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Titre : Figaro : journal non politique

Éditeur : Figaro (Paris)

Date d'édition : 1936-09-25

Contributeur : Villemessant, Hippolyte de (1810-1879). Directeur de publication

Contributeur : Jouvin, Benoît (1810-1886). Directeur de publication

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34355551z

Notice du catalogue : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb34355551z/date

Type : texte

Type : publication en série imprimée

Langue : français

Format : Nombre total de vues : 164718

Description : 25 septembre 1936

Description : 1936/09/25 (Numéro 269).

Description : Collection numérique : BIPFPIG63

Description : Collection numérique : BIPFPIG69

Description : Collection numérique : Arts de la marionnette

Description : Collection numérique : Commun Patrimoine: bibliothèque numérique du réseau des médiathèques de Plaine commune

Description : Collection numérique : La Commune de Paris

Description : Collection numérique : France-Brésil

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k409253r

Source : Bibliothèque nationale de France

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 15/10/2007

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La situation

.u.·w

monétaire d Les récentes exporta- a tions d'or ont causé une

^^BË certaine alarme au sujet

de la situation monétaire. li( Depuis quarante-huit heures, le bruit re a été répandu, dans divers milieux, pl qu'un embargo sur les sorties d'or de- te viendrait nécessaire à plus ou moins ra bref délai. Pi Mais, hier, la Banque de France, d( en même temps qu'elle déclarait une perte d'or de 840 millions, a marqué q; son intention de résister au courant SE elle est revenue au moyen classique r de défense de la monnaie par un re- E lèvement de deux points du taux de l'escompte.

Cette mesure doit assurer une marge de temps pour examiner le problème de sang-froid.

La pression des vendeurs de francs a beaucoup augmenté sur le marché = international dans la dernière quinzaine. Elle s'est accrue brusquement, à Londres en particulier, lorsque notre gouvernement, ayant arrêté et ren- ( du public le produit de l'emprunt, an- = nonça aussitôt que cet emprunt serait suivi de nouvelles émissions sous d'autres formes.

C'est principalement le nïarché international qui accentue la tendance l défavorable au franc. Jusqu'au mois J de septembre, il doutait des chances financières de l'expérience en cours, mais n'excluait pas l'hypothèse d'une amélioration pouvant résulter de l'apaisement des conflits sociaux et d'une certaine reprise des affaires. L'ouverture d'une nouvelle phase de grèves, accompagnées d'incidents et d' « illégalités persistantes, a sapé cette hypothèse au moment le plus délicat. En effet, nous sommes à l'époque de l'année où l'industrie et le commerce français font à l'étranger de gros achats de matières premières la nécessité de trouver une double couverture sur le marché international, contre la hausse du prix des matières et contre l'incertitude monétaire, de- s vait amener une abondante liquida" l tion de francs. L'embargo sur l'or peut-il être dé- ( crété par une simple initiative du gou- i vernement ? S'il s'agissait de sus- 1 pendre la convertibilité du billet de t banque, c'est-à-dire d'abroger ou de t modifier la loi de 1928, nous croyons t qu'il faudrait une nouvelle loi, par conséquent un vote du Parlement. i Mais, par le détour d'une réglementation douanière ou d'une taxation, le 1 gouvernement peut arrêter les mouve- i ments d'or, dans la mesure où il ne j gênerait pas le commerce extérieur, en ] particulier les achats de matières pre- 1 mières nécessaires à la subsistance de 1 l'industrie et des consommateurs. A vrai dire, c'est par rapport à l'équilibre des prix qu'il faut prévoir les mesures à venir si l'on ne veut pas jeter inutilement la France dans un chaos économique et social, à l'heure du plus grand danger extérieur. Laisser la monnaie flotter, avec une politique d'inflation, une hausse des prix désordonnée, des troubles intérieurs, des frontières ouvertes, serait courir à toute sorte d'aventures et s'offrir aux coups du dehors.

D'autre part, la France n'a ni le tempérament à supporter ni les moyens administratifs de faire fonctionner un régime économique et financier de caractère « totalitaire ». Il faut donc calculer le possible, sans esprit de système, sans complaisance pour l'improvisation ou les nuées, et dans l'ordre.

Lucien Romier.

LE TEMPS PROBABLE

Région parisienne. Temps assez chaud et assez beau nuageux avec éclalrcles', brumeux par places le matin; rares orages. Vent sua faible.

Température en faible hausse. Maximum

fi *> dôE" rés

Visibilité moyenne à assez bonne l'aprèsmidi.

Manche. Temps instable, nuageux avec ̃éclaircies, averses ou orages passagers. Vent slid modéré. Température stationnaire.

Mer agitée.

Sud-Ouest. Temps moins chaud, orageux. nuageux avec belles éclaircies; averses ou orages. Vent Sud à Ouest modéré. Mer agitée.

Sud-Est Temps' chaud et nuageux, nuageux avec éclaircies assez belles; orages et pluies orageuses. Vent Sud assez fort. Mer agitée. Alpes, Pyrénées. Temps chaud et variable très nuageux avec éclaircies. averses; et orages surtout sur les faces Ouest et Sud. Température stationnaire.

(Voir l'évolution générale et la carte du temps à la page des Sports.)

LE BAROMETRE BOURSIER

^v% /t^, ffi\

RENTES i \y françaises/ ^nationales'

Uvre 76,98 contre 77,01.

Dollar 15,19 inchangé.

Lire en page 7 « LE FIGARO

ECONOMIQUE ET FINANCIER »

DEMISSION PROCHAINE ie Mn£ Joiliot-Curie Sous-secrétaire d'Etat iux recherches scientifiques Nous croyons savoir que Mme Jol)t-Curie, sous-secrétaire d'Etat aux cherches scientifiques, qui vient de irtir pour l'U. R. S. S., aurait l'inntion de démissionner dès les preiers jours du mois d'octobre. Elle sedt remplacée par le professeur Jean errin, de la Faculté des sciences, qui jit être mis bientôt à la retraite. La tuse de cette démission serait due à 5S divergences d'ordre technique lant à l'application de décisions pries par le gouvernement.

N 2e PAGE

Une première

de M. Edouard Bourdet à l'Americaa.Club

Par GAETAN SANVOISIN

Un autre bataillon japonais débarque à Changhai

Lire nos informations en 3° page.)

LA GUERRE CIVILB EN ESPAGNE LE GENERAL CABANELLAS, Président de la Junte Nationale de Burgos, déclare à l'envoyé spécial du Figaro « Il n'y pas d'autre idéal national que le nôtre et nos adversaires sont véritablement les

serviteurs d'un pouvoir étranger. »

Une petite place biscornue. Un vieil édifice de pierres. C'est là que siège la Junta de Défense nationale de Burgos, le gouvernement provisoire blanc. D'un côté, dans le bureau de la presse, un va-et-vient constant, un bruissement de papier, un fracas de machines à écrire; de l'autre, dans le cabinet diplomatique, un silence ouaté. Puis une vaste pièce que des officiers d'état-major traversent d'un pas rapide. Enfin, une porte s'ouvre

Son Excellence, le général Cabanellas, président de la Junta nationale, va vous recevoir.

Accueil simple, direct, cordial. Le général Cabanellas, vêtu de son uniforme kaki, une écharpe écarlate nouée autour de la ceinture, debout derrière sa table de travail, me tend la main. Une barbe de patriarche, un front haut, barré de rides régulières, une bouche indulgente, un re-

Cette nuit a expiré le délai accord à Bilbao et Santandei par l'ultimatum du général Mola

Burgos, 24 septembre. Par or dre du quartier général de l'armée di nord, Radio-Burgos a lancé cet après midi un appel à Bilbao et à Santan der, en rappelant à ces deux ville que ce soir expire le délai accord dans l'ultimatum du général Mola. Après avoir répété les termes d l'ultimatum, le speaker a ajouté « Vous avez donc le choix entre 1 reddition et l'écrasement. Cet app« sera répété une dernière fois a cours de l'émission de ce soir. » Un autre appel radiophonique il vite le docteur Brocard, délégué d la Croix-Rouge internationale de GE nève, actuellement en tournée d'ins pection à Bilbao, de quitter le plu tôt possible la ville, car à partir d une heure du matin celle-ci sera soi mise à un bombardement intensif.

Quatre instructeurs de Saint-Cyr

sont changés d'affectation

T 1

L'Humanité avait demandé leur mutation 1

L'Humanité du 20 juillet dernier publiait une lettre, attribuée à un officier supérieur, où on lisait « En ̃ attendant la suppression de l'Ecole de Saint-Cyr, il faut la doter d offi- ciers de valeur et républicains et non d'officiers comme le lieutenant- colonel de Chiïly, le commandant Cordonnier, le capitaine de France. Ces officiers ne me connaissent pas; cela pour leur préciser que je ne poursuis aucune vengeance person- nelle, mais je connais leurs exploits, surtout celui de favoriser les « can- cres » fils ou neveux de généraux ». L'article qui contenait cette citation était intitulé « La République aux républicains ».

Or, parmi les mutations militaires qui paraissent ce matin au Journal officiel, on constate que quatre des officiers instructeurs de Saint-Cyr

M. Winston Churchill Yoit dans l'amitié franco-britannique le gage de la paix MM. Chautemps et Daladier assistaient à sa conférence aux Ambassadeurs

C'est devant une salle comble que M. Winston Churchill a exposé hier, avec une remarquable clarté et son habituelle maîtrise, ses vues sur les problèmes continentaux de l'heure. L'intérêt exceptionnel de sa conférence fut souligné de ce fait que, pour entendre l'ancien chancelier de l'Echiquier, étaient venus MM. Daladier, Chautemps, Pierre-Etienne Flandin (qui le reçut l'autre semaine dans sa propriété de l'Yonne), Paul Reynaud, Paul Valéry, André Maurois, Francis de Croisset on remarquait S. Exc. sir George Clerk, ambassadeur d'Angleterre, et lady Clerk, ainsi que Mme Venizelos, la plupart des représentants de la société parisienne et les plus hautes 1 notabilités de la colonie britannique. (Suite page 3, colonne 2.)

gard vif et enveloppant. C'est dans c un excellent français que le chef du gouvernement de Burgos répond à mes questions et qu'il précise d'abord le caractère du mouvement qui r a soulevé l'Espagne. C'est en premier lieu, me dé- clare le général Cabanellas, une réaction contre l'agression féroce s des forces révolutionnaires interna- t tionales contre tout ce qui est es- s pagnol. C'est, ensuite, une restau- t ration de sentiments de gloire et t t de la mission historique de l'Espa- < gne. Finalement, une fois que l'Es- 1 pagne aura vaincu ses ennemis et se ( sera retrouvée en elle-même, elle entreprendra un travail pertinent 1 d'exaltation de ses valeurs nationales et de développement de ses ri-

̃ Rome exige de Barcelone la libération des deux Italiens s arrêtés à Puigcerda e Pau Perpignan, 24 septembre. On sait que deux Italiens ont été e arrêtés à Puigcerda, par le comité antifasciste.

a M. Giardini, vice-consul d'Italie à Port-Vendres, s'est rendu cet aprèsu midi à Bourg-Madame pour demander la libération de ses compatriotes. i- l'l apprit alors qu'ils avaient été e dirigés sur Barcelone. M. Giardini pria sur le champ les dirigeants du i- comité d'aviser la Généralité de Cais talogne d'avoir à remettre les deux e ressortissants italiens aux bons soins r du consul général d'Italie à Barcelone, et ce, avant minuit.

•IV 3' PAPE ·.

LA GRANDE-BRETAGNE DEVANT LE REIGH

EN ARMES

« II faut choisir entte o

a résistance et la capitulation » > •̃ Par AUGUR.

sont déplacés. Parmi ces quatre figurent le lieutenant-colonel de Chilly, le commandant Cordonnier et le capitaine de France qui avaient ïté désignés par l'Humanité comme voués au départ. Le ministre de la guerre a ajouté à ces trois noms ce[ui du lieutenant de Carné-Marcein, qui sera affecté, lui, au 131" régiment d'infanterie, les trois autres officiers étant détachés à la préparation militaire supérieure et à l'instruction des officiers de réserve dans la région parisienne.

La coïncidence est fâcheuse d'un changement d'attribution qui correspond, dans les chaires de nos écoles spéciales militaires, à une demande publiquement faite par V Humanité.

On découvre en Belgique une fabrique clandestine de grenades Liège, 24 septembre. Une fabrique clandestine de grenades a été découverte dans une fonderie de Tongres à la suite d'une descente du parquet de Bruxelles.

L'opération fut décidée à la suite de la découverte des documents contenus dans la serviette du capitaine espagnol Huerta.

Au moment où les magistrats ont pénétré dans l'usine, celle-ci était en plein travail.

Des documents saisis il résulte qu'une commande de 50.000 grenades avait été passée au début de septembre. L'usine devait fournir journellement 5 à 600 grenades. Jusqu'à aujourd'hui 7.500 grenades avaient été fournies.

D'après la correspondance saisie un camion devait, tous les deux jours, transporter les munitions vers une destination qui, jusqu'à présent, n'a pas été dévoilée.

A l'issue de l'opération judiciaire, le juge d'ïnsitWttètîôn' a ordonné la fermeture de l'établissement en attendant que tous les documents saisis aient été trans1 _>és au parque de Bruxelles.

̃hesses, assurant à tous la paix et a justice.

Plus, loin, Je président du gouver,- lement provisoire insistera à nou'eau sur cette notion de justice. Le nouvement blanc puise sa force tans le fait qu'en Navarre, en Ara;on, en Estrémadure, en Andalou.ie, il plonge ses racines dans la erre. Les fermiers, les « caseros » lu nord, les paysans de Navarre, qui ;ont accourus dès les premiers jours le leurs villages, les paysans d'Esrémadure qui défilent dans leurs ;hemises bleues et leurs gros pantaons de coton dans les rues de Casseres, le peuple de Saragosse massé levant le temple Del Pilar, voilà quelques-unes des forces sur lesquel- les s'appuie le mouvement blanc. Georges Rotvand.

(Suite page 3, colonne 1.)

Un communiste français voulait assassiner

le général Mola

Lisbonne, 24 septembre. Le journal « Diario de Noticias » annonce qu'ut communiste français, dont on ignor* encore l'identité exacte, a été arrêti aujourd'hui en territoire espagnol près de la frontière portugaise, alors qu'il essayait de se rendre à Burgoi avec l'intention d'assassiner le gêné rai nationaliste Mola.

Fouillé, il aurait été trouvé porteui d'une lettre signée par un député com muniste français dont le nom n'est pa! révélé.

Le prisonnier sera déféré devant ui conseil de guerre et, s'il est reconni coupable, il sera immédiatement passi par les armes.

LA CATASTROPHE

FERROVIAIRE DE LOURDES Le mécanicien du train tamponneur est incarcère Une téléphoniste est placél sous mandat d'arrêt

Lourdes, 24 septembre. Une morni tristesse plane sur la ville, où tous le: drapeaux sont en berne.

M. Del Monte, juge d'instruction char gé de l'enquête, a ordonné l'arrestatioi du mécanicien Sarlia, qui conduisait li motrice tamponneuse. L'examen du dia gramme de la machine a établi, en ef fet, qu'il n'avait pas obéi au signal ins crit sur ce diagramme, et qui l'informai que la voie devant lui n'était pas libre D'autre part, le juge d'instruction j signé un mandat contre Mme Ricaud téléphoniste à la gare de Lourdes. L'enquête a établi que Mme Ricaud chargée de recevoir le signal de la sta tion d'Adé, signalant la voie libre, mi en route le train omnibus sans avoi reçu l'avis de passage du premier con voi. Interrogée par le parquet, 1* télt pboniste, qui est dans un état de prc fonde prostration, aurait reconnu la vé racité des faits; elle a été laissée ei liberté en raison de son état de sant(

L'ATOTUDE. de l'Angleterre k l'égard du pacte franco-soviétique

"1 1

Les craintes exprimées

à Londres

(De notre correspondant particulier, I par téléphone) I

LONDRES, 24 septembre. Ce matin, l'Humanité accusait M. Eden d'avoir imposé à M. Blum la rupture du pacte franco-soviétique. Le Foreign Office trouve cette nouvelle fantaisiste, inventée par les communistes pour porter préjudice au gouvernement français.

Une telle accusation est trop précise pour être juste, car un ministre étranger n'a pas le droit de proposer au chef d'un autre gouvernement de dénoncer un pacte bilatéral conclu avec une autre puissance. Et cependant, on se demande si l'Angleterre ne rechercherait pas la formation d'un bloc occidental dont la Russie. serait exclue, défaisant ainsi le jeu de l'Allemagne. Aujourd'hui, les ministres anglais savent parfaitement que si un conflit russo-allemand se présentait de telle manière que la France, tenue par ses engagements, se trouvât obligée de venir au secours de Moscou, la réaction du peuple anglais serait telle, que le cabinet britannique, même s'il le désirait, n'aurait pas l'appui du Parlement pour nous venir en aide à moins que sur les côtes de la Man- che la situation devienne trop périlleuse pour l'Angleterre. Londres s'efforcerait avant tout de conserver une stricte neutralité. C'est là une question d'opinion et de jugement. Le Foreign Office s'attend à ce que prochainement l'Allemagne demande officiellement l'analyse du pacte soviétique pour participer à la conférence locarnienne. Il est à craindre que, le moment venu, lorsque le Cabinet sera saisi de la question, il présente certaines objections à la France, tendant à modifier et à préciser les cas où la garantie anglaise serait strictement appliquée. Actuellement, le Cabinet britannique n'a pas encore pleinement débattu la question de politique extérieure depuis la dernière session. Aucune décision importante n'a donc été prise même après le congrès de Nuremberg.

|6^».» Gérard Boutelleau. (Suite page 3, colonne 2.)

LES JOURS SE SUIVENT

LES FOLI ES GENEVOISES Le Journal de Genève demande sérieusement est-il une ligne qui ne soit pas sérieuse dans le Journal de Genève '? que le nouveau Palais des Nations serve à abriter une « saison de Genève.» dans l'entre-deux des Assemblées. Notre confrère fait remarquer justement qu'on pourrait donner de grandioses représentations sur la terrasse de l'Ariana, ainsi que dans la grande salle de l'Assemblée. Le bâtiment est assez vaste, assez moderne pour se prêter à toutes les initiatives. Bravo Et le Journal de Genève, qui ne lance pas ce projet en l'air, l'appuie sur des propositions concrètes. Il suggère le thème d'une saison de peinture comparai- son entre l'Ecole espagnole et l'Ecole hollandaise; d'une saison mixte Iphigénie à travers les âges sculpture, peinture, théâtre, ou Don Juaii sous toutes les latitudes. Et une rétrospective de la Belle Hélène depuis les vases grecs jusqu'à la plus récente opérette française. Parfait Les nations se retrouveraient là dans le temps et dans l'art excellent rendez-vous. Il n'y a pas de raison de limiter une initiative si ingénieuse et de ne pas inviter M. Melchior à jouer le premier acte de Siegfried celui de la forge dans la salle destinée à la conférence du désarmement; à moins qu'on n'Il fasse tinter Of fenbach « J'entends un bruit de bottes. de bottes. et « Ah que j'aime les militaires. » Et encore (sans aucune allusion à l'actualité ni à nul prince de Lippe) Voilà ce que l'on dit de moi Dans la gazette de Hollande.

Une bonne représentation de l'Africaine remuerait certainement les cœurs. Et le négus pourrait y être invité sans que l'Italie en prenne ombrage. On emprunterait avanta. | geusement au répertoire moderne quelques-unes de ses œuvres signifi- catives et dans la salle de la Paia on jouerait Pas encore Je ne vous aime pas ou Les Temps difficile: sans que le genre du lieu y trouve t I redire. Il n'y a peut-être que La Pai> d'Aristophane qu'il vaudrait mteua i garder pour une autre salle. ) Et voilà Je ne veux pas ecriri ici la scène que l'intelligente initia tive du Journal de Genève devrai inspirer à quelque revuiste un pei mordant. Mais je ne puis pas ne pa, remarquer que si le Journal de Ge s nève lui-même en est là, c'est-à s dire à proposer de transformer l< palais de la paix-en un Salzboun lacustre, c'est que vraiment la So l ciété des Nations est bien basse. Il i quinze ans Robert de Flers en fai sait une pièce; mais il ne songeai pas à y faire jouer son répertoire t Que de chemin accompli, que di '̃• pièces inutiles, que d'intrigues san mariages, que d illusions détruites ? Et quel éclat de rire sur le burlesqw monde s'il n'avait pas tant de raison

'• de nous ef f rayer l

r de nous enrouer Guermantes.

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EN PAGE 7

I- m ̃«̃̃̃̃ ^iM

l «Les Nouvelles Officielles >:

APRES L'ADMISSION DES DELEGUES ETHIOPIENS « QUE FERA MUSSOLINI ? » se demande chacun à Genève

Maire fl'Espagne va venir à l'orflre du Jour Certains États latino-américains se proposent de reconnaître le gouvernement de Burgos

La S. De N.

contre la paix Par WLAD1IÏ1IR D'ORMESSON. Il y a déjà six mois que nous avons écrit ici que la Société des nations, dans les circonstances actuelles, ne concourait plus à l'apaisement et au règlement des dif- ficultés internationales, mais devenait un organisme dangereux dont mieux vaudrait s'abstenir. Ce qui se passe à Genève ne fait que nous confirmer dans cette opinion. Incapable de rendre le moindre service à l'Europe, la Société des nations n'a pu, ces temps derniers, que brouiller les malheureuses occasions qui se sont présentées de remettre un peu d'ordre et de cohésion dans le continent. Elle offre aux manœuvriers qui ne craignent pas les jeux hardis un admirable terrain pour tenir en échec la politique des prudents et des sages. Elle sert uniquement les intérêts des perturbateurs et accable les autres d'échecs. Les seules consolations qu'elle suscite sont des consolations de procédure, dans lesquelles on s'enlise dans l'inaction et l'on se perd dans le ridicule. Mutatis mutandis, la S. des N. est devenue (en bien peu de temps!) ce qu'était la Diète du Saint-Empire à la fin du dix-huitième siècle, et pour les mêmes raisons. Dans l'affaire présente, on ne sait ce qui était le plus humiliant et le plus grotesque écarter la délégation éthiopienne par le biais d'un appel consultatif à la Cour de La Haye (admirable façon de dissimuler l'hypocrisie sous le scrupule juridique !) ou bien faire siéger, tout naturelletnent, avec les mêmes pouvoirs que les autres, un Etat dont la souveraineté, l'indépendance n'existent plus (pas plus que celles du Hedjaz, membre « fondateur », ne l'oublions pas, de la S. des N.!) et dont chacun sait parfaitement que le sort est désormais fixé Tout cela est pitoyable et ridicule Irritant surtout. Car il est extraordinaire.ment irritant de voir à quel point l'on a gâché, galvaudé, assassine les meilleurs, les plus indispen.sables principes Il était parfail d'opposer la force du droit au droit de la force, parfait de fonder une charte nouvelle de pah sur le sanglant souvenir de la Bel.

LES CONTRADICTIONS ahurissantes de Genève Un siège de vice-président est offert à Vltalie

(De notre envoyé spécial, par téléphone.)

GENÈVE, 24 septembre. Après le coup de massue que la commission de vérification des pouvoirs a asséné, hier soir, aux délégués, le président de l'assemblée a cru nécessaire de laisser à ses collègues le temps de comprendre un peu mieux le vote qui leur avait été demandé si promptement. Aussi bien n'y eut-il ce matin aucune réunion. Il fallut attendre ce soir pour qu'on procédât à l'élection des vice-présidents de l'assemblée, opération qui se fait d'ordinaire le premier jour.

Ces élections sont intéressantes. Elles sont comme un baromètre qui accuse les variations des sympathies survenant d'une année à l'autre pour telle ou telle puissance. Mais elles n'indiquent pas nécessairement les variations d'influence. Il faut croire que les sympathies pour nous s^nt des plus vives peut-être à. cause de nos difficultés intérieures car nous arrivons en tête, avec le chiffre record de 49 voix sur 52 votants. Viennent ensuite la Grande-Bretagne, la Yougoslavie" le Canada, l'U. R. S. S. et l'Italie.

Vous avez bien lu l'Italie. La situation serait comique si nous ne vivions en des temps si troublés. L'assemblée, qui a admis les délégués éthiopiens à siéger, ce qui a eu pour conséquence d'empêcher les représentants de l'Italie de venir à Genève, leur octroie généreusement un fauteuil de vice-président, lequel 1 restera vide. Ce qu'il faut retenir, c'est le geste dû, parait-il, à une initiative britannique. Il prouve que les membres de l'assemblée ont eu du remords. Malheureusement, le mal a x

gique. Mais il ne fallait pas, alors, faire participer des Etats qui n'en étaient même pas comme l'Abyssinie à cette sorte d'alliance de la plus haute civilisation. Genève crève d'un sophisme et l'Europe est sur le point de crever du même sophisme qui consiste à confondre les causes justes et les causes pourries. Il y a trois ans, c'était l'histoire de la Chine. Il y a un an, ce fut' celle d'Abyssinie. C'est maintenant l'Espagne soi-disant « gouvernementale ». Le bon sens, la tranquillité, la paix ne reviendront pas en Europe tant que les principales puissances dont nous sommes, dont est l'Angleterre n'auront pas le courage de dire « Haltelà Nous en avons assez de prendre des vessies pour des lanternes. Assez de compromettre nos responsabilités essentielles dans de mauvaises plaisanteries supportables en temps calme, intolérables à l'heure actuelle. Assez de confondre ce qui est sérieux et ce qui ne l'est pas, ce qui est sain et ce qui est malsain, ce qui est l'ordre et ce qui n'est que sa caricature. Oui. Tout est là. Tant que cette discrimination ne sera pas faite, l'Europe glissera plus avant dans le chaos, la révolution et la guerre.

Mais il y a plus est-il exact que c'est l'U. R. S. S. qui a mené le jeu pour brouiller les cartes à Genève, dans l'intention de « torpiller » toute possibilité de réunion « locarnienne » ? Si cette nouvelle se confirmait, elle serait d'une importance telle qu'à elle seule elle éclipserait tout. Elle fournirait la preuve, en effet, que les Soviets jouent le même jeu que le chancelier Hitler, c'est-àdire cherchent à noyer toute possibilité d'apaisement occidental de l'Europe apaisement occidental qui, seul, peut conduire à l'apaisement général.

Ainsi, pour des raisons exactement contraires l'un parce qu'il craint d'être pris dans un engrenage d'engagements pacifiques, l'autre parce qu'il craint d'être exclu de cet engrenage les gouvernements de Berlin et de Moscou se rencontreraient mais se rencontreraient sur le dos de l'Europe et de la paix ? Rien de plus t grave ne s'est encore passé, car les conséquences d'une telle communauté d'antagonismes apparaissent de plus en plus clairement. Wladimir d'Ormesson.

été fait et il sera bien difficile de le réparer.

Craintes et espoirs

sur la décision italienne On ne parle ici que de la décision prise hier. On en suppute les conséquences. « Que va faire Mussclini? » Telle est la question qui est sur toutes les lèvres. On a appris successivement que le Duce avait convoqué les ambassadeurs de France e' de Grande-Bretagne et qu'il avait reçu le docteur Frank, ministre du Reieh. «C'est bon signe, disaient les uns, car s'il avait voulu quitter la S. D. N. il aurait réuni dès ce matin le Grand Conseil fasciste, et il aurait pris la mesure en un quart d'heure. » Mais d'autres répondent « Attendez, la partie n'est pas finie. L'Italie ne quittera pas Genève, ,mais elle se vengera sur un autre terrain, celui de la conférence à cinq. » Et ainsi les heures passaient dans l'attente.

La matinée fut rompue par la nouvelle que le Négus avait convoqué la presse. On accourut, car on s'attendait à des déclarations sensationnelles. Mais nous fûmes déçus. Il était midi. Un salon d'hôtel banal, avec des glaces, des fauteuils, des guéridons et des dorures. Quarante journalistes s'y entassent. Le Négus apparaît bientôt, drapé dans sa chlamyde noire, aussi digne que lorsqu'il régnait sur un empire. Des fonctionnaires l'accompagnent. Il déploie un papier sur lequel il a inscrit quelques lignes. II les lit en français» II exprime sa « profonde Jammes Donnadicu.

(Suite page 3, colonne 1.)


]bA VIE FIËMIMIIVE ET MONDAI NE

1. Venant de Londres en avion, le célèbre homme d'Etat anglais, M. Winston Churchill, a fait, hier après-midi, au théâtre des Ambassadeurs, une importante conférence sur tous les problèmes politiques d'actualité et en particulier sur ceux qui touchent à la collaboration et à l'amitié franco-anglaises.

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£ESE<5HOS

Le général Mola mémorialiste. Le général est doublé d'un écr vain de grand talent. Les trois vc lumes de Mémoires rappelant so passage à la direction générale d la Sécurité, qu'il n'avait acceptée qu par amitié pour le général Berer guer, alors président du Conseil e où il assista à l'agonie de la monai chie, sont le modèle du genre. Ils obtinrent, dès leur publicatior au delà des Pyrénées un succè inouï. A peine une nouvelle éditioi apparaissait-elle qu'elle était immé diatement enlevée. Cela se com prend, car ces volumes sont auss passionnants que le plus passionnan des romans.

JOSEPH BONSIRVEN S. J.

JUIFS ET CHRETIENS

Quel sera le ̃ sort final du Peuple Errant ? ?f Que peut-on attendre des conversions de juifs au christianis-lme ? Problème

VliliUV^U^ llialO U ALTU1U l^ligrcUA, VU1V. la question juive traitée par son plus célèbre spécialiste. Le livre du R. P Bonsirven remporte un succès considérable. (Flammarion, 15 francs.) Le calendrier démenti.

Hier, à ce déjeuner de l'American Club auquel nulle femme, sauf elle, n'assista jamais, Mme Yvonne Printemps s'entendit faire un charmant compliment par M. Théodore Rousseau « Nous vous remercions, Madame, de prolonger parmi nous la belle saison puisque, en ce deuxième jour de l'automne, vous nous accordez votre présence sous le signe du printemps. »

L'AMOUR FRATERNEL Roman

par ANDRE DE RICHAUD

La saison littéraire commence.

Elle s'ouvre avec le nouveau roman de André de Richaud: L'Amour fraternel, une œuvre forte où se trouvent réalisées toutes les brillantes promesses de ce jeune écrivain. (Grasset, un volume, 15 'ranes.)

R

Précaution.

C'est une splendide voiture, brillante, nickelée. Collées sur la glace arrière, deux lignes en petits caractères. Le conducteur de la voiture qui suit ne peut résister au désir de savoir ce que cela peut signifier. A quelques mètres, on découvre ce conseil

« Si vous pouvez lire ceci, c'est que vous êtes trop près de moi. > On sourit et l'on s'écarte.

Le Masque dé Fer.

LES PAPIERS LETTRES G.L.I

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La journée La Flamme du Souvenir

A 18 heures 30, à l'Arc de Triomphe Association des A. C. volontaires juifs 19141918. •.

Cérémonies

16 heures, à la Mosquée Réception du général Noguès'.

Réunions

20 h. 30, 2, rue Saint-Laurent réunion mensueile du 279» R. I.

Expositions

Au Musée des Arts décoratifs, 107, rue de Rivoli La Vigne et le Vin dans' l'Art. Au Petit Palais « Gros, ses élèves et ses disciples ». (Clôture le 15 octobre). Au Parc des Expositions de la Porte de Versailles Concours Lépine. (Clôture le 5 octobre).

A la Bibliothèque Nationale Le Symbolisme. (Clôture le 30 septembre). Les Courses

A 14 heures Maisons-Laffitte.

LA SAISON HORS PARIS VICHY

Le Congrès de la Fédération des groupes folkloriques qui s'est tenu à Vichy le 19 septembre, sous la présidence de M. Charles Brun et de M. Armbruster, réunissait vingt-cinq groupes représentant plus de cinq cents délégués. La fête des Provinces organisée à cette occasion constituait la dernière manifestation saisonnière du comité des fêtes. Elle a obtenu un très gros succès. Le défilé des vingt-cinq groupes costumés a permis d'admirer les atours traditionnels de nos belles, vieilles et glorieuses provinces françaises.

A l'Elysée-Palace, la « Grande Revue 1936» poursuit une carrière vraiment triomphale, et le Golf du Sporting Club est toujours très animé.

La saison se prolonge à Vichy en ce début de l'automne.

IIIIIIIIIMIIIIIIIIIIIII IIIIIIIIIIIIIIII11IIUIIIII1I1 1 IIIII111IHII

AUJOURD'HUI

Deuils. H h. 30 Obsèques du chanoine Henry Flynn (Notre-Dame des

notne Henry Flynn (Kotre-Dame dci

Champs.)

itiiiiiiiiiiiitiiifiiiiiiiiiiiiiiiuiHiimiitiiiiiiiimiiaiiiiiiiiiiiiiiiiii

COUR5

On mande de Bucarest que S. M. la Reine Hélène de Grèce, sœur de e S. M. le Roi Carol de Roumanie et femme divorcée de S. M. le Roi Georges II de Grèce, est gravement malade. Son état inspire des plus vives inquiétudes.

Selon le Telegraaf, le mariage de S. A. R. la Princesse Juliana avec le 1 prince Bernard de Lippe aura lieu à la fin de janvier ou au début de février de l'année prochaine.

i S. M. le Roi Edouard VIII s'est t rendu hier, en automobile, du château de Balmoral à la gare d'Aberdeen pour recevoir un groupe d'amis venant de Londres invités par le souverain à séjourner à Balmoral. La présence du Roi à la gare étant tout à fait inattendue, peu de monde s'y trouvait.

