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Titre : Figaro : journal non politique

Éditeur : Figaro (Paris)

Date d'édition : 1936-12-30

Contributeur : Villemessant, Hippolyte de (1810-1879). Directeur de publication

Contributeur : Jouvin, Benoît (1810-1886). Directeur de publication

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34355551z

Notice du catalogue : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb34355551z/date

Type : texte

Type : publication en série imprimée

Langue : français

Format : Nombre total de vues : 164718

Description : 30 décembre 1936

Description : 1936/12/30 (Numéro 365).

Description : Collection numérique : BIPFPIG63

Description : Collection numérique : BIPFPIG69

Description : Collection numérique : Arts de la marionnette

Description : Collection numérique : Commun Patrimoine: bibliothèque numérique du réseau des médiathèques de Plaine commune

Description : Collection numérique : La Commune de Paris

Description : Collection numérique : France-Brésil

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k4093490

Source : Bibliothèque nationale de France

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 15/10/2007

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CRÉDIT

t

h i_^ M. Vincent Auriol a vi-

^Ti vement démenti, au Sé^j§& nat, le sens que l'on

avait donné à une décla-

ration faite par lui à la Chambre, et qu'avait relevée M. Piétri, concernant les risques que courrait l'épargne si elle refusait son concours à l'Etat. Le ministre des Finances, rappelant ses engagements de libéralisme proclamés à l'occasion de l'emprunt, a même précisé qu'il les avait définis « en plein accord avec M. le président du Conseil ».

M. Auriol aurait pu ajouter, comme preuve matérielle de sa sincérité, que le ministre des Finances d'un Etat qui doit trouver une trentaine de mil- liards sur le marché, l'année pro- chaine, et dont la politique monétaire dépend d'un accord avec celle des nations anglo-saxonnes, ne saurait prendre une autre attitude.

S'il prenait une autre attitude, il empêcherait lui-même les capitaux de rentrer ou de se montrer, se priverait du crédit sans lequel l'Etat ,ne peut vivre, romprait en fait toute solidarité | avec le système financier et monétaire des nations anglo-saxonnes, et serait contraint de recourir à ces procédés de « financement » dits totalitaires, j auxquels M. Mussolini lui-même s'efforce de renoncer dans la mesure où les circonstances le lui permettent. De toutes les discussions autour du budget, ce qui résulte de plus certain, c'est que le prochain exercice financier sera dominé par la question du crédit. Aucune « reprise » des affaires ne dispensera la Trésorerie de l'Etat, d'ici à un an, d'avoir besoin de beaucoup emprunter.

L'issue favorable ou défavorable de cet exercice, avec les conséquences intérieures et extérieures qu'il est aisé de prévoir, dépendra donc de la fa- culte pour l'Etat de trouver du crédit en plus ou moins grande abondance et à plus ou moins bon marché. Des financiers étrangers, peu hosti- les à la politique générale du cabinet Blum, sont, dit-on, effrayés de la dé- moralisation de l'épargne française, j de sa nervosité et de son extrême ré- pugnance à entrer dans des place- ments même privés.

C'est un mal avec lequel un Etat comme le nôtre, surtout dans les difficultés présentes, ne peut pas jouer sans se paralyser lui-même.

On a trop parlé de la propriété comme s'il s'agissait d'un débat sco- laire, et de la transformation du ré- gime économique comme si n'étaient en cause que les intérêts de quelques administrateurs de grandes affaires. En réalité, des millions et des millions de détenteurs d'actions, d'obligations, "de rentes ont senti qu'étaient menacés la valeur et le rendement de leurs titres. Ainsi a été atteint profondément le ressort à la fois du crédit privé et du crédit public qui sont solidaires.

Une société libre ne tient que par le respect des engagements. Ce qui détruit la portée des engagements dans un domaine, affaiblit le goût j ¡ des engagements dans tous les do- ] maines. Or, l'opération de crédit est, d'essence, un engagement. Lucien Romier.

«iiunniiiiiiuttiiiiintiiumimiiiiiiiMiiriiiiiiiiininiimiiiiiiiiiit

EW PAGE 8 LA VIE DES CIGALES

CEUX QUI 1

SE DEBROUILLENT: OU L'ART

N'A PAS DE PARTI Par GEORGES RAVON

IIllIftlIIIIMfUllIlIllIIlItlIIIIIIHIiniIMIIIIIUIIIlllllIllItlKlIKIIIIlll LE BAROMETRE BOURSIER

LONDRES alourdi. BRUXELLES en recul. NËW-YORK hésitant. _< Livre 105,15, inchangée. Dollar 21,375 contre 21,4025.

Lire en page 8 « LE FIGARO ECONOMIQUE ET FINANCIER >

r ami"»"'11"111'11"11111111'11111'11"1""1111111"1111""11'

LE TEMPS PROBABLE Région parisienne. Temps assez beau; petites' pluies matinales suivies d'un ciel nuageux,. légèrement brumeux. Vent sud- j J ouest modéré.

Température stationnaire. Maximum: 10°. visibilité moyenne.

Manche. Temps méd!ocre, couvert et pluvieux, se dégageant dans la partie occi- dentale, dès la fin de la matinée. Vent sud a ouest modéré. Température stationnaire. Mer agitée.

Sud-Ouest Comme sur la Manche. Mer très agitée.

Sud-Est. Temps médiocre encore le J plus souvent couvert; un peu de pluie.. Vent sud modéré. Température stationnaire. Mer agitée.

Alpes. Aggravation Uns la partie ?sordEsf^clel partout couvert; quelques faibles' chutes de pluie (neige à aute altitude) Température en hausse.

Pyrénées. Temps doux, médiocre, sou- vent couvert, faiblement pluvieux. Tempe- rature stationnaire.

(Voir l'évolution générale et la carte du temps d la page des Sports.)

Ce matin

aux Invalides HOMMAGE OFFICIEL

A MERMOZ ET A SES

COMPAGNONS L'espoir de retrouver Jean Mermoz et ses compagnons ayant disparu, le ministère de l'air a décidé d'organiser une cérémonie officielle à la mémoire de l'équipage de l'hydravion La Croix du Sud. Cette cérémonie sera célébrée ce matin, â 10 h. 15, aux Invalides, en présence du ministre de l'air, des grands chefs de l'armée de l'air et des hauts dirigeants de l'aviation civile.

Au cours de cette manifestation, M. Pierre Cot, ministre de l'air, prendra la parole pour célébrer l'héroïsme des équipages disparus dans l'accomplissement d'une tâche pénible, ingrate et généralement méconnue de l'opinion publique. Il exaltera notamment le sublime sacrifice de Jean Mermoz qui, après avoir forgé de toutes pièces la ligne de l'Atlantique Sud, ne voulut pas la quitter et mourut à son poste, ainsi qu'il avait souhaité mourir.

La manifestation prendra fin par une parade militaire avec la participation de détachements de l'armée de l'air et par un important défilé aérien.

m

M. Léon Blum parlera

demain soir

à la radio

A l'occasion de la fin de l'année, M. Blum a décidé de prononcer, demain soir jeudi, à 19 h. 30. un discours qui sera radiodiffusé par les postes du réseau d'Etat.

Dans cette harangue, M. Blum, pensons-nous, ne se bornera pas à formuler ses voeux, pour 1937, à ses auditeurs. Il ne manquera pas de souligner l'œuvre accomplie par son gouvernement en exposant la situation politique intérieure de la France. Le président du Conseil sera amené ainsi à faire une allusion à « l'évolution, dans l'ordre, des conflits sociaux » et commentera les indices d'une reprise économique. Enfin, il soulignera le désir de paix de la France unanime et indiquera que la situation internationale, nécessitant toujours une attention vigilante, impose plus que jamais une union de tous les citoyens pour « une France libre, heureuse et prospère ».

Tel serait du moins le thème probable de l'allocution de M. Blum, si on en croit les milieux politiques approchant de près le gouvernement.

LES JOURS SE SUIVENT

LES ECHOS DE LA FÊTE La fête de Neuilly, où Jean Lorrain ramassa plus d'une fois ses « poussières de Paris », a cessé d'être; et voilà que le Conseil municipal signe la condamnation de la fête de Montmartre. Là-dessus les forains protestent et des Parisiens s'émeuvent. Quelques-uns d'entre eux, et de. fameux, interrogés par notre confrère Serge, versent des pleurs sur la défunte. Mme Valentine Tessier regrette les manèges de sa jeunesse, c'est-à-dire les vaches et les cochons roses et l'orgue Limonaire qui, après l'ouverture de Poète et Paysan, devait jouer, s'il était galant, «Valenti-ne Valenti-ne » et Poulbot, tout de même que notre meilleure Célimène, évoque les baraques où il rencontra ses premiers monstres; et Dignimont, ses premiers tableaux vivants. Et Francis Carco gémit sur le ton de la bohème et du cœur qu'on va tout à fait lui gâter Montmartre. En somme, il y a une majorité de Parisiens pour déplorer cette disparition; mais ils n'habitent pas sur le boulevard où la fête se donne. Et toute la question est là. M. André Thérive, qui est trop bon romancier pour ne pas aimer le pittoresque, est aussi trop critique pour ne pas comprendre que le pittoresque a de graves inconvénients. Il pense à ceux qui en font les frais et qui sont, deux fois l'an, obligés de respirer les odeurs de la foire, qui aperçoivent sous leurs fenêtres les coulisses de la ménagerie et les réveils de la Voyante toute une vie stagnante et qui ne s'écoule pas d'un coup dans le ruisseau. Il sait le bruit intolérable des manèges qui ont substitué à leurs anciennes musiques des pick-up infernaux, des haut-parleurs sans répit. Les chétives orgues des chevaux de bois avaient leur agrément mélancolique, s'il faut en croire le cher Verlaine

Les notes ont un rhume et les do sont des la. Mais qu'importe, l'on pleure en entendant cela! Enfin, tout le monde ne pleurait pas, et il y a de folles filles et de joyeux garçons qui se sont bien amusés à leurs rengaines quand ils jouaient Amoureuse ou La Matchiche. Aujourd'hui, leurs fracassantes harmonies n'inspirent plus l'envie de pleurer ni celle de rire, mais de hurler lorsqu'on doit les supporter juur et nuit. Et je comprends que les habitants du boulevard de Clichy en soient las.

Cependant, si je comprends cette lassitude, je partage aussi les regrets. Le sentimental et le pratique, une fois de plus, croisent leurs armes. Choisir un parti: quel sacrifice, le plus souvent

Guermaatefl,

HIER SOIR, PENDANT UNE HEURE ET DEMIE, FORÇANT LES BARRAGES DE POUCE

Les "Services publics" ont envahi la place de l'Hôtel-de-Ville Le Conseil municipal a levé la séance pour protester contre cette manifestation vainement interdite par le gouvernement Quelques agents ont été blessés un adjudant

de la garde républicaine est mort d'émotion sur son cheval

Hier, dès le matin, au gré du personnel, la grève d'une heure dans les services publics a été effective. Seuls, ainsi que nous l'avions annoncé, les services administratifs n'ont pas entièrement suivi le mot d'ordre de cessation du travail. Sur la place de l'Hôtel-de-Ville, où devait se dérouler, à 18 heures, la manifestation des grévistes, une certaine animation se manifesta à partir de 17 heures. Vers 18 heures, les barrages de gardes mobiles et d'agents de police était consolidés en même temps, par les rues de Rivoli et du Temple, par les quais, par l'avenue Victoria, une foule toujours grossissante se pressait vers la place et était, repoussée à grand'peine. Les barrages sont rompus. Un peu après 18 heures, le barrage de police de la rue du Temple fut rompu par les manifestants celui de la rue de Rivoli céda également des groupes hurlants envahirent la place. La garde à cheval dut venir se ranger sur le trottoir devant l'Hôtel de Ville, et le service d'ordre, heureusement renforcé, réussit à endiguer la forêt dr poings levés qui se tendaient vers, locaux préfectoraux.

Le médiateur communiste Vers 18 h. 30, un remous violent rompit les barrages qui protégeaient les grilles d'accès dans l'Hôtel de Ville et les manifestants arrivèrent jusqu'à la porte d'entrée. Il fallut une médiation bien curieuse pour les faire reculer celle de M. Paul Marcel, conseiller municipal du 14° arrondissement, qui juché sur de solides épaules, dut expliquer qu' « il ne fallait pas créer de difficultés au gouvernement de rassemblement populaire

Une délégation des services publics fut reçue par le Conseil général peu après. Elle redescendit vers 19 h. 15 et M. Paul Marcel, à nouveau juché sur des épaules, demanda aux manifestants de se disperser. M. Max Dormoy, ministre de l'intérieur, venu en personne sur les lieux de la manifestation, fut accueilli par des applaudissements et des vivats auxquels répliquèrent d'hostiles « Blum à l'action ». Durant de courtes échauffourées, quelques blessés peu graves furent évacués. Huit agents ont été atteints par des coups de pied un seul dut être conduit à la Maison de santé des gardiens de la paix.

La mort de l'adjudant

de la garde républicaine Vers 19 heures, rue de Rivoli, une colonne de 1.500 à 2.000 manifestants s'avançait vers la place de l'Hôtel-de-Ville un barrage d'agents allait être rompu, lorsque M. Gaud commissaire divisionnaire, s'avança vers le peloton de gardes républi-

EN F>A<5E 3:

La grève de l'alimentation qu'on a pu, hier après-midi, croire terminée, continue Ainsi en ont décidé, hier soir, les ouvriers

HIER SOIR, DEVANT L'HOTEL DE VILLE

1 En haut, la foule des manifestants devant l'Hôtel de Ville hier soir. Au-dessous, les gardes sont alertés et vont rétablir l'ordre.

cains qui se trouvait en réserve rue du Renard et, s'adressant à l'adjudant Poirier, commandant le détachement « Dites à vos hommes de monter à cheval ». Le sous-officier restait figé sur place puis il monta en selle, donna le signal « en avant » et s'affaissa sur sa monture. On crut un moment qu'il avait été blessé par un projectile, ce qui provoqua un flottement dans le service d'ordre. L'adjudant Poirier avait succombé à une embolie.

Douze arrestations ont été opérées, dont aucune, vraisemblablement, ne sera maintenue.

M. Langeron dirigeait en personne le service d'ordre.

M.-P. Hamelet.

A l'Hôtel de Ville

« la séance est levée » Le Conseil municipal avait repris sa séance à quatre heures et poursuivi la discussion générale du rapport de M. Pinelli sur le budget de la préfecture de police, commencée dans la matinée, où le rapporteur, dans son exposé, avait indiqué que ce budget, s'élevant à 668 millions de dépenses et 293 millions de recettes, présentait une augmentation de 67 millions comparativement à celui de 1936. Cette augmentation est due à la suppression du prélèvement sur les traitements, au rétablissement des effectifs à leur chiffre réglementaire et à la progression continue des charges des retraites qui atteint la cadence de 3.500.000 francs par an. Enfin; M. Pinelli signalait le projet de la création de 600 nouveaux agents, ce qui représenterait une dépense de 12 milïlcns par an que l'on compenserait par des économies à partir du budget de 1938.

Le débat s'était poursuivi 'dans le plus grand calme. Divers orateurs étaient venus présenter des observations d'ordre général, notamment M. Armand Massard qui avait demandé entre autres choses que les agents fussent munis, la nuit, d'un signe les rendant visibles, que Je comité de la circulation se montre plus actif, que la présence à Paris des interdits de séjour fût mieux surveillée M. Darquier de Pellepoix, qui avait souligné que de nombreux crimes et délits sont commis par des étrangers et des naturalisés M. Le Provost de Launay, qui avait insisté pour que le corps des gardiens de la paix fût mieux protégé contre les influences politiques, et que l'on s'oppose plus énergiquement au recrutement des volontaires pour l'Espagne.

Le débat se poursuivait donc normalement et le défilé des orateurs s'accomplissait sans heurts.

L'heure avançait et le moment était proche où le préfet de police allait prendre la parole.

Pendant ce temps, une délégation des travailleurs municipaux, conduite par un élu communiste, était reçue par le président du Conseil général, M. Marrane. (Suite page 3, colonnes 1 et 2.)

LA SANTÉ

DU SOUVERAIN PONTIFE

ne s'améliore pas Des prières solennelles

seront dites demain

à Rome, à son intention (De notre correspondant particulier, par téléphone)

ROME, 29 décembre. L'état de santé du Souverain Pontife reste sans changement ou, pour mieux dire, sans amélioration.

L'auguste malade est toujours couché et souffre beaucoup, non seulement d'un abcès variqueux à la jambe, mais aussi et ce qui est plus grave d'une inflammation des reins. Il a néanmoins reçu aujourd'hui le cardinal Pacelli, qui est venu l'entretenir des affaires générales de l'Eglise et notamment des relations entre le Saint-Siège et l'Allemagne.

Le cardinal Laurenti, préfet de la Congrégation des rites, a également été admis à l'audience, en la chambre du malade, bien qiie, depuis plusieurs jours, les affaires des différentes Congrégations, qui sont les ministères de la Cité de l'Eglise, soient traitées directement par les prélats qui les dirigent.

L'inquiétude

dans les milieux du Vatican Dans les milieux du Vatican, on se montre très préoccupé par la persistance de la maladie, du Saint-Père et par le fait qu'aucun symptôme de rétablissement ne se manifeste. On estime que si une catastrophe devait se produire et de l'avis des médecins elle ne saurait être exclue la succession poserait, dans l'état actuel de la diplomatie européenne, des problèmes infiniment délicats pour les intérêts de l'Eglise. Aussi prie-t-on avec ferveur pour la santé du Pontife. Dans son entourage comme au dehors, après-demain, au cours du service de fin d'année qui sera célébré à SaintJean de Latran, des prières solennelles seront dites pour le chef de la chrétienté. M.-R. A.

LES GAIETES DU PRETOIRE Le « gréviste de la soif » est-jSS vraiment

parti pour l'Espagne ? Il n'opérait jamais deux jours de suite dans le même quartier, mais son procédé ne variait pas. Il pénétrait dans un bar, à la sortie de l'usine, de l'atelier ou du chantier, et commençait à pérorer et à expliquer pourquoi il était en grève.

Naturellement, on lui offrait à boire. II parlait si bien et il buvait si sec qu'on l'avait surnommé le gréviste de la soif. Quant à son nom, il ne le prodiguait pas et se laissait tutoyer sous le prénom de Jean.

Il parvint à capter la confiance d'un tonnelier de Saint-Denis, qui lui offrit l'hospitalité chez lui, jusqu'à ce qu'il ait trouvé du travail.

En attendant, le gréviste de la soif abusa de cette hospitalité en vidant la cave de son hôte et en proposant à l'épouse de ce dernier de l'emmener dans une autre patrie chercher du bonheur.

Econduit, le gréviste professionnel était actionné par le tonnelier en règlement d'une note de 600 francs pour logement et nourriture pendant un mois. Jean ne s'est pas présenté à la conciliation, mais il a écrit au juge « Je pars pour l'Espagne. Je règlerai le tout au retour. S'il m'arrive malheur, je laisse un testament dans lequel je reconnais ma dette. »

Mais un voisin prétend l'avoir aperçu à Issy-les-Moulineaux.

tllIlllllIlllIIIIIIIIIIIItlIlllllllllllIlllllllllllllllllllItlIlllIlHIIIIlItlII EN PAGE 5

GMOMUEMS CONCERTS Par ^OBE^T Bf*USSELt

CONFLIT AU SEIN DU RASSEMBLEMENT POPULAIRE RADICAUX ET SOCIALISTES VONT-ILS S'AFFRONTER DIMANCHE A LAPALISSE ? Les deux Partis maintiennent leur candidat

Comme nous l'avions laissé prévoir, le groupe radical-socialiste de la Chambre a examiné dès hier la situation politique résultant de l'élection législative de Lapalisse où, au premier tour, M. Lamoureux, radical-socialiste, a distancé son concurrent S.F.I.O., M. Rucklin, lequel entend néanmoins maintenir sa candidature au scrutin de ballottage. Un ordre du jour a été adopté, dans lequel le groupe radical, après avoir félicité M. Lamoureux, « compte sur la discipline républicaine dont il a lui-même donné l'exemple en avril dernier, pour assurer sa victoire définitive ».

Cependant, plusieurs membres du groupe ont vivement regretté que le parti socialiste ait mis comme condition au "retrait de la condidature Rucklin une adhésion publique et formelle de M. Lamoureux au Front populaire (adhésion par laquelle ce candidat perdrait sans doute de nombreuses voix modérées). La plupart des radicaux présents ont estimé, au contraire, que la discipline républicaine exigeait le retrait sans condition du candidat socialiste, moins favorisé.

M. Lamoureux déclarait d'ailleurs, dans les couloirs, qu'il comptait rappeler par affiche l'engagement qu'il avait pris de voter pour le gouvernement de Front populaire chaque fois que ses actes seraient conformes au programme commun.

UN CONFIDENT

DE TCHANG KAI CHEK PARLE AUX PARISIENS DE SON AMI

Alsacien d'origine

et citoyen américain,

M. Linebarger est conseiller du gouvernement chinois C'est une originale figure que celle de M. Paul Myron Linebarger, qui vient de prendre la parole à la réunion organisée, dans le gratte-ciel de l'Ecole spéciale des travaux publics, par l' « Association amicale franco-chinoise », sous la présidence de M. de Fontenay, ambassadeur de France, assisté de M. Bradier, consul général de France, et du président des étudiants chinois.

A l'ombre du drapeau du Kuomintang, rouge et bleu, orné d'un soleil blanc, ce « conseiller du gouvernement chinois » parle un français savoureux, avec un fort accent anglais.

Il raconte sa vie. D'origine alsacienne, citoyen américain, il est nommé en 1901 juge fédéral aux Philippines. En 1906, il fait la connaissance du docteur Sun Yat Sen, révolutionnaire chinois affilié à la franc-maçonnerie américaine. L'année suivante, il quitte son poste royalement rétribué pour faire alliance avec la pauvreté de l'insurgé. Il abjure le méthodisme et se convertit au culte des ancêtres. Il organise des sociétés secrètes non maçonniques et prépare de loin la révolution en Chine. Il fabrique aux Philippines des bombes destinées aux mandarins de l'Empire du Milieu. Mais, comme le terrorisme est coûteux et de peu d'effet, il préfère envoyer en Chine des « agents sédentaires p, qu'il munit de faux passeports. Ces agents sédentaires vont dans les familles chinoises, vantent le bonheur qui règne, d'après eux, dans les Etats républicains c On mange bien,on est libre. Les Chinois de Chine, qui vivent pauvrement de riz, de thé et de chansons, croient à ces récits et la révolution se fait. Le 12 février 1912, le Céleste Empire fait place à la République.

M. Linebarger saute alors à pieds joints dans le présent et fait l'apologie du duumvirat qui gouverne actuellement la Chine. Le maréchal Tchang Kaï Chek et son collègue civil sont honnêtes les ministres sont honnêtes. L'argent des caisses de l'Etat est employé à des dépenses nationales.

Tout va très bien, d'après lui. Tchang Tsu Liang, le maréchal fumeur d'opium, est liquidé. Nankin combat le communisme, ne convoite pas l'Indochine et ne craint pas le Japon. Celui-ci peut conquérir la Chine, c'est encore celle-ci qui tient le bon bout, car elle constitue un morceau trop gros à avaler pour le petit empire du Soleil Levant. Le Kuomintang, parti qui compte un million de membres, protège les sociétés chinoises, aime la France et les Etats-Unis pour leur esprit de tolérance, et met en pratique les trois points de la devise républicaine Liberté, Egalité, Fraternité.

Sur cette affirmation, M. Linebarger recueille les applaudissements avec une placidité toute chinoise et gagne à petits pas l'ascenseur.

Puis il quitte la rue du Sommerard sans que les passants soupçonnent qu'ils viennent de croiser le démolisseur du Céleste Empire.

Henri Charliat.

nliiiiiiliiiiiiiiniiiiiinniiiiiiiiiiii i iiiiiiniiH M" EN 4' PAGE

LE SENAT EXAMINE

LE BUDGET DES DEPENSES La Chambre a autorisé l'emprunt polonais, prononcé la validation de MM. Landry et de Montalembert et poursuivi l'examen de la Réforme fiscale.

Le groupe socialiste accentuait le différend en adressant « ses félicitations unanimes à M. René Rucklin pour la magnifique campagne qu'il vient de mener dans l'arrondissement de Lapalisse, campagne à l'issue de laquelle les forces socialistes sont consolidées et sensiblement augmentées ».

La décision de la fédération de l'Allier

La C. A. P. du parti S.F.I.O. avait adressé à l'adversaire de M. Lamoureux les mêmes manifestations et formule à l'égard de l'ancien ministre, les mêmes exigences, les mêmes demandes de serment de soutenir le gouvernement de Front populaire.

Enfin, de Moulins, hier soir, arrivait cette dépêche qui faisait part de l'attitude prise par la fédération socialiste de l'Allier.

« Après cinq heures de discussion, une motion a été votée à l'unanimité, par laquelle, considérant que M. Lamoureux a fait acte d'hostilité au Front populaire et au gouvernement issu de cette formation, la fédération décide de maintenir la candidature de M. Rucklin.» Ce dernier, qui assistait à la réunion, a déclaré s'en tenir à la décision de la commission administrative du parti. Celle-ci d'ailleurs va examiner de nouveau la question. Jusque là, le conflit est complet.

LA PROMOTION DU ler JANVIER DE NOUVEAUX

hauts dignitaires dans la

Légion d'honneur Les ministres, réunis hier en conseil à l'Elysée, se sont préoccupés des promotions dites du 1" janvier dans l'ordre de la Légion d'honneur.

Parmi les nouveaux hauts dignitaires, citons comme grand-croix le général Carence, inspecteur 'général de l'artillerie, et l'amiral Robert. Parmi les grands-officiers, on relève les noms de M. Clauzel, ancien ambassadeur de France à Berne de M. Edmond Haraucourt, poète et auteur dramatique de M. Langeron, préfet de police, et de M. Picquemard, directeur du travail au ministère du travail.

Enfin seront promus, au grade de commandeur, au titre du ministère de la justice MM. Ernest Boniface, conseiller d'Etat Pailhé, conseiller à la Cour de cassation, et MC Etienne Carpentier, bâtonnier de l'Ordre des avocats de Paris.

Ajoutons que le conseil a décidé, sur la proposition de M. Daladier, de décerner la médaille militaire au général Dufieux, inspecteur général de l'infanterie.

EN PAGE 4

LE CONSEIL DES MINISTRES

iiiniiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiitiiiniiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii

Le bateau allemand

« Palos » est relâché par les Basques

Le bureau d'informations du gouvernement basque à Paris communique: Les forces navales du gouvernement d'Euzkadi, qui contrôlent la navigation sur la côte basque, arrêtèrent récemment dans les eaux territoriales espagnoles, conformément aux prescriptions du droit international, le bateau allemand Palos, dont le commandant n'avait pas voulu admettre le droit de visite. Le navire transportait quelques marchandises de guerre. A bord se trouvait un Espagnol qui a fait disparaître ses papiers d'identité.

On annonce que le gouvernement allemand avait décidé l'envoi de bâtiments de guerre à Bilbao. Jusqu'ici seul est arrivé le croiseur Kœnigsberg, dont le commandant a demandé la libération du Palos avec son équipage, ses passagers et tout son chargement.

Le gouvernement d'Euzkadi a ordonné la libération du bateau avec les passagers allemands qui se trouvaient à bord. Le navire conservera son chargement, sauf les marchandises de guerre. Mais Berlin considère

que l'incident n'est pas clos Berlin, 29 décembre. Dans les milieux politiques allemands, on est d'avis que la libération du Palos n'a pas clos définitivement l'incident. Plusieurs points, déclare-t-on, restent à éclaircir. En particulier, un passager a été arrêté et gardé par les autorités maritimes de Bilbao. Le passager est de nationalité espagnole, mais son arrestation sur un bateau rraisonné en pleine mer n'en est pas moins, souligne-t-on à Berlin, une contravention aux lois internationales. En outre, d'après les renseignements parvenus ici, une partie du chargement du vapeur aurait été confisquée. On déclare que si ces faits sont confirmés, le Reich se réserve de prendre toutes mesures qui lui paraîtront opportunes.


F~t~<s ip~r~d~r~

£ES ECHOS

Euphémisme.

Comme on discutait, hier, à la Chambre, des validations, un communiste entreprit de conter qu'on avait fait boire des électeurs pour obtenir leurs voix. Mais on ne craint pas l'euphémisme à l'extrême gauche et l'orateur déclara qu'il allait exposer « des faits de corruption par boisson ».

Ce tour r.ssez mallarméen obtint un aimable succès.

Prudence. L

Le jeune fils d'un de nos anciens ministres est brouillé avec les dates historiques et supporte avec impatience les « colles » que son professeur particulier lui pose régulièrement à ce sujet. L'autre jour, le maître commence

>– Que savez-vous de l'histoire de l'Espagne en.

Alors le gamin, l'interrompant svec autorité

̃– Oh vous savez, papa l'a entç>rè dit hier en ce moment, le moins on en parlera, de l'histoire 1 Espagne, le mieux ça vaudra Pour vos fleurs du Nouvel An. F. Lemesle, le fleuriste-décorateur des Champs-Elysées, réputation trcntenaire, 49, avenue Victor-EmmaBuel-III (tél. Elysées 32-49), vous présente ses nouvelles créations à des ipfcix ̃modérés, avec le choix le plus ijarié dé corbeilles. Plantes et fleurs: roses, muguet, lilas, cyclamens, etc. Azalées de toutes nuances depuis

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£ utoup d'un nom.

̃%On a vu que M. Kléber Legay, se- crétaire du syndicat des mineurs du -Nord-Est, était revenu de- Russie fort désabusé sur le « paradis soTiéfique », et l'on a pu se demander, cri lisant son nom, s'il descendait, de l'illustre général strasbourgeois. II semble bien plutôt qu'on ait affaire ici à un nom-prénom, analogue à ceux de ces pays étrangers, très déJnocrittiqueSi où l'on a longtemps baptisé les garçons Mirabeau, Benjamin-Constant/ Royer-Collard, etc., et ces noms ont rapidement dominé les patronymes. M. KléBfer Legay n'aurait ainsi que des rapports de sympathie républicaine jjï'ec le vainqueur d'Altenkirchen, qui, plein d'entrain et de vex*ve} était, lùr; gàr Rléber.

Un vœu. ̃•̃̃̃:̃

'C'était il y a cruelques années, à la técëptîon officielle du Premier de l'An, à l'Elysée. Le chef de la maison militaire du président, homme plein d'humour, rencontrant le ministre des travaux publics d'alors, qui avait eu -là chance de garder son portefeuille à travers de nombreuses crises, lui dit

Mon cher ministre, je vous souhaite les travaux publics à perpétuité'!

Ce vœu, est-il besoin de l'ajouter, ne-iut ..pas comblé.

Le..quai des brumes.

Le trois-islfeécojg L'Anf/e, amarré au .quai d'Auteuil, se trouve, depuis -qtiei^ues ^otïrs^riipla^é^parfàitcment dans soh^«rJclmi.at > .La ïn-umê, qui couvre la Semé, emmitoufle le terre-neuvas d'une ouate dense et hûttïfdV dans laquelle se perdent ses liantes vergues.

.L'au1,re soir, un ancien patron de remorqueur, qui connut Mac Orlan à/E>r.est et qui l'apprécie particulièrement, passait devant lé voilier. Il s'arrêta et contempla longuement ce spectacle très « maritime ».

Cela vous rappelle l'Islande ? lui demanda quelqu!un qui l'accom-

pagriaït.'

-^Qh! non, pas précisément, car je n'y suis jamais allé. C'estplutôt le quai des Brumes. ̃

Malfaçons,

Les travailleurs qui vouent leur activité à soviétiser la France devraient lire les Izvestia et la Pravda. Ils verraient comment, dans le paradis, de l'U. R. S. S. est- traitée la main-d'œuvre.

'Un déraillement s'est produit dans le. Caucase du Nord, le responsable est fusillé. Poiu- un autre déraillement, deux employés sont condamnés à dix ans de prison et à la déportation.

Mais que dironts-ils du sort réservé à deux chefs de l'usine de Kasiniow, qui feront cinq ans dé prison pour avoir sorti des fers -à repasser de mauvaise qualité?

ppjbb'lènrie. #

L;ne classe de dixième dans un lycée de jeunes filles. La maîtresse a dû interrompre son cours d'arithmétique et s'absenter un moment. Elle a; confié à sa meilleure' élève le soin de surveiller ses petites compagnes et de lés faire travailler.

-Quand elle revient, elle trouve inscrit au tableau noir le problème suivant

« Une maman très riche achète an enfjânt tous les quinze jours. Contbien d'enfants aura-Uelle ̃ au bout d'une année

Le Masque de Fer.

M~«~<~t«Ms«~MM~~M~«\~M.

QUEL SOUCI

est épargné à une maîtresse de maison en confiant à l'hôtel de Crillon, dans ̃un cadre unique, l'organisation de ses réceptions, thes, cocktails-parties, lunches, dîners du plus simple au plus somptueux.

~<< <«~<<~<~<~<<~<

COURRIER DES LETTRES Prochaine réunion

du Pen Club

Les Pen Club vont tenir à Londres, du 4 au 7 janvier, une réunion interna-

tionale.

iM. Jules Romains y représentera la

Ijrahce..

L'Argentine sera représentée par M, S.' Sàenz-Haenz, directeur des services pour l'Europe de La Prensa, de BuenosAires.

Le prix Sully-Prudhomme Le prix Sully-Prudhomme 1936 vient d'être décerné à. M. Raymond Cortat. Originaire du Cantal, M. R. Cortat, qui •&; prpîessetu: d'école normale à Auritlàc, -est l'auteur de plusieurs recueils de vers: Sous le signe de la vigne vierge (p aies et récits) et Le Voile de la

(iëeHs'é. ̃'<.•̃

Les Alguazils. 1

LA ¥IE M I IN E ET MONDAI IN E

En compagnie de ses deux jeunes frères, le roi Pierre II de Yougoslavie (à gauche) distribue des cadeaux de Noël aux enfants pauvres de Belgrade.

AUJOURD'HUI 1

Deuils. 9 li. 30 Cérémonie- religieuse à' la. mémoire de. Jeiin. Jlermoz, Alexandre Picïpcloii, Henri Ezan, Jean LàvtclaTiè et Edg-ar Cruvelller, qui constituaient l'équipage de la « Croix-du-Sud t, disparu dans l'Atlantique Sud le 7 décembre. (Saint-Louis des Invalides).

11 heures: Obsèques du docteur Adrien du Souich (Notre Dame des Champs)

11 Heures Obsèques du docteur Joseph Haas (Saint-Phillppo du Roule): 11 heures Obsèques de M. Félix Bollaort (Basilique de Sàinte-Clotilde)..

iitiiiim miimiimiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiimiiimiiiililiiiiiiiiiiii

COURS

S. M. le Roi George VI vient de prendre quelques jours de repos à Sandringham et en a profité pour chasser sur le territoire d'Appleton, accompagné de S. A. R. le Duc de Gloucester, son frère, et du comte de Athlone.

S. M. la Reine Mary d'Angleterre voit sa santé s'améliorer de plus en plus et pourra probablement assister aux prochaines réunions qui vont avoir lieu à Sandringham.

•s»

DANS LES AMBASSADES A l'occasion du bal annuel des sociétés françaises de Luxembourg, S. Exe. M. Henri Cambon, ministre de France, a donné un dîner auquel assistaient

Le ministre d'Etat et Mme Beeh, M. Colnet d'Huart, grand maréchal de la Cour; le bourgmestre de Luxembourg et Mme Diderich, le général Giraud, commandant la 6' région, gouverneur de Metz; le général et Mme Menjaud, 1* général et Mme Coudanne, l'intendant général et Mme Lévy, M., Mme et Mlle Roger, Mme Jean de Beaufort, le capitaine Kicntz, M., Mme et Mlle lîivàud, le lieutenant Hubert Carteron.

–• -S.- -EXcV ^ambassadeur idù;. Brésil à Bruxelles etrMme Martins Pereira e Sousa ont. offèrt'-àia:idej.eunef, auquel avaient été cçmviés Ëxc. le ministre ct« Tîanémark et Mine rag,"S. Exc. M. Barbey, ministre de Siusse; S. Exc. M. Valdès-Mendeville, ministre du Chili; S. Exc. le ministre des Pays-Bas et Mme Patyn, Mme Fr. • Wittouck, baronne Henri de Woelmont, comte et comtesse de Liedtkerke, baron de Vinck de Deux Orp, vicomte Charles de Ghellinck Vaernewyck, le premiex' secrétaire .de* l'ambassade du Japon et Mme Yoshitomi, le conseiller de l'ambassade du Brésil et Mme Dunham, M. et Mme Michel Wittouck, M. et Mme L. du Roy de Blicquy, etc.

En l'honneur de la vicomtesse Simonis, chargée de remettre à S. A. R. la Princesse Juliana des Pays-Bas le cadeau offert au nom du comité du Souvenir des anciens réfugiés belges de 1914, S. Exe. le ministre de Belgique à La Haye et Mme Maskens ont offert un dîner auquel avaient été conviés quelques personnalités hollandaises ayant participé autrefois à l'œuvre des secours aux réfugiés et divers représentants actuels des grandes institutions publiques qui avaient soutenu cette œuvre.

DANS LE MONDfc

Mme Félix Legueu recevra tous les mercredis de janvier, à quatre heures trente.

La comtesse Guy du Bourg de Bozas, qui vient d'être assez souffrante aux Etats-Unis, est dans un état de santé très amélioré qui lui permettra de revenir bientôt à Paris.

–-Après quelques mois d'absence, le baron du Bburdieu a regagné par la route sa ï>roprité de Biarritz.

CERCLES

Le Cercle Dampierre de Paris, la plus ancienne société de trompes de chasse de France, sonnera sa messe traditionnelle à huit trompes à Notre-Dame, le dimanche 17 janvier, à onze heures quinze.

Il y a trois ans, le Cercle Dampierre sonna pour la première fois une messe en trompes de chasse à Notre-Dame et, depuis lors, a renouvelé cette audition chaque année.

Les membres de l'Automobile Club Féminin de France (présidente la du1 chesse de Gramont) assisteront aux réunions suivantes

Le mercredi 6 janvier visite privée de l'Exposition Rubens et son temps, sous la conduite de M. Sterling. Rendezvous à dix-huit heures précises, à l'entrée du musée de l'Orangerie des Tuileries. Entrée en groupe (demi-tarif) 5 francs. Chaque membre peut amener un invité.

Le vendredi 15 janvier, à vingt et une heures conférence de Mme Magdeleine Cluzel, membre de l'A.C.F.F.: « Voyage autour de la terre- ̃», avec projections, sous la présidence de la princesse Galitzine, vice-présidente de l'A C.F.F. 11 Prière de s'inscrire dès que possible au secrétariat du club, 33, faubourg Saint-Honoré.

La finale du tournoi de bridge aura lieu le 18 janvier, dans les salons de l'Interallié. Les sociétaires pourront assister, à dix-sept heures, à la remise des coupes offertes par Mme A. Goulin, membre de l'A.C.F.F.

̃S

NAISSANCES

Le vicomte de Truchis de Varennes et la vicomtesse, née Renée de Ganay, sont heureux de faire part de la naissance, de leur fils Guillaume. Paris,. 15 décembre.•̃

MJ Marcel. Wiriath et madame, née ïvaiiue i ajard, font part de la naissance de leur fils Alain. 12 décembre.

̃ La vicomtesse de Chantemerle de Villette, née Irène de Loisne, a heureusement mis au monde-une fille: Chantal. Montrifaut, 18 décembre.

M. B. Saint Marc Girardin et madame, née Briois, ont la joie d'annoncer la naissance de leur fille Odile.

FIANÇAILLES

On annonce les fiançailles du baron Emmanuel de Turckheim, fils du baron Edouard dé Turckheim et de la baronne, née Schlumberger, avec Mlle Raymonde Deneufville.

«ar- .̃•̃ ̃ ̃-

MARIAGES Le mariage de Mlle Christiane Thibaud, fille de M. Raymond Thibaud et de madame, née Suzanne Legrand, avec M. Edward Sankey a été célébré ces jours derniers à la Chapelle-du- Tillet (Oise).

L ES FUTURES ÉTOILES DE L'OPÉRA

Le concours annuel des jeunes dahsetises de" l'Opéra de Parts, a eu lien Mer matin au théâtre des ChampsMysees, siège àctuel de l'Académie nationale de musique. Voici Mlle Chauviret (à gauche) et Mlle Darsonval (a droite) proclamées premières danseuses. Au centre, un groupe de concurrentes attendent les résultats du concours au,. Foyer des artistes.

INFORMATION5

̃ La saison de Noël et du jour de l'an au Touquet-Paris-Plage est particulièrement brillante.

Le laisser-courre des équipages Rallye Picque Avant Nivernais, au comte de Roualle, dans les bois de Wailly-Beauchamp, fut suivi par plus de soixante cavaliers et amazones, ainsi que nous l'avons annoncé.

Aux personnalités déjà nommées, ajoutons

M. et Mme van Acker, M. et. Mme Waterloos, >L Jules Joire, M. Tiberghien, M. et- Pierre vau de Wegtre, commandant Vallotte, M. Jacques Onof, M. et Mme de La Brosse, laron Thierry, comte de Chabannes, M. et Mme Dehesdin, docteur Wagon, il. et Mme Picot-Fagard, M. du Blalsel d'Enquin, M. Lengagne, M. della ïorre, M. Freddy Maar, comte et comtesse d'Orval, comte van Robaix comte d'Hespcl, M. et Mme Le Gentil, comte dArmaillé, Mme Gaillard, comte d'Argœuves, marquis de Partz, marquis de Pissy, comte de Clermont-Tonnerre, comte de Marcieux, M. et Mme Vandesmet, M. Godin du Tertre, Mlle Mercier, comte d'Audigné, M. et Mme Wallàert, commandant et Mme du Fosseux, comte de La Rochethulon, M. et Mme Camus de Wailly, M. de La Brosse, M. Moreau, M. et Mtne Brunet, MUe Lebel,- Mme Leduc, M. d'Espinoy, docteur Menne, M. Paublanc,' etc.

Les honneurs du pied à la princesse de La Tour d'Auvergne.

La prise fut suivie d'une curée aux

UNE CHASSE A COURRE AU TOUOUET

Une chasse à courre vlviit d'avo lieu au ïoujuet à l'occasion des fêtes de. Noël. Voici, réun's au renJez-vous, les membres et les invités des équipages « Rallye Picque Avant Nivernais » et « Touquet Drags Hunts ».

Le général Mariaux, gouverneur des Invalides a présidé hier une matinée organisée, à l'occasion des fêtes, en l'honneur des Invalides de guerre.

flambeaux _de, grand style devant le Westminster, au Tonquet.

Parmi les autres events de cette saison d'hiver, citons les dîners de Noël à l'Hermitage et au Westminster, très gais et réussis; le réveillon au Casanova, etc. Particulièrement animé fut le bal costumé « Noël dans l'Angleterre de Dickens », donné au casino,. dont le hall avait été transformé 'pour la circonstance en; une place ̃.de-àrirlage de l'ancienne Angleterre, -et la~,sane'-de bal en salle d'auberge anglaise de l'époque.

Reconnu

Princesse de La Tour d'Auvergne, Mme Charles Delesalle (qui portait une robe de l'époque, provenant son arrière-grand'mère), M. et Mme Allègre, lord et lady Morris, lord Michelham; comtesse de Effingham, duc de Westminster, etc.

Une piste-de ski, établie dans le sable des dunes, voit s'exercer de nombreux skieurs et, par- les costumes, on peut se croire aux sports d'hiver.

