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Titre : Figaro : journal non politique

Éditeur : Figaro (Paris)

Date d'édition : 1937-02-03

Contributeur : Villemessant, Hippolyte de (1810-1879). Directeur de publication

Contributeur : Jouvin, Benoît (1810-1886). Directeur de publication

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34355551z

Notice du catalogue : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb34355551z/date

Type : texte

Type : publication en série imprimée

Langue : français

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Description : 03 février 1937

Description : 1937/02/03 (Numéro 34).

Description : Collection numérique : BIPFPIG63

Description : Collection numérique : BIPFPIG69

Description : Collection numérique : Arts de la marionnette

Description : Collection numérique : Commun Patrimoine: bibliothèque numérique du réseau des médiathèques de Plaine commune

Description : Collection numérique : La Commune de Paris

Description : Collection numérique : France-Brésil

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k409385v

Source : Bibliothèque nationale de France

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 15/10/2007

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LE DEBAT SUR LA DEFENSE NATIONALE

Par 4 1 3 voix contre 124 la Chambre a voté

la confiance au gouvernement Dans un discours unanimement applaudi, M. Daladier a déclaré t Les forces de la France sont en mesure de protéger sa liberté ̃̃

La Chambre était décidée, avant même l'ouverture de cette longue et inutile interpellation,

a la clore par un vote de confiance en M. Daladier. Seulement, c'était non au ministre, mais au gouvernement entier qu'on le devait constitutionnellement accorder, et au moment du scrutin, des réserves sévères furent faites par la droite. Non qu'elle voulût se souvenir des griefs qu'elle peut avoir contre l'ancien président du Conseil, mais parce qu'il n'est seul, ni à la défense nationale, ni au gouvernement.

A M. Daladier, toute la Chambre accorda ses bravos. Son discours apparut comme celui d'un homme de bonne volonté « qui sait son affaire », capable d'envisager avec sang-froid l'Europe formidable où tous les peuples, jusqu'à la Suisse, « l'Infirmière des Nations », s'arment dans l'inquiétude. Il promit de dire toute la vérité et fut prudent, en somme, en ses révélations modestes. Il s'efforça de rassurer, sans excès. Son discours, en vérité, fut un prototype pour ministre dé la guerre interpellé. Il donna l'impression de s'être appliqué à sa tâche avec courage et passion d'aimer l'armée dont il est le chef et dont il vanta le moral et le labeur. Il exposa clairement les données du problème dont notre soft dépend. Il défendit l'état-major, tel qu'il est il rendit hommage à son chef, le général Gamelin, à tous ses collaborateurs de la rue Saint-Dominique il salua au passage le maréchal Pé-

(Lire en quatrième page le compte rendu par ROGER DARDENNE)

IE REGLEMENT

DU CONFLIT DE LA SAMBRE

LES COMMUNISTES contre les occupations d'usines

Le délégué de la Fédération des métaux reconnaît

que cette pratique constitue une violation

i du droit de propriété

Après le conflit de la Sambre et pour le régler définitivement, l'arbitre patronal et l'arbitre ouvrier viennent de rendre une sentence bien curieuse sur le rôle des délégués d'usine.

En voici les considérants les plus caractéristiques

« Considérant d'une part que les occupations d'usines par le personnel de ces usines constituent une violation du droit de propriété

» Considérant d'autre part que les délégués ouvriers doivent limiter leur activité aux seuls attributions qui leur, sont conférées par la loi du 24 juin 1936 sur les conventions collectives du travail.

Plus loin, sur le rôle des délégués d'usine, les deux parties affirment « qu'aucune extension de ces pouvoirs (des délégués) ne doit être admise et qu'ainsi aucune ingérence dans là discipline, l'embauchage et l'administration des usines ne peut être tolérée de la part desdits délégués. »

Enfin, nous lisons encore « qu'un délégué ne doit pas s'occuper de ce qui se passe dans les autres parties (de l'usine) que celle qu'il a mandat de représenter qu'il doit continuer à travailler normalement dans son emploi-.» » et «que les délégués ne sauraient se réunir entre eux à l'intérieur des usines pendant les heures de travail. » Cette sentence engage dorénavant la Fédération des Métaux, qui l'a élaborée et signée par l'intermédiaire de M. Béràrd, arbitre ouvrier désigné par elle. C'est une nette position de collabora»tibtr de classe que les communistes viennent ainsi d'affirmer.

Reste à trouver l'autorité qui veillera à l'application de ces engagements. H. -P. Hamelet-

Pour s'être fait la « tête » du chancelier Hitler un, comédien anglais est condamné à l'amende

Londres,' 2 février. Un comédien anglais, M. Hal Bryan, a été condamné à dix livres d'amende pour avoir représenté sur la scène le personnage du chancelier Hitler.

Le directeur du théâtre, il joue dans une pantomime intitulée Robinson Crusoc, a été condamné à une amende de quinze livres.

Le haut commandement est préoccupé d'intégrer dans l'armée française toutes les techniques modernes. :•

Ce serait un danger mortel pour le régime républicain, comme pour le pays, de laisser diviser cette armée qui est l'image de la Patrie.

La politique dans l'armée ? Jamais.

Le rôle de l'armée est de regarder, non pas vers les batailles de l'intérieur, mais vers d'autres batailles, où elle a une mission sacrée à acoomplir.

tain. Il eut toute la Chambre avec lui pour condamner l'intrusion de la politique à la caserne. Elle, n'y peut être câùse'qùë de" divisiohV prbclàriïët-il, de faiblesse, de ruine; de guerre civile et d'invasion.

Tout cela dit d'un accent ferme, sans emphase, souleva les bravos de l'Assemblée un peu réconfortée. 1

QUELQUES FORMULES du ministre

de la Défense Nationale

Le Louvre

pour tous

Hier inauguration

des « mardis populaires » Hier soir, en présence de deux ministres, M. Jean Zay et M. Léo Lagrange, une nouvelle expérience était tentée au musée du Louvre une expérience de public et elle a réussi. Pour la première fois depuis que l'éclairage artificiel anime les salles des Antiques et les salles égyptiennes, des visiteurs étaient admis de 20 à 22 heures à demitarif, sur présentation de cartes d'associations professionnelles. Essai tout à fait conforme à la conception républicaine du rôle des musées les chefs-d'œuvre à la portée de tous et l'enseignement par les chefs-d'œuvre.

A neuf heures du soir, près de 900 entrées avaient été enregistrées. A titre documentaire, notons que nombre des amateurs d'une promenade nocturne à travers les vieilles civilisations se sont réclamés de groupes S.F.I.O., du « Centre supérieur d'études de la C.G.T. », des « Auberges de la Jeunesse ou du groupe « Savoir».

Ceci dit, nous avons eu personnellement l'impression que les visiteurs pour la plupart appartenaient plutôt à la petite bourgeoisie laborieuse qu'aux classes populaires proprement dites une majorité d'employés, semblait-il. En tout cas, l'annaliste se doit de noter que ce public, d'une tenue extrêmement correcte et d'un maintien parfait, prenait le plus vif intérêt à tout ce qu'il voyait. Autour des conférenciers et des confériencières qui commentaient les sculptures les plus caractéristiques dans un langage disert et clair (bien que parfois un peu trop savant), les visiteurs, par groupes de 40 à 60, se pressaient, plus attentifs que ne le sont souvent des étudiants autour d'un maître illustre. Pas de ces gouailleurs, de ces « titis » qu'on retrouvait partout dans le Paris d'avant guerre. Des hommes de tout âge, beaucoup de jeunes femmes et de jeunes filles, tous respectueux, désireux d'apprendre et de comprendre, recueillis devant les expressions que les hommes des temps lointains ont données à leur idéalisme et à leur admiration de la nature. L. ̃iliiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiimiiiiiiiiiiiimiiitiiiiiiiif 111111111111 munit' LA LEGION D'HONNEUR Lire page 6 les promotions des ministères

de l'Education nationale, les Pensions et des Travaux publics.

Même des communistes ? Même des communistes. Ils applaudissaient tout avec zèle et comme en se bouchant les oreilles. Au Parlement, on le sait, ils sont ardemment patriotes et militaristes. L'un d'eux se fâcha hier parce qu'on rappelait leurs anciennes affiches « Pas un sou, pas un homme pour la défense nationale. » II n'est pas loin non plus le temps où ils disaient à la tribune que « la vraie patrie d'un prolétaire était TU. R. S. S. ». D'ailleurs, sans .s être dupés de .ces démonstrations, notons l'avantage que peut présenter cet étalage de loyalisme feint. Tandis qu'ils se joignent aux manifestations nationales, nos bolchevistes ne peuvent en même temps lire, comme ils faisaient jadis dans l'hémicycle, des factums internationalistes ou antimilitaristes. Leur ancienne propagande de tribune et d'Officiel est enrayée. Le gouvernement cependant comptait, en cette affaire, sur la réunion dans les urnes des bulletins d-v tous les partis. Il se heurta à un refus de 124 députés que ne rassure pas sa politique économique et financière et pour qui trop paradoxal est le soutien révolutionnaire en cette matière. M. Daladier et M. Blum protestèrent au nom « de l'homogénéité et de la cohérence » du Cabinet contre ce point de vue. Mais l'unanimité ne se produisit pas* Si bien que cette interpellation dont nous avons ^lânié le principe au jour le jour. se montra vaine jusqu'au bout. Elle eût pu devenir nuisible. HENRI VONOVEN.

AU SENAT

# l'ordrFdu JOUR PUR et SIMPLE

a clos l'interpellation sur les menées

communistes

(Lire le compte rendu page 4)

~r

Un comité franco-allemand pour les relations culturelles est créé à Berlin

t T

M. François-Poncet

en est le président d'honneur Berlin, 2 février. Le D. X. B. communique

A l'occasion de l'Exposition internationale de Paris de 1937, un comité d'honneur, placé sous le haut patronage de M. André François-Poncet, ambassadeur de France, s'est constitue à Berlin.

Ce comité est destiné à encourager les relations culturelles entre les gro ipes professionnels allemands et îrxnçais. frin

UNE CROIS 1ER E M O U VE M EN TE E

La Home Fleet a quitté l'Angleterre pour sa croisièr e annuelle qui la conduit à Madère et aux Canaries. s Elle a dû lutter, dans le golfe de Gascogne, contre u ne mer démontée. La photo ci-dessus, prise du «Royal- c Sovereign», montre le cuirassé « Resolution », de 30.0 00 tonnes, en partie caché par une lame gigantesque ».. et suivi du « Ramillies ». c

f~ T" >,

Sir Eric Phipps ambassadeur

d'Angleterre à Berlin succède à

Sir George Clerk à l'ambassade de Paris

Nous avons déjà exprimé ici le regret qu'a suscité dans tous les milieux parisiens la nouvelle du prochain départ de sir George Clerk, l'éminent ambassadeur d'Angleterre, admis à faire valoir ses droits à la retraite après une longue et brillante carrière diplomatique. Il sera toutefois agréable d'apprendre que le gouvernement britannique vient de lui désigner' comme 'successeur sir Eric Phipps, actuellement ambassadeur de Grande-Bretagne à Berlin.

Ce choix souligne de la façon la plus heureuse l'importance que nos amis

anglais attachent ajiriévelnDDement con-

tinu dés étro~tes ielahbus~quv se'soni

tinu des étroites relations qui se' sont

établies entre Londres et Paris. Sir Eric Phipps a fait, en effet, une grande partie de sa carrière à l'ambassade du faubourg Saint-Honoré. Il y vint comme attaché avant la guerre il y demeura pendant la conférence de la. paix en qualité de secrétaire de la délégation anglaise et y occupa ensuite le poste de ministre pendant l'ambassade du marquis de Creew. Dix-sept années de séjour à Paris ont créé entre lui et nous des liens d'estime et d'affection qu'une longue absence n'a point affaiblis et que justifie le souvenir de son extrême bonne grâce et de son active collaboration au maintien de l'Entente Cordiale.

Sa nomination à Paris laisse vacante une importante ambassade, celle de Berlin. Il est probable qu'elle sera confiée à sir Eric Drummond, ambassadeur à Rome. R. L.

M. LITVINOV en disgrâce ? Il serait, lui aussi,

suspecté de « trotskisme » Berlin, 2 février. La presse allemande fait grand bruit autour d'une disgrâce prochaine de M. Litvinov, haut commissaire du peuple aux affaires étrangères soviétique. Selon des informations parvenues de Moscou à VAngriff, le départ précipité de M. Litvinov de Genève serait en relation avec le dernier procès intenté aux trotskistes. L'enquête menée par Jeschov, commissaire à l'intérieur, aurait révélé, en effet, que la/femme de Litvinov était en relations étroites avec Piatakov et Sokolriikov les documents établissant que même Litvinov avait collaboré avec les trotskistes seraient même tombés entre les mains de la police.

L'Angriff ajoute que Tairov, chef de la section politique du parti, succéderait à M. Litvinov.

Mme Litvinov

ne serait pas gardée à vue Moscou, 2 février, -r- On dément que Mme Litvinov, femme du commissaire du peuple aux affaires étrangères, serait gardée à vue chez elle, en attendant d'être appréhendée sous l'inculpation d'avoir pris, part active au récent complot des trotskistes contre le gouvernement russe.

M. Litvinov, qui est rentré de Genève, a- jusqu'ici refusé de faire aux journalistes la moindre déclaration à ce sujet. »'̃•

Vers un nouveau procès Radek-Sokolnikov

Londres, 2 février. On mande de Moscou au Daily Herald qu'il est possible que Radek et Sokolnikov, condamnés k dix ans de prison, soient de nouveau traduits en justice lors de la comparution de Boukharine, Rykov et autres membres du centre « trotskiste ».

M. JACQUES IBERT EST NOMMÉ

DIRECTEUR DE LA VILLA MËDICIS

Par ce choix, te ministre de l'Education Nationale tombe d'accord avec

T Académie des Beaux-Arts (Lire',en troisième page l'article de Louis, Chauvet).

LES JOURS SE SUIVENT

LE PAIN QUOTIDIEN II faut bien en parler. Ce n'est pas un sujet plaisant, mais faut bien en parler puisqu'il est le sujet même de notre vie de tous les jours, et que que/que répugnance qu'on ëprout'e à faire les comptes, il faut pourtant bien les faire 1 Or le prix de l'existence augmente à une cadence inquiétante. Les chiffres comparatifs publiés naguère par le Figaro et qui après une semaine sont déjà en relard sur la cote du jour, ont cette éloquence muette contre laquelle les répliques'optimistes et les mots enveloppés de papillotes ne peuvent rien. Notez bien que cette statistique portait sur le prix de la vie alimentaire qui est celle que le gouvernement avait promis de surveiller, qui est celle aussi qui n'a pas subi (ou peu) le contre-coup des augmentations de salaires ni l'incidence de la dévaluation. Le bétail, les légumes, les fruits ont continué de pousser au mois de juin, tout comme si les usines n'avaient point été occupées. Et on ne voit pas la raison de leur renchérissement aussi nettement qu'on l'aperçoit pour les industries, grevées de nouvelles charges et tres lourdes. Soit dit. en passant la très lente augmentation, jusqu'à présent, des obje,ts manufacturés plaide pour l'ingéniosité des fabricants et la loyauté du détaillant. Mais cette modération sera bientôt emportée apprêtons-nous à payer notre habit et notre côtelette plus chers que nous ne les avons jamais payés. Or, il est dans une vaste bourgeoisie comme" est la France^ beaucoup de gens dont le salaire, les revenus ne dépendent ni d'une revendication, ni d'une violence, qui sont: à peu près obligés d'accepter ce qu'on leur offre, qui le tiennent souvent d'une activité basée sur le superflu, les plàisirs de l'esprit, le demi-luxe des mœurs. Ceux-là sont délibérément sacrifiés. Il est naturel que je. pense aux écrivains puisque j'en suis un et que je me tourne vers M. Léon Blum mi en a été un avant toute chose et connait le désintéressement, mais aussi les traverses, les ingrati'udes de ce métier. Au nom de quelle Dhilosobhie sociale exiae-t-on leur \acrifice ? La société vaudra-t-elle •nieux qu'elle ne vaut lorsqu'il faudra pour y vivre accomplir uniquement un métier qui soit de première zécessilé et tienne à notre peau )our la couvrir, la-n-ouvrir oa la dèendre ? 1

« Je ne suis pas amateur de la philosophie populaire. », disait jœthe à Eckermann. Et il se refusait i ce qu'on livrât les mystères à la Hscussion du peuple. « On ne peut tas dire, ajoutait-il, quand finiront es tristes égarements d'esprit qui en •ont résultés. » M. Léon Blum avait !u temps de La Revue Blanche,. écrit tue suite aux « Entretiens de •œthe. H connait donc le plaisir des nires spéculations et ceux même des lilèttantismes de l'esprit. Ne voit-il >as qu'il n'y aura plus guère de place wur eux dans la société qui se orme?

Guermantes.

ifHllililiiMi.lilgiiHmmi.liimiiliiiiimMiU'iiumm.'mm"1"11' Par suite d'un retard postal, la Chronique musicale de notre éminent collaborateur, M. Reynaldo Hahn, n'a pu trouver place dans le numéro de ce jour.

Nous la publierons demain.

LA MEDITERRANEE berceau de la civilisation' ne doit pas en devenir le tombeau

Pour parer au danger il appartient à l'Angleterre, à la France et à l'Italie, d'arrêter la guerre civile espagnole Par PIERRE-ETIENNE FLANDIN,

II est sans doute encore trop tôt pour faire la somme des conséquences du conflit italo-éthiopien dans la politique internationale. Les historiens s'étonneront que tant de malentendus, d'erreurs et de fautes aient pu alors être accumulés au nom d'un idéal qui n'était pas réellement en jeu. Toujours est-il que les trois principales victimes de cette affaire ^spnt la Société des Nations, l'Angleterre et la France. La Société des Nations, d'abord, si inutilement et imprudemment engagée, a perdu une grande part du prestige qui faisait son autorité. L'Angleterre qui, aux yeux du monde, avait pris parti, n'a pas osé ou n'a pas pu aller jusqu'au bout, ce qui .a démontré une faiblesse, au moins provisoire. La France, qui n'a pas su, ou qui n'a pas pu, à cause de sa politique traditionnelle d'entente avec Londres, prendre parti, a compromis l'amitié italienne fraîchement renouvelée pâti, pendant de longs mois, de la mauvaise humeur britannique souffert, le 7 mars 1936, de la carence de la Société des Nations.

Il n'en fallait pas plus pour créer, déjà, un grand désordre dans la Méditerranée où, à cause de leurs positions respectives, l'accord est indispensable des trois grandes puissances les plus intéressées l'Empire britannique, la France et l'Italie. Cependant, tout eût pu être rapidement remis en ordre si la guerre civile espagnole n'était venue compliquer le problème. Il faut, en effet, rendre cette justice au gouvernement de Londres qu'il sait, plus rapidement peut-être que tout autre, tirer les leçons des événements. Pour effacer toute impression de faiblesse, il a lancé un programme général de réarmement où il n'épargne aucun sacrifice pour refaire, de l'Empire britannique, la plus grande puissance navale et aérienne du monde. Les Français, certes, seront les premiers à s'en réjouir. L'ordre ne règne et ne régnera dans le monde que grâce à la force qui le garantit. La force morale du droit et de la justice a certes sa valeur, mais elle devient inopérante lorsque la force matérielle des armées ne l'appuie pas.

̃ (Suite page 3, colonnes 1 et 2.)

MI VOLANT DES BOLIBES DE -L'ESPACE

Est-ce le mystérieux « point noir » qui cause tant de catastrophes r aériennes ?

Un Comité consultatif, créé par le ministère de l'Air, va étudier les effets de la pression atmosphérique sur les réflexes des pilotes

C'est un souvenir d'il y a deux ans

L'avion de chasse que nous suivions des yeux prit encore de l'altitude et, soudain, amorça une « vrille ». Dix fois, quinze fois, vingt fois, l'appareil tournoya en se rapprochant de la terre.

Je vis alors mon ami le capitaineaviateur N. blêmir en étouffant un juron et ses traits se crisper. L'avion continuait sa chute. A deux cents mètres du sol, son vol redevint heureusement normal et son pilote vint l'arrêter, hélice calée, face à notre groupe.

Alors, c'est ainsi que vous respectez les consignes de vol ? Le sergent coupable se tenait fixé au garde-à-vous.

Mon capitaine, je ne sais pas ce qui s'est passé. J'ai, à un moment, baissé la tête pour regarder mon altimètre. Alors il m'a semblé que l'avion basculait d'arrière en avant; mes oreilles bourdonnaient, et mes yeux ne voyaient plus rien. J'ai essayé de reprendre mon équilibre le « manche à balai ne réagissait plus.

« Le Point Noir »

Encore un garçon qui revient de loin, me dit le capitaine N. Toujours ce point noir.

Le point noir ?

Oui, c'est un phénomène physiologique apparu depuis quelques innées seulement et que nous ignorions quand nos avions étaient moins rapides. Dans une «vrille», dans un virage serré, dans un «looping », le pilote devient complètement aveugle, tandis qu'il est pris d'une torpeur analogue à celle qui précède une syncope. Personnellement, cela m'est arrivé une fois; on ne sait plus ce qui se passe; on se sent chavirer et l'on accomplit des gestes de pilotage contraires à ceux :ju'il faudrait. Je suis persuadé que beaucoup d'accidents mystérieux l'ont, pas d'autres causes.

Qu'est-ce qui produit ce « point ioir » ? ?

On ne le sait pas trop. Le Laboratoire d'études médico-physiologiques de l'armée de l'air s'occupe le la question. Dans le fond. /oyez-vous, l'homme n'est pas fait jour voler, et pour voler comme on e fait aujourd'hui. Les perfectionîements incessants des matériels en ervice dans l'armée de l'air posent jour le personnel appelé à les utili*r des problèmes d'adaptation charue jour plus complexes.

Et le temps a passé. Il faut croire < lue la question, avec les avions de

ancien 'Président du Conseil

chasse qui volent à 500 kilomètres à l'heure et dépassent les 700 kilomètres à l'heure en « piqué », préoccupe sérieusement le ministère de car un décret du 8 décembre, dernier a créé une Inspection des services médico-physiologiques de l'armée de l'air dont la direction a été confiée au médecin général J. Beyne. Ce service a pour mission de centraliser toutes les recherches biologiques ou médicales se rapportant à l'adaptation au vol de l'organisme humain, d'étudier méthodiquement ces problèmes et de contrôler l'efficacité de leurs solutions. D'autre part, un arrêté ministériel vient, le 21 janvier, d'instituer auprès du ministère de l'air un comité consultatif de biologie aérienne dont le médecin général J. Beyne est président et qui groupe M. Léon Binet, professeur de physiologie à la Facultéde médecine M. Jean Gautrelet, directeur du Laboratoire de biologie expérimentale de l'Ecole des hautes études M. André Mayer, professeur au Collège de France; et M. André Strohl, professeur de physique à la Faculté de médecine. Ce comité est chargé d'émettre des avis sur les problèmes biologiques et médicaux et de fournir des plans.de recherches.

Philippe Roland.

(Suite page 3, colonnes 1 et 2.)

ARMAND SPILERS L'EVADE PERPETUEL revient aujourd'hui devant les jurés

des Basses-Pyrénées La dernière fois que Spilers, l'évadé perpétuel, a comparu en Cour d'assises, ce n'est pas lui qui s'est en allé, c'est la justice qui lui a faussé compagnie. L'affaire se déroulait normalement, tranquillement, quand le parquet de Pau s'aperçut qu'un des jurés était doté d'un conseil judiciaire et ne pouvait donc pas siéger. On renvoya le procès k une autre session. IJ revient aujourd'hui devant la même Cour d'assises des Basses-Pyrénées, On espère, cette fois, mener les débats jusqu'au bout. Armand Spilers est accusé d'avoir abattu, à Saint-Jean-de-Luz, un agent de police, l'agent Fauthous, qui l'avait surpris au cours d'un cambriolage.


£ES ECHOS

V

Les photographes

et la défense nationale

C'.était hier le premier jour de la vente aux enchères, qui durera un mois, du mobilier d'un ̃ grand1 hôtel dont l'immeuble a été cédé au ministère de la guerre.

De nombreux photographes avaient braqué leurs appareils sur les sommiers, matelas, tables de nuit et armoires entassés dans l'immense salle à manger.

Mais à ce moment un monsieur dont les allures dénotaient l'importance vint parler à l'oreille du cornmissqire-priseur.

Celui-ci prit aussitôt' la parole pour lancer cet ukase

Messieurs, nous sommes ici sur le domaine du ministère de la guerre. Les photographies sont interdites'. Quels objets dans un mobilier d'hôtel peuvent intéresser la défense nationale ? Les matelas ?

LA DENTELLE DU REMPART

par CHARLES MAURRAS

Le nouveau livre de Chartes Maurras, La Dentelle du rempart, s'annon.ce comme un très grand succès. Les services de presse sqnt à peine parvenus à la critique (l'ouvragé a été dédicacé par

l'auteur à la prison de la Santé) et l'éditeur,à dû procéder à un tirage nouveau, Il est vrai que peu de' livres de ce temps offrent une telle matière, et une telle qualité. L'œuvre est précédée d'un hommage au Maître par Bernard Gras. set.

(1 volume, Librairie Grasset, 15 fr.)

Pressentiment.

Marguerite Audoux, qui vient de mourir, avait fait quelques vers. Une revue littéraire publia d'elle, jadis, ce quatrain

La vie est une auberge où l'on '.sert,' où [l'on passe,

En n'ayant que pour prêt le salaire reçu. Mais quand pointe le jour où pour nous [tout s'efface,

Sur un lit d'hôpital qu'il soit le bien[venu 1

Marguerite Audoux a ainsi prévu sa triste fin.

FRANÇOIS CHARMOT

L'AMOUR HVMAlfi

De l'enfance au mariage

Sur le mariage, la préparation au mariage, l'adolescence, voici un livre qui dit toute la vérité, avec une délicatesse d'expression, une vigueur de pénétration psychologique que rien n'égale jusqu'à ce jour. (Editions Spes, 12 fr.)

L'ennemi de la bière.

Grande indignation du communiste Dewez hier à la Chambre. Il paraît- qu'à Lille, à Douai et à Cambrai, on donne aux soldats de la bière et non pas du vin.

Le vin n'est tout de -'niêiile pas obligatoire, observa M. Daladier. Et Dewez est député du Nord Le Mas quo de Fer.

COURRIER DES LETTRES La mort de l'écrivain de « Marie-Glaire »

On annonce la mort de Marguerite Audoux une fin attristante elle est morte à peu près aveugle à l'hôpital.

Son destin littéraire est singulier. Elle restera, bien que son œuvre ne se borne pas à ce seul volume; l'auteur de Marie-Claire le magnifique récit resplendissant d'un talent naturel, émouvant par son sujet, inimitable par le trait simple et fort.

Marguerite Audoux, devenue cou- turière, éprouve le besoin de conter son enfance de fille de l'Assistance publique. Avec une heureuse fortune, le manuscrit arriva entre les mains de Mirbeau qui avait aisément de l'enthousiasme et cette fois, du moins, en montra du meilleur, du plus éclairé. Il lança l'ouvrage.

Marie-Claire fut très vite célèbre. Le Prix Femina lui échut en 1910. On le lit toujours il n'a rien perdu de sa fraîcheur, tant l'humaine sensibilité y a de force et de bonheur.

Destin singulier. Marguerite Audouxn'avait pas réussi à devenir une femme de lettres. Elle est morte à l'hôpital par une rigueur injuste. Les Alguazils,

A L'EXPOSITION DE 1937 Pose de la première pierre du Palais de la Publicité première pierre du Palais de la Publicité sera posée demain 4 février, à 11 heures, par M. Charles Spinasse, l, ministre de économie nationale, en présence de MM. Paul Bastid, ministre I du commerce J. Julien, sous-secrétaire «l'Etat à l'enseignement technique Edmond Labbé, commissaire général de l'Exposition internationale de Paris 1937 Paul Léon, commissaire général adjoint Huisman, directeur général des beaux-arts Luc, directeur général de l'enseignement technique, et Léon Rénier, président du Groupe il, et de toutes les personnalités du monde de la publicité.

Cette cérémonie sera suivie d'un déjeuner.

V O T R E CHANCE d'aujourd'hui

APRES deux journées épineuses, eu volet une réellement tavorable. Notre satellite Lunaire reçoit trois bons aspects sucpeaitiHs de Mercure, de JupHer. de ,\i'i>tune. excellents pour les journaux, les concerts, les affaires en ffénéral. les procès et les relations soeiales. Vénus et Mars sont moins bien nartaicés. Des excès 1>uKSfonue1.s sont possibles. Il y a lies, entre gens qui se plaisent. dtfMMT «*»c soin les disputes. LE SAGITTAIRE.

AUJOURD'HUI

Cours. 15 h. Thé, bridge et backgammon au profit des œuvres de S.A.I. et R, la princesse Kieolas de Grèce (Cercle interallié).

