésorerie, Banque d'Angleterre, règles et procédures budgétaires, échappaient elles-mêmes au flottement. Chez nous, la monnaie flottante risque de n'être surveillée que par des institutions mal assises, et livrée au gré d'intérêts plus flottants qu'elle.

"1

Là monnaie flottante sera donc pour nous une école de discipline consentie, étant bien entendu que si nous refusons cette discipline, la monnaie ne flottera pas, elle coulera. Il n'y a pas de Fonds d'égalisation des changes, il n'y a pas de défense technique qui puisse retenir une monnaie, et encore moins la stabiliser à n'importe quel niveau, si l'incertitude économique et politique la vide peu à peu de toute valeur sûre.

C'est le repas « à la carte ». Il peut être moins cher ou beaucoup plus cher que le repas « à prix fixe », selon que le client se retient ou se laisse aller. Le repas « à prix fixe » est devenu impossible pour lé moment, le client n'ayant pas voulu se plier au menu. K! '̃;

:1

Pratiquement, les mesures pénibles que l'on vient de prendre donneront un délai à la Trésorerie.

La suite dépendra de l'effort qui aura été fait pendant ce délai pour relever la production et toute l'activité économique. Car personne ne croira que de nouveaux impôts sauvent longtemps le franc si le pays, faute d'un rendement suffisant de son travail, ne peut payer lesdits impôts.

En revanche, toute amélioration sensible des indices de la production et du commerce extérieur fera renaître rapidement ce que l'on appelle la « confiance » un calcul favorable des probabilités de fait.

LUCIEN ROMIER.

ni

es

I ses hésitations, a nous exposer les raisous de la grève.

«La direction, nous dit-il, a licencié dix de nos camarades, parmi lesquels deux délégués du personnel et trois délégués du bureau syndical. Les prétextes invoqués sont ]a suppression d'emplois et les compressions budgétaires. Mais nous n,'y croyons pas, car depuis le mois de janvier la direction avait embauché six nouveaux employés.

» Nous avons demandé la réintégration de nos camarades. N'ayant pu obtenir satisfaction; nous avons proposé de soumettre le cas de ces dix révoqués à l'arbitrage. La direction s'y étant opposé, nous avons déclenché la grève. Il y a deux mois et demi que tous nos camarades, hommes et femmes, sont enfermés ici. Nous n'en sortirons que lorsque nous aurons obtenu complète satisfaction, c'est-à-dire lorsque nos camarades auront repris leur place parmi nous. »

Et le gréviste obstiné rejoint ses camarades dans une salle sombre, qui servait de magasin et sert à présent de dortoir, et dans laquelle des pièces de toile, étendues sur le sol, offrent un confort relatif aux champions de l'illégalité.

MiitiiuiHiiiuiiiiiiiiiiiiutttiiiiiiitiiuiitiiiitiitiiiiiiiinitiiniuiii* LA SANTE DU PAPE (Lire en troisième pa^e la dépêche de notre correspondant rr.riiciilier au Vatican.)


^PWW^^MWi ̃̃ ̃–̃̃̃̃- IWP– »– ̃ IHN IIP–Il !̃̃ ̃ II II ̃ III lt| I.– I ̃ II ̃ Illl^ J 11^ I II l ÉHiyWWWPIIIII I ̃!» ̃ IW ̃ I, ̃*̃»' '^«-̃HIPIII 1.11 WIIW.IMI.WiW-– '?" ̃- »»«,l II ̃̃ .< i ̃̃– i ̃ »-.̃ "t ̃ ̃– ̃̃ '1' FIGAKp^AÇTJIAliJIS– Ç

A l'occasion de l'anniversaire du prince Bernard de Lippe, des habitants de la province de Lippe-Detmolt, tous vêtus de leurs pittoresques costumes régionaux, sont venus exécuter les danses de leur pays devant la famille royale. On voit ici, groupés sur le perron du château de Soestdijk, de gauche à droite le prince Bernard debout, et assises, la reine WiUielmine et la princesse Juliana.

LES ECHOS

~AMMMMMEE

La flamme du Souvenir

A 1S h. 30, ù l'Arc de Triomphe Fédération nationale des sous-ot'flclcrs des armies de le'rrc et de tuer, 10°, 25e et 57» sections.

Conférences

A 17 heures, au Cercle Républicain, 5, avenue de l'Opéra « La situation économique et financière », par M. Lucien Lamoureux, ancien ministre.

Fêtes

A 21 Heurts, au Grand-Palais1 Gala de la Danse.

Congrès

A l'Ecole du Louvre Congrès national de niuséograpnlc.

Expositions «.

H, rue Royale Les maîtres populai'res de la réalité.

Au Palais national des Arts, avenue du Présideïit-Yvilson Chefs-d'œuvre de l'art français (de 10 heures il 18 heures). ̃ A l'Orang-eriq des Tuileries Arts de la Chine ancienne.-

Courses

A 14 heures .Muisons-Laffilte.

L'Académie fait une faute

de français,

L'Académie, au cours de sa séance d'hier, a mis au point la définition du mot acier, lequel, disent les Qua'rante, « est susceptible d'acquérir une certaine dureté ». Susceptible d'acquérir. Si l'on ouvre la dernière édition du Dictionnaire de l'Académie, on s'aperçoit que le mot susceptible ne peut être employé qu'avec un substantif. Pour être d'accord avec elle-même, l'Académie devra donc reviser la --défini-tion de susceptible ou celle d'acier. FRANÇOIS MAURIAC

de l'Académie française

JOURNAL

Tome II ̃̃̃•.

̃-fr-- ̃- « journal est un livre

S^$t?il? tout frémissant d e

.JrwS* pensée, de personna-

P^ iité, de sincérité, de E £& 12 lucidité inquiètes; quii •' W conque l'ignore, ignore

i* H François Mauriac, dont ï il éclaire l'œuvré. C'est

I %V une protestation et une

L A »" affirmation. Journal

%M s' WHie' quotidien est éter-

nel, l'Homme est au-

dessus de l'événement. »

« Revue de France, »

Grasset, 1 vol., 16 fr. 50.

€OMm!!E!R MES MinrMS

RILKE, BERNARD GRASSET ET LA VIE CREATRICE MM. Bernard Grasset et Rainer Biemel viennent de traduire les Lettres à un jeune poète de Rainer-Maria Rilke. Ce petit livre est un document infiniment précieux sur la création poétique, sur la naissance dans un être du vrai poète une sorte de radioscopie des puissances de l'âme.

On ne s'étonnera pas que M. Bernard Grasset, qui a ia ferveur de la chose littéraire et s'est toujours penché avec, passion, par 'oh'içation de metuT et par

M. Bernard Grasset

jjoût personnel, sur Içs mystères de la création littéraire, ait fatt suivre les Lettres de quelques fortes- pages. On aimera, en particulier, qu'il a't mis, sous une lumière nouvelle, ce don remarquable qu'a eu Rilke (M, Grasset le nomme charité, caritas qui, au sens classique, signifie dépense du cœur) de communier avec la nature et avec l'homme. Nous parlions hier à Pécrivnin-ëditeur de son travail de traducteur, de ses difficultés grandes si l'on songe combien 1a phrase rilkienne révèle une prise nuancée et infiniment exacte de son objet. Et M. Grasset nous disait Un homme comme Rilke doit se traduire par des équivalences. On ne peut presque jamais traduire pxr le mot à mot. Ainsi un ou deux exemples. A un cer'ain moment, Rilke parfttr.t au DEMAIN

LA GRANDE FETE

DE L'ELEGANCE

LA NUIT

de

LONGCHAMP

DANSES FOLKLORIQUES. DEVANT LA FAMILLE ROYALE HOLLANDAISE

Joséphine Baker,

la prestigieuse vedette niondiale, avec l'autorisation spéciale de M. Derval, directeur des Folies-Bergère, recevra ses nombreux admirateurs et amis au Pavillon Claçquesin, à l'Exposition (Porte de l'Alimentation, Champ-de-Mars), ce soir à. 17 h. 30. Joséphine Baker se fera un plaisir de dédicacer sa photographie aux amis de Clacquesin, l'apéritif le plus sain.

Le niveau de t'instruction. Un de nos abonnés nous écrit pour nous signaler que son fils, qui est au lycée Janson, en cinquième, vient de passer son examen d'admission à la classe de quatrième. Jusque-là rien d'extraordinaire. Mais ce qui étonne, à juste titre, notre correspondant, c'est que, sur trente-six élèves, il v en a eu quatre d'admissibles. Et pourtant, ajoute-t-il, l'examen était relativement facile. « Ce qui tend à prouver, dit notre abonné, que le niveau de l'instruction baisse au fur et à mesure qu'elle se généralise. » C'est à craindre, en effet.

La fête de nuit du château de Villandry s'annonce comme devant être très réussie.

Elle sera précédée d'Un grand dîner, offert par Mme Cârvailo.

La dernière robe. =

Les mannequins du pavillon de l'Elégance n'ont plus ces gestes de harpistes qui accompagnaient nécesI sairement la présentation d'une robe. Elles ont des attitudes familières, comme on en a dans les salons les jambes croisées ou le menton sur les genoux. On voit même une belle jeune femme d'argile en robe du soir, qui est mollement couchée sur un petit tertre de gazon. Elle a un peu l'air de dormir son dernier sommeil. Si bien qu'un plaisantin avait posé hier à côté d'elle cette inscription, « R. I. P. »

Le Masque de Fer.

BAISSE 40 S PIANOS neufs, droits et queue. Cess. commerce. Occasions depuis 1.500 francs. Henri HERZ, 12, av. Victor-Emmanuel. Bal. 51-73.

jeune poète lui dit « Vous n'avez pas encore de manière personnelle. Pourtant quelque chose de propre, de personnel voudrait trouver voix et genre », z'est-à-dirc mot à mot « chant » et « sorte de chant ». Nous ations traduit oar « Quelque chose de propre voudrait trouver issue et forme », .généralisant oour tous les arts la sortie de l'inspiralion et sa forme. Issue et forme s'appliquent- aussi bien à' la sculpture qu'à ta poésie.

Un autre exemple il oppose à un certain endroit ce qu'il appelle les moments créateurs et puis ce qu'il appelle tes moments vides. Ce n'est que deux ju trois jours après avoir traduit ainsi que j'ai pensé que le mot « sécheresse » serait meilleur que le mot vide, par ussimilalion aux états mystiques dans lesquels se succèdent les moments où Dieu esf présent et les moments où il semble lie Dieu abandonne. Quelque temps après, en lisant une lettre en français rie Rilke, j'ai trouvé sous sa plume, écrit par lui directement en français, ce mot « sécheresse dans le même sens.

M. Bernard Grassét formule au passage un principe qui nous semble d'une justesse parfaite « D'ailleurs pour' Rilke la terminologie mystique est presque toujours la bonne pour le traduire. »

Ces pages que vous donnez en appendice aux Lettres d'un jeune poète et qui constituent l'essai par excellence, il m'a paru, à les lire, que vous y avez été porté par une prédilection singulière.

Ce qui m'a provoqué là, c'est vraiment que tout ce que j'ai écrit tourne autour de créations de l'esprit. Dans mon premier livre « Remarques sur l'action », il y a déjà Un appendice qui a autant d'importance que le volume même et qui est Sur le besoin de créer. est deux natures d'êtres ceux qui sont seulement intelligents et ceux qui ont besoin de créer, et le besoin de créer est tout à fait indépendant de l'itttelligence.

Ce qui m'a le plus intéressé dans Rilke, c'est ce pathétique besoin de créer, et c'est cette subordination de 'lu vie entière ù la création. Celui dont il se rapproche le plus comme nature selon moi, c'est Proust, Proust avait cette concentration, la même que Rilke, toute tendue vers l'emploi de l'émotion. La différence essentielle entre Proust et Rilke, c'est que Proust ne s'est guère intéressé qu'à l'homme, tandis que pour Rilke l'homme est une partie de son intérêt pour le monde. Ce qui intéresse le plus Rilke c'est l'élément végétal dans l'homme.

Et en rendant hommage à M. Rainer Biémel avec qui il a patiemment « jnrterrogé tous les mots », M. Bernard Gr.isset montre combien il s'est avancé dans l'intimité du grand poè.le. J..F.

Hommage des écrivains français à Mlle Hélène Vacaresco

Les écrivains français et les nombreux' amis de Mlle Hélène Vâcaresco s'étaient j réunis hier en la salle Chopin pour Jui exprimer, à l'occasion de son anniversaire, leur affection profonde et leur chaleureuse admiration. Tous enten- dirent avec émotion M. Marcel Prévost, de l'Académie française, S. Exe. M. de Souza Dantas, ambassadeur du Brésil, la duchesse de La Rochefoucauld, M. Fernand Gregh, M. Paul Rcynaud, M. Willy Gordon, M. Paul Morand, eu son absence lu par M. Escaude, évoquer l'oeuvre poétique, littéraire et politique de cette grande amie de la France! Eh tenines émus, éblouissants et charmeurs, Mlle Hélène Vacaresco remercia tous ses nombreux amis, puis l'on applaudit avec enthousiasme quelquesuns de ses poèmes, remarquablement interprétés par M. Escande et Mlle Nizan, de la Coméiiie-Française, et Mlle Denia, de l'Opéra.

M. Paul-Boncour, M. le maréchal Pétain et S. Exe. le comte Olauzel, ambassadeur de France, avaient envoyé leurs vifs regrets de ne pouvoir assister à cette réunion.

-tin grand diner au Pavillon roumain termina cette -manifestation de gratitude affectueuse vis-à-ys de l'incomparable amie qu'est pour hqus Mlle Vacaresco.

Au profit de trois œuvres intéressantes

1 ,•• Vente de bienfaisance Aujourd'hui' vendredi 2 juillet, de 14 à 19 heures, aura lieu une grande vente de bienfaisance 1° au profit du Comité de protection de l'enfance, président, M. Auguste Bizouard 2" pour Je: sanatorium des instituteurs, et ')" pour la grande pitié des Berceaux de France.

Cette IbeMe manifestation de charité aura lieu à la Toile d'avion, 13, place de la République, organisée par la Ligue de l'enseignement et de l'éducation sociale. Nous la rcommandons tout particulièrement à Ja charité de tous.

LE JEUDI ACADEMIQUE Un message de fidélité

spirituelle

des Canadiens et Acadiens L'Académie française a reçu le télégramme suivant

« Les Canadiens et Acadiens, Américains de langue française, réunis à Québec pour le congrès de langue française, se souviennent du rôle séculaire, de l'Académie française, gardienne du parler de communs ancêtres offrent à l'Académie l'hommage de leur respectueuse admiration, l'assurent de leur fidélité aux meilleures traditions de la langue et de l'esprit français. Par l'Académie, leurs hommages vont à la France qui, il a a trois siècles, établit au Canada un royaume indestructible de son verbe et de son empire spirituel. Les congressistes remercient l'Académie d'avoir délégué un de ses illustres membres et souhaitent que des relations fructueuses unissent toujours les âmes françaises de France, du Canada et de l'Amérique. Camille Roy, président du Congrès. »

L'Académre a répondu. à ce message par un autre télégramme exprimant aux congressistes ses remerciements et ses pensées confraternelles:

Les quarante, après avoir délégué M. Louis Sladelin pour les représenter au Congrès de 1'Alhanee française jeudi prochain, ont repris la revision du Dic- tionnaire qu'ils poursuivirent jusqu'au mot acné. Ils adoptèrent au passage" « bonbon acidulé ». L. C.

Aujourd'hui, it 15 h,, à l'Dxnositiuii au Restaurant du Roi George "Le chien de la Parisienne" Concours d'Elégance féminine et de Beauté canine

sous le patronage du Figaro

et de Femina

Les engagements sont reçus au- Figaro ou â. Femlua, 90, Champs-

EJysÉes.

Droit d'inscription 50 francs par concurrente quel que soit le nombre de chiens présentés (goûter compris). J3.0C0 FRANCS DE PRIX

.·m

Le « Temps » a fêté les cinquante ans de collaboration

du directeur de son imprimerie

Dans l'atelier des linotypes du Temps, réunis autour de M. Jacques Chastenet, directeur, tous les membres du personnel de la rédaction et'de la composition du journal ont fêté hier le cinquantième anniversaire de l'entrée au Temps de M. Jean Reiter, directeur de l'imprimerie.

M. Jacques Chastenet, après avoir ̃rappelé dans une émouvante allocution la vie de labeur et de dévouement de son collaborateur, remis à celui-ci un bronze artistique, avant que M. André Bran apportât également à M. Jean Reiter les félicitations du conseil d'administration du Temps.

LE CillRjNET DU ̃̃̃« FIOillRQ

AUJOURD'HUI

Réceptions. Comtesse \V. d'Ormesson (CMteau a'Ormesson.)

18 Heures Porto cliez la princesse Mal;lnsïy.

̃ Deuils. S 11. i0 Messe anniversaire pour M. Andrt Lamandé (Chapelle (lu Cercle des Etudiants catlioliques, Cl, rue Madamt1,).

fl heures. Obsèques de Mlle Catherine do Finance (Saint-Pierre du Gros-Caillou). 11 heures' Obsèques de M. Jean Brouand ( Salnt-Jeah-Saint-François rue Cliarcot )

uiliimimiiiiiiiiMmilHiliiiiimMiiiHiiMuuiliiiiHiltiiuiixiniil AMBASSADES

S. Exc. l'ambassadeur de France à Varsovie et Mme Léon Noël ont donné récemment un dîner auquel étaient conviés

S. Exc. l'ambassadeur d'Allemagne et Mme von Moltke S. Exe. l'ambassadeur des Etats-Unis d'Amérique et Mme Drexel Biddle S. Exe. MJ Grabowskl, ministre de la justice de Pologne le vice-ministre des communications et Mme Bobkowska M. Piusecki, vice-ministre des communications; S. Exc. le ministre plénipotentiaire et Mme Michel Moscicki la princesse Casimir Lubomirska E. Exc. M. Ilo, ministre du Japon S. Exc. le ministre d'Estonie, Mme et Mlle Markus la barouue Ptlffcr M. Wieîowieyski, ancien ministre le comte Joseph Potocki, directeur politique an ministère des affaires étrangères Je colonel et Mme von Studnitz Mme Senni, M. Dimitresco, M. Koitch, M. et Mme Ciechanowiecki le prince Sébastien Liibomirski M. CiraoTo, le colonel et Mlle Arsitre, M. et Mme Guyon.

Le chef de bataillon Thiébaut, de l'infanterie. coloniale, vient d'être nomme attaché militaire près l'ambassade de France au Japon.

MONDE OFFICIEL

M. de Tessan a reçu hier matin M. Eddé, président de la République Libanaise, à qui il a remis les insignes de grand officier de la Légion d'honneur. M. Eddé quitte Paris ce soir, pour rentrer à Beyrouth.

BIENFAISANCE.

L'œuvre des Colonies de vacances pour les enfants, dont les Sœurs de SaintVincent de Paul de Saint-Dënys de la Chapelle, 7, rue Jean-Cottin, Paris (18e), s'occupent dans leur Orphelinat, au cours de leurs visites aux malades et aux familles nombreuses, sollicite des 'dons en faveur des pauvres enfants qui ont tant besoin de bon air, d'une nourriture saine pour compenser les durs mois de privations dont.la plupart souffrent. Heureuses mamans dont les enfants sont heureux, choyés, gâtés, bien portants, pensez aux petits pour lesquels, dès l'enfance, la vie est dure envoyez une généreuse offrande à Mme la supérieure, 7, rue Jean-Çottin. C'est une bonne action qui vous portera bonheur.

CERCLES

Au ballottage de mercredi dernier, le comte Paul de Kotzebue, présenté par le général marquis de Laguiche et M. Polovtsoff, a été admis membre permanent du Cercle de:. l'Union.

Rappelons que la prochaine soirée dansante du Cercle Interallié aura lieu demain 3 juillet.

Un concert sera donné aujourd'hui 2 juillet, à 17 h. 30 très précises, sous la direction de Mlle Nadia Boulanger, en l'honneur du docteur Walter DamBosch et des étudiants membres des écoles américaines d'art de Fontaine. bleau.

NAISSANCES

M. Jacques de la Brosse et ma. dame, née Derrien, font part de la naissance de leur fille Catherine.

M. et Mme Rodolphe Hottinguer sont heureux d'annoncer la naissance de leur fille Caroline. 19 juin.

M. Etienne Viellard et madame, née Marne, sont heureux de faire part de la naissance de leur fils Paul-Henry. Méziré, 23 juin,

M. Jean Lattes et madame, née Alvarez de Toledo, ont le plaisir de faire part de la naissance de leur fils JeanMarie, -r- 24 juin.

M. Henri Confavreux et madame, née Anne-Marie Berniquet; sont heureux ,d'annoncer la naissance de leur fille Solange.

On annonce la naissance De Danielle Paquet (le Jean-Stéphane Wiederaann-Goiran de Vincent Joanneau de Vincent Cottin.

U.IANCA1U-ES

On annonce les fiançailles De Mlle Denyse Barbas avec M. Yves Carlier.

MARIAGE

Hier a été célébré, en l'église Notre-Dame d'Auteuil, le mariage de Mlle Renée Painvin, fille de M. Georges-Jean Painvin, ingénieur en chef des mines, officier de la Légion d'honneur, et de madame, née Lefort, avec M. Paul Gamelin, élève ingénieur à l'Ecole Centrale des arts et manufactures, fils de M. Paul Gamelin et de madame, née Cavroy. La bénédiction nuptiale leur a été donnée par le R. P. Duprey, de l'Oratoire.

Les témoins étaient, pour la mariée M. Léon Guillet, commandeur de la Légion d'honneur, membre de l'Institut, di-

^jxiïlxKJe et X&A aaajotW d'axtj^A^-o Kux

INAUGURATION rLe « Pavillon de l'Elégance », qui tireuse ses architectures bleu d'azur sur les bords de la Seine, à côté dit pavillon dfi l'Italie, a été, brillamment inauguré avant-hier matin: en ptçsence de M. le ministre du Commerce, -de MM. Labbé et Paul Léon, et de M. Dechaucl, président général du groupe du Textile. Une surprise était réservée, à l'intérieur de ce pavillon, aux très nombreux visiteurs qui avaient répondu à l'invitation de Mme Jeanne Lanvin, présidente de la classe exposante. C'est en effet dans nn esprit entièrement nouveau, sur lequel nous reviendrons plus longuement demain, qu'a été conçue la présentation des créations de la Couture, de la Fourrure, de la Parfumerie et de la Haute Mode masculine, qui se trouvent réunies pour la première fois dans un même ensemble décoratif.

Le Pavillon de l'Elégance sera officiellement ouvert au public à partir de demain samedi.

De la péniche à la volière iaris, depuis l'ouverture de l'Exposition, est devenu une bien séduisante Babel o'i, soir après soir, les séductions de la Crdx du Sud, du Pôle Nord et de toutes les latitudes, se conjuguent pour nous cuivici* à dîner aux rives de cette Seine doit les prés fleuris de jadis se sont vêtus dt péniches et de pavillons.