De Cannes,

Après' une journée de printemps, ce fut la soirée de Noël. La salle des Ambassadeurs, dont la nouvelle décoration est exquise, était parée d'élégances. Les orchestres de Maurice Toubas et de Eddie Foy, si appréciés, ainsi que les attractions.et l'apparition, lorsque sonnèrent les douze coups de minuit, du « Father Christftias, », firent éclater la joie, et les danses reprirent, pleines d'entrain, jusqu'à.june heure -avancée: Remarqué aux Ambassadeurs et Chez Brummell

S. A. R. le Jfrinae' Henri d'Oiiéans-Bragance, sir Henry et Ja;dy Ross Skinner, sir Henry BuiTbughe's ra'dy ^laud Hill/barùri et baronne van Zuylen, sir Hérkett Bell, princesse Ghika, M. "et Mrs A. Wooley Hart, Mrs Galley. M. Henry Russell, sir William Cartliwaite, sir et lady Ilaniilton Condon, comte Luis de La Conquista, M. et Mme LevetArnaud. major A. STicliell Clarke, M. et Mme Perquel, M. et Mme Victor Lyon, major et Mrs Dennis LarMiig, baron Geoffroy de Teyssier, baron Otto von Farnegg, comte et comtesse de CasteHane, Mrs D.rC. Preston, M. et Mme Hènrf Vêrdâvaiue, M.'PauI Adler, M. et Mme L. Rénier, haron et baronne de Sat'zé, major et Mme Mervin Humphrys, Mme F. Brown Clal-ke; Mme H. Barbey, Mme K. Solomoh, M. Raphaël Misrahi, Mme Hilda Wendlinger, M.: Maurice Appel, M. Pierre Digne, Mme Yvonne Pontyra.nne, M. Philip Stamp, Mme Arthur Mobbs, Mme Henry Morgan, M. Robert Lambert, M. Oscar Kup'fer- schmid, M. 1. O'Çorinor, M. Jeffrey Bernard,! Mme Edna Bunt, M! et Mme Marcel Mi rtil, M. Grégor Najda, M. et Mme M. Harlachole, M. René Schaenker, Mme J. Aghion, Mme] Th. Leyenaar,:M. Jacques Pobcrejaky, Mme.

Lucy Nqrdley, M. Albert Patache, Mme Lily Pai'kinson, Paul Charbin, M. Irwin Marks, M. Alfred Epstein, Mme Fred Walker, M. et Mine James Petter, M. et Mme Harry Mitchell, Mme' Lucienne Duhamel, Mme Cécile ̃ Welly, M. Raymond Mazel, Mme Marguerite Goron, M. et Mme J. Goldmann, Mme M.-L. de Vieyra, M; et ,Mme René Longé, M. Robert de.Nesïe, Mme J. Segard, M. et Mme Xora ShàW, Mme_Léa Bloch, Mme Florence Fuerth, Mme Henriette Savel, M. Sidney Rich, M. Ivor Rich, Mme M. Smeets, M. et Mme Georges Wéckerng, M. Léonard Falk, M. Stanley Herz, Mme Paul Adler, M Abal, M. Baste, M. Bordini," M. Demonne. M. et Mme Garduer,

M. et Mine Guyot de Sant-Hémy, JM. et Mme

Georges Lévy, M. et Mme Robert H'rsçh,

M. et Mme F. He«se, M. et Mrs Thompson, r

M'ne J. Bussat, M. Stokvis, M. et Mme Vic-

M",e J. Bussat, 111. Stokvis, :IL et Vie-

kers, M. van den Ponten, M Renaiidin, 'NI. et Mme Sierra Valle, M.me Gelot de Villard, M. et Mme Pizzani, M. Worm^er, Mme Mortier, M. et Mme Outrey, M. et M^ne Gaer.ner, M. Barthet, M. Voulant, M de Ri lier, M. et Mrs Harry Jacobson, M. Hainee, etc. Le Touring Club de Belgique et le Touring Club du Congo belge ont donné, mercredi, une réception intime en l'honneur de S. A. le prL.ee Albert-Edouard de Ligne et du comte FI. de Brouchoven de Bergeyck, qui, accompagnés de S. A. le

prince Jean de Ligne, quitteront mercredi Bruxelles pour se rendre au Congo belge en automobile," via l'Egypte et le Soudan.

L'accomplissement de cet itinéraire, rarement parcouru, constituera un exploit sportif peu ordinaire, d'autant plus remarquable qu'il sera effectué à bord d'une automobile de marque belge. Le président du Touring Club du Congo belge, M. Paul Duchaine, et le gouverneur Moeller, administrateur général du T. C. C. B., ont exprimé au prince Albert-Edouard de Ligne leurs félicitations et leurs souhaits d'heureux voyage, j ,i.. DEUILS °

-r Les obsèques de Mme René Waldeck-Rousseau ont été célébrées hier, en la basilique Sainte-Clotilde. La levée du corps a été faite par l'abbé Genisson, premier vicaire de la paroisse la messe fut dite. et l'absoute donnée par Mgr Mério.

Le deuil était conduit par le docteur Jacques Liouville, fils de la défunte MM. Robert Allart, de Alexandris, Félix Liouville, Paul-Ernest Picard; le marquis de Sahune.La Fayette, Paul Poisson et le vicomte de Marolles, ses neveux. Du côté des dames, par Mme Jacques Liouville, sa belle-fille; Mlle. de Belleville,

}y sa petite-fille adoptive; Mme Jean Charet cot, sa belle-sœur; Mme Robert Allart, u, Mlle Martine Charcot, Mme Félix Liouy, ville, Mme Paul-Ernest Picard, Mme Paul Poisson et la vicomtesse de Mart rolles, ses nièces.

ï" Dans l'assistance

Dr M. et Mme Alexandre Millerand, M. Ed. es Herriot, président de la Chambre des dépu'y tés.; Mme Raymond Poiucaré, S. Exe. le c> comte de Sa'iit-Quentin, ambassadeur de 11 France près le Quirinal; S. Exe. le comte de le Chambrun, an->îïassadeur de France; MM. Paul-Bcuicour, François Piétri, Charles Du[1s mont, Justin Godart, Henr>Paté, Robert

David, ancien ministres; le comte Cornudel,

et M. Lucien Saint, DI. François Arago, M. Jac"> nues Bardoux, de l'Institut, et Mme Jacques r- lïarddux Mme Adolphe Br;ssoiis- le comte r> Jean de Castellane, les généraux Authoine, et Lasson, René Madelin, etc.

le L'inhumation a eu lieu au cimetière é Montmartre, dans le caveau de famille. î- La générale Michaux vient de le mourir à Nancy. ̃•:

[e Nous apprenons la mort de* la le générale Sabattier, née Richard-Bérenii ger. M. Emile Muller, président du conseil d'administration des établissements Herzog, vice-président de la chambre de-commerce de Colmar, ̃< a succombé, dans sa soixante-dix-huitième année, à Logelbach (Haut-Rhin).

Le poète corse Santu Casanova, ancien combattant de 1870, s'est éteint à Livourne à l'âge de quatre-vingt-six ans. On annonce la mort de la baronne Paixhans, née Marguerite Gozzoli. Elle. était la belle-sœur et sœur du comte et de la comtesse Jacques de Moucheron.

Le service religieux, pour l'âme de M. Georges de Mandat-Grancey a été célébré le lundi 28 décembre, en

régllsë 'dé"Tèssahcbiïrï,~en""près:ïncë"du"

baron Antonin deTW-âTKJat-Gîaneêy-'eti de la baronne, née de Flersv^ës paFeirts-t: de ses frère et >8«&ms-6îK>l«s– et-tâirteset de toute la famille.

L'inhumation a eu lieu dans le caveau de famille, au Père-Lâchaïsè. On annonce Ia'mort, survenue te 20 décembre au Mans, dans sa soixantedix-neuvième année, de la. comtesse du Couëdic de Kergoaler, née Richard de Villiers.

Nous apprenons la mort de M. Carlos Stagg Flores, décédé à Paris, dans sa quatre-vingt-onzième année.. On annonce la mort- de -Mme. Eugène Paraf-Javal; qui s'est éteinte dans sa cent unième année, chez sa nièce, Mme Gustave Pereire. Les obsèques ont eu lieu dans l'intimité. On annonce, de Saint-Quentin; la 3 mort de M. Armand Seret, négociant, chevalier de la Légion d'honneur, viceprésident de la chambre de commerce de Saint-Quentin et de l'Aisne, admil nistrateur délégué de la Banque de France, décédé le 26 décembre 1936, j dans sa soixante-treizième année, On annonce la mort

1 Du commandant Raoul de Winter, à la î Roche-sur- Yon de Mlle Léonie Duplais, à Berck-PIage de M. G.-E. Puel de Lobel, à Bellevue (Se!ne-et-Oise) du vétérinaire colo- 1 ici Camille Jobelot, au Mans; de M. Georges S Winckler, à la Ciotat; de M: Marcel Bories, c à Brest de M. Amédée Collomé, à Marseille; de M. Félix Dupont, à Nice; de M. Carlo

Montani, à.Romp,

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La beauté aux bougies

Le réveillon familial ou mondain s'éclaire de plus en plus aux bougies. Il faut en féliciter la mode qui imposa le retour à cette seyante façon d'illuminer les pièces de réception.

Rien n'est plus flatteur pour le teint féminin que ces petites flammes dansantes des bougies rosés, or ou rouges, qui dressent sur la table de Noël et du Jour de l'An leurs fûts étincelants. Pour paraître au maximum de sir beauté, sous ce halo subtil, on a le bon' goût de choisir tel maquillage particulier à base de poudre pâle (à nous les joues romantiques !) de fond de teint ivoire et d'insister surtout sur l'embellissement des cils, lèvres et sourcils, dont l'éclat ressort dans un visa- V go aux tons délicats, rayonnant corn-me tin clair de lune.

N'est-ce pas- ces soirs-là qu'il convient d'affirmer qu'une certaine pâleur biénf du caiur, et que le charme alangui des héroïnes de Musset convient aux plus intrépides sportives lorsque s'allume le sapin des légendes ou que va naître tin âge nouveau.

Un rimmel bleu, ou noir, brossé avec soin et finesse, pour ne pas engluer les. cils,-un rouge à heures cerise et lui- sant, un soupçon de fard sec rosé, sur le haut de la pommette et un abondant nuage de poudre albâtre ou Rachel met ` tant aux blondes comme aux brunes de se composer une figure de keepsake, évocatrice du temps heureux du:

romantisme.

Les baisers sous le gui, en semblent alors plus enivrants.

Comtesse de S.™

^». •̃̃

Au Congrès de l'Entr'aide universitaire

M. Paul Reynaud définit

les responsabilités

des élites européennes

-L' « Entr'aicle universitaire .interna» tionale s tient;' en- ce moment, à Fon«' tainebleau, -son. troisième congrès tam- co-augjais, comprend plus de cin- quante Anglais, professeurs, tutors-et fellovs des Universités d'Oxford, de Cambridge et de Londres. Le sujet mis en d!scussion, cette année, est « Le cléeli.i du système de 1919 et le problême de la,,paix. »

M..Paul Reynaud, invité à prendre hier la parole devant le congrès; a dit

notamment

« Tel est le double problème à ré- soudre ne pas laisser à l'adversaire l'illusion d'une victoire facile qui serait une prime à. L'agression, et, dans le mème temps, lui faciliter l'abandon de la; voie de. la force, fermée par. l'effort com- biné des peuples libres et de ceux qui ont, avec eux, à défaut d'un idéal commun, un intérêt commun. Il faut montrer d'autres issues aux peuples que la hantise de l'encerclement et de la guerre fatale possède tout entiers. C'est pourquoi, les élites européennes ont, aujourd'hui, des responsabilités plus lourdes que jamais. Elles doivent, à la fois, imposer les sacrifices que requiert la force, puis maîtriser cette force qui n'est que l'un des facteurs de la recons- truction nécessaire de l'Europe. »

LA LEGION D'HONNEUR DANS L'ARMEE

Le Journal- officiel publie ce matin-une- longue lists-de- nominations jet da. promotions _dans la iégiou.. ia?hoiHj'eu¥- aujilre dé la réserve.

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La Journée La Flamme du Souvenir :.̃̃̃• ̃

A 18 h 30. a l'Arc ûd Trtomp'ne l-éaération nationale des mutilés, victimes de la guerre. et A C., groupe de Paria. Conférences

-Î--A 17 heures, S, place SaintrTliomâs- d'Aquin « Saint .SUVestre," pape ». par l'atrbé Vlellllaru; Cérémonies ̃•̃̃

–y A lu'- h. 15, dànâMa çouf d'horineur'des Invalides Cérémonie olTicielte la mémoire

do 'Mernïqz. ..̃;̃

Expositions

A ta Bibliothèque Nationale" .Pierre. Corneille et le. tuéatrë aV son temps. la gare saint-1 azare ûueique3 métiers de l-iance.

"Au Parc des Expositions de la porte de Versailles Salon des Echanges :4è. rue U Boétie: Exposition organisée par les blessés de l'Atelier Lachenaï. 30, rue l.ouis-le-<;rand Exposition

un la Gastronomie parisienne

A l'Orangerie des Tuileries, de 10 heures à 1S heures Rubens et son temps. De 30 h. 45 à 23 heures -Salles du Louvre éclairées.

Les courses

A 13. heures Vincennes.

DECEUBRE

3Q il1

MERCREDI

VOTRE CHANCE d"aujourd'huî

I faut se înéder, aujourd'hui, des chauffeurs, des accidents de chemin de ter et des accidents d'aviation. Ce M'est pas le muiiieut d'entreprejodre un g-rand raid.. Si l'on observait ces conseils d'en haut. il arriverait moins de déxastres. La .fournée n'est pas bonne lion «lus pour les liassions soeiãle». Ce n'est pas elle qui fera prévaloir la sagesse parmi nos dirtgéants actuels. La générosité, la hardiesse eeront le lot des enfants de ce jour. Leurs intentions seront excellentes, mais il faudra leur crier t~ « Cassé-cou » Ce n'est pas l'a«- tx-olpsue, c'est enx (faute de con- sulter l'astroIoR-ue) qni risquent de tomber dans ic puits.

LE SAGI'FrAIRE,


LES PREPARATIFS MILITAIRES ALLEMANDS

MÉFÏ4N€E

EN ALSACE»,

Ou l'on est bien placé pour recueillir, sur ce qui se passe de l'autre côté dm Rhin, des informations alannantes.

(Par téléphoné, « Figaro »)

Strasbourg, 27 décembre. lies populations alsaciennes qui vivent en bordure du Rhin sont trop habituées au tumulte de la rive droite du fleuve pour s'en émouvoir outre mesure. Quelques semaines après la prise du pouvoir par Hitler, n'ont-elles pas vu les hommes des sections d'assaut occuper "Kebloft, depuis, se sont déroulées de bruyantes scènes régimentaires? Ensuite,, ce fut le rétablissement du .service-- militaire obligatoire. Enfin, lors de la répudiation totale des clauses militaires du traité de paix, on vit des pièces d'artillerie anti-aérienne se mettre en position, non loin de Kehl..

Les événements politiques ne sont pas arrivés a supprimer certaines vieilles habitudes ni à interrompre des.relations qui, le plus souvent, sont d'ordre familial. Il ne peut d'ailleurs en être autrement dans deux régions voisines, s'est accompli un long travail de pénétration réciproque, et où, au cours de nombreuses années, se sont noués de multiples liens économiques 1- Evidemment, ce n'est plus comme avant la guerre où, chaque dimanche, on. assistait à un véritable exode des Strasbourgeois vers Kehl, mais enfin, ,il existe encore un pont entre les deux villes. Mobilisation, exercices

nocturnes

Dans une'famille strasbonrgeoise, on nous disait, cet après-midi: « Tous ceux qui viennent de l'autre côté du Rhjn et nous en recevons quelques-uns se montrent extrêmement méfiants. Quand ils sont plusieurs, aucun d'eux ne parle à cœur ouvert. De nos jours, l'Allemand a pris l'habitude de se méfier de son meilleur ami Par contre, d'homme à homme, on peut apprendre bien des choses. L'enthousiasme en-faveur, du régime n'est pas toujours aussi vif qu'on voudrait -le faire croire à l'étranger. Tant s'en faut La population badoise était en grande partie favorable au régime républicain. L'arrivée du. chancelier Hitler au pouvoir a tout bouleversé. Les Hohenzollern d'avant-guerre, militaires dans l'âme, n'avaient pas, cependant, introduit cette manière ultra-militariste qui est la marque du régime hitlérien et qui s'accentue de jour en jour. Tout le monde là-bas est botté et porte l'uniforme.

» A l'heure actuelle, les préparatifs, disons militaires ou para-militaires, sont plus activement poussés que jamais. On peut dire que chaque personne adulte on valide a son Gestetlungsbefehl, ou féuille de route, avec l'affectation de l'intéressé, en cas de besoin. Les jeunes gens de vingt ans à vingt-trois ans qui ont passé récemment devant les conseils de revision savent à quoi s'en tenir. On les a reconnus bons pour le service dans une proportion de presque quatre-vingt pour cent. Ils iront à la caserne.

» Pour le reste de la population, ce ne sont que cours d'instruction, convo-

~UfTE ÇAjPREMI.ERE~~PAGE LA MANtFESTATÏON DES-- SER-V-1~CÊS:PUBLICS' » devant 1'~ôt~l~ ~d~e Vil~e

A six heures, le préfet de police 'quitta la salle pou gagner l'extérieur ou 1 appelait le service d'ordre.

La séance, interronipue quelques minutes, fut reprise. M. Brunessaùx fit adopter son rapport sur le budget de hi garde républicaine, s'élevant à 26 millions 672.310 francs. Puis M. Raymond Laurent, presidenl de l'assemblée, se leva "et prononça les paroles suivantes

« Messieurs, avant que- la séance ne soit suspendue, je tiens à élever une protestation très énergique contre 1 envahissement de la place de 1 Hotel-aeVille par une foule de manifestants qui profèrent des cris injurieux contre le Conseil municipal et'qui chantent l'rnternationale. j i

» Je regrette que les services de Ja Préfecture de Police n'aient pas été en mesure d'empêcher cette manifestation qui, je crois, avait été interdite par M. le ministre de ^Intérieur.. » J'ajoute que nous nous refusons a délibérer sous la menace de la rue. Le Conseil municipal de Paris s est toujours montré extrêmement, équitable a l'égard de son personnel. Il a la résolut tio'n de continuer à montrer lès mêmes sentiments de justice, mais je tiens a déclarer qu'il ne cédera à aucune tentative d'intimidation. » En conséquence, Messieurs, je vous demande de suspendre cette séance. a (Vifs applaudissements.)

La séance fut suspendue.

Le président regagna son cabinet où, bientôt, il reçut la visite de M. Dormoy, ministre de l'intérieur, qu'accompagnait M. Langeron, et que M. A. Villey vint rejoindre. L'entrevue fut très courte et le ministre se retira;

Ayant eu connaissance que, pendant ce temps, la place de l'HÔtel-de-Ville avait été enfin dégagée, le président décidait de recevoir la délégation- des travailleurs municipaux, en présence des bureaux des deux assemblées. t

La conversation se prolongea jusqu'à 8 heures et demie et, après la sortie des délégués, une note suivante fut communiquée à la presse et qui conclut « Une conversation s est engagée,, qui permet d'envisager une .solution rapide et équitable. »

LA SEANCE DE NU!t

La séance a été reprise à 22 heures. M. Pinelli a immédiatement évoqué la manifestation de la fin de l'après-midi. Après avoir rappelé les efforts faits par le Conseil municipal pour remplir ses devoirs envers le personnel, il s est étonné que l'on s'en prenne a lui, alors que ni le Conseil général de la Seiue, ni le gouvernement actuel, qui. s oppose, par exemple, au paiement par avance-des pensions de retraite n ont été aucunement visés. Pour lui, la manifestation de l'après-midi avait donc un caractère uniquement et nettement politique. ̃ « D'ailleurs, a-t-il ajoute, tout récemment le gouvernement a dévoile ses intentions hostiles contre le. Conseil municipal de Paris et aujourd'hui une manifestation a lieu contre cette assemblée, On a évoqué un incident pénible la mort d'un adjudant de la garde pour expliquer la rupture d'un barrage qui aurait entrairié l'envahissement de la place de VHÔtel-de-Vilte. Cette, explication ne tient pas, car ce n'est pas par un seul barrage que les manifestants ont envahi la plqce, ils l'ont envahie dans toutes les directions.» Des orateurs de gauche sont venus, naturellement, prendre la défense des manifestants. 1J. Contenot, rapporteur général du personnel, a 'développé cette argumentation que la manifestation avait bien un caractère -lettement- politique, et il en a fait remonter la responsabilité non pas aux manifestants

;alionsr exercices de rassemblement penJaht la' nuit. Tels propriétaires de véhi;ujes ont été, dans les dernières semaiipSr mobilisés '• quatre fois au cours' de a nuit. Les ouvriers spécialisés, sounisa un régime spécial, pourraient vous lire bien des choses sur :lès stages ju'on leur impose dès maintenant, daps ies usines où ils seront diriges ̃ en cas le, mobilisation. En un mot, on. leur ipprénd à se faire la main et personne -l'ose' protester. Bref, l'Allemagne se prépare, -et elle se prépare avec la nVéihtidis pointilleuse et minutieuse qu'on ui connaît. Les Allemands appellent cea l'organisation^ Cela ne. signifie nulëœent que la guerre, soit pour demain. pàjs' il' saute aux yë|ix qu'on veut être prêt, afin de faire face à toute éventualité. té. » tQu.ellps .éventualités, par exemple? lemandons-nous.

_Le Strasbpurgeois qui nous parle répond en souriant {̃" ''̃•̃-̃

Il^'en a plusieurs figurez-vous jiie beaucoup d'Allemands sont convain;us Sfue nous sommes, en France, à la veille d'un effondrement, d'une réyolutfpn :où, tes communistes joueraient un rôle prépondérant. Ils affirment cela ivec une telle assurance qu'il faut croire ;mè 'c'est' leur" conviction absolue. Vous îompfehez que cela autorise certaines spéculations et explique certains prépa-

ratifs! ̃ ̃

•.Ge futile-dernier mot ;de notre entretien. '[̃̃̃ /.̃̃̃ ̃ ̃ ̃: ̃»•

POUR II PRINCESSE MMNA

A l'occasion du prochain mariage de la princesse Juliana, les rues de Scheyêningen ont été décorées de banderolles faites de filets de pêche.

qui se trouvaient sur la place, mais à ceux qui les y avaient conviés. Et dans son intervention M. Contenot a nettement désigné un des élus communistes siégeant dans l'assemblée. Le préfet de police est monté à la tribune. II a expliqué que, contrairement à ce que certains pouvaient penser, la police parisienne n'était,pas animée de mauvais sentimènts, à l'égard du .Conseil municipal'; que les mesures pour empêcher que la manifestation arrive sous les fenêtres du palais municipal avaient été prises, et que, sans le regrettable et douloureux accident qui s'est produit rue de Rivoli, et qui a entraîné la rupture d'un important barrage, les choses se. seraient passées tout différemment. s La réception

par le ministre de l'intérieur d'une délégation du cartel des services publics

En. présence de M. Villey, préfet de la Seine, M. Marx Dormoy areçu, hier matin, au ministère de l'intérieur, une délégation de vingt-deux membres du cartel confédéré des services publics, dont l'agitation n'est pas sans préoccuper le gouvernement.

Aussi le ministre comniença-t-il par informer les délégués que la. manifesta- tion projetée dans la soirée devant l'Hôtel de Ville était interdite. Les délégués se récrièrent en arguant qu'il ne leur était plus possible matériellement et faute de temps de décommander cette manifestation.' Ils prirent pourtant l'engagement formel.de se rendre aux lieux de rassemblement convenus pour conseiller à leurs -amis et de se disperser iinWediateinent.. ̃ ̃ Cet engagement fut-il observé Les organisateurs espéraient grouper devant l'Hôtel de Ville 50.000 manifestants; les services dé la préfecture de police les ont évalués à 4.000, au maximum. Après ce préajnbnle ministériel, auqnel ils ne s'attendaient guère, les délégués des fonctionnaires des services publics exposèrent les revendications de leurs mandants. M. Dormoy ne contesta nullement l'urgence qu'il y avait à réunir une commission tripartite, chargée d'étudier les points controversés. Le préfet -de la Seine assura que le Conseil municipal de Paris et. le Conseil général n'étaient pas hostiles à la constitution de cette commission tripartite, puisque' les, deux assemblées nommeraient avant le 31 décembre leurs délégués à ladite commission.

Ce premier point acquis, les délégués voulurent discuter au fond, avec le ministre, les revendications des travailleurs • des services publics. M.. Dormoy s'y refusa catégoriquement en faisant remarquer à la délégation qu'il ne saurait préjuger les décisions de la commission tripartite. Si celle-ci, en conclusion de ses travaux, proposait une augmentation de salaires, le Conseil municipal de Paris et le Conseil général,de la Seine devraient en délibérer et voter les crédits nécessaires.

C'est seulement à ce moment que le gouvernement pourrait intervenir en approuvant les délibérations des deux assemblées.

Ayant reçu ces explications, les délégués, après deux heures d'entretien, s'en allèrent tout penauds, en annonçant- toutefois qu'ils avaient pris un nouveau rendez-vous avec le ministre, pour 16 heures. Mais. au dernjer moment, par téléphone, ils avisèrent M. Dormoy qu'ils ne pourraient être place BAl"i"fn à l'heure dite.

Le ministre de l'intérieur- n'en fut pas autrement àurpris.

LA QUESTION DE LA NON-INTERVENTION EN ESPAGNE LltaM f lllëmagite et te Portugal se concertent avant de re àtodÉnarctt^^ i Leurs réponses seraient courtoises, mais non exemptes de réserves et viseraient à ouvrir des négociations générales

(De notre correspondant particulier, par téléphone.)

Rome, 29 décembre. On .annonce officiellement à Rome que le- comte Cia'np, ministre des affaires étrangères, a reçu aujourd'hui M/ von Hassel, ambassadeur d'Allemagne, et M. Mobo d'Avila Lima, ministre du Portugal. Ces audiences sont naturellèirietit mises en rapport avec les délibérations -du gouvernement italien sur les nouvelles propositions franco-britanniques pour la non-intervention en Espagne. Elles confirment l'information que' nous avons donée hier, à savoir que l'Italie ne fera rien sans avoir consulté le Reich et sans se sentir en pleine solidarité avec

lui: •:

Le fait nouveau de la journée, c est l'échange de vues avec le représentant de. la République portugaise.' Il semble indiquer que la réponse de Rome sera concertée non seulement avec Berlin mais encore avec Lisbonne dont les sympathies pour Franco sont connues. Il est désormais évident que l'Italie vise à réaliser un. front commun des puissances intéressées au succès du nationalisme espagnol et qu'elle ne donnera sa réponse qu'après s'être mise d'accord avec elles.

Que sera cette réponse ? II est difficile de le prévoir. On peut surtout se demander si en l'espèce le gouvernement de, Rome se contentera d'écouter et de suivre les avis des autres ou si, au contraire, il voudra faire prévaloir son point.de vue personnel.

Celui-ci ne fait guère de doute. Malgré tous les articles de. presse dont le ton est encore plus vif aujourd'hui pour critiquer l'attitude de la Frapce et de, la Russie à propos de l'Espagne, les dirigeants italiens veulent fermement la paix. Ils. savent, quoi qu'on en ait dit, que leur décision actuelle règlera dans une large mesure-le sort de l'entente si vivement désirée avec l'Angleterre. UNE REPONSE

CONCILIANTE, PREFACE D'UNE NEGOCIATION

On sait à Rome que dans certains milieux français l'on se proposerait de « reconsidérer la politique de non-intervention en cas de réponse négatice à 1 adémarche franco-britannique. Tout cela fait naturellement, réfléchir la diplomatie réaliste de Rome, qui suprpute les conséquences en sens divers de la décision qu'elle va prendre, ses risques comme ses avantages.

L'impression générale est que la modéraiton prévaudra. Les réponses concertées de l'talie, de l'Allemagne et sans doute du Portugal apporteraient, avec c des nuances différentes, la même adhé- I sion de principe aux propositions franco-anglaises, mitigées par ailleurs de certaines réserves ou objections cour-

toises.. ̃ .•/ ̃

Le tout permettrait de gagner du temps et d'entamer des pourparlers internationaux. de plus vaste envergure. I ne faûdrait donc pas s'étonner que, sur l'initiative du Duce, le débat acrtuellement limité à l'Allemagne ne devienne la base d'une négociation gêné-

II tïé faudrait pas s'attendre à une sérieuse offensive des nationalistes contre Madrid avant quelques jours

Bayonne, 29 décembre. Les milieux nationalistes laissent entendre que la dernière attaque contre Madrid doit être considérée comme un simple siraularce d'offensive. C'est seulement dans quelques jours qu'une importante of- fensive serait déclenchée.

Le départ- précipité de l'ambassadeur d'Angleterre 'et de trois cents personnes qui s'étaient réfugiées dans son ambas- sade, semble, devoir confirmer cette nouvelle.

D'autre part, d'importants mouvements de troupes s'effectuent au sudest de Madrid.

Pour la seconde fois en une semaine, le général Franco a conféré hier aprèsmidi, à Avila, avec le général Mola. L'entretien a duré une heure.

Le général Franco est reparti dans la soirée pour Salamancjue.

Les nationalistes poursuivent leur avance

sur le front de Cordoue Lisbonne, 29 décembre. Hier, dans le secteur de- Teruel, la colonne nationaliste du colonel Mariana; Munoz a contre-attaqué la colonne internationale, et celle-ci, dit-on, se serait enfuie, abandonnant cinq chars d'assaut, du matériel de guerre et dé nombreux prisonniers.

Dans la province de Malaga, la tentative des gouvernementaux de chasser les nationalistes d'un petit village du UNE FETE A RABAT

Voici, photographiés, ces jours derniers, ao cours d'une réception officielle à Rabat,, le général No» guès, rrsi:!ont gen-'r^1 nu 'Mi roc et le Prince Impérial fils du Sultan.

rale englobant à la fois ta question des. colonies et celle de la collaboration eu-

ropéenne. M: R. Anglès.

ropéenne, M.-R. Angles.

LA REPONSE DE UUR.S.S. SERAIT AFFIRMATIVE SOUS CONDITIONS

Moscou,- 29 décembre. On croit savoir que le gouvernement soviétique a remis aujourd'hui aux gouvernements français et britannique sa réponse à leurs démarches concordantes en vue d'un arrêt des envois de volontaires en

Espagne.

Cette réponse ^serait affirmative sous certaines conditions.

LA FRANCE ACCUSEE PAR UN DEPUTE

w CONSERVATEUR

BRITANNIQUE député

Londres, 29 décembre. Le député

conservateur anglais, Alfred Denville, qui vient de rentrer d'une tournée dans le sud-est de la France, a remis aujourd'hui à la presse; un communiqué dans lequel il accuse le gouvernement Léon Blum d'avoir violé la neutralité dans la guerre civile espagnole.

Les Etats-Unis autorisent l'exportation pour l'Espagne de materiel d'aviation

Washington, 29 décembre.- Le département d'Etat américain a accordé à la Compagnie VimaJest Ltd, de Jersey City, une licence d'exportation pour deux chargements d'avions et de pièces d'avions. La.valeur de la cargaison, qui serait destinée à Bilbao, front gouvernemental espagnol, mais qui serait envoyée d'abord au Havre, atteindrait, d'après le Daily Telegraph de Londres, le chiffre d'environ 600 millions de francs.

L'on fait remarquer, à Washington, que l'acte de neutralité américain n'interdit pas l'envoi de matériel de guerre à des pays européens en état de guerre civile.' Le premier chargement partirait au- jourd'hui sur le bateau hollandais Wual- haoen e second, jeudi, à bord du Pré-

sident-Harding.

Un projet de loi pour empê-

cher les envois d'armes serait déposé au Congrès i

Washington, 29 décembre. M. Pitt- matin, ^président de la commission sénatoriale des affaires étrangères, a annoncé à la presse qu'il prépare un pro-

secteur a échoué et a coûté 40 tués aux assaillants.

Sur le front de Cordoue, les nationalistes ont occupé Sopéra et avancé de 505 kilomètres.

Un avion nationaliste

atterrit au Maroc

dans la zone. française Rabat, 29 décembre. Un avion de bombardement de la'rmée nationaliste du Maroc espagnol a été contraint, par suite d'une panne, d'atterrir dans la zone française, à proximité de la frontière, aux environs de Souk et Arba du Gharb. L'armement et l'appareil ont été saisis par. les autorités françaises.

L'ACTION

UE=LA CROIX:ROUGE La Ligue des sociétés de là CroixRouge nous communique

a Des informations contradictoires ont para récemment, au sujet des négociations menées en Espagne par les délégués au Comité international de la Croix-Rouge pour l'échange de 4.000 otages entre le parti nationaliste et.le parti basque.

» Le Comité international de la Croix-Rouge à Genève est avisé par le docteur Junod que ces négociations se poursuivent comme précédemment et que l'on peut espérer une issue favorable. »

Le chef du gouvernement de Valence prévoit

la-dictature du prolétariat Valence, 29 décembre. Dans nne déclaration faite aujourd'hui à des journalistes, M. Largo Caballero, président du Conseil, a déclaré qu'il pensait que la guerre civile durerait encore quelque temps, mais que les forces républicaines remporteraient finalement la victoire.

Il croit à l'avènement d'un gouvernement socialo-communisete qui établirait la dictature du prolétariat. Ce pouvoir ne s'appuierait pas sur .Moi ? Comme cadeaux, je donne toujours des bonbons, ce n'est pas^.plùs cher. Et, bien. entendu, du chocolatier PIHAIV

4, Faubourg Saint-Honoré, Pari»

p,oo":7 oeo !Foe 0-4 -da d ~4.0.0j

Actualités' internationales' CHÎ1VE. ̃ '̃̃Au cours de la réunion du Comité permanent, le maréchal Tchang Kai Chek remis sa démission de président du Yuan exécutif et de président da Comité militaire. -Le Comité permanent a refusé ces déntissions. Le Conseil politique a décidé de déférer Tciiang Hsue Liang au Comité militaire pont qu'il sut jugé.

jet de loi pour empêcher les envois d'armes aux belligérants espagnols. Ce projet séra déposé dès la réunion du Congrès, le janvier 1937. M. Pittmanp a iajouté qu'il espérait que la loi serait promulguée assez tôt pour empêcher l'expédition des avions et pièces détachées pour, lesquels des.licences ont été accordées hier.

L'Angleterre souhaite `

que les Etats-Unis soutiennent l'effort du comité

de non-intervention

Londres, 29 décembre. Les milieux officiels anglais sont quelques peu inquiets du fait de l'autorisation, donnée par le département d'Etat américain à une compagnie américaine d'aviation, d'exporter des moteurs d'avion à destination, de Bilbao.

En effet, on semble craindre, à Londres que l'Allemagne ne se serve de ce prétexte pour rejeter toute collaboration efefctive avec le Comité de neutralité.

Il se pourrait que lord Plymouth décidât de convoquer, à très brève échéance, une réunion du comité international de non-intervention dans les affaires d'Espagne, afin de discuter du nouveau développement de la situation internationale, créée par la décision n américaine.

Plusieurs délégués, siégeant au sein de ce comité international, ont d'ores et déjà exprimé l'opinion que si les gouvernementaux ou les nationalistes espagnols peuvent obtenir des armes provenant des Etats-Unis, les efforts du comité international de non-intervention seront réduits à néant.

Une démarche officieuse pourrait être faite, sous forme d'une simple suggestion qui appuierait la thèse du parti républicain américain, selon laquelle la loi de neutralité américaine, qui ne s'applique actuellement qu'à deux pays étrangers en guerre, soit étendue à la guerre civile.

Dans certains milieux politique, anglais, on exprime l'opinion que le président, Roosevelt, en vertu de certaines prérogatives qui lui sont dévolues, reconnaîtrait le droit de belligérants aux deux factions espagnoles rivales, sans avoir à en référer au Congrès. De cette façon, la politique de neutralité américaine pourrait s'appliquer au conflit actuel.

DEPARTS

DE VOLONTAIRES

On annonce que 500 volontaires, destinés à la brigade internationale, ont quitté le 27 courant, en autocar, Perpignan pour le Perthuis, en direction d'Espagne.

On signale également qu'aujourd'hui même, un autre contingent d'environ 500 miliciens sont en train d'embarquer à Bayqnne sur un navire, nommé MarBalticq, destination de Gijon.

un. Parlement, mais sur des organismes corporatifs analogues à ceux qui existent en Italie.

Moscou aurait donné

des ordres sévères

aux commandants

des navires soviétiques Londres, 29 décembre. Le correspondant du Daily Mirror à Varsovie mande à son journal que le maréchal Vorochiloff a donné aux commandants des navires russes actuellement dans les. eaux espagnoles ou s'y rendant, l'ordre suivant «Tout navire étranger essayant d'arrêter ou d'arraisonner un bateau soviétique dans les eaux espagnoles ou dans la Méditerranée doit être coulé sans avertissement.

Ce correspondant dit aussi que 25 sous-marins soviétiques ont quitté des ports russes à destination de l'Espagne. Ils sont placés sous le commandement du capitaine Kamilin, un des meilleurs experts russes de la guerre sous-marine. Le plan consistant à envoyer des navires de guerre en Espagne a été ajourné,, mais deux navires sont sous pression à Odessa, attendant des ordres. UNE LETTRE PASTORALE DES EVEQUES BELGES CONTRE LE COMMUNISME Bruxelles, .29 décembre. L'épiscopat belge adresse à ses fidèles une lettre pastorale très importante, ayant trait, en patrie, à la situation politique spéciale de la Belgique.

Dans ce document, les évêques belges énoncent notamment le danger communiste.

Nous en extrayons les passages suivants ·

« C'est une naïveté et une erreur de 'croire' que le, bolchevisme est au service de la démocratie et des droits de la liberté humaine. Il inaugure, au contraire, le règne d'une dictature brutale imposée à tous les citoyens, y compris les travailleurs.

"»-.Le péril est devenu universel, grâce à une propagande acharnée, méthodique et savante, plus habilement secrète et cachée, dans les milieux intellectuels aussi bien qu'ouvriers.

» La Belgique n'est pas exempte de ce danger.

» Comment combattre le communisme ? Certains professent la violence. Ce serait la pire des choses car la violence appelle la violence. Jésus l'a condamnée « Ceux qui se servent de l'é» pée périront par l'épée. s L'offensive quencourage l'Eglise doit être' ferme, mais pacifique et ordonnée.

̃» Les pouvoirs publics, de leur côté, coopéreront à cette oeuvre de salut public en supprimant les griefs fondés des travailleurs et en donnant satisfaction à leurs revendications légitimes 2° en enrayant toute propagande subversive, toute action ouverte qui irait à la destruction de l'ordre social. »

La grève de [alimentation qu'on a pu, hier après-midi croire terminée, continue

m~ ont décidé hier wir les owriera

Ainsi en ont décidé hier soir les ouorieœ

La grève de l'alimentation parisienne qui, lundi soir, n?àffectait'qne les entrepôts, s'est étendue, hier matin, aux magasins de détail- et aux succursales de Potin, Damoy. Luce, ainsi qu'aux maisonsi Coûté et Fauchon.

Vers dix .heures du matin le travail fut arrêté, les, magasins évacués de leurs clients et occupes. Peu de temps après que les grilles et rideaux de fer eurent été tirés sur les devantures, on vit arriver des piquets de gardes républicains qui commencèrent leur faction aux « points névralgiques » boulevard de Strasbourg, boulevard Raspail, place Clichy, ainsi d'ailleurs que dans certaines- rues où les magasins d'alimentation sont particulièrement nombreux rue de Buci, rue de Passy, rue du Commerce, etc.

A 11 h. 30, une délégation se présentait à la présidence du Conseil. Elle comprenait des représentants patronaux et syndicaux. Après un long entretien avec M. Dormoy, Jules Moch et Chaillé, représentant M. Lebas, un accord était conclu

La délégation patronale s'engageait à ne pas diminuer les salaires acquis a ce jour par les personnels actuellement employés dans les entreprises, et d'autre part, la délégation ouvrière ii faire reprendre, sans aucun délai, le travail dans tous les magasins de vente, entrepôts et ateliers.

Peu après, à 16 heures, M. Marx Dormoy recevait une délégation des em. ployés des magasins de vente au détail, et à l'issue de l'entretien les délégués firent connaître qu'ils avaient décidé l'évacuation immédiate des locaux et la reprise du travail pour demain matin. En fin d'après-midi, l'ordre d'évacuer parvenait aux grévistes et à sept heures du soir, les magasins occupés étaient libérés sans incidents.

On pouvait espérer que tout allait rentrer dans l'ordre. Il n'en était rien. Les membres de la délégation de l'ali- mentation qui avaient signé, lfaprès- midi, un contrat avec la délégation patronale, devaient rendre compte, dans la soirée, au Gymnase Japy, de leur mission à leurs mandants. Malgré les conseils du représentant de la C. G. T. qui mit en garde les ouvriers contre une j action irraisonnée qui pourrait avoir de graves conséquences et pour la classe ouvrière et pour le gouvernement de Front populaire, l'assemblée a voté avec une faible majorité un ordre du jour où les « ouvriers décident de conti-

LES CONFLITS DU TRAVAIL Le préfet du Nord

invite patrons et ouvriers à respecter la loi

Lille, 2? décembre. Le préfet du Nord a reçu, ce matin, sur convocations, une délégation de la chambre patronale de la métallurgie de Lille et, cet après-midi, une délégation des ouvriers grévistes. Aux uns comme aux autres, le préfet a signalé que la loi sur l'arbitrage obligatoire votée par le Sénat ne subirait vraisemblablement plus de modifications essentielles en seconde lecture devant la Chambre. Le préfet a demandé aux patrons comme aux ouvriers de recourir, sans délai, à la procédure d'arbitrage.

Les délégations se sont retirées pour délibérer sur la question.

Un nouvel incident a marqué, cet après-midi, la grève de la métallurgie. Cent cinquante grévistes ont empêché ies employés de la fonderie Dujardin, qui avaient travaillé le matin, de pénétrer dans les locaux. La garde mobile qui se trouvait sur les lieux, n'est pas intervenue. Seul, le patron, M. Dujardin, a pu entrer dans l'usine avec beaucoup de difficultés.

Dans la région de Maubeuge, le conflit semble s'apaiser.

Le chauffeur du directeur de la Compagnie Fives-Lille est pris à partie

par des grévistes

Lille, 29 décembre. M. Lemahieu, chauffeur au service de M. Villars, directeur de la Compagnie métallurgique de Fives-Lille, sortait de chez lui, lorsqu'une centaine de grévistes l'entourèrent et le menacèrent, ainsi que sa famille, de représailles, s'il continuait à travailler. M. Lemahieu ayant pu faire prévenir la police, des gardes mobiles furent envoyés, et sous leur protection, le chauffeur se rendit à son travail. Sa maison est gardée par des forces policières.

La Cour d'appel de Bordeaux prononce

un arrêté d'expulsion

Bordeaux, 29 décembre. La Cour d'appel de Bordeaux a rendu un arrêt ordonnant l'expulsion, au besoin par la force et dans les 24 heures, des ouvriers grévistes de la raffinerie Saint-Rémi, qui occupent les usines, les ateliers, les entrepôts et les bureaux.

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L'état de santé du Pape Le cardinal Verdier s'est rendu en pèlerinage au Carntel de Lisieux pour prier pour le Saint-Père.

Cité du Vatican, 29 décembre. ̃ Le Pape a été informé que le cardinal Jean Verdier, archevêque de Paris, s'était rendu à Lisieux, en pèlerinage, pour demander sa guérison.

Il s'en est montré profondément touIché.

nuer la; lufte jusqu'à -complète iSatisËs** tion ». '̃̃

A l'issue de ce vote, un orateur a de* mandé que demain, dans chHque>; usine, on vote séparément poui ou contre' la grève et qu'à la suite de ces voies successifs, une décision soit prise car, en effet, le vote de ce soir ae faisait, pas ressortir très nettement l'opinion dés ouvriers. M. Léon Blum recevra, ce matin, une délégation de l'alimentation, parisienne, conduite par M. Jouhaux, secrétaire" général de la C. G. T., et M. Savoie,;rsficrëtaire général de l'alimentation parisien- ne. Cette entrevue aura pour objet 'la mise au, point des accords signés' hter après-midi.

.-̃̃̃ ̃̃̃' -a

POUR L'EXPOSITION DE

M. Sato, ambassadeur du Japon en France a posé hier la première pierre du pavillon Japonais à l'Exposition de 1937

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LE SENAT EXAMINE le budget des <Jépenfi;es

te Sénat avait commencé, avec une' belle rapidité, l'examen du budget des dépenses, mais il y eut on s'y- attendait un arrêt assez long_sur les chapitres de l'Agriculture. Et puis ceci tout à fait inattendu une. intermina- ble discussion à >pr{5pos d'es crédits du ministère de l'Education nationale. M: Henri Merlin provoqua un amusant incident propos du budget de la présidence du Conseil. On vota sans appro- fondir les budgets de la Justice, des Financés., de l'Intérieur et du Commerce.