Réceptions. 16 h. M. et Mme Jules Cayron.

17 !i. Baronne Gourgaud.

l" h. Comtesse de Fontgalland. Bienfaisance. 21 h. 30 r Bal de l'OEillet Rose au profit de la Maison de Repos des femme? secrétaires (Cercle militaire). Cercles. 15 Il. 30 Conférence par Mme Marcelle Ra&ron de l'Opéra-Comique (Cercle des Arts et des Lettres, 33, rue DesbordesValmorc).

Douils, 10 11, 15 Obsèques du docteur Edmond, Rousseau (Salnt-Sulpice), 1 h. Obsèques de M. Georges Raroona-Gonteaud (gaint-Plerre de Neuilly). 11 t h. Obsèques de' M. Spakler (Temple du Saint-Esprit, rue Roquépine). Midi Obsèques' de M. André Retgnler (Saint-Pierre de iSeuHly).

COURS

LE ROI DE SUEDE

A BRUXELLES

S. M. le Roi de Suède, qui est allé en Belgique rendre à S. M. le Roi Léopold III la visite officielle qu'il lui fit peu après son avènement, est arrivé à Herbestal hier, par l'express de Cologne. Les wagons royaux furent aussitôt accrochés au train royal belge, qui s'était rendu à la frontière à la rencontre du Roi Gustave avec le ministre de Suède en Belgique et de hautes personnalités belges. Aucune cérémonie officielle n'a eu lieu. La première réception s'est déroulée à Liège, le gouvernement de la province a salué le souverain. Le train royal est arrivé à onze heures en gare de Bruxelles, décorée des drapeaux belge et suédois.

En grande tenue de lieutenant-général, S. M. le Roi Léopold III a accueilli sur le quai de la gare le Roi de Suède, qui était également en grande tenue. Les deux Rois se sont embrassés longuement et le Roi Léopold paraissait fort ému. Il a pleuré même, à la vue de celui qui lui rappelait si vivement le souvenir de la Reine Astrid, dont il connaissait la vive affection pour son oncle, affection que le Roi Gustave lui rendait profondément et qu'il a reportée sur le Roi, son neveu.

Tandis que le canon tonnait et que les troupes présentaient les armes, le Roi Gustave a passé en revue les détachements d'honneur, puis il a salué la colonie suédoise.

Vivement acclamés par la foule, les deux souverains ont pris place dans une voiture attelée à la daumont. Arrivés devant le tombeau du Soldat inconnu, ils sont descendus, se sont inclinés devant la tombe, puis ont regagné leur voiture. Le cortège royal s'est dirigé alors vers le palais de Bruxelles, où les souverains ont déjeuné dans l'intimité.

A l'issue du dîner offert le soir par le Roi Léopold à son hôte, les deux souverains ont échangé des toasts particulièrement cordiaux. Ils ont l'un et l'autre souligné l'utilité d'une collaboration étroite entre leurs deux pays et la nécessité de pratiquer une politique d'indépendance et de sagesse.

Une messe anniversaire pour le repos de l'âme de la Princesse Blanche d'Orléans sera dite demain jeudi 4 février, à dix heures, en la chapelle de la Compassion, boulevard Pershing.

J3. A. î. et R.,l|,JPrincesse Nicolas

de Grèce, Grande-Duchesse de Russie, honorera, de “$$ présence le thé-bridge et back-gâfnrnon organisé au profit de ses œuvres, qui aura lieu aujourd'hui mercredi, à quinze heures, au Cercle Interallié.

'$

DANS LES AMBASSADES S. Exe. l'ambassadeur de France à Bruxelles et Mme Jules Laroche ont offert, le 29 janvier, un dîner auquel assistaient

M. Paul Hymans, ministre d'Etat, et Mme Paul Hymans; M. Georges Theunis, ministre d'Etat, et Mme Georges Theunis; M. Albert Dévête, ministre d'Etat, et Mme Albert Devèzo; M. Paul Reynaud, ancien ministre; le comte d'Ansembourg, chargé d'affaires du Luxembourg, et la comtesse d'Ansembourg

Mme Heuricot, baron et baronne de Ryckman

de Betz, vicomte Guillaume de Spoelberch, M. Sussdort'f, conseiller à l'ambassade des Etats-Unis; M. et Mme Ernest-John Solvay, le professeur et Mme Jacques Errera, professeur Baudhuin, M. et Mme Charles d'Ydewalle, M. Bpuchet, comte et comtesse de La Chauvinière.

DANS LE MONDfc

Soirée musicale, le vendredi 5 février, chez la princesse Edmond de Polignac. Mlle Nadia Boulanger dirigera une cantate de Bach et des madrigaux de Monteverde, ainsi que quelques œuvres modernes.

La comtesse de Mauduit a quitté Paris lundi, se rendant en Yougoslavie, où elle doit faire une série de conférences, et rentrera à la fin de ce mois.

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BIENFAISANCE v

L'abbé de Chasseloup-Chatillon, curé de Sainte-Geneviève de Cachan, organise, pour les œuvres de jeunesse de sa paroisse, une vente de charité qui aura lieu aujourd'hui mercredi 3 février, toute la journée, et demain jeudi 4 février, après-midi, à l'hôtel de Rohan, 35, bou- levard des Invalides.

On peut adresser les offrandes au c. c. post. de Chasseloup, Paris 763-19, Un nouvel archevêque à Chambéry

Un nouvel évêque à Meaux Les sièges épiscopaux de Chambéry et de Meaux, vacants depuis plusieurs mois, ont été pourvus de titulaires, hier, par S. S. Pie XI Mgr Durieux, qui, depuis six ans, était évêque de Viviers, est i nommé archevêque de Chambéry. M. le < chanoine Evrard, arohiprêtre de Calais, succédera à Meaux à Mgr I^amy, récemment nommé archevêque de Sens, Mgr Durieux, originaire de la Haute- Loire, est âgé de cinquante-deux ans. Il est docteur en théologie et en droit canonique. Il fit la guerre dans le service armé et la termina comme sergent-fourrier..11 fut cité à l'ordre du jour «lu j 15" régiment d'infanterie en 1918. Après j la guerre, il fit un séjour à Rome, à Saint-Louis-des'Français, pour complé- ter ses études de droit canon au studio de la Rote et du Concile. Vicaire général du diocèse du Puy, il fut nommé évêque de Viviers en 1931, et, depuis lors, apporta une attention particulière aux questions scolaires et sociales. C'est un prélat éminent j Quant au nouvel évêque de Meaux, originaire du Pas-de-Calais, il est âgé de quarante-huit ans. Il était, au nio- < ment de la mobilisation, directeur du 1 grand séminaire d'Arras. Sergent bran- cardier, il fut fait prisonnier devant Douaumont en 1916. Rapatrié quelques mois plus tard, il retourna sur le front y comme infirmier. Il fut cité à l'ordre de la ôl" division d'infanterie en 1914, reçut, en 1915, la médaille militaire et fut cité à l'ordre de la 132° division d'infanterie en 1918.

Depuis 1933 il était archiprêtre de Ca- lais. 1

Maquette du pavillon alsacien qui s'édifie sur l'esplanade des Invalides pour l'Exposition de 1937.

Mlle .cheline Canivet dont le mariage avec M. Jean Sigaudy vient d'être sélébré en la chapelle de Sainte-Chantal.

(Studio de France.)

1 La Bouée, oeuvre d'appui amical à l'artisanat et aux professions libérales et commerciales, organise une matinée artistique qui sera donnée en l'hôtel de la duchesse de Broglie, 27, rue Chateaubriand, le vendredi 5 février, à seize heures, avec le gracieux concours de Mmes Marguerite Liszt, Madeleine Mansion, Hix-Grevoisier; Mlles Marie-Thérèse Gauley, Yvonne Pascal, Gaillard et de MM. Georges Spana, George Chepfer, Schrike, Pickaert.

II n'y aura ni quête ni droit d'entrée, mais les personnes qui s'intéressent à cette œuvre pourront remettre des dons ou des souscriptions.

L'exposition-vente des Sœurs mis.sionnaires de Notre-Dame d'Afrique (Sœurs Blanches du cardinal Lavigerie) se tiendra cette année dans les salons de l'hôtel des Ingénieurs des Arts et Métiers, 9 bis, avenue d'Iéna, demain jeudi 4, vendjedi 5^et samedi 6 février. Relever moralement la-femme- indigène en ta 'faisant travailler, lui procurer un gain qui lui assure son pain quotidien, la rendre plus consciente de ses devoirs religieux, familiaux et sociaux, tel est le but poursuivi par les Smurs Blanches en Afrique.

Toutes les personnes qui s'intéressent aux missions né manqueront pas de témoigner leur sympathie en allant faire l'achat de travaux confectionnés dans ces ouvroirs indigènes (tapis, dentelles, van. neries, etc.

r– Un concert de musique ancienne et moderne aura lieu le vendredi 5 février, à quinze heures trente, avec le concours de Mme Micheline Kahn et de Mlle Gabrielle Gills, au profit de la Fédération française des artistes (Maison des artistes, 152, boulevard Hauss.fflann).

A Nice, au Négresco, le 5 février, aura lieu le Gala de la Marine, sous le haut patronage de M. Albert Lebrun, président de la République; M. Gasnier.Duparc, ministre de la marine; M. Tasse, sous-secrétaire d'Etat à la marine marchande l'amiral Lacaze, de l'Académie française, ancien ministre de la marine, président de la Société des œuvres de mer, et des hautes personnalités locales et le concours de la musique des équipages de la flotte de Toulon et de la Compagnie générale transatlantique, au profit du navire-hôpital Le Saint-Yves, de la Société des œuvres de mer.

̃ V. '• ̃ ̃ d»..

CERCLES

A la dernière réunion de la commission d'admission du Comité FranceAmérique, ont été admis au titre de membres:

Le docteur Charles Riehet, professeur agrégé à la Faculté de médecine le comte et la comtesse Emmanuel de Lévis-Mirepgix; M. Joseph Simard.

<*

NAISSANCES

-Le capitaine et Mme Guy de Chergé sont heureux de faire part de la naissance de leur second fils Christian. Colmar, 18 janvier 1937.

Anne-Marie et Ellen d'Estainville sont heureuses d'annoncer la naissance de leur petit frère Charles. 29 janvier. M. Georges Piron, président des Volontaires de guerre belges, et madame, née Stalins, font part de la naissance de leur fille Guillemette.

François, Hélène et Marie-Jeanne Blondeau sont heureux de faire part de la naissance de leur frère Henri. Paris, le 27 janvier 1937.

On annonce la naissance

De .Dominique Lcfebvre du lJrey, d'Alain

Bromnerger, de Claude Jcanmurt, de Stanis-

las Gai]; de Béatrice Lhopltrau, de Cloudine Simplot, de Jacques Loyse«u, de Jean Sousselieri d'Anne de Raguenel.

FIANÇAILLES

Nous apprenons les fiançailles de Mlle Jacqueline Mornand, fille de M. Pierre Mornand et de madame, née Poidatz, avec M. Jean Maillart, fils de M. Roger Maillart, décédé, et de madame, née Marion.

MARIAGES

Hier, en l'église Saint-Ambroîse, a été célébré le mariage de Mlle Suzanne Delfour, fille de M. et Mme Emile Delfour, avec M. Jean Brisson, architecte, fils de M. Paul Brisson, architecte, et de Mme Paul Brisson.

Les témoins étaient, pour la mariée M. Maurice Evrard, industriel pour le marié M. Pierre Godefroy, son oncle. Après la cérémonie religieuse, une brillante réception a réuni les parents et amis des deux familles.

Dernièrement, en la chapelle de Sainte-Chantal, a été béni dans la plus stricte intimité par l'abbé Hanson le mariage de Mlle Micheline Canivet avec M, Jean Sigaudy,

Les témoins étaient, pour la mariée S. Exe. le comte Clauzel, ambassadeur de France, grand officier de la Légion d'honneur; pour le marié M. Bourgeois, commandeur de la Légion d'hon- neur. • ,'̃

Dernièrement 3* été béni, dans la plus stricte intimité, en l'église de Cublac, le mariage de Mlle Yvonne Lachambre et de M. Henry JoJibois..

INFORMATIONS

11 faudra, paraît-il, remonter aux années de la grande prospérité pour retrouver à Cannes une saison aussi bril.lante que celle qui va commencer. Déjà les fêtes de fin d'année furent éblouissantes, et le mois de janvier beaucoup plus animé que de coutume.

Mais tout cela n'est rien en comparaison de l'affluence attendue dans les grands hôtels, comme le Californie, le Grand Hôtel ou le Méditerranée. Au Grand Hôtel, du reste, on note déjà

Lord et lady Parmoor, M. S. Acher, Mrs Rosa Geddes, Mrs H. Locker, M. Lcwis Thornton, M. N. Jacobs, M. S. Cohen, M, et Mme J. Bonthoux, M. d'Houdain. Mrs H. Irwell, M. Max Fuest, M. et Mrs G. Modin, Mme M. Manceau, M. et Mrs A. K. Nimick, M. et Mrs A. A. Martin, Mme lï. Matthews, Mlle Alayrae, M. et Mrs J. Preston, Mrs M. Varley, M. H. E. Emden, M. et Mrs R. Bottenwieser. lady Pullcy, M. et Mrs A. Telford, M. et Mme Decoitssy, M. et Mrs K. Anderson, M. et Mmo W. Hoods, M. M. Vilgruin, M. et Mme Henri Michel, M. et Mme Hans Mettlrr, M. A. Bucton, M. D. Scott, colonel et Mrs W. Berbcr. Mrs Parsons, M, R. Lazard, baronne de Kergai'iou, M. et Mme Tamvaco, M. C. Grisi, M. et Mnïe" A. Dunn, etc.

-Au -Californie .^j.t'» fs-_

ils et Mrs J. C. 'Quimiel, M. Lbuis'G'ro-'

mai'd, Mrs Mal)l<" Temperley, lady Fellciu

Dallas, Mme et Mlle (i. Worms, Mme M. Kargcrc, Mme Denise Jurabson, Mrs Kule

SIR ERIC PHIPPS.

actuellement ambassadeur britan.nique auprès du Reich, qui serait appelé prochainement à remplacer sir George Clerk à Paris.

Burt, Mrs H. Upton, M. W. Anthony Williams, M. et Mrs H. Craggs, M. John Alderson Smith, M. et Mrs L. Rees, M. et Mrs Frank Bearman, M. Gaston Beaugé, M. et Mrs Clarellce Graff M. liobert Lefébure, M. et Mme Michel Motte, M. et Mme R. Hicquet, M. et Mme F. R. Lucké, M. et Mrs S. D. Begbie, M. et Mme E, Charbonneau, sir Henry Strakosh, lady Boseawen, etc. A l'Hôtel Méditerranée sont descen. dus

M. et Mme Lalagade, Mrs et miss Jlac Creery, M. E. W. O'Connor, M. G. Lepage, M. H. Villome, lieutenant de Soisson, lieutenant de Vulpian, marquis Vincent Caries, Mma A. Quiry, lieutenant de Païzis, lieutenant A. Retrou, lieutenant et Mme de Corail, M. et Mme A. Pichon, M. J. Nicolas. M. F. Gutklnd, M. E. Bendir, lieutenant Waskiewiez, Mme M. Berengier, lieuienant M. Fagalde, M. J. Delgado, M. G. Chemoul, M. G. Bavy, M. A. Pink, etc.

Au Gallia L. T. C., le grand tournoi international de tennis s'achève et, une fois de plus, Kho Sin Kie va s'adjuger la coupe challenge sur laquelle Tilden et Cochet ont écrit si souvent leur nom. Au golf, on va jouer la coupe GordonBennett. La 'neige étant tombée dans les environs, beaucoup de skieurs quittent chaque jour les mimosas pour aller retrouver les belles pentes et'la « poudreuse des Alpes-Maritimes.

Au Casino, les galas des Ambassa. deurs alternent avec les grands spectacles et tes grands,concerts. En attendant les ballets de l'Opéra de Florence, Kalenberg, Jacques Thibaud, Ninon Val.lin, Gina Cigna, on vient d'entendre Arthur Rubinstein.

Les galas de fleurs, du samedi sont montés avec goût. Au plus récent on reconnaissait

S. A. R. la Princesse Gennaro de BourbonSlclles, comte et lady Selby, lady Watson, comtesse de La Salle, sir Franck Sandcrson, sir Henry et lady Burrough, lord général et lady Hutehinson de Mont rosé, sir Albert et tady Bail, S. A. In khédive Abbas Hilnii, lady Waldie Griffith, baron C. Ramsay, sir Hamilton et lady Condoii, sir Basil et lady Clark, princesse H. Ghika, Hon. George et tfra Lambton. etc.

DEUILS

C'est en présence d'une assistance nombreuse de personnalités du monde des lettres, du théâtre"' et de la presse qu'ont été célébrées, hier, à onze heu-

Mlle Suzanne Delfour dont le mariage avec M. Jean Brisson vient d'être béni en l'église Saint-Ambroise. (Studio de Fi'ance.)

res, au cimetière du Père-Lachaise, les obsèques de M. Henri Duvernois. Le deuil était conduit par Mme Henri Duvernois, veuve de l'écrivain.

Dans l'assistance

M. Jean Cassou, représentant Il. Jean Zay, ministre de l'instruction nationale; M. Miaud, au nom de M. François de Tcssan, sous-secrétaire d'Etat à la présidence du conseil M. Georges Iluieman, directeur général des beaux-arts M. Langeron, préfet, de police; MM. Paul Strauss, Henry-Pâte, Robert David, anciens ministres Henry Bordeaux, Maurice. Donnay, Georges Lecomte, Claude Farréro, de l'ilcadétille française Valmy-Baysse, Pau) Abram, Max Maurey, Roland Dorgelès, Robert Trébor, Léon Deutsch, Chartes Méré, président de la Société des auteurs et compositeurs dramatiques; Juan Vignaud, président de la Société des gens de lettres; Edmond Sée, président de l'Association de la critique dramatique M. et Mme Gaston Rageot. JIM. Pierre Brisson, Pierre Lafitte, René Baschet, Francis Carco, René Lara, Fernund Gregh, Gabriel Boissy. Bernard Grasset, Mlle Hélène Vacaresoo, Mme Alfred Bviineau, Mme Jacques Balnville, Mme René Puaux, professeur et Mme Roussy, M. et Mme Antoine, M. Raymond Lécuyer, etc. i –• -îsfons 'apprentfrts'la1 nwrtysuïvenue' Nice., de»JW«i«. Dégoutte, femme >âm

général '-Dégoutte. .Vï i'-i-

On annonce, dé Vesoul, la mort de Mme Henri de Beauséjour, née de Valicourt, Les obsèques auront lieu à Vesoul demain jeudi 4 février, à dix heures trente.

On nous prie d'annoncer la mort de M. Georges Repussard, pieusement décédé à Angers dans sa soixante-quinzième année. Les obsèques auront lieu le vendredi 5 février, à dix heures et quart, en l'église Saint.Joseph.

On annonce la mort », Du comte de Vittry d'Avaucourt, Péronue de. Mme Julien Gaudais, née Sarrasin, à Montmorency; de Mme Albert Bernier, née Martin, à Meaux (Seine-et-Marne); de Mme Edmond Michel-Salomon, née de Ricqlès, à Paris; de M. Edmond Javal, à Nice; de M. Albert Guggeuheim, à Paris,

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Le prince Michel de Roumanie est entré en convalescence Florence, 2 février. Le prince Michel de Roumanie est entré en convalescence. La publication de bulletins de santé a été suspendue hier soir. Le prince quittera la clinique dans deux ou trois jours pour retourner à la villa Sparta, où il j»ssera une période de repos auprès tie la princesse Hélène, sa mère, avant de rentrer en Roumanie.

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Nous sommes, nous autres Parisiens, si férus de notre mode, de nos robes, de nos chapeaux, que, devant la collection d'un jeune étranger tel que liraagaard, on est tenté de s'écrier: «Comment peut-on être Suédois et faire de si jolis chapeaux ? »

C'est un fait, cependant, qu'un jour qui n'est pas très lointain encore" un jeune Nordique voulut coiffer (tes Parisiennes et qu'il y réussit. Où a-t-il donc trouvé cette coupe particulière qui relève un peu de la couture et donne à ses modèles une pureté assez rare ? Est-ce le souvenir des couleurs populaires de son pays qui lui inspire des coloris réputés difficiles Ce vert et ce rouge, ce

CHEZ H E I M V

i JEUNES FILLES RETROUVÉES,

Pourquoi voit-on tant de jeunes femmes imparfaitement habillées ? Sans doute parce qu'il existe encore plus de jeunes filles d'une mise sans recherche, et qu'il est malaisé, il faut le reconnaître, d'apprendre, en un jour, un art de lony savoir-faire tel que l'art de se vêtir.

Un certain snobisme aidant, on admet qu'une jeune fille figure en beauté une ois par an, pour un bal ce jourlà, elle a droit à une jolie robe. Et c'est tout. Cendrillon, mieux partagée se rendait au bal chaque soir, et chaque soir encore plus parée.

C'est pour qu'il y ait plus de Cendrillons, même dans le meilleur des mondes, que Jacques lieim vient de créer « un rayon » Jeunes filles. Il a pense « tout et justement à ce coté inspirateur et nuancé qui manquait jusqu'ici dans l'habillement des futures jeunes femmes. Il n'a donc pas fondé une banale maison de couture, mais une sorte de club mondain, où les jeunes filles, après un choix ou un essayage de robes, se retrouveront entr'elles et chez elles.

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15 h., 61, rue Madame ̃« Le curé-de campagne à travers la littérature », par le clianolne Calvet.

15 h., 45, rue La Boétie, aux- Annales: « L'Angleterre de demain », par M. André Maurois.

Cérémonies

14 11. 45, à l'ancien cimetière- de Neuiliy, 1, rue Victor-Noir inauguration du monument d'Hoene Wronski.

Expositions

15 h., à la Galerie Jean Charpentier, 76, rue du Faubourg-Saint-Honore Vernissage des' œuvres de Mlle Marie Teyssier: .« Paysages et types de Tunisie ».

75, boulevard Saint-Germain: Le Livre italien.

38, rue Richelieu Aquarelles de Turner et œuvre de Blake. (Clôture le 15 --février).

Au Grand Palais Exposition des Arts Ménagers. De 19 à 23 h. soirée à prix réduit.

Salles du Louvre éclairées de 20 H. 45 à 23 heures. ̃

grège et ce rubis, ce bleu et ce violet. | Ou bien est-il devenu si Pariiiieti hifiménic qu'il peut escamoter, jusqu'aux fonds de chapeaux? Un geste: dijs « pressions sautent et, sous un antre fond qui n'est qu'un ruban croise, les cheveux apparaissent.

Chose rare. U sait aussi hic,» piquer un bouquet, fripper une voilette, imaginer avec une toque vénitienne Un jnanchon de printemps en taffetas que. renouveler une forme sportive..Et.. l'on peut prédire un succès certaiii S scsTciitres aux calottes cassées ily a longtemps que, dans ce domaine, nous avions perdu contact avec l'inattendu. Cla.

« « Journal des Demoiselles » du pieu I pâle, du blanc, des paravents cupi.tonnes, un canapé, des rideaux cerise. Vérj rière ces rideaux, des petits suions d'essayage où l'on apprend, en collabotulion avec son essayeuse, ce que c'est qu'une robe. Et plus loin une cuisine toute blanche et moderne où en s'(tmusant on se fait un thé, un vrai thé. Et l'on voit aussi, chez Héim, de vraies robes pour jeunes filles.Des robes,qui,si l'on ose dire, sont jeunes sans le savoir. Mais des robes qui ont un style. Et de quoi est fait un style pour jeunes filles? De sens pratique et d'ornementation fraiche et sans prétention ainsi cet ensemble trois-quarts dont l'enforme brisé de plis repassés permettra de remuer sans souci ainsi cet écossais naïf, ainsi ces poches aux revers ingénieux qui faciliteront les gestes simples et sportifs. Ainsi encore ces rubans de velours soulignant une robe de bal, ces plissés, ces nuls d'abeille, ces boléros et jusqu'à, sur une poche innocente, ce cœur brodé d'or. Autant de motifs à une poésie perdue et retrouvée celle des jeunes filles. G. Clarence. `

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PÀQ.UIN,'3, rue de îaPiix, â l'Ainêr-icjiue'

à 15 h. ̃̃̃.•̃̃

MAINBOCHER, 12, avenue George-V, à l'Amérique à. 10 h. 45, à l'Europe à 1S 6. FOURRURES MAX et MAX-SPORT, 19. avenue Matignon, il. S'il.' 30. LUCIEN LELONG, 16, avenue. Matignon. ROBERT FIGUKT, à l'Amérique, à H h., à l'Europe, a 15 h. et 17: h., et jours suivants à 11 h., 15 h. et 17 h. MARCELLE DORMOY, 22 rue Ce La Trémoille, à l'Europe et à l'Amérique, à 10 h. 30.

MAGGY ROUFF, 136, av. Û63 ChampsElysées, à 15 h.

WOHTH, 120, Faubourg-Saint-Honoré, a l'Tiiurope, 11 11. et 15 h.

MATHILDE OERAL, 9, rue Scribe, A 15 h., et jours suivants, à 10 h. et 15 h. MARCEL 'ROCHAS, 12, avenue Matignon, à l'Europe à 10 h. 30 et 15 h. Le février

SCHIAPARELLI, 21, Place VendOme, à l'Amérique, a 10 h. 30.

JEANNE LANVIN, 22, Faubc-urg-Sa.intHonoré, a 15 h.

SUZANNE ALLAIS, tricots, 279, r. SaintHonoré, à 17 h. 30, et jours suivants, â. 10 h. et 15 h..

t.e 5 février

CAROLINE REDOUX, S, avenue Matignon, à 10 h. et 15 h.

de WAR, 18, rue Jean-Goujon, a 17 h. CLAUDE SAINT-CYR, Modes, 122, Faub. Saint-Honorê, à 17 h.


LA MEDITERRANEE berceau de la civilisation ne doit pas en devenir

le tombeau

r r\'( Suite de la première page)

Elî raême temps, le gouvernement britannique s'emploie a hqmder le conflit italo-éthiopien. Il semble bien que le « gentlemen's agreement », récemment signé à Rome, mette un terme, au moins, au différend italo-anglais proprement dit. L'Italie reconnaît les intérêts maritimes de l'Angleterre en Méditerranée L Angleterre reconnaît ceux de l'Italie. Derrière une phraséologie assez vague, il semble bien que soit inscrit le double-renoncemenj.a une suprématie navale en Méditerranée. Ainsi doit se rétablir une collaboration cordiale entre l'Angleterre et l'Italie qur a toujours été, d'ailleurs, dans les traditions politiques des cabinets de Londres et de Rome. Evidemment, cette collaboration nsque de ne rester qu'à l'état de promesse, tant que la position de fait de l'Italie en Abyssinie n'aura pas été reconnue de jure parla Société des Nations. Mais le temps est un grand guérisseur peur qui sait et qui veut l'employer.

Nul doute, non plus, ne peut s'élever quant au rétablissement des bonnes relations franco-italiennes du jour où Genève et Londres auraient confirmé les droits de l'Italie en'Ethiopie dont •* I ?J*Ce n'a jamais contesté la réalité, quelques réserves qu'elle ait du faire à Genève, sur la manière de les exercer. Les accords de Rome de 1935 restent un statut qui n'a pas été dénoncé. Sans doute, le climat n'est plus celui de Stresa, et beaucoup-de bonne volonté devra s'employer, de- part et d'autre, à le recréer mais H ne faut jamais désespérer quand les intérêts permanents de deux grandes nations se heurtent à de simples malentendus

passagers.

Communauté des intérêts français et italiens <\ en Méditerranée

^es intérêts1 permanents de la France et de l'Italie sont en Méditerranée. Sans doute la France a une frontière sur le Rhin «t l'Italie en possède une sur les Alpes. Ces frontières ont de commun qu'elles défendent le passage, maintes fois violé dans 1 histoire, de nombreuses invasions venues de l'Est et du Nord. Elles sont donc strictement défensives et, après les traités de 19 Ï9, la France, en récupérant ses provinces'perdues en 1870, 1 Italie en réincorporant les terres irrédentes, n'ont aucune ambition au delà de ces frontières. Une immense tâche, par contre, les attend, Tune et l'autre, en Afrique. Plus le siècle s'avancera, et plus les intérêts français et italiens au delà du territoire métropolitain auront d'importance dans leur double empire. C'est dire, en même temps, combien la France et l'Italie doivent collaborer étroitement pour maintenir la paix en Méditerranée. Et l'Angleterre nepeut que les encourager et les aider, à partir du moment ou la France et l'Italie, chacune en ce qui la concerne, reconnais^Senties intérêts impériaux de première importance que l'Empire ^britannique doit sauvegarder en Méditerranée.

̃'̃ 'Si cela était clairement vu par les trois grandes puissances méditerranéennes, et si les gouvernements et les peuples l'admettaiént comme une vérité première qu'il ne faut jamais transgresser, la guerre civile en Espagne devrait et pourrait être rapidement arrêtée.