Au sein des latrïiris bleus et blancs de la péniche argciitue, sous ses lustres aux bougies couronnées d'abat-jour

recteur de l'Ecole Centrale des arts et manufactures, et M. Jean Painvin, son frère. Pour le marié le général Gamelin, chef de l'état-major général de l'armée, vice-président du Conseil supérieur de la guerre, grand-croix de la Légion d'honneur, médaille militaire, son oncle, et M. André Gamelin, son frère. Le 26 juin, en l'église de SaintLaumer, à Chartres (Eure-et-Loir), a été célébré le mariage de Mlle Suzanne Du-

A gauche Mlle Renée Painvin, dont le mariage avec M. Paul Gàmèlin a été béni hier en l'église N.-D. d'Auteuil. A droite Mlle Renée Blpmme,' dont le mariage avec M. Armand Thomas a été célébré hier.

(Studios de Paris et Phot.

C.-li. Manuel.)

PENDANT L'EXPOSITION

L'ACCUEIL DE PARIS

LE BAL DES FLEURS

S. Exc. l'ambassadeur d'Italie et Mme Cerruti, assistés du Comité du Bal des Fleurs, ont donné avant-hier, au Pavillon de l'Italie, une fête dont Paris se souviendra c'était l'union de l'élégance et de la magnificence, sous les rayons du la jeunesse. Lorsqu'on vit l'assemblée réunie duns la noble cour, on comprit que les fleurs qui figuraient dans le titre de la fête n'étaient pas que les gerbes et les guirlandes qui décoraient toilettes et chevelures, c'étaient les femmes elles-mêmes dans tout l'éclat de leur printemps.

Si les robes ont paru plus belles qu'à d'autres galas, c'est que l'architecture des lieux soutenait la pureté des lignes. Et si toutes les femmes paraissaient si jeunes, c'est que le souvenir de nuits florentines et vénitiennes semblait présent el ressuscité.

Malgré le très grand nombre de convives, le diner fut servi avec beaucoup d'ordre. Le bal suivit aussitôt on dansait sur une large estrade éclairée de projections multicolores. L'effet était ravissant. Puis André de Fouquières dirigea lc tirage de la tombolu qui attribua bijoux, voitures et voyages aux favoris du sort. La fête s'acheva sur un divertissement chorégraphique, dans lequel on put applaudir Serge Lifar et Mlle Darsonval dans le Pas d'action Mlles Larcin et Peretti n'inspirant de Chopin enfin les voluptueuses Promenades dans Roine, avec Serge Lifar et lé Ballet de l'Opéra.

On remarquait à cette splendide soirée, dont Mme Cerruti faisait les honneurs avec grâce et bonté

S. A. R. le prince Sixte du Bourlion-Purmu, UL. AA. RH. le duc et la duchesse de Nemours, S. A. le maharajah de Kapurthalu, S. Exc. l'ambassadeur de Belgique et la comtesse de Kerehove, S. Exe. l'ambassadeur du Brésil et Mme de Souza-Dantas, S. Exc. l'ambassadeur de Turquie et SIMe Suad Duvas, S. Exc l'ambassadeur d'Argentine et Mme Le Breton, LL. EExc. le comte de SaintQuentin, le comte de Cliambrun, M. Andi'éFrançois Poncet, S. Exc. M. Pila, ambassadeurs de France et la comtesse de Chambrun, Mme Pila, LL. EExc. les ministres de Hongrie, d'Autriche, d'Irlande, du Paraguay, de Bolivie, du Portugal, de Tchécoslovaquie, d'Uruguay, de Yougoslavie, d'Haïti et Mines Caballero de Bedoya, Patiuo, Osusky, Mane, Pouritch, Laraque M. François de Tessan, sous-seerctaire d'Etat, le haut commissaire d'Italie et Mme Plccio, le haut commissaire de la Graude-Bretagnc et Mrs Taylur, M. et Mme Pierre de Fouquières, le comte d'Herbemont et toutes jes personnalités du Comité d'organisation. Duc et duchesse de Levis-Mirepoix, dnchesse de La Rochefoucauld, princesse Amé(lée de Broglie, prince et. princesse Aohille Murât, prince et princesse de Beauvau-Craon, prince et princesse' de Bitteto, prince et princesse D. Gnlitzine, prince et princesse de Qiraman-Ghimay, princesse de La Tour d'Auvergne, princesse Jean-Louis de Faucigny-Lucinge, duc et duchesse Pozzo di Bofgo, princesse Brinda de Kapurthala, prince Amarjlt de Kapurthala, princesse Botteompugni, comtesse Joachim Murât, vicomtesse Vigjef, M. et Mme Léon Cotuareauu, le préfet et Mme Yilley, M. et Mme Jeun Glusppe, M. et Mme Piétvi, comte et comtesse Paraviçiug, marquise Somroi Piccenard!, comte et comtesse Gabriel de La Ruchefoucauld, princesse Boncoropagni, comtesse GiansanKl, comte et comtesse de Fels, comtesse de Ganay, comtesse Costa de Beauregard, comtesse de Beaucliniji, comte et comtesse de Chambrai), Mme de Wendcl, Mme Paul Dupuy, M. et Mme Pierre Dupuy, M. et Mme Marcel Prévost, M. et Mme de Ambro, Mme Trel'usio, Mme Suanwaert. Mme Heincmaim, vicomte et vicomtesse Curial, M. et Mme DuggO", Mme Rollet, M. el Mme P.L. Weiller, M. Léon Bailby, M. Taigixy, comte rt comtesse Hector de Béarn, comtesse de Viril-Caste!, comtesse Léo ilf Maigret. M. et

multicolores, entre ses rideaux mollement drapés pour quelque comédie de Marivaux, se retrouve tout ce que Paris collectionne de jolies femmes.

La lumière, savamment dosée, est douce aux joues féminines, et l'on peut évaluer, sans presque tourner la tête, les charmes comparés de la robe bayadère, de la robe d'organdi immense et langoureuse, de la robe de dentelle, du fourreau collant comme une seconde peau, du costume de piqué multicolore comme les chandelles, tant la mode de chez nous trouve en ce lieu un de ses gîtes d'élection. Bientôt l'on retrouve toutes ces robes charmantes, agrémentées de quelques autres, larges corolles de tulle ou de voile pailleté, fourreaux sinueux, dépourvus de toute apparence de dos, tournoyant sous une flatteuse lumière indirecte, sur le « roof » de paille qui s'accroche entre ciel et eau, au-dessus du Pavillon de l'Elégance, et dont un décor de miroirs et de nids justifie le titre de « Club des Oiseaux ».

A moins qu'on ne dîne d'abord dans la volière, pour aller danser eusuite sur la péniche. Comtesse de S.

Chaises et cadres nouveaux ♦ Des chaises en chenu naturel poncé, dont le siège est formé par un lilet serré en corde de chanvre les pieds et une partie du dossier sont recouverts par le simple enroulement d'une cordelette de chanvre.

Des chaises en bois laqué noir; le siège est constitué par un treillis en rotin de couleur unie, mais qui varie de nuauce avec chacune d'elle.

bois, fille de M. Jules Dubois, capitainemajor à la base aérienne de Chartres, ofteier de la Légion d'honneur, et de Mmt Dubois, avec M. René Cocquerelle, fils de M. Cocquerelle, juge de paix, décédé, et de Mme Cocquerelle.

La bénéd'etion nuptiale leur a été donnée par l'aibbé Pierra, vicaire général pour la marine, officier de la Légion d'honneur, colonel aviateur de réserve, qui prononça une éloquente allocution.

A gauche Mlle Denyse Prioux dont le mariage avec le capitaine Jean ̃ Xôùsliis "de "Norsy a' été béni en l'église Saint-Louis des Invalides, .-rA droite Mlle Nicole, Jeanpierre dont le mariage avec le lieutenant comte André de Sars vient d'être célébré à Nancy en la basilique Notre-Dame de Lourdes.

(Studio I'eeters et Studio Iieaugers.)

Mme Pierre de Fouquières, baron Maurice de Rothschild, baron et baronne Fouquier, M. et Mme Mathls, de Montjou, M. et Mme Patenôtre, M. Stej)huni Cerruti, M. et Mme Dieudonné, M. et Mme H. de Carbuccia, M. et Mme Snauwaert, Mme Burke Roche, il. et Mme Lauretd-Monnier, M. Luis P. Canas, comte de Rougemont, comte Stanislas de Iji Rochefoucauld, vicomte de La Rochefoucauld, M. André de Fouquières, princesse de Mesagnc, comtesse Postré, princesse Sacha Narischkiue, M. Prouvost, M. H. de Carbuccia1, SBi. Roland Marcel, Gvankowski, DesclozièreSj Heinemann, comtesse de Ségur-Lamoignon et Mlle Gouin, M. Heredla de Belgato, M. Delorme, comtesse de Caix de Saint-Aymour.

M. et Mme François Caruàllo et Mlles Carvallo, en raison de leur deuil encore trop récent, n'assisteront pas à la fête donnée ce soir à Villandry.

A l'occasion du Congrès international du tourisme,' le Clui) des Cent a eh l'heureuse initiative de convier les personnalités gastronomiques étrangères de passage à Paris, ù trois manifestations de grande cuisine française. Le premier de ces grands diners, fut donné samedi 26 juin cher le président du Club des Cent, J/. Laurens-Frings. La perfection du menu, dont chaque plat était préparé avec un art cunsommé, la recherche des crus qui les accompagnaient, tout a contribué au succès de cette manifestation gastrono-

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Les privilégiés qui y assistèrent ont pu juger que parmi la traditiort française, celles de la table et de l'accueil sont maintenues avec éclat et ferveur. Parmi les personnalités étrangères et françaises entourées des membres du Club des Cent, citons

V. Exc. Philippe Roy, ministre du Canada; S. Exc. Lapointe, ministre de la Justice du Canada; M. Ruppel, commissaire général du gouvernement allemand à l'Exposition internationale; M. Benachi, ancien ministre de Grèce; M. 0. Gorman, vice-président de l'Autoroobile-Club de Grande-Bretagne; M. von Egloffstein, président de la Deutsche Automobile; M. Bonardi, vice-président du Touring-Club Italien; M. Thonias Braun, bâtonnier de l'ordre des avocats de Bruxelles; M. Flagey, bourgmestre dTxells; M. Lazard, M. André Maurois, le général Maurin, docteur Jean Faure, etc,

Un autre diner aura lieu ce soir, sous l'égide du Club des Cent, à l'Automobile-Club de France et le 7 juillet dans le magnifique décor du château de Vaux-le-Vicumte.

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-La comtesse de Sêgur-Lamoignon et M. et Mme Henry Gouin ont bien voulu accorder à la « Bienvenue Française le privilège d'inviter à l'Abbaye de Roy anmont les commissaires généraux des différentes nations à l'Exposition et plusieurs importantes personnalités étrangères. Dans ce noble cadre, Il. André Marchai, organiste du grand orgue de Saint-Germaiu-des-Prés, et les chœurs, sous la direction de .11. Félix Raugel, exécutèrent avec Une maîtrise parfaite les œuvres d'André Caplet, Johann-Sébastien Bach, Césard Franck, etc.

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C'est aujourd'hui, à 15 heures, qn'aura lieu, dans un restaurant de l'Exposition, l'élégant concours dit chien. Deux jurys distribueront de très beau;c prix aux lauréates. Les engagements sont nombreux et promettna un défilé des plus intéressants.

Le thé sera servi pendant le concours. On dansera.

NOTÉ SUR MON BLOC Le Grand Prix d'Elégance 1937 a été brillamment remporté par la délicieuse Janine Guise, qui présentait une création signée DupouyMagnin, 22, rue d'Aguesseau (8e). Claire Comte, Couture, 17-19, Bd des Capucines, solde sa collection d'été vendredi. Manteaux, robes de ville et soir, chapeaux, coupons.

Jérôme, 140, Fg St-Honoré, solde tailleurs et manteaux voyage, ensemble plage et yachting, shorts, pareos, redingotes en piqué, toile. Chez Marie-Louise, 52, Ch.-Elysées. Aujourd'hui et demain, mise en vente des soldes d'été Petites vestes en piqué uni, imprimé, depuis 15 fr. Ensembles imprimé, 89 f. Milliers de robes de vacances, imprimé, uni, etc., 10, 29, 49 fr., etc. Manteaux légers, sport, 69, 95 fr., etc. Milliers de blouses, chapeaux, 5, 10 fr., etc. Très jolis robes et manteaux, valeur 300 à 500 fr., dé- marqués 100 à 195 fr. Nombreuses occasions.

Suzy.

Nous prions instamment nos abonnés de toujours joindre UNE DES debnières BANDES à leurs demandes de renouvellement, de changement d'adresse ou à leurs réclamations. 11

En l'église Saint-Pierre de NeuiU ly a été béni dans l'intimité le mariage de Mlle Yolande du Souzy avec le comte Nicolas Ignatieff.

Les témoins étaient, pour la mariée le baron Rodolphe de Planta de Wildenberg et M. Jean de .Souzy. Pour le marié M. Jefferson Dickson et M. de Komstadius. S. A. I., et R. la Princesse Nicolas de Grèce, Grande-Duchesse de Russie, accompagnée de Mme de Komstadius, as- sistait à la cérémonie. ̃

On annonce le mariage

De Mlle Estclle Dupuich avec il. Pierre Ordonneau.

INFORMATIONS

M. Jean Musy, ancien président de la Confédération helvétique, est arrivé à Paris, venant de Vittel, et réside au Plàza-Athénée.

Au Théâtre des Champs-Elysées, demain samedi, à 15 h. 30, la Fédération des centres sociaux de France présentera Les Quatre Saisons, grand spectacle entièrement composé et réalisé par les Cercles des loisirs de 17 Centres sociaux de la région parisienne.

Les 350 exécutants, parmi lesquels ne figure aucun professionnel du théâtre, ije la musique ni de la danse, sont euxinêmes des membres des cercles d'enfants, de jeunes gens et d'adultes. Le public, dans son ënsëtnbïe, sera composé de leurs- familles. ̃̃̃> ̃̃̃̃ •- v> -• Néanmoins,-» l'intention des personnes qu'intéressent. l'art populaire et l'ac- tion éducative du Centres sociaux, à la ville, et1' la campagne, il est réservé un nombre de places strictement limité. Elles sont délivrées exclusivement au siège de la Fédération des Centres socieux de France, 6, rue de Berri (Téléph. Elysées 64-28). Minime participation aux frais. Pas de location au théâtre. DEUILS

On annonce la mort à Hanoi, à l'âge de soixants-sapt ans, de M. Victor Tardieu directeur de l'école des beauxarts qu'il avait fondée en cette ville en 1924 et au développement de- laquelle il se dépens-? sans compter. Nous apprenons la mort de Mme Albert Grenier. néie Marguerite See, femme du professer au Collège de France.

De Varsovie ort annonce la mort de M. Ladislas Dlugos- ancien ministre pour la Galicie dans le cabinet autrichien.

Nous apprenons Ma mort de Mlle Roza Lemgruber, sœui\ de la comtesse I du Dognon et de Mlles de.Avellar Lemgruber. Selon la volonté expresse de la ̃ défunte, les obsèques orM été célébrées en l'église Saint-Philippe ^du Roule, dans la plus stricte intimité.

On nous prie d'annoncer la mort du docteur Raymond Boisri'ier, stomatologiste des hôpitaux, licien^ie ès scien.ces, docteur ès lettres, déSPpdé subite- ment le 29 juin, à son donS'ci'6- Suivant sa volonté, les obsèques ont f- été célébrées dans la plus 3>tricte intimité. ̃ ̃ :.• Nous avons annoncé hi*1" ic décès >• de Mme veuve Albert Fleury. N:'ua raP' pelons que les obsèques aiffont lieu demain samedi, à onze h.Ç-V5*'» en l'église Saint-Augustin, où l'on\se réunira.. De la part de M. et Mrfle Paul Albert Fleury et de M. et Mme ébauchât. On nous prie d'annoncer l# sM>r{ 1 de Mme Léon Jacquin, née Bt?c~'l,et> 1 décédée en son domicile, à DamJp<1:ieles-Lys, le 28 juin. Selon la vt^nté expresse de la défunte, les obsp'iuea 1 ont eu lieu dans l'intimité. l Mme Jacques Labouret ef ses a filles, S. Exc. l'ambassadeur de J?ranee à Bruxelles et Mme Laroche, etij*Ur9 familles, dans l'impossibilité de itepondre aux innombrables témoignage àt$ s sympathie qui leur sont parvenus, pisnt toutes les personnes qui ont bien !i 3ll*u s'associer à leur deuil cruel, de tr^Ç ici l'expression de leur gratitude Imue. Onannonce la mort

De Mme Aljel Mazoyer, à Vitteaux UWte-

d'Or) de Mme Lolu Schleplanofl', a Karis '•

de Mme Paul Piollet, née Henriette {("Tard,

à Clermont-Ferrand du docteur pirnand Malaviullc, à Paris de SI. Moïse lAsstio, t à Paris de M. Louis Chartier.

1 Valfle^ry.

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Nous accordons à tons nos abonnes une réduction de 25 0/0 sur le tarif ko?mal des avis de faire part des N/PSf- SANCES, FIANÇAILLES, MARIAGES, etc.

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APRES L'ATTENTAT P'O IRAIS! ÙETAT DE SANTÉ

SANTE

DE L'ABBÉ LAMBERT demeure inquiétant

Oran, 1" juillet. Comme on le sait, au moment où l'abbé Lambert, hier, vers 17 heures, venait de s'attabler à la terrasse de la brasserie Guillaume Tell, M. Ferrando, conservateur-adjoint du musée municipal, surgit et tira sur le maire, à bout portant, une balle qui l'atteignit au côté droit de la poitrine. Tandis que le blessé s'aaissait, son agresseur criait

Moi, Ferrando, j'ai tué Lambert Il fut immédiatement arrêté. Sa vic-

Pose de la première pierre i de la fondation Byrd M. Paul Bénazet a posé, hier, la première pierre, à Ver-sur-Mer, de la fondation Byrd, qui comprend, notamment, une auberge de repos pour les aviateurs de tous les pays, un préventorium et un orphelinat. Elle s'élève à l'endroit même où, il y a dix ans, Byrd et ses compagnons atterrirent, après leur vol transatlantique.

M. Paul Bénazet, sénateur, prononça «n discours qu'il termina par ces mots: 'Aujourd'hui l'élan est donné, cette cérémonie marquera le point de départ d'une ère nouvelle. Les Etats-Unis qui,

La maquette du monument élevéà la mémoire de l'amiral Byrd.

pendant tant d'années, ont paru se désintéresser des choses de l'Europe, voient clairement que dans ce continent divisé peuvent naitre des catastrophes qu'il faut à tout prix éviter.

Si jamais ce crime atroce la guerre, était de nouveau commis, nul doute que l'incendie ne s'étende à toute fa planète.

Les peuples les plus pacifiques, comme ceux d'Amérique, y seraient malgré eux inévitablement entraînés. C'est ce qu'ont admirablement compris l'amiral Byrd et à coup sûr le gouvernement des' Etats-Unis, qui, officiellement, observe peut-être quelque réserve, mais officieusement nous encourage aujourd'hui à persévérer dans notre effort pour la paix.

SUITES DE PREMIÈRE PAGE L'EXPOSE DE M. YVON DELBOS Au cours de leur conversation avec le ministre, les commissaires -ont évoqué diverses hypothèses quant à cette réponse. On espère qu'elle apportera des suggestions positives. M. Grumbach, notamment, émit l'avis que, dans le cas contraire, la convention de non-intervention devrait être « reconsidérée ».

Ajoutons qu'à propos de la question du rappel des volontaires, qui reste inscrite à l'ordre du jour du Comité de Londres la commission s'est émue de l'article publié hier dans le Popolo d'Italia, et considéré comme d'inspiration officielle.

Enfin, pour ce qui est de la reconnaissance au général Franco de la_qualilé de belligérant, il semble résulter des déclarations des corn-.missaires que les gouvernements français et anglais seraient d'accord pour l'ajourner; car elle est liée juridiquement à la capacité d'assurer un blocus effectif de l'adversaire.

--•• jlt.'i^ .>.••••' P.-Camus.

LE CONFLIT DE L'HOTELLERIE .1. N'EST PAS REGLE

Après cet exorde, on commença la discussion technique proprement dite. On éita des chiffres, des exemples on confronta des points de vue opposés. M. Chautemps résuma le, débat et soumit aux deux délégations une proposition transactionnelle qu'on peut ainsi résumer' semaine anglaise, c'est-à-dire cinq jours et demi de 8 heures de travail. Il fut convenu que les délégués allaient transmettre à leurs mandants cette offre et qu'ils reviendraient rendre réponse au chef du gouvernement à la fin de l'après-midi.

Les négociations reprennent .et sont ajournées

Effectivement, à 19 heures, les négociations reprirent à l'Hôtel Matignon, dan le cabinet de M. Chautemps. La délégation ouvrière fit connaître qu'elle acceptait la proposition transactionnelle, mais les représentants des hôteliers déclarèrent qu'elle était insuffisante pour arriver à un accord. Pendant plus de deux heures, M. Chautemps déploya toutes ses ressources de conviction pour faire revenir sur leurs décisions les délégués patronaux. Ceux-ci, résolus, répondirent que la limite de leurs concessions ne saurait dépasser les modalités d'application, telles qu'elles avaient été définies dans la motion votée par le Sénat.

Le président du conseil, comprenant qu'il fallait tenter l'impossible pour ne pas rompre les pourparlers et l'espoir d'une' entente, devint pathétique. Il attira l'attention des délégués sur la gravité des circonstances, adjura ses interlocuteurs de se montrer conciliants, dans l'intérêt supérieur de la patrie et de la paix.

Les délégués hôteliers consentirent, un peu avant 22 heures, à reprendre aujourd'hui les négociations. Aboutirontelles à un accord ? C'est le grand point d'interrogation qu'on se pose, malgré l'optimisme manifesté hier, dans l'entourage de M. Chautemps sur l'issue du conflit.

Optimisme officiel

En quittant l'Hôtel Matignon, un haut fonctionnaire du ministère du travail traduisit cet optimisme exclusivement officiel, en déclarant « D'ores et déjà, toute menace de lock-out. et de grève aussi est écartée. »

En revanche, les délégués patronaux se montrèrent beaucoup moins affirmatifs. Ils estimaient que l'accord était encore bien loin et qu'il serait difficile, pour ne pas dire impossible à réaliser, sur les bases de la transaction proposée.

Edouard de Vorney.

time fut transportée dans une clinique. Le blessé reprit rapidement connaissance.

Le préfet se rendit au chevet de l'abbé Lambert, après avoir ordonné des mesures pour éviter tout désordre en ville. Le gouverneur général fut prévenu. La balle était passée

près du cœur

A^22 h. 30, après avoir radiographié l'abbé Lambert, le docteur Sauguss publia 'le bulletin suivant

« La balle est passée à un centimètre au-dessus du cœur, sans toucher aucun organe essentiel. Pas d'épanchements internes sanguins. Pour le moment, état stationnaire.

Aujourd'hui, une légère amélioration a été observée, bien que l'état devienne très grave, le maire ayant pu se reposer toute la nuit sous l'effet de la morphine.