S. A. R. la Princesse Marie-Louise de Grande-Bretagne, de passage à Paris, a déjeuné avant-hier au Ritz.

S..A. S. la duchesse de Valentinois, princesse héréditaire de Monaco, fait actuellement un séjour à Murthly. llllilllllilllllIllIlllllllllllilllllllIlIlllllMlltlllllllIllIllIlillllllHIIII

En l'église de Vernon (Eure) viennent d'être célébrés les mariages de Mlle Agnès Morel gauche) avec M. Raymond Franck et de Mlle Geneviève Franck (à droite) avec M. Bernard Morel.

(Studio Martin-LoTelûi)

iiiiiiiiitiiiiiiiiiiiiiiiimiiiNiiniiiiiiiiiimiiiiiiiiiiiiiiiniiiiiiiiiiii DANS LES AMBASSADES S. Exe. l'ambassadeur de France au Japon et Mme Pila sont arrivés à Paris et sont descendus à l'hôtel George V.

Mme Wellington Koo, femme de S. Exc. l'ambassadeur de Chine à Paris, et Mlle Wellington Koo sont arrivés hier, à seize heures, au Bourget, venant de Genève, à bord d'un avion du service régulier d'Air-France.

Le capitaine de vaisseau Denis de Rivoyre, attaché naval à la légation de France en Norvège, qui quitte son poste, est arrivé à Oslo et a fait ses visites d'adieux aux autorités norvégiennes. JI

DANS LE MONDE

Le comte et la comtesse Arnaud de Gontaut-Biron ont offert, dimanche, aé château de Courtalain, un brillant goûter à l'occasion de l'inauguration des orgues Cavaillé Coll de l'église de Courtalain.

Reconnu:

S. Exe. l'ambassadeur de France et la comtesse de Peretti de la Rocca, duchesse de Lesparre, duc et duchesse de la Force, comtesse de Manneville, général marquis de Brantès, colonel de Conegliano, marquise du Luart, comtesse de Bonvouloir, marquise de Cossé, marquise de Guilhem de Pothuau, vicomte de Courcy, comtesse de Féligonde, comtesse Reille, comte et comtesse de Verdun, comtesse de Felcourt, comte de Chabot, marquis de Courtarvel, comtesse Costa de Beauregard, le président et Mme Lescouvé, Mme Maurice Maunoury, baronne de Dorlodot, comtesse de L'Escalopier, marquis

lltttlIItlIlllillllllUllllllllItlIIIIIIIIttlIllItlIllllllIfllllHIIIIIItlIlllinillllllllllllllItlIlllIflfHIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIItltllIlllllllllllItlIIIIIItlflllllllllUII

Une présentation de chiens de luxe par leurs propriétaires a obtenu un gros succès ces jours derniers à Chantaco. Parmi les lauréats, voici 1. Les terriers de Mme Mercier. 2. Le highland de Mme BlochLainé. 3. Les schnauzers appartenant à Mme R. Sauron.

Jet marquise de Lévis, comte et comtesse d'Amécourt, comtesse de Lussac, comte et comtesse F. de Lévis-Mirepoix, marquis et t marquise d'Argence, comtesse de Vihraye, marquise de Reverseaux, comtesse de Rougemont, baronne de Cambray, M. et Mme P. Lefèvre-Pontalis, marquis et marquise de Prunelé, comte Bethlen, Mme Wanda Landowska, M. de Mianville, comte Meunier du Houssoy, M. et Mme Long de Marliave, M. et Mme Rock, comte de Talancé, M. P. de La Raudière, comte d'Argent, etc.

Mme de Juge-Montespieu vient de donner, au château de Séran (Tarn), un bal particulièrement brillant à l'occasion de la fin des manœuvres du SudOuest. Mrs Nioholson et miss Lorisande Walker, ses filles, l'aidaient à en faire les honneurs.

Reconnu: i

Le général commandant le corps d'armée de Toulouse, Mme et Mlle Lafont, général d'Humières, colonel, baronne et Mlle de Bouglon, marquis et marquise de Coligny, marquis Dadvisart, marquis et Mlle de Beaucourt, comtesse et Mlle de Rougemont, comtesse et Mlle de LastouTs, comte et comtesse Christian de Lorgeril, vicomte, vicomtesse et Mlle de Bavert, M. et Mme de La HayeJousselin, comte, comtesse et Mlle de Lasteyrie du Saillant, commandant de Lastours, comte et comtesse Bernard de Laubespin, comte et comtesse Lepic, M. Morierre Bernadotte, baron et baronne de Jary, comte et comtesse de Mas-Latrie, comte de SaintSernin, comtesse Henri de L'Espinois, commandant R. Landriau, vicomte de Barritault, baron et baronne d'Encausse, comtesse Olivier de Carné-Marcein, M. et Mme Guéneau de Mussy, commandant Cros-Mériviel, Mlles de Fleurieu, de Foucauld, de CarnéMarcein, de Lassus Saint-Geniès, de Palaminy, de Roquette-Buisson, de Mazieux. Capitaine de Toulouse-Lautrec, comte de Palaminy, comte de Laurens-Castelet, comte Jean de L'Epiuois, lieutenants de Naurois, de Nadaillac, d'Argent, de Ronceray, Walsh, MM. de France, de Laurens-Castelet, de La- panouse, etc.

Le comte René de Chambrun et la comtesse, née José Laval, se sont embarqués, mercredi, sur le paquebot « Normandie », se rendant aux EtatsUnis pour un séjour de plusieurs semaines.

BIENFAISANCE

Sous ie haut patronage de S. Em. le cardinal Verdier, archevêque de Paris, et de S. Exc. Mgr Antoine-Pierre Arrida, patriarche d'Antioche, un comité s'est constitué à Paris pour la construction d'un foyer franco-libanais, destiné à recevoir les prêtres attachés à la mission maronite et les étudiants libanais qui poursuivent ou achèvent à Paris leur formation intellectuelle. L'importance de cette œuvre est primordiale. Elle touche tous les domaines: religieux et diplomatique, national et intellectuel. Elle permet à tous les Libanais résidant en France de se retrouver et de se grouper autour de leur mission, tant dans l'intérêt de leur religion que dans celui de leur patrie.

Une souscription est ouverte pour la construction d'une maison destinée à remplacer les bâtiments trop vieux, trop mal aménagés, de la rue d'Ulm. Les dons seront reçus avec reconnaissance par le vicaire général Charles Quenet, secrétaire général et trésorier, 22, boulevard de la Tour-Maubourg, Paris (7e).

je

NAISSANCES M

On annonce la naissance:

De Jean-Pierre Vago de Catherine Denis, de Thérèse de Serré, de Dominique Dhavernas, de Jeannine-Thérèse Colin-Reval et de Paul-René Orban.

«Si ̃ ̃ v ̃̃ ?

FIANCAILLE5

1

On nous prie d'annoncer les fian1çailles de Mlle Yvonne Thévenard, fille de M. Edouard Thévenard, capitaine de frégate de réserve, et de madame, née Good, avec M. Daniel Morch, fils de M. Franck Morch et de madame, née HivertEmmery, tous, deux décèdes.,

•* y..

MARIAGES

C'est en présence d'une brillante assistance qu'a été célébré, mercredi, en l'église paroissiale de Leefdael (Belgique), le mariage de Mlle Isabelle de Liedekerke, fille du comte de Liedekerke et de la comtesse, née d'AudiffretPasquier, petite-fille de la comtesse de Liedekerke, née Gontaut-Biron, et de la marquise d'Audiffret-Pasquier, née Largentaye, avec le comte Philippe de Limburg-Stirum, fils du comte de Limburg-Stirum et de la comtesse, née baronne Snoy.

La bénédiction nuptiale a été donnée aux nouveaux époux par le R. P. Laureys, S. J., qui prononça une très belle allocution.

Les témoins étaient, pour la mariée: le comte Raoul de Liedekerke et le duc d'Audiffret-Pasquier; pour le marié: le comte Everard de Limburg-Stirum et le baron Raymond Snoy.

Le service d'honneur était assuré par Mlles E. Snoy et Charlotte de Liedekerke, accompagnées du comte Ant. de Liedekerke et du comte Louis du Chastel de La Howarderie.

La jeune mariée, qui portait une su- perbe toilette de satin ivoire avec long voile de tulle bordé de magnifiques dentelles de Malines, était précédée de quatre petits pages: Elisabeth de Lim- burg-Stirum, Rose-Mary Snoy, Jacques de Liedekerke et Albert de Limburg- ] Stirum. ]

Après la cérémonie religieuse, la com- 1 tesse de Liedekerke donné, au château de Leefdael, une élégante réception 1 pour les nombreux parents et amis des deux familles. (

Hier a été béni, en l'église NotreDame de Grâce de Passy, le mariage de 1 Mlle Sabine d'Outhoora, fille du com- t mandant d'Outhoorn, chevalier de la 1

Le déjeuner hebdomadaire de l'American Club a eu lieu hier au Cercle Interallié. L'hôte d'honneur était M. Edouard Bourdet, administrateur de la Comédie-Française. Voici, réunis après le déjeuner, de gauche à droite M. Théodore Rousseau, président du Club; Mme Yvonne Printemps, M. Edouard Bourdet et M. Victor Boucher.

Légion d'honneur, et de la baronne, née de Trobriand, avec M. Jean Vialla, fils de M. André Vialla, chevalier de la Légion d'honneur, croix de guerre, et de madame, née Martin.

Les témoins étaient, pour ia mariée: la comtesse de Rodellec du Porzic, chevalier de la Légion d'honneur, sa tante, et Mlle Françoise de Pourtalès pour le marié: M. Fernand Roux, procureur général, commandeur de la Légion d'honneur.

En l'église du Bon-Secours, à Montchat, a été célébré le mariage de Mlle Odette Noyret, fille de M. Louis Noyret, chevalier de la Légion d'honneur, croix de guerre, et de madame, née Guillot, avec M. Henri Bardon, sous-lieutenant au 9° régiment d'infanterie, fils du lieutenant-colonel Bardon, officier de la Légion d'honneur, et de madame, née Bon.

La bénédiction nuptiale a été donnée aux jeunes époux par l'abbé de Loudes, curé de l'Immaculée-Conception du Moulin-à-Vent, ami de la famille de la mariée, qui prononça une touchante allocution.

Les témoins étaient, pour la mariée: M. Cavaillon et M. Guillot, ses oncles; pour le marié: M. Anthelme Bardon, son oncle, et le général Gérodias, souschef de l'état-major de l'armée.

A gauche: Mlle S. d'Outhoorn dont le mariage avec M. Jean Vialla a été béni en l'église Notre-Dame de Grâce de Passy. A droite Mlle Hélène Morel dont le mariage avec le comte Arnaud de Castelbajac vient d'être célébré en l'église de Vernon (Eure). (Studio de Fronce

̃ y et Studio Martin-Lorellé.)

mu iHlir.iiiMiHiiiiilHHIHiiHliiluiim<i iniii imiii iiiiiiiiiu ni uni

-r- Nous apprenons le mariage de Mlle Marcienne de Peyralade, fille de M; Louis de Peyralade, directeur du Recueil Sirey, et de madame, née Fondi de Niort, avec le lieutenant Bernard Coulbois.

On annonce le mariage, célébré à Paris, dans la plus stricte intimité, de M. Pierre Laverny, secrétaire général de la Compagnie des Messageries maritimes, avec Mlle Odette Le Beschu de Champsavin.

_p

DEUILS

Les obsèques de M. Antoine Meillet, membre de l'Institut, professeur au Collège de France, ont été célébrées hier en la cathédrale de Notre-Dame de Moulins, en présence d'une assistance considérable, parmi laquelle on remarquait les principales notabilités de la ville et de la région.

Suivant la volonté formelle exprimée par le regretté savant, aucun discours officiel n'a été prononcé au cimetière. Seul, M. Jacques Chevalier, doyen de la Faculté de lettres de Grenoble, y a pris la parole au nom du Bourbonnais. On annonce la mort de M. Paul Poirson, administrateur de la Banque transatlantique, chevalier de la Légion d'honneur.

Le docteur Eugène Hirtz, ancien professeur d'électro-radiologie au Val- de-Grâce, médecin général de l'armée de réserve, vient de mourir.

(Phot, Novaro.\

e CAMODE.

-IIL

VOUS PERMETTEZ ?

Ne portez jamais à la chasse des semelles de caoutchouc « vos souliers, lorsqu'il a plu, sous peine de glisser avec un fusil chargé, qui risque de partir tout seul.

Avant de partir en week-end dans Un château, il est sage de se munir d'une robe ou ensemble de diner, en lainage, tricot ou velours infroissable, à manches longues, afin d'éviter les courants d'air historiques et la chair de poule à l'heure du repas I

Les manteaux que l'on fait pour les enfants uu retour des vacances, en velours de laine, drap ou lainage doivent comporter, en vue des jours froids, des guétres de même tissu pour garantir avec élégance les petits mollets. Il faut Il songer avant de couper le tuétrage des vêlements.

Le hàle si seyant, rapporté d'un séjour à la mer ou « la montagne, disparait petit à petit dès le retour en ville, mais le dégradé progressif du ton de l'épiderme ne va pas souvent sans un dessèchement de la peau. Il faut donc, pendant la période oit l'on reprend une peau de citadine, user abondamment de crèmes et de lait adoucissant pour éviter l'aspect farineux d'une peau qui mue.

De Zurich, on annonce la mort de M. Dietrich Schindler-Huber, ancien président de la Société suisse des industriels de la soie et vice-président de la Société suisse des constructeurs de machines, âgé de quatre-vingts ans. Sir Frank Hornby, ancien député à la Chambre des Communes, inventeur du jouet « Meccano », a succombé à Liverpool à l'âge de soixante-quatorze ans.

On nous prie d'annoncer la mort de M. Henri Cosson de Làlande, avocat honoraire au Conseil d'Etat et à la cour de cassation, chevalier de la Légion d'honneur, décédé chez ses enfants à Morsang-sur-Seine où un service religieux sera célébré aujourd'hui vendredi 25 septembre, à dix heures et demie. L'inhumation aura lieu le même jour à Paris au cimetière du Père-Lachaise, à quatorze heures et demie. On se réunira à la porte principale. Ni fleurs ni couronnes.

Nous apprenons la mort de M. A. Schapira. Ses obsèques ont eu lieu dans l'intimité.

On nous prie d'annoncer la mort de Mme Horace Jaccard, née Alice A. Carrel. Les obsèques ont eu lieu dans l'intimité, à Wesserling (Haut-Rhin), le 22 septembre 1936. De la part de son mari, le colonel Horace Jaccard; de ses filles et gendres, M. et Mme Jacques Robert Gros, M. et Mme Roger Wavre Jaccard; de ses petits et arrière-petitsenfants, M. et Mme Bernard Gros et leurs enfants, M. et Mme André Bertrand et leurs filles, M. et Mme François Herrenschmidt et leurs enfants, M. et Mme Jean Desaulles.

Nous apprenons la mort du comte de Maussion Tertu, maire de Villedieules-Bailleul, conseiller d'arrondissement de Trun, croix de guerre, chevalier du Mérite agricole.

De son mariage avec Mlle d'Hespel, il laisse un fils et une fille.

Le service et l'inhumation auront lieu demain 26 septembre, à dix heures et demie, à Tertu (Orne).

On nous prie d'annoncer la mort de Mme Maurice Houdaille, née Jeanne Largillier, veuve du colonel Houdaille, pieusement décédée, le 23 septembre, au château de Saint-Hilaire (Seine-etOise). Ses obsèques seront célébrées, en toute intimité, en l'église de ChaloSaint-Mars (Seine-et-Oise), demain samedi 26 septembre, et l'inhumation aura lieu au cimetière Montparnasse le même jour, à treize heures trente. De la part de M. Maurice Houdaille, Mlle Madeleine Houdaille, M. et Mme Gabriel Tétreau, ses enfants.

Le présent avis tient lieu de faire-part. Nous apprenons la mort de Mme Alfred Hanès, née Agnès Lamblin, décédée à Vannes le 31 août. Une messe de Requiem sera célébrée le samedi 3 octobre, à dix heures, à Paris, en l'église de la Madeleine.

M. Maurice Molle et madame, née Perronne, font part de la mort de leur fils Jean-Philippe, âgé de cinq mois. L'inhumation a eu lieu à Lyon le 23 septembre.

On annonce la mort:

De Mlle Berthe Verhaercn, à Bruxelles de M. Fernand Jacquet, à Ixelles de M. Isidore Zoubitsky, à Paris de M. Edouard Gersthel, à JParis.

PETIT CARNET

S Rentrée des classes! 1

et, bientôt. l'Hiver, la Pluie, le Froid. Protégez vos enfants de façon efficace et saine en leur achetant un Burberry, imperméable sans caoutchouc, qui assure la libre circulation de l'air, si nécessaire à la santé, et procure un confort absolu, quel que soit le temps. Burberrys, 8, bd Malesherbes, Paris. -= Renemy a, de nouveau, transformé ses salons dans lesquels il présente sa nouvelle collection sans augmentation de prix robes, manteaux, de 150 à 1.500 francs.

Ouvert le dimanche. 3, rue du Colisée (entresol), angle Champs-Elysées. Smart.

UNE PREMIERE de M. Edouard Bourdet à l'American Club

L'American Club ne pouvait mieux choisir que M. Edouard Bourdet comme hôte d'honneur au premier déjeuner de sa saison. Le nouvel administrateur de la Comédie-Française, assis au côté de M. Théodore Rousseau, n'était pas complètement privé de gens de théâtre puisque Mme Yvonne Printemps et M. Victor Boucher étaient là ainsi que M. Emile Fabre. Au dessert, après que M. Rousseau eut présenté ses compliments à Mme Yvonne Printemps, et ce sur le ton des anciennes cours d'amour provençales, M. Bourdet, auquel le président de l'American Club céda la parole, en termes de la plus élogieuse courtoisie, parla, ou plutôt lut.

L'auteur de La Prisonnière, en effet, s'excusa de manquer d'éloquence et d'avoir, par précaution (il eût dû dire; par modestie) recouru au texte écrit. S'élevant contre l'immémorial usage, il attribua aux citoyens des Etats-Unis le privilège de « l'éloquence d'à-propos» » alors que « chez nous, l'éloquence constitue le lot exclusif de quelques professions bien déterminées dont les principales sont les avocats, les hommes politiques et les camelots ».

L'instant d'après, d'ailleurs, narrant une anecdote, M. Bourdet prouva à son auditoire que sa mémoire était aussi fidèle que son élocution facile.

Les convives français guettaient surLes denrées alimentaires non vendues aux Halles seront distribuées à des œuvres charitables.

En réponse à une question que M. Frot, conseiller municipal, avait posée dans le Bulletin municipal au préfet de police relativement à des pertes de denrées sur le carreau des Halles, M. L-angeron vient d'envoyer une lettre dont voici les passages essentiels

« Il n'a pas été trouvé trace de destruction « volontaire » de denrées, mais du fait qu'au moment de la surproduction saisonnière, particulièrement abondante cette année, quelques cultivateurs et approvisionneurs ont été amenés à abandonner sur place certains de leurs produits non vendus même i bas prix, la préfecture de police vient donc de se mettre d'accord avec la préfecture de la Seine pour que chaque fois qu'il y aura nécessité, les légumes abandonnés soient chargés par les soins de la société Sita, dans des voitures « spéciales ». pour être transportées au siège des œuvres ou groupements qui en auront fait préalablement la demande au service d'inspection des Halles. « Cette nouvelle organisation fonctionne normalement et c'est ainsi qu'à la date du 21 septembre, deux camions chargés de légumes invendus ont été répartis entre diverses couvres charitables qui s'étaient fait inscrire pour bénéficier de cette distribution. » Limitera-t-on

le droit d'affichage

Nous croyons savoir que les affiches apposées à Paris et en province par le parti social français, ont suscité dans les milieux gouvernementaux un certain émoi. Prétextant des incidents provoqués parmi les personnes attroupées pour lire ces placards, les pouvoirs publics songeraient à limiter le droit d'affichage.

La gravité d'une telle mesure dans ses conséquences éventuelles n'échappera à personne.

A ce propos on déclare à la préfecture de police

« La loi du 29 juillet 1881 sur la presse a consacré la liberté de l'affichage à la condition, bien entendu, que le texte ne soit ni immoral ni outrageant pour personne, que les affiches portent les timbres légaux, et qu'elles soient apposées sur des emplacements autorisés. En conséquence, à moins cependant qu'un nouveau décret-loi intervienne, ce dont il n'est pas question, pour le moment, tout le monde a le droit d'apposer des affiches dans les conditions prévues par la loi. »

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Une réunion

du parti Social Français est interdite à Lyon

Lyon, 24 septembre. Le préfet du Rhône a pris un arrêté interdisant la réunion organisée par le parti Social Français pour ce soir à 20 h. 30 à Lyon. «*

Les édiles danois à f Hôtel de Ville Une délégation de conseillers municipaux et de fonctionnaires de la ville de Copenhague, ayant à leur tète MM. Svendsen, président du conseil municipal, et Raper, bourgmestre de la première section de l'administration de la ont été reçus, hier, à l'Hôtel de Ville par la municipalité parisienne. Le ministre plénipotentiaire du Danemark à Paris honorait de sa présence cette réception. Sntoun' des membres du bureau de l'Assemblée, M. Raymond-Laurent, président du Conseil municipal, a fait les honneurs de cette cérémonie et prononcé un discours de riienvenue auquel M. A. Villey, préfet de la Seine, s'est associé au nom de l'administration. M. Kaper, en une allocution applaudie, a remercié la municipalité de son accueil cordial. La signature du Livre d'Or et un lunch ont terminé cette réception.

A L'ACADEMIE FRANÇAISE Le Dictionnaire

Les « quarante » ont poursuivi hier la revision de leur dictionnaire jusqu'au mot « abîme ».

Ils ont décidé notamment que l'abeil- le vivait « en société », non « en essaim », et qu'abêtir signifiait rendre bête et non stupide.

Le nouveau bureau

Au cours de la même séance, ils ont procédé au renouvellement du bureau. *1 M. Maurice Donnay remplace comme di- recteur M. Abel Hermant, et M. Louis Gillet devient chancelier. L. C.

«o.

Après le naufrage

du Pourquoi-Pas ?

M. Gasnier-Duparc, ministre de la Ma"ine, a fait présenter à Mme Charcot, j ̃entrée hier à Paris, ses condoléances Dar le contre-amiral Godcfroy, ancien membre de la mission du Pourquoi°as ? dans l'Antarctique. Il lui a fait 'émettre le dernier rapport que le eom- j mandant Chai'cal a\;iil. adressé au mi- j sistre et qui lui est parvenu hier.

J. de S.

Intérim.

x tout le passage que l'auteur dramatique e consacrerait sans doute. à ses e prochaines fonctions, qui prendront date e du 15 octobre. Mais, au préalable, les é Américains goûtèrent particulièrement .s les souvenirs de son voyage en Amée rique effectué il y a quelques années. 1. Il rappela notamment que Le Misane thrape, joué lors de son séjour, n'avait e eu outre-Atlantique aucun succès. Mais i- loin d'en concevoir et d'en exprimer de e l'amertume, M. Bourdet saisit l'occasion ir de louer, dans la manière dont la presse américaine enregistra cet insuccès, le i- « souci de ne se laisser bluffer par rien e ni par personne ».

Et ce fut alors, tout naturellement, f> derrière la grande ombre de Molière, ;t l'acheminement de M. Bourdet vers le propos attendu sur la Maison qui porte t- le nom du comédien immortel. Ce fut •' court: «Je n'ai pas défendu Molière à New- York en 1926. Puissè-je être plus »heureux et mieux servir sa gloire en 1936 à Paris, dans le poste auquel le |" gouvernement m'a fait l'honneur de m'appeler. » C'est tout. On comprend de reste que M. Bourdet n'en pouvait dire davantage, mais les applaudissements, ]t pendant qu'on lui remettait la médaille n d'honneur du club, allaient à la fois à ;i son allocution et à l'image protectrice de Molière.

Gaëtan Sanvoisin.

n Le voyage d'inspection it du ministre de l'air

i

° M. Pierre Cot est rentré

hier après-midi à Paris

M. Pierre Cot, rentré hier soir à Paris, '• était présent, à 7 h. 15 du matin, sur e le terrain de Metz-Frascati, où il devait e s'embarquer peu après pour Nancy. Après avoir passé les troupes en revue, le ministre de l'air réunit les officiers lt et les sous-officiers de la base aérienne et leur expliqua les raisons majeures i- qui motivent le prochain déplacement s des escadres de Metz à Toulouse. La hrume épaisse qui couvrait la rë[- gion de Nancy empêcha le ministre de s voyager en avion, et c'est par la route à que M. Pierre Cot partit pour Nancy, s accompagné des généraux Kéquant, PoliMarchetti, Mouchard, Keller, du généc rai Jaunaud, chef de son cabinet militaire; de M. Delattre, rapporteur de la s commission parlementaire de l'air; du [- commandant Foucher et du capitaine e Rossi.

A Nancy, le colonel Pierre Weiss, cone mandant la 21e demi-brigade, reçut le ministre de l'air et lui présenta les u troupes en présence du général Requin, commandant la 20° région militaire, et de M. Léon Bosney, préfet de Meurther et-Moselle. M. Pierre Cot a ensuite inss pecté les services de la défense aérienne g du département et de la ville de Nancy et entendu une conférence de M. le docteur Benech, directeur du service municipal de médecine et d'hygiène. Le retour de M. Pierre Cot à Villacoublay

Villacoublay, 24 septembre. M. Pierre Col, ministre de l'air, terminant

̃ -su- (tournée -d'i-n8pectio«5-«st -arrivé, -cet

après-midi à 16 h. 10, venant de Nancy, à bord de l'avion piloté par le-capitaine s Rossi et le lieutenant Reynaud.

e

s

L'ALLIANCE ISRAELITE s proteste contre les discours de Nuremberg

s

i L'Alliance israélite nous communique la déclaration suivante

« Quoi qu'il ne soit pas possible de e relever toutes les calomnies qui alimentent la propagande de l'anttsémitisi me, le comité central de l'Alliance is-raélite ne peut laisser passer, sans élee ver une protestation indignée, l'accusation qui vient d'être lancée, avec quel s retentissement, du haut de la tribune s d'un grand pays, contre les Israélites s du monde entier.

» Dans les siècles passés, pour détourner la colère des masses souffrantes, on la dirigeait contre les juifs une e épidémie éclatait-elle, on les accusait s d'empoisonner les sources. Aujourd'hui on les accuse d'empoisonner les esprits et de préparer un bouleversement mondial.

» Ils seraient les maitres de la Russie soviétique, les responsables de l'atroce guerre civile d'Espagne.

» C'est un défi à la réalité le chef tout-puissant de la Russie, Staline, n'est pas juif pas plus qu'avant lui, Lenine. Les juifs ne sont nullement les créateurs du bolchevisme dont le grand Etat-Major allemand a assuré le succès en ramenant Lenine en Russie. Comment s'étonner que des juifs, cruellement opprimés par le tsarisme, aient pris part à la révolution russe ? Parmi les dirigeants du régime actuel, ils n'ont d'ailleurs jamais été qu'une minorité, réduite de jour en jour. » Quant à l'Espagne, le nombre des juifs y est infime et leur influence absolument nulle.

» Contre le mensonge systématique et meurtrier, l'Alliance israélite fait appel i au respect de la vérité et au sentiment de la justice, encore en honneur dans les pays libres. »

Le grand rabbin de France, U. Israël Lèvi, s'associe à cette protestation dans les termes suivants

A la veille du jour du Grand Pardon, nous, chefs religieux du judaïsme, avons le devoir dé protester solennellement, au nom du Dieu de vérité et de justice, contre les accusations calomnieuses lañ cées au congrès de Nuremberg, contre ̃ les Juifs et le judaïsme.

1 Les dirigeants du troisième Reich, pour les besoins de leur politique, osent identifier le judaïsme, religion mère de religions, avec le bolchevisme destructeur de religion et rendre quinze millions d'être humains, répandus dans le 1 monde entier, solidaires d'une poignée d'homme qui ont rompu avec le judaïsme et s'acharnent contre la foi de leurs pères. Ce ne sont pas les Juifs, c'est le grand état-major allemand qui a inoculé le virus bolchevique à la Russie déjà libre.

Nous dénonçons à tous les hommes de bonne foi une propagande haineuse qui n'est que trop conforme à la méthode de Mein Kampf, une campagne de

provocation qui met en péril la paix de

l'Europe.

A nos fidèles, nous rappelons, en ce jour sacré, la promesse du -prophète Isaïc « Toute arme forgée contre toi sera impuissante, toute voix qui s'élèi vera pour t'accuser sera confondue ».

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A NOS ABONNES

Pour éviter toute interruption dans leur service, nous prions ceux de nos abonnés dont l'abonnement se termine le 30 de ce mois de bien noittoir ne /mis ntten| dre le dernier jour pour nous adresser le montant du renouvel-

'r me nt.

j La dnte d'échéance est indiquée sur la bande d'envoi.


SUITES DE LA PREMIÈRE PAGE 11

LES CONTRADICTIONS

DE GENEVE

Il explique sa « profonde reconnaissance » pour la décision de l'assemblée. Il fait des réserves sur certains points du rapport « qui se heurte au principe de la non reconnaissance de l'acquisi- ce E tion territoriale obtenue par la force ». je Quelques mots aimables pour les jour- n. nalistes, et il se retire. Mais ce n'est V( pas cela qui lui rendra son trône. n Les nuages qui viennent n d'au delà des Pyrénées l Demain, l'assemblée commencera la discussion du rapport du secrétaire genéral sur l'ceuvre de la Société pendant £ l'année écoulée. Il n'y avait jusqu'à ce £ soir que deux orateurs inscrits M. Del y Vayo et M. Eden. M. Yvon Delbos ne compte- prendre la parole qu'apres-de- n main. b Maintenant que l'affaire éthiopienne a b reçu la solution que l'on sait sur le terrain genevois, l'affaire la plus brûlante est celle de l'Espagne. M. dél Vayo, représentant du gouvernement de Madrid, va-t-il réclamer, comme le bruit en courait, l'appui de la S. D. N. dans la lutte que les rouges poursuivent contre les blancs? C'est peu probable car il irait au devant d'un échec certain. Les repré- f sentants des Etats latino américains c membres de la Ligue se sont réunis ce j soir. Six d'entre eux ont fait savoir r qu'ils étaient prêts à reconnaître le gou- v vernement de Burgos. Et tous ont pris t la décision de quitter la salle des séan- r ces si M. del Vayo prononce un discours t agressif. L'un d'eux cependant y restera, c'est l'Uruguay, qui vient de rompre ç ses relations avec Madrid, à la suite du £ meurtre des trois sœurs du vice-consul uruguayen dans la capitale espagnole. Il s faut qu'il soit là pour répondre éven- s tuellement. C'est par solidarité pour ce pays que les autres Etats latino-amen- t cains ont décidé, en principe, de rompre c avec un gouvernement bolchevico-anar-

eliiste. ~11 1

°. Le discours de M. Yvon Delbos sera sans doute une affirmation de fidélité en la S. D. N. (eh oui !). Ce sera certai- < nement un manifeste pacifique, qui ira ] jusqu'à proposer en termes vagues le désarmement (on apprend ce soir que la délégation, française a demande au bureau la résurrection de la 3" çom- mission, qui s'occupait de ce problème en des temps plus heureux). Ce sera j sans doute une invitation à réformer le pacte (il en a grand besoin, mais oa peut se demander si le moment est bien choisi). Ce sera enfin un rappel des alliances et des amitiés de la France. On cherchera sans doute à amadouer M. Litvinoff. Mais nous voudrions surtout qu'on cherchât à reconquérir l'amitié de l'Italie, qui est en train de nous fuir, alors que nous aurions grand besoin délie. James Donnadieu.

} L'interview

du général Cabanellas

–r Vous avez pu en juger par vos ¡ propres yeux, me fit le général Cabdnellas, ce n'est pas un mouvement purement militaire que celui pour lequel toute la population s'est soulevée en masse, offrant et donnant ses hommes, ses richesses, toute sa valeur et tous ses biens, avec une générosité et un enthousiasme que l'on n'avait jamais vus depuis notre guerre d'indépendance. Comme tant d'autres fois dans

f histoire, Parmééa'vté ie^-vonden-

sateur » d'un courant populaire profond et puissant.

» Nous repoussons pour cette lutte la dénomination de « gueme civile ». Il y a guerre civile quand il y a lutte entre deux adversaires nationaux et deux f ractions d'un même peuple. Dans le cas actuel, U n'y a pas d'autre idéal national que le nôtre et nos adversaires sont véritablement les serviteurs d'un pouvoir étranger. »

Et quel sera le caractère de l'Espagne nouvelle ? d'une 1 Un Etat fort, doté d'une organisation unitaire et d'un gouvernement qui accomplira sa mission et son devoir essentiel maintenir l'ordre, tenir en respect tous les ennemis de la religion et de la patrie, garantir la justice, tant dans 1 ordre privé que dans le domaine social, développer la prospérité et conquérir pour l'Espagne la place d'honneur qui lui revient dans le monde. » Tous ceux qui ont été sur le front en Espagne ont été frappés par l'étroite collaboration qui règne entre les chefs de l'armée et les masses de jeunes volontaires qui les entourent. D'un côté, la science militaire de l'autre, une ardeur impatiente de combats et de réformes. La présence de ces jeunes gens n'est-elle pas une force pour le présent et une garantie pour l'avenir ? 9

» En effet, affirme avec vigueur le général Cabanellas, rien n'a plus d'importance pour cet avenir que l'adhésion inconditionnelle et enthousiaste de la jeunesse espagnole. Sans distinction de classes, de fortune et d'éducation, les jeunes se sont joints au mouvement libérateur de leur pays. Ils ont f oi en nous et nous ne devons pas trahir cette f oi. Leur sacrifice sera fécond, car nous construisons l'Espagne dans laquelle ils auront à vivre, et qu'ils verront grande et heureuse. » Et quels seront le rôle et la place de cette Espagne dans le

1inonde ?