Les dangers de la guerre civile en Espagne II est contraire, en effet, à l'intérêt de l'Italie de laisser :l'Allemagne intervenir, par l'Espagne, en Méditerranée. Et cela est aussi contraire à l'intérêt de la France d'y laisser intervenir la Russie. Sans doute, chaque peuple doit être laissé libre de choisir son régime politique, mais cela seulement jusqu'au jour le désordre des factions internes n'engendre pas un danger pour les autres nations. Après tout, si les bolchevistes espagnols étaient assez forts-pour imposer le régime des soviets au peuple espagnol consentant, ou les antibolchevistes étaient assez forts pour lui imposer une dictature, et pour autant que les intérêts étrangers soient sauvegardés, la meilleure formule serait, à n'en pas douter, la non-intervention. Mais les faits démontrent, par les longs mois de guerre civile déchaînée, que l'une et l'autre faction, impuissantes, ont sans cesse recours à l'aide de l'étranger. Si l'on n'y prend garde, le conflit idéologique, sans cesse ranimé en Espagne, débordera donc un jour le cadre de la péninsule ibérique. Il n'est pas exagéré de dire que certains y poussent allégrement. r

1 La seule solution est que l'Angleterre, la France et l'Italie, prenant conscience de leurs intérêts méditerranéens primordiaux, et, prêtes à garantir l'indépendance et l'intégrité de l'Espagne, entrent en conversation et se mettent d'accord pour arreter la guerre civile.

/;̃̃ La paix est un bien trop précieux et hélas trop fragile pour que « localiser » une guerre soit une sauvegarde pour quiconque. Assez de battage démocratie contre dictature, ou encore ordre contre révolution. Il est temps, pour tous, d'aborder le problème espagnol sous un autre angle que celui de l'idéologie politique. "Tant qu'il subsistera il aura pas de paix méditerranéenne solide, et l'entente méditerranéenne, c'est, probablement, la paix de l'Europe.

P.-É. FLANDIN.

V ancien Président du Conseil.

(World copyright 1937 bij Cooperation.)

SUITE DELA PREMIÈRE PAGE )', EST-CE LE MYSTERIEUX « POINT NOIR»

QUI CAUSE TANT DE CATASTROPHES AERIENNES ?

-Le vol impose à l'organisme humain une série de métabolismes, nous dit le professeur Binet. Non, l'homme n'est pas fait pour vivre et faire des efforts à -«ne,; pression atmosphérique diminuée. pour passer ensuite en quelques secondes à une pression normale, pour recevoir et consommer moins d'oxygène qu'au sol, pour être ̃ fouetté, pour être soumise à des accélérations, ou des décélérations verticales ou 'centrifuges dont lés intensités sont considérables aux vitesses actuelles. La biologie aérienne-, doit étudier ces troubles et trouver le. moyeu d'y apporter des correc-

tions.

»Tous.ïes grands pays ont aujourd'hui des centres de recherches sur ces questions, qu'on étudiait déjà, partiellemeiit,- avant l'aviation dans des laboratoires de montagne. Aujourd'hui, ce n'est pas ce qui se passe à 4.000 mètres, mais les réactions- du corps humain à lO.OOu, 12.000, 15.000 mètres qu'il faut connaître.

» En -1890, continue le professeur Binet, au cours, d'une mission dans la Cordilliére.Viault remarqua que des animaux vivant à basse altitude, transportés sur- les hauts plateaux, ne tardaient pas à' avoir dans leur sang un nombre considérable de jeunes globules. Actuellement, la preuve est faite dès qu'un organisme se trouve à 7.000 mètres, une réaction de défense se produit. En trois ou quatre minutes. la rate mobilise des globules rouges. C'est un joli exemple de finalité. Eh bien, cette « polyglobulie » n'est due qu'à la diminution de la tension partielle de l'oxygène dans l'atmosphère ;la basse pression du milieu, est sans action. La seule insufflation de l'oxygène permet donc de vaincre ^le -mal des altitudes sans danger. Etudier expérimentalement les effets de la vitesse, c'est infiniment plus délicat. Quelles méthodes employez-vous ? Il m'est impossible de vous révéler nos! expériences et nos. recherches nous sommes là dans un domaine nouveau et secret qui touche à la défense nationale. Je m'incline. Pourriez-vous pourtant më parler de ce « Point Noir » mystérieux ?

C'est une question que je n'ai pas personnellement étudiée. Mais ce phé- nomène doit provenir d'un dérange- ment subit de la circulation du sang, d'une sorte d'anémie des vaisseaux rétiniens. Lorsqu'un aviateur bouge la tête i pendant qu'il, exécute un virage ou une vrille très rapides, les accélérations l

s'ajoutent d'après le théorème de mécanique de Coriolis. Rien d'étonnant que se produisent alors des effets physiologiques tout à fait extraordinaires, car les intensités des accélérations atteignent ainsi des valeurs considérables et qui arrivent à dépasser dix fois l'accélération de la pesanteur.

» La machine va-t-elle vaincre î'homme ? Le destin de l'aviation est lié à cette question.»

Philippe Roland.

LES INONDATIONS AUX ETATS-UNIS Le Mississipi et l'Ohio

forment un seul fleuve

large de vingt-cinq kilomètres New-York, 2 février. Le Mississipi et POhio qui sont sortis de leur lit depuis près d'un mois, ont confondu leurs eaux et forment, à l'heure actuelle, un fleuve gigantesque de vingt-cinq kilomètres de large. De ce fait, les burrages menacent de céder sous la pression des eaux. Paducah, ville de 34.000 habitants, située peu en aval de Cairo (Illinois), a été entièrement évacuée.

·

LA SITUATION S'AQGRAVE A FLINT

OU LE JUGE A ORDONNE L'EVACUATION DES USINES New-York, 2 février. Suivant les dernières nouvelles qui parviennent de Flint (Alichigan), les gardes nationaux continuent de monter la garde autour des usines Chevrolet. Ils sont intervenus à plusieurs reprises pour disperser des rassemblements de grévistes et en certains endroits ont installé des mitrailleuses.

La tension demeure très vive et on s'attend à de nouvelles manifestations à l'occasion du jugement qui vient d'être prononcé. En effet, sur plainte de la « General Motors », le juge Gadola i rendu un arrêt déclarant illégale l'oc:upatkm des usines par les grévistes. tl a ordonné l'évacuation dans les Ï4 heures et a interdit également les piquets de grève.

APRÈS LE DISCOURS DU CHANCELIER HITLER M. von Ribbentrop aurait pour mission d'examiner avec !e Foreien Of f ice les revendicat~oris colonlales du Reicb nia, es arrrver~

.( aùtjoürd.'hui, a Londres

<13e :motre "c6rresporida.:n.t 'pa.rticulier, télép~OM.~)

(De notre correspondant particulier, par téléphone.)

Londres, 2 février. M. von Ribbentrop sera demain à Londres. Dès son arrivée, il présenterait à M. Eden un mémoire du gouvernement allemand qui précise certains points du discours du chancelier Hitler. Il s'agirait surtout des revendications du Reich en matière coloniale. M. von Ribbentrop aurait pour mission d'examiner cette question avec le Foreign Office.

On comprend pourquoi nous avons affirmé les premiers, au lendemain du discours du chancelier Hitler, que le gouvernement britannique ne serait pas disposé à- reprendre les négociations

avec. l'Allemagne. 'S

LA QUESTION COLONIALE EST LIEE AU PROBLEME DE LA

SECURITE EUROPENNE M. von Ribbentrop n'est pas encore dans la capitale anglaise et le cabinet britannique n'a- pas tenu de réunion depuis jeudi dernier. Par conséquent, le contenu du mémorandum: de l'ambassadeur du Reich n'est pas connu et n'a pas été examiné par les autorités anglaises. Nous sommes, là dans les conjectures et nous nous faisons l'écho des rumeurs qui circulaient ce soir dans les milieux officiels mais que le Foreign Office ne tient pas pour fausses. En tout cas, l'An-

LES «FANTASSINS DE L'AIR

Sous les ordres du capitaine Geille, ils .s'entraînent à Istres et sont destinés à se lancer, en parachute derrière les lignes ennemies afin de pren.dre l'adversaire à revers.

HITLER PROCEDE

A UNE REORGANISATION DANS L'ADMINISTRATION DU IIIe REICH

(De notre correspondant particulier, par téléphone)

Berlin, 2 février. Le Führer a pris aujourd'hui deux décisions d'une certaine importance. Il a créé, au ministère des affaires étrangères, une section des Allemands vivant à l'étranger; toutes les affaires qui les concernent y seront adressées.

Jusqu'à présent, les Allemands de l'étranger étaient groupes dans des sections nationales-socialistes locales qui formaient toutes ensemble le gau (district) du parti. A sa tête se trouvait M. Bohle, qui dirigera la nouvelle section à la Wilhelmstrasse. Pour souligner l'importance de sa fonction, est décidé qu'il prendra part aux séances du cabinet pour les affaires de son ressort. On ne peut s'empêcher de remarquer que cette nouvelle organisation crée un lien entre le,parti national-socialiste et le ministère des affaires étrangères, qui demeurait jusqu'à ce jour une des administrations les plus en marge du parti dirigeant. On sait que M. von Neurath; bon gré mal gré, en est devenu membre le 30 janvier.

Une autre nouvelle est la retraite de M. von Elz Rübenaeh, ministre des transports, qui occupait ce poste depuis le 30 janvier 1933. Il avait même fait partie des' deux cabinets précédant celui de M. Hitler. Il passait pour un homme très capable dans, sa spécialité, mais il était catholique, et à ce titre ne tenait pas, apparemment, à entrer dans le parti nazi. Il sera remplacé par M. Dorpmüller, directeur des chemins de fer, qui conservera en même temps cette fonction.

Ainsi se trouvera souligné, comme M. Hitler l'a annonce dans son discours, le rattachement direct des chemins de fer allemands au Reich. S. M.

LE GENERAL HAYASHI PRESENTE A L'EMPEREUR LA LISTE DU NOUVEAU CABINET JAPONAIS

Tokio, 2 février. L'Empereur a reçu ce matin le; général Hayashi, qui lui a soumis la liste du nouveau ministère, dont voici la composition

Président du conseil, ministre des affaires étrangères et ministre de l'éducation général Hayashi.

Intérieur: M. Kakichi Kawarada. Finances/colonies,: M. Toyotaro Kuki. Guerre lieutenant- général Kotaro Nakamura.

Marine vice-amiral Mitsumasa Yonaï. Justice M. Suehiko Shiono.

Agriculture, communications M. Tatsunosuke •Yamazaki.

Commerce, industrie et chemins de fer vice-amiral ̃ Takuo Godoh.

r

Actualités internationales ROUMANIE. Le général Samsonovicia été chargé de la coordination de l'activité des ministres de la défense nationale. Il est remplacé, à partir du 1er février, dans ses fonctions de chef d'état-major général de l'açmée, par le général Sichitiu, inspecteur général de l'armée.

Les chemins de fer de l'Etat ont décidé de construire de nouvelles lignes nécessaires a la défense nationale. Une de ces lignes reliera la Bessarabie à la Bukovine, réduisant considérablement la distance'qui sépare la Tchécoslovaquie de la Russie.

gleterre est sur ses gardes et se tient plus vigilante qu'au moment de la dénonciation de la zone- rhénane.

Demain nous lirons s dans la, presse anglaise une -série d'articles eu sujet des colonies allemandes. .•

Sur le plan diplomatique, la position est la suivante

Le gouvernement britannique n'acceptera pas d'examiner les revendications coloniales de l'Allemagne indépendamment du. problème de la sécurité européenne. M. von Ribbentrop aura donc beaucoup de difficultés à séparer les deux questions, sous prétexte que l'une se rattache au traité de Versailles tandis que l'autre est liée aux circonstances nouvelles où se trouve l'Europe. Le gouvernement britannique ne pourra présenter de réponse avant d'avoir consulté les cinq autres gouvernements qui ont l'administration de ces mandats. Les Dominions sont en droit d'agir indépendamment, à moins que la Société des Nations ne prenne une décision que toutes les puissances" mandataires devront accepter.

La thèse anglaise s'appuyant sur les discours des chefs allemands déclarant que le Reich demandé des colonies pour satisfaire ses besoins économiques est que les anciennes colonies allemandes, dont on a doublé la production depuis la guerre, ne sont en état de fournir qu'en quantité négligeable le charbon, le fer, l'huile, le caoutchouc, le cuivre, le coton réclamés par le docteur Gœbbels. Il s'agit donc d'une meilleure répartition des matières premières, problème qu'un comité, qui a invité l'Allemagne, est en train d'étudier à Genève.

POURRA-T-ON REPRENDRE LES NEGOCIATIONS POUR UN PACTE OCCIDENTAL ? C'est donc pour des raisons politiques que M. Hitler réclame le retour des colonies. Les puissances mandataires ont aussi des motifs politiques pour ne pas accepter de rendre mandat à une puissance dont le réarmement ne cesse de mettre la sécurité du monde en péril. Ainsi le gouvernement britannique, pour des motifs de défense stratégique, n'acceptera jamais que l'Allemagne s'implante dans l'Est africain. C'est aussi dire que cette question est liée au problème de sécurité européenne.

M. von Ribbentrop donnera-t-i] à M. Eden certaines précisions qui pourraient faciliter la reprise des négociations pour un pacte occidental ? Apportera-t-il, selon le vœu du s Times », la

L'ACTIVITE ITALIENNE DANS LE PROCHE ORIENT Une conférence italo-turque se tiendra aujourd'hui à Milan., ou le comte Ciano rencontrera M. Rustu Aras

(De notre correspondant particulier, par téléphone.)

Rome, 2 février. Le comte Ciano est parti aujourd'hui pour Milan, où il rencontrera M. Rùstu Aras, ministre des Affaires étrangères de Turquie, qui, lui, rentre de Genève.

Cette, conférence italo-turque est depuis plusieurs jours annoncée et mise en relief par les ,journaux de la péninsule qui y voient, la préface d'une ère nouvelle pour l'action extérieure italienne en Proche-Orient.

Les relations. italo-turques avaient été excellentes jusqu'en 1934, leur cordialité s'était exprimée dans un acte diplomatique solennel le pacte d'amitié signé entre les deux puissances en 1928.. Subitement, en 1934, et alors que le traité itato-turc était toujours en vigueur, ces bons rapports se refroidirent' Le Duce avait fait dans un discours à l'Opéra de Rome, à l'occasion de l'anniversaire du fascisme, une allusion aux besoins d'expansion de son pays en AsieMineure allusion qui fut interprétée à Ankara comme une menace directe, à la sécurité turque. D'autre part, le rapprochement étroit équivalent à une alliance qui se produisit au même moment entre la Turquie et la Russie soviétique, contribua à accentuer la tension exis-

LE COLONEL LINDBERGH A ATTERRI A ROME On les avait crus sa femme et lui victimes d'un accident

(De notre correspondant particulier, par téléphone.)

Rome, 2 février. Le colonel Lindbergh est arrivé à Rome à la fin de cet après-midi, venant de Pise sur son appareil Mohawk. Il a atterri, à 17 h. 6, sur l'aérodrome civil de Littorio, où il a été accueilli par le colonel Thompson, attaché militaire américain. Il a quitté peu après le terrain d'aviation, se dérobant à la curiosité des journalistes et des photographes.

Descendu à l'hôtel Majestic, le colonel Lindbergh s'est refusé à recevoir aucun représentant de la presse, R. A.

Voici le colonel et Mme Lindbergh à leur atterrissage à Rome.

réponse allemande au mémorandum du 16 mai ? Dans ce cas, )e gouvernement britannique ne manquera pas d'examiner cette question des colonies mais avec scepticisme et avec froideur.

~1 Gérard Boutelleau.

Le Reich s'engagerait

sans contrepartie

à reconnaître les neutralités belge et hollandaise

(De notre correspondant particulier, par téléphoné.)

Berlin,- 2 février. A la suite des réactions de la presse belge et de l'opinion exprimée à Lo.ndres que l'offre de garantir la neutralité belge et hollandaise constituerait la seule partie concrète du discours du 30 janvier, on revient à Berlin sur cette question qui, dit-on, serait plus importante que l'opinion étrangère ne semble l'avoir cru tout d'abord.

On sait que le Führer avait fait une proposition analogue dans son discours du 7 mars 1936. Elle était toutefois formulée d'une façon différente. 'il offrait alors un pacte de non-agression incluant la Belgique et la Hollande en même temps que la France, avec la garantie de l'Angleterre et de l'Italie, en somme un nouveau Locarno englobant la Hollande. Ce traité, jusqu'à présent, n'a pas abouti et la Hollande a décliné catégoriquement l'offre allemande. Ce que M. Hitler propose aujourd'hui serait indépendant d'un tel traité dont la conclusion reste incertaine et ne constituerait pas un pacte à proprement parler, car ce serait un engagement sans réciprocité. L'Allemagne s'engagerait purement 'et simplement, sans rien demander en échange, à reconnaître la neutralité des territoires belge et hollandais dans le cas d'un conflit dans l'Europe occidentale.

On suppose que cette offre serait plus acceptable pour la Hollande que celle de l'an dernier et que la Belgique, en raison de l'état d'esprit que le roi a exprinié dans son discours du 14 octobre devrait aussi l'envisager avec sympathie.

Bernard Millot.

tante. Celle-ci devait se manifester récemment sous une forme concrète par le refus italien de participer aux négociations pour la nouvelle convention des Détroits.

La fixation des ambitions coloniales italiennes en Ethiopie, et surtout le gentlemen's agreement qui garantit le statu quo en Méditcrruunce, ont maintenant entièrement calmé les appréhensions de la Turquie. Cette dernière, qui n'a plus de motif de prêter a l'Italie des intentions hostiles; a, au contraire, toutes les raisons de se rapprocher de Rome pour obtenir la ratification du traité de Montreux.

De son côté le gouvernement italien, qui veut la paix en Méditerranée, souhaite vivement reprendre avec Ankara les bonnes relations interrompues, d'où la rencontre amicale de Milan, qui ne vise pas établir de nouveaux accords généraux, qui n'aboutira pas directement à ila signature de protocoles mais qui sera consacrée à un tour d'horizou commun fait dans un sentiment de sym- pathie et de confiance réciproque. Il est certain que, comme conclusion à cet échange d'explications, l'Italie donnera enfin son adhésion au nouveau régime des Détroits.

R. Anglès.

Encore qu'Ms. désirassent garder 1 l'incognito, la nouvele du départ de l'aérodrome de Lympnc du colonel Lindbergh et de sa femme, lundi dernier, sur leur avion Mohawk, avait été transmise dans tous les pays.

Voici- que dans la nuit de lundi à mardi on parla d'un grave accident arrivé à la frontière hungaroyougoslave. Information erronée qui fut démentie par l'arrivée de Lindbergh à Pise. Cependant, la nouvelle de l'arrivée fut longtemps I tenue secrète, sur le désir de l'aviateur qui n:a pas voulu, non plus, dire même le but géographique de son I voyage.

Une avalanche a tué dix-huit alpins italiens Rome, 2 février. On annonce officiellement aujourd'hui que l'accident de montagne signalé le 30 janvier a fait un nombre considérable de victimes. On publie le communiqué officiel suivant

« Dans l'après-midi du 30 janvier, la 18° compagnie du bataillon de chasseurs alpins « Dronero », qui effectuait une marche dans la vallée Maira et, se dirigeait vers le refuge Gardetta, a été surprise par une avalanche sur le front nord-occidental de la Rocca Meja. Un officier, deux sous-officiers et une patrouille de vingt chasseurs ont été ensevelis. Grâce aux secours promptement organisés, cinq soldats ont pu être sauvés. Les corps des autres chasseurs ont été pour la plupart retrouves. >

Nouvelles diverses

La contrebande du tabac et des mitraillettes

Beauvais, 2 février. Cette nuit, vers deux heures, les gendarmes ont arrêté sur la route, à Lagny-le-Sec, une voiture automobile se dirigeant vers Paris dont le conducteur a pris la fuite à travers champs et n'a pu être rejoint. La voiture, qui a été conduite à la gendarmerie de Senlis, contenait 250 kilos de cigarettes belges de contrebande, 3 bandes de cartouches pour mittrailleuses, 1.300 balles de différents calibres pour pistolets automatiques, 3 fusils-mitrailleurs en pièces détachées, un pistolet-mitraillette, trois pistolets automatiques.

Toutes ces armes et munitions sont de marques allemandes.

EN QUELQUES LIGNES M. Pierre Viénot, sous-secrétaire d'Etat aux affaires étrangères, a reçu à nouveau hier matin, au Quai d'Orsay, le général Noguès, résident général de France au Maroc, avec lequel il a pour- suivi ses entretiens.

BOUCHES-DU-RHONE. Le gardien 1 de la paix Antoine Vidal, qui se trouvait en service avenue d'Arenc, à Mar- ] seille, ayant voulu arrêter une automo- ] bile pour que les piétons puissent tra- t verser la chaussée, étendit la main. De < l'automobile, qui n'avait pas ralenti, un ¡ coup de revolver fut tiré. La balle traversa la main du gardien de la paix. Les automobilistes ont pu s'enfuir, t

«. f

Le dentiste Riol n'était pas i le banquier marron Jouillé Bourges, 2 février. L'affaire RiolJouillé qui, depuis samedi, a tenu en haleine la police, la justice et l'opinion publique, vient d'être close.

Après vérifications, et interrogatoire du prévenu, le parquet de Bourges a conclu qu'il était impossible de prétendre encore qu'en 1921,. et 1922, épo- à que à laquelle le banquier Jouillé écu- v mait l'épargne à Montpellier, M. Rio) f n'étudiait pas la médecine dentaire à 1 Paris.

M. Riol a été relaxé. n

n

La grève des autocars marocains est terminée ̃̃ n n Casablanca, 2 février. La grève des o chauffeurs de la C.T.M., la grosse Com- L pagnie de transports-auto du Maroc, qui durait depuis seize jours dans tout le Maroc, a pris fin. ce

LE NUMÉRO DE FÉVRIER DE PLAJSIR

DE

FRANCE EST EN VENTE PARTOUT 6 FRANCS

A l'Académie de médecine M. Desgrez a présenté une communil cation de MM. Pelle et Artus soulignant que de nombreux accidents saturnins ont été provoques dans l'Ouest par les eaux pures d'origine granitique. On les explique par J'utilisation qui tend à se généraliser des pompes avec tuyaux de plomb. Remède enrichir les eaux en chaux.

Mais celles de Paris n'ont pas besoin (le cet enrichissement elles sfint parmi les meilleures d'Europe.

M. JACQUES IBERT EST NOMME

DIRECTEUR D E LA VILLA MEDICIS

},: ̃'

"Le ministre de l'Education nationale vient de signer un décret nommant directeur de l'Académie de France à Rome, pour une période de six années, M. Jacques Ibert, compositeur de musique, grand-prix' de Rome, en remplacement de M. Paul Landowski, appelé à la direction de l'Ecole, des Beaux-Arts.

M. Jacques IBERT

t Rappelons que M. Jacques Ibert était J'un des trois candidats proposés par l'Académie des Beaux-Arts. Ce choix forme donc un heureux épilogue au conflit qui opposait le ministre et les « habits verts », et qui a provoque tant de commentaires. M. Jean Zay n'a pas abusé des pouvoirs qu'il s'était attribués par décret et l'Académie s'est montrée fort. habile dans l'iisaye de ses prérogatives.

Né à Paris en 1890, M. Jacques Ibert fut, au Conservatoire, l'élève de Fauré, de Gédalge et de Vidal. Il oh-, tint en 1919 le grand-prix de composition musicale avec sa cantate Le Poète et la. Fée.

Parmi ses œuvres principales, citons La Ballade de la geôle d'dladiw une suite symphonique, Escales Angélique un ballet, Diane de Poitiers, et Le Roi d'Yvetot, qui fut joué à l'Opéra-Comique.

M. Jacques Ibert fait, en ce moment. un film à Rome

M. Jacques Ibert se trouvait. déjà à Rome lorsque lui parvint la nouvelle de sa nomination. Mais il ne faut pas en conclure qu'il avait pris les devants. Le compositeur était même fort loin de songer à l'harmonieux accord qu'il aura la charge de faire régner entre les pensionnaires peintres, sculpteurs, architectes, graveurs en taille douce et ses jeunes camarades musiciens, si l'on en juge par le thème des méditations auxquelles il se livrait alors L'Homme de nulle part.

L'Homme de nulle part est une œuvre du regretté dramaturge italien Luigi Pirandello, que l'on adapte actuellement au cinéma. Eh M. Jacques Ibert a été chargé de la partie musicale de ce film.

C'est donc d'un temple où l'on célèbre le seul art encore ignoré de l'Académie, et accompagné par le fantôme d'un célèbre écrivain d'avant-garde, que le nouveau directeur arrivera à la Villa Médicis.

On ne pourra pas lui reprocher, en tout cas, de ne pas être un « moderne. ».

Louis Chauvet.

'M~M~M

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LE DEBAT SUR LA DEFENSE NATIONALE AU PALAIS-BOURBON M. DALADIER SE DECLARE résolu à préserver le moral de l'armée f-rancoise

M. Daladier a parlé, hier après-midi pendant deux heures devant une assemblée particulièrement nombreuse et qui, maintes fois, a accueilli ses paroles par d'unanimes applaudissements. Il est.vrai que les sentiments qui animaient alors les fractions de la Chambre n'étaient point identiques, mais le fait est que le succès fut considérable. Deux idées principales, dit en commençant le ministre, se sont fait jour pendant, le débat d'abord la volonté unanime de paix de la nation ensuite la recherche des moyens de rendre inviolable le sol du pays, « car ce serait une étrange illusion de croire qu'on peut localiser un conflit surgissant entredes nations. »

Barrer les routes à l'invasion aussi bien par le béton que par la cuirasse mobile et, le barrage dressé, être capable de ce mouvement en avant qui, seul, peut donner la victoire décisive. Ces problèmes, notre organisation militaire actuelle est-elle capable de les résoudre ?

L'Europe en armes

Pour répondre à ces question, M. Daladier trace d'abord un tableau de la situation militaire de l'Europe. Fond du tableau partout développement prodigieux des fabrications de guerre, effort pour engager toute la nation dans la bataille partout aussi effort pour être le « plus vite » dans la course, car la guerre courte seule peut être lucrative.

Et voici les premiers plans en Allemagne, service militaire de deux ans, organisation des réserves, réseau d'autostrades complet, artillerie à tir courbe très efficace. En Italie, fabrication accélérée de matériel» En Russie, une armée permanente de 1,300,000 hommes, plus l'aviation et les chars. Et partout, en Pologne, en Tchécoslovaquie, en Yougoslavie, même développement des armements.

Ce n'est pas tout. La Grande-Bretagne renforce son armée. Il n'est pas jusqu'à la Suisse, cette « infirmière des nations », qui n'ajoute à ses milices un corps permanert. L.

L'armée de métier, la défense terrestre et la coordination des armes

Pas d'armée de métier, dira M. Daladier, mais il est évident que nous «vons besoin de beaucoup de spécialistes. D'abord; une seconde et une troisième divisions mécaniques légères vont être créées. A la fin de l'été, des expériences très poussées seront faites. Quant aux autostrades, le ministre n'en est pas partisan. En passant, il tient à souligner son accord parfait avec le haut commandement et il rend au général Gamelin un hommage applaudi sur la plupart des bancs.

En fait, poursuit M. Daladier, il y a deux actes indispensables la couverture et la mobilisation. Et puis, il y a. la puissance du feu qui cloue au sol l'assaillant, la guerre d'Espagne le démontre.

Pour moi,?ie«Msjirtètti«~"fo%tîfié' las frontière, que je prolongerai de la frontière du Nord à Dunkerqué et Jusqu'au Jura, constitue le bouclier solide à l'abri duquel se réuniront toutes les forces du

pays.

Mais à la condition que ces construc.tions soient occupées et que la collaboration efficace des autres armes soit assurée.

Il y a là une œuvre de coordination périlleuse, certes, mais efficace je la poursuivrai avec le ministre de la marine et le ministre de l'air dans un es.prit de mutuelle et sincère collaboration. Tel sera le rôle du comité permanent de la défense nationale, qui bénéficie de la science éprouvée du plus illustre de nos soldats, le maréchal Pétain. Pas de commandement unique Faut-il aller plus loin et instituer, comme on l'a proposé, un commandement unique ? M. Daladier ne le pense pas.

L'homme qu'on choisirait comme généralissime répondrait assurément qu'il ne peut accepter cette tâché si, dès le temps de paix, il n'à le choix du matériel de guerre et du haut commandement. En fait, la solution offrirait plus d'inconvénients que d'avantages.

Le gouvernement -a préparé un projet dont l'article 34 prévoit, en cas d'hostilité, la subordination, si elle se révélait nécessaire. Mais le principe demeure la conduite de la guerre appartient au gouvernement, qui l'exerce généralement par l'intermédiaire du haut comité.