Le mobile de l'acte criminel C'est un différend d'ordre administratif qui aurait provoqué l'acte criminel de M. Ferrando. En effet, au cours d'une réunion de la Commission des finances et des travaux, à l'hôtel de ville, un blâme fut voté contre le conservateur adjoint qui, à -plusieurs reprises, aurait outragé publiquement le maire d'Oran.

Hier matin, l'abbé Lambert avait signé ce blâme qui fut envoyé au domicile de Ferrando un peu plus tard et mit l'intéressé dans un état de surexcitation extrême..

A L'AMERICAN-CLUB M. Stephan Osusky définit la position

de la Tchécoslovaquie dans l'Europe actuelle

Sous la présidence de M. Théodore Rousseau et en présence de M. William Bullitt, ambassadeur des EtatsUnis, l'American-Club de Paris a reçu hier à déjeuner, au Cercle Interrallié. M. Stephan Osusky à qui M. Théodore Rousseau a remis la plaque de membre d'honneur de l'American-Club à Paris, pour l'éloquence.

M. Stephan Osusky a; dans son discours, parlé de la situation actuelle de l'Europe vue de l'angle tchécoslovaque. Rappelant le mot de Bismarck « La Bohême entre Jes mains de la Russie, ce serait Hesclàvage de l'Allemagne la Bohême entre les mains de l'Allemagne, ce serait une guerre -sans merci avec l'empire russe. »

M. Stephan Osusky déclara « La Tchécoslovaquie est décidée à ne tomber ni dans les mains de l'Allemagne, ni dans celles de la Russie. Elle considère "sa situation géographique comme un bien auquel toute l'Europe a intérêt et elle veut le mettre au service de l'Europe. Après là guerre, la Société des nations lui est apparue comme un moyen pour elle de mettre ce bien au service de l'Europe. S'il en est un autre plus efficace, elle est prête à l'accepter.

La Fédération des syndicats chrétiens proteste contre

ia menace du lock-out

La Fédération des syndicats chrétiens des travailleurs de l'alimentation a publié un communiqué dans lequel elle prend position dans le conflit.

La Fédération proteste contre l'attitude prise par les groupements patronaux, elle rappelle que le décret d'application de la loi date du 27 avril et qu'à ce moment aucune initiative patronale n'a été prise. 'Elle ajoute que ce sont les consommateurs et non le commlerce qui supportent les charges nouvelles et elle termine son communiqué en regrettant que trop souvent « l'application de certaines améliorations préconisées depuis si longtemps par la C. F. T. C. provoque une opposition systématique des milieux patronaux, peu faite pour conserver au pays l'unité entre les citoyens si nécessaire dans les circonstances actuelles ».

De son côté la Confédération générale du petit commerce et de l'artisanat a publié un communiqué dans lequel elle invite ses adhérents à ne pas tenir compte de l'ordre de fermeture lancé par la Chambre nationale de l'hôtellerie.

Enfin la Fédération nationale des travailleurs de l'alimentation a fait apposer dans toutes les grandes villes des affiches de protestation contre le lockout.

.mais les syndicats de province se déclarent solidaires

de, la Chambre nationale Les syndicats des hôteliers de province ont décidé, pour la plupart, d'adhérer au mouvement de lock-out. Ainsi les hôtels du département d'Alger, de la côte basque, de Savoie, du Tarn-et-Garonne, des stations du Mont Blanc, de Moulins, de Toulouse,et de nombreuses autres villes fermeront leurs portes si le conflit n'est pas aplani demain. Les maîtres d'hôtel de Marseille se solidarisent avec leurs patrons Les maîtres d'hôtel de Marseille ont voté un ordre du jour par lequel ils se solidarisent avec leurs patrons et qu'ils ont décidé de communiquer au gouvernement.

D'autre part, la Fédération des syndicats commerciaux qui comprend tout le commerce de détail, alimentation comprise, a adopté un ordre du jour aux termes duquel ses adhérents sont résolus, si les hôteliers n'obtiennent pas satisfaction, à fermer leurs portes à une I date qui reste à déterminer. ]

JOURNÉE DÉCISIVE A LONDRES

L'intransigeance italo-alleiiiamle marpera-t-elle ta fin

de la politique de non-interveution ? (Par téléphone, de notre correspondant particulier) ̃

Londres, 1" juillet. L'Allemagne et l'Italie oseront-elles assumer la responsabilité d'avoir délibérément rompu u tous les accords élaborés par le Comité de non-intervention ? Telle est la question'qui se pose à la veille de la séance où sera peut-être dressé l'acte de décès du Comité de non-intervention. La situation se présente de la façon suivante

Les gouvernements allemand et italien n'ont pas donné la moindre inditeraient demain une contre-proposition au projet anglo-français.. On s'attend toutefois à ce qu'ils suggèrent que le droit de belligérant soit reconnu aux deux partis. Ce droit de belligérant ne sera reconnu en tout cas par le gouvernement britannique que si l'Allemagne et l'Italie acceptent la proposition de contrôle anglo-français et si un accord sur les volontaires est intervenu au préalable.

Dissolution du Comité ? Les représentants anglais et français ont l'intention de réfuter demain les étranges critiques émises mardi dernier par M. von Ribbentrop et par M. Grandi. Ils offriront une seconde fois aux gouvernements allemand et italien de reconsidérer leur projet de contrôle. Si mardi prochain, date limite, les deux puissances maintenaient leur refus, le Comité de non-intervention pourrait se voir définitivement dissous, l'accord rompu et chacune des puissances aurait la liberté de suivre à l'égard" de l'Espagne la politique qui lui plaît.

Les nationalistes soutenus plus on moins par l'Allemagne et par l'Italie, pourront peut-être exercer un blocus des côtes dé Valence, mais, pas plus que la frontière hispano-portugaise, la frontière des Pyrénées ne sera soumise à un contrôle. Les représentants anglais et français ne manqueront pas de montrer demain le danger que pourrait présenter une teMe situation qui, en fin de compte, finirait peut-être par avantager

l Nouveaux progrès des Nationalistes • le Ions de laiCôte Cantabriqut

ï?f /7isï/i "l©r tij-w/ÏjïT T r% Muriel Aii /iC i*Q'n^k1!rt4iT*û *1ot"Iï» l'jin c/itVï I o nûii na i*acm

JU* 1 tl/Ul/j -J. 1 14. 1(1 V^t Ju<4b Xjê. 1T lui vu U.^ u J

« Flèches Noires », après l'occupation de t à Castro Urdiales continue l'avance le e- long de la côte Cantabrique. Les forces ie. gouvernementales continuent d'éviter un i- grand combat et se contentent d'escaru- mouches au cours desquelles les colon- T iu nes motorisées nationalistes leur infli- s la gent des pertes.. T; le Ce matin, le massif de Cerredo, d'une d altitude de 646 mètres, a été enlevé. » Laredo, un des ports les plus importants, de la province de Santandor, est sérieusement menacé par les « Flèches -–«Noires ».

Le Canarias et le Baleares ont bom- p bardé la côte jusqu'aux environs dé £ Santona. L'artillerie légère -pilonne les E tranchées gouvernementales à proximité q de Laredo. t La colonne motorisée qui a dépassé c Castro Urdiales se trouvait ce matin à é Cortigo, à 16 kilomètres de Laredo. Elle t

AU THEATRE DES 'MATHURINS •d « EVE ». Pièce en trois actes,

de M. Jean Yole

La pièce que M. Pitoëff offre à nos méditations n'est point inspirée de ce coup de théâtre qui nous a fait chasser du paradis terrestre, mais de l'existence d'Eve Lavallière, qui a quitté le théâtre pour le ciel. Nous voyons une comédienne qui, arrivée à l'apogée de sa carrière elle est la maîtresse du roi abandonne la scène et le monde pour s' engager sur le chemin de la vertu et de l'austérité. On ne peut que la féliciter de cette j.s conversion et louer l'auteur de la pièu- ce, M. Jean Yole, de ne pas verser le dans la frivolité. Si tes bonnes intentions suffisaient à faire les bonnes ̃ pièces, la sienne serait parmi les meil°" leures.

M. et Mme Pitoëff contribuent de 3. tout leur cœur à ce spectacle édifiant. :<; Espérons qu'on leur en tiendra compi- te aussi sur cette terre.

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E Les Concours du Conservatoire

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1- PIANO

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(femmes)

Concours d'une excellente tenue. Exçellente moyenne.

LS Quelques natures, particulièrement y douées, se détachent du lot des concurrentes Mlle Dacosta, virtuose accomplie; jeu,brillant, très sûr, lectrice remarquable Mlle Françoise Landowski, qui possède de l'autorité, est très maîstresse d'elle-même et pare son «exécution de sonorités ravissantes Mlle Kusama, fine, sensible, vibrante (15 ans) Mlle Henriot, dont les treize années donnent e les plus beaux espoirs Mlle Leonet, musicienne racée Mlles D'Arco, Guérin, Garibaldi, Chambeau, Henrard, bonnes lectrices.

Mlles Roudet, de Cachard, Schweitzer qui se présentaient pour la première fois, ont fourni un très bon concours. e Le morceau imposé était l'Allegro composé par Saint-Saëns lui-même, d'après son troisième Concerto, bien fait pour mettre en relief les mérites des concurrentes, en dépit des coupures imposées par les circonstances.

La lecture à vue de M. Paul Bazelaire, difficile, a déconcerté la plupart des concurrentes.

Le jury, composé de MM. H. Rabaud, e président Noël Gallon, G. Grovlez, Ricardo Vines, P. Bazelaire, Amour, DoriS val,' Robert Casadesus, S. Hérard, J. Chantavoine, secrétaire, a décerné les t récompenses suivantes

e Premier prix Mlles Dacosta, Flot, s Kusama,:Verzieux,de Catalano, F. Landowski.

Deuxièmes prix Mlles D'Arco, Guérin, Leonet, Chambeau, Giraudeau, Demessieux.

t Premiers accessits de Cachard, Joy, Moscovitz, Petitgirard, Henriot, Mussel, Schweitzer, Smadja.

Deuxièmes accessits Mlles Henrard, JProfichet, Mounicr, Robinson, Marie Petit, Baudelot, Muller, Mosseri. v

beaucoup plus le gouvernement de Valence que les nationalistes.

Ainsi a-t-on l'impression ce soir que la rupture de l'accord de non-intervention ne mettrait pas seulement en danger la paix européenne, jnais serait néfaste à' la cause que l'Allemagne et l'Italie défendent en Espagne.

Gérard Boutelleau.

L'ITALIE S'ELEVE

CONTRE LE RAPPEL DES VOLONTAIRES Un article catégorique

du Popolo d'Italia

(De notre correspondant particulier, par téléphone.)

Rome, 1" juillet. L'article anonyme attribué à une très haute autorité du régime, publié dans le Popolo d'Italia, fait aujourd'hui l'objet de toutes les conversations politiques à Rome. L'auteur s'est attaché à définir dans son papier la position italienne à l'égard du projet de retrait des volontaires étrangers en Espagne. Il rappelle que le rappel de ses combattants bénévoles est impossible, en premier lieu parce qu'ils ne dépendent plus des jyjtorités de leurs pays en Italie comme ailleurs. L'article donne d'intéressantes précisions sur les unités italiennes qui participent à la lutte,dans les rangs nationalistes. Ces contingents auraient commencé à s'embarquer vers la fin de 1936, lorsque les rougey voulurent transformer le conflit espagnol en guerre idéologique dirigée contre le fascisme. Leur nombre de dépasserait d'ailleurs pas, à l'heure actuelle, 25.000, alors qu'environ 50.000 volontaires, pour la

r"

ance.

DES BOMBES SUR SEVILLE Séville, 1" juillet. Des avions gouvernementaux ont lancé hier pluieurs bombes sur Séville. Quatre femnes ont été tuées par l'écroulement l'une maison.

BATAILLE MEURTRIERE DANS LE SECTEUR

DE GUADARRAMA

Madrid, i«r juillet. L'activité a reris dans le secteur de Guadarrama. Une tataile prolongée, déclenchée par les tationalistes, a eu lieu dès l'aube jus[u'à 11 heures, à Lamenerosa. Les naionalistes ont lancé deux attaques sucessives sans employer de tanks et ont té repoussés après de violents et meurriers engagements.

UNE EXPOSITION D'ART 1 ILIÈ FRANÇAIS A BERLIN

itNSi'S'a!N~~S. '.0

En compagnie de notre ambassadeur M. François-Poncet, le chancelier Hitler visite l'Exposition d'Art français qui se tient actuellement à Berlin.

LES RELATIONS

COMMERCIALES

FRANCO-ITALIENNES Le charge d'affaires de France à Rome J j et le ministre italien des affaires étrangères ont procédé à un échange de lettres J prorogeant pour une nouvelle période 1 de six mois, c'est-à-dire jusqu'au 31 dé- cembre 1937, le modus vivendi et l'ac- 1 cord de compensation franco-italien du 1 11 août 1936 qui venaient à expiration t le 30 juin. (

o i

Le pasteur Niemoeller a été arrêté à Berlin Berlin, ler juillet. Le pasteur Mar- ( t tin Niemoeller, qui fut commandant t d'un sous-marin pendant la guerre, a t été arrêté aujourd'hui.

Parmi les chefs de l'Egglise confes- ¡ sionnelle, le pasteur Martin Niemoeller f est le plus connu et le plus populaire. En arrêtant Niemoeller; la Gestapo 1 impose le silence à l'un des derniers s champions restés sur la brèche, en lut- 1: tant ouvertement pour la liberté reli- t gieuse en Allemagne. 1

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Actualités internationales 9 I e

ALLEMAGNE. La « Correspon- a e dance » du parti national-socialiste b annonce, officiellement, que le congrès T du parti aura lieu à Nuremberg, du S 6 au 13 septembre 1937. 1 BELGIQUE. ̃>– M. Mackenzie-King, premier ministre du Canada, est arrivé ri hier à Bruxelles. TI

La Belgique va étendre les avan- T tages de l'accord d'Oslo en ce qui concerne l'alignement d'un certain nombre v, de contingents à différents pays, dont la France, l'Angleterre et les Etats-Unis.

plupart Français, auraient afflué chez les gouvernementaux. Depuis l'embargo édicté par l'accord de Londres, l'Italie aurait toujours d'après l'auteur de l'article scrupuleusement respecté les engagements pris, alors que les autres puissances les auraient délibérément violés. C'est en raison de cette situation, conclut l'article, que le gouvernement de Rome ne saurait accueillir une proposition qui à la veille de la victoire de Franco, apparaît comme une manœuvre destinée à priver les nationalistes d'un concours matériel d'autant plus efficace qu'il s'appuie sur une magnifique force morale.

On estime ici qu'en écrivant d'une plume truculente un article aussi catégorique contre le rappel des volontaires, le journaliste romain a voulu marquer qu'à ses yeux le problème ne méritait même, pas d'être posé à Londres. Madeleine R. Anglès.

PEUT-ON CONCILIER le « franc flottant » et l'accord tripartite ? (De notre correspondant particulier, par téléphone.)

Londres, ler juillet. Les négociations qui se poursuivent en ce moment entre Paris, Londres et Washington en vue de réaffirmer l'accord tripartite semblent être entrées dans une voie délicate. Le nouvel ajustement du franc ne manque pas de créer certains problèmes qui peuvent rendre difficile l'application de l'accord.

Toutefois, on remarque en Angleterre que le gouvernement français a fait preuve de courage et de décision en montrant franchement les dangers de la situation et on pense que le gouvernement de M. Chautemps est mieux placé qu'un autre pour obtenir du parlement et du pays la confiance indispensable au succès des mesures qui viennent d'être prises, Ce matin, à l'ouverture des changes, le franc fut coté à 120, puis il monte rapidement à 130 mais pour règlement à trois mois, on cotait 134 francs par livre. G. B.

TOKIO DESIRE

QUE L'INCIDENT DU FLEUVE AMOUR SOIT LOCALISE Tokio, 1er juillet. On déclare aujourd'hui aux ministères des affaires étrangères et de la guerre que le gouvernement japonais se propose de localiser le récent incident qui s'est produit sur l'Amour et d'adopter une attitude vigilante. Il se fie aux assurances données hier avant l'incident par les .autorités soviétiques, suivant lesquelles les troupes seraient retirées des îles qu'elles occupent.

D'autre part, l'ambassadeur du Mandchoukouo à Tokio a déclaré qu'il était urgent de procéder à la démarcation de la frontière soviéto-mandchoue, à l'effet de prévenir un nouvel incident. Les milieux de l'armée estiment que les développements de cette affaire dépendent exclusivement de l'attitude des Soviets sur lesquels ils rejettent la responsabilité des événements,; ils ajoutent que la meilleure garantie serait le retrait immédiat des forces soviétiques des îles occupées.

ou

La Chambre hongroise a voté une loi

étendant les pouvoirs du Régent

Budapest, 1" juillet. La Chambre a adopté, ce matin, sans discussion et à l'unanimité, le projet de loi étendant les pouvoirs du Régent. Les députés sociaux démocrates n'assistaient pas à la séance.

Le Régent pourra désormais faire usage, par deux fois, d'un veto suspendant pour six mois l'application d une loi votée par le Parlement qui lui paraîtrait dangereuse pour l'intérêt national.

Le projet fixe, par ailleurs, les conditions dans lesquelles le nouveau régent pourrait être éventuellement désigné. LE GRAND SUCCES DU GALA MERMOZ Jean Mermoz, le nom prestigieux mis en avant, a suf fi pour amener à la Salle Pleyel, hier soir, une foule nombreuse et brillante, mais une foule émue, aussi, qui apportait l'hommage ie sa présence au grand champion le « prototype » pourrait-on dire des pilotes de ligne prématurément disparu.

Un spectacle de qualité avait été orévu. Il était copieux aussi, et suc:essivement l'assistance put applaudir '.es plus grands artistes comédiens, nusiciens, chanteurs, danseurs, ainsi J lue les plus grands pilotes de notre tviation, qui avaient tenu, eux aussi, i participer à cette manifestation du souvenir.

Après un film retraçant les granles étapes de la conquête de l'air, les )lus grands noms de l'aviation furent )résentés au publie Costes, Rossi, ?odos, Guillaumet, Doret, Detré, Arwux, Japy, Bellonte, Durmon, Déroyat, Maryse Hilsz, Maryse Bastié, mis les pilotes de lignes Laulhé, Du- t our, Burello, Fouquert, etc..

La partie artistique vint ensuite. ïlïe était copieuse et de qualité. L'asistance s'enthousiasma particulièrenent aux exhibitions du fameux Coton Club de New-York, dont les Berry irothers sont les éblouissantes étoi- l es les principaux airs de la Belle Saison, la nouvelle opérette de Mari<ny, que chantèrent Lucienne Boyer t Pills et Tabet, furent copieusement é ppffiudis, les répliques de Jeanne Auert et de Marguerite Moreno obtinent un franc succès, de même que 'erge Lifar et le corps de ballet de Opéra et les danseuses de Tabarin. Une belle ej grande soirée, dont la d, ecette servira à ériger un phare, au e zuil de l'Atlantique, qui perpétuera souvenir du grand aviateur qui ou- 4j rit cette voie à l'aviation commet- iale, ..liai; ̃̃̃ André Reichel. Vi

Les 51 Portes de l'Exposition

Le trou dans le mur

ou la belle réussite

de la Porte Delessert

Par PAUL HERiVIAiyT

E Le jardin des cactées et plantes l grasses qui' borde le Pavillon de Monaco est, parmi les endroits ombragés de l'Exposition, l'un des plus accueillants. Les échinocactus, les opuntia, y voisinent avec les aloe ou r les' echeveria. L'infini de leur variété s'ajoutant au calme du lieu fit que j'en oubliai le but de ma visite. 3c m'en souvins seulement quand le jardinier qnLme désigna les mesembrianthemum les nomma plus simplement « Les pierres vivantes ». J'avais rendez-vous, non avec un horticulteur pépiniériste, mais avec l'architecte Ruillier, l'un des auteurs de la toute proche porte Delessert. Au pied de son œuvre, il m'attendait. Construire une porte monumentale,, me dit-il, en délimitant du geste le vaste écran carré de vingt mètres de côté qui orne l'angle boulevard Delessert-rue Le Nôtre, n'est pas travail courant pour des architectes mon camarade Gauthier et moi, nous n'avons pas voulu laisser i échapper l'occasion. Une porte d'exposition, c'est un arrêt dans une palissade la nôtre qui, vous vous en rendez compte, représente un effort technique intéressant, est du type « mur troué ».

A mon esprit charmé par la gaieté environnante, cette expression rappela instantanément l'histoire connue de la fabrication d'un canon 4 prendre un trou et mettre du bronze autour. Mais déjà le jeune et audacieux bâtisseur poursuivait

Le trou atteignant en hauteur la moitié de notre monument, et l'interdiction de procéder à d'importantes fondations, nous ont amenés à courber notre mur, lui donnant ainsi l'indispensable solidité et le caractère séduisant qui convient aux accès de la vaste enceinte. L'ouverture centrale, flanquée de deux autres plus basses, est fermée par une grille mobile en fer forgé.

Contemplant la fresque colorée qui pare la face intérieure bordée, ainsi que la corniche, de cuivre rouge, j'eus le sentiment que construction et décoration avaient été, ici intimement liées.

L'équipe des, jeunes

C'est exact, me confirma M. Ruillier deux artistes, jeunes aussi, ont apporté à l'ornement une foi semblable à celle qui nous animait, nous, les architectes. A Dionisi, le peintre,' incombait la tâche de symboliser les techniques. Avec sa sûreté d'exécution, il a peint quarantedeux personnages dont la taille varie de 3 m. 10 à 3 m. 60, n'oubliant pas, en son souci de l'aspect, de prévoir, pour son dessin, la déformation de la perspective, et poussant le respect du public jusqu'à exécuter pour être prêt à l'inauguration trois cents mètres carrés de fresques en trente jours. Cela équivaut en surface à une façade de 15 mètres de large d'une maison de six étages. Ayant prononcé le mot « colossal », l'architecte me confia que « l'équipe de la porte Delessert » comptait un autre champion Couvègnei. le sculpteur. Son domaine était à l'extérieur, face au boulevard Delessert qu'il fermait à l'origine de la construction, à la manière d'une haute palissade derrière laquelle il allait certainement se passer quelque chose. Et c'est ce « quelque chose » qu'annonce, plein de promesses, lé décor sculptural de l'artiste.

Haute de six mètres, une déesse nue est adossée, en demi-ronde-bosse, à un- nuage c'est, sur le fond crème, une apparition d'éclatante blancheur. Des motifs, pareils à dés étoiles accrochées en plein ciel, forment autour de Beauté la constellation de tous lés arts.

Ce sont ceux que les artistes de chez nous, et, de quarante-deux nations étrangères, présentent sur les quatre-vingts hectares de l'Exposition. Peut-on résister à une telle enseigne ? Non, et s'est sans doute cela qu'a voulu le sculpteur, habile ornemaniste d'une des entrées les plus réussies de l'Exposition.

