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Titre : Figaro : journal non politique

Éditeur : Figaro (Paris)

Date d'édition : 1937-06-18

Contributeur : Villemessant, Hippolyte de (1810-1879). Directeur de publication

Contributeur : Jouvin, Benoît (1810-1886). Directeur de publication

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34355551z

Notice du catalogue : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb34355551z/date

Type : texte

Type : publication en série imprimée

Langue : français

Format : Nombre total de vues : 164718

Description : 18 juin 1937

Description : 1937/06/18 (Numéro 169).

Description : Collection numérique : BIPFPIG63

Description : Collection numérique : BIPFPIG69

Description : Collection numérique : Arts de la marionnette

Description : Collection numérique : Commun Patrimoine: bibliothèque numérique du réseau des médiathèques de Plaine commune

Description : Collection numérique : La Commune de Paris

Description : Collection numérique : France-Brésil

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k4095228

Source : Bibliothèque nationale de France

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 15/10/2007

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LA DERNIÈRE CHANCE

Le Figaro a dressé hier l'inventaire des arguments en vertu desquels, en 1926, 1934 et

1935, radicaux ou socialistes M. Blum et M. Auriol en tête refusèrent d'accorder des « pleins pouvoirs » aux gouvernements modérés qui les sollicitaient. Ce rappel est impitoyable. On pourrait t'exploiter pour souligner une lois de plus les palinodies de nos dirigeants actuels. Nous préférons en tirer ici, sur un plan supérieur, la leçon qui s'en dégage. Car cette leçon est la seule que devraient retenir les Français de bonne volonté.

MM. Léon 'Blum et Auriol réclament des moyens de gouvernement qu'ils dénonçaient comme scandaleux lorsque d'autres les demandaient pour eux. Cela prouve leur esprit de contradiction, dira-t-on. D'accord. Mais cela prouve aussi quelque chose de plus. C'est qu'il existe certains faits que tous les gouvernements, quels qu'ils soient, sont obligés de reconnaître. Le drame dans lequel se débat le ministère de Front populaire depuis un an, et le pays en subit les malfaisantes conséquences, c'est qu'il n'a pas voulu, qu'il ne veut pas encore admettre la toute-puissance des réalités qui dépassent les partis et les hommes, et pourtant qu'il est bien obligé de composer avec elles. C'est pourquoi nous le voyons osciller sans cesse entre ses tendances et ses devoirs, et c'est pourquoi, en oscillant, il a entretenu une méfiance qui risque finalement de plonger le pays dans l'une des crises financières les plus graves de son histoire.

Mais,'attention Un gouvernement de droite qui se comporterait, sur le plan adverse,' de la même manière et qui, ne considérant que sa doctrine, voudrait escamoter d'autres réalités, tomberait dans des fautes analogues et pj^gêrajt Vite le pays4aris un même désordre. La vérité est que les temps que nous vivons appellent de tout autres formules politiques que les vieilles formules partisanes.

Les Français commettent tous une erreur d'optique. Parce qu'ils ont vécu, somme toute, depuis la guerre dans des conditions infiniment plus confortables et heureuses que celles qui existent ailleurs, ils ne se sont pas rendu compte, ils se rendent mal compte encore, que tous les peuples ont été submergés par une révolution générale, que tout est bouleversé dans le monde et que, pour se tirer d'affaire dans ce grand tremblement de terre, il faut s'accrocher solidément à certaines réalités qui, jadis, paraissaient contradictoires, voire. opposées, et dont la fusion peut seule cependant assurer le salut.

On parle des dictatures avec désinvolture. Croit-bn qu'une nation, pour en arriver à la dictature, n'a pas réuni toutes les conditions qui.la rendaient inévitable ? Or la dictature n'est pas autre chose que l'imposition par la force d'un certain arbitrage entre des passions déréglées. Ces régimes d'exception, malgré leurs apparences unilatérales, n'ont pas d'autre mission profonde que de rétablir un ordre naturel, une répartition équilibrée entre les divers éléments d'une nation qui se déchire. Dans toute dictature, il y a une journée de dupes. Après avoir jeté ses feux, le régime d'autorité oblige les uns et les autres à composer.

Or, le monde moderne est complexe. Il appelle, il exige des « compositions » incessantes. Le seul moyen d'éviter le procédé radical de la dictature, c'est alors que la nation elle-même, d'une manière spontanée et consentie, s'impose à temps les fusions nécessaires. Si, en France, dans deux circonstances graves, nous avons déjà eu, depuis la guerre, des gouvernements d'union nationale, c'est qu'une telle formation répondait précisément à ces exigences sourdes et d'apparence contradictoires qui résultent des problèmes que pose la vie actuelle. On a coutume de dénigrer ces formâtions d'union nationale. A gauche comme à droite, on se contracte devant elles, parce que l'on raisonne encore selon les vieilles positions partisanes. Pourtant, réfléchissez bien à ceci la France, devant les difficultés qui l'assaillent, n'a le choix finalement qu'entre l'union nationale; qui est la manière d'associer la liberté avec l'évolution nécessaire, ou la dictature, qui est le moyen d'imposer cette évolution par la force. S'il est vrai qu'il existe encore des Français qui veulent la liberté, l'union nationale est leur dernière chance. En la réalisant le plus tôt possible, ils prouveront que la France est encore une nation capable de se diriger.

Wladimir d'Ormesson.

DEUX GREVES GENERALES

Lundi .'C

LE BATIMENT

Mercredi "~l'

L'HOTELLERIE Toutefois la grève du jBâtiment ne durerait qu'une demi-journée Deux greves, particulièrement significatives au moment l'Exposition est ouverte et dans les circonstances que nous traversons, viennent d'être déclarées.

L'une, de caractère politique et affectant le bâtiment de la région parisienne, a été décidée au cours d'un meeting, 'dont on va lire le compte rendu, tenu à la salle Japy. Elle serait « symbolique » et ne durerait que l'après-midi de lundi ou davantage. L'autre, affectant l'hôtellerie dés mercredi, a été décidée au cours de deux meetings continus,' qui. ont eu -pour théâtre la salle Wagram, hier après-midi et tard dans la soirée.

(Lire nos informations en troisième page.)

Un quartier de Bîlbaci serait en flammes Le président Aguirre a décidé l'évacuation de la population civile

Une dépêche de Salamanque laissait firévoir hier l'occupation complète pour la fin de la journée de la rive droite du Nervion par les nationalistes. Elle annonçait toutefois une résistance acharnée des troupes basques sur les hauteurs situées à l'est de Bilbao. On estime dans les milieux nationalistes que le commandement républicain dispose encore d'environ 50.000 hommes pour la défense de la capitale de la Biscaye.

Pour ne pas entraver, les opérations de la défense, le président Aguirre a décidé l'évacuation de la population civile. Cette évacuation a commencé ce matin et, dès les premières heures du jour, sur les routes et les chemins encombrés, a commencé l'exode des habitants se dirigeant vers Santander. D'autre part, tout le long de la journée, de nombreuses barques de pêche chargées de gens qui fuient Bilbao ont

LES JOURS SE SUIVENT 1- BAL DlRECTOim..

Donc, on dansera, ce soir, au Pa*' lais-Royal dans lès costumes et sous les masques Mlle Raucourt et Mlle Lange y dansaient. On ranime, l'es-, pace d'une nuit, le cadre choyé du Directoire et son atmosphère que Michelet condamna en phrases tonnantes et vertueuses « Il y eut famine, mais le Perron rayonnait, le- Palais-Royal était plein, les specta- '1 cles combles. Puis ouvrirent ces bals des victimes où ta luxure impudente roulait dans l'orgie de son faux deuil. r Diable, quel ton Paris fut-il donc si méprisable durant ces années les convulsions du plaisir j succédaient aux déchirements d'une révolution ? Les Parisiens. dansaient ft beaucoup, il est vrai s'il faut en croire les Goncourt qui ont compté dans leur livre sur le Directoire jusqu'à cent quarante-quatre bals mais ils avaient le droit à l'oubli. Les années qui venaient de s'écouler n'étaient pas précisément joyeuses. Les survivants respiraient ils le firent bruyamment, avec une avidité, une gloutonnerie de joie qui ne furent pas toujours très délicates, Le PalaisRoyal y retrouva sa- fortune et la vieille Montansier y refit la sienne i7 lui suffit d'ouvrir encore un théâtre et dans son foyer bleu tendre de mêler les galants et les jolies artistes. La recette n'est pas trop morale, mais elle est éternelle.

A'e discutons pas du choix d'une époque qui pourrait inspirer beaucoup d'allusions. On a choisi de faire danser Paris en costume Directoire va pour le Directoire et les robes ouvertes, les jambes longues, la taille sous les seins et'les décolletés arrondis Tout de même, lorsqu'on s'abandonne au passé, on peut redouter de réveiller des ombres. Celles de ces jolies filles qui s'appelaient Mlle Contat, Mlle Lange, Mlle Candeille, celle de la délicate et sensible Julie Carreau ne peuvent être que charmantes à rencontrer et n'inspirer nulle crainte à notre régime mais il en est d'autres qui pourraient peut-être passer pour des présages. Le Directoire ne {ut pas précisément, on le sait, une époque de saines. finances., et si Girodèt peignit Mlle Lange en Danaé couverte d'une pluie d'or, cela ne signifie pas (et' d'ailleurs n'étaitce pas une vengeance ?) que cet or affluait aux caisses de l'Eta.t. L'insouciance des maîtres, la frivolité des sujets trouvèrent bientôt leur extrémité. Un certain soir de 1798, le, 3 mai, un certain général Bonaparte, qui avait dîné en petit comité chez Barras, se montra au théâtre Feudeau pour applaudir Talma, mais le spectacle à peine achevé, Bonaparte retrouvait chez lui quelques compagnons sûrs avec lesquels il prenait la route de Toulon. Pour ce bel ambitieux, déjà le Directoire était condamné. Est-ce cette leçon d'histoire que le bal de ce soir veut nous rappeler ? Regardons bien les masques. On ne sait jamais celui que porte le Destin.

Guermantes.

EN PAGE 6:

A L'OCCASION

DE L'EXPOSITION.

LE CARDINAL VERDIER organise des cérémonies dans les plus belles

Eglises de Paris `

été signalées à Algorta se dirigeant vers Plencia'et Bermeo.

Ajoutons qu'on signale,, d'autre part. que, dès hier matin, de certaines collines qui dominent la ville, on a aperçu des fumées qui s'élevaient des bords du Nervion en direction de Portjigalete. C'est là que se trouvent les habitations de plaisance de la capitale, basque qui seraient déjà la proie des flammes.

O

LE GENERAL BECK ET LE GENERAL ̃ ;aAMEyN. .ont déjeuné hier matin chez l'attaché militaire iàu Reich

Le général Gamelin gauche) et le général allemand Beck sortant du domicile du général Kulenthal a l'issue du déjeuner donné en l'honneur du chef d^etat-major de l'armée du Reieh.

(Lire l'information en 3e pageï)

«•

AMRIÀ EAEHART

EST ARRIVEE A CMIUTTA r Amelia Eârhart poursuivant son. vol r autour du monde a quitté hier matin, à 7 h. 25 (heure locale), Karachi à desti. nation de Calcutta où elle a atterri "s 11 h. 16.

j LE LORD MAIRE DE LONDRES IST ARRIVE HIER A PARIS

Sir George Broadbridge, lord-maire de Londres, qui doit inaugurer demain te pavillon de la Grande-Bretagne à l'Exposition, est arrivé hier à Paris en compagnie de la lady mayoress, de plusieurs échevins et shérifs de la Cité. été reçu à. la gare du Nord par te président du Conseil- municipal de Paris. Voici, photographiés sur te quai, de srauche à droite Mme Raymond Laurent, le lord -maire, M. Raymond Laurent, Ja lady. mayoress. 1 (Lire l'article en troisième- page.) --•̃•

RESISTANCE DU SENAT au projet de pleins pouvoirs La Commission des finances demande au Gouvernement de lui présenter cet après-midi un nouveau texte i',

M. Abel Gardey,

rapporteur général du budget au Sénat. (Dessin de Vêla.)

Le texte du communiqué de la commission sénatoriale dans sa brièveté contient bien des choses c'est an refus non déguisé de la demande de pleins pouvoirs formulée par te gouvernement.

On a dit à M. Vincent Auriol «Vous vous plaignez que votre action financière soit paralysée par la fraudé et la spéculation. S'il en est ainsi, nous allons vous donner les moyens de lutter contre elles. Apportez-nous un texte précis, nous l'examinerons et nous avons Ta certitude que le Sénat tout entier le votera très volontiers. »

Cette thèse .fut ^soutenue par M. Marcel Régnier dont l'argumentation, fut appuyée par la grande majorité de là commission.

Le ministre des Finances eut bien'du mal à réfuter un raisonnement aussi simple et aussi solide. II se plaignit d'avoir hérité d'un passif très lourd. Quand il est arrivé au pouvoir notre situation financière était fort obérée. Il ajouta que la nécessité de faire face à des dépenses d'armements considérables- avaient encore accru, le déficit

Cette déclaration amena M. Pierre Laval à -intervenir. Attaqué violemment, depuis des mois, .sur, la politique qu'il avait suivie au Quai d'Orsay, il se défendit. Il le fit avec une énergie qui produisit une forte impression sur ses auditeurs. Si on avait suivi la voie qu'il avait tracée, si au lieu d'abandonner la politique d'entente avec l'Italie on l'avait au contraire fortifiée»

Dans les couloirs l'humeur était batailleuse

D'ordinaire,' les rveilles de grand débat, au Luxembourg, une aimable agii tation se manifeste parmi les sénateurs. Hier, dans; la salle des conférences, ceux-ci semblaient vraiment prêts à la 'bataille. Il ne s'agissait plus de s'appuyer sur les principes, comme disait Emmanuel Arène, jusqu'à ce qu'ils cè| dent. Oh voulait agir à tout risque, sans avoir arrêté le scénario des lendemains. Les pleins pouvoirs apparaissaient à la majorité comme une impossibilité complète.

D'abord, pour les -motifs développés à la Chambre, mardi, par MM. P.-E. Flandin et Paul Reynaud ensuite à cause des procédés :un peu gros employés par les partisans du projet et le gouvernement. Habituellement le Sénat est froissé de ne voir presque aucun ministre dans les couloirs Hier, ces messieurs étaient tous là qui s'activaient à mener pour le projet une pro-' pagande effrénée. Les sénateurs qui depuis leurs dernières rencontres avec le gouvernement gardent contre lui un fond de mauvaise humeur, s'irritaient de cette campagne trop voyante. L'effet contraire à son but, n'était rien au-près de la nervosité créée par les dangereux amis du .'ministère venus trop nombreux et trop zélés dans la salle

La Commission sénatoriale des Finances s'est réunie hier, à 15 h. 30, soûs la. présidence de M. Joseph Cailloux. s

Elle' a examiné le projet sur les pleins pouvoirs. Après avoir entendu longuement le Ministre des Finances, elle a décidé/ avant toute autre chose, de lui demander un texte contre les abus de la spéculation et contre, la fraude. ̃ •-•• Elle poursuivra s es travaux demain.

i (communiqué officiel.)

l'axe Rome-Berlin ne se serait pas formé. Une politique extérieure plus habile eût peut-être évité la course redoutable,aux armements.

Lorsqu'il quitta la commission des finances, M. Vincent Auriol semblait très las. Le surmenage de ces derniers jours était venu à bout de sa résistance. Un sénateur qui l'entendait se'plaindre, déclara, sans pitié « C'est son tour il subit ce qu'il a fait subir aux autres quand il appartenait à l'opposition. » Encore sous lc coup de l'émotion que lui avait procurée cette orageuse séance de la commission, le ministre des Finances, dans un groupe, soupira avec découragement « Je ne puis accepter cela Mais il ajouta tout de suite Ce n'est pas une déclaration, c'est une réflexion personnelle. » Aujourd'hui, à 15 heures, on entendra de nouveau à la commission M, Vincent Auriol. La nuit porte conseil. ̃̃̃ s Ce matin, M. Abel Gardey rendra visite au ministre des Finances. D'une collaboration entre le ministre et le rapporteur général peut surgir un texte transaction'nel sur lequel le gouvernement et lé Sénat se mettraient d'accord.

La Haute Assemblée, saisie du nouveau projet, pourrait l'examiner samedi. La journée de dimanche serait alors consacrée a une navette entre les deux Assemblées. H. B. .1~ 1 .1

des conférences. Ils usaient contre le J 'Sénat du système primitif de l'intimi- i dation. Ils menaçaient de la colère de la C. G. T. qui, demain samedi, consa- crerait son week-end à une promenade émeute au Luxembourg. Ils déclaraient,^ que l'heure était venue d'une révision constitutionnelle en vue d'une réduc- tion des pouvoirs de la Haute Assem- blée, etc. Ils annonçaient, en cas de chute du Cabinet, un gouvernement j i nouveau, présidé par M. Léon Blum ( et comprenant deux communistes au moins. ̃̃̃̃ Propos vains et maladroits répétés à plaisir et qui augmentaient la ferme

EN PAGE 7

L'OR DE LAfRANCE I>àr FfF.LEGUEV

VIVE REPRISE DES RENTES A LA BOURSE D'HIER

M. Pierre Laval °

qui est intervenu

hier à la commission. 1 1 (Dessin de Vêla.)

résolution des sénateurs. L Union républicaine, à l'unanimité, proclamait naturellement son manque de confiance et se prononçait contre le projet. Mais la gauche démocratique et ^radicale ajournait sa décision. La situation était sérieuse. Le communiqué de la commission l'aggravai Il parut une fin de non-recevoir avec sursis. « C'est inacceptable dit M. Léon Blum, quand on le lui montra. On pourrait encore négocier, s'entendre ce matin. Mais les sénateurs, hier soir, semblaient bien intransigeants. .-̃ ̃:̃̃ V;: ̃ H. V.

UNE DEMANDE

DE DOTATION NATIONALE ALA VEUVE

de Savorgnan de Brazza M. Marius Moutet, ministre des colo-.nies, a exposé les grandes lignes, des projets qu'il a l'intention de déposer prochainement sur le bureau de la Chambre

Le projet de fonds colonial. Le rapport défîntif concernant la suppression du bagne. L'extension du corps électoral de l'Indochine.

Un autre projet ayant pour objet de faire représenter au Parlement la Nouvelle-Calédonie.

Le travail de la, réorganisation, de la magistrature est terminé;

Le ministre a ajouté que le Parlement qui a voté une pensipn à la' veuve du gouverneur-général Binger, équivalant à celle de la veuve d'un maréchal de France, était saisi de la même demande concernant la veuve de l'explorateur Savorgnan de Tîrazza.

LA COUPE D'OR D'ASÇOT

(De notre correspondant particulier, par téléphone.)

Ascot, 17 juin. Le charme si particulier de la semaine d'Ascot tient peutêtre à ce que cette saison de courses brillantes est plus qu'une manifestation sportive et une réunion d'élégajice, elle est chaque année le dnrniér rendez-vous de la société anglaise, le bouquet de la saison. Elle en a le ton, le parfum, elle est toujours différente.

Ce petit carton où est inscrit en lettres d'or les mots « enclosure royal s> et porte le nom de l'invité ne peut être acheté par le premier venu. On l'épingle comme une décoration, il,impose des devoirs, des sacrifices, une mode qu'il faut suivre à la lettre. Cette année, pour les hommes, un œillet d'une couleur particulière sur la jaquette sombre, pir une rosé pâle pour ceux' qui ont passé la cinquantaine. Pour les femmes, une robe d'une certaine ligne. Il pourrait même vous obliger à gagner le champ de course en landau découvert trainé par deux poneys, puisque l'exemple en est donné par le Roi lui-même. Mais dans ce cas il faudrait louer une maison ou un château dans les environs de Windsor- et y donner chaque soir une fête somptueuse.

Gérard Boutelleau.

̃•̃̃ (Suite page 3, coiomtea .1 -<;l 2)

CHRONIQUE i

ALEXANDRE 1er ou la première alliance franco-russe

Par PAUL MORAND

LA A Russie est un théâtre pour comprendre ce qui s'y joue il est préférable de ne pas être dans la salle il faut pénétrer sur la scène par derrière, par la porte dérobée l'entrée des artistes du théâtre russe, c'est la Chine. M. Maurice Paléologne est entré en Russie par la Chine. Il y a vingt ans, pendant le premier hiver de la Révolution russe, j'étais attaché au cabinet du ministre des Affaires étrangères sitôt arrivé au bureau, le matin, je lisais les télégrammes de Pétersbourg déchiffrés la nuit et je montais à la chambre à coucher du ministre pendant; "qu'il s'habillait, je lui communiquais les dernières nouvelles de Russie. A ce moment-là, il y avait à Pétersbourg deux ambassadeurs de France munis chacun de sa table de chiffres l'un, officiel, affirmait que la guerre était finie pour les Russes c'était M. Maurice Paléologue l'autre, officieux, assurait le gouvernement que nos alliés moscovites se feraient tuer pour nous jusqu'au dernier c'était Albert Thomas. « Donnezmoi le télégramme d'Albert Thomas, me disait le ministre, en mettant le papier dans sa poche. Je le lirai au Conseil. » Depuis le Premier Empire, les gouvernants français ont toujours préféré les dépêches qui leur représentent les Russes tels qu'ils devraient être Napoléon lisait celles de Càulaincourt et de Lauriston, optimistes de carrière, et n'écoutait pas Talleyrand. L'assassinat est au despotisme ce que le vote de défiance est aux régimes de liberté. Nous le savons, mais tant de supplices, de strangulations et de déportations ne Res- sent pourtant de nous étonner jamais nous ne nous habituerons aux détours du sérail. J'en trouve la preuve dans la double et dramatique surprise qui nous saisit en ouvrant le roman d'Alexandre V (1)1 et en le fermant le nouveau livre, si cruellement attachant, de M. Paléologue commence par un mystère, le rôle du tsarévitch Alexandre dans l'assassinat de son père Paul Ier, et il se clôt sur une énigme, ce cercueil vide, cet exil volontaire d'Alexandre Ier, mort vivant, qui s'en va finir sa vie au fond de la Sibérie, tandis que l'univers le croit enseveli dans le cénotaphe de Tsarskoié-Sélo.

Entre ces deux coups de théâtre se déroule le décor de la Russie classique fêtes, comédies liturgiques, parades de la Garde, passeports refusés, apocalypses de moines illuminés, amours étranges, âmes sinueuses, occultisme, neurasthénies, retards militaires mai. que fait donc l'armée russe ? »), nullité célèbre des généraux (sauf des généraux prussiens c'est le général de Phull et le colonel de Clausewitz qui préparent l'armée russe à écraser Napoléon)

Cette Russie classique, M. Maurice Paléologue nous l'éclairé en grand diplomate, en romancier impitoyable, en déchiffreur de grilles secrètes, en historien, en psychiatre. Mais, pour étonnantes de sagacité et d'éclat que soient ces pages sur la Russie, sur celle dont Pouchkine disait « la Sainte Russie devient inhabitable », le nœud de la tragédie est ailleurs et l'auteur l'a bien

vu.

La tragédie, c'est l'alliance franco-russe.

Pour la considérer dans son amplitude et dans sa pérennité, il faut se placer comme le fait M. Paléologue à la rencontre de la planète latine et jupitérienne de Napoléon personnifiant la France et de la planète brumeuse et saturnienne d'Alexandre, symbole de la Russie c'est le heurt du héros complet, fils de la Méditerranée classique, et du héros incomplet, enfant des steppes, « à qui il manque toujours une pièce », comme disait Mètternich.

(Suite page 3, colonnes 1 et 2) (1) Alexandre 1", par Maurice Paléologue. (Plon, éditeur.)

EN PAGE S

DROLE E

D'ÉPOQUE Par FRANCIS CARCO


FI -G ât O &€ T Mal 1 I jES

.en présence de -M. et Mme Cerruti (à gauche), le comte Volpi,(à droite) a remis la coupe qui porte son nom à la célèbre 'vedette de l'écran Annabella pour son interprétation du film «Veille d'armes jugée la meilleure de l'année.

LESEÇHOS

LA IOURNEE

b Flamme du Souvenir

AIS h. 30, à l'Arc- de Triomphe Anciens des régiments' nantais, morûihannais et .vendéens. « Entre nous », Société des blessés et mutilés de Boulogne-Billancourt.

Conférences

A 17 heure*, en 'l'hôtel du duc Ue BrotHe, 29, rue de Chateaubriand t Un grand régionaliste Jean de La Viirende, écrivain normand », par M. Camille &j.

A 17 li." 30, au Théâtre des ̃ Ambassadeurs «.Où va l'Europe sans l'esprit jlidêocarétieu?. », par le R. P. Dieux.

Expositions

A l'Orangerie dès Tuileries: Arts de la Chine ancienne.

Au Jeu de Paume des Tuilei'ies Art «utriehien. ̃ rr-: Au Ea.vtllon des Salons. (Esplanade des Invalides}' le Salon.

Au Musée des Arts Décoratifs, 107, rue de Rivoli « Leléçor de la vie de 1900 à 1925 ».

Courte»

AH heures Maisons-Laffitte.

La Maison-Blanche à Chantilly. .Chantilly deviendra-t-il, en temps de paix, le quartier général de la diplomatie ? L'ambassadeur .des Etats-Unis vient de louer pour l'été le ravissant château de la duchesse de Chartres, qui est situé derrière le domaine -de l'Institut, à cheval sur les communes de Saint-Firmin et d'Avitly. Et ;ce -n'est pas seulement •pour se reposer que M. W. Bùllitt a ëhoisi cette résidence. Il compte aussi y travailler puisqu'il à 'loue en même temps pour ses services une .ferme voisine. La Maison-Blanche aura sa. place dans la forêt de Sylvie. Le président et les membres du conseil d'administration des Magasins du Louvre, entourés des divers collaborateurs de cette grande maison, choisis des plus modestes aux p-lus élevés, ont ouvert le Pavillon du Louvre à l'Exposition.

Ce pavillon, véritable palais de l'Elégance, merveilleusement situé quai d'Orsay; au bord de la Seine, groupe, pour .le Louvre seul, les toutes dernières créations parisiennes. Le 'public y est reçu dès au jourd'hui. ,̃*̃̃̃ Dans son salon de thè-restaurant, le visiteur jouira, dans un cadre reosant, d'une vue incomparable sur l'Exposition, la Seine et les 'fêtes

nautiques. f .-̃

Toujours soucieux d'être agréable à sa clientèle, le Louvre se fera un plaisir de lui offrir, dans son pavillon, un thé complet pour tout achat de 200 francs effectué dans ses magasins. S

€RRH!E.B' IN~ 1~~Lllllltllrl~~llEi

Avant-première académique Le général Weygand a a rendu compte, hier, devant l'Académie française, des discours qui seront prononcés jeudi prochain pour la réception de M. Edmond Jaloux, et que venait de ratifier la commission de lecture. M. Jaloux, juge-t-il, a fait une « magnifique évocation du visage et de l'âme, de Paul Bourget ». Le directeur de l'Académie nous rassure sur les traits que déçocliera M. Georges Lecomte en répondant au récipiendaire :ils seront « très enveloppés >. Si le nouvel immortel s'entend qualifier de « Marseillais ingrat », dont l'existence parisienne est « magnifiquement monotone », il ne manquera point de se rappeler qu'en ce lieu, même les critiques sont dés éloges..

Après la céance, M. Duhamel, confirmait, par son enthousiasme, la promesse d'une « belle séance d'hommage- à Bourget ». En écoutant le discours de Lecomte, assurait-il, on a l'impression qu'il reçoit non seulement Jaloux mais toute une époque, tant il évoque de figures littéraires.

Le cardinal Baudrillart apparut alors. On guettait une de ces malices dont il parfume quelquefois les fleurs traditionnelles. Or, il fit à M. Edmond Jaloux le plus absolu des hommages.: il l'accompagnait.

<.̃'̃"̃ ̃

Cependant, on, posa maintes questions aux académiciens sur leurs travaux ordinaires

Et le grand prix du roman ? Et le grand prix de littérature ?. .On « essaya » des noms qui ont été plusieurs fois prononcés.

II n'en a pas été question répondait chaque fois un immortel. Pour une bonne raison c'est que nous n'ayons pas encore parlé des grands prix. Ne vous semble-tril pas que le temps presse ?.

Oui, ma foi.

Serez-vous prêts en juillet ?. -i Hum. Notre prochaine séance privée étant reportée au V juillet, et les commissions n'ayant pas encore été réunies.