Ce qu'il faut, pour l'instant, c'est multiplier les contacts entre les trois armes avec l'arbitrage du gouvernement si c'est nécessaire.

Matériel et nationalisation M. Daladier se félicite des nationalisations, qui ont accru le rendement. Il annonce comme prochaine la nationalisation des usines du Havre, de la Londe, et de la partie du Creusot qui travaille pour la défense nationale. Il fait un vif éloge de M. Renault et annonce qu'on est passé dans ses usines au coefficient 4 et qu'on espère atteindre le coefficient 20.

J'ai la joie de voir s'installer enfin les productions normales et même, pour certaines, de voir rattraper le temps perdu.

Le maintien du moral

Mais tous ces moyens et ce sera la péroraison ne sont rien sans la valeur morale des chefs et 'des soldats. M. Daladier est résolu à préserver ce moral, à ne pas laisser diviser l'armée, jamais il ne laissera introduire la politique.

L'armée a accompli son labeur dans le silence, comme elle le doit. Ceux qui ont pensé que peut-être arriveraient quelques possibilités d'aventure ont été frappés. S'il y avait eu une agitation dans l'armée, ni la paix civile ni la paix extérieure n'auraient pu être maintenues. Plus que jamais l'armée, c'est le peuple français Les officiers aussi appartiennent à toutes les classes plus de 80 p. 100 appartiennent à des familles pauvres. Ceux qui gardent notre frontière sur le Rhin et ne touchent que des soldes insuffisantes ont mérité les pages d'Alfred de Vigny sur la grandeur et la servitude militaires. Je les salue avec amitié Les forces de la France sont en mesure de protéger la liberté française et celle de tous les peuples qui ont confiance dans la France.

Fréquemment applaudi, ce discours fut salué par une ovation de la plupart des députes debout.

L'ordre du jour de confiance Après diverses observations de M. Le Bail, sur la nécessité" d'une marine puissante, le président lut les ordres du jour. Le gouvernement acceptait celui-ci, dû à la collaboration de MM. Guy La Chambre, Bossoutrot et Benaitour La r'utmhri'. approuvant les déclaration* <lt: gouvernement, rendant hom- mage aux efforts par lui accomplis dans

le domaine de là défense nationale pour mettre notre pays à l'abri. de toute agression, lui fait confiance afin d'assurer par le renforcement de notre sécurité le maintien de la paix et, repoussant toute addition, passe à l'ordre du jour.

Les trois signataires, qui président respectivement les commissions de l'armée, de l'air et de la marine, tinrent à justifier leur oeuvre chacun dans un discours.

Défilent ensuite MM. Gaston Riou, pour les radicaux Lefèvre, pour les socialistes, qui inflige à l'assistance impatiente la lecture d'une vingtaine de feuillets; Bonté, porte-parole des communistes des Isnards, qui n'a pas confiance dans le gouvernement Pinelli, qui n'eu a pas d'avantage; Marescaux, Lafaye, Dignac, qui ne lâche rien de ses critiques contre M. Cot Campinchi, Izard. Bous débuts de M. Devaud,

Une « division » qui divisait le gouvernement

Et un incident assez vif surgit. M. Fernand Laurent demande que le pre-I

A la séance du matin, M. Pierre Cot avait résumé son œuvre au ministre de l'air

Nous passerons rapidement sur la première partie de cette séance, occupée par deux longues lectures des communistes Gitton et Dewez, échos de la rubrique « spéciale » de l'Humanité. M. Daladier, en quelques interruptions pertinentes, redressa sans peine les allégations tendancieuses et les affirmations exagérées. Notons d'ailleurs que les deux représentants communistes, qui parlaient devant une quarantaine de députés, enrobent leur campagne de protestations patriotiques et de témoignages d'un grand souci pour la situation des officiers et des sous-officiers! Rien ne leur coûte, d'ailleurs, et M. Gitton déclare sans rire « Il ne saurait être question d'abolir la discipline, »

Notre armée dé l'air et cette affirmation fut l'exorde du ministre notre armée de l'air existe, elle est forte, l'une des plus fortes du monde sans contredit possible, et elle entend demeurer'torte.

Eu ce qui concerne le matériel, M. Pierre Cot rappelle qu'il n'a aucune part dans le programme actuel, ni dans le choix des prototypes. Mais le matériel choisi par le général Denain est excellent.

Une seule armée possède en service, il faut le reconnaître, un matériel su.périeur au nôtre c'est l'armée des Soviets. A cette exception près, notre matériel vaut celui de n'importe quel autre pays, à condition de comparer des choses comparables entre .elles.

M, D.ignap, a .mis eox parallèle le Heinekel allemand, avion de renseignements, monojMQteur et peu armé, avec notre Bloch 210, bimoteur fortement armé, fait pour emporter 1,000 kilos d'explosifs à 1.000 kilomètres de sa base. C'est comparer la vitesse d'un cuirassé et celle d'un contre-torpilleur, ou cèlles d'un tank lourd' et d'une automobile légère.

Possédons-nous ce matériel en quan- tité suffisante ? M. Cot se refuse à donner certaines précisions. Mais il affirme que les chiffres donnés par M. de Kérillis sont bien différents de la vérité.

Même erreur en ce qui concerne la défense contre avions, erréur dans l'ensemble supérieure à la moitié, et je m'en félicite. Car si les renseignements qui ont été donnés avaient été exacts, l'étranger aurait su exactement à quelle attitude il pouvait venir bombarder nos villes et nos usines.

Quand on parle du matériel, il convient de bien préciser si l'on cite le nombre des avions immédiatement disponibles ou celui des avions mobilisables. Il y a, en effet, entre ces chiffres, des différences considérables. C'est ainsi qu'il y a trois ans on aurait pu dire soit que notre flotte se composait de 1,500 avions, soit qu'elle comportait 4,000 appareils.

Au Sénat l'interpellation sur les menées communistes s'est terminée par le vote d'un ordre du jour puret simple

L'interpellation de M. Gautherot sur les menées communistes s'est terminée, au Sénat, par le vote d'un ordre du jour pur et simple. Deux interventions: une du président du Conseil qui nia toute espèce de complot de la part'du parti moscoutaire qui appartient à la majorité gouvernementale l'autre de M. Clamamus, qui obtint un franc succès d'hilarité en proclamant, avec un sérieux impayable que son parti était le parti de l'ordre contre l'anarchie » L'action communiste

à l'intérieur et à l'extérieur M. Gautherot fit un exposé de l'ac>ion communiste s'exerçant à l'intérieur et à l'extérieur

J'ai entre les mains une circulaire « très confidentielle », sur l'organisation de la région communiste d'auto défense, qui comprend Parts et tuus ses environs. La région est divisée en secteurs avec, à leur tête, des responsables désignés nominativement. La « direction générale des opérations » appartient à un « Comité des huit s> figure un homme qui habite 42, rue de Dantzig; et s'appelle M. le professeur Marceau Pivert.

Les troupes comprennent les militants du parti et les métallos. Des points de concentration sont fixés autour de Parts dans les communes communistes. Toutes ces formations de combat doivent se conformer aux direcfives du Comité des huit. J'espère que sur tout cela, M. le ministre de l'intérieur est aussi bien renseigné que moi.

Je connais ce document se borna à répondre M. Marx Dormoy.

Nous sommes donc bien, conclut- M. Gautherot, en présence d'une organisation de guerre civile tombant sous le coup de la loi.

De ce fait, contre les adversaires du régime soviétique, le procureur Vychinski eût tiré d'autres conclusions. L'action communiste ne se révèle pas moins dangereuse sur le plan extérieur. Le gouvernement poursuit une politi- que de non-intervention en Espagne. Le parti communiste pousse à l'interven- 1

mier paragraphe de l'ordre du jour soit voté isolément, afin qu'on puisse rendre hommage au ministre de la défense nationale sans accorder la confiance à un gouvernement allié des communistes. Et de ceux-ci il dénonce la duplicité. Aujourd'hui ils acclament M. Daladier <i la- commission de l'armée, ils ont vote contre lui en le nommant « le digne successeur de Maginot ».

M.- Blum repousse la division. « Le gouvernement est cohérent, homogène et solidaire. Et je suis sûr d'être l'interprète de M. Daladier. »

Ainsi appelé, le ministre de la guerre ne se déroba pas. « Je ne suis pas dupe, dit-il, des manœuvres de l'opposition. J'avais souhaité que toute la Chambre votât l'ordre du jour. Je regrette que certains n'aient pas entendu cet appel. » « Très bien, reprit M. Fernand Laurent. Puisque la division qui permettait de vous rendre hommage vous est désagréable, nous voterons contre le gouvernement. »

Le scrutin

Quelques minutes plus tard, l'ordre du jour de confiance était adopté par 405 voix contre 186.

M. Jean Reynaud, de son côté, a cité des chiffres que je veux bien accepter dans leur ordre de grandeur, mais que je lui demande de corriger doublement, car ses renseignements sont pessimistes pour la France et un peu trop optimistes en ce qui concerne l'Allemagne et l'Italie.

Le renouvellement

de notre flotte aérienne Comment s'opère le renouvellement de notre flotte aérienne ?

Par rapport au 1"' juin. nous avons augmenté le nombre des avions disponibles de 37 p. 100, l'équipement de 40 p. 100, les munitions de 50 p. 100 et l'armement de 70 p. 100.

C'est encore notre gouvernement qui, en septembre dernier, en réponse à certains événements que vous connaissez, a décidé de faire étudier Je plan dit des 1.500, qui augmentera de moitié l'importance de notre flotte, mais qui, en fait,.doublera sa valeur. Ce plan sera soumis à vos commissions dans quel- ques jours.

En ce qui concerne les nationalisations, le ministre explique qu'elles sont faites sans tenir compte de la valeur des titres en Bourse.

La nationalisation nous assurera de sérieux avantages au point de vue de la construction.

Déjà, nous avons commandé '60 millions d'outillage et nous envisageons une telle augmentation de notre potentiel .qu'il nous, sera possjble d'augmenter notre production de 30 à 40 p. 100 en 1937, de §0 p. W0 en 1938, même avec ta .loi de quarante heures, grâce à certaines dérogations décidées d'accord avec les syndicats ouvriers.

Un institut central des recherches et inventions sera créé.

Enfin, défendant les mesures qu'il a prises pour donner dès le temps de paix à l'armée de l'air la structure qu'elle doit avoir en temps de guerre, M. Pierre Cot dit

Chacun doit savoir que nous nous tenons prêts à la riposte et que nous sommes en mesure de l'asséner. Aussi, avec le plan des 1,500, allonsnous ajouter de nouveaux éléments de bombardement l'exemple de l'étranger nous y oblige et notre capacité de bombardement aura doublé au printemps de 1937, quadruplé à la fin de la même année et quintuplé en 1939. Et le ministre termine en suppliant le Parlement de « ménager les nerfs » de l'armée et de ne pas se livrer, à son sujet, à un « petit jeu de massacre politique ».

La séance se termine par un discours de M. Fuchs qui, attestant le patriotisme des populations de la frontière, demanda qu'on fit tous les efforts pour leur épargner l'invasion.

Roger Dardenne.

tion. Les journaux dVi Front Populaire la réclament.

La politique générale

du gouvernement

Dès le début de son intervention M. Léon Blum déclara qu'il connaissait les documents dont M. Gautherot avait donné lecture au Sénat et qu'il n'en contestait pas l'authenticité mais pour lui la question n'est pas là.

Un complot communiste a-t-il mis à mal les libertés et les institutions républicaines ? Telle est le point à examiner. Il répond par la négative. Le calme règne, les conflits du travail s'apaisent. Où est donc le complot Le gouvernement actuel est un gouvernement de Front Populaire dans le quel figure le parti communiste. C'est le suffrage universel qui l'a voulu. On peut le regretter. Mais il faut en tenir compte. Et je conseille à ceux qui le regrettent de s'en prendre à M. Gautherot et à ses amis plutôt qu'à moi. Car l'acte de naissance du Front Populaire porte une date indiscutable 6 février 1934. Le rassemblement populaire est né d'uu mouvement spontané, dû à l'instinct de conservation du pays républicain contre les entreprises factieuses.

Le gouvernement actuel qui n'est ni socialiste ni communiste est chargé. dans le cadre de la légalité actuelle, de réaliser un programme défini tendant an maximum de progrès et de justice que comporte l'état social actuel. Et le président du Conseil ajouta simplement

Pour les conclusions que le Sénat croira devoir tirer de l'interpellation de M. Gautherot, je m'en remets 'à sa sagesse et à son patriotisme.

L'ordre du jour

Le comte de Blois s'étonne de l'attitude d'une partie du Sénat qui'le soutenait autrefois lorsqu'il dénonçait les méfaits du communisme

Aucun ordre du jour n'ayant été déposé le débat se clptura par l'ordre du jour pur et simple accepté par le gouvernement. H. B.

Informations politiques

Avant l'audition

de M. Vincent Auriol par la commission

des finances

Les critiques du groupe de la Fédération républicaine Le groupe parlemenaire de la Fédération républicaine a consacré, hier, une longue délibération à la situation financière, dont M. Vincent Auriol doit exposer aujourd'hui les grandes lignes devant la commission des finances de la Chambre.

Les conclusions auxquelles est parvenu le groupe, et qu'indique le communiqué publié à l'issue de la séance, se résument, ainsi; le bilan de la Banque de France a cessé en fait d'être le guide sur lequel on pouvait se fier pour apprécier exactement la situation financière du pays-

La politique de la trésorerie, fondée sur des émissions massives de bons et sur des empruntsà la Banque, ne correspond plus à l'esprit de la loi par laquelle M. Vincent Auriol avait été autorisé à porter à 20 milliards le plafond des bons.

Enfin, le groupe déplore, que les modalités de l'emprunt contracté à Londres fassent craindre des conditions de remboursement aussi onéreuses que celles de l'emprunt en livres contracté au début de 1936.

L'amnistie et les insoumis La commission de législation de la Chambre a adopté, hier, des textes nouveaux pour les articles 9 et 11 du projet d'amnistie, qui avaient été réservés. Les textes adoptés prévoient la grâce amnistiante pour les délinquants ayant appartenu effectivement à une unité combattante, ou ayant été blessés ou cités. L'admission au bénéfice de l'amnistie ne sera prononcée qu'après avis d'une commission comprenant en majorité des anciens combattants.

Les insoumis pourront, d'autre part, obtenir la réintégration dans leur droit à la carte du combattant s'ils ont rempli certaines conditions de présence aux armées.

La réunion du Parti social français à Evreux s'est déroulée hier sans incident

(Téléphone « Figaro »)

Rouen, 2 février. Autorisée par le Conseil municipal de gauche, malgré la pression extrémiste, la réunion organisée par le Parti social français s'est tenue hier soir dans l'ordre le plus complet. Deux mille personnes y assistaient. Le colonel de La Rocque a prononcé un discours très applaudi par tous ses partisans. Il a déclaré notamment « Nous sommes le plus grand parti de France nous avons la résolution de remettre de l'ordre dans le pays.»

Une contre-maniÉestation organisée par le Rassemblement populaire a eu lieu dans une salle de la ville, sans incident.

L'AFFAIRE

DE CONTREBANDE D'ARMES DE BELGIQUE»

,[ ~1 1

M. Jouhaux déclare avoir agi « au nom de son idéal » Bruxelles, 2 février. MM. Jouhaux, Rolland, Castan et Mme d'Orval ont comparu ce matin à Liège devant la Chambre des mises en accusation, car leurs défenseurs demandaient leur mise en liberté.

Les plaidoiries ont pris toute la matinée, aussi la décision du tribunal at-elle été ajournée.

Le Parquet général a estimé que les inculpés Ont tous eu l'intention de tourner la loi.

M. Jouhaux déclare qu'il était mandaté par le comité de défense de Valence pour acheter des armes et qu'il n'est point intervenu pour revendre celles-ci, mais uniquement pour les fournir au gouvernement espagnol. Il a ajouté qu'il était en désaccord avec le gouvernement de M. Léon Blum sur la question de la non-intervention, estimant que la France se devait d'intervenir dans la guerre civile espagnole et que ce qu'il avait fait, il l'avait fait uniquement au nom de son idéal. M. Horion, juge d'instruction, a convoqué ce matin et reçu dans son cabinet une personnalité que l'on dit très répandue dans le monde catholique de Liège. Le bruit de son inculpation a couru en ville cependant elle a été laissée en liberté. On s'attend cependant à ce que l'affaire prenne une nouvelle extension.

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DU QUAI.D'ORS.AY AU PALAIS-ROYAL Ma nouvelle pièce ne créera pas d'incident diplomatique NOUS DIT M. PIERRE VEBER

,L'action de la nouvelle pièce de M. Pierre Veber, Madame est avec moi, qui sera créée au Palais-Royal demairt, se passe en partie à Uambussàde de France à Bruxelles. L'auteur avait demandé qu'on lui communiquât, pour le décor du deuxième acte, une photographie prise à l'ambassade. Là-dessus on s'est ému en haut lieu, craignant que soit ridiculisé le personnel de cette ambassade.

Nous avons demandé à M. Pierre Veber ce qu'il en était.

Vous pouvez, être tranquille, nous dit-il, ma pièce ne créera pas d'incident diplomatique.

Votre pièce est-elle une satire ? Mais non. C'est une comédie gaie tout simplement. Pour vous rassurer tout il fait, je vais vous dire mon point de départ. Un jeune attaché d'ambassade rencontre dans le train une femjne qu'il trouve charmante, léger- flirt, et, à la frontière, la dame, qui a des difficultés avec le douanier, prétend qu'elle est la femme de l'attache. Par galanterie, celui-ci accepte cette supercherie, et les choses s'arrangent de telle sorte qu'il va être obligé de présenter partout cette femme comme étant la sienne. Le ton de la pièce reste très PalaisRoyal ?

Cela dépend de ce que vous enten- dez par là. Cela vous surprendra peutêtre. mais j'ai l'ambition de faire rire sans grossièreté, sans sarabandes de gens, en chemise et.eii caleçon, sans lit où tout le monde se rencontre. Mes personnages, pas une fois, n'évoqueront le souvenir de Cambronne, et je vais essayer de faire rire quand même. C'est une gageure, n'ést-ce pas ?

Une gageure que vous avez déjà tenue souvent ? f

Celles de mes pièces qui ont eu le plus de succès au Palais-Royal étaient des comédies. Je 'Cherche à provoquer le rire par la' fantaisie et un invraisemblable qui reste cependant vraisembla,-

PROGRAMME DES THEATRES

EN SOIREE

OPERA (Th. Ch-Elysées), à 8 h. 45 Fidelio (limes Germaine Lubin, Lotte Schoeue, MM. Jouatle, J. Beckmans, Froumenty, Xoré, Etcheverry, Gourgues, Médus). Orchestre M. Gaubert. Demain relâche.

COMEDIE-FRANÇAISE (Rich. 22-70), à 9 h. La Rabouilleuse (MM. André Hrunot, Alexandre, Denis d'Inès, Roger Monteaux, Ledoux, Escaude, Chambreuil, Vidalin; Mmes Suzanne Devoyod, Mary Marquet, Andrée de Chauveron). Demain matinée Le Dépit «amoureux; Bérénice; soirée: Christine.

OFERA.COMQUE (Rich. 72-00), relâche, Demain Le Roi malgré lui.

ODEON (Dant. 58-13), a 8 h. 45 Eugénie Grandet (Mme Després, Mlle Boite.1; MM. Waslej', Raymond-Girard, Chamarat, Harry James, Weber, etc.). Demain matinée Eugénie Grandet; soirée L'Epervier.

ATHENEE (Opéra 82-23), à 9'h.: Le Château de Cartes. de M. Steve Passeur. (MM. P. Renoir, M. Bernard, Bouquet Mmes Marthe Régnier, Cavadaski. Servilanges, etc.). GAITE-LYRIQUE (Arch. 29-20), S h. 45 Paganini, de Franz Lehar. (Mmes Danièle Brégys, Lucy Debret, Reynès, Dulysse; MM. R. Chanel, Jean Quillet, Gustave Nelson, Loches, Descombes, avec Robert Hasti et Rohert Allard). GYMNASE (Prov. 16-15), à 9 h. Le Voyage. de 1If. Henry Bernstein. (Valentine Tessier, Claude Dauphin, Jean Wall, Lucy Léger, Pally). Matinées jeudis, dimanches, à 3 h. MADELEINE (Anjou 07-09), à 9 h. Jeux dangereux, de :M. H. Décoin. (Mlles Danielle Darrieux, M. Daulboy, Colin; MM. Fernand Fabre. Glory, Laval et Marcel Delaitre). MICHEL (Anjou 35-02), à 9 h. Un Coup de rouge, revue de MM. Dorin et Saint-Granier. (Marg. Moreno, Pauley, Dorin, Davla, Edmond Roze, Parisys et Saint-Granier).

MICHODIERE (Rich. 95-23), à h.: Fric-Frac, de M. Edouard Bourdet. (Victor Boucher, Arletty, Michel Simon, Andrée Guize, Georges Jarain, Suzanne Henry, H. Bonvalet, etc.). MONTPARNASSE (Gaston Baty) (Danton 89-90), à 8 h. 45 Madame Bovary; d'après Flaubert. (Marguerite Jamois, Georges Vitray, Nat, Beaulieu, Rolla Norman, Suz. Demars, etc.). Musique d'André Cadôu.

PORTE-SAINT-MARTIN (Nord 37-53), à 8 h. 30 Le Trompeur de Séville, de M. A. Obey. (MM. Blanchar, Cahuzac, Seigner Mmes Daste, Sicard, Anderson, Garcia, etc.). ARTS, à 9 heures Eblouissement.

ATELIER, à 8 h. 45 Jules César.

Feuilleton du Figaro da 3 Février 1937

̃-̃ '̃"̃ '[̃ (11)

TROIS HOMMES DANS LA NËUiE

r

CHAPITRE VI.

Deux malentendu^

(Suite) ̃

L'autobus ralentit et s'arrêta^Quelques garçons firent descendreies colis de l'impériale. Un groom d'ascenseur ouvrit un des battants de la porte et ôta sa casquette. Les tardifs hôtes pénétrèrent dans l'hôtel. L'oncle Polter et le directeur s'inclinè-' rent en disant Nous vous souhaitons la bienvenue. » Le hall était rempli de curieux. Ils attendaient le diner et l'original qu'on leur avait. annoncé, et donnaient ainsi une -ipression de fête.

Un ménage saxon (les tissus Chem-

ble. Je suis persuadé qu'on ne crée de réelle gaieté qu'avec de l'humanité, –Et vos interprètes ? 7

Ils se sont mis tout à fait au rythme de ma pièce, qui n'est pas celui d'un gros vaudeville. Berville est un jeune premier charmant. Paul Faivre campe un truculent douanier belge, Darfeuil sera un commissaire sortant d'un bal masqué déguisé en Faust j'aurai encore Bertia. J'ai eu le plaisir de retrouver Vierge, dont j'ai bien connu le père, Daniel Vierge, c'est un jeune comédien et un metteur en scène à qui on peut faire, confiance. Puis Christine Delyne et Denise Greu'.

Je crois avoir trouvé ce qui caractérise bien ma pièce. Vous savez que j'ai collaboré pendant longtemps au Gaulois et. au Figaro. Eh bien, je suis persuadé que ma pièce plaira aux lecteurs du Figaro.

André Warnod.

La rentrée de Georges Thill à l'Opéra dans Samson et Dalila.

SI. Georges Thill, dont la rentrée a été particulièrement fêtée, reparaîtra après-demain soir dans Samson et Dalila. Il aura pour principale partenaire Mlle Eliane Schenneberg qui chantera pour la première lois le rôle de Dalila.

Le Roi malgré lui à l'OpéraComique.

;Demain soir jeudi, sous la direction. de M. Eug. Bigot et dans la nouvelle mise en s.cène Le. Roi malgré lui sera interprété par MM. Roger Bourdin, L. Arnoult, L. Musy, .T. Vieuille, MorlurJer. Mlles G. Denys et Lily Leblanc. La représentation devra commencer très exactement à 20 h. 15. Légion d'honneur.

Parmi les nouveaux chevaliers 'de la Légion d'honneur, nous sommes heureux de trouver Steve Passeur, l'auteur de tant de pièces de qualité, et Alex Madis.

BOUFFES.PARISIENS. 8 h. 45 Ma Petite Amie (opérette). CIIATELET, à 8 h. 30 Yana.

COM. CHAMPS-ELYSEES, 8 h. 45 On ne badine pas avec

famour..

COMEDIENS DE PARIS (Th. Sarah-Bernhardt), relâche. DEUX-MASQUES, à 9 h. 15 1/Etrange nuit de Rockland. GRAND-GUIGNOL, 9 h. Les Cadavres vivants.

HUMOUR, à 9 h. L'Heure H.

MATHURINS, 9 h. Six personnages en quête d'auteur. MOGADOR, 9 h. La Femme d'une heure. ̃• NOUVEAUTES. à 8 h. 45 Tout va trop bienl Y

ŒUVRE, à 9 h. Un Homme comme les autres.

PALAIS-ROYAL relâche pour répétitions.

SAINT-GEORGES. 8 h. 45 Ma liberté.

THEATRE DE PARIS, à 9 h. La Fessée.

VARIETES, à 9 h. Les Gangsters du Château d'If (AUbert). VIEUX-COLOIMBIER relâche pour répétitions.

Music-Halls Chansonniers Cirques A. B. C., 3 h., 9 h. La Revue de l'année.

ALCAZAR, 9 h. Ça, c'est Marseille!

ALHAMBRA, 3 h. et 9 h. Music-hall.

CASINO DE PARIS, à 8 h. 45 Tout Paris qui chante. DEUX-ANES, 9 II. L'Impromptu de Montmartre, revue de Rip, THEATRE DE DIX-HEURES, à 10 h. Martini, Jean Rieux, Max Régnier. La revue.

EI,YSEE-79, à 3 h. et 9 h. .Music-hall. Paul Colline, etc. EMPIRE (Etoile 40-00). Direct. Amar, à 9 h. Reda Cairc, 1 Franconay; les éléphants, Mat.: lundi, jeudi, samedi, dim. '1 FOLIES-BERGERE, 9 h. En Super-Folies, revue à grand spectacle, en 50 tableaux, de M. Maurice Hermite. (Joséphine Baker). Jlàt. samedis, dimanches.

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LUNE-ROUSSE, à 9 h. Du soleil dans la lune.

LE PERCHOIR, à 9 h. Flic-Flac, revue. Les chansonniers. TRIANON, 3 h. et 9 h. Music-hall.

CIRQUE D'HIVER, à 8 h. 30 Spectacle varié.

Cabarets -Dancings

MONTE-CRISTO, 8, r. Fromentin (Tri 42-31) Cabaret-danc. TABARIN La Joie de vivre. Attractions.

AU FLORIAN (74, Champs-Elysées). (Elysées 14-70), Diners et soupers dansants.

nitz) et une dame racée de Pologne, qui avaient commandé leurs chambres, furent aussitôt conduits à Tascenseur par le chef de réception. M. Johann Kesselhuth et un jeune homme possesseur d'une mallette fatiguée et d'un triste petit manteau d'automne furent les derniers. Kesselhuth voulut s'effacer devant le jeune homme.

Sous aucun prétexte, dit celuici. J'ai le temps.

M. Kesselhuth remercia et se tourna vers le portier "`

Je voudrais une belle chambre ensoleillée, dit-il. Avec salle de bain et .balcon.

Le directeur fit observer qu'il n'y avait plus beaucoup de choix. L'oncle Polter étudiait le, plan de l'hôtel; il ressemblait à un stratège qui aurait une maladie de foie.

Le prix n'entre pas en considération, déclara M. Kesselhuth. Puis il rougit.

Le portier négligea cette remarque. ̃•'•̃̃ Le n° 31 est encore libre. La chambre vous plaira certainement. Voulez-vous, s'il vous plaît, remplir la fiche ?

M. Kesselhuth prit le crayon-encre qu'on lui tendait et se mit inscrire avec grand soin son état civil. Et alors tous les regards se fixè-

»

DATES RETENUES

Jeudi 4 février

Palais-Royal Madame est avec moi, de M. P. Veber (rép. gén. en mat.). Comédiens de Paris Chanson d'Asie, de M. P. Antoine (répét. géh.). Samedi 6 février

Th. Antoine L'Enfant de l'Amour, --d'Henry Bataille (répétition générale). Th. d'Ambiance (Arts) Les Forçats, de M. Claude Viriot (en matinée). Michodière Gala de la pièce en un acte (en matinée).

Lundi 8 février

Vieux-Colombier L'Appartement de Zoïka, de M. Crémieux et Mme Reinhardt (répétition générale).

v Mercredi 10 février

Comédie-Française Illusion, de Corneille (répétition générale).

Jeudi 11 février

Gaite-Lyrique Hans le joueur de flûte, de Louis Ganne (première à ce théâtre).

AU GYMNASE. En raison du triomphe sans précédent de l'œuvre nouvelle de M. Henry Bernstein. LE VOYAGE. il sera -donné une matinée supplémentaire demain jeudi, à l? heures.