L'accès aux colonies

Lycées aux cpïpmes

Aussi bien les architectes ont-ils prouvé la compréhension de leur rôle de « portiers en construisant, d'une manière toute différente, la porte qui, au milieu du pont de Grenelle, donne accès à la coloniale Ileaux-Cygnés. Pour obvier à l'inconvénient'd'un motif vu de profil, ils ont englobé le terre-plein de, la statue de

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LE FIGARO

ABONNEMENTS .3 mois 6 mois un an France et Colonies. 32 rr. 60 fr. 112 fr Belgique et Luxem-

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banâe; rappeler le numéro d'inscription de

l'abonnement et ta date d'échéance. Compte de chèques postaux t 242-53

la Liberté dans un large ensemble s'harmonisant aux palais voisins. Très stylisés, les légers portiques sont décorés de lions symboliques, œuvres des sculpteurs Hamar et Prozensky, alors que les bornes délimitant les ouvertures sont dues au sculpteur Lavrilier. Cette fois, l'équipe est de cinq. Le résultat obtenu est, là aussi, très appréciable, mais ne pouvait surpasser le succès de la porte Delessert.

Il convient de me hâter j'ai encore vingt-neuf portes à décrire. Nous ferons un choix.

Paul Hermant.

c¡¡.

LETTRE DU VATICAN LA SANTE DU PAPE

(De notre correspondant particulier) Cité du Vatican. Ces jours derniers, l'activité du Pape a paru être plus intense que d'habitude. Les discours aux deux journées d'audience publique, le mercredi et le samedi, ont été assez longs et les deux derniers dimanches ont été marqués par la participation de Pie XI à deux séances très importantes, une assemblée de la Congrégation des affaires ecclésiastiques extraordinaires et ta lectuer d'un décret de la Congrégation des rites, prélude d'une canonisation. De cela, il semble qu'on devrait tirer de bonnes conclu- sions au sujet de la santé du Pape, mais malheureusement il n'en est pas ainsi. Non pas que la santé de Sa Sainteté ait subi ces jours-ci quelque aggravation, mais son état, en quelque sorte habituel maintenant, inspire des préoccupations dont on ne peut pas cacher la gravité.

Sur Pie XI pèsent deux maladies à l'état permanent la myocardite et l'artériosclérose très avancée, sans parler de l'autre inévitable mal qui est l'âge, et du surmenage causé par les devoirs pontificaux auxquels il ne veut absolument pas se dérober. Comme on le voit, le tableau n'est pas brillant et la seule lumière dont il s'éclaire est l'énergie morale absolument exceptionnelle, la lucidité et la fraîcheur intellectuelle non moins extraordinaires par lesquelles le Pape se soutient et reste toujours à la première place dans les labeurs quotidiens. Le rêve de Pie XI est de mourir sur la brèche, au stricte sens du mot. C'est à cause de cela qu'il ne se soucie aucunement de ménager ses forces. Ce sont plutôt ceux qui l'entourent qui cherchent, autant qu'ils le peuvent, à faire en sorte qu'il n'ait pas trop à se fatiguer.

Voilà la réalité sur l'état de santé du Saint-Père. On ne peut pas en tirer la conclusion que Pie XI soit à toute extrémité ni qu'on puisse compter les jours de vie qui lui restent. Les médecins disent que tout dépend tant de la résistance de l'abondante réserve de forces physiques de sa solide constitution que de sa force morale qui semble vraiment inépuisable et qui a une énorme influence sur son physique. Il n'est donc possible de faire aucune prévision. Ce qui est certain et qui peut et doit se dire, c'est que les maladies spécifiques dont le pape souffre ne sont pas susceptibles de guérison. Mais il doit être dit aussi que Pie XI jouit d'une telle réserve de forces que les prévisions les plus optimistes peuvent être faites. L'Abbé Romain.

ÇA ET LA

<St Le conseil d'administration de l'Ecole libre des sciences politiques a offert hier un déjeuner aux membres de la Conférence des hautes études internationales actuellement réunie à Paris, sous la présidence de M. Charléty, recteur de l'Académie de Paris.

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La Chambre reprend la discussion

du projet d'amnistie

La loi d'amnistie, après une pause as•eï longue, est revenue hier devant la Chambre, où l'assistance était fort

«lairseméc.

Nous n'avons pas de chance avec le Sénat, dit le rapporteur, M. René Ri- ehfu-d. Il a profondément remanié la loi que nous lui avons envoyée. Et même son rapporteur a prétendu qu'il serait bien nécessaire de restreindre les lois d'amnistie, Nous ne pouvons être de cet

Mrls. La majorité a promis aux çlec-

fturs une large nninistie. C'est pourquoi la commission rapporte à la Chambre son teste précédeut, à peine modifié, *Et tout de suite les amendements pleuvent. La loi, propose le communiste Langumier, s'appliquera aux faits antérieurs à sa date de promulgation.- Ainsi les « militants s>, qui ont commis quelques violences que les tribunaux se

sont permis de Tépriinur, seront amnis-'

tié5. Ea çoiiiiiii~inioli <'1"PI;'I'.ollr 11Innh.

tWs. La commission et je ministre of-

frent le I»r janvier 1937. M. Langumier

T«Bt bien transiger au 1" juillet. Ac-

esptç-par tnm~i¡¡c. 1,' au 1, jujJ!et. Ac-

cepté par 322 voix contre 2SS,

Toute une série d'amendements, qui viennent ensuite, sont repoussés. Notamment M. Roulleaux-Dugage lie peut obtenir Ja reprise du texte du Sçn«t visant les condamnations qui ont frappé, les bouillcurs de vin. M. Quinson qui, sous une autre forme, voudrait absoudre les délits en matière d'alcool, n'a pas p/Ius de succès. M. de Grandmaison s intéresse aux infractions commises par des boulangers à la. loi sur l'emploi du blé familial, Ils sont amnistiés pénaJement, mais non au point de vue figeai. L'amendement est écarté par 331 voix contre 251.

14. Brachard réussit k faire accepter

Le Conseil de cabinet

s'est occupé du conflit

de l'hôtellerie

et de l'ordre du jour des Chambres

Le Conseil de cabinet d'hier matin fut dominé par la menace du conflit dans l'hôtellerie. Un long échange de vues eut lieu sur ce problème, M. Chautemps exposant le sens de la médiation qu'il se proposait de faire. Après un exposé de M. Dçlbos sur la situation extérieure, les ministres et sous-secrétaires d'Etat se préoccupèrent des projets à inscrire à l'ordre du jour des Chambres avant la clôture de la session ordinaire du Parlement,

Parmi ces projets, citons ceux relatifs à l'amnistie, 4 la reconduction des conventions collectives de travail, aux pouvoirs douaniers, au statut des voyageurs de commerce, aux dettes agricoles, aux secours destinés aux populations de l'Afrique du Nord, il la prorogaztion des délais de mise en instance des pensions et à la révision des conventions des inscrits maritimes,

Combien y aura-t-il, finalement, de ces projets votés par les Chambres avant la lecture du décret de clôture 7 Inscription k l'ordre du jour ne. dit pas, forcément, discussion,

Pour lutter contre la hausse r injustifiée des prix

Craignant que la nouvelle, dévalua-

tion né provoque une augmentation plus ou moins justifiée des prix, le Conseil de cabinet d'hier niatin a chargé un certain nombre de ministres de se réunir sans délai pour étudier les mesures propres à « juguler la spéculation », MM. Viollette, ministre d'Etat Viu.cent Auriol, ministre de la Justice Chapsal, ministre du Commerce Monnet, ministre de l'Agriculture Rivière, ministre des Pensions, Moutet, ministre des- Colonies Brunet, sous-secrétaire d'Etat aux Finances Hymans, sous-secrétsire d'Etat au Commerce, et Ramadier, sous-secrétaire d'Etat aux Travaux publics, assistèrent, hier, à l'hôtel Matignon, à une conférence au cours de laquelle on discuta des dispositions à prendre pour contrôler les prix et répriiner la hausse illicite.

Après trois heures de discussion, on mit au point le texte d'un décret qui paraîtra incessamment au Journal

Officiel,

m, 'mm

Les grèves agricoles suscitées par des meneurs étrangers Un cri d'alarme des employeurs Eu raison des troubles que les agita.teurs s'efforcent de provoquer ou de multiplier dans les campagnes û l'occasion des gros travaux, l' « Association centrale des employeurs agricoles »_ a jugé nécessaire de bien préciser la situation dans une lettre qu'elle a adressée hier à M. Chautemps.

Voici les principaux passages de ce document

« Nous devons vous signaler de plus que les neuf dixièmes des ouvriers en gréve sont de nationalité étrangère, des Polonais -pour la plupart, entraînés malgré eux dans un mouvement qu'ils réprouvent, mais qu'ils subissent sous le chantage d'agitateurs les menaçant d'expulsion. »

Petit guide du public

pour l'Exposition Aujourd'hui, trente-neuvième jour d'ouverture 6 fr., de 9 à 24 h. B*

INAUGURATIONS ET FETES

AUJOURD'HUI ̃•

10 h. 30 Inauguration du Pavillon d'Haïti (Champ de Mars). 11 il. 30 Inauguration du Pavillon du Canada.

15 heures s Inauguration de l'Aquarium du Trocadéro (Porte Albert-de-Mun).

21 h. 15 Grand Palais Gala de la Danse.

21 heures à 24 heures Au Pavillon des Vins de France î Gala en, l'honneur du congrès international de viticulture. 22 heures Pont d'Iéna Fête de Lumière « L'Apothéose de la Seine », musique de R. Loucheur, poème de Fernand Gregh. DEMAIN ̃-̃̃ 11 heures Inauguration du Pavillon de la Ville de Cologne* 22 heures Sur la Seine (Pont d'Iéna) Fontaines lumineuses. 22 heures Feu d'artifice sur la Tour Eiffel.

Pour téléphoner à un pavillon de l'Exposition ou pour tous renseignements, il suffit de composer EXP sur l'appareil automatique. GUICHETS DE CHANGE DE TA BANQUE TRANSATLANTIQUE Entrée Concorde; AUna, Troeadéjp.

Pavillon de la Banque Transatlantique.

que les infractions à l'obligation du permis de construire seront amnistiées pourvu que lp Conseil municipal ait accordé postérieurement l'autorisation nécessaire.

Ici une infructueuse tentative coinmuniste. Le camarade Langumier réclame le bénéfice de la loi en faveur des volontaires pour l'Espagne.

C'est impossible, déclare le président de la commission, M. Sérol, qui est socialiste,

11 faudrait au moins, pour discuter utilement, que le garde des sceaux et le président du Conseil fussent ici, observe le représentant du gouvernement qui se trouve être le sous-secrétaire d'Etat à la marine marchande. La proposition communiste est rejetée nar 331 voix contre U8,

MM. Brftchard «t Demusois réclament. à l'article 5, la réintégrolion obligatoire des cheminots révoqués, M- Parinenticr demande, au contraire, la a-eprise du texte du Sénat qui n'a pas admis cette réintégration obligatoire. Après une longue discussion, l'umttjdemcnt de M, ParnieuUer est repousse. M. Demusois se rnllie au texte de la commission qui prévoit que la réintégration est de plein droit « si elle est demandée »,

Le débat doit continuer aujourd'hui. M. Rauzy rappelle quoi aurait dû s'necnper des opérations électorales de CqcJunehine. Mais M, de Beaumont, qui a été victime d'tfn accident d'automobile, ne peut bouger, C'est maleucontreux », dit M. Rauzy. Force est bien pourtant, de différer la discussion. Ce matin, à 9 b. 30, dettes agricoles. R. D.

En quelques ligne mm m m

UNE AUTOMOBILE S'EST JETEE contre un arbre à Wolume, près de Bruxelles. Le docteur Dowe, qui la conduisait, et deux de ses compagnons de voyage un pasteur et sa fille, ont été grièvement blessés. La femme du pasteur a été tuée.

PERDANT L'EQUILIBRE, alors qu'il travaillait avec son pere, charpentier, Vars (Charente), sur un échafaudage, à sept mètres de hauteur, Pierre Frossingeas, 17 ans, a fait une chute mortelle. Le jeune homme devait entrer prochainement au séminaire.

♦ LA POLICE TOULONNAISE a arrêté trois individus suspects; les nommés Rémy, Luciano et Boqrelll, qui méditatent une agression contre le receveur municipal d'Hvères. Bourelli, avait dévalisé, II y a quelques jours, un épicier du -Mourillon.

UNE MANIFESTATION FRANCOITALIENNE aura lieu dimanche, au cimetière italien de BUgny, n l'occasion de l'anniversaire de la bataille de l'Ardre. L'ambassadeur d'Italie remettra un drapeau à une section d'anciens combattants italiens ayant participé à la bataille.

̃♦ 18 ENFANTS EN 19 ANS, tel est le* titre que fait valoir Mrs Arthur Timleck, concurrente du « Stork Derby », pour obtenir les 750,000 livres offertes par Charles Vance Miller 'à la ntere qui, à Toronto, aura mis au monde la plus grande famille en dix" sus. UN HORRIBLE DRAME s'est déroulé à Saint-Hilaire (Aube) le nommé Ferdinand Bertrand, âgé de 59 ans, a tué sa femme en la frappant de dix-

sepf coups de marteau il a tenté en-

snite d'assommer sa fille, âgée de onze ans, et s'est pendu.

UN GRAVE ACCIDENT s'est produit sur la route de Quarante-Sous. Entre Poissy et Chambourcy une automobile, conduite par M. Célestin Maclc, 53 ans, garagiste à Viry-Châtillon, qui était accompagné de sa femme et de sa belle-sœur, a dérapé et s'est jetée aur un camion. Les trois occupants ont été tués.

DES INSPECTEURS DE LA BRIGADE MONDAINE ont arrêté hier matilt, à Montmartre, Simon Jacçh, 45 ans, dit Bernard Jean Adeline, 25 ans Charles Biyeron, 37 ans, et Marie Mouchalent, qui se livraient att trafic des stupéfiants.

VOULANT EVITER UNE AUTO, au pont Mirabeau, M. de Beaumont, député de la Cochinchine, qui pilotait sa voiture, braqua brusquement et heurta un mur. M. de Beaumont souffre de contusions aux jambes.

Une manifestation au Palais de justice

Des clercs d'avoués auxquels s'étaient joints des clercs d'huissier et quelques commis greffiers se sont livrés il une manifestation dans la galerie marchande du Palais de justice; ils ont conspué un officier ministériel qui avait congédié un de ses employés, Des gardes ayant voulu enlever aux manifestants des pancartes qu'ils promenaient dans les couloirs, une courte bagarre s'est produite; deux gardes ont été frappés, une vitre de la porte 4'entrée du Parquet a été brisée; enfin, M. Ducoin, procureur de la République est t sorti de son cabinet, a calmé l'effervescence par de bonnes paroles et le cortège se dispersa.

1 LES FRAGMENTS D'UN RETABLE DE GRANDE VALEUR DEROBE EN ANDORRE SONT RETROUVES

A PARIS ET A GENEVE

Au cours de la nuit du 25 au 26 août dernier, un retable d'une inestimable valeur, composé de cinq panneaux de l'Ecole espagnole du xv" siècle disparaissait mystérieusement de la chapelle SainWean-de'Cazeieles, PB -An»dorre,

L'enquête menée par la police mobile de Montpellier établit que le vol avait été commis, avec la complicité d'un menuisier allemand, par un escroc international Nicolas Medem, lié en 1903 en Esthouie, titulaire de nombreuses condamnations, et sa mère, Victoria Stakelberg, née en 1855 en Lettonie, l'un et l'autre descendus dans un hôtel du petit village de Canillo, sous le nom

d'ArnoIdsen.

Peu apiès °H retrouva k Lyon, puis il Nimes, la trace des deux amateurs d'art qui furent finalement arrêtés en avril dernier à Berlin, à la demande de la Sûreté française.

Mais qu'était devenu le retable ? Après son extradition. Medero déclara avoir vendu l'un des panneaux à un antî» quatre parisien chez qui on l'a en effet retrouvé.

Pour les autres, il indiqua de fausses adresses, mais les investigations menées sans répit, viennent de les faire découvrir chez un antiquaire genevois qui les avait achetés de bonne foi.

La croisière de l'escadre de la Méditerranée

vient de se terminer

L'escadre de la Méditerranée, qui avait quitté Touloil le 11 mat, y est rentrée hier, après une absence de cinquante jours qui ont été remarquable' ment remplis,

Sa première escale avait été Biserte,son arrivée a donné lieu à un exercice d'attaque et de défense du port, mettant en action les flottilles locales de torpilleurs et de sous-marins, l'aéronautique du 4° arrondissement maritime, les batteries de côtes et les ser- vices de renseignements et de transmissions. Un ravitaillement complet des bâtiments a -permis de constater que l'arsenal est bien doté des moyens nécessaires au rôle qui leur incombe. De Bizerte, l'escadre se rendit dans le golfe de Gascogne, où elle exécuta, avec Y'escadre de l'Atlantique, les grandes manoeuvres dont nous avons rendu compte ici, avant d'être passée en revue, au large de Brest, par Je ministre de la

marine.

Après quelques jours de repos à Brest et à Lorient, l'escadre reprit la mer en continuant ses exercices, et, arrivée à l'embouchure du Tage. se sépara en deux groupes. L'une alla directement il Tanger, l'autre, sous les ordres du viceamiral Abruti, commandant en chef, s'arrêta à, Lisbonne, où nos bâtiments furent l'objet de l'accueil le plus cordial des autorités et de la population. L'amiral Abrial fut reçu par le président de la République et par le ministre de la 'marine portugaise ce dernier lui rendit la visite à bord de l'Algérie, et le complimenta vivement sur l'excei" lente tenue des navires et des marins français.

J Les deux groupes de l'escadre se réunirent â nouveau au détroit* de Gibraltar, et' firent escale à Oran et à Alger avant de reprendre la route de Toulon.

A, T.

A la Commission

sénatoriale de l'Armée La Comiuision sénatoriale de l'armée, à la suite des conclusions générales du rapport de M. Emile Mireaux sur sa mission au Maroc, et tenant compte de l'importance des constatations de ce rapport, a prié iM. Henry Bérenger, président de la Commission sénatoriale des affaires étrangères, d'apporter la Commission de l'armée toutes les informations diplomatiques concernant la sécurité des liaisons de la France avec l'Afrique du Nord, l'Algérie et protectorats, dans l'état présent du bassin de la Méditerranée occidentale,

M. Henry Bérenger a aborde l'ensemble des questions qui conditionnent sur le continent européen la sécurité française. Dans un exposé dont Ja commission de l'armée a vivement apprécié la méthode objectve, la précise compétence et la hauteur de vues, les positions extérieures indiquées par lui comme prises par le gouvernement, ont été sous l'angle des attributions de la commission, l'objet d'une approbation unanime. Après avoir affectueusement remercié M- Hpnry Bérenger, M. Daniel Vin- cent a marqué, de son côté, au nom de la Cojnmissjou de l'Armée, la confiance totale que cel'ie-ei donne an ministre de la Défense nationale et de la guerre. Cette confrontation des moyens de la défense nationale et des fins de la politique extérieure de la France a paru devoir être le point de départ d'une collaboration désormais étendue et régulière entre les commissions chargées des intérêts extérieurs et de la sécurité du pays.

LA VIE RELIGIEUSE Le Pape accorde un jubilé à la France et à ses colonies S. S. Pie XI vient d'accorder à la France et à ses colonies un jubilé exccptionnel, à l'occasion de la mission mariale nationale qui, du 15 août 1937 au 15 avril 1938, préparera notre pays à l'anniversaire de sa consécration, par Louis XIII, à la sainte Vierge en 1638. Le ibref pontifical est adressé à S. Exc. Mgr Harscouët, évèque de Chartres président du comité national français du congrès marial. Pie XI y rappelle qu'en 1822, il déclara la Bienheureuse Vierge Marie, sous le titre de l'Assomption, patronne principale de la nation française.

«S»

Mouvements de bâtiments LVscadre de lu Méditerranée qui vient de terminer sa croisière d'entraînement de printemps est arrivée à Toulon.

Le croiseur Lanwttc-Picquct, venant de Kobé est rivé à Yokohama,

Le contre-torpilleur Verdun a appareillé de Barcelone a destination de Palma. Torpilleurs. La Flore a appareillé de Gibraltar à destination de Casablanca l'Intrépide est arrive à Port-Vemlres. 5' Avisos. Le Ouinonl-d'Vrville, venant de Kobé est arrivé à Yokohama le Bou(/ainuille, venant de Dicgo-Suarez, est arrivé a Nosymjtsio le Taluire, venant de Cliefou, est arrive à Chin-Wang-Ko le Quartz est arrivé à Oran.

Ém wm \A \Jm J J M SB \jBi kl \m kl 1^1 ^^rJÈÊSÊ m

x

Un avion militaire s'abat en flammes au sud de la Moselle Les cinq passagers

sont carbonisés

Nancy, juillet. Pour une cause encore indéterminée, un avion militaire de la base d'Essay-les^Nancy, s'est abattu en flammes au sud de la JIoselie.

La gendarmerie dey Lorquin a retrouvé sur le territoire de la commune de Turstein, au pied du Donon, l'apareil complètement détruit. Des décombres, on a retire les corps carbonisés des cinq occupants.

Les victimes sont capitaine Maurice Lecorché, 30 ans, originaire de Villemonble (Seine) sous-lieutenant Boucaud, pilote, 37 ans, ordinaire de Macon adjudant Cliateau-Reiumld, 31 ans, originaire de Thiviers (Dordogne) sergent André Heblet, 26 ans, originaire do Golbey (Vosges) sergent Charles Machinot, 24 ans, originaire de FoJspersvijler (Moselle).

L'avion, un' appareil de bombardement, était parti à 21 heures hier soir et devait être l'entré à 23 heures. Le collier de la reine

Marie-Antoinette

a été acheté

par un maharadjah

Une grande animation régnait hier dans la salle de Satheby, à Londres. Le maharadjah de Barbbanga a acquis, aux enchères, pour la somme de 950.000 francs, le grand collier de la reine Marie-Antoinette, qui est forme d'une rivière de vingt-neuf diamants et d'un n pendentif piriforme de treize gros brillants.

Pour n'être pas le Collier de la Reine » de l'affaire célèbre, ce joyau n'en a pas moins une émouvante his-

toire,

Marie-Antoinette, peu de temps avant de monter à l'échafaud, parvint à le remettre à sa fille Marie-Thérèse-Chaiv lotte, la future duchesse d'AngOUlême, II appartint ensuite à la comtesse de Chambord, pujs à la duchesse de Madrid. II passa en héritage aux filles de celleci, l'archiduchesse Blanca et la pi"incesse Béatrice Blanca de Massino, qui viennent de le faire vendre à Londres.

'-n i.u. »̃̃̃. «fc

Les artisans du taxi sont allés manifester devant l'Hôtel de Ville Un meeting s'est déroulé, hier après.midi, au Moulin de la Galette, Auquel tous les participants s'étaient rendus avec leur voiture celui des petits propriétaires de taxi!