HIER, A L'AMBASSADE D'ITALIE.

Le bon sens berrichon.

Le premier pavillon terminé du Centre régional a été inauguré hier. C'est celui du Berry-Nivernais. Un des grands animateurs de ce pavillon est M. Joseph Massé, artisan potier à Soye-en-Septaine, et qui ajoute modestement à la- main sur ses cartes « Député du Cher. » Bien qu'il ne s'en vante guère, M. Joseph Massé est une des figures de la Chambre, où il représente le parti du bon sens. A ce titre,, il est un des grands ennemis des communistes, Un jour qu'il avait une discussion avec M. Jacques Duclos, le député-potier lui dit Monsieur Duclos, nous sommes tous les deux dans les fours. Mais, moi, je saurais faire cuire vos tartelettes, tandis que vous, vous ne sauriez pas faire cuire mes poteries. Le député-pâtissier n'insista pas.

A 4 f r. 50

dans «Hier et Aujourd'hui » LOUIS MADELIN,

de l'Académie française

FRANÇOIS l"

Voici, en même temps qu'un- divertissement dë; -haute cultùré, un "dès- plus frappants tableauxd'histoire' que Louis! Madelin nous ait jamais offerts. Avec ce François I" livre inédit du maître historien c'est une grande époque de la France qu'il nous

est donné de revivre (Flammarion, 4 fr. 50.)

Les cendres payent

Il existe à Londres une industrie particulièrement prospère celle des fours crématoires.. La, London Cremation vient en effet de décider la distribution de quatre actions nouvelles pour quatre anciennes ce qui est signe d un remarquable essor financier. Celui-ci est fonction de l'empressement que mettent les Anglais à sç faire réduire en cendres. Cette mode renouvelée des Grecs a conqiiis nos amis d'outre-Manche. Il y a peu de chance pour qu'elle s'acclimate à Paris, encore qu'il y eut un temps où il était de bon goût d'aller se faire blanchir, à Londres. Le Masque de Fer.

.Il faut conclure à l'ajournement ? '?

I*ettt-être..i Et l'on commence à croire que, cette année, les grands prix contribueront à rendre plus brillante. la rentrée d'octobre.

Louis Chauvet.

̃•̃̃̃ Le nouveau bureau

de l'Académie

Les Inimortels ont ainsi constitué leur bureau pour 'le prochain trimestre directeur M: André Chaumeix chancelier M. Abel Hermant.

A la devanture du libraire IL Jean Damase publie Sidi de banlieue (Fasquelle), un roman sur la vie des ouvriers arabes de la banlieue de Paris.

Aux Editions Payot, Les Invasions barbares et le peuplement de l'Europe, par Ferdinand Lot, de l'Institut La religion des Egyptiens, par Adolphe Ernian, traduit de l'allemand par H. Wild Agents secrets. L'Affaire FauquenolBÏrckel, par le commandant Paul Durand, avec une préface du général Weygand.

Au rayon des livres de voyages, La Tunisie, par Pierre Dumas, dans la collection « Les Beaux Pays » (B. "Arthaud, éd., Grenoble), avec deux cents hélios.

Les Alguazils.

M. Albert Lebrun a inauguré Mer, au Petit Palais,

l'Exposition d'art indépendant L'Exposition d'art indépendant, réalisée au Petit Palais par le conservateur, M. Raymond Escholier, et groupant plus de quatre mille oeuvres, a été inaugurée hier matin par M. Albert Lebrun, en présence de nombreuses personnalités appartenant au monde artistique. Le Président de la République a été reçu par M. Sarraut, président du comité d'organisation.

̃ Notre collaborateur Raymond Lécuyer, consacrera à cette manifestation artistique un- article qui paraîtra dans le ^Supplément littéraire » de demain.

Le pavillon de la Du Barry pourra, être visité le 22 juin Ainsi que nous l'avons annoncé hier, le pavillon de la Du Barry, à Louveciennes, entièrement restauré, sera exceptionnellement ouvert au public pen\dant l'après-midi du 22 juin, au profit de l'œuvre de l'hôpital sanatorium de Brévannés. On pourra s'y rendre par la route de Saint-Germain, en passant par Neuilly, Rond-Point de la Défense, Rueil. ̃ L'entrée de la propriété est à Bougival, grille des Lions. Prix 50 francs. On trouve des billets au siège social des Amis de l'hôpital sanatorium de Brévannés, 7, rue Saint-Dominique, et au Figaro, 14, Rond-Point des Champs-Elysées.

..»

Le Gala Comtesse de Noailles au prof it du monument

d'Âmphion

Voici le programme du « Gala comtesse de Noailles » au profit du monument d'Amphion, qui sera donné à la Comédie-Française, le mercredi 23 juin 1937, à la li. 30

I. Allocution de il/. Paul Valéry, de l'Académie française, président d-honneur de la société « Les Amis de la Comtesse de Noailles ».

II. Poésies. a) « Elévation » (Les Vivants et les Morts), Mme Mary Mar<|uet b) « Eva » (Le Cœur Innombrable), M. Julien Bertheau; c) « Offrande (Les Ehlouissements), MIle Gisèle Çasâdesûs d) .«-Jeunesse- » (l'Ombre! "3ËÏ*1 'IfMfr s)^ ^îtaé;' Mjiyie; _Venturà';j 1,~ "e!P«. Remerciement'7 a1 Sehub'èW » CDérniers Vers), Mme Jeanne1: Delvair f) 'En écoutant Schtiifiânii » 'tLes Viet tes Morts), Mlle Jeanne Sully. III. a) « Fischerweise » (Le Chant du Pêcheur), b) « Klarchens Lied' » (Air de Claire), Schubert c) « Wildmung » (Dédicace), d) « Dein Angesicht » (Ton visage), Schumann Mme Germaine Lubin, au piano M. Georges Enesco.

IV. Poésies. a) « L'Innocence » (Le Cœur Innombrable), Mlle Irène Brillant b) « Midi. » (l'Ombre des Jours) « II fera longtemps clair ce soir. » (Le Cœur Innombrable), Mlle Béatrice Bretty c) « Parfumés de trèfle et d'armoise » (l'Ombre des Jours », .M. Pierre Bertin d) « Les Biches » (Les Forces Eternelles). Mlle Lise Delamarc e) « Un soir à Vérone (Les Vivants et les Morts), M. Maurice Escande f) « Tristesse de l'Amour » (Les Forces Eternelles), Mlle Vera Korène g) « La Musique » (Derniers Vers), Mlle Henriette Barreau.

V. a) « II" Partita » en ut mineur (clavecin), J.-S. Bach,; b) « Sonate » en la mineur (piano), Mozart Mme Wanda Landowska. Cette sonate a été composée par Mozart à Paris, eu 1778, au moment de la mort de sa mère. VI. Poésies. a) « Les Malheureux » (Le Cœur Innombrable), M. Georges Le Roy b) « Stances à Victor Hugo » (Les Forces Eternelles), Mme Mary Marquet c) « J'écris pour que le Jour. » (l'Ombre des Jours), Mme Marie Ventura d) « Etranger qui viendras. » (Les Forces Eternelles), Mlle Vera Korène e) « La Course dans l'Azur (Les Ebîouissements) Mme. Madeleine Renaud 0 « Le Pays » (Le Cœur Innombrable). M. Alexandre. VII. Apollon danse en l'honneur du Poète, musique de Mozart, (création). Argument de M. Jean-Louis Vaudover, chorégraphie de M. Serge Lifar. M. Serge Lifar, Mlles Chauviré, Dàrsonval et Kergrist.

Orchestre d'archets sous la direction de M. Desormières.

Places de 5 francs à 80 francs.

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BAISSE 40 S PIANOS neufs, droits et queue. Cess. commerce. Occasions depuis 1.500 francs. Henri HERZ, Vi, av. Victor-Emmanuel. Bal. 51-73. EN L'HONNEUR DE SA BEATITUDE LE PATRIARCHE D'ANTIOCHE La colonie libano-syrienne de Paris offrait hier un déjeuner en l'honneur de Sa Béatitude Mgr Arida, patriarche maronite d'Antioche. Un grand nombre de personnalités religieuses et civiles y assistaient, notamment Leurs Eminences les cardinaux Verdier et Baudrillart, S. Exc. Mgr Chaptal, NN. SS. Hagge, Abd, Bahaban, Feghati et Chiniara. M. Gasnier-Duparc, ministre de la marine, M. Canet, du ministèére des affaires étrangères M. Bruman, chef adjoint du cabinet du sous-secrétaire d'Etat aux affaires étrangères M. Ayoub, représentant le gouvernement libanais M. de Martel, haut commissaire de la République française, etc., etc.

Au dessert, divers discours furent prononcés, notamment par M. Matouk et le docteur Arab. Sa Béatitude exprima sa reconnaissance et son amour pour la France, déclarant notamment, en terminant « Vive la France humanitaire et magnanime et qu'elle soit bénie à jamais »

LE PROCHAIN TIRAGE de la Loterie Nationale aura lieu à Longchamp C'est, en effet, l'arrivée du Grand Prix le 27 juin, qui déterminera les billets gagnants de la Tranche spéciale. de la Loterie appelée Sweepstake.

Un tirage préliminaire fonctionnant comme un tirage ordinaire de la Loterie aura auparavant distribue déjà 45.000.000.

Achetez des billets de Sweepstake. Au total, le Sweepstake distribuera 120.000.000.

&L. 1 1 Icoe et X&J.wuïv&f'V àjjlcnxjLd Kux

LORSQUE PARIS INAUGURE SES THÉÂTRES D'EAU

Robe fourreau de crêpe imprimé de bouquets multicolores à très longue traîne, vue au dîner du Gardénia.

LE CARNET DU « FIGARO » -1

AUJOURD,'HUI

Ambassades. 18 heures Réception de S Exe. le -ministre de Tchécoslovaquie et de Mme Osusky, à l'occasion de l'iiwug-uration du Pavillon tchécoslovaque (Hôtel de la Légation).

Réceptions. 17 heures Mme de Laire. 1 heures Garden party chez 1« comte et la comtesse de Obidos.

Cercles. 1* heures Garden party à Bagatelle, organisée par le comité Art et Tourisme.

Deuils. 1 heures Obsèques de Mme Denais (Saint-Louis d'Antin).

̃iiniiiiiiniiiiimmimniimiiiiiiiiiiiiM!iiiiiiiiiiMiimii"iu

COURS

S. M. la Reine Elisabeth de Bel.gique est arrivée à San Rossore, auprès de sa fille et de on gendre, LL. AA. RR. le Prince et la Princesse de Piémont. A L'ELYSEE

te Président de la République et Mme Albert Lebrun ont offert hier un déjeuner en l'honneur de S. M. le Roi d'Egypte et de S. M. la Reine mère. .Y assistaient

S. A. R. la Princesse Chivekiar, le ministre des affaires étrangères d'Egypte et Mme Wacyf Boutros Ghali Pacha S. Exc. Fakhry Pacha, ministre d'Egypte le commissaire général du gouvernement égyptien à l'Exposition et Mme Mahmoud Khalil Bey; Hassanein Pacha, gouverneur de la maison du Roi Ilhamy Hussein Bey, Takir Pacha, Mme Zulflcar' Bey, dame d'honneur de la Reine le sous-secrétaire d'Etat aux alfaires étrangères d'Egypte et Mme Riaz Bey le présiOent du Conseil et Mme Blum M;'Yvon Dêlb'ôsj ministre des affaires étrangère le ministre de l'éducation nationale et Mme Jean -Zay le sous-secrétaire d'Etat à la; présidence du Conseil et Mme de Tessan le sous-secrétaire d'Etat aux affaires étrangères et Mme Pierre Viénot le secrétaire perpétuel de l'Académie des inscriptions et belles-lettres et Mme Dussaud le conservateur du musée du Luxembourg et Mme Hautecœur Mme de Witasse, le président du conseil municipal et Mme Raymond Lauren le commissaire .général à l'Exnosition et Mme Labbé S. Exc. M. de Saint-Quentin, ambassadeur de France le directeur des affaires politiques au ministère des affaires étrangères et Mme Bargeton M. Marx, chef du service'des œuvres, au ministère des affaires étrangères, etc.

AMBASSADES

A l'occasion de l'Exposition d'art français contemporain qui vient d'être ouverte à Berlin. S. Exc. l'ambassadeur de France a offert le mercredi 16 juin un déjeuner auquel étaient invités Le ministre de l'instruction publique' du Reich et Mme Rust le secrétaire d'Etat à l'instruction publique du Reich et Mme Zschintsch le directeur général des beauxarts et Mme Huisman le vice-président de l'Académie prusienne des beaux-arts et Mme Schuhmann M. Hanke, directeur au ministère de-la propagande du Reich,; M. et Mme ̃Stieve, M. Kümmel, directeur des musées du Reich M. Zierold, le professeur et Mme Amersdoriïer, le professeur Zimmemiann, M. Arnal, conseiller de l'ambassade, et Mme Arnal M. et Mme Biebrach, le professeur Hildebrandt, M. et Mme Hanfstaengl, M. Schwartz, M. Jourdan.

L'Académie diplomatique internationale s'est réunie hier jeudi, à 17 heures, en séance plénière, sous la présidence de M. Albert Sarraut, ancien président du Conseil. Au cours de, cette réunion, Wacyf Boutros Ghali Pacha, ministre des affaires étrangères d'Egypte, fut reçu et voulut bien entendre une conférence faite par M. Devèze, ministre d'Etat belge, sur le nouveau statut industriel de Belgique.

DANS LE MONDE

La marquise de Maillé donnera une soirée dansante demain samedi 19 juin, en l'hôtel de feu Mme AubryVitet, sa grand'mère, pour les débuts dans le monde de sa fille, Mlle de Maillé. Thé demain samedi, à 17 h. 30, chez Mme Jacques Fould.

Porto ce même jour, à 18 heures, chez la marquise de Chambray. BIENFAISANCE

Le jeudi 24 juin, à vingt et une heures, un concert spirituel des œuvres de Bach et de Schubert aura lieu en l'église de Madeleine sous la présidence de S. Em. le cardinal Verdier, au profit de l'Intermède (émission radiophonique pour les malades et les isolés).

Au cours, du concert, allocution du R. P. Roguet, P. 0., et Salut solennel. Mme MaInory-Marseillac, M. Pierre Bernac, la chorale «La Cantate », M. Mignan, organiste du grand orgue de la Madeleine, ont' bien voulu prêter leur concours. ">

Billets de 5t)'à 5 francs à l'église de la Madeleine; chez Durand, RouartLerolle, Boîte à Musique, Ploix-Musique. CERCLES

L'Automobile Club de France donnera le mardi 29 juin, en son hôtel, place de la Concorde, une soirée en l'honneur des personnalités présentes à l'occasion des réunions de l'Association internationale des automobile-clubs et qui sont du congrès international du tourisme, du thermalisme et du climatisme, et du Grand Prix de l'Automobile-Club de France.

M. et Mme P.-Etienne Flandin donnent une soirée dansante demain samedi, au Cercle Interallié.

NAISSANCES

Le comte de Verdun et la comtesse, née de Durfort, sont heureux d'annoncer la naissance de leur fille Béatrix.

Robe de jersey bleu ciel à écharpes drapées, coiffure de camélias rouges, vue au bal du Rallye Bacchus.

l'inauguration du théâtre d'eau, qui élève sur la Seine ses gerbes, ses cascades, noue et dénoue en fulgurantes flammes ses courbes, flèches et jets multicolores, eut lieu tel un spectacle féerique, né de quelque baguette magique sous l'égide du Gardénia,

Dans la longue salle, où la lumière

A gauche Mlle Gillette Ponsignon dont le mariage avec M. Louis Cadet vient d'être célébré en l'église SaintPierre de Neuilly. A droite Mlle Marie-Eugénie Agostini dont le mariage avec le capitaine Christian Moulin a été béni hier en l'église Notre-Dame de Grâce de Passy. (Studio de fronce et Phot. Dorys.)

Le docteur Marcel Mouquin et madame, née Guillaumet, annoncent naissance de leur fille Marie-Claude. :r'̃ :,7t On annonce la naissance .v- -De: Monique Legendre, de Mai-tine Jâcob; d'Henri Guillot.

FIANÇAILLES

Nous apprenons les fiançailles de Mlle Simone Vaillant de Guélis avec M. Etienne Frachon.

On annonce les fiançailles

De Mlle Gisèle Opoix avec M. Pierre Grauday de Mlle Jacqueline Rournet avec M. Yves François.

MARIAGES

Récemment a été célébré, dans l'intimité, en l'église d'Argenton (Mayenne), le mariage du comte Robert de La Jaille, fils du comte André de La Jaille, décédé, et de la comtesse, née Cremière, avec Mlle Nelly de Guirard de Montarnal, fille de Mme de Guirard de Montarnal. Après la cérémonie, religieuse, un grand déjeuner a réuni les deux familles au château de la Fantraise. Hier a été célébré dans la plus stricte intimité, en l'église Notre-Damedes-Victoires, le mariage de Mlle Hélène Aubert avec M. Rafael Elizalde, ingénieur civil de l'aéronautique.

En l'église Notre-Dame de Passy a été béni hier 17 juin le mariage de Mlle Marie-Eugénie Agostini, fille de M. Franck Agostini, chevalier de la Légion d'honneur, et de madame, née Assier de Pompignan, avec le capitaine Christian Moulin, de l'état-major de l'armée, chevalier de la Légion d'honneur, croix de guerre, fils du lieutenant-colonel Moulin, officier de la Légion d'honneur, croix de guerre, et de madame, née Courson de Villeneuve.

Les témoins étaient, pour la mariée la comtesse de La Houssaye et le lieutenant de vaisseau Y. de Pompignan. Pour le marié le lieutenant-colonel Georges Moulin et le comte Pierre de La Lande de Calan.

La jeune mariée portait une robe de crêpe mat blanc d'une très belle ligne et dont l'ampleur drapée bas reparaissait.

PENDANT L'EXPOSITION

r ACCUEIL DE PARIS

Le rallye Bacchus s'est déroulé avanthier avec son sllcees habituel. Quarantecinq voitures étaient exactes au rendezvous, au Pavillon des Vins de France. Sept problèmes très subtils ont été posés aux concurrents qui se sont rendus à cinq étapes, indiquées par des relais, et qui les ont conduits d'un cabaret de l'Opéra à la Cascade du Bois de Boulogne.

Mmes Laroche, lmbert et Deteuf sont arrivées les premières, au Pavillon belge de l'Exposition, où se faisait la concentration au retour. Un bal très animé et coupé d'intermèdes amusants et spirituels a terminé la soirée. Une fois encore, la princesse Achille Murât a conduit le rallye Bacchus avec plein succès.

La princesse Jean-Louis de FaucignyLucinge a donné mercredi une agréable et élégante réception au « Buttery » du pavillon britannique. Cette réuivon inaugurait ce restaurant décoré de façon plaisante de paysages d'Ecosse.

̃ '.•

Nombreux seront les hôtes de Paris et les fervents de musique, qui se rendront dimanche à l'Abbaye de Royaumont pour le concert de la Société Philharmonique de Paris. dirigé par MCh. Munch. Consacrée à la musique classique et à trois- pièces modernes, cette audition obtiendra certainement un succès, égal à celui qui salua le dernier concert d'orgues, dont le moment le plus émouvant fit entendre, dans ces murs bénédictins élevés par saint Louis, 'la

choit d'un plafond constellé d'étoiles en relief, tout au long de la berge où s'appuie nonchalamment une terrasse évocatrice du Bosphore, les plus jolies femmes de Pans accoururent dans leurs robes diaprées, avides dé comparer les tonalités de leurs atours avec ceux de ce bouquet d'ascendante rosée, promis à leur curiosité.

L'immense crinoline rose, choisie par plusieurs femmes de goût, voisinait avec la redingote de tulle noir, la sinueuse robe de jersey dégradé du gris au vert comme échappée du jet d'eau voisin, le manteau romantique en tulle noir, et les nombreuses robes de dentelle sur des fonds clairs qui habillaient quantité de spectatrices. Les coiffures du soir, fleurs posées en arrière comme les dessins de Gavarni, mantilles de chantilly, turbans de mousseline, contribuaient à donner aux femmes un air d'apparat fort heureux contre le décor des fresques rutilantes du restaurant. L'air était doux, l'orchestre excellent. Les valses succédaient aux tangos sous une alternance de clair obscur et de clarté, rythmées par l'admirable vision des eaux jaillissantes.

Comtesse de S.

NOTÉ SUR MON BLOC Revillon,

40, rite La Boétie, Paris, a l'honneur d'informer sa clientèle qu'il sera ouvert tous les jours de

devant. Un long voile de tulle posé sur un petit béguin terminait ce bel ensemble créé par Maggy Rouff.

Vient d'être célébré'le mariage De Mlle Bernadette-France Fauvage avec M. Pierre Langlois.

On annonce le mariage

De Mlle Blanche Berland avec M. Michel Boullet.

INFORMATIONS

Une des grandes dignités 'de l'industrie française est d'assumer la continuité de ses firmes à travers le temps. A cette tradition, les champagnes SaintMarceau ne pouvaient faillir, et ils célèbrent brillamment leur centenaire par une série de réceptions des mieux réussies, dignes de leur marque fameuse connue du monde entier.

Le baron d'Anglyan-Chatillon; M. Daufresne de la Chevalerie, M. Xavier Heidsiek et M. Etienne Henriot ont su réserver à leurs invités un spectacle ingénieusement composé, dont le champagne restait la première vedette « La cuvée du centenaire », présentée par Raymond Souplex « Amis je viens d'avoir cent ans », spirituel sketch du même auteur, interprété par Mlles Lucienne Claudy et Becky Rozanes, et le chansonnier Geo Charley dans son répertoire.

,11 semble. inutile, d'insister sur, le s,uccés'W ce' 'programme. •̃••̃• La fête,d£ c6,pmé.n)<)ratiojs;'1837-1937 du 8 juin ̃ reunissait-Jbouiev'àrd Malesherbes' âë ilOmbrewses personnalités, parmi lesquelles

M. Henry. -3ord"eâfii.v, de l'Académie-, française ;̃ le vice-amiral Mornet, MM. Paul Morand, Miguel Zamacoïs, Alfred Machard, René PÎnon, Bjjrnard Gervaise, Guy de ïérainond, Jean Guirec, Lemonon, Gumpel, Viret, Marcilloux, Fischer, Appert, Dufiène, Daragnes, Fegdal, Mathonnet de Suint-Georges, Barreiro, Chanvel, Jacquemot, Charlemagne, Renefer, Strauss, Mme Eve Paul Margueritte, Mme Celarie, M. du l'aty de Clam, président de la « Samothrace » MM. Privas, Pierre Vandièies, etc.

S. Exc. le comte Volpi et la comtesse Volpi sont arrivés à Paris, venant de Rome, et occupent pendant quelques jours leur appartement habituel au Meurice.

A gauche:.Mlle Cécile de Noiron dont le mariage avec M. Gérard de Guillebon vient d'être béni en l'église SaintPhilippe du Roule. A droite: Mlle Georgette Meurisse dont le mariage avec le médecin capitaine Georges Pécastaing vient d'être célébré en l'église d'Auteuil.

(Studio Peeters et Phot. Henri Manuel,)

Chanson de May, œuvre du roi, et qui fut délicieusement interprétée. S. A. R, la duchesse de Vendôme, née princesse de Belgique, a visité, avant de quitter Paris, le Pavillon belge à l'Exposition. La princesse, après avoir été reçue par le coinmissaire général et la baronne Vaxelaire, a longuement visité les salles du Pavillon et a exprimé au baron Vaxelaire ses vives félicitations pour celle belle réussite. S..1/. le Roi d'Egypte el S. M. la Reine mère n'assistaient pas, hier, à la soirée donnée en leur honneur par la' municipalité de Paris à l'Hôtel de Ville. La famille Royale était représentée par S. A. R. la princesse Chivekiar d'Egypte et son mari Ilhamy Hussein beg, S, Exc. Falcri pacha et Tahir pacha.

-Une erreur s'étant glissée dans les cartes d'invitation envoyées par Ijf commissariat général de la Roumanie -pour la représentation, ce soir, d'Œdpe à l'Opéra, nous prions les personnes invitées de vouloir bien se rendre à cette représentation à 20 heures précises et non pas à 21 heures.

Une fête portugaise le 28 juin Les saints populaires portugais sont fêtés au Portugal pendant le mois de juin Saint-Antoine (né à Lisbonne) le 13, Saint-Jean le 24, Saint-Pierre le 29. A cette occasion, le commissariat général portugais organise une grande fête nocturne, avec des danses en costumes nationaux et des chants populaires, et qui aura lieu le 28 juin sur la terrasse du Pavillon du Portugal,

Immense robe crinoline en organdi rosé bordé de noir, vue au dîner du Gardénia.

la semaine, sauf le samedi et le dimanche.

Revillon présente actuellement, tous les jours, à 15 h. 30, un certain nombre de nouveaux modèles d'été, en tailleurs, manteaux et Chapeaux. 40, rue La Boétie, Paris. Suzy.

DEUILS

Les obsèques de la marquise de Castéja, née Fournès, ont été célébrées hier en l'église Saint-Pierre de Chaillot.

En l'absence du marquis de Castéja, son fils; du comte de Castéja et du comte Bertrand de Castéja, ses petitsfils, retenus hors de France, le deuil était conduit par le comte Stanislas de Castéja, son fils le comte Alexandre de Castéja, le comte François-René de Castéja, le comte Emmanuel de Castéja, ses petits-fils; MM. Robert et Gérard de Castéja, ses arrière-petits-fils le baron du Charmel, son petit-neveu Du côté des dames, par la marquise de Castéja, la comtesse Francis de Castéja, la comtesse Stanislas de Castéja et la comtesse Emmanuel de Castéja, ses belles-filles la comtesse Alexandre de Castéja,. Mlles Estelle et Elizabeth de Castéja, ses petites-filles Mme Legrand, née Fournès, sa sœur.

Parmi les autres membres de la famille la comtesse Rochaïd, née Fournés; le colonel de Colombel, le comte Raoul de Mathan, la comtesse de Caraman, la comtesse et Mlle du Bouchage, le duc et la duchesse de Caraman, le ^omte et la comtesse Ernest de Caraman, la comtesse et Mlle de MontSerrat, S. Exc. le comte de Saint-Quentin,ambassadeur de^France..

L'înHùmafion a eu 'lieu' au cimetière du Pè't^taclïajse'4ns ̃Sépulture de

famille/

v««s;-tiier^<MHf--été céiébrées, en l'église Sâint-"Rhilippe du Roule, les obsèques du scoihte Henry Chandon de Bfiailles. Le. deuil était conduit par le comte Chandon de Briailles et le comte Hervé Chandon de Briailles, frères du défunt; le comte Charles de Nicolay, son beaufrère M. Frédéric Chandon de Briailles, MM. Henri et Aymard-Claude de Nicolay, ses neveux; M. de Baudreuil de Fontenay, son oncle, et M. Edouard de Baudteuil de Fontenay, son cousin germain .̃̃'̃

Du côté des dames, par la comtesse Chàndon-de Briaillës, sa mère; la comtesse' Charles de Nicolay, sa sœur la comtesse' Hervé Chandon de Briailles, sa belle-sœur; Mme de Baudreuil de Fontenay, sa grand'mère Mlle Chandon de Briailles, 'Mlles Françoise et Marie-Thérèse de Nicolay, ses nièces Mme de Baudreuil de Fontenay, sa tante, et la vicomtesse Albert de Ponton d'Amécourt, sa cousine germaine. L'inhumation se fera à Chaource (Aube) où un second, service aura lieu samedi .19 juin..

M. Emile Digneffe, ancien président du Sénat belge, vient de mourir à Liège.

Le général de division de l'armée coloniale Gauderique Aymerich, grand officier dé la Légion d'honneur, vient de mourir à Toulon à l'âge de soixantedix-neuf ans.

La messe annuelle pour les membres défunts de l'Institut de France (fondation Clément Juglar) a été célébrée hier en l'église Saint-Germain des Prés.