?.

Le budget des dépenses a débuté à une allure rapide qui s'est brusquement ralentie quand on arriva à l'Agriculture. On réclama une augmentation du prix du blé en raison de la dévaluation. On parla des produits forestiers, de la chasse. M. Monnet, aimable et souriant, se répandit en bonnes paroles et en promesses.

Le budget de la présidence du Conseil rîonpa lieu, à un amusant incident, M. Henri Merlin, chercheur curieux, avait trouvé, dans un journal des instituteurs, une circulaire portant la signature de M. Léon Blum, déclarant qu'il n'y avait pas lieu de tenir compte de l'article 5 de la loi relative aux mises à la retraite par ancienneté cet article étant inapplicable dans la forme où il avait été voté. Et le commentaire' dont il accompagne ce document soulève les rires de toute l'Assemblée.

« Chacun ici, dit-il, se souvient qu'il y avait un maître de requêtes au Conseil d'Etat qui éblouissait ses collègues par l'immensité de ses connaissances et qui s'était imposé à eux par son respect de la légalité. Mais le Conseil d'Etat a son siège sur la rive droite. Vous n'étiez pas dans votre climat Monsieur le président du Conseil, et vous êtes passé sur la gauche.

C'est ainsi que vous avez signe un texte que n'eût pas signé M. Blum, mattre des requêtes au Conseil d'Etat. Vous avez ainsi témoigné d'une infidélité envers l'un de vos plus anciens amis, Montesquieu, que vous avez délaissé au profit de Karl Marx. Vous avez oublié ce qu'il avait écrit sur les rapports du législatif et de l'exécutif. »

M. Léon Blum plaida coupable. Il assura que le document lu par M. Henri Merlin n'était qu'une lettre privée, non destinée à la publicité et dans laquelle il se bornait à faire connaître son avis à des collègues. Quant à savoir si l'article en question est applicable, le Conseil d'Etat est invité a faire connaître son avis.

Je me présente, dit-il, la corde au cou devant M. Henri Merlin, et je lui demande de ne pas tirer trop rudement sur la corde.

Les crédits de la présidence du conseil •sont votés et on passe au ministère des finances, qui est adopté rapidement. A propos du budget de l'intérieur, M. Desjardins fait observer que, depuis quelque temps des réunions publiques.

LA CHAMBRE a tenu hier trois séances Emprunts polonais. "Validations T; -t&êie fiscale

•Au début de sa séance d'hier matin, la Chambre a voté, après diverses observations, le cahier de crédits appelé collectif de décembre. M. Xavier Vallat a demandé si le gouvernement songe à récupérer les frais qui résultent des sercours accordés aux réfugiés espagnols. « II faut attendre, répondit M. Vincent Auribl,.qiie les' relations normales soient reprises, »

Pour la défense nationale Aucun débat en ce qui concerne les crédits d'engagements de dépenses pour la défense nationale. L'exécution du programme est en retard d'un an et demi, observa M. Louis Marin.

Des emprunts -polonais

La Chambre adopta ensuite à l'unanimité de 590 votants le projet accordant la garantie du gouvernement à des emprunts du gouvernement polonais et de la Compagnie franco-polonaisc des chemins de fer. M. Yvon Delbos recommanda chaudement le projet à l'assemblée, Maxence Bibié, Louis Marin, Grumbach parlèrent dans le même sens. M. Margaine demanda si l'on S'était préoccupé d'obtenir une déclaration d'intervention de la Pologne au cas où la guerre éclaterait entre l'Allemagne et la Tchécoslovaquie. M. Fernand Laurent émit le vœu qu'on rappelât à la Pologne sa responsabilité dans le payement de la dette publique russe, reconnu par une annexe au traité de Versailles. Le ministre répondit qu'aucune préoccupation de sécurité n avait é|té négligée.

« Le pays, dit après le scrutin M. Baréty qui présidait, verra dans ce vote unanime une garantie nouvelle pour la paix. »

i, DEUX ELECTIONS

CONTESTEES

M. Landry est validé

j La Chambre a employé son après9iidi à examiner deux élections contestées, celle de M. Landry à Ajaccip et celle de M. de Montalembert à Yvetot. j M. Piétri intervint dans la première affaire, non pas pour réclamer l'invalidation de M. Landry, mais pour mettre sous les yeux de la Chambre un certain nombre de faits « qui témoignent d'un mépris complet du suffrage universel ».

L'état de siège proclamé, un jour de scrutin, un membre du gouvernement haranguant les foules, des fonctionnaices et trois juges s'introduisant dans un bureau de vote, voilà les faits essentiels qui ont illustré l'élection.

M. Piétri rappelle le voyage et les discours du ministre des P. T .T. M. Jardillier, le déploiement des forces de police et de gendarmerie d'Ajacéio le jour du scrutin. Dans la même ville, perquisition à la permanence du concurrent de M. Landry, perquisition dans un bureau de poste par le procureur de la République lui-même. A Calvi, plus de cent coups de revolver sont tirés par les partisans de M. Landry sur le yacht d'un ami de M. Piétri, ancré dans le port.

M. Campinchi contesta quelques-uns des dires de Mi Piétri. M. Chiappe les appuya, au contraire, et se résuma ainsi « La place de M. Landry n'est pas ici. »

M. Landry affirma que rien dans son élection ne 'prêtait à la critique. Il eut ce mot assez savoureux « On a limité la fraude sans l'empêcher complètement.. »

La Chambre ratifia les conclusions de son troisième bureau, et^Jtf. Landry fut

admis.

M. de Montalembert est admis Le débat fut plus long et plus houleux pour M. de Montalembert, bien que le dixième bureau eût, la majorité, conclu à la validation. Le socialiste Lambin, le communiste Mocquet demandèrent à la Chambre, avec les accents de la vertu indignée, de ne pas

sont, sans raison, interdites au dernier moment. « Toute manifestation d'extrême gauche est considérée comme normale, toute.réunion modérée comme factieuse ».

i Cette" question regarde M. -le président du .conseil* "£e \borne à répopdre M. Aubaud.

M. Queuiljle, .rapporteur du budget de l'Education nationale, insiste sur l'intérêt qu'il y a à organiser en France la recherche scientifique'. é. Les préparateurs docteurs' es sciences débutent à 11.000 francs, moins que le traitement d'un facteur. Cette requête reçoit, on lé devine; un accueil sympathique du sous-secrétaire d'Etat M. Jean Perrin, qui remercie le Sénat de sa sollicitude. =

M. Léon Bérard demande au Sénat de faire disparaître l'inégalité qui existe dans les mises Ii la retraite des mémbres de l'enseignement supérieur. Le ministre annonce qu'un prochain décret donnera satisfaction au sénateur

des Basses-Pyrénées. ?̃-•<

Plusieurs rétablissements de crédits sont accordés en faveur de l'enseignement supérieur et spécialement à la demande de M. Portmann en faveur de l'Université de Paris.

On rétablit avec les chiffres de la Chambre les crédits de l'enseignement technique..

M. Fourcade, rapporteur du- budget des beaux-arts, réclame en faveur des théâtres, dont la situation est critique. Il s'inquiète des conditions d'exploitation de l'Opéra-Comique. Quant à la Comédie-Française, il voudrait que fût étudié Je mécanisme envisagé pour les retraites du personnel.

Quant au commerce, les crédits sont votés sans discussion avec les chiffres de la Chambre.

SEANCE DE NUIT

La séance est reprise à 21 h. 30. On examine le budget du travail. M. Valadier, rapporteur, constate que ce budget est presque entièrement absorbé par les subventions sans cesse accrues avec les lois sociales. Il ajoute que la semaine de quarante heures va entraîner une augmentation de 20 p. 100 dans de nombreuses industries et il s'ensuit qu'il faudra relever les salaires. Le ministre des finances, qui s'inquiète de la tournure que prend le débat, supplie le Sénat de hâter la discussion.

Enfin, on vote le budget du travail, puis celui de la santé publique, et on aborde le budget de la marine, que rapporte M. Farjon.

Le rapporteur signale que l'augmentation de crédit d'un milliard 64 millions est en partie absorbée par l'accroissement des salaires et l'élévation du prix de la vie. Quant aux construc-

recevoir M. de Montalembert, ce. corrupteur.

Qu'y a-t-il donc à la charge de M. de Montalembert, élu à plus de 1,000 voix de majorité, en décors des reproches classiques de « manœuvres qu'on trou- ve à peu près dans tous les dossiers d'élections ? L'histoire est assez pittoresque pour être racontée.

M. de Montalembert avait pour concurrent un certain M. Pellier-Cuit qui, depuis longtemps, visait à occuper le siège législatif d'Yvetot. Il multipliait les tracts et il n'oubliait pas, paraît-il, les petits cadeaux aux électeurs. Même il leur aurait annoncé qu'il leur arracherait gratuitement les dents. Car M. Pellier-Cuit est dentiste.

Vint le ballottage. M. de Montalembert demanda à M. Pellier-Cuit, 'qui avait suivi une ligne politique très voisine de la sienne, s'il se désisterait en sa faveur. M. Pellier-Cuit y consentit. Il demanda seulement à son concurrent de lui rembourser les frais qu'il avait faits pour sa campagne. M. de Montalembert se rendit chez le dentiste.Cent cinquante mille francs furent posés sur la table en règlement des frais. Mais un huissier était caché dans un placard. Mais des photographes étaient dissimulés. On prit même un film. Constat corruption.

Ces faits, M. de Montalembert les conta avec la plus grande simplicité. Je n'ai pas cru, dit-il, qu'il fût illicite de délivrer un concurrent qui se désistait pour moi du souci de ses dettes. Par 168 voix contre 135, la Chambre prononça la validation de M. de Montalembert.

La réforme fiscale

Le projet de réforme fiscale modifié par le Sénat est revenu en discussion au début de la «séance de nuit.

M. Saudubray présente des observations sur le système de la taxe unique. « Du texte adopté résultera, dit-il, des superpositions et des inégalités fiscales. » Il n'y en aura pas », assure M. Viollette, ministre d'Eîtat. M. Denais demande à.la Chambre de se "ranger à l'avis du Sénat, qui prévoit que l'application de la loi partira du premier jour du trimestre qui suivra la promulgation. Repoussé, ainsi que plusieurs autres amendements.

Les articles 1, 2 et 2 bis sont adoptés. M. Quenette propose d'assimiler les artisans aux petits commerçants et détaillants pour la perception de la taxe. M. Paulin l'appuie vivement. Mais le ministre observe qu'on risque de créer des inégalités plus graves encore que celles qu'on voudrait corriger. M. Armand Dupuis fait adopter l'amendement suivant

« Dans tous les cas, notamment lorsque la vente aura lieu en port dû ou franco destination, les redevables seront admis à déduire du chiffre d'affaires imposable le montant des débours afférents au transport des marchandises vendues, à condition qu'il soit justifié desdits débours et que ces débours correspondent au prix des transports soumis eux-mêmes à la taxe de 2 0/0 ou légalement exonérés.

» A l'importation, la valeur imposable est celle qui est définie à l'article 34 du décret de codification du 27 décembre 1934. »

Nouvelle série d'amendements à l'article 3.

Vers minuit, M. Herriot, prend place au fauteuil présidentiel et force un peu l'allure. Une série d'articles est alors adoptée, mais, auparavant, un incident assez vif avait surgi sur l'article 4, à propos d'un amendement de M. Geistdoerfer, qui demanda que la taxe de 2 0/0 fût appliquée aux mélasses du contingent réservé par la régie des aloools. Après de nombreuses observations, par 332 voix contre 256, l'article 4 ne fut pas adopté.

La séance continuera fort avant dans la nuit. Et l'on dit que la réforme fis- cale une fois votée, on commencera la loi de l'arbitrage.

Roger Dardenne.

tions, elles ont été retardées par les grèves. Après quelques observations de M. Rio, le budget de la marine est adopté. A une allure record, on vote les budgets des colonies, des affaires étrangères et des travaux publics et on aborde le budget de la défense nationale. A minuit. 30, M. Fabry prononce un discours sur la défense nationale et le ministre répond. La séance continue.

Le gouvernement va déposer le projet de loi

sur la suppression du bagne Le gouvernement a décidé de déposer devant la Chambre des députés un projet de loi portant réforme de la peine des travaux forcés et du régime de la relégation et supprimant la transportation à la Guyane. Selon ce projet, le condamné aux travaux forcés serait incarcéré dans une maison de réforme et astreint à une épreuve d'isolement cellulaire absolu d'une durée maximum décrois ans. Astreint dans la suite à la vie en commun sous un régime de travail suivi et moralisateur, le condamné serait néanmoins et pendant toute sa peine soumis à l'isolement de nuit. A l'expiration de sa condamnation, s'il s'agit d'un condamné à temps, le projet assujetti le libéré à une série d'épreuves destinées à favoriser et à assurer son reclassement. C'est ainsi qu'il prévoit un séjour pour un temps n'exédant pas cinq années dans un établissement de travail spécialement approprié, ou le placement sous la surveillance d'une Société de patronage, toutes mesures destinées à réaliser sa réadaptation progressive.

Le projet règle également le sort des relégués qui, désormais, subiraient un internement de sécurité dans un établissement de travail, avec régime de réadaptation sociale et de travail et possibilité d'une libération anticipée et conditionnelle pour ceux des condamnés qui en seraient reconnus dignes. Ceux des condamnés qui sont au bagne y demeureront. La réforme ne sera complète que dans dix ou quinze ans.

ÇA ET LA

& En présence de M. Paul Bastid, ministre du Commerce, S. Exc. M. Sato, ambassadeur du Japon à Paris, a posé hier la première pierre du pavillon du Japon à l'Exposition de 1937.

t9t Hier après-midi, à Marseille, ont été dispersés, aux anchères, vingt-six toiles de Monticelli. Le produit de la vente s'est élevé à 463.100 francs. Une nature morte, représentant des fruits, près d'un pichet, sur un tapis, a été acquise pour le compte du Musée du Louvre pour quarante-six mille francs.

INFORMATIONS POLITIQUES

La loi de recettes

devant. la commission

des finance`s,

La commission des finances de 9a Chambre a siégé matin et s>oiv. Elle a examine tout d'abord la loi de tinances retour du Sénat. Parmi les articles modifiés au Luxembourg, et qu'elle a repris, figure notamment la- création d'une caisse des pensions.

Elle a, par contre, adopté le texte sénatorial sur de nombreux points, notamment pour ce qui est de l'exemption du prélèvement de 10 0/0 sur les rentes, exemption que le Sénat propose d'éten- dre à certains établissements d'utilité publique.

L'après-midi, la commission a adopté différents articles additionnels proposés par le gouvernement, ainsi que des propositions rectificatives de crédit. L une de celles-ci spécifie les conditions dans lesquelles la loi du 14 avril 1924 sera, à dater du 1er janvier 1937, appliquée à nouveau aux retraités. Des propositions du gouvernement relatives aux habitations à bon marché ont été également adoptées ainsi qu'un article additionnel créant un office national d'alimentation rationnelle.

Dans la soirée, la commission des finances s'est réunie de nouveau. Elle a rétabli et aggravé l'article 71 bis de la loi de finances, disjoint .au Sénat. Cet article frappait d'un prélèvement de 50 0/0 les bénéfices réalisés sur les achats à terme de marchandises passés du 21 au 26 septembre dernier. La commission a décidé d'élever le prélèvement 'de 50 à 100 0/0.

L'arbitrage obligatoire

Le projet d'arbitrage obligatoire, à son second retour du Sénat, a été modifié de nouveau, hier matin, par la commission du travail de la Chambre. A l'article premier, elle a supprimé les mots « dans l'industrie et le commerce », qui lui paraissaient exclure l'agriculture.

DUSAUSOY

ou Xed ^a^mète

HIER A VELYSEE

LE GONSEII, des Ministres

l'

Les membres du gouvernement se sont réunis hier après-midi, à l'Elysée, en conseil des ministres, sous la présidence de M. Albert Lebrun. La délibération se prolongea, pendant plus de deux heures. A là fin du conseil, le communiqué suivant a été donné à la presse par M. de Tessaii, sous-secrétaire d'Etat à la présidence du conseil t

La situation extérieure. M. Delbos, ministre des affaires étrangères, a fait un exposé. de la situation diplomatique. Il a analysé les nouvelles dispositions proposées par le sous-comité de coordination, afin d'assurer la non-intervention dans les affaires dEspagne et 'a tenu le Conseil au courant des négociations entreprises avec lés diverses puissances ppur le renforcement du contrôle sous toutes ses formes.

Mouvement judicaire. M. Rucàrt, garde des sceaux, a fait approuver un mouvement judiciaire, suivant lequel ont été nommés premier président de la cour d'appel de Nancy, M. Guton, procureur général près ladite cour, en remplacement de M. Gegout, décédé Procureur général près la. cour d'appel dé Nancy, M. Frette-Dâmicourt, substitut du procureur général près la cour d'appel de Paris.

La semaine de 40 heures dans les chemins de fer et pour les ouvriers ardoisiers. M. Bedouce, ministre des travaux publics, a déclaré au conseil que le projet de décret portant règlement d'administration publique pour l'application de la semaine de 40 heures dans les grands réseaux de chemin de fer était prêt à être soumis au Conseil national économique, dors de sa prochaine réunion, qui doit avoir lieu le 5 janvier, ce qui permet d'espérer que le décret pourrait être promulgué aussitôt après.

M. Lebas, ministre du travail, a fait approuver un projet de loi instituant la semaine de 40 heures dans les industries du livre, et un projet de loi étendant la loi sur la durée du travail des mineurs du fond aux ardoisiers (assimilation existant sous le régime des 48 heures).

L'exercice des droits politiques en Algérie. M. Viodlette. ministre d'Etat, a exposé les grandes lignes du projet qui sera déposé après convocation des parlementaires algériens, projet relatif à l'exercice des droits politiques par certaines catégories de Français en Algérie. [N.-B. Ce projet facilite la nàturalisation des indigènes comme citoyens français, auxquels le droit de vote serait accordé sous certaines conditions.] Le ren forcement de la protection de la maternité et de l'enfance. M. Henri Sellier, ministre de la santé publique, a fait approuver par le conseil un projet de loi renforçant la protection de la maternité et de l'enfance, et un projet de loi pour l'expansion des lois d'assistance à l'Alsace et à la Lorraine.

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Elle a adopté un nouvel article ainsi rédige « S'il y a lieu à désignation d'un surarbitre à défaut par les parties ou par les premiers arbitres de s'être entendus sur ce choix, ce surarbitre sera désigné parmi les membres en activité ou en retraite des grands corps ou des admi-

nistrations de l'Etat. » (II y'es|j>as.,d!it

qui le choisira.)Enfin, l'article 6 a été adapte^dans ce nouveau texte s > « La sentence arbitrale sera sans appel. Elle pourra être motivée à la demande des deux parties. Elle sera obligatoire: Elle sera rendue publique. » Le respect des décisions ` arbitrales

M. Léon Meyer a soulevé devant le groupe la question de l'arbitrage à propos de la grève de l'alimentation. Le député maire du Havre, approuvé par tous ses collègues, a fait apparaître l'inutilité d'établir une loi d'arbitrage si les décisions de l'arbitre ne sont pas respectées et si de nouvelles grèves peuvent naître, avec l'approbation de la C. G. T., de conflits déjà arbitrés. M. Campinchi a été chargé d'intervenir dans ce sens lorsque le projet d'arbitrage reviendrait devant la Chambre. A la commission sénatoriale des affaires étrangères

La commission Sénatoriale des affai- res étrangères a entendu hier après-midi M. Yvon Delbos, sur le projet.de loi relatif aux emprunts polonais.

Le ministre des affaires étrangères a informé la commission des négociations sur le pacte de non intervention et sur la question des volontaires pour l'Espagne.

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Nous prions instamment nos abonnis de toujours joindre une DES dernières bandes à leurs demandes de renouvellement, de changement d'adresse ou* à leurs réclamations.

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41, BOULEVARD DES CAPUCINES 1

LE MYSTERE du Quai d'Orsay Deux arrestations

opérées la semaine dernière ont été révélées hier

Elle devient de jour en jour plus mystérieuse cette affaire que l'on nous représenta d'abord comme une simple affaire de faux, usage de faux passeports et infraction à un arrêté d'expulsion 1

Ncfffs" avons dit que l'arrestation de Rosenfeld avait été rayée des contrôles, ainsi que celle de Suzanne Linder. Or, les 23 et 25 décembre, deux autres arrestations qui ne figurent nulle part avaient été opérées sur mandat du juge de .Moissac, par la Sûreté, nationale. Le 23, on arrêtait un Russe, Samuel Fratkine,qui revenait de Bruxelles et de Liège "avec un faux passeport, lequel lui avait été procuré par le Russe Paul Schapiro, qui fut également appréhendé j et envoyé au cabinet de M. Moissac. Le juge; avait d'ailleurs un mandat contre eux, bien que. le délits pour lesquels ils étaient poursuivis fussent des flagrants délits,

Qr, .on ne garde pas à l'instruction des pour des, flagrants délits, qui sont jugés généralement dans les quarante-huit heures par le tribunal

correctionnel.

Fratkine et Schapiro seraient donc arrêtés comme complices de Rosenfeld et de Suzanne Linder t

Fratkine,.qui est défendu par Me Jacques Mourier, avait été appelé, il y a un mois, à la Sûreté. nationale; il avait dû fournir des explications, plausibles sans doute, puisqu'on le .laissa en liberté. Il se rendit en Belgique, et c'est à son retour qu'il fut aïrêté pour usage de faux passeport. -Le détenu expliqua J'avais eu à Berlin, en 1935, un passeport -Mausen qui' me permit de venir'à>Pafis mais chaque fois que j'ai voulu me servir de ce paseport, j'ai dû faire de telles démarches, que mon ami'-Pauï Schapiro, ancien avocat à Moscou, ne proposa un passeport lithua-

nien..

Sehapiro était V Milan, Fratkine lui envoya ,600 francs et l'ancien avocat russe revint à Paris, il fut arrêté à son tour.. c: Devant le juge de Moissac, il a énergiquement. protesté en faisant remarquer que le passeport n'était pas faux, puisqu'il avait' été rédigé par les autorités lithuaniennes. Paul Schapiro a confié ses intérêts à Mo Nagon.

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NouVelles diverses

Les malfaiteurs

de la rue Saint-Marc seraient identifiés

Les bandits qui ont attaqué la recette de la rue Saint-Marc sont-ils, à double titre, des. récidivistes ?

Le signalement des agresseurs a été, en effet, fourni par un chauffeur et leurs silhouettes correspondent exactement à celles de trois repris de justice bien connus du commissaire Guillaume et de l'inspecteur Schmidt, qui, l'année passée, tenterent le même coup contre la même recette.

Les recherches, si cette hypothèse se confirmait, s'en trouveraient considérablement simplifiées.

Près de Caen, un autocar se jette contre un arbre deux morts et six blessés.

Caen, 29 décembre. Un grave accident s'est produit sur la route de Sainthô à Caen. Par suite probablement d'une rupture de direction, un autocar s'est écrasé sur un arbre. Le chauffeur, M. Eugène Lechangeur, a été tué, ainsi que M. Garnier, maire de la Vacquerie, qui a été décapité. Six autres personnes ont été blessées, dont trois grièvement. Ce' sont MM. l'abbé Lamy, Ferdinand Vautier, Julien Lecuyer, Léon Catherine, Bellanger et Kairel.

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Nomination

de commissaire-priseur

Par décret en date du 22 décembre 1936, Me Quoniam a été nommé commissaire-priseur au département de la Seine, en remplacement de son père. Maurice Monda.

Le colonel de La Rocque a tenu hier soir quatre réunions en Bretagne

Malgré l'interdiction communiste, quatre importantes réunions du Parti Social français ont eu successivement lieu hier soir. Le colonel de La Rocque se fit entendre à Saint-Pol-de-Léon, à Morlaix, à Landerneau et à Brest.

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LE THE A T R E

LE THÉÂTRE DE MONTE-CARLO a créé un bel ouvrage de Georges Delaquys « LA NAISSANCE DE TRISTAN »

(De notre envoyé spécial)

La Naissance de Tristan, que vient de créer le théâtre de Monte-Carlo, est une œuvre pathétique et la musique de Wagner qui l'accompagne et en souligne les passages essentiels, lui confère ses lettres de noblesse. Il était dangereux pour le poète d'affronter ainsi ce terrible et magnifique voisinage. Le seul fait que la pièce peut supporter un tel accompagnement musical montre la dignité et l'humanité avec lesquelles elle a été écrite.

Georges Delaquys prend Richard Wagner à.un moment critique de sa vie. Matériellement, il est dans une situation lamentable, exilé de son pays, pauvre, harcelé par les créanciers, il serait sans abri, si une famille amie, les Wesendonck, n'avait mis à sa disposition un pavillon dans le parc de la maison. Moralement, sa situation est peut-être plus désespérée encore. Il n'aime plus sa femme Minna, sa compagne des jours de détresse, ou plutôt elle ne l'émeut plus spirituellement, elle ne peut plus être son inspiratrice. Et voici le drame l'inspiration que Minna ne peut donner à Wagner, Mathilde, la femme de son ami Wesendonck, la lui apporte.

Un amour aussi élevé, aussi profond que celui-là ne peut se preoccuper des contingences, de la morale et de l'opportunité. L'exaltation passionnée où le met cet amour pousse Wagner à abandonner l'œuvré en train, L'Enfance de Siegfried, pour en commencer une autre, faite à l'image, même de son amour, et il écrit Tristan et Iseult en s'identifiant avec son héros, et Iseult, c'est Mathilde Wesendonck. Les personnages même de second plan sont des transpositions des êtres que nous verrons sur la scène au cours du drame intime et farouche qui se déroulera sous nos yeux.

Avec une parfaite connaissance et de la vie de Wagner et de Tristan et Iseult, Georges Delaquys est parvenu à rendre tangible cette confusipn de l'œuvre créée et du drame réel. ̃.̃•̃ ̃ /"̃̃

Le drame

Un amour exalté, surhumain, immatériel emporte les amants bien • au-dessus de terre mais autour d'eux la révolte gronde. D'un côté, c'est Minna, la femme de Wagner; de l'autre, c'est Otto Wesendonck, le mari de Mathilde, qui se dressent sur les ruines de leurs foyers détruits. -Otto accepte douloureusement son sort Minna s'insurge. Une scène affreuse. éclate, dont les éclats t blesseront les amants, leur amour. Il leur faudra se séparer. Ils acceptent l'affreux sacrifice, ils s'arrachent l'un de i'autre; et c'est dans la solitude étle désespoir: que Wagner achèvera son œuvre toute retentissante- de sa souffrance. lis se reverront plus tard. Le temps a passé. Mathilde a repris à son foyer sa place d'épouse et de mère. Wagner se rend peut être compte que ce pur amour allait plus à l'inspiratrice qu'à la femme. Cette

FRO G R AMME DES THE ATRES

EN MATINEE

ODEON (Dant. 58-13), 2 h. 45 L'Avare (MM. Chamarat, Parzy, Raymoud-Girard Mmes Courtal, Rouvier, etc.). Les Fourberies de Scapin (MM. Cusin, Baconnet, Darras Mmes Marinier, Briaune, etc.)

EN SOIREE

OPERA (Th. Ch.-Elysées), 8 h. 30 y Le Coq d'Or (Mmes Ritter Ciampi, Schenneberg, Hamy; MM. Huberty, Ram- s baud, Paclat, ete.). Orch. M. Fr. Ruhlmann. Divertissement (Mies Camille Bos, Lorcia, I,amballe; MM. Serge Lifar, S. Peretti, Goubé). Orchest. M. J.-E. Szyfer. Dem., relâche. COMEDIE-FRANÇAISE (Rich. 22-70), à 9 h. Le Chandelier (MM. A. Brunot, Bertin, Escande, Bertheau; Mmes M. Renaud, Casadesus, etc.). L'Ecole des Maris (MM. Dessonnes, Lafon, Weber Mroes J. Sully, Delamare, etc.) Dem., mat. « Le Cid », « Corneille et Richelieu » soirée « Le Chandelier >v « L'Ecole des Maris ».

OPERA-COMIQUE (Blch. 72-00), relàcbe. Dem. « La Vie de Bohème ». ODEON (Dant. 58-13), 8 h. 50 L'Epervier (M. A. Brulé, Mme Mad. Lély; MM. Clairval, Baconnet, Amiot; Mmes Courtal, Marinier, etc.). Dem., mat. « Le Cid », « Louison »; soirée t Le Jour de Gloire ».

ATHENEE (Opéra 82-23), à 8 h. 45 La Scintillante, de M. J. Romains. (Mlle J. Neels, M. Romain Bouquet, Adam, Bogar, Castel, etc.). L'Ecole des Femmes (MM. Louis Jouvet, J. Bertheau, Bouquet, M. Castel; Mmes Mad. Ozeray, Raymone, etc.)

GAITE-LYRIQUE (Arch. 29-20), 8 h. 45 Paganini, de Franz Lehar. (Mmes Daniéle Brégys, Lucy Debret, Reynès, Dulysse; MM. Le Breton, Jean Quillet, Gustave Nelson, Loches, Descombes, avec Robert Hasti et Robert Allard). ).

GYMNASE (Prov. 16-15), 9 h. Espoir, de M. Henry Bernstein. (MM. Victor Francen, Claude Dauphin; Mmes G. Dorziat, S. Renat, L. Léger, Salina). Matinées samedis et dimanches.

MADELEINE (Anjou 07-09). à 9 b. Geneviève (MM, Sacha Guitry, G. Du-

CHRONIQUE DES CONCERTS

1. 1

Société d'Etudes mozartiennes Si elle ne nous a pas apporté, au cours du premier concert dej sa nouvelle saison, une de ces émouvantes révélations qui ont fait sa juste renommée, du moins la Société^ que dirige avec tant d'ardeur et d'intelligence Mme 0. Homberg, nous y a-t-elîe fàit connaître un ouvrage que, depuis longtemps, les mozartiens désiraient entendre. II s'agit de la Symphonie en si bémol écrite au cours de la dernière année de séjour de Mozart à Salzbourg, en 1779. C'est un ouvrage d'une surprenante fraîcheur de coloris, tout frissonnant de vie, que traversent et illuminent d'étincelants éclairs de joie, dépourvu de ce caractère dramatique qu'on rencontre dans tant de pièces composées à la même époque et qui ne dans ses quatre parties (le menuet a été rajouté, plus tard, à Vienne) que la gaîté, la tendresse et la sensuali musicale du cœur et du génie de lOitarl. M. de Sairit-Foix y voit une sorte de « Symphonie pastorale », M. Abert une anticipation

ËSO

M. Sanson Fainsilbert (Richard Wagner) et Mlle Jeanne Boitel (Mathilde) dans « La Naissance de Tristan » au théâtre de Monte-Carlo.

fois, c'est fini, leur amour est mort, cet amour passionné et bouleversant qui présida à la naissance de Tristan.

Ces deux dernières scènes du drame ont une puissance simple et profondément émouvante. A l'orchestre, la Mort d'Iseult en souligne le caractère désespéré. Toute la pièce d'ailleurs est marquée de la dignité et de l'élévation de pensée qui convenaient à un tel sujet et à un tel héros.

L'interprétation

Mise en scène avec une intelligente sûreté par M. Pierre Geoffroy, l'œuvre de Georges Delaquys a été très bien interprétée. M. Samson Fainsilber a composé un Richard Wagner tel que le portrait de Renoir nous en a laissé l'image, avec, par instant, quelque chose aussi de baudelaii'ien. Il a su exprimer la nervosité, la brutalité, l'enthousiasme du génie qui n'existe qu'en fonction de l'œuvre qu'il mit au monde. Mme Jeanne Boitel, que le cinéma a fait connaître, apportait au personnage de Mathilde sa grâce émouvante et blonde d'un Titien retouché par Winterhalter. Le rôle de Minna était

bosc. Drain, Jevenet: Miles Jacqueline Delubac, Ed. Favart, etc.) Le Mot de Cambronne (M. Sacha Guitry; Mmes Marg. Moreno, Jacqueline Delubas et P. Carton).

MICHEL (Anjou 35-02), à 9 heures Un Coup de rouge, revue de MM. Doriu et Saint-Granier. (Marg. Moreno, Pauley, Dorin, Davia, Edmond Roze, Parisys et Saint-Granicr).

MICHODIERE (Rich. «5-23). à 9 heures Fric-Frac, de M. Edouard Bourdet. (Victor Boucher. Arletty, Michel Simon, Andrée Guize, Georges Jamin, Suzanne Henry, H. Bonvallet, etc.) MONTPARNASSE (Gaston Baty) (Danton 89-90), 8 h. 45 Madame Bovary, d'après Flaubert. (Marguerite Jamois, Georges Vitray, Nat, Beaulieu, Rolla Norman, Suz. Demars, etc.) Musique d'André Cadou.

PORTE-SAINT-MARTIN ( Nord 37-53 ), à 8 h. 45 Naooléon unique, pièce en S actes de M. Paul Raynal. (Annie Ducaux, Henri Rollan, Jacques Copeau, Jean Périer et Véra Sergine). Mat. jeudis, samedis et dimanches. VARIETES (Gut. 09-02). à 9 heures Christian, de M. Yvan Noé. (MM. Harry Baur, Christian Gérard, Valbel Mmes Madeleine Lambert, Jeanne Lion, Rysor, S. Préville, etc.)

AMBASSADEURS, 9 h. 20 Le Pélican. ANTOINE. 8 h. 45 Quand on a 20 ans. ARTS, à 9 heures Eblouissement. ATELIER, à 9 h. Le Faiseur.

BOUFFES-PARISIENS, à 9 h. « Normandie ».

COMEDIE DES CHAMPS-ELYSEES, à 8 h. 45 On ne badine pas avec

l'amour.

COMEDIENS DE PARIS (Th. Sar.-Bernhdrdt), à 8 h. 45 Le Bourgeois gentilhomme.

CHATELET, à 8 h. 30 Yana.

CAPUCINES, à 9 h. La 13e enquête de Grey.

DEUX-MASQUES, à 9 h. 15 L'Etrange nuit de Rockland.

ETOILE, à 9 h. Bouche en cœur. GRAND-GUIGNOL relâche pour répétitions.

HUMOUR, à 9 h. L'Heure H.

HATHURINS, à 9 heures Aneelica, Quand vous vous voudrez.

schubertienne. C'est, en vérité, un morceau tout imprégné de l'esprit. du rythme, du charme enveloppant de cette Vienne où Mozart ne devait s'installer que deux ans plus tard pour y concevoir ses plus hauts chefs-cï'œuvre. M. Rauget a rendu, avec fidélité, avec -brillant, surtout avec poésie, ces pages où le musicien ne livre pas le plus profond de sa pensée, mais découvre, dans un captivant langage, le plus séduisant de ses sourires.

Sauf un des Concertos pour cor, écrits pour Leutgeb, patiente victime des amicaux lazzis mozartiens et qu'a mis en relief le remarquable talent de M. Devemy, le programme ne comprenait que des œuvres connues. J'en excepte cependant le bel air Misère dove son, d'un sentiment tout glucMste, contemporain d'Idoménée, S qui il s'apparente par le caractère. C'est à Mme Maria-Theresa pediconi que revenait l'honneur 'd'interpréter ces strophes magnifiques. Elle l'a fait arec un ail pU'in^dc noblesse, une j belle technique vocale, une exprès- j l, sion sobre et concentrée qu'elle a mis |

tenu par Mme Yanne Lamhay. Diverses circonstances ont tenu cette artiste éloignée pendant quelque temps de la scène. La façon dont elle jouait dernièrement La Femme en fleur de Denys Amiel, la façon dont elle a créé le rôle de Minna apportent la preuve qu'elle est une grande artiste. Elle doit prendre au théâtre la place à laquelle elle a droit. M. Ernest Ferny a mis dans le personnage d'Otto beaucoup d'autorité et de dignité, sans effet inutile, mais avec une chaleur très émouvante. Mmes Marie Dormoy, Simohe Rougier, Marguerite Valbrun, Jacqueline Deshayes, MM. Christian de Lanant, Pierre Gillier, Suzanne Deshayes et Louis Coudray ont tenu avec intelligence leurs rôles, petits ou grands.

L'orchestre de Monte-Carlo, sous la direction de M. Marc-César ScQtto,, a joué' à la perfectionna -"géniale 'pj'su*titioh qui situait l'oeuvre sur son véritable plan. Très beau spectacle, que M. Marcel Sablon peut être fier d'avoir monté et qui reçut un accueil montrant bien que le beau théâtre a toujours ses fervents. -̃̃ André Warnoi.

MOGADOR, S 'h. 45 Dame nature. Pax. NOUVEAUTES, à 8 h. 45 Tout va trop bienl

ŒUVRE, 9 h. Un Homme comme les autres.

PIGALLE, 9 h. L'Auberge du ChatCoiffé.

PALAIS-ROYAL, à 9 h Le Train de 8 h. 47.

SAINT-GEORGES, 8 h. 45 Ma liberté. TH. DE PARIS. à 9 h. La Fessée. VIEUX-COLOMBIER, à 8 h. 45 Elisabeth, la femme sans homme.

MUSIC-HALLS

CHANSONNIERS

CIRQUES

A.B.C., 3 h. et 9 h. Figaro 36.

ALCAZAR, 9 h.: Ça, c'est Marseille ALHAMBRA. 3 h. et 9 h. Music-hall. CASINO DE PARIS, à 8 h. 45: Tout Paris qui chante.

DEUX ANES, à 9 h. L'Impromptu de Montmarte, revue de Rip.

THEATRE DE DIX-HEURES, à 10 h. Martini. Jean Rieux, Max Régnier. La revue..

ELYSEE-T9, 2 h. 30. et 9 h. Music-hall. EMPIRE (Etoile 40-00). Direct. Amar, à 3 h. et 9 h. Jo Bouillon, Vallès, Jack Hoff. Mal. tous les jours, à 15 heures. FOLIES-BERGERE, à 9 h. En SuperFolies, revue à grand spectacle en 50 tableaux, de M. Maurice Hermite. (Joséphine Baker). Mat. sais., dira. LUNA-PARK Tous les jours, matinée et soirée attractions, dancing.

LUNE-ROUSSE, à 9 h. Du soleil dans

la lune.

LE PERCHOIR, à 9 h. Flic-Flac, revue. Les chansonniers.

TRIANON, 3 h. et 9 h. Music-hall. CIRQUE D'HIVER, à 8 h. 30 Spectacle varié.

CABARETS, DANCINGS MONTE-CRISTO, 8, rue Fromentin (Tri 42-31) Cabaret-dancing.

TABABIN La Joie de vivre. Attract. AU FLORIAN (74, Champs-Elysées). Elysées 1-1-70). Dîners et soupers dan-

sants.

ensuite au service de l'air fameux Zeffiretti lusinghiéri A'idoménée. En même temps que le beau chant italien, l'art italien du violon était représenté avec éclat à ce concert par Mlle Giocou'da de Vito. Nous avons eu l'occasion déjà de parler de l'une et de l'autre artiste lorsqu'elles se sont produites pour la première fois à Paris sous l'égide de l'ambassade d'Italie. Elles iront pas déçu les espoirs que nous mettions en elles. Mlle Gioconda de Vito, qui a soulevé l'enthousiasmé du public du Conservatoire dans le Concerto de Brahms, a reçu un accueil tout aussi chaleureux dans le Concerto en sol pour violon de Mozart ses rares qualités de son, sa' sensibilité, le sentiment qu'elle a du rythme, ce qu'il y en elle à la fois de puissant, de délicat et de léger, et surtout l'élévation de son jeu, ont fait une impression profonde. Festival Prokofieiff

Renouvelant l'expérience 'qui' lui avait si bien réussi il y a six ans chez Lamoureux, M. Albert Wolff vient de donner chez Pasdeloup un Festival Prokofieff. ir aime le musi- 1 cien de- Chant, et il a bien raison. < C'est, parmi lés compositeurs de sa t génération, l'un des plus richement t

ADIEUX A 1936

LE BILAN

DE L'ANNEE THEATRALE Au bilan de l'année théâtrale que nous dressions hier, il faut ajouter les théâtres qui ont dû fermer leurs portes pen.dant un temps plus ou moins long. C'est ainsi que le théâtre des Ambassadeurs, qui vient de faire une éclatante réouverture avec Le Pélican, après avoir fait relâche quelque temps, était devenu cinéma pour plusieurs mois. En 1936, nous avons vu plusieurs directeurs de théâtre obligés d'abandonner la partie. Le plus retentissant de ces échecs fut celui des frères Isola, qui ont dû renoncer à diriger le Théâtre SarahBernhardt et le Théâtre Mogador. Il en fut de même pour M. Bravard', à la Gaîté, et pour Mme Cora Laparcerie, à La Renaissance.

Quant à M. Poncet, après avoir monté La Tour prends garde! à la NouvelleComédie, il ferma son théâtre et le transforma, à la rentrée, en cinéma. Théâtres Sarah-Bernhardt et Mogador

Les deux théâtres que dirigeaient MM. Isola ont connu, en 1936, bien des vicissitudes.

Le Théâtre Sarah-Berhnardt, après Indiana, fit une reprise de Monsieur Beverley, de Georges Berr et Louis Verneuil, et monta Trois Hommes sur un Cheval, de Jean de Letraz. Après quoi, il ferma ses portes. L'Opéra s'y installa jusqu'au 1er décembre, et, actuellement, il est confié aux Comédiens de Paris, qui ont monté Le Bourgeois gentilhomme et Antar.

Quant à Mogador, après une reprise de L Auberge du Cheval-Blanc, il fit relâche, devint cinéma et, après les vacances, music-hall, sous la direction de M. Erenthal. Obligé de fermer de nouveau, il vient de rouvrir comme théâtre de comédie, avec une reprise de Dame Nature.

Théâtre de la Renaissance Mme Cora Laparcerie donna, après Notre-Dame du Cinéma, de Simon Gantillon, une reprise de Lavalisons, et puis abandonna la partie. Des directions éphémères monterent Le Mur d'Argent. Ça va, j'ai compris, Un homme est venu. Actuellement, sous les auspices de la C. G. T., on y donne Les Loups, de Romain Roland, et Cendre, de Jacques Chabannes.

Gaîté-Lyrique

Après La Chanson da bonheur, de Franz Lehar, la reprise de diverses opérettes n'empêcha pas la déconfiture. Le théâtre est confié actuellement aux Compagnons de l'opérette, qui ont monté Un petit bout de femme et jouent Paganini.

Sur cette liste, il convient, en dernière heure, d'ajouter le théâtre Pigalle, dont M. Quinson abandonne la direction, et qui jouera demain soir pour la dernière fois avant d'attendre qu'un nouveau directeur vienne y risquer sa chance. A. W.

II paraît que. Relâche.

L'Auberge du Chat coiffé quittera demain soir l'affiche du Théâtre Pigalle. Cette opérette sera reprise sans doute au cours de l'année prochaine, mais sur une autre scène, car M. Quinson abandonne à son sort l'infortuné théâtre, dont la carrière, depuis son ouverture, n'aura guère été heureuse.

Prise de rôle. w

Vendredi prochain, Le Misanthrope, à la Comédie-Française, aura deux nouveaux interprètes. M. Julien Bertheau tiendra, en effet, pour la première fois, le rôle de Clisandre, et Mme Marcelle Gabarre celui d'Eliante.

Le concours de danse

de l'Opéra

Hier a eu lieu, dans la salle du Théâtre des Champs-Elysées, un concours pour l'emploi de première danseuse, à la suite duquel ont été promues à cet emploi Mlles Chauviré et Darsonval. M. Huisman, directeur des BeauxArts, assistait au concours, et le jury, sous la présidence de M. Rouché, était composé de Mmes Alessandri, de Craponne, Johnson, Meunier, Pavloff, et de MM. Philippe Gaubert, Mouveau, Quinault et Vetchek.

DATES RETENUES

Mardi 5 janvier

Madeleine Jeux dangereux, de M. H. Decoin (répétition générale). Mercredi 6 ianvier

Athénée Le Château tie Cartes, de M. Steve Passeur (répétition générale). Lundi 7 janvier

Gymnase Le Voyage, de M. H. Bernstein (répétition générale).