Ces exploitants sont groupes au sein du Syndicat des artisans du taxi (qui refuse l'obédience de la C. G. T.), Près de deux mille chauffeurs étaient là, ponctuant d'applaudissements les phrases des orateurs qui s'élevaient contre Je prix trop élevé de la taxe de stationnement; contre la hausse possible des tarifs (ce qui les déposséderait d'une partie de leur clientèle); enfin contre la loi de quarante heures. A chacun de ces maux, les artisans du taxi proposent un remède, qu'en termes de métier les orateurs ont exposé tour à tour. Ils en ont surtout à la taxe de stationnement pour laquelle la ville de Paris leur demande de payer un rappel s'élevant à prèsde cinq cents francs– Aussi, brusquement» à la fin du meeting, au cours duquel un délégué de la C, G. T. s'est vu siffler de Ja bcllc manière, bl. Brérat, secrétaire général, annonça que les assistants devraient se rendre immédiatement place de l'Hôtel. de-Ville pour demander à être reçus par leurs conseillers municipaux respectifs. C'est pourquoi les Parisiens virent défile*' à sept heures, hier soir, une grande quantité de taxis vides et oui- refusaient de prendre client. Plusieurs artères de Paris connurent un bel embouteillage; la rue de RichcJieu, en particulier, retentit un long moment des appels de klaxons. Mais la police avait établi des barrages tout autour de la place et dans les voies d'accès; un filtrage savant permit de disperser aisément les mantfestants. Une cinquantiUne réussirent cependant à wénétrer h l'intérieur de l'Hôtel de Ville, tandis que deux cents environ se faisaient prier de circuler sur les trottoirs,

Le Conseil municipal a promis de recevoir aujourd'hui à 14 h. 30 une délégation du Syndicat pour examiner avec Jes intéressés les points litigieux du statut du taxi.

Les artisans du taxi se déclarent prêts à résister h toute « prolétarisation ».

M.-P.H.

AU PAVILLON DE FLORE Plus de vingt millions de lots ont été payés hier matin Dès neuf heures, hier matin, et pendant toute la journée, le Pavillon de Flore a connu l'affluence. Les gagnants de lots de la tranche du Grand'Prix de la loterie se pressaient aux guichets. Quatre billets ont été échangés contre 515.00 francs. Au total, 44.334 lots, représentant 20.^20.000 francs ont été remboursés. Cependant les propriétaires de billets rapportant 3.100.000 francs et 5.100.000 francs ne se sont pas encore présentés,

GAZETTE DES TRIBUNAUX Au sujet d'un Fragonard M. Ducastel achetait, à Evian, pour la somme de 56.000 francs, un Fragonard qu'un expert, M. Cailleux, estima être un faux. L'acheteur actionna ses vendeurs, un antiquaire d'Evian, M. Oskins et le propriétaire du tableau. La 10" chambre commit trois experts: Mlle Catera, M. Goulinat et M. Heurteloup, Ces deux derniers furent de l'avis de M. Cailleux, mais Mlle Catera le tint pour absolument authentique.

Dans ces conditions, la 10" chambre reconnaissant la bonne foi de l'antiquaire et du vendeur, les a acquittês. Le cinquantenaire

de la presse judiciaire

L'Association de la presse judiciaire parisienne, que préside notre confrère Charles Deffès, a fête le cinquantenaire de sa fondation par un banquet qu'a présidé M. Rucart, ancien garde des sceaux, ministre de la Santé publique. Tous les hauts magistrats de la Cour de cassation, de la Cour d'appel, du tri. hunal civil et des parquets, ainsi que les présidents des Compagnies judiciaires assistaient à cette fête.

L'ART

ET LA CURIOSITE A L'HOTEL DROUOT

Tableaux modernes

Sculptures africaines `

et océaniennes

Belle asemWée, hier dans cette salle,M" Alph- Bellfêr offrait, en compagnie de MM. Hessel et Ch.Ratton, d'excellents tableaux modernes d'une part, et des sculptures africaines dépendant de la collection de Maurice de Vlaminck, d'autre part. Une aquarelle par Dau^ mier fut payée 15.000 francs une goua- che par Forain, 3.&00 francs un carton par Bonnard Sous la lampe, 5.800 francs une peinture par Boudin Bateaux à Trouuille, 14.000 francs une toile par Cross Le Faune, 5.0O0 franc*; un A'u par Henner, 4.100 francs uae toile par Modigliani Femme assise, 10.400 francs une toile par Pissaro, 16.000 francs un Nu par Renoir, 30.000 francs, et uue toile par Utrillo Bue Saint-Vincent, 12.600 francs. Parmi les sculptures Une statuette (NouvelleGuinée) lit 2.800 francs, et une statue (archipel des S.ilomon), 2,400 francs. La vente d'une pui'tiç de lu Bibliothèque de M. Alfred Pcreire, secrétaire général des Amis de la Bibliothèque Nationale cornmensait hier, sous la direction de M" Henri Baudoin et Bd. Giard, assistés de M. G. Andrieux. Un recueil sur les o/jemins de fer fut adjugé 1400 francs et une collection de catalogues, allant du xyni" à nos jours, 13.850 francs. M8 Etienne Ader et M. André Portier ont commencé une vente d'objets d'art et de meû'bles d'Extrême-Orient.

Maurice Monda,

Exposition et Ventes

d'aujourd'hui

EXPOSITION

HOTEL DROUOT. Salle 6. Exposition publique. Beaux meubles. Sièges variés. Piano. Tableaux. Bronzes. Lustres. Armes. Tapisserie. Tapis d'Orient. Henri Bavpojn, commissairc^priseur.

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HOTEL DROUOT. Salle n" 10, Vente, Bibliothèque universitaire de M, Alfred Pereire. ̃– Me' Henhi BauPoin et Edouabp Gubd, cqmmissairesprjseurs M. Georges Andrieux, expert, HOTEL DROUOT. Salle 11. Vente. Antiquités trouvées en Egypte. Estampes. Dessins. Peintures. Porcelaines de Sèvres et de Chine. M° BoisoiraRd, commissaire-priseur (successeur de Desvouges) MM. Clément Platt et L, Huteau, experts.

Condamné pour exercice illégal de la médecine

le docteur Hecker a fait appel Condamné en avril dernier pour exeiv çjce illégal de la médecine par le tri' bunal de Saint-Quentin à 1.000 francs d'amende et 5.000 franc* d'indemnité envers le Syndicat des médecins de l'Aisne, le « Di* Hecker » a fait appel de ce jugement, L'affaire est venue hier devant la Cour d'appel d'Amiens, On se souvient que J'inculpe fit entendre k sa décharge de nombreux témoins qu'il avait guéris ou dont il avait sauvé l'enfatit, la femme ou le père, Tous louaient sa compétence, son dé* vouement, son désintéressement, Mais était-il diplômé ? Il prétendait avoir été reçu docteur à Strasbourg,, .où il avait fait ses études avant la guerre, disait-il. Seulement il ne connaissait ni la ville, ni les usages de la Faculté il ne savait pas l'allemand. Sa condanintt' tion parut justifiée.

Devant la cour, Hecker a maintenu ses affirmations. Il a perdu le certificat provisoire de son diplôme les archives relatives à ce document ont été e-iU"portées par les allemands « qui le poursuivent de leur haine ». « Je jure, a-t-i'l dit, cantine à Saint-Quentin, je jure que je suis réellement docteur en méde»cine. »

Après réquisitoire et plaidoiries de MUB Gbapuis et Vaîensi, l'arrêt a été renvoyé à huitaine.

MOTS CROISES JS° 1330

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Horizontalement. I, Action de «slui qui n'agit pas franchement. jj. Portèrent k la rébellion. III. Nettement sur le re- tour Conjonction, IV. Exprimer les différences délicates. V. Son lit est étigit j Conjonction Parcourue des yeux. VI. Qui est sans effet. VII. Soleil d'Egypte j Condiment Du nom d'une ville normande. VIII. Emportèrent dans leurs cours. IX. Interjection Décide de maintes tournées Règle, S, Qu'on ne souhaite pas. XI. Conjonction Fruits ou chapeaux.

Verticalement. 1. A Athènes, charge d'équiper à ses frais un bateau de guerre. 2. Note Effort pénible, 3. Prénom masculin Note. 4. Railler. 5. Qui sont soumis aux chances du hasard. 6, I-e seul de sa série à posséder deux noms Ride Préfixe. 7. Préposition Permet de comprendre un système philosophique Créature. 8. Opinion fausse Royal. 9. Note Monnaie d'Espagne ¡ Deux lettres de Boulogne. 10. Fille de Cadmus et d'Harmonie Refus Phonétt3uement prénom féminin. 11. Se dit d'un esprit sans compréhension Assassines. du 1S1D

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BRIDGE Problème 143 bis

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Pique AV2 2

Cœur A 10

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Carreau D 2

Trèfle R

Atout Carreau.

A Jo»e et falt toutes les levées.

La solution paraîtra la 7 Juillet Solution du problème 142 bis paru le 24 juin.

(A, BEVNAH5)

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n..an. n.l+ 1.1. -t. n

yuçui: yiti; suti itt tune jyucK pwi ij»

toutes les levées restantes sont faites par A et B, qui tout de même ne remplissent pas lenr contrat. Cependant, A ayant été soutenu par B, a en raison de déclarer quatre carreaux, dans l'espoir que son partenaire pourrait demander la sortie.

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2 TUILLET 1937 S

Jeanine Crispin

qui-va bientôt paraître dans

« Nostalgie ».

LfS3tc)UPs CE, SOIR

A l'Odèon, à 21 heures, répétition Générale de La Paix est pour demain, piece tn trois actes de M. André Long.

Au Théâtre des Mathurins-Pitoëff, à II heures, première représentation de Eve, pièce en trois actes de il. Jean Yole. la Comédie des Champs-Elysées, d RI heures, premiere représentation du spectacle d'opéras-bouffes Les Invités, opéra en un acte de M. Jean-Victor Pellerin, tnusiqne de M. Hàrsanyi Vénitienne, ttpérarbouffe en un acte de M. René Kerttyck, musique. de M. Jean Rivier La vécidique histoire du Docteur, de M. Serge Aubert, musique de M. Maurice Thiriet, et La Poule Noire, de H. Nino, musique de il. Manuel Rosenthal.

̃+̃ Au Grand Palais, à 21 h. 30, gala international de la Danse.

Les Concours du Conservatoire Voir, en page 3

Le compte rendu du Concours de piano (femmes). 0010~

̃ VIEUX COLOMBIER ̃

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L IRREVOCABLEMENT I

j TROIS DERNIERES I

ELIZABETH | LA FEMME SANS HOMME

I IWJWWWWWWWWWWWWWWWI

MONTPARNASSE- MON BAT\ FAUST TRAGEDIE DE GŒTHE

PROGRAMME DES THÉÂTRES 1

EN SOIREE

OPERA (Opéra 59-59), à 20 h. 15 Marouf, savetier du C laire (Mmes Marcelle Benya, Hamy MM. A. Baugé, Moiot Huberty, N'arçon, Chastenet, Gambon, etc. Danse MUef. Grellier, Barban, Binois, M. Serge Peretti). Orch. M. Fr. RuMinami. Depiain « Faust ».

COMEDIE-FRANÇAISE (Rich. 22-70), à 21 h.: Le Simoun (MM. Dessonnes. Brunot, Le Roy, Yonnel Mmes Marie Ventura, Mad. Renaud, Jeanne Sully, etc.). Demain

« Le Simoun v.

0PER4tc0ra°ÔjuE'(Rich. 72-00). à 20 h. 45 Le Barbier de Séville (Mme J. Mtchéau; MM. Arnonlt, Gaudin, Musy et Claude-Go^). Orch. M. Gloez. Demain « La fosca ̃>. ODEON (Danton 58-13), à 21 h. répétition générale de La Paix est pour demain, pièce en trois actes de M. André Lang. (Mlle Hélène Perdrière; MM. André Wasl«y, Murzean, Bourdel, Parzy Mlle Suzanne Courtal, etc.). Demain « Le Jeu de l'Amour et du Hasard », « Le

1\Ialade huaginairé

ATHENEE "operT 82-23), 21 h, Electre, de M. Jean Giraudoux. (MM. Jouvet, Renoir, Bouquet, Adam; Mmes DevllJer, Dorziat. Madeleine Ozeray) T x

GAlTE.LYRIQUE, à 21 h. Le Pays du Sourire (JIM. José Jansoii Allain Dhurtal, R. Allard; Mmes R. Ardenti. Cebron-Norbens, C. Navarre, etc.).

MONTPARNASSE (Gaston Baty) (Danton 89-90), & 21 h.: Faust (Marguerite Janipis, L. Nat, G. Vitray, Beaulieu, Suzanne Demars et J. Dumesnil). *T

AMBASSADEURS, 21 h. La revue du Cotton Club, de New-

,York.

BOUFFES-PARISIENS, à 20 h. 45 Trois valses (Yvonne Printemps).

CAPUCINES. à 21 h. La Nuit du 7.

COMEDIE DES CH;-ELYSEES, à 21 h. Operas-bouffes. CHATELET a 21 b. Yana (Bach, Roger Bourdin). DAUNOU (7, r. Daunou), 21 h. Pamplemousse J. Paquié). DEUX-MASQUES, à 21 h. 15 Le Dard.

GRAND-GUIGNOL. à 21 h. Epouvante et rirfc

HUMOUR, 21 b. LTrréguIière.

MARIGNY, à 21 h. La Belle Saison.

MATHURINS, à 21 h Eve.

LA LEGION D'HONNEUR DANS L'ARMEE

Etat-major général de l'armée A la dignité de grand-croix

Le général Mittclhausser, membre du conseil supérieur de la guerre.

Etat-major général de l'armée A la dignité de grand-officier

Le général de brigade Trinquet, du Ma-

3TOC.

Les généraux de division Corap, commandant la région Francis, adjoint au général commandant en chef les troupes du Maroc Boutry, commandant la 9° division Duffour, commandant la récion Thiry, comité consultatif de défense des colonies Huntzigér, commandant supérieur des troupes du Levant Buhrer, commandant supérieur des troupes de 1 Indochine.

Corps de santé colonial

Le médecin général Sprel, inspecteur général du service de santé des colonies. Etat-major général de l'armée Au grade de commandeur

Le général de brigade Husson, commandant la 2' brigade de spahis.

Les généraux de division Chauvin, commandant la 18° région Ducasse, commandant la 13<" région Naquet-Laroque, commandant supérieur du génie du Maroc. Le général de brigade Goubard, commandant l'artillerie de la région. Les généraux de division Hug, commandant la 36= division Sërdet, adjoint au général commandant la 20» région Millet, directeur du centre d'études tactiques in-

terarmes.

Les généraux de brigade Daudin, chef d'état-major de la région de Paris Buchalct, commandant l'artillerie de la 8° réj;ion Germain, commandant 2* brigade

F~ Thédtre

L'audition d'aujourd'hui à la Comédie-Française

Comme nous l'avons annoncé, cet après-midi aura lieu l'audition, à la Comédie-Française,- de comédiens, connus et inconnus, qui en ont fait la demande.

Ils se présenteront devant un jury composé des membres du Comité et des quatre metteurs en scène.

Il.convient de rappeler que ces auditions ne constituent pas une innovation. Elles ont lieu chaque année, mais celles d'aujourd'hui prendront un intérêt particulier du fait de la présence dans le jury des quatre metteurs en scène. D'autre part, l'administrateur de la Comédie-Française n'ayant pas siégé au jury du Conservatoire, les lauréats du concours et ceux dont le talent aura été remarqué pourront se faire entendre chez Molière.

Nous croyons savoir qu'une quinzaine d'artistes passeront cette audition. Parmi eux seront certainement des élèves qui se sont présentés au concours du Conservatoire, e.n particulier M. Meyer, qui a obtenu un second prix de comédie. A. W. André Moreau

directeur du Théâtre des Arts Depuis hier, M. André Moreau est directeur du Théâtre des Arts. La Société immobilière Batignollcs-Monceau a passé à cet effet, avec lui, un bail enregistré le 15 juin dernier, ainsi que nous l'avons dit.

M. André Moreau a l'intention de faire d'importants travaux dans le théâtre avant sa réouverture, qui aura lieu en septembre avec une picce nouvelle. M. André Moreau, qui a été un fidèle collaborateur de M. Louis Jouvet à la Comédie des Champs-Elysées et à l'Athénée, a appris le métier de directeur à bonne école.

D'autre part, M. de Turenne a déclaré ne pas vouloir quitter le Théâtre des Aa-ts dont il était directeur depuis deux ans et proteste contre l'attitude de la Société immobilière qui ne veut pas le connaître comme locataire. M. de Turenne a repris le bail de M. Darzens, qui arrive à expiration.

Mais cette situation ne saurait se prolonger. -.A. W.

EIDE NORENA

Mme Eidé Noréna, de l'Opéra, est à Paris depuis quelques jours. Elle revient de Londres où elle a remporté un des plus grands succès de la saison à Covent-Garden, dans le rôle de

« Desdempne ».

Pendant les fêtes du couronnement, Mme Noréua avait déjà remporté un vif 1 succès sur la même scène dans le rôle 1 de « Micaela » dans Carmen. Entre temps, «Me chantait chez le ministre de î Norvège, à Londres, à un thé donné en l'honneur de la reine Alexandna et de la reine de Norvège.

Mme Noréna a été peu après l'étoile de la Saison d'Oslo, au Théâtre National. Elle a chanté dix fois devant une sa'lle enthousiaste, en présence des membres de la famille royale qui ont tenu à la féliciter. Lors de la dernière représentation, le directeur du Théâtre National, M. Normann, a présenté à Mme Noréna des lauriers d'or, la re- merejant de représenter avec tant d'é- j clat l'art lyrique norvigien là l'étranger. t André de Fouquières.

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PALAIS-ROYAL, à 21 h.: Madame est avec moi! RENAISSANCE, à 20 b. 45 La Mère.

TH. DES CHAMPS-ELYSEES, 21 h. Concert Pasdeloup (Chorale de Mulhouse).

TH. CH. DE ROCHEFORT. 21 h. L'Etrange Croisière. THEATRE DE PARIS, à 21 b. La Fessée.

VIEUX-COLOMBIER, 21 h. Elisabeth la femme sans homme. Music-Halls Chansonniers

A. B. C. La Revue du Rire. Marie Dubas et 10 comiques. ALCAZAR, à 21 h. Beauté de Femme (revue nouvelle). CASINO DE PARIS, 21 h. Paris en joie (Maurice Chevalier). DEUX-ANES, à 21 h. Aneries 1937, nouvelle revue. THEATRE DE DIX-HEURES, à 22 h. Martini, Jean Eieus, et la revue Les Huîtres de la Couronne.' FOLIES-BERGERE, à 21 h. En Super-Folies, revue à grand spectacle, en 50 tableaux, de M. Maurice Hermite. (Joséphine Baker). Mat. samedis, dimanches.

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LE PERCHOIR, 21 h. Exposons! (revue). Les chansonniers. Cabarets Dancings

MAGIC-FOLIES (180, rue de l'Université), 22 h. 30: La Joie des yeux (revue).

MONTE-CRISTO, 8. rue Fromentin (Tri 42-31) Cabaret-danc. BAL DU MOULIN-ROUGE 21 h. 30 Dancing. 23 b. 30 Spectacle Cotton-Club.

TABARIN La Joie de vivre. Attractions.

BAGATELLE, 20, rue de Clicby (Trinité 79-33).

CHEZ SUZY SOLIDOR, 12, rue Sainte-Anne Attractions. CABARET DE MONSEIGNEUR. 94, r. d'Amsterdam (Tr. 25-35): Raquel Meller. Orchestre Costa.

CABARET DES FAMEUX TZIGANES. 4, r. de La Michodière. CLUB DES OISEAUX Thés. cocktails, dîners dansants. SHEHERAZADE Marianne Davis, F. Manet, Hachen Khan, AU FLORIAN (74, Champs-Elysées). (Elysées 14-70). l'été, un diner-dansant à prix fixe 30 francs.

LIDO: Thés, dancing, soupers, attractions.

d'AIgérie Bachy, commandant l'artillerie de la 3e région.

Les généraux de division Laure, commandant la division d'Alger Herscher, commandant la 11° région Jamet, secrétaire général du conseil supérieur de la défense nationale.

Corps du contrôle

Cunin, contrôleur général <le 2« classe. Intendance

Neveur, intendant général de lte classe. Corps de santé

Hornus, médecin général, directeur du service de santé de la 6e région Cochois, médecin général, directeur du service de santé de /a 11° région.

Etat-major général

des troupes coloniales

Le général de brigade Perraud, commandant la 2e brigade d'Afrique .occidentale. Les généraux de division Bonnet, commandant le groupement colonial mixte Maurin, inspecteur général permanent des travaux de défense de l'artillerie aux colonies.

Le général de brigade Sechet, commandant la brigade de Tunisie.

Intendance coloniale

Saleine, intendant général de 1™ classe. Corps de santé colonial

Heckenroth, médecin général.

Infanterie

Materne, lieutenant-colonel, affairés indigènes du Maroc Poulain, lieutenantcofonel, 2« zouaves Sivan, lieutenant-coilonel, centre de mobilisation Barrand, di-

Marguerite Moreno dans a La Dame de Pique », de Fédor Ozep, qui passera dès jeudi prochain -1 sur l'écran de l'Olympia.

EN SOIREE

recteur de la préparation militaire supérieure Mondielli, colonel breveté, étatmajor de la 15» région André, colonel, commandant le 8e tirailleurs tunisiens Bedoura, colonel, directeur du matériel de transmissions Petit, colonel; centre de mobilisation n° 24 Chateignon, colonel, commandant le 1492 d'infanterie Desanti, colonel, centre de mobilisation de chars 504 Wauthier, colonel breveté, directeur de la préparation militaire de la région Renault, colonel breveté, adjoint au commandant des subdivisions d'Orléans Maupoil, colonel, préparation militaire supérieure Nouguès, lieutenant-colonel, 126e d'infanterie.

Cavalerie

Lussaud, colonel, commandant par Intérim la 6e brigade de cavalerie de Bouglon, colonel, 10» dragons.

Artillerie

Stortz, colonel, commandant le parc de Casablanca Sorret, colonel service de la préparation militaire supérieure de la 1'°

région.

rég on. Génie

Husson, colonel, direction du génie de Casablanca Mathey, colonel, chef d'étatmajor du génie de la région de Paris. Service de santé

Pinchon, médecin colonel, de l'hospice de Caen. ̃

Gendarmerie

Pellier, colonel, 18° légion.

TROUPES COLONIALES Infanterie

Guillon, colonel, attaché militaire en Ethiopie Letondal, lieutenant-colonel, cen-

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LA DANSEUSE ROUGE

tre de mobilisation colonial 219 Mourin, lieutenant-colonel, centre de mobilisatien colonial 159.

Au grade d'officier t

Corps de contrôle

Olivier, contrôleur de la 1™ classe. Service des poudres

Hubert, ingénieur en chef, poudrerie nationale de Sevran-Livry.

Etat-major général de l'armée Au grade de commandeur

Delpech, général de brigade, section de réserve.