Parmi l'assistance ̃•

MM. Georges Goyau, Claude Farrère, de l'Académie française Maurice d'Ocagne, Merlin, Blanchet, Dupuis, de l'Institut Bouteron, bibliothécaire à l'Institut, etc. Nous apprenons la mort de la baronne Gérard, née Dampierre. Ses obsèques auront lieu lundi 21 juin, à dix heures, en l'église Saint-Philippe du Roule où l'on se réunira. De la part de la comtesse de Lastours, sa fille; de la baronne Gérard, sa belle-fille; du duc et de la duchesse d'Harcourt, du comte de Lastours, du comte Joseph de Lastours, de la comtesse P.4atrix de Lastours, de M. et Mme roarnegaray, de Mlles Suzanne et Thérèse de Lastours, ses petits-enfants. Le présent avis tient lieu d'invitation. Ni fleurs ni couronnes. M. Joseph Denais, député Mme Joseph Denais, Mlle Madeleine Denais font part de la mort de Mme Paul Denais, leur mère. Les obsèques ont lieu ce matin, à onze heures, en l'église Saint-Louis d'Antin.

On annonce la mort

De Mgr Agostino Zampini, à Rome du chanoine J.-B. Passieot, à Saiiit-Jean-de-Luz de Mme Catherine Bransiet, a Lausanne de Sir Robert Borden, à Ottawa du lieutenant-général comte Charles-Maurice Greindl, a Bruxelles de Mme Léon Moyse, à Metz de M. Jean Despommiers, à Lochrist (Morbihan). ̃ Valfleury.

Nous accordons à tous nos abonnés une réduction de 25 O-'O sur le tarif normal des avis de faire part des NAISSANCES, FIANÇAILLES, MARIAGES, etc. PETIT CARNET

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Précédant ses trois carrosses et ses neuf chevaux bais le Lord Maire de Londres est arrivé hier à Paris

Le lord-maire de Londres, Sir George Broabridge, qui vient à Paris pour inaugurer le pavillon britannique à l'Exposition Internationale, est arrivé hier, à 15 heures 47, sur le quai de la gare du Nord, décorée de nombreux drapeaux français et anglais et sur lequel des gardes mobiles et des gardiens de la paix formaient une double haie d'honneur.

Le lord-maire a été reçu par M. Raymond-Laurent, président du Conseil municipal, accompagné de M. Bucaille, syndic, et d'une délégation du Conseil municipal, par M. Le Besneray, directeur des chemins de fer du Nord, ainsi que par de nombreuses personnalités de la colonie anglaise de Paris.

Le lord-maire est accompagné dans son voyage de lady Broadbridge, et d'une délégation de la coopération de la Cité de Londres, composée par l'aldoman des sheriffs C. Politzer, et Mac Réa, lady Mac Réa, le colonel sir Louis A. Newton et lady Newton M. F. Rowland, député Sir Henry Mac Auliffe, député J. Layton, député et le capitaine Gillct.

Le lord-maire, qui, pour la grande déception de la foule massée sur les quais, était simplement vêtu d'un complet gris, d'un pardessus et d'un chapeau strictement civil, est monté dans une voiture de l'ambassade et a gagné directement un hôtel de la Place Vendôme.

Ce n'est que le soir, en effet, que commençait son séjour officiel à Paris, par un grand dîner donné en son honneur à l'Hôtel de Ville.

Votre pays

ne m'est pas étranger » Sir George Broadbridge était arrivé à midi 35, par le paquebot Isle of Thault, à Boulogne. Accueilli par M. Morin, sous-préfet de Boulogne, et par une délégation de la municipalité de Paris, le lord-maire avait fait, de fort bonne grâce, les déclarations suivantes « Je suis enchanté de revenir en France, où je viens chaque été, passer mes vacances, depuis six ans.

» Je connais très bien Paris, dont j'admire la beauté.

» J'ai des amis à Montreuil-sur-Mer, où tous mes fils ont vécu pour perfectionner leur connaissance de la langue française. Votre pays ne m'est donc pas étranger et je suis fier de visiter officiellement, comme lord-maire, la France et Paris, avec mes collègues dont deux sont d'anciens lord-maires.

» C'est un honneur pour nous d'avoir été invités à inaugurer le pavillon du Royaume-Uni à l'Exposition Internationale. Nous nous réjouissons de l'idée de notre visite et espérons qu'elle va fortifier d'anciennes amitiés et en formera de nouvelles ».

Le paquebot Autocarrier est entré en rade de Boulogne à 13 heures. Il portait les neuf chevaux bais et les trois carrosses qui formeront l'escorte du lordmaire lorsqu'il se rendra à l'Exposition. .Chevaux et carrosses ont été dirigés immédiatement sur Paris, où ils sont arrivés dans la soirée.

LE CHAMPIONNAT DU MONDE DE m AUX PIGEONS

M; François Mérouze (à gauche), vainqueur du 8e championnat du monde de tir aux pigeons qui vient de se disputer à Vichy, reçoit son prix des mains de M. Faure, président de la Fédération internationale.

SUITES DE LA PREMIÈRE PAGE LA PREMIERE ALLIANCE FRANCO RUSSE

Le ressort du drame, ce sont les ravages du charme slave sur le réalisme français. Si Alexandre était femme, je crois que j'en serais amoureux ». Napoléon à Joséphine.) Le point culminant de cette •Orestie panslaviste, c'est pour le Français l'impuissance congénitale à lire dans le jeu des Russes, la fa. talité qui le pousse à toujours les croire sur parole surtout quand ils trichent (merveilleuse police secrète d'Alexandre Ier fonctionnant à Paris au plus beau de l'alliance) c'est cette inaltérable faculté de cociï magnifique à persévérer dans la confiance bien qu'on se sache trahi (même pendant

LA COUPE D'OR D'ASCOT

Ascot doit sa renommée aux femmes. Quoi de plus naturel, dirait un Parisien qui ne connaît pas la discrétion des femmes anglaises. Elles ne firent qu'une apparition discrète, cette saison, aux bals de Cour leurs robes pâlissaient sous l'éclat des uniformes et le soir du Derby, la reine dîna chez la marquise de Londonderry pendant que George VI recevait les membres du Jockey Club. Mais à Ascot les femmes sont reines. Les jaquettes sombres forment un ton anonyme, une toile de fond contre laquelle s'épanouissent avec violence les toilettes aux tons éclatants et le paddock se prête mieux au défilé des élégances qu'aux préparatifs de la prochaine course. N'est-ce pas d'ailleurs naturel, puisque c'est à la reine Anne qu'on doit cette réunion ? 7 Tout rappelle encore cette fameuse journée de 1731, lorsque la bonne reine décida de pique-niquer dans les champs d'Ascot et, pour amuser sa suite, pro-

Un grand dîner à l'Hôtel de Ville Le dîner, devenu traditionnel, offert par la municipalité parisienne en l'honneur du président de la République, a eu lieu hier soir, selon le cérémonial habituel. La solennité révêtait, cette année, un caractère tout particulier de fait de la présence du lord-maire de Londres et de la délégation de la corporation de la cité de Londres.

Pour cette cérémonie, le Palais muni, cipal avait revêtu sa parure de grands jours de fête tapisserie, massifs de fleurs illuminations féeriques.

Quant aux invités, il est impossible de les dénommer tous. Citons au hasard :'Son Exe. Mgr Valerio Valéry, nonce du Pape LL. EExc. de Souza Dantas, ambassadeur du Brésil Suad Aavaz bey, ambbassadeur de Turquie M. Thomas Lebreton, ambassadeur d'Argentine M. Wellington Koo, ambassadeur du Japon le comte von Welezeck, ambassadeur d'Allemagne sir Eric Phipps, ambassadeur de Grande Bretagne M. Cerruti, ambassadeur d'Italie les ministres plénipotentiaires d'un grand nombre de nations. Le gouvernement français était représenté par MM. Chautemps, ministre d'Etat; Dormoy, ministre de l'Intérieur; Zay, ministre de l'Education national Spmasse, ministre de l'Economie nationale Rivière, ministre des Pensions. Au nombre des invités on remarquait les généraux Gamelin, chef d'état-major général Gouraud, gouverneur militaire de Paris Prételat les membres de l'Institut, de la magistrature, du ministère des affaires étrangères, des dépués, des sénateurs, les membres des maisons militaires et civiles de la présidence de la République du Protocole M. Labeyrie, gouverneur de la Banque de France M. Paul Léon le maharajah de Kapurthala et son fils André de Fouquières de hautes personnalités égyptiennes l'alderman et shériff Blitszer et madame le shériff Mac Rea et Madame les Alderman sir Bowater et lady Bowater sir A. Newton et lady Newton les députés Cecil Farlow et sir Mac Auliffe de nombreux conseillers municipaux et généraux le préfet de la Seine et Madame A. Villey le préfet de police et madame Langeron. Lady mayoress Broadbridge honorait de sa présence cette solennité.

M. Raymond-Laurent, président du Conseil municipal, entouré des membres du bureau, recevait les invités à leur arrivée en haut du grand escalier d'honneur qu'ils gravissaient entre une double haie de gardes en grande tenue. Puis les invités gagnaient la Salle des Fêtes où était servi le dîner.

Après le dîner, un concert a été offert auquel donnaient leur concours la danseuse Iya la divette Mireille les frères Isola le corps de ballet de l'Opéra. Le président de la République et madame Albert Lebrun, reçus à leur arrivée à l'Hôtel de Ville par MM. RaymondLaurent, Villey, Langeron et le bureau de l'assemblée communale ont gagné les salons où ils ont été respecteusement salués. A l'issue du' concert, ils ont été reconduits à leur voiture avec le même crérmonial.

SEVERES COMMENTAIRES BRITANNIQUES

SUR LA SITUATION v

FINANCIERE FRANÇAISE (De notre correspondant particulier, par téléphone.)

Londres, 16 juin. Si on résume en quelques phrases les commentaires qu'inspire aux milieux financiers et diplomatiques anglais la situation en France au lendemain de la publication des « pouvoirs spéciaux » demandés par le gouvernement du Front populaire, on obtient le sévère diagnostic suivant « Nous avons l'impression que la France affaiblie n'est plus en mesure d'exercer d'influence à l'extérieur. » « L'accord monétaire est plus qu'en partie compromis. » L'éloignement, le manque d'informations précises. l'indifférence qui facilitent les jugements rapides enlèvent peut-être une certaine autorité à ces commentaires sévères. C'est, en tout cas, ceux que l'on fait à. Londres. Les « pouvoirs spéciaux » demandés par le gouvernement actuel rappellent aux Anglais la situation de M. Laval. Toutefois, on remarque que M. Laval avait alors l'excuse de défendre le gold standard et, telles qu'elles se présentent aux yeux des Britanniques, les mesures demandées par M. Blum paraissent devoir permettre peut-être de temporiser, d'obtenir quelques milliards, de « retarder un peu la chute inévitable d'un gouvernement épuisé ». G. B.

les Cent Jours, Napoléon espère encore détacher Alexandre de la coalition européenne ) c'est enfin, au dénouement de ces scènes de ménage, le trait final (quel dommage qu'il ait échappé à Hugo ) l'alliance, si chèrement souhaitée et achetée, finissant par l'entrée d'Alexandre Pr à Pantin, monté sur la jument arabe que lui avait offerte Napoléon Ier, à Erfurt, en témoignage de son indéfectible admiration.

Le théâtre russe, où se jouèrent tant de belles pièces, ce jour-là s'est surpassé.

Paul Morand.

posa aux cavaliers de se lancer dans la course, offrant au gagnant une coupe d'or.

Ascot fait partie du domaine de Windsor. Cette semaine c'est vraiment le roi et la reine d'Angleterre qui reçoivent leurs invités. On disait il y a quelques mois que la nouvelle Cour d'Angleterre serait stricte et très austère. Elle me parut au contraire, cet après-midi, donner une impression de jeunesse et d'entrain. De P« enclosure» » à la loge royale on apercevait le flot des jeunes femmes élégantes et les membres de la famille royale se promener librement au paddock.

Le cheval du roi part favori au départ d'une des premières courses il arrive dernier. Mais, très sportif, le roi s'amuse de cette défaite et son sourire lui vaut plus d'acclamations que s'il était gagnant.

Gérard Boutelleau.

AVANT D'ENTRER A BILBAO

Les nationalistes, maîtres du port éduisent les dernières résistances au Nord et au Sud

Le gouvernement Aguirre ru quitté la capitale de la Biscaye

sBayonne, 17 juin. L'investissement de Bilbao s'achève rapidement. Les nationalistes auraient pu déjà pénétrer dans la ville. Pour épargner des vies humaines, le commandement préfère en finir tout d'abord avec les dernières résistances extérieures, et c'est dans les faubourgs du nord et du sud de la ville que la bataille s'est transportée à l'heure actuelle.^

Au sud, de forts contingents nationalistes ont occupé hier Arrigoriaga et Zaratamo.

Ce matin, la marche des troupes a repris le long de la rivière vers Basauri et les nationalistes ont occupé les positions de Careaga et Los Caminos, sur la rive gauche du Nervion.

Au nord, les troupes du général Davila occupent toute la rive droite du Nervion, y compris l'embouchure et le port, avec toutes les bases aériennes et navales des Basques.

Des îlots de résistance existent encore, aux dernières nouvelles, à Deurto et à Begona. Par contre, dans les faubourgs de l'est, les Basques défendent le terrain pied à pied.

C'est sur le col de l'Archanda, à l'est de Bilbao, où la pression nationaliste ne démord pas, que la résistance basque a' atteint aujourd'hui son maximum.

La partie haute du col est toute parsemée dé nids de mitrailleuses en béton armé avec des toits d'une telle épaisseur que les tirs de l'artillerie de campagne nationaliste ne parviennent pas à les entamer.

Mais déjà l'artillerie lourde est à pied d'oeuvre.

Dans son dernier communiqué, le gouvernement déclare

LA JOURNEE

DU GENERAL BECK Le général Beck, chef d'état-major de l'armée allemande, a consacré sa première matinée parisienne à des visites. Le général, accompagné des attachés militaires de l'ambassade, se rendit d'abord aux Invalides, sur les tombeaux de Napoléon et de Foch. Puis il alla au ministère de la guerre où il fut reçu en audience par le général Gamelin. Un déjeuner offert par le général Kulenthal, de l'ambassade d'Allemagne, réunit, dans un restaurant du Bois, le général Beck, le général Gamelin, les généraux Georges et Colson, ainsi que plusieurs autres officiers supérieurs allemands,et français.

Aujourd'hui, le général Beck se rendra au pavillon allemand de l'Exposition.

On dément, de source officieuse, que le général Beck ait eu une entrevue avec M. Daladier, ainsi que le bruit en avait été répandu. .•.

A midi, le général Gamelin offrira à son tour un déjeuner au général Beck et, demain samedi, un déjeuner à l'ambassade d'Allemagne réunira plusieurs personnalités militaires et des hauts fonctionnaires.

Le général consacre une grande partie de son temps à visiter l'Exposition et les environs de Paris. Hier, il est allé à la Malmaison.

Nous croyons savoir qu'il a eu un entretien avec le maréchal Pétain. UN BUREAU DE

CONCILIATION POLITIQUE VIENT D'ETRE CREE

A VIENNE

(De notre correspondant particulier, par téléphone.)

Vienne, 17 juin. Une commission devait être nommée prochainement pour examiner le fonctionnement de l'accord du 11 juillet et décider des nouvelles mesures à adopter en vue de maintenir malgré tout les relations correctes entre l'Autriche et le Reich.

Par le décret de ce soir, deux hommes nouveaux font leur apparition sur la scène politique de l'Etat autrichien le docteur Pembauer, anciennement leader des pangermanistes, mais adversaire résolu de l'Anschluss, et le docteur SeyszInquart, national avancé ou nazi, adjoint au premier pour l'élaboration des projets à soumettre au chancelier en ..vue de satisfaire au désir des nazis dans la mesure où leurs exigences ne se trouvent pas en contradiction avec le programme de l'Autriche indépendante et catholique. Le premier pas vers la pacification intérieure de l'Autriche vient d'être fait. Sur ce point l'opposition. nationale a gain de cause. Notons cependant que le Reich vient de faire des concessions importantes à l'Etat fédéral en interdisant aux touristes allemands de porter l'insigne national-socialiste en Autriche, de faire le salut hitlérien, en enjoignant en outre aux nazis autrichiens de cesser toute propagande illégale et toute provocation. A Vienne, d'ailleurs, la lutte contre propagande et provocation est entrée dans une phase des plus aiguës et avant de faire aux nationaux nazis la concession qu'ils ont obtenue ce soir, le chancelier Schuschnigg s'est assuré la collaboration des ouvriers (anciens sociaux-démocrates) auxquels il accorda des privilèges importants au sein de ce même front patriotique.

Dominique Auclères.

MARCEL DORET A TOKIO

Après son accident, le célèbre aviateur s'est rendu à Tokio. On le voit ici signant le Livre d'Or à son arrivée dans la capitale nippone.

Le gouvernement basque, d'un commun accord avec celui de Valence, a quitté Bilbao pour gagner un village de Biscaye situé à l'arrière des opérations militaires. Une délégation du gouvernement est restée à Bilbao. A Londres le Comité de non-intervention se réunit aujourd'hui (De notre correspondant particulier, par téléphone.)

Londres, 17 juin. A la suite de la décision de- l'Allemagne et de l'Italie de reprendre leur place autour de la table du Comité de non-intervention, une réunion plénière de ce comité se tiendra demain. Cette réunion sera la première depuis l'incident du Deutschland. La seule question qui est pour l'instant inscrite à l'agenda est la proposition d'adresser un appel aux gouvernements de Valence et de Salamanque en vue de leur demander de limiter si possible les ravages de la guerre, notamment de renoncer aux bombardements aériens des villes ouvertes. La question de renforcer le contrôle naval pourrait être également discutée si les réponses des deux parties espagnoles à la proposition des quatre puissances arrii vent à, temps. .-G. <Bt ̃̃• ̃. x

La qualité de belligérant sera-t-elle reconnue

au gouvernement Franco par Londres et Paris ? II se confirme que le général Franco a fait remettre à Londres une demande de reconnaissance de la qualité de belligérant pour le gouvernement nationaliste de Salamanque.

D'après certaines informations émanant des milieux diplomatiques, le gouvernement anglais, qui est favorable au principe de cette demande, a saisi le

LE PRESIDENT ROOSEVELT INTERVIENT DANS LES CONFLITS SOCIAUX

Pour la première fois depuis le début des grèves de l'acier le président Roosevelt est intervenu pour tenter d'imposer une solution paricique aux conflits sociaux agitan les Etats-Unis.

En effet, aucun accord n'étant intervenu entre patrons et ouvriers grévistes des aciéries de plusieurs villes, américaines du Middle West, et en plein accord avec le président, miss Frances Perkins, ministre du travail, a1 décidé hier de nommer un comité de médiation de trois membres, réunis sous la présidence de M. Charles B. Taft. L'arbitrage obligatoire des conflits en cours LES TROIS CHEFS

DE LA PETITE-ENTENTE ONT PROCEDE HIER

A UN ECHANGE DE VUES Bucarest, 17 juin. MM. Hodza, Stoyadinovitch et Tataresco, respectivement présidents du Conseil tchécoslovaque, yougoslave et roumain, se sont réunis à bord du yacht Carol-U, sur le Danube.

Cette entrevue, à laquelle assistait M. Victor Antonesco, ministre roumain des affaires étrangères, devait préciser la coopération des trois pays, conformément au pacte d'organisation de la Petite-Entente.

Le communiqué officiel publié à l'issue de cette entrevue déclare que les trois chefs de gouvernement ont constaté l'unanimité de vues entre eux et qu'ils sont heureux de pouvoir souligner que l'alliance et la solidarité sont complètes entre les Etats de la PetiteEntente.

LA TERREUR EN U.R.S.S. «LA POLITIQUE DE STALINE CONDUIT A LA DEBACLE.. » .déclare Trotski

dans un télégramme adressé à Moscou

Mexico, 17 juin. M. Trotski a adressé au Comité exécutif central de l'U.R.S.S. à Moscou le télégramme suivant

« La politique de Staline conduit à la débâcle complète, aussi bien intérieure qu'extérieure. Le seul salut est un revirement radical tendant à l'institution d'une' démocratie soviétique, en commençant par la révision publique des derniers procès. Sur cette voie, je vous propose mon appui complet. Trotski. »

Le Dr Schacht est arrivé à Vienne

Vienne, 17 juin. Le Dr Schacht, président de la Reichsbank, ministre de l'économie du Reich, est arrivé à Vienne.

Après une audience présidentielle, le Dr Schacht a rendu visite au chancelier Schuschnigg et à M. Guido Schmidt, secrétaire d'Etat aux affaires étrangères, puis, à MM. Taucher, ministre du commerce, et Kiensbœck, gouverneur de la Banque Nationale.

Actualités internationales ALLEMAGNE. Le capitaine de vaisseau Fanger, qui commandait le cuirassé « Deutschland », est nommé corn, mandant des fortifications de la Frise septentrionale. Le capitaine Wenneker a pris le commandement du « Deutschland ».

ETATS-UNIS. Le Département d'Etat annonce qu'il a demandé à toutes les puissances navales si elles consentiraient à limiter, le calibre des canons de leurs cuirassés à 14 pouces. ITALIE. Le général Sebastiano Visconti Prasca a été nommé attaché militaire à Paris, en remplacement du général Barbasetti.

BRESIL. L'état dé guerre, qui vient de se terminer, ne sera pas prorogé.

gouvernement français. Le Foreign Of- fice espère que la France pourrait prendre une décision analogue en même temps que la Grande-Bretagne. Au Quai d'Orsay, on se borne à dé- clarer que la reconnaissance de la qualité de belligérant aux autorités natio- nalistes espagnoles est une question de gouvernement qui ne concerne pas directement le ministère des affaires étrangères.

Un vapeur italien bombardé par un avion gouvernemental

Londres, 17 juin. Selon un message de l'agent du Lloyd à Gibraltar, le vapeur italien Madda, faisant route de Port-Soudan aux ports de la Clyde, a été bombardé au large d'Oran par un avion gouvernemental espagnol. Auçun membre de l'équipage n'aurait été blessé, mais la cale avant serait inondée. Toutefois, les pompes de bord suffiraient pour maintenir le navire à flot.

EN MARGE

DE LA GUERRE CIVILE Le grand quartier général de Salamanque a démenti cet après-midi les informations parues à l'étranger selon lesquelles le chef de la phalange espagnole Hedilla, ainsi que 80 de ses compagnons avaient été condamnés par le tribunal de Salamanque des peines de mort et à la déportation.

On mande de Saint-Sébastien que près de Bilbao, le chalutier nationaliste Virgen del Mar a arraisonné uu pétrolier gouvernemental transportant six mille tonnes d'essence et diverses autres marchandises, qui s'échappait vers Santander.

Ce navire dont on ignore le nom fut remorqué à Pasajes et l'équipage a été fait prisonnier. à l'exception des femmes et des enfants, qui ont été laissés en liberté.

n'est pas envisagé, mais le gouvernement ne semble pas douter que les conclusions du comité ne soient adoptées par les deux parties.

Cette mesure, parfaitement constitutionnelle, ne manquera pas d'intéresser tous les milieux de la métallurgie qu'avaient déçus les efforts du gouverneur Davey. Le rapport de cette commission, qui siégera à Cleveland (Ohio), est attendu avec d'autant plus d'impatience que les désordres continuent aux Etats-Unis, M. Martin L. Davey, gouverneur de l'Ohio, avait du reste adressé hier un pressant appel au président Roosevelt, le priant d'intervenir, « les événements paraissant dépasser les forces et les capacités d'un seul Etat ». P. M.

La presse allemande

s'élève avec violence contre la Tchécoslovaquie

Berlin, 17 juin. Les journaux berlinois de cet après-midi rapportent en -première page, avec des commentaires d'une violente indignation un long communiqué du D.N.B., relevant avec force détails les circonstances dans lesquelles un ressortissant allemand, le nommé Bruno Weigel, accusé de propagande nationale-socialiste, arrêté et maintenu six mois en prison à Prague, aurait été maltraité au cours de son premier interrogatoire par les autorités tchécoslovaques.

Dans une violente diatribe, YAnzeiger exige la punition des criminels coupables d'actes de terrorisme bolcheviques envers un Allemand du Reich. Et il ajoute

« Au cas où le gouvernement tchécoslovaque refuserait de donner cette satisfaction évidente, l'Allemagne devrait envisager d'autres mesures graves en vue de faire comprendre clairement, par un exemple aux autorités de la Tchécoslovaquie, sans compréhension pour les lois les plus élémentaires de la civilisation, ce qu'est le droit international ». Par ailleurs le D.N.B. s'étend longuement sur le cas de douaniers tchécoslovaques qui auraient brûlé des revues contenant des photographies de M. Hitler.

Le ton des journaux allemands est d'autant plus inusité que Bruno Weigen a été relâché le 20 mai et que l'incident auquel il est fait allusion remonte à près d'un mois.

Ce déchaînement de la presse alle- mande est l'objet de nombreux commentaires des cercles étrangers où l'on ne peut s'empêcher de trouver cette attitude pour le moins inopportune à la veille du voyage de M. von Neurath à Londres.

Les milieux allemands compétents affirmeraient en outre que le gouvernement du Reich aurait déjà entrepris une action diplomatique.

LES PLEINS POUVOIRS DOUANIERS La Commission des Douanes de la Chambre a décidé de maintenir au projet de pleins pouvoirs douaniers que la Chambre doit discuter ce matin l'amendement Laniel interdisant au gouvernement l'instauration du contrôle des changes.

im

LEGION D'HONNEUR Air

Au grade de commandeur (contingent spécial, loi du 10 mars 1936) Rossi (Jules), capitaine de la base aérienne de Villacoublay.

Sous-secrétariat de l'enseignement technique

Ont été nommés dans l'ordre national de la Légion d'honneur

Chevaliers MM. Albert Blavette, secrétaire général de la Chambre syndicale des constructeurs en ciment armé de France Auguste Chagnon, professeur à l'Ecole centrale des arts et manufactures Gaston Falcon, inspecteur départemental de l'enseignement technique Pierre Le lion, inspecteur régional de l'enseignement technique du Morbihan Peul Martin, directeur de l'Ecole nationale professionnelle de Vierzon Otto, dit Charles, Oudin, professeur à ik Société de comptabilité de France. Santé publique

Est nommé chevalier M. Chadrfaux.

PEUX GREVES GENERALES Lundi Le Bâtiment

Mercredi L'Hôtellerie

M~ o

Depuis plusieurs semaines, une agitation sourde se manifestait dans « le bâtiment ». Les incidents survenus sur les chantiers de l'Exposition, ceux de la caserne Champerret. laissaient prévoir un conflit proche. 1, 1 Les dirigeants des syndicats et de la Fédération nationale du bâtiment ne ca- chaient plus leur amertume, depuis la fin de non-recevoir opposée par le gou- vernement au projet de grands travaux proposé par M. Arrachart « l'homme qui vaut cinq milliards », comme on l'appellait à la C. G. T. Hier soir, une réunion de délégués de chantiers était convoquée au Gymnase Japy, par la Fédération nationale et la direction régionale des syndicats du bâtiment. ̃

La discussion fut vive. MM. Toudic et Arrachart prononcèrent de violentes diatribes contre le •« mur; d'argent » et « les prétentions d'un ̃ patronat odieux. » :Le ton de ces discours, l'atmosphère de la réunion, firent vite prévoir d'importantes décisions. A l'appel de M. Arrachart, les délégués décidèrent bien vite, en effet. une grève générale et une manifestation de grande portée pour le lundi 21 juin;

Voici le texte, in extenso, de la résolution votée à l'unanimité qui décide et motive cette grève

< L'assemblée des délégués de chantiers et d'ateliers du bâtiment. des travaux publics et des matériaux de construction, réunie à la salle Japg le 17 juin 1937, à 17 h. 30;

» Approuve sans réserves les exposés des camarades Toudic et Arrachart; » Décide de réaliser l'arrêt général des chantiers et ateliers à partir de midi, le lundi 21 juin, et uà vaste rassemblement à 15 heures au lieu qui sera précisé par la direction régionale; » Se sépare en faisant confiance au comité régional et à la Fédération nationale pour diriger dans le bon sens l'action nécessaire pour abattre les prétentions patronales et l'arrogance des forces fascistes de ce pays;

» Réclame que l'union internationale se réalise plus vite pour sauver les antifascistes espagnols qui, au prix de leur sang, défendent la liberté et la paix. » Le gouvernement interviendra-t-il efficacement auprès des dirigeants syndicaux pour que ceux-ci reviennent sur cette grave décision ? Est-ce là, ainsi que d'aucuns l'affirment, le premier acte d'une nouvelle série de désordres sociaux dont la cause ne serait plus.dans une demande d'augmentation de salaire, mais directement liée aux problèmes de politique intérieure et extérieure ? Les « masses se remettront-elles en mouvement ?