La même éblouissante interprétation que le soir Valentine Tessier. Claude Dauphin, Jean Wall, Lucy Léger, Georges Pally. THEATRE ANTOINE. La location est ouverte pour L'ENFANT DÉ L'AMOUR. Dimanche première matinée.

La générale de la nouvelle pièce du Vieux-Colombier est reculée.

La répétition -générale de L'Appartement de Zoïka, primitivement llxée au vendredi 5 février, est reportée définitivement au lundi 8 février, en soirée.

Poésie.

.leudi soir, à la soirée littéraire organisée par Mme Franconi, à l'Académie Raymond Duncan, Mme Alice Dulrêne, du Théâtre Montparnasse, Mlles Suzanne Stanley et Colette Adam, M. Christian Genty. du Théâtre de l'Odéon, diront des vers de M. Raymond Genty. ¡J

Festival d'opérettes.

Edriiée Favart et Roger Bourdin se feront entendre dans un festival d'opérettes françaises aux Concerts Pasdeloup (Opéra-Comique), le dimanche 7 février, à 17 heures. Un groupe de la Chorale Nivard leur donTnera la réplicrue. L'orchestre sera dirigé par M. Albert Wolff.

MUSIQUE

Ce soir, à 9 heures, -salle Erard Concert de l'Action Musicale (Bach), par Albert Levêque.

Ce soir, Salle Gaveau, à 9 h. (Kiesgen), Pierre BERNAC et Francis POULENC. Orch. sociit* Philharmonique Vendredi 12 février, 21 h., Salle PLEYEL

N H DIRIGERA

Ch.MUNCH LA l^AUDITION DE ORIANE LA SANS EGALE de FLORENT SCHMITT, Chœurs et Orchestre et CONC. GROS 8 Corelli; SONATA de Gabrieli et SANCTA MARIA, Monteverdi.

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Au premier concert de l'Action Musicale qui aura "lieu à la salle Erard, ce soir, à 21 heures, Alfred Lévèque interprétera plusieurs Chorals d'orgue, la Chacone, le Clavecin bien tempéré et des extraits de cantates de Bach.

Au prochain concert « Triton qui aura lieu le lundi 8 février, à 21 heures, salle de l'Ecole normale de musique, présentation à Paris du Nouveau Quatuor Hongrois '̃ qui 'interprétera en" première audition des quatuors à corde de Jerzy Fitelborg, Minait Jora et Bela Bartok. Au programme figurent également trois valses romantiques de Chabrier et « En blanc et en noir » de Debussy. Ces deux œuvres seront exécutées à deux pianos par Mmes PignariSalles et Nicole Rolet.

La danseuse Adelita donnera, avec le concours de son guitariste flamenco, deux récitals de toutes les danses d'Espagne, les jeudi 11 et dimanche 14 février, salle Gaveau.

rent définitivement sur le jeune homme et examinèrent son manteau piteux. Charles le Téméraire toussotait d'agitation.

Que pouvons-nous faire pour votre service ? demanda le directeur.

Le jeune homme haussa les épaules, sourit d'un air indécis et dit C'est que, vous savez, pour moi, c'est une chose un peu spéciale. Je m'appelle Hagedorn, et j'ai gagné le premier prix des usines Brillëclair. J'espère que vous êtes au courant. Le directeur s'inclina à nouveau. Nous sommes au courant, dit-il d'un air entendu. Soyez le bienvenu sous notre toit. Nous nous ferons un honneur de rendre votre séjour aussi agréable que possible.

Hagedorn fut arrêté court. Il regarda autour de lui et vit que les habitants de l'hôtel en tenue de soirée le dévisageaient avec curiosité. M. Kesselhuth aussi avait levé la tête. Quelle chambre avions-nous donc prévue pour M. Hagedorn ? demanda Kühne.

Je pense que nous lui donnerons l'appartement n° 7, dit le portier.

Le directeur inclina la tète. Le valet s'empara de la malle de Hagedorn et demanda

EMILE EST DECORE Emile Girard, le chef des huissiers de la Comédie-Française, vient d'être nommé chevalier de la Légion d'honneur par le ministre du travail.

Emile Girard, Emile, est une per, sonnalité bien connue de tous ceux qui fréquentent la Maison de Molière. Il est à son poste depuis vingt-neuf ans. Depuis vingt-neuf ans il est là dans son

lm

f i fe > IèkBBËÈ

Emile Girard.

petit bureau, à la porte de la salle où se réunit le comité, à--là porte du bureau de l'administrateur. On peut dire que depuis vingt-neuf ans il sait tout, il voit tout, il devine tout, car il est doué d'un flair prodigieux.

A le voir bonhomme, joyeux garçon, toujours le sourire sur les lèvres et dans les yeux, on est tenté de croire qu'il n'y a qu'à le questionner pour tout savoir.

Ce serait ne pas compter avec sa malice bourguignonne.

Il ne dira jamais que ce qui peut être dit sans danger. Imaginc-t-on ce que cela représente de diplomatie Il est entré à la Comédie-Française du temps de Jules Claretie; il a vu arriver et partir Albert Carré, Emile Fabre. Nous l'avons trouvé, hier, rayonnant, avec son beau ruban rouge tout neuf, tout à fait à son aise dans le rythme accéléré que M. Edouard Bourdet a donné à la maison.

Il sait, sur tes grands sociétaires de jadis, Mounet-Sully, Paul Mounet, Silvain, des histoires magnifiques. Il nous les racontait l'an dernier alors que, du temps de M. Emile Fabre, les journalistes accrédités, alertés à tout moment, attendaient la fin des comités à l'affût de quelque incident nouveau. Une fois, même, il nous convia à déguster quelques bouteilles de vin doux qu'il venait de recevoir de Bourgogne. Ah si Emile voulait écrire L'Histoire secrète de la Comédie-Française 1 Mais il s'en garde bien.

Emile, à son poste, -fait partie de la Maison tout comme, au foyer, le Voltaire de Houdon. A. IV.

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CONFERENCES

Une conférence sur Marivaux M. Gaston Rageot dans une improvisation chaleureuse parlait, hier, à l'Université .des Annales, de Marivaux. Il montra l'auteur du Jeu de l'Amour et du Hasard, roi des salons, alors qu'amoureux de Mlle Sylvia il lui confiait tous les rôles, il le montra surtout auteur profond, sous ses marivaudages et, ayant dépassé ses contemporains en atteignant le fond de l'âme humaine. A cette conférence dont le succès fut vif, s'ajouta le charme d'une illustration délicieuse. La Compagnie de la Petite Scène avec Marie-Ange Ricain en tête donna les Sincères, un acte de Marivaux d'une grâce enchanteresse, et qui fut joué avec un esprit plein de vivacité, de délicatesse. Conférenciers et artistes parmi lesquels Jeanne Castellan, Gine Réty, Jacques Hauteluce, Serge de Sawely, Yvon le Marc'hadour furent très applaudis. Conferencia publiera cette remarquable leçon.

~#'#######'####"4####"##"#~

UNIVERSITE DES ANNALES, Salle Gaveau Aujourd'hui mercredi, à 3 h. Quatrième Conférence de M. ANDRE MAUROIS sur l'Angleterre IV. L'Angleterre de demain.

Demain jeudi, à 2 h. 45 et 5 h. Gala de Musique La danse dans l'œuvre de Chopin, commentaires et concert par M. ALFRED CORTOT.

CONFERENCIA publie toutes les conférences.

~M~M~<S~

Société des Conférences, 184. boulevard Saint-Germain Aujourd'hui, à 2 h. 45 cours de M. René DOUMIC sur La Comédie de mœurs moderne Les pièces symboliques. La Société de Conférences « Feux Croisés a, présidée par M. Gabriel Marcel, commence son cycle de conférences jeudi 11 février, à 17 heures, salle Chopin, par une manifestation franco hongroise au cours de laquelle Mme Louise Weiss présentera au public français la lauréate du Prix international du Roman, Mme Yolande Foldes, auteur du roman La Rue du Chat qui Pêche. Mme Foldes fera une causerie sur « Les sans-patrie à travers le monde » M. Mollnos-Muller, directeur du Centre d'études hongroises de France, situera l'œuvre de Mme Foldes dans le roman hongrois contemporain,

sont les gros bagages de Monsieur ?

Nulle part, répliqua le jeune homme. Je n'ai pas de gros bagages. Vous le voyez tout arrivé.

Le portier et le directeur sourirent d'un air suave.

Maintenant, vous désirez certainement vous débarrasser de la poussière du voyage, dit Charles le Téméraire. Nous sera-t-il permis après cela de compter sur vous pour le dîner? Il y aura du bceuf aux nouilles.

Passe pour le bœuf aux nouilles, dit le jeune homme. Mais je n'ai plus faim.

De nouveau, M. Kesselhuth leva les yeux de sa fiche et le regarda fixement. Le garçon d'étage prit la clef et s'avança avec la mallette vers l'ascenseur.

Nous vous verrons bien encore, tout à l'heure ? demanda le directeur d'un air engageant.

Naturellement, dit Hagedorn. Puis il choisit une carte postale, demanda un timbre, les paya malgré les protestations du portier qui proposait de les mettre sur la note, et s'apprêta à monter.

Avant que je ne l'oublie, dit l'oncle Polter précipitamment. Vous intéressez- vous aux timbres ? 11 sortit l'enveloppe dans laquelle

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LES FILMS NOUVEAUX 1 AU BALZAC

CHARLIECHAN

AUX COURSES

Trop « parier nuit.

Le détective chinois qui s'exprime en proverbes fleuris; qui compare volontiers les gangsters à des hirondelles et leurs victimes à un vol de moucherons sort de son sac quelques nouveaux tours de sa façon. Aujourd'hui, c'est aux « bookmakers » qu'il s'attaque des « bookmakers » aux ruses un peu grosses et qui jugeaient le publie du turf assez sot pour confondre un « crack » et un « toquarl » « Avalanche » et | «Gallant Lad». Une histoire de « « doping s vient compliquer l'affaire, Chacun, du propriétaire au jockey, ayant besoin d'argent a étoufI fé ses scrupules et engagé ses éconõ mies en escomptant fa grosse cote, Mais le Chinois futé entend que soient respectées les lois du noble sport et ses déductions d'une lenteur prudente permettent à la pointe de vitesse du favori de s'affirmer, en fin de compte, victorieusement. J. L,

PROJECTIONS RECOMMANDÉES Changements de programme au Studio 28

Aujourd'hui à 15 heures, première à bureaux ouverts de St-Louis Blues (Banjo sur mes genoux) dont Barbara Stanwick est la vedette. Signalons aussi VValter Breman dont l'orchestré improvisé constitue une véritable révélation du plus haut comique. SI-Louis Blues vient d'obtenir en Amérique, le premier prix d'originalité.

Allégresse et optimisme Ce sont les deux qualités essentielles de Prends la route, le film qui passe en exclusivité au Colisée. Jean Hoyer, qui est à la fois l'auteur et le metteur en scène de ce film, a traité son sujet en gaîté. Il y a mis toute sa verve, il y a prodigué sans cesse la plus aimable invention et la plus charmante originalité.

Quant au compositeur Georges Van Parys, il a improvisé des thèmes savoureux, il a brodé avec esprit sur la trame brillante que lui offrait son collaborateur.

FILMS RECOMMANDES Exclusivités PATHE

MARIGNAN

COURRIER SUD

OLYMPIA

LE COUPABLE VICTOR-HUGO et LUTETIA TROIS, SIX, NEUF. IMPERIAL

LES HOMMES NOUVEAUX

I Les nuirnumir 36, ch,EiySées -n \2 ££s & œ^L^r^A

I grands LmtrHUNIt.5, Bd. Montmartre COMPARTIMENT DAMES SEULES | 5«cceS VI il l-i "Win. 6 B(L Italiens FAmLLE P0NTBmUET

PROGRAMME DES CINEMAS

Films parlants français.

AGRICULTEURS 15, 21 h.: Un grand amour de Beethoven. 4 AUBEKT 12 h., 0 h. 45 Mes Tantes et moi.

BONAPARTE 15, 21 b. Un grand amour de Beethoven. CINE-OPERA 14 h.. 21 h. 15 César.

COLISEE P. 14 h.; soirée, 21 h. Prends la route. DEMOUHS 14 h. 45, 20 h. 45 Le Mioche.

EXELMANS 14 h. 45, 20 h. 30 La Peau d'un antre. « GAUMONT 11 h., 21 h. L'Assaut.

GR. CINE-AUBERT 11,30, 20,30 La Belle Equipe. + IMPERIAL 13 h. 30, 1 ù. Les Hommes nouveaux. LE CESAR 14,30, 21 h Un grand amour de Beethoven. 4 LUTETIA 14 h.. 19 h., 21 h. Trois, Six, Neuf. LUX 14 h., 24 h. Ce que femme veut.

4 MADELEINE 12 h., 1 Il. 30 Nitchevo 4 MARIGNAN 14 h., 1 n. 30 Courrier Sud.

+ MARIVAUX 13 h. 30, 2 h. Pépé le Moko.

» MARIGNY Perm. 14 h. à 1 h. matin Land Without Music. MOZART 14 h. t5, 20 h. 45 Mon père avait raison. » OLYMPIA 13 H.. 1 h. Le Coupabte.

« PARAMOUNT 13 h., 1 h. La Maison d'en face. PASSY 12 h. 45, 20 li. 45 Disque 413.

PEREIRE 15 h., 21 h. Mister Flow.

RANELAGH 21 h. Aventure à Paris.

RECAMIER 14 h., 24 h. Le Mioche. «

+ REX 12 h.-O h. 30 Port-Arthur.

SCALA 12 h., 1 h. Ménilmontant. ·

ST. UNIVERSEL 12 à 24 h. Tout très bien, Mme la Marq. VICT.-HUGO 14 h.-19 h. S., 21 h. Hélène, Trois, Six Neuf. AMBASSADEURS 14 h. 30, 21 h. 15 La Rebelle. Films parlants anglais.

# AIGLON 14 h., 2l h. 30 Anthony Adverse.

Les salles marquées du signe donne:

César 14,15, 17,15, 21,15. Ciné-Opéra. Cirque 15,10, 17,35, 19,50, 22,20. Ermitage. Charge de la brigade lég. 14,30, 16,55, 19,15, 21,35, 0,5. Apollo. Courrier Sud 14,30, 16,40, 18,50, 21 b., 23,10. Marignan. Fine Mouche 15,11, 17,41, 22,4. Miracles-Lord-Byron. La Maison d'en face: 13, 14,30, 16,55. 19,15, 21,35, 0,5. Param. Land Without Music: 14,48, 17,9, 19,16, 21,22. 23,39 Marigny. Le Coupable 13, 15,15, 17,25, 19,35, 21,45, 23,55, <. Olympia. Les Bas-Fonds 12,35, 14,10, 17, 19,12, 21,30, 23,27. Max.Linder. Pépé le Moko 13,30, 15,25, 17,30, 19,30, 21,30, 23,40. Marivaux. Les Hommes ne sont pas dieux. 15,30, 17,30. 22 h. Marbeuf.

il avait mis les timbres exotiques et étala ce luxe de couleurs chatoyantes devant le jeune homme.

Hagedorn scruta le visage du vieux portier. Puis il soumit poliment les timbres à un examen superficiel. II n'y connaissait rien.

Je n'ai pas d'enfants, dit-il. Mais peut-être que cela viendra.

Je puis donc continuer d'en récolter ? 'demanda oncle Polter. Hagedorn mit les timbres dans sa poche.

Continuez, répondit-il. Cela ne présente, je crois, aucun danger. Et guidé par le directeur rayonnant il s'achemina vers l'ascenseur. Les habitués installés aux tables qui se trouvaient sur son passage le bombardaient de leurs regards. Il mit les mains dans les poches de son manteau et prit un air renfrogné. M. Johann Kesselhuth, l'air absent, posa la fiche qu'il avait remplie. Comment se fait-il que vous fassiez collection de timbres pour ce monsieur ? demanda-t-il. Et pourquoi y a-t-il pour lui du bœuf avec des nouilles ?

Oncle Polter lui donna la clef et remarqua

Il y a de drôles de gens. Ce jeune homme, par exemple, est un millionnaire. Le croiriez-vous ? C'est pourtant vrai. Seulement il ne faut

CONCOURS CINEMATOGRAPHIQUE DU « FIGARO »

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Georges Edwige Henri Ginger Rigaud Feuillère Garat Rogers Pour le règlement du concours et la liste des prix, voir le « FIGARO » du 27 Janvier

LES FILMS DE DEMAIN

A l'Olympia

Bien souvent nos chansonniers les plus illustres se sont moqués des travers de certains fonctionnaires. Mais jamais personne n'a été aussi mordant, que Georges Courteline dans son chefd'œuvre Messieurs les Ronds-de-Cuir. La direction de l'Olympia nous annonce la sortie prochaine sur cet écran de Messieurs les Ronds-de-Cuir.

Cette production est adaptée et réalisée par Yves Mirande, dont le seul nom suffit pour faire du film un succès. Une pléiade d'artistes les plus connus Lucien Baroux, Larquey, Signoret, Saturnin Fabre, Betty Spell font de ce film un spectacle des plus réjouissants.

+ APOLLO 14 h., 2 n. La Charge de la Brigade. AVENUE 14 h. 30, 21 h. 15 Théodora devient folle. 4 BALZAC 14,40, 17,30, 21,10, 22,4 Ramona, Charlie Chan. CAMEO 14 h., 23 h. Texas Rangers.

CHAMPS-ELYSEES 14 h. 30-21 h. 15 Le Vandale. COURCELLES 15 h., 21 h. My Man Godfrey.

EDOUARD-VII 14 h. 30, 21 h. Green Pastur ELYSEES-CINEMA Amour triomphant.

ERMITAGE La Brute magnifique.

HELDER 14 h. 30, 21 h. L'Extravagant M. Deeds. MARBEU1' 1-1,45, 17,30, 21 h. Les Hommes ne sont pas des dieux.

NAPOLEON Rosé-Marie.

MIR.-LORD-BYRON 14,30-19 h. S., 21 h. Fine Mouche. 4 LE PARIS 14 h. 30 à 1 h. San-Francisco.

PAGODE 3 h., 21 h. My man Godfrey; 50.000 dollars. STUDIO 28 15 h., 21 h. St Louis Blues.

FJms parlants russes.

PARNASSE 2 h. 30, 19 h. S., 21 h. Doubrovsky. Films parlants allemands.

STUDIO ETOILE relâche. Proch. Escadron blanc. Salles d'actualité.

CINEPHONE 10 h. à 1 h. La famille Pont-Biquet. 4 CINEPHONE P. P. 10 h. à 23 h. Compartiment de dames seules.

CINEPHONE CH.-ELYS. 10 h. à 1 h.: Orphelin; Une fille à papa.

4 PARIS-SOIR 10 h.-l h. Presse filmée. Vin du bonheur. nt un spectacle entièrement permanent.

L'HEURE DU GRAND FILM

La Rebelle 15,16, 17,13, 22,17. Ambassadeurs. Le Vandale 14,15, 17,20, 22,15. Champs-Elysées. Nitchevo: 10,9, 12,14, 14,20, 16,29, 18,35, 20,44, 22,53, 0,59. Madel. Prends la route 14 h., 16,18, 21 h. Colisée. Ramona 15,45, 18,40, 22,25. Balzac. San-Francisco 14,40, 16,50, 19 h., 21,10, 23,20. Le Paris. St Louis Blues 15 h., 17 h., 21 h. 45. Studio 28 Thc Green Pastures 14,40, 17,5, 22 h. Edouard-VII. Théodora devient folle 15,12, 17,37, 22,7. Avenue. Un gr. amour de Beethoven 15,45, 21,45. Agriculteurs-Bonap. Un grand amour de Beethoven 14,30, 17 h., 21 h. Le César.

pas qu'il sache que nous le savons. Car il tient à se présenter comme un homme pauvre. Il espère faire de tristes expériences. Mais chez nous il n'y réussira pas. Haha C'est que nous avons été avertis par téléphone. Un homme délicieux, dit le directeur qui revenait de l'ascenseur. Excessivement sympathique. Et puis c'est qu'il ne joue pas mal son rôle 1 Je me demande ce qu'il dira des chats siamois r

M. Kesselhuth se cramponna au comptoir. Des chats siamois, murmura-t-il. Le portier très fier fit un geste affirmatif.

Trois Ça aussi on nous l'a conseillé hier au téléphone, comme pour la collection de timbres. Pâle, M. Kesselhuth avait les yeux rivés sur la porte d'entrée. Est-ce qu'il devait se précipiter dehors pour tâcher de décider le second homme pauvre, qui s'avançait vers l'hôtel, à retourner chez lui ? Un essaim de clients fit irruption. Quel adorable gosse, s'écria Mme Casparius, une Brèmoise enjouée. Mme de Mallebré lui jeta un regard mauvais. La dame de Brème le lui retourna.

Enfin, comment s'appelle-t-il, demanda M. Lenz, un gros marchand de tableaux de Cologne.;

Classé dans les cinq meilleurs films américains de 1936 Winterset

va bientôt sortir à Paris Cinéma pas mort. Voici revenue « la belle époque », celle des films longuement mûris, conçus avec âme. Winterset, que présenteront bientbt les Ambassadeurs, vient d'être classé en Amérique parmi les cinq meilleurs films de 1936.

Les Nuits de Chicago, L'Opéra de quat' sous, Le Mouchard, Je suis un évadé. On songe aux meilleurs moments de ces films en admirant Winterset, dont l'audace et l'émotion bouleverseront.

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VENDREDI 5 FEVRIER A L'ECRAN

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PIERRE tANDRINI

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M. Fritz Hagedorn, dit Johann Kesselhuth automatiquement. Là-dessus ils se turent tous.

Vous le connaissez ? s'écria enthousiasmé le directeur Kûhne. C'est merveilleux. Racontez-nous.

Non, je ne le connais pas, dit Al. Johann Kesselhuth. Les autres se mirent à rire. Mme Casparius le menaça malicieusement du doigt.

Johann Kesselhuth ne savait plus comment s'en tirer. Il saisit la clef de sa chambre et songea à s'enfuir. On lui barra le chemin. Mille questions se croisaient. On se présentait, on lui serrait la main. Il ne s'arrêtait pas de dire son nom.

Cher monsieur Kesselhuth, dit enfin le gros monsieur Lenz, ce n'est pas du tout gentil de votre part de nous laisser ainsi périr de curiosité.

A ce moment le gong retentit. Le groupe se dispersa, car tout le monde avait faim.

(A suivre)

Erich Kaestner.

Traduit de l'allemand par E. Richmers,


DE FIGARO ECONOMIQUE ET FINANCIER

K 3VE-A.iecia:É plus; IRRÉGULIER, 1 ~1 t .sur des prises de bénéfice de la spéculation locale. Fermeté des valeurs de matières pre mières. Reprise de la livre à 105,07. Fermeté des métaux à Londres, j

3J Cette séance a bénéficié encore d'achats considérables de la clientèle. Mais à; la suite de la forte hausse de lundi, la spéculation locale a jugé prudent de prendre des bénéfices. De sorte, que la tendance a été plus irrégulière. I Les industrielles françaises notamment perdent finalement des fractions par rapport à la clôture de la veille. i © Les Renies sont encore irrégulières. A l'ouverture, les diverses séries perdent encore des fractions, à l'exception du i 1925, du 5 19,20 et du 4 1918. Une légère reprise se produit en clôture. Néanmoins, les grandes séries cèdent encore de 25 à 30 centimes en moyenne. Valeurs du Trésor très soutenues. ©. Les valeurs à revenu variable francaises, après une ouverture soutenue ou ferme, subissent des réalisations et clôturent dans bien des cas un peu au-dessous de la vieille,

© Aux internationales, on note la grande fermeté dés valeurs argentirtes et égyptiennes. Parmi les valeurs de maitères premières, les' pétroles et, les caoutchoucs sont fermes. En Coulisse, les diamantifères sont demandées. Aux 1 cuprifères, le Rio Tinto est lourd, mais /Union Minière du Haut-Katanga est demandée. Mines d'or irrégulières. & Aux changes, la livre s'inscrit en reprise à 105,07 contre 105,02. Le dollar se maintient à 21,45 contre 21,4525. A terme, les reports sont un peu plus tendus 0,90 sur la livre à un mois contre 0,75 la veille, 2,S0 sur la livre à trois mois contre 2,55 lundi. i. 1

® Londres affirme des meilleures dispositions. Les fonds britanniques et les valeurs localep poursuivent leur redressement. Les valeurs de matières premières, pétroles, métaux et diamants, sont très demandées. Mines d'or irrégulières. © Meta] Exchange ferme cuivre standard + 15/32, plomb + 1/8, étain + 1 1/2: L'argent-métal cède 1/16. © New-York est ferme. Le marché est actif. 2,430,000 au total. Dès l'ouverture le marché' est bien disposé. Sur la nouvelle que la General Motors peut faire évacuer les usines, les aciers et les automohiles avancent rapidement. Mais cette hausse ne dure pas. La clôture s'effectue en hausse sur la précédente, mais pas aux plus hauts cours de la journée. Céréales fermes. Coton soutenu.

© M. Parker Willis, correspondant de l' « Agence Economique et 'Financière » à New-York, analyse ainsi la réaction du marché des obligations et de « Wall Street,» » au relèvement des réserves exigibles des banques affiliées au « Federal Reserve System »

Nombre de spécialistes s'attendaient à une Démenti du ministre

des finances

Le bruit a circulé en Bourse que le gouvernement envisagerait diverses mesures, et notamment l'institution d'un système de contrôle des changes. Le ministre 'des finances oppose à ces rumeurs un démenti catégorique.

~PARIS LUNDRES biere disposé NEW-YORK ferme

PARIS LONDRES bien dispose NEW- YORK ferme

PRINCIPALES FLUCTUATIONS $ clôt, Der, Clôt. Der, J j Clôt, j Der, ÏAL£ Clôt, j Dem. 0!0 19?U Hausse Hfi 2D -(~ 0 *V»UUt» précétj. cours '«t-EURb précéd. cours VALtUKb ̃ pr-écéd. | cours VALtuK!> prccéd.j cours

4 0/0 1Ô25 95 80 -j- U 40 Covs.i' 5/8 Si 1/S Crown- Min 116 5/16 '16 1/2 AirRed.mri 77 1/8 77 1/2 Joins Manvi 145 3/8 1 145 1/2

Suez 27380 +1S0 0 t% 110 0/8 11013/16 EastHand.! 78/6: 79/6 AlliedChem | 240 240. Kenneoott 59 1/4 60. Foncier. Egvptiëii 4850 -f 30.' Wai-Loan.. 103 1/8 10315/16 Geduld ;10 3/4 10 3/4 Amer. Caa. j ios j in Montgome j 58 1/4 58 S/ 8 Uéthune .J 57$ •' J- 34 Franc. 8 fi 17 j 'n ,1/8 Coldflelds. J119 /*Jj| 121/10' Amer Srael. | 933/8 M. Ka^.BairjP 231/2 237/8 Vieqiglie 655- .+ 33 4'J'l81,4i 181/2 R»ndMin«s la 3/9 18 3/8 Am. T. etï. 184 | 183 3/4 «fat; Distil. j 28. 27 3/4

Canadien Pacjfic ..V 378 5(1 + Itj SU vj(l8W) 17 1,8! 17 1/4 Chartered 38 /9 /8 38/6 Am.TokacB. 99 1/2! 99 1/2 N.-Y. Centr. | 417/8 42. .J.

Royal Dutch 5045' +47 Are. 4 | loi loi Rio Tinto.. 23 1/2 23 1 '2 Anaconda.. 543/4 55 i Nortk Amer 003,8 311/4 Liebig's 1990 + 40 50 Brési(18S9)[ 26 5,8; 26 1,2 Tharsis 65/. 63/. (. Atchison 72 3/4 73 1/4 Pensylvan 4H/S 413/4 3I4 Banque d'Egypte 4743 + 98 Chine4; 102 1/2 102 1/2 Tanganyika 17,3. 18. Canad. »ao. 15 7/8 16 7/8 Public SerT 51 3/4 52 1,4

Hutchkiss 1338 + 78 Egypt.nnlf 4M 3/4 105. Anaconda.. 216/3 223/9. Casa 1162. 165. Radio. 11 -5/8 115/8

Qllilmès 5000 +300 ïoung 411/2 411/3 Royal Dutci « 1/8 47 5/8 Cer.d.Fasco. 69./ 69 5/8 Reynolds..1 56 1/îj 56 1/2 Urasserie Pulenno 1038 + 75 italien 3 17. 17. Shell 6 27/32! 6 31/32 CheS.a.Ohio! 63 7/8 63. Sears Roeb. 86. 86 3/4

Brasserie Schlau 579 + 80 Jap. 4?; (9i>") 573/4] 381/4 Mei.Eagle. 29/lOJij 29/7 ;.2 Com.Solvenj 195/8 191/2 Soell 28 293/8

Shell 704 + 21 PortaK.30,, 811,2 81 1/2 Anslo-Fran ̃••/ 112/6 Consol.Edis 46 1/2 « St. Brands. 15. 15 5/8

Cambodge 559 + 29 Ru«se(1906) 0 3/4 0 3/4 Gula 54,4' 54/. Coty 7 7,8 « st.OiloiNJ 70 5/8 70.