Infanterie

Diticher, lieutenant-colonel, état-major des troupes de Tuniste Depommier, lieutenant-colonel, centre de mobilisation 23 Desseault, colonel, centre de mobilisation n° 41 Thierry, colonel, service d'état-major, région de Paris Besset, capitaine, direction des fabrications d'armement. Artillerie

Albafouille, colonel, centre de mobilisation d'artillerie n" 17.

Service des poudres

Baron, ingénieur en chef de 2° classe. Service de santé

Mendélssohn, médecin lieutenanf-colonel, 4e région.

TROUPES COLONIALES Infanterie

Roux, lieutenant-colonel, centre de mobilisation colonial 59.

PROGRAMME DES CINEMAS 1. I

films parlants français.

CESAR Le Roman d'un Tricheur, Lac aux dames, COLISEE 15 h., 17 h., 21 h.: Quand l'alouette chante. BONAPARTE Le Grand Jeu. Le Mllion.

CINE.OPERA P. 14 à 20 h. Soir., 21 h. Le Roman d'un Tricheur, Lac aux dames.

DEMOIJRS L'Amant de Mme Vidal.

ELYSEE-CINEMA: 15 h., 17 h., 21 h.: J'aime toute» les femmes.

GAUMONT P. 17 h. à 24 h. 17 La Petite Chocolatière. IMPERIAL P. 14 à 1 h. La Danseuse ronce.

LUX Radio, Hélène.

MADELEINE P. 12 à 2 h. 40 Troïka sur la piste blanche. MAX-LINDER 12 2, 14 11, 16 4, 18 h., 21 15, 24 h. Ienace. « MARIGNAN 14 h. 25 à 23 h. 20 Le» sept 'perles de la Couronnne.

MARIVAUX P. de 14 h: à 19 h. La Grande Illuiion. MOULIN-ROUGE P. 14 h. 30-19 h., 21 h. La Belle de Montparnasse.

MOZART 15 à 21 h. Veille d'armea.

NORMANDIE 14 h. 52 à 24' h: 18 L'Homme de proie. NOTRE-CINE 15 h., 17 li., 21 h. Kermesse héroïque. 4 OLYMPIA P. 13 h. à 1 h. Ansèle.

PARAMOUNT P. de 9 h. 30 à 0 h. 30.: Cinderella. RANELAGH P. 14 à 21 h. A nous la liberté! t Films parlants anglais.

AGRICULTEURS Son homme.

4 AIGLON 11 h. à 24 h. Voyage sans retour. APOLLO 14 h., 2 li. du matin Un danger public, La Loi de la forêt.

AUBERT Panique à la radio.

AVENUE P. 14 h. 30 et 19 h. Soir., 21 h. 15 Weetk-end mouvementé et Taxi dans la nuit.

Lei salles marquées dn signe donnent im spectacle entièrement permanent. L'HEURE DU GRAND FILM:

Angèle (Vers, intégr.) 1210, 15 20, 18 30, 21 40. Olympia. Le Destin se joue la nuit 15 15, 17 45, 22 10. Mir.-Lord-Byron. L'Escadron blanc 15 h., 17 h. Studio Etoile. Eteignez la lune 14 h. 30, 15 h. 20, 21 h. 30. Marbeuf. L'Entreprenant M. Petroff 15 h., 17 h. 45, 22 h. Balzac. L'Entreprenant M. Petroff De 14 h. à 2 h. Helder. La Grande Illusion 10 Il. 12, 14 b. 10, 16 h. 30, 19 h., 21 h. 20, 23 h. 50. Marivaux. L'Homme qui terrorisait New- York 15 h. 20, 17 h. 40, 22 heures 15. Marbeuf. Le Chant du Printemps 14 h., 16 h. 10, 18 h. 15, 22 heures. « Cini-Ch.-Elysées. Monnaie de singe 15. h., 17 h., 22 h. 15. Studio 28. Le Mystère Patterson 14 30, 16 30, 18 10, 22 10. Panthéon.

LES COURSES

A AUTEUIL

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(Haies, à vendre, 10.000 fr., 2.700 m.) 1. Charleroi 63 (H. Galaurchi) G. 21 50 (au baron J. Empain) .P. 10 50 2. Zip 66 (R. Ball) P. 17 50 Jumelé. 196 »

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(3 long., 5 long., 15 long.)

PRIX DE SAINT-CLOUD

(Steeple. 15.000 francs, 3.800 m.) 1. Enfin 62 (S. nochet) G. 19 » (à M. J. Cunnington).

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PRIX SOUVIENS-TOI

(Haies. 20.000 francs, 3.100 m.) 1. Fascination 63 (P. Hiéronimus).G. 21 50 (à M. Ed. Veil-Picard) P. 7 » 2. Le Roi des Pelous. 63 (R. Bâtes) P. 6 » 3. Embrayeur 63 (R. Lucas). P. 23 50 Non placés Hué 65J, Premier Espoir 60, Rêve 63, Godelureau 63, Muscadèlc 63, Claret 611, Ultimus 60.

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Le Cinéma

André Daven va réaliser « Le Venin »

avec Charlea Boyer

Et il nous promet un « Mylord PArsouille »

André Daven, à qui nous devons tant de films à succès, est un producteur qui a le sens international. Il s'intéresse à la littérature, au théâtre et an cinéma de tous les pays; il s'évade systématiquement des sentiers battus. Entouré de collaborateurs jeunes, qui font équipe, il travaille avec une inlassable activité à enrichir l'écran français. A son retour d'Amérique, où il s'en est allé, récemment, voir de nombreux amis. il nous rapporte une bonne et grande nouvelle l'engagement de Charles Boyer pour son prochain film Le Venin.

D'accord avec M. Henry Bernstein, nous a-t-il dit, Marcel Achard va faire l'adaptation cinématographique de sa pièce en collaboration, pour le découpage seulement, avec Lustig. J'ai, en outre, confié la mise en scène à Marc Allegret, Charles Boyer reprendra le rôle qu'il a si magistralement créé au Gymnase. J'ai également engagé Marcel André. Quant au principal rôle féminin, je n'ai pas encore pris de décision. J'ai bien quelques artistes en vue, mais mon choix ne sera arrêté que dans quelques jours.

« Vous ne vous figurez pas la popu-, ïarité de Charles Boyer aux EtatsUnis. Sa vogue extraordinaire et son succès inouï. Son seul nom en tête d'une distribution suffit à assurer la fortune d'un film.

A quand le premier tour de manivelle du Venin?

Vers le leur octobre. Mais nous tournerons sans doute quelques extérieurs auparavant dans les environs de Biarritz. Charles Boyer vient en France pour deux mois. Nous pourrons ainsi réaliser le film tranquillement. Il a, comme moi. horreur de travailler dans l'énervement et la précipitation. J'ai, cependant, l'intention de présenter Le Venin au public dès le 23 dé- cembre.

Avez-vous d'autres projets avec Charles Boyer ?

Pas cette année, mais l'an prochain, je voudrais réaliser avec lui un Mylord VArsonille en deux versions française et américaine. J'espère très sincèrement réussir ce tour de force. » A d'H.

BALZAC 14 h. 30 à 19 k. 30; S., 21 h. 15 L'entreprenant M. Petroff.

CAMERA: Emprise, Opéra de Quat' Sous.

CH.-ELYSEES 13 h. à 21 11. 45 Le Chant du Printemps. COURCELLES 15 h., 17 h., 21 h. Théodora devient folle. EDOUARD-VII 14 h., 21 h. Six heures à terre. ERMITAGE 14 h. à minuit Amour en première page. HELDER 14 à 2 h. du mat. L'Entreprenant M. Petroff. LUTETIA L'Etrange Visiteur.

MARBEUF 14 à 21 h. 15 Eteignez la lune. L'Homme qui terrorisait New-York.

MIR.-LORD-BYRON: 14,30-19 h. S., 21 b.: Le destin se joue la nuit.

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LA REOUVERTURE

DU MARCHE

ET LE NOUVEAU CHANGE La réouverture du marché des valeurs a été bien réussie. La difficulté était grande. Deux journées de vacances forcées, un glissement monétaire indéterminé, le trouble persistant de la vie nationale n'étaient pas pour faciliter une échéance qui, concordant avec la fin du premier semestre, est une des plus lourdes de l'année. Comme on le verra ci-contre, les transactions ont été renouées régulièrement et la Bourse s'est retrouvée, d'un seul coup, en fonctionnement normal.

L'attention s'est portée plus particulièrement sur le change. D'une main très prudente, très discrète, très légère, le franc a été guidé jusqu'au point où des offres de devises en quantités appréciables se sont produites. Par conséquent, le courant des capitaux est renversé. Ce résultat était le premier qu'il fallût atteindre. Tous les autres en dépendent. Il reste-maintenant, d'abord, à exploiter ce succès initial par une technique avisée, et, ensuite, à le consolider par une politique générale appropriée.

Pour l'immédiat, à moins d'événements imprévus, la nouvelle position du franc paraît bonne, c'est-à-dire provisoirement stable. Bien que les cotations à ternie continuent de n'être guère que nominales, la détente des reports est satisfaisante. Toutefois, elle est loin encore d'être suffisante. Le problème tactique de défense du franc ne sera pas résolu avant que le taux des opérations à terme sur les devises soit fixé exclusivement par la disparité du loyer de l'argent entre les places considérées. Aussi les cours actuels ne sont-ils que d'attente. Les prochaines variations quotidiennes, par lesquelles se marqueront la souplesse nécessaire de la monnaie française, demeureront sans doute d'amplitude modérée. Mais le sort du franc n'est pas le moins du monde fixé et on n'oubliera pas qu'il sera exactement ce que le feront la sagesse, la discipline et l'intelligence de la nation. Le point essentiel est de compren- dre très clairement que le petit jeu des dévaluations répétées deux fois par an, ne saurait sa prolonger sans faire éclater touts la machine écono?i;ique et tout l'appareil social de la France. Parce que la devise du Fi(/aro permet de rire des plus tristes spectacles, on ne s'est pas gêné pour s'amuser des pitreries ridicules et des pirouettes honteuses de ces barbouilleurs de lois qui le peuple souverain, curieusement, s'est donné. Mais on ne se trompe pas un instant aux ruines incalculables et tragiques que causent ces exercices. L épargne massacrée, le crédit compromis, les contrats violés en série tout le système est ébranlé et il oscille dangereusement. Qu'il-n'ait pas craqué, c'est un vrai miracle. On doit renoncer complètement à l'espoir de le voir se reproduire désormais. A travers des épreuves et des rechutes inévitables, la restauration, qui est enfin devenue possible, sera menée n son terme ou bien ce sera la chute dans l'incoanu, Aventure .in*

senséc.lc^jchaijs.

C'est à cette observation fondamentale que se mesurent les responsabilités du gouvernement.

F.-F. Legueu.

LES CHANGES

La livre termine à 128 93 Dans fer matinée, la livre a ouvert aux environs de 124 pour progresser en séance officielle jusqu'à 129,05 et terminer à 128,93.

De son côté, le dollar s'éleva succès.sivement à 25 francs et 26,06.

Par rapport aux cours officiels du 28 juin dernier (£ 110,55 et $ 22,42), la dépréciation du franc ressort à 14 environ et la hausse des devises étrangères à 16 et demi environ.. Le florin s'inscrit à 14,30 contre 12,3225, le franc suisse à 5,94 contre 5,13 7/8 et le franc belge à 4,38 contre 3,78 5/8.

A terme, où les opérations ont été partout nominales, le report à un mois sur la livre s'est abaissé à six points et le report à un mois est tombé à trois points (contre 9,50 et 7,50 le 28 juin).

INFORMATIONS

.A

Situation

de la Banque de France au 24 juin 1937

Eu millions

de francs

'• ACTIF

Encaisse-or .54.859 2.499 Monnates d'argent 512 » Comptes postaux. 50r> 28 Dlsponih. à vue à l'étranger 17 + 2 Avances sur lingots 1.099 » Effets escompta, 8.937 + SQ7 Effets agric 87 32 Effets réescomptas des bau- 1,172 <> mies populaires 434 -r 5 Effets négociables France.. 1.023 » Effets uégoc. étranger 4.013 67 Avances sur titres 778 (52 Avances à 3U jours

Bons de la Caisse autonome 5.641 » Avances à l'Etat, art. 1 et 2 12.179 » Avanoes à l'Etat art. 3. 9.200 + 1.400 Divers 2.676 28 PASSIF

Billets en circulation 85.985 -j- 186 Compte Trésor public 47 + 3 Compte Caisse autonome. 2.161 + 25 ^•oraptes courants et dépôts 15.611 746 Divers. 2.041 + 14 Montant des engagements à vue 103.904. Ratio: 52 80 0/0 e. 54 92

Rente 3 1/2% amortissable Il a été procédé publiquement hier matiu, dans l'une des salles du ministère des Finances, au tirage au sort de quatre des douze séries de la rente 3 1/2 amortissable qui devront être reinboursées en 1937.

Le sort a désigné les séries 63, 55, 28 et 39.

Les porteurs de titres sont, en conséquence, prévenus que le remboursement au pair des inscriptions appartenant à ces séries aura lieu à partir du 16 août prochain, savoir pour Paris, à la Caisse Centrale du Trésor public et, pour les départements, aux Caisses des trésoriers-payeurs généraux, des receveurs particuliers des finances et des percepteurs.

Mouvement hebdomadaire de la Caisse d'Epargne

et de Prévoyance de Paris Opérations de la Caisse d'Epargne et de Prévoyance de Paris du lundi 21 au samedi 26 juin

Maximum des dépôts 20.000 francs. Versements reçus de 3.958 déposants, dont 687 nouveaux Fr. 7.273.993 OH.

Remboursements à 6,109 déposants, dont •l.">0 pour solde Fr. 13.698.219 «4. Fonds d'Etat Français achetés à la demande des déposants pour un enpital de Vr. S 1.158 33.

HAUSSE G-ÉlSTÉie^.LE IDTJ HVE^A-IRCHIÉl

Suppression des dispositions concernant le relèvement des couvertures au marché officiel. La situation de la Banque de France. La convention entre la Banque et l'Etat. Un conseil amical de sir John Simon.

@ Après deux jours de fermeture, le marché avait à tenir compte de plusieurs faits nouveaux le « décrochement » du franc déterminant une hausse appréciable des devises étrangères, l'inflation décidée par décret sous forme d'avances nouvelles de la Banque de France, le changement d'orientation imprégné à la politique financière et économique par MM. Chautemps et Bonnet, enfin, l'aggravation de la conjoncture diplomatique par suite de l'opposition germano-italienne aux projets de contrôle anglo-français en Espagne. © Dans ce complexe, le facteur monétaire était naturellement prépondérant. Aussi, c'est une hausse que l'on a enregistrée sur l'ensemble du marché. Touj tefois, cette hausse s'est maintenue dans des limites extrêmement modérées, malgré la suppression au marché officiel des dispositions concernant les couvertures exigées des opérations à ternte. © C'est que, d'une part, on a dû effectuer les opérations de réponse des primes et préparer la liquidation de fin de mois et que, d'autre part, un certain nombre d'opérateurs paraissaient mal assurés tant des perspectives futures de la conjoncture française que de l'évolution de la situation diplomatique. ffi Les rentes gagnent des fractions asses variablés qui vont de 1,80 à 5 points. Les plus favorisées sont naturellement les séries à garantie de change. © Les valeurs à revenu variable enlèvent généralelnenf des fractions de l'ordre de 10 à 15

PARIS

PRINCIPALES FLUCTATIONS Hausse

30/0 7153+ 195 4 0!0191S,ex-c. 7050+ 2 25 4 0/0 1918, ex-c 7050 + 225 11/N]932A. 7440+ lie 4 1/2 1937 .100 + 2 80 Banque de France 7125 -rBDD Banque de Paris 1270 +135 Crédit Lyoünals 1550 +150 Distribution 814 + 44 Générale d'Electricité 1370 +144 Lens 293 + 18 Forges Nord-Est 751 + 84 Kuhlmann. 68D + 66 Pechiney 1983 +178 Rio Tinto. 2480 0 +218 Roan Antelopc 407 + 21\

Royal Dutch. 5923 ~-575

Azote 1360 +95 Central Mintug 2860 +210 Crown ~tines 1620 +145

PRINCIPALES TRANSACTIONS En iranet de rente t

a 0/9 ,1.233.710 4 1/2 0/0 32 3,831.300

« 0/0 17. 267.020 4 J 1937. 1.634.760 4 010 18. 674.872 Ob. 3 i 36 A 2.452.G00

5 0/0 20 274.620 Ob, 4 36 B 6.127,800

4 0/0 25. 336.88S

Bu film t

Bons Trésor Saint-Gobain.. 801 4 1/2 0/0 34' 854 Air Liquide.. 3.287 B, de France 310 Citrpëa act.E. 1.050 B. de Paris.. 7.325 N. 1.510 U. Parisienne) 1.835 Indo Hévéas.. 4.1:75 C. Lyonnais,. 1.957 Peugeot ,.«., MS Sue* cap. 432 Say -.M 1.341 Distrib. Eleel 1.397 Terres H 15.721 Forges N.-Est 3.B65 Young 5J% 30 2.123 Tréfileries 701 Canadian Pao. 35 580 Courrières. 2.494 Wagons-Lits.. 9.356 Lens. 1.772 Cen~ratblining 528 Maries .î_ 412 Geduld hfa. 1.6o2 Nickel -?..roi 1.845 Rio T, 2.9J5 5 Penarroya v.. 2.931 Azote 1.387 Fse Pétroles. 1.852 Royal DutcJu 6.918 Kali Ste Thér. 3.585 Amsterd. Rub. 436 Kuhlmann «“ :U86 Cr. Nat. 1919 1.020 Péchlney 1.676 Cr. Nat. 1920 1.659 B, Pnulenc T.'244 Cr. Kat 10M 1.5B-J

I BOURSE DU 1EB JUILLET 1937 VALEURS |^d.|S|| VALEURS [prC&| S | VALEURS S j VALEURS \A\%iïi TBItMCB oréditHatlOEal »<0'1319.. 461.. 46S uanqno rranco-Japcn»Jse.. 75 80 voliet t CiauisonrtMt). «as

«•»»<» 6960 Çr.H«t.oliltr.500'5 9;i9». «6.. MB.. B«n.Hat.p,leCom'Btl'ln4. sa.- 565 Bon «ard* us 140..

ihini ?im Bons6%1923 M8.. ««.. Banque dœi jws ta Word.. 240 Coty (Société Aw>aï»(). MO.. 245.. 'Ihiîll SJ5 lim t»v*%i»n.\m. «0-. 46S.. crédit Alsérioo 1M9 1550 Saltrlu Lal.yeUt.7. 44 45.. JS/Îmo";™oAV,i,V. sa l««>«^i»i»l923. *55.. «o.. SnUt Inhut. «t Commerc. 295 (part).. 50940 32500 5$3ÎM?frt?,52?ta"" S" m «M1Ï.SJÎ1»». «5.. 482.. CredW«.d'Aii;én«-Inni3. 45».. 470.. Nouvelles Galeries. 335 353..

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î<?"«»5 CT> u u »<»««. de l'Aisso 1 1»26 «î 472.. Crédit roacter Colonial. l«0 170.. Printeaps, ord ijohiLîJÎSi ?ïSS ram *«»»» «»•• 61S- Oreditron.Udo-Cliinetjurt) J450-. 15S0 Atuce H«Vas 520 5*0.. mS^A^bï^V-Vii; 7M* va •«»»» «î5- M5--l crédit Foncier Madagjtcar .86 AidotBotlta.lg6D,

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BoaeTh3~D-19ia143~ip34 937.. ~pf6,. 7S£18i7. 478,, S Immobilière Marseillaise ZO$5mc il e uva ï Gaz 328 3115

GaisaelRtonbmel).f~I780.. 788.. 5°ô1B29. 798.. 488.. ACTIONS INDUSTRIELLES Duniop.· i90.. 5f9..

Wsuwtu»n»*)f% m- m- Z a^ieeV^»: 455 SI" actions ikdusimeu.es bSaSk 229" 2Î0

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© Les récentes mesures financières n'ont pas été accompagnées d'une réévaluation de l'encaisse-or de la Banque de France. Celle-ci est toujours estimée sur la base du franc à 49 milligrammes d'or à 900 millièmes de fin. Dans la situation hebdomadaire, publiée hier et arrêtée le 24 juin, l'encaisse-or est ramenée de 57 milliards 359 millions à 54 milliards 859 millions, soit une diminution de 2 milliards et demi.

© Les sorties d'or s' étant élevées au cours des deux dernières semaines de juin à 3 milliards et demi, d'après les déclarations faites hier au Sénat par il. Abel Gardey, il faut s'attendre à ce que la prochaine situation hebdomadaire enregistre, de ce fait, une nouvelle sor.tic d'or d'environ un milliard.

© De plus, il convient de prévoir pour la prochaine situation, une diminution de l'encaisse-or correspondant au réapprovisionnement du fonds d'égalisation des changes.

© La dernière situation de la Banque de France fait ressortir d'autre part, un accroissement des avances provisoires à l'Etat, dont le total s'élève à neuf

La production d'électricité aux Etats-Unis

Pendant le mois de mai 1937, la production d'énergie électrique aux Etats-Unis s'est élevée à 435 millions de kwli., contre 389 millions en mai 1930, soit une augmentation de 12 0/0.

LONDRES bien disposé

VALEURS p, cours- Il précé(J cours

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Io«.Holdiiis 2 j/4 2 3/4 urartaslds. 5l/« 81/7;i iUlMobac. 151/S 1SJ/8 BlistUeU» 7/4>» 1/i'

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Braijaa. U/8 47,6 M»»d.ïao, iîa/i 12 5/1

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milliards 200 millions .-(- 1.400 mil-

lions)*

tS La nouvelle convention entre le ministre des finances et le gouverneur de la Banque de France a pour objet de porter de 10 milliards à 25 milliards le montant maximum des avances provisoires que la Banque s'engage à consentir à l'Etat.

® On aura noté au cours du débat de la Chambre des Communes, concernant l'augmentation des ressources du fonds anglais de régularisation des changes, ce conseil amical à la France: Je lie souhaite que du bien il la France et tous ceux qui ont lu le discours de M. Georges Bonnet auront compris pourquoi le député travailliste a fait cette comparaison. J'espère que ce ne sera pas impertinent de ma part, si je dis que notre propre expérience a démontré que les difficultés tic ce genre résultent des excédents des dépenses de l'Etat sur ses reuenus, et des emprunts non accompagnés de prouisions pour leur remboursement. Le seul remède n'est pas dans des mesures ingénieuses pour parer aux difficultés du moment, mais dans la rectification de la situation budgétaire eu vue de regagner ainsi la confiance dit monde.

© Londres est mieux disposé. Les fonds britanniques notamment sont fermes. Toutefois, la clôture est indécise. © New-York est très soutenu. Le marché qui est ferme durant la séance faiblit légèrement en clôture, qui s'effec. tue dans les cours de la veille. Céréales en vive avance. Total des transactions 670.000.