Il n'est pas sûr qu'au mois de juin 1937, le gouvernement à direction socialiste en soit le bénéficiaire.

M.-P. Hamelet.

LA GREVE GENERALE de tous les travailleurs de l'industrie hôtelière Afin de faire connaîtra à ses méiti-bres le texte de la résolution adoptée au cours de' la nuit précédente par les s conseils des trois syndicats de l'industrie hôtelière, le syndicat des employés d'Hôtels, Cafés, Restaurants avait organisé hier deux meetings qui se sont tenus l'après-midi et 'le soir à la Salle Wagram. ̃

C'était plus. à des manifestations d'hostilité contre le Sénat qu'à des réunions d'information que les militants avaient été conviés. Lecture de la résolution suivante fut donnée )

1 LES GRANDES VENTES PROCHAINES

Secrétaire en bois plaqué d'acajou, estampillé Weisweiler. Collection de M. M. D.

(Lire l'article à la rubrique «'L'ART ET LA CURIOSITE», en 4e page.)

Vous trouverez à la 10* page 1 un bon conseil donné par RI VOIRE ET CARRET

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Les conseils syndicaux des trois syndicats de l'industrie hôtelière affirment leur volonté d'obtenir 1° la semaine je 40 heures en cinq jours, seule modalité permettant l'application de la loi lu 21 juin 1 !)»6 à cette industrie 2° une revalorisation des salaires fixés en juin 1936 qui, en raison de l'augmentation' du coût de la vie doivent être réadaptés la suppression des bureaux de placement par le pote du projet de loi sur l'embauchage et le débauchage. Tenant compte de l'offensive menée contre le gouvernement et né voulant pas se, faire complices de manœuvres réactionnaires, tes dirigeants des syndicats des hôtels, cafés, restaurants, décident de reporter la grève de. la' corporation prévue pour te vendredi 18 juin. Néanmoins, considérant que tes conditions requises pour une victoire rapide sont réalisées, les conseils syndicaux estiment que' te mouvement doit avoir lieu au plus tôt. En conséquence; il est décidé qu'au- cas où le patronat continuerait à manifester son hostilité à l'application de la semaine de 40 heures en cinq jours et à l'augmentation des salaires, la grève générale de tous les travailleurs de l'industrie hôtelière serait effective à dater du mercredi 23 juin. Auparavant, une grande munifestation corporative aura lieu le mardi 22 juin après-midi dans un endroit qui sera précisé ultérieurement.

M. Henaff, secrétaire de l'Union des syndicats ouvriers de la région parisienne, prit la parole après qu'eût été donnée lecture du texte de la résolution

J'approuve, dit-il, les conseils syndicaux de n'avoir pas déclenché la grève pour demain. C'eût été une grave faute. Le gouvernement est dans une situation précaire et nons ne voulons pas nous rendre coupables devant la classe ouvrière de l'avoir fait tomber sur le débat des 40 heures dans l'industrie hôtelière. En ce qui concerne la loi sur l'embauchage et le débauchage, loi actuellement arrêtée au Sénat, qu'il nous soit permis de dire que si la Haute Assemblée ne votait pas cette loi, le mouvement syndical, fort de ses droits, reprendrait ses libertés et demanderait immédiatement la remise en discussion des contrats collectifs. »

L'important service d'ordre, qui avait été disposé aux alentours de la salle Wagram, n'a pas eu à intervenir, la sortie s'étant effectuée sans incident. L'OR SOVIETIQUE

et les porteurs de fonds russes Par question écrite adressée au ministère des affaires étrangères, M. Joseph Denais demande « quelles diligences ont été faites auprès du gouvernement de l'U. R. S. S..pour que les Français porteurs de fonds russes reçoivent un pourcentage légitime de la production d'or et des ventes d'or dont il est fait si grand état pour établir la prospérité de la République des Soviets ». L'ASSASSINAT

des frères Rosselli

En. vertu d'une commission rogatoire délivrée par le Parquet d'Alençon, M. Hude, magistrat-instructeur, a chargé M. Saunié, directeur de l'Identité judiciaire d'examiner le couteau et la douille trouvés sur les lieux du drame. Les viscères des deux victimes ont été confiés au docteur Kohn-Abrest, directeur du laboratoire de toxicologie. Les obsèques de Carlo et NeUo Rosselli auront lieu demain samedi à 15 heures. Le cortège funèbre se formera devant la maison des syndicats, rue de la Grange-aux-Belles.

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LA' LOI D'AMNISTIE AU SENAT

Elle ne visera

que les faits antérieurs

aH~jmMet~3C

Le Sénat à voté hier, au milieu d'une totale indifférence, la loi d'amnistie. U y a apporte quelques retouches.. Pour les deserteurs et les insoumis; M. Taurmes a fait adopter le texte de la Chambre ayec quelques légères madi-

Bcations.'

Ennh, et là !e point te plus :m-' portant. lé Sénat maintient que l'amnistie ne yisera,Que les faits antérieurs au 15 juiIIet.l9S6.JI se refuse à accepter la date du 22 décembre ne voulant, pas « encourager le renouvelleinént d'abus, de troubles et d'illégalités contrée lesquels l'assemblée s'est élevée ënërgiquement a plusieurs, reprises. L'ensemble fut ensuite adopte. Le texte va reprendre le chemin du -Pa-

lais-Boufbon.

Sëance cet après-midi..

Le débat sénatorial

yiendcait-n aujourd'hui? Selon des bruits qui ont oo~M dans la soirée, il se pourrai que la ~a/a~/e s'en~~eat des.a~ourd'nHt. Les attaques Teuo/n~onnat'res proférées contre le Sé7!a<, hzer soir. les greues annoncées ponr la semaine prochaine, serot~/en~ de n:o< a Hn débat sur une /Ta~on de date. Bien ntt'tice en ~a cause, cette discussion de procedHrf~eMfencfra;~ grosse en ses consë~ue/tces. elle t'x'~X. 7~0~4770~ PO~nQt/~ Le parti communiste

se déclare prêt

à participer au gouvernement Le parti communiste a ïance, hier. un manifeste où il constate que « la réaction ne désarme pas qu'elle <: complote contre le franc t et qu'elle veut détruire les conquêtes sociales et humaines du Front populaire t. Le parti communiste proclame que ce n'est point par l'augmentation des tarifs de transport, des tarifs postaux, du prix du tabac et dès allumettes, pas plus que par l'adoption de certaines autres taxes génératrices de vie chère, que pent être rëaHsé l'assainissement des HBia~ces publiques.

Ces mesures ne peuvent qu'iinposer aux masses populaires des charges nouvelles sans apporter une solution durable au problème des ressources de l'Etat et de l'équilibre budgétaire. Le parti communiste s'est prononcé contre de telles mesures aussi injustes qu'inefficaces.

I1 faut frapper les grosses fortunes, poursuit le parti communiste, qui entend aussi demander aux diverses fractions du Front populaire d'examiner à nouveau ta question du blocus de l'Espagne.

Le manifeste s'achève ainsi

< Pour mener à bien cette tâche et pour briser l'assaut furieux de la réaction, le Parti communiste est prêt a prendre toutes ses responsabilités dans nn gouvernement renforcé et constitué à l'image du Front populaire, pour fe salut de la France, de ta démocratie et de /a paix. »'

Petit guide du public pour f~jrpo~~o~ Aujourd'hui, Mt[g!-ctttqHtèttte jour d'ottcertnre 6 fr., de 9 h. a 24 h. INAUGURATIONS ET FETE5

~t/JOt/~D'HM

10 heures Ouverture de l'Exposition philatélique (Grand Palais).

15 heures Inauguration dn Pavillon dm Japon.

16 h. 30 Inauguration du Pavillon Tchécoslovaque.

17 h. 30 Inauguration du PaviUon du Caoutchouc.

22 heures Près du Pont d'ïéna, 2° Fête de l'Eau et de la Lumière.

18 h. à 20 h. Garden Party en l'honneur du Lord Maire et de la délégation de Londres (Parc de Bagatelle).

21 heures Comédie des Champs-Elysées (Saison anglaise) LeVie-WeUsBaHet.

21 heures Théâtre de l'Opéra, < Œdipe Roi de €. Enesco (Gala Roumain).

21 h. 45 Diner et Fête Directoire (Palais Royal).

DEMAIN

11 heures Inauguration du Pavillon de la Grande-Bretagne. 21 heures Comédie des Champs-Elysées (Saison anglaise), Le Vie-Wells Ballet.

20 heures A Versailles Opéra de Vienne au Théâtre Montànsier et Grandes Eaux générales.

Pour téléphoner à un pavillon de l'Exposition ou pour tous renseignements, il suffit de composer EXP sur l'appareil automatique.

Sept pavillons ont été inaugurés Les inaugurations des pavillons de l'Exposition se poursuivent à un rythme acce/ere.

Sept nouveaux pavillons ont été :naugurés hier et tnun~dtatement ouverts ou-ptt&f'c.

Ces paf~/ons sont Palais de la Vt'e de Paris pavillon de la Bajoue yransa~an<!que pavillon de la Pologne pautHon des Etats Baltes Exposi'Hon europeettne de l'habitation rurale (Porte Maillot) classe des sports. Le Pala;s de ta Ville de Paris L'inauguration solennelle d;t Palais de la Ville de Paris a eu lieu en présence du Président de la /<epubh'q'He, des préfets de la Seine et de Police, des membres du corps diplomatique e< du ~!t!n!s<re du Commerce,

Ce bâtiment, élevé en<re le quai de Tokio et de !'ahenue du Prestdent-W~son est désigné généralement sous le nom de « musée des Arts modernes ?. Dans ses nombreuses salles on peut admirer des vestiges gallo-romains, /€ plan lumineux du Paris contemporain, /<ï Seine et les montagnes de Paris, des dioramas, ainsi que de nombreux documents concernant la région parisienne. Dans son discours, M. /!aumondLaurent, président du Conseil municipal de Parts rappela la part prépondérante que prit la ville de P<u-;s à rë2at'orat!on de !'E.Tposttfon.

Le Pavillon de la Pologne Le pavillon de 7f! Po~o~ne a été tnau~c !'apr~s-m:d; par M. Z.nyMSteu'~cz, ambassadeur de Po<o(;ne, Ajf. Jednejewicz, ancien mt'ntstre polonais de ~'7ns<ruction publique, M. Bastid et de nombreuses personnalités assistaient à cette cérémonie.

Aprèsauoir réméré~ 7<! France de son accueil et dit sa fierté de voir son pays prendre part u la manifestation internationale, <'an!6as.odeur de Polojtne a drofar~

LES CONFLITS OUVRIERS

A Tunis, des grévistes Ïaptdent les artilleurs du 72~ régiment Un officier est grièvement blessé' Tunis, 17 jmn. –Ce matin, vers! 7. heures, une centaine d'ouvriers for-' mant piquet de grève ~devant un garage delà banlietic, voulurent empêcher des camions chargés de matières aiimentaiTes de quitter te dépôt. Les artilleurs du 72' régiment intervinrent pour éviter une.bagarre, mïtis furent àssaiilis à coups de pierres. Leur chef, un souslieUtenant français, fut atteint en plein

visage et assez grièvement'Mëssé.

Plusieurs soldats/et agents ont etc

également atteints.'

Les grèves a~grïicôïës

sënhïittpMeni `

Les grèves se poursuivent .dans t'agri-. culture. Dans t'iie-de-France, et plus spécialement daJJs la 'piaine de Me~un etau nord de Paris, la situation a tendance à s'aggraver. De même,, dans ia. région de Dieppe. plusieurs communes viennent d'être gagHées au n~ouvement.' A MontpeHIer, les milrmters d'une coniqueJtont grève Mon~pe~t'er, 17 juin. L'accordi n'ayant pu se faire. entre le directeur et tes délègues des ouvriers, le personne) infirmier de la clinique chirurgicale mutualiste de Beausoleil à MontpetUer, s'est mis en grève. Les infirmiers disponibles occupent tes locaux et' ceux de

service continuent à soigner les ma)a-

des. nI,' a,)',a,

Le conflit porte sur l'application des 40 heures et l'augmentation de rindemnitë du repas de midi.

CLOTURE DU CONGRES DE LA PROPRIETE MnE Hier, le Congrès de la propriété bâtie a entendu le rapport de M. Ramarony, président de l'Union de la propriété bâtie de France sur « le logement du chômeur

L'après-midi, dans le grand amphithéâtre de la Sorbonne, M. Trutié de Varreux, président de la Chambre syndicale des propriétés immobilières de la Ville de Paris, a résumé les travaux du Congrès et en a tiré les conclusions. Après lui, M. Ramarony, président de l'Union de la propriété bâtie de France, a exposé )a nécessite de la défense de la propriété, montré .le rôle social du propriétaire et les liens indissolubles de la propriété avec le développement de la civilisation.

Enfin, M. P.-E. FIandin a développé tout ce que la France et le savoir humain doivent à la propriété, condition nécessaire des libertés. Dans une conclusion très applaudie, l'ancien président du Conseil a souligné l'utilité pour les propriétaires de s'unir en vue d'une action 'efficace devenue plus indispensable que jamais.

rilli- 1se 'so.ustrit Au '~OILEIL ~gu;: à 'l'AIGl~ 44~ R"e~eChlit~ciudu'nà~AR~S

x A'OHS nous rappefons, CM ce moment, que c'est ici, dans ce Paris qu'ont été crées les plus grands monuments de notre poésie et de notre art, qu'ici Mic/cleu'ic.: et Chopin ont crée leurs a"m'res maîtresses, qu'ici ont travaillé nos grands sauants dont plus d'un comme Mme Curie, sont liés pour toujours à nos deux pays

Le Pavillon des Etats battes Jtf. JS'eu'! Setter, m'ntstre de l'économie nationale d'Esthonie, a inauguré dans l'après-midi le pavillon des Etats balles. Situé dans les jardins du Trocadéro, côté Passy, non loin du pavillon de la Finlande, le nouveau pavillon est !M des plus originaux de la manifestation de 1937.

Le pavillon du Berry-Nivernais est présenté à la Presse Le pavillon du Berry-Nivernais a été présente, nter matin, à la presse française et étrangère. Cet édifice, d'un aspect sobre et gai, est du aux architectes Barge, Ptnon, Paseault et Palet. Construit par des onfriert originaires de ces deux belles provinces, le pauillon a été terminé, seul de ta section, dans les délais fixés. On y trouvera de très beaux échantillons de t'arf du terroir, des awres de Bernard -Vandin, des poteries de Joseph Massé, des meubles de Giblin, Mn intérieur de chef de grande culture, Hne bibliothèque où ta littérature berrichonne est abondamment représentée.

J~~ paul/ton japonais, qui sera Inauguré anj'oHrd'nHl, a été présente à la Presse nier soir par M. Su~antantl. commissaire du Japon à l'Exposition. Le pavillon qui est construit en matériaux légers, sur le principe des maisons faites pour résister aux tremofements de terre, contient non seulement des meroeittes d'art ancien, mais aussi tout ce qui est la maîtrise du Japon modertte.

Une téléphoniste du paviMon du Reich

a reçu l'ordre de regagner Memagne

Son fiancé avait patu< suspect > Parce qu'il était très assidu auprès de !a standardiste du paviUon allemand à l'Exposition, MUe Herta Rost. qu'il avait it !i''in!ention d'épouser.M. Bopp, commer-

çant de nationalité suisse, avait éveillé

ies soupçons du service de garde.,L'autre soir, rencontre une fois de plus dans les couloirs du paviUon, M. Bopp fut prie de s'expliquer devant la pOthee fr:.ncaise. Ses explications ayant paru satisfaisantes, i! fut relâché.

Mais Mellc Herta Rost, militante nationale-socialiste, reçut l'ordre de regagner Berlin d'urgence. Comme on, ne précisait pas les motifs de cette disgrâce, jes amis et surtout le fiance de la jeune fille s'alarmèrent. Ils trompèrent la surveillance de ses chefs, prirent Mlle Rost sous leur protection, et M. Bopp oS're de l'épouser tout de suite. Le commissaire généra) de l'Allemagne a fait une déctaration précisant que MHe Rost, renvoyée pour faute de service, n'avait rien à craindre en AitemaghE, mais que M. Bopp demeurait suspect à ses yeux.

JE~

~F~~a~

DE~'Ï Ht'M~T/OA'S M/~T~7.RES SE,SONT HEU~ÏE.S Tuer !tM~n, en plein vol au ~<r~e de .Kisa''a2!t (Japon). Les huit, occupants. des deux apparef/s ont été tués. ·

UX CAMION A RENVERSE à Saint-EtieRne<ienx jeunes éteves d'un pensionnat qui circulaient à Mcyc)ette: André Brossier et Fetix Lagrevol. Ils ont été tué~ sur le coup.

~'{'V tVBBÏ'/A'G or~HnMe pour con;mentorgf c!n~!«fnfenntre de la loi de t884 e< 7e .poutwr des maires s'est deroH/e 7ttM' ail ~hea/re 7Mn<c!pn/ de Sa'nf-Dett! présidée pet' M. Aft~<csLaerofa:, senu~eMr. On< prts la parole ,U.U. yt~:ter-V!~)!n))cot!r. Boucher, Co/on!&, .Morand. Cot<n. //e~fo<, députés ef sénateurs. Etaient eynfeme~f présents MM. Marquet, Léon .Uei/er, Marchandea);. dépures ma'res.

LE RECEVEUR DU BUREAU DE POSTE de Bou Hanifia (Oran) s'est aperçue qu'une enveloppe recomman- dée contenant 550.MO francs, et destinée au barrage de Bou Hanifia, avait disparu.

Af. LUIS FEL7PE. fils du directeur de la B/and L<ne à tr</&r6f!<ar, ef direcleur à Casa&~anca de la poste anglaise, a disparu depuis samedi. {/n expert comptable des P.T.T. britanniques est arrivé pour vérifier ~<t' caisse et la com ptabilité.

LE TRIBUNAL MILITAIRE DE LILLE a condamné pour refus d'obéissance tes réservistes Robert Attain, a un an de prison sans sursis, Fernand AHaiu et le caporal Simon à six mois de prison avec sursis.

fAVE .4~?'O.UOB/LE EST E.vr~EE EN COLLISION avec !)n ca7!!)on la nuit derntere, avenue de Paris à VersotHM. Elle était conduite par ~frcc! 0/to'er, habitant 6t &!fn<e-(jeneu;'eue-desBois, Mme Olivier, projetée sur le sol, a succomM.

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pentier, par Me Etienne Ader, constitue- t ra une collection importante de l'art du 1 xym* siècle. [ Cinquante tableaux v ferment une g.a- ( lerie attrapante et variée. Autour d'une (

eeuvre bien comme de ~attea; < La

Chute d'eau t (du cabinet de J. deJul- ¡ Jienne), se groupent d'autres toiles char- I mantes bëhes nudités de <: La Comparaison par Greu~e (vente comte de Pembroke 1862) exquises attitudes de < La visite du délicat J.-B. Ma~ef, et du < Baiser it la dérobée de Mlle GeMrd splendeur architecturale et animation colorée de la place de SaintMarc >, de l'inimitable Vénitien Guardi. Le portrait est ici à l'honneur par Dan/ou. celui de sa femme, Antoi- nette de Saimt-Redan, provenant de l'an- cienne collection du genéral A. Danloux, et celui de son fih (mentionnées par Portalis, ces deux effigies brillèrent avec éclat à t'Expositton de 1930 « Quatre portraitistes ~) par Lar~t~;ere portrait présumé d'une dame de Noailîes par Mme Lcr6'7!e-Gu!(trd! celui de ta marquise de Coutances par Gauthier <j''A<~o[</ celui d'un jeune son- neur de trompe par l'habile Gner<n la fine miniature de Camille Pleyel, bel enfant aux boucles blondes: S'il est ici quelques tableaux du xvtt', en voici qui font la laison avec le xtx* siècle :'de Bot/ deux de ses caractéristiques personnages d'7f)9fM, < Paolo et Frahcesca x, sujet cher au maitre ce!èbre du classicisme.

Les objets d'ameublement vont faire naître bien des convoitises d'abord un meuMe-secrÉtaire estaanpillé Weisweiler (voir reproduction en 3* page), dont l'ebenistet'te admirjdjie le classe au nombre des pUM chefs-d'oeuvre de t'epoque Loujs XVI puis, un fauteuii-mar- quise de Selié des bergères Louis XV, j en bois naturel, recouvertes de soierie 1 huit tauteuits.~e J. Gourdin, d'époque Régence une petite table ronde de fo/<i;io, inimitable spécia)iste une petite console en. bronze et quelques-uns de ces bonheur-()u-jour, bureaux, poudreu- i ses ou c&mmodes, si en faveur aujour- d'hui auprès des plus difficiles de nos maîtresses de maison. Pour qu'elles ins- crivent les dates d'exposition, dois-je leur signaler encore quelques pendules, pièces montées, chenets, candélabres, sortis des mains d'étonnants ciseleursbronziers, ou ajouter parmi les tapisse- ries, deux petits Beauvais Régence, dans le goût de Bérain ? C'est je crois superflu, puisqu'il s'agit de l'attrayant xvnie siècle et i! n'est pas téméraire d'affirmer que bien des carnets portent déjà la mention: de 2 <t 6, visite à des objets de qualité. Paul Hermant. Paul Hermant.

.'icres ea;poM<t'on ~arf!'cH!cre 7e 22, publique le 23, M la Galerie Jean Charpentier (petite galerie), cet ensemble y sera dispersé le jeUdi 2t juin par Me Etienne Ader, assisté des experts Féral, Catrollx et Po~e.

M* Phtiiippe Delonne expose Je 19 et disperse le 21, salle 1, un bel ensemble (meubles, objets d'art anciens et modernes, tableaux, argenterie, tapis d'Orient), qui sera expertisé par M. Subert. Du nouveau sur Flaubert, .S<Mnte-BeuM et Renan

Exposition des correspondances iné!dttes~b livres dédicacés à JiHté-de Tour-

Bèy, eona:<~se de'MyHfs.'ëheX M.G. Am-

drtejtx, expert, 154, boulevard Maiesherbes. Vente par Me Giard, Je 28 juin. salle 10.

Le souvenir de Gabriel Signoret I] sera tristement évoqué le lundi 21 juin. Me Marcel Wa!ter dispersera en effet, ce jôur-tà, dans la salle 2 de l'Hôtel Drouot, les objets parmi lesquels vécut l'excellent artiste. II faut espérer que ceux qui le connurent et ceux aussi que son talent et sa fantaisie récréèrent, viendront acquérir de lui quelque souvenir. L'Exposition de ces objets aura lieu demain samedi 19 juin.

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efe /eu Mme Louis Burat Un < f~rc~onar~ p

de J.660.000 francs

Contrairement à ;la coutume fort an'ienne, qui veut que dans un feu d'artifices, le bouquet soit f'uttime pièces, raoottrëose la dispersion de la cotleet'on le Mme Louis Burat, qui peut, de toute 'videnee, être comparée à un spectacle le ce genre, vit son bouquet s'épanouir son début. Il est vrai que les bouquets iont nombreux dans cet ensemble, où es simp!es fusées sont éblouissantes.

FRAGONARD Portrait présumé de Rosatie Fragonard.

Mais laissons'là notre enthousiasme et révélons les péripéties de la ~première partie de ce gala, qu'offrait hier la Galerie.!ean Charpentier, sous la direction de Me Etienne Ader, avec le concours de MM. Jes experts Fera!, Catroux, F. Max-KanU, P~pe, Damidot et Lacoste. C'est le MetropohtHU Muséum de Xew-York qui acquit, moyennant T n)i!lion 450.000 francs (soit 1.6HO.OOO fr., taxe comprise) le n" 3 du catalogue Porh'a<< présumé de Rosalie ~'rogonart!, par Honoré Fragonard, que nous reproduisons ici.

Puis vinrent un pastel par Coypet La Df<7))e à y'e;;cnfa! adjugé 32.n0t) tr.; un Portrait de Jeu'te femme, par Kattier, 165.000 francs, et un Portra~ par Mme Vigée-Lebrun, 46.000 francs. Les sculptures, tout à fait remarquables, nous permirent de noter :1!70.000 fr. pour une terre cuite par Oodion Le Baiser du sa~re 130.000 francs pour une autre terre cuite par le même maître Saft/re et Bacchante, provenant de

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EVIAN j

Banquet de clôture

de ta Conférence Internationale du Travail

!<ous apprenons que la délégation française à la Conférence Internatio- nale du Travail offrira, samedi soir 19 juin, un grand banquet de 500 couverts en l'honneur des délégations ayant pris part à la Conférence de Ge- nève. Le banquet, qui sera présidé par M. Léon Blum, président du Conseil, sera donné dans le cadre du Casino d'Ëvian. Nul choix ne pouvait être plus heu- reùx pour faire apprécier davantage l'urbanité et l'hospitalité française, ainsi que la beauté du site.

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~~N donnait, l'an dernier, à l'Alhambra, un <: gala de ~Mj)~ music-hall consacré à l'Europe centrale, et les sepetateurs beaucoup plus nombreux, je dois le dire, que ceux qui assistaient l'autre soir dans les clubs des Agriculteurs, à la projection de la S~mphoM!e des Brigands n'étaient pas moins sidérés. Acrobates, musiciens, danseurs, jongleurs, équilibristes exécutaient leurs numéros sur un air d'ancienne gigue dont l'orchestre égrenait, en sourdine, les notes'burlesques et sàutillantes: Un aveugle trébuchait dans des cordes, des échelles. On le hissait jusqu'au trapèze qu'il lâchait sans comprendre ce que l'on exigeait de lui, puis il se retrouvait sur un fil de fer souple auquel de facétieux ivrognes et un croque-mort, « en tube imprimaient des oscillations. Un amoureux, se trompant de route, pénétrait dans le salon de sa bien-aimée par une fenêtre qu'il avait prise pour la porte et l'enjambait au risque de se rompre le col, son bouquet de fleurs à la main. Des femmes piaillaient. Le clown qui jouait du piano s'en allait, flegmatique, après avoir épousseté son instrument et plié, ,sous le bras. Enfin, au milieu d'une volée de gifles, de coups de bâton et de savate qui dégringolaient comme des prunes, un jeune homme pâle aux cheveux verts dévorait tranquillement le chapeau de paille de son voisin, tandis qu'un long clochard funèbre se laissait asperger avec délices par le maître de maison qui, dégoûté à juste droit du tour qu'avait pris cette soirée, lui vidait dans le pantalon le contenu d'un siphon d'eau de seltz.

On avait l'impression d'assister à une récréation de fous.

La toile de fond tombait, s'aplatissait par terre comme l'enveloppe d'un ballon qui se dégonfle ou, parfois, s'envolait, silencieuse, pareille à quelque apparition. Or, cela ne gênait personne. Devant le mur le véritable mur de briques et de moellons qu'on apercevait tout à coup entre les portants du plateau un personnage, se croyant seul, changeait de chemise. Il apparaissait en bannière et continuait, froidement, à se dévêtir. Un autre, que la chute de la toile laissait voir au moment où il embrassait une habilleuse, feignait de ne se rendre compte de rien. La représentation se poursuivait elle me rappelait ces inquiétantes compositions de Jérôme.. Bosch dont le pinceau nous a tracé les plus étranges sabbats peut-être, de vieilles femmes, d'oiseaux, de poissons, de monstres, d'amphibies, de rats et de fœtus qui, chacun dans sa niche, s'amuse à sa façon, en ayant l'air d'attendre de changer d'âme, de corps, de sexe, d'attributs.

Jusqu'à preuve du contraire, Bosch ne devait qu'à lui seul l'inspiration de tels tableaux. Cela d'ailleurs explique la rareté du cas. De loin en loin quelques artistes comme Goya, par exemple, vers la fin de sa vie paraissaient à leur tour secrètement visités du même et délirant esprit. On pourrait les compter tandis que, de nos jours, cet esprit se manifeste chez quantité d'individus et les agite tous à la fois d'une manière si surprenante que le grand public se dérange pour les voir, rire de leurs farces bizarres ou, fréquemment, n'en pas comprendre un traître mot.

C'est ce qui se produit avec le film de Friedrich Feher. Pour les uns, sa production (primée, nous apprend le programme du congrès international du film de Venise en 1936) est le chefd'oeuvre du genre pour les autres, une loufoquerie.