L'Espagne retrouvera, après la honteuâe parenthèse de ces dermerefaïnées, le rôle qu'elle a toucan eu dans Je monde celui de défen. seur de la civilisation occidentale Quant à sa place, elle est marquée par la géographie et l'histoire cellt d'un pont qui unit deux continents La vibrante manifestation d'amou, et d'encouragement que la véritable Espagne, celle que nous représen tons, reçoit de l'Amérique espagnole démontre bien clairement que nou: défendons un patrimoine spiritue

commun.

En sortant de la Capitania Gene raie, je passai près d'un café.Un post de T. S. F. faisait entendre un hymn. patriotique. Puis la musique se tu et dans un silence impressionnant tous les consommateurs installé pêle-mêle autour des tables écouté rent le communiqué du jour.

Les colonnes du Sud, marchan sur Madrid, brûlaient les étapes avance en Biscave victoire en Ara gon. Une explosion de joie, des cris des vivats. Il y eut subitement, dan ce café minuscule et anodin, un atmosphère d'enthousiasme presqu mystique.

Georges Rotvand.

LA CONFERENCE

de M. Winston Churchill

Le début de M. Winston Churchill tt direct

« Aux temps présents, il existe dans monde trois sortes de nations. Il y a !S nation qui sont gouvernées par les l, azis il y a les nations qui sont gou- £ ernées par les bolchevicks et il y a les S ations qui se gouvernent elles-mêmes. c C'est à cette troisième catégorie de C ations que les peuples français et an- s lais se trouvent être les plus intéres- p ;s. Voilà notre affaire !» » r

Et il précisa g e « Nous vivons dans des pays où le f euple possède le gouvernement et non ( oint dans des pays où le gouvernement a ossède le peuple. » t

Puis, développant sa pensée, le confé- c encier ajouta, au milieu de l'attention ( outenue et de l'approbation, plus visi- le à chaque phrase, de l'auditoire La France et l'Angleterre v architectes 1

de la civilisation moderne « Nous avons une grande cause à déendre. C'est la question que je pose 1 onstamment à nos compatriotes, et que 1 e suis venu vous poser, à vous; pre- lons-nous toute mesure en notre pou- 'oir pour défendre cette cause ? C'est me question solennelle qu'il nous faut I tous poser à nous-mêmes et t aux aures.

» Je suis sûr que les démocraties franaise, britannique ou américaine se dé:ouvriraient fort malheureuses si elles renaient soudainement à être ployées ;ous la loi nazi ou bolchevick. Je suis ;ûr que les socialistes français et les rrade Unions britanniques trouveraient :ette situation également intolérable. » L'éloge de l'armée française M. Winston Churchill continue en lisant que la justice de la cause n'est pas suffisante. Il importe que le soient les armes pour la défendre et que « pas une seule précaution ne soit négligée « pour maintenir, pour sauvegarder le principe « du gouvernement du peuple par le peuple contre « la rigidité morbide d'un Etat totalitaire que l'on essaye le nous imposer du dehors par la force ou du dedans par la conspiration ». Traduisant plus rigoureusement sa pensée, l'éminent homme d'Etat déclara alors « La première de toutes les mesures d'ordre pratique réside dans l'union épaule contre épaule de la République française et de l'Empire britannique contre toute agression. « Nous voulons éviter

la guerre »

Ayant protesté de l'indéniable amour que l'Angleterre et la France portent à la paix, M. Winston Churchill aborde ainsi le problème de la civilisation à défendre :1

« Une autre grande guerre ferait disparaître tout ce qui demeure encore de la civilisation du monde et la gloire de l'Europe disparaîtrait pour des générations sans nombre dans un abime de ténèbres. Nous voulons éviter la guerre. Nous pourrons l'éviter si nous demeurons armés et f orts, si nous sommes d'accord sur les principes fondamentaux, si nous servons côte à côte avec une égale loyauté les mêmes buts élevés, non point des buts égoïstes, non point des buts étroitement nationaux, non point des buts rétrogrades, mais un but que nous connaissons tous, que nous comprenons tous, un but digne en

un m'tc1n,~njhR'WIt\1}:'¡'.

un n&fi^iBté & i La responsabilité des ministres espagnols » Eentre la doctrine du camarade Trotzky et celle du docteur Goebbels. » La phrase du conférencier l'amena, ainsi commencée, à parler de l'atroce guerre d'Espagne, ce qu'il fit dans un silence absolu.

» J'exprime certainement vos sentiments les plus profonds quand je déplore les horreurs de la guerre civile en Espagne, mais ce sont des réalités que, sur chaque plan, nous devons prendre à bras le corps. Quand nous parlons d'un gouvernement représentant le peuple ou d'un gouvernement parlementaire, nous avons en vue un système qui, fidèlement et ponctuellement, assure ces garanties de légalité et d'ordre, de justice, de tolérance, de l'observation de la règle du jeu sans .lesquelles aucun Parlement n'est possible. Un régime parlementaire ne doit pas être un simple prétexte frauduleux destiné à couvrir t'avance du nazisme ou du communisme. Les ministres espagnols ont commis une grave faute en continuant à accepter la responsabilité après avoir cessé d'exercer le pouvoir. Leurs noms signifiaient encore un gouvernement parlementaire. Mais d'autres agissaient. C'est là un abus de confiance.

Sécurité collective, oui, mais. M. Winston Churchill ne se déroba pas à l'examen de la situation génévoise et il se montra assez dur pour un système de sécurité collective qui contraindrait certains à courir de grands risques «-alors que d'autres s abstiendraient de jouer leur rôle en concordance de leur force puis il attira 1 attention sur la multiplication possible des dangers.

Proclamant que la question de 1 intervention en cas de conflit entre l'Al.lemagne et la Russie ne saurait accule] un choix entre deux Etats, il s'élevt contre ceux « dont le cœur est empli dl l'esprit de la guerre de classes », el contre l'éventualité de tueries idéolo, giques suscitées par « des religions san; Dieu ».

M. Winston Churchill conclut par ui acte de foi dans la solidité de l'amitii franco-britannique. La salle était de bout pour entendre les mots spontané) que le chancelier de l'Echiquier ajout< à sa conférence et par lesquels il expri ma, avec une chaleur persuasive, se sentiments d'affection pour notre pays A. de B. L'ANGLETERRE

et le pacte franco-soviétique > L'entretien de MM. Eden-Blum, qi fut rapide, n'a touché que d'une faço très succincte les différents prablenu du jour et à l'égard du pacte frane< russe, M. Eden n'aurait fait que dit 3 que ce pacte présenterait peut-être cei taines difficultés pour la conclusio d'un accord général.

s Aujourd'hui, la politique extérieui 1 de l'Angleterre cherche à détourner courant dangereux capable de précipiti une guerre ou, si ce n'est possible, c e s'y adapter au moindre prix. e Après avoir perdu toute foi dans l'a t tion de Genève et dans l'efficacité d conférences, l'Angleterre multiplie 1 initiatives diplomatiques sans l'espo s de résoudre les problèmes fondamei taux.

Elle fait ainsi souvent le jeu de l'All [t magne, elle perd même la confiance < ceux qui la connaissent mal, affaibl i- son prestige, mais elle gagne ainsi c i temps, prépare son opinion publique ô de graves issues, elle réarme, elle a b soin de dix-huit mois et elle espère qi e d'ici là elle ne sera pas directement mi e en cause dans un conflit sur les bor< du Rhin ou en Méditerranée.

Gérard Boutelleau.

.ondres se préoccupe de la dévaluation éventuelle du franc Londres, 24 septembre. Le raplort du comité économique de la D. N. a été interprété, à Londres, omme une invitation aux puissanes du bloc or à dévaluer. La préence de M. Spinasse à Genève, les lossibilités d'une conférence écononique, les nouvelles sorties d'or et nfin les échos de la conférence 1 inançière tenue à la présidence du conseil, donnèrent quelque crédit mx rumeurs de la Cité sur la possi)ilité d'une prochaine dévaluation lu franc. On estime même, ici, que a hausse soudaine de la rente de' 3 t 5 p. 100 n'est qu'une mesure, de protection pour permettre au gouvernement de décider l'embargo sur 'or, ce qui serait pour les Anglais 'équivalent .de la dévaluation. Si les milieux les mieux informés le la Cité estiment qu'une telle me;ure « peut amener une réelle améioration de la situation politique et 'inancïère en "France», ils pensent ju'il sera très difficile actuellement je trouver le niveau auquel la dévaluation pourra être fixée. L'Angleterre entend conserver à la livre sa valeur flottante et une stabilisation générale paraît délicate en ce moment. Cependant, il serait question d'un accord qui, tout en laissant à ta livre et au dollar une certaine élasticité, permettrait de soutenir la dévaluation du franc à un niveau fixe capable de ramener en France la masse des crédits français à l'étranger et de créer, par ce mouvement, la confiance indispensable à la suite d'une mesure d'une telle gravité. G. B.

L'ITALIE ENTEND IGNORER LA DECISION DE GENEVE Elle proposerait la réunion à Rome d'une conférence de toutes

les grandes puissances (Par téléphone, « Figaro »)

Londres, 24 septembre, Certaines informations parvenues à Londres ce soir, prétendent que M. Mussolini aurait informé les ambassadeurs de France et d'Angleterre que l'Italie entendait ignorer la décision de l'Assemblée d'accepter la délégation éthiopienne et qu'il souhaiterait qu'à la place d'une conférence des Cinq à Londres, se tienne à Rome une conférence de toutes les grandes puissances y compris la Russie. L'idée d'une telle proposition serait d'enlever à Genève la direction des affaires d'Europe. G. B.

Conversations entre Paris et Rome Rome, 24 septembre. On a attendu toute la journée à Rome un communiqué ou une déclaration officielle, précisant la position de l'Italie après le coup de théâtre .d'hier? soir a, Genève.} Mais. m le palais Chigi, ni le ministère de la presse n'ont pu fournir aucune indication sur les intentions de M. Mussolini. Le Duce seul maître de la décision médite en silence. Ou peut-être juge-t-il opportun de faire un tour d'horizon politique au-dedans comme au-dehors, avant de prendre le parti qui engagera gravement l'avenir de son pays. L'opinion générale dans le public italien était, ce matin, encore que l'Italie allait sortir avec éclat de la S. D. N. dont elle ne peut plus rien espérer. A mesure cependant que les heures ont passé et qu'on a vu persister le silence officiel, les milieux politiques ont pensé qu'il valait peut-être mieux « ignorer •» la décision de Genève qui, après tout, n'apporte aucune novation à la situation intérieure.

Il est probable que, toute réflexion faite, on a conclu en haut lieu qu'une décision retentissante n'améliorerait nullement la position diplomatique italienne au contraire, puisqu'elle aboutirait à l'isolement de l'Italie en Méditerranée et ailleurs, s'il est vrai que la collaboration un moment envisagée avec l'Allemagne apparaît de plus en plus précaire et difficile.

Il semble, d'autre part, que des échanges de vues aient eu lieu dès hier sou sur des instructions venues de Genève entre l'ambassade de France.et le chél du gouvernement italien. M. Delbos aurait tenu en plein accord avec le cabinet britannique à faire explique] verbalement au Duce la position de 1; France dans le débat d'hier et le jet des cabinets de Paris et de Londres d< voir l'Italie demeurer théoriquemen: participante à l'organisme de Genève oû une formule serait recherchée poui lui permettre par la suite de collabore! effectivement.

Dans les milieux diplomatiques oi déplore que le changement imminent d notre ambassadeur rende difficile le dé veloppement de négociations qui s ira posent plus que jamais avec l'Itali dans l'intérêt de la paix générale ej Europe. N m.-R. Anglès.

t <»_̃

5 L'arrivée à Paris

l du nouvel ambassadeur s d'Espagne

M. Luis Araquistain, le nouvel amba s sadeur d'Espagne à Paris, qui était a; >• compagne de sa femme, de sa fille et c son fils, est arrivé hier soir à 19 h. 1 Sur le quai de la gare d'Orsay, M. Lu Araquistain a été salué par MM. Loz sous-chef du protocole au ministère di affaires étrangères Cabadas, premu secrétaire de l'ambassade d'Espagne, r présentant M. Cruz Marin, chargé d'a faires actuellement malade, par le pe sonnel de l'ambassade et diverses dél ti gations de groupements espagnols < n Paris,

:s «♦–

l Actualités internationale; ALLEMAGNE. Le baron v< l|e Neurath, ministre des affaires étrangèr le du Reich, de retour de son voyage Jr Budapest, est Tentré à Berlin. le M. von Krupp, directeur généi c- des usines Krupp, est parti pour A A c~ kara, où il tentera un ultime effort po es enlever une partie des commandes r cessaires à la remilitarisation des Di danelles.

ARGENTINE. Le ministre de guerre a assisté aux essais d'une es< le drille de quatre avions militaires de lit la vitesse dépasse 590 kilomètres 1ul'heure.

à AUTRICHE. On annonce la e- chaîne arrivée à Vienne de sir Ba ne Zaharoff.

se GRANDE-BRETAGNE. Sir i mnel Hoare prononcera un discours 1er octobre prochain au eours d' congrès.

LA GUERRE CIVILE EN ESPAGNE I Les nationaux pôursuivent leur avance sur Tpiecie Les Gouvernementaux ouvrent dès fràrrages pour tenter d'enrayer par Vinonda- :<' tion la progression des Blancs de Talavera l e'

Talavera de la Reina, 24 septembre.

Ce matin, à l'aube, les colonnes natio-

nalistes ont repris leur avance sur 'o- lède, mais vers midi le commandement a ralenti l'allure.

Cependant, le commandement considère la chute de Tolède comme, imminente. ••̃ •̃

Les gouvernementaux

inondent la plaine du Tage Madrid, 24 .septembre. On a annoncé officieusement cet après-midi que la colonne gouvernementale, commandée par le oolonicl Navaro, aurait presque atteint Talavera.

Grâce à l'ouverture des barrages de l'Alberche, qui a provoqué l'inoudation d'une partie du secteur Talavera-SantaOlalla, au pouvoir des insurgés, les trou-

SOMMES-NOUS A LA VEILLE D'UN NOUVEAU CONFLIT Sip-NIPPOH Un autre bataillon japonais débarque à Changhaï

Les autorités chinoises ont décrété la loi martiale dans la ville

Changhaï, 24 septembre. Les îtu- ql torités japonaises ont donné l'ordre aujourd'hui de débarquer un nou- la c veau bataillon de troupes nippones, a et de ce fait, la tension sino-Japonaise s'est encore aggravée.

De leur côté, les autorités chinoises ont décrété la 4oi martiale dans tous les districts de Changhaï placés sous leur contrôle.

s Par mesure de précaution, les vo- ri elontaires étrangers de la concession ti t internationale ont reçu l'ordre de se ir tenir prêts à intervenir à tout mo- te ment pour assurer la protection de là concession, dans le cas des corn- c~ bats auraient lieu entre soldats chi- Jc( s nois et japonais, comme ce fut le j, cas en janvier et février 1932. si e D'autre part, on apprend que le gouvernement nationaliste chinois de = Nankin a fait remettre aujourd'hui à l'ambassadeur japonais une note con. I eue en termes énergiques pour pro- I tester contre le fait que des soldats J japonais ont occupé hier soir certains points du district, chinois de Rang6 kéou, en .guise de représaiUles contre I l'assassinat par des inconnus d'un I fusilier marin nippon. «

i- Les patrouilles japonaises ont effecp tué aujourd'hui de- nouvelles perquiii sitions au domicile de Chinois «nui- a sidérés comme suspects.

i-

Le Mikado autorise l'envoi de nouveaux renforts •â Tokio, 24 septembre. Le Mikado a autorisé aujourd'hui les ministres de la i- guerre et de la marine a envoyer en « ie Chine de nouveaux renforts militaires t Il et navals afin d'assurer là protection des re Japonais résidant en Chine.

et On annonce d'autre part que Le gou- 1 il» vernement japonais saurait plus Il longtemps se contenter des promesses c la qui lui ont été faites par 1 gouverne- 1 [t> ment nationaliste chinois de Naukin de c m prendre les mesures nécessaires pour t assurer la protection des Japonais. Le t 111 porte-parole gouvernemental a déclare c te aujourd'hui aux journalistes que le gou- c it verpement japonais voulait maintenant i a" des faits et non des paroles et que si t lI" le gouvernement chinois, en dépit de i ,l~ ses promesses réitérées, ne mettait pas 1 la fin une bonne fois pour toutes, au terro- < ec risme antijaponais, le gouvernement de < as Tokio n'hésiterait pas, comme il la 1 d'ailleurs fait en 1932 à Chapei, a prenn- dre toutes les mesures les plus energi- j 1 iir

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A CANNES

g Le vice-consul S d'Italie insulté 2 par une bande

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1H (Téléphone Figaro) en A'ice, 24 septembre. Le prince Ruffo di Calabria, vice-consul d'Italie à Cannes, se trouvait t Vallauris, hier soir, en compagnie d'un de ses amis. M. Campinotti, ancien combattant et mutilé de guerre de l'armée italienne, lorsqu'au moment où ils allaient reprendre place dans leur voiture pour rentrer à Cannes, Hs furent insultés par un homme. M. Campinotti allait quérir un agent, lorsque une trentaine d'individus surgirent et se mirent à le frapper avec ,as- sauvagerie. Le prince Ruffo di Calabria ac- partit chercher du secours à l'hôtel de de ville de Valauris, mais les agresseurs 10. prirent la fuite à la vue des agents. ,ujs M. Campinotti, qui portait de nom. >zé breuses ecchymoses, fut immédiatement des transporté à l'hôpital de Cannes. lier Q

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àf: Le colonel de La Rocque parle

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éié- à Montmartre et à Compiègne

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Le colonel de La Rocque a pris la parole hier soir successivement au iloulin de la Galette, puis à Compiègne. ,S Dans l'une et l'autre de ces réunions, 10 plus de 5.000 auditeurs étaient réunis. Le président du parti social français, après avoir mis les membres de ce von groupement « en garde contre le comères plot de provocation organisé par- les e à pouvoirs occultes et l'Internationale », a exposé les mesures de propagande et éral d'action justifiées, selon lui, dans les An. circonstances actuelles.

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oar- Un monument sera inaugure e la dimanche à la mémoire font de M. Schleiter, s àancien maire de Verdun f>ro: Verdun, 24 septembre. L'inauguralasil tion officielle du monument élevé par souscription publique à la mémoire de Sa- M. Victor Schleiter, député-maire de s le Verdun, qui trouva la mort dans la cad'un tastrophe de Lagny, le 24 décembre 1934, aura lieu dimanche prochain.

pes gouvernementales ont commencé une i série d'opérations importantes. { Les insurges auraient dû abandonner c plusieurs positions à cause de l'inoudation. » Hier, l'ouverture des barrages avait s fait déverser 4 millions de mètres cubes 1 d'eau torrentueuse vers la plaine du Tage. L'opération a été recommencée aujourd'hui.

Elle le sera tous les jours suivants, jusqu'à ce que les insurgés aient été délogés.

L'entrée én Espagne devient difficile Hendaye, 24 septembre. Les for- malités pour ''entrée des étrangers en Espagne deviennent de plus en plus rigoureuses. Une dizaine de journalistes

ques qui font actuellement l'objet d'une conférence entre les ministres japonais des affaires étrangères, de l'armée et de la marine.

Les Chinois protestent

contre l'occupation

de leur territoire

Chantai, 24 septembre. Des marins japonais patrouillent dans le quartier de Hong-Kiou, dans la concession internationale, et dans la zone de territoire chinois avoisinante.

Les autorités chinoises ont protesté contre cette véritable occupation d'une partie du territoire chinois par les forces japonaises les autorités navales japonaises ont répondu qu'elles agissaient selon le droit de défense.

LA GRANDE -BRETAGNE DEVANT LE REICH EN ARMES 'V'fTLfaut choisir entre la résistance et la capitulation. »

poursuivant ses remarquables études di sur la sitdation internationale vue de a' Londres, Augur aborde aujourd'hui le « cas de l'Allemagne ». C'est avec une fi scrupuleuse lucidité qu'il dissèque la n mentalité allemande. d La destinée de la Grande-Bretagne est ci daire la nation ne peut pas exister d heureuse sans l'Empire. Mais l'Empire, b b elle ne le gardera pas si elle cesse d'être a une grande puissance en Europe. La g menace au prestige britannique vient 1 du côté de l'Allemagne. Les Allemands, S comme avant 1914, sont décidés de nou- e veau à devenir les maîtres du continent, f afin de résoudre leur problème écono- e mique Quand leurs demandes ne sont d pas satisfaites, leur penchant naturel C est d'employer la force. C'est la cause Jj de la présente course aux armements q en Europe. 1 La Bible projette sa lumière sur Hitler, qui veut faire des Allemands une r race à part. Car cette politique fut in- 1 ventée par Moïse qui, pour pouvoir éta- e blir les Juifs comme maîtres en Canaan, Í les proclama peuple élu. Pour faire t que cela soit vrai, Moïse imposa la sé- 1 lection de la race. Mein Kampf, en ce 1 sens, ne fait que répéter la loi mosaï que. Hitler n'aime pas les Juifs parce 1 qu'il leur a volé leur ancienne idée. Il 1 en a peur aussi, parce qu'une expé- rience de deux mille années permet aux Juifs d'instruire les Allemands en leur expliquant le côté négatif d'une théorie « aryenne ». Les Anglais ne souffrent pas, comme les Allemands, d'un sens d'infériorité. Pour consolider leur fierté nationale, ils n'ont pas besoin d'une prétendue supériorité de la race. Mais Hitler, en in- sufflant à son peuple le sentiment d'une race fière, l'incite à conquérir par la force cette prépondérance économique que les Allemands désespèrent d'obtenir par un travail honnête.

Le réarmement de l'Allemagne date de 1923, quand l'entente anglo-française fit faillite dans la Ruhr. Mais il fut réservé à Hitler de lier le réarmement avec la lutte entre le chômage national. La Grande-Bretagne surmonta sa crise en pratiquant des finances saines. L'Allemagne choisit la production d'un matériel de guerre et l'instruction des soldats comme méthode pour réduire le nombre de ses chômeurs. Une fois commencée, cette activité ne peut pas être interrompue sans une catastrophe politique. Pour cette raison Hitler porte l'Allemagne toujours plus loin sur le chemin qui finalement mène à une épreuve de force en Europe? La propagande dissimule ce fait sans pouvoir cependant changer la marche des événements.

Pour ajouter à l'effet de sa théorie raciste, Hitler prêche que l'Allemagne protège l'Europe contre le communisme. Cependant ce fut le haut commandement allemand qui introduisit en Russie le bolchevisme dans sa forme virulente. Des officiers allemands aidèrent Trotsky à organiser l'armée rouge. Hitler lui-même est l'auteur de l'alliance i franco-russe. Car celle-ci fut préparée par des hommes d'Etat qui, comme feu Barthou ou comme Herriot, détestaient le communisme, mais qui étaient prêts à s'allier avec le diable en personne si, ce faisant, ils renforçaient la défense nationale contre la Reichswehr.

Une des conséquences de l'alliance franco-russe fut la coopération militaire entre Prague et Moscou. L'influence russe pénétra dans la vallée du Danube. Mais 'la France eut un prix à payer pour l'aide promise. Le gouvernement du Front populaire est dominé par son aile communiste. Ceci est la cause de troubles à l'intérieur du pays et a aidé il créer l'anarchie en Espagne. A leur tour les troubles espagnols constituérent une menace pour le Portugal. La Grande-Bretagne est particulièrement intéressée au maintien de ia paix dans ce pays. Ainsi Paris et Londres sont re-

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ppartenant à la presse française, an- n laise et américaine, ont été retenus urant toute l'après-midi d'hier à Vera. s, Le bruit court que ces mesures se- 1; aient consécutives à une tentative d'as- ç assinat commise hier, vers midi, sur L a. personne du général Mola. t

La journaliste française arrêtée à Puigcerda i

est relâchée c

Perpignan, 24 septembre. Mlle é )dette Caillou, dite Jacqueline d'Orval, s ournaliste française, détenu à Puigcer- s la, par le comité antifasciste espagnol, t l été remise en liberté, à la suite des 1 lémarches faites par les autorités fran- r :aises.. l Nous avons publié hier une dépêche 1 le Perpignan, au sujet de l'arrestation le deux Français à Puigcerda, dans laluelle nous disions que Mme J. d'Orrai, née Odette Caillou, était l'envoyée ̃ péciale du journal « Vu ».

Or, ce journal nous fait savoir que Urne d'Orval n'a et n'a jamais eu au:un droit à se prévaloir de ce titre. :j 1 La Chambre d'agriculture de Casablanca signale. l'inopportunité de la fermeture de la frontière

La Chambre d'agriculture de Casa- blanca a adressé au général Nogues, résident général, le télégramme suivant « Au moment ou vous prenez en mains les destinées du Maroc, nous considérons de notre devoir d'appeler votre bienveillante attention sur l'inopportu- nité de la fermeture de la frontière interzonale* imposée par le gouvernement français.

» Cette décision compromet sérieusement la situation économique du pays, déjà précaire. La zone d'influence espagnole constitue un de nos principaux clientsvCette mesure de représailles, dont nous ne nous permettons pas de discuter la légitimité, se retourne uniquement contre nos intérêts, et va ainsi à 1 encontre du but poursuivi puisque nos voisins n'en souffriront pas.

On précise que la zone espagnole du Maroc représente, pour la zone française, un débouché annuel de 42 millions de francs.

cvables à Hitler de leurs difficultés vec les communistes.

L'erreur congénitale du Traité de paix it de fixer une limite supérieure à l'arîée allemande. L'Europe fut bercée 'un sentiment de fausse sécurité en snséquence, tandis que la Reichswehr evenait pour les Allemands le symole d'une souveraineté à recouvrer. Il urait été plus sage d'obliger l'Allemane à maintenir une force d'au moins 00.000 hommes à la disposition de la ociété des Nations, alors vivante. Peuttre alors les patriotes à Berlin auraient ait du désarmement leur crédo. Mais, n tout cas, la légende d'une Allemagne ésarmée ne se serait pas établie et la irande-Bretagne n'aurait pas pu s'em- larquer dans une politique de faiblesse, ni est responsable de l'état troublé de Europe à préseent.

Depuis la Ruhr la politique de l'Allenagne a passé par les étapes suivantes. Jour commencer nous avons eu le réjime Stresemann-Brûning quand Berin avait pour règle d' « armer en secret out en persuadant aux Anglais qu'une France chauvine opprime une Allema;ne démocratique et amoureuse de la «ix ». Les nationaux-socialistes changèrent le refrain « Montrez la puissance que nous possédons déjà pour qu'on sache de quoi nous sommes capables, si satisfaction n'est pas donnée i nos demandes. Persuadons aux Anglais qu'ils n'ont rien à craindre d'une Allemagne forte, qui cherche son profit ailleurs ». En 1935 l'Entente trébucha stupidement sur l'affaire éthiopienne. Hitler changea sa formule « Armons en vitesse et prenons ce que nous pouvons, mais sans tirer encore pour' ne pas permettre à l'Europe de former a nouveau son front commun contre nous ». La propagande allemande s'acharna à prouver aux Anglais que la France, pourrie de communisme, ne représente qu'une obligation.

Staline, quand il permit aux fanatiques de l'Internationale d'intervenir en Espagne, affaiblit la position de la Russie en Europe. Hitler a gagné un délai qu'il met à profit pour essayer de détruire le front européen contre lui en prêchant une croisade contre la menace bolchevique. S'il réussit, le moment sera arrivé pour les Allemands de mettre leurs cartes sur la table « Voici nos conditions de paix. Rejettez-les à vos risques et périls, »

Le Dr Schacht est le génie financiei qui, plusieurs fois, a sauvé Hitler de la catastrophe. Il est franc dans son exposé des conditions auxquelles l'Europe peut obtenir un armistice. Il faut qut la Grande-Bretagne et la France donnent les crédits nécessaires pour combattre la détresse en Allemagne. La barrière des tarifs et des restrictions doil tomber pour que le commerce allemanc puisse pénétrer sur les marchés étran- gers. Les colonies doivent être rendue: à l'Allemagne. Le Dr Schacht, cepen dant, ne donne aucune garantie que 1; position améliorée de l'Allemagne ni sera pas utilisée par celle-ci pour aug menter de nouveau la puissance de s: machine de guerre. Donc, le problêmi allemand reste suspendu sur nos têtes Seulement, l'établissement du compt final est ajourné.

Un membre de la Société pour la pro fection des animaux contre la eruaut rencontre un tigre dans la' jungle, il s peut. que sa conscience ne lui permett pas de tirer. Il peut cependant échappe à la bête de proie en la tentant avec ui bœuf. Mais il serait complètement inu tile pour lui de jeter des biftecks dans 1 direction du tigre. De même les Anglai doivent comprendre qu'ils ne peuven pas se débarrasser de l'Allemagne e; lui jetant de petits morceaux alléchant: Cette tactique fut essayée avant 1914 II faut choisir entre la résistance et 1 capitulation. Augier.

ES CONFLITS SOCIAUX

La grève des chocolatiers et des confiseurs

de la région parisienne

Une commission examinera le conflit dès demain

La grève dans les usines de chôcolaric et confiserie dé la région pari.enne a continué hier sans changement )table. Dans quatre nouvelles maiais, le personnel a abandonné le tralil. Cependant, le nombre des usines i grève ne dépasse pas le tiers de la talité de celles fonctionnant dans la gion parisienne.

Dans la matinée, une délégation du ̃ndicat confédéré des ouvriers clioco,tiers et confiseurs en grève a été rete par le directeur du cabinet de M. ebas, ministre du Travail.

Il a été constaté au cours de l'entreen, qu'il n'existait pas dans le déartement de la Seine d'autre syndicat 'ouvriers chocolatiers et confiseurs ouvant être considéré comme reprémtatif de la profession que le synditt confédéré.

En conséquence, des' instructions ont lé données pour que les pourparlers Ment repris entre les parties intéres5es devant la commission de conciliaon des conflits collectifs siégeant dans département de la Seine cette comils sion doit être installée dès le saîedi 26 septembre et examinera par riorité le conflit des chocolatiers. Dans le textile vosgien

L'accord a été signé

Nancy, 24 septembre. Les pourparlers pour le règlement du conflit du extile vosgien ont repris, cet après-mi[i, à 16 heures. La discussion a été inerrompue à 18 h. 15, pour permettre me réunion privée de la délégation paronale. Elle a repris dans la soirée. A 3 heures, l'accord n'était pas encore si;né. On pense dans les milieux indusriels et ouvriers que le conflit touche sa fin.

D'autre part, une commission présilée par M. Marc Rucart, assisté du préet des Vosges, a réuni, à la préfecture, es délégués et les patrons de l'usine Unos de Laneuzeville-les-Raons.

A 20 heures, l'accord a été signé, et 'on pense que le travail reprendra lunli matin dans cet établissement.

La convention collective sera signée mjourd'hui par les délégués patroaaux et ouvriers de l'industrie textile du Nord

Lille, 24 septembre. Ce soir, à 19 h; 30, dans la grande salle de la Bourse du Travail de Lille, s'est tenue une assemblée générale des délégués des usines textiles de la région.

Lecture fut donnée de la convention collective qui doit être signée demain, ainsi que du nouveau barème des salaires celui-ci a été approuvé et les délégués ont voté un ordre du jour de confiance à la commission administrative du syndicat. La convention sera signée demain à 17 heures, dans le bureau de M. Vincent, inspecteur du travail. En application de cette convention, l'élection des délégués d'usine aura lieu le 20 octobre dans toutes les usines.

Une délégation du Labour Party vient à Paris

Londres, 24 septembre. La délégation du Conseil national du Labour Party partira demain pour Paris afin de prendre part aux délibérations du Conseil exécutif de l'Internationale ouvrière, au cours desquelles la guerre civile en Espagne sera examinée sous tous les aspects.

La délégation britannique rentrera en Angleterre à temps pour présenter un rapport au Conseil national du Labour Party, ce rapport devant être discuté à la conférence annuelle qui se réunira à Edimbourg (Ecosse) le 5 octobre prochain.

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LA FOURRURE

« aux prises » avec ra hausse des cours

Paris, le 25 septembre.

O/i nous communique

D'ici quelques semaines, les fourrures vont subir une majoration très sensible.

L'examen du tableau des cours des grands marchés prouve que cette fluctuation, qui s'est déjà manifestée dans plusieurs pays, n'est due qu'à ces marchés de fourrure eux-mêmes.

Malgré tout, pour le premier semestre 1936, on a constaté une augmentation du chiffre d'affaires de 50 pour la pelleterie, par rapport à la même époque de l'année dernière. Cet essor n'est pas seulement dû à l'augmentation des prix, mais également à une énorme augmentation quantitative des affaire?, un est donc plein d'optimisme pour les mois prochains.