PORTE-St-MARTIN 1

1 La pièce dont on parle NAPOLEON UNIQUE O C de PAUL RAYIVAI, ^J J|

LE BŒUF SUR LE TOIT 43 bis. Av. Plerre-1" de Serbie NUIT DE ST-SYLVESTRE TABLE MUSIQUE DANSE On est prié de rétenir su table

doués. L'un des plus naturels aussi. ( II suffit de l'entendre jouer du piano ( pour se convaincre qu'il est toujours I de plain-pied avec la musique, qu'il < ne fait jamais effort soit pour s'ex- i primer lui-même, soit pour convain- `. crc les autres. Ln musique, qui est 1 un besoin de sa nature, jaillil de lui j 1 sans arrêt comme sans contrainte, t Son œuvre, extrêmement variée de i caractère et de tendance, laisse sup- i poser qu'il n'y a rien en lui d'un t doctrinaire, encore moins d'un scct 1 taire. Certaines de ses productions t pourraient passer, chez tout autre, ( pour un compromis entre l'esprit de < tradition et l'esprit de renouvelle- i ment. Mais il n'y a point chez AI. ( Prokolietr de ruses de cette espèce. i Il est spontané, divers et parfois dé- 1 concertant. C'est sous ces multiples ] aspects qu'il est également apparu t au cours du récent Festivai. Le pro- ( gramme comprenait en majorité des J œuvres connues le Troisième Con- ] cerlo .pour piano, le premier Con- t certo pour violon qui en raison des J modes qui y sont employés et de son style tendu pose à son interprète M. Alex. Noskowsky d'incessants problèmes de justesse et d'équilibre de sonorité, les Suites du Pas d'acier et de L'Amour des trois orah-.ç/es, YOuverturé très plaisante sur des thèmes juifs, déjà entendue e

w

Almaviv».

LISETTE LANVIN

JEUNE FILLE MODELE Dans l'emploi qu'elle a choisi à l'écran, Lisette Lanvin nous donne toujours une image parfaite de la jeune fille française pas tout à fait 1900, pas tout à fait 1936, elle évolue selon les exigences du scénario tout en gardant tant de fraîcheur, tant de foi dans l'avenir fait de joies pures et de bonheur parfait que les spectateurs sont toujours conquis par les personnages qu'elle interprète

Entre deux essayages les jeunes filles sont si coquettes elle nous confie ses projets pour 1937 ils sont très nombreux

Je vais tourner dans quelques jours dans Une Femme sans importance, d'après Oscar Wild. C'est Charles Spaak qui a fait l'adaptation cinématographique et a écrit les dialogues. Le sujet, remanié, a été modernisé et l'action se passe en Angleterre de nos jours. Jean Choux dirigera la mise en scène.

» Les principaux interprètes sont Pierre Blanchar, Line Noro et Gilbert Gil mon fiancé dans le film. » Mon rôle a été amplifié et comporte certains côtés romanesques et passionnants. Cette fois, je suis une jeune fille américaine très à la page je choque les gens qui m'entourent par mon éducation et mon indépendance exagérée. » Le film sera entièrement tourné au studio. Je déplore le manque d'extérieurs, car j'aime me déplacer, voyager, vivre au grand air, mener une vie de garçon.

» Lors des prises de vues de mon dernier film, Nitchevo, nous tournions les extérieurs à Toulon et sur un bateau au large des îles d'Hyères. C'était le bon temps Nous prenions nos rôles au sérieux et nous nous découvrions tous des âmes de marins.

» Et maintenant, je vous quitte, mes essayages me réclament. »

Et Lisette Lanvin, jeune fille modèle, disparaît.

LES FILMS QUE NOUS VERRONS Impérial Pathé

Le Mort en fuite terminant ce soir sa carrière sur les boulevards, l'Impérial présentera, dès jeudi en matinée, La Tendre ennemie.

Par l'originalité du scénario tiré de L'Ennemie, d'A.-P. Antoine, la réalisation parfaite de Max Opphuls, le célèbre metteur en scène de Liebelei, l'interprétation de premier ordre dont Simone Berriau mène le jeu, La Tendre ennemie, film curieux, amusant et humain.

Irène Dunne dans « Théodora devient folle Ce fllm passe à l'Avenue.

Les salles marquées du signe donnent Films parlants français

AGRICULTEURS César, 15 h., 17 h., 21 h.

4 AUBERT Demi-Vierges, 12 h. 34, 14 h. 43, 1(S h. 52, 19 h. 1, 21 h. 10, 23 h. 14.

+ BONAPARTE César, 14 h. 30 à 21 h.

4 CINE-OPERA César, 14 h. 15, 17 h. 15, 21 h. 15.

COLISEE L'Appel du Silence.

14 h. 58, 17 h. 18, 22 h.

LE CESAR César. 14 h. 15, 17 h. 15, 21 h.

DEMOURS Le Mort en fuite. 8 heures 45.

GAUMONT La Guerre des Gosses, 1 b. 30 à 23 h.

IMPERIAL Le Mort en fuite, 13 h. 30, 10 h. 57, 18 h. S, 20 h. 40. 23 h. 50. + LUTETIA Au Service du Tzar. 2 h. 30 à 23 h.

4 MADELEINE Nitchevo, 12 h. 33, 14 h. 50, 17 h. 1, 19 h. 24, 21 h. 41, 23 h. 56.

MARIVAUX Le Roi, 14 h. 35. 16 h. 55, 19 h. 10, 21 h. 30, 23 h. 45.

4 MARIGNY Avec le sourire, 14 h. 31, 16 h. 45, 18 h. 50, 21 h. 24, 23 h. 38. + MARIGNAN Port-Arthur et Radio. 14 h. 30, 16 h. 40, 19 h., 21 h., 23 heures 40.

MAX-LINDER Les Bas-Fonds, 12 h. 35, 14 h. 40, 17 h., 19 h. 12, 21 h. 30, 23 h. 30.

MOULIN-ROUGE Tout va très bien, 12 à 23- h.

dans une version différente aux concerts privés de l'Ecole normale de Musique. Seule, la Suite de Roméo et Juliette était pour nous entièrement inédite. En entendant cette Suite, et faute d'avoir consulté au préalable les notices explicatives, j'ai cru tout d'abord qu'elle était destinée à quelque spectacle de marionnettes. J'imaginais volontiers cette musique claire et facile un peu trop facile- illustrant les gestes des petits personnages évoqués au Théâtre des Piccoli par le subtil Pedrecca. Or, ce n'est point de fantoches qu'il s'agit ici, paraît-il mais de véritables héros d'un ballet dramatique d'une Juliette et d'un Roméo aussi vrais qu'ils peuvent l'être dans l'univers merveilleux de la chorégraphie. Est-il permis dans ce cas de trouver cette partition un peu mince d'intérêt, un peu pâle de couleur, un peu fade d'expression et sans rapport avec le talent vigoureux du musicien de la Symphonie classique. Anthologie des chefs-d'œuvre créés aux Concerts Lamoureux Virtuoses du clavier et de l'archet. Concerto de M. Martinu.

M. Eugène Bigot a eu l'excellente et pieuse idée de recenser et. du ré-

L E Cl N E M A

-A. d'H.

Shakespeare, auteur préféré des cinéastes.

De tous les écrivains célèbres, c'est certainement Shakespeare qui a inspiré le plus les cinéastes et metteurs en scène. Voici une liste exacte de ses pièces adaptées à l'écran, entre 1900 et 1936 Hamlet, 7 adapta:tions Songe d'une Nuit d'été, 4 Macbeth, 4 Le Roi Lear, 3 La Tempête, 1 La Mégère apprivoisée, 3 Othello, 3 Jules César, 3 As you like it, 2 Les Joyeuses Commères de Windsor, 1.

Comment parler du diable ? Ces jours-ci, à Joinville, à l'issue de la cérémonie commémorative des cinématographistes morts en 1936, qu'il avait présidée, S. Em. le cardinal Verdier, archevêque de Paris, manifesta le désir de visiter les Studios Pathé. C'est ainsi qu'il surprit le metteur en scène Léon Mathot, au moment où celui-ci venait de donner le premier tour de manivelle de L'Homme à abattre. On tournait une scène Jules Berry (alias commissaire Eahcourt), déplorant l'absence du capitaine Benoit (Jean Murat), avait à dire la réplique suivante Mais, ce bougre-là, pourquoi diable est-il sorti ?

Or, est-ce la présence du cardinal qui intimida notre Jules Berry, toujours est-il qu'il ne pût arriver à dire Treize vedettes

On sait que Sacha Guitry vient de transposerai pécran son- légendaire succes Faisons un rêve.

La pièce ne comportait, que trois; personnages le mari, la femme et l'amant, qui, à l'écran, seront Raimu, Jacqueline Delubac et Sacha Guitry.

Pour le film Sacha Guitry a ajouté un prologue qui compte un grand nombre de personnages.

Et Sacha a eu l'ingénieuse idée, pour interpréter ces personnages de demander leur précieux concours à de très grandes vedettes. qui ont accepté. C'est ainsi que l'on verra dans Faisons un rêve une scène extrêmement amusante jouée par Arletty, Baron fils, Pierre Bertin, Victor Boucher, Jean Coquelin,, Claude Dauhin, Rosine Derean, Yvette Guilbert, André Lefaur, Marcel Levesque, Marguerite Moreno, Signoret et Michel Simon.

Treize vedettes dans la même scène! On n'avait jamais vu cela.

Ajoutons que Faisons un rêve commenée demain sa carrière d'exclusivité au Marignan.

PROGRAMME DES CINEMAS

un spectacle permanent.

PARAMOUNT Le Général est mort à l'aube. 12 h. 55, 14 h. 45, 16 h. 56, 19 h. 5. 21 h. 20, 23 h. 30.

4 PEREIRE Le Roman d'un Tricheur. 15 h., 21 h.

+ OLYMPIA Les Hommes nouveaux, 13 h. 20, 15 h. 50, 18 h. 15, 20 h. 45, 23 h. 15.

REX Aventure à Paris. 12 h. 24, 14 h. 23, 16 h. 47, 19 h. 1, 21 h. 35, Oh. 23.

4 SCALA Un Mauvais Garçon, 14 h. 10, 17 h. 5, 19 h. 35, 22 h., 0 h. 10. VICTOR-HUGO L'Amant de Mme Vidal et 4 du Groenland. 14 h. à 19 b., 21 h.

Films parlants anglais

APOLLO La Charge de la brigade légère, 14 h. 30, 16 h. 55, 19 h. 15, 21 h. 35, 0 h. 5.

AVENUE Théodora devient folle, 15 h. 12, 1 7h. 37, 22 h. 7.

BALZAC Fossette et Les Aventures de Jeenes, valet de chambre. # CAMEO My man Godfrey. 2 h. 30, 23 h.

4 CINEMA DES CHAMPS-ELYSEES Le Vandale, 15 h. 10, 17 h. 20, 22 h. 5. EDOUARD VII Green Pastures. 14 h. 3.0, 16 h. 30, 21 h.

4 ELYSEES-CINEMA: Faisons un vœu. 14 h., 16 h., 19 h., 21 h.

capituler en quelque sorte les grandes œuvres créées par ses prédécesseurs. Lorsqu'on en parcourt la liste, lorsqu'on lit les titres des ouvrages qu'ont choisi, présenté, défendu des hommes comme Charles Lamoureux ou Camille Chevillard, pour n'évoquer que le nom des morts, on demeure pénétré d'admiration et de reconnaissance pour leur zèle désintéressé et pour leur courage. Les programmes qu'a pu composer ainsi M. Bigot forment une histoire de la musique en Europe et particulièrement en France depuis un demi-siècle. Mais quelle leçon d'abnégation et d'audace pour les Sociétés qui aspirent à donner dans cinquante ans pareil exemple

Les fanatiques du piano et du violon ont eu récemment d'exceptionnelles occasions de satisfaire leur passion. Les deux maîtres qui soutiennent avec tant d'éclat à l'étranger le prestige de notre école française du clavier et de l'archet. Alfred Cortot et Jacques Thibaud, et qui ne multiplient guère leurs apparitions parisiennes, se sont fait entendre presque simultanément chez Colonne et chez Pasdeloup. Dans une atmosphère de béatitude musicale et d'enthousiasme, est-il besoin de le dire.

Je signale, trop rapidement à mon

Delna Byron tient un rôle important dans le film de Shirley Temple «Fossettes». Ce film passera à partir de mercredi au Balzac.

Derrière l'écran.

Oh voyons, répondit Jules Berry offensé, comment veux-tu que je parle du diable lorsque le cardinal est

dans an « prologue »

COURCELLES Dotworth, La Fiancée imprévue. 15 h., 17 h., 21 h.

HELDER L'Extravagant Mr Deeds, 14 h. 30, 16 h. 40, 21 h. 30.

la phrase correctement. Il s'entêtait à répéter obstinément

Mais, ce bougre-là, pourquoi est-il sorti ?

A la fin, Léon Mathot, excédé, lui cria

Mais enfin, Jules, pour quelle raison ne veux-tu pas dire la fin de la phrase « Pourquoi diable est-il sorti ? »

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FILMS RECOMMANDES Exclusivités PATHE

MARIGNA3Î

PORT-ARTHUR

OLYMPIA

LES HOMMES NOUVEAUX VICTOR-HUGO

L'AMANT DE Mme VIDAL

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MARBEUF Le Général est mort à l'aube, 15 h. 15, 17 h. 15, 22 h. 4 MIRACLES Lord Byron, Roméo et Juliette, 14 h. 44, 17 h. 21, 21 h. 48. STUDIO 28 Miousic, 15 h., 17 h., 21 h.

LE PARIS San Francisco. 14 h. 40, 16 h. 50, 19 h., 21 h. 10, 23 h. 20, 24 h.

PAGODE Dodsworth.

15 h., 17 h.. 21 h.

4 STUDIO UNIVERSEL Fantôme à vendre. 12 h. 30 à 0 h. 30.

Films parlants russes

4 PANTHEON Femmes en révolte, 10 h. 30 à 20 h. 30, soir 21 h.

ERMITAGE Le Cirque. 14 h. 50, 17 h., 19, 19 h. 15, 21 h. 25, 23 h. 40. Films parlants allemands ELYSEE-79 Moscou-Shanghai, 14 h. 30. 17 h., 22 h.

STUDIO ETOILE Julika, 14 h. à 19 h. 30, soir 21 h.

Salles d'actualité

4 CINEPHONE P. P. Wonder Bar. 12 h. à 21 h.

4 CINEPHONE-CH.-ELYSEES: La Fille du Bois maudit. 12 h. à 23 h.

«4 PARIS-SOIR Presse filmée. Alice au Pays des merveilles. 10 h. 30 à 23 h.

gré, le succès remporté par quelquesunes des plus brillantes parmi nos jeunes virtuoses. Chez Lamoureux, Mme de Freitas-Branco, interprète spirituelle et pénétrante du Concerto de Ravel, et, dans la Fantaisie de Debussy, Mme Germaine Leroux qui joint aux séductions d'une technique scintillante les qualités profondes d'une vraie musicienne toujours au service des manifestations de l'art d'aujourd'hui.

Au Conservatoire, le Concerto pour flûte et violon de M. Martinu a soulevé des « mouvements divers ». L'ouvrage du jeune compositeur tchécoslovaque, si bien doué, est pourtant charmant. Ses rouages parfaitement réglés ne se contentent pas de moudre une musique « objective » et impersonnelle, comme il était de mode en Europe centrale il y a dix ans. Une sensibilité raffinée s'y fait jour. Et il a été supérieurement exécuté par MM. Moyse et par Mlle B. Honegger.

Robert Brussel.

NWNNrN~I

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TABLEAUX D'AVANCEMENT POUR Ï937

Les inscriptions pour lé grade de 'colonel ont été publiées dans notre numéro d'hier mardi.

Infanterie

Pour le grade de lieutenant-colonel, les chefs de liauillloti

LE BAHILLEC, centre de mobilisation 112 à Lorjent BUSSIENNE, Ecole supérieure de guerre LECC1A, lieoie préparaio.re d'Autun WEDLY, état-major du gouvernement militaire de Strasbourg FAQUIN, ëtat-major de l'armée PILLEGANO, mission militaire su Pérou TAUZIN, centre de mobilisation 144 à Embruu DE LA GRANDIERE, service de la P. M. S. région de Paris TISSANE, 27» tirailleurs algériens; SALCE, 501e régiment de chars BRYERE, 15e tirailleurs algériens ROULÏN, état-major secteur fortiiié du Jura et du groupe de subdivisions de Besançon JOURDAN, état-major du 18" corps d'armée RIBET, service de la P. M. S. 9° régon COUTE! 108» de forteresse ENDU, état-major 8? division.

La.iOKT, 81» d'infanterie POINCIGNON, direction de l'infanterie SCHNEIDER, direction de l'Infanterie j BROCART, 1720 de forteresse NICOLAS, camp de Coëtquidan SALMON, état-major de l'armée PRAT, 146° de iorteresse MARCOUiRE, 91e d'infanterie MAUREL, camp- de Sissonne DEVEVEY, 13» d'infanterie DUFRASNE, état-major du département de Seine-et-Oise DU CHOUCHET, 504» régiment de chars TAMISIER, centre de perfectionnement des sous-officiers européens d'Oudjda FEYZEAU, centre de mobilisation 182 LE SENECHAL, service de la P. M. S. 14e région MOCQUILLON, ministère de la santé publique BLANCHLT, centre de mobilisation 145 ROMANILLE, service de la P. M. S, région de Paris.

CORRET, état-major de la 3" région GIACOMONI, service des affaires ..penes du Maroc RETHOHE, état-major du gouvernement militaire de Paris PARIS, état-major 13» région BOURQUIN, service de la P. M. S. 15» région PE LACOSTE DE LA. AL, état-major 3" région FLIECX, 106» •d'infanterie LUCAà, Ecole spéciale militaire DE PERETTI, 24» d'infanterie PUJuL dit CAUSSEY, 95» d'infanterie LE CLERC, secrétariat général du ministère de la défense nai.onale HAmZ, tirailleurs algériens MAiti^–i. Ecole d'infanterie et des chars FLAMANT, centre d'instruction des chars DE BELLEGARDE, état-major, région de Paris MAR- MILuOT, état-major du qmandement supérieur des Jroupes du Levant illVAUD, commandements territoriaux du Maroc LESDOS, 13» tirailleurs algériens COTTENET, 26» d'infanterie BALLAND, section technique de l'ipianterie.

DECAS, état-major 18° région RAYNAUD, service de la P. M. S., région de Paris SCHMIDT, commandements territoriaux du Maroc KUNSTLER, 23. tirailleurs algériens RICATTE, état-major région maritime DE LALLEMANT DE I40C0URT, état-major 5» région RICHERT, 11» tirailleurs algériens CHEVALIER, étatmajor 17e région BONNET, 11» bataillon de chasseurs POTHUAU, 4" tirailleurs marocains SERRES, Ecole d'infanterie et des chars LOUCHET, état-major de l'armée BADEL, état-major 6» région RIMEBRUNEAU, état-major commandement supérieur des troupes de Tunisie TERRIER, 137» d'infanterie LAPARRE DE SAINTSERNIN, 511» régiment de chars BOUET, 2" demi-brigade de chasseurs TEXEIRE, service des affaires indigènes d'Algérie DELON, 9» tirailleurs algériens BLANL<EIL, état-mojor groupe subdivisions de fiantes FOGLIER1NI, état-major 20e région VALOGNE, parc annexe de chars de Valence. e.

JOURNET, 158* d'infanterie AUBRY, 510» chars DECOME, affaires indigènes du Maroc PERAGALLO, état-major 13" région BOURCART, état-major 7» région JAUBERT, 107» d'infanterie BEL, étatmajor lr» division nord-africaine LABARTHE, 3» d'in/anterie MA.URIS, service de la P. M. S. 7- j-égion POTS, étatmajor 19° corps d'armée RICHARD, 25» tirailleurs algériens FRICOTEAUX, étatmajor 2- région DUDOT, service de la P. M. S. région PARÎSEY, 150. d'infanterie CLEMENT, état-major du département de la Seine LAMASSE, état-major région VEYRIER DU MURAUD, service de la P. M. S. région de Paris THOMAS, 18' d'infanterie CHARVALUT, service de la P. M. S. région BONNE, étatmajor région GUEDENEY, professeur Ecole supérieure de guerre LACROIX, professeur adjoint Ecole supérieure de guerre DELATTRE, services spéciaux du Levant. BOBY, service de la P. M. S. 4» région BŒDERER, état-major division de Fez (Maroc) RIVAUD, état-major région BERLON, étaUmajor du commandement en chef des troupes du Maroc GUIOT, étatmajor commandement troupes de Tunisie FEUILLAT, état-major de l'armée BROSSE, service de la P. M. S. région de Paris TAITOT, centre de mobilisation de chars n» 507 PORTERES, état-major région de Paris de FLAUGERGUES, 42» régiment de forteresse CROSS, état-major d'un membre du conseil supérieur de la guerre COMBET, état-major général adjoint au commandant du secteur fortifié des AlpesMaritimes et de la subdivision de Nice PENDARIES, état-major 15" région CALDAIROU, état-major division d'Oran REMORDS, état-major secteur fortifié du BasRhin et groupe de subdivisions de Strasbourg RACADOT, Ecole d'application du génie CHANOT, l»' tirailleurs algériens ROMAN, 99» d'infanterie.

DELCURE, 43» d'infanterie ALLAIN, 39» d'infanterie LOUSTAUNAU-LACAU, état-major d'un membre du conseil supérieur de la guerre BERGES, éiat-major de l'année BIEHRE, centre d'instruction des chars FOURNIE. état-major particulier du ministre MACHET, centre de perfectionnement des sous-officiers des Sablesd'Olonne BELASCAIN, 1" tirailleurs marocains DE GRANCEY, état-major d'un membre du conseil supérieur de la guerre BOURGEOIS, 37. régiment de forteresse OURTA. Ecole préparatoire des Andelys DARGELOS, 71» d'infanterie MARIOGE, service des chemins de fer et étapes du Maroc PIEUCHOT, commission d'expérimentation de l'infanterie PLANET, tirailleurs algériens ALBORD, état-major gouvernement militaire de Strasbourg FERRGNI, élat-niajor du secteur fortifié de Thianville EYRAUD, commission sénatoriale de l'armée.

Pour le grade de chef de bataillon, les capitaines

FAURE, 3" tirailleurs algériens AMPAIRE, état-major de l'infanterie de la 1" division nord-africaine POUVREAU, 5» d'infanterie LAHERRE, état-major 43e division NORMAND, 24» tirailleurs tunisiens BERGEZ, services spéciaux du Levant DE LATOUR, service de l'éducation physique du Lot-et-Garonne CARRASSE, 28° tirailleurs tunisiens BEL, état-major 8" région LAENDER, 1»' tirailleurs marocains Fournier, état-major 15» région SIGISBERT, 1" d'infanterie BAYHOURST, l»r zouaves PERRUCHE, état-major de l'armée NiyELLEAU DE LA BRUNIERE, Kcple d'application de la cavalerie et du train VOELCKEL, état-major 14» division; COURTES, service des affaires indigènes d'Algérie MAURV, 21- d'infanterie. >

BRUHAT, centre de mobilisation 132 à Clermont-Ferrand BERTRAND, état-major 54» brigade d'infanterie MARCHAL, étatmajor 2. région AUBERT, centre d'instruction des chars- DE VALLOIS, 27» d'infanterie CURET, état-major de l'armée PAILLADE, 25» tirailleurs algériens DRAPIER, Ecole spéciale militaire DUPLESSIS, 500» régiment de chars LEVILLAIN, 67» d'infanterie TRITSCHLER, étatrinajor division d'Oran GUENIN, état-major, 1"> division de cavalerie GODRON, cours pratique de tir de l'infanterie et des chars GIOHDANI, Ecole spéciale militaire LACROIX, état-major 21» division LIGNEREUX, service de la P. M. S. de la région de Paris L'HERBETTE, service des affaires indigènes dd Maroc MILON, centre de perfectionnement des sous-ofiiciers des Sahles-d'Olonne CHAPPluS, état-major de la 11» région LAJOUANIE, état-major de l'armée JOURNOIS, 60» d'infanterie. GOUREAU, état-major 20° région LELAQUET, état-major de l'armée BORDAT, direction de l'infanterie WARINGHEM, Ecole spéciale militaire BUTZER, services spéciaux du Maroc GODDERIS, 503» régiment de chars VIAL, 4» bataillon de chasseurs FODERE, 99» d'imanterie FAVRIAU, 16» bataillon de chasseurs JfADY, service géographique du Maroc CORNU, 22« tirailleurs algériens DEFRAUX, 27° tirailleurs algériens VARENNES, 18- bataillon de chasseurs EDEL, centre d'instruction des chars ROGNON, état-major brigade d'infanterie d'Algérie MOREL, 43» d'infanterie MORILHAS, service de l'éducation physique du Puy-deDôme GAUCHERAND, état-major de l'infanterie de la 31» division.

DIOT, centre de ,mohilisation n° 41 VALLANGEON, 501» régiinent de chars CAPITÀIN, service de l'éducation physique du la Seine-et-Oise GU1LHEM, 121» d'injap1: RlîC'tPD^N. «erv;e géo'ri'ihiq;u' JÎ^TalK, lî.° il u .m TI oSARD, état-major 4» région FAVIER, étatmajor de l'armée ÛfciDEflDÇISI, garde

̃̃;•̃̃. ID^A. 3ST S ̃Xj, -A. R M É E

chérifienne du Maroc MARCILLE, service des affaires indigènes du Maroc GRANCAMP, service de la P. M. S de la 2- région GRISANT1, état-major secteur fortilié des Alpes-Maritimes et groupe subdivisions do Nice RENOU, 2- tirailleurs algériens JAUPART, 27° tirailleurs algériens SCHER, service de la P. M. S. 8« région LAGNIEN, centre de mobilisation 32 NIEL, état-major de l'armée MEUNIER, 67e d'in.anterie FUSIL, état-major région fortifiée Belfort FOUCHÉR, état-major commandant en chef troupes Maroc. Billot, état-major d'un membre du conseil supérieur de la guerre CHABROLLE, 134» d'infanterie MONTANT, 15» bataillon de chasseurs GRASSART, 1" d'infanterie BRISSET, l«f étranger PANTALONI, cabinet du ministre de la guerre DOMERCQ, 18- d'infanterie BAILLIEZ, service de la P. M. S. région de Paris GOUNELLE, 37» régiment de forteresse FAURE, état-major infanterie 21» division WARABI0T, 503» régiment de chars' DESMAIRES, services spéciaux du Levant COMBALAT, état-njajor 23» division LEPEU, 13» tlraileurs algériens MAGNY, secrétariat général conseil supérieur défense imtionale GAMERDINGER, 11» bataillon de chasseurs MARIN, 81» d'infanterie liBERLE, état-major 42» division LA- a GUERRE, centre de mobilisation n° 173 HAU, 9» zouaves CHAPPOTIN, 65- d'in- taillerie KERDAVID, état-majoi1 18- région.

CASTEL-BAROU, 18» d'infanterie BEE, direction de l'ipftuiterie CHALOT, section d études matériel de transmissions RE- 1 N'AULT, 155» régiment de forteresse DA- 1 VID, de zouaves FRANÇOIS, service de la P. M. S. région de Paris DE BER- 1 CHOUX, état-major commandement en chef troupes du Maroc CLAVE, état-major division nord-africaine- TERRIER, service 1 des affaires indigènes Algérie MARTINIE, i service des aflaires indigènes Maroc HAILLOT, cours pratique de tir SERRANT, 1 inspection générale matériel automobile ? CLAUSTRES, état-major Infanterie 10» di- 1 vision SCHAMBER, établissement d'expé- j 1 riences techniques de Bourges COUVERT, ( état-major de la 1" division légère mécaiii- t que à Reims RAGOT, état-major divi- < sion VINCENT, 1«' zouaves LOMBARD, r état-major de l'armée SAINT-ANTONIN, r état-major 110 région FASSOT, état-major r région.

QUEMENER, direction de l'infanterie BRUNELLI, état-major 57» brigade COLIN, état-major région fortifiée de la Lauter ALLAIS, état-major commandement supérieur troupes de Tunisie CANLER, ^abinet du ministre de la guerre LE MERRE, professeur P.cole spéciale militaire; PIÇHARDIE, centre de mobilisation n° 171 MAZAUD, 30» bataillon de chasseurs GALLOIS, état-major 5» division LAfrSHSî, état-major région ONFFROY DE VEREZ, professeur Ecole spéciale militaire; LACOMBE, 1»» bataillon de chasseurs ROUX, état-major inspection générale de l'infanterie et des chars SECHER, étatmajor de l'armée ;'RABINEAU, mission à veh^ i GAUTHIER, état-major région fortifiée de Metz LE PREVOST, Ecole d'infanterie et des chars TEZE, état-major de l'armée PRECLAIRE, direction de l'infanterie.

Pour le grade de chef de-bataillon (2« partie), les capitaines r

PLESSIS, cabinet du ministre MERTZ, 80» d'infanterie FRANÇOIS, 137» d'infanterie BIGANT, d'infanterie TRABUC 141» d'infanterie RICART, manufacture de Çhatellerault PY, l'r zouaves RIEUX, tirailleurs algériens GERARD, inspection générale du matériel d'armement 14e région COUVRAT-DESVERGNES, 2» zoua- n™£ DAMENEZ, 8» tirailleurs tunisiens PERRAUT, commission de réception 'des cartouches à Rennes PEYRE, inspection générale du matériel d'armement et des munitions ENTREVAN, centre de mobilisation 62 REMAUD, état-major 30» demibrigade alpine de forteresse DE VALENCE DE MINARDIERE, 65» d'infanterie.

UALLOMfiEAU, 8» d'infanterie ANDRE, 5,7' d'infanterie; AMANTON, 80» d'infanterie ;PENARD, 107° d'infanterie FEIX 94» d'infanterie BONNET, 9° zouaves FLAliUS, 5U7» régiment de chars SENZIER centre de mobilisation n" 24 TROTABAS 172» régiment de forteresse BREBANT, 1460 régiment de forteresse MARIE, 5010 régiment de chars BONNEAU, 107» d'infanterie PAUL, 5090 régiment de chars GILLET, 134» d'infanterie BOULANCOUR 4» zouaves FORTIS, 94» d'infanterie BOUTEILLE, 2» étranger (Maroc) GORSE, étranger (Maroc) SOURDOIS, 80» J'infanterie ENGERAND, service de la P M. S. 9- région CHAIGNE, 1620 réîiment de forteresse COULOMB, 1»' zouaves (Maroc) BARBIER, état-major place de Paris PAVEC, 137» d'infanterie FURGEOT service d'éducation physique de Maine-etLoire.

CHAPRON, 39» d'Infanterie BACQUERIE, 18» d'infanterie CI-IATELARD, étatmajor 9' division LE FORESTIER, parc annexe de chars de Rouen BROUSSE, 15» d'infanterie VIARD, 27» tirailleurs algériens REIGNIER, service géographique GAUDRY, service de la P. M. S., rég;on de Paris CHANDESRIS, services spéciaux du Levant SOLIVA, Inspection générale du matériel d'armement et des munitions MICHELON, 65» d'infanterie DAUMAL 9» tirailleurs algériens NOGUIER, état-major 31» division BODIN, service de l'éducation physique d'Indre-et-Loire CLAUDEL, 152» d'infanterie FAVRE, tirailleurs algériens JOLY, état-major département de Sejne-et-ijarne ROCHE 14» tirailleurs algériens DE MARI, service des affaires indigènes Maroc CHARLOT 9» tirailleurs algériens HERITIER, 507» régiment de chars BABY, service géographique PAUL, 501» régiment de chars DUFOUER, centre de mobilisation n° 122

BONA'EFONT, 57» d'infanterie DUPECX 13° d'infanterie GAIGNIER, 32» d'infanterie DE LESTRANGE, 106» d'infanterie ̃ GUEIT, état-major division de Marrakech (Maroc) FRANÇOIS, 507» régiment de chars AUBERT, 162» régiment de forteresse -MASSES, inspection générale du matériel d'armement et des munitions DE CHABANNES, parc annexe de chars de Verdun MARCQ, état-major 13» région THERY, 1070 d'infanterie LAURENT 92» d'infanterie JOLLY, l«r tirailleurs marocains LAFONT, 24» tirailleurs tunisiens MUNIER, service de la P. M. S. 200 réaion HENGER, 152» d'infanterie TOULARGe' 22° bataillon de chasseurs POTVIN, étatmajor groupe de subdivisions 18° région GARENE, en disponibilité, rattaché au 26» d'infanterie DETRAZ, état-major place de Lyon LAGRANGE, 22» tirailleurs algériens.

COLIN, 99» d'infanterie BRULIN, inspection générale du matériel d'armement et des munitions JOLIVET, Inspection générale du matériel d'armement et des munitions SECOUÊT, 502» régiment de chars BIET, parc régional de réparation et d'entretien du matériel à Poitiers JAFFLIN 4» d'Jnfanterie BATAILLE, service de la P. M. S. 1" région GÔUYGOU, 120» d'infanterie GAUTHIER, 505» régiment de chars GODET, centre de mobilisation n» 133 PE BERNARD DE SËIONEURENS secrétariat général du ministère de la guerre LATOUR D'AFFAURE, 7» tirailleurs marocains J MEGARDON, 43» d'infanterie VOUILLOUX, 8» tirailleurs marocains LAYA, 117» d'infanterie LARBAUD, 121» d'infanterie DUPAQUIER, 13» d'infanterie SARRAZIN, tirailleurs tunisiens VJE, centre de mobilisation 202 GORIS, service de la P. M. S. 9» région.

Pour le grade de. capitaine, les lieutenants

HENRI, d'infanterie DOR, Ecole supérieure de guerre SCHMJDLIN, 171. régiment de forteresse COURTEAU, Ecole spéciale militaire JARROSSON. 76» bataillon alpin de forteresse HUTINEL, tirailleurs algériens LAURENT, Ecole spéciale militaire SIRVENT, service des affaires indigènes du Maroc CUNQ, Ecole spéciale militaire JANNOT, prytanée militaire BRITSCH, 1340 d'infanterie TRIMAILLE, 6» tirailleurs marocains GRINCOURT, prytanée militaire.

PHELIZON, Ecole spéciale militaire FINAT-DUCLOS, 27» tirailleurs algériens CARRELET DE LOISY, 170» d'infanterie POUGET-ABADIE, 67» d'inranterie PETIT, 8» zouaves DUFFOUR, 129» d'infanterie FORET, 30» bataillon de chasseurs CAVARD, services spéciaux du Maroc LORENZI, 31» bataillon de chasseurs GIRARD, 28" tiraiÙ*urs tunisiens LIBEROS, Ecole spéciale militaire BRINON, 5» étranger (Tonkin) DE VISMES, 22» tirailleurs algériens DATCHARRY, centre d'instruction des chars BOUTAN, 73» bataillon alpin de forteresse GLISES, tirailleurs algériens DE CÀRNE-MARCEIN, 131» d'infanterie EBLE, 92» d'infanterie.

PENICHON, 15» tirailleurs algériens CHAZALMARTIN, direction de Pinfanterie; BESSON, état-major 15» région IMBAULT, 503» régiment de chars THOURON, 24» tirailleurs tunisiens CASANOVA, état-major 14» division PONVIENNE, 4» étranger '"̃"̃or) K*:rç\FTS, 41» d'infanterie j VAR11 1''0 '̃' 'i' ''p 0! <-ri FMif.OULANCHE, 126» d'in unterie BRLNANS, groupe sud des compagnies sahariennes

D A N S L'. 2\ R M É E

MONTAGNON, 46» d'infanterie MACHERE, 48» d'infanterie GA VE, services spéciaux du Levant ANGEBAULT, 51- d'infanterie; CASSANET, 129» d'infanterie LEROY, 110» d'infanterie ARDOUIN, 15 d'infanterie RTEUFORD, 27' bataillon de chasseurs SOL'RY, 503e régiment de chars BERTHET, bataillon de chasseurs HUBERT, ser.vice des affaires indigènes (Maroc) MECHET, tirailleurs marocains FORDE, 2» étranger (ijuroc).

URVOY DE CLOSMADEUC, étranger (Maroc) HOFF, élève à l'Ecole supérieure de gueri-e j CANUET, bataillon de chasseurs MONIE, tirailleurs marocains VIGNES, tirailleurs marocains FOURAILLY, direction de l'infanterie GAULHET, 134» d'infanterie NOUQUERET, d'infanterie LECLERC, 149° régiment de forteresse OBE, 507» régiment de chars ANDRES, 152» d'infanterie LETON, 61» bataillon de chars LEFEBVRE DE MAUREPAS, élève à l'Ecole supérieure de guerre; JUILLE, 1590 d'infanterie GUOT, 150» d'infanterie DE WAUBERT DE GENLIS, bataillon de chasseurs DE MALEZ1EUX DU HAMEL, 31» d'infanterie DE PENGUERN, tirailleurs algériens SAINTRA\M0ND, compagnie saharienne du Touat; RUYSSEN, 1=' étranger DEBRAY, 5» tirailleurs marocains PETIT. 43» d'infanterie WATELET, 24° d'infanterie BLANIE, 504» chars.

FORCADE, élève à l'Ecole supérieure de guerre CHARLET, 50ge régiment de chars; SAVELLI, services spéciaux du Levant DE BUTTEÏ, 8» zouaves GAULTIER DE KERMOAL, 24» tirailleurs tunisiens DUCHENE, état-major de l'armée HEYWAND, régiment de sapeurs-pompiers DUBOIS, service des affaires indigènes du Maroc DE GRAMMONT, 67» d'infanterie CRABIE, service géographique GAMBOTTI, 141» d'infanterie QUERRUAU, 155» régiment de forteresse LESNARD, 46» d'infanterie YEMENIZ, tirailleurs alaénens GRISEZ, l»r tirailleurs marocains tROMENT, 2S« tirailleurs tunisiens BATTESTI, 3» zouaves PELLISSIER DE FELIGOXDE, 95» d'infanterie POIREL, 106» d'infanterie GUYOT, d'infanterie DE BROSSES, 04» bataillon de chars DUSSAULX, 67» d'infanterie AUBERT, 149' régiment de forteresse DELAUX, 37» d'infanterie de forteresse CORADIN, 14» tirailleurs algériens.

TOULOUSE, commission d'expérimentation de l'inianterie GUYONNET, 501» régiment de chars CAHARD, 46» d'infantef.1v,^?>.ïlAMA:N'N' 151" d'inlanterie GAGNEPAIN, centre de mobilisation de chars n° 513 BULTEAU, tirailleurs algériens; DARMOIS, direction de l'inianterie GOiî^76" bataillon alpin de forteresse BENECHE, 71» d'infanterie GENIN, 24» d'infanterie; SETA, 1" tirailleurs marocains GUICHET, Ecole d'infanterie et des chars BESSAGUET, Ecole d'infanterie et des chars ROMILLAT, Ecole d'infanterie et des chars VIARD, Ecole d'infanterie et des chars PY, 14» d'infanterie DAVID, 24e bataillon de chasseurs GOBILLOT, service des affaires indigènes de Tunisie BILLAUT, 3» d'infanterie MAGNERON, centre de perfectionnement des sous-officiers des Sables-d'Olonne DENHAUT, 42» régiment de forteresse STROUP, état-major de l'armée. J '<

BOUCHET-VIRETTE, 5» tirailleurs algériens JAB1OL, Ecole d'infanterie et des chars BERRUD, Ecole dumanierie et des chars LALLEMAND, 13» d'infanterie DE REMOND DU CHELAS, 62» bataillon de chars LATREILLE, l°r 'tirailleurs marocains (Levant) LEVEL, compagnie saharienne de la Saouara DUBRliulL, 7» tirailleurs marocains PETITHUGUENIN, 507e régiment de chars LE BEGUE DE GEHJîîiî î, 13° bataillon de chasseurs NARIIIN d» tirailleurs marocains DAUMONT, Ecole spéciale militaire AIMARD, 27» d'inianterie PISTRE, 24» tirailleurs tuniH1AvSnili»rL^RClY> Ecole spéciale militaire nn?i bataillon de chasseurs ROCOLLE, élève à l'Ecole supérieure de guerre GRENIER DE LASSAUNE, 18» bataillon de chasseurs ÇHALAUX, Ecole spéciale militaire LEROY, 20° bataillon de chasseurs DE TARLE, Ecole spéciale militaire MARCHAND, Ecole spéciale militaire.

WIRTH, tirailleurs marocains LEVEILLE, 32» d'imanterie j PERALTA, élève Ecole supérieure de guerre LAGAHDE, 72» bataillon alpin de lorteresse TEVSSIER, état-major brigade d'infanterie d'Alstéf*f S fOUPART, 51fl« régiment de chars SsS5AL> 27° bailleurs algériens CHAMBERT, centre de perfectionnement des sous?,«lcîe.rf,,euroPéeus d'Oudjda CHOMBART DE LAUWE, 18» d'infanterie LAURENT, centre d'instruction des chars^ FONTES, 1" zouaves BASSERES, tirailleurs marocains GOIFFON, Ecole spéciale miliMr\rT%J^£RCE' tirailleurs algériens MOUGENOT, compagnie saharienne portée du groupe Sud DEGUISNE, Ecole spéciale militaire DE METZ, 21» tirailleurs algériens HUBERDEAU, Ecole spéciale militaire OLIVIE, 92° d'inianter.e DU POLGET DE NADAILLAC, 117» d'infanterie REBUFFEL, 1" tirailleurs marocains; DE MONTARDY, 117» d'infanterie DE SSïSSî tirailleurs algériens LACOMBE, Ecole supérieure des fabrications d'armement BUCHAILLARD, 3» tirailleurs marocains.

Pour le garde de capitaine à titre étranger, les lieutenants titre étranger

tt£PLAT' 3° étranger (Maroc) ANDOLENIvO, l»r étranger ARDASSENOFF, 1" étranger (Levant).

Pour le grade de chef de musique capitaine, les chefs de musique lieutenants VALIN, 110» d'infanteric ANCEL, 170» d'infanterie.

Cavalerie

Pour le grade de lieutenant-colonel, les chefs d'escadrons NICOD, 11» cuirassiers, disposition du Maroc MARIOT, Ecole supérieure de guerre DE .VALLA VIEILLE, état-major de la 3° division de cavalerie VIGNOL, Centre des hautes études militaires GEOFFROY, d'un état-major du Conseil supérieur de la guerre ARLAIÏOSSE, Inspection générale de la cavalerie OLLERIS, Cabinet du gouverneur général de l'AlS?"g MARY, Remonte Mostaganem; COUR1OIS, 11» chasseurs CHALLAN-BELVAL, dragons VALLADON, état-major de la région de Paris P0UPEL, l»r chasseurs nnin-r1^^ DE KERANGAT, 20° dragons QUIOT, ;i« spahis algériens LESAGE, Ecole de cavalerie MALLET, sous-secrétariat d Mat de l'Education physique FRANÇOIS, Ecole de cavalerie d'Alger GAUTHIER, Service de la Préparation militaire supé"̃"W-e, à Paris JACQUEMINOT DE HAM, 29° dragons VELLARD, 1«>- spahis maro. cains DALMAY DE LA GA'RENNIE étatmajor de la cavalerie du Maroc FORTOUL, 2° spahis marocains MOSLARD, spahis marocains LUCEREAU, état-major de l'armée LESTOQUOI, Section technique de la cavalerie LEJAY, état-major de la divivi'Wo t eavalerio DE LASSUS SAINT,GE>llis, Ecole supérieure de guerre.

Pour le grade de chef d'escadrons ,le capiîai^ASB:nI^AC9.STEj 1" seahi5 algériens DE LAPARRE DE SAINT-SERNIN, section technique AUGERE, 18» chasseurs BERNARD, état-major du Conseil supérieur de la guerre DONNET, l»r dragons portés i\pv\, 8° spahis algériens GROSJEAN, chasseurs d'Atrique MARCHAL, spa&ifnalgeriens D'AREXY, 20° dragons DE FERRON, 8° chasseurs HENRY, état-major de la b° région LAIR, Service de la PrépaSirr'??.r,Il'iIitaire supérieure, à Lille THIEBAULr, 11» cuirassiers VIENNET étatmajor de )a brigade de cavalerie d'Algé-

~4~ état-major de t'arme.?

n^^vmfv1*^0^1 é*«t-'najor la l'armée d infanterie SEGUR, Inspection générale de la cavalerie BONJOUR, Ecole supérieure de guerre.