On a parlé, à' ce propos, de l'Opéra de quat'sous, de Fantôme c vendre. Peut-être est-elle les deux, en même temps. A certaines minutes, en effet, cette fantaisie burlesque décèle une façon de génie à certaines autres, elle nous assomme par sa lourdeur, sa niaiserie. Les interprètes er sont, tour à tour, excellents et médiocres. Jean Feher, qui fait preuve au début d'une innocence et d'une fraîcheur charmantes, se transfornM peu après en vieil enfant de la-balle en cabotin prodige'de tournée df province. Ses partenaires ne valent guère mieux. Tantôt presque sublimes, tantôt insupportables. Si Friedrich Feher s'est proposé d'éclipseï René Clair, il est encore fort éloigne du but. Sans la partition musicale son film traînerait misérablement à la remorque des plus laborieuses, des plus absurdes « fantaisies d'atelier Mais la partition est exquise. Les deux membres de l'Association qui jouent de la flûte et du saxo méritent, à eux seuls, d'attirer tout Paris. Ils ont des mines, des grâces dont aucun mot ne saurait exprimer l'humour, les intentions. Bien que leurs rôles soient de second plan, c'est eux en définitive que revient le succès. Avec l'homme au chapeau de paille que ses attitudes de mannequin font, parfois, ressembler à un vieux personnage d'Hoffmann ou de Mac Orlan, ils mènent la ronde sournoise, grotesque, effarée, mécanique d'une poignée d'individus plus ou moins cocasses, mais tous indiscutablement baroques et déchaînés.

J'ignore à quels philtres amers M. Feher a demandé l'ivresse de son inspiration. S'il n'avait pas dû la communiquer à tous ses interprètes, or gagerait qu'il l'a trouvée dans certains stupéfiants dont on fait aujourd'hui, partout, de plus en plus, usage C'est pourquoi j'ai parlé des artistes de l'Alhambra. Chez la plupart d'entre eux, on sentait nettement l'influence de la drogue. « Il faut êtrt toujours ivre, a écrit Baudelaire Tout est là. De vin, de poésie ou dE vertu, à votre guise. » Avant l'absinthe, nous avons eu le lyrisme du vin blanc. Puis l'alcool est venu qui porte aux confessions pénibles, aux pires aveux. Actuellement, c'est autre chose Morphine, opium, coco choisissez. Drôle d'époque!

Francis Carco.

~F~ <~ < ~s~

Annabe!)aetJact)uesF8~r à Donneur

Hier matin, en les salons de l'ambassade d'Italie, AnnabeUa toute pâle et Jacques Feyder fort ému, ont reçu la récompense due à leur grâce et à leur talent. La création que réussit Annabella dans Veille d'Armes lui ua<Ht la Coupe Volpi, et Jacques Feyder pour sa réalisation de la Kermesse Héroïque, s'est vu décerner la coupe du ministère italien de la Culture Populaire. En outre, Je film, le Coin des Et)/'an<s, réalisé par la compagnie ]yonnaise des Grands Artistes Internationaux a été primé d'une médaille qui fut remise à M. Biétrix.

Son Exc. l'ambassadeur d'Italie, assisté de l'ambassadrice et accompagné de son Exc, le comte Volpi présidait, avec bonne grâce, cette fête franco-itaJienne. L'ambassadeur souligna, en termes choisis. l'heureuse influence qu'exerce le comtes Vo!pi sur l'art cine-

matographïque.

P. A.

P R 0 R A MME D ES C ï N E M A S

CHms parlants français, CAMERA La Bâtera, Vedette hongroise.

CESAR: Le Grand Jeu, Le Million.

BONAPARTE: A nous la liberté!, La Kermesse héroïque. CINE-OPERA: P. 14 à 20 h. Soir, 21 h.: Le Grand Jeu, Le Million.

ELYSEES-C!NEMA:15h.,17h.,21h.:LesGrands. GAUMONT: P. 17,h. à 24 h. 17 La Chaste Suzanne. IMPERIAL P. 14 à 1 h. La Danseuse rouge.

LUTETIA:P.15aMh.S.,21h.:An:;e<e.

LUX 14 h. 45, 20 h. 30 Le Mort en fuite, Le Chemin du Paradis..

MADELEINE P. 12 à 2 ]). 45 Troïka sur )a piste blanche. MAX-L!NDER:122,1411,164,lSh.,2115.24h. Ignace. MARIGNAN ]t h. 25 à 23 h. 20 Les sept perles de la Couronnne.

MARIVAUX P. de 14 h. à 19 h. La Grande tHusion. MOULIN-ROUGE 1'. 14 h. 30-19 h., 21 h. Arsène Lupin. OLYMPIA--?. 13 h. à 1 h.: La,Belle de Montparnasse. PARNASSE 14 h. à 19 h. S., 21 h. 15 Au service du tzar. PEREIRE J.'< h., 21 h. Le Porte du large.

LEPASSY:Ri~oiboEhe. ..t.. REX 12 h. a 23 h. 30 L'Ile de' Veuves.

Films parlants anglais.

~jHGLON:14h.a24h.:Tourbi))onb)anc. APOLLO 14 il., 2 h. du'matin Le Roi et fa fie'n-imte, T'District. AUBERT: La troisième flèche tuera.

AVENUE P. 14 h. 30 et 19 h. Soir., 21 h. 15 Weeek-end mouvementé et Taxi dans la nuit.

BALZAC 14 h. 30 à 19 h. 30; S., :!1 h. 15 L'entreprenant ( M. Petroff. '1

CH.-EJ.YSEES 13 h. à 21 h. 45,: Les Héritons perdus. COLISEE 14 à 19 h. S., 21 h. Pénitenciers de femmes, i

Les salies marquées du signe donnent un spectacle entièrement permanent, 1. L'HEURE DU GRAND FILM

Pénitenciers de temmee 14 h. 57, 17 h. 30, 22 h. 15. Cotisée. Visages d'Orient: 2 50, 17 7, 19 18, 21 32, 23 32. Le Paris. Troïka sur la piste Manche 10 h. 44, 13 h. 4, 15 h. 27, 17 h. 50, 20 h. 13, 22 h. 36, Oh. 56. Madeleine. Monnaie de Singe: 15 h., 17 h., 22, h. 15. Studio28. L'Escadron blanc 15 h., 17 h. Studio Etoile. Sur les toits de New-York 15 h. 6, 17 h. 17, 19 h. 28, 21 h. 39, 23 h. 44. Normandie. La troisième flèche tuera 12 19, 14 27, 16 45, 18 48, 21 1, 23 h. 1. Aubert. L'Entreprenant M. Fett-oft 15 h., 17 h. 45, 22 h. Balzac. del4h.&2h Helder. Le Mystère FatterMn :H h. M, 16 h. 90. 1S h. 10, 22 h.M Panthéon.

Les Horizons perdus: 13 35, 15 30, 18 5, 21 45. Cine-Ch.-Eiysees.

mmr DE MM~mo NOUS DIT r Dans Les Secrets de ta Mer Rouge~ c'est ma vie même 'qui i, est fixée sur !'écran

Henry de Monfreid qui depuis vingtsept ans, vit sur la côte française des Somalis et qui passe seulement quelques mois de l'année à Paris, vient de participer à la réalisation d'un film dont il,est l'auteur et le principal interprète. Il a bien voulu nous renseigner sur l'expédition cinématographique qu'il guida à travers son pays de prédilection.

Je n'avais jamais pense au cinéma, nous dit-il. Chez moi, à Obok, on ne sait pas ce que c'est, et, quand je viens à Paris, je suis,toujours.,navré de constater que le cinéma est un élément de décomposition de l'esprit du peuple farnçais. Certains producteurs ne prennent pas la peine d'apprendre aux spectateurs qu'il y a autre chose dans la vie que la banalité dans l'image et le langage. Et c'est, d'après moi, ce qu'tl faut surtout éviter. Cette forme artificielle que l'on exploite est navrante, car il ne faut pas oublier que l'académicien aussi bien que le chemineau ont chacun leur sensibilité. Elle est différente, mais on peut toujours l'atteindre, car dans n'importe quel individu, dans n'importe quelle classe sociale existe un côté humain et sensible.

» M. Berone, producteur de mon film, est aussi un sculpteur de talent en voyant ses œuvres je l'ai autorisé a adapter mon livret à l'écran. Je me suis laissé convaincre pas par le producteur, mais par l'artiste

» C'est à Carlo Rim que l'on confia mon livre, il en fit un excellent scénarios. Ses dialogues sont précis et traduisent exactement l'expression de ma pensée. Il a d'autant plus de mérite qu'il n'est jamais allé à Obok. Il a cependant gardé l'atmosphère qui se dégage de ce pays et de ses habitants. Les prises de vues furent dirigées par Richard Pottier qui montra, lui aussi, une grande habileté et beaucoup d'esprit d'à-propos étant donné les conditions particulièrement difficiles dans lesquelles ce film fut réalisé. Nous sommes tous partis avec les artistes et opérateurs à Djibouti et de Voir page 7

LE THEATRE `

LA MUSIQUE

ET LES CONFERENCES

COURCELLES 15 h., 21 h. L'Amour en première page. EDOUARD-VU 14 h.. 16 30, 21 h. That Girl from Paris. ERMITAGE 14 h. a minuit Buffalo-Bill.

HELDER 14 à 2 h. du mat. L'Entreprenant M. Petroff. MARBEUF 14 à 21 h. 13 Un crime que personne n'a vu, L'amour à Waikiki.

~NORMANDIE P. la h. à 23 h. 44 Sur les toits de New. York.

MIR.-LORD-BYRON: 14,30-19 h. S., 21 h.: Le destin se joue la nuit.

MOZART Dodsworth.

NAPOLEON 14 h. à 19 h. S., 21 h. Sylvia Scarlett. NOTRE-CINE Little Women.

LE PARIS 14 ]). à 1 h. :W Visage!) d'Orient. PANTHEON 14 h. 15 à 10 h. 30. Soir., 21 h. 13 Le Mys. tère Patiersen.

PARAMOUNT P. df 9 h. 45 à U h. 40 Le Paria. RANELAGH It h. 30, 21 h. Le Cygne immortc). Marie Stuart.

PASSY Son premier succès.

SCALA 12 h. à 2 h. L'Homme nu, Boîte postale 309. STUDIO UNIVERSEL 12 h. à 2t h. Elephant Boy. STUDIO 28 15 h.. 17 h., 21 h. Monnaie de singe. VICTOR-HUGO 14 h. à 19 h. S., 20 I). 45 :San-Franeis<:o, Concert caraïbe.

Films parlants allemands.

AGRICULTEURS: 15 h., 21 h. Jeunes, Filles en uniforme, Libeteï.

Film parlant italien.

ST. ETOILE 14,30, 16,45, 21 h., s.-L fr. Escadron blanc. Salles d'actuatité.

PARIS-SOIR 10 h.-l h. Presse filmée, Tanz Musik,

Le Parta:9h.45. 11 h. 25, 13 h. 10, 14 h. 50, 16 h. 50, 18 h. 55. 20 h. 55, 23 h.. Oh. 40. Paramount. Week-end mouvementé: 2 h. 30, 17 h. 23, 21 h. 25. Avenue. Les sept perles de ta Couronne 14 h. 25. 16 h. 35, 18 h. 45, 21 h. 20, 23 h. 20. Marif;nan. Euskadi 13 h. 10, 15 h. 25, 17 hi 20, 19 h. 20, 24 h. 15, 23 heures 30. 0)ympia. La Belle de Montparnasse 13 h. 35, 15 h. 40, 17 Il. 45, Ht h. 45, 21h.50.24h. Olympia. La Grande Htusion 10 h., 12 h. 46, 14 h. 10, 16 h. 35, M h., 21h.20.24h Il Marivaux. L'amour à Waikitfi 2 h. 30, 17 h., 9 h. 30. Marbeuf. 17 h. 20, et 22 h. Marbeuf. LeCr!me<ïuepersonnen*asu:I6h.,I8h.,2.h. Marbeuf. Taxi dans )a nuit: 14 h. 30, 18 h. 30, 21 h. 30. Avenue. That Girl from Paris 14 h 35. 17 h. a, 21 h. 50. Edouard-VII. 3 jeunes fiUes à la pace 15 11, 17 24, 22 11. Mir.-Lord-Byron.

à Obbk pays désertique et si beau, où la nature n'a pas de saisons, où rien ne change. Les hommes primitifs sont comme le pays la civilisation ne les a pas atteints; ils font les mêmes gestes que firent leurs ancêtres; ils montrent une sérénité étonnante et possèdent un équilibre extraordinaire dû sans doute à un gouvernement qui est d'une stabilité absolue.

Comment l'idée vous est-elle venue de tourner dans un film ? Je n'ai pas tourné, je n'ai pas appris mon rôle, j'ai tout simplement revécu des scènes de ma vie. La masse de la, figuration indigène qui m'entourait vivait ces épisodes que nous connûmes en même temps. Kous avons eu de nombreuses difficultés pour réaliser ce film il fallait camper avec le climat aride, la présence~ dangereuse des requins dans la Mer Rouge. Il fallait aussi faire comprendre aux Dankalis ce qu'était le cinéma. Ils ne comprirent pas, niais ils se fièrent à moi et leur collaboration nous fut précieuse. Tout est réel dans Les Secrets de la Mer Rou,qe. Toute fantaisie en fut bannie. Ma vie sera fixée ainsi à l'écran; ceux qui ont lu mes œuvre comprendront, grâce au cinema,toute la beauté dupays et la source d'inspiration qu'elle m'apporta. A. d'H.

A. d'H.

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LA SEANCE INAUGURALE duX~CM~s

international d'actuaires Près de 1.200 congressistes, venus à Paris de tous les pays du monde, et qui représentent l'élite des personnalités dirigeantes des Sociétés d'assurances et de nombreux établissements publics ou privés ont inauguré hier matin cette XI" Session, sous la présidence de M. Ferdinand Dreyfus, représentant M. Lebas, ministre du travail.

Le Congrès a constitué ainsi son burcaTi présidents, MM. Louis Weber et Paul Razous secrétaires généraux MM. Henri Auterbc et André Burlot. Le président de la Fédération française des Sociétés d'assurances, M. Max Hermant, souhaite la bienvenue aux congressistes.

DéHnissant la mission dévolue aux actuaires, il a mis en lumière le sens profond des travaux auxquels ils s'adonnent.

« Plus leur science est parfaite, plus elle permet à l'assurance de réaliser son objet, qui, est d'atténuer les malheurs et, par une sorte de création e.r nihilo, de rendre une somme de services très supérieurs moralement à la somme des sacrifices consentis par chacun des assurés. Votre technique est donc de celles qui ne peuvent douter de leur propre vertu. & Les spéculations de l'esprit les plus hautes et les plus abstraites appellent les actuaires à de nouveaux devoirs et requièrent de leur science de nouveaux progrès.

» L'assurance ne connaît ni douanes ni frontières elle réunit, par la réassurance, toutes les nations dans un partage universel des risques. Vous représentez la science de l'assurance et demain, peut-être, la science des sciences. Vous êtes donc doublement chargés d'une responsabilité internationale. » M. Weber, président de l'Institut des actuaires français prit a son tour la parole, puis M. Ferdinand Dreyfus exprima les souhaits du gouvernement aux représentants des 27 nations réunis à la Sorbonne.

Cette séance, d'une haute tenue, a été suivie d'une visite au tombeau du Soldat inconnu où les congressistes étrangers'ont tenu à se rendre avec leurs collègues français.

LA VIE RELIGIEUSE Le centenaire

de la mission du Maduré Fondée par tes Pères

de la Compagnie de Jésus

aux Indes Orientales

A 21 h. 15, vendredi 18 juin, à la salle d'Iéna, 10, avenue d'Iéna, sous la présidence de M. le vice-amiral Lacaze, de l'Académie française, conférence de M. André BeIIëssort, de l'Académie française. A l'issue de la conférence, sur l'écran, les plus belles scènes de l'htde sacrée, le film du Père Lhande.

Le déficit de la balance

commerciale dépense

7 mt~tards et demi pour 1937 Pour le mois de mai 1937 les importations se sont élevées à 3 milliards 50 millions 852.000 francs contre un milliard 9()8 millions 910.000 francs pour le mois correspondant de 1936 les exportations ont été de un milliard 758 millions 528.000 francs contre un milliard 172 millions 239.000 francs, soit en plus pour les importations un milliard 292 millions 324.000 francs. ~p d~fMit-de-~a .balance. comMetciale ressort pour la période janvier-inat 1937 à milliards 537 mif)io.us 283.000 francs contre 4 milliards 69 millions 326.000 francs.

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AL'OCCAS!ON DE L'EXPOSITION LE CARDINAL VERDIER orga~se des céremomes dans les phs bdks églises de Paris

Le pavillon pontificat de l'Exposition -sera dès l'ouverture le théâtre de cérémonies grandioses attirant des foules considérables. Mais Son Em. le cardmal Verdier, qui est & juste titre très fier des magnifiques églises. de sa ville arcbi- épiscopale, ne veut pas que les étrangers et les provinciaux qui viendront a Paris à l'occasion de l'Exposition soient exposés à quitter notre capitale sans avoir visité, on du moins vu quelquesuns des chefs-d'oeuvre d'art sacre qu'elle contient.

Afin de les attirer, il a fait organiser des cérémonies religieuses dans un cer- tain nombre de nos plus beaux sanctuaires parisiens. Il a crée, en effet, un comité d'organisation que préside Mgr Sudour, vicaire général, et dont font partie Mgr Flans, Mgr Gaston, M. le chanoine Labour, M. le chanoine Couturier, M. le chanoine Favier, M. Lesage, M. Bernard Loth.

Dans le charmant jardin de la fondation de Mme de Chateaubriand pour les prêtres âgés et infirmes dont il es,t l'administrateur, Mgr Sudour a bien voulu me recevoir et me .donner quelques détails sur ce projet. « Nous voulons, me dit-il, faire con-! uaitre le visage religieux de Paris. Tous les dimanches, de juillet à octobre, dans quatre églises de la rive droite et de la rive gauche, auront lieu des messes pont tiflcales ou d'une autre manière solennelle avec un excellent programme musical et une courte prédication. L'administration des Beaux-Arts a bien voulu, notamment, nous autoriser à donner des messes de ce genre à la Sainte Chapelle six dimanches de suite. Elles seront radiodiffusées. D'autres auront comme cadre le Sacré-Cœur de Montmartre, Notre-Dame, Saint-Pierre de Chaillot, l'Eglise des étrangers, etc. » D'autre part, nous organisons des visites expliquées, d'une part des belles églises de Paris et* même de la banlieue connue l'égUsc abbatiale de Saint-Denis; d'autre part des chantiers du cardinal. Le passé et le présent. Elles auront lieu les unes et les autres chaque semaine. Le 15 août, des cérémonies particulièrement solennelles auront lieu à Notre-Dame et au Sacré-Cœur. D'ailleurs le programme de ces fêtes sera publié dès qu'il sera complètement arrêté. »

En terminant, Mgr Sudour tient à me dire quel accueil bienveillant il a rencontré dans tous les milieux, même officiels, pour l'organisation de ces cérémonies qui figureront au programme officiel des grandes fêtes de l'Exposition. Paul Lesourd.

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Les eftieiers de reserve des armées at)iees

vont se réunir à Paris Répondant à l'invitation de M. Désiré Ferry, ancien ministre et président de l'Union nationalo des officiers de réserve, et du colonel CarviIIe, vice-président, les officiers de réserve des anciennes armées aMiées vont se réunir à Paris.

Ces délégations comprenant au total plus de 300 membres seront reçues, samedi matin à 11 heures à l'Elysée par M. A&ert Lebrun. Elles seront présentées par leurs chefs dont voici les noms Belgique colonel Lentz; Etats-Unis commodore Sparks; Grande-Bretagne Lieutenant-colonel Gordon Sheriff; Italie général G. M. Franklin; Japon lieutenant Uyeno; Pologne capitaine Wronski Portugal colonel de Abreu Campos; Roumanie capitaine Constantinesco Tchécoslovaquie commandant Milos Lier Yougoslavie commandant Bogdanovitch.

Ces représentants des armées étrangères seront ensuite reçus également par M. Daladier, ministre de la défense nationale, puis prendront part à un déjeuner offert en leur honneur au Cercle militaire.

Le soir, ces délégations, toujours en tenue, et accompagnées de très nombreux officiers de réserve français, défileront à 17 h. 30 dans les Champs-Elysées, se rendant à l'Are de Triomphe, où la Flamme sera ranimée par le commandant Devèze, ancien ministre de la défense nationale de Belgique, grand-croix de la Légion d'honneur.

A l'heure où de si graves dangers planent sur l'horizon mondial, la manifestation d'union des représentants des armées qui versèrent leur sang pour le triomphe du droit et la sauvegarde de la civilisation prend une signification d'une importance particulière, de nature à afnrmer avec éclat les sympathies qui demeurent groupées autour de notre pays.

UNE MISSION DU GENERAL AZAN EN REPUBLIQUE ARGENTINE L'armée de la République aigenUne a demandé au gouvernement français l'envoi à Buenos-Ayres d'une personnaitté militaire qu'elle serait heureuse d'accueillir. La mission à remplir consiste à dégager de l'histoire de ta guerre mondiale les enseignements qui en résultent, à définir l'évolution actuelle des idées stratégiques et tactiques en Europe, et à exposer les doctrines françaises dans leurs grandes lignes.

Le général Azan qui, depuis son retour de Tunisie, assume la haute direction de la Revue militaire générale, et qui est par ailleurs vice-président du comité France-Amérique, a été désigné pour remplir cette mission temporatre.

Le Congrès de l'Union nationale des combattants s'est ouvert, hier, à FontaineMeau ->'

Le 18* Congres de l'Union nationale des combattants a commencé a Fontainebteau ses travaux qui se poursuivront jusqu'à dimanche matin.

La séance d'ouverture du Congrès a eu lieu à 10 heures 30, dans la salle des fêtes du théâtre municipal, sous la présidence de M. Langley, président de l'C. K. C., qui, entoure de MM. Humbert Isaac (Fédération du RIlône, président d'honneur Paul Galland (Seineet-Oise) et Alfred Charron (Vienne), vice-présidents, souhaita la bienvenue à tous ies délégués et leur exposa le programme des travaux qu'ils auront à mener a. bien, ainsi que les diverses manifestations du Congrès qui, dimanche, se terminera par une cérémonie à 'aquelle prendront part plus de 30.000 anciens combattants.

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LE FIGARO ECONOMIQUE ET FINANCIER 1

'VI"VE ~EF~ISJE 3DES I~EJSTTES

Fermeté des valeurs françaises. Nouveau repli des internationales. Stabilisation brusquée ? La nouveMe N. D. C. en Angleterre.

S Comme on t'a vu d'autre part, le fait principal de cette séance a été la vive reprise des rentes. A l'ouverture, les diverses séries gagnaient de un demi-point à un point. Elles ont accru leurs progrès en séance d'une façon très considérabte. Les gains, en clôture, sont de 2,30 à 3,60. Toutefois, le 4 1/2 1937 ne prend que 80 centimes.

@ ~-e uo~ume des transactions n'a pas été considérable 2.331.840 francs de rente 4 1/2 seulement ont élé traités. Ceci <end et prouuer que /u reprise des rentes s'est faite un peu dans le vide et qu'elle est principalement d'or~ne technique.

S L'hypothèse de l'adaptation par le gouvernement d'une open market policy et celle d'une t.fa6t7[S(~t'un busquée de la monnaie ne sont certainement pas étrangères à cette fermeté remarquable de nos fonds publics.

0 Puisse le gouvernement se rendre compte ainsi que la spéculation n'est pas toujours aussi néfaste qu'il le crc!</ 1 @ Dans « Paris-Midi », notre excellent confrère. M. J. Piersat envisage l'hypothèse d'une stabilisation brusquée du franc. Tout est possiMe, comme on dit, et même probable. Toutefois, on notera qu'au cours de la séance de la Chambre des députés du 15 juin 1937; M. Paul Reynaud déclara <: Je traduirai!), je crois, le sentiment uimnime en disant qu'en présence de ia livre sterling qui n'est pas stabilisée et qui est, ne l'oublions pas, ia monnaie mondiaie, "t en présence de l'incertitude des conditions économiques, ce serait un crime contre le

PRINCIPALES FLUCTUATtONS Ilausse

30/0 M 40– 280 40/01918. 6425+ S la 5 0/0 1920 9350+ 230 40/01925. 8840+ 2SO 4 1~2 1932B. 6880+ 360 OM.Tr.41/21933 762 +25 OM.Tr.4 1/21932. 678 +25 Emprunt Young 390 +lj' BanquedeFrance. 5995 +195 Comptoir d'Escompte 6t. 23 Crédit Foncter. 21i)0 -1H Générale d'Electricitc 1165 -i- 65 Tréfileries 750 +35 Peohiney 1589 +59 Air Liquide. 865 +34 Citroën B. 480 +44 Baisse

Suez. 24500 –t25 Suez.societecivile. 5950 -190 CehtraiMining 2435 70 Royal Dutch 5096 –104 Rand Mines. 77-' a 22 De Beersord. 1940 77 .PRINCIPALES TRANSACTIONS En francs de rente

S 0/0. 520.401 4t/20/OM2.33].)0

4 0/0 17.171.090 4 1937. 645.300 40/01S. 305.940 Ob.3~36A.4.3S6.900 50/t)Z6.22:715 Ob.4%36B-1.191.600

40/025.1Si).!)10

en tttrM j

Bons Trésor Saint-Gobain.. MH 41/2 0/0 34 2.t!8AirUauMe.. 1.486 B. de France 13G Citroën act.B. 2B3 3 B. de Paris.. 2.991 N. 4S5 'U. Parisienne 2.0(i6 tndo Hévéas.. l..)b8 C-Lyonnais. 4:!7 Peugeot. 467, Suez cap. 252 Say "M Distrib. Elect 1.113 Terres R 1.979 Forges N.-Est 1.20:. Yonnf; 5~X 30 1.570 Trefiieries 255 Caaadian Paf;. 7.708 Courrieres. 947 Wagons-Lits.. 4.596 Len!t. 1.625 CentratMining 511 Martes 279 Geduld M. 1.556 Nickel 8M Rio 2.197 Penarroya' 1.587 Azote. 736 Fse Pétroles. 651 Royal Dutch.. 2.797 Kali Ste Thér. 1~)40 Amsterd. Rub. 391 Kuhlmann ..r., 1-701 Cr. Naj. 1919 1.772 Péehiney 870 Cr. Nat. 1920 1.977 R. Poulenc 453'Cr. Nat. 1923 2.135

!!BOURSE OU 1 7 <-JLJ!N 1~37

VALEURS ~j il VALEURS VALEURS p& VALEURS

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pays d'y procéder, dans les circonstances ae- tuelles, pour avoir le profit du fonds d'pga- j lisalion des changes et d'une nouvelle réc- valuation du stock d'or. i)

A quoi M. Vincent Auriol, ministre des finances, répliqua

« Nous sommes d'accord. » Les valeurs jfrancat'ses !'enë/toe- ron< de la meilleure aMure de nos fonds nationaux. Elles regagnent ainsi une partie de leurs perfes (!e la veille Internationales encore lourdes, Le l' Suez notamment cède une/rac~'on<m- l portante. @ ~.a Banque Néerlandaise, autortsee par le 7)t!'n!)!<re des finances de ~o/an- de, a 'déclaré qu'elle est déposée <t ne- corder dans cer~mn~ cas la dispense de i")'nf<;rdte<;on d'exportation d'or d''cre- tée dans la loi du 30 septembre 1936 Les demandes de dispenses dûtCenf être présentées à la Banque Néerlandaise. (B La t'a/ance du commerce e.~eri'eur du Reich accuse, pour le mois de mai, un excédent d'<fpor<af<ons de 8 millions ef demi de marks. Les importatt'ons se sont élevées a 447.300.000 mal,ks, en diminution de 2H.400.000 marks par rapport au mois d'a~r~ef~es e.rporrations à 455.600.000 marks en d!'m!nu~'on de 36 nu/h'ons de mar/cs par rapport au mois précédent.

Sir John Simon, chancelier de lEchiquier, propose de remptacer le projet de « National Defence Contribu- tion a de M. Neville Chamberlain par une taxe additionnelle à l'impôt sur le

LONDRES clôture alourdie

\nM ~6t. Cern. )(. ML [)ern.

VALEURS 1 Clôt 1 Dern. 1\ VALEURS 1 C!ôt\' Deril.