NEW-YORK soutenu

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8 Air Red. ni 63 1/2 70 Johns Manï 126 1,1 125. 9 AlliodCnem 217 1,2 224. Kumecott 56 5,8 58 7/8 8 Amer. Can. 96. 95 1/2 Moatgome. 54 3/4 54 7/s 3 Amer Smel. 83 1/2 84 3/4 Kat.DairyP 18 7/8 19 i Am. T.ctï. 16C 3/4{ 165 S/4 Hat. Biltil. 28 1/4 28 1/2 3 Am.TobacB. 76 3/4 77 N.-Y.Centr. 36 5 S 36 3,8 4 ànacoada.. 52 3/4 53. ifortliAmer 22 3/4 23 1/8 3 Atcbison 'S 3/4 76 3/4 Peasylvan 36 36 5/8 9 uanad. Pac. 12 3/4 121/4 Faillie Ser?) 38. 39 1/2 3 Case ;60 161. Radio 1 8 1/8 «1/4 8 Cer.d.Posco 64 3/4 65 1/2 Reynolds.. 49 1/8 49 3/4 8 Cies.a.OUo 52./ J 53. 3«ars Roei. 88. 88 1/4 Com. Solvcn 13 1/8 13 1,4 Shell 28 1/4 27 3/4 CoMol.Edie 33 1/4 33 1/2 st. Brands. 11 3/4 12 3 Coty. 6 7/8 6 3,4 ât,01UiIIJ 65 1/2 66 1/4 ̃ Ciryslcr. 97 7/8 95 1/2 teXasCorp. 58 7/S 59 3/8 B Du Pont. 153. 153. lexas Gnlf. 35. 35 1/4 9 Elec.B.a.5. « 6/8 15 1/8 Uaion Paci.i 123 122. i Geaer.Zluc 52 7,8 52 3/4 Unlt.AirClj 26 3/4 27 1/2 i Oener Mot. 49 1/4 49 1/4 U. s, Snelt. st. 84 1/2 t Soodyear.. 38 313,4 U. S. Steel. M 3/8 100 1/8 Iiiter Harv 73 105 1,2 Wester.Bn. 44 s/4 46 1/4 > IaterHick. 57 3/4 ts 3/8 Westinsh.. 143 142 Ut. I. et Tel 10 1/2 10 1/4 Woelwwth. 45 7/8! 44. 1/2

MARCHES COMMERCIAUX

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Juillet

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novembre 18 31 18 25

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Octobre 12 11 12 11

SUCRE Mew-Yoris.. Juillet 250.. 253.. Septembre 251 •• 252

CAOUTCHOUC fuméfclil.. 8t11 98I1G

Londres. Disponible 9 1/1 9 9/16

CAOUTCHOUC. Sew-ïork.. Juillet li J0 19 65

Septembre ;> 44 19 «4

l0 SUIVRE (SUn.) Londres. Comptant 04 2/6 55 18/9

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Kew-ïorfc.. Juillet 12 72 12 71 Septembre U 13 12 75 ETAIN Londres. Comptant 252 15/. 235 17/6 PWMB étraus. Comptant 23 8/3 23 U/10 ̃ ZINC comptant 3! 13,9 ,2119/4!, ̃ ARGENT (bar.) Comptant 20 1/16 !l3 15,18 .I0RH» Comptant l4O,9j J40/6

RADIO

Vendredi 2 juillet

16 RADIO-PARIS du concert donné à la direction générale des Beaux-Arts par l'Association Florence Blumenthal. Œuvres de Marcel Delannoy, Maurice Durullé, Lucien FerrierJourdain, Pierre-Octave Ferroud; Georges Hugon, Georges Migot, Manuel Kosenthal et Robert Siohan. 20 h. 30, TOUR EIFFEL Concert par l'Or. chestre national sous la direction de M. Inghel.brecht Symphonie {Haydn) Concerto en ré four flûte et orchestre (Mocart), par M. Moyse Ballet du Roi s'amuse (Delibcs) Aubade (Marescotti) Concerto pour flûte (Chaminade) La Fiancée vendue, ouverture (Srietana).

23 h., RADIO-PARIS Concert de nuit, par l'orchestre de la Société Philharmonique de Paris, sous la direction de MM. Mûnch, Cortot, Bondeville, avec M. Jauattc et la Chorale Yvonne Gouverné Prélude, choral et fugue (.Franck) Chœurs de lemmes (Schumann) Concert dans le goût théâtral (Couperin) Ophélie (Bondcvillc) Mon

d'Orphée (Berlioz).

ORCHESTRE

16 Ii., LONDRES REGIONAL Orchestre de la B. B. C.

20 h., MUNICH Haeneiel, Haydn, Schubert, Graener, D'Albert, Strauss.

20 h., NATIONAL ANGLAIS Orchestre de la B. B. C. (Gade, Borodine).

20 h., BRUXELLES Orchestre, direction de Joncker. r.

20 h. S, SUISSE ROMANDE Concerto en ré mineur (Bach) Notturno pour petit orchestre (Haydn) Divertissement 11 (Mozart). 20 h. 40, MIDLAND REGIONAL Haendel, Haydn, Atterberg,

21 h. 15, FRANCFORT Symphonie 6 (Tschaikowski).

22 h. 20, VIENNE Œuvres de Bach. MUSIQUE DE CHAMBRE ET SOLI 16 h. 15, PARIS P. T. T. Pièces pour violoncclle.

18 h., PARIS P. T. T. Mélodies.

19 h., RADIO-PARIS Pièces pour violon, vioîonceHc Mélodies et duos.

20 h. 30, RADIO-PARIS Mélodies.

21 h. 45, WEST REGIONAL Piano.

22 h., NATIONAL ANGLAIS Œuvres de Boccherini-

22 h. 20, LUXEMBOURG Quatuor (Jongen). MUSIQUE LEGERE ET VARIETES 20 h. 20, POSTE PARISIEN Sous la lampe. 20 h. SS, POSTE PARISIEN Relais du Théâtre Marigny La Belle saison, opérette de J. Delettre.

21 h., RADIO-PARIS Ctonsonqïers,

OPERA

20 h. 10, LUXE Mârouf, d'Henri Rabaud (de l'Opéra).

20 h. 10, HAMBOLRG Le Cadi dupé, de Gluck).

21 h. IS STUTTGART Paris et Hélène (Gluck). ̃̃̃

THEATRE

14 h. 3O, RADIO-PARIS Restez amants, de Frank Vosper.

20 h. 30, STRASBOURG Théâtre radiophor

nique.

20 h. 30, RENNES-BRETAGNE Le Petit péché, de Birabeau.

21 h., PARIS P. T. T. La Mère, de Gorki (de la Renaissance).

Ce soir vendredi, Cinéma NORMANDIE. RADIO-CITE présente « LES FIANCES DE « BYRRH », grand concours de mariage présenté par JEAN GRANIER et JANE SOURZA, JO BOUILLON. et son orchestre, et ROBERT DARTHEZ.

50.000 francs de dot, 1" prix. et 72 bouteil- les de BYRRH pour les auditeurs ayant le mieux voté.

Radiodiffusion de 19 h. 55 à 2» h. 25.

Samedi 3 juillet

M. Eugène Bigot met parfois son talent au service de compositeurs dont la formation est un peu « traditionnelle ». Félicitons-le de jouer ce soir un musicien doat la valeur n'est nullement entachée de « conformisme ». Ailleurs, des musiques régionalistes, toujours fraîches, devant un micro surchauffé, si l'on ose dire, par les exigences des programmes. P.-D, T.

20 h. ;;0, RADIO-PARIS Concert symplic-nique sous la direction d'Eugène Bigot, avec MM. Ar. noult, Pactat. Mlle Daniels et la Chorale Raugel Symphonie (Biset) Komor, fragments (Piriau) Joyeuse Marche (Chabrier).

20 h. 30, TOUR EIFFEL Les Adelphes, comédie de Térence, adaptation radiaphottique de Paul Didièr-Pérret, avec la troupe de la Tour mise en ondes dc Paul Castan.

20 h. 30, STRASBOURG Soirée de gala des provinces françaises La Couqueto de Marseille Groupe régionaliste de Louhans Les Moutons blancs de Pmtivy Académie provençale de Cannés LEscda de la valida de Barcelmnetle Groupe de Chambéry Les Bouibes et les Diaichottes ( Montbéliard) Groupe réfiomlistt de Mets Lou Rlban de Provenço d'Avignon Ecole

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LE 31e TOUR DE FRANCE CYCLISTE tes pavés, la pluie, des crevaisons et des chutes la seconde étape Llile-Charïeviile, fut très mouvementée .ELLE A ETE GAGNEE PAR ARCHAMBAUD La malchance de F. Vervaecke et l'abandon de M. Clémen's ̃ II 11 ES pavés et la pluie qui rendirent cette seconde étape particulièrement péniIII II ble n'ont pas eu raison du cran de l'Italien Bartali.

III II Le vainqueur des deux derniers Tour d'Italie a confirmé sa belle course II de la veille et il est fort probablequ'il apparattra bientôt comme l'un des "'™ plus sérieux prétendants à la victoire tinale..

Les chutes et les crevaisons furent' nombreuses et l'un des plus touché fut le Belge F. Vervaecke, dont la forme est excellente.

Sylvère Maes, Meulenberg et Wierin ckx furent les victimes indirectes de ta malchance de leur compatriote, qu'ils attendirent et ramenèrent, pratiquant ainsi un remarquable esprit d'équipe.

Tous les Belges sont, du reste, en excellente condition, y compris les individuels, parmi lesquels Braeckeveldt, gagnant de la Flèche wallonne, est une vedette remarquée.

Profitant de l'attention que les Belges apportent à la course des Italiens, Archambaud a enlevé une belle victoire en s'échappant adroitement à quarante kilomètres de ^arrivée; ainsi, il a sacrifié à une habitude affirmée, déjà, au cours des épreuves préMdentes, dans lesquelles il a toujours acousé une bonne forme durant les premières

Jtapes.

Cette deuxième étape fut meurtrière les derniers classés, parmi lesquels Cloatec, ont été dans l'obligation de subir une demi-heure de retard. Majerus, qui a calqué sa course sur celle des grandes vedettes, a conservé son maillot jaune; mais IHathias Clemens, victime d'une mauvaise chute, a été contraint à l'abandon. m

Le résumé de la deuxième étape Les pavés et la pluie. ont rendu l'étape fort mouvementée dès les premiers kilomètres. A quinze kilomètres de Lille, une échapÎiéc de l'Espagnol Ezquerra est stoppée^ par ̃"élicien Vervaecke" qui, après avoir ramené le peloton, est victime d'une crevaison, après vingt-cinq kilomètres de course. Douze kilomètres plus loin, Mathias démens et Servadei sont victimes d'une chute Mathias Clemens est transporté à l'hôpital.

A Valenciennes, anrès 52 kil. 500 de course. Rossi, Vicini, Gallien, Marcaillou et Ton Van Schendel sont en. tête, avec *une

L'étape d'aujourd'hui

Charleville-Metz (161 km.)

minte et demie d'avance sur le peloton mais le ralentissement de l'allure des hommes de tète permet à de nombreux lâchés de revenir dans le peloton. Archambaud profite de l'occasion pour se sauver et rejoindre les cinq hommes de tête.

Quinze kilomètres après Valenciennes, F. Vervaecke est victime d'une seconde crevaison, ainsi que Pierre Clemens qui, à l'entrée de la ville, avait fait une chute. A Maubeuge, 86 kil. 500 du départ, les fuyards ont conservé leur avance, mais ils seront rejoints avant Avesnes, où Majérus et Berrendero passeront trente secondes avant le peloton.

Les crevaisons et les chutes sont toujours nombreuses et ralentissent les efforts de ceux qui s'étaient lancés à la poursuite des fuyards.

A quarante kilomètres de l'arrivée, ArHIPPISME

Le Tournoi de Vichy Y Prix du Parc, gentlemen, pour chevaux n'ayant pas gagné 1.000 francs. 1. Jocaste, à MM. David et Benosl Gironière 2. Jonquille II, à M. Bidoifc .3. Ibis V, à M. Lelarge, monté par M. H. Larrcgajn. Prix Champsavin, parcours à l'américaine. 1. Vague d'Assaul, à Mme Hasselbach et Mlle de la Pichoiserie, au comte d'Auber de Peyreîoncjue 3. Gobe Mouche, à M.- Pla ntier, monté par M. Briolle. Stick.

NOUVELLES DE TOUS LES SPORTS BOXE; Après son combat contre PetitBiquet, souffrant de sa main droite légèrement abimée et d'une légère coupure à l'œil gauche ayant affecté le.nerf optique, Peter Kane devra être examiné par un spécialiste. A Belfast, l'Irlandais dim Mac Stravick a battu Pat Palmërs, un des meilleurs poids mouche britanniques.

TIR. Au cours de la dernière. réunion da la Société « Cartoucne », les vainqueurs des poules disputées en trois séries de six balles sur silhouettes réduites, dans le temps de 12 2 secondes, furent M. Laborde Ct le duc des Lesparre.

fenilieton du «Figaro» du 2 Juillet 1937 (26)

La rouble énigme ̃ ̃' .̃̃ ̃̃̃̃•̃• 'X- (Suite),

Je voudrais tout vous dire, bien que ce soit vrééément pénible pour un homme dans ma situation. Mais vrééément, je ne puis supporter qu'on me croie un instant capable de ce crime affreux. Je vous assure, messieurs, je ne puis le supporter. Je préfère avouer la vérité, dût-elle me montrer sous un jour. enfin, je vais tout vous avouer. Vous saisissez la gravité des déclarations que vous vous apprêtez à faire ? observa le coroner. Parfaitement. Cela va. Je pour-

chambaud et Godard réussissent cependant à s'échapper et prennent bientôt une minute d'avance sur un peloton compact qui précède, par trente secondes, lès autres coureurs, séparés par des écarts plus ou moins importants.

A quelques kilomètres de l'aarrivée, Bi'aeçkeveldt s'enfuit en compagnie de G. .Deloôr, Kint et Goasmat et lâchent le gros du peloton.

A- l'arrivée, Arenambaud règle Godard au sprint, et Braeckeveldt, distancé d'une minute par les premiers, prend le meilleur sur G. Deloor et Kint qui, tous trois, ont lâché Goasmat.

Le classement

de la deuxième étape

1. Archambaud, les 192 kil. en 5 h. 18 m. 31 s.- 2. Godard, premier individuel, même temps 3.* Braeckeveldt, 5 h. 1 m. 38 s. 4. G. Deloor 5. Kint, même temps 6. S. Maes, F. Vervaecke, Hendri'ckx, Wierinckx, Meulenberg, Bartali, Rossi, Martano, Introzzi, Camusso, Thierbach, Gêyer, Weckerling, Baulz, Wengler, Oberbeck, Lapébie, Le Grevés, Speicher, Tanneveau, Marcaillou, A. Van Seliendel, Ton. Van Schendel, Van der Ruit et les principaux con- currents, à l'exception de Chocque, Deltour, Disseaux, Dannéels et Lowie.

Le classement général

après la deuxième étape 1. Jean Majérus (LuxO, 12 h. 15 m. 23 s.; 2. Maurice Archambaud (Fr.), 12 h. 17 m. 12 s. 3. A. Mersch (Lux.), 12 h. 18 m. 2 s.; 4. A. Braeckeveldt (Belge) (premier des individuels), 12 h. 18 m. 23 s; 5. Thierbach; 12 h. 18 m. 56 s.. 6. Kint, 12 h. 19 m. 49 s. 7. Muller, 12 h. 20 m. 13 s. 8. Lapébie, 12 h. 20 m. Î3 s. 9. Wierinckx, 12 h. 20 m. 13 s. 10; Hendrickx, 12 h. 20 m. 13 s.

L'étape de demain

Metz-Belfort (220 km.),

Le, Prix de l'Espérance

quaMfiera demain le dernier sélectionné du Grand Prix de Paria

L'épreuve la plus importante de la deuxième journée du Meeting du Grand Prix de Paris sera le Prix de l'Espérance, qui sera disputé, demain après-midi, sur la piste du Vélodrome municipal de Vincennes.

Parmi les vedettes éliminées dimanche dernier, Mérkens. Falk Hansen et Jézo sont les plus qualifiés pour enlever, une dernière chance de participation à- l'épreuve décisive du Grand Prix à s'en tenir à la belle course qu'il a fournie, après son éliminatoire en série, dans le handicap, Merkens apparaît avoir là meilleure chance dans cette épreuve de repêchage.

Au programme de la réunion de demain, figurent également les séries du Grand Prix de Paris des amateurs et indépendants, les demi-finales et finale du Championnat de France militaire de vitesse, une course poursuite, par équipes de quatre hommes, a disputer selon la formule olympique et une américaine de quarante kilomètres.

W-444he-oi

rais avoir une goutte d'eau 1 fit M. Thipps.

Prenez votre temps, répondit le coroner, mais il ôta à sa phrase tout caractère persuasif, en jetant un coup d'œil impatient sur -sa montre.

Merci, monsieur. Eh bien, voilà. Il est exact que j'ai débarqué à Sarnt-Pancrace à.dix heures du soir. Pourtant, j'avais un compagnon de voyage qui était entré dans mon compartiment à Leicester. Au début, je ne l'ai pas reconnu, mais il s'est trouvé que c'est un ancien condisciple à moi.

Comment s'appelle-t-il ? demanda le coroner, levant déjà son crayon pour écrire. Thipps se coagula visiblement. Je crains de ne pouvoir vous répondre. Vous comprenez. ou plutôt vous comprendrez. que cela lui attirerait des ennuis, et je ne peux pas. non, vréééément, pas même s'il y allait dé ma vie. Non, ajoutatril, car la sinistre portée des paroles qu'il venait de prononcei* le frappait subitement, bien sûr, je ne peux pas.

Soit, soit, di'le corôhèr.

La duchesse se pencha de nouveau vers M. Parker.

Je commence à admirer ce bout d'homme, chuchota-t-elle.

Mlle Jedzrejowska et Miss Round joueront la finale du simple dames Cet après-midi Donald Budge contre G. von Cramm (De notre correspondant particulier, par téléphone)

Wimbfedo/i, 1" juillet. II faut vrai- 1 ment un événement extraordinaire pour nue la foule anglaise sorte du flegme avec lequel elle assiste aux joutes sportives. La fièvre est montée à Wimbledon et malgré l'iniDortance des demi-finales du simple dames1 qui sont disputées aujourd'hui, les spectateurs s'entretiennent surtout du match qui, demain, opposera pour le titre du simple messieurs Donald Budge et Gottfried vou Cramm.

Les « actions » de l'Allemand ont singulièrement monté, tant de son brillant succès sur H. AV. Austin que -du fait de la difficulté qu'eut Budge. pour battre Parker.. L'Américain avait, jusque là si facilement triomphé de ses rivaux qu'on en était arrivé a se demander si un joueur existait qui pourrait l'amener à composition. Parker a prouvé que BUdge était gêné par des attaques rapides au filet, que souvent il, laissait place, à des « passingshots » en drives à condition évidemment qu'ils soient très précis et que 'la variation de la longueur des coups lui agréait peu. A voir la belle technique de von Cramm et surtout son magnifique sens tactique, qui lui permirent de battre Austin, on en est venu à penser que ses chances, demain, étaient plus grandes qu'on le disait. Aux dernières' « cotations » on donne Budge à 6 contre 4. et dans le camp dés Allemands on accepte en souriant tous tés paris, à ce taux Ta confiance règne C'est aussi en souriant que les organisateurs écoutent les propos passionnés qui sont, tenus.au sujet de cette finale il n y aura pas, demain, la moindre place libre autour du court central

̃̃ ̃ ̃. •̃♦ ̃ v .̃̃'

Miss .Round et la championne polonaise Mlle Jedrejowska, qui depuis son arrivée en Angleterre n'a pas perdu un match, disputeront samedi la finale de simple dames du tournoi de Wimbledon..

La défaite de Mnïe Mathieu n'est pas AVIATION

366 AVIONS

représentant 115 clubs seront dimanche à Orly Dans une période où l'on peut craindre la disparition de l'aviation privée,, il est réconfortant de noter le succès considérable d'engagements obtenu par le Rallye national de l'Exposition.

Trois cent soixante-six avions, représentant 115 clubs, se poseront, en effet, à Orly dimanche.. C'est la première fois, non seulement en France, mais dans le monde entier, qu'il a été donné d'enregistrer une pareille participation à des rallies aériens strictement réservés à des appareils civils. Pour la part, le Rallye de la France d'Outre-Mer, dont lés premiers départs ont été enregistrés, le, 15 Juin dernier, de Tananarive, a groupé, comme on le sait, 34 concurrents affilies à 11 clubs dé nos colonies ou des pays placés sous mandat ou protectorat français..

Quant au Rallye national, il réunit 1? pilotes indépendants et 315 pilotes appartenant à 104 clubs différents. Ceux-ci sont divisés en huit régions, la première groupant 39 avions pour 12 clubs, la seconde 24 avions pour 6 clubs, la troisième 35 avions pour 12 clubs; la quatrième 45 avions, pour 19 clubs la cinquième 33 avions pour 9 clubs, la sixième 29 avions pour 11 clubs, la septième 69 avions pour 17 clubs et la huitième 41 avions pour 18 clubs. ̃̃.

NOUVELLES AERIENNE L'aviation commerciale L'Exposition,- la saison des vacances, le nombre croissant des voyageurs sur la ligne Paris-Londres ont amené une augmentation très sensible des départs dans chaque sens entre Le Bourget et Croydon. C'est ainsi que les British Airways annqnceht que le nombre des départs, par semaine va être porté de 2.7 à 39 l'occasion de la mise en vigueur des nouveaux horaires à partir du 1" juillet.'

Quatre avions Lockeed Electra au lieu de deux assureront le service à 300 kilomètres > l'heure, tandis que d'autres voyages seront assurés par des avions moins rapides un, tarif plus bas.