A Paris, la mode n'a jamais tant prévu de fourrure que pour cet hiver et ne l'a jamais travaillée avec plus de diversité.

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L'assemblée générale de la Fédération des associations de familles nombreuses s'est tenue hier à Lyon.

Lgon, 24 septembre. La Fédération des associations de familles nombreuses de France était convoquée aujourd'hui, à Lyon, en assemblée générale, sous la présidence de M. Georges Pernot, ancien garde des sceaux.

Après une allocution de M. Georges Pernot, l'assemblée a procédé au renouvellement des pouvoirs du tiers sortant des membres de son conseil et à l'élection de quatre administrateurs nouveaux, parmi lesquels figure M. André 1 Mallarmé, député d'Alger, président du groupe de la famille et de la natalité à à la Chambre des députés.

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t 1 9 36 î=ïîîz l GRAND CONCOURS r PHOTOGRAPHIQUE

DU FIGARO » i ^bonT

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a 25 SEPTEMBRE


r Le Conseil des Ministres 1 i · r d'aujourd'hui

ne prendra pas

de mesures imprévues

Aux bruits qui ont circulé dans les 1 milieux politiques, hier*et avant-hier, le l conseil des ministres qui se tient, cet 1 après-midi, à l'Elysée, sous la prési- I dence du chef de l'Etat, devait être d'une ( haute importance à bien des points de 1 /vue. En réalité ce conseil ne paraît pas i devoir être appelé à prendre des déci- t sions très importantes.

Les membres du gouvernement qui se réuniront d'abord, à l'hôtel Matignon, ( en conseil de cabinet, échangeront leurs f vues hors la présence du président de ` la République, sur les problèmes qui 1 seront débattus deux heures plus tard t au cours de la délibération ministérielle. t La situation extérieure retiendra l'at- 1 tention.de nos gouvernants qui exami- 1 neront également les problèmes finan- t ciers et économiques.

Ce dernier débat s'engaera vraisemblablement aprës l'exposé,par M.Vincent Auriol, des grandes lignes de son projet de budget de 1937. Le conseil, sans aucun doute, étudiera l'avis du Conseil d'Etat sur l'application de la loi sur l'avancement de l'âge de retraite des fonctionnaires. Les ministres approuve- ront le décret qui traduira, en texte lé- gal Jes directives du Conseil d'Etat, en cette matière. n Néanmoins, on peut se demander si les trois mouvements, diplomatique, de l'administration préfectorale et du haut, personnel des finances, pourront « sortir » complètement après le conseil de cet après-midi. On ne le pensepas, -bien des questions restant encore à régler. Aussi est-il infiniment probable qu'une partie seulement de ces mouvements sera rendue publique ce soir. INFORMATIONS POLITIQ UES

Après des assassinats

de Français en Espagne

Joseph Denais avait demandé au ministre des Affaires étrangères des précisions sur les dispositions prises seiï de cet après-midi. On ne le pense des assassinats dont ont été victimes des citoyens français en Espagne. M. Yvon Delbos vient de faire savoir « qu'il n'a pas manqué d'élever les protestations nécessaires et de réserver tous droits à une demande ultérieure de réparations chaque fois qu'il a eu connaissance du meurtre d'un Français au cours des événements de la péninsule

« C'est ainsi, ajoute le ministre, que des démarches furent prescrites à nos représentants à Madrid, Barcelone, Séville, Rabat et Tanger, dès que confirmation eut été obtenue de l'assassinat de nos compatriotes dont les noms suivent Dom Célestin Fumet, chartreux M. Laporte, de l'ordre de Saint-Gabriel; M. Ghamayou, frère des écoles chrétiennes M. Edmond Torre et M. Aguilar. » L'évacuation, par persuasion Hier soir, à Caen, M. Paul Faure, ministre d'Etat, à l'occasion d'une réunion du Front populaire, a prononcé un discours où> il a dit

Nous avons le droit de demander aux travailleurs de faire confiance au gouvernement et d'éviter des incidents et des attitudes que la réaction et le patronat exploitent. »

L'œuvre du gouvernement ne donnera le plein de ses effets et ne sera véritablement efficace, durable et féconde que dans la mesure où elle trouvera ailleurs, par delà les frontières, compréhension et collaboration. Des accords internationaux sont devenus nécessaires en toutes choses. Quand on comprendra cela dans les grandes capitales, un pas aura été fait vers la reconstruction du monde. ·

M. Monnet à Senlis

M. Georges Monnet, ministre de l'agricultuçe, a présidé hier, à Senlis, le banquet d'inauguration de la vingt et unième exposition internationale de motoculture.

La' Gestapo arrête un Français dans un village frontière

Metz, 24 septembre. M. Frédéric Schneider, âgé de 26 ans, de Schœneck, vient d'être arrêté par la Gestapo, au lieu dit Arbed, qui est moitié français et moitié allemand.

Le motif de cette arrestation est inconnu. Schneider a été écroué à Sarrebruck.

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NOUVELLES DIVERSES

DEPARTEMENTS

Sur la route de Vaux-le-Pénil, un camion est détruit

par les flammes le livreur meurt carbonisé

Melun, 24 septembre. Sur la route n° 5, à Vaux-le-Pénil (Seine-et-Marne), pour une cause encore inconnue, un camion d'une fabrique de meubles de Paris a fait une embardée et s'est jeté contre un arbre. Par suite du choc, le réservoir d'essence a pris feu et, en un instant, le camion a été la prois des flammes.

Le livreur, M. Léon Thivert, 23 ans, demeurant rue de Laborde, à Paris, a été carbonisé sur le siège. Sa femme, âgée de 23 ans, grièvement brûlée, a été hospitaliseée à Melun. Le chauffeur, M. Albert Dumény, moins grièvement atteint, a pu regagner son domicile à Paris.

Le chargement du camion, représentant une valeur de 50.000 francs, a été entièrement détruit.

Le directeur d'une agence de location est condamné à treize mois de prison pour escroqueries

Le directeur d'une agence de location, route Nationale, à Viroflay, Robert Petit, 38 ans, s'employait, disait-il, à procurer à ses client des fonds pour faire construire. Il encaissait des prêts hypothécaires, qu'on lui donnait avec mission de payer les entrepreneurs, mai! til conservait l'argent par devers lui, J pour masquer ses escroqueries, émettaii des c hèques sans provision.

Le montant de ses détournements dépasse 155.000 francs Robert Petit, qui a comparu hier devant le tribunal cor rectionnel de Versailles, a' été condamn( à 13 mois de prison et 50 francs d'amende.

L'affaire de détournements de Vitry-le-François

Vitry-le-François, 24 septembre. Di nouveaux renseignements sur l'affaire des détournements dont s'est rendu cou: pable un fonctionnaire de l'Enregistre ment, il résulte que ce dernier, M. L. portait sur les souches de ses registre: des sommes inférieures à celles qu'i encaissait en réalité.

Les reçus délivrés à un notaire on été rapprochés des souches et c'est alor que sont apparues de nombreuses irré gularités.

A la direction de l'Enregistrement, Châlons-sur-Marne, on déclare que 1 Trésor ne subira aucun préjudice, la fa mille s'étant engagée à rembourser in tégralement le montant des détourne ments.

~.I-

Le colonel Etève, inspecteur général de l'aéronautique, échappe à un accident d'avion Angers, 24 septembre. Le colonel t Etève, inspecteur général de l'aéronautique du ministère de l'air, se rendait hier après-midi, par la voie des airs, à Chartres, venant d'Esooublac. L'appa- reil était piloté par Gaston Lefol, domi> cilié 42, rue Jean-Jaurès, à Paris. A 20 kilomètres d'Angers, par .suite d'une panne de moteur, le pilote essaya de se poser dans un champ fraîchement labouré, mais au cours de cette manœuvre. il accrocha un chêne. L'appareil piqua du nez-et s'écrasa sur le sol. Fort heureusement, le colonel et son r pilote purent sortir indemnes de la cari lingue. L'appareil est hors d'usage. s

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LA VIE UNIVERSITAIRE Une protestation du Mouvement d'Education 'nouvelle

s Le Mouvement d'éducation nouvelle, appelé encore « Mouvement jeune instituteurs et parents de Franc? ». élève sa « véhémente protestation contre une récente circulaire de la présidence du Conseil, tendant, en. substance, à mettre an pas les maîtres « ayants appartenus à des groupements dissous » j. et menaçant de sanctions administraL_ tives, voire pénales, ceux qui, hors de leur service, manifesteraient publiquement des réserves sur les mots d'ordre des formations politiques majoritaires. La session du baccalauréat S La session du baccalauréat s'est ouverte hier à Paris pour les compositions écrites de mathématiques.

ic L'Information Universitaire signale jf qu'elle publiera les listes des candidats admissibles le vendredi 2 octobre, à •.u 20 heures, pour la série mathématiques, is le samedi 3 octobre, à 20 heures pour la 1 première partie, et le lundi de 5 à 20 l~ heures pour la série philosophie. Michel-P. Hamelet.

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M. L. sera néanmoins traduit devant un conseil^ de discipline.

Le dentiste Replat

est de nouveau interrogé Charolles, 24 septembre. Pour la deuxième fois, le Parquet de Charolles s'est transporté à la clinique du docteur Sabatier, à Paray-le-Monial, où il a procédé à un nouvel interrogatoire du dentiste Replat qui, le 10 septembre dernier, à Marcigny, blessa très grièvement Mme Moyon, épouse du préfet de l'Aube.

Cet interrogatoire a duré huit heures. Replat a persisté à déclarer qu'il voulait simplement effrayer Mme Moyon, et que c'est accidentellement que le coup est parti.

Des lettres de Mme Moyon à Replat, ainsi que des photographies, ont été saisies au domicile de ce dernier. Le dentiste a choisi comme avocat M" Valansio, du barreau de Lyon.

Une bagarre éclate à Rouen entre membres du parti social français et communistes

Rouen, 24 septembre. Une bagarre a eu lieu, la nuit dernière, vers 23 h. 45, rue Jeanne-d'Arc, près d'un mur où une affiche du parti social français avait été arrachée. Des coups furent échangés entre jeunes gens d'opinions différentes et un coup de revolver a été tiré. Personne n'a été atteint, mais la balle a pénétré dans la glace d'un magasin de coiffure.

Cinq membres du parti social fran> çais et deux communistes ont été légèrement blessés au cours de la bagarre. Un avion fait une chute

le pilote est tué

Nivelles, 24 septembre. Le sergent aviateur Mathot, du 2" régiment d'aéronautique de Nivelles, exécutait en avion des exercices de tir à la mitrailleuse photographique et de haute école, lorsque, pour une cause indéterminée, l'avion se mit en vrille et s'écrasa sur le sol, à Petit-Rceulx.

2 Le pilote a été tué sur le coup et l'aps pareil complètement détruit.

La commission d'enquête technique de l'aéronautique s'est rendue sur place. «̃- ÉTRANGER t Michon avait loué s dans une banque de Mons un second coffre-fort

i Bruxelles, 24 septembre. On a dée couvert, à Mons, un second coffre-fort loué par Michon personellement. Les scellés ont été apposés. Le coffre sera ouvert après réception des pièces officielles du gouvernement français.

EN MARGE DE LA CAMPAGNE ELECTORALE AMERICAINE

t

LA UTTERATURE AU SECOURS

DE LA POLITIQUE

r

Une pièce antifasciste

de Sinclair Lewis va être jouée dans 28 théâtres à la fois New-York. 23 septembre (De notre correspondant particulier). Au pays des records, Sinclair Lewis va en établir un nouveau. Sa .pièce, tirée de son fameux rimon H can't happenftere, qui met en scène < le dictateur Windrup, va être jouée à la fois dans vingthuit théâtres des Etats-Unis. Ceci n'est possible que parce que l'organisation des théâtres d'Etat de la «Works Progress Adminisration a mis ses scènes à la disposition du célèbre romancier, avec un salaire de 1.400 dollars pat semaine.

La « Metro Goldwin Mayer», qui avait pris une option sur la pièce, l'a abandonnée à cause d3s droits d'auteui énormes demandés par Sinclair Lewis Si l'on se rappelle que la pièce, commfc le roman, est de tendance «antifasciste», on verra qu'au delà comme en deçà de l'Atlantique, la littérature a parfois d'étranges collusions avec politique.

It can't happen here servira la campagne électorale du président Roosevel pour l'équivalent de 21.000 francs pa semaine. E. F.

COURS OFFICIELS D'ALLEMAND I L'INSTITUT DE JEUNES GENS I sur le Rosenberg près St-Gall (Suisse) I Possibilités de suivre les leçons dans I les Sections générales de l'Ecole (Matu- I rite, dipl. commerc.). Sport. Maturité I reconnue en France. Prospectus. I

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L'enquête sur la mort

de Mme Fauveau exigera l'examen de 800.000 factures de pharmaciens

II faut rayer du nombre des poisons la « taupinas » soupçonnée, et que M. Kohn-Abrest n'a pas retrouver dans son analyse. -M. Il~

Par contre, l'inspecteur Huet n'a pu établir que le paquet découvert dans la demeure du pompier y était le lendemain de l'empoisonnement la femme de ménage ne l'a pas vu, mais on a découvert du linge tâché de bleu ou ayant passé au lavage. M. Somier, directeur de l'identité judiciaire, va examiner ces linges.

Le produit qui a empoisonné Mme Fauveau contenait du sulfate de baryte, de.la strychnine et du bleu de méthilène, produits qui entrent dans la « taupicine' «.

L'office pharmaceutique a vendu cinquante boîtes de « taupicine en trois mois il va falloir examiner 800.000 factures de pharmaciens à Paris et en province.

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Horizontalement. I. Pierres d'un juun brun semées de.petits points d'or. II. Mi lange pâteux de pain, de viande pour cra tains animaux Sel de l'acide urique. III. Petites îles Grand fleuve de l'Àfriqu e occidentale. IV. Nombre Liquide nom ricier de l'organisme. V. Vase Secour: VI. Noué Masse de pierre très dure Marché publie en Orient. VII. Monceau e Adresse. VIII. Préposition Qui est paj siouné pour une chose Préposition. L Fin de participe Sentier Symbole eh '"• mique. X. Atmosphère. XI. Exciterai n Verticalement. l.. Qui pratiquent l'a: 2, d'élever les abelUesv,– 2. Herbe aux chat

Z 3. SuTpFîs^ar^pelque ofiose d'extrao]

dinaire Note. 4. Propre Carte. 'l Possessif Petite branche. 6. Prefi> 5t qui signifie égalité Synonyme de indigi n tier. 7. En Australie, étendue de pâturai >- accordée aux propriétaires de troupeaux c ;s moutons Siège principal. 8. Donna li r couleurs de l'arc-en-ciel Règle. 9. Fou de cuir dont se servent pour exciter let monture les cosaques qui ne portent pl d'éperons Note. 10. Drapeaux des troi pes à cheval. 11. Importuneras. a Solution du UM

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THEATRE

IL PARAIT G^XTE.

L-S' er~.nl.nn.·ln 1n eamrtinl

André Maurois,

critique dramatique

M. André Maurois vient de plus en plus au théâtre. Non seulement la création, à la Madeleine, de l'adaptation qu'il vient de faire de Victoria Regina, marquera ses débuts d'auteur dramatique, mais encore il assurera dorénavant-ia critique dramatique à Marianne, remplaçant M. Edouard Bourdet.

La réouverture de Mogador, music-hall

Le théâtre Mogador, devenu musichall, comme il' l'était tout d'abord, fera sa réouverture le 2 octobre, un vendredi, exceptionnellement, car c'est le jeudi que seront, par la suite, présentés les nouveaux spectacles.

Ce soir

Odéon, 9 h. (réouverture) 'l La Fleur d'Oranger.

DATES RETENUES

Samedi 26 septembre

Etoile Le Club des Gangsters (première).

Mardi 29 septembre

Bouffes-Parisiens (réouverture) ï Normandie.

Mercredi 30 septembre

Châtelet Nina Rosa (reprise).

Théâtre de Paris Le Chant des

Tropiques.

Casino de Paris Tout Paris qui chante (première).

Atelier Le Camelot ̃' US1--

iM'gs<S'*M**r*re**ee*

A l'Opéra, samedi, dernière audition de La Damnation de Faust.

Samedi soir sera donnée, avec des éléments d'ensemble. exceptionnels, la seconde et dernière audition en concert de la Damnation de Faust, d'Hector Berlioz, qui groupera sur le plateau du Théâtre Sarahernhard.t, et sous la direction de M. Paul Paray. l'orchestre et le cadre choral complet de notre Académie nationale de musique, soit 180 exécutants. Les solistes du chant seront cette fois Mme Germaine Martinelli, MM. Jouatte, A. Pernet et Pactat. Alto-solo, M. Vieux cor anglais solo, M. Bleuzet.

Samson et Dalila sera donné pour la dernière fois, dimanche en soirée, avec le ténor Franz dans le rôle de Samson. La distribution du Chant des Tropiques.

Le Chant des Tropiques, l'opérette de Moïses Simons, livret de Sauvat et Chamfleury, que les Productions Malony Radio présenteront le 30 septembre, en répétition générale, au Théâtre de Paris, réunira là distribution suivante Hélène Regelly, Roger Bourdin, Jean Sablon (en représentations), Rosa Mostova, Jane Morlet, Gilbert Moryn, Offelia et Pimieuta avec Machin, créateur du « Marchand de Cacachuètes », Henry Jullien, Josselin, Lucien Pardiès, Joe Alex Maguière et Morton.

e Matinée populaire à l'Odéon. Pour permettre au très large public libéré le lundi par les nouvelles lois sociales de prendre contact avec les meilleures œuvres ie de son riche répertoire, le Théâtre National de l'Odéon donnera tous les lundis aprèsmidi des matinées populaires à prix extrêmement réduits (places de 2 à 15 francs). Chaque programme comprendra deux pièces l'une moderne, l'autre classique. La première de ces matinées aura lieu dès la semaine de réouverture, lundi prochain 28 septembre, à 14 heures, avec Le rt Rosaire et Lé$:. Précieuses Ridicules. s* De ce fait, pour sauvegarder le y+fpvail des répétitions, l'Odéon fera relâche les s lundis soirs. '?̃ Une revue au Théâtre de la

ie Renaissance.

et Charles Quinel et Manon Pfeifer écrivent une revue montmartroise d'actualité is L'Etat sur le tas qui sera jouée à la Renaissance avec de la musique de René dE Bruxeuil.

André Bervil au Palais-Royal. André Bervil sera l'un des principaux Interprètes de Tout le monde descend, d< Jean Guitton, qui doit être créée au Palais Royal cette saison.

Marguerite Gilbert à l'A. B. C Parmi les chansons nouvelles du réper toire tout neuf que Marguerite Gilbert vî créer aujourd'hui à l'A. B. C., figurent de: J oeuvres de Pierre Varenne et Gabaroche, d. 1 Fred Adisson, d'André Tabet, d'Oberfeld J d'André Hornez. et Marguerite Gilber ̃ nous donnera également la surprise de nou 1 velles « « Imitations » des plus inattendues

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LE PROGRAMME D'AUJOURD'HUI j- t%é,»-«a î. -t à "U z^(\~ .•l'7tiV».

'.i THEATRES

EN SOIREE

OPERA (Théâtre Sarah-Bernhardt), à 8 h. Hérodiade (Mmes A. Volfer, M. Soyer, Holnay; MM. de Trévi, Eudrèze, Froumenty, Cambon, Médus, Madlen). Danse Miles Bourgat et Lascar, Xergrist et Chauviré. Orchestre D. Fr. Ruhlmann. Demain La Damnation de Faust. COMEDIE-FRANÇAISE (Richelieu 22-70), à S h. 45 Le Secret, de M. Henry Bernstein; MM. Roger Monteaux, Yonnel, Pierre Bertin Mmes Marie Ventura, Madeleine Renaud, Jane Faber.

Demain Denise.

OPERA-COMIQUE (Richelieu 72-00), relàche.

Demain Werther.

ODEON (Danton 588-13) La Fleur d'Oran. ger.

Demain La Fleur d'Oranger.

ATHENEE (Opéra 82-23), à 8 h. 45 La Scintillante. de M. Jules Romains. (Mlle J. Neels M. Romain Bouquet, Alfred Adam, Robert Bogar, Maurice Castel, etc.). L'Ecole des Femmes (MM. Louis Jouvet, J. Bertheau, R. Bouquet, M. Castel; Mmes Madeleine Ozeray, Raymone, etc.)

GYMNASE (Provence 16-15), à 9 heures Le Cœur, de M. Henry Bernstein. (MM. Victor Francen, Claude Dauphin, JeanPierre Aumont; Mmes Hélène Perdrière, Lucy Léger et Suzet Mais).

Matinées jeudis et dimanches.

MICHEL (Anjou 35-02), à 9 heures Un Coup de rouge, revue en 20 tableaux, de MM. Dorin et Saint-Granier. (Marguerite Moreno, Pauley, Dorin, Davia, Edmond Roze, Parisys et Saint-Graniev).

MICHODIERE (Rich. 95-23), à 9 h. Bichon, de M. Jean de Letraz. (Victor Boucher, Marcel Vallée, P. Asselin, Jacques Tarride; Mmes Alice Bonheur, Marsans, S. Henry, Katie Varley, et Clara Tambour). PALAIS-ROYAL (Rich. 84-29), a 9 heures Ta bouche, opérette de MM. Mirande, Willemetz. Maurice Yvaiu. (Denise Grey, Simone^. Lencret, Andrée Champeaux, Gustave Nelson, etc.)

ANTOINE, 9 h. Chéri de ra concierge. ARTS, 9 h.: Les Innocentes.

CHATELET. à 8 11. 30 Au Soleil du Mexî-

que.

DLUX MASQUES (Théâtre d'aventures). à 9 h. 15 Que personne ne sorte!

ETOILE. à 9 h. Trois. six. neuf. NOUVEAUTES, 8 h. 45 Tout va trop bfenl PIGALLE, 9 h. Saint-Alphonse.

PORTE-SAINT-MARTIN, 8 h. 30 » Cyrano Bergerac.

RENAISSANCE. 9 h. t Qntî.

Au programme d'inauguration figurera Diivalès, pour la première fois au music-hall, qui jouera un sketch bouffe avec Pautine Carton, Armand Lurville, Robert Bossis et Palau.

Programme lumineux

Les plus petites initiatives ont leur intérêt. Louons donc le Théâtre des Arts de donner aux spectateurs un programme imprimé sur papier noir et qu'o peut lire par transparence dès la pénombre de la salle. Certains music-halls devraient bien suivre cet exemple. Nous en reparlerons. Le, mètre à vedette

On sait que Lyjo va orqaniser des spectacles corporatifs au Théâtre AI-

Saturnin Fabre et Mireille Perney dans « Saint Alphonse », au théâtre Pigalle.

*0^_

Des incidents ont marqué la réouverture

du Théâtre des 2-Masques Le Théâtre des 2-Masques, qui vient de rouvrir avec une pièce d'aventures humoristique

« QUE PERSONNE NE SORTE » a connu une « première » plutôt mouvec mentée.

Dès le premier acte de cette curieuse pièce, les réactions du publie se manifestèrent avec une intensité telle que la représentation dut être interrompue. Elle reprit t bientôt dans une singuliere atmosphère d'enthousiasme et d'émotion, cependant que dans sa loge M. Langeron, le plus parisien de nos prefets de police, souriait et donnait le signal des applaudissements. ï Constatons que le Théâtre d'Aventures des 2-Masques a ouvert la saison théâtrale sous le signe de la fantaisie et du succès. MUSIQUE Los deux jHandes associations de Ton* 1 certs PowJpt et Sioha-n ont décidé dc-Vanit^ s cette année, pour former une Fédération Symphonique,afin de donner plus diclat à la saison musicale 193b-1937, en faisant i. entendre au public les plus grandes œuvres symphoniques et chorales avec un orchestre de 100 musiciens.

t Ce groupement, dirigé successivement par MM. Gustave Cloez, chef d'orchestre à l'Opéra-Comique, et Robert Siohan, chef des e chœurs à l'Opéra, donnera 18 grands concerts symphoniques, la plupart avec chœurs, tous les samedis à 17 heures, du 10 octobre 1936 au 13 mars 1937, grande salle Pleyel.

x Renseignements au siège social salle e Pleyel, 252, faubourg Saint-Honoré.

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Concerts Pasdeloup.

Nouveaux avantages aux abonnés. La nouvelle méthode permet à tout-souscripa teur d'un carnet de 10 billets (85 à 207 fr.) ;s d'avoir le même fauteuil à chaque conIe cert 2° les billets n'étant pas datés, de pouvoir choisir les concerts pendant la sairt son et seulement après connaissance des programmes 3° d'éviter toute attente aus guichets 4° d'assister aux concerts d< ̃* gala sans augmentation de prix 5° de pouvoir souscrire à un carnet même dans If k courant de la saison. Renseignements 18, rue W de Berne (VIII Eur. 41-50.

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SAINT-GEORGES, 9 h. La Femme en tleur. VARIETES, 9 h. Un de la Canebière (Alibert).

MUSIC-HALLS

CHANSONNIERS,

CIRQUES

A. B. C, 9 h. André Baugé, Thérèse Dorny. ALCAZAR, 3 h. et 9 h. Grande revue. ALHAMBRA, 9 h.: Mireille, Mills Bros. CASINO DE PARIS, 9 h. Plaisirs de Paris. DEUX-ANES, à 9 h. Et ran. tan. plan. revue. Clara Tambour, Dorin, R. Souplex, G. Charley, J. Marsac, etc.

THEATRE DE DIX-HEURES, à 10 h. Martini, Jean Rieux, Max Régnier. La revue. EMPIRE, à 9 h.: Jacqueliue Francell, Claude Pingault. La Chasse à courre.

FOLIES-BERGERE, relâche pour répétitions générales de En Super-Folies, revue en 50 tableaux de M. Maurice Hermite. Production Paul Derval.

LUNA-PARK Tous les jours, matinée et soirée, attractions, dancing.

TRIANON, 3 h. et 9 h. Music-hall. CIRQUE D'HIVER, 8 h, 30 Spectacle varié. Les Coléanos.

CABARETS, DANCINGS TABARIN La Joie de vivre. Attractions. AU FLORIAN (74, Champs-Elysées). (Elysées 14-70). Diners et soupers en musique. CINEMAS

MONTMARTRE OPERA BOULEVARDS AGRICULTEURS (8, r. d'Athènes) L'Hom.me qui fait des miracles. 3 h. et 9 h. Sam., dim., fêtes, 2 h. 30, 5 h., 9 h. CINEPHONE PETIT PARISIEN La Ville sans loi. Perm. de 10 h. à 1 h.

AUBERT PALACE (34, bd des Italiens) Les deux gosses.

CINE-OPERA (av. Opéra) L'Homme qui fait des miracles. Perm. de 14 h. à 20 h. Soir., 21 h.

COURCELLES Le Petit Lord Fauntleroy. CAMEO Les Temps modernes.

CJNE-VIV1ENNE Les Révoltés du Bounty. EDOUARD-VII Marie Tudor (parlant anglais). 14 h., 1« h. 30; soirée, 21 h.. Samedis, dimanches, à 23 h. 45.

GAUMONT-PALACE (place Clichy) L'appel du Silence.

IMPERIAL Les Loups entre eut. MADELEINE-CINEMA (boulev. Madeleine) Jenny (Françoise Rgsay).

MARIVAUX (16, bd des ItaHens); Sept nom

bert-l". Ltiaque jour ae lu zkuuxiilg sera consacré a un corps de métier, le lundi aux coiffeurs, le vendredi aux charcutiers, et ainsi de suite:. Au programme de ces spectacles figureront, d'une part des amateurs de la corporation et de Vautre des artistes professionnels. Mais, voilà ce qui laisse rêveur.. Les vedettes auront le droit de rester en scène deux minutés et les demi-vedettes une minute. Nous aimerions bien -savoir avec quel appareil, avec quel mètre on mesurera les pcrtions.de vedettes. Et quelle diplomatie il faudra pour éviter les plurs et les grincements de dents

̃:̃ V .• ,V- '.• .Y ̃xxX.-v,

le Congrès de Berlin s'ouvrira le 28 septembre Le onzième Congrès de la Confédération internationale des sociétés et ̃• compositeurs s'ouvrira le 28 septembre à Berlin, sous la présidence de b. bxc. Dino Ifieri. Le Congrès sera inauguré' par le ministre de la Propagande duvReien, M. le Dr Gœbbels.

La France sera représentée pour la Société des auteurs et compositeurs dramatiques, par MM. Henry Kdstemaeckers, président d'honneur Jeau-Jaçques Bernard, vice-président, et' MiarcelSamuel Rousseau, membre de la Commission. Pour la Société des auteurs, compositeurs et éditeurs de musique. par MM. Stéphane Chapelier, président Georges Krier, vice-président Henri Lemoine' trésorier, E. Lemerçier,. et. Alpi-Jëan Bernard, directeur général. Enfin, la Société des Gens de Lettres de France, qui a posé sa candidature à la Confédération, sera représentée à ce Congrès- par MMv Jean Vignami;: président, et par H.-J. Magog, vice-président.

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JEUDI 1er OCTOBRE `

PREMIERE Représentation vfi^^

< AU

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vt^S THEATRE

W* DE PARIS Opérette à grand spectacle Location ouverte TRI. 20-44

{l Anna Sten dans « Seule dans la vie ». le Ce film passa au Balzac.

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*m Nous informons nos abonnés et lecteurs qu'il ne nous est pas possible de donner suite aux demandes de numéros qui ne sont pas accompagnées du montant des frais d'expédition qui' s*êlèvent Pour la France à 0.30 par exemplaire Pour l'Etranger à 0.60 (Tarif réduit)

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mes, une lemmc. rnaac a j. i*. «", <•. •»

19 h. 13, 21 h. 25, 23 h. 35.. MAX-LINDER Un de la Légion. Perm.de 14 h. à 23 h. 40.

PARAMOUNT La Fille du Bois, maudit.-De 13 h. à 19 h. A 21 h.

OLYMPIA Le Grand Ziegfeld.- Passe à 14 h. 30 et 21 h. Dim. et fêtes, 14 h..15, 17 h. 45 et 21- heures.

REX (1, bd poissonièrc) Prête-moi ta femme. r

LE HELDER Mon ex-femme détective. STUDIOS

STUDIO UNIVERSEL (31, av. Opéra) Los Révoltés du Bounty.

STUDIO DE L'ETOILE (El. 06-47) Gosses de Vienne. (Vers. orii?., sous-titres, franc.). 14 h. 30 à 19, h.; soirée 21 h.

STUDIO 28 (10, rue Tholozé) :L'Admirable M. Ruggles (Ch. Laughton). Symphonie burlesque. 15 h., 21 h.

RIVE GAUCHE

BONAPARTE (pi. Saint-Sulpice) L'Homme qui fait des miracles. 3 h. et » h. Sam., dim., fêtes, 2 h. 30, 5 h., 9 h.

PAGODE Le Petit Lord Fauntleroy. v PANTHEON La Jeunesse de Maxime.- Perman. de 14 h. à 20 h. 30 soirée. 21 h. CHAMPS-ELYSEES ETOILE

AMBASSADEURS Show-Boat. Mat., 15 h,, 17 h. 30; soirée, 21 h.' ·

L'AVENUE, 5, rue du Colisée Marie Stuart, reine d'Ecosse. BALZAC Seule dans la vie. Passe a'15 h. 25, 17 h. 50, 22 h. 20.

COLISEE (33, avenue des Champs-Elysées) Le Grand Refrain. Passe à 14 h. 20, :17 h., 22 h (Métro Marbeuf).

CINEMA DES CHAMPS-ELYSEES (118, avenue des Champs-Elysées). (Tel 61-70) Soirée, 21 h. 15., Sam. et dim» perm. de 14 h à 24 h. T

CINE-PARIS-SOIR (Champs-Elysées) La presse filmée. La Grande Parade, de Mickey.

ERMITAGE L'Empereur de 'Californie. Passe à 14 h. 25, 16 h. 25, 20 h. 40; 22 h. 50. LE PARIS La Belle Equipe. De 2 h. 30 a 1 heure du matin.

MIRACLES-LORD-BYRON My Mail Godfrey. Perm. de 2 h. 30 à 19 h. Soirée, 21 h. 15.

'MARIGNY Dortoir de jeunes filles. Passe à 14 h. 45, 16 h. 45, 18 h. 55, 21 h. 40, 23 h. 45.

MARBEUF La Fille du Bois mandit Vers. orig. Perm. de 2 h. 30, à 19 h:; soirée, 21* h. MARIGNAN (27, Ch.-Elysées) Sacha Guitry dans Le Roman d'an Tricheur. Passe à 14 h. 31, 16 h. 42, 18 h. 50, 21 h., 23 h. 15. VICTOR-HUGO Une trnenle en or.


r r ReginàldPasch dafls « L'Empereur de ealifornic ».