FLEURS p~~ VALEURS précéd. cours

C<)M.2K.4ts/tt,~4t5/i6CMwn-Mte~ m«!m/4

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Port!t6.3%M3/4 6i3,4An~o-Iract~ t~S/. itM!(:(t9M) 0112 01/1 Butt. M;- <t/3 Eapag, ext. 40. 40. Rtbh.Trtst 30,. SO/. t'urc7}i, !t/l 21/.imMcea. 37;6 37'6 Hydro-EiM t9,S tl/a~m)]! 4S/S 4S/9 !Bt.He)dinE ~/M S~ umrtettdt. ~t;7it M;9 tm)).To)!ac.tM/!H t5:/6eritt.uciM ~;e Steel f.ot'p. S6 3;t Si 3/ Imp.uilemic -6 ?)'' M De6Mfs.t9t/.tti t?5/6 UM~Ttr.. 40/. 39;9 Ja6er<!Mt. i6/: 19/MAtcMMn. St. Ml/2

D. ~ee(s. 1S 6/g 17 9(t6 Atchieoa. 81 .LI 80112

Bra)[}M. 46/s 45/.[.Md.Pae. Mt/4 t!7/9 (.ettt.mmis M%4 2:1/4 UMontaei.tM. 194:~

BRUXELLES en recul

TED-E ML ~fnMBT~T Mt. C6m.

TEME preceff. cours preeM. cours

T~Mte. it4M )'S.. R.B.33.9!M..9:M..

Barc. Trac- 222 18\ SOl 185 R,lI. S% 2' 1855 9,215..

Stdm. 290 MtM BMt.BrM. 660.. S55..

BMo.Trae' 2!!SO M! 50 BMq.N.Bet. IBM.. iSM..

BratilTMo. t4tM 742 50 baisse R.D. 2SSO.. !5M.. EtMM-Ayr tM.. t<i<rAMera.~SOO.. MO.. HeUepoUt. ::& tMO..Sa=.6.t!et.!46M.4S9t).. Nitr. Railw ~M.. MaMEtc<:tr(!]:ti.~20t0..20es.. Bimq.dePtr t~OO.. i3M.. E.Rttt(cp.),i205.. 1MS.. BMt.SeiM 9M.. M5.. –(fon.).!410..34M.. a.GMBord MS.. 4:0.. SottM. M.. 9:50 N<:tMteUt.UM..itM.. Hydro6M.Mt50

Ttn~"y'~ *0* "'S ~°~ ~65 M40

Tangulika 1 lOt. aD 1~ J. ~oékeriRl :106S 204°,"

at-Kat(pr.) 40M 4tt5 Ons''ce-Mtri )9M 1925 –(et.) MM. MM..A<tn.Xim! 2M. –(dt<.)4M0..40tO..VteiUe-M!)n~2~0..M!5.. Coxcmdit.. iM-. M4..MMras<t(mo.]4<io.. PctreeM.. M3'M M2 60 BMdttan.f 33i0 3<!5

revenu des Sociétés. Cette taxe est étahHe pour une durée de 5 années et devra produire 25 millions de livres pM ~n.

S Les entreprises, constituées en so:t'e<f, paieront ainsi, en sus des 25 O/C ~'Utcottte-fft~ !tf!e contribution extraoriinaire de 5 Ce ~aH.T sera de 4 pot;r les entreprises pr;['ees.

Se:'f)tt e.MntpteËS les entreprises ~atsant moins de 2.000 livres de bénéfice, ~onr les &Kne~7<;es xttperfeurs M ce~ "ht'res, mais j)'a~etg!)cfttt pas 12.00( livres, il aura un (thu~eotenf t''gu< fft cinquième de la ntarf/c); les service: ~u~/tcs à tarifs et dï~Metidt's /!nttfes les entreprises qui s'installeront dnf!! les régions en détresse, sur avis des nu. forces compétentes.

Les revenus d:: portefeuille tie sfrc;)~ pas frappés, sauf pour les ft)<rcpj':<'e) dont ils sont la ressource esse;tffe<!< (&t)t)<j~u<'s, assurances, holdings). Pourront être déduis les ajnorhsse ments, les intérêts des dettes ef autre, annuités à la charge des entreprises. tS Ce nouveau projet de N.D.C. a et' favorablement accueilli par la Cité Toutefois, le marché de Londres, fer me à l'ouverture, faiblit en clôture. @ New-York est ferme. Après un dé but lourd, le marché reprend vivemen sur la nouvelle qu'un comité de média tion avait été nommé pour interveni dans les grèves des aciéries. La clôtu re s'effectue avec des gains de 1 à points sur la veille. Total des transac tions 1.260.0M. Les marchandise, sont bien disposées.

NEW-YORK en reprise

.D<,t~6t. Dero. uon~c

VtLEUHS~~ FLEURS ppecef). cours

1 VALEURS précM. VALEURS précéd, cours

AirRed.M M. Mi/!fohnsMMt~tHt;lM./ ,1

AUiedCtemM6.t2i9.JCMMMtt.~B!3;4 M~

Amer.CMj9tt.< et.lmt~ome.~M~/t M./

Amersmet. MM St.tfat.DairyP~tS/t !:6/

Am.'r.etT.t6!ii/2:647/8~t.])tstitJM9/<; M'/

~m.T.etT.l.ls9f/2 :85y8~Yat.Distil.l 29 3141 29 1/

4B.Tob!cB. 7S.3/< m/:f.-Y.Ce!ttr.!Nt/~ «!t/

Am.TobaeJl'1 7$ 3;4 751¡3¡y.-y,c.ntr,! 213,'4 229j

AMc~da.. 496;s Em;9')ortttAmH!MS,'< M!/ Si

AtcMmn.. Mt,! S2t/'i?eMy].TM. Mt/t M9/

CaMd.P.ic. t!5/9 l:S,SPaMi6Serr S7. M./

CMe. 16S. Radio. S. 8./ .l

Cer.d.PMM M?/! Mt/Otteynetd! 'i9t<: M~

ter.d.Pasco n 7/8 63 1/ 49 tl: 49 'Ii

f.tM.a.CMo St6,S Mt/t3e.trtReet. Ml/;t Mi/ Il Com.sehM t!4 t3t/siM). M. ~a/ 3/ Consol.Edis Mt/B Mt/tM.BrMdt. )! )!

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CAOUTCMU:New-York..JtiUct M~ 19 89 septembre M3S !95C 60 CCtVB!(StM.)h)ndre9. Coaptm. "'y° ~°: 8. t!cw-Yor)t..J"tHot MM 1!M 1~ Septembre ~M Mt! 15 ETAtN.LotdrM.t.ompt!nt ~'M~ PMMBttrane. ';cmpH<tt. 3t~H/~S:); 1

ZtNC. Comptsnt :dt/0t3;

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AMEXT(tM.) C<mptft!tt ms,t6~)9i9/!

G~nN. Lomptact 140/5~ i t40<6'

t/OR DE LA FRANCE La richesse d'un peuple ne se mesure pas à l'encaisse-or de sa Banque centrale. La base réelle de son crédit, c'est la quantité et la qualité de sa production, c'est l'importance de son epin'gtic. Mais les variations de son stock d'or fournissent toujours des indications utiles sur l'état de sa santé et, si elles sont à sens unique, il peut arriver que la masse métallique de manœuvre tombe au-dessous des limites admissibles de sécurité. Tels sont, par disgrâce, les faits à considérer présentement.

L'encaisse-or de la Banque de France fond avec une rapidité que son accélération relative rend particulièrement préoccupante. Elle s'est élevée jusqu 83 milliards en décembre 1932. Elle était encore supérieure à 80 milliards au début de 1935. Mais, pendant les deux années suivantes, plus de 40 milliards d'or ont été perdus.

H est surtout remarquable et fâcheux qu'une dévaluation de 33 n'ait pas mis fin à ces pertes. L'opération avait été présentée comme devant faire barrage. Le gouvernement avait expliqué qu'après avoir pris l'avis des plus hautes autorités responsables de la Défense nationale, il jugeait dangereux que l'encaisse descendit au-dessous de 50 milliards. Que la justification de ce chiffre soit entièrement ignorée, c'est ce qui est sans importance, puisque nul ne songe à le discuter. Seulement, on doit noter, non sans une pénible déception, que l'encaisse actuelle de la Banque, comptée en francs Poincaré, ne dépasse plus 43 milliards.

Trois observations viennent aussitôt à l'esprit.

D'abord, en comparaison du minimum de 50 milliards indiqué plus haut, la différence est, en valeur absolue, de 7 milliards et, en proportion, de 14 Il est difficile de la tenir pour négligeable.

Secondement, il n'est pas certain que l'encaisse actuelle soit libre en totalité. Le Fonds de Stabilisation n'a-t-il pas vendu du change à découvert ? On ne veut même pas l'examiner. Ce qu'on sait, c'est qu'un prêt de 40 millions sterling est à rembourser à Londres avant la fin de ['année. La provision correspondante, de 3 milliards (en francs Poincaré), a-t-elle pu être constituée i et réservée ? Le doute est permis. Enfin, les « pleins pouvoirs seIon l'inspiration rageuse qui paraît devoir guider leur emploi, n'exerceront nullement sur l'encaisse l'action tonifiante qui serait urgente.

C'est pourquoi le sort du stock d'or national, à moins d'un changement radical de politique générale, n'est pas sans suggérer de sérieuses appréhensions. Au terme d'expériences revues, embellies et augmentées, on retrouvera, désagréablement, un problème oublié depuis quelque cent trente-sept ans celui d'une encaisse qui serait devenue insuffisante. Car il ne faudrait pas oublier qu'elle n'a pas été toujours surabondante. En 1800, elle ne dépassait pas 8 millions de francs-or. En 1840, elle n'était ent corc que de 246 millions. Pour la porter au delà de 4 milliards-or (20 milliards de francs Poincaré), il ~fallut attendre 1909.

s Les rnort&,d'nn,$iècle e.nti.eC.seront-ils compromis ? Voilà une des questions que l'on ne petit pas ne pas poser. F.-F. Legueu. LES CHANGES

La détente persiste

Bien que les cours demeurent inchaugés ou & peu près au comptant. la livre valant 110,90 et le dollar 22,465 contre 22,47, la détente se confirme sur le marché des changes.

A terme, le report a trois mois sur la livre revient à quatre points 'il tombe il 1,50 il un mois. Dollar trois mots, 0,85 un mois, 0,30.

La Chambre de commerce de Paris et les quarante heures Au cours de son assemblée générale du 9 juin 1937. la chambre de commerce de Paris a émis le vœu:

Que l'application de la loi du 21 juin 1M6 instituant la semaine de <yuatH~e Iteures soit faite auec ~tux de softplesse, en raison des conséquences désasfre'Mex ~ft'une «pph'Mtt'on trop jtgMe ne manquerait pas d'avoir sur /'('cpno)nt'cpenera~e;

Pt!'H7)e période de répartition des /'eures de travail tenant compte des nécessités des diverses branches de /'f<chu<<e<'co~omt<)M<'f!0~f«;~s<'fttecutaf!e- Htau'e. période trop ~ff pour permet<re )tn <MWU</e7n<( ra<<07Ut<;< du traun't.'

et invite le gouvernement

.t7)tu!~pi''ers''se//frtsfnMM<'do&<e;t)r la p<'n<!rN<<i.H''<o;t de la reduc~on de la durée du travail dans <"HS les j/rands~o~Mp"

Banque rronaat~anttqHe

Sous la présidence de M. Georges Desprêt, il a été procédé hier matin à l'inauguration du Pavillon de la Banque li l'Exposition internationale de 1937. Le pavillon est ainsi un des premiers p~-

viUons français termines.

A l'intérieur de cet élégant baumcnt, décoré avec le meilleur goût, on peut admirer notamment une carte d Afrique peinte sur glaces, provenant des ateliers des « Glaceries de Boussoie

SttHatton

de la Banque tte France

au JTO juin ~M7

AC'i'U-'

Encaisse-or S7.3-)!) Monnates d'argent. 507 Comptes postaux. M~ 'r

Dtapooib. vue t MtfMger H -r

Avanceitaurtingots. l.OM + Effets escomptés. (!.872–~M Effets agrtc. 165 Effets réescomptes des ban-

ques populaires t.is2 ) Effets négociaMes~Mnce.. :i84-h Effets négoe. étranger. 1.02;! Avances sur titres. :91~–

fi, VIlI1Ce. la :10 jours [,29 12(

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Divers 'J.')36

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Billets en circulation !i(i.4:0 52( CotCptel'rësorpubtie. t~. M; Compte Caisse autonume. ~.207 -}- t~ ''omptes courants et dépôts 14.1S9 51] Divers. 1.9S1 M( Montant des eufiaKcments & Tue 't03.ÛS!i Katio:556-tO/Oc.55!;C.

COURS DE LA VILLETTE Gros bétail 2.187 [unenes et 1.150 uu! reserves; renym 100. (Au kilo de viutKh

nette)

B<*Mf<! extra, 11 20; première quaUtë 10 20 deuxième, !) troisième 7 MO. Vtaax 1.590 amenés et 732 aux reserves (Au Mio de viande nette):

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Moutons r'.119 amené!! et ~.765 aux rë iierves. (Au kilo de viande nette) Extra. 17; prem:Gre qualité, la M; deu xiemc, 11 (!0; troisième, 9 30.

EnmiUions

de francs

LL ti `l %~lI `~~

CI IInc Ai Il 11\ C

Ce soi Mme Devoyod fera ses adieux

la Comédie-Française~ Mme Suzanne Uevoyodparaitra ce soit'~ our la dernière fois sur la scène de )a Comédie-Française. Elle sera pour la dernière fois la duchesse de Revillc, n rôle qu'elle a marqué de sa person- alité dans Le Monde où !'on ~'ennH'e. Il est curieux de rappeler que ~.e fonde ou l'on s'ennuie où elle parait ,our la dernière fois est aussi la pièce ù elle a fait ses débuts de comédienne, nais avant même de faire du théâtre ['une façon régulière.

Elle est d'une famille d'artistes, sa nère jouait la tragédie à la Comédiefrançaise et Suzanne Devoyod, tout enant, fréquentait la Maison de Molière t prenait ainsi le goût du théâtre. Ses parents lui faisaient jouer la co- médie chez des amis et c'est ainsi que! .oute petite fille elle joua Le .Monde ot'fi !'o;t s'ennHt'e, la dernière pièce où on l'applaudira au Théâtre Français. Elle a fait ses débuts chez Molière le 24 septembre 1907, dans .Votre Jeunesse; 'Ile interprétait le rôle d'Hélène Briant; nais depuis qu'elle était sortie du) conservatoire, classe de Got, en 1873, :I!e avait déjà brillamment cumulé sa :arrière a l'Ôdéon, à t'Œuvre, a l'Amjigu. Il ne faut pas oublier que Henry 3ecque l'avait désignée pour créer La °<;rfs:'e7<ne et que Antoine l'engagea lorslu'il prit la direction du théâtre du joulevard de Strasbourg, où elle créa E.a Nouvelle Idole.

Il y a trente ans que Mme Sucanne Devoyod fait partie de la troupe le Molière. On ne saurait mesurer les services qu'elle a rendus à la Maison. Les acclamations qui l'accueilleront :e soir lui apporteront la preuve de l'admiration et de l'affection des fidèles je la Maison qu'elle quitte aujourd'hui et qui, tous, seront là pour cette dernière représentation. ~1. W.

-99>

DATES RETENUES

Samedi 19 juin

Qpera-Comique, en soirée Le Bourgeois de Falaise (première).

Lundi.21juin

Opéra, en soirée ~.t~antfre te Grand (première).

Mardi 22 juin

Comédie-Française, en matinée Le Simoutt (répétition générale, première eu soirée).

Mercredi 23 juin

Opéra, en soirée La Samnrt'iftUtC (première).

Dimanche 27 juin

Th. des Champs-Elysées, en soirée Concert su i s se. i

~M~M~

~yu.~ SOtKEES. Ce soir

~M\ rcndi'edi: Le Monde où

h?/<rur<Y" 'tnnuie; samedi: L'E-

t~looU)~) e.te des Maris, Le ChanV~y deUer; dimanche: L'Im-

GnL8 promptu de Ve:sailles, Ba.

promptn de Vcrs&iUes, B)t-

jazet; lundi L'Ecole des Maris, Le Jeu dei'Amourt!tduHa!iaTd;m:)rdi,pr~micre: Le Simoun; mercredi et jeudi Le Simoun.

MATINEES. Dimanche A quoi rêvent les jeune!) filles. Le Légataire uniTerse); mercredi: Gala comtesse de Noailles; jeudi A quoi rêvent les jeunes filles, Le Légataire universel.

~r~tt~~ft~tt~~f~«

MONTPARNASSE. GASTON BAH FAUST CONFERENCES

Grandes Conférences des Ambassadeurs. aujourd'hui, a 17 h. 30 '< va l'Europe sans J'esprit judéo-chrétien ? &, conférence par le Révérend Père Dieux, de rOratotre.

~M'

Vendredi 25 juin. &J7 h. 30

LORD LLOYD

ancien haut tommiteaire en Egypte, [ parlera en français

«'Pas de compromis dans l'amitié ~r<tnco-&r<tannt<)rue s GRANDES CONFERENCES DES AMBASSADEURS

gj))j ï,Av. CHb~et. L<M-.At~. M-ao )))))))

III PROGRAMME DES THËATRE S I,I

ENSO'Me

OPERA (Opfi'a 59-5~), il 20 h. (Edioe (Af. Pernet; Mines Yott'er. Montfort, Courtin: MM. Etcheverry, cle Trévi, Garçon, Charles-Pau], Oaverie, Chastenet, etc.). Orc)). M. Ph. Gaubett.

Demain Ht ninnuation de Faust <. Le Lac des Cycnes ». COMED!E-FRANÇAt8E (Rich. 23-70). à St h. Le Monde où l'on «'Ennuie (MM. Bertin, Dux, M~rttnoUi, Boriva), Mrnes Suzanne Devoyod, BMttricc Brctt), H<i<u')ette Bartfau, Jaut: Faber, etc.).

DMnaiu « L'Ecole des Maris Le CImuddiet' OPERA-COMtQUE (Htch. 72-00), t-el&che. D'-muio Le Bourgeois de Fnhdse « Le Jongleur de Notre-Dame OPEON (Uauton 58-~), il Xt h. La Dame aux Camélias (Mtoe Suxy PHn); MM. C.!ah-va), Wa<.tcy, Setgncr, Ra}tuftnd-Gtnu'd; Mmeti Blanche DM' Reynat, MM'tntur, ute.) D&njah~ matinée K ~n Tour tLo K<titt~ ~~SMr~u J~a Datnc aux Camélias

ATHENEE (Opéra 83-33), 21 h.: Electre, du M. Jean Giraudoux. (MM. Jouvet. Renoir, tiouquet. Adam: Hmes Deviller. Dorziat, Madeleine Ozcray)

GA!TE-LYR!QUE. il Ht h. Le Pays du Sotn-ire (M~). José Janson, Allaln Nturta), K, AUard; Mmcs Il. Ardcnll. Cehrun-Norhem, C. Navarre, etc.).

CyMNASE (Prov. !C-t5). ïl h.: Lo Voyage, do M. Henry Bernstetn. (Valentino Tessier. Oauda Dauphin. Jeao Watt. Luey Ltigcr. 1'aHy).

MADELEINE (Anjou 07-09), a 22 h. 15 Gala Sucua Guitry, au l)<;nëf)ec de i'Unton des Arts Crtenft-te sur )M toits! (revue).

MtCHEL (Anjou 35-02), retache.

MONTPARNASSE (Gaston Haty) (Uautou !i9-8U), & ~1 h. Faust (Marf{uertte Jamois, L. Nat, G. Vitray. DeauHeu. Su.iiHnne Uemat:' et J DuniMntt).

PORTE-SAINT-MARTIN (Nord S7-5H) Cioture annuelle, tëouverture en juillet.

BOUFFES-PARISIENS, à M h. 45 Trois vtthM (Yvonne PrintempfL

CAPUCINES, a X! h. La Nuit da

CHATELET A 2) h Vsna (tiaeh. Roger )!ourd!n). COMEDIE DES CHAMPS-ELYSEES, relâche.

DAUNOU (7, r, Daunou), 21 h. PomptenteMMe J. j'tMttJM). DEUX-MASQUES. :< 21 Il. 15 Le Dard,

ETMLE. à ït heures Nationale 6.

GRAND-GUIGNOL. f) ~t )). Epouvante et rire.

Mme SUZANNE DEVOYOD

qui jouera ce soir pour la dernière fois « Le Monde où l'on s'ennuie ~~OUPS CE!' ;tPRLS-.KJD7

.tt: Comerwftot're. ri 1~! 30 C«;t-

cours f~e violon (femmes).

A /t. B. C., it 15 heH)'c.<, cremfere rcnrc.'entan'on (le La Revue du Rire, de .M.M..Sa')ti-Grant'er el Ptfn'e Varenne, A l'Opéra, la première représentation d'.UMffntfre le Grand. de MM. Serge Lifar et Ph. Gaubert, reste bien fixée à lundi soir et celle de La Sdjnaj'î~ute. de M. Max d'Oiionne, au mercredi 23 juin. La critique sera convoquée à chacune de ces reprësentatious. Il n'est pas prévu de répétition générale publique pour La Sama;'H(!ne, la critique étant retenue lundi après-midi à la Comédie-Française et tes princtpaux inter-

tes de l'œuvre de M. llax à'911one, dont

prètes de l'œuvre de M. Max d'Oilone, dont

les rôles sont assez lourds, ne pouvant les chanter deux jours de suite.

Mme Germaine Lubin chantera samedi soir, à l'Académie nationale de musique, La Damnation de Faust, avec le ténor Georges Jouatte (Faust) et MM. Cabanel et Pactat, sous la direction de M. Paul Paray. Et] lin de spectacie. M. Serge Lifar dansera Le Luc UM Ci/tnc; avec MUe Lorcfa. Au pupitre, M. J.~E. Szyfer.

A ta SaDe Favart, la première représentation du Bourgeois de Falaise sera donnée demain soir en fin de spectacle. On commencera à 20 heures précises et non à 20 h. 15. comme il avait été annoncé précédemment. par Le J~n~'Hr <Ye Notre-Dame de Mussenft, avec M. Charles Friant, entouré de M. Huenot, qui chantera pour It première fois le moine Boniiace'. et de MM. C~rjton Gau:d, Rousseau, Tubiana, Morturier et Couret. Au pupitre, se succéderont MM. Eugène Bigot et Roger Désormiere.

Le Saio)) de! Artistes français et de la Nationale des Beaux-Arts donneront, au Patats des Expositions (Esplanade des Invalides), demalu samedi~ à 15 h. HO, unf séance musicate cousacree à la musique ô Yeni~e (xviH~ siècle).

Mme Marceilc Ragon, de )'Opera-Comiqne, fera une causerie et chantera des airs vë. nitiens de i*epoqut:.

Elle sera accompagnée au piano par Mm; Hélène Chatot, prix d'excellence du Conaer vatoire.

Cet après-midi, a 17 heures, au Pa viiiun Daupiline. le commissariat gênera de l'Exposition et la Société Universelle dt Théâtre recevront M. Paul Rcmnert et i: troupe du Théâtre Royal de Copenhague en présence de M. Oidenbur, ministre d< Danemark, et de M. Wamberft. commissair< gënëraie de ln section danoise.

Demain satiielil, (iitnancite et lund prochains. La /!e!'t;e f/x Cotton Club d. Aett~ or7; sera (ionnec au Palais des Sports ce qui n'empêchera pas l'étonnante iroup' noire, présentée par M. Edmond Sayag, d paraitre chaque soir vers onze heures e demie, comme d'habitude, au Bal du Mou lin-Ilouge.

Le service de presse pour La Hftt;< f<)t Rire ne sera reçu que lundi soir l'A. B. C.

f~<<~<<~<<<<'t~~< f~M~~)

CETTE NUIT..

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1 &Vf( t[(af6M O~timM HONGROIS NEACO «~f~~«~<f<~«f«~K~<~<

HUMOUR.21h.:L'!t)fteu)!ère.

MATHURINS, à 20 h. 30 Roméo et Juliette.

NOUVEAUTES. à 20 )) <5 V'la l'travail.

ŒUVRE, a 21 h. Un Homme comme les autres, PALAIS-ROYAL. à 21 h.: Madame est avec mai! QUENTtN-BAUCHART (Eiysccii M~it!). ~1 h. Ma fuite Amie. RENAISSANCE, à 20 h. La Mère,

TH. DES CHAMPS-ELYSEES, à 21 h. Le Vic-Weiti. Ballet. TH. CH. DE ROCHHFORT. 21 h. L'Etrange Croisière. THEATRE DE PARIS, h 21 h. Le Fessée.

V!EUX.COLQMB!ER, ~1 h. Elisabeth la femme ~an~ homme. M~sic-HaHs Chansonniers

A. B. C. La Revue du Rtfc. Marto Unb!M, 1'. Uud<ut. ALCAZAR, 21 h Beauté de Femme (revue HoureUt;). CASINO DE PAtt!S, 21 h. Paris en joie (Maurice ChcvaUer). DEUX-ANES, a 21 )). Anerie:) t937. nouve))~ t'evue. THEATRE DE D:X-HEURE6. à 22 h. Martin), Jean nieux. et la revue Les Huîtres de la Couronne.

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).MC))mfs~ËMsem!!)ire VIOLON (Hommes). Excellent concours. Il a mis en relief la valeurd'un sujet tout à fait hors ligne, M. Szeryng, et a révélé quelques natures extrêmement intéressantes.

Le morceau de concours était le C;n<7H!éme Concerto de Vieuxtemps. La lecture à vue consistait dans une page charmante très espagnole de sentiment et de rythme de M. Marcel SamuelRousseau. Déehift'rage en général bien lu.

Le jury était composé de MM. Henri Habaud, président, Betti, de Ribeaupierre, Marcel Samuel-Housseau J. Thibaud. Hewitt, Quesnot, Marcel Reynal, M. Casadesus, J. Chantavoine, secrétaire. Vingt-cinq appelés, onze élus. Cette modération dans l'attribution des prix et accessits et dont on ne peut que louer le jury, accroit, en raison même de la qualité des concurrents, la valeur réelle de chacune des récompenses. Etendue à tous les concours, une telle mesure augmentera le prestige et l'éclat des épreuves.

Premiers prix .-M. Szeryng dont nous avons signalé les remarquables qualités de virtuose M. Neaman, qui, à quatorze ans. montre de l'autorité, de la vigueur, un joli son, et les mérites d'un bon lecteur M. Dufond, un moins de seize ans, chez qui on a remarqué beaucoup d'aisance, un jeu facile et coloré.

DetMt'eme prix M. Schwalbe. dont c'était le premier concours et qui est assurément promis à la suprême récompense ainsi qu'en témoignent son excellente technique et sa très belle sonorité.

Premiers accessits M. Audibert, un enfant de onze ans qui n'avait pas encore paru devant le jury et qni tire un son extraordinaire de son petit violon et y révèle une étonnante sûreté ili. Detaille, un débutant de quatorze ans, très intéressant M. Bronschwak, M. Cvroutnik, un autre débutant, âgé également de quatorze ans.

Deuxièmes accessf'ts MM. Christiansen, Visoni et Stavrianos.

Les Concours d'aujourd'hui riolon (Femmes). Morceau de concours Premier moHfeniMti du Cinquième Concerto de Vieuxtemps.

Concurrentes Miles Chaiiet, Sorbets, Martinet, Gaudu. Patacq, Re~il. Blum (Lise), Galichon, Ibos, Jeanne, Petit (Nicole), Mure, Huvghues de Beaufond, Jousset, Dubern, Gvtr-man, Christ, Meeus, Kntebjian, Artopouios, Deianoue, Attounian, Charmasson, Vincf-nt (Jacqueline), Demonceau (Ghislaine).

La vente Signoret

Lundi prochain, à i'hôtel Drouot, seront dispersés les meubles et objets ayant appartenu au regretté Signoret. Ce n'est pas sans émotion que l'on apprendra dans le monde du spectacle cette vente aux enchères. Souhaitons que les admirateurs et les amis fidèles du grand comédien disparu viennent nombreux ce jour-là. Ils auront ainsi l'occasion de rendre un suprême et affectueux hommage à la mémoire de l'artiste défunt.