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M. Thipps reprit

Arrivé à, Saint-Pancrace, je m'apprêtais à rentrer chez moi qnànd mon ami m'en dissuada. Nous ne nous étions pas revus 'depuis longtemps et il fallait. heu. faire la bombe, selon son expression. Je me suis montré faible, j'en ai peur, en me laissant: entraîner dans un bouge. J'emploie le mot à dessein, dit M. Thipps, ,et je vous jure. messieurs, que si j'avais su où il me menait, je n'y aurais jamais mis les pieds. J'ai laissé nia valise à la consigne, parce qu'il ne voulait pas qtie nous nous en encombrions. Un taxi nous a déposes à l'angle de Tottenham Court road et d'Oxford street. Nous avons un peu marché, tourné dans une rue latérale, je ne sais plus laquelle, où il y avait une porte ouverte, avec des lumières. Il y avait aussi un homme derrrière un comptoir mon ami a pris des billets, et j'ai entendu l'homme qui: chuchotait quelque chose à propos dé « votre ami » c'est moi qu'il désignait ainsi et mon càmaf^de répondit « Oli,si, il est déjà venu' ici, n'est-ce pas, AK c'est le diminutif qu'on me donnait à l'école, et pourtant, je vous assure, messieurs, ici M. Thipps devint très grave, c'était la première fois, et rien au monde ne pourrait me décider à retourner dans un lieu pa-

V O RT S

LE TOURNOI INTERNATIONAL DE WIMBLEDON

surprenante, mais le match qu'elle disputa n cet après-midi contre miss Round aurait e pu être plus égal si au cours du premier jeu du second set la décision incontestable J de l'arbitre qui jugea qu'une balle reprise u par Mme Mathieu avait été doublée, n'eût 1' pas sérieusement handicapé le moral de la a championne française qui, à partir de ce moment, n'offrit qu'une résistance appa- rente et perdit en 12 minutes le dernier sét par 6-0. f- Le premier set fut très disputé et Mme p Mathieu, du fond du court, attaqua avec décision sur les revers de son adversaire t jusqu'au cinquième jeu. Les deux joueuses v gagnèrent successivement leur service puis c menèrent 5-3. Mme Mathieu faillit égaliser il lorsqu'elle obtint 40-0, au neuvième' jeu, mais miss Round, extrêmement brillante et décidée au filet remonta cet handicap et J remporta le set, 6-4. -•̃-•̃̃ r r Mlle Jedrzejowska obtint sur miss Marble sa troisième victoire. La joueuse amé- I ricaine domina toutefois dans le premier X set, qu'elle faillit remporter, lorsqu'à 5-3 t elle obtint deux balles de match. Les jeux suivants furent extrêmement mouvementés, 1 mais bien :que possédant un style plus varié, plus spectaculaire que Mlle Jedrze- 1 jowska, la championne américaine! ne put 1 résister contre les puissants drives de son 6 adversaire., Elle rattrapa toutefois quatre balles de' niatch lorsque Mlle Jedrzejowska 1

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Fête du Ifagéur

SciJaire a«x Tourdfës ( C'^st un franc succès que remporta hier ` la Fête du Nageur scolaire, organisée par notre confrère Vlntransigeant: Plus de cinq j .l mille écoliers parisiens étaient venus assis- s ter aux ébats de leurs camarades et l'on n'fut à déplorer qu'un forfait- celui' du ]

•oleil. ̃

Outre le Grand Prix du Nageur scolaire, '1 remporté par Leblond, du. Lycée Pasteur, étaient disputés les Championnats de Pa- l ris scolaires. ]

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La plus jeune nageuse brevetée:' Mlle Andrée Belin

(née le 30 août 1933).

Résultats; ̃̃

Grand Prix du ..Nageur scolaire (25 .m. nage libre). 1. Leblond (Pasteur), 14 se'cbndes 6/10 2. Berko (Suresnes), 15 ̃ se- pondes 4/10. Cljiïmpiqhnats de Paris scolaires (filléttes). 50 m. minimes 1. H. CKatelard (Dautencourt), 36 s. 2/10 2. 0. Défaux (Gambettajj 37 s; 2/10.

Garçons: 50 m. minimes 1. Trinquecoste '(Voltaire), 30 s. 2/10; 2. Leblond (Pasteur), 32 s.

100 m. juniors. 1. Pierre Jesum (E. P. S. Suresnes), 1m. 5 s. 6/10 2. Lypzlc (Janson-de-Sailly), 1 m. 7 s. 4/10.

200 mètres seniors. 1. Mercier (Voltaire), 2 m. 47 s: 2/10 2. Evrard (Voltaire), 2 m. 56 s. 2/10.

Rélais 5X50 m. -r- 1. Voltaire (Gautier, P. Borot, Leroy, Galy, Lambert), 2 m. 32 secondes 6/10 2. Voltaire II, 2 m. 36 s. 6/10.

reil. 'On est descendus dans une pièce au sous-sol il y avait des boissons, mon ami en a pris et m'en a fait ingurgiter. ùiïe ou deux, bien que je m'abstienne, en général, :de tout alcool, et il a causé avec d'autres hommes et des femmes qui étaient là, «des personnes assez vulgaires \à mon avis. Pourtant, quelques-unes de ces jeunes dames étaient bienr jolies. L'une d'elles s'est assise sur ses genoux et l'a traité de vieux paresseux puis elle exige qjl'il la suive nous avons donc pvas«é dans'' la pièce voisine, pleine gens qui dansaient les danses à la mode. Mon ami a fait comme eux et moi je nie Suis assis sur le sofa. Une des jeunes dames s'est avancée vers_moi et a voulu-savoir si je dansais. Comme je lui répondais non, elle me demande si je lui offrirai à boire, « Vous' nous offrirez bièji à boire, mon cher »r; voilà ce qu'elle me dit, et je lui dis « L'heure n'est-elle pas trop avancée mais elle a dit qiië cela ne faisait rien, Alors, j'ai commande un gin et de l'absintlie, xar je ne voulais par refuser, la jeune dame semblait s'y attendre", et je séhtaîs qu'il seràitindigne' d'nn homme bien élevé de se dérober, mais j'ai agi contre ma conscience, et elle m'a passé son bras autour du cou pour m'embras-.

nena 6-5 mais perdit: le quatorzième jeu t le set par 8-6.

Le deuxième set fut moins disputé et Ille Jedrzejowska domina nettement avec Ine rapidité et une précision qui doivent ui donner samedi prochain une victoire ussi décisive sur miss Round.

En double, les jeunes espoirs anglais Vild et Hare furent battùs. en quatre sets >ar von Cramm et Henkel, tandis que lughes et Tuckey se qualifiaient aisément iour les demi-finales.

La finale du simple messieurs se dispuera demain après-midi entre Budge et on Cramm. C'est la troisième fois que le hampion allemand se qualifie pour la Lnale. Remporterart-il le trophée î Résultats

Simple* damés. Demi-finales Mlle edrzéjowska b. miss Marble, 8-6, 6-2 rtiss Round b. Mme Mathieu, 6-4, 6-0. Double messieurs. Quatrième tour lenkel-von Cramm b. Hare-Wilde, 6-4, 4-6, i-4 7-5 Budge-Mako b. Bronwich-Sproule, i-2", 7-5, 6-8; 6-2. Deuil-finale Hughes-Tuckey b. Nakano^amagishi, 6^2, 6-2, 6r2.

Double mixte. Prënn-miss Dearman b. ilamaaishi-miss Nuthall, 6-2, 9-7 Mako.rllle Jedrejowska b. Tinkler-miss Lumb,

~l 6-2

Dèmi-flnale Budge-miss Marble b. MaLO'-Mlle Jedrzejowska, 6-3, 6-2.

Double dames. Miss King-miss Pittnan b. miss Jammes-miss Stammers, 6-1, '-5 miss Deàrman-miss Ingram b. miss îeeleyJmiss Round, 9-7, 7-5 Mrs Andrusijme Henrotin b.' miss Ostrich-miss San

iers,.6-2, 7r5^

HflUI~ÉLLES DES C4URTS La Société de Sport de Compiègne or ;anise deïuaian et dimanche son tournoi mnuel.

Sont convoqués demain

A 13 h. 45. Roland-Gesselin, Gallien, Harchain, lieutenant Colombier, Plët, Desienne, F. Roger, Karpeles; Bitterlin, Fanauzzi,' lieutenant Grégoire, Sainte-Marie Sodsoti, Cozé; B.Humbert.

A 14 h. 30. Tous- les autres joueur: ion. classés^ A 15 heures. Mme Ternat, Mme Me. îut, miss B.' Jewson, Mme Bonnard et tous es joueurs classés à 15 et en troisième se-

·ie.

Dimanche, à 9 heures. Tous les joueur: •estant qualifiés, plus Robert Floquet, F ïVallaert.M. Schaff et R. Haeuw. A 10 h. 30. Mme Laffargue, Mlle d< Ailiers, Mlle Laviéille, Mme Wallaert et le! loueuses restant qualifiées.

AVIRON

LES CHAMPIONNATS DE PARIS

Les championnats de Paris seront dispu :és après-demain dimanche, sur le bassir iè Suresnes.

Quatorze épreuves figurent au programmi }a journée, six d'entre elles étant réser réés aux débutants et aux juniors. L'épreuve la plus intéressante à suivrf sera. probablement, celle du Tiiiit'dans la quelle sont engagés mn mixte C.N. Bourse S.K. Lagny, la- S.N. Basse-Seine, la S.N Marne, ï'UiS. Métro, le C.N. Paris et Il Société d'Encouragement.

Le championnat de double sculls revien ira sans doute au mixte S.N. Basse-SeineRowing et le championnat de. skiff présen tera le gros intérêt de réunir Girlat e Bànos, qui sont, actuellement, les deu: meilleurs scullers de- la région parisienne Si quelques épreuves même parmi cel les reservées aux débutants ont réun un nombre d'équipes suffisant pour justi fier des éliminatoires. le championnat fé minin de 'skiff n'a réuni qu'un seul enga cément, celui de Mlle Guillebert, et deu: équipés, celles de la SjN. Marne et de Il S.N. Corbeil sont les seules engagées dan le quatre.

TIR AUX PIGEONS AU TOUQUET

Le Touquet, 1er juillet. Trente-quatri tireurs ont participé au Prix de l'Hôte Westminster, un pigeon série, dont voie le classement 1. Baron de Potesta. Char bonnier, Van Damme, 6 sur 6 4. LurkiE Salembier, 5 sur 6.

ser, comme si elle -me payait et., vrééément, cela m'est allé droit ai «oèur, Thipps d'une façon un peu ambiguë, mais avec- une em- phase inusitée.

A «et endroit de son récit, quel- qu'un cria du fond de la salle «Ohé! ohé », et l'on entendii comme un bruyant claquement dl lèvres.

–-Faites sortir la personne /qui émet ces bruits incongrus, gronda le coroner indigné. Continuez, je vous prie, monsieur Thipps.

Ëh. bien, poursuivit M. Thipps, vers minuit et demi, si je ne me trompe, la situation se corsait et-je cherchais mon ami pour prendre congé, ne tenant pas à m'attaf dér, vous comprenez, quand je l'ai trouvé avec une des jeunes dames, ils avaient l'air de s'entendre un peu trop bien. vous saisissez ? Mon ami i arrachait les épaulettes de la jeune dame et elle riait. le reste à l'avenant, dit précipitamment M. Thjpps. J'ai i donc voulu m'éclipser en tapinois, mais tout à coup j'entends le bruit d'une bagarre, un cri, et une denii-douzaine de policiers font irruption, lès lumières s'éteignent, tout le mondé trépigne et hurle c'était horrible. Dans; la mêlée, j'ai été jeté à terre, et je me suis donné un vilain coup à la tête contre une chaise

Miss P. Barton battue par Mme Decugis dans le Championnat de France international féminin c Une grosse surprise a marqué le premier tour du Championnat de France interna- g tional féminin, hier, à Saint-Germain miss a Pam Barton, une des meilleurs joueuses h britanniques, a été battue par Mme G. Decugis au 22° trou. u S'il faut féliciter sans réserve Mme De- r cugis;'qui fournit en cette occasion une très 11 belle partie, il est juste d'ajouter que la 1, championne anglàise ne se montra pas f aussi brillante que de coutume. a Au deuxième tour; miss Merwyn Barton vengea sa sœur Pam en éliminant Mme v Decugis par 3 et 2.

D'autre part, il faut signaler la victoire J Imprévue de Mlle C. de Rothschild, en ï grands progrès, sur Mlle F. Tollon. Voici les résultats x

Premier tour. Mme A; M. Vagliano b. c Mme P. Canivet, 4 et 2 miss Stroyan b. r Mlle de Thomaz de Boissière, 4 et 2 Mrs s Rhodes b. Mlle S. Vagliano, ? 2 et 1 Mme é Gibbons b. Mine Raffard, 6 et 5 Mlle de Rothschild b. Mme Y. Le Quellec, 2 up t Mlle F. Tollon, w.-o. miss K. Garnham i b. Mlle de Vanssay, 3 et 2 Mlle J. Rheims b. Mme Marquisan, w.-o. miss Merwyn Barton b. Mlle L. Vagliano, 2 up Mme < Decugis b. miss Pam Barton, au 22e Mlle 1 Y. Kapferer b. Mme Perlès, 2 et 1 Mme r J. Nouel b. Mme Gautrat, 7 et 5 Mme R. Barbier b. Mme Gage,/l up au 19°.

Deuxième tour. Mme A. Strauss b. Il Mme D. Dreyfus, 5 et 4 Mme A. M. Va- i gliano b. miss Stroyan au 19e Mme Rho- des b. Mrs Gibbons, 6 et 5 Mlle C. de 4 Rothschild b. Mlle F. Tollon, 2 et 1 miss K. Garnham b. Mlle J. Bheims, 6 et 5 miss M. Barton b. Mme G. Decugis, I 3 et 2 Mlle Y. Kapferer b. Mme J. Nouel, 6 et i Mme Gaveau b. Mme Barbier, 7 i et-l. P

i, A Aix-les-Bains ` 11. Mixed fouisdmes, niédâl play, 18 trous, handicap.

14. « Stephen Challenge Cup », 18 trous, medàl play, handicap, messieurs. 18. « Le Golf-Challênge-Cup », medal play, 18 trous, handicap, messieurs. 'I 23. Prix de Chantilly, contre Par, 18 trous, handicap, dames et messieurs. 28. Prix Mirabeau, mixed foursomes, contre Par, handicap.

31; « Coupe Splendide-Royal 18 trous, medal play, handicap, messieurs.

A Çagnbles-de-rOrhe

>i 16. Prix des Hôteliers, concours par coup, ouvert dames et messieurs, 18 trous, handicap, medal play.

i, 30. Coupe Plumon, .18 trous, handicap, i- medal play, ouvert. dames et messieurs. A Biarritz

17. 18 trous, messieurs et dames, medàl play, handicap.

24. î– Mixed up foursomes, greensomes, handicap, c. bogey.

i 31. Compétition £ la ficelle, foursomes, greensomes. ̃ J

?* A BouIogne-sur-Mer

2, 3 et 4. Championnat du Nord de la le France, messieurs, match play, open.

:s

A Chamonix

11. Coupe du Caveau, medal play hand. J18. Coupe challenge des Gorges de la Diosaz, c. bogey, hand.

22. Coupe de l'Hôtel Couttet du Parc, conc. drap., hànd.

25. Coupe challenge du Majestic, medal play, handicap.

29. Prix des Cyclamens, mixed foursome, handicap messieurs et dames.

A Chantaco

17. 18 trous medal, dames et messieurs. n 20. Concours drapeau, dames et messieurs.

ie 24. Slixed-up foursomes, 4 balles, meilL" leur* balle, 18 trous medal. 27. ^r 18 trous medal, dames et messieurs. e 29. Mixed-up foursomes, 4 balles, meilleure balje, 18 trous, c. par. 31. 18 trous c. scratch score, dames et

"*̃̃ V. messieurs.

a ̃ ̃-̃.̃̃̃̃

,_• A Chibértà

5. Mixed up foursomes, medal (ouvert). 1- 15. Concours contre bogey (ouvert), daat mes et messieurs.

ix 22 et 23. Eclectic, 36 trous (ouvert), dae. mes et messieurs.

J1 1" A ̃ Compiëgne rij*5 ̃ È- 4. Prix du Francpdrt, mixte handicap 1- contre normale, 18 trous.

lx 11. Prix de la Roseraie, mixte handicap la- par coups, 18 trous.

is 14.. Coupe de concours ouvert, messieurs, handicap 36 trous (handicap limité à 20).

18. Prix des Avenues, mixte handicap par coups, 18 trous.

20 et jours suivants. Prix de Choisy-auJ Bac, dames, handicap, match play.

25. Prix Franc-Picard, foursomes mixte. 31. Prix des Tulipes, foursomes mixte. A Deauville

fe 14. Coupe Ed. Esmond, pour messieurs, el medal play, 18 trous, hand. limité à 18. ci Challenge Cup des Dames, medal play, r- 18 trous, handicap limité à 18. n, 25. Coupe de la Plage Fleurie, pour dames et messieurs, medal play, 18 trous.

} Lé programme des épreuves J du mois de Juillet dans tes golfs de province

c'est même ce qui m'a valu l'ecchyt mose au sujet de laquelle j'ai été 1 questionné. J'avais.une peur épouvantable de ne plus pouvoir me sauver, je craignais le scandale et peutêtre ma photo dans les journaux. Soudain quelqu'un m'a pris par le t bras, je crois que c'était la jeune ï dame à qui j'avais offert le gin et l'absinthe. « Par ici », me dit-elle, i et me poussant dans un corridor, elle me fait sortir par une porte de deri rière. Alors j'ai traversé en courant quelques rues et me suis trouvé à Goodge street où j'ai pris un taxi qui m'a ramené chez moi. J'ai lu dans les journaux le compte rendu de cette opération de police et j'ai vu que mon ami avait pu s'enfuir à temps alors, comme ce n'est pas un genre d'histoire que je tenais à ébruiter, et 1 que je ne voulais pas non plus lui attirer des ennuis, je me suis tu. Mais c'est -la vérité., Eh bien, monsieur Thipps, dit le coroner, nous allons pouvoir contrôler une partie de vos assertions. Dites le nom de votre ami.

Non, protesta M. Thipps avec énergie, non, sous aucun prétexte. Bon, fit le coroner. Pouvez-vous nous dire à quelle heure vous êtes rentré ?

Vers une heure et demie, je 1

7 '~7~ GOLP

A. de Seroux gagne la finale « scratch »

e., e

en prenuere série le la Coupe du « Figaro m La finale scratch de la Coupe du « Elaro », qui avait été, comme on le sait. nnulée dimanche dernier, a été disputéo Lier, sur 18 trous, au golf de Fontainebleau. C'est le baron A. de Seroux qui enleva tne brillante victoire, après une lutte serée avec Guy de Rothschild. Tous deux térainèrent avec le même score 78. Mais, suï es' neuf derniers trous, A. de Seroux l'emlortait d'un point, totalisant 38 contre 39 son adversaire.

Morisot se classe troisième avec 79, de* 'ant Galtier.

Le comte de Montgomery et H. de Filu [uier, en moins bonne réussite que de couume, ne purent, contrairement à ce qui 'on pensait, inquiéter lé vainqueur. Le Prix, offert, par le « Figaro», fut r*> nis au gagnant par le commandant Lepiiite,J tue nous remercions, ainsi que toute la di* ection du golf de Fontainebleau, pour ayoiï i aimablement et 'si bien organisé notre preuve.

La finale scratch est terminée. Elle a obenu tout le succës prévu. Pensons maintetant à la finale handicap de la Coupe du Figaro ».. Celle-ci sera disputée dimanche prochain) m medal play sur 36 trous, au golf dil L,ys, et promet d'être particulièrement incessante. Voici les résultats °

Coupe du « Figaro ». Finale scratch 1. aron A. de Seroux, 78 (38 sur les 9 derîiers trous); 2. baron G. de Rothschild, 78 39 sur les 9 derniers trous); 3. Morisot, 79; i. Galtier, 83.

Ont également pris part à Vépteuwe Comte de Montgoinery, H. de Filiquier, "ould.

Les Prix offerts par le « Figaro » proviennent de la maison Mellerio, rue de 1* 'aix.

An New-Golf de Deauville

25. Prix Hôtel du Golf, messieurs et dai mes, 18 trous, medal play, handicap. A Dieppe

12 et 13; Championnat de Normandie, dames, 36 trous, médaille, 18 trous par

jour.

14. • Championnat de Normandie, mixed foursomes, 18 trous, médaille.

15, 16, 17 et 18. Championnat de Normandie amateurs, messieurs, éliminatoire, 36 trous par jour, finale 36 trous. 15, 16, 17 et 18. Championnat de Nof- mandie, double dames, éliminatoire scratch.

27. Martin Sutton Oup, dames, éliminatoire, handicap.

31. Greensomes, Prix du Casino, messieurs et dames, 18 trous, medai, handicap -3-8 sur les deux handicaps réunis. ̃̃ A Dinard 7

6-9. Coupe Lesénéchal, knock-oUt. 14. Coupe du 14 Juillet, 18 trouscontte bogey.

18. Coupe de Saint-Enogat, 18 trous contre bogey.

23. Coupe Schiff, 18 trous contre bogey. 28. Coupe de la Côte d'Emeraude,, IS trous contre bogey.

A Dïvonne-les-Bains '~[

A., 18 trous, concours au drapeau;,han4 dicap. ̃ 11. 18 trous, medal play, handicap. 14. 18 trous, contre bogey, handicap. 18. 18 trous, concours au drapeau, han dicap. 24 et 25. Eclectie, 2 cartes de 18 -trcrtisj medal play, handicap. i, 29. 9' trous. Prix des Débutants. ,̃̃ _I. A Evian

13. ̃– Prix du Casino, handicap par coup* 14. Coupe de l'Hôtel Royal, handicap. -̃ ;AV1S ̃•̃^ ;°, Nous publierons demain la suite de ce programme d'épreuves.

L'ACTIVITËlUR LES LINKS Au Golf de Marly

Prix du Jeudi (12 trous avec bisque^).! Dames 1. Mme Roche. 1 down; 2. Mme: Batten, 3 down; Mlle Millié, 3 down; 4. Mme Mure, 4 down; Mme Brault, 4 down. Messieurs 1. François, ail square 'i. Low, 1 down; 3. Le Gendre, 3 down; Sohulïlj 3 down; Fleur, 3 down; 6. Treier, 5 down. Coupe d'entraînement offerte par M.' Briault. Demi-finales (première série). Messieurs Lefebvre c. Rabau, Montaux c. François.

Deuxième série. J. Larroze c. SchuhJ, de Targiani c. J. Fried.

Dames. Mme Monteux c. MUe Rabau, Mme Le Gendre ci Mme Brault.

Au Golf de La Boulie

Prix,du Jeudi soir (10 trous). 1. Mme Auban-Renaudin (10) 37; 2. comte et comtesse d'Harambure (7 3/4) 40 1/4; 3. M. et Mme B. Jac (10) 42; 4. R. Comar-Ionel Cetnareanù (4 3/4) 42 1/4; 5. Mme M. BlochL. Lindon (10) 43; 6. Mme Bruno-marquis du Vivier (9 1/2) 44 1/2; 7. Mme R. ComarAppia (10) 45 8. Mme Ebrard-Delafoni (9 1/2) 45 1/2; 9. Mlle V. de Bellet-baron'F. de Bellet (10) 47; Mme Brion-Fauche (10> 47; 11. Mme et Mlle Languereau (10) 51;

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crois. Mais vréééément, j'étais si f*i; tigué, Bon. Vous vous êtes .aussitôt mis au lit ? ^J, Oui. J'ai d'abord mangé un sandwich et bu un verre de lait. Je pensais, en quelque sorte, remettre mon estomac, ajouta le témoin comme en s'excusant, car je n'ai pas l'habitude des alcools à une heure aussi tardive de la nuit et étant pres- que à jeun. ¡'

-r- Bon. Personne ne vous attendait ?

Personne.

Combien de temps vous a-l-il fallu pour prendre cette collation; vous déshabiller et vous coucher ?. M. Thipps pensait qu'il lui avail bien fallu une demi-heure.

Etes-vous entré dans la salle de bains ?

Non.

Et vous n'avez rien entendu au cours, de la nuit ?'

Dorothy Sayers.

(A suivre.)

Traduit de l'anglais par L. Servictn ̃ Copyright by D. Clairouin.