DE THELIN, Ecole de cavalerie KIENTZ état-major de la 6» région ANTECH 10° dragons TARDIF D# PETITVILLE, 'état- major de la 11» région COMERE, 10» chasnïi!?ri;»,?JJVERN0Y' Ecole de ^Valérie iiTN^. »,Tf^et?trmaJ°r Levant PETITON nïmJô ̃' ftat-major de la région ™£ Y>'< ^î1* suÇeri<iure de guerre JALUtwÎt ireCl10! ae ''artillerie BATOS- 1ELLI, spahis tunisiens DE LUPEL dragons WINSBACK, état-major du Con- '• seil supérieur de la guerre MICHON, 1»' rIî?PRSE.m?rO<5"15 LAINE, 6^ dragons BE- CHERE, 1»' dragons portés MAZOYER, 1 hussards LODIN DE L'EPINAY, état-ma- A?n.v,e la brigade de cavalerie BER- t 1RAN, hussards ANE, état-major des i Unités motorisées de la 3» division de cava- lene BAZIN DE JESSEY, état-major du gouvernement militaire de Paris BAILLY o?, :S.3al?r de ia division d'Alger DE TOR- 8nArrJPE- LA COULERIE, 8»ë cuirassiers i RmvyrÀTT<'I?1rS??n^J>ortés DESAZARS DE MONTGAILHARD, Direction de la cavalerie 5 et du train MOLLARD, état-major de l'ar- î mee PIQUE-AUBRUN, Cabinet militaire du i résident général au Maroc ALBESSARD, J Secrétariat général. ADOL, Centre de mobilisation de cavale- t "|n° H; VUILLEMOT, spahis algériens; s BÇUGNONI, 11» chasseurs DUTHEIL DE |( LA ROCHERË, 1°' spahis algériens RAS- d i OUIL, cuirassiers BARNlÇAUJ}, d ifii'e de cnv.ers de r-mailë I. n n FONTAINE, 10° dragons PERN'EL, 1<" hu-- r s»rd^ j FOUQJJES,DUPARC, diagons r r

L'HOTTE, 7» chasseurs BARAZERDE LANNUR1EN, élat-m«jor des Unités motorisées de la l1» division de cavalerie MALARD, 7» spahis algériens VERNET, étatmajor de la 11» région DE BAZELAIRE DE 1SOUCHEPORN, 4» spahis marocains COLLARD. Centre secondaire de mobilisation de cavalerie 11» 151 DE LAUOUCHERE, 2» hataillon de dragons portés MASSUE, Service de la' Préparation militaire supérieure, à Reims BORDAS-LARKIBE, 18- dragons NOIROT, cuirassiers STOEKLE, 4e chasseurs d'Afrique DE LA GRANGE, Ecole du génie LA PRAIRIE, l»r dragons portes RUPIED, Ecole spéciale militaire 1 DELEUZE, Centre de mobilisation de cavalerie 20 NIC.OH, spahis algériens DE TRAYNEL, 12 chasseurs DE RASILLY, 19° dragons VILLARU, l»r bussards GUIXGAL, Service des Remontes du Maroc BARBARA DE LA BELOTTERIE DE BOISSESSON, Ecole de cavalerie JACOTlN, bataillon de dragons portés D'YTHURBIDE, spahis algériens PROST-TOULLAND. 11° chasseurs. Pour le grade de capitaine, les lieutenants DES PORTES DE LA FOSSE étatmajor de la région DE COSSE-BBISSAÇ, état-major du secteur fortifié du Bas-Rhin COUET, état-major de la lr° région CLERGET DE SAINT-LEGER, Ecole supérieure de guerre CHAPARD, 30° dragons GARNIER, Ecole de cavalerie DE VERDELON, lor chasseurs d'Afrique TUJPINIER, 8u dragons FOUQUAULT, Ecole supérieure de guerre NAUD-PASSAJON, 20» dragons SIMON, 1»'- spahis marocains VERNIER, Ecole supérieure de guerre ROY, l»r chasseurs BOUQUET DE JOUNIERE, Troupes spéciales du levant.

MOREL DE FOUCAUCOURT, 11» cuirassiers BARRQU, spahis marocains BRUTE DE REMUR, spahis tunisiens, 3» groupe COMIOT, 18° dragons GOUZE DE SAINT-MARTIN, Ecole de cavalerie DIDËLOT, 5° chasseurs d'Afrique SAUVE, Ecole supérieure de guerre 'l'EYSSOU, 7» chasseurs VERQTS, bataillon de dragons porlés GODILLOT, 2° spahis marocains DE BERTERECHE DE MENDITTE, culrassiers CHEVALLIER, 11» chasseurs, détaché à Saumur HERCHET, spahis tunisiens VIGNON, 1°' dragons portes SOULA, Ecole supérieure de guerre DE CHABOT, spahis marocains LESAQE, Atelier de construction de RueiJ PEWATTRE, Cabinet militaire du haut commissaire au Levant ROBY, état-major de la 13» région; LORCY, Inspection des Forges BORIE, 8" cu:rassiers DU MESNIL, dragons portés LE GOUVELL0, cuirassiers OBERLAENDER, 7» spahis algériens CODET, dragons BONAMY, l»r groupe d'autos-mitraUlouses LEGENDRE, 8° dragons; BOUSSION, Ecole spéciale militaire DE SCORHIAC, 2° hussards BEAUMONT, Ecole de cavalerie BALOTTE, spahis algériens BALADE, Ecole supérieure de guerre GUILLET DE CHATELLUS, cuirassiers. Pour le grade de capitaine trésorier, les lieutenants CHARITE, 5» cuirassiers BATAILLER, spahis algériens BLAVIER, Direction de la cavalerie et du train. Pour le grade de capitaine indigène, le lieutenant indigène TAIFF ABDADLAH BEN LAKDAR, spahis tunisiens.

Peur le grade de capitaine à titre étranger, le lieutenant à titre étranger VATCHNAD'ZE, l»r étranger de cavalerie.

Pour le grade de lieutenant d titre étranper, les sous-lieutenants à titre étranger ZUR NEDDEN, l«r régiment étranger de cavalerie D'ÀNNAM UNG-LICH-HAM-NGHI, l»r régiment étranger de cavalerie (Tunisie). Pour le grade de sous-lientenant, les adjudanLs-chefs RIVIERE, l»r chasseurs l'Afrique MOURAND, l»' hussards BEHl'ON, Ecole de cavalerie d'Alger RENARD, Service géographique BOUTTIER, baaillon de dragons portés MORALIS, masseurs d'Afrique SOUTRELLE, 4° draîons portés ARKOGAST, 12» chasseurs yERGE, chasseurs d'Afrique DILLY, joums mixtes marocains.

Les adjudants PATAS D'ILLIERS, Ecole ipéciale militaire DUC, 11° cuirassiers, déaché au cabinet du ministre.

Vétérinaires militaires

Pour le grade de vétérinaire colonel MESPOULET, directeur du Service vétérinuire du 192 corps d'armée: Pour le grade de vélérinaire lieutenantcolonel, les vétérinaires commandants VA- LADE, de la Poudrerie nationale du Bon- ^het MARCENAC, de l'Ecole d'application le la cavalerie et du train BOUET, du ninistère de la guerre. Pour le grade de vétérinaire comman- j lant, les vétérinaires capitaines FESTAL lu 61» d'artillerie TREFFANDIER, des l'roupes du Maroc MAILLAND, de l'Ecole J ipéciale militaire BERNARD, directeur de 'E'ablissenient hippique de transition d'Au- -illac PLANTUREUX, du l»r d'artillerie ̃oloniale BAILLY, des Troupes du Maroc ^ARNUS, de l'Ecole d'application de la ca- .1 'alerie et du train.

Les vétérinaires capitaines DUCOMBS, lu d'artillerie coloniale TEXIER, du 75» l'artillerie GAUCHE, du 29" dragons; .AGUIONIE, du 41» d'artillerie DUSSER\E, des Troupes du Maroc CAMBAU, diecteur de l'Etablissement hippique de tranition de Limoges.

Pour le grade de vétérinaire capitaine, les îétérinaires lieutenants HENAFF, du mssards ASNAR, hors cadres, Afrique ocidentale PARLIER, du 41° d'artillerie; IOUZE, du 27» escadron du train.

-• ••̃̃•-̃ Train ̃̃••••

Pour le grade de lieutenant-colonel Les chefs d'escadron LAUGA, commandant le centre de mobilisation N° 2 ARRIVETZ, 6° inspection du matériel automobile; CAUSSIN, commandant le centre de mobilisation 20; DURAND, commandant le escadron ROUMANET, commandant le 120» escadron.

Pour le grade de chef d'escadron

Les capitaines VIGIE, centre de mobilisation 16; MAURY, 18» escadron; BARLIOUX, commandant la 14» compagnie 'régionale LECHAUX, 19» escadron (Reliquat du tableau de 1936) FOUCHER, 123» escadron; ANDRAUD. commandant le centre N° 10; COURNILLE, 123» escadron; THEROND, 26» escadron; GUILLOUX, 123» escadron.

Pour le grade de capitaine

Les lieutenants HOURCABIE, état-major du groupe des compagnies sahariennes de l'Ouest; LANDAU, 7» escadron; HENRY, 8° escadron; CLUSET, 120» escadron; MONNIER, service des affaires indigènes de l'Afrique du Nord; BRUNAUD, Ecole d'application de la cavalerie et du train; DAUTON, Ecole d'application de la cavalerie et du train; DELPECH, ministère de la guerre, sous-direction du train.

pour le grade de sous-lieutenant

GARNERY, 126° escadron; BLANCHET, 126» escadron LOSSEROY, 6e escadron THEVENET, 16. escadron, DRAPE, 121»escadron MASOARO, 19» escadron. Artillerie

Pour le grade de lieutenant-colonel, les chefs d'escadron MANGENOT, 402» régiment EVRARD, 405» régiment ODDOU, parc régional de Constantine VASSET, 40° régiment JACOMY, 107»; MICHEL, 363»; DÈBATY, état-major du Groupe de subdivisions de Nancy PARIS, état-major du gouverneur de Verdun JACOB, Centre de mobilisation d'artillerie n° 16 MORTUREUX DE FAUDOAS, hors cadres, missions; ROYERE, état-major de la 15» région THOUVENIN, état-major de la l" région PERES, 21» régiment GUILLOT, 106» régiment MONNOT, régiment BIDET Section technique de l'artillerie PIERREY, état-major de la 14» région MORILLE, Inspection générale du matériel d'armement et des munitions PARIOT, Centre de mobilisation 106 LACASSAGNE, Parc régional de Chartres MAYEUR, Commission d'expérimentation du matériel automobile CHARLY, Centre de mobilisation n° 6 LE NOTRE, Centre de mobilisation 409 MALARTRE, hors cadres, missions SCHWARTZ, hors cadres, missions BRESSE, Ecole d'application MERCIE, Etat-major de l'artillerie de la 17» région ABINAL, 355» régiment LUCAS, Inspection de la Dé- fense contre aéronefs TEISSIER DE MAR- GUERITTES, Parc régional d'Angoulême SIMONNIN, Ecole militaire d'artillerie DE LOBIT, Secrétariat général du Conseil supé- rieur de la Défense nationale SCHMER- ( BER, Service géographique DUCHESNE, 1 62» régiment MONORY, Service de la Pré^ < paration militaire supérieure, à Paris 1 MORTREUX, Ecole d'application BOUDIN, j 1 état-major de l'artillerie de la 2» région ] HOMO, état-major de la région de Paris t BENOIST, Paré annexe de Bailly ROBO, £ 59» régiment GARNIER, 105. régiment ] GENUYT, 16» régiment SERVAT, régi- r ment 6tARAGE Inspection générale de l'ar- r tillerie MARTIN, 163» régiment THOMAS, 1 Ministère de la Guerre, direction de l'artil- tçrie MESNARD, état-major de la 12- divi- t sjon BRUN, Centre d'études tactiques in- r lerarmes MENUBL, Centre des hautes élu- r des militaires BACH, Secrétariat général l du Conseil supérieur de la D6f;'nse natiomile_ SI.» IRE, Miristère de la Guerre, (li-, ifiction de l'art il ierie AZAIS Ecole supé- f Heure de guerre BARBIER, 39» régiment r

MARTIN GALLEVIEF DE MIEBRY, état-major (Je l'armée MARCH-AL, état-major de a 20» région JACQUIN, état-major du 19" corps d'armée CASSARD, état-major de l'armée GAILLARD D'AILLIERES, Commission d'études pratiques d'artillerie de régions fortifiées DUTREY, 40» régiment LELEU, Magasin central automobile VAUJOUR, Atelier de construction de Bourges. Pour le grade de chef d'escadron, les capitaines DE CHAMBRUN D'UXELOUP DE ROSES1ONT, Ecole d'application MONIERVINARD, état-major de la 17° région GRENET, état-major de la région FRANIATTE, état-major de la 20° région SASS1ER, état-major de lit 27» division SERY, Ministére de la Guerre, direction de l'artillerie COTHAT, 36° régiment GRAND, état-inajor de l'urtillerle de la 13° division GEAY Y DE MONTENON, 11° régiment KERRAND, 355° régiment CHRIS.TE, 4» réaiment ROUGET, 155° régiment MUNIÈR, étatînajor de la 14° division BELLEVILLE, Ministère de la Guerre, direction de l'artillerie BARBIER, Cours pratique de défense contre aéronefs CARANNE, hors cadres, missions CHANZY, 372° régiment VALAT, état-major de l'artillerie du secteur fort fié de Savoie PRUCHE, 59» régiment

DESCAMP, 61» régiment GRANIER, Ins-

pection des Forges de Paris GAUDINj Inspection générale des Remontes SABATIER. 20' régiment LEBON. 43° régiment BAPTAILLARD, état-major de l'artillerie de la région fortifiée de Metz MASSART, 10' régiment BENOIT, Ecole militaire BOURLOTON, Section technique de l'artillerie CLAIR, état-major de la division de Fez RIVET, 182» régiment PESORMEAUX, inspection générale du matériel d'armement et des munitions DE CRAMEZVh DE KERHUE, état-major de l'armée SEVRIN, 56° régiment j L.ALANNE, 24' régiment.

BONOTAUX, état-inajor de la 43» division PINCEIMAILLE, 113» régiment DESGRANDCHAMPS, 188» régiment VOISIN, état-major de la région de Paris LACHEVUE, état-major de l'armée LESPES, Ecole militaire d'artillerie COLLARD, état-major de l'armée LAURENT, état-major de la 20» région ZELLEH, 54» régiment GODAIL, état-major de la 14» région BACH, 30" régiment LE TROADEC, Ministère de la Guerre, direction de l'artillerie NICOLAS, état-ma for de l'artillerie de la région DE PRESSE DE MONVAL, Ecole d'application MILHAUD, Section technique de l'artillerie GERAUD, état-major de la région BASTIEN-THIRY, 39» régiment CHARROY, état-maior de l'artillerie de la 1" division TEYSSIER, état-major de l'armée POMMERET, Ecole supérieure de guerre..

Etat-major particulier, section, lr» subdivision HUBERT, Parc régional de Clermont-Ferrand PIQUEMAL, Parc de Bordeaux; PAILHOUS, Parc de Toulouse; 'l'ARAYRE, Parc de Castres; LEGUICHARD, Parc de Vincennes; RENAUDET, Parc de Dijon LELEU, Ministère de la guerre, direction de l'artillerie.

subd'vision SABOUROUX, inspection générale du matériel d'armement et des munitions NICOLAS, atelier de construction de Roanne PROST, manufacture d'armes de Saint-Etienne.

Deuxième partie du tableau VOGT, atelier de construction de Puteaux MONY, 188» régiment CAUBERT, 33» régiment HENRY, régiment MAIGRET, 72» régiment ROY, l»' régiment JACQUIN, 1^8» régiment ESTEBE, Parc régional de Toulouse DE PONTON D'AMECOURT, 109» régiment · DOMERGUE, 105» régiment BREJARD, 186° régiment MAILLARD, Parc régional de Metz GUEDON, 35» régiment; RAYNAUD, Entrepôt de réserve générale de Châteaudun BORDAT, état-major de l'artillerie de la région GROSSMANN, 155e régiment LEFEVRE, Pare d'Alger CHOISY, état-major du général adjoint au préfet maritime de Toulon BREIL, 24» régiment ;BERA, Entrepôt de réserve générale de Thouars ALLEMANN, centre principal 1 de mobilisation 15 NOULLET, 35° régiment NOUVEAU, Parc d'Alger CHARRD2RE,. régiment MEROT, état-major de la division d'Oran LAMY, état-major de la région PEYRONNET DE LAFONVIELLE, 75e régiment BOUTEILLIER, Parc de Marseille DEAL, 62» régiment TALLARD, service de la préparation militaire supérieure à Paris GRENIER DE SANXET. commission des poudres de guerre de Versailles RENAUD, 33» régiment MAZURE, 372» régiment BAUFRETON, 103» régiment LAPORTE, 106» régiment RICHEZ, 41» régiment DUCREUX, Parc régional de Douai LEONARD, Parc régional de Dijon RABILLER, 403 régiment RAMBAUD, centre pr.ncipal de mobilisation n" 313 BROUKER, centre principal de mobilisation 420 HOUSSIAUX, 372° régiment NIFENECKER, état-major de la 7' région SCHEFFER, entrepôt de réserve générale d'Aubigné CHARNALET, 94» régiment LAPORTE, Parc régional de Tour MOIZEAU, centre principal de mobilisation d'artillerie N° 1.

rour je graae ae capztaine, les lieutenants DESPORTES, comrtiission des poudres de guerre de Versailles FRACHON, état-major de la 14» région CHARMOIS, 184° régiment JOUBE, 71» régiment POURROUQUET. 107» régiment CAMOIN, 2° régiment BOISSY, 42» régiment MARTINEAU, 20» régiment COURROY, Ecole d'application FESTAS, 11» régiment LEROY, services spéciaux du Levant HAZEMANN, 106» régiment ÇOUREAUT, 186»régiment LOUBERT, 61° régiment CERVONI, Parc régional de Belfort CROUSIER Ecole militaire d'artillerie; BRAEMS, service géographique COLLIN, 109» régiment; MARIOT, Ecole militaire d'artillerie JACQUEME, 155° régiment PARMAIN, 94° régiment PRIGENT, 35» régiment FOLIO, Ecole militaire d'artillerie GUERY, cours pratique de défense contre aéronefs LACOUR, 188° régiment BACQUIE, Ecole militaire DEDIEU, Ecole militaire; DENEEF, 62° régiment ROUCH, 65» régUnent DARRIEULAT, 66» régiment MOURAND, 16» réqiment TRIOHET, Ecole militaire GUINÔT, 403° régiment EMANUELLI7 75° régiment MARTY, 20» régiment VOISIN,

163» régiment LOIRET, 64" régiment

SOISSON, 106° régiment KAUFFER, 64» régiment DE TOUZALIN, 155° régiment L.AMSON, 64» régiment BOULLET. commission d'expérimentation du matériel automobile DE PRUNELE, 151» régiment 1, MELTZ, 163° régiment DE GUIBERT, 103» régiment VIAL, 6° groupe autoir*1 :̃ GEH, 6° groupe autonome LESUR, 71° régiment MAILLARD, 61» régiment CAMUS, 401» régiment DERODE, 372» régiment DERRIER, Ecole centrale de pyrotechnie VACHETT, 151» régiment GARNIER, commission des poudres de guerre DELAINE, 155» régiment DE BENOIST DE GENTISSART, 1880 régiment POURCHIER, 155» régiment MATRAY, 64» régiment MEUNIER, 1860 régiment RIVIERE, 155° régiment LAURENT, 151» régiment LAPORTE, 64» régiment BLAIN, service géographique MERY, régiment STROH, 15» régiment DRION, 151» régiment VENNIN, 402» régiment BOSSY, service des affaires indigènes de Tunisie; SENART, ministère de la guerre, direction de l'artillerie; LAHILLE, 22° bataillon d'ouvriers LOI- SELOT, Parc régional de Toul FAUCHON, Atelier de construction de Puteaux.

Pour le grade de sous-lieutenant, les adjudants-chefs

GUITTON, 403° régiment DENISET, 17"; ARNOU, 8»; MARIETTE, 72»; GELE, 105 ARNAUDY, 1170 MORDINI, 17° ISSANOHOU, 402» MIGHAUD, 405» THUILLIER, 36» LAFFON, 41° CHABEAU. 2fl» DEFEN.DINI, 66" PARFAIT, 620 QUINVROC, parc annexe de Nantes LOUIS, 20» régiment ROSECCHI, 363» GARNIER, 25» CHEVALIER, 64» régiment ANGELI. 155 BERGER, 405» BRUNOT, 43» PETIT, 59» ARNE, 30» GASCHET, 12* ALGAYON, 151» GUILLAUME, 28° MORVAN, 35» CLAUDIN, 41» LACRAMPE, 24» PHELEP, 10° HAIZE, 62» DUPLAN, parc annexe de Nîmes CASENOVE, 6» groupe autonome SOUCHE, 94» régiment LINDEN, 1" régiment MIALHE, 115». DEBOUT, 32» régiment CHAUVET, Ecole Polytechnique MIAN, 403» régiment f-ESCARRET, Ecole d'application VAYSSIHRE, parc régional de Constantine DETCHE, bataillon d'ouvriers MERCIER, 39» régiment GERVIER, 81» régiment CONDOMINE, parc régional de Châlons-sur-Marne FAITOT, régiment DUBIEN, 16» BONNECAZE, 93» VACHEZ, DINDELEUX, 15» ROCHELANDET, 182» GOSSO, 372» VIRAL, atelier de construction de Puteaux ALEXANDRE, parc régional de Chartres RICHARD, 363» régiment DELMAS, parc annexe de Nîmes LEVET, commission d'expérimentation du matériel automobile BERTRAND, 184» régiment DELORY, 15» régiment BRUNET. Ecole d'application d'artillerie PROST, parc régional de Toul CHAGNARD, 107» rég:ment BRET, pare annexe de Maillv RAMIERE. 105» régiment DUGUE, commission d'expérimentation du matériel automobile CUCCHI, section technique DURANCEAU, pare régional de Bourges JAN, parc régional de Rennes.

Les adjudants

DTTVAL. parc rëcional de La Fère mÇRPRON, 72» régiment CRABE, 196» régiment ABADIE, dépôt des isolés métra-

politains de Marseille DU CAURROY, 157» 1 régiment.

Génie

Pour le grade de lieutenant-colonel, les chefs de bataillon MERLIN, 19° régiment; RICCI, 10° régiment MOUREY, à l'étatmajor de la région MUNIER, chef du génie à Longuyon SEMINEL, chef d'étatmajor de la division de Constantine PERRET, chef cl'éfat-major du général commandant le génie de la 7° région TREBOUL, ministère de la défense nationale STOLTZ, ministère de la défense nationale NUGUES, ministère de la défense nationale DROMARD, état-major de l'armée AUBERT, chef du génie à Amiens SABATHIE, au régiment SOULAGE, chef du génie à Montpellier GOURCEROL, commandant le 31» bataillon THIERY, ministère de la défense nationale DEWULF, chef du génie

à Chambéry BERTRAND, régiment

GENY, chef du génie à Troyes FENIOU, chef du génie à Nantes GENIEYS, Direction de Belfort BERTRAND, l»"- régiment BASTION, chef du génie à Bordeaux DESPUJOLS, chef du génie à Bitche BEAUGE, Direction d'Amiens JU1LLARD, chef du génie à Belfort MICHELET, ministère de l'Air QUIN, Service électromécanique du génie DESERT, état-major de la 16° région FLANAUT, à la section techn'qur du génie POLTEY, état-major de l'armée NIEL, chef du génie à Paris-Nprd AUBERT, Inspection générale du génie SORANO. 6e régiment.

2° section de l'état-major particulier BOUCON, au ministère de la défense nationale et de la guerre BOUYSSOU, hors cadres, au service géographique COUSIN, Direction de Fez RENOUF, Direction de Constantine BUCHER, au ministère de la défense nationale FONTAINE, Direction du Mans.

Four le grade de chef de bataillon, 1™ partie, les capitaines BOULEY, état-major du commandement supérieur des troupes de Tunisie PLAN, état-major de la 15° région; ('REISSEN, Direction du matériel du génie; MARTY, état-major de l'armée LAMOUUOUX, ministère de la défense nationale LIBOUBAN, état-major de l'armée PILON, Direction du matériel de transmissions LEON, Ecole supérieure de guerre LANGLADE, Direction du matériel du génie SAUNOIS-CHEVERT, 15» régiment CHARPENTIER, commandement supérieur du génie au Maroc; METIER, chefferie de Versailles MENGUY, chefferie d'Alger; BURDEYRON chefferie de Bitche; BERTHEZENE, chef du génie, Meknés; SUARD, chefferie de Sarebourg; CHINOUILH, chefferie de Gap; YTHIER, prolesseur à l'Ecole spéciale militaire FOURE, chefferie de Rennes LEGRAND, section technique du génie CHARLES,, instructeur à l'Ecole de lia'son et transmissions JORRE, au ministère de la défense nationale FADEUILHE, section technique du génie ADELINE; état-major (le la 20» région MALHOMME, réaiment; SERRE, régiment MIARD, au ministère de la défense nationale POIROT, 8» régiment LABAT, Direction du' matériel de transmissions COURRIERE, régiment VAILLAUD, état-major de l'armée PINSON, état-major de l'armée LEGRAND, stagiaire à l'état-major de l'armée.

i' section de 1'état-major particulier CONRARD, Direction de Metz-Ouest DELARD, ministère de la défense nationale et de la guerre; WEISS, Direction de Nanoy; MENAND, Direction de Dijon NORMAND, Etablissement central du matériel de transmissions FAGOT, section technique du génie BRUGUIERE, ministère de la défense nationale. partie NIVOIX, régiment BADET, l»r régiment GARRE, 19» régiment WOLF, régiment TREFFAN- DIER, régiment PILLODS régiment; DUBOIS, chefferie de Limoges LASCANNE Etablissement central du matériel de chemins de fer AYRAULT, chelferie de Bordeaux FAIVRE, chefferie de Bitche BEZAUT, Parc régional du génie d'Amiens PELOUZE, 28° régiment PIAU, chefferie de Strasbourg KAl.'TZMANN, état-major de la région fortifiée de Metz MORAZZANI régiment DECOMBE, chefferie de Châlons-sur-Marne BELLION, ehefferie de Clermont-Ferrand CROUZET, chef du service départemental de l'instruction physi- 1- que de l'Ardèche LUSCAN, chefferie de Bordeaux AUGEAI, commandant le centre de mobilisation du génie d'Afrique 1 GOUY, chefferie de Lille BILLET, chefferie de Marrakech.

2" Section de l'état-major particulier MADON, à la Direction de Toulouse ¡ GUIARD, au Parc du génie du Maroc.

Pour le grade de capitaine, les lieutenants LALANNE, chefferie de Thionville DU POUGET DE NADAILLAC, 1«- régiment; CLAUSSIS, 18° régiment LIRON, ;H» bataillon BASTET, chefferie de Médéa BEBNARD, 33« bataillon GELLION, régiment TACHET, chef.erie de Verdun GUERLN, 19° régiment LAVENIR, Centre de mobilisation du génie n° 5 PAQUETEAU, chefferie de Batna GONNARD, 28" régiment PAILLON, professeur adjoint à 1 Ecole de l'infanterie et des chars, à SaintMajxent GAUFRETEAU, chefferie de Nantes FERRIER, régiment ROUDIL, chefferie de Mulhouse TETARD, chefferie de Gabès GENET, chefferie de Mulhouse PBRRIN, instructeur à l'Ecole d'application du génie OBIER, régiment; LONG, chefferie de Vincennes EL-GHOZI, Etablissement centrai du matériel de transmissions GALLERET, instructeur à l'Ecole de liaison et transmissions BERTAUT 8° régiment COURTECUISSE, régiment MOINEAU, Service du génie en Tunisie MAILLET, Commission d'expériences du génie à Versailles LEDUC, Etablissement central du matériel de transmissions LOCHARD, Etablissement central du' matériel de transmissions MORAND, Etablissement central du matériel de transmissions BEZARD chefferie de Bastia BRISAC, Direction de Belfort GO-MBEBT, chefferie de Paris-Sud M1CHOT, instructeur à l'Ecole d'application du génie ROZINOER, hors cadres, au service du chemin de fer de Dakar-Niger TARDY, Service électro-mécanique du génie · MARS AT, chefferie de Paris-Sud WnIL, instructeur à l'Ecole d'application du génie HERVE, Etablissement central du matériel de transmissions DUSSANS chef&ïl?,<î? Onerb°urg CHALAS, 18° régiment; BOUVERET, chefferie de Mézières BANEL chefferie de Laon PARMENTIER, cheffeï!?,ode, Longuyon CONQUET, régiment IiIiSSLER, chefferie de Mézières D'HAUTEVILLE, 2° régiment SERIN, chefferie de Hagueneau PILLET, chefferie de Fez. Pour le grade de sous-lieuienant, les ad>'rïdnJH?;<??£fa LACOSTE, 18» régjment TERREAUX, régiment GERARD NICOLET, 10° DESSAUX, 3», à Arras PESEUX, 8»; EYGLUNENT, 28»; B\COUET 1°' AUBERT, 15» GUEFFIER, MANSON, 7»; LACAZE, 5»; MICHEL, 7»; HEU-

ZE, 1ge; BERGII~R, 7'; CARIAS, ;¡¡;UHN,

(je l'EHRIN, 18e, à Metz.

,™us"0IIIClers au service du génie MA- ZET, chefferie de Belfort BEMEGUIROS Centre de mobilisation du génie 28 1 ïJÂL,E,dét!'t'1H; au ministère de l'air MAL- î HACHE, chefferie de Bayonne RENAUD, ] chefferie de Nantes JÔURDAN, chefferie ] de Bordeaux THIERY, chefferie de Rouen BOL chefferie de Jiontrouge TROTOB\S ¡ chefferie de Besançon lioiLEAU Service c,lec,i;o-.nlf;canique du génie GAMALIE, i chefferie de Nice CLASSE, chefferie de 3 Versailles TOUCHARD, Centre de mobili- r satipn du génie 9 ;.DEBANT, chefferie î du Mans REYNAUD, chefferie d'Alger JONC, chetfene de Taza LEQUEItE, Eta- ,( blissement central du matériel du génie ï rIMAn-,SOï' «hefferie de Nancy LE MA«i ,E CHAND, chefferie du Mans.

Service des fabrications d'armement

Pour le grade d'ingénieur militaire en chef de première classe, les ingénieurs militaires en chef de deuxième classe FIQUEMONT, Ecole supérieure des fabrications d'armement ALLAIN, établissement d'expériences techniques de Versailles SAGOT, direction des forges EUDIER, atelier de fabrication de Vincennes RONCIN, direction des fabrications d'armement JEANTREL, manufacture d'armes de Clidtellerault TARDIEU, laboratoire central des fabrications d'armement. Pour le grade d'ingénieur militaire en chef de deuxième classe, les ingénieurs militaires principaux

PAGEAULT, établissement d'expériences techniques de Bourges FRANIATTE, inspection des forges de Paris CABOTSE directeur de la cartoucherie de Valence VERGNAUD, direction des fabrications d'armement ULRICH, direction des fabrications d'armement BUPHOMENE, inspection des forges de Paris JEAN, direction des fabrications d'armement DE LAGARRIGUE, atelier de fabrication de Toulouse PERROT, atelier de construction de Lyon GABRIE, direction des fabrications d'armement.

Pour le grade d'ingénieur militaire principal, les ingénieurs militaires adjoints BUHLER, atelier de construction de Puteaux LAPEYRE, atelier de construction

(Voir la suite &n pagre Q).

de Puteaux JUND, inspection des forges de Paris DELAMAIRE, manufacture d'armes de Tulle AUNE, atelier de construction de Tarbes FOURNIOL, inspection des forges de Paris GENTIL, atelier de construction de Bourges.

Gendarmerie

Pour le grade de lieutenant-colonel LEGUILLETTE, 1" légion de gendarmerle RUEL, de garde mobile FOSSIER, de l'état-major particulier de la gendarmerie BORNET, légion de gendarmerie LEBON, 5° légion MARTIN, de la 3" légion de garde mobile GABARRA, de la 12» légion de gendarmerie MAHE, de la légion GRUGIER, de lit 18» légion BIUDIE, de la 10» légion NOLET, de la «" légion SCHILTE, garde républicaine de Paris LELO.N'G, de la 8» garde mobile TRICOTTET, de la légion de gendarmerie CHARVET, 7° garde mobile 1ÏOIS, de la gendarmerie de Paris LAMOTTE, de la garde mobile BARRIERE, de la lr» légion garde mobile VALI,ON, de la 190 légion de gendarmerie ENTZ, de la garde de Paris TAILLARDAT, de la 1" garde mobile V1GOUROUX, 11» garde mobile DUMAS, de la 15° légion de gendarmerie BRICE, de la 3° légion. Pour le grade de chef d'escadron (première partie)

CONNAULT, de la 5« garde mobile SIMONPOLI, de l'état-major particulier de la gendarmerie RABOUHAMS, de l'état-major particulier de la gendarmerie FABRE, de la 160 légion de gendarmerie GUILLAUDOT, de la 12° légion BOYER, de la garde mobile SAMSON, de la 180 légion VALTY, de la gendarmerie d'Alsace et de Lorraine DECHATRE, 11» légion SU- BREVILLE, 18» légion FOURMENT, 18» légion PINEAU, de la lr» de garde mobile; SUSINI, de la compagnie autonome de la Corse LAURENT, légion FALIEU, de la lr» garde mobile FRADY, de la garde républicaine de Paris BLACHERE, du détachement de Cochinchine-Cambodge _AMBLARD, de la 12» légion de gendarmerie PYGUILLEM, 18° légion HIRIART, 15» légion BEUZEBOSC, 15° légion THROUDE, 19° légion TUCOULOU-TACHOUERES, de la légion MURET, légion HAMEL, de l'état-major particulier de la gendarmerie BERTHIER, de l'état-major partieulier de la gendarmerie GUILLAIN, 11*légion LASALMONIE. 11» légion.

Pour le garde de chef d'escadron (deuxième partie)

GUILLET, légion de gendarmerie MESTHES, de la 6» garde mobile MAUGER, de la compagnie autonome de la Corse LEGATHE, légion de gendarmerie BOULANT, 19» légion MICHELET, 9° légion CHAPAUX, de la gendarmerie d'Alsace et de Lorraine.

CHAMOUTON, Légion de gendarmerie de Paris GAUDUCHON, de la 4. garde mobile COTTERLAZ-CARRAT, de la garde républicaine VERNAGEAU, légion de gendarmerie VERINES, du détachement de gendarmerie de la Réunion ROSSIGNOL, 18° légion de gendarmerie FONViELHË, garde républicaine de Paris SCHMITZ, 15»légion de gendarmerie QUELENNEC, 19» légion MARTIN, 9° légion GODEFROY, garde républicaine de Paris; BENOITGUYOD, légion de gendarmerie de Paris ESPECE, 20° légion POUGNAND, 9» légion CAYRE, 16° légion JACQUEMIN, région LE BLANC, de la garde mobile ¡ SAGETTE, 13» légion de gendarmerie. Pour le grade de capitaine MOREL, gendarmerie de Cochinchine, Cambodge BARBE, 20° légion de gendarmerie VETU, 6" garde mobile LARCHE, lr» garde mobile VVALMETZ, garde mobile RODET, 3" garde mobile TAURAND, 2° garde mobile CORBERAND, garde mobile d'Algérie DUPUY, garde mobile PARRIAUX, 5. garde mobile LAVAUD, 10° garde mobile NŒUVEGLISE, légion de gendarmerie VENET, 15» légion LOUSTALET-BARBOULET. 17» légion FREMISY, gendarmerie d'Alsace et de Lorraine LOREC, 1™ garde mobile LAVILLAUREIX, 19° légion AUBIN, garde républicaine de Paris LESCOT, garde républicaine de Paris STHEMER, lr» garde mobile ARLOT, 5° garde mobile; DURARRY, 18» légion de gendarmerie DOULOC, 1' garde mobile CORDIER, Mission de réorganisation de la gendarmerie syrienne DAILLY, garde mobile DUFOSSEY, gendarmerie de la Guadeloupe PREA, 11° garde mobile THIOLET, gendarmerie de la Martinique BAUGHE, 2» garde mobile SAUVOUREL, Prévôté des Troupes du Levant RONCHAND, Détachement de gendarmerie d'Annam-Tonkin.

Pour le grade de sous-lieutenant DURAND, adjudant-chef de la 6» garde mobile; CAUCHOIX, adjudant-chef de la garde mobile d'Algérie GROSJEAN, adjudant-chef 6» garde mobile DEMANDRE. adjudantchef garde mobile CHANTECLAIR, adjudant-chef 3° garde mobile DESCOURS, adjudant-chef du Détachement de gendarmerie de la Réunion CHANEZ, adjudantchef 8» garde mobile CHARRIER, adjudant chef de la Prévôté du Levant JACQUIER, adjudant chef 3» garde mobile BASLE, adjudant-chef 10» légion de gendarmerie SAILLARD, adjudant-chef de la 2légion CHOTTARD, adjudant-chef 1" garde mobile.

COLLIN, adjudant-chef légion de gendarmerie NICOLLET, adjudant-chef 15» légion VIEU, adjudant-chef de la gendarmerie du Maroc NICOLET, adjudant de la gendarmerie d'Alsace et de Lorraine JANUEL, adjudant 7° légion de gendarmerie B01HOREL, adjudant de la Compagnie autonome de la Corse REDOUTEY, adjudant légion RENAUDIN, de la garde; mobile; ROUILIE, adjudant du détachement de la Réunion LE MOUEL, adjudant 11« légion BOUCQ, adjudant 19° légion ¡ GUILLE, adjudant 110 légion; LORDOU, adjudant 11» légion ALLOUARD, adjudant de la 3° garde mobile PARROD, adjudant de la lr° garde mobile.

Service de santé

Pour le grade de médecin lieutenanl.co, lonel, les médecins commandants JUGHON, commission consultative médicale Paris DE BERNARD DE SFIGNEURENS, base aérienne 138, Metz MONTEUX, médecinchef de l'Ecole spéciale militaire de SaintCyr DE CHAISEMARTIN, Ecole d'application de cavalerie et du train, Saumur j ¡ PETIT, détaché au ministère de la guerre ¡ ATT ANE, hôpital militaire Maillot, Alger <* MEERSSEMAN, professeur agrégé du service

de santé militaire, Lyon JÂME, profes-

seur agrégé du Val-de-Grâce POMME, professeur agrégé du Val-de-Grâce, ft l'Ecole d application du service de santé militaire ¡ CLOT, 21° d'infanterie LARRAZET, de l'hospice mixte de Compiègue POTIER, 131» d'infanterie SORLAT, de l'hospice mixte d'Angoulême MULOT, hôpital militaire de Sedan LAMBERT, hôpital mili- taire Maillot, Alger BLAZY, 80» d'infanterie BRET, 503» régiment de chars VERMELIN, hôpital militaire Sédillot, Nancy BIRAT, hospice mixte de Clermont-Ferrand; MATHIOT, Centre de réforme d'Orléans [ CHAUVIN, hôpital militaire du Belvédère. Tunis STREISSEL, hospice mixte du Mans NOEL, hôpital Robcrt-Picqué Ville.nave d'Ornon SARRELABOUT, hospice mixte d'Angoulême COFFINEY, hôpital de Belfort BUREAU 184» d'artillerie BERGES, hôpital de Rennes GALAN, section technique du service de santé. Paris HASSENFORDER, médecin-chef des salles militaires de l'hospice mixte de Saint-Germain; AUDOUY, hôpital militaire Hippolvte-Larrey, Toulouse FRICKER, hôpital militaire Gaujot, Strasbourg BRELET, base aérienne de Dijon BOU-HANNA, hôpital militaire de Bourses CAMPER, Direction du service de santé de la région de Paris TOURNIER-LASSERVE, base aérienne de Pau.

HAlUMil, hôpital militaire rie Toulouse LORTHOLARY,1 direction du service de santé GOETZ, hôpital militaire LegoueBt, Metz GUILLERMI-N, professeur agrégé du Val-do-Grâce, Ecole d'application du service de santé, Paris HOMBOUBGER, ministère de a Guerre SABRIE, ministère de la Guerre.

3» Pour le grade de médecin-commandant, les médecins capitaines

MOREL, l»r d'artillerie; PLACLIN, ministère de l'Air FRE.IAFON, 150» d'infanterie MADELAINE, 28» génie NOAIL-

LAC, 149° d'artillerie JACOB, hôpital mi-

litaire de Grenoble; TETE, hospice mixte de Tours LIEUX, hôpital militaire Bégin, Saint-Mapdé ACCOYER, hôpital militaire de Nancy CARILLON, Ecole d'application du service de santé militaire ANDRIEU hôpital militaire de Toulouse BERNARD 509» chars MALEVIELK, troupes du Levant BERGERET, base aérienne dp Tours «AniUC, en stage à l'Ecole supérieure de Guerre MICHAUD, hôpital militaire Roliert-Picqué, Vllenave-d'Ornon MtGNOT, hospice mixte de Besançon FARJOT, hôpital militaire de Grenoble GEAY, 19» corps d'armée LE CARBONT, troupes du Maroc; RICARD, Ecale spéciale militaire dg Saint-

j. ~_t


La pause après les grandes randonnées à ski. Dans le cadre admirable des montagnes de Saint-Moritz, les skieurs prennent un repos bien gagné.

VACANCES DE NOËL AU « COLLEGE DU SKI »

LE train de skieurs a quitté Paris dans une atmosphère de mobilisation. Maintenant, la nuit a passé, le jour se lève dans un épais rideau de brumes à travers lequel on devine le haut rempart des falaises de l'Arlberg, les wagons serpentent au fond du blanc cagnon.

Enfin, c'est le fameux tunnel de douze kilomètres qui s'ouvre au milieu du village de Saint-Auton. Nos yeux s'enténèbrent dans cette nuit plus opaque que la vraie nuit, obscurité faite de la masse écrasante des monts rocheux'que l'homme a creusés d'un long boyau où coule, goutte à goutte l'eau glacée. On pense malgré soi à ce jeu qu'inventèrent ceux qui s'aiment on veut donner un cadeau qui fasse un effet transcendant, alors d'un geste instinctif l'ami voile de la main les yeux de son camarade, avant de mettre devant eux l'objet désiré qu'il va lui donner. Ce tunnel, c'est le premier signe d'affection de nos amis montagnards il va cesser brutalement, s'arrêter en pleine lumière aveuglante, au beau milieu du village fameux où s'élève le collège du ski et nous recevrons en pleine vue, l'image d'Epinal. Le train stoppe, la voie sépare justement de ses deux barrières le troupeau des élèves, des professeurs qui les rassembleront près du chalet Angelika.

A droite, à portée de main, l'Hôtel Post. Est-ce une gare ? une mairie ou un casino, c'est tout à la fois, c'est le cœur reflue le sang du hameau. De notre halte en pleins champs ̃ de neige part l'unique rue bordée de maisons paysannes. Devant moi la file des cars jaunes attend la levée des barrières pour monter les « grandes classes au collège supérieur à Saint-Christophe. Je vois des voyageurs donner une poignée de main à un groupe d'Anglais qui part déjeuner à l'Ulmer Hutte. Vision de film du Far-West, au lieu du « hallo » c'est le « Gruss Gott » qui s'échange.

Cette rue, cet hôtel, ces misérables chalets, ces professeurs qui ont l'air d'être habillés à Londres, ces gens de toutes races et de toutes conditions, aux vacances studieuses, ces maîtres dans l'art du ski, qui l'été rentrent leur foin ou conduisent leurs charrettes traînées par des bœufs, c'est tout le village fameux dont on parle chez Florence et dans la 5 th Avenue, de 'Valparaiso à Londres Saint-Anton, le « Collège du ski ».