41,91

LA MUSIQUE

Au cours du concert a Saint-Leu <)'' dimanche prochain, Wanda Landowska jouera quelques-unes des plus belles pieces de nos maitres français des xvn" et xv!il~ siècles, entre autres, ia Suite en ia mineur de Hameau, qui contient la célèbre Sarabande transcrite par Hameau dans son opéra Zoroastre. Les Bacchanales de Couperin couronnent ce programme.

prieda Dierolf, l'excellent contralto, donnera le mardi 2~ juin, il la salle Chopin, un unique récitai dont le programme comportera des œuvres de Bach, Schubert, Schumann et Hugo Woiit.

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Ce loir, Salle Chopin Récitai de violon SAMUEL ZARATE.

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Ce <oir. h 9 h-, Salle Gaveau (KicMen) BEVERIDGE WEBSTER.

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ABBAYE DE ROYAUMONT Le 2" concert de la saison, favoriee par te beau temps, a connu un succès égal au pr&cèdent. Le maître J. BONNET, à l'orgue. et les chceUM. dirigé. par F. RAUGEL. exécutèrent un programme bien approprié au monasttfe cistercien. Le 3" concert aura lieu dimanche prochain 20 juin. à 16 h. M. avec tt concoure de t'Orchestre Philharmonique de Paris, et de chmura sou) la direction de Ch. MUNCH (œuvrea de Bach, Kameau. Ft. Schmitt, D. Mtihaud, etc.) Piaces 50 et )g (,. Cars i6 fr. A. et R. Départ à 1: h., t64, av. Matahoff. Location UURAND. édit., et 70, av. Kteber.

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AU BOIS DE BOULOGNE 1 Pluie d'Or

s

Le Sweepstake National avait gratifié d'une véritable pluie d'or ce charmant jeudi du Bois. Grâce à lui, les Prix de La .Moskowa.duCédreetMackensie-Grieves étaient de.'<0.000 francs chacun, ce qui n'a pt: que paraitre fort agréabie à la princesse de Faucigny-Lueinge, X), Harry La Montagne et M. Hobert Cruet, propriétaires respectifs d'Archduke, de Vent du Nord et de Parsifal.

Pour nous, nous nous son~~es enrichis des enseignements suivants le trois ans Ai '~duke a du fond et a joliment fini ses 4. 0 mètres, mais sa contemporaine Bha~ va eût été très dangereuse si son jeune t'a~ !ie)' n'avait perdu ses ~triers au cours de a lutte. Vent du J<ord est un poulain., jnii~iment plaisant, que l'excellent entraîneur WiHy Head a grandement amélioré et sur lequel, après un ou deux petits malheurs de parcours, Duforez est venu coiffer Jeu d'Enfer avec maestria. Enfin, en gagnant le ~handicap de :t.7(tU mètres où il était le gros poids des trois ans. Parsifal a prouvé d'évidents progrès, dont il y a lieu de féliciter F. Hoït, qui le soigne non seulement avec amour, mais aussi avec compétence. J. T'rnWeu.t;.

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(6" Prix du Sweepstake National 1937. 50.0CO francs, 2.150 mètres)

1. Vent du .Nord 56 (G. Duforez).. G. 20 50 (aM.JLLa Montagne).P. 8 » 2. Jeu d'enfer 56 (P. ViUecourt)..?. 12 50 S.FItz 56 (G. Bridgtand).?. 8 n Non placés ~!ando)ine 54: Santeuil 56, Finette 54~. Aviator 56, Sanaon 56. (Encolure, 2 long., 1 long. 1/2.)' t PRIX MACKEXSIE-GRIEYES

(7° Prix du Sweepstake National 1937. Handicap. 50.000 francs, 1.700 m.) 1. Parsifat 50~ (J. Laumain).G. 123 50 (a M. R.Cruet).P. 35 » 2. Durazzo 57 (G. Deiaurie).?. 17 )) 3. Mezzanine 43 (L. Gautier).P. 16 » Non placés Hot Bun 47it, Giska 57, Evianbis 54. Ktrfox 56A, Dilemne 11 55~, Prince Chariie54~,HayMarket 53, Rumball 51, Cour d'Honneur 49~ Souna 4S~, Lokma 48, Amandine < Rose de Noël 46~, L'Alsacien 11 44.

(1 lonK., encolure, encolure.)

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Résultat du jeudi 17 juin

LA COUPE D'OR

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2.C<!ct;.6a.,asirA.Bai)ey,4/l. 3. Quashed, 5 a., à lord Stanley, 100/7, 12 partants. 2 long., 4 long.

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16 h., LONDRES REGIONAL Dvorak,JscobJ P&îmgreën.

20 h., ~tUXICH Wagner, Strauss.

20 h. 35. MIDLAND REGIONAL Concert. 20 h. 35; NORD REGIONAL Concerto ea soIn"4(Beetho\'en).

21 h. 15. STUTTGART Bach, Mozart, Chopin. MUSIQUE DE CHAMBRE ET SOLI

16 h., RADIO-PARIS Le quatuor Ortambert. 17 h. 30, RADIO-PARIS Pièces pour piano et méiodies.

1S h., PARIS P. T. T. Pièces pour piano et méfodies.

19 h. 45, NATIONAL ANGLAIS Chœurs. 20 h. 30, RADIO-PARIS Récitât de violoncelle par M. Hekkin~.

21 h., TOUR EIFFEL Trio (Mendeksohn) Airs de Monteverdi, Lulli, Brahms, Liszt, Duparc, Tomasi, Debussy Sonate pour piano- et violon (Debussy) Quatuor (Bernard).

22 h., VARSOVIE: Musique italienne. 22 h. 30, LUXEMBOURG Récital d'orgue. MUSIQUE LEGERE ET VARtETES

19 h. 15, RADIO-PARIS Chansons par Laure Diana.

19 h. 55, RADIO-CITE Les Ëances.

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L'Association des Entraîneurs devient un syndicat

Une assemblée générale extraordinaire a réuni lundi les membres de l'Association générale des enlràineurs qui, à l'unanimité, ont prononcé la dissolution de cette associalion et voté la création du Syndicat des entraîneurs de chevaux de courses au gatopenfrance.

Le Conseil d'administration, composé de dix membres, a été é)u comme suit Pour Chantilly MM. Frank Carter, ~Lucien Robert, John Cuhningtou, Ch. Bartholomew junior et Robert Wallon.

Pour Maisons-Lafiitte MM. Maurice d'Okhuysen. Ch. Barlller; L. Barré, J. Doum~t~~G~

LES PETÏTES ANNONCES DU FIGARO BOT<)T REÇUES OAt\)SMOS BUREAUX ET F'AR TÉt-ÉF'HO~E (Ét-TSÉES SO-SS) m-tSQLJ'A e )-tEURES_

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20 h. 10, FRANCFORT Concert.

20 h. 20, LONDRES REGIONAL Islamey, fantaisie orientale (BaJakirew)~; .Suite (CaUender) ¡ Concerto en ré mineur (Rachmaninon'). 20'h. 20, MIDLAND REGIONAL Cockaigne (Elgar) Symphonie en mi mineur (Dvorak). 2D h. 40, SUISSE ROMANDE Festival Jacques Dalcroze.

21 h. 15, LEIPZIG: Concert.

21 h. 30, LUXEMBOURG L'Apocalypse de la Saint-Jean, de Jacques de La Presle, sou (Mme Martinelli, MM. Cathetat. Rousseau, Fauké), chœursetorchestresoustadirectiondeM.Pensis. MUSIQUE DE CHAMBRE ET SOU 14 h. 30.RADIO-PARIS: Mélodies.

18 h. 45, NATIONAL ANGLAIS Piano et violon.

19 h., RADIO-PARIS Mélodies.

20 h. 50 SCOTTISH REGIONAL Quatuor (RaveD.

22 h. 15, NATIONAL ANGLAIS Alto et piano.

22 h. 30, DEUTSCHLAND Trio (Quantz). MUSIQUE LEGERE ET WARtETES

14 h. 30, PARIS P. T. T. LA T. S. F. à l'hôpital.

16 h. 15, RADIO-PARIS Pour les tout-petits. 19 h. 45, RADIO-PARIS Chansons (Duettistes).

19 h. 55, RADIO-CITE Gala des chansonniers en liberté.

20 h. 30, RENNES-BRETAGNE Variétés. 20 h. 45. STRASBOURG Musique variée. 20 h. 45, TOUR EIFFEL Relais de la Fête bourbonnnaise donnée au Palais de la Mutualité. 21 h. 10, POSTE PARISIEN La chanson du tiroir.

20 h. 10. NICE P. T. T. L'Opéra La Damnation de Faust, de Berlioz Elvire, ballet sur une musique de Scarlatti.

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L'ETAT DOÏT ÏL ENCOURAGER LE SPORT AUTOMOBïLE ET SOUS QUELLE FOR~ Nos suggestions r~pon~~ H~ï ~ccH~ enthousiaste i.i ~Kpr~ <~ ~K~

I. e~tte~e ou~erre par le Figaro pour fonna~re la meilleure macère d'eneouj-ager le sport automobiliste en France ef ce que /'B~af devrait faire pour aider ce sport connait auprès des automobileclubs un succès qui nous, réjouir./< mon;fre intérêt que souMfM Cette question parmi les sportifs d~ l'automobile et 'importance qu'elle prend aujourd'nu! où pour rivaliser aoec nos concurrents étrangers fargr<Mnent aMes officielle. 77:enf il ~auf~M~so/ume~f donner ï4 l'industrie aufo~n.oM~t'ste roccasio;! de défendre 7!or7!tt<~emen< sa chance. Le !<comte de Roha~, président de {~Htomobile-Club de JPrance, rappelait ici der7H'ér~men/ ou'~n promer enepuraoefnen< a .été donné, à rau<omo&!7e par f'ouuer<ure d'une souscrtp~ton putHoue à ~(!quelle le ministre des travaux publics apporté, une contribution par ra~cndon d'une part importante des droits perçus aur les permis de conduire. C'est un premier. geste. Est- suffisant.,?

Nous avons pensé qu'il pourrait y cuo'r un autre eticourajyetnenf et nous avons pose cette question Pourrait-on créer dans toutes les €prenvc& sportives a~tomobites un prix du gonvernemfnt ? 9-

Le ufcont~e de B~nan a &!en voulu reconna~re.tdee excellente. Sa haute autorité en nta~ere nous atdera à /atrc aboutir cp~e reah'safi'on om /'ac!7f'<era!'f SrandenfEn~ la tâche des or~amsateurs. Ils ont ~ousd'a!eurs repondu auec en~noMs~'asme.a cette proposition Nous applaudissons à'votre idée, nous dit le président de t'A. C. d'Oranie, et nous ne voytms aucun inconvénient à ce que le gouvernement nous accorde un prix pour toutes nos épreuvea.

L'Automobile Club de la Charente- tmferieure se rallié à !a réponse du Meon:fe de Rohan.

L'AutomoMie-Chib de !'0uest, ~ene.ru~entenf p~us e2tf?tousf«s/e pour apporter sôn"apput an spdr~ au~6mo~;V!'sfc, se

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L'Automobile-Club de l'Hérault et de l'Aveyron s'qssoCie au point de uue du u!'con)fedeRohan.

L'AutqmobHe-C!ùb d'Auvergne s'en rapporte a /'o~s du Cornue naf'ona~ du fonds' de ,course.

L'Automobile Club de l'Aiu et son président, !€ docteur Eyssantier, approuvent pleinement notre initiative qui mérite d'être encouragée et poursuivie, nous écrit-il.

!] est certain que le gouvernement, ajoute-t-n, se devrait d'encourager, le sport automobile et .le .désintéressement dont il fait preuve a ce sujet contrairement à celui des autre nations, a fait le plus,grand tort à notre industrie automobite, ce'n'est pas douteux. Les efforts qu'a entrepris dans ce sens notre Fédération en tançant, il y a deux ans, une souscription nationale, n'ont point abouti et l'inertie; gouvernementale a laissé échouer ce mouvement ..au Jieu de l'encourager par une participation effective importante. Il est certain qu'il n'a pas fou/u comprendre et que tout essai nouveau semble voue à l'insuccès. Quant à provoquer une nouvelle participation pécuniaire en assimilant tes courses d'autos. à ceUes de chevaux, il n'y faut point songer. Les prix du'gouvernement en matière hippique ne sont qu'une ristourne de ce qu'il touche au titre du Pari mutuel et encore en quantité residueUe infime. A moins d'encourager une pari mutuel, ce qui serait peut-être une. idée intéressante, pour toute course d'automobHe! 1

Sans vouloir vous faire abandonner l'idée généreuse qui vous pousse et qui mérite d'être développée, contre vents et marées, je m'excuse de ne pas vous laisser grand espoir, mais vous n'êtes pas tenus de partager notre pessimisme, et notre concours vous est acquis comme notre dévouement.

L'Automobile Club Dauphinois e< son président V., Cdrrt'er, se r<eft~ à ?'<!<S de la F~d~ra~oft Mh'otM/e des C~M~s .'tu<onto&f<e. do~f ~c[ff'he nous est pas parvenu.

~))m); E code de la route, crée tout exprès pour servir de base à une législat) t *'°° rationnelle de la circulation, a mj subi de nombreux assauts et a dû répondre à de multiples critiques, ia plupart fondées. Il ne pouvait, en effet, avoir )a prétention d'être parfait du premier coup, et de nombreux amendements sont venus, et viennent encore, corriger les erreurs et combler les lacunes.

Un des points principaux sur lesquels Inattention du législateur ne saurait être trop attirée concerne les prescriptions régissant la circulation de nuit. Celle-et, qui augmente considérablement en densité, n'était pas sans présenter de gros dangers, appelant une codification particulière qu'il faut se louer de voir se préciser de plus en plus.

Cette codification comprend les signaux de position, absolument indispensables pour la voiture qui s'arrête et c'est le stop lumineux imposé à bon escient comme pour celle qui s'apprête à dépasser et qui doit être avertie à.la fois de la largeur du véhicule qui précède lanternes rouges lumineuses– et de ses intentions possibles, indicateurs lumineux de manœuvre. Mais où le code a fait le plus œuvre utile, c'est lorsqu'il a édicté qu'à dater du 1" janvier 1939 tous les véhicules circulant de nuit devraient'être munis'de phares a~lampes jaunes sélectives. Déjà, aussi bien pour les voitures récemment sorties d'usine que pour les véhicules dont les propriétaires se sont montras soucieux de leur propre sécurité en obéissant à,-Ia loi, des

Il rappelle la création du fonds de course e~ fa par<:ctpa<on de l'Etàt d<ns! oue nous le signalons d'autre part, à cette souscription.

Maïs est-ce suffisant ? Assurément .non.

L'Etat comprendra-t-H ? Dans l'ensemble donc nous trouvons rappu: enthousiaste des clubs çu! se de~a~en~ ~oHj! d«Ns: des.dt'cu~es sans. nombre pouT on/cn/s~ des épreuves ,indispensables à la propagande de !'au<ont0<e. Un encouragement très large, d ces orsan:'sat!'ons, venant des pouvoirs publics, est logique, indispensable dans les circonstances actuelles.

Z,'B<a~ qui ntëeonno:t fou.ours ses devoirs M's-a-U!S de /'<ru<omo6!e verrat-y c/a!r en/n, se dect'der<<-t< à faire ce ou' /anf po:tr apporter à une industrie et um) sport toujours méconnus des milieux officiels le coup de fouet )tft/e dont /'ensemMe du, pays 6ene/Ctera;'f, à commencer par les classes laborieuses directement intéressées à la properite d'une industrie qui fut longtemps l'une des plus aérées de notre pays et ~<ï plus <'r;7/an<'e en Europe ?

/e.re!p/e de ce qui a été fait outrejRn;n ou en Italie ne peut-il être donné sans alarmer des gens de la politique qui roun'rai'enf de copier les Allemands ou les Italiens ? La question n'est évidemment pas là. La politique n'a pas plus sa place dans le sport 'mécanique qu'elle ne /'a dans le sport a~n/e~'oue. n' a on'une chose aut compte aux yeux des sportifs. C'esM';n~ere<Of'neray. Cet, intérêt général c'es< au gouvernement, qu'il importe de le défendre. 7/ ra comprfs en d'autres c'rconsfances, pourouot s'acnarnerat't- a ne pas ~ouloir comprendre lorsqu'il s'agit de l'automobile ?

Nous poursHt'fron.s prochainement notre consu~ch'on qui recue;e fhaoue jour un peu p~us radnestp?! enthousiaste des sportifs.

André Reîchel.

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expériences pratiques ont pu être faites qui sont tout à l'honneur de la lumière jaune. Tous ceux qui l'emploient sont unanimes à constater, une moindre fatigue des yeux, ce qui est normal puisque les ampoules à lumière jaune sélective émettent des rayons dont la longueur d'onde correspond à la sensibilité maximum de l'œii une perception plus nette des détails, par accroissement des contrastes, et un moindre danger d'éblouissement, par les phares de là voiture qu'on croise, si cette dernière est équipée de'méme. A ce sujet, entendons bien que l'emploi d'ampoules sélectives ne saurait à lui seul supprimer les tuconvenient~ dus à un mauvais réglage des phares si les phares sont

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L'ELEGANCE PëUGBC~TA~ Au concours de carrosserie, organisé part* «Auto au Bois de Boulogne, cette 302 spéciale grand sport (création DarI'Mat), présentée par Mme André Mercier, remporte le Premier Prix de sa catégorie ainsi que le Prix de !a meilleure carrosserie aérodynamique (carrossiers).

10 RECORDS DU MONDE EN MOTOCYCLETTE

C'est le résultat obtenu par la Société des Huiles YACCO qui a organise, a l'autodrome de Montihery, cette tentative avec une moto G\OME-RHONE 750 cm3, type X, strictement de série. Au cours'de cette tentative, 10 records du' monde, catégorie 750 cm3, ont été étaMis ce sont les suivants

2.000 milles.

4.000 km.

3.000 miHcs

5.000 km.

48 heures

-t.000 miJtes 72Rcut-?s: c

5.000 milles '10.000 Km..

.96 heure*

Moyenne t09 km. ?0.' C'est ia première fois que des records longue durée ont été réussis en motocyclette.

mal règles, l'éblouissement persiste, à cette

différence près que l'aveuglement au lieu

de durer plusieurs secondes après que la lumière blanche a fait son effet, cesse presque immédiatement.

Toutefois, ce n'est pas une raison suffisante pour négliger le régtage des phares et il faut souhaiter qu'à défaut de la bonne volonté de tous les usagers pour veiller à cette importante question la police des routes s'attache partout, comme elle le fait en Seine-et-Marne, à contrôler de nuit les dispositifs d'éclairage.

Il importe qu'elle prenne des sanctions impitoyables contre les délinquants, la plupart du temps récidivistes impénitents, qui

n'hésitent pas à risquer leur propre vie, ce

qui n'est rien, mais celle des autres, ce qui est plus grave, pour la vaine gloriole de passer outre aux règlements. La crainte du gendarme, dit-on, est le commencement de la sagesse En matière de circulation, c'est hélas trop vrai. Pourtant, il faut absolument que tous les usagers soient bien persuadés qu'il ne saurait exister aucun moyen, quel qu'il soit, de supprimer l'éblouissement s'ils ne. s'efforcent eux-mêmes de tenir en bon état de fonctionnement les systèmes d'éclairage montés sur leurs voitures. 1

La lumière jaune, et c.est une heureuse constatation, a réuni sur elle l'unanimité dés suffrages des automobilistes. Cela démontre éloquemment qu'on ne fait pas toujours appel en vain à la bonne volonté de tous, mais il est indispensable pour que <a réforme accomplie par le ministre des travaux publics puts''e avoir son plein effet, que, les lampes jaunes soient associées à des projecteurs bien réglés.

Georges Bonnet.

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Le carburateur régulateur 1. SOLEX

Le carburateur régulateur Solex, a son apparition, a constitué une sérieuse améHo* ration apportée à la carburation. Aujourd'hui. Solex présente un complément le Carburateur reontaiexr a ~[<M<e variable,

type K. R.

Eu l'espèce, ce dispositif est destiné ait conducteur sérieux qui veut ménager sa voiture, bénéncier d'une moyenne régulière, éviter les ,pointes de vitesse,. génératrices d'usure, rapide et de consommation élevée. La régulation constante du régime permet de" réaliser dé bonnes moyennes, aux meilleures conditions. Le nouveau dispositif permet de trouver automatiquement l'allure idéale, sans fatigue, sans avoir à surveiller 1e compteur, aux meilleures conditions de- confort et d'agrément. Le conducteur n'aura qu'a décider, à l'avance, ta vitesse maximum'qu'il ne désire pas dépasser et cela a l'aide d'une manette à portée de la main. En agissant a fond sur l'accélérateur, en p'aUer, cette vitesse sera atteinte et ne sera pas. dépassée. Pour la tenue en côte: et tes reprises, la voiture conservera ses qualités propres. Le Régutateur Soiex assure automatiquement :<une notable diminution <ié consommation, une meiiteure conservation des organes, un pius grand agrément de conduite, une sécurité supplémentaire 'si la voiture est confiée à un tiers grâce à un verrouillage qui rend inviolable le dispositif de

Hntitatiqn.

L'administration des Eaux et forêts vient d'aménager un nouveau circuit dit K Circuit du Belvédères ".en forêt de Rambouillet, accessible aux automobilistes. Cette nouvelle route permet de parcourir la par-'tie la plus haute dé la forêt et de découvrir, devant d'importantes sapinières, un panorama splendide sur la foret et les environs. Ce circuit a été parcouru dimanche par plus de 300 automobiles qui s'étaient concentrées à l'Mcasion de la Fête de Printemps du Touring-Club de France.

L'équipe féminine-française Mme Siko, MHë'des Forest, Mme DéscoHas et M!!e HeHé-Nice, qui vient àm volant d'une 'Maffdrd, moteur 8 cyJindres en y– entièrement construite en Etance– de battre, a Montihéry 25 records d u monde et de cou'Kï'ir notamment 33.598 hitomètres a ta moyenne d.e 140 ktiomètres à 1'heure, La tentàUve a été effectué avec l'huile Yaceo

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Un camp pour le Grand Prix 'de l'A. C. F. F.

A l'ocMUtion du Grand Prix de KA.C.F., nn camp, placé sous la direction techniqne du Camping; Club de France, sera organisé snr le plateau dn Château de Saint-Eutrope, <t t'Antodrome de Monfhléry, les 3 et 4 ]aH!et prochains. Tous fex cajnpenrw y seront cordialement recna. ï~e eêjottr sera grratnft, mai~ !es campenre désireux d'assister à la course devront naturellement acquitter les droits d'entrée régniiers pour pouvoir tranehir t'enceinte de l'autodrome proprement dite.

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25 RECORDS BATTUS

A MONTLHERY PAR MATFORD L'îndiscutaMe sap6riorM6 <M motear~~yMNt!. en V

L'cquipe~féminincffMcat.c~ composée de

Mme Stico. capitaine i~ ie de~eqnipe;M]Ie des Fore~t.~me CescoHas etMiicHeUé-icc vientdf'.rÉaUsera.MonMhcryuneétonna.nte pert'ormatfce', que nous avons'dej& .signalée à nos lecteurs. Rappelons que cette équipe féminine, 'au volant d'une Matford V- 8, entièrement construite en France, a* battu, ea effet, au cours d'une ronde do d4X jours, 15 records internationaux (catégorie C)e< ~0. records du monde, dont celui des ~0.000 mtUcs à ~moyenne de-110 kilomètres à l'heure.

L'abondante moisson de records, de l'équipe féminine est un éclatant succès pour ['industrie'francats'e.JI convient, en effet, de bien préciser que la voiture qui servit à cette .tentative est une Matford entiere.ment construite dans les usines de Strasbourg, C'est, de plus, une voiture strictententdeférie, ce qui fait nettement ressortir l'excellence de fabrication d'une voiture qui s'est imposée depuis longtemps déjà. par sa vitesse, sa tenue de route et son incomparable sécurité de marche.

)))«!< cette tentative couronnée de succès met en évidence, une fois de p)ut, le moteur 8 cylindres en W, qui Jouit auprès du publie d'une faveur toujours plus grande. Tourner pendant dix Jours à une moyenne éievée, qui atteignit, dans )a dernière Journée, sur plusieurs tours, plus de 150 kilomètres à l'heure, n'est pas à la portée de n'importe quel moteur. Le 8 cylindres en V Matford entièrement fabriqué lui aussi à Strasbourg –r a fait cette démonstration brillante avec une vaittante digne d'éio- ges, affirmant par ses qualités de souplesse, de robustesse et de fabrication i'indisoutab)e supériorité du 8 cylindres sur tes autres i, moteurs.. Notons que )'hut)e employée pour cette )'/ntattve était 1'h'uiIeYacco. a

le concours

d'élégaace automobile de Deauville

sous le patronage du "Figaro

Voici revenue la période des concours d'éiégan.ce en automobile. Après celui de Paris viendra celui de Deauville qui est l'une des manifestations les plus importantes du genre.

I! se déroulera cette année le dimanche 11 juillet et, comme l'an dernier, il sera placé sous le patronage du « Figaro qui offre une super-coupe destinée à récompenser la voiture la plus élégante dans une des quatre catégories prévues.

Cette manifestation d'élégance sur une des plages les plus en vue de France obtiendra une fois encore un éclatant succès.

SEUL

VEM~GMY APPREMMtEM COMMUE A!UH!ouMONDE ÉLÉGANT

Su~touJ~ct/nd~'nruouu~ue~

87A\<.GRANDE-ARMÉE87 ) <6tAV.< OB MALA'<0'='=. ou <

<teMwM*)m!T~<)M'(n*T<!6E ou aow


FOOTBALL

!.E F. C. SOCHAUX FETE SES SUCCES DANS LA COUPE ET LE CHAMPIONNAT SoeAauT, 17 juin. (De notre engoue yecMf.) La belle saison fournie cette année par le F. C. de Sochaux dont l'équipe classée en du Champion- nat de France, ex œouo avec Marseille et a ~rtZ;amment gagné la Coupe de France, sejst c~furee hier par un banquet of/ert -t OtM~eouip.ers et aux supporters par .Mme et ~t, CoKeseau, au Cercle Hdfe! deSocnau.K ~ans <<t grande salle se retrouvèrent tous ceux qui aidérent au succès du club M Jean-Pierre Peugeot, qntmf!<eur infatigable du sport dans la cité soeTtaZtenne, présidait, ayant à ses côtés MM. Mat;;a)-d-5a;tnx' Py~" du F. C, Sochaux René Blum, président des supporters du F. C. S.; Scredu secrétaire dévoué qui assure ta direction du club Lfenord, arbitre de ta Ligue de BourCOSne Jean VaHee, de la direction de Par~ docteur Ferraud, M. Be.s.stere tous 'e* joueurs, les présidenls des clubs supporters de Paris, Besançon, Montbéliard, at~st que tous les dtrtsean~ du grand ciu6 de l'Est e< les représentant de la presse parisienne et régionale.

KcHmon bruyante, animée, joyeuse qui touronnatt une campagne ardente et fertile M émotions, au cours d'une saison qui a Btene une des plus belles équipes de footoat! au faite des honneurs.

~u dessert, M. y.-Pferre Peugeot, avec émotion, félicila e< remercia les instigateurs de cette réunion et, après avoir expose dans un raecouref <res' prec~ .ses idées sporlives ça point de uue général e< M ortHa~e campagne du F. C, de Sochaux, au cours de la saison, il félicita. 3/<tK;er, le capitaine conrageux et tenace. 7; souligna ensuite le caractère particulier d'une association de joueurs remarquables animés de !'espr<< de club, out vient à bout des plus grandes dif/'teu!fei!. f j H exposa aussi le pro~rn~nme d"ac«on des <f!rtoeanh dévoués et, ajouta-t-t;, n si le football restq la vedette, il n'en subsiste pas moins que tous les autres sports ont les mêmes faveurs et profitent des mêmes encouragements ». · t! termina en félicitant. to~s ~eu.);. ou< as~tunent une dtree<ton e< une responsabilité sportives de doui faire pour la-plus grande renommée du F. C. Sochaux.

,Très ému, le grand capitaine qu'est MatMer lui succéda. Ce fut pour remercier, au nom de ses camarades, M. Jean-Pterre Peugeot de la so~ct~ude qu'il a témoignée à l'égard de l'équipe e< pour lui e.fprtmer la reconnaissance d taguene- H a .droft. J! lui yemtf, en son nom el au nom de ses camarades, un chronomètre eu or <Mre de souvenir. Ce geste courtois et affectueux fut soft~ne par de bruyants applaudissements. P<!r!eren< encore 3f.M. Mf<f<er, directeur du secrétariat social, e< M. René Blum, au nom des supporters.