« YOSfflWAEA"

;L~ Un film japonais

?: deMaurice DEKOBRA

JE suis allée voir le célèbre romancier Pourquoi le titre Yoshimara ?

voyageur qui a compose le scénario Yoshiwara est l'un des quartiers de Yoshiwara, ce film japonais que réservés de Tokio, car il y en a un aul'on tournera sous peu. Il répondit tre le Kameido, où les prix sont moins à mes questions en maniant un poi- élevés Le mot Yoshiwara signifie exacqnard deNàra que lui offrit récemment tement, en japonais le marais des roFonjita *̃̃̃ seaux. A moins que le caractère chiC'est exact, nous allons faire un nois Yoshi, qui veut dire bonheur, n'ait film qui sera réalisé en partie au Ja- contribué à l'origine de ce nom. Lnepon, en partie en France. roine de mon histoire fréquente donc On dit que Sessue Hayakawa joue- le Yoshiwara, où les courtisanes, enra le rôle principal?. core aujourd'hui, sont rassemblées dans Parfaitement. Sessue Hayakawa de jolies maisons de bois. Jadis, elles ̃ câblé son acceptation et il est déjà étaient exposées, poupées vivantes, aux en- route pour la France. yeux des visiteurs. La morale l'exigean^ Je ne vous demande pas de déflo- on n'expose plus que leur photographie rer votre sujet, mais à. la devanture des maisons du Yoshi'̃'Eh. bien l'action de ce drame se wara. a

passe en grande partie à Tokio et à Alors, cette geisha ? Nagasaki. On y verra Sessne Hayakawa Ah je vous en prie, ne oonfon-

Maurice Dekobra dans les Studios de Kyoto. A sa droite Mlle H TcHkaw étoile de l'écran japonais.

oui ancien lutteur ruiné, tient bar dez pas les geishas avec Ies.professio où sa fille, Mlle Satchiko nelles de l'amour! Les geishas sont d Quel joli nom 1 dames de compagnie, intruites et cuit Cela signifie,,en japonais made- vées, qui sont destinées il. charmer 1 moiselle ,BoJ;1heur Suprême. hommes par leurs société et leur co Vous parlez donc le japonais ? versation au cours des dîners. Un d Non, mais j'ai retenu les noms ner d'hommes, au Japon, est toujou charmants de certaines geishas que j'ai agrémenté par la présence degeishi connues là-bas. Ils sont si poétiques et Elles dansent, elles chantent, rien

la femme japonaise est si séduisante, plus.

si ·docile, .si ,résignée, si passionnée et Nous attendrons donc avec imp si pudique à la fois. tienee la réalisation de Poshiwaca~ V V Vous' disiez donc que l'honorable tre film sera certainement pittoresqu Mlle Satchiko, la fille de Hayakawa. cela nous changera un peu des hist~ C'est tout ce que je vous dirai. res de Broadway, des exploits d Il ne faut pas vendre la peau du Samou- gangsters et des films made in U. S. rai avant de l'avoir tué.En tout cas, dû, pour la sept cent trente-troisièr je suis ravi d'avoir pour interprète un fois, nous voyons Carol Lombard épc ti grand artiste. ser,allh.4<).WiIIiamPowe!l.

FILMS RECOMMANDES Exclusivités PATHE

MARIGNAN

SACHA GUITRY

dams

LE ROMAN D'UN TRICHEUR

MARIVAUX

SEPT HOMMES. UNE FEMME

IMPERIAL,

LES LOUPS ENTRE EUX

aa^a.a fc m m m m m m t* "Ti G fiM

ECHOS DE CI^

Comment Gaby Màrlay juge ses films c

Interrogée au sujet du Roi, dont elle est « une des vedettes, Gaby Morlay répond Ne me demandez pas de juger un de c mes «Iras avant qu'il soit terminé, et même r qu'il soit projeté en public. Cela m'est impossible

Pour quelle raison ?. t

Il faut que j'aie pu le voir trois on J quatre fois entièrement monte. Jusque là, j je suis trop préoccupée par mon person- nage, je ne m'attache guère qu'à critiquer tout ce que j'ai fait, pour pouvoir porter un jugement sur l'œuvre.

Mais aussitôt, elle ajoute

J'ai un autre moyen de savoir quel accueil sei'a fait à mes lilms je me base sur le. plaisir que j'éprouve en les tournant. Si j'ai été vraiment passionnée par la réa- <

des

A. '̃'̃

™e Myrna Loy et WîUia» Powell dans « Le Grand Ziegfeld », B. Valentine Tessier et Signoret dans une scène de Ménilmontant 1

isation d'un filin, 'je constate que le puillc éprouve un plaisir analogue. Et. vous ètes-vous bien amusée penlant les prises de vues du Roi 1. Follement. Je ne crois pas avoir :omiu ambiance plus sympathique Victor 7i-ancen, Balmu, Lefaur, Etvire 'Popesco, Ouvallès, songez donc, quels camarades alarmants et quelle distribution extraordiîàire 1.

Et baissant la voix

Je vais vous confier un secret. Je viens le, tourner presque sans arrêt, depuis midi jusqu'à heures, la scène du souper avec Francen. Eh bien j'ai éprouvé tant de Dlaisir à le faire, que j'accepterais voloniers d'abandonner mon cachet B. F. L'inauguration

du nouveau Max Linder Vendredi dernier a eu lieu, au milieu l'une assistance aussi nombreuse qu'élégante

l'inauguration du « Nouveau Max-Linder » avec la dernière création de Fernandcl Un de la Légion.

Les grands chefs de l'armée, les officiers supérieurs ayant servi « à la Légion », parmi lesquels on remarquait le, général Nollet, grand chancelier de la Légion d'hon- neur, les généraux Georges, Pelletier, les colonels Cuinant, Allain, le monde de la presse et du cinéma représenté par MM. Maurcr, Stelley, Klarsfeld, Souhami, Byre, d'Aguiar, Calamy, Christian Jaque, Agiman et àassoon, Hakin, Hichcbé; Harle, avaient été cohviés'. à" cette représentation de gala, si gracieusement organisée par la nouvelle direction au profit de « la Légion et de la Société de secours mutuels des anciens officiers, sous-officiers et soldats. Toute l'assistance admira la nouvelle salle si heureusement transformée et pourvue des derniers perfectionnements techniques et artistiques. Les applaudissements unanimes et prolongés saluèrent ce grand film français, tout à tour gai, émouvant, héroïque. Faut-il dire qu'ils s'adreessaient aussi à P«I«radel qui. de l'avis de

tous, y a crée la JI818 «e sa fumcre.

hW~tNW W0IVHÜN~rl0iraw~~

~fi~DE CDURCELL~S ~<<r, t. ««hytunme–llS.r.GoNK'eMes t yreddie BARTHOLOMEW

t dans

LE PETIT LORD FAUNTLEROY

h.

NEMA

m LOIS NOUVELLES Ce qu'on en dit

^'̃̃̃ y- dans les studios

De nombreux lecteurs nous demandent « Comment la production cinématographique, qui ne souffre ni retard ni perte de temps, s'accommodera-t-elle des lois nouvelles limitant les heures travail? » Une rapide enquête nous permet de conclure que « tout ne yien pas pour nuire » et que l'industrie di film souffrira moins d'un nouvel éta de choses que la fabrication des pneu: de bicyclette ou le commerce des ba: de soie.

Au studio, là où deux équipes si succédaient sans se hâter où Toi pâlissait sur un texte, où l'heure di déjeuner ajoutait de la somnolence l'ennui de « la scène à refaire », un seule équipe travaillera, de midi à hui heures, par exemple, avec une paus brève juste le temps de soufflei

= LES FILMS

1 NOUVEAUX

MARIGNY Dortoir de Jeunes Filles.

Un détournement de mineure. E scénario accorde à Simone Simon t Marie Claudel dix-neuf ans L d'âge. Le scénario ment tout comme un truqueur d'état-civil Simone Simon a quinze ans que dis-je ? douze à peine La surprise de ce film c'est la jeunesse insolente de Simone Simon, une jeunesse acide de fruit plus encore qu'une jeunesse tendre de bourgeon. Qu'elle soit photographiée de face ou de profil, la bouche gonflée d'une moue ou s'ouvrant franchement sur un large sourire enfantin, la tête inclinée à l'instar d'un fox-terrier ou rejetée en arrière pour affronter un conseil de discipline, elle a l'air d'une élève de troisième coupable d'avoir tiré la langue oli chipé des billes bien plus que d'une jeune personne surprise en train

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d'écrire sa première lettre d'amour. Et voici un record de plus nous sommes en veine établi au nez des Américains.

Herbert Marshall lequel pouvait prétendre, avant de pénétrer dans ce « dortoir de jeunes filles », à jouer les encore-jeunes-premiers, inscrit à son actif le plus retentissant détournement de mineure. L'air un peu las, mais sûr de son charme, il s'installe au pied d'un arbre en fleurs pour décrire à ses élèves la terrasse où Cléopâtre rêvait, 3}Sivn; aufx -auio^v.p 3U»u »I a-nuoa émouvante, Rudh Chatterton Anna joue les Lazare de cet amoureux festin. Herbert épousera-t-il Anna ou Marie ? '? De tous temps, Marie a choisi la meilleure part et l'a _gardée. Et voici pourquoi le film s'achève' en boitillant; voici pourquoi ce directeur de pensionnat se conduit en écolier et croque, en fin de compte, la pomme verte. MÂRIGNAN Le roman d'un tricheur.

Ce tricheur gagne.

LE film de Sacha Guitry, dont nous vous avons dit quelques mots, dès sa sortie, semble devoir être le grand succès de la saison cinématographique. Réjouissons-nous qu'une production française l'emporte ainsi franchement. Ses éléments de réussite sont de divers ordres la popularité de l'auteur-acteur-metteur en scène. l'huniom- de celui-ci qui nous incite à rire des «koses les plus graves partant, à en atténuer la portée et enfin la formule inétSHe du Roman d'un Tricheur.

Après quoi, lâchés par leurs troupes, les « sunlights éteints, le metteur en i scène ruisselant, aphone, cette « scriptgirl » courbaturée, ces acteurs replâtrès plus de vingt fois par un maquilleur diligent seront bien tenus de prendre du repos de retrouver qui t sa voix, qui ses jambes, qui son épii derme normal.

t L'on ne verra plus la même inters prétation user sur le plateau deux res lais de bruiteurs, ni un électricier composer, vers huit heures du soir, unE e aurore que salue une jeune première 1 hagarde de fatigue, et qui déclare, er n ouvrant ses volets « Comme j'ai bier à dormi » Le moral de chacun aue teur, acteurs y gagnera le filn t aussi. Que pouvons-nous souhaiter dl e plus? J. L.

f '-̃•̃-̃̃̃̃•-

Tout est neuf, en ce film, du premier mètre au dernier. La présentation originale des principaux responsables pourrait faire croire aux non-initiés que la caméra les a surpris en des attitudes naturelles. Assis devant un clavier, Adolphe Borchard s'essaye à des harmonies imitatives qui renforceront encore l'ironie du texte et des images. Jacqueline Delubac, Marguerite Moreuo et tous les autres, dans le désordre du studio, semblent ignorer le publie c'est la façon la plus sûre de le conquérir. Enfin, ce long monologue, en synchronisme parfait avec les gestes de chaque acteur, est semé de mots charmants, légers, d'anecdotes brèves dont la plupart dépasseront l'écran ce qui n'est pas le sort habituel des anecdotes cinématographiques.

« Je n'ai pas la prétention d'avoir réussi ce film, bien entendu », explique Sacha Guitry en tête du programme. Bien entendu, il est certain de l'avoir réussi. Et voici que nous commençons, nous aussi, a le croire.

MADELEINE Jenny.

Un film excellent, mais pénible.

UN conflit entre mère et fille est ) toujours plus pénible qu'émouvant, mais le talent de Françoise Rosay donne un tour tout parti:ulier à celui qui l'oppose ici à Lisette Lanyin.

Jenny ayant choisi, jeune, un métier :rès spécial, elle a éloigné sa fille Dalièle afin que celle-ci ne connaisse jamais la provenance de l'argent maiernel. Jenny partage son existence en:re son « commerce et l'amour son imour pour un homme trop jeune lejuel, bien entendu, aimera Danièle, revenue inopinément, dès qu'il la rencontrera. Et toute l'action du film tourne autour de cette substitution, dans le cœur de Lucien Préjean d'une très jeune fille à une femme vieillie tout l'intérêt est concentré sur le personnage de Jenny Françoise Rosay qui tire de sa douleur, des compromis qu'elle lui inspire, et de sa résignation, enfin, des effets simples et dramatiques.

Charles Vanel, dans un rôle plus brutal que ceux qu'il interprète à l'ordinaire, est moins à son aise son jeu est moins « au point ». Le Vigan se tire adroitement d'une atroce esquisse. Préjean joue sainement un rôle équivoque. Lisette Lanvin, très en progrès, marque une émotion qui n'est point feinte et ses élans sont pleins de grâce, de jeunesse et d'harmonie.

Bref, Jenny est un bon grand film auquel il est cependant préférable de ne point mener les jeunes filles bien entendu, la salle du « Madeleine en était, hier, à moitié pleine.

STUDIO DE L'ETOILE Gosses de Vienne.

L'histoire d'un petit garçon. sur des airs de Hœndel, de Brahms et de Mozart.

Ici, point de scénario ou si peu. Un enfant malheureux, qui aime la musique, est exalté si bien par un bonheur nouveau que le jour où il manque de la perdre, il décide de mourir. Et tous ses états d'âme, illustrés d'une exquise façon, s'expriment par le largo de Hsendel, un Kyrie de Mozart et la tendre mélancolie de la Berceuse de Brahms. On ne saurait rien concevoir de plus frais, de plus sain ni de plus épuisant.

Gosses de Vienne est aussi un documentaire la vie des « petits chanteurs », qui s'enorgueillissent d'avoir compté dans leurs rangs Frantz Schubert, nous est retracée en détails. Ce 'sont des petits comme les autres, qui jouent, rient, se querellent et se battent, mais que les lois de l'harmonie groupent soudain, graves, attentifs ci comme transportés. Après Vienne, sc, pavillons et ses jardins, les extérieur; de la haute montagne autrichienne servent de cadre à l'action. Ici, des enfanfr s'ébattent, au flanc des rochers, semblables aux jeunes d'un troupeau. Là au creux d'un vallon, en présence de, paysans, on célèbre la messe, et les voi> fraiches de la chorale portent jusqu'au> sommets la mélodie sacrée. Cependant un petit garçon, dans une chambre claire, manque* de mourir pour avoii voulu cueillir des « edelweiss » dans Ir montagne. Tout cela est simple, émouvant, ravissant Le « Studio de l'Etoile », inscrit à son programme un excellent film de plus.

[̃̃̃ Jean Laury.

A C B B D 1 cœur passe 2 carreaux pas»» 2 » atout y, n 2 sans atout »

̃ 3 sans atout » passe »

e La solution paraîtra le 30 septembre. Solution du problème N° 102 bis paru le 18 septembre

A. REYNALD

j- 1" joue cœur 10 4° A joue cœur 9 l" C » » R C » pique 5 1- B » » 2 B » carr. 8 la D » » 4 D » cœur 8 ,,i •>« C » trèfle 4 5° A » trèfle 10 Ul lB » » v C » trèfle 7 i- D » » D B » trèfle 9 I A » » A D » pique 3

I <!o A rœnv A ti" A » trèfle 2 3 a eœui Ag 6 c trèfle 8 e- B » carr. 3 B » çarr. 9 ^n D » cœur 7 D » pique 6 ie c » » s. ri in fni ot u 1ft dp ninne.

eri A fait l'as de carreau.

en Quelle que soit la défense A et B font ̃en 7 levées sur 9.

•u- u «i»

lm

RADIO LYRISME ET RADIO

]BRUDGr]E Problème 103 bis

A. REYNALD ,,i

Pique A 10 9

Cœur 7 4

Carreau A R 9 5 4 2

Trèfle R V

Pique 0 V B Pique R 4 î 2 CœurV I0 9 8 D Cœur 6 I

Carreau8 7 6 C ° Carreau 0 V l\ I Trèfle 8 6 5 4 A j Trèfle 0 It 17 Pique 8 7 6 5

Cœur A R 05 2

Carreau 3

Trèfle A 3 2

BRIDGE-CONTRAT

A et B sont vulnérables.

I Déclarations

D joue le 2 de pique.

Jeune encore, ia raeuu uucicuc aw« tyle le temps le lui donnera. Ce qu'il era, nous ne le savons guère. Les esais d'oeuvres purement radiophoniques ont encore trop épars, trop disparates iour en exprimer les contours, même JI ort vagues. Mais il viendra tels des hromosomes, les éléments issus de la toésie, du théâtre, de la rythmique, du v inéma, ou d'ailleurs, se réuniront pour ormer un noyau vivant. Nous sommes, présent, au stade d'élimination. Les auditeurs ont entendu, l'autre oir, une évocation très réussie, on ne aurait le nier, du « Centenaire de la Jalibran », due à Mnies Cita et Su:anne Malard. Les auteurs en sont à eur dixième pièce cette longue praique du micro leur permet d'utiliser le la manière la plus pertinente et a plus poétique les principes s sûrs » du théâtre radiophonique. On. ouera leur invention (les deux personlages d'aujourd'hui qui commentent la iestinée de la cantatrice) et leur goût ies images sonores.

Comment expliquer, malgré ces qualités, l'impression de malaise laissée par l'audition ? La forme versifiée de l'œuvre semble responsable. Sans doute, l'époque romantique justifie-t-elle le règne de la rime mais la poésie lyrique traîne derrière elle un fardeau de métaphores, de cadences, de césures, d'enjambements, de chevilles, capables de briser le fil car le micro est une filière qui amenuise tout ce qui le traverse, sauf les défauts.

L'art radiophonique aura un rythme, mais un rythme propre qui niera toutes les règles de la poésie. H faut'faire confiance aux artisans de la radio et, d'ailleurs, pour citer nos auteurs Chacun sait qu'un poète est toujours [pardonné.

P.-D. Templier.

Vendredi 25 septembre | 20 h., RADIO-PARIS Folklore corse, présenation par M. Henri Toniasi. Mélodies par Mlle Ingdici.

20 It. 30, TOUR EIFFEL Trio à cordes (Bré;al) Prélude et fugue du Clavecin bien tempéré Bach) Airs de Falconicri, Caccini, Cavalli, Stros:i Les Maisons de l'étemité (Bloch) Pièce de ̃oncert (de. La Presle), pour violoncelle L'Horizon ̃hhnérique (Fauré) Neuvième nocturne Sixième Mrcarolle (Faurê) Quatuor (Glazounow). 22 il. 4S, RADIO-PARIS Concert sous la àieclion de Rhené-Baton Symphonie en si bémol J. CI:. Bach) Les Indes galantes (Ramum) Symphonie n" 29 en la majeur (Mozart) Trois Pastorales (Rivier) Concertino pour violon et orchestre (Pascal) Sinjonietta (Roussel) Quatre ipisodes (Bloch).

ORCHESTRE

17 h.. PARIS P.T.T., puis RADIO-PARIS Concert, direction Cloez.

20 h. 30, STRASBOURG Haendel, Weber, Gluck, Wagner.

20 h. 40, -VIENNE Musique contemporaine (Trapp, Waiton).

21 h., DEUTSCHLAXD Weber, Brabms,' Schmidt, Bartok, Dohnanyi.

22 h. 30, COLOGNE Œuvres de Schubert. 22 h. 30, LUXEMBOURG Musique ancienne et contemporaine pour orchestre à cordes. MUSIQUE DE CHAMBRE ET SOLI "l9 h. 30, NATIONAL ANGLAIS Ballets et · madrigaux de l'époque élisabethaine.

20 h., LONDRES REGIONAL Piano.

22 h. S, BUDAPEST Quatuors (Beethoven, Schubert, Wolf).

23 h. 40, LONDRES REGIONAL Violon. I Samedi 26 septembre j Trois ondes. d'Etat, trois oeuvres lyriques (et même quatre). C'est beaucoup. Sur deux autres ondes d'Etat, théâtre radiophonique (fort intéressant) et radiophoné (avec les meilleurs sujets de la Comédie-Française). Mais la musique, où la trouver ? A Rennes-Bretagne, peut-être, mais nous n'osons pas appeler l'attention des auditeurs sur l'exécution. T.

20 h. 30, TOUR EIFFEL Théâtre. La Vénus d'Ille, de Prosper Mérimée, adaptation et mise en ondes de Paul Castan, avec la troupe théâtrale de la Tour.

20 h. 30, RADIO P. l' .T.-XORD La Comédie-Française Martine, cinq tableaux de JeanJacques Benrard, avec MM. Ledoux, Martinelli, Mmes Renaud, Korène, Faber Réussite, de. Claude-Roger Marx, avec MM. Brunot, Crùtté; Ledoux, Mme Fonteney.

21 h., SUISSE ROMANDE Sérénades par l'orchestre sous la direction de Hans Haug. Sérénade pour petit orchestre (Brahms) Sérénade Italienne (Wolj-Regcr).

ORCHESTRE

11 h., RADIO-PARIS Concert direction Morel.

20 h., REGIONAL ANGLAIS Concert-promenade FreischiUz (Weber) Menuet (Boccherini) Moto perpetuo (Paganini) Louise (Charpentier) Concerto de piano (Rachmaninoff)

20 h., BRUXELLES FRANÇAIS Concert direction Jongen.

20 h. 30, RENNES-BRETAGNE Concert.' 22 h. 30, NATIONAL ANGLAIS Concert varié.

MUSIQUE DE CHAMBRE ET SOLI 16 h., PARIS I'. T. T. Piano; Mélodies. 16 h. 30 à 18 h.. PARIS P. T. T. Solistes. 19 h. 30, SUISSE 'ROMANDE Récital d'orgue. 20 h., RADIO-PARIS Chorale Valmirac. Pièces pour piano.

22 h. 10, VIENNE Œuvres de Joaquin Rodrigo.

24 h., STUTTGART Musique de chambre. MUSIQUE LEGERE ET VARIETES

14 h.. POSTE PARISIEN Demi-heure de la jeune fille de France.

15 h., RADIOiPARIS Pour la jeunesse. 16 h.. RADIO3PARIS Orchestre Pascal. 20 h. 55. PARIS P. T. T. L'Opéra: La Damna20 h. 30, NATIONAL ANGLAIS Variétés. 21 h. 5, POSTE PARISIEN La Chan,on du Tiroir.

OPERA

20 h.. MARSEILLE L'Opera-Comique Le Sourd (Adam) Werther (Massenet). 20 h. 45," RADIO-PARIS Le Pardon* d* Plocrmel (Mpycrbeer), direction Bigot.

20 h.. PARIS P. T. T. L'Opéra La Damnation de Faust (Berlioz).


LE FIGARO ECONOMIQUE ET FINANCIER Il

Compagnie Générale da Gaz POUR LA FRANCE ET L'ETRANGER Obligations de "UbOO ftancs 5

(jouissance janvier et juillet) (n»* 1 à 100.ÛUO) 1' Tirage du septembre :1936 Y r ;:̃ (8«BHraae de a série 1 a nfl.OOO

et |«, tirage de la périe n" 5*001 à 100.000) L^-b.rtO obligations' sorties atfx -thagës- et dont les numéro* suivent seront remboursées au pair, sous déduction du prélèvement de 10 soit net 995 francs

.•. *v« mi. n#\«t A r. *t X A II li

si a 90 ,iai a .situ i;»i « ̃*«"

1.681 1.690 1.831. 1.840 2.411 2.42» 3171 3.180 3.461 3.470 3.671 3.680 3.731 3.740 4.181 4.190 5.231 5.240 5.381 5.340 5.601 5.610 6.621 6.630 7.191 7.200 7.741 7.750 7.«31 7.840 8.461 8.470 0.281 9.290 9.861 9.870 10.061 10.070 10.151 10.160 10.261' 10.270 11.211 11.220 11.631 11.640 12.841 12.850 13.Î01 13.110 13.471 13.480 13.581 13.590 14.041 14.050 14.661 14.670 14.771 14.780 15:141' 16.150 15.81I1 15.900' 16.261 1B.27O 16.581 16.590 ^17.061 17.070 17.1H1 17.160 17.591 17.600 18.381 18.390 19.321 19.330 19 621 19.630 20.241 20.250 20.441 20.450 21.111 21.120 21.701 21.710 21.871 21.880 22.341 22.350 22.411 22.420 22.801 22.810 23.931 23.640 24.121 24.130 24.411 24.420 24.671 24.680 24.701 24.710 25.071 25.080 25.371 25.380 25.411 25.420 26.621 26.630 27.481 27.490 27.701 27.710 28.091 28.100 28.501 28.510 29.631 29.640 29.981 20.990 30.121 30.130 32.081 32.090 32.281 32.290 32,'Bll 32.520 32.621 32.6IW 33,111 33.120 33:841 33.350 33.681 33.690 33.981 33.9SI0 34$81 34.390 35.251 35.260 35.841 35.850 36:161 36,170 36.421 36.430 36.871 .'S6.880 37!B61 37.670 39.851 39.860 39.931 39.940 40.VJ11 40.420 40.751 40.760 40.941 40.950 41'.32l 41.330 41.901 41.910 42.571 42.580 42:è01 42.610 42.821 42.830 44.141 44.150 1 44i781 44.790 45.831 45.840 4fi.301 46.310 ~j 46J361 46.370 46.491 46.500 46.911 46.920 0 47.581 47.590 48.051 48.060 48.181 48.190 48.211 48.220 4S.511 48.520 49.211 4fl.22O 49.«31 49.540 30.031 S0.040 50.771 50.780 51.371 51.380 56.791 51.800 51.991 52.000 52.101 52.110 52.891 52.900 53.541 53.550 0 53*41 53*650 53.821 53.830 53.97Î. ,53.980 54.441 '54.450 54:471 54.480 55.081 55.090 0 55.731 55.740 56.071 56.080 56.701 56.710 57rt»l -57.200 -57.-221- 57'i30 -57.701-57.710 57.831' 57.840 59.881 59.890 60.131 60.140 60.151 60il60 60.741 60.750 61.981 61.990 62.211 62.220 62.221 62.230 63.851 63.860 64.081 64.090 64.531 64.540 66.491 66.500 67.211 67.220 67.261 67.270 67.341 67.350 68.221 68.230 68.941 68.950 68.981 68.990 69.041 69.050 70.821 70.830 71.021 71.030 71.121 71.130 71.221 71.230 72.051 72.060 ,72.581 7^.590 72.691 72.700 73.381 73.390 74.031 74.040 74.681 74.690 74.891 74.900 74.951 74.960 75.141 75.150 75.271 75.280 75.931 75.940 77,181 77.190 77.471 77.480 78.671 78.680 78.751 78.760 79.061 79.070 79.691 79,700 79.801 79.810 79.911 79.920 79.921 79.930 80.811 80.820 81.891 81.900 82.091 82.100 82.871 82.880 83.031 83.040 83.501 83.510 85.141 85.150 85.951 85.960 86.121 86.130 86.821 86.830 86.881 86.890 87.631 87.640 88.051 88.060 88.221 88.230 88.311 88.320 88.831 88.840 88.961, 88.970 89.781 89.790 89.831 89.840 89.961 89.970 90.431 90.440 90.801 90.810 91.181 91.190 92.591 92.600 92.831 92.840 93.261 93.270 93.501 93.510 93.781 93.790 94.551 94.560 94.991 95.000 95.091 95.100 95.101 95.110 95.241 95.250 95.47J 95.480 95.821 95.830 95.881 95.890 96.581 96.590 97.431 97.440 97.831 97.840 97.911 97.920 98.141 98.150 98.561 98.510 98.971 98.980 99.451 99,460 99.791 99.800

ij intérêt cesse au jour ou l'obligation est remboursable..

Le remboursement de ces obligations sera effectué à partir du 1" janvier 1937 A la Banque de Paris et des Pays-Bas, 3, rue d'Antin, à Paris

Au Crédit Lyonnais, à Paris et dans ses succursales de province.

Situation de la Banque

de France

au 18 septembre 1936

̃.•f Ar.TTF

CEn millions de fr.)

Eneaïsse-or 52.691–840 Monnaies d'argent. 594 + 1 Comptes courants postaux 487 134 Disp. à vue à l'étranger 153 + 8 Avances sur lingots. 1.287 + 86 Effets escomptés 6.4BO + 253 Bons du Trésor 750 855 Effets négociables France.. 332 + 18 Effets nêgoc. étranger 1.225 » Avances sur titres 3.568 28 Avances à 30 jours 675 143 Avances à l'Etat. 3.568 » Avances à l'Etat, art. 1 et 2 13.083 + 855 Avances à l'Etat, art. 3 1.500 + 400 Divers 2.471 37 PASSIF

Billets en circulation 83.764 389 Compte Trésor public 76 2 Compte Caisse autonome.. 1.469 + 50 Comptes courants et dépots 6:303 146 Divers 1.972 + 81

COUVERTURE DES ENGAGEMENTS '.•̃̃̃ A VUE

Montant des engagements à vue 91.772 Ratio 57 42 0/0 c. 58 03

SOUS L'EGIDE DE SAINT-AMANT Ainsi que nous le disions au cours d'une récente chronique, le bon gros Saint-Amant doit, vraisemblablement, car rien n'est encore officiel, chaperonner VHôtd de la Couronne, où l'effigie, à la fois truculente et spirituelle ceci n'exclut point cela de l'auteur des Goinfres et de la Crevaille, trouvera, dans l'admirable façade de la célèbre maison de bouche rouennaise, un cadre certes approprie.

Déjà, s'inspirant du portrait que fit de lui-même le jovial académicien

Me voyant plus frisé qu'un gros comte allemand. La teint frais, les yeux doux et la bouche vermeille. .le maitre Conrad a fait revivre Saint-Amant qu'un sculpteur mais lequel ? va modeler à son tour.

Le programme que proposent les initiateurs de cette réhabilitation, pourrait-on dire, MM.. Pierre Varenne, Lucien Dorin et le comité d'honneur, comporte une suite de~~ manifestations des plus intéressantes établissement d'une plaquette retraçant la vie innombrable de celui qui fut, non seulement un grand poète (Flaubert dixit) mais encore explorateur, guerrier et, nous l'avons dit, académicien conférences sur son œuvre concours pour la réalisation du buste à ériger réédition, enfin, de ses œuvres complètes, d'après l'édition rarissime de 1660, reproduisant les caractères, vignettes et culs-de-lampe de l'époque, véritable ouvrage de bibliophilie, qui fera prime auprès des amateurs de beaux livres.

Nous donnerons prochainement la composition du comité d'exécution et tiendrons nos lecteurs au courant de ces réalisations, propres à intéresser à la fois artistes, gens de lettres et. gastronomes. C. L.

Feuilleton do «Figaro du 25 Septembre 1936 (24)

Le châtiment d'Ivan Hurd CHAPITRE X

.•̃̃̃̃ (Suite)

Vous avez la tête dure, SaintYves Angélique Fanchon n'a écrit cette lettre que parce que son amour pour vous lui ronge le cœur, et elle ¥ use/, pour vous ramener vers elle, d'une tactique féminine qui. annonce le dépit. Ne vous ètes-vous pas querellé avec elle récemment 1 Oui, à propos d'un petit malentendu, une simple divergence de vues. Elle me considère comme un vagabond et un propre à rien parce que je préfère les forêtwet les grands fleuves à une ferme, avec des va. ches, des chevaux et des'cochons. Et vous l'aimez, elle ? ?'

J'irais décrocher les étoile; pour les lui donner, si je pouvais < Cependant, vous ne voulez pa: vous « ranger » pour lui être agréa

Me? 2

Clôture alourdie. La .Banque de France élève de 2 ses taux monétaires. Les sorties d'or atteignent 840 millions.

ffi Le marche a êtê hier, passablement agité. Il a 'ouvert sous l'itnpresison des rumeurs qiie nous avions signalées hier concernant l'imminence d'une décision gouvernementale en matière monétaire. Mais la hausse du taux de l'escompte dfe laSanque de France a paru apporter ̃fin -démenti flagrant à ces rumeurs et marquer là volonté des autorités monétaires officielles dedifendre le cours du ftanc et l'encaisse de ;1a -Banque par les moyens classiques. De sorte que de nombreux spéculateurs qui if'aOaîént acheté que sur la foi des rumeurs signalées plus haut se sont- empressés de réalier leurs positions.

© Le Cbnseit; général rfe.la Batique de France, dans Ba séahceMi'hier, a, en effet, décidé dé relever

Le taux de l'escompte, dé 3p. 100 à 5 p. 100

Le taux des avancés sur tftïes, de 4 p. 100 à 6p. 100

Le taux des, avances à 30 jours au maximum su? effets publics, à échéances déterminées n'excëdatit pas 2 ans, de 3 p. 100 à 5 p. 100.