Caoutchoucs V 930 + 50 Espas. ext. 45 Rulb.Trut 40/ 6 40/6 Chrysler. 123 1/2 126 5/8 TeiasCorp. 55 3/8 571/2

t<oldfields V 649 +14 Iarc7'».. 3 1/e 3 1/8 Malacca. 46/3 la 40/3 DaPont. 1711/2 175. Texas Culf. 40 3/4 40 1/2

Goldrields '649' +14 Turc7)i.. 31/81 31/5 Malacca, 46/3 4G/3 nnpont.[1711/2 115, Texas GnU, 403/4 401/2

De Beers oril 1915 +75 Hydro-Elcc 10 9/16| .11 Sennah. 45/. 45/ Elec.B.a.S. 241/4 25 3/8 UnionPaci. 123 1/4 129.

Int.Holiins 2 7/8 | 3 116 Courtaslds. 56/4Vi j 56/6 Oener.Elec. 63 3/4 64 1/8 Unlt.AtrCr 29 3/8 29 12

Baisse Imp. Tobac. 162 /6 I 16 2 6 gribt.Celan 9/3 9/10). Oener. Mot. 66 3/4 66 3/4 u. s. Smelt. 86 1,4 88.

1 1/2 1932 A » 0 30 steelCorp. SS 3/8 ] 88 1 4 imp.Chemic 40 1/2 40 5/8 Goodyear.. | 35 3/8 1 35 3/8 u. S. Stell 95 5/8 66 5/8

Banque de France 8bO0 –110 De Beers. 17 3,4 1 la. unilever.. 45/. Inter Harv. 105 5/8 106 1/4 Wester.Vn. 78 3/4; 79 1/4 "redit Foncier 299a –80 jasersfoat. 3 1/8 j 3 1,4 Atchins. 7S ̃/• 74. Inter Nick. 633/s! 64 1/2 Wistinsh.. 159 1/2 162 1/2 Sord-Lumiere 98.1 4J Eratpan. 56,10' isl/10 Canad^Pac. 15 15/1» 17 1/8 Int.I.etTel 12 5/8 12 1/2 woorwortn. 613/4 613/4 Pechinèy 2.190 ba cent.l!inie 29 3/4 1 29 3/4 Union ïaci. 131 131/ 1 II PRINCIPALES TRANSACTIONS MARCHES COMMERCIAUX En. francy de rente s

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Oblig. du Trésor Peehmey 1.649 Ll j Chicago. Mai 1271/8 12s 1/4 1 1/0 11,11 ou 1 'vu R. Poulenc 3.524 ̃ Juillet 111 112 1/4

0/0 "i l'nl Saint-Gobairi.. 3.099 lubize 300 M.»- s »9. 89 50 «VOIHE Paris Février 123 25 124 50

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S. Lyonnais. 1.344 Geduld J.395 Bl.GarJlord 672 50 670 Soïna 11915 |ll97» CAOUTCHOUC, Mew-York.. Mari 2108 3100

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Distrib. Elect 1.754 Azote «34 T»n6anyikai 148. iso I. Cocïeriii 1370 1430 my^sil°-} ^vi" K^l «et 11 M

[^èiis 6.051 Royal Dutch.. 4.272 Ht-Kat(pr.) 4960 i 506O Ougrêo-Mar 1500.. 13M Mai «M MM

Nickel 1.736 Amstërd. Rub. 236 (op.) 4940 ..1 5040. Astu. Mines 282.. 286. ETAIS Londres Comptant 223 12/6 227 2/6

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FINANCES DE CARNAVAL

Ce 'qui est affligeant dans la politique financière, c'est la pauvreté de lïmaginatipn qui l'inspire. De l'inflation intérieure de crédit, un emprunt à Londres,, un autre, peut-être, à Amsterdam ou tourne dans ce cercle étroit, sans essayel1 apparem- ment d'en sortir. Soit dit sans pré-! teiition, une liste plus étendue des l, places à visiter a été présentée ici menvç. Seulement, l'expérience faite l, à Londres ne laisse, pas d'être déce- vantt? La Cifé-a donné an Trésor: français plus lié fleurs que d'argent. Les ,articles publiés à la louange chaleureuse de l'expérience en cours formant une gerbe splendide. Des- sous^on ne-trouve pas plus de 40 millions- sterling. Si le marché britan- nique, dans sa toute-puissance, n'a pas fourni davantage aux chemins, de fer, mandataires de, l'Etat français, quel/serait le montant des crédits à

espérer du Lichtenstein ? C'est une

question troublante. i Onï.comprend bien que les prêts étrangers ne seront pas trop difficiles, aussi longtemps que leur total restera inférieur à celui de l'encaisse 1, libre de^-la Banque. -de France. Par 'l" malheur, l'éducation de l'épargne i n'est pas assez avancée pour que cette pratique ne provoque pas, de sa part,, des réactions défavorables. Reste à considérer, par conséquent, les autres gages utilisables. La Turquie impériale en avait fait, jadis, un usage abondant. En juillet 192(3, le gouvernement français luimême avait envisagé de fournir en ,garantie,à des banques étrangères, une. partie des stocks de cuivre et de nier_e,ure. du département de la Guer-1 re.Qu£tiil à', présent, lés. progrès pbT serv&>i dans l'organisation' .'collective .̃. r de la paix né: semblent pas permettre de tels arrageniènts.; Qu'à c'jela ne tienne Les autres combinaisons possibles existent en nombre incalculable. Sur l'octroi .dé Lyon, sur les ^droits de quai de Marseille, sur les douanes nationales, ou sur n'importe quel impôt déterminé, la France empruntera au dehors tout ce quelle voudra, sous la seule réserve que l'affectation du gage soit forte- nient assurée.

Enfin,* si des raisons d'ordre -gé- J néràl s'opposaient à l'emploi de'ces méthodes fécondes, le jeu illimité serait encore ouvert de ce qu'on appelle; dans le mauvais commerce, de la « Cavalerie ». Les P. T. T. placent alors1 un 'emprunt à l'Office du blé les Monnaies et Médailles remettent des obligations à l'Office de l'Azote les Chemins de fer de l'Etat tirent sur les Tramways départementaux la Ville de Paris fait avaliser des traites sur l'avenir, par la commune de Saint-Rémy-sur-Deule et ainsi de suite, indéfiniment. 4 Bien que cette énumération de vojes et' moyens soit sommaire, on se; flatte d'avoir aidé ainsi à éclair- j cit les 'vastes perspectives ouvertes à ï'action financière du gouverne- s ment. Le tout forme un ensemble, j rate dans un grand pays, de finances carnavalesques.

̃i ̃:• i ̃ :"i.m.-<Si Uéiiteuïft:1

Gazette jd.es Tribunaux Zucco condamné

La onzième chambre correctionnelle a condamné l'ex-banquier Louis Zueeo à -treize mois de prison et 3.000 francs d'amende, et son complice Charles Gehin, directeur de banque, à trois mois et 1.000 francs d'amende.

Le président a ordonné l'immédiate arrestation de Zucco, qui n'assistait pas à l'audience. De plus, l'ex-banquier est sous le coup d'une information judiciaire.

La treizième chambre de la cour a confirmé la condamnation à six mois de prison avec sursis contre les époux Bondet qui avaient recelé des toiles volées que leur avait confiées le libraire Le Flaoutter.

Mise en liberté

'• de M. Cusinberge

La chambre des mises en accusation, à la demande de M" Maurice Ribet et Delaunay, a mis en liberté provisoire M. Paul Cusinbergc, arrêté le 23 novembre 1936 à la suite de la mort de l'Arabe Acherchour l'un des grévistes de la savonnerie Cusinberge, à Clichy..

«0.

MOUVEMENT JUDICIAIRE Sont nommes

Conseiller à Angers,. M. Jenviin.

Vice-président à Savenie, M. Hetz;. Juges

A Metz. M. Feypelt; à Strasbourg-, M. Suffert; au Mans, M. Dcchczelles; à Saverne, M. Slgrist; à Basiiu, M. Marcant-uni; a Blaye, M. Chevaline: à Epinal, M. Lévy; à Forcalquler, -M. Valnan; à Gray, M. Krug; il Ploermel, M. Geudreau; à Remiremont, M. Veccliierini.

Avocat général à Colmar, M. Marchai. Substitut du procureur général près la Cour d'appel de Colmar, M. Toussaint. Procureur de la République à Brive, M. Fromentell; à la Flèche, M. Rageot-de-laTouche.

Substitut adjoint du procureur de la République près le tribunal de la Seine, M. Cavaller Benezet.

Substitut du procureur de la République près le tribunal de Limoges, M. Sirol. Substitut du procureur de la République à Tliioville, M. Puecli.

Suppléant lion rétribué du juge de paix de Blida, M. Casanova.

«a»

La scolarité prolongée d'un an en Alsace et en Lorraine Le gouvernement a fait connaître hier sa décision de prolonger d'une année la scolarité en Alsace et en Lorraine. Les députés des départements recouvrés faisaient état, dans les couloirs d'une lettre que le président du Conseil aurait adressée à ce sujet à l'abbé* -Mill1er, sénateur du Bas-Rhin. Dans cette lettre, M. Blwn aurait déclaré que si les Alsaciens et les Lorrains étaient disposés à renoncer à l'enseignement de l'allemand et à l'enseignement religieux en Alsace et en Lorraine, le régime scolaire de l'intérieur leur serait appliqué. Dans le cas contraire, le gouvernement maintiendrait sa décision. Cette réponse paraissait avoir provoque une certaine effervescence parmi les représentants de l'Alsace et de la Lorraine.

Le classement de sortie à l'Ecole des Chartes

Après la récente soutenance des thèses, le classement de sortie des élèves de la pro. motion de 19:17 a été ainsi établi ° 1. M. Luc 2. M. "Vcrnet 3. M. de SaintReniv 4. Mlle Cuncasty ̃>. M. Delafostse 8. Mlle de>la Porte du theil 7. M, Degros; 8, Mlle Tattegruin 9. Mlle Quioc 10. Mlle Houin 11. Mlle Boucrel 12. M. Durand- i Barthcz 13. Mlle de Chnrry 14. M. Jarry. l, Hors rang Mlle Durantet; Mlle l.e Guay; Mme Lemarignier Mme Mahn-1/ot.

LES CONFLITS OUVRIERS

LA GREVE

AUX ETABLISSEMENTS, MAGGI v

Après avoir congédié

les grévistes

la Direction considère le conflit comme terminé

Après les pourparlers entre la Direction et les délégués des grévistes de la Société Maggi, l'accord n'avait pu se faire et la grève continuait.

Cependant une partie du personnel n'avait jamais cessé. de travailler, et l'entreprise pouvait continuer à fonctionner à peu près normalement. Hier matin, les grévistes ont reçu une lettre recommandée individuelle les informant qu'ils ne faisaient plus partie du personne].

Le conflit est terminé, les établissements poursuivant l'exploitation de leur entreprise avec le personnel n'ayant pas fait grève et des camionneurs bénévoles.

de la vie a considérablement augmenté, sont décidés à obtenir le rajustement des salaires, d'au moins 15 0/0, avec effet rétroactif depuis le 1" janvier 1937.

» Au cas*où satisfaction ne leur serait pas donnée dans un délai de quinze jours, la Fédération du bâtiment se réserve le droit d'employer d'autres moyens.

» Elle compte sur le gouvernement pour obtenir le respect et la généralisation des conventions collectives, la garantie des salaires hebdomadaires et l'ouverture rapide de grands travaux. » DANS LA METALLURGIE Le ministère du travail nous com-. munique

La délégation patronale et la délégation ouvrière des métallurgistes de la Sambre, accompagnées de leurs arbitres respectifs, M. Jacob, arbitre patronal, et M. Bérard, arbitre ouvrier, se sont, réunies sous la présidence de M. Matter, premier président de la Cour de cassation.

A l'invitation du surarbitre, les deux parties en cause ont décidé de constituer une commission de six membres, trois patrons et trois ouvriers, qui seront chargés d'examiner en commun les points litigieux de la convention.

LES PRIX DE GROS

MONTENT TOUJOURS La statistique générale de la France publie les indices économiques des prix de gros (base 100 en 1913)

Au 30 janvier dernier, l'indice général des prix de gros (45 articles) était de 512, contre 500 au 2 janvier celui des denrées alimentaires, 528, contre 514 les matières industrielles, 499, contre 488. Et le chômage augmente de nouveau

Le nombre des chômeurs secourus était de 427.932 au 23 janvier, au lieu de 410.785 le 26 décembre 1936.

.«.

CA ET LA

J* Au cours de la réception donnée en son honneur au Cercle Républicain, M. Georges Bonnet a prononcé un discours dans lequel il a étudié les condi-, tions d'une reprise économique en Francp pt dans ]p. Tnftnrlp.

Une grève se déclenche

dans les mines de potasse d'Alsace Mulhouse, 2 février. L'administration des Mines domaniales de potasse d'Alsace ayant décidé de déplacer à Paris l'ingénieur Gignoux, président du syndicat confédéré des employés ou ouvriers des mines de potasse, le personnel a répondu en déclenchant ce matin une grève générale qui est effective dans l'ensemble du bassin potassique d'Alsace. Une délégation des grévistes s'est rendue à Paris pour être reçue par le ministre des Travaux publies.

On ne signale pas d'incidents.

La Fédération du bâtiment donne quinze jours

au gouvernement

pour statuer sur les salaires Un meeting des travailleurs parisiens du bâtiment s'est tenu hier soir, à la Maison des Syndicats.L'ordre du jour suivant a été vote

« Les ouvriers du bâtiment, réunis le 2 février, au nombre de 5.000. considérant que, depuis le mois de juin, le coût

UN CRI D'ALARME

DE L'ACADEMIE

D'AGRICULTURE

La semaine de 40 heures va aggraver la désertion de noscampagnes L'Académie d'agriculture a adopté à ( l'unanimité une niqtion dont voici les passages' essentiels <^L 'application de la loi de quarante < heures dans l'industrie, les services des chemins de fer, vu avoir sur la popula- tion. de nos campagnes des répercussions excessivement graves: De tous côtés affluent tk-s demandes d'entrée,, par 1 exemple dans les chemins de fer, de la par| jteO"Uvriers. agricoles. < » s Aussi, dans beaucoup de cas, une < orise de main-d'œuvre sans précédent menace nos exploitations agricoles. » L'Académie d'agriculture considère 1 comme un devoir d'appeler toute l'at- 1 tcniioiï du gouvernement et de l'opinion < publique sur cette- situation. » j

Le président de la Chambre d'agriculture de Tunis

réclame des mesures énergiques dans le Protectorat

Tunis, 2 février. M. R. Veneque, président de la Chambre d'agriculture le Tunis, vient d'adresser une lettre suverte au résident général Guillon. « Je demande, dit-il notamment, au nom de tous les agriculteurs français Je Tunisie dont je suis le porte-parole: » L'arrêt de la propagande antifranjaise, dont seront victimes les agriculteurs français, comme tous leurs :ompatriotes totalement isolés et sans protection dans les campagnes » Une action plus réfléchie et plus îompréhensive des organisations syndi:ales qui, sous le prétexte d'amélioration les conditions de vie des ouvriers agricoles, et épaulées par le Destour, qui s'en sert pour sa propagande, sèment a haine entre employeurs et emptoycs jui, dans la plupart des cas, ont vécu jusqu'à présent- dans une bonne entente;

BOURSE DU 2 FÉVRIER -1337

VALEURS pS, S^ij i VALEURS «^ 5S II VALEURS p^.j Ss Il .VALEURS jp^c^

précéd, cours!, VALEURS précéd, :cours Il précéd, cours VALEURS i P ec~,l~e

baisse prononcée du marché des obligations à la suite de la décision prise par le Fédérai Reserve Board. 11 n'en a rien été et les fonds fédéraux se sont simplement tassés légèrement dans une ambiance très calme. Aussi bien, tous les opérateurs du marché é se sentent actuellement plus enclins à ache- ter qu'à vendre (contrairement à .<ce que d'aucuns avaient cru pouvoir annoncer), grâce à la disparition de l'inconnue que constituait l'attitude du F. R. B. vis-à-vis du problème des réserves. 1

© Dans un éditorial coisacré à la si- tuation financière en France, le « Journal of Commerce » écrit notamment Le flanc était surévalué par rapport aux prix des matières pren'ilères avant l'aligne- ment monétaire. La nouvelle hausse des prix, en France, est une menace contre Je rétablissement de l'équilibre. Le pouvoir d'achat du franc à l'extérieur est de nouveau plus élevé qu'à t'intérieur. Plus graves sont le lourd déficit budgétaire et la crainte, soit d'une augmentation considérable des Impôts, soit d'un nouvel alignement ,monétaire qu'il pourrait entrainer. Tant que les prix monteront en France et que 'le déficit persistera, le rétablissement de la confiance restera une tâche très difficile. Une fois résolus ces problèmes fondamentaux, la force de redressement du système économique français devrait se révéler aussi grande que celle qui s'était manifestée en 1926 après la stabilisation effectuée par Si. Poincaré.

© Au début de cette semaine, les aciéries travaillent à 79,6 de leur capacité de production contre 77,9 il y a un an.Les aciéries (le Pittsbilrg de la V. S. Steel travaillent même à 83 de leur capacité normale, ce qui représente r un record depuis 1929.

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Phosphates de Gafsa 998 I a 19286c" 729 730.. Industries Textiles ).. 1239 .1245 dn Tii 132 131

Piospliates de Gafsa i ,?!! ̃ Lfîl ri 1929 4 <i ̃̃“ 716 | 720 industrie Teitile 357.. MO.. Nationale Viscose 665.. 689..

Prod.chim. d'AlaisFroses. 2235 ..| 2190 g 1930 4 5' 700..| Perenchies 480. 484.. Padans. 698.. 745.. Rhone-Poulenc 1 1420 1390 1930 4 '»*, ïots 6S1. 63S Centrale d'Eclairage(Leiioii) 1830 ..] 1815 Pernod 1 Î120 22J0 saint-sobaii. |îsro.. 2585.. mli'% 656. 653 j| continentale du Gaz }JS» ̃ "|î ̃ Phosphates de Constantine. i 425.. 432..

Chargeurs Réunis 60004Fortifications,' 6M..i 615 rr..t..dTctai~parG,z.0.. 1260 de Constantine. ;15 ~650

Charseurs Reunis 600..602.. 4 y,0- Fortifications 618. J 64» Fraie. d'Eclairage par Gaz. |«'O «S° •! Phosphates Tunisiens j 137 146 50

Air Liquide I ISS î«ï! Vil.Parisl9324' "lots 703 703 i Gaz de Paris i 285 Pointe-à-Pitre 430 465 Brasserie Ouilmè. 530O 5600 1934 5 5/ V ,,t, 899 ..j 893 il Acétylène «Eiectro-Hétal. fsï JW .• ] Rand(o,tein 375" 383 caoutcnouc,«el'l«dochiiie, ««.v.j.™- 1935 5,loU.. 865 ..l; 863 Aoiéries de ïoW 433 4g ™j ««»« |J? ,j$ CitroenB. "̃'I™" Com. 1879 2 60 551. 533.. .I de «icherille. «0 MO 428. 43S..

Compteurs 920 1t8. j ~FO A c. 1878 3 °~ i I 575 ..I 560 Atel.etChantiersdelaLoirel S25 .I 528 "I RoeOd Antolape. · 428 i §36

Compteurs a Gaz 920. 937. j 550 Atel.etChantiersdelaLoire 526. «" 1| skoU Transport 743. 764..

Fori1 'y nl-\ 1J--i /coi. 18803K 545.. 545. Const NorddelaFrance 514. g" ̃ |l Sprinçs Hiies J 223 50 224

Peugeot 738 723. Fonc. 1863 3 », 248..1 247 i Chantiers de. Saint-Hazaire 645 b^ R 1479 1479

Raffineries et sucreries Say «? :i 766. 1883260% 275 272 Chatillon-Commentry 166j 1T3J T ik, 109 112..

Terres roues 521 52fi.·!w coin. f19131; 250591 50 2~10 ..l Fives-Lille. 150.1 B50.. I Tanganyika. 109 112

Union Européenne: ^W:: mW.m' g «92 2 60 •• 303 310 For. » Acier. H«a-Bankoja | 214 240 TowBsh (Sonth AM M

Est3% 816..1 S09.- S Fonc. 1895 2 80- .303. 305 j, Marine et Homeo | ̃ ̃ T-ane»aal Land 353. 36450

Lyon 3 «,“ Fusion mut 304 J 289.- £ Corn. 1S9926O;'0 285.. 280 JJnmont. *»" ̃̃ Tubize 21650! 223..

Midi3» .293 284 Fonc. tSOS 3ys 295 291 i1 Méditerranée (Fors. Chant.) iras JJJ» •• Union corporation 1124 i 1125

Nord 3* ancienne 334" g Corn. 19063»° 285 283 F. Belge Mat. Ch. Je Fer 1950 1980 | _Mf 0rWa»»3«? 321 319 Z Fonc. 19093% 150 149 Denain-Anzin 1525 152^ J 3600 3700

0~3~v.t. 298.. 297 a Gom. 19123~ 14t.. 146 Mat ri ~_l 705 36W 37W

Ouest 3 «Vnouvéaù m" 297 S Com. 19123% ^x 148 ..| 146 MatOTcl<;eCh.deFer(C.'Fr) W ̃̃ Yins et dpfrttnenx. 357 36A

AmmaVïes""? To«g Si::i 56.. 3 Fonc. 1913 3')!% 303.. 305 J! Métaux (C- Française). *gj »£ I Vi,t Spirlrteux 357.. 368..

Bel~e Eltr 5 1934 .1490 il494..|gi 19134% «0 i 437 l| Scnelle-MaubouKe »'? ̃ |™ï West Rand Î215.. 218.. Rusfeconsol l'°eu"série, 1556 15 73 S/Emp. 1926 7% 557 5S2 »fth'ne«1"ÏÏSj, SSIÔ "'1™ West Springs 318 318 Serbie 4 Amortissab. 1895 i 222 50 221 h I Corn.. 1927 7 495 495 £"»'?,?; Jï"1?, ££ 610 I =========

Turc 7 >,<̃̃ 1933 313 306 50 SI Corn. 1930 4% 650 I 637.. Commentry-Fourcliamtiau\t 5Jj ̃ ̃

BÏÎ5u.'»a««. du M«i<fue iî9 32» | Corn. 1931 4 652 i 654 f,™*™™?"»^ m ̃ Im COMPTANT Banque Ottomane. 593 585 S! Corn. ifM-f.^i ",̃̃̃ 663 ,.j 670 H.»tra»bçrt rt la B.ra»d. ̃ ̃ «~ ̃ 8itl,Ml,tr,rMetlsBière 29S m

Crédit Foncier Egypüea 4790 i86," II ~,Em.19329':I', P 1932 4 67fi..1618.Anichg(b!inasd').11155.12t9.HitteroiapPOrceetLUmiére;295.299..

Crédit Foncier ̃Igyjtieii. 4770 4S6.? |mp. 1932 4 6,6.. 676 ïïiî» ««̃•̃! ̃ Roubaisienne d'Eclairaje.. i 1610 1715

Canadian PaclBc | 3S4 361.. Eœp. 1933 5 », 74» i 733 614 630 Bardin, Renard, Couche 1740 1730

Wasons-lits «rd. 10750 11! En ip. W34 5 !i% °~ 913. 610 »^ 64 j J 655 [ Forces Renard .Couche 11150 1 11350

S~3!74~~7:: B~lOO~ ~25 ~25~ 64J 655 Forges de la Providence. 5~" 11350

Geduld.t !l32i?::f207.. I~i Bons 100 fr. 1838 i 67..j 67 25 Dcurgçs gj. 750 Çjela^^ 56j 563.. Bontecatinl 184 194 ^«..urra, 5 1921 592 | 598 P Ostricourt 'V.Y. \"& ̃ ̃ ««•̃•! ">i«»»l BjWiwa cap 2560 1 1815 Rio-Tinto. 252J 2497 •• 3% 1931. 227 225 Alïéne-Tunisie (Omniuml 2700. 2715 Ouasta et Mesloula 20S0 i 2010 Azote (Norvesienne) 1501.. 1494.. ̃ 5 1933. 689 691 i Bo? (Mines de ord M 2880 2833 Talcs de Lueaac 2495.. 3780.. Petroana 580.. 5M st 6% ° ~0 s?0 i; euer"ur act 2190 309J Hydro-CarhuresdeSt-Deais | 473 ..j 510..

Royal Dutch (dixièmes) I 4850 5030 j >̃* 4 g 3!1 SSttMl-KBd cap «éia iiis S523 3600 Hutchinson 1 1944 ..1925.

Bafal DnteD (diaiémes). 14950. SD3p i p y ·i S33 "91 i~ Dlolaa·eI-Hed. cap(déjaius) ~2i J600 Hatchipson I 1844 1923

Portusuese deTabacos. 416 ..1 4H50i 33» S^ rïano^aiie des Pétrole» SJ5 I 8J3 Filat.SchappedeLyon.cap. 3225 3350

suer.» Raffinerie d'Esypte 710.. 1 717 r.* i'& i 690 692 I ,,?. V, f, «, U20 Viscose Française.: I 7140 8650

=– 695 i 691 II Pcsbelbroan i t9J §9a ans.

j,pon a289 289 îB9 Uynamite(9oecetéCentrale) 92T5 J§2 Upion bncntre de 1 Aisae. 2B0

COMt'TANT s ss3 3ss I Eltttrp·Lh~>n~n ug(ne 2023 2J21 menue -1476 1520

°°~?~* "~1921" 350 336 110 i 182 Baaks (Ta6eas) 652

3%r0llDS.I>m! 7445 45 ,430 30 Krd,«" g-! EiS^ 42: :!jg:: ,,»«,«.«««.«», | «. 26. 3% Amortissable 79 40! 78 Mlal ° ",» |™ ̃ '«J Kali Sainie-Thcrèsc 1778 1845 ..h 3 Amortissable i 97 85 .] » « |J| ̃•̃ I Le Ripolin, jouis.. 2695 2630 ..J -».-««•< 4%i917 73.40 73 20| *>.̃ ?»*••̃̃ JJf I Saint-Gobin, Chauny 2670 25S0 CHANOES 4% 1918.•. I 72 «Si "SOi –?-«'?«.̃ ™J ̃ ̃ j g '̃̃ | Soie Ariificiclle (Givet) i 326» 3430 ̃̃! 3% 1920 Amortissable. 93 50 96 30 Nord 6 ser e F «0 410 5j ArtincieUe Vlsieûx.. S63 1025 PARIS 4 1925 (chante saranti). 95 3o! S5 50 J ?! ?! S t-5 «S Salin, du Midi 9Ï0 899 P*WS

4!J%1932A 7670J «TOI; ̃ •; •?"?, J'J ̃ ] fj* •• Port du Rosario 6120 6360 Londres 105 15:105 03 105 07

B 7720; 7720 fMïii ?!? ̃̃' ÎT, ̃ Auxiliaire NEvisation 1231 ..11330 ..il New-York 2146 25 j 2144 50 2145 Obi. Cn. fer Etat 4% 1912-14 312.. 307 j] j> }•" SS- 'i !?;: louage et Remor^uase. 1S5. 159 gruxeUes j 361 73. i 361 75.875 6%1919. 318. J 316..1 Orléans 6 33s ..j 352 Tr ansports cll commun .] 520 524 Madrid 207201 P.T.T. 5%192Sr.à500. 425.. 420. ^Iriiii ^M! :j Bèntiiotint 17300 :i Rome 112 901 112 351

4'; 1929 r. à 400. 397.. 393 ,V".M3S §*•! f|* ̃ Danoy (Julien) 1533 1580 Berne 149075.490875!