La soirée se pro!onoea fort auant dans la nut< on paria sport et football et aussi de la visite fradtttonnette que i'eoutpe utctorieuse fera à l'exception de Courtois à ~t!~er ou elle jouera dimanche un match exhibition. G. Bonnet.

JVOt/yELLES .4~/E~VES

Rectifions

'Dans te compte rendu que nous avons ts~nné hier du Congrès international du Secours aérien à Budapest, nous avons fait une erreur que nous nous empressent de réparer. Le comité central de la Croix-Rouge française avait déiégué à Budapest Mme de Wendeuvre et non Mlle Chodron de Courcelles, ainsi que nous t'avons dit. Mme de, Vendeuvre s'est rendue à Budapest à bord d. l'avion du docteur Crochet et représentait ta Croix-Rouge française. Nous profitons de cette occasion pour rendre hommage à Mme de Vendeuvre qui, par son aottvité débordante, est la précieuse animatrice de la brigade des infirmières de l'air. –A.R.

L'aviation commerciale

Notre confrère Peyronnet de Terres, qui avait amorcé une campagne contre le < poot franco-allemand sur t'Attantique sud, s'est expliqué hier.

Il écrit

« Que l'on nous prouve que cet accord place Air-France et la Oeutsc~eLuftHansa sur un pied d'égalité, compte tenu des efforts; des sacrifices, des dépenses et des résultats obtenus! »

Aussi beau soit-il, aussi douloureux soitIl, le passé est le passé. !t n'a rien à faire dans cette affaire. Cependant, puisque Peyronnet invoque le passé, que dira-t-il demain, lorsque la concurrence établie sur t'Attantique sud aura réduit notre activité des cinq sixièmes, si nous restons dans notre « splendide isolement x. Tous tes nobtes sacrifices, toutes tes dépenses, tous te< morts glorieux n'auraient servi à rien! Un accord honnête passé avec tes Attemands doit permettre à la ligne française de l'Atlantique sud de continuer. C'est ce Ou'it faut considérer actuellement, et non pas considérer, comme font certains, uniquement ce qui est accordé aux Attemands. Si nous ne leur donnons pas quelques avantages largement compensés par ceux que nous obtenons les Allemands s'en passeront et réaliseront ce qu'ils veulent réaliser sans nous. Ne sont-ils pas déjasurt'Attantique sud, où leur présence se traduirait par un déficit pour nous si nous n'étions -<<éja d'accord avec eux?

En Asie, l'accord prévu doit apporter un tfafio nouveau et important à notre ligne

FenUtetondu Figaro. du i8 Jutni937 .r" (13) ~a double 1~ 6nBgme

'ni

(SM!<e)

Très vrai, mon chéri, c'était une jeune fille exquise et l'on affirme que sa fille lui ressemble. Je les ai un peu perdus de vue après son mariage, votre père n'aimait pas beaucoup les brasseurs d'affaires, mais je sais qu'on les a toujours cités comme le couple modèle. On disait couram ment que sir Ruben était aussi aimé chez lui que détesté au dehors. Je n'entends pas parler des pays étran.gers, vous savez, mon chéri, je fais allusion à une locution proverbiale comme par exemple « saint au dehors, démon chez lui

Oui, fit Peter, je me doute que

SUCCES DE DELAHAYE AU CONCOURS ~ELEGANCE ORGANISE AU BOIS DE BOULOGNE Non content de glaner des succès en course, Delahaye triomphe encore dans les concours d'élégance. Au Bois de Boulogne, mercredi, Mme Cormier (à gauche) a obtenu le Grand Prix d'Honneur des voitures découvertes avec une Delahaye Sport 135 (Carrosserie Figoni et Fataschi). Mlle Suzy Vernon remporte le Premier Prix d'Elégance féminine avec un cabriolet Delahaye type 135 (Carrosserie Chapron). Petahaye remporte de nombreux prix dans les autres catégories.

A L'ExposmoN

Le Pavillon

du Yachting

a été inauguré hier Le pavillon du Yachting à l'Exposition a été Inauguré hier par MM. Bastid, ministre du commerce Edmond Labbé, commissaire général de l'Exposition Léo Lagrange, sous-secrétaire d'Etat aux sports et loisirs. Une nombreuse assistance se pressait dans ce vaste bâtiment clair, aimable, admirablement placé au bord de la Seine et d'où on découvre un magnifique panorama sur l,'Exposition, A l'entrée, située à l'extrémité de la passerelle Debilly, le visiteur est accueilli par un diorama rappelant l'activité des sports groupés sous la bannière du Yachting. Ce diorama est lui-même précédé par une très belle statue placée sur un piédestal, œuvre d'une jeune artiste de talent, Mlle Liliane Grunwald.

e'Extreme-Orient. En échange de quoi nous leur donnons le droit a'escaie à Damas. Si «ous ne le tour accordons pas, ils passeront par la Palestine l'autorisation est dans leur poche et malgré nous ils réaliseront la liaison qu'ils projettent sans que la ligne française puisse en tirer bénéfice. Faut-il donc toujours être aveuglé par )e parti pria au point de nier t'évidence, le bon sens et Ontéret supérieur de .notre pays et de notre aviation marchande?

Un avion spécial, piloté par Bngammer, est parti hier & midi quinze pour Bordeaux et Toulouse. Il avait à bord M. Tirard, président du conseil d'administration d'Au'-France Allègre, administrateur-directeur générât Foa, directeur de l'exploitation Briend, secrétaire générai Chitry, chef du service presse-propagande; Jarrier, Charnet et Fournier.

L'<tv!at!ojn prjrvée

La FMÉrMion aéronautique de France nous communique t'activité de ses clubs pour le mots de mal. Cette activité eM débordante et nous devons renoncer à en publier même un résuma. Ceci montre l'excel. lent travail accompli dans les clubs sous t'é~iae de ta Fédération, dont nous n'avons sous les' yeux que le compte rendu de 68 clubs sur plus de 200. L'aviation privée, grâce à la Fédération, se defenf!. Donnera-t-on enfin à ceux qui peuvent grossir ses rangs les moyens d'acquérir des avions? La question est capitale. L'aviation privée ne doit' pas être pius sacrifiée que l'aviation populaire.

L'aviation sportive.

La Coupe Radio-Atr, organisée par i'aéro-ciub d'Auvergne, pour démontrer la sécurité en vol des touristes, a été gagnée par Hermann devant Fouquet et Krynen. Les trois avions' participant au rallye aérien de la France d'Outre-Mer et qui ont quitté Tananarive, sont arrivés à Mozambique, ayant franchi avec succès le canal de Mozambique. Ces trots avions sont pilotés, rappelons-le, par René Lefèvre, Fraise et Mayer.

NAVIGATION AUTOMOBILE. Le coureur américain Bedford Davie ne disputera pas le Spreckels Trophee Il sera remplacé par Marshall Eldridge, vainqueur du dernier marathon Albany-New-York.

R!VO!RE&CARRET

le cher homme avait un ou deux ennemis.

Des douzaines, mon chéri. Un endroit terrible, la Cité, n'est-ce pas? Une bande d'étrangleurs.

Lord Péter se mit à rire, puis il eut un bâillement.

Je crois que je vais me retirer dans ma chambre pendant une heure ou deux, dit-il. J'attends Parker au petit déjeuner.

La duchesse consulta la pendule qui marquait trois heures moins le quart.

Je ferais monter votre déjeuner à six heures et demie, mon chéri, dit-elle. J'espère que vous vous trouverez bien installé, j'ai fait mettre une boule d'eau chaude, ces draps de toile sont si froids, vous pouvez l'enlever si elle vous encombre. IV

Ainsi donc, voilà notre bilan, Parker. Lord Peter repoussa sa tasse de café et alluma la pipe qui accompagnait ses digestions. « Vous verrez si ces renseignement.. peuvent vous servir, car, moi, ils ne m'aident point à résoudre mon problème de ta baignoire. Vous êtes.vous occupé de cette affaire après mon dé. part ? 7

GOLF L'ACT!V!TÉ SUR LES L!NKS

Au Golf de Fourqueux

Coupe du Jockey Club (compétition portée au calendrier de Saint-Cloud)

1. Comte B. de Laubépin (21), 73 2. marquis de Montcalm (15), 74 3. marquis d'Aulan (9), 75 4. vicomte de La Béraudière (25), 76 5. prince de Broglie (18), 76 6. comte de Gatard-Béarn (11), 78

7.comteB.deQuergortay(20),78 ;8. vicomte de Dampierre (5), 78 9. comte de Beaumont (25), 79 10. Miguel de Yturbe (18), 79 11. comte de Broïssia (18), 85 12. baron Pellenc (24), 85.

Prix du Jeudi. Greensomes. 1. Mme Claude Bouchayer et Pierre Bouchayer (8 1/4), 40 3/4 2. Mme Morin et passif (4 1/4), 41 3/4 Mme Levaiois et Levaiois (8 1/4), 45 3/4 4. Mme Ginette Bouchayer avec Marc Bouchayer (6 1/2), 51 1/2. N'ont pas remis leur carte Mme von Ende et von Ende et Mme Luchard avec Maurice Morin.

Au Golf de La Boulie

Prix du Jeudi, sur 10 trous, à la crocodile.–1. (sur les 5 derniers trous) Mme M. Bloch-L. Lindon (13 1/2), 20 points 1/2 2. Mlle Griolet-Bentley (3 1/2), 20 1/2 3. Mme R. Comar-J. Renaudin (13 1/2), 20 1/2 4. Mme Heibrouner-Grunwaid (10), 20 5. Mme lonel Cotnareanu-R. Comar (11 1/2), 19 1/2 6. Mme Ebrard-L. Delafon(lll/2),181/2;M.etMmeL.Baer (7 1/2), 18 1/2 8. M. et Mme G. Legrand (9 1/2), 17 1/2 M. et Mme Dashwood (11 1/2), 17 1/2 10. Mme Hoffmann-Languereau(131/2),151/2;MiieAnderson- C.G.Coates(91/2),151/2;MmeR.BaerP. Michel (13 1/2), 15 1/2 13. Mme Languereau-barondeReuter(7),15 Mme Thaimann-A. Goldet <11), 15 15. comtesse de Ganay-Sorbet (13 1/2), 13 1/2 Mme Lipscomh-comte de Gacay (13 1/2), 13 1/2. Au Golf de Marly

Concours au drapeau sur 12 trous, dames. 1. Mme Monteux, à 185 m. du 13° green 2. Mme Roche, & 15 m. du 12* 3. Mme Mure, à 20 m. 4. Mme Reichenbach,à30m.;5.MmeMiIiëe,&90m.; 6. Mme Lefebvre, dans le trou du 11' 7. Mme Brault, à 20 mètres.

Messieurs. 1. Branlt, à 70 m. du 13< !;reen;2.Monteux,al<)5m.;3.R.Caëi, dans le trou du 12' 4. Low, à 0 m. 10 5. François, à Om. 20 6. Prieur, à 1 m. 7. Lefebvre, à 16 m. 8. Tunmer, à 80 m. 9.Woiff,alOOm.

Au Golf de Saint-Germain

Coupe Saint-Germain. Premier tour. Mme FIfH-and-Mme Sebline (Ch.) b. Mme Y. Le Quellec (St.-C.)-Mme R. Barbier 5 5 et 4; Mme A.-M. Vagiiano-Mme R. Thion de La Chaume (Ch.) b. ~tme Peries-Mme Dedeyn(St.-G.):w.o.; MmeGaveau-Mme Strauss (St.-C.) b. Mme Nouei-Mme Gund (St.-G.), au 20< Mlle S. Vagiiano-Miie C. de Rothschild (Ch.) b. Mme Marquisan (St.-C.).Mme D. Dreyfus (F.) 2 et 1.

Deuxième tour. Mme DeeuRis-MUe TolIon (St.-C.) b. Mme Raffard-Mme Logeais (St.-G.) 6 et 5; Mme Vagiiano-Mme Thion de La Chaume b. Mme Fiorand-Mme Seh)ine, au 19"; "Mme Gaveau-Munier-Mme Strauss b. Mlle S. Vagiiano-Miie C. de Roths-

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n'atgrit- Jamais~ ne rancit- jamats e)' ne se charançonne jamats, pas p)us en ère qu'en htverJ

Non, mais j'ai grimpé ce matin sur le toit.

Je vous en crois bien capable. Quel démon d'énergie Ecoutez, Parker, je trouve excellente votre idée de fonder une coopérative. C'est tellement plus facile de travailler à l'affaire de son prochain qu'à la sienne propre on a la délicieuse impression de se mêler de ce qui ne vous regarde pas, jointe à la sensation admirable qu'un autre s'est chargé de votre propre besogne. Vous me grattez le dos, moi le vôtre, quoi Et qu'avez~vçus découvert de nouveau ?

Pas grand'chose. J'ai cherché des traces de pas, mais naturellement, après cette pluie, il n'y en avait aucune. Certes, si tout ceci n'avait été qu'un roman policier, l'auteur aurait introduit une averse propice juste une heure avant-le crime et aussi de superbes empreintes qui n'auraient pu s'être produites qu'entre deux et trois heures du matin. Mais comme nous sommes dans la vie réelle, en un novembre londonien, vous pouvez tout aussi bien chercher à lever les empreintes sur le Niagara. J'ai exploré tous les toits du voisinage pour aboutir à la conclusion que n'importe quel sacré habitant de n'importe quel sacré appar-

child, au 19*; MHe Y. Kapferer (M.)-Mlle 0. Fay (St.-G.) b. Mme Bagnès-Mme Lassalle (St.-C.):5et4.

Le troisième tour aura lieu aujourd'hui, à 14 h. 30 et 14 h. 35.

Au golf de Divonne

Le trou n" J (13~ m.) a été réussi en un coup par Mme de Weck, avec une bâtie Dunlop SIxty Five ».

NATATION

Aux Juniors du Racing C. F. le titre parisien

du 800 mètres relais

Hier, aux Tourelles, à une heure assez tardive, avaient lieu deux championnats de Paris de relais. La température assez fraîche et l'eau froide ne permirent pas des performances extraordinaires.

Tout d'abord, l'A. S. P. T. T. profita de l'absence des Policiers pour gagner sans lutte le 4X100 mètres deuxième catégorie. Ensuite, contre toute attente, ce fut le Racing Club de France qui emporta le 4X200 mètres juniors, devant le S. C. U. F. Pour ces derniers, disons qu'ils commirent une « petite erreur de dernière heure qui ïes priva d'une victoire certaine un nageur à 2 m. 45 sec. placé en seconde équipe, alors qu'un équipier premier réalisa 3 m. 3 sëcondeN. vonne Jeanne,

Résultats rL"' Relais 4x100. Deuxième catégorie 1. À. S. P. T. T. Avinain, JeseU, Pt~sart, Veyssières), 5 m. 15 s, 2. C. N. Levallois, 5 m. 37 s. 2/10 3. Creil, 5 m. 38 s. 5/10. Relais 4X200 m. juniors. 1. R. C. F. (A. Boyau, Groult, Fouchef-Creteau, Monette),llm.4s.;2.S.C.U.F.,ll m. 15 s. 2/10 3. C. N. P., 11 m, 45 s. 6/10 4. S. C. U. F. U 5. A. S. P. T. T.

Au Comité National > des Sports

Le Comité nationa) d'éducation physique et des sports a tenu son assemblée générale hier, à ~7 heures, au siège social, 45, rue de Clichy, sous la présidence de M. J.: Rimet. 29 fédérations étaient représentées par 1M votants.

Après approbation des rapports moral, financier et des commissaires aux comptes, il a été procédé à t'éiection du tiers sortant du conseil d'administration.

Ont été élus au premier tour MM. R. Chevalier, J. de Castellane, R. Foulon, M. Delarbre, P. Meriçamp, J. Genet, R.-M. Rolland.

L'assemblée a également hotnologué.l'affitiation au titre de fédération dirigeante de l'Union motocycliste de France, proposée par le conseil d'administration.

tement de cette sacrée file de maisons aurait pu commettre le crime. Tous les escaliers aboutissent au toit, et les couvercles des trappes sont tout à fait plats. Vous y circulez aussi facilement que dans Shaftesbury avenue. Pourtant, j'ai la preuve que la victime aussi a passé sur ces mêmes toits.

Parker tira son calepin d'où il parvint à extraire quelques brins d'étoffe qu'il déposa devant son ami. L'un était près de la gouttière, juste au-dessus de la fenêtre de la salle de bains de Thipps un autre se trouvait pris dans une fissure de la balustrade de pierre qui surplombe cette fenêtre et le reste vient des cheminées derrière la balustrade où ils étaient accrochés à un étai de fer. Votre avis ?

Lord Peter étudia les lambeaux très minutieusement à la loupe. C'est très intéressant, dit-il, diablement intéressant. Avez-vous développé vos plaques, Bunter ? ajoutat-il, comme son discret assistant entrait avec le courrier.

Oui, milord.

Vous avez pris quelque chose ? Je ne sais si vous appellerez cela quelque chose ou non, milord, dit Bunter, je vais chercher mes épreuves.

MVMA'nON AUTOMOBM Les concurrents

du « Pavillon d'Or arriveront aujourd'hui

Paris

C'est dam Je cadre de l'Exposition des « Arts et Techniques x que se terminera la première croisière internationale, dénommée le «Pavillon d'Or », dont l'organisation a été assurée par le Yacht Moteur Club de France.

Après une journée passée à Herblay, tous ceux qui ont participe à cette croisière regagneront Paris, demain samedi, où ils arriveront en cortège, vers 17 heures, au pont d'Iéna.

Après cette imposante manifestation commencera, dimanche, sur la Seine, du pont de ia Concorde au pont de Passy, le XH° Meeting de France de canots automobiles, qui constituera cette année un véritable championnat international, par suite de l'engagement des plus réputés pilotes du monde.

1.1 ~C~K~/ le plus cordial

1. ~M~ MM des plus beaux monde.

PRIX TRES MODERES

Le coût de la vie étant très bas en Autriche.

REDUCTIONS ETE 1937

Sur les chemins de fer autrichiens apr?s ui séjour de sept jours, jusqu'à:

~0 O'O sur le retour,

~~< à l'aller et au' retour et sans séjour minimum sur la ligne 00 0/0 de l'Arlberg jusqu'à Salzbourg et au delà (vice-versa)

Bon. Ah! voici dans le Times notre annonce à propos de la chaîne d'or elle a un très bon air « Ecrire, téléphoner ou se rendre en personne 110 a, Picadilly. » Peutêtre eût-il été plus prudent d'indiquer un numéro de boite postale, mais j'estime que plus vous montrez de franchise aux gens, plus youx êtes susceptible de les égarer en ce monde moderne, on a si peu l'habitude de. la main ouverte et du cœur pur, n'est-ce pas ?

Et vous pensez que l'individu qui a laissé cette chaîne sur sa Victime va se trahir en venant la réclamer ici ?

Je le pense si peu, gros bêta, dit lord Peter, avec l'aisance courtoise d'un authentique aristocrate, que j'ai voulu par cette annonce entrer en contact avec le joaillier qui a vendu la chaîne à l'origine. Vous voyez, ici, (il désigna le paragraphe). Elle n'est pas ancienne, cette chaîne, elle n'a presque pas .été portée. Oh merci, Bunter. Maintenant, regardez, Parker, voici les empreintes digitales que vous avez remarquées hier, sur l'appui de la fenêtre et sur le rebord de la baignoire. Elles m'avaient échappa Je vous accorde le mérite de la découverte, je rampe devant vous, je me traine. dans la poussière,

ESCRIME

LA GRANDE SEMAINE M!UÏA!RE

Durant la quatrième journée des Championnats militaires se sont poursuivies les épreuves d'épée pour les officiers d'active. Dans l'après-midi fut disputée la finale ainsi que celle des maîtres d'armes à t'ëpëe, A 16 h. 30 eurent lieu des assauts d'honneur.

Résultats techniques

Championnat indiv. d'ëpëe, officiers (act.). Finale ~Maurice .lieutenant 141" R.I.A. Marseille, 6 v. 2 nuls (maître Marty, professeur) 2. Compain, lieut. 54° R. A., Lyon, 6 v. 1 nul. 3. Jarricot, sous-lieut. médecin, Joinville, 6 v. 1 nul 4. Biet. capitaine, P.M.S., Poitiers, 6 v. 5. Lanalade, capitaine, E. M. Paris, 4 v. 1 nul. S. Harant, lieut. 18' R. T. S., Gabès, 4 v. 1 nul. 7. Fournials, capitaine, E. M. Art. Montpellier, 4 v. 8. Berteaux, ing. méc. DunAer<;ue, Brest, 3 v. 9. Dodelier, capitaine. 4e spahis marocains, Senlis, 2 v.; 10. Feste, lieut., Mëdëah, 1 v.

Championnat individuel d'épée, maîtres d'armes. Finale 1. Bourret, adjudant, Ecole de santé de Lyon, 7 v. 22 t. 2. Mathis, serg.-chef, salle de garnison, Haguenau, 6 v. 23 t. Prévot, sergent, salle de garnison, Bône, 6 v. 21 t. 4. Foll. maréchal des logis, salle de garnison, Barcelonnette, S v. 19 t. 5. Cassabel, maréchal des logis cher, salle de garnison, Castres, 6 v. 19 t. 6. Gomis, adjudant, salle de garnison, Hussein-Dey, 5 v. 18 t. 7. Gamot, maréchal des logis chef, salle de 'garnison, Lille, 4 v. 19 t. 8. Barisien, m. d. log. chef, Ecole de Joinville, 2 v. 23 t. 9. Marty, adj., salle de garnison, Marseille, 2 v.*15 t. 10. Ctipet, adj., salle de garnison, Vincennes 1 v. 9 t.

H)E~!MEM!!E§

Wm~MtM

~~irf~t€m!!E

mon nom est Watson, inutile de me dire tout ce que vous avez sur la langue, car j'y souscris d'avance. A présent, nous. tiens, tiens, tiens. Les trois hommes avaient les yeux fixés sur les photographies.

Le criminel, dit lord Peter d'un ton amer, a grimpé sur les toits quan<i il pleuvait à torrents et, tout naturellement, il a eu les doigts maculés de suie. Il a installé le corps dans la baignoire, puis effacé toutes les traces de son passage, sauf ces deux-ci qu'il a eu l'obligeance de laisser pour nous apprendre notre métier. Une tache sur le plancher nous révèle qu'il portait des semelles de caoutchouc et, grâce à ces admirables empreintes digitales sur le rebord de la baignoire, nous constatons qu'il avait le nombre de doigts s réglementaire et des gants, de caoutchouc également. Voilà le genre d'homme. Qu'on fasse sortir l'idiot, messieurs.

Il déposa les épreuves et se replongea dans l'examen des brins d'étoffe qu'il tenait à In main. Soudain, il sifflota doucement.

Vous y comprenez goutte, Parker ?

Pour moi, ce sont des bouts de grossière cotonnade, un drap peutêtre, ou une corde improvisée.

TENNIS

Tous les champions vont débuter lundi àWmMedon

Le tournoi international de Wimbledon débutera lundi. Comme nous l'avons dit, cette importante compétition réunira, ainsi que chaque année, les meilleurs joueurs et

joueuses du monde.

Dans le simple messieurs, dans le premier quart du tableau, G. von Cramm et R. Menzel sont les « têtes de série Petra et Jamain sont aux côtés du champion allemand, tandis que Menzel aura pour premier adversaire Jack Crawford.

Dans le second quart, H. W. Austin et R. M. Grant sont les vedettes, Marcel Bernard aura sans doute à rencontrer ce dernier.

Dans le troisième quart, c'est à Parker et Henkel qu'a été attribué le rôle de favoris. Brugnon est placé avec Parker.

Enftn, dans le dernier quart, les têtes de série sont V. Mac Grath et J.-D. Budge. Boussus se trouvera en présence du champion américain.

Pour Je simple dames, les vedettes sont, dans l'ordre du tableau Mme Sperling, miss A. Marble, Mlle Jedrzejowska, miss K. E. Stammers, Mme Mathieu (qui jouera au premier tour contre Mme Boegner), Mlle Lizana, miss D. Round et miss Jacobs. Voici d'autre part les principales équipes dans les doubles

Double messieurs. Hughes-Tuckey (qui ati premier tour rencontreront M. BernardJ. Borotra), Crawford-Mac Grath (qui débutent contre Hecht-Menzel), von CrammHenkel et Budge-Mako, près desquels se trouvent Boussus-Petra.

Double mixte. Miss Marble-Budge, miss Stammers-Far~'uharson, miss WhitjnarshWiide et Mme Mathieu-Petra.

Double dames. Mme Mathieu-miss Yorke, miss Dearman-miss Ingram, miss Jacobs-Mme Sperling et miss James-miss Stammers.

Le Championnat professionnel · à Roland-Garros

La seconde journée des Championnattt professionnels, au Stade Roland-Garros, a été, hier, marquée d'une surprise la défaite en simple de Martin Plaa par l'excellent professeur Estrabeau.

Par ailleurs, si Nusslein, Tilden et Stoeffen passèrent sans inquiétude le premier tour, Cochet dut concéder un set à Ricco. Résultats

Simple. Tableau final, premier tour W. T. Tilden b. Garnero, 6-3, 6-4, 6-2 Vissault b. Facondi I, w.-o. Nusslein b. Marigaux, 6-2, 6-1, 6-1 Ramillon b. Hommes, 7-5, 6-2, 6-4 Stoeffen b. Colliard, 6-2, 6-4, 6-0 Goedraad b. Facondi II, w.-o. Cochet b. Ricco, 3-6. 6-3, 6-1, 6-1 Estrebeau b. M. Plaa, 7-5, 6-4, 6-3.

Double. Premier tour Garnero-Marigaux b. Goedraad-Hemmes, 6-2, 7-5, 6-3.

CYCLISME. Le Championnat de France de demt-i'oud sera disputé après-demain au Parc des Princes. Lacquehay, Paillard, Aug. Wambst, Georges Wambst. Terreau et Vallée sont engag'ës dans cette épreuve. MARCHE. Dans Paris- Strasbourg. en passant au vUla~e de Fossey, à ~00 kilomètres du départ. Cornet a battu le record de l'épreuve qu'il détenait déjà, réalisant le temps de 10 h. 35 m. 18 s., contre tO h. 42 m., temps du record précédent. RUGBY A TREIZE. Trois matches s'ew raient disputés pour le Tournoi de fExposition France-Galles, à Lyon; AngleterreAustralie, à M.trseiUe, la finale réunissant les vainqueurs au stade Buffalo.

Quant au match France-Australie, il serait joué, en janvier prochain, au stade But'falo.

MF EU)

Pour renseignements et brochures (envoyés gratuitement) s'adresser à Office National Autrichien de Tourisme, 13, rue Auber. Tél. Opéra 15-15 et 15-16. Billets pour voyages en groupe et voyages individuels, à prix forfaitaires, s'adresser aux agences de voyages. Elles organisent des voyages en groupe, par exempte, 10 jours en Autriche, à partir de Frs 850 (séjour dans un centre de villégiatures et visite de Vienne), et à partir cle Frs 1.250 (voyage circulaire à travers les plus belles régions d'Autriche.

Oui, dit Peter, oui. C'est peutêtre une erreur de. ou une erreur de notre part à nous. Je me le demande ? Pensez-vous que ces brins minuscules sont assez longs et assez forts pour faire pendre leur homme? H resta silencieux et ses yeux allongés se rapetissèrent jusqu'à n'être plus que deux fentes derrière la fumée de la pipe.

Quel est votre programme de ce matin? questionna Parker. Ma foi, dit lord Peter, je crois le moment venu de m'occuper un peu de votre affaire. Allons à ParkLane et tâchons de découvrir quelle escapade sir Ruben a combinée dans son lit, hier au soir.

Et maintenant, Mme Pemmings, si vous aviez la bonté de me donner une couverture, dit M. Bunter en descendant à la cuisine, et si vous me permettiez de suspendre un drap en travers de la fenêtre et de tirer ici cet écran comme ceci pour évitez tout reflet lumineux, vous comprenez ? Nous allons nous mettre au' travail.

Dorothy Sayers.

(A aa~pre.)

Traduit de l'anglais par I,. Servicen. Copyright by D. Clairouin.