Les valeurs ù revenu variable nationales et ̃ étrangères.- qui, un moment, s'étaient élevées sensiblement aU-dessus des cours de la véille ont perdu, aux approches He, ta clôture, léiirs i gains initiaux et au delà. Dans certains cas, les décalages liég'atif par rapport aux cours

PARIS

PRINCIPALES FLUCTUATIONS Hatiise J

n n if, (17 nS A *l'>

0) ~iâ 1~i7~a: ét û ~n

A'O/O 1917. 67 1a(l

50/01920. 91SO+ 080 40/01025. 7915+ CM Belgc 5 IJ2 19Z4~ 1048 +10 SnM.20203. +255 Trah)\ de ShanghaÏ. 'it)0 + 15 V'leille'.lfontegne i)t5 +24 Baisse

'40/01918. i GG 90 0 30 Emprunt Îoung ?0 6 -'Étire 7 1/2 1933 1H1 –° 5 Crédit Foncier 2125 g;;4 Distribution. 709 23. Générale d'Electricité S10 98 Nord Lumière. 710 5t1 () Union d'Electricité.345 -23 Tréfileries. (iU0 -'15 Air Liquide. 885 19 Sucreries d'Egypte. 4Zs 17 AXote. 991 18 Banque d'Egypte. 3260 -62

i

PRINCIPALES TRANSACTIONS En francs de rente ) 0/0 479.190 (i/U 20 279.05 ) 40/0 1917.. 161.090 4 0/0 25 645.03 4 0J0 18. 717.140 I 4 1/2 0/0 32. 3..311.78 [) 0 En titre* s

Oblïg. du Trésor H. rouienc. t.oy it a i m n /n un q suc Saint-liobain. oo iaia-u 1717 Air Liquide. 4.04

4 0/0 34. l-»7 Citroën 36

Bons du Trésor Peugeot 48 s, 4 1/2 0/0 33.. 1.314 Say 1.57 5 0/0 34 ï-737 Terres R b-l;: •s 4 1/2 0/0 34.. B-B-t5 Young. 9!) U. de France.. 422 Turc •̃•̃'UW:,i B. de Paris.. a.Tio c. Pacific. ^̃̃fh Union Paris™ 1,717 C. Mining. }-f} ̃ "nnais a-451 Geduld *̃*̃' Suez cap. 9«6 Rio 4.51 Distrib Elect. 740 Royal Outch.6.16 Lens .T. 2.380 Amst. Rubber 24 Nickel 1-291 Kali-Ste-Thér. 6= l'enarrova 4.456 Cr. Nat. 191B. 1.38 CuhUnann 3.839 Cr. Nat. 1920. 1.97 ) Péchiney 3.252 Cr. Nat. 1923. 1.83

140 3^ MARCHES COMMERCIAUX Sfi,

33 ',••̃ •: '•̃• ?"•

blé tiierpool. boUMt' si .1-. s 0 l/i Cticaco Septembre 116 3/8 118 3/< 31 is Décembre 115 7/8 117 1/1 S11 ••' AVOIHE taris Septembre 97.75 .98 50 » Octobre 89 50 10O 35 FARINES pan. 218 216 B0 tOION (sakels) Alexandrie. Novembre 16 SS 16 53 Janvier 16 18 16 17 Octobre U 11 84 Décembre 11 85 11 85 SUCRE New-ïork.. Septembre 24» 247 ;9 Novembre 215 2 CAOUTCHOUC.. fumée foail.

-.n Londres. Disponible 7 11/16 7 3/4 il" CAOUTCHOUC. New.ïork.. Septembre 16 42 16 44 *V Décembre 16 4» hg 16 40 S1 CUIVRE (SU».) Londres. tomptttu 38 17/6 38 18/9 Kew-ïorlt.. Septembre 878 ses Décembre 871 884 ETAIS Unir»». comptant, 193 195 10 PL6MBetr»ns. Comptant H M/9 17 17/1 f1/1 ÎINQ Comptant 13 15/ 13 18/ ARGENT (bar.) Comptant 19 7/16 19 7/11 SK FUT Comptant 1S7«.« 1ST/3

I CC IYCVITC Dl ATC I condimenter avec 16 gr. de sel, 3 gr. de poivre, une LCJ5 rllUlS rL<A13 pincée de safran, un bouquet garni, 300 gr. de wun « n.r* s*n 1 nirtr» tomate, 30 gr, d'ail broyé. Mener à ébullition et ET LES GRANDS cuire 20 minutes.

Réunir dans un sautoir les poissons et langous-

(Recettes demandées) i sur le tout 15 gr. de persil concassé mouiller avec un décilitre d'huile et le court-bouillon. Cuire

LA BOUILLABAISSE un quart d'heure à grand feu.

On sait que la bouillabaisse est un des apprêts Au moment de servir lier avet 40 gr. de beurre, culinaires, dont l'unité d'exécution est loin d'être manié avec 15 gr. de farine. Dresser poissons, imposé chacun croit posséder la meilleure for- langoustes et moules, verser dessus la cuisson et mule, formule recueillie généralement au cours envoyer avec des tranches de pain Jocko grillées d'un voyage à Marseille ou à Toulon, et qu'il au four, légèrement frottées d'ail et imbibees de est impossible de mettre en pratique à Paris. Où court-bouillon.

trouver, en effet, le merlan de Palangre, les fiélas, jr

boudreulls, rouquiers et autres cigales de mer ? 2 .j. LE BCBUP-SUR-LE-TOIT C'est pourquoi nous donnerons ici la recette de la bouillabaisse, telle qu'on la peut exécuter « dans Rendez-vous de la jeunesse française le Nord ». à l'heure du thé, le Bœutf-sur-le- roU, Pour 10 couverts 2 kgs.500 gr. de poissons le soir, est le rendez-vous préféré de la rougets grondins et barbets, soles (facultatif), société internationale. Ses soupers sont vives, merlans, congre, langoustes et moules. Passer renommés son cadre chic fait la joie

dahs un décilitre et demi d'hui e et sans la User de t t Je monde_ Après-midis et soirs,

trop blondir, ISO gr. d'oignon et 70 gr. de blanc de tout le monde. 9~prCS-mfdis et soirs,

de poireaux hachés mouiller d'un litre d'eau on danse au azz entraînant du célèbre et de 6 décilitres de vin blanc sec, assaisonner et orchestre d'Eddie Foy.

Je ne m'en laisserai point imposer par une femme, non plus que par ce prêtre de Saint-Félicien qui la pousse à épouser Ajax Trappier et lui conseille d'avoir une ribambelle d'enfants.

Alors, que comptez-vous faire ? Saint-Yves aspira une forte bpuffée d'air qui siffla dans sa poitrine Ce que je vais faire ? Rompre lés os à cet individu-là

Bon fit Clifton approuvant de la tête et en lui rendant sa lettre. Que cette affaire soit réglée le plus tôt possible J'ai idée qu'Angélique affolée, en versera toutes les larmes de son corps si elle vous sait exposé à pareil danger, mais à mon avis il n'en sortira que du bien, quel que soit le vainqueur du combat. Vous croyez qu'elle m'aimè ? J'en suis sûr.

Gaspard déplia une fois de plus la lettre et la relut pendant que Clifton s'essuyait

Si cela est vrai, dit-il d'une voix radoucie, je promets à sainte i Anne de ne plus jamais chanter dans une salle de bar J'irai même jusqu'à m'acheter une ferme pourvu ̃ que je puisse la laisser en friche, qu'elle soit située à proximité des grands fleuves et que ce putois s d'Ajax Trappier, n'habite pas dans les parages.

Avez-vous proposé le mariage à votre bonne amie ? '?

Conuueiit l'aurais^ie pu, à

MARCHÉ ~GrITTE

de mercredi sont assez importants..4 peu près seul, le Suez conserve une avance de 255 francs qui le fait passer au-deséus de 20.250.

@ Par contre les Rentes, bien qu'elles aient perdu, elles aussi, une partie de leurs progrès du début de la séance, clôturent généralement au-dessus des cours de la veille, en progrès de 30 à 80 'centimes. Les valeurs du Trésor, les obligations surtout, sont plus irrégu-

lières.

On a largement cbmmenté en Bourse la nouvelle sortie d'or de 840 millions, l'encaisse théorique se trouvant ainsi ramenée â 52 milliards 891 millions. Cette diminution du stock niétallique était d'ailleurs attendue, vu la tension des changes depuis plusieurs semaines. Le poste des billets se dégonfle par ailleurs de 389 millions. Les engagements à vue de la Banque se trouvent réduits de 483 millions; mais, par suite des sorties d'or, la proportion de la couverture aux engagements tombe de.58,03 p. 100 à 57,42 p. 100. Les inquiétudes relativement à la stabilité du franc ont provoqué quelque flottement à Londres.

L'ensemble du marché a donc quelque peu 'fléchi à l'exception des valeurs de cùiVre et de caoutchouc.

1~ LONDRES

VÀLEURS l' Clô~. 1 Dern. Il VALEURS Clôd: IOehB.

"LEUBS | préeéd. cours || »UUR:' (prèoêd cours

Cons. 2 86 ./Js5 11/16 crown-Min. IS 5/3J 14 J/8 4% 115 5/E 115 9/16 East Rand.. 67 /9 67/3 WarLoan ..107 15/1107 11,1 GeduU .I 10 3/S 10 3/8 Franc. 3 m, 20 3/8 21 1/2 Ooldfltldr..| 101/3 99/4 M

4 y, 22 3/4. 112 3/4 Rand. Mines 181 /3 183/9 ·'B

4Ji(1917) 20 7/8 21. Ctartered.. 29/6 28/9 Arg. 4"/o.. 89. 59. RioTInto. 17 1/2 17 3/' Brésil (1889) 16 1/2 1612 Tkarsis 60/ 60/ CMIU-4K-- 101 ̃/̃ 1M •'• IaB5anyll[a. U /3 11

tsypt. «nlf 105 1/2 105 3/4 Anaconda lôe/ioji 153,9

Yonngi. 43 3/4 45./ Royal Dutch «5(8 40 3/8

45 3/" "5./ Royal Dutch ..0 Si3 "03/6

ItalSSn âîi. 21 V2 21 1/2 | Shell .1. 5 «1/16 S 5/S Jap.4%(99) 63 1/21 53 1/4 Mex. Easle. 27/9 27 ,'4 };

Portng. siîj, 80 1/4! 80 1/4 Anglo-Iran. 93/9 92/6

RasM(1906).i ̃/̃! 1..7. ttnla. Î7/8 28/9

Espag.ext.. 65 l/j| 56. Rnbb. Trust 31/1*4 31,6 Turc 7 2 1j2 2 1,2 iMalacca. 27/6 27/6 Hydro-EÎec. 7 1/8 718 Sennah 28 /l}i 18/1}

Int.-Holdine 1,9/16 11/2 Courtanlds 54/ 53;9

Imp, Tobac 167/ j 167/ Brist. Celan. 11/6 11;. Steel corp. 711/4 70 1/t imp.Cliemic. 40/9 40/6 DeSeers. 10 5/S 1Q 3/8 unilever. 34/ 34/ Jagersfont. 11/2 17/16 Atchison. 80 80 1/ Erakpan 50/ 49/4 y, Canad.Fac. 12 3/16 12 1/8 Cent.^inia5 25^/8 25 7/8. union Tacif. 135 K 1" •/

,-j, .0

NEW-YORK

10 VALEURS- 1 prtcjd. cours M >tuuRS iprécêl cours

iU prêcéd.cours préééd. cours

10

AirRed.avi 78 18 1/4 JotnsManv. 120. SIS .j AUhdCsem.l 231 25C Kenneeott 43 718 48 3, Amer. Can..j 124 3/4 125 .,•̃. Montgomery 497/8 50., Amer, Smel. 82. si 3,8;iMat.BairyP. 2». 28 1, 59 Am.T.etT. 174 5,8 174l/2|jNat. Distil. 31 30 5,

49 Am. Tobac E 100 1,4 100 1/41 K.-ï. Uentr. 45 5/8 45 7,

1)5 Anaconda.. 49 3/8 39 5/s]|Hortli Amer. 313/4 311, 1,

55 Anaèônda ~9 318 s9 S./a 1I0rt11 ADler, SI 3 31 1,

35 Atchison. 815.6 SI 1/2 jj Pensylvania 39 1/2 39 3 79 canad. Pac. 12 1/» la 1/8 [Public Serv. 451/4 44 5, '̃8 Case, 157 1/2 142 3/4 Radio 10 3/4 10 1 i'j. Cer. d. Pasco 54 1/8 54 1/4 Reynolds. 56 1/8 56., (bas a. Ohlo 67 5/8 67 1/21 3ear« Roeb. 87. 8J 1 b'6 com.Solven. 15 1/8 13 7/8 sbell 22 218 23 1, 12 COnBOl.Edll. 42 a/S 42 3H St. Brands.. 15 3/6 15 S 73 Coty 4 7/8 4 7/8 5t. Oil 01 «i 617/8 62 1 18 Cnrysler. 117 1/8 119. Texas Corp 373/4 37 1, 55 DttPont. 162 1/4 162 i/sl Texas Gull.. 351/4 35 3 40 Elec. B. a. s. 213,4 22 3/8 Union Pacii. 139 3/< 138 5, 55 Gêner. Elec. 46 1,: 45 1/2 Unit.Air u 25 l/i 25 1 84 Gêner. Ilot. 68 7/1 69 1/2 lu. s. Bmelt, 82 1/2 SE. 7(i Goodyear. 24./ 24 u. s. Steel.. 711/2 711 1 31 InterHarv. si. 81 3,4 Western Un. 88 88 1 lnter.KicK. 60 5/6 62 Westinsh 140 1/S 140 3 IW.T. otïel U7,8 12 1/S| WOOlWOrtb. 53 7/8 64 3

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TtOMC I JilÔt- I Bsrn. Il; mMCTlNTi ^tit. Dlrii.

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50 Tnbiie 132.. «2.. R.H.30J2-5 2' 5 8150 81! ¡ sidro 208 75 305 Baaq. Brux. 720 720 53 Earc. Trac. 203 75 208 75 Banq. N.Bel. 1790.. l'SO '17 sraiilTrao. 385.. 383 75 Cal»»« R.D.. 2160., 3175. 84 Buenos-Ayr ioo 99 Cr. Anver».. 50O 500 85 Heliopoll».. us» 1485 |soc. G. Bel. 8490 3300 Js mtr. Railw 130 425 Eiectrobel.. 1850 1915 Banq.dePar. 4470 H75 El«ctr.(cap.) 1040 10JS 3/4 Elect. solne. 45750 *M so «on.) 2960 3050 1 El. Gai Mord sas 655 Sonna 9150 9130 Hetropoltt.. (sis 1500 Hydroflna. 210 209 lj Tanganyllta 96.. 94 50 j. lockerill. 750.. 762! 14 Ht-Kat(pt.) J473 3480 Ougrée-Mar, 800 905 10 (c;.) 3465 3485 Astnr.Binei 128 130 }'/< (dvd.) 8430 3430 Vlellle-Mon. 1800 1810 1°L concordla.. 86 50 85 50 Haurage. 8100.. soaa ta Petroli»». 697 25 655.. Horitbarl 1885.- 1910,

tes tronçonnés, ajouter dessus les moules, jeter

moins de m'être tout d'abord résigné aux travaux des champs ? Mais elle sait que je l'aime, car je le lui ai avoué.

Alors, pourquoi insiste-t-elle pour faire de vous un paysan ? Saint-Yves resta un moment silencieux, puis se mit à rire

Sans cet ignoble Ajax Trappier, je ne lui en voudrais pas elle a ce pays dans le sang Le père de son arrière-grand-père s'est fixé à SaintFélicien voilà cent soixante ans, et depuis la famille Fanchon a toujours vécu sur les mêmes terres. Ces genslà sont de grands propriétaires terriens. Angélique en est très fière. C'est en son genre, une petite princesse dans la région. Tandis que moi Saint-Yves haussa les épaules d'un air découragé. Ce soir vous apprendrez pourquoi je suis presque pauvre et un Saint-Yves croirait déchoir en acceptant une dot des Fanchon. Voilà je vous ai fait toucher du doigt le nœud de la question si Angélique Fanchon épouse un Saint-Yves, celui-ci sera en mesure de lui créer un nouveau foyer par ses propres ressources. Là-dessus, Gaspard se tourna vers la porte

Descendez dès que vous serez prêt, voulez-vous ? 2

Et il le laissa seul.

Tout en procédant à sa toilette Clifton se posait certaines questions qui affluaient à son esprit, sans qu'ï

© Le Métal Exchange est irrégulier. Le cuivre regagne 1/4, le plomb et le zinc abandonnent 1/16. L'étain monte de £ 4 5/8.

© Examinant la question de la dévaluation du franc, le correspondant parisien du « Times » conclut

Même si M. Blum et ses collègues étaient maintenant convaincus que la dévaluation est inévitable et qu'elle correspond aux vrais intérêts du pays, ils ne pourraient détacher le franc de l'étalon-or sans un bon prétexte. La France n'a pas à taire face à une raréfaction catastrophique de son encaisse-or, comme la Grande-Bretagne à l'automne de 1931. M. Bluta ne peut, comme l'a fait M. Van Zeoland en 1935, invoquer une crise bancaire aiguë. Mais il peut justifier son action par la raison que l'or est aussi essentiel à la délertse nationale que les canons, et que par conséquént un embargo sur ]es exportations d'or serait d'intérêt national. Il peut aussi invoquer la considération que la spéculation contre le franc est le fuit des « gros », qui ont refusé de souscrire l'emprunt de M. Vincent-Auriol, et que leurs activités antipatriotiques doivent être contrecarrées.

© New-York est soutenu. La tendance est bonne et dans l'ensemble la cote est très soutenue. En clôture quelques gains. Total des transactions 1.190.000. Les céréales sont toujours très fermes. La hausse du blé continue, la clôture s'effectue au plus haut de la journée avec un gain de 2 points. Coton soutenu.

LES CHANGES

1 La livre retombe à 76,93

La mesure de défense de la monnaie prise hier par la Banque de France a eu pour premier effet de ramener le cours de la livre à 76,93 contre 77,01 la veille. Le dollar reste fixé à 15,19.

A terme, le renchérissement de l'argent provoque la tension des reports qui atteignent environ 7 points et demi pour la livre à 3 mois et près de 4 points pour la livre à un mois (soit plus de 50 p. 100 l'an).

Les opérations spéculatives sont d'ailleurs très restreintes à Paris et ont lieu surtout à Londres.

INFORMATIONS

Les commissaires de sociétés · 1 On sait que le Journal Officiel du 24 septembre a publié l'arrêté qui fixe le programme, les formes et les conditions de l'examen d'aptitude aux fonctions de commissaires de sociétés. Voici les principales des conditions ainsi établies.

L'examen aura lieu sous la surveillance générale d'un conseiller maître à la Cour des Comptes, lequel ne fera pas partie, toutefois, du jury qui sera coms posé de six membres choisis comme l'a s indiqué le règlement d'administration b publique du 29 juin dernier.

8 Les demandes d'inscription devront 1 être accompagnées d'une déclaration du i trésorier pageur général ou du receveur particulier des finances constatant le l versement d'une somme de 250 francs par le candidat. Ces demandes seront 4 déposées au greffe de la Cour d'appel 2et seront vérifiées par une Commission qui les transmettra, avant le 10 octobre de chaque année, au ministre de l'Education Nationale.

L'examen portera sur la comptabilité, le droit èommercial, le droit pénal des sociétés et les obligations fiscales des ̃ sociétés. Deux compositions écrites seront demandées aux candidats, l'une de comptabilité, l'autre de droit; elles se^ont^notées .de Jl à 29 et aljsctéçgi du_

~né>n'e coefrioien~La moyenne-indispen,'

mênie coeïîicienfÏLa moyenne Indispen4

sable est 10;' toute cote inférieure à 5 est éliminatoire et il sera tenu compte de la présentation des copies, notamio ment de la correction grammaticale et orthographique. ·

Sont également prévues des précau'• fions pour assurer l'anonymat des co• pies pour leur correction, ainsi que des sanctions contre les fraudes.

̃̃ Démenti du gouvernement belge '̃'̃ Bruxelles, 24 septembre. Le bruit ayant » couru que le gouvernement belge avait l'intentlon d'instituer la progressivité dans la taxe sur les dividendes, le ministre des finances a opposd un démenti formel à ce bruit et a ajouté qu'il songeait plutôt a un dégrèvement.

fr ATI LYS DE LA VALLEE!

A La Celle Saint-Oloud

On goûte un après-midi, on dine un soir, on passe un week-end, on reste jusqu'à l'automne. On y fait un exeel.lent repas à la grande carte pour 25 fr. Jardin magnifique. Pension à partir de 45 francs.

Tél. 30 et 220 à Bougival.

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+ B<EUF-SUH,-LE-TOIT, 43 bis, av. Plerre-!w-ae-Serl>Ie.

y trouvât de réponse. Quelque chose lui disait qu'il entrait dans la plus grande aventure de sa vie, et la tournure providentielle des événements lui laissait deviner qu'Antoinette Saint-Yves était non seulement mêlée à cette aventure mais en était sans doute, l'âme et le cœur. La jeune fille l'attendait au bas de l'escalier, un livre en main. Voyant ce charmant visage ainsi penché, il ne put cacher son admiration. Elle se trahissait dans ses yeux.

Ah voici notre héros s'écria-t-elle en l'apercevant. Mon frère m'a raconté comment vous étiez venu à son secours dans ce guet-apens de l'Assomption. Vous n'avez pourtant pas l'air si terrible Si je n'avais vu de mes propres yeux ce dont vous êtes capable, j'eusse taxé Gaspard d'exagération.

Son allusion à la rixe dans le cabinet de Hurd s'accompagnait, sembla-t-il à Clifton, d'une note un peu railleuse dans la voix de la jeune fille. Se jouait-elle de lui ? Clifton, se rappelant soudain la veuve de Simla, sentit sourdre la colère en son âme à la pensée de tout le mal que celle-ci avait dû lui raconter sur son compte. Aussi, lorsqu'elle lui désigna une chaise en le priant de s'asseoir, répondit-il assez froidenient

A vos ordres, mademoiselle. 1 Antoinette se pencha légèrement

.L-4.1.L..I4'.L.I m~

P=^TT^g^ PU 2* "SËPTEMBRÉ^936^ Il

VALEURS |pajSl 1\ VALEURS ,] & | VALEURS fej S VALEURS pr^j cours

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4~1917. 6650 67.. r:a1Ío~sl'.j, 901920 131.. !90 Banque~es.paysdullord.. 299 B,nMarche. 170 162

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5%i920amortissable. 67 20 66 80 ~onS:~j1922. i61 455.. Creditlndust.etCommerc. 944 GaleriesLafayette 31 3250

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4 S 1925 change) "50 19 IB Bons 6 « juin 1923. «0.. 458.. Crédit Fonder Colonial. ••̃ ;§,' °; 670.. 662..

4«« 1932A. T.. "20 '21B SmiÎV«;i«M. •̃ «6».. «° ̃̃ Crédit Fon.lnao-Ckinelpart) 605.. 630.. Inuelmi ° 'lg0" $&»!&̃« ^?5- k-ïgS »:: Si:: ïï£ÏS£ttœ S:: g- £^«^

OMie.dttrMor4M%1933 771. 772.. 7%t927 S07.. M3.. SI, Fran. de Danq. el Dôpôts 395.. 305.. Le Figaro 9

OM6.~TrMor4;!i;t934. 735..730.. 6%t9M607.. g20.. -d.ReportsetDep~375.. 375.. ~1520..H25..

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Bons Tr. à 5 ans 5% 1533.. 950. 948.. de Kt*tt B lêi 479.. 472 Sou» Comp. Entrepreneurs. 337.. 351 Air Liquida (part.) M5 384

BoncTr. 6-10-15 ans 5% 1934 31S 916.. dtt Mord 6 1921. 424.. 424 Union des Mines. >J» ̃• °" ciraïes P«ncais 294.. 290..

Bon!îr.3+loa»s4*;i9S4 s»..»».. 6»2l923. 419.. 415.. Foncière Lyonnaise. «M ̃̃ ™J ̃• £ÏiffiSXîîl,i« dïsV 202 ̃̃ 210 ••

Bani¡ne de France. 6780 ..g800. P d Cal"% 1927. 471.. 476.. Immobllière MArselll0.18e.. 1583 16.0.. Colonlês(Géneraledes) 1D2 210

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BanqnedeP,r¡s&Pays-Bas 758., 750,. 1;0 11127. ~63.. 4.9.. B<oc Auer .46.. 15S..

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Trepsatientique 211~ 360 Somma 6 191p.. 475.. 915 Dakari1Baint-Lon!s. IBO.. ft62 6550 0

JSBSSSiSLii g:: g:: ^ffaiHffi:: S:: g:: SS£; S:: S:, glfiffi* S'.r.'SS:: ompasnie Algérienne. 999.. 997.. Eelises dévastées 6 19Î8 406.. JOB.. Indo-Chine et ïunnan 4J0 «is.ow.ce 24,

credit Commerc, de France. 's89.. 382.. 5$ôfA29 9al 820. Ms~oc 425.. 430,

Stco^TdrFrancV. |2 ^.s^Fr» S £:: S^tfc S!" ÎS" marché en banque

Lyonnais 1226 1.29.. tndMtriet.Ahactensl9!l 4I~ 41. ~'S°~t, 3m.. · 118 MARC8t EN BANQUE

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Snez (civile) ltinqufème).. 39°B 3850 '0" 6910.. 6841.. Vlttbl. 248.. 265.. Bru/ 200. 19150

sue^Liiexcin^èae).. 3900. 3950.. VIâ* Ifcerkiar; «« j,* ̃• Sfe: &'« S:: Est 338 531 *Wa«a 5 1907 Ig Ind(HChlll, 000 Eafrl(. 6S o gi- ïï::s:: Bei^aVi^ «» TÎi.. ^œ^airaïe:1 aSSSE. îrtt ffl!?

Midi 73<1.. 7\2.. %%1934, 7\0.. 714.. AlgérlenaeEclalrage. 19. 493 C ,~t\oncs (¡'i..nc.) ordo 10350 10150 Il

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Parisienne de Paris. 265.. 255.. C'ngo ohl. 4 ô 18U1······· 146 150.. Energie Electrique (G:'), 368.. w 570 u' um f2AB 1125

,t ?»rïs?enne Sdïatr" 265.. 255.. £°°E°,B°P-'i,iSlléT" iS 11».Euergla du Maroc 'ÎS-Sog" »"ïe»«»»t«l» '»* ̃̃ 6" •̃

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Electricité de la seine. "'̃̃^̃' Roumanie 4% 1922 Bons.. =9 "•̃ î'^î"11 ïSJ 365.. 5"îEJ";j ik ,|ï iS

Tlprtricité et Gaz du Nord 284.. 280.. Ufllfiée 4 ir 83 50 8*50 o du Rhône a«° 4'i^ Laîït Rand z69 50 ^67 bO a Fiettrc S .Générale d°i 948.. 310.. ? ?.. 1929 399 383.. de la Irujère. J|» ̃• «? •̃ Equateur 149 50 147..

?i«rïl U'Sral Médîterr 5U 508 •. » 5* 19M i st., delavienne.. »« ̃ JJJ-- Friaco Wyaml»r. 228.. 222 50

EnergieElecI.N'rd-Frnnce 275.. 26~ 7 ya 1931. 195 1>S.. de la Vienne.. 192 196 Fquaeu~ H950 \47,.

t Î.K e Elect Bord-FrauM Z15 264 ,t7« s'<>iffio MO 88o. Havraise d'Energie Eleot.. 630. 694.. B1 la f Ms «5.. KordLnmière 76G 710 |"Jî"JV S13 126 50 130.. Hydro Electrique Auvergne «' ̃ ̃ '»•• Qoldfields 401.. 395.. '8 THémSieMuïïtï 395.. 396.. ÏSTÏïAà,.1"8 2230 "90.. Indoohinoise tlectr. (cap.). *«>•• «» ̃ ̃ Gula Kam.npong 126. 12^50

ïhoSn-Houltïn 124.. 116.. Sttlsse ™Vt' ni". Marocaine Distribution. *Jj ̃ •̃ Hotchkiss.. 850.. 852..

nS?n d°Ël?Slté 368.. 345.. 0BL1GATIOHS Nantaise d'Eclairage 395.. 244 Knanohaca 6a 73 55 25

a DollfusMicg. ~U~j2.5.. fI8'11.0' ss- 364 lIantelsed'Ecialrage, 395.. 2. H'c hSs. 850.. 9~2..

SïlUuaMiCK Î44S..J025.. ,18713% 363.. 361.. ouast P.rlalat '»̃• 5™' Krdro-Cére »H 46..

Fw & Acier du Kord'eV Est 332 326 /l873 4?6 416.. «7.. Pyrénéenne d'Energie F.lec. ??»̃̃ "»•• Johannesburg 3Î5 317..

ISiîiier KrcusÂ) 878 880 1876 4% 41B.. «4.. Radio-France 3'5-- "5 ̃ J.an5laaïte loi. 98.. TrénfèriesetUm duHavre 615 600.. 1892 2 (4 •̃ London Tin ord 32 25.3125

rnnrrtèrea 158 50 158 50 1694-1896 2% 215.. 208. Secteur Rive Oanche J'J •• ••;•̃ Mam Reef 360. 3B7

Courrierea 2î5.. 232.. L 1898 2 255-. 255.. sud-Lumière prier «g ̃̃ "2- Malacca, ord 119.: 11850 ïicoiffnesétKoiùi' 330 334 S 1889 2 ?,' Met 243.. “̃ iouiasance. 1^90 Meiican EaSle Oil ord 110 50 10750

sôîéo «!•• "°'5 2 I904 2Ji%Mét. 341.. 4*9 Téléphones f" 225 •̃ Mickelin (part) 705.. 680..

hj'I.; 844 830 1910 2 Met 211 •• *03 YersaillalteTram. etDistr. }'*̃•̃̃ Minière des Grands Lacs.. 479.. 473

pinarroVa 1" .!«5° g 1910 3 Ç* 211 •• 2" •• Dollfns-Mieg *l?î" mb Moteurs Gnome 536.. 619..

Penarr'ya 172 73 50 1910 3 N "oO'" m' 212' Veresmalse Tram, et Distr, 412. M:c 1 e nd'part). 536 6g0..

lîd at con "dês'petrëias 78 .76.. Q ma 3 232 Industries Textiles (Gi-) J}= •• 626 Mozambique 2873 73 2875 75

IKuhlmann 505 50U 1928 3 « 704.. 694.. Industrie Textile }«̃• 2* •• Karaguta Tin 44 50 43

Pïostoatej de Baisa" *"> *«»̃̃ 3 1929 4 « « 672.. 680 pcreivohies ?"̃• \f nationale Viscose 297.. 291..

1 Prôd chim d'Alais Froge « •• S 1930 4 «7 ̃• 657.. centrale d'EclJlrage(Lebon) M 195.. Pad 249. 242.. S Rhon'e-PoSenc 37.. 795.. 1930 4 Lots 835.. 622,. continentale du Gai 665 teiMi 1225 1192

saint Gobain -05 1190 19314% 618.. 620.. Franc. d'Eclairage par Rai. '60.. 760.. phosphates de Constantine 215.. 215.

c~srgeure Réuni. Z59.. 2;0.. 4 .J' FÓr°tij¡~àÜ.n~ B17" SlS" rranJ,d'Eclairage par Gaz, ./60.. 160.. p~rn\'ï" 1225.. 1l92..

S rhaiieurs Réunis 259.. 2"0.. I 4 Fortifications 817.. 615.. Gai de Paris 2l7'- 2H ̃• Phosphates Tunisiens 52.. 50 25

̃ AirLIoBld» so4 ̃̃ 885 ̃̃ Vil.Parlsl93î4Ji"(,lots 6S4 685. m. «»,=! 303 303 Pointe à fitre 176.. 173.. Brasaarïe aiiiaiïi 2840 2B05 193* 3 lots 800.. 805 *»»Jj|»«.* £n?I^"9U1' 193 ldfl.. Randfontein 294.. 292.. EaoSoUcs de Tlndochine. 329.. 323.. i, com. 1879 2 60 « SU S.M *«'«»« f &"uie"" 3m!. 340.. Rand Mines 728. ̃ S Citroen B M1 ̃• 283 •̃ /Fonc. 1879 3 545.. -531.r»n.rît^î,iVLnirB «0.. 421.. Roand AnteHpe 187.. 18660

S Ford "oO. 36.. 5250 C'm. 1890 3 ,0" 63fi.. 526.. Atel.&ChantlersdolnLotre 430.. 421.. Roand Antel1pe. 197.. 18650

1 »•»: Kifc: S:: g:: «S B b= WST~EE S!! K

s Peugeot *«.. «8 •• u corn. 1B91 3 240.. 248 Jh,â"11I°,°;S 500.. 510. Suh.Nigel. · 60 7i 48..

Raffineries et Sucreries say 479 475 g 1892 2 184.. 292.. "'ES:L'' J, «uta à'ankoM « ̃̃ »' •̃ Iharsls '• 2M 50 e SBSTJSStii- ÎB:: «:: Q i^fflîSg: S! S" ^£^«58 «. «: ï?l^ ?S.Afr: 2S'6 âS

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Bclge ~xtr S 1934 10,8 10U Emp. 1926 7 528.. 536.. ~3420..3620.. Vins et Spmtueux. 210 '~5

Beiee&tr.5%1934.M~iOt8. Corn. 1927 7 460.. 463.. ~X*°,"d*Tmkin 2040 2035.. West Rand. 1S3SO 162..

ScEon\ro,bi^tT.éries^i6^25 1| £S:|:i: ÎS:: $:: œb*«.ïïg:.iiJSS..1!£: pr'"s- IM"

Ru~ConMLl"et2.~rie< t626 1625 H Com. 19304% 622.. 616.. S°,"°S~rMrchamhMH S33.. 365.

1 Serhic 4: e.morUsssh,1895 131, 12Y C'm. 1930. 4 yJ. 622.. 640 Commeutry-Foutchnnlhanlt .i0o 2035.. West SprlOgs. 18350 182

Serbie 4 ^wnortissab. 1895 131.. 129.. S Corn. X93I 4 637.. 640.. Sm?row7(Ko»mera?parta 2«»-- 2l2 ̃̃ COMPTANT

« Turc 7! 1933. du Meal na îîi ai g r"- lïïïfW 65?" 'lo ̃ MonScrtêt laSeSod" «3.. 48S 3HteroiSe Force et Lumière 202.. 205..