6 9u:1894dA9E I 80y ~809 ..I'i Oaast 2',§ ;i, 28i .I 1Yo r, Disttllerie'Cnaapier, 12844 ~12615 Berne 117f 75 197i 75

5 1934-1935 803.. 809 || Ottest 2 « 2M ̃ 28a •̃! Distillerie 'Cusenier, 2844 2825 Amsterdam .| 1174 75 1174 30; 75

Caisse Nat. Cr. Agr. 3% 1933 1 904.. 510 BANQUES Distillerie de l'Indochine 599. 609. 5 or 1917 (100 dollars) i 340D ..p Banque Afrique Occident.. 865.. 870 Entrepôt île Grenelle 893. 891. LONDRES 7 \s or 1921 (100 dollars) 264i 2640. de l'Indo-Chine" 4700 ..4675 Grands Moul. do Corbeil, or. i 185. 195..IParis 105 13.1 105 135 7 or 1924 (100 dollars) 3250 3280 de la Guadeloupe 2490 ̃ Nicolas | 479. 475 New-York 4 903}.: 4 90 4. AfrigneOccideït.Franç.3'),; S31..I 327.. de la Guyane. 2650 il Nossi-Bé 1010. 990 !| Rio de Janeiro ^3 jS.1 Indo-Chine 3 1909 275..1 281. de Madasascar. 431 I; Olida 4030 3900 Buenos-Ayres 1615 1613.; 3;1913 293.J 299. de la Martinique.. 2740 2800 j. Potin (Félix) | 125.. 128.. ,icvn.t. Madasascar 1903-1905 325..319.. de la Réunion 2815 2305 Saint-Raphaél 6850 6350 NEW-YORK Haroc4%'1914 310.. 317. EuropeCen.(Pays)or 257. 257 |: Ciments Français 2290 i 2399 .] Paris. 4S« 1,4 466 1/4;

5%1918 365.. 368.. | -r1 friv. 312.. 312..j -r. de l'Indo-Cbiue. | 5J4 ..I 53Ç Londres 4895,0490.

6,°o f9lg. 36S 968 Uf- -JÏ f&t»i 9Sa 3f2 de -̃.1H.-IT.-UIJ- 1- E 61f90 .1.1.

LEGION D'HONNEUR

Ministère de l'Education nationale Est élevé à la dignité de graud-croix M. Joseph Bédicr, deTAtadémie Française, administrateur honoraire du Collège de France.

Sont promus

Grand-officier M. Haraucourt, Edmond, homme de lettres, ancien président de la Société des Gens de Lettres.

Commandeurs MM. CourtcauH, Jean,

directeur des Archives de France Dussaud, Bené, de l'Institut, conservateur du Musée du Louvre Gastinel, Georges, inspecteur général de l'Enseignement secondaire Maillol, Aristide, sculpteur Molliard, Marin, de l'Institut Prouvé. Emile. directeur de l'Ecole des Beaux-Arts de Nancy Romains, Jules (Farigoule, Louis, Henri, Jean, dit) homme de lettres. Officiers MM. Bastard, Georges Bechmann, Lucien Bruhut,, Georges Carcopino, Jérôme Chabaud, Xavier Chardonne, Jacques (Boutelleau Jacques) Charmy, Roland (Touchct), hommes de lettres 'Mme ("oirault, Marie M'.M. Commissaire, Hippolyte Coudor, Lucien Dodier, Henri Drivier, Léon Dullin, Charles, artiste dramatique Dupont-Ferricr Mme Hervieu, Louise, écrivain et artiste peintre; MM. Lambert, Edouard Laparra, Raoul, compositeur de musique Lazergcs, Elie Lot, Ferdinand, professeur à la Faculté des Lettres de Paris Moncharmont, Charles (dit Comte), directeur du Théâtre des Célestins. à Lyon NatansOn, Thadée, auteur dramatique Patouillard-Demoriane Périé, Ra-phael Utz, Jules \Taudoyer, JeanLouis, homme de lettres Mme Viollis. Andrée (d'Ardenne de Tizac, Andrée), femme de lettres.

Sont nommés. (Chevaliers MM. Achard, Marcel, auteur dramatique; Albert, Jules Alerme, André Mme Anie-Momoux MM. Audisio, Victor, directeur de théâtre Ballard, Jean-Baptiste, homme de lettres Barralier, Henri Béai, Charles Binet, Georges Bérard, Paul Beurdeley, Jacques Bonnerot, Louis de Bouard, Alain; Boucart, Gaston Boutcmy, François Brunet, Emile Mlle Bureau, Marie-Hélène MM. Callliau, Fernand Cassagne, Lucien; Cassou, Charles Cassou, Jean, homme de lettres Celier, Henri.

M. Cellier, Alexandre Mlle Chabrat, Elise MM. l'abbé Chagny, André Chaigne, Louis Champy, Paul Chataigneau, Aimé Clair, René (Chomette René dit), cinéaste Couvegnes, Raymond Cron, Albert.

Mme Dany, Adrieune (Mme Vavasseur, Adrienne) MM. Darrieux, Marcel Demenais, Lucien Deshayes, Marius Dupas, Charles Dupuy, Ferdinand Dr Durand, Denis Evcsque, Eugène Filleul, Henri Feuillard, Louis Firmin, Claude Fleury, Georges Flottes, Pierre Mlle Forfcr, Suzanne M. Fournery, Georges Mme Fraysse-Auriol, Jeanne MM. Froissard, Jules Gallaud, Ernest Galtier, Emile Ganeval, Joseph Geuty, Charles Georges, Jean Mlle Gouauit, Rosé MM. Goulesque, Adolphe Grandgérard, Lucien Mme Fernand Gregh, femme de lettres MM, Guéguen, Pierre, homme de lettres Guérln, Raoul, dessinateur Guinaudeau, Olivier Herbemont, Auguste Herbert, Jules Hosteing, René.

MM. Hœpttner, Ernest Issaurat, Honoré; Jocts, Jules Kœchlin, Fernand Krettly, Robert Lamy, Charles (Castarède, Charles), artiste dramatique Larronde, Carlos, homme de lettres Lavergne, Gérnud Léger, Fernand, artiste peintre Leguay, Pierre Léry, Maxime, homme de lettres Le Sur, Edouard Liber Louis-Gautier Loupot Luce, Jean Madis MalfantVallès, Pierre Mlle Manière, Berthe MM. Marcais, Georges Mattenet, Fernand Maurin, Edmond Mersler, Léon.

Mme Meycr; MM. Michelet, Milliaud, Monborgne Mines Monnier, Mornet MM. Mougin, Moustler, >îMegelen, Naegelen Marcel Noblot. Oberdoer^er Mlles Olanier, Pélioré MM. Péré, Perrin, Pitoeft', directeur de théâtre Pouget, Putman, Rameau, Ramey, Ramon, Ravaux Mme Rebour MM. Re.nard, Renoir, cinéaste Ribeyrolle Ricunier Mme Ripa de Kcveredo Mlle Robert Mme Robinne. sociétaire de la Comédie-Française MM- Ronzy, Rougier, Sinaud, Salacrou, auteur dramatique; vSchneegans, Servat, 'Sondant, Steve Passeur, Stival Mme- TaiHeferre MM. Thauejés, Thomas, Thomas, professeur Tian, Touchagues, Trahafd, Travers, Tréville, Vaillant, Van Biema, Vassv, Vattier Mme Vcra Sergine, artiste dramatique MM. Villemiu, Waquct, Weiss Mlle Zeller. Ministère des Pensions

Sunt promus

Commandeur :;M.»id» Barrai 4f- Mon-

tauvrard, l'un des fondateurs de la Semaine du combattant, secrétaire général adjoint de ce supergroupement, directeur général de, la France mutualiste.

Officiers MM. Autrand, président foudateur de l'Association républicaine des anciens combattants du Briançouuuis; Josl, président du groupe départemental de la Loire-Inférieure de l'Union nationale des mutiles et réformés Larbouillat, président de la fédération départementale de l'Yonne de la Fédération nationale des combattants républicains .Mahlu, vice-président de lui fédération départementale des mtrtiiés de la Somme (Union fédérale) Maynand, pré- sident de la division du Bois-lc-Prétrc, au- ciens combattants de la Tô' division Merle, président titi groupe des mutilés de Saint- Martin-la-1'laine (Loire) Piercns, secré- taire général de la Fédération des associations de fonctionnaires anciens combattants; Priollet, vice-président de l'Association des écrivains combattants Ricloux, président de l'Union nationale des combattant. de' la section d'Amiens Rouast, secrétaire général adjoint de l'Union fédérale des asso- dations françaises de mutilés et anciens

combattants Suuvaget, viee-president de

l'Association des mutilés, combattants, ré- formés de guerre, veuves de guerre de Far- rondissement de Vendôme Sieard, secré- taire général adjoint de la Ligue «les an- ciens combattants pacifistes Sureau, tré- sorier de l'Association des médecins auciens combattants.

Sont nommés

Chevaliers MM; Audiget, Bfnolt, Bertrand, Blocli, Boivin, Broc, Chapelain, Charvet, Ciavatta Mme Daunois, née Nogin; MM. Debelfort, Dubreuil, Goepferl, Grogard, Guignet, Hausfuter, dit Volf,

Hermetz.

MM. Jeanvoinç, Jeulin, Lansou, Lassablière, Elté, Montier, Morellet, Keaud, Pcr- 1 rouin, Petit, Pczous, Pfeilfer, Plagcas, Hobaglia, Ropert Aime Rouveret, lice Reyr naud MAI. Rucklin, Sagon, Viucigucrra. Ministère des travaux publics Sont promus commandeurs

MM. Charles Blum, président de l'Union des véhicules industriels de Kerviler, ins- pecteur général des ponts-etrehaussées. Sont promus officiers MM. Damour, président de la Compagnie t générale de navigation H. P. L. M. Demay, bibliothécaire de l'Ecole supérieure des mines de Paris Gaïsset, administrateur directeur d'une société de transport de t force Gavini, directeur d'une société industrielle à Paris Gex, ingénieur en chef des ponts et chaussées de la Savoie Guisquet, chef de bureau au ministère des tra- c vaux publies Lancrenon, ingénieur en chef à la compagnie du Chemin de fer du Nord Métivet, ingénieur en chef des ponts et chaussées Notté, inspecteur général des ponts et chaussées Portier, administrateur de sociétés minières Reyuès, ingénieur en chef des ponts et chaussées Salavert, sous-directeur à l'office national des combustibles liquides.

Sont nommes chevaliers

MM. Aubert, Augé, Philippe Bérard, Bergerot, Boulant, Brousse, Bruncl, Calley, Capdeville. Ghaniboredon, Chautard, Chauvet, Chevalier, Chimot, Collomp, Courage, Darrieux, Delau, Doubrère, Escarra, Estoul, Léon Faure, Fénelon, Ftlidori, Fornacciari, Gadonneix, Gabriel Gignoux, Girardy, Girette, Goasmat, Gougé, Grenapin, Guillemot.

MM. Henry, Hur, Huygue, Jodot, Lains, Lapéble, Laporte, Letrillard, Malandain, Malraison, Maraquin, Offrey, d'Ornono, Parateau, Pruvost, Quitolet, Reinacher, Storet, l'hévenin, Ticher, Toutin, Vérot, Lucien Viard, Georges Viot.

L'ANNIVERSAIRE

du 6 février 1934

Samedi prochain, à 11 heures du matin, aura heu, en l'église métropolitaine de Notre-Dame, la cérémonie organisée 1 par la municipalité parisienne à l'oc- casion du troisième anniversaire de la 1 tragique soirée du 6 février 1934. c

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Amateurs de bibelots et de trouvailles, t (e « Coin du Chércheur a gui paraft fi deux fais par semaine (jeudi et aiman- c. che), dans les « Petites Annonces » du ,`. FIGARO, vous indiquera t'adresse que ] vous désirez. ̃ r

RADIO

Mercredi 3 février

20 h., BRUXELLES FRANÇAIS (puis BRUXEL LES FLAMAND à 21 h. 15) Œuvres de Béh Bartok, sous la direction de Franz André (Suite dt daflscs 2 Concerto pour piano et orchestre Scàiiçs villageoises Danses populaires roumaines Portraits Deuxième rapsodie pour violon et or chestre Le Mandarin merveilleux).

20 h. 15, NATIONAL ANGLAIS Concert -sou: la direction de Sir Thomas Beccham, avec Giesck'mg. Symphonie n" 97 (Haydn) Paris, le chanl d'une grande ville (Dclius) Concerto en la mi- lieur (Grieg) Kalevala (Sibêlius).

20 h. 30, TOUR EIFFEL Les Gaités de l'Escadron, de Georges Courteline, par la Troupe dl l'Odéon.

21 h. 30. PARIS P. T. T. Sonate en ré porit violon et piano (Schuniann) La Belle mcunièri (Schubert) Quatuor (Lazarc-Lèvy).

ORCHESTRE

14 h. 30, RADIO-PARIS (Poste Colonial) Concert bons la direction de M. Tomasi. 15 h-, SCOTTISH REGIONAL Concert sym- phonique (Weber, Haydn, -Wagner).

19 h 45, HAMBOURG Concert.

19 h. 45, SUISSE ROMANDE Concert symphonique sous. la direction de M. Anscrmet (Vivaldi, i, Beethoven, Haydn, Olivier, Albanger, Ravel).

19 h. 50, PRAGUE Concert (Xovak, Strawinski, Strauss).

21 h. 30, LEIPZIG Concert.

22 h. 15, BRESLAU Concert.

MUSIQUE DE CHAMBRE ET SOLI 17 h. 45, RADIO-PARIS Pièces pour violon par Mlle Royer.

19 H. SUISSE 'ROMANDE. Récital Buxtehude par M. William Montiliet.

19 h. 10, ÛEUÏSCHLAND Concert pour instruments à vent.

20 h., RADIO-PARIS Mélodies par Mlle Largillière.

22 h., RADIO-CITE Quatuor op. 135 de Beethovcn.

23 h., STUTTGART Musique ancienne. MUSIQUE LEGERE ET VARIETES 14 h. 30, PARIS P. T. T. La Radio aus Aveugles.

18 h., RADIO-PARIS Demi-heure de;

Jeunes.

20 h. 15, LONDRES REGIONAL Coo-EE, soirée australienne.

20 h. 40, LUXEMBOURG Revue avec Roméc Carlès et P. Ferrary.

21 h. 20, VIENNE Récital à deux pianos. 21 h. 25, POSTE PARISIEN En Correctionnelle, de M. Diamant-Berger.

OPERA

18 h. 30, BUDAPEST Le Freischutz, opéra de Weber.

20 h., MILAN De la Scala La Bohème, de

Puccini..

20 h. 30, R. P. T. T.-NÔRD De l'Opêr» Fidelio, de Beethoven.

20 h. 45, RADIO-PARIS Lalla Roukh, opéracomique en deux actes de I'élicien David, paroles de MM. Michel Carré et Hippolyte Lucas. Jeudi 4 février

C'est peut-être par la musique religieuse que la province française montrera aux auditeurs son existence musicale. On croit beaucoup plus aux chorales où la foi entretient l'émulation artistique ->- qu'aux orchestres de chef-lieu, réunion amicale de professeurs sans grande ardeur. Ne généralisons pas certaines villes ont des orchestres que les Parisiens pourraient envier. P.-D. T.

20 h*. 15, STRASBOURG Depuis l'église Saint-Sauveur à Verdun. concert spiriiucl ave Mlle Sibillc, de l'Opéra-Comique M. l'abbé Camonin, organiste, et M. Scmlcr Collery Poème héroïque pour orgue et instruments dt. cuivre (Dupré) Le Martyre de Saint Sébastien (Debussy) Les Prières (Caplct) Ave Maria (Schubert) Pièce pour hautbois (Bach) Prélude, de La Péri (Dukas) Cantique de Jean Racine (Fauré ) Rédemption (Franck) Suhum Fac (Widor).

20 h. 30. PARIS P. T. T. Théâtre La Rabouilleuse, d'E. Fabre, avec la Comédie-Française. MM. Brunot, Alexandre, D. d'Inès, R. Manteaux, Dorival, Escandc, Chambrcuil, de Rigoult, J. MattincHi, Bonifas Mmcs Suzanne Devoyod, Mary Marquct, A. de Chauvcron.

22 h. 2-0, NATIONAL ANGLAIS Violon lt piano Sonate l en si bémol majeur (Bach) Sonate 2 (Bartok) Bêla .Bartok a.u piano dans ses œuvres.

U_ «,

MOUVEMENTS DE BATIMENTS Croiseurs. Le Lumotle-Picqnct, venant de Cebu, est arrivé il Saïgon le Uuquésiic a apareillé de Palma â destination d'Alicante.

̃̃ Contre-torpilleurs. Le Cassurd a appareillé de Barcelone le 1" février à destination de Toulon le Chacal. bâtiment annexe de l'Ecole navale, a appareillé de Lorient à destination de Brest le Verdun a appareillé de Toulon à destination de Barcelone le Valmy, venant de Toulon, est arrivé à Palma.

Torpilleurs. L,'Enseignc-Roux et VEnseiyne-Gabolde, venant de Bizertc, sont arrivés à Toulon.

Aviso. Le Dumont-d'Urville, venant de Fort-Bayard, est arrivé à Shanghaï.

MOTS CROISES

Horizontalement. I. Douce oisiveté. Il. Fer combiné avec une faible quantité de carbone Note. III. Lac. africain Entonné par reconnaissance. IV. Coup de baguette Œuvre de Virgile. V. Temps de la conjugaison grecque qui indique une action passée. VI. Personnage de la Con.édi-Française qui doit surtout son illustration à Molière. VII. Symbole chimi3ue Le 'plus âgé. Vllt. Ville maritime du Chili Donne lieu à de quotidiennes émissions. IX. Deux lettres de « Quibelon » Note. X. Fin de participe Apprend. XI. Point cardinal Mieux que rien Eprouva.

Verticalement. 1. Créé par l'imagination. 2. Qui .concernent les traités des moyens thérapeutiques en général. 3. Participe passé Sorte de perroquet. 4. Précis Intérieur et profond. 5. Colère Possessif Deux lettres de « Nippon ». 6. Vole sur une voie publique et par violence. 7. Voyageur antique Ancien séjour princier. 8. Sert de bac sur il certaines rivières Donné pendant que les gens se placent Note. 9. Note Toute sorte de contestation. 10. Affluent du Danube Dévêtu. 11. Prénom féminin Résultat d'une cause.

Solution du y 1249


LES CHAMPIONNATS DE FRANCE DE TENNIS SUR COURTS COUVERTS ABDBSSELAH ELIMINE ENCORE un joueur de première série

le jeune Algérois Abdesselam qui, dès le "premier jour des Championnats, avait défraye la chrouique en éliminant Jamaiii, s battu hier, au T. C. Paris, le joueur de première série Goldsehmidt. Est-ce vraiment uu surprise ? Nous ne le pensons pas, puisque ce match faisait, lundi, l'objet de nombreux commentaires où les avis étaient très partagés.

ta vaincu a invoqué le mauvais rendement de sa raquette c'est banal. Au vrai, Abdcsselam, dont nous signalions les remarquables progrès, s'est lancé dans le combat avec tant d'impétuosité alliée à tant de décision et de précision que le jeu appliqué mais monocorde de son rival a été mis cu échec. Voilà 'toute l'histoire.

Mme Kleinadcl, très en verve, remporta une belle victoire sur Mlle Neufeld, tandis que Mme Lebailly éliminait la championne de Suède Mlle Roberg. Résultats

Championnats de France

Simple messieurs. Premier tour Ellmer (Suisse) b. J. Hiinct, (i-2, 7-5, 0-3 II. Abdesselam b. P. Goldsclimidi, 7-5, 6-4,

Simple dames. Quarts de finale Mme Lebailly 1). Mlle Hoberg (Suède), 6-2, 6-2 Mlle S. Panneticr b. Mme S. Horodnltehenko, 0-4, 6-4 Mme Kleinadcl b. Mlle Neufeld, 8-0, U-2.

Double messicurs. Quart de finale Féret-Boussus b. Tronciu-Ellmer. 8-0, 6-4,

Double mixte. l'remier tour Mlle Roberg-H. Bolelli b. Mme Varin-(i. Troncin, 5-7, 6-4, 6-3 Mme Morel-Deville-ll. lîillaudot b. Mme Gorodnitchenko-GoldseJuuidt, 7-5, 0-3,

Critérium ·

Simple messieurs. Deuxième tour Poignon b. Fabrc, 2-6, 6-2, 6-3 Papillon b. Frèrejean, 7-9, 6-3, 6-0 Garnier b. Huvelin, 0-1, 0-3 de Kergorlay b. Debar, 6-1, 3-0, 6-3 J.-M. Rouget b. Cabet. 6-4, 6-1 Bigard b. Boui'gès-Maunoury, 3-0, 6-1, 0-4, Simple dames. Premier tour Mme Garnier b. Mme Oudin, 6-2, 7-5 Mlle Garcia b. Mme da Cosia, 3-0, 6-1, 6-1 Mme l'ower b. Mme -e Beauvillé, 6-2, 0-2 Mlle Lesur b. Mlle Provence!, 0-1, 0-2 Mme Delaunay b. Mme Bouwens, 6-1, 6-3. Deuxième tour. Mme Morel-Deville b. Mme Bouhème, 6-1, 6-t Mme Luisné b. Mme J. Bernard-Cerf, 6-:i, 5-5 (ab.) Mlle Simon b. Mlle Verseiu, li-1, 6-3.

Double mixte. Premier tour Mme Morel-Devllle-R. Deslrenutu b. Mme Mautai-Broquedis, 4-6, 6-2, 6-3.

Espérance

simple messieurs. Premier tour de Gournay b. Frenot, 7-5, 6-1 Fellot b. Càtelti, 6-4 (ab.).

Deuxième tour Hennefler b. Piret, 6-3, 6-2 Çaneva» b. Rauter, 6-1, 2-6, 6-1. Troisième tour Esmond b. Harismendy, •-4, 6-3.

Simple dames. Premier tour Mme

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pour aujourd'hui

Championnats de France

10 heures Elimer c. Vieillard. 11 heures Mme Boegner-MUe Neufeld c. Mlle Roberg-Mlle Forscll. 13 heures Mme Varin c. Mme M. Bernard. 14 h. 45 Borotra c. Berthet. 16 h. 30 M. Bernard c. Ellmer ou Vieillard.

Critérium Espérance

10 heures Mme Colin c. Mlle Lesur P.otil c. Polès Mme l'acaud c. Mme Audrain. 11 heures Mlle Fournier c. Mlle Stcvens Mlle Emery e, Mlle Simon Laborde c. de Gournay. 12 heures de Guiéa e. Marrec Lafontan c. Lefèvre-Dibon D. Laurent c. It. Billaudot ou A. Meunier Rjinet c. Dubois. 13 heures Mme Power c. Mlle Julllen Combemale c. Garnier Mme Morel-Deville c. Mlle Perreau. 14 heures Mme Savelsberg o. Mlle Garcia Mlle Mellerlo c. Mme Delaunay Mlle Marron c. Mlle Follias. 15 heures Mlle Provcncel-Mlle Perreau c. Mme Floquct-Mlle Lesur Mlle Roquebert c. Mme Lecas. lb heures Mlle Bertrand c. Mine Garnier Mme Meule-Marrec c. Mlle Stevens-Rotil Mme de Beauvillé-Mme Putz c. Mme Engcrand-Mlle Mellerlo. 17 heures Richtir c. Copeaux Varin c. Abdesselam Roux c. do Kergorlay. 18 heures Mlle Marron-Esperounier c. MUe Thevenon-Behar Deloche de Noyelle c. Vienot Mlle Perreau-Billaudot c. Mme Andrivet-Perreux. 19 heures Tenaille c. Cécilie l'oignon c. Soulé Monteux c. Fellot. 20 heures Manceron-G. Lefebvrc-Dibon c. BuissonLamy Rouget c. de La Crouée. 21 heures Lanzeuberg c. Veeck Lamy c. Lallier.

r 1.

Brugnon battu à Cannes Cannes. 2 février (de notre correspondant particulier) Contrarié par une pluie intermittente durant une semaine, le tournoi international du Gallia Tennis a été favorisé pour les finales d'une matinée ensoleillé* réunissant autour des courts de nombreux spectateurs. Brugnon a perdu par 6-3, 6-4, fi-4, son championnat contre Kho Sin Kie. Il avait affaire à un adversaire redoutable, mais il n'a pas semblé dans sa meilleure forme et paraissait fatigué de l'effort qu'il avait donné la veille en battant Tesmaeher. Le jeune Chinois a magnifiquement joué

Résultats

Simple dames. Mme Mathieu b. Mlle Weivers, 6-4, 7-5.

Double messieurs. Brugnon et Robertson b. Vodcika et Ambros, 6-3, 6-0, 6-4. Double mixte. Mme Mathieu et Brugnon b. Mlle Salnt-Omcr-Roy et Willlems, 6-2, 1-6, 6-3. Jean Eparvler.

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LES JEUX

universitaires d'hiver ont débuté hier

àZellamSee

En hockey sur glace

l'équipe d'Autriche bat celle de France

'Les Jeux d'hiver universitaires ont débuté hier à Zell-am-See. Le tournoi de hockey sur glacè mettait aux prises les équipes de France et d'Autriche. Celle-ci l'a emporté par 4 buts à 0, obtenant ainsi une nette victoire, prévue d'ailleurs. Malgré l'importance de la marque contre elle, l'équipe de France n'a pas été totalement inexistante. Elle joua de malchance et deux de ses joueurs furent blessés Bertrand et Lafonta, le garde but. Deux buts furent mar- ?ucs en première mi-temps et deux dans la troisième et dernière. Dans l'ensemble les Français se sont courageusement défendus. Leur infériorité athlétique fut évidente et à la' balte de leur insuccès, ainsi que le manque d'entente entre les avants, ceci en raison de l'absence du moindre entraînement.

TIR AUX PIGEONS A MONTE-CARLO Monte-Carlo. 2 février. Quarante-huit tireurs ont participé au Prix du Saint- Hubert, qui a été disputé aujourd'hui. En voici les résultats 1. ex œquo Lanteri Houdé, Pescarin, L. Roux (22 mètres), 13 sur 13 4. G. Baldi (24 m.), 12 sur 13 5. ex aequo R. de Thezy (22 m.), docteur Fioretti (26 m. 25) et Calestani (29 m.), 11 sur 12.

La poule a été gagnée par Bordoni.

Le tirage au sort

des rencontres pour la Coupe Davis 1937

Hier a eu lieu, dans le Palaia de l'Amirauté à Londres, en présence de nombreuses personnalités sportives et politiques, le tirage au sort des rencontres de la Coupe Davis 1937. En voici le résultat

Zone européenne, premier tour Belgique c. Hongrie, Suisse c. Irlande, Sud-Afrique c. Hollande, Chine c. Nouvelle-Zélande. Deuxième tour. Dans le haut du tableau Italie c, Monaco, Allemagne c. Autriche, Suède c. Grèce.

Dans le bas du tableau Yougoslavie o. Roumanie, Tchcoslovaqule c. Pologne, Norvège c. France.

Zone américaine Etats-Unis e, Japon, Mexique c. Auatralie.

Rappelons que le premier tour sera Joué le 4 mai le second, le 16 mai le troisième, le 8 Juin. Les demi-finales devront être terminées le 17 Juin et la finale le 12 juillet.

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NOUVELLES L'aviation sportive ¡

L'aviateur Llewellyn, qui avait quitté l Londres pour un raid Londres-Le Cap, re- nonçant à son raid en raison du mauvais temps régnant à Tunis, est reparti de Marignane pour Londres à 13 h. 08.

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En préparation deuxième degré Caffarelli, Naudin, Lambert, Lépicler.

En perfectionnement sur « Corsaire », vols seuls ou avec passagers Mme Delaunay, Mautin, Marino, Delathuy, Defrutos, \VêiI, de Rochetaillée, Margheritti, de Clermont-Tonnerre, Panhard, Ereiche, Potel, Houdailles, Ollier Lesaulnier, Lantin, Deslaudres, Glass, Cavalin, Cuinier, Delaunay, J.-L. Rlottot, Bac, Laugée, Leylavergue, Rostalng, Dollinger, Pilprat, Rolland, Lanson, Carpiot, Frauziol, Mme Klein.

A l'entraînement au P. S. V. Dutheil, Forrcr, Léon Gérold, Mauttn, Riottot. Voyages à Orléans, Chartres, Tours, Romilly, ïroves, Etampes, Rennes, Lyon, sur avion Percïval rapide.

Aéro.Club de l'Ile-de-France, du 23 au 30 janvier.

Instruction en double commande, sous la direction de M. Gaudiu, chef pilote, de Mme Peyret, MM. Vcysaelx, Chevalier, Gauthier de Poix.

Sur les environs; les pilotes dont les noms suivent s'entraînent régulièrement MM. Régnier, Hervé Lauwick-, Gondard, ChllotVernessc, Dietrich, Tarbouriech. Hochet, Lucien Gaudln, Ginhac. Maillard, Vidrequin, Toutln, Dagnttud, Doucèdc, Mme et M. Rovnette, Duplantier, Dondelinger, Morlzet. ̃Trente baptêmes ont été donnés dimanche à une société par Mlle Jourjon et M. Gulllaume.

Le Club est heureux d'annoncer qu'à partir du 1" février le prix de l'heure de vol est diminué, ainsi que le prix de l'heure de vol pour l'entraînement des brevets premier et deuxième degré.

̃+̃ Activité de la semaine du 23 au 29 janvier 1U37, à la base d'Orly de « Potez Aéro Service ».

Se sont entraînés, sous Ja direction des

L'ACTIVITE SUR LES LINKS Au Golf de La Boulie

Médaille dames. 1. Mme Robert Cousin (26), 80.

Ont également pris part à l'épreuve Mme P. Ader, Mme Y. Comar, Mlle Anderson, Mme Talamon.