Aucun de ceux qui y ont vécu et travaillé n'oublieront ce lieu, l'accueil délicieux des professeurs, la haute figure burinée par le vent d'Hannes Schneider ni sa phalange de jeunes dieux du ski.

Quand la journée est finie, les descentes terminées, personne non plus n'oubliera les rondes familières dans le club de nuit où maîtres et élèves dansent la « ski valse » que reprennent en choeur, montagnards et Viennois, unis dans les mêmes traditions de chants et de valses. scandés sur des airs gais ou poétiques.

Enfin tous, sans exception, trouvent là ce qu'on ne peut rencontrer nulle part la vraie fraternité, une jeunesse que le, sport garde éternelle, les belles journées de patient travail du corps sur le flanc, des montagnes c'est pour chacun la détente, l'oubli momentané des poisons de la ville, des querelles fratricides, des haines politiques. Qu'est-ce qu'un cours de ski, à SaintAnton ? Un groupe où l'on reconnaît des Français, des Allemands, des Japonais alignés qui attendent leur tour de

dt-sce.'i! rc. il y a <Us i: i.i:i, d.s e,

polytechniciens, des ingénieurs des

Ponts-et-chaussées, des écrivains, des stars de cinéma, des mères de famille. Un paysan aux mains fermes, au regard clair, donne des ordres courtois, mais brefs chacun obéi, tâche de faire de son mieux, craint la réprimande juste qui sanctionne une faute. Ce jeune paysan, qui, souvent n'a jamais quitté son village, c'est pour eux un vrai homme, simple, patient, poli, courageux sans ombre intérieure, sans détour, souvent sans une seule pensée trouble.

Nous leurs remettons pour quelques jours notre lourd bagage de connaissances, d'inquiétudes, de méchanceté d'homme des villes. Nous leur obéissons passivement, ils deviennent vite nos amis il sera réellement doux de retrouver cette famille rustique l'an prochain.

Ne doutez pas de ceci ils vous accueilleront alors avec un sourire si chargé de vrai plaisir, un tel abandon de cœur que nous avons raison de leur confier nos vacances.

̃Ces vacances où nous irons en classe 4 heures par jour, pour faire des choses difficiles et fatiguantes, mais qui nous reposeront complètement.

LTNTRAÎNEMENT AU SKI L'opinion du Dr Pitois Le docteur Paul Pitois compte parmi les médecins qui estiment l'entraînement ou le préentraînement nécessaire en matière de sports violents pratiqués à l'altitude. Les exercices qu'il préconise sont destinés à laisser aux premiers jours dans la neige leur caractère d'agrément, permettant d'éviter qu'ils ne dégénèrent en fatigue et en courbatures.

Il faut, d'après le docteur Pitois, environ un moix à six semaines pour se trouver en bon état préparatoire avant le départ. Le passage de l'état de courbatures à l'état de souplesse se fera ainsi sans douleurs. L'entraînement se divise en trois parties culture physique générale, éducation et rééducation, enfin initiation aux « positions » particulières que doit connaître le skieur pour pratiquer 1« ski.

Ce programme est étudié pour permettre au citadin d'être en état de supporter les différences qu'apportent dans son existence les journées passées dans la neige à faire quotidiennement des exercices violents.

~S~t~s~

NON, LA NEIGE

NE COUTE PAS CHER « J'irais bien aux Sports d'Hiver. mais ça coûte trop cher. » Combien de fois n'avons-nous pas entendu cette phrase inexacte, que seuls peuvent prononcer ceux qui n'ont jamais goûté aux joies de la neige. Or, la neige ne coûte pas cher, elle est aujourd'hui à la portée de tous.

Aussi, pourquoi n'essaieriez-vous pas, vous aussi, de prendre quelques jours de repos, quelques jours de détente au soleil, sur les pentes enneigées des hautes altitudes. Voici les fêtes du Jour de l'An, profitez-en pour vous échapper. Ou alors, si vous n'en voyez pas la possibilité, partez en janvier ou eu février.

Mais renseignez-vous dès maintenant. Demandez notamment à WAGONS-LITS COOK des détails au sujet des voyages en groupes d'une semaine qu'ils ont envisagés vers les stations françaises et suisses pour tous ceux qui n'auront pu quitter Paris ces jours-ci. N'attendez pas au dernier moment, et informez-vous dès maintenant auprès des Agences WAGONS-LITS COOK 14, Bd des Capucines (Opé. 61-30) 2 place de la Ma'Vcine (Oné. 4d «li m. Avenue des Ch.-j.ées (Kiy ̃ti)-iu), etc.. et dans leurs principales Agences de province.

« II y a en France des professeurs

remarquables »

nous dit CZIPA

moniteur au Col de Voza Voilà l'opinion d'un maitre du ski, un des meilleurs professeurs

de Saint-Anlon, Cszipa, à qui la Fédération Francaise de ski a confié pendant dix jours l'école des aspirants moniteurschefs

Je les ai eus, ces garçons français, au nombre de sept avec quelle passion, quelle ardeur ils ont travaillé avec moi 1 Croyez-moi, actuellement au moins quatre d'entre eux, ceux que mon cama- rade Laggi a reçus,- sont des pédagogues remarquables.

Czipa 1

Quels sont les meilleurs ?

A mon avis, Corréard est le plus fin technicien, pour cela il est premier, mais Michel Tonrnier est un skieur merveilleux, son style, c'est le plus pur « Arlberg », il ira loin. S'il venait ici à l'école, il serait classé parmi les trois meilleurs professeurs ï

Comment avez-vous trouvé « notre » neige, nos camarades de Chamonix ? Ils m'ont délicieusement reçu, Particulièrement M. Payot, le docteur Agnel nul doute que l'an prochain, outre Corréard, Tonrnier, Gilly et Arnaud, reçus cette année, on verra Tissol, de Megève". Quel magnifique descendeur Ah 1 vous avez des skieurs de premier ordre chez vous.

M. B.

BULLETIN D'ENNEIGEMENT 1

FRANCE

ALPES. Arèches 0 m. 30, Argentières Montroc 0 m. 50, Bessans 0 m. 40, Chamonix-Mont-Blanc 0 m. 40, Planpraz 1 m., La Clusaz 0 m. 300, Combloux 0 m. 20, Les Gets 0 m. 30, Le Grand-Bornand 0 m. 20, Megève 0 m. 25, Mont d'Arbois 0 m. 80, Morzine 0 m. 30, N.-D. de Bellecombe 0 m. 30, Peisey-Nancroix 0 m. 35, PrarionVoza-St-Gervais 1 m. 20, Pralognan 0 m. 46, Mont-Revard 0 m. 20, Lac de Tignes 0 m. 50, Val d'Isère 0 m. 46, Valloire 0 m. 35.

DAUPHINE. Saint-Pierre-de-Chartreuse 0 m. 50, Le Lautaret 0 m. 30, Col de Porte

0 m. 40, Villard-de-Lans 0 m. OS.

ALPES MERIDIONALES. Abriès 0 m. 45, La Foux-d'Allos 0 m. 40, Beuil 0 m. 15, Saint-Veran 0 m. 50.

PYRENEES. Barèges 0 m. 10, FontRomeu 0 m. 35, Col de Puymorens 0 m. 30, Superbagnères-de-Luchon 0 m. 16, EauxBonnes-Gourette 0 m. 10.

MASSIF CENTRAL. Aigoual-l'Espérou 0 m. 35, Le Lioran 0 m. 05, Sancy-surMont-Dore 0 m. 70.

SUISSE

OBERLAND BERNOIS Adelboden 1 m., Beatenberg 0 m. 15, Grindelwald 0 m. 60, Gstaad 0 m. 80, Kandersteg 0 m. 50, Scheidegg 0 m. 60, Lenk-Zweisimmen 0 m. 70, MUrren 0 m. 60, Wengen 0 m. 40. GRISONS-ENGADINE. Arosa 0 m. 90, Davos 1 m., Flims-Waldhaus 0 m. 50, Klosters 0 m. 60, Lenzerheide-Parpan 0 m. 60, Pontresina 1 m., Saint-Moritz 1 m. ALPES VAUDOISES-VALAIS. Caux-surMontreux 1 m., Chateau-d'Oex 0 m. 40, Leysin 0 m. 80, Montana-Crans 1 m., Morgins 0 m. 40, Villars-Chesières 1 m., Zermatt 1 m.

SUISSE CENTRALE. Andermatt 0 m. 80, Engelberg 1 m., Rigi 0 m. 25.

AUTRICHE

Badgasteln 0 m. 35, Berwang 1 m., Boedele 0 m. 20, Ehrwald 1 m., Feuerkogel 1 m., Galtuer 0 m. 80, Gargellen 0 m. 80, Gaschurn 0 m. 60, Gerlos 0 m. 40, Hofgastein 0 m. 30, Igls 0 m. 50, Innsbruck 0 m. 20, Fsr-hgl 0 m. 60, Kanzelhoehe 0 m. 20, Kitzbu-hel 0 m. 60, Kueh:ai 1 m., Lech 0 m. 80, Lermoos 0 m. 30, Mallnitz 0 m. 35,

Les vacances de fin d'année ont ramené les hivernants dans la neige et l'on a revu les groupes' d'apprentis skieurs attentifs écoutant la leçon du professeur de ski. Voici l'école de ski de Saint-Moritz qui groupe les professeurs les plus qualifiés comme Rudolf Rominger.

La Vie des Stations et des Clubs

En France

Megève

Parmi les manifestations prévues à Megève dans les deux mois qui viennent, notons, à partir d'aujourd'hui mercredi 30 décembre Course de descente à ski, piste 1; Course de descente pour enfants départ à la gare supérieure à 11 h. 30. 9 et 10 janvier Grand Prix de Paris (départ du slalom à la gare supérieure). 21 janvier Coupe du Mont d'Arbois. Course de descente pour séjournants, piste 3. Concours d'enfants. 3 février Grande course de descente. Coupe du Téléférique, prix offert par la baronne de Rothschild. Diner de gala et bal costumé. Concours d'enfants. 18 février Course de descente et slalom. 25 février Concours d'enfants.

Saint-Gervais

On nous communique de Saint-Gervais que le nouveau téléférique qui unira désormais Saint-Geruais à Mont d'Arbois, vient d'être mis en exploitation.

C'est là une nouvelle qui satisfera certainement tous ceux des sportifs qui ont gagné le massif du Mont-Blanc pour y passer les fêtes de fin d'année, ainsi que ceux qui sont les habitués de ces régions montagnardes ou, grâce à un équipement de plus en plus moderne, la pratique du ski devient chaque jour plus intensive.

A Font-Romeu

Les stations des Pyrénées ne le cèdent en rien aux autres stations françaises com- me aménagements, situation et programmes p sportifs.

Font-Romeu, qui pour les fêtes de fin d'année a connu une très grosse affluence,: a établi ainsi un programme qui donnera satisfaction aux plus exigeants des ama- teurs de sport. Voici ce programme ler au 10 janvier 1937 .• Patinage. Exer- cices à ski. Dimanche 10 janvier 1937 Concours de saut au tremplin. Course de fond. Samedi 16 janvier 1937 Concours de luge à 21 heures, avec éclairage électri- que. Dimanche 17 janvier 1937 Grand concours de patinage. Dimanche 31 jan- vier 1937 Grand concours régional de ski, ? fond, slalom. Challenge Legris, coupes offertes par le Ski-Club Font-Romeu. Dimanche 21 février 1937 Concours de ski. Course d'estafettes, organisee par a Compagnie des chemins de fer P.-O.-Midi, avec la participation des meilleures équipes ré- gionales. En février 1937 Concours du Ski-Club Biterrois. Dimanche 7 mais 1937 Course de fond par équipes de trois (genre Coupe Montefiore). Ecoles de ski et professeurs diplômés.

A Chamonix

Parmi les hivernants qui séjournent pendant les fêtes, nous avons noté, à l'Hôtel Bellevue

AI. Hoyt et Mme, M. Blanchard et Mme, M. Servot et Mme, M. Hurand et Mme, M. Samdam et Mme, M. Marchand et Mme, M. Roche et Mme, M. Hèricourt et Mme, prince, princesse Masséna d'Essling, M. Tixier-Thiers et Mme. M. Gautier et Mme, M. Lafaye et Mme, M. Bouillotte et Mme, M. Thiédot et Mme, M. Boucherry et Mme, M. Creissels, M. Pérard, M. Chiren et Mme, M. Metchilen et Mme, M. Waseige et Mme, M. Carol et Mme, M. de Vienne et Mme, M. Francis Robert, M. Mignon-Falize. et Mme, M. Jonnart et Mme, M. Barret et Mme, M. Cordier et Mme, M. Willay et Mme. Au Nouvel Hôtel Univers. M. et Mme Bierié, M. de Sars, M. de Geoffre de Chabrignac, M. Pierre Cirier, M. J. Bossan, M. P. Brandicourt, M. A. Brandicourt, M. Français Sarda, M. Bonnet-Maury et sa famille, lieut. Lajouanie, M. David Mabey, Mme Marie-Louise de Guéry, M. Mussat et famille, M. Raymon-Dreyfus et famille, Mlle A. Millier, M. E. Offiner, M. R. Lagneau, M. Ch. Brizard, M. L. Forveille, prof. Malméjac et famille, Mme L. Soalhat et famille, M. et Mlle Blanchon, M. et Mme L. Flaus, M. et Mme Maisonneuue et famille, M. Godemel et famille, M. et Mme Froliee, comte et comtesse de Jonquiéres, M. et Mme Eonnet, M. et Mlle Fabry, M. Mauljean, tient. Monnier, lieut. de Beaulieu, M. Paul Flachard et famille, M. Pierre Aubry et famille, M. P. Bacharach, M. Gnerbilsky, M. Dubreuil,' M. J. Fourmon, Mme H. Bigotte, M. Brandicourt, M. A. Brandicourt, M. V. Heinmuller et famille, comtesse Bernadette de Jonquiéres, Mlle de Jonquiéres, M. T. Thiesset et famille, M. B. Goaefroy, M. Fernand Dufour, M. G. Gérin, Mlle Adamy, M. Meur et famille, Mlle Marie-Louise Pattin, M So.rel, 1 tient. Le Gall, M. Vizern, Mme Bierte, Mme I de Barbarin. 1

Mariazell 0 m. 20, Nauders 0 m. 60, Obergurgl 0 m. 60, Obladis 0 m. 60, Rax 0 m. 90, Saalbach 0 m. 40, St-Anton 0 m. 50, St-Christophe 1 m. 50, Schroecken 1 m., Seefeld 0 m. 50, Semmering 0 m. 20, Soelden 0 m. 80, Stuben 0 m. 80, Tauernpasshoehe 1 m., Turracherhoehe 0 m. 60, Vent 0 m. 60. Zell-am-See O m. 70. Zuers 1 m. ITALIE

Bardonecchia 0 m. 50, Clavières 0 m. 90, Lago Mucrone 0 m. 90, Limoe Piemonte 0 m. 70, Sestrières 0 m. 85, Valtournanche 1 m., Bormio 0 m. 65, Madesimo 1 m., Ponte di Legno 0 m. 35, Passe Tonale 1 m. 40, Asiago-Campomulo 0 m. 50, Canazei 0 m. 60, Cavalese-Lavazè 0 m. 80, Cortina d'Ampezzo 0 m. 30, Meranc-Avelengo 0 m. 70, Ortisei 0 m. 30, San Martino di Castrozza 0 m. 20, Campocatino 0 m. 50.

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A' l'Etranger

Wengen

Le temps particulièrement favorable a attiré cette année un grand nombre d'hôtes d'hiver plus tôt que d'habitude à Wengen. De ce fait, l'animation est grande dans ta station depuis la sen!aine dernière. Le programme de sport préparé pour les fêtes a

pu être exécuté sans aucune restriction. Le

pït ë~re ea*ecu~<' saftN nucHne res~'i'cft'on. Z.e

premier concours de saut se déroula te jour de Noël au tremplin de la Jungfrau. Le 27 décembre, un tournoi de hockey pour la Coupe Loosli, a mis en présence tes équipes des « Français Volants » de Paris, le Club Académique de hockey sur glace de Zurich, le G. G. B. et l'équipe locale. Le traditionnel slalom du Nouvel-An réunira diiiiiiimiiiiiiiiiiiiuimiiiiiiiiiuiiiiiii iiiiiiiiiliiiiiiliiiiinim « La valeur n'attend pas. »

Le vers fameux de Corneille peut s'appliquer à ce tout jeune skieur, .Jean-Paul Delamotte, âgé de 5 ans, qu'on a pu voir ces jours-ci au Mont d'Arbois, près de Megève, se livrer à des exercices qui promettent un brillant avenir sportif à ce champion en herbe.

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Le Concours photographique du « Figaro »

"LA PL US BELLE < Nous rappelons aux lecteurs du FIGARO notre nouveau >1 dont voici le règlement

Chaque photographie devra être accompagnée d'un bon daté que le FIGARO publiera chaque jour, à par- tir du 15 décembre jusqu'au 15 mars 2° L'envoi devra être fait au plus tard 48 heures après la date du bon, le timbre du bureau de poste expéditeur faisant foi

3° Au dos de chaque photographie devront être indiqués très lisiblement les nom, prénoms et adresse de la per-

N.-B. Nous prions les concurrents d'indiquer au dos des photos leur adresse habituelle et non celle de leur résidence passagère dans une station hivernale.

une belle participation et les grands skieurs de VOberland pourront ainsi se mesurer pour la première fois de la saison. Plusieurs concours de ski pour les hôtes sont également prévus au programme ainsi que de nombreuses autres manifestations sur la patinoire, patinage artistique concours, etc. Saint-Moritz •;

La nouvelle route de Lugano à Saint-Mo^ritz de Gandria est ouverte. C'est une route extrêmement pittoresque et que les automobilistes pourront utiliser toute la saison d'hiver. t

A Grindelwald .•

C'est à Grindelwald qu'auront lieu les championnats anglais,de ski, courses strictement réservées aux amateurs, selon les règles rigides britanniques. Ces courses amateurs attirent de plus en plus l'attention du monde sportif et leur développement donnera encore lieu à de maintes discussions.

Miirren

Miirren organise de même une course strictement amateur, la Coupe du Duc de Kent. Cette course aura lieu en date des 17 et 18 janvier et sera disputée sous les mêmes règles que les championnats britanniques de ski. Ce qui vaut d'être souligné spécialement, c'est la course des équipesvilles dont les informations détaillées pourront être obtenues par l'Office de Tourisme de Miirren ainsi que par l'organe officiel de la fédération française de ski. A St-Anton

Parmi les dernières arrivées à SI-Anton, nous avons noté

Misses Blake-Thomas, Mrs Stanley Williams, docteur Hans L. Koref, baron Alfons Weiss, Mrs J. M. Hoskins, M. et Mme Margot-Noblemaire, baron Paul Hatvany, Maurice Bunau-Vai'illa, docteur Hans Èansson, comte Fabbricotti, Henri Dépasse, docteur Krnst Blum, Mme Blumenfeld, Mme Isabella Ras-Panzer, Mrs Strong, Henri Ainsutorth, F. Duhamel, Eugen Kornis, K. R. Max Weinberger, miss K. Ward, Peters dir. Peter Zorzi, Robert English, docteur S. R. Guzman, Jérôme Bill, Will Geneux, major Joseph Zimmer, Max Grammont, dir. Sugar, Jenkins et party, Vora S. Ganelin, David Trezzi, V. Richmond, Rolf Beyrer, Mlle Marie-Luise Schwartz, miss K. Cowden, docteur Hans Rôsenthal, Mme Dauvin, Robert Rondeau, dir. Franz Schnabel, Norman Read, Richard Bohm, docteur Kart Zuckermann, Marguerite Verbrugqe, 0. l,ieber, ing. Claude Joseph, Viktor' Redlich, Will. Geneux, docteur Julliard, docteur Schwob, miss Young, Sunders, Victor Redlic.h, Mac Swiney. Marclay, miss Marina Chaliapine, miss Maude Oakes, miss Ellinor Huebbenett, capt. Birt-Davies. Mme Rosa Ring, Sander miss Visk, Ilerberth Kende.

sonne qui nous enverra la photogra- phie

4° Aucune épreuve ne sera rendue, aucune lettre recommandée ne sera ad-

mise

5° Aucune photographie ne sera ac- ceptée après le 3)0 mars [

6° Tous les envois devront être = adressés au CONCOURS PHOTOGRA- l PHIQUE DU FIGARO, 14, Rond-Point § des Champs-Elysées, Paris. i

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UNE NOUVELLE LOCOMOTIVE AERODYNAMIQUE Elle sera mise prochainement en service sur le réseau des chemins de fer du Nord, et pourra atteindre la vitesse de 120 kilomètres à l'heure.

L.A VIE DES GIGALES^

CEUX QUI SE DEBROUILLENT OU L'ART N'A PAS DE PARTI Par GEORGES RAVON

Traditionalistes par profession, les acteurs n'en ont pas moins été amenés, au début de cette saison, à des solutions que certains ont pu trouver hardies. On a même prononcé, un peu vite, le mot « soviets », parce que quelques troupes avaient décidé d'exploiter quelques scènes à leur propre bénéfice. et à leur propre péril. Depuis longtemps, nous connaissions les coopératives d'auteurs. Nous avons à présent les coopératives d'acteurs, et aussi les « collectifs et les troupes syndicales. Mais il est difficile de taxer de révolutionnaires des gens qui mettent à leur programme Molière, Chékri-Ganem et Franz Lehar Ces tentatives, cependant, reçoivent pour la première fois un appui officiel. Ici, la Ville abandonne généreusement le prix de la location du théâtre là, elle accorde une subvention, en exigant, en retour, la remise d'importantes quantités de billets, destinés aux meilleurs élèves des écoles. Le régime d'exploitation n'est d'ailleurs pas le même dans les différents groupements. Les Comédiens de Paris, installés à Sarah-Bernhardt, grâce à l'appui du conseiller municipal Levillain, et les Compagnons de l'opérette, logés à la Gaîté-Lyrique, sont des coopératives possédant un comité de direction, dont les associés répartissent les appointements entre les acteurs, au pourcentage, selon les recettes.

Somme toute, ces comédiens « révolutionnaires » distribuent les dixièmes tout comme les officiels comédiens de la Maison de Molière.

Roulades en coopérative Un des membres du comité de direction des Compagnons de l'opérette me reçoit dans son bureau. Un théâtrophone y verse, à grand fracas, les langoureux accords viennois aspirés sur la scène.

Mon interlocuteur est un homme très jeune, presque un jeune homme. Il porte à la boutonnière l'insigne d'un parti d'ordre, et me le fait discrètement remarquer, pour bien montrer l'indépendance politique de l'entreprise, où il collabore avec plusieurs militants de gauche. Spontanément, il exprime sa satisfaction

Nous vivons, c'est énorme cela Nous voici devant un graphique où det lignes multicolores zigzaguent le long d'une horizontale

Voyez, les recettes ne sont pas mauvaises. Nous faisons presque toujours nos frais et nous distribuons sou-

vent aux « compagnons un appré- ciable pourcentage sur la recette bru- te. Ils ont droit à 1/2 à partir d'une recette de 4.000 francs. L'augmentation est ensuite progressive. Tout compte fait, les chanteurs touchent des cachets normaux.

La lutte est dure, pourtant. Nous avons des charges très lourdes. La C. G. T., bien entendu, nous impose l'application des contrats collectifs. Il nous faut, notamment, employer obligatoirement vingt-six musiciens Heureusement, nous avons trouvé des concours précieux.

En effet, les Compagnons de l'opérette sont épaulés financièrement par l'Association des Amis de l'opérette. Cette tentative collectiviste est donc entachée d'un peu de capitalisme. Mais l'important n'est-il pas que les hussards qui traînent leur sabre dans les coulisses du vieux théâtre, les « demoiselles d'honneur de la princesse Anna-Elisa et la princesse ellemême, puissent, tant bien que mal, vivre de leur métier ?

Des œuvres Des auteurs 1 Des salles

Le Théâtre du Peuple, en revanche, est jaloux de sa formule intransigeante de « collectif ». Pas de conseils de direction ici « qui ne sont, au fond, que des' associations de directeurs », me dit-on avec une réprobation un peu méprisante la C. G. T. est seule maitresse, et les recettes sont intégralement. partagées entre les acteurs. Mais le théâtre est sous-loué, et cela introduit dans l'affaire une personnalité que l'on n'y attendait pas.

Les Comédiens du Peuple sont tous d'excellents comédiens ou d'excellents militants. Quelques-uns, même, sont 1 l'un et l'autre. Près d'une grosse caisse ponctuant notre dialogue d'un. grondement qui, pour le public, doit être celui du canon, le délégué à la propagande confie ses espoirs, ses soucis

Nous ferons un théâtre pour les masses. Nous ne voulons plus des traditionnelles petites histoires bourgeoises. Seulement, il nous faut des salles très vastes, où les places, nombreuses, soient à bon marché. Il nous faut aussi des auteurs et des oeuvres.

Coup de grosse caisse.

Tout cela viendra, reprend le délégué, c'est une question de temps. En tout cas, les entreprises à tendance sociale ont déjà leur public celui des syndicats. Le ministère des 1

i

Loisirs n'a-t-il pas. prié les Comédiens de Paris de consentir une diminution de 50 aux syndicalistes et leur famille sur simple présentation de leui carte ?

Dès lundi, profitant de l'aubaine, les coiffeurs "et les épiciers, dont c'était le .jour de repos lég_al, ont occupé une partie des places.

Et voilà qui présage, au surplus, un heureux renouvellement de la conversation, jusqu'ici sans grand imprévu, qui accompagne inexorablement la taille de cheveux et la friction Les profiteurs

L'avènement du Front populaire a eu, sur la vie de certains acteurs, une influence imprévue. Prompts à exploiter le goût des partis extrémistes pour les rassemblements à grand spectacle, ceux-là se sont fait une spécialité de ces « plein air nouveau style. Ils ne disent plus « J'ai quatre représentations retenues ce mois-ci », mais « J'ai quatre meetings à mon calendrier. »

On trouve dans leurs rangs le baryton de l'Opéra, qui s'est réservé l'Internationale et triomphe dans les clairières de Garches comme sous la verrière du Vel-d'Hiv', et les pensionnaires « avancés » de la Comédie, qui apportent aux pièces à thèse une emphase de haut goût.

On y trouve aussi le chansonnier montmartrois, qui a mis un bonnet rouge à son dictionnaire des rimes, et le chanteur paysan; qui patoise la revendication sociale, un foulard écarlate au cou, une capsule de vermillon sur le nez. Sans compter les danseurs espagnols et les chanteuses réalistes. Une jeune artiste, qui, l'hiver dernier, se fit applaudir sur une scène d'opérette, est à présent de toutes les réjouissances socialistes et communistes. Lorsqu'on s'étonne de sa brusque ardeur militante, elle répond simplement

Faire ça ou des cachets dans le monde. C'est honnêtement payé, on est sûr du succès, les jeunes gardes sont très gentils, le public est en or, et ce n'est pas bien compliqué d'apprendre à saluer du poing.

Et elle ajoutait

L'art n'a pas de parti. r

Sans sourire. Georges Ravon.

(A suivre.)

(1) Voir le Figaro des 28 et 29 décembre.

LE FIGARO ECONOMIQUE ET FINANCIER

Comment équilibrer la balance des paiements? Il serait désirable, ou nécessaire, que les réserves d'or monétaire, en France, pussent être augmentées. La démonstration a été faite tout au long de main de maître, dans le rapport général de M. Abel Gardey elle est irréfutable. Le même raisonnement sert, aussi bien, à rendre sensible le danger d'une réduction nouvelle de l'encaisse restante.

Pour n'être plus apparente, puisque les opérations du Fonds de stabilisation sont secrètes, ce mouvement fâcheux n'est pas moins celui qui se produit presque chaque jour. Autrement dit, la balance des paiements continue de ne pas s'équilibrer. C'est une position qu'il faudra rectifier; car elle n'est pas tenable. Le premier moyen <k prendre, celui qui est effectivement appliqué, c'est de rétablir la pleine liberté du marché des changes. La condition ainsi remplie est certainement nécessaire au succès mais elle n'est pas suffisante. Tenir la porte grande ouverte aux capitaux, c'est la seule chance concevable de les attirer, et même de les retenir. Encore importe-t-il de leur offrir, en outre, des garanties de tranquillité et des avanta- ges de rendement.

La sécurité ? Elle est .difficile à obtenir. Peut-être même convient-il de reconnaître franchement qu'elle suppose résolu le problème posé. Sans doute, l'ordre pourrait-il être promptement restauré dans la vie française. Mais la crainte de quelque conflit international sera constante, ou croissante, au moins jusqu'à l'été prochain, et, dans la meilleure hypothèse, elle ne s'évanouira pas d'un jour à l'autre.

Par élimination, on trouve que c'est sur le rendement promis aux capitaux qu'il faudrait manœuvrer. Ici, une distinction est nécessaire entre les revenus et les valeurs en capital. Les premiers sont d'importance non négligeable* mais secondaire pendant la période de trouble, dont il vient d'être expliqué qu'elle formait comme une donnée de fait. Tout se ramène, par conséquent, à procurer à l'épargne des plus-values sur ses capitaux investis en France. A l'évidence, il est inutile d'affirmer comme l'a fait, à diverses reprises, le ministre des Finances, que les acheteurs de valeurs étrangères sont des étourdis la preuve manque complètement, pour cause.

Cette preuve est-elle possible ? Cela va de soi, si l'on considère l'actif de l'économie nationale. Mais la question n'est pas celle-là il s'agit de répondre en tenant compte de la situation présente, telle que la déterminent ses coordonnées politiques, sociales et économiques. Alors, le doute s'impose à l'esprit.

Quant à l'expédient par lequel les réserves de change du Fonds de stabilisation seraient momentanément gonflées par des crédits extérieurs, ce serait le pire car il ne sert à rien en finance, de reculer lorsque ce n'est que pour mieux sauter, j F.-F. Legueu. j

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INFORMATIONS

Le sucre en France

En novembre dernier, il a été consommé en France 96.512 tonnes de sucre contre 101,258 tonnes en novembre 1935, ce qui porte le total de la consommation pour les trois premiers mois de la campagne à 280.285 tonnes contre 271.666 tonnes pendant la période correspondante de la campagne précédente. Nos importations de sucre, en novembre dernier, n'ont porté que sur 15.744 tonnes contre 40.109 tonnes le mois précédent, soit, pour les trois premiers mois de la campagne, un total d'importations de 75.268 tonnes, dont 32.588 tonnes de sucres coloniaux con- tre respectivement 83.591 tonnes et 39.761 tonnes pendant les trois premiers mois de la campagne 1935-36.

Pendant le mois de novembre 1936, nos exportations de sucré se sont élevées à 21.791 tonnes, ce qui porte à 57.204 tonnes les exportations des trois premiers mois de la campagne contre 74.257 tonnes pendant la période correspondante de la campagne précédente. A fin de novembre dernier, les stocks de sucre en France atteignaient 643.722 tonnes contre 766.841 tonnes à fin novembre 1935.

Le charbon gallois

La semaine dernière, Il a été exporté par les ports du Pays de Galles 338.568 tonnes de charbon contre 386.800 tonnes la semaine ptécédeute et seulement 181.200 tonnes pendant la semaine correspondante de 1935. Depuis le début de l'année, les exportations de charbon, par ces ports, se totalisent à 16.221.264 tonnes contre 19 millions 366.838 tonnes pendant la période correspondante de 1935.

Le marché de l'or

à Londres

Le prix de l'or fin a été fixé & 141/4 contre 141/6 1/2 la veille. Les ventes ont porté sur 216 lingots, d'une valeur de liv. 619.UOO.

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15 janvier. Carburateur Zenith-anglais, répart, excert. 3 shillings.

18 janvier British American Tobacco 1 shilling p pence. fer d~Intérèt

25 janvier. Chemin de fer d'Intérêt local de l'Hérault, act. priv. 7 fr. 50.

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Visite du « Normandie » le plus beau paquebot du monde Les dimanches 3, 10, 17, 24 et 81 janvier Prix forfaitaires troisième classe, 100 francs; deuxième classe, 125 francs (Cnemln de fer et deux repas compris). Week-end du samedi soir au dimanche soir

Prix forfaitaires troisième classe, 145 francs; deuxième classe, 195 francs. (Chemin de fer, repas, hôtel compris). Renseig'nez-vous aux Bureaux do tourisme

des cheinlii» de fer de l'Etat Gare Saint-

r.nzaie (Tel Lab. 70-81) gare '.Montpar- I nasse (Tél. Lit. 35-02).

RÉALISATIONS SUR LES VALEURS DE MATIÈRES PREMIÈRES Reprise des Rentes et des valeurs de produits chimiques. Les recettes des chemins de fér.« La hausse des métaux se poursuit à Londres.

$ Marché toujours calme et quelque peu irrégulier. Hier, ce sont les rentes qui se raffermirent, tandis que la plupart des valeurs de matières premières perdaient du terrain. Les séances de ces dernières semaines nous ont habitué à ce mouvement de bascule, d'origine monétaire.

© A la vérité, les fractions gagnées par nos fonds publics sont assez modestés puisqu'elles ne dépassent pas un quart de point en moyenne. Toutefois,

on a noté avec satisfaction l'accrois-

sement de l'activité des transactions par' rapport à la séance antérieure. ® Oh a attribué aux déclarations libérales faites paf M. Vincent Auriol devant le Sénat Cette légère reprisé des rentes.

© Malgré la fermeté des rentes et dés valeurs du Trésor, les Bons Auriol et les certificats d'or se sont négociés avec une prime légèrement inférieure à celle des jours précédents. Les premiers se sont traités à 103,50 et les seconds n'ont coté qu'une prime de 21 fr. 45.

© Suivant les calculs fort intéressants établis par Ah Pierre Martignan dans l'Assaut, c'est donc à un rendement d'environ 3,75 p. 100 que correspondrait le cours des bons Auriol. Quant aux certificats d'or, c'est plus de 7 p. 100 l'an que leur acquisition ait cours actuel, ett vue d'une souscription aux nouveaux bons, devrait rapporfer.

© Le compartiment des banques a été défavorablement affecté par la nouvelle et sensible baisse de la Banque de France, par la lourdeur de la Banque de l'Ai'

PARIS

1 PRINCIPALES FLUCTUATIONS Hausse

3 0/0 7350+ 025

4 0/0 1S25. 9210+ U 30 4 1/2 1932 A 7B20+ 0 25 OM.Tr.41/ai93S. 744 + 7 Emprunt Young. 364 +10 Crédit Foncier. 2640 +90 Distribution. & 992 +24 Tréfileries 859 +20 Kuhhnann. 670 +,16 Péchiney 1647 + 52 Rhane-l'ottlene.· 1109 9 + 34 Central Mining 3 2 +35 Baisse

Banque de France. 7430 -190 Crédit Lyonnais. 1673 22 Gënëraied'Ëtectricitë. 1310 22 Terres Rouget. M3 12 PfoTinto. 2210 21 Mexicain 0/0. 112 14 b0 Banque d'Egypte. 4498 77 Padang. 713 32 RoanAntelnBe~ 404 -15 De Beers ucd. lti76 20

PRINCIPALES TRANSACTIONS En francs de tenta t

3 0/0 40B.340 5 0/0 20. 200.730

4 0/0' i'?. 2i9,1aD s b/D 23. a~i,DSo

4 0/0 17. 214,100 4 0/0 25. 351.880

4 0/0 18.t 447.310 4 1/2 0/0 32(i 2.761.760

8n titrei s

Ùbllg. du Trésor R. Poulend. 1.203

4~0~ 2.793 1Ô8

4 34. 914 Air Liquide- 1.u23 -'1

Bons du Tres'or t g^g £;>? «J

,ans U r sor 1 P.~ugeÓt hv i. 5¡'Hi

4 1/2 0/0 3a 2.481 Say 1.222 5 0/0 1934. 2.641 Terres R 9.122 4 1/3 0/0 34 10.58(5 ïouïlg 5 J 30 2.349 B. de France 194 G. Pacific..».. 29./OO B. de Paris.. 1.516 îentral Mining 846 U. Parisienne 665 Geduld 1.8ÎU C. Lyonnais. 590 Rio .t. 1.958 Sue* cap 236 Azoté 819 Distrlb. Ëlect. 1.4H1 Royal Dutch., 4.250 Lens 1.9115 Amsterd, Rub. 1.1a3 Nickel. 1.478 Kali Ste-Thér. 1.355 PeiiatToya ..j 2.733 Cr. Nat. 1919 2.1 04 4 Ruhlmann ̃» à 1.299 Cr. Nat. 1920 2.083 l'échiney 2.332 Cr. Nat. 1923 2.152

Il BOURSE DU 29 DECEMBRE 1936

il VALEURS

Clôt.

précéd.

Dern.

cours

TERME -unis 3 »,; 1892 300.. 294.. Banque Tdns.de !'Afr. Nord 293.. 283 I Miiet t Cnaauon (pari).. 5425.. 5630.. 7325 ,3 a. Crédit national 5% 1919.. 494.. 490.. Franco-Japonaiss.. 68.. 8S Son Marche. ™V.T. 180 180 f^Ji, ?iîe 7210 Cr.!(at.obli8r.5OO>5%1920 461 459.. Ban. Nat. p. le corn, et Hnd. 510.. 510.. Cot7 (Société Anonyme). Ils.. 115.. Î^ÎSÎI 4,ÎS nia Bons6«i922. 506.. 500.. Banque dej Pays du Kotd.. ÏS». OaleriM lafayMW. 47 50 47 50 ÎSÎSÎ".»'.Vii;i,i: wk Sm Bonse^janv. 1923. 494.. 494.. Crédit Aisérien 1720.. 1620.. (part). 29500 !^ÎS??^ï?.îS llm llll a6 Bons 6% min 1923. 485 50 485.. uredit indut. et commerc. 349. Printemps, ord.°. 185.. 180 îélfict. ag) ?iœ ?11S «ïliB-6%1824 493.. 498.. Crédit ron.d'AlpSrie-TllBia. «02.. 506 Agence Sav». 670.. 6«7 ÎM^ÎSλ ?sso Ïbto Départ, de l'Aline 7 %1S26, 495.. 495.. Crédit Foncier Colonial. 148.. 143.. oidot Bottin 1910.. 1885.. Ji. I "Vj; V/Jài; a»S «5 L 7?i 1927 660.. 550., crédit Fon.lndo-ctine(part) 1310 1430

S^s-?TJe?°r4/î./°,î2!3 ?S'' ?m" 6% 1928 902.. 900.. Crédit Foncier MadaBa.car 80 cnalx 11» mo

Oblig.duTresor4%19M. 758.. 760.. de la Marne 6% 0\70.. 471.. St!JFran.deBanq.etDepo~ 0139.. 431.. ·, ~ihra1rieKaoh.tte.u.. i660.. 1fi50

Ohl. Tr. J2 %1932 out. nat. 137.. 744 de Meuri.-et-M. 6 460.. ~53.. de Reporta et Dépâls 418.. · · 41A Afrlgue OccldenUle (Cio).. 2454.. 2470.

HoneTr.àl0aes4 ~1933' 898.. 896·· = s §!

BoesTr-loonS~¡~%1933' A6fi 967 de Meaeo 6!> $6 f929 ~58.. 489 Soc.!I'~AJsaeiennede8nq. <197.. U7.. AlrLlqaide(pal'ts). 99:10.. 9605..

Bo.sTr.a5ans5~,I.003.. 94â.. 84a50 dUKord6.:Vq1921.452. f52.. soel.'teMarSe111aise. 850.· Bal'paga.an. 675..655..

BonsTr.3-6-10an84.X119~4 974..972.. .7%1927.491.. 432 UniondesMine~ 11D ·· iT0 ColOl1it3s (Génerale deà). 370.. -915

Caisse autonome 4 ,¡6O Pu4e.Calai. 7 1926 492 49150 foncière L:yonnal&a. 82-4.. 920.. ContinentJ t;ompteors a Gu 318.

Banque de France. 7820 7 7430 7 tjh t9a7. 479.. 479 Immobilière Marseillaise.. 202d ·. 2050 Bec dnet. 278 214..

BXdePtr~ay.~l365::13M ''s.M.6~*?~"t65"So' dCTIOpSINDUBTRIELL86 M.r<(C..G..erat.d.430. 440..

^êsSsg^iS-'Sî" T= ITf6É"i:: i ^ÏÏ^SSÏÏSS, 74» ^SS-JS^ ^S:: tâ::

MBtMMrMtbtfty.<th 53S 534 Somme 6~% 192?.. 46~ 480 s~Ms-AyrMjchom.doter) 728.. 746 Ttae anllara0. 749S.. 7420..

q 647:: 5M R~°~?~44~ · 923 D.k.r.iSai.t-L.H70::i275: <MttFMc.frMtM:.i.td:3475 9475..

c^SS"!«i^ SStf«ai^g:: g:: ffi»fia5aa: «i! «Si! aSLSr.^î^'B:: ̃B::

de 1 Unl0~ Parisienle 1176..1156.. Eglises devasteés 6 1928 448.. 8B1 Chmi;E.t-AinriM. 2M.. 302. SOsDOWIC8. M! M..

M.~ird'Ê,~pto. 794.. 793.. t~sM-i.r.Fr~927440;: 439 MM)l.t~M~l659..t6M. ··

ÇÓ~ptoir d'Escompte. 794.. '1~ lndûs.St.c:olèreFr.6%1927 440.. 439.. Matoe. 425': UO:: "an"

TËmmwmmmÈËim

FODcierdeFrance.. 2550..2 5'. AlgerÍe3%1902. 321 322 Rosario a Puerto Belgrano. 211.. 285..

.L1~U~el. 15S7 157 Iodo-(;hineI899-1905 26i.. 259.. Tualsleos (chemi.. de 1er) So 285 TEIUIE

Societe Ge.erale. ¡1~ 910 Tunls.3% 3 g6 1901·1901" 2$2.. 284.. Tram. dal'lndo.Caine cap. 832 Alhl. 495 437.

!\snte Fe.clere. 2 17 Tualaie 4 1931. 638.. 3830" Magasias Cékér. de Paris. 2575 2275.. 8eaqne gationlle d'Egppte 4878 440;'

m^m^ wÈm-m ipn|;f = ps^i, 1=

~n.)(ci.i.)..61.6tM.. ~tK5~i90'7:2H5:: 368 858 gt6Apa~ 3035D ~M50

Eat. 5fi3 598 5/01909. 2080 qicfip (Stàhl. thermal). 1639 lfi3D. Ca.edga. 557.. 98T 50

S. S:: g:: ael6li»e3f g»-^ '«:: ï^&i^E ë::Sv. &=-̃ ®»

Midi 570.. 850 S ,0 193L 828.. 820 Air comprime. 1860 1765 "aeatcj¡OUca (ptaaae.) otd. 245 241

Seieee S:: %̃: ^e;:i;: S;: ssF^S"a" ssari: B" a" santa-Fé(Ci>fr.Oi.ferProï.) '«•• 73S •• uhine 4 l»03 2120..M0o.. Electricité' dè'MàriêiÙV" aio las" uitrDMj M1 •• •- Métropolitain do Paris. 9M 926- Congo obi 4% 1901 355.. 355.. l Se te il sSboarB l3M"lS8§" GolicSuf ?lî M B Parisienne industrie 333.. 328.. £Sypte ïriïilegiee 2105 Bnercie Slectrioue <O.1 «4 M4 trôw»MiiiV '• 1M>- Tram, de Sansnaî 952.. 942.. «ait! 5 1910 502.. 502.. EnSI ° du îianc 7S0 Daïïâffi,t«1ï •• 17S9 •• Eaux et îclairaeo (Lyon).. «'» •• 129' •• Maroc 5 1910 409.. 410.. înerlie Su «nîT S" im fla &.r.ïi.;r,» •̃ ai ̃• Distr. Parisien. dXlectric. »68 994.. j>oloSne 7 1927 1690..1695.. inerl e Sud-Ooe.'t «S" ebo £2}* "M •• 16'6 Electricité de Paris 570.. 560.. Portugal 3% série. 1725 1729 Ist-ïumSre 214 20e Durbs» ùl£ ̃• "f1 ̃• Electricité de la Seine. 340.. 330.. Roumanie 4 1922 Bons 93.. 95.. £«£**£* ïnîi" ta" 565 SoJni/ m ̃• in ••

Electricité et Gaz du Nord 3" ̃̃ 385 Unifiée 4 109.. 108.. îSilwiV»" lis 240 EaiL™ 1136 •• 11S2 ••

Electricité (C"> Générale d'i 1931- 7^1929 510.. 515.. -JiiuSï," 619 612 ISts^d' 2S0 •' m •• Energie Littoral Méditerr S80 575.. 7 « 1931 210.. 210.. ÎJ laTruîèrë' 498 483" UnâtSî *°3 •• »" Energie Elect. Mord-France 305 50 30750 santa-Fé 5 1910 1295..1280.. S'iaVienné 190 1S0 FMieS wiWm-i^ S2" ••

Nord-1umiete.· 641.. 880.. S.rb.5%19i3. 131.. 123.. H.vraiMd'En~teEl~ 80. 809.. SrI~S' ?" 664.,

«BT-iïm: g:: ·. g:: ·· K^ K'I^œS Si: Si; BpSK- S- g::

ThomSOn~ligUliton. 166.. 168.. lndacainoist Electr. Icap.). 604.. 800 Gala k~v.mpO.g 324.. '111~.