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oetlnld. 20iS 839 Als.ce'LorrOlne 5 1921,' S20.. 617 Dourges 9g2~ 445 4? s 3 ~lea~a'¡\Ó" .80.. 50 31 15

e M1"1"1"5 'Sm"2^" «««e-Lorraue5%i92i. 620.. 617,. SS »j-- ^?- D^S^-cap:50 i, L ««tff»' .îîï-.iSS- /B g 1933. 198.. 691.. i^e-îunisu'ltanïum) .98» -• ̃̃ xâfcfdf LSac" 1«5 13™ Kio-Tinto.. •••-•- }S!"ÎÎS" »t »% Il" ̃̃ 369.. Bor (Mines cie) ord 3355 33^9.. Hvdr<i;arhll:.esdeSt-Der.is 289.. 291..

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i- Pdtr00aa. 3220:: 327 2~ 330.. 332., Gu rgonraot. 31C6.. 8fi0 315C 669 Hy:ro:uarbu.esdest,Dcnls 755 29\

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Indo.Chlne 3 (;Ó 1909. 130 215.. de Madagascat. 2B5 ~si-Bé. 600 fi35 Rio de JAnefrB. 2 15/32 2 25132

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0, '°'I~Ss:349.:350; MM.d.l~ord230:; 232.. oie llndo-t:h1ne. ~0. Londre8. 508 3r4 505 .I.

Lp développement 1

^ej^gucûitw-euit^eifitine v

Londres, 24 septembre. On annoncé l de Buenos-Aires que le gouvernement ar- gentin a déposé au Parlement un projet de lot créant une commission nationale de colonisation afin de faciliter il chaque agriculteur l'achat d'un terrain dont il aurait la propriété dès te premier versement représentant 10 0/0 de la valeur du domaine. La consommation mondiale d'étain

Londres. 24 septembre. Pendant les douze mots qui ont pris fin le 31 juillet 1930, il a élé consomme dans le monde 152,1(58 tonnes d'étain contre 129.101 tonnes en 1931-35. Cette consommation se répartit

ainsi

Etats-Unis, 71.173 tonnes contre 53.265

fj||| COGNAC 1 co6MAc

1

Mouvements de bâtiments Croiseur. Le croiseur Lamotle-Picquet venant de Nagasaki est arrivé à Tsingtao Le contre-torpilleur Verdun, venant di Barcelone, est arrivé à Valence et s'est rendi El Alicante dans la même journée. Avisos. VAmlralfCharner, venant di Fukuoka, est arrivé à Tsingtao le D'En trecasteaux a appareillé de Norfolf à desti nation des Iles Bermudes le D'iberville venant de Port-Saïd, est arrivé à Beyrouth le Savoranan-de-Brazza, venant de l'îli Christmas, est arrivé à ïarawa le Tahur,

vers lui. La lumière qui tombait d'en haut se jouait délicieusement dans ses boucles.

Au comble du ravissement il admirait ses longs cils, un peu plus sombres que sa chevelure, la roseur de ses joues et le tendre incarnat de ses lèvres.

Ne soyez pas, je vous prie, si cérémonieux avec moi, lui dit-elle en souriant. Je comprends que vous puissiez avoir mauvaise opinion de moi et, à vous dire vrai, vous-même ne m'inspirez guère de sympathie. Mais ce sont là des questions secondaires qui ne doient pas intervenir entre nous en ce moment. non. tout au moins pas avant que je vous aie exposé la raison importante pour laquelle je vous ai fait venir ici.

Puis-je vous demander pourquoi je dois nécessairement avoir mauvaise opinion de vous ? lui demanda-t-il.

Parce que j'étais cachée dans le petit 'salon de Hurst, tout simplement Une jeune fille convenable ne s&lnisse pas surprendre dans une situation aussi i compromettante, n'est-ce pas ?

Et pourquoi vous suis-je antipathique ? Pourquoi ?

Parce que, paraît-il, vous n'avez ni cœur ni âme, parce que.

Clifton se leva, avec un geste de protestation

Clairette Aldous vous en a ra-

irunde-Bretagne, 21.3-18 tonnes contre 21.233; <~raiice, 0.404 tonnes contre 8,308 Allenagne, JB.78B tonnes. -contire~.10.Çtt;j-,U..R. S., 7.900 tonnes contre 0.317 Italie, i.178 tonnes contre 5.134 Autres pays, Î7.316 tonnes contre 24.365.

̃

COUPONS ANNONCES 30 septembre. Energie Electrique du S'ord de l'Aisne 165 francs.

30 septembre. Immobilière de la maison des Pharmaciens 3 fr. 52.

30 septembre. Eaux de Vals et de l'Ardèche, remb. capital 304 francs. 9 octobre. BrltJsh Amerlcan ïobacoo

10 pence.

19 octobre. Roan Anteiope 1 sh. 1 d 725

25 octobre. Le Taxiphone 20 francs 25 octobre. Société Commerciale at Maroc, part 75 fr. 55.

Au Comité national

de surveillance des prix

Le ministère de l'Economie nationale communique

Le Comité national de surveillance des prix s'est réuni hier au ministère de l'Economie nationale. Il a procédé à la désignation des rapporteurrs qui seront chai%és d'étudier le prix des djvers produits. Les commissions constituées au cours de la première séance se sont alors réunies pour fixer l'ordre d'urgence de leurs travaux et déterminer leur méthode de travail.

Aujourd'hui se réunira pour la deuxième fois la commission chargée ""d'étudier les produits transformés de l'alimentation. De nouvelles réunions auront lieu lundi, mardi, mercredi. Le jeudi 1er octobre, en séance plénière, le comité national prendra connaissance de certains rapports et sera informé de l'activité des comités départementaux 1 chargés de la surveillance des prix.

2

est arrivé à Tsingtao le Quentin-Roosevelt a appareillé de Great-Yarmouth à destinatlon des Pêcheries.

e Le transport Golo, venant de Port-Said, e est arrivé à Colombo.

conté long sur mon compte, à ce que je vois. Eh bien, tant pis, je serai franc avec vous, au risque de vous froisser Dès l'instant où j'ai appris que vous étiez l'employée d'Ivan Hurd, j'ai eu l'intuition que la jeune fille dont la voix m'avait frappé au cœur, c'était vous Mais je n'aurais pas oser rêver qu'un bienheureux hasard allait me forcer, pour me défendre, à vous dévoiler le trouble qui s'est emparé de moi lorsque je vous ai aperçue tout à l'heure au haut de cet escalier. Bien que je n'aie ni cœur ni âme, jamais homme n'a été plus prêt à donner sa vie pour une femme que je ne suis prêt en ce moment à risquer la mort pour vous Ainsi, je le répète Je suis à vos ordres

Il s'arrêta, à bout de souffle.

Je vous écoute, maintenant, mademoiselle

Antoinette, qui ne l'avait pas quitté des yeux pendant toute cette tirade, avait d'abord rougi, puis pâli. Elle le considéra un moment. Sous le pli tendu de sa bouche et la gaîté factice de son œil, on devinait quelque chose d'autre que la raillerie. Clairette Aldous lui avait dit que cet homme était doué d'un remarquable caractère cela ne faisait aucun doute. Elle se leva de son siège et se rapprocha de lui presque à le toucher. Jamais il n'avait vu rien de si hautain et de si majestueux que le

25 octobre. Société Commerciale au Maroc, part: 75 fr. 55.

29 octobre,- ~û«ntew»l Mining 2 »hil'.lings..

FAILLITES

Jugements du 23 septembre 1936

Résolution de concordat sur assignation. Allard Georges, imprimerie a Paris, lt, rue des Immeubles-Industriels; M. Ailloli, j.-c- M. Coûtant, s. Banck Salomon, porcelaiites' et cristaux, 70, rue û'Alésia, Paris; M. Diole, J.-c; M. Lelèvre, s. s.

Sur assignation. Llbaua fils, dit Henri, peinture à NeulUy, 11, rue Paul-Déroulèûc; M. Ailloli, J.-c; .M. Desbans, s. Zananiri dit Ziirim Edouard, « Bar Basque », Paris, 12, rue Godot-ae-Mauroy et « Le Maxlm's » j a Saint-Jean-de-Luz (B.-P.); M. Bernard, j.-c.; M. Bellens-er, ï.

ITALIANLINE 1 ITALI A COSULICH

PROCHAINS DEPARTS

POUR L'AMERIQUE DU SUD « AUGUSTUS »

de Gênes et Villefranche, le

6 octobre

de Dakar, le 12 octobre

« OCEANIÂT »

de Trieste, le 15 octobre

île Sînples, le 17 octobre

«l'Alger, le 18 octobre

de Gibraltar, le 19 octobre

Paris i 4a. Av. de l'Opéra. Tél 1 O»é. 08-58. A Nice s 10, Av. de la Viotoire i & Cannes Casino Municipal La Croisette à à Marseille 3S, Rue de la République,

froid regard dont elle le fixa, droit dans les yeux

A une seule exception près, je n'ai jamais entendu de paroles aussi outrageantes que celles que vous avez eu l'effronterie de m'adresser, fit-elle sur un ton de calme dédain. Et quelle est, je vous prie, cette exception ? demanda Clifton sans se laisser démonter.

Il n'existe qu'un autre être capable de cette insulte. Ivan Hurd Eh bien je le tuerai avec jois, le moment venu, déclara-t-il, en s'inclinant devant elle. Je suis votre esclave, mademoiselle. Et un esclave ne vaut que par l'amour et le dévouement qu'il a envers sa maîtresse Le regard de la jeune' fille bravait le sien sans vaciller d'une ligne. Il éprouvait une tentation irrésistible de caresser cette tête mutine, cette chevelure aux si jolis reflets. Elle parut lire dans ses yeux son intention, et releva le menton d'un geste si fier, qu'il eût creusé un abîme entre elle et n'importe quel homme. Clifton ne l'en aima que davantage. James Oliver Curwood.

(A suivre.)

Tniuit de l'anglais

par touis PosTH1,

Copyright bu Louis Postit. 1936.


LES GRANDES MANOEUVRES DE L'ARMÉE ALLEMANDE 1

Voici quelques instantanés, pris au cours de ces manoeuvres, les plus importantes depuis la grande guerre. Elles se déroulent dans la pro-

vince de Hesse et groupent des effectifs considérables. 1. Progression d'un groupe de fantassins. 2,. Le tir debout sur chevaux.

3. Une ,pièce lourde en 'position de tir. 4. Un tank rapide pulvérise un mur en briques. 5. Les chiens de liaison vont partir pour remplir leur mission.

PROMOTIONS DANS L'ARMÉE

̃ ̃.•

Infanterie Au grade de colonel, les lieutenants-colonels BARAS, service géographique LEGROS, commandant l'Ecole supérieure d'éducation physique; DANIEL, 15« d'inlanterie; PAPILLON, au 126'; LARCHER, 22' tirailleurs algériens; LE BOETTE, 24' d'infanterie SEROL, tirailleurs algériens. Au grade de lieutenant-colonel, les chefs de bataillon RAOUL, Centre de Mobilisation 74 à Chaumont. DOLLARD, 23< 'tirailleurs.1 algériens; PINAUD, au 155» d'iiilanterie CREUSOT, au 8° zouaves; ARùltr.GAUD, Bt«t-Major de l'armée; PRETET, Parc régional de Toul; LAFEU1LLADE au 106- d'infanterie LENGLET, au 43' d infanterie PRELLIER, commandements territoriaux du Maroc; PIGEON, 2- tirailleurs algériens; BINET, P.M.S., région de Paris V1NOT, 173° d'infanterie; FREDERIC, 95' d'infanterie; ROCHE, Centre d'instruction deT chars PSALMON, au 24» d'infanterie; CHÀIX DE LAVARENNE, Sevice de la P. M S., 19» corps; BOUSQUET, Etat-Major 20° région; VIGOUROUX, au 141* d'infanterie; LIEBRAY, Etat-Major de la 4° division nord africaine GENET, 24; tira Heurs tunisiens PICARD, 92" d'infanterie; LAUBIES, 11' tirailleurs algériens.

Au grade de chef de bataillon, les-capitaines LE CUNF, au 69° d'infanterie; BARNAUDIERE, au 42" d'infanterie; THOMAS, au 69» infanterie DURANCEAU Centre de mobilisation 154; GOUYON au 80» d'infanterie ÊUVAT, au 5» d'infanterie; LEVERT, Centre d'instruction des chars; PESANT, Service géographique. LAIR, J£railleurs marocains; DE PRACON1AL, wi d'infanterie; CUSENIBR, Etat-Major 6= région; GUILLEBAUD. 21» tirailleurs algériens; CARDIN, 5«\ ^HiR"

vice d'éducation physique d'Alger CHAR-

BONNIAUD, Service de la P.Mo'8.,9. région

!riT^iuRËrri^axs- 1

6. région à Metz; BAURES, au 138' d'in-

fanterie TUFFELl, au 141. d'infanterie

DUMALLE, inspection du matériel de

protection CHOUARD, direction de l'artillerie- PEYCLET, commandant le pare de diaïï de Nancy; RAFLE, au 173» d'infanterie; BOURGOGNE, au 27» d'infanterie LE SANT, au 107- d'infanterie; BLA1VIEL, au 14» tirailleurs algériens à Angers; DE PRADEL DE LAMAZE, au 108" d'infanterie; f EYSSENDIER DE LA SERVE, Etat-Major de la 2' brigade d'infanterie d'Algérie; JOUTAU, Etat-Major de l'Armée; FREMIOl. Efat-Major de la défense contre ^gnel^; LE GENDRE au 69» d'infantens; HA.muum, Etat-Major de l'Armée; CANXEU Etat-Major des territoires de Damas, du Djebel Druip et du Hauran; THIRIET, au loi» dmfanterie; LAURENT, au 26. d'infanterie

BELLOC, 1-~ étranger; MAREC, au 1310 d'in-

fanterie. 1 ~s lieutenants

faA.ïr»ade de capitaine, les lieutenants

JAMMËS, école P'oire d'Epina_ AR~

JAMMËS, école prèW*oire £Emnal; AR-

KHIPOFF, 1er étranger DEJIEUiOx, i étranger JOLY, état-major 12= division WILLERVaI; au 153» THOMASSLN, centrede mobilisation de chars 505, à Vannes; BLANCHARD, au 153» GUIPERT, au Bl BEL HABICH, 14. tirailleurs algériens GOVYS, tirailleurs algériens GROS, centre de mobilisation 162, à Montpellier GRAND, centre de mobilisation 161 à Albi; LEPINE, 48« ASSELIN, dépôt des isolés de Marseille; RAGUENAUD 13° RONSIN, bataillon de chasseurs ~AL1A_ centre de mobilisation 161 à Mende AUDIGE, 94» DULAC, école supérieure de guerre GUIGNOT, disposition du Maroc AUBRIOT DE LA PALME, 23» PAILLOT, 27» bataillon de chasseurs DAVRAINVILLE 149° POTHIER, affaires indigènes du Maroc IANCRENON, disposition du Maroc TOUZET, 63° bataillon de chars; lErittAS-

SON-DUVERNON, il- bataillon de chas-

â-flŒÀU^CHETf^ d'infanterie COLONNA, 149. DUFEY, direction de l'infanterie MOUQLET, ba» VALLET, 27» bataillon de chasseurs FAURE, 13° bataillon de chasseurs; GRIM-

MINGER, 71'.

POIREY, service d'éducation physique à Besancon HENNEBERT, état-major de l'armée MUREAU, service géographique LEJEUNE, 11» tirailleurs algériens OBE, centre d'instruction des chars DEVILLERS, disposition du Maroc TRISIAN, 149» FlLIOL, 14e tirailleurs algériens FRANÇOIS, 91» NOEL, 503» chars PARTIOT affaires indigènes du Maroc MAILLARD, état-major subdivisions de «antes BRITSCH, 6e tirailleurs algériens; PELLE TERAT DE BORDE, disposition du Maroc DEANGELI, services spéciaux du Levant; MOTTE, 35»é BODY, 106;; BONABESSE 1<(4« PERRIN, 37» QUILICI, 41» RE- DON, 69" GAROT, 38= DE POUTIER 23» • REQÙISTON, 168» RIBOULET, _23« GELLE, 153" LOUVEL, services speçiau; du Levant CIVATTE, service géographique PEYRATOUT, 15e tirailleurs algériens ROUSSIN, gendarmerie SOULIER, 1" étr. BERNARD, 24« CASALTA, 81» ORSINI étranger TABOUIS, disposition di Maroc TALARMIN, 3° tirailleurs maro cains LE GAC, 48» FRANQUELIX, 131* ESPESSON, 95»; CAMUS, 24» tirailleur tunisiens VILATTE, 46» MONTAGNE disposition du Maroc SAUVAGEOT, 126» DE RIOLS DE FONCLARE, disposition dt Maroc ALIOT, affaires indigènes d1 Maroc.

POIRIER, disposition du Levant VERGNETTE DE' f A MOTrE", 30» bataillon de chasseurs LAIMAY, 1" étranger LAULHE, 4" tirailleurs tunisiens MORILLON, affaires indigènes du Maroc DEMAICHE, 37. BERANGER, 14» tirailleurs algériens; DE ROCQUIGNY DU FAYEL, 155»; COLLEOU, 1" zouaves LOUGE, centre de mobilisation d'Afrique n° 7 à Bougie BLONDEL, disposition du Maroc DUMAIN, 64» bataillon de chars MAURIN, 9e zouaves DE BROMMER, service géographique PEILLON, 71» bataillon alpin GENIN, 37» MARIAUX, 6° tirailleurs marocains FINIDORI, 9" zouaves SANTINI, 152» NOURRISSON, 69° CHARLES, 57». Au grade de sous-lieutenant MEUNIER, 91» BOUVOT, 48» JULIEN, 71» PELLE, 95" PERETTI, 8" bataillon de chasseurs; MIGNOT, centre de mobilisation 202 à Rambervillers BOUJU, section technique de l'infanterie DUFRENE, 1er étranger BOUTIN, centre d'instruction des chars DELARUE, 1" DUREL, école préparatoire d'Autun DINE, 60» CAPOROSS1, 28" tirailleurs tunisiens MOUCHEBŒUF, 146'; AUTELIN, 26» LATAILLADE, 153« CAU-. BERE, 14' DUSSAUCY, régiment de sapeurs-pompiers BOTTE, 503» QUILLEMENT, 37» GAUTIER, 69" COURBERES, 69° FAUCON, 92» HOLLEY, disposition du général commandant des troupes du Maroc GOUJON, 3" zouaves.

Chefs de musique

Au grade de chef de musique capitaine, les chefs de musique lieutenants LEROY, du 146» LAURENCEAU, du 65», et LATY, placé hors cadres.

Au grade de chef de musique lieutenant, le chef de musique sous-lieutenant MALAQj'IN, du l»r régiment.

Au grade de chef de musique sous-lieute"nant, les sous-chefs de musique LABATUT, du 37* PELE, du 48».

Cavalerie

Au grade de colonel, les lieutenants-colonels MORIO, 8» cuirassiers LESNE, au 12» chasseurs.

Au grade de lieutenant-colonel, les chefs d'escadrons DE ROUBIN, au 20» dragons DE SOUBEYRAN, au chasseurs GELLY, Ecole d'application de la cavalerie. Au grade de^chef d'escadrons, les capitaines MARTOGNON, 1" étranger de cavalerie GLORIA, 3» spahis marocains DARBOU, état-major 1" région VAYLAC, 1" dragons portés HUGOT-DERVILLE, au 5» cuirassiers D'ALES, hors cadres, mission BILLON, préparation militaire à Marseille REVY, au chasseurs DEPAULE, centre de mobilisation de cavalerie d'Afrique n» 1, à Médéa VOYRON, cabinet militaire de M. le résident général au Maroc DE VANSSAY, au 9» dragons BERARD LATREILHE DE FOZIERS, centre de mobilisation de cavalerie 34. Au grade de capitaine, les lieutenants LAMPIN, 3» bataillon de dragons portés DE PINDRAY D'AMBELLE, disposition du Levant DE VERDELON, dragons GIRARD, transports du Maroc FAUGERE, ̃1" chasseurs RIOUST DE LARGENTAYE, 2» bataillon de dragons portés MARX, groupe d'autos-mitrailleuses SPIRAL, 5" cuirassiers MULLER, Ecole supérieure de guerre TOUBEAU DE MAISONNEUVE, centre de mobilisation de cavalerie n° 26 DE LAUNAY, spahis tunisiens D'ORNANT, cuirassiers SABLON DU CORAIL, subdivisions de Beauvais DE GONTAUT-BIRON, maintenu en disponibilité DOPE, disposition du général commandant supérieur des troupes du Levant BREUIL, cadre de l'Ecole d'application de cavalerie BUNEL, bataillon de dragons, portés SCHNEIDER, état-major 2° brigade de spahis DAHENNE, spahis algériens FERRERE, spahis algériens.

Au grade de sous-lieutenant, les adjudants chefs LOMBARD, disposition du Maroc FAURE, spahis marocains WILLEMIN, au groupe d'autos-mitrailleuses PEIX, groupe d'autos-mitrailleuses. Disponibilité

Au grade de chef d'escadrons, les capital nes MOREL, 5» chasseurs d'Afrique; PAC QUEMENT, 6» spahis algériens; BERNARD 9* cuirassiers.

Train

Au grade de colonel, le lieutenant-eolonel DELEST, Ecole d'application de la cavalerie et du train. 1, les chef~

Au grade de lieutenant-colonel, les ehels d'escadron NAVECH, train de la 7"

gion.

Au grade de chef d'escadron, les capi- taines BANCELIN, ministère de la guerre ;BREMOND, 122» escadron CORDONNIER instructeur des Ecoles de perfectionnemen du train de la région de Paris BILLET centre de mobilisation d'Afrique n° 3. Au grade de capitaine, les lieutenants VIANES, 24* escadron CATTIAU, es s cadron GALLO, escadron CLEV\ 13» escadron CASTELLAN, 19» escadron DURIAUT, 19" escadron PIETRI. centn de mobilisation n» 15 à Draguignan DA ZUION, 20» escadron HILD, 1262 esca dron.

NOUVELLES OFFICIELLES SUPPLÉMENT DU « FIGARO » PARAISSANT LE 10 ET LE 25 DE CHAQUE MOIS

Au grade de lieutenant, les sous-lieutenants AUBRY, 13" escadron; MARTELLI, escadron.

Artillerie

Au grade de colonel, les lieuteuants-colonels MARIE, secrétariat général de la défense nationale; VIALA, commandant le parc de Lyon; REGIS, sous-chef d'état-major du gouvernement militaire de Lyon; CHABROL, 363» régiment; BOUDET. 46'.

Au grade de lieutenant-colonel, les chefs d'escadron: TARO, 103»; BOUZEREAU, commandant le parc d'Oran; HERVIEUX, chef d'état-major de l'artillerie de la 6" région; POUILLEY, chef d'état-major de l'artillerie région; THAON, Ecole d'application du génie; MALO, Ecole d'application d'artillerie CHAILLY, Ecole d'application; MALGRAS, 309" régiment; SIVIEUDE, 59» régiment BERTHEAS, Manufacture d'armes de Saint-Etienne; FAVRE, Parc de Toulouse. Au grade de chef d'escadron, les capitaines GEFFRIER, 75»; JOUANNIC, 36'; CAZAUBON, 36»; BOURVON, 155»; FRANQLEI, centre de mobilisation 311 JACQUILLAT, 62°; HOLICHON, préparation militaire supérieure 20» région; DELAYE, inspection générale du matériel d'armement et des munitions LEBRUN, 10» régiment D'ANSELME, parc de Bourges; VANDENBROUCKE, 15» régiment; DAUER, 28»; PICART, 64'; STASSART, parc de Bourges; GOUR- DIN, parc de Châlons-sur-Marne; EGGENSPIELER, section technique de l'artillerie MONTÉIL, manufacture de Tulle.

Au grade de capitaine, les lieutenants: S1GAUD, au 184»; SE1LLER, service géographique FRANCESCHI, 1er régiment PADOVANI, 151e régiment; DAUMAS, 33e; MAS, 41»; BRICOT, 103»; TRICOIRE, parc de Châlons-sur-Marne; GASSENG, service géographique; BECUE, 12»; ETIENNE, centre de mobilisation 26; CALLENS, 155»; LINSOLAS, 46'; GOUCHOUD, Ecole d'artillerie COULON, parc d'Oudjda; CHAUMONT, centre de mobilisation n° 220; MOGENET, parc de Clermont-Ferrand; MAYOT, service géographique; BOUIN, 109e; KIRCHEN, service des transmissions NICOLOFF, Ecole d'artillerie; DELPHIS, centre de mobilisation n° 406; BARBIER, 10»; IMBAULT, établissement d'expériences de Bourges; MENANTEAU, 163»; TOMI, centre de mobilisation d'Afrique n° 3; BARBIER, cours de défense contre aéronefs; LOVY, centre principal de mobilisation n° 327 TOURRET, Ecole d'artillerie; RUAS, 28» ROSTAGNAT, entrepôt de Leyment; COMBES, 40» TENES, école militaire préparatoire technique de Tulle; LECHAI', 60« CARRE, 163»; CHERASSE, école de gendarmerie; VANDEP1TTE, 11»; COUDERC, 66»; PIROTH, état-major du Maroc; LARRIEU, centre de mobilisation 40 à Hagueneau; DUTRUILH, centre de mobilisation n° 209; PRESSARD, 33»; JAMES, 94e; BONNET, 62 «; BAGNOULS, école d'artillerie MAYEUR, 93e FAISSAT, 4e bataillon d'ouvriers; MOREL, 54'; JACQUELARD, 74»; MATHIEU, 28»; DRUON, 402»; LIAUTEY, 305»; CHABŒUF, parc de Thionville; ROUBY, parc de Bourges; SIBERT, parc de Bourges; CORNUAU, 30°; TARTARIN, 403»; SEILHAN, 6°; MANGIAVACCA, parc de Marseille; FLORENTIN, établissement d'expérience de Bourges; PESQUIE, entrepôt d'Aubignc; Le BLEVENEC 64°; SURAUD, centre de mobilisation n° 302; RENAUD, 46»; OUZON, centre de mobilisation n° 9 BERSIHAND, état-major d'artillerie de la lr« région CROSNIER, centre de mobilisation n° 40, à Morhange; SATABIN, entrepôt de Châteaudun LAUGIER, centre d'instruction des transmissions de Nancy; LEDRU, centre de mobilisation 2; MICHOU, 402e PINEAU, école de l'infanterie et des chars; DELEU, centre d'administration territorial, 3e région; ANDRU, parc de Vincennes; VORUZ, 93° GUICHARD, 11»; CUVILLIER, parc de Metz; REIBELL, 163» SAINT-GERMES. 117e s ROUX, 155e; HACHETTE, 64»; CHAPROY, ministère de la guerre; GUERRIER, parc de Toul; SOTTON, pare de Bourges; FERRLR. ministère de la guerre; GADEBOIS, parc de Poitiers; DRIGOUT, parc de Clermont-Ferrand.

~t Au grade de sous-lieutenants, les adjudants-chefs: RIMET, lr° section d'ouvriers à Angoulême; BOUCHARD, magasin central automobile; ROUARD, 33e régiment; MENGIN, bataillon d'ouvriers; ROUX, parc de Vernon; MICHEAUD, 155»; ANDRAUD 163e; REMINIAC, inspection des forges de e Paris; BARNAVON, parc de Grenoble; DAVID cours de tir à Mailly; BLANDIN, parc t- de Vincennes; VERSAVEÀUX, 62"; PEPION 22» bataillon d'ouvriers; BERTRAND, 151'

LES 1

MANSARD, parc de La Rochelle; BURTY, bataillon d'ouvriers; RAMBERT, parc de Rennes; FABRY, inspection des forges de Paris; GAUTRON, 13° bataillon d'ouvriers; BLONDEAU-TOINY, 404; COQ, parc de Versailles STEPHANIDES, parc de roui BALSEGUR, atelier de chargement de Moulins, MILLET, entrepôt de Châteaudun LELEU parc de Verdun; LAFITTE 59^ BUREAU 8e bataillon d'ouvriers; DE VANDIERE DE VITR\C 128" STEPHAN, entrepôt de La Ferté-Hauterive BERVAS, entrepôt de Thouars.

Génie

Au grade de colonel, les lieutenants-colonels • FOURXIER, Inspection technique des travaux; ̃ DESPLANQUE, adjoint au .gcuera" commandant le groupe de subdivisions de Lille COLLIN, directeur de Belfort.

Au grade de lieutenant-colonel, les chef:

deAbau^d: DELAUNOY, .2. régiment

GOURDAULT, chef du génie à Tours

NICOLLAS, 4' régiment JOSSET, chef di

génie à raionvilll SOCRATE, cher du ge-

nie â Vincennes.

Au grade de chef de bataillon, les capi taines PAGET, cheiferie de San-ç-bourg ROUGE, cheil'erie de Lyon MIOHE.L-BH CHET commandant le centre de niauilisa tion n» 7 ÛLAVEBIE, 1er régiment JOU VENOT. 18e KLEIN, 6e BOHWUNO CARTER, ehefferie de ^l.r*'1^ GE, chenerie de Nancy WYLKAtRl, ciiei ferie de Casablanca.

Au "rade de capitaine, les lieutenants PINASSAUD professeur à l'Ecole nulitair H d'application CURABET, direction di matériel DAVID, Ecole de transmissions RAPILLY, service électro-mécanique GAUD instructeur à l'Ecole d'application MASSACRIER, direction du matériel l'Ol GUES, établissement central du niateuc de transmissions DE PLACE, chefferie d Bitohe HARTMANN, établissement centra du matériel de transmissions 1 KJ^yj instructeur à l'Ecole d'application C Oïl LIOT, 3e régiment GAR1BAL, chellerie d Metz-Nord LAPÂUME, ohelferie de Vel sailles MAIRE, régiment AbELfc. ohefferie de Dijon GUELFI, chcilerie d Taza CLAMEN, direction du matériel TISSIER, ehefferie de Montrouge CAMPt VECCHIO, ehefferie de Besançon. Au grade de sous-lieutenant, les adji dants-Siefs MORISSON régiment

PIQUE:I1AL. cheiterie de Taxa PERIE!

chefferie de Briançon DUFOUR Char!e

chefferie de Besançon LrJPEl'I~T, 3~ rég

ment GLEDEL, centre de mobilisatio

7 DUFOUR Pierre, chenerie de Sarri boura' CAMPS, ehefferie de Constantine FOURRE, régiment GE*LLO- 31° bi taillon CASTAGNE, chefferie de Met Nord JOUSSAUME, cJiefferie de Pari: Nord BRUUARD, chefferie de Versailles LAMARQUE, chefferie de Toulouse Ait BEAU, ehefferie de Metz-Sud 1-OISSL ohefferie de Troyes.

Gendarmerie

Au grade de chef d'escadron, les cap taines MERLHE, Afrique Occidentale «MURAT, à Laon MARCHAL, 4» Garde m, bile.

Au grade de capitaine, les lieutenants NOYES, a Bourg; ROUANES, 3- Gan mobile ROUSSIN, l'f Garde mobile LEBEL, 2« Garde mobile GOUsSOI, Boulay -MEINIER, à Brest RObEU; Ecole supérieure de guerre DEHARELL, Garde mobile VA'LINCOURl, Gan mobile.

Au grade de lieutenant, les sous-lieut nants DUBOIS, du Cameroun PINA.U 1 Afrique Occidentale I- OU RMbR, gion GOUY, légion MArHON, légion CROST, Garde mobile BAI NOUAN, 115- lésion BACHELARD, b'1 1 gion GARBE, 1" Garde mobile PU RAIMOND, 3» Garde mo*i e M^ÇIA 1 l" Garde mobile BOUCHACOLRT, Garde mobile CAZAUBAN, 18» légion 1 MOULIN, Garde républicaine de Paris SOUYRIS, 2» Garde mobile BAFFELEU Garde mobile BIDAN, Garde m bile CAUBARRUS, de la Corse, est aftec à Parthenay MOREAU, 1" Garde mobile RIBOULET, 8° Garde mobile SAVOY Garde mobile VILLANNEAU, 4° Car mobile HATON, gendarmerie libanaise I MONTELETAN, affecté à la Garde republ I caine de Paris LAUGERE, 8» Garde m ̃ bile OUVRARD, 10e Garde mobile G. ̃ DEN, 7» Garde mobile DUGAST, »• Car mobile CHIPAUX, Garde niobile BBEL, 1» Garde mobile R.OSS1GNO Garde mobile.

Infanterie coloniale

Au grade de colonel, le lieutenant-colonel GOSSE, du 2e régiment.

Au grade de lieutenant-colonel, les chefs de bataillon MINEAU, du 7e tirailleurs sénégalais METRAS, du 3e d'infanterie coloSiaie SAINT-MARTIN, au Levant LIVACHE, du 2e régiment MAUP1N du 16' tirailleurs sénégalais MARCHAND, du 21° régiment.

\u grade de chef de bataillon, les capitaines MOUTET, 10» tirailleurs sénégalais; ONOFRI, S» tirailleurs sénégalais DESNOYER 42' bataillon de mitrailleurs mal-,saches G-ARAUDY, 10' régiment mixte 'MAGINOT, 16» tirailleurs sénégalais BASTIDES, état-major du Maroc BERGOLGNOUX, 16« tirailleurs sénégalais BASCOU, ministère île la Guerre CARMI, 8° tirailleurs sénégalais MAROT, à Madagascar.