Au Golf de Valescure

« Town Bowl ». Demi-finales coionel B. H. Finnis (1,J) b. W. D. Batsholts (13), 5 et 4 E. S. H. Ash (5) b. Rev. F. N. Harvey (15), et 1.

Finale Colonel Finnis b. Ash, 3 et 2. Au Golf de Biarritz

Medal plav, messieurs. 1. Fotanals (9), 71 2. "capitaine Sinclair (4), 3. Mlle L. Escandon (30), 75 4. Parvin (51, 78 Gentle (3), 78 0. Blackburn (8), 80. Ont également pris part à l'épreuve Boulard, Mlle C. Escandon, G. Hamilton, col. Hogg, Mac Dowell, docteur Pitehalsky. La prochaine compétition aura lieu le samedi 13 février 1937, en mixed up, foursommes greensomes, 18 trous, medal. Au Golf de Chantilly

Coupe d'Hiver. Les meilleurs résultats bruts étaient les suivants Mme Ch. Sebline-G. C. Miller. 79 Mme R. C. AublinG. Lécoq-Vallon, ̃ 86.

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Le Sud-Ouest éliminé de la Coupe de France Le huitième tour de la Coupe de iFranre a été néfaste au Sud-Ouest. Sur les deux équipes qui la représentaient, l'une finaliste de la Coupe l'an dernier, la S.A.V. Primerose a été nettement battue par le S. H. C Calais par 5 buts à 0. Curieuse coïncidence, car ceux-ci avaient été battus précédemment. en demi-finale de la Coupe, par le même score.

L'autre, Je B. li. C.. qui, avec les champions du Sud-Ouest mène la danse dans le championnat régional, se classant ainsi deuxième équipe de la région, fut battu par l'l\ S. Métro qui, c'est un comble, s'acclimata beaucoup plus vite que les Bordelais. au terrain gras. Le score de 2 à O'en, faveur des Parisiens indique que la lutte fut acharnée.

Il y a longtemps que ;ious n'avons pas vu une équipe du Sud-Ouest barrée au cap des quarts de finale. Jacques d'Armanu.

LE TEMPS PROBABLE Evolution générale. La nouvelle perturbation qui donnait hier soir des pluies sur le Xord- Ouest s'étendra progressivement vers l'Est et le Sud; le Sud-Est seul sera momentanément encore à J'avant du mauvais temp;

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Voici, côte à côte, trois des principaux concurrents de Ja F.- 1. S;

Voici, côte à côte.tro~s' des pr!ncip~úx, cqncnrrents de;Ja'F.' L,S;

Ci-dessus le Français Emile Allais à droite l'Autrichien Pfeiffer.

r ̃'• •• ̃•̃.•-

ÉNTENDflALIEPREDUTHE.

M ttNijU i n~

Iam scared to death Tons ceux qui, ont vécu en'- Arlberg connaissent Mrs Wolfe. Cette Américaine, ri la carrure athlétique,- a, .été -la première à

amener les Skieurs américains en Europe

en commençant par l'Autriche. Elle fonda l'équipe féminine aui alla à Garmisch, elle amène à Chamonix ses enfants. pour la première fois. Je viens de là rencontrer dans la rue et elle, me parle du décor. impressionnant qui entoure' la ville. Bien que .uepant.de l'Arlberg et ses. hautes falaises, elle trouve qu'ici c'est encore plus raide l' Avcz-vous été au Brévent ?

Je suis effrayée 1 (I am scared to death'). je n'ose monter là- haut Y étésvous allée ? me dit-elle ?

Bien sûr, c'est une des plus belles pistes du monde.

Alors, i'y emmènerais les jeunes' filles demain, me dit-elle, en attendant que la piste dés glaciers soit tassée mais quelles descentes il y a ici ah ce. sont des descentes-uniques nu monde î Je ne m'en doutais pas. -̃' ̃• ̃•

Kaarby est parmi nous.

De nouveau le voilà, le typique norvégien à la figure, enfantine, toujours ̃habillé -en bleu, avec le traditionnel petit bonnet a. pompon blanc il an'ive'dc B'euil et ne me semble pas avoir fait de grands progrès en français. ~Xons recommençons nos conversations coq-à-l'âne favorites. Combien sautez-vous maintenant ? me dit-il ?

Je réponds sérieusement .•' «' 60 mètres, pardon, je sais,'que n'ai guère fait de pro-

grès. » ̃̃

« .C'est le bosse me dit Kaarby (la bosse du tremplin), d'un air sévère.' II filas,, oui, ma bosse une gêne », dis-je en pleurant presque.

IlIlhlÛUIIMIIIIIIIIIIIIHIIIIIIIIlllllllllMllllllIIIMIIIIIIIIIIIIIIIIllllH.

BULLETIN P'EIVNEIGEMENT

FRANCE

;̃; Alpes'

Ariches 0 m. 35; Argentières 0 m. 80; Montroc .0 m. 80; Bessans 0 m. 55; Chamonix-IVIont-Blanc 0 m. 35; Planpraz ivm–50; ta Ciusaz 0 m. 30; Combloux- Ormaret 0 m. 30; Les Gets 0 m. 35; Le Grand-Bornand 0 m. 20; Megève 0 m. 50; Rochebrune-Mont-d'Arbois 1 m. 80; Morzine-Lo Pléney 1 m. 20; N.-D. de,Bellecombe, 0 m. 30; Peisey-Nancroix 0 m. 55; Prarion-Voza-St-Gervais. 0 m. 80 Pralognan 0 m. 55; Mont-Reva,rd 0 m. 50; Lac de Tignes 0 m. 90; Val d'Isère 0 m. 90; Valloire 0 m. 30.

» ̃ Dauphiné

Saint-Pierre de Chartreuse 0 m. 60; Le Lautaret 1m. 50; Col de Porte 0 m. 40; Montgenévre-sur-Briançon 1 m. 25; Alpe d'Huei 1 m.; Monétier-les-Bains: 0 m. 80; Nevache 0 m. 80.

Alpes Méridionales

Abriès: 0 m. 40; La Foux-d'Allos: 0 m. 80; Beuil 0 m. 30; Saint-Véran 0 m. 80; Vars-sur-Guillestre 0 m. 60.

Pyrénées

Barèges: 0 m. 10; Font-Romeu: 0, m. 35; Col de Puymorens 0 m. 30; Superbagnèret-de-Luchon 0 m. 45; Èaux-Bonnes-Gourattes 0 m. 10.

SUISSE

Oberland Bernois

Adelboden 1 m.; Beatenberg 0 m. 25; Qrindewald: 0 m. 80; Scheidegg: 1 m.; Kanderateg 0 m. 80; Scheidegg 0 m. 90 Lenk-Zweisimmen 0 m. 80; MOrren 0 m.' 90; Wengen 0 m. 60.

Suisse Centrale

Andermatt 1 m.; Engelberg :1 m.; Rigi 0 m. 45.

Grisons-Engadine

Arosa 1 m.; Davos .1 m.; Fiims-saldhaus 1 m. 50; Klosters 0 m. 90; Len- n

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LTriè dame "qtii nous écoute reste la' bouche ouverte .cellefdame qui saute 60 jnètres et est bossue, c'est terrible. Pauvre Agnel

,11 traîne la patte, Ici tête basse foulure du pied la classique foulure avec déchirement de ligament. Mais il ne cesse de répéterII. y a encore huit, jours- avant les championnats de France ». Un champion blessé.: c'est, toujours un navrant spectacle. Canard.

Denise Marlineau est enfin .descendue de son chalet des Pyrénées vers les Alpes. La voilà .de nouveau -le chouchou, le bébé de l'équipe, celle qu'on emmène sur les genouxf ou dans la jeapote, quand la voiture de Gignoux est pleine à craquer. Elle -n'a pas changé: si, elle aussi, a une petite jupe 1 et des bas que je trouve particulièrement 1 jolis bleu marine avec une lurge bande blanche tout le long, sur le côté.. Ils sont « à- peine » iirbouchonnés, mais les chaussettes ;• rouges levant tout à fait. Cunwd n'est jamais complètement habillée. C'est i son charme une bottine sans lacet, un chandàtt avec nue seule manche, mais tout cela, n'a pas d' importance -quand il s'agit d,'elle. •̃•

Un rnystère à Megève.

Pendant trois jours on. a raconté, ..que le duc de Windsor était ̃ incognito a Megève. «'Mais si quelqu'un le reconnaît et le dit, a tonné un édile, il s'en ira, 'alors que peusonne ne bouge .1 »

Bst.il venu ou.' non- ̃ peu- importe', peiirdant huit jours on a baissé les yeux devantfaux ducs de Windsor, prohiis de ne pas le reconnaître, ni lui parler, ni le bousculer dans la pisté olympique. Et puis ou a pensé à autre chose:

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zerheilde-Pàrpan M 0 m. 70; Pontresina 1m.; Saint-Moritz 1 m.

Alpes-Vaudoises- Valais

Caux-sur-Montreux 2 m.; Château d'Oex: 0 m. 50; Leysin 1 m.; Montana-Crans 1m.; Morgins 0 m. 70; VMIars-Chesières 1 m.; Zermatt 1m. ̃ AUTRICHE

Badgastein 0 m. 35; Boedele 1 m.; Erwald 1 m.; Feuerkogel 2 m.; Galtuer: 1 m.; Gargellen 0 m. 90; Gaschurn 0 m. 90; Gerlos 0 m. 80; Hofgastein 0 m. 50; Igls 0 m. 80; Innsbruck 1 m. 50; Ischgl 0 m. 70; Kanzelhoehe 0 m. 60; Kitzbuehel 0 m. 90; Kuehtai 1 m.; Lech 1 m. 20; Mallnitz 0 m. 40; Mariazell 0 m. 35; Nauders 0 m. 80; Obergurgl 1m. 30; Obladis 1 m.; Rax :1m.; Saalbach 0 m. 50; St-Anton 1 m.; SaintChristoph 2 m.; Schroecken 0 m. 60; Seefeld 1 m.; Semmering 0 m. 30,; Soelden 0 m.'80; Stuben 1 m. 20; Tauernpasshohe :1m.; Turracherhohe 0 m. 80; Vent .0 m. 80; Zell-am-Se9 :1m. 50; Zuers 1 m. 90.

.• :.̃̃ :italie; j

Piémont

Bardonecchia 0 m. 20; Clavières 0 m. 70; Lago Mucrone 0 m. 70; Courniayeur 0 ni. 40; Gressoney-La Trinité: 0 m. 64;,Sestrierès 0 m. 60; Valtdurnan-

ohe 0 m. 80.

Lombardie

Bormio 0 m. 65; Madesimo 0 m. 90; Ponte di Legno 0 m. 25; Passe Tonale O:tn. 80. ̃ Dolomites

Cavalese-Laaveze 0 m. 65; Cortina d'Ampèzzo 0 m. 20 Meràno-Avelengo 0 m. 60; Ortisei m. 40; San Marti no di Castrozza 0 m. 15; Campocatino :0 m. 70; Asiago-Campomula 0 m. 50; Bressanpne 0 m. 30; Canazei; 0 m. 70; Marmolada 1 m. 60; Colle Isaréo 0 m. 45; Madona di Campiglio 0 m. 55.

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Enfin, la nouvelle neige est les pistes ont fait eau neuve, les vieilles traces sont recouvertes. Ce matin, nous sommes montés, Camille Tournier, guide, et Kurt Rcinl, professeur du Ski Club de Paris, voir la descente. celle qui sera «probablement» la descente de la F. I. S. Le téléférique nous monte aux glaciers, après un changement à la Para il faudrait plusieurs pages pour décrire la splendeur grandiose d'un tel décor. Avec de grands risques d'avalanches(la neige fraîche nous arrive par moments à micuisses !), nous descendons tout semble recouvert, cailloux et plaques de glace, et quand la neige sera tassée, quelle piste magnifique ce sera. On nous interdit, par mesure de précaution, le dernier tronçon, ce- lui taillé de main d'homme entre la Para et les Pèlerins les Chamoniards soignent leurs pistesdévotion

Il faut reconnaître que tout s'annonce ici comme un très grand succès non seulement un succès sportif, mais un" succès d'ordre et de bon goût. Ce. sera là, pour la Francç, une occasion de riipntrer ,au monde qu'elle peut s'enorgueillir de ces deux vertus, dont la première lui est souvent contestée, et avec raison parfois. On a, il faut le reconnaître, pris ce qu'il y avait ,`' eu de meilleur dans l'organisation de Garmisçh, au moment des Jeux, il y a juste un an centralisation des renseignements à l'hôtel (le très vieux et charmant hôtel qui fait penser à Topfer et Alexandre Dumas) de Saussure. Chaque « service ». est l'objet d'une commission spéciale, et chaque nation trouvera interprètes et directives. La presse est aussi corilialement accueillie qu'en Bavière, elle a ses salles, ses cabines de téléphone, Ses entrées partout. Parlons maintenant des champions. On verra ici ce que le monde blanc compte de plus beaux athlètes. Toute la jeunesse du monde sera là, représentée par sa fleur de tous les coins de la terre, à l'heure où j'écris, des équipes en!* pleine, c forme » prennent le train, le bateau, l'avion pour Chamonix

Laissez-moi vous parler de ceux qui ont brillé le plt)4'4?an passé. L'Autriche nous donne Bradl, un enfant qui a sauté 101 mètres; Pfeiffer, qui,:gagna

LI SPORT & LES STATIONS

L'activité des école»

du Ski-Club de Paria

Les écoles, au nombre de six, ont fonc- tionné « à plein rendement » depuis Noël jusqu'à maintenant.

A MEGEVE, on a noté aux cours la présence de M. et Mlle Dezarnauds, M. de Rouf- fignac, Mlle Loiseau, Mme Jacques Goddet (née Meg Lemonnier), Mlle La Caze, Mme Chatin de Grenoble, 'etc. M. de flouffignac et Mlle .Verdet-Kleber ont passé l'insigne vert. Jusqu'au 2 janvier, 2.250 élèves ont fréquenté l'école. Les élèves « avancés se' multiplient.

A GAURETTE, l'école a bien marché. Parmi les élèves fleurent M. Chapon, directeur de « La Petite Gironde » et Mme, MM. Dupuis, Olibért, Lacoste, Speringer, Lempier, Mlle Ruhl,- etc.

AU MONT-DORE, au moment de Noël, les trois professeurs Tapawicza, Egger et Gilly ont été sur les dents! Hôtels complets, temps radieux. L'équipe d'Auvergne a été entraînée. Parmi les élèves Dieudonné Coste et Mme. Les personnalités suivantes ont séjourné au Mont-Dore M. Lahier, du P.-O; M. Bourgeois, Mme Bardotte, de Darassus, Mme Durieûx, comte de Durat, baron de Sincey. ̃

A L'ALPES D'HUEZ, depuis l'ouverture de l'école, temps magnifique. Pendant les fêtes, 45 cars et 350 voitures sont montées. Notre école a, de ce fait, admirablement fonctionné.Actuellement, les skieurs de week-end peuvent prendre des leçons le samedi et le dimanche.

A CHAMONIX, l'école, grâce à la vogue de Chamonix et à la, proximité des trois descentes classiques du Brévent, des glaciers et de BellevUC; a connu un succès fou-' droyant. La classe de perfectionnemnet, conduite par Huit Reinl, a été particulièrement fréquentée. Tony Ducia vient régulièrement Megève; enfin, Seelos est attendu pour les meilleurs élèves. La jeune sœur du marquis d'Aulun est en passe de devenir une des meilleures « descendeuses » françaises. Ski-Club de Chamonix

Voici le résultat du dernier chronométrage sur la piste Jacques-Balmat, desservie par le téléférique de l'Aiguille du Midi ,1. André Lavaivre, 2'; 2. Gérard Simon, 2'14" 4/5; 3. Michel Latarget, 2'29" 1/5; 4. Denise Shnond, 2'58"; 5. Jean Régis, 3'11"; 6! M. Bouillon, 3'27"2/5; 7. M. Bondon, 3 -m. 27" -3/5 8. -M. Duforez, 3'38" 1/5; 9. Henry Pan, 3'52" 3/5.

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le Kandahar; Scclos, Je meilleur slalomeur du monde; Walch, qui gagna, il y a trois semaines, le slalom du Ski Club de paris, et Zingerl, gagnant de la F- I. S. 1935. L'Amérique envoie toute son équipe de femmes, la même qu'à Garmisch, que vient d'entraîner Pfeiffer 1 depuis deux mois. La France, elle, présente Agnel, un enfant phénomène; Allais, que vous connaissez tous et qui, il a a deux jours encore, a pulvérisé le record de la pîste Bellevue-les Hoùches, détenu par Sigmund Ruud Gindre, un des meilleurs coureurs de fond du monde (Norvège comprise). L'équipe italienne, je' vous en ai parlé en détail il y a trois semaines nous, reverrons Chierroni et Sertorelli, Paola Wicsing.er et Frida Clara, sans compter les coureurs de fond, les sauteurs. La Norvège envoie un petit groupe, mais d'une qualité telle qu'il faut penser qu'elle est l'écume d'une sélection qui porte sur 10.000 coureurs en premier lieu, rappelez-vous l'admirable sauteur qu'est Riedar Andersen, champion de, Norvège 1936 le prodigieux petit Birger Ruud, premier descendeur olympique, premier sauteur olympique le Skieur complet Kaarby, champion de France quatre' épreuves. L'équipe de fond est la grosse surprise aucun de ceux de Garmisch rien que des nou- veaux, sauf Bergendahl.. Des Suisses, rappelez-vous Rommiger, champion "du monde de descente; von Allmen, six- fois gagnant Bernath, champion suisse quatre épreuves Aimy Rueg et Gaby Odermatt, redoutables championnes. Il faut dire encore que ce' sont là les seuls pays ayant actuellement donné leurs coinpositions d'équipes, mais nous verrons l'Allemagne, avec Christee Krauz, qui a battu plusieurs hommes, et non des moindres; la Yougoslavie, l'Angleterre, etc. Ceux qui prennent leurs vacances en février, et ils sont 'légion, lié pourront pas voir plus beaursp"ectacle que celui de la F. 1. S. au pied du Mont Blanc, dans -la ville accueillante qu'est Ghamonix.

Les. routes sont déblayées, les pistes excellentes, le froid, et le soleil revenus. Tout s'annonce comme un succès éclatant, et nous, Français, nous sommes heureux que cela se passe chez nous.

SKIS I

PAR UN

Arosa (Suisse)- :t ?.r; î La neige tombe abondamment,1 ce qui, momentanément, ralentit quelque peu l'ar- t [leur des sportifs. Aussi, les compétitions v sont-elles renvoyées à la fin de la semaine, (, Mettant à profit ce repos forcé, les skieurs an repos ont visité l'école de ski d'Arosa, que dirige Joseph Dahinden, qui en a fait s la plus grande école de. Suisse. Trente-huit a professeurs y sont employés, qui donnent, v shaque jour, de 400 à 800 leçons. On estime qu'au cours de cette saison, plus de 401000 leçons auront été données. Le Ski-Club de Paris vjent d'acheter à M. Dahinder un film qui sera .prochainement présenté sous le i titre « Dans l'ivresse de la neige ».

Auron, un petit village, qui devient une grande station hivernale.

Fontcouverte

Le 7 février, ia Toussuire, au-dessus de Fontcouverte, par St-Michel-de-Maurienne, aura lieu- lé, grand concours de ski annuel. Davos (Suisse) Le conseil d'administration' du Funiculaire Davos-Parsënh a étudié 'la' question des cartes de places numérotées et en a décidé l'inti'oduction; II a .adopté un système de délivrance ces tickets sauvegardant l'égalité -de traitement de tous les usagers du funiculaire. Ces tickets éviteront les longues attentes dans 13 file à la station infériçur-é'- du funiculaire, -c^est-à-

De'' Tony DUCIA et Kurt REINL « SRI D^AUJOURD'HUr » Ouvrage ccmarquable, ..indispensable '<ii skieur?. Ses illustrations nombreuses.' ses croquis' avec ^calques, c'olor rcs et superposés,- son texte précis, en font la mélhode de ski' la plus limpide. C'est la méthode officielle du Ski-Club de Paris,>enseignée dans ses .six écoles Mçïèvc. Chamonix, Saint-Gervais, MontDore, Alpe d'Huez et Goure tte. Ér vente chez les libraires et au Ski-Club de Paris

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,(. ^Marcelle Baudry.

dire que le détenteur de la carte a. la: faculté de ̃ disposer à son gré du temps qui sépare la délivrance de celle-ci du moment de la montée en voiture indiqué sur le ticket..Le mode' d'organisation donne au voyegeur'l'heure exacte du départ du train qui. comprend 70 places numérotées, les wagons étant mentionnés avec leur numéro. Ces indications sont affichées devant la dite station. A côté du premier tableau, un autre portera les numéros des cartes délivrées et ceux -attribuées au prochain convoi. Chamonix

Le comité d'organisation de la Fédération internationale de ski, réuni à ChamonixMont Blanc le 1er février, en présence de M. le sous-préfet, informe le public que Chamonix, par l'importance de son équipement hôtelier, peut recevoir sans difficulté les nombreux touristes désireux d'assister aux Jeux mondiaux de la F. I. S., du 11 au 18 février. En outre, pour augmenter la « capacité réceptive n de Chamonix, le Comité s'est assuré la participation des différentes stations du 'groupement touristique du Mont Blanc. Dès services île cars rapides et des trains spéciaux relieront facilement les différentes stations à Chamonix. Pour tous renseignements, s'adresser au Syndicat d'initiative de Chamonix.

Arrivées au Nouvel Hôtel de l'Univers Mlle Denise Martineau, Mme et Mlle Viilan, Mlle Motte, M. Paul Glatard, Mlle Henriette Oudot, M. et Mme Tsagouria de Souramy, M. Paul Coint'epas, M. Georges Lecointe, M. et Mme Dubreuil, Dr Latarjet, M. Willy Dumeny, Mlle Leyne Afauger, M. René Harin et famille, M. et Mme Olément Klompers, Mme et Mlles Crozet, M. Jahnichen, M. Bap.

Au Grand Hôtel des Alpes M. et Mme Samuel, M.. et Mme Weil, M. Marchai, Mlles Fondet, Mlles Marchai, M. Claveton, M. et Mme Burth, M. Traffort, M. Borie, M. Lobietti, M. et Mme Poyeu, M~. Assollant, Mme Métivier, M. et Mme Maurs, M. de Coster, M. Boucher, M. Dufrêne, M. Pinczon; M. et Mme Càizac, M. Kallmann et M. Grenier. Le champion Vignollé est arrivé. à Chamonix ces jours-ci et il n'est pas impossible qu'il fasse les Championnats de France. Eloigné de l'équipe de France à la suite d'une maladie, Vignolle s'est consacré au professorat dans les Pyrénées.

Superbagnères Une abondante chute de neige toute récente assure une qualité magnifique aux immenses champs de ski attenant au GrandHôtel, ainsi qu'aux pistes de descente en forêt.

Le mois de février s'annonce comme devant être particulièrement brillant dans cette élégante stataion pyrénéenne, toujours ensoleillée.. LES SPORTS D'HIVER àSESTRIERES

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.et, ici, rrtalien Chieronrii, le chahipion qui, depuis le début des compétitions- de cette saispn, 'défraye', chronique par ses exploits.

LE T|YrO 0U

pays des Sports d'Hiv er ̃rr: ->̃̃ g-y par A. LER1VER.

C'est sur -l'Arlberg_,que se- trouve l'ëcole; t théori((ue du ski mais aussi son école p'ra- i tique, installée et entretenue par la1 nature, elle-même où s'unissent les Beautés, natu-. ( relies, les meilleurs terrains.. i On a beaucoup écrit sur tes beautés de .j l'Arlberg, sur if-groupe de la Silvretta, du 'j

Samnaum, des vallées de Fimber ou de '(

Larein un peu comme Seri'aus, se pré- sente, perdu dans les' glaciers, l'aimable^ ( Ua'ltûr. Aeyc partout des expéditions faci- les ou pénibles, selon le goût et les apti- ( tudes de chacun. 'Ne se' sent-on pas'attiré déjà par l'entrée de cette majestueuse val- i lée de Paznaun percée- dans les hautes J montagnes et qui offre, tout compte celles ] du Kaunser ou de Pitz, des beautés natu- relies toujours 'renouvelées ? -Comme de' gigantesques coulisses, les -montagnes s'ou- ,c vrent ou semblent se rapprocher pour dé- ̃ couvrir- d-es -sites toujours autrement "merveilleux, avec leurs maisonnettes perchées ] dans leur isolement comme des nids ,'d'ai- j glcs. Et partout des tours pointues de vieilles églises se dressent vers lé, ciel. ( Des pins font un décor de sombre beauté et souvent une cascade figée en d'immenses blocs de glace surplombent les ravins. 'J Où cpmiiencent dans le Tj-rbl lès excur-* 1 sions d'attitude, où finissent-elles 1 Les ] cimes de l',Oétztal, les glaciers du |ZiHertal; ceux du ;Stubai: sont comme un Himrnen$e ï dôme de, glace coupe seûlehient ça' et. là. par ^ie riantes vallées où se nichent. de co- i quets villages et des petites villes qui pa- i raissent aussi vieilles ̃ que les murs; dé.. rb- .̃> che qui les -protègent, et où se .meuvent des populations' aimables, 'serviàblés comme 1

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ous les ;montagnards dont 'l'âme s'est forriéç aux dangers de la montagne.

On a beaucoup parlé aussi de ly desr^tit^ le Glurigèz. Où, dans le monde, existe-t-il me telle descente gui fait une différcm'fi le" "nfveàu de plus de 2.000 mètres ? Et si 'acile à atteindre grâce au tcluférique du :JatscherkofeK Un coup dœil de la terrasse Je l'hôtel de Patseherkofel, par-dessus les /allées de l'Inn, de Wipp ou de Stubai, ;st toujours aussi impressionnant, que nous l'ous trouvions en plein soleil ou qu'aulessaus les brouillards semblent se heurter. Mais le touriste étranger aura la mémo mpression si de la hauteur du Halienksuu, irê.s de Kitzbûhel, il regarde à ses pieds. Une multitude d'excursions et d'expéditions s'offrent lui, et libre encore, à sa guise, le les étendre ou de tes restreindre. Il peut •h'oisir la- descente qui lui plait le mieux le choix, est gr:>'nd.

On peut en dire autant de la région du Bri'imer, de celle de Ausserfern et toutes tes («très,: qu'il serait bien difficile de décriro îhacune et qu'il faut avoir vues pour tes :omprendre.

Le Tyrol est. avant tout le pays du ski. He qui, d'ailleurs, ne veut nullement dire lue les autres genres de sports d'hiver y soient relégués au second plan. Que ce soit a luge ou le bobsleigh, le curling ou le jàtiriage, les ressources sont partout aussi ̃iehes et aussi variées; que ce soit à Igls, iSeefeld, à Kufstein ou a Kitzbiihel. ̃Et, ce qui pius est,'le Tyrol connaît pour iutant dire un hiver constant. A Vent et à Surgi coniine sur l'Arlberg, les sports d'hiver battent leur plein jusque tin mai. et recommencent à peine deux mois plus :ard

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SPORTS D'HIVER

POUR NOS LECTEURS Pour permettre à nos lecteurs de prendre e quelques jours de détente, quelques jours de, franche gaieté sur les hautes cimes ensoleillées et loin des soucis de tous les jours, les Agences Vt'agons-Lits//Cook organisent r, dans 'le -courant du mois de courtes évasions qui ne. manqueront pas de vous

intéresser..

C'est: ainsi <jùe' les 6- et 20 février, des départs ont été prévus vers VilIars-sur-Bex, la jolie station suisse de la vallée du Rhône, à un prix réellement avantageux î)70 fr. pour 10 jours, tous frais compris voyage "en .deuxiériic classe et séjour dans un hôfel "de" premier ordre. Les amateurs de -neige ''pourront également, soit se rendre •le– 13 'ou le 27 février à Crans-sur-SieiTc, une' non moins, ravissante station suisse, soit profiter des conditions exceptionnelles qui ont été maintenues, pour a.ssislcr aux fameuses épreuves du championnat du il maïiiie de la Fédération Internationale de Ski (F., I. S.) qui se dérouleront à Chamonix du 11 au 18 février.

Le voyage à Crans-sur-Sierre revient à 960 'fr. jjour 10 jours, hôtel de premier • ordre et voyage en deuxième classe compris.. Quant au prix du voyage à Chamonix, d'égale durée, celui-ci a été fixé à 820 fr., avec' voyage aller et retour également en deuxième classe et hôtel .de premier ordre. Naturellement le mois de février étant .'particulièrement indiqué pour la pratique | des sports d'hiver, nous ne saurions trop recommander à nos lecteurs de se faire.

inscrire d'urgence aux Agences Wagons-

Xits/Cook'

1 1,, Bd des .Capucines' 2, pi. de la .Madeleine 118, av. des ChampsElysées, et dans leurs principales Agences de province^