~niaa d Electricüé. 401 O\O~ 40A p8LiGATi0N8 Maracaine Distribution. 52T 521.. ti25.. Hotchkiss. 1081 tÓlO

¡¡oUlus Mies. 4710.. 520 $6 435:: 9fi4 Nantaise d'Eel..rap. 645:: 296.. Sydr~ 114:. UO:

ïiîSîèrea Wi" 206 50 «92 2%% 222.. 227.. »«dlo-frfjl«l 393.. 395.. Langlaarte J™ gj"

IpÏs 299 3Ù9 1894-1898 2)4% 220.. S20.. Secteur RiïB Gaache 221 219 Uadon f in oril MJo 6l"

ïf°V™«'«N* il?" 413" 1898 2%?..?. 261.. 261.. Sud-Lumière prier. 98" m" «•* Re« 511 «03

X~ 183" 17950 18992% Mét. 2'*7.. 24:7.. J(,IUI8Sance. 110:1..1056.. ldalac 1\) 'U. 282,nS:50

Siiïii 1820 I486 6 3 1804 2 )B Met 245.. 254.. Téléphone 273 264 M«icàn Eagle 011 ord 168 BO 167 finarnn 345 340 2 1M0 2 Met «4.. 223.. V.nailluHTruk.tDÏitV 469 471 «"«lia (part) lilï «?' frJ ÏTnin"iu°pUniI:" 95 50 96" B 1M0 3 9,, 214.. 210.. Doll«us-*lteg 4675 4685 ««ère des Ora»d« Cici. «45 Î33

Kuùmann .f™lM" 654 6TO ë \™ J 244.. 240 50 Industries Textiles fl* )" m .m *• «»' %̃̃ m Y. «3 V.

ohn=7k»»»i rVû. 77Ô 771 M 1928 5 si 761.. 767.. Industrie Textile 255 245 «««Mablpu s0 50 50

Jnd'ewn d°Alâis P»n. «95 »«» S l929 k M ̃̃ '39.. Perenchies S?" 3S0 *"f*ai* 127. 128 ·.

Se-PoSenc. S8S 1075" «09 g if» *%̃̃̃• 702.. ueatral6d'Eclairag»(L.bon) 1565 i. 1585 i. ïî"»"1' »»«»•* 444 444 i

JaiiTt r«k.(n 1610 1665 19304%L0ts 680.. 678.. Continentale du Gaz 740 705 fadang 743 «S==i:»: S!*siaaï:a:: S:: ».ÏS™»'- S~ S;: ;5Sw««ïiiiiii'îS- <%̃̃

CharCeursdlleun. l8ld 3=.. 1335 415·· 4 06 FortlücUioea. 635.. fi38 Gu de Pari. 245.. 254 ~p~e::s:1 ~OfSt..tiBè 841:, "5..

~ss~ii' Q~¡i'¡'è~ 441¡¡:: 4415:: ViI:!arif:~3;~)9, 819 370:: ~t~1. 450:. 4111.. PS~

üaantchouoa de Ilndoekine. 744 733.. ISiS 5 6~ 'rots 840" fi99 ~d:i. 90B.. ·, 311 Resdlcat.l. 42850 425"

GStrota 8..· 657.. 655 1979 16D de Mlcbovm. 810.. 518.. Rdad III.es. 1084 889

Mmpt.M,.6M. 860.. 660. panc, 1t79 3 566 575 Atal.d C1antiora daSILotra 455:. 422.. MMdAitM, S"

For. 6750 53. Fouc. 1,303 ?"633" 15~ Uonst.Nord~.laFroaee 372. St.UTraMp.rt. 694" 6t7"

fengeot 652.. 666- u Fo?c 1863 3 K 26o" 252 ^?»t'«s de Saint-NaïairÈ 701 690.. Springs Mine» M. M Raffinoriesetsunriaist} 635.. «s».. For i5i 2eo'« 266" 272 cnatmon-comfientry 1274 1260 6U Migei «S «mi lerres Kouges 645.. S3S ̃• ro_ 1891 3 « 240 50 247 46 F'™»-»1» 706.. 701.. Tanganylia 102 îoo

Union Enrôlées.» 684!. 68'- 3 1892 260 V- S02 UI f«r. **«'«. Hut..Ba»ko7a 160.. 160 lunli. •• }JJ ••

Unl.nEurOpéeUe. 684..687.. ¡j 111922600' SD2 902 fo:A.r. uta.Banke. 110.. 160.hor.ls. 884.. 328..

SM3% 337.. 335.. B F(mc 1895 2 80 «i 313 306" «t Hoaéo S80 315.. lownsùy» (South AJriciiV 117" ?«" tyon 3 fusion aost 807 305.. g f°m 189926oi? 276 280" Savant su 345- Tranwau Land. ?" m'i «» laidi3% 311.. 311- ». SJ'iiosaç?70 ™i É92 Méditerranée (Forg. caant.) 835.. 880.. TubiM ?“ •• f)ï ii Kord 3 ancienne H6.. ••• « L"1 1906 i 285 281 56 f ï=lse Mat. a. de Fer 1610 1595 union Corporatio» 10S lire Orléans 3 345.. 343.. a pîî: 1009 5 o9 Si t42 Denain-Anzin 1038 1018 -JllBlBrtH»4tMtknïâir 3500 «K ouest 3 nouveau S24 327.. « J°" ̃ VSÏ î g }**•• }g-- aatarield4Ch.dBFer(Ci.Fr) 730.. 718.. îfo US HSft" AUemaîÎB5Ji%3OPl.Yoa».l 352.. 36B § |°oïl IMS 3 if 360 300 ««*«« tfi. PrançaiiB). 2340 1338 Vieille Hontag» ."?! SfO îàio Belge Kïtr. a 1934 1475 14'5.. S "îf" JSï ï S Ss 445 senBUe-Mau»euge 549.. 535- Vins et spirrWeui Ho Si? UU6SB6»BBBl.l".t2.BBrtM U76 «™ g EnW 1826 7 649" 546" Bétnune (C" de) nOUï 4185.. 4205.. VÏB.t R.Hd.™ ^2 21Ï

sertie 4 amortissai. 1895 1S4 «♦ •• corn' 1927 7 si 480 Mo" ^narbonnages du Tonkin 3040 3025 Weat spriBgs 35 Si

ser»l. amortisaab 1885 184 184 Com ls2T 7 y& 4es 4eo "harhonnage' du Tonk'n.. 3040.. 3025.. w.e.t sp"'ga. 2eD 267 10

Tuw 7 y, 1833 257.. S60.. g isiô 4 K I59 670 "ommentry-Fourchamnault 462.. 464.. VI a0 m M banque nation. dnMexiiruë 314 318.. g "™- J||J « ë?? 675 "oml.r<iwa(Ho»iUere)»afts 376.. 376.. uOMtTAKT

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crédit Foncier EgyptlBB.. 45»O 4S30. S |»«- S 4 i$ fS Vol Anicne iWnes d') 814.. 799.. Bitteroise Force et Lumière 220 uanadlan Pacillc" 320 316- auf 18Ï 5* 160 Î6S *«•'»•' S»5 395.. Roliamenne d/Bolairage 1460 wasons-Lits ord 85 *4 ·· g»»- >? Jg •• Jg •• Blanzy 520.. 513.. jardin, Renard, Cottcne. 1450 liso

uoatrai d4tsiag. 85. Emp. f9M 5)9 o,b. 90S. gp ·. 908 Bg Blea.y. 520.. S18.. F~rg6s de Il PrO.ld..ce." U450 11900

fflîffi.?^»::»:: S S& îâ: 1" »ï S^ S:: IIS:: ÏÏBÏ.Î^ 2». iï»

Gadnld. 1290..122.. gpna 100 Ir. 1888. 68.. 6750 11III'Iés 519., fii0., :¡tenuaRemua. 6276 ifiA

Kïinr. éJSJZZ **•£.£" » Sïïite: S?:: »•: î»»; «S1! 24t3M

Aeote (NO"gi~¡;)' 1306 1283 8 96 11121. =.. 284 Al!;erie-Ta.i.le (~m.lam). 83SC ~Lade I.MeSle1ll0. 1886.. 1870..

Pétrofina. 530 532 5%1933.t99.. 697.. Bor (Mines de) 01'4..6. mo 1695 i1YdC:o-tar: 's" 1255.. 2260

Royal Dutcb(diilèmes). 4945 Y 4925 Est 6 389.. 389.. ouergour act 1649 1695 gïdr»-»r«sdeSt-D«nis 355.1 Portuguese de Tabaoos. 388 50 388 50 %̃̃̃ 353.. 351.. MokU-el-Had.cap(déjàinn) 5000 M15 g»»»'»"» 1350 .1 1328 Suer» 4 Raffinerie d'Egypte 605 608 | 336.. 334.. française des Pétroles. 740 749 £'lat- Sclapje de Lyon, cap. 1480 1540 =============== -• s A ;933 700.. 688.. LiUeiionniéresColomb.dn» 40a" 410 ''scose française .6450 6600 Go«m>iT I Î3: IS? SI *iï$S^^ £ « ^SSS^SSSir^. 1.1 1 «

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3 *i AmoHla»a»lB M ̃̃ •• •* 854.. 853.. LeRlpcHn.jouH 2228 2229

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4g»«1932A 7788 « *?»"?? 382.. 378.. Port do Rosario 5825 8«8 & 105 15 10513.15 S 76 35 'f BB 2 « «erie C 342.. 341.. AUlilialro ItTintlOa «88 858 «cw-ïork 2140 25S137 75 2137 60 0W.CB.f«rEtat4?,;i»12-14 352.. >44 ,5 1933 105.. «96.. louage et Rem0?ou»ire «0 M*" BrMHlM 361 3«O 75. 360 50 --6% «18. 363.. ̃̃•̃• 0rleans6% 371.. 318.. Transports en commun «« 8M '*ad«» 207 20

l.t.1. 6% 1928 r. a500. 408 50 «JS 50 J% 342.. 342.. Bénédictine. 7. S64O 8630 Rome 1" » 112 BO

f.M.6%t923r.a5eo. 40tM 50 40850 4%342.. 342.. ttMétictiM. ".Mo"BMO" 11210 11250 fi0.·g0

4 ii 1929 r. a 400. 385.. 385 | 1% ,1838 699.. 693.. Damoy (Julien) \m 1290 B<>rae 492.. 49180..M 5 0/1,1934-1935 185.. «0.. Ouest 2 ii 325.. 317.. Distillerie UusVnler 2333 2306 *̃•*•«» 1112 25 11» 50 iirë 25 Caisse Nat. cr.Agr.5%1933 900.. M5 ̃• BAKOOES Distillerie ds l'indo-tâine 609 MO loubum i or 1917 (100 dollars) «00.. ̃•- Banque Afrique OccUBat.. 87S 175 Entrepôt de OroaeliB. 765 760 1™ i ji% or 1921 (100 douar. 2625.. M40.. · de Tlndo-Chine. 3800 3825 QrandsMoul.deMrieil.or. 181 îîrlli"f « 10513 ̃1% or 1924 (100 dollars).. 3260 MM.. de U Guadeloupe.. 2250 2240 Hi«««» 415.. 414.. ï'»;lf«t 4 91 81 4 91 86 nI! AfrnneOccident.Frans.3% 337.. 830.. de la Guyane 2405 aossl-ïe 930 816. Bl» de Jauelro 2 15/16 2 15/16

Jndo-CUBO 3 1909 291.. M».. de Madagascar. 435 430 0»d« I 3610 JÎ59 BsenOt-AjrM» Mot MM

*1*l* 31?.. 30b.. delalttrtinicraB..25SS 251S *•«» (Pélli) 107.. 107:«,

MaitStso«rl9M-U05. 326 325.. de la Reuloa. 2750 SUat-jUnkall «850 $870 ̃ *«W-I0»S 18. «iroo 4^1914 329.. 324.. ïur«ï«CBB.(P»y.)«r 258 255.. UlmaaU Français M95 J87O Pari» 487 1/4 487 1/4 6%i»18 364.. 558.. il priv. 810 308.. le l'iado-Chlae. 494.. 493.: LOBdrBB «! 1/4 4»1 $ "y.

qéfie et du Crédit Lyonnais. Néanmoins,

ta Banque de Paria et des Paijs-Bàs, I l'Union Parisienne et la Banque Transatlatinqtie cidtureht sur une note sou-1tenue.

© Le groupe électrique est irréguliêri Taudis que quelques valeurs s'inscrivent en reprise, d'autres, plus nombreuses, cèdent un terrain appréciable, Les charbonnages sont généralement en reprisé, l'exception de Bruay et de Maries. ffi Les produits chimiques ont fait l'ob>jet de demandés assez importantes et certains d'entre eux, comme Pêchiney et Kuhlmann, ont gagné des fractions importantes.

® Le ministère des travaux publics communique

Les recettes des grands réseaux de chemilis de fer, de 16,200 millions en 1928, étaient tombées à 10.U15 millions en 1935, Elles ont continué à baisser de 5 p. 100 jusqu'à fit! juillet 1936, mais le mois d'août a marqué le point de départ d'une courbe ascendante qui a permis en quatre mots de rattraper la perte des sept premiers mois de 1B3B. La cinauantièmti semaine de 1936 a. LES CHANGES

Recul du dollar

Si la livre reste immuable à 105 15, le dollar fléchit à 21 375 contre 21 4025. Les autres devises sont également alourdies par rapport au franc.

Toutefois, à terme, les reports restent tendus on négocie la livre à trois mois avec 2 fr. 20 de prime.

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VALEURS

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VALEURS

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Il VALEURS

pour la première fois depuis. 1»28, marqué une majoration de 12 millions, soit 0,13 p. 100 du total de ces recettes. Si cette progression qui, pour la cintjuatiêriie. semaine seule, atteint 12,56 p. 100, se maintient au cours des deux dernières semaines de l'année, les résultats de cette année se chiffreront, pour la première fois depuis 1928, par une majoration de 0,50 p. 100.

& M. Raymond Pieuses, secrétaire général de VAsHociation des actionnaires et obligataires des chemins de fer, ùient d'adresser au président du Conseil, aux ministres dès finances et des travaux publics, aux commissions des finances et des travaux publics des deux Chambres Une lettre daiis laquelle il déclare fort justement gne, pour restaurer le crédit publie, il faut respecter les contrats,

© Londres, toujours âgset peu Actif, est alourdi, des prises de bénéfices survenant sur les valeurs de matières premières. Internationales réalisées par suite des avis de Wall Street. Mines d'or plutôt fermés.

© Au Métal Ëxchangè, le cuiure standard gagne encore 7/6, le plomb enlève 1/2, fe zinc 1 livré et Vèiain 2 livres 1 7/8.

& New- York est très soutenu. Pendant la séance, ta cote est ferme, particulièrement les chemins de fer, et la clôture s'effectue dans les cours de la veille, dur une note d'irrégularité. Total des transactions 2,280,000. Coton alourdi. Céréales soutenues.

© Le prix du cuivre américain pour l'exportation a été porté à 11 cent 91 par livre.

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VALEURS

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MARCHES COMMERCIAUX

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Jilol.- las 1/8 1173/4

ATOIKÏ ttiltT. Dèhmhr, \ti !(* ulW' j- J84*lèr 125 50 126 50

FAWBÏS pan. Jo..I"r 2l4 2u 11

UOXOM (Baieis) Aluaadrlt. Jan«lsr 18 23 18 17

Mar» 18 14 18 07 Hew-York Décembre 12 55 12 3g MàrB 12 52 12 35 SUCRE. Bew-tork.. Mars 293 .,6 49P CAotJrtkouo., Jtinè7.«iL. Mal 295 M9 Londres. Disponible H 3/1 u

CAOUTCHOUC. »ew-ïork.. Déoébkre 23 22 40

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GU1VBE (Stan.) tendres Comptant 49 3/9 49 5/ ««w-ïork.. fiécenore 1111 ri 01 Mars 1120 11 07 ETAIS Londres. Umptant 234 loi 236./ PLOMB étrang. Comptant 28 5/. 28 13/9

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TABLEAUX D'AVANCEMENT POUR 1937

(Suite de la page 6).

LACAMBRE, 1" d'infanterie PETIT, poudrerie du Bouchet SCHNEIDER, centre de réforme de Metz; STeui^LcT, 102e d infanterie CHABASSii, direction du serv.ee c'e santé de la 2° région BLOCH, 168e d'infanterie GUERIN, 38» d'infanterie SAUTRIAU, hôpital militaire du Vai-de-Gràce JAULMES, laboratoire central de recherches bactériologiques et de sérologie de l'ardée DEBENEDETTI, hôpital militaire Scrive, Lille JABOT, Sc chasseurs à pied DUFLOZ, 15» bataillon de chasseurs alpins DODAT, 10° bataillon de chasseurs HAMOX, Ecole d'application du service de santé.

MILLO, hôpital militaire d'instruction Desgenettes, Lyon TARAYRE, 19° corps d'armée GUILLAMET, hôpital de Modane; ROUGETET, territoires du Sud-Tunisien VUATHIER, Ecole supérieure de guerre GUITER, 7» spahis Montauban TRESARRIEUX, hôpital militaire Senve de Lille ï OD1ER, troupes de Tunisie GUERBERT, troupes ae lunisie DUHART, 23e d'infanterie FIERE, 5° régiment étranger MICHEL, 19» corps d'armée TONNAIRE, 117d'infanterie UBERTI, 103° d'artillerie CLEMENT, 69» d'infanterie.

LACOMBE, troupes du Levant CLE MENT, troupes de Tunisie BERTHOD, centre de réforme de Bastia LE GUILLAS, hôpital militaire Scrivc, Lille CANIS, 94' d'infanterie FOUQUE, 173e d'infanterie BATOISEAU, direction du service de santé 11" région; JULIENNE, 19° dragons MARIOX, troupes du Maroc LEMAISTRE, base aérienne d'Orléans.

4° Pour le grade de Médecin capitaine. ̃ MM. les médecins lieutenants ROLLAND, 19e corps d'armée ÀUMEUNIER, ISS" d'artillerie, Belfort THEURKHAUFF, troupes du Levant CADARS, 6e cuirassiers GOUMET, Ï7io d'infanterie PRIEUR, d'infanterie MORAND, 170» d'infanterie AUTAN, lrc compagnie régionale du train BRIVET, 71° bataillon alpin de forteresse JUILLET, 4° hussards EVRARD, 401" régiment de défense contre aéronefs SIMON, d'artillerie ROULIN, 150 d'infanterie TERVER, 6» de dragons WARTER, 1" génie !<ROBIOX, 19» corps d'armée LANDRIEU, 168» d'infanterie SUZE, 107e d'in.fanterie BOLOT, 46» d'infanterie SCHNEYDER, troupes du Maroc BONNET, 157» d'artillerie DUPEYRON, 28 génie DUGUET, 94e d'artillerie MOLINIER, troupes du Levant PETCHOT-BACQUE, Ie' groupe d'artiilerie d'école FERRARI, 38» d'infanterie CLEC'H, 10' d'artiiierie; CAZALS, troupes du Maroc RESCANIERES, 14B* d'infanterie GIORDAN, 17» Cie de l I-air j HUO, 65» d'infanterie CARU, 8' chasseurs à cheval PECHOUX, 99» d'infanterie CHABANNES, 41» d'infanterie BORDES, troupes du Levant MELNOTTE, troupes de Tunisie NOUGUES, 405» régiment de défense contre aéronefs CHON, 13 chasseurs alpins OLIVIER, 6° chasseurs alpins DUMONT 151» d'infanterie FOURGEAU, 107° d'infanterie PALEYRON, génie SILLON, 71» d'artillerie, FLOTTES, 7» génie FALCONNET, 163» d'artillerie VIALLE, 39» d'infanterie CAXTEGRIT, école militaire de l'infanterie et des chars de combat DEMONET, troupes du Maroc BLOCH, 309» d'artillerie; · troupes du Maroc COLIS, 153» d'infanterie; LANDES, 3» génie RICHARD, section technique service santé RABAUTE, 4» d'infanterie REYNAUD, 19° corps d'armée SOURON, 149» d'infanterie CHATEAU, 23» tirailleurs algériens CHARET, 23» d'infanterie GOUVERNER, base aérienne 105 DILLANGE, 72» d'artillerie.

5» Pour le grade de Pharmacien colonel, les pharmaciens lieutenants-colonels MANCEAU, professeur agrégé du Val-de-Grâce, chargé d'enseignement à l'Ecole du service de Santé militaire, Lyon.

Pour le grade de Pharmacien Heùtenantcolonel, les pharmaciens commandants WEBER, troupes du Maroc BABINOT, pharmacie centrale de Santé, fort de Vanves CORDIER, hôpital militaire Sédillot, Nancy CHAMBERT, pharmacie centrale du service de Santé, fort de Vanves. Pour le grade de Pharmacien commandant, les pharmaciens capitaines COLIN, hôpital d'instruction du Val-de-GrJce PRECEPTIS, laboratoire de l'inspection générale des subsistances, Paris MARTIN, troupes du Maroc BRETON, troupes du Maroc.

Pour le grade de Pharmacien capitaine, 1 les Rharmaciens -lieutenants BONXEVIALLE, hôpital militaire Rosa'îuti, Bastia FAURE, pharmacie centrale du service

La population

de !a France s'élève à 41.905.908

habitants

Le Journal officiel a publié hier matin les résultais du recensement de la population de la France, effectué le 8 mars dernier.

Le chiffre total de la population s'élève à 41.905.968 habitants, soit par rapport au chiffre de 1931 (41.834.923), une différence en plus de 71.045 habitants. Pendant la période quinquennale 19311936, la population étrangère a diminué de 437.416 habitants et la population française s'est accrue, pendant la même période, de 508.461 habitants.

Il. y a lieu d'ajouter au chiffre de la population française (39.452.461) les soldats et marins français hors de France le 8 mars, soit 107.538.

Dix-sept villes comptent plus de 100.000 habitants.

La population étrangère qui est, nous l'avons vu, en diminution par rapport à 1931, -avait un effectif de 2.453.507 le mars.

Les départements où se trouvent le plus grand nombre d'étrangers sont, dans l'ordre alphabétique

Alpes-Maritimes (113.604), Ardennes (23.698), Aude ( 36.397). Bouches-duRhône (245.375), Doubs (21.118), Gard (28.742), Haute-Garonne (37.392), Gers (20.805), Gironde (35.090), Hérault (53.425), Isère (59.561), Loire (31.121), Lot-et-Gardnne (29.956), Meurte-et-Moselle (67.373), Moselle (91.101), Nord (171.343), Oise (29.960), Pas-de-Calais (135;885), Pyrénées-Orientales (42.649), Haut-Rhin (23.066), Rhône (63.141), Savoie (20.680), Haute-Savoie (22.264), Seine (369.317), Seine-et-Marne (32.203), Seine-et-Oise (92.462), Var (46.534). Les départements qui comptent le moins d'étrangers sont la Lozère avec 455 et la Mayenne avec 898.

Feuilleton du Figaro du 30 Décembre 1936

(36)

T OMBRE

SUR LE MUR CHAPITRE XV

Lundi

{Suite.)

Oui, j'ai entendu siffler moi aussi. A plusieurs reprises, même, C'est plutôt curieux, n'est-ce pas ? j Curieux s'exclama le garde en grimaçant. J'appelle ça audacieux, moi Est-ce que vous avez aperçu quelqu'un, monsieur ?

Non, je n'ai vu personne depuis que je suis sorti du château. C'est drô' Qu'est-ce que' tout cela signifie ?

Un vaurien qui en veut à mon |

de Santé, fort de Vanves BERTHELOT, 19» corps d'armée.

Pour le grade de lieutenant-colonel d'adm.nistration, les commandants d'administration DIONISI, gestionnaire de l'hôpital du Val-de-Gràce AUBRION, gestionnaire de l'hôpital militaire Gaujot, Strasbourg LEBEAU, gestionnaire de l'établissement central des organes et appareils techniques du service de santé. Fort de Vanves BRUNET, gestionnaire de l'hôpital militaire Leguest, Metz.

Pour le grade de Commandant d'administration, les capitaines d'administration MAYONADE, direction du service de santé de la 2 région BRUEL, inspection permanente du matériel et des établissements du service de santé COUDURIER, gestionnaire du dépôt de matériel du service de santé de la 14e région PRIGENT, magasin général du service de santé de Bordeaux FABRE, direction du service de santé de la 20° région GRAU, direction du service de santé de la 6" région, Metz CAUX, direction du service de sauté du 19» corps d'armée BRUZAT, gestionnaire de l'hôpital militaire thermal de Vichy GROS, direction des approvisionnements et fabrications du service de santé, Paris.

Pour le grade de capitaine d'administration, les lieutenants d'administration RODET, commandant la 19° section d'infirmiers, Alger BISSET, magasin général du service de santé, Marseille PENOT, gestionnaire de l'hôpital militaire de Bourges RASTOU1L, troupes du Maroc TESSON. détaché au ministère de la guerre DUSSELIER, 19 corps d'armée MAUX, gestionnaire du magasin général du service de santé de Clermont-Ferrand.

Intendance

Pour le grade d'Intendant militaire de classe, les intendants de 3» classe AYMERICH. 4° région SEURAT, S« région LONDICHE, 2 région JULIA, ministère de l'air CHARRIN, région de Paris DELESTRE, 20» région QUILICHINI, 15» région RICARD, service de la liquidation des transports TISSERANT, troupes du Levant GUIMOXT, 19' corps d'armée CERLI, région CHARDIN, 9° légion LAMINE, 1" région BENOIST, 19« corps s d'armée D'HERMIES, 9° région LE NALLIO, 15° région BOSC, hors cadres, mission MARIONNEAU, 20» région PERRET, troupes du Maroc MOULIAS, 19» corps d'armée RUMEAU, 18» région EYRAUD, ministère de la défense nationale; ROUSSEAUX, 4» région DUIRET, région COUNILH, troupes du Maroc NICOD, troupes du Levant.

Pour le grade d'intendant de 3° classe, les intendants milita.res adjoints BURGARD, région fortifiée de la Lauter MUNIER,région PEYRUS, 19e corps d'armée. 2° Officiers d'administration. Pour le grade de lieutenant-colonel d'administralion, tes commandants d'adm nistration VALLA, 4» région COUDERT, 5» région DUBREY, école militaire d'administration DIEUDONNE, région de Paris GAY, région COLLET. 6e région ESCUDE, région LANAUD, région de Paris PALI.IET, 1° région HONORAT, 11» rég on UTHURRISQ, troupes de Tunisie BOURGES, 15" région.

Pour le grade de commandant d'administration, les capitaines d'administration Bureaux de l'intendance

TRAPE, région de Paris LAROSE, 20e région CLERGET, au minstère de la dé̃ ense nationale CAILLOT, au ministère de la défense nationale CAUSSIN, 20' région; GOUSSET, au ministère de la défense naUonale GUILLAUME, 6e région ROLLET, 7e région GUILHEM, 19° corps d'armée PARISOT, ministère de la défense nationale MOXTCHANIN, région PENOT, 16° région D'ALLEIZETTÉ, 13° région CAUR1ER, troupes de Tunisie.

Subsistances militaires

BIDAUT, région de Paris XOIROT, région de Paris NINARD, ge région FONTANIEU, ministère de la défense nationale; HARDANT, 20° ;ion MAXDOX, troupes du Levant MARS, région MARIANI, 20» rég on COTTIN, l'inspection générale des subssistances HELOU, rég-on JOUANETON, ministère de la défense natio- nale FERRAGU,région BARBIER, 1'» région CLERC, 16» région BABOULIN, 19° corps d'armée.

Habillement et campement ̃•••

LECOMTÉ. Inspection générale de l'habillement VIGNET, troupes du Levant.

LA VIE RELIGIEUSE

Une allocution

du cardinal Liénart

Lille, 29 décembre. Eu recevant les vœux du clergé, hier. à l'occasion de la nouvelle année, le cardinal Liénart a prononcé un discours dans lequel il a développé les inquiétudes et les difficultés de l'heure présente. Au premier rang des inquiétudes, il place la santé du Souverain Pontife, « pasteur plein d'une apostolique sollicitude pour projeter sur tous les problèmes qui agitent le monde les lumières de l'Evangile ». « Le Saint-Père a droit, à-t-il dit, que les prêtres et fidèles lui témoignent, par leur prière ardente, leur ffliale piété. » Le cardinal a souligné également la situation précaire des écoles libres. « Diverses solutions, a-t-il déclaré, viennent d'être adoptées pratiquement pour venir en aide aux membres du corps etiseignant dont le mérite est au-dessus de tout éloge et en faveur de qui se pose un devoir de justice impérieuse. » Le cardinal Liénart, considérant enfin les menaces qui pèsent sur l'Europe, a conclu en ces termes

« Que Dieu éloigne les conflagrations sanglantes et fasse régner la paix 1 De cette paix, l'Eglise veut être la grande ouvrière, sa doctrine et sa morale peuvent résoudre les problèmes qui se posent. A ce travail positif, les catholiques doivent croire avec fermeté à l'exemple des premiers chrétiens qui n'agirent pas autrement pour convertir le monde païen. »

Qo

LA MORT DU BEBE CHINOIS Le docteur Paul a procédé à l'autopsie du corps de Maine Schiang, âgée de trois mois, fille de l'attaché militaire de l'ambassade de Chine à Paris, morte samedi soir à la garderie de ChâtenayMalabry.

La mort est due à l'asphyxie par l'oblitération des voies respiratoires supérieures, sans traces de violence. Le décès est donc accidentel.

gibier, voilà ce que c'est Ils sont après mes lapins, vous savez. Mais effrayer comme ça mes oiseaux, quel ioupet 1

Oui, c'est trop fort, murmura Reggie. J'espère que vous attraperez le coquin. En avez-vous repéré un par ici qui rôdait dernièrement 2 Le garde se gratta la tête.

Non, pas que je me souvienne, répondit-il.

-Je veux parler de quelque étranger au pays.

Le garde eut un sourire torse. Quelqu'un de votre genre, monsieur ? demanda-t-il. Non, je n'ai vu personne. Avec votre permission je vais continuer mon chemin. Et sur ces mots le paysan s'éloigna.

Reggie, tout en se donnant l'air de flâner, se dirigea vers le premier saule derrière lequel il s'était caché, et, ouvrant son canif, il travailla le bois jusqu'au moment où une balle lui tomba dans la paume. Il l'examina de près. « Ce n'est pas une lalle anglaise, pensait-il. Elle a huit ou neuf millinv'tres de calibre. Balle ivlou ..e d.uis V imiLe fra se à ce que je crois, à moins qu'elle ne

Justice militaire

Pour le grade d'officier de justice militaire de 1" classe, les officiers de justice militaire de 2« classe SERMANT, de Marseille DUZAN, de Paris.

Pour le grade d'officier de justice militaire de 2 classe, les officiers de justice militaire de 3» classe SOULIE, de Brazzaville PRIME, de Fez MARTIN, de Constantine GELIN, de Paris, détaché à l'administration centrale.

Service des poudres

'"̃m* ingénieur en chef de l"> classe, les ieurs en chef de 2» classe SOLIER, poudrerie du Ripault LECORCHE, jboratoire central des poudres.

our ingénieur en chef de 2° classe, les ingénieurs principaux: GOUJON, de la poudrerie du Moulin-Blanc ROBIN, de la poudrerie du Bouchet DOUILLET, de la poudrerie de Sevran-Livry MOREAU, -le la poudrerie d'Angouléme.

Pour ingénieur principal, les ingénieurs de lr" classe ARNOULD, de la poudrerie de Saint-Chamas GARAUD, de la poudrerie de Saint-Chamas MURET, de la poudrerie de Sorgues BARANGER, de la poudrerie du Bouchet.

Pour ingénieur de lrc classe, les ingénieurs de 2° classe CARRIERE, de la poudrerie de Saint-Médard; THIRIA, de la poudrerie de Sorgues MAUREL, de la poudrerie de Vonges TAUZIN, de la poudrerie du Bouchet.

Pour ingénieur chimiste en chef î VAXDONI, ingénieur chimiste principal du laboratoire centra] des poudres.

Pour ingénieur chimiste principal, les ingénieurs chimistes de 1'° classe THOMAS, de la poudrerie de Sevran-Livry PRETAT, de la poudrerie de Sevrau-l.ivry LIOG1ER, de la poudrerie de Saint-Médard; AUMS, du laboratoire central des poudres DALBERT, du laboratoire central des poudres.

Pour ingénieur chimiste de lro classe, les ingénieurs chimistes de classe BUS, de :a poudrerie de Sorgues BRISSAUD, du laboratoire central des poudres JOURDIN, de la poudrerie de Saint-Medard CHEYLAN, de la poudrerie d'Angoulème SCHMITT, de la poudrerie du Ripault LACROIX, de* la poudrerie de Sevran-Livry FRIEDEHICH, de la poudrerie d'Angouléme DOUILLET, de la poudrerie de Sorgues.

Pour ingénieur en chef des travaux de poudreries, MM. les ingénieurs principaux des travaux de poudreries BERTHOU. de la poudrerie nationale du Moulin-Blanc CHARRIOT, du laboratoire central des poudres (inspection générale).

Infanterie coloniale

Pour le grade de lieutenant-colonel, les chefs de bâta lion LAP1ERRE, direction des troupes coloniales ROUSSELLE, étatmajor du générai inspecteur général des troupes coloniales CASSIGNOL, préparation militaire super. eure de la region de Paris DE LAPASSE, préparation militaire supérieure de la 15e rég en GAMORY-DUBOURDEAU, 6° tirailleurs sénégalais HOUGIER, bâta "Ion de tirailleurs sénégalais n° 1 HOAREAU, Ie' régiment mixte de Madagascar SOLICHON, 3' d'infanterie coloniale PROGIN, régiment de tirailleurs annamites LOUVET, base de Marseille PUIFFOULLOUX, préparation militaire de Casablanca BONALDI, dépôt des isolés des troupes coloniales ASTIER DE VILLATE, chef d'état-major du commandement supérieur des troupes françaises en Chine BLANCHARD, 4» tirailleurs sénégalais KIEFFER. bataillon de tirailleurs sénégalais n° 2 CARTON, breveté' d'étatmajor, 2. tirailleurs sénégalais AOUST DE ROUVEZE, d'infanterie coloniale GROS-COISSY. chef d'état-major de la 1"> division coloniale sénégalaise BOUCHER, préparation militaire supérieure de la région de Paris GEORGES-PICOT, étatmajor du commandement super eur des troupes du Levant BORGXIS-DESBORDES. état-major du 19« corps d'armée YVON, état-major de la division Cochinchine-Cambodge GENTAT, préparât on militaire supérieure de la 16» région CAU, état-major de la 17e région.

Pour le grade de rhef de bataillon, les capitaines RAUNIER, état-major de la rég'on de Paris MOSSAZ, détaché à la direction des troupes colonia'es VALLUY, état-major de l'armée ROUSSELOT-PAILLEY, en service en Indoch'ne HAYE, 1er d'infanterie coîon aie SILVA, en serv'ce en Indochine DASQUE, centre de mabilisation colonial d'in'anter'e n" 109 BONAFOS, état-major de l'armée BLAN-

RADIO

Mercredi 30 décembre

20 h., BRUXELLES Orchestre symphonique, direction M. André Les Caprices de Paganini (première audition) (Brusselmans) Variations symphomqttes pour piano et orchestre (Franck) Symphonie n° 4 (Brahms).

20 h. 45, RADIO-PARIS Théâtre La Dolorès (prem'ère audition en France), drame en trois actes de José Féliu y Codina, adapt, de F.-II. Michel et G. Baud, mus. de T. Breton, arrang. et orchestre par H. Tomasi, avec MM. Pierre Blanchar, Max. Argentin, Clarens, Dathys, Piessy Mmes M. Larsay, Otdy MM. Sylvestre, Hcrat Mmes Préval, Mittre.

21 h. 15, .PARIS-P.T.T. Musique de chambre avec le quatuor Ortambcrt MM. Ortambert, premier violon Temerson, deuxième violon Le Guil- lard, altiste R. Salles, violoncelliste Mme Pignari-Salles, pianiste, et Mlle Corney, cantatrice, Sonatine en ré majeur pour violon et piano (Schubert) Les Contes de Perrault, frag. (Godard) La Belle Françoise, La Perdriole, chansons canadiennes hernt. par E. VuiUermoz II était une fille d'honneur, Guillenté, chansons bourgu 'gnonnes harm. par M. Emmanuel Quintette (F;anck).

22 h" RADIO CITE Musique de chambre allemande Quatuor en es quatuor en sol (Haydn). ORCHESTRE

II b., RADIO-PARIS Orchestre de chambre Poulet.

14 h. 30,, RADIO-PARIS (Poste 'Colonial) Orchestre, direction M. Tomasi.

17 h., PARIS P. T. T. Orchestre de chambre de l'O. S. P.

19 h., VIENNE Oratorio Rédemption de Gou-

nad,

19 h. 45, FRANCFORT Concert.

20 h., NATIONAL ANGLAIS Orchestre de la

B R C"

20 h. 30, STRASBOURG Concert.

21 h. NORD REGIONAL Soirée Max Bruch avec Isobel Baillie.

21 h. 20, LEIPZIG Concert (J. S. Bach, Haendel).

MUSIQUE DE CHAMBRE ET SOLI

16 h. 30, PARIS P. T. T. Pièces pour piano, par Mme Jaspar.

16 h. 50, DEUTSCHLAND Rc-ital de piano. 18 h. 10, KŒNIGSBERG Récital pour deux pianos.

20 h., RADIO-PARIS Piano (Bach, Debussy). 20 h., VARSOVIE Concert Chopin, exéc. par Kurt Engel.

21 h.. LYON P T. T. Musiaue de chambre. MUSIQUE LEGERE ET VARIETES 14 h. 30, PARIS P. T. T. La Radio aux aveugles.

vienne d'un Mauser ou d'un Luger. Quoiqu-il en soit, elle est d'origine étrangère, et l'arme doit appartenir j i à quelqu'un qui a servi dans l'armée durant la guerre. Osmond a fait la guerre. Enfin, nous verrons. ». De nouveau il jeta un coup d'oeil sur le trou qu'avait fait le projectile dans le saule, puis il rebroussa chemin, essayant de suivre la trajectoire qu'avait prise la balle.

Il longea le ruisseau avec précaution, examinant avec soin le terrain. A quelque cinquante mètres du saule se trouvait un gros tronc coupé. Reggie le contourna sans rien y trouver d'anormal jusqu'au moment où son regard se posa sur une touffe d'herbe qu'on avait foulée. Il se baissa, en écarta les brins et fut enfin récompensé car il découvrit, enfouie entre ^les racines mortes de l'arbre, une petite douille. « Oui, des cartouches de revolver. » murmura-t-il. Et il fit route vers le château.

Le garde, se faufilant entre les, buissons, n'avait pas quitté des yeux Reggie. Celui-ci qui n'était pas dupe, sourit tout en se disant « C'est don'1 'îiite que vous ne soyez pas arrivé plus tôt » J

GIER, 6" tirailleurs sénégalais CHAMPEAU, 41" régiment de mitrailleurs SAJOUS, école d'application d'artillerie CASTEL, état-major de la 2" division sénégalaise PELLETIER, 1" d'infanterie coloniale RUNNER. direction des troupes colon.ales CHRETIEN, détaché au secrétariat du conseil supérieur de la défense nationale LEEFSON, préparation militaire supérieure de la région de Paris SAMUEL, hors cadres Indochine HUMBERT, en service en Indochine VOILLEMIN, état-major du commandement supérieur des troupes du groupe de l'Afrique occ. dentale FLEURET, état-major du commandement supérieur des troupes du Levant; BARTHELEMI DE SAIZIEU, 1er d'infanterie coloniale TOULGOAT, compagnie d'infanterie coloniale de la Guadeloupe LEVEQUE, 13» tirailleurs sénégalais LAUZIER, 17» tirailleurs sénégalais ROSSIGNOL, tiraillenrs sénégalais du Tchad ARTIGUE, centre de transition des troupes indigènes PELLOUX-PRAYER, en service à Madagascar BRUXET, en service en Chine PRIOU, 6" tirailleurs sénégalais NOSMAS, école supérieure de guerre EMBLANC, ministère des colonies SALAX, 19e régiment mixte. BLOUIN, bataillon de tirailleurs sénégalais n" 8 SEYMOUR, 8" tirailleurs sénégalais GRUB1S, préparation militaire, supérieure de la région de Paris FOUET, bataillon d'infanterie coloniale de l'Afrique occidentale.

POTIER DE COUIICY, 4" tirailleurs tonkinois GROULAHD, bataillon d'infanterie coloniale de l'Afrique occidentale; SCHNEIDEH, en service en Indochine; BOURGEOIS, 1" régiment SOLIN, état-major du commandement supér.eur des troupes coloniales dans la métropo'e CASTETS, tirailleurs sénégalais 1 DE PUTTECOTE DE RENEVILLE, chef de cabinet militaire du gouverneur général de l'Afrique equatoriale; AUBERT.-COUTURIER, état-major du département de Seine-et-Oise JABOIX, tirailleurs tonkinois DAYON, élat-major du territoire du Tadla LASSAUGUETTE, l" tirailleurs sénégalais GUILLOT, chef du service d'éducation physique du Lot, Tarn-et-Garonne ROUX-SIBILLON, 1" tirailleurs tonkinois THEOLEYRE, recrutement Madagascar CAVELIER DE CUVERVILLE, commandant la compagnie de secrétaires d'état-major des troupes coloniales DHENNE, 6° tirailleurs sénégala s VEST, tirailleurs sénégalais BOUCABEILLE. état-major des troupes du territoire nord Syric GUILLAUME, d'infanterie coloniale COMPAGNON, 24e tirailleurs sénégalais BOUDET, 8° tirailleurs sénégalais GUIZIEN, dépôl de transition de Haïphong.

Pour le grade de capitaine, les lieutenants MAROT-LASSAUZA1E, bataillon de tirailleurs sénégalais 8 LATOUILLE, 9" d'infanterie coloniale SOULIER, 2- tirailleurs sénégalais; CARRET,, tirailleurs sénégalais HERITIER, 23' d'infanterie coloniale MOULLET, régiment de tirailleurs sénégalais du Tchad ROYAUX, en service en Afrique occidentale · BERGOUNHON, I9« rég ment m xte POLETTI. batail'on de tirailleurs sénégalais 1 DENAT, 16e d'infanterie coloniale; LABATAILLE, 8' tirailleurs sénégalais PERRIN, en service en Algérie SJXOU, 1er tirailleurs tonk.nois SAQUET, 7" tirailleurs sénégalais HALLERY, en service en Indochine BOUSIX, en service en Afrique occidentale BESSON, 17" tirailleurs sénégalais.