Au grade de capitaine, les lieutenants « JARTY. 1»' tirailleurs sénégalais CHAR1 PENTIER, 17e tirailleurs sénégalais LEOKARDI, 7e tirailleurs sénégalais VITAR1, fis tirailleurs sénégalais THOMAS, l»r tirailleurs toukinois MIQUEL, 1er tirail• leurs sénégalais ESQUILAT, 24" sénégaais DUMY, 5' sénégalais BERETfI, 17» sénégalais GIOVANSILY. 4' tirailleurs sénégalais JUDITH, 11» régiment LE BOURHIS, 10e sénégalais JAUME, en Chine GRONDIN, 9e régiment LUCAS, CHALNOT. 1" GUEGUEN, 2» mixte de Mu-dapascur TARDAT, 9».

Réintégration. Le capitaine (.A^ELES, e du 1(>« tirailleurs sénégalais, en disponibiu lité, est réintégré en service actif à compter du 30 septembre 1U36.

Artillerie coloniale

Au grade de colonel, le lientenant-colo.e nel BALTAZAR, en Afrique Equatoriale. Li Au grade de lieutenant-colonel, le ohel d'escadron SARROLA, à Madagascar. Au grade de chef d'escadron, les capi. :e taines MICHEL, au 11' CHAMBION, en > Indochine LE QUEMENT, au 11» GUYO1 S> en Indochine.

le Au grade de capitaine, les lieutenants GOVILLE, à la Martinique COLUGNON >- m 11° DES LIONS, au LE BOUDIC

au ̃ PARUIT, au LAURENT-CHAM-

PROSAY. en Indochine BLANC, au 12»

1- PROSA Y. en centre de BLANC, au 31

• CIMETIERE, centre de mobilisation 31

POLICARD, au 12'.

?-' Service de santé Au grade de médecin colonel, les médecins "'̃ lieutenants-colonels MINEL, hôpital Am broise-Paré, Rennes I.AURENS, Maroc z. GABRIELLE, professeur agrégé, hôpita d'instruction Desgenettes à Lyon. Au grade de médecin lieutenant-colonel )1 les médecins commandants VIALATTE y hispice mixte de Saint-Etienne MANIEL hospice mixte du Havre DESPUJOLS. lios pice mixte de Nice MELNOTTE, hôpita Sédillot à Nancy.

Au grade de médecin commandant, le! i- médecins capitaines PEYSSON, 8e zouaves VI\LLETON, du Maroc CHANTRIOT, dt 3- Levant BIDAULT, 21 tirailleurs algériens BROCARD, hôpital de Bourg Saint-Maurice DUMALLE, 158e d'infanterie MEYRIGNAC le troupes de Tunisie TEXIER, 41' d'art. Au grade de médecin capitaine, les méde cins lieutenants MASSONIE, école d'ar >>> tillerie de Poitiers DICHARRY, du Ma E, roc PUJOS, 3e compagnie régionale di le train PETIT. génie POISSON, 152 d'infanterie VANHEMS, base aérienne 102 e- SILVESTRE. 37e d'infanterie BARBIER D 155° d'infanterie GROGNOT, base aérienni é- Vl\ TISSERAND, 31» chasseurs à pied. 7- Vétérinaires militaires

yj- Au grade de vétérinaire colonel le vété rinaire lieutenant-colonel LAMARQUE, di recteur du service vétérinaire des troupe du Levant.

Au grade de vétérinaire lieutenant-colo F, nel, les vétérinaires commandants FLEU o- RET, directeur du laboratoire d'études e té de contrôle des viandes conservées de l'ar mée CASTRES, directeur du service vété E, rinaire de la 17e région,

de Au grade rfe vétérinaire commandant, le vétérinaires capitaines DELANNOY, 4 [i- spahis marocains MORISOT, du Maroc o- CHATELAIN, du 6° dragons SCHEFFEH A- du d'artillerie.

de Au grade de vétérinaire capitaine, les v<! térinaires lieutenants VALIET, du 1" spa L, his algériens ROUX, du 67° d'artillerie MOUROT, du Levant.

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Service de santé

des troupes coloniales

Au grade de médecin colonel les médecins lieutenants-colonels MARTIN, 3' régiment LABERNADIE, ministère des colonies PELTIER, ministère des colonies. Au grade de médecin lieutenant-colonel les médecins commandants KERUZORE, 23e d'inf. col. ROBINEAU, Afrique Occ. VAUCEL, en Indochine.

Au grade de médecin commandant les médecins capitaines RIVOALEN, au 21' d'inl'. col.; MAURY, en Afrique Occid.; RAVOUX, rég. d'inf. col. du Maroc BASILE--CASTEREDE, en service hors cadres au Togo SAINZ, au 23e d'inf. col.; SEGALEN, au 41° rég. de mitrail. d'inf. col.; NICOLAS, au centre de motor. des troupes col.; DASPECT, service hors cadres au Pacifique. Au grade de médecin capitaine les médecins lieutenants POURTAU, au 2' rég. d'artill. col.; RIBO, au rég. d'inf. col. du Maroc NOMDEDEU, en Tunisie LOMBARD, en Afrique Occid.; GAIGNAIRE, au 8° tiraill. sénég. BORIES, en Afrique équat.; VESNAT, à l'hôp. milit. de Fréjus LACORNE, en Guyane MAHOUDO, en Afrique Occid.; MAZEf, au Levant CAMPOURCY, en Afrique Equat.; BERTHON, en Afrique Equat.; MATRIOLET. au 3° rég. d'artill. col.; CHOMET, au 14" rég de tiraili. sénég.; CASTEX, en Afrique Equat.; LUTZ, en Afrique Equat.; AMIGUES, au 24» rég. de tiraill. sénég.; CRESTE, en Afrique Equat.; LECAILLE, au 41e rég. de mitraiH. d'inf. col.; BASCOU, en Afrique Equat.; MARTIN, en Afrique Occidentale.

Au grade de pharmacien commandant le pharmacien capitaine BOUILLAT, au dépôt des isolés des troupes coloniales. Au grade de pharmacien capitaine les pharmaciens lieutenants AUFFRET, en Indochine CRESP, en Guyane.

Au grade de capitaine d'administration les lieutenants d'administration W1TTERSHEIM, à la direction du service de santé du command. sup. des troupes coloniales dans la métropole DENIC, à l'école d'appl. du service de santé des troupes coloniales, à Marseille.

Intendance

Au grade d'intendant militaire de 1" clusse, les intendants militaires de 2e classe: VERGE, à la division d'Oran; LISCOET hors cadres agriculture; FONTAINE, au mi- nistère de l'Air; DUPUY, à Paris; HECHbV ROTH à Nice; CAUQUETOU, au mmisten de la Défense nationale et de la Guerre (se crétariat général).

Au grade d'intendant militaire de 2» classe les intendants militaires de 3' classe SIR DEY, à Nevers; CHARNOZ, à Evreux; GAU CHOTTE, chef de bataillon au 26» d'infan terie Affecté provisoirement à l'Intendanci des subsistances à Nancy; TOURNIER, à An goulème; VALLET, aux troupes du Maroc. Au grade d'intendant militaire de 3» elas se les intendants militaires adjoints PICQ capitaine d'administration du service de subsistances militaires. Affecté à l'Intendan ce de l'habillement à Paris; GALTIER, a 1; division d'Alger; GORY, stagiaire à l'Ecol supérieure de guerre; DELON, à Pau; CHA RON, à Versailles; CALABRE, capitaine d'ar tillerie. Affecté provisoirement à l'Inten dance des corps de troupe il Rennes, adjoin au chef de service; ARNAUD, à Dijon D'EAU, à Montauban; ANDREOLY, à Privas FONTANAUD, à Tulle; CHABOT, aux trou pes de Tunisie; MEJEAN, à Blois; TISSE RAND, à Belfort; LARRE, à Montpellier ISNARD, à Douai, organisation; POMIROI aux troupes du Maroc, organisation: BOUS SARON, à la division de Constantine, orga nisation; MARTY, à Metz. Affecté provisoi rement à l'Intendance des corps de troup Metz, adjoint au chef de service. Au grade d'intendant militaire adjoint EMIEUX, capitaine d'artillerie à Paris BOUCHE, capitaine, d'infanterie. Affecté Versailles; LEGER, capitaine d'artillerie. AI fecté à Metz; CARRIE, capitaine d'infante rie. Affecté au camp de Mourmelon; BLAN CHARD, capitaine du génie. Affecté à Stras bourg- GOURLOT. capitaine d'infanterie. AI fecté à la division d'Alger: LESMAYOUS capitaine d'administration des bureaux d l'Intendance. Affecté aux troupes du Levant LACHAUD, capitaine du génie. Affecté au troupes de Tunisie; JURAMY, capitaine d génie. Affecté à la division d'Oran; HOL LEY, capitaine d'infanterie. Affecté au i troupes du Maroc; GENELOT, capitaine d génie. Affecté aux troupes du Maroc. Au grade de lieutenant-colonel d'admini! (ration, le commandant d'administration BA TUT, à Bordeaux.

Au grade de commandant d administratioi le capitaine d'administration SANNER, Colmar.

Au grade de capitaine d'administratioi -les lieutenants d'administration BLAN LOEUIL, à Limoges; ROURE, à la divisio s de Constantine; QUEUTEY, à Besançon. Subsistances militaires

HUMBERT, à Eplnàl.

t Habillements et campements BOCAT, à Strasbourg.

Intendance militaire

des troupes coloniales

Au grade d'intendant militaire de 1" cl. FOURNIER, intend, milit. de 2' classe, e service à la intendance coloniale de Mat seille LALOT, intendant militaire de 2° cl en service en Indochine.

Au grade d'intendant militaire de 2° cl. LESEC, intendant mllit. de 3' ci., en servie

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en Indochine; PERFETTINI, intendant milit. de 3» cl., en service en France.

Au grade d'intendant milit. de 3e classe BOURMAUX, intendant milit. adjoint, en service en Indochine BOUTEILLER, intendant milit. adjoint, en service eu Indochine. Au grade de capitaine d'administration LASSALLE, lieutenant d'administr. en serv. en Afrique Occidentale française.

Les élèves de l'Ecole militaire d'adminis- ••' tration dont les noms suivent, ayant satis- fait aux examens de sortie, ont été nommés au grade de sous-lieutenant d'administration de l'intendance militaire des troupes coloniales, pour prendre rang du l°r octobre 1936

LE BLANC, MARCHESSEAU, ROUDIL, SAOLI, DURAND, HEYMES, DE CABAHRUS, HERY, GRACIA, SARROTTE, ALBRECHT, ANTONINI.

Les sous-lieutenants d'administration MARCHESSEAU, HERY et GRACIA, qui étaient détenteurs du grade de lieutenant de réserve lors de leur admission à l'Ecole luilitaire d'administration, sont promus au grade de lieutenant d'administration à titre temporaire, à compter du l°r octobre 1930. Ces officiers d'administration ont reçu les affectations suivantes

A la direction de l'intendance du commandement supérieur des troupes coloniales dans la métropole les sous-lieutenants d'administration ROUDIL et DURAND. A la intendance coloniale de Paris: les sous-lieutenants d'administration HEYMES et DE CABARRUS.

A la 2» intendance coloniale de Marseille: le sous-lieutenant d'administration SAOLI. A l'intendance coloniale de Toulon le sous-lieutenant d'administration MARCHESSEAU.

A l'intendance mixte de Brest le souslieutenant d'administration LE BLANC. A la 1" intendance coloniale de Paris les sous-lieutenants d'administration SARROTTE, ALBRECHT et ANTONINI.

A l'intendance mixte de Bordeaux le sous-lieutenant d'administration HERY. A la 11" intendance coloniale de Marseille le sous-lieutenant d'administration GRACIA. Fabrications d'armement

Au grade d'ingénieur militaire en chef de première classe DE CURIERES DE CASTELNAU, ingénieur militaire en chef de classe, directeur de l'atelier de construction de Bueil.

Au grade d'ingénieur militaire en chef de 2e classe GABEAUD, ingénieur militaire principal, laboratoire central des fabrications d'armement; NICOLAU, ingénieur militaire principal, laboratoire central des fabrications d'armement, au titre organisation.

Au grade d'ingénieur militaire principal I.EISLET, ingénieur militaire adjoint, atelier de construction de Rennes FABRE, ingénieur militaire adjoint, atelier de fabrication de Toulouse MOINE, ingénieur militaire adjoint, inspection des forges de Paris, au titre organisation.

s Au grade d'ingénieur militaire adjoint RIVALS, capitaine d'artillerie E. M. P., atelier de construction de Tarbes LATIL, capitaine d'artillerie E. 31. P., inspection des forges de Lyon SORLET, capitaine d'artillerie E. M. P., atelier de construction de Bourges.

Par décret du 21 septembre 1936, sont nommés, à la date du 1er octobre 193B, dans le corps des ingénieurs militaires des fabrications d'armement, au grade d'ingénieur adjoint, les officiers élèves ingénieurs désignés ci-après qui ont satisfait aux examens de sortie de l'Ecole suj.érieiire des fabricatiens d'armement.

i- Pour prendre rang du 25 décembre 1933 HATTU, capitaine d'artillerie E. M. P., afe fecté à la manufacture nationale d'armes de Châtellerault.

Pour prendre rang du 25 mars 1934 LISACK, capitaine d'artillerie E. M. P., affecté à l'atelier de construction de Lyon. Pour prendre rang du 25 juin 1935 LORANT, capitaine d'infanterie 503» régiment de chars de combat, affecté à l'atelier de construction de Bourges.

Pour prendre rang du 25 septembre 1935 VARENNE, capitaine d'infanterie, 24» d'infanterie, affecté à l'Ecole centrale de pyrotechnie de Bourges.

u Service de santé

Les élèves de l'Ecole militaire d'administration dont les noms suivent sont nommés au grade de sous-lieutenant d'administration du service de santé.

Pour prendre rang du 1er octobre 1936 GAUTIER, hôpital Hippolyte Larrey, Toul louse SALVAT, magasin général du service de santé, Clermont-Ferrand SENEQUE, magasin général du service de santé, Bordeaux DARTOY, hôpital militaire de Mulhouse LACOURT, adjoint au commandant de la 14° section d'infirmiers, Lyon PETEAU, hôpital Michel Lévy, Marseille GAliLISSIAN, hôpitaux militaires du 19' corps d'armée GROS, hôpitaux militaires du 19» corps d'armée CHAUVIN, hôpital Baur, Colmar PHADELLE. hôpital Gaujot, Strasbourg VASSEUR, troupes de Tu-.nisie VINCENT, hôpital Gama, Toul. Par le même décret et on application de l'article 5 de la loi du 4 janvier 1929. 1rs sous-lieutenants d'administration GAUTIER, de rh?6pital Hippolyte Luovy à Toulouse, PETEAU, de l'hôpital Michel Lévy à Marseille, et PRADELLE, de l'hôpital Gaujot à Strasbourg, sont nommés au grade de lieutenant d'administration, à titre temporaire, à dater du l»r oclobr? 1931)

e (.4 suivre.)


LES CHAMPIONNATS DE PARIS DE TENNIS Deux victimes de choix C. Boussus et M. Bernard

Nous avons quitté hier le Racing Club de France pour revenir à ce cher vieux stade Roland-Garros, où les Championnats de Paris vont se terminer.

A 11 heures, sur le court central, Marcel Bernard ouvre les hostilités de la journée contre le « Daviscupman » chinois KhoSin-Kie. Ce dernier a prouvé les allégations que nous faisions hier à son sujet et que déjà nous avions portées lors de ses premiers matches à Paris c'est un joueur capable de tenir, sinon les tout premiers rôles, du moins les principaux rôles du second plan international. Ses progrès depuis quatre mois ont été rapides. Après avoir, mercredi, disposé de Gentien, il a éliminé hier Marcel Bernard, ce qui est une performance.

Certes, après avoir avec l'aisance la plus complète, emporté le premier set, Marcel

Le Chinois Kho Sin Kie,

vainqueur de M. Bernard.

Bernard, comme souvent il le fait, sembla se désintéresser du jeu et répondit avec nonchalance à l'ardeur de son rival, qui gagna promptement les deux sets suivants. Ce n'est pas tant sur cet avantage facilité par M. Bernard qu'il faut juger de la valeur de Kho-Sin-Kie, mais sur le quatrième set où, malgré sa volonté de triompher, le Français fut mis en échec. Ce quatrième set, Bernard l'a disputé avec la presque totalité de ses moyens la victoire du Chinois est donc significative.

Que fera-t-il, en demi-finale, contre André Merlin ? Ce dernier doit le surprendre par la vigueur de ses attaques et sa mobilité. Il est en belle forme et Jean Lesueur s'en aperçut qui, après avoir subi un 6/4 puis un 6/1, abandonna une partie nettement perdue pour lui. Si Merlin bat KhoSin-Kie, il parvient à la finale et il parait désirer y parvenir. La menace est lourde pour le champion de Chine. Jamain a été mis en échec par MartinLcgeay par son jeu de volée et son expérience, ce dernier a dérouté le jeu trop peu varié de son jeune rival, qui a encore a apprendre, mais qui est, répetons-le, sur une bonne voie.

Paul Féret semble, chaque année, se réserver pour les Championnats de Paris. I) y cause le plus souvent des surprises et voici que cette fois il n'y a pas manqué. »I1 a battu C. Boussus après une longue ^bataille, longue comme il' les aime. Certes Boussus est loin de sa meilleure condition son état physique n'est pas parfait et cela, on le sait, est générateur de nombreuses erreurs. Des erreurs, contre Féret qui n'en commet pas, c'est un lourd handicap. Boussus réussit, par des offensives remarquables, à pallier à ses fautes, pendant deux sets,

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mais au prix d'une assez forte dépense musculaire.

Ce qui fit que dans les deux dernieres manches Féret n'eut guère de mal à lasser un rival fatigué.

Dans le simple dames, la victoire très nette de Mlle Goldschmidt sur Mlle Pannetier-prouve deux points la première, après un repos forcé, est en train de retrouver sa meilleure forme la seconde a besoin de repos.

Très jolie performance de Mlle Iribarne qui a éliminé miss Yorke.

Voici les résultats

Simple messieurs. Quarts de finale Kho-Sin-Kie b. M. Bernard, 2-6, 6-2, 6-2, 7-3 A. Merlin b. J. Lesueur, 6-4, 6-1, aband. A. Martin Legeay b. J. Jamain, 6-2, 6-2, 3-6, 6-2 P. Féret b. Ch. Boussus,

Simple dames. Quarts de finale Mlle Adamson b. Mme Aubert, 6-8, 6-1, 6-1 Mlle Iribarne b. miss Yorke, 4-6, 6-4, 6-1 Mlle J. Goldschmidt b. Mlle Pannetier, 6-3, 6-2 Mme Mathieu b. Mlle Neufeld, 6-0, 6-2.

Double messieurs. Troisième tour Genlien-Kho-Sin-Kie b. Hansteen Von Ende, 6-1, 6-3 Martin Legeay-Lesneur b. Sergeant-de Lamine, 6-4, 6-4 J. Borotra-M. Bernard b. Vétillard-Brunon, 6-3, 6-3. Quarts de finale G. P. Hughes-C. Hare b. Glasser-Galeppe, 6-0, 2-6, 6-3 J. BorotraM. Bernard b. Landau-Lecointre, 7-5, 6-4. Double dames. Quarts de finale Mme Mathieu-Mme Goronltchenko b. Mme Petrocochino-Mme Engerrand, 6-0, 6-3 Mlle Belliard-Mlle Iribarne b. Mme Varln-miss Xorman. 6-1, 6-3 miss Yorke-miss Strawson b. Mme Claude-Mme Aubert, 6-2, 6-1 Mlle Pannetier-Mlle Adamson b. Mlle O'NeilMme de la Ferrière, 6-4, 6-2.

Double mixte. Deuxième tour Mme Auhert-Bolelli b. Mlle Neufeld-Kho-Sin-Kie, 6-1, 6-1 Mme Varin-Journu b. Mme et M. Sergeant, 7-9, 7-5,' 6-4.

Quarts de flnale miss Yorke-J. P. Hughes b. Mme Varin-R. Journu, 6-3, 6-2; miss Norman-Jaquemet b. Mlle Wallàce-A. Merlin, 6-2, 5-7, 8-tS.

Les convocations d'aujourd'hui Sur le court central

11 heures. Mlle N. Adamsod c. Mlle S. Iribarne.

13 h. 30. Mme R. Mathieu c. Mlle J. Goldsçhmidt suivi de Kho-Sin-Kie c. A. Merlin et Martin Legeay-Lesueur c. Bolelli-Karsten.

Sur le court numéro 2

13 h. 30. A. Martin Legeay c. P. Féret. l(i heures. Mme Mathieu-Mme Goronit- chenko c. Mlle Belliard-MIle Iriberne 17 heures. Gentien-Kho-Sin-Kie c. Fé- ret-Boussus.

Sur le court numéro 3

14 heures. Mme Aubert-Bolelli c. Mlle Iribarne-P. Goldschmidt.

16 heures. Mlle Panaetier-Mlle Adamson c. Mlle Yorke-miss Strawson.

BRUGNON ET PETRA

ont échoué au troisième tour des championnats du Pacifique Après avoir passé victorieusement les deux premiers tours du simple, au Championnats du Pacifique, Jacques Brugnon et Yves Pélra ont disparu au troisième tour, le premier battu par Van Ryn par 6-3, 6-2, et le second par l'Américain Ballach, par 6-3, 5-7, (i-4.

En double mixte, le tirage au sort a mis en présence J. Brugnon, associé à miss Bundy, et Y. Pétra faisant équipe avec miss Workmann. Pétra et sa partenaire ont gagné par 7-5, 6-2.

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L ,I,

LE BILAN SPORTIF des épreuves internationales de 1936 ¡ Rosemeyer'se classe en tête des conducteurs

Avec la diminution des maisons participant aux cours'es internationales, le trophée des trophées, le Championnat du monde de la vitesse, qui fut institue durant plusieurs années, fut retiré de la compétition. Il n'y eut donc plus, un champion, mais, offlcteu- sèment, en fin de saison, il est de rigueur, d'après les résultats acquis, d'établir un classement entre coureurs et marques ayant participé aux principaux Grands Prix Internationaux.

Comment s'établirait la situation pour la saison écoulée, si on affecte comme points, au xpilotes qualifiés dans l'ordre: premier, second, troisième, jusqu'au cinquième Inclus, cinq, quatre, trois, deux et un point ? En prenant comme base les Grands Prix de Monaco, Tunisie, Tripoli, Penya Rhin, Eiffel, de Hongrie, d'Allemagne, de Suisse, d'Italie et la- Coupe Acerbo, épreuves dans lesquelles se rencontrèrent à peu près tous les pilotes et voitures' de course formule internationale, le classement s'établirait ainsi

1. Rosemeyer, 30 points; 2. Nuvolarl, 25 pts; 3. Varzl, 19 pts; 4. Caracclola, 16 pts5. Stuck, 16 pts; 6. Brlvlo, 12 pts; 7. Delius, 9 pts; 8. Plntacuda, 6 ptï; 9. Farina, 6 pts; 10 Dreyfus, 5 pts; il. Wimtlle, 3 pts; ts. liasse, 3 pts. 1

Certains des compétiteurs ont un classeBOXE

L'espoir français Amoult bat le Hollandais Disch Le jeune Arnoult est sans* nul doute jaloux des lauriers de Bricout qui, rapidement, s'est élevé jusqu'aux premiers rangs. Ainsi la catégorie des poids légers français est chargée d'aspirants au titre national que détient Humery, qui devra le mettre en jeu contre Brlcout le 15 octobre, à. la Salle Wagram.

C'est en cet endroit que Arnoult remporta, hier soir, une nouvelle victoire en battant aux points le Hollandais Disch, qui tient le rôle de pierre de touche puisqu'il y a peu de temps Disch a rencontré Bricout qui le mit assez difficilement en échec.

Pauvre Hollandais Hier encore la victoire est allée à son adversaire, après un combat vivement mené où Arnoult prouva qu'il pourrait bientôt prétendre, lui aussi, au titre de champion de France.

LES AMATEURS

à l'Elysée-Montmartre

La troisième réunion de boxe amateur à l'Elysée-Montmartre se déroulera ce soir et son programme est fort bien composé. t Autour des deux combats vedettes qui opposeront en poids légers Lemaire à Agosti et en poids mouche Fernandez à Abramoviez, les matches suivants sont prévus Hautier c. Garcia (coq), Tournefier c. B!stry (mouche), Deroker c. Laurent (welter), Hanen c. Garrec (légers), Lesage c. Weaver (lourds), Jeannin c. Lallemand (Welter), Pahaut c. Fauser (légers), et Ponsot c. Covache (légers).

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ment défectueux parce qu'Us n'ont pas pris part à toutes les épreuves.

Le jeune champion allemand fut très certalnement l'un des meilleurs « volants' » cette année et plus particulièrement en fin de saison, où il remporta successivement de très jolis succès. Le « vieux » Nuvolarl, toujours sur la brèche, malgré son titre de vétéran, figure au tout premier plan. C'est un coureur complet, H l'a surabondamment démontré en figurant aux places d'honneur, cette année encore, bien que les voitures qui lui turent confiées aient été moins rapides.

Au point de vue marques, c'est AutoUnion, ta firme allemande, qui a la saison la mieux remplie et qui arrive en tète, avec 788 points, suivie de Alfa Romeo, 59 pts; Mercedes Benz, 23 points et Bugatti. Dans les voitures de course de la cylindrée Inférieure (1.500 ce.) en retenant les sept courses sUivantes Monaco, N'urburgRhin, Grand Prix de Picardie, Circuit d'Albi, Coupe Ciano, Pescara et Grand Prix de

'B'SS~S~ .}"?':7!!

i Le conducteur allemand Rosemeyer

1 Berne, le meilleur et le plus régulier fut le prince Bera qui, avec 18points précède le comte Tro&'sl, 14 pts; Embrico, il pts; Suamen, 10 pts; Ruesch, 7 pts; Lord Howe, 6 pts; I.ehoux, 6 pts; Tenni, Faerfleld, Veyron, 4 pts, etc.

Le record des 48 heures

i est battu par Jenkins

t Le coureur américain Jenklns qui, ainsi i que nous l'avions annoncé, s'était attiqué au i record du monde s'ur la piste du Lac Sale, en Utah, et avait battu les records intermédiaires, a terminé heureusement sa tentative.

II a, dans les quarante-huit heures, réar lisé la moyenne horaire de 148 milles 66 (238 Kil. 800), alors que le record précédent établi par le coureur anglais Eyston, n'était que de 136 milles 34 (219 kil. 710).

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NOUVELLES AERIENNES René Lefèvre

ït l'ingénieur général Coursin sont revenus à Paris

après un vol de 22.000 km» L'ingénieur général Coursin et l'aviateur René Lefèvre, qui s'étaient rendus par la voie des airs au Congrès Pan-Africain des transports, organisé à Johannesburg par le gouvernement de l'Union sud-africaine, pour ;• représenter la colonie de Madagascar, sont arrivés à Paris mercredi matin. Partis de Paris le 1" septembre, Ils étaient arrivés à Johannesburg le 6 septembre, veille de l'ouverture du Congrès qui s'y est tenu du 7 au 14 septembre et l'accueil le plus chaleureux lcur fut réservé par l'Union Sud-Africaine.

Le 15 septembre, ils repartaient pour la France, via Durban et Louronço-Marquès, qu'ils quittaient le 17 septembre.

Cette tournée aérienne, qui ne représente pas moins de 22.000 kilomètres, s'est effectuée sans incident et à l'honneur d'un matériel français moderne, tout à fait au point, qui a vivement Impressionné les pays visités, notamment l'Union Sud-Africaine. Hier après-midi, a été célébré le vingttroisième anniversaire de la première traversée de la Méditerranée en avion, exploit accompli par Roland-Garros.

La cérémonie a eu lieu devant le monument commémoratif de l'événement, élevé sur un point du littoral du golfe de Fréjus. Les municipalités de Saint-Raphaël, de Fréjus et des délégations du centre d'aviation navale de Saint-Raphaël y assistaient. Le XV» Salon de l'Aéronautique, qui se tiendra au Grand Palais du 13 au 29 novembre prochain, s'annonce comme devant être un très grand succès, tant par la qualité des matériels qui y seront présentés que par le nombre des exposants inscrits à ce jour.

En dehors des Inscriptions déjà reçues de toutes les maisons françaises, le Comité d'organisation du Salon a enregistré les adhésions des plus importantes firmes d'Angleterre, des Etats-Unis, des Pays-Bas, de Pologne, de Tchécoslovaquie et de l'U.R.S.S. L'aviation sportive

<+> L'Association générale des Sociétés d'assurances accidents, dans le but de manifester l'intérêt qu'elle porte au développement de l'aviation privée, a décidé de créer le « Rallye du lloggar ». L'organisation de ce premier rallye sera confiée à l'Aéro-Club de France en collaboration avec l'Aéro-Club d'Algérie.

Cette épreuve de régularité et d'adresse réservée aux seuls avions de tourisme, aura lieu suivant le code sportif de la Fédération aéronautique Internationale.

En raison des difficultés d'hébergement et d'alimentation dans les oasis sahariennes, le nombre des équipages sera limité à vingt 5 pour les appareils étrangers, 10 pour les appareils de la métropole, et pour les avions de l'Afrique du Nord.

Les équipages devront se composer de deux personnes au moins et de trois personnes au maximum.

Avant le départ, les concurrents devront présenter un certificat de cylindrée et un certificat de navigabilité. Les engagements seront ouverts à partir du premier octobre. L'aviation militaire

̃+ Dix-sept avions de bombardement Amiot 143, bimoteur Gnome et Rhône K 14, de la base de Mourmelon, ont accompli en trois mois 1.000 heures de vol pour les avions et 2.000 heures pour les moteurs. Vingt avions de bombardement Bloch 200, bimoteur Gnome et Rhône K 14, ont survolé Sedan à l'occasion d'une fête aérienne lors de l'inauguration d'un nouveau terrain d'aviation.

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Demain, au Tremblay, sera courue, en septième course, la première épreuve nationale de la Préparation militaire

Le public habituel des courses parisiennes aura l'occasion d'assister demain, sur l'hippodrome du Tremblay, à une innovation dont l'intérêt ne saurait lui échapper. Il sera ce jour-là disputé en septieme course l'Epreuve Nationale qui sert de couronnement aux épreuves régionales de la Préparation militaire disputées dans le courant de l'année en province où elles ont remporte le plus grand succès. épreuves spé-

L'heureuse initiative de ces épreuves spéciales revient à M. Max Sicard, président de la Société des Courses de Toulouse qui, avec l'aide du général Lafont, a su, l'an dernier, en faire admettre le principe par le ministère de la guerre.

Dès cette année, la Fédération nationale des Sociétés de Courses, comprenant la portée utile de ces épreuves, a décidé de les prendre à son compte et de les subventionner un commission spéciale a élaboré un règlement que l'autorité militaire a sanctionné et, en 1936, 24 sociétés de province ont inscrit à leur programme une de ces épreuves régionales.

Par son programme d'origine, Il était indiqué que la Société de Sport de France fasse disputer sur l'hippodrome du Tremblay l'épreuve nationale annuelle à laquelle sont seuls qualiliés les vainqueurs des épreuves régionales.

Seize de ces vainqueurs sont inscrits pour l'épreuve nationale de demain, dont les chevaux sont fournis par le 6. dragons. De plus, une coupe-challenge, offerte par ie e, colonel Fresson, vice-président de l'Union des Sociétés d'équitation militaire de France, sera remise chaque année à la société de préparation militaire dont le représentant aura gagné l'Epreuve Nationale et conservée par elle en dépôt jusqu'à l'année suivante. Elle sera définitivement attribuée à la société de préparation militaire dont les représentants 1 auront gagnée trois fois en dix ans.

Voilà une septième course», à laquelle nous applaudissons de grand cœur. Tout GOLF

L'activité sur les links Au Golf Club de Tours

Meeting d'Automne. Prix de l'Univers dames 18 trous medal play 1. Mme Rog'e: André (24) 75; 2. Mme Mercier (8) 79. Prix des Saules (dames Hep 24 et au. dessus, offert par Mlle du Soulier) I Mme Margules' (34) 77- 2. Mme M, Saillan (28) 78; 3. Mme Ebrard (26) et Mme Ri cbard (28) 80.

Prix de Marmoutler (messieurs contre bo gey) 1. Dellg-ny (13) 2 up; 2. M. Saillan (0) et Richard (10) all square.

Coupe de Touraine (dames et messieurs bog-ey aux points) 1. Margules (3) 39 2. P Rodot (6) 37; 3. G. Hoppenot (3) e Richard (10) 35; 4. Bourtn (scr.) 33. Prix de Beaumont (course au drapeau) 1. Mme Max Delagrave (15) 19» trou; S Mme Ebrard (26) 20 m. du 19'; 3. Mme K Siilllard (28) 150 m. au 19*.

Coupe du Grand Hôtel (18 trous, dame et messieurs) 1. Margules (3) 70; 2. Bou rin (scr.), Deltgny (14) et Richard (13) 7< Coupe du Soulier (Mlxed Foursome) dttoi-nnales Mlle du Soulier-Marg-ules 1 Mme et M. Hoppenot 2-1 Mme et M. Mal tre b. Mme .Mercier-Pierre, 2-1. Finale M. et Mme Maltre b. Mlle du Sou lier- Margules, 3 et 2.

Prix de Consolation (Mixed Foursome) 1. Mlle Leroy-P. Rodot (9 1/2) 74 1/2 2. vicomtesse du Soulier-Heurtault (14) 7( 3, Mme Ebrard- Bourin (12) 77.

Prix des Premiers Pas (messieurs hc 20 et au-dessus) 1. Lacape (26) 75 2. Lierrring (34) 76; 3. Dubois (34) 94. 1 Au Golf de Fontainebleau

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