VOLFF, étal-major de la division Cochinchine Cambodge U'ALVERXY, rég. de tirailleurs sénégalais du Tchad; MOLLARD, hors cadres allai res indigènes du Maroc ALLEXE, 10' tirailleurs sénégalais; SACQuel, hors cadres cabinet du gouverneur général de l'Afrique Equatoriale; GRACIEUX (W tirailleurs sénégalais; PU.ÏO. instructeur Ecole spéciale militaire; REVOL, bataillon de tirailleurs sénégalais 1; LOUIS, rég. de tirailleurs sénégalais du Tchad; LUCAS, 4" tirailleurs sénégalais; LE TOUHER, rég. du Maroc TOULET, état-major brigade de Tong THOMAS, 17* tirailleurs sénégalais. Pour le grade de sous-lieuïenunl. les admdants chefs URLACHER, l«r rég. mixte de Madagascar: LIGER, 23e d'infanterie coloniale MUSY, rég. de sénégalais de la Côte des Somalis; LE6ENDRE, .0° rég. mixte GOLHEX, dépt des isolés des troupes coloniales MAGXET, 15» tirailleurs séné'îa'ais; SANTONI, 8. tirailleurs sénégalais; LE RUMEUR. 19' rég. mix'e: MAZ'ît. 1<T rég. mite de Madagascar; PANDELLE, 23« d'infanterie iv-'oniale; CILLES r s a s i> a Côte des Somalis; RIBE, 14» tirailleurs sénégala:s; Di£LRIEUX, 8e tirailleurs sénégalais; VITRY, 7" tirailleurs sénéga'ais ROUZ, 1«r rég. mixte de Madagascar COCHIN. 21° d'infanterie colonia'e: CASAULA, 10" d'infanterie coloniale; ALEERT, l«r tirailleurs tonkinois; MANODRITTA, li« tirailleurs sénégalais; BENABARRE, 3° d'infanterie coloniale.

18 h., RADIO-PARIS Demi-heure des jeunes. 19 h. 45, HAMBOURG Concert récréatif. 20 h. 50,, SUISSE ROMANDE Sélections d'opérettes françaises célèbres.

21 h. 25, POSTE PARISIEN Mireille Magazine.

OPERA

20 h., ROME Lohengrin, opéra de Wagner. 20 h. 25, TOUR EIFFEL Le Coq d'Or, opéra de Rimsky-Korsakov, direction M. P. Paray (transmission de l'Opéra).

THEATRE

20 h. 30, MARSEILLE La Résurrection de Lazare, mystère en 4 tableaux., mus. de M E. Chabot. 20 h. 30, TOULOUSE-PYRENEES :.Le Procureur Hallers, d'H. de Gorsse et L. Forest. Jeudi 31 décembre

Trop à entendre, ce soir: on croirait que les postes parisiens désirent rattraper le retard qui les a, hélas 1 caractérisés en 1936. Radio-Paris accueille un de nos compositeurs les plus célèbres Arthur Honegger. Le Poste Parisien joint Raimu à Sacha Guitry et retrouve Max Regnier; Paris P. T. T. choisit Jean Variot pour le compliment de fin d'année. P.-D. T.

20 h., NATIOXAL ANGLAIS Concert symphonique Le Secret de Suzanne, ouv, (W, Ferrari). Symphonie en sol mineur (Mozart), Le Bourgeois gentilhomme, suite (R. Strauss). 20 h. 25 POSTE PARISIEN: Faisons un rêve, comédie en 3 actes de Sacha Guitry, par ses créa- teurs, Sacha Guitry et Raimu avec Jacqueline Delubac. I,

20 lu 30, PARIS P. T. T. Gala de fin d'an- née Saint Sylve;strc d travers le monde, sketch radioph. de Jean Variot, avec le jazz Goly et MM, Bernard, Laviaille, Saillard, Moulinot Gaillard, Levesque, Daihys, Moulinot, Lovano, Balbon, Bern'.er, Dorléac, MUes Lancret Sgkovitch, Dunau, Bourgeon, Coquelet, Larsay.

20 h. 45, RADIO-P.4RIS Concert symphonique par l'orchestre national Judith (Honegger), action musicale p. soli, chœurs et orch., paroles de R. Morax avec Mmes Vhita, Cemay, Daniels (Dir. l'auteur). L'Apocalypse de Saint Jean (/. de !a Presle), poème de Hélène Naville et J. de la Presle, 3 tableaux d'après la Bible; Le Trône de la

Majesté divine; Les sept anges et les sept trom-

pettes; La Jérusalem nouvelle (Dir. l'auteur). 22 h. 30, POSTE PARISIEN Une fois n'est

Quand il vit que Reggie n'était plus qu'à deux pas du château, le garde fit demi tour, rassuré: l'homme était bien un hôte de Langton. Reggie vit que sa voiture l'attendait devant la porte.

Un instant, Sam, dit-il au chauffeur, il faut que je dise au revoir. Le maître d'hôtel l'avertit que Lady Rosnay était au jardin. Il la trouva qui se reposait dans un hamac, au soleil, s'amusant à tourner les pages d'un journal des plus légers.

Quelle créature fuyante vous faites lui dit-elle en clignant de l'œil. Où diable êtes-vous encore allé ? La pauvre Alix vous a cherché partout pour vous dire au revoir. Elle est partie le cœur brisé Vous me voyez aussi désolé qu'elle. presque J'ignorais qu'elle dût quitter Langton.

Mon cher répondit Lady Rosnay en ricanant. Mais naturellement! Peut-elle se séparer d'Osmond. Ce bandit a un bolide de voiture 1 Ah Et il y a longtemps qu'ils se so it enf, is ?

Seigneur Je n'en sais rien. II y

Artillerie coloniale

Pour le grade de lieutenant-colonel, les chefs d'escadron DUCHAUSSOY, état-major du général commaudani supérieur des troupes eu Indochine LABBE, état-mojor particulier, Ecole d'application de l'artillerie DUFOUR, 10° d'artillerie coloniale MARECHAL, commandant l'artillerie de la Côte des Somalis; NGUYEN VAN XUAN, en service à la direction d'artillerie de Cochinchine MAIRE, direction d'artillerie en Chine ROBIN, direction d'artillerie du Tonkin CHARVERIAT, chef du cabinet militaire du gouverneur général de l'Afrique Occidentale.

Pour le grade de chef d'escadron, les capitaines MOREL, Ecole d'application de l'artillerie; JANIN, groupe autonome du Maroc; VALANTIN, groupe mixte de Chine; TEISSEIRE, état-major du général commandant supérieur des troupes coloniales dans la Métropole; TIGET, Ecole d'application de l'artillerie; HERCKEL, état-major du général commandant supérieur des troupes coloniales dans la Métropole; DAVOINE, 3° régiment; BELLANGER, en service hors cadres au Levant; PICHON, stagiaire à l'Ecole supérieure de guerre; POUYAT, ô' rég. partie NOUGAHEDE, service de la préparation militaire supérieure de la région de Paris; CARRE, l«r rég.; MERCIER, 2« rég.; GUET, 10« rég.; HOURMANT, en service à la direction d'artillerie de Tananarive; PATIER, en service an Levant PASCOT, état-major du général commandant en chef des troupes du Maroc; BORDIER, rég.: GAUTHIER, service de la préparation militaire supérieure de la région de Paris; PLA, service de la préparation militaire supérieure de la région de Paris.

Pour le grade de capitaine, les lieutenants: GILLES, en service hors cadres en Indochine KAURE-BRAC, centre de mobilisation 55; DOUVILLE, en service en Afrique Equatoriale; DES LIONS, l«r rég; DE LA TOUR DU PIN CHAMBLY DE LA CHARGE, en service en Indochine; WERNERT, 10» rég.: DUSSERIS, en service au Levant; MALEVAL, 2" rég.; PANIS, 10" rég.; PIERRE, 12- rég.; PETITJEAN, rég.; DRIAY, ministère des Colonies; CHARNEAU. reg. Pour le grade de sons-lieulenam, ics adJudants chefs GILLES, en service en Afrique Occidentale CONTE, en service en Afrique Occidentale; LEYGUE. en service à la Côte des Somalis; GAMBOTTI, en service en Inclocli'ne; SCHILT, en service en Indochine VINEL, en service en Afrique Occidentale COEZ, en service au Maroc; ROCHIAS, 1U* rég,; CHATAIGNIER, 11* rég.; CLAVAUD, compagnie d'ouvriers d'artillerie coloniale de Marseille; PASTRE, en service en Afrique Occidentale. Etat-Major particulier, section. Pour le grande de lieutenant-colonel, les chefs d'escadron ZORN, direction d'artillerie de Cochinehine; PINARDEL, en service au génie à Lorient.

Pour le grade de chef d'escadron, les capilaines PRUVOST, direction d'artillerie de Chine; MORVAN, ministère de la Défense nationale, direction des troupes coloniales; RIGAUD, en service en Indochine. Intendance coloniale

Pour le grade d'Intendant militaire de 2° classe. les intendants militaires de 3* classe DE LA FOLLYE DE JOUX, en service en Indochine; HANNARD, en service en Afrique Or'entale; COUPEAU. en service à la Cote des Somalis; PRAT, Intendance de Lyon; MORIX, en service aux Antilles; LE GOGUTEC, direction des troupes coloniales. Ofiîciers d'administration. Pour le grade de lieutenant-colonel d'administration, les commandants d'administration ROCHOIS, en service en Indochine; AVRIL, en service en Afrique Occidentale.

Pour le grade de commandant d'adminisfration, les capitaines d'administration FRANCILLARD, en service en Indochine PUSARD, en service en Indochine; DECUGIS. en service en Afrique Occidentale; ROGEOX, en service en Indoch'ne.

Pour le grade de capitaine d'administration, les lieutenants d'administration EUTTET, Intendance mixte de Brest; LE DILY, en service en Afrique Orientale.

Service des magasins. Pour le grande de lieutenant colonel d'administration, le commandant d'administration LARDIER, en service en Indochine.

Pour le grade de commandant d'administration, les capitaines d'admin'stration: DUFOUR, en service en Afrique Equatoriale ARIAUDO. Intendance coloniale de Marseille; BOTKORBL, eu service en Afrlque Occidentale; ARQUIER, en service en Indochine.

pas coutume, émission burlesque réalisée Par CI. Abel et M. Bourdet.

ORCHESTRE

11 h. RADIO- PARIS Orchestre.

15 h. 15 NATIONAL ANGLAIS Concert symphonique.

20 h. BRUXELLES Orchestre.

21 h. MIDLAXD REGIONAL Musique de ballet.

21 h. 15 LUXEMBOURG Concert symphouique.

MUSIQUE DE CHAMBRE ET SOLI 17 11. 10 KŒXIGSBERG Concert de solistes.

17 h. 30 STUTTGART Concert.

18 h. 10 DEUTSCHLAND Quatuor à cordes en mi mineur de Beethoven.

21 h. LONDRES REGIONAL Récital de chant et de piano.

MOTS CROISES

Ilorizontalement. I. Qui fait entendre un bruit aigu (féni.). II. Abréviation postale Possessif Fin de participe. III. Délassements. IV. Mort est peu respectable Du nom d'une ville du Brésil. V. Compartiment de plafond, orné de moulures Choix méthodique. VI. En Chaldée. VII. Au plus haut point. VIII. Conduit Dieu des tempêtes. IX. Coupe le plus haut Phonétiquement mal accueilli Donné pendant que les gens se placent. X. Négation Peuplent les cimetières. XI. A des boutons et des parasites Saison Précède souvent un millésime.

a peut-être une demi-heure. « Elle » vous fait ses amitiés. 1

Comme elle est magnanime i Voulez-vous lui faire les miennes I quand vous la verrez. ainsi que mes I excuses. Et merci à vous, madame, pour les moments charmants que i j'ai passés ici.

Mon cher ami, nous pouvons dire que nous avons eu des émotions, n'est-ce pas ? Je suis navrée que les autres aient été si monotones. Si David Kames que j'avais invité avait i été des nôtres, c'eût été différent, mais le vilain s'est excusé à la dernière minute.

David Kames ? Qui est-ce ? Est-ce que je le connais ? murmura Reggie sachant bien qu'il ne lui avait j jamais parlé mais que Kames était l'individu exubérant et riche à qui elle avait causé lors de la garden- party, et qui avait frétillé autour de i Mme Harley, d'Alix. et des autres. Mais naturellement que vous le connaissez répliqua Lady Rosnay. Toutele monde le connaît. Il y a deux choses auxquelles on ne peut échap-' < per à la mort de Kames j Pourtant, jusqu'ici, je l'ai i évité dit Reggie en regardant

Pour le grade de capitaine d'administration, les lieutenants d'administration ALBATRO, en service en Indochine; BRIGOT, Intendance coloniale de Marseille.

Service de Santé colonial Pour le grade de médecin fietttenant-cofonel, les médecins commandants LAUHENCY, 2« d'infanterie colon:ale; FABRE, service en Afrique Occidentale ROBERT, Ecole d'application du service de santé des troupes coloniales; LEFROU, 2e d'infanterie coloniale; ROBIC, en service hors cadres en Afrique orientale; DORMOY, en service hors cadres en Afrique occidentale; DELINOTTE, en service en Indochine; BOURON, ministère des colonies; JOUHAUD, en service hors cadres en Afrique occidentale PEYRE, eq service hors cadres en Afrique occidentale; VENDRAN, 2' d'artillerie coloniale; ADVIER, en service hors cadres aux Antilles; ROQUES, Ecole d'application du service de santé des troupes coloniales.

Pour le grade de médecin commandant, les médecins capitaines (Première partie) DEJOU, 52" mitrailleurs indochinois RENUCCI. 42» bataillon de mitrailleurs malgaches AUBIN, lor d'infanterie coloniale; ANDHIEU, en service hors cadres en Indochine FAVIER, &' tirailleurs sénégalais; ROBIN, dépôt des isolés des troupes coloniales: GRALL, 13e tirailleurs sénégalais; VAISSEAU, en service hors cadres aux Antilles PAUTE, 1"' d'artillerie coloniale VARRIN, Ecole d'applncation du service de santé des troupes coloniales; P1NCOX, dépôt des isolés des troupes coloniales; GARCIX, 16" tirailleurs sénégalais: CARRIERE. en service hors cadres en Afrique occidentale; RABOISSON, service hors cadres au Pacifique; MAZE. 2° d'infanterie coloniale.

Deuxième partie KERVIXGANT. en service hors cadres au Parifique; LE TALLEC, en servce en Afrique equatoriale; BUQUET, en service en Chine CABIRAN, en service en Afrique équatoriale; PIERI. en service hors cadres en Afrique orientale française; GRINSARD, Ai service hors cadres, Afrique occidentale: DURAXD, en service en Indochine VIALARD-GOUDOU, d'infanterie coloniale; PALUD, en service en Chine GUITTOX, Ecole des apprentis mécaniciens de Rochefort: LANZALAVI. tirailleurs sénégalais; HOCHSTETTER. en service en Afrique occidentale; ROUQUET. en service en Afrique equatoriale; PASSERIEUX. 4e tirailleurs sénégalais; RENAUD, en service hors cadres en Afrique occidentale; BESSON, 48" d'infanterie.

Pour le grade de médecin capitaine, les médecins lieutenants PALINACCI. 1" infanterie coloniale; JOURXE, 12° tirailleurs sénégalais; MASSAL, en service hors cadres au Pacifique; RICHE, dépôt des isolés des troupes coloniales: LUTROT, 1" d'infanterie coloniale; GONTIER. 12° d'artillerie coloniale; BLAES, en Indochine; TEITGEN. en service en Algérie: COUEDIC. 3» d'artillerie coloniale; PERET. en service hors cadres au Cameroun; ROUSSON. 3e d'infanterie coloniale: DAVID. 16« tirailleurs sénégalais; REYNES, 2" d'artillerie colpniale CHALLIER. d'artillerie coloniale: PICLET, hôpital militaire de Fréjus: MISTHOT, en service en Indochine: ASSELOT. en service hors cadres en Afrique équatoriale ESPLAX. 12e d'artillerie coloniale. JUNIEN-LAVILLAUROY, en service au Maroc GALAUP, 16* tirailleurs sénégalais; ETHES, 21» d'infanterie coloniale, Pharmaciens

Pour le grade de pharmacien colonel, le pharmacien lieutenant-colonel KERUZOHE, en service en Afrique orientale. Pour le grade de pharmacien lieutenantcolonel. le pharmacien commandant GUICHARD, en service hors cadres en Indochine.

Pour le grade de pharmacien commandant, les pharmaciens capitaines WOLTZ. en service hors cadres en Afrique orientale CI.EC'H, hôpital militaire de Fréjus; COSLEOU, en service hors cadres en Afrique orientale.

Pour le grade de pharjnacien cuvitaine, les pharmaciens lieulenants LAVIEC. en service hors cadres en Afrique occidentale; GIBOIN, en service hors cadres aux établissements francais de l'Inde.

Officiers d'administration

i .Pour le grade de lieutenant-colonel d'administration, le commandant d'administra» tion MALASPINA, service de santé du com-

MUSIQUE LEOERE ET VARIETES

14 h. 30 PARIS P. T. T. Emission enfantine. 14 h. 30 TOUR EIFFEL (Station Coloniale): Musique variée.

19 h. 40 MILAN Le Ruban jaune, opérette de Serge Vacari.

20 h. 5 SUISSE ALLEMANIQUE Xo, no, Nanette, opérette de Journans.

21 h. 10 RADIO CITE Relais de l'Odéon de Marseille, nouvelle revue marseillaise d'Alibert Les Gangsters du Château d'If.

22 h. 15 POSTE PARISIEN Sketcû inédit de Max Régnier.

OPERA

20 h. 2S TOUR EIFFEL De l'Opëra-Comique La Vie de Bohème. de Puccini,

THEATRE

17 h. RADIO-PARIS Matinée classique.

Verticalement. 1. D'une manière rigoureuse. 2. Prénom féminin Produit par le croisement de sujets de races différentes. 3. Hépond à des injures par d'autres. 4. Noirs dans un certain langage Tranchés. 5. Célèbre feu.lletoniste Plein épanouissement. 6. Détériora Arbre qui borde les avenues Conjonction. 7. Retentit dans les églises Se dit pour « imbécile ». 8. Embrouillées, 9. Dans les Deux-Sèvres Issu de. 10. Occuper. 11. Du verbe être Illusoire. Solution du 1224

rêveusement son interlocutrice. Et il ajouta à propos, à quel moment Kames s'est-il excusé 2 Est-ce avant que le singe expire ?

Oh oui, bien avant. Il m'a téléphoné cela jeudi.

Vraiment, murmura Reggie. Bon. Au revoir.

Mais, mon cher, elle se haussa dans son hamac en montrant des jambes qui étaient encore jolies, et chuchota confidentiellement, vous n'avez pas fini avec cette affaire, n'est-ce pas ? Quand vous aurez découvert quelque chose, vous me le direz tout de suite, hein '? Oui. Je vous tiendrai au courant quand je serai prêt. Vous pouvez en être sûre. Au revoir.

Il la quitta, rejoignit sa voiture et commanda à son chauffeur de conduire à tombeau ouvert.

CHAPITRE XVI

Industrie chimique

La course se termina à l'hôpital où Reggie avait son laboratoire. La première chose qu'il fit en y arrivant fut de téléphoner à sa femme Oui, c'est moi. Je vous parle

mandement supérieur des troupes coloniales dans la métropole.

Pour le grade de commandant d'admi. nistration, les capitaines d'administration C SIMON, en Afrique Occidentale française; GRISONI, en service aux Antilles. Pour le grade de capitaine d' administra*tion, 1 leltn'uelsnioeuntl

lion, les lieutenants d'administration: Ca«GNET, détaché il, la direction des troupe» coloniales BOÙCHIAT, en service nor» cadres au Pacifique.

Cadre spécial

du Service d'état-major Pour le grade de lieutenant-colonel, le commandant LALOUP, de la région. Pour le grade de commandant, les capitaines CHASTANG, état-major de l'armée CARPENTIER, état-major de la 17e région; MARCHAND, à Pétat-major du gou.vernement militaire de Metz.

Les capitaines AULONG, état-major de l'armée; LIENARU, état-major de la ae région VALEXTIN, état-major du département de la Seine.

Pour le grade de capitaine, les lieutenants PIXELLI, à l'ctat-mojor de la 16* région; DE ROUILHAN, à l'état-major du groupe de subdivisions de Clermont-l'errand.

Service du recrutement

Pour le grade de colonel, les lieutenantscolonels (Reliquat du tableau de liKÎH) LAXCIEN, «» Bureau de la Seine; ROBERT, de Rennes; PAYCHEXQ, de Montpellier OJURIEUX, 1" Bureau de la Seine. Pour le grade de lieutenant-colonel, le» chefs de bataillon Kl'ELUI, d'Orléans; LEMOYXE. de Besançon; FONTAINE, d'Epinal; DENIS,' de Vannes; MOREL, de Valence; SERRANT, de Quimper; BARBIER, d'Arras; ROCHUT, de Chuumont.

Pour le grade de chef de bataillon, les capitaines VASSEUR, section spéciale de recrutement indigène de Constantine; CORRARD, section spéciale de recrutement indigène d'Oran; CAZI, de Melun.

BRIN, de Toulon; GUILHEM, de Montpellier MAKQUAY, de Tarbes; BIEN AIME, d'Angouléme; BONHOMME, section spéciale de recrutement indigène de Sétif VERNIER, de Belfort; CHACUN, de Brest; BLONDEL, de Poitiers .IOFFE, section spéciale de recrutement indigène de Guelma; MARCQUE, de Lille; EVEN, Bureau central de recrutement de la Seine CHEVANCE, d'Auxerre; ANSELME, de Moulins; PASTOR, de Lons-lc -Saunier BOUKDIE, de Colmar; ESPAGNACH, de Casablanca; DESREUMAUX, de Chaumont MARRON, do Lyon.

Pour le grade de capitaine, les lieutenants DUPLY, de Versailles; BARBANCOX, de Limoges; Dl'BET, Bureau de recrutement de la Seine.

Corps des interprètes militaires de langue arabe

Pour le grade d'interprète commandant, l'interprète capitaine MANSOUR BEN SAAD A\'OL;B, des Affaires indigènes de Tunisie l'interprète capitaine LESVR, des Affaires indigènes du Maroc; l'interprète capitaine GERE.NTON, des Affaires indigènes du Maroc.

Pour le grade d'interprète capitaine, l'interprète lieutenant ASPINION, des Affaires indigènes du Maroc; l'interprète lieutenant MARTIN, hors cadres, à la disposition du ministère des colonies; l'interprète lieutenant BALY, professeur d'arabe et de sociologie musulmane à l'Ecole d'application de cavalerie de Saumur.

MOUVEMENTS

DE BATIMENTS

Contre-torpilleurs. Le Cassard, venant de Toulon, est arrivé à Barcelone; le Chevalier-Paul a appareillé de Barcelone à destination de Toulon; le Lion a appareillé de Toulon à destination de Cerbère; Vlndomptable a appareillé de Lorient à destination de Brest; le Tartu, venant de Valence, est arrivé à Toulon.

Le torpilleur Le Mars a appareillé de Palma à destination de Toulon.

L'aviso colonial Dnmont-d^Vrville, ^f£-* nant de la baie de Cani-Ranh, est arrivé à Port-Dayot.

B]R]HD<GrJE

Problème 117 bis A. REYNALD

Pique B 0 V 10 S $

Cœur 3

Carreau A V 9 5

Trèfle A 5

Pique A 3

Cœui' A R G V Carreau 0 8 7 Trèfle B 0 2

Pique S (

Cœur 8 6 14 4 Carreau 6 4

Trèfle V 18 86 4

Pique 9 7 2

Coeur 10 9 7

Carreau R 10 3 2

v Trèfle 8 7 3

BRIDGE-CONTHAT

Déclarations

G B D A

2 cœurs 4 piques passe passe D attaque avec le 8 de cœur

La solution paraîtra le 6 janvier Solution du problème 116 bis paru le 24 décembre

A. KEYNALD

Les six dernières levées appartiennent à A. A et B font grand chelem.

~#####"#########~4

Ail cas d'abonnement combiné ait FIGARO illustré. prière de spécifier nettement si le changement doit être observé également pour l'enuoi du FIGARO illustré. qui s'effectue au début de chaque mois.

du labo j'en ai terminé à Langton, ma chérie. Tout va bien. J'ai eu un étrange week-end, mais fort utile. Je vais voir Lomas. Je serai peutêtre obligé de m'absenter quelques jours et de partir ce soir-même. J'ai envie d'aller voir Stein, mais pour tout le monde je serai à Glasgow et personne ne devra se douter du but de mon voyage. Vous êtes ua amour. vous ne le saviez pas ? 2 Il causa ensuite avec son préparateur la raison d'être des préparateurs est de soulever des objections, c'est pourquoi Heggie quitta lc laboratoire rêveur et peu coni vaincu. Prenant un taxi, il se rendit chez le docteur Anncler. Ce chii miste rondelet entra précipitamment dans la salle où Reggie l'attendait. Bonjour, bonjour, fit-il. Vous me donnez une tâche bien ardue, Fortune v

H. C. Bailey.

(A suivre.)

Ttmit français de

Simore Saint-Clair.

(Copyright bij Simone Saint-Clair 1936)


L

LE TOURNOI DE NOEL DE TENNIS

Mlle Jacqueline Goldschmidt triomphe au finish de l'Anglaise Miss Yorke APRES UN MATCH ACHARNE, H. CATTEAU BAT JAMAIN

Quelle émouvante fin de match entre Mlle J. Goldschmidt et miss Yorke, hier, au Sporting Club de Paris. Durant deux sets les deux rivales avaient fourni un rude effort, sans être parvenues à se départager elles engagèrent dans l'ultime manche, une bataille sans merci. Et voici que miss Yorke eut deux balles de matches deux fois, concentrant sa volonté et malgré la fatigue, maîtrisant ses nerfs, Mlle Goldschmidt réussit à se tirer de cette situation critique. Le jeu se poursuivit très lent, chaque geste demandant aux adversaires un nouveau surcroit d'énergie. Eniin, après un dernier set de vingt jeux, Mlle Goldschmidt arracha la victoire les deux- rivales étaient exténuées. Le second match vedette de la journée opposait, en double, Bolelli et Glaser à Schroeder et Otsberg, équipe championne de Suède. Les deux Français jouant brillamment leurs chances à la volée, tinrent tête à leurs adversaires, malgré la vigueur des services et des attaques suédoises et, finalement, après un match passionnant, éliminèrent leurs rivaux.

Le duel que se livrèrent pour la Coupe Carmona réservée aux jeunes gens J. Jamain et Catteau retint pendant deux heures l'attention des spectateurs. Surpris par la mise en action rapide de Catteau, Jamain se laissa distancer au premier set. SKI

LES CHAMPIONNATS de la Fédération Parisienne Aux Houches. les 2 et 3 janvier, la Fédé,ration parisienne de ski fera disputer ses championnats. Quatre clubs y seront représentés par leurs meilleurs spécialistes. Voici, en effet, la liste des concurrents Ski Club de Paris. Descente et slalom Allais, Beckert, Allart, Morand, Seigneur, Eonnet, Brandicourt, Auvray, R. Gignoux, Mussat J. P., Mussat Yves, Jahard, Cotton, Bonamour, La Caze, Menard, Astruc, Dauchez, Masse, de Andia, Ostermaier, Barbezat, Reynaud, Clostres.

Mlles Martineau, Brandicourt, La Caze, de la Freynange, Martin.

Fond Brandicourt, Cotton, La Caze, Ostermaier, Vallot.

Saut Brandicourt, Eonnet, Beckert, Ostermaier.

Ski Club Alpin Parisien. Descentes et slalom de Geoffre, de Chabrignac, LaboiP' chère, Deschiens, Ewald, Baquet, Lafforgue René, Lafforgue Maurice, Brunet Bernard, Haraut Jacques, Tuot, Barbey, Tournet, Ranarivelo.

Fond Ewald, Bacquet, Ranarivelo. Saut Lafforgue René, Lafforgue Maurice. Stade Français. Descente et slalom Dardannelle, Goldstein, Vignon.

Fond Delinotle, Leclerc, Lefebvre, Dibon.

Club des Sports d'Hiver de Paris. Descente et slalom de Rosambo.

.«.

NOUVELLES AERIENNES Avant le départ

de M. Jean Brun

pour les Etats-Unis

Le personnel de la direction du réseau continental d'Air-France s'est réuni lundi, au Bourget, pour offrir un souvenir à M. Jean Brun, ancien directeur du réseau continental, avant son départ pour les EtatsUnis, départ fixé au 6 janvier.

A l'issue de cette réunion, M. Meyer a pris la parole et rappela l'œuvre entreprise par M. Jean lirun, qui avait su apporter duns ses relations avec ses subordonnés une autorité amicale et doter les services d'Air-France du Bourget d'une organisation qui peut êlre donnée en exemple. !aitisation

L'aviation sportive

•^ L'équipage Laurent Touge Lénier, dont on était sans nouvelles depuis le 24 décembre date de leur départ de Dar-EsS?lam et qui tentait le raid Paris-M Réunion via Mozambique et Madagascar, a réussi dans son entreprise:

Les trois aviateurs ont atteint, en effet, lupdi mr.tln, l'île de la Réunion, but de leur voyage, à bord de leur Farman 190, moteur Lorraine-Algol.

Rappelons que la première liaison Francelie de la Réunion fut effectuée, en octobre 1929, par Marchesseau, Goulette et Bourgeois.

Les aviateurs James Mollison et Llẽwellyn tenteront séparément, au cours du mois de janvier, de battre le record détenu par Mrs Mollison sur le parcours aérien Londres-Le Cap et retour.

Mollison a, en effet, écarté la suggestion d'une course faite en compagnie de Llewellyn. Ce dernier, tout en regrettant la déci- sion de Mollison, a déclare qu'il partirait de toute façon le 23 ou le 24 janvier. On iguore encore la date à laquelle Mollison prendra le départ.

Les petites annonces peuvent nous être transmises Par téléphone 1 de 9 h. dn matin à 6 h. du soir (saut dimanches) de n'importe quel bureau de poste ou cabine téléphoniuue publique de Paria et de la Seine. et de leur poste personnel par les abonnés au télé- phone. Ligne spéciale Elysée» 30-86. 1

INSTRUCTION -ÉDUCATION

Pour l'orientation des études de nos enfants, les résultats du trimestre qui vient de s'écouler sont de toute importance. Si ces retullats sont satisfaisants, il n'y aura qu'à veiller à maintenir le niveau du travail si au contraire ils accusent une faiblesse particulière dans certaines branches, il faut y remédier sans tarder.

Je pense en écrivant ces lignes aux (levés dont les mathématiques sont le cauchemar, et plus spécialement aux élèves de 4e, qui commencent la géométrie et n'y comprennent rien. S'ils continuent leur année qfnsi handicapés, on devine qu'il leur faudra subir un examen de passage et, qui sait, même redoubler leur classe.

N'attendons pas cette extrémité Pour agir et leur signaler /'Ecole d'initiation aux mathématiques par correspondance (1), qui avec une méthode d'enseignement spécialisée peut, avec un programme de 20 leçons, redresser le niveau des retardataires et leur permettre d'avoir leur moyenne.

la géométrie est la clef de voûte des cours de mathématiques. Si l'on n'en a pas compris les principes fondamentaux, c'est toute une année d'études qui peut en être compromise. A. DE B.

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Il réussit cependant à prendre son rival en défaut par des répliques précises mais Catteau, attaquant à la volée emporta ce premier set. Mais Catteau se ressentit des efforts fournis pour arriver à ce résultat. Il tenta bien encore de prendre son adversaire de vitesse, mais ce dernier, s'appli- quant, commit très peu de fautes et acquit la seconde manche.

La troisième débuta au net avantage de Jamain, qui profita avec beaucoup de décision des moindres fautes de Catteau il Il mena bientôt par 5 jeux à 1. La cause semblait entendue, lorsque Catteau, en un effort remarquable, brisa net la cadence de son vis-à-vis. Lentement, avec beaucoup de cran, il remonta son handicap et malgré sa volonté, Jamain dut lui concéder la victoire.

Voici les résultats

Simple messieurs, tableau final, 1" tour:

Jacqueline Goldschmidt

Bouy b. Moreau (Belg.), 6-1, 9-7; P. Goldschmidt b. Van Swol (Hol.), 6-1, 6-3; C. N. Jones (G.-B.), b. S. Nystrom (Suède), 6-3, 7-5; P. Pellizza b. L. de Borman (Belg.), 6-2, 6-1. Simples dames, tableau final, 1" tour Mlle J. Horner b. Mrs E. C. Peters, 6-1, 6-3; Mme S. Gorodnitchenko b. Mme Epstein, 6-3, 0-1.

Quart de finale Mlle J. Goldschmidt b. miss W. Yorke (G.-B.), 6-2, 4-6, 11-9; Mme M. Bernard b. Mme Varin, 6-2, 7-5. Doubles messieurs, tableaux éliminatoires N° 2 demi-finale De Galéa-H. Catteau b. Papillon-Roux, 7-5, 6-3.

N° 3 demi-finales J. Jamin-P. Pellizza b. Blanchard-Pinet, 0-1, 6-1; S. Nystrom-Van Swol b. Augustin-Dessair, 6-2, 6-4. Finale J. Jamain-P. Pellizza b. Van Swol-Nvstrom, w.-o.

N° 4 demi-finale Kho Sin Kio-R. Rodel b. Harismondy-Lasserre, 6-1, 6-2.

Tableau final quart de finale H. BolelliG. Glasser b. K. Schroeder-Otsberg, 7-5,

Double dames quart de finale Mlle J. Horner-Mlle A. Neufeld b. Mme Morel-Deville-Mlle Bertrand, 6-1, 6-2; miss YorkeMrs E. C. Peters b. Mlle Stevens-Mme Saveslbergh, 6-1, 7-5.

Double mixte, tableaux éliminatoires Mme Ptette-P. Goldschmidt b. Mme VarlnC. N. Jones, 6-4, 6-0; Mme Saveslbergh-R. A. Shayes b. Mme Caron-Culbeit-S. Nystrom, 6-0, 12-10; Mme Aubert- H. Bolelli b. Mme Saveslbergh-R. A. Shayes, 6-4, 6-3; Mrs E. C. Peters-L. de Borman b. Mme MauiardDessair, 6-4, 6-4; Mlle J. Horner-P. Féret b. Mme Enegrand-Van Swol, 6-4, 6-2. Coupe Carmona, simple jeunes gens, demifinale H. Catteau b. J. Jamain, 7-5, 3-6,

Cet après-midi Bolelli

contre Schroeder

Sur le court central

11 h. Goldschmidt c. H. Catteau. 12 h. J. Brugnon c. J. Lesueur. 13 h. P. Féret c. C. N. Jones.

14 h. J. Jamain c. C. Otsberg.

15 h. H. Bolelli c. K. Schroeder. 16 h. Ch. Boussus-P. Féret c. A. LacroixL, de Borman.

17 h. J. Lesueur-J. Brugnon c. P. Petlizza-J. Jamain ou S. Nystrom-Van Swol. 18 h. 30 Mme C. Boegner-J. Borotra c. Mrs E. C. Peters-L. de Borman.

Sur les autres courts

10 h. Gaste c. Royer.

11 h. Fabre c. Monteux.

12 h. Adelus c. Fath.

13 h. 30 Papillon c. P. Pellizza; Mlle S. Pannetier c. Mlle J. Horner.

14 h. Mme Aubert c. Mme S. Gorodnltchenko.

15 h. Kho Sin Kie-R. Rodel c. C.N. Jones-R. A. Shayes ou M. Combemale-J. Michel.

16 h. Mme Piette-P. Goldschmidt c. Mlle S.' Barbier-C. Otsberg.

19 h. P. Pellizza c. Schwarz (Coupe Carmona).

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A PROPOS

des matches poursuite et de leurs meilleurs spécialistes actuels

Les commentaires ayant souligné la ré- cente victoire de Gérardin sur Kaers en match omnium prouvent, une l'ois encore, la faiblesse de certaines méthodes pubiici- j taires. Au lendemain du match, peu nom- breux furent ceux qui signalèrent le mau- vais état de santé du champion belge qui, après avoir avoué sa mauvaise forme, dé- j clara qu'il se tenait à la disposition de son

rival pour une revanche à disputer à Paris

ou en Belgique, cette proposition ayant été faite avant le départ de a deuxième man- che du match.

Après le match, quelques journalistes i-e- poussèrent les affirmations de Kaers, s'ingénièrent à expliquer sa défaite en donnant des temps, les temps de la journée dont la valeur est fort relative. J C'est, du reste, en établissant une corn- paraison entre des temps qu'il est permis de se faire une idée à peu près exacte sur la valeur ou sur la forme de Gérardin, qu'il s'appelle Gérardin ou Kaers.

Repoussons, tout d'abord, quelques raisons plus ou moins scientifiques, parmi lesquelles Il en est une prétendant que Gérardin, plus léger, doit démarrer plus vite que son adversaire qui, plus lourd, doit terminer plus rapidement. Dans le match-poursuite qu'il disputa contre Kaers, si Gérardin démarra plus vite et prit, dans le premier tour, deux cinquièmes de seconde à son adversaire, celui-ci est capable de faire mieux, puisque, le 25 novembre 1934, en poursuite contre Leducq, il boucla son premier tour en 22 secondes, soit un temps meilleur de trois secondes que celui de Gérardin. Dans ce match, Kaers rejoi- gnit Leducq après 1 km. 950 de poursuite, effectués en 2 m. 17 s. 3/5, après avoir réussi sur 1.750 mètres un temps meilleur de 4 secondes 2/5 que celui de Gérardin. Pour ce qui est des meilleurs spécialistes de la poursuite, rappelons ceux qui ont été réussis par Olmo, le 25 novembre 1934, dans un match contre Archambaud, et comparonsles à ceux de Gérardin, comparaison d'autant plus régulière que les deux hommes totalisèrent le même nombre de tours. Olma réussit, successivement, et par tour de deux cent cinquante mètres 22 s., 17, 17 3/5, 18, 18 3/5, 18 3/5, 18 4/5, 19 2/5, 19, 19, 19 2/5, 18 4/5, 18 4/5 et 19 2/5, alors que Gérardin ne put faire mieux que 22 s. 3/5, 18, 18, 18 3/5, 17 4/5, 18 3/5, 19 1/5, 104/5, 20 2/5, 19 4/5, 19, 20 2/5 et 18 3/5, soit, au total, une différence de 5 s. 3/5. Cette étude un peu fastidieuse fournira une ligne sur la forme actuelle d'Olmo qui, après avoir battu Richard onze fois pour quatorze matches, se voit considéré comme un adversaire inférieur, après avoir été battu dimanche dernier par son adversaire qui, sur la distance, a réussi un temps in- férieur de douze secondes à celui d'Olmo j et de six secondes deux cinquièmes à celui de Gérardin. G. Delplanque. NATATION. A Rotterdam, la nageuse hollandaise Mastenbrock a réussi a améllo- rer de onze secondes le record du monde des 400 mètres dos. qu'elle détenait déjà, avec 5 m. 59 s. 8y 10. SKI. La Fédération parisienne vient de procéder à l'admission de trois nouveaux clubs la section de montagne du Cercle Sportif du Midi (groupement d'agents du P. la section de ski de l'Associa- tion Sportive de la Faculté des Sciences, et la section de ski de l'Automobile-Club ardennais. LES COURSES A NICE

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MOUVEMENT JUDICIAIRE Sont nommés Président du Tribunal de Montreuil-sur-Mer, M. Projean président du Tribunal d'Oudjda, M. Joulin président à Sarlat, M. Roucou vice-président à Strasbourg, M. Franck.

Juges

A Casablanca, M. Richard à Fès, M. Bonassies à Dijon, M. Buchcjjaud à Reims, M. Prouts à Valenciennes, M. Canet à Albi, M. Cassagnou à Aurilltu:, M. Brigand à Evreux, M. Mazen à Loudéac, M. Chauchix à Remiremont, M. Cotelle. Procureur de ta République à Sarlat, M. Raynal Substitut du procureur de ta République il Quimper, M. Desiry.

Substituts

A Strasbourg, M. Albaut à Colmar, M. Itack, à Orléans, M. Leheup.

Sont nommés, juges suppléants rétribués pour exercer leurs fonctions dans les ressorts des Cours d'Appel ci-après désignées Bordeaux, M. Gaschet Rennes, M. Moret. Sont nommés juges suppléants rétribués pour exercer leurs fonctions dans les ressorts des Cours d'Appel ci-après désignées Montpellier, M. Arbousset Chambéry, M. Douvre Paris M. Aymond Paris, M. Prudon Aix, M. Pascal Paris, M. Lecorché Montpellier, M. Lapeyre Rouen, M. Daniel; Montpellier, M. Sarradet Bordeaux, M. Robert Caen, M. Ronsin Dijon, M. Moreau Agen, M. Suquet Riom, M. Brunel Nimes, M. Lourd Douai, M. Paris Rouen, 51. Bouet Lyon, M. Monestier Nimes, M. Rousset-Favier Grenoble, M. Altairac Douai, M. Foucart Bordeaux, M. Duc Besançon, M. Garrigues Colmar, M. Heim Nancy, M. Legrain Caen, M. Blouet Amiens, M. Henry Colmar, M. Hermann Rennes, M. Samy Grenoble, M. Thibaut Chambéry, M. Aynes Rennes, M. Barc Grenoble, M. Bayle Grenoble, M. Bérenger Agen, M. Bonnet Lyon, M. Brunat Douai, M. Chartier Poitiers, M. Cibiel Besançon, M. Comet Limoges, M. Coquelin Rennes, M. Demangeat Poitiers, M. Dufour Dijon, M. Fougères Poitiers, M. Franchassin Amiens, M. Hellé Nancy, M. Isaac Riom, M. de Leusse Bourges, M. Malingre Rouen, M. Mongin Amiens, M. Noël Riom, M. Primat Caen, M. Rouquet Orléans, M. Wagner.

Sont nommés attachés titulaires au ministère de la Justice

MM. Bertrand, Delacroix, Monteil, Raoult. Sont nommés attachés titulaires au ministère de la Justice

MM. Thibaud, Zamulo, Lavedan, Dullin, Léon.

Sont élevés à la deuxième classe et maintenus dans leurs fonctions actuelles MM. Dumas, Rosec, Lepont, Dutilleux, Latreille, Guignon, Odin, Lorgnier, Boesch, Gojon, Novel, Lombard, Burgode, Blanchet, Dubarry, Dautriche, Thuriet, Spinner, Livinnec, Bes, Roux-Freissineng, Touzet, Fatome, Barbier, Wolf, Bot, Du Colombier, Tison, Rouille, Delestrée, Depaule, Mazet.

DEPLACEMENTS

ET VILLÉGIATURES DES ABONNÉS DU FIGARO Mme Maurice AUBERTIN, à Saint-Cloud M. le comte P. D'ARUNDEL DE CONDE, à Evreux; M. D'ANDURAIN DE MAYTIE, à SaintJean-de-Luy Mme la comtesse D'AUMALE, à Bourges; M. le marquis D'ANDIGNE, ,à Montdidier Mme ARMAND, à Londres.

Mme la marquise DE BREMOND D'ARS à Valescure Saint-Raphaël; Mme J. DE BAVIER, à Rapallo Mlle DE BOISMONT-BRUN, à Dreux M. et Mme Georges BARBET-MASSIN, à Bayonne Mme Victor BLUET, à Boisguillaume Mme la baronne DE BONTIN, à La Celle-Saint-Cyr Mme S. BANDINEL, à Cauxsur-Montreux Mme Marcel CARON-SAVALLE, à Béliobie.

M. le comte DE CHARPIN FEUGEROLLES, à Hyères; Mme la comtesse DE CHATEAUBRIAND, à Alger; Mme la comtesse DE CRISENOY. au château de Rabut; Mme Maurice CHEVASSU, Le Mourillon-Toulon; Mme la comtesse DE CHAMPGRAND, à Herbault; Mme la comtesse DE CHAMPAGNY, née Curel, au château de la Coste.

Mme DUJARDIN. à Montana- Verraale. Mme Pierre FOUGERON, à Orléans

Mme veuve GAILLARD-LURQUIE, à Bordeaux Mme la duchesse DE GRAMONT, à Fontainebleau.

Mme Louis LENOEL, à Leysin-sur-Aig!e M. le comte DE LA BAUME, ,à Beaupréau; M. Louis LECOCQ. à Epinal; Mme Ch. DE LINIERE, au Mans: Mme Robert LESEBLE. à Roquebrun», Cap Martin; Mme LEROUX, à Saintes; M. René LESEBLE, à Roquebrune, Cap Martin. M.. Joseph MOULIN, ,à Grenoble; Mme 511CHEL-MAYER, à Biarritz; Mme Paul MAYER, à Envermeu.

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Mme la comtesse Th. D'OILLIAMSON, au château de Saint-Vrain.

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