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Titre : Figaro : journal non politique

Éditeur : Figaro (Paris)

Date d'édition : 1936-06-18

Contributeur : Villemessant, Hippolyte de (1810-1879). Directeur de publication

Contributeur : Jouvin, Benoît (1810-1886). Directeur de publication

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34355551z

Notice du catalogue : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb34355551z/date

Type : texte

Type : publication en série imprimée

Langue : français

Format : Nombre total de vues : 164718

Description : 18 juin 1936

Description : 1936/06/18 (Numéro 170).

Description : Collection numérique : BIPFPIG63

Description : Collection numérique : BIPFPIG69

Description : Collection numérique : Arts de la marionnette

Description : Collection numérique : Commun Patrimoine: bibliothèque numérique du réseau des médiathèques de Plaine commune

Description : Collection numérique : La Commune de Paris

Description : Collection numérique : France-Brésil

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k4091522

Source : Bibliothèque nationale de France

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 15/10/2007

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LA THESE DE M. BLUM

M. Léon Blum a présenté au Sénat une thèse que l'on résumera comme suit

1 1 '1

La part des salaires dans le prix de revient d'une marchandise n'est ni dominante ni uniforme, elle n'influe pas sur le prix de vente dans une proportion décisive, puisque, au cours de la crise, les prix de détail n'ont pas baissé en proportion de la baisse des salaires

Pour obtenir qu'une hausse des salaires ne fasse pas monter les prix, il faut multiplier le nombre des unités de marchandises à produire, de manière à diminuer la part proportionnelle du salaire dans le coût de chaque unité

Par conséquent, en relevant les salaires, on peut augmenter la consommation sans aggraver la cherté. C'est la doctrine que les Etats-Unis professèrent et vécurent, non depuis M. Roosevelt. mais avant M. Roosevelt.

Pourquoi, après quelques années brillantes et dans les conditions les plus favorables, a-t-elle finalement échoué ? o

La première cause et la plus profonde de l'échec fut dans ce fait quand la production est très abondante, hypothèse nécessaire, comme le dit M. Blum, pour que les hauts salaires ne provoquent pas une aggravation de la cherté, le prix de vente de la marchandise dépend, non de ce que demande le producteur, mais de ce que peut off rir le consommateur.

Cela bien compris, à savoir que le haut salaire commande une production très abondante et que la production très abondante ne peut s'écouler qu'au gré du consommateur et à la mesure de son revenu, nous touchons à l'essentiel le revenu ou la capacité de payer des différentes catégories de consommateurs. Là est la ligne de rupture.

Aux Etats-Unis, les hauts salaires industriels favorisaient directement à peu près le tiers de la population, les familles associées de près ou de loin, soit au travail, soit aux profits de l'industrie.. Un autre tiers s'adaptait tant bien que mal, en partie grâce à des spéculations mobilières ou immobilières. Mais le dernier tiers les trente ou quarante millions d'agriculteurs cessa bientôt de suivre l'agriculture, de plus en plus écrasée par les prix industriels et de moins en moins rémunérée à cause de son excédent de production, emprunta colossalement, puis fit faillite. Cette faillite entraîna tout le système, y compris la Bourse, l'industrie et les salaires industriels.

Chez nous, quelle est la part de la population qui peut bénéficier directement de la hausse des salaires ou ajuster sans trop de retard son revenu au niveau de cette hausse ? Peut-être le quart. En tout cas, ni les agriculteurs, tant que leur production comporte un excédent par rapport à la capacité de consommation du marché intérieur, ni les gens des professions libérales, soumis à une concurrence spéciale, ni les propriétaires d'immeubles, petits ou grands, ne peuvent ajuster leur revenu rapidement à une hausse des frais de fournitures et de travail. Par conséquent, toutes ces catégories, bien plus nombreuses ensemble que la catégorie industrielle, risquent de défaillir.

Une théorie économique ne tient dans les faits que si elle épouse la diversité de structure sociale de chaque Etat ou nation.

Lucien ROMIER.

EN 4° PAGE

LE CARDINAL TISSERANT

reçoit aujourd'hui le chapeau Par GEORGES GOYAU

de l'Académie française

LE BAROMETRE BOURSIER

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Lire en page 7 LE FIGARO

ECONOMIQUE ET FINANCIER »

LE TEMPS PROBABLE Région parisienne. Temps très cliaud, beau. nuageux, orageux par moments, principalement J'apres-midi. Vent Sud faible à

nio(lél'é.

Température stationnaire. Maximum 31 degrés.

Visibilité assez bonne.

Manche. Temps moins beau, nuagenx avec éclaircies assez belles; rares orages. Vent Sud-Ouest modéré.

iMer peu agitée.

Sud-Ouest. Temps chaud, nuageux avec belles éclaircies; orages isolés. Vent variable puis1 Ouest modéré.

Mer peu agitée.

Sud-Est. Temps instable. nuageux avec éclaircies, averses et orages. Vent Sud-Est modéré; température stationnaire.

Mer agitée.

Alpes, Pyrénées. Même temps que dans le Sud-Est. Température stationnaire. (Troi> l'évolution générale et la carte du temps « la page des Sports.)

LES PROJETS SOCIAUX LESENÂTÂV.OTÊ: L'aménagement

des décrets-lois

Les congés payés

IL EXAMINERA CE MATIN Le contrat collectif La semaine de 40 heures

Après la discussion si complète qui s'était engagée la veille, il ne restait guère place hier que pour des observations de détail sur les divers articles des projets soumis à l'examen du Sénat.

Les communes

et l'aménagement

des décrets-lois

L'aménagement des décrets-lois a préoccupé les membres de la haute Assemblée surtout à cause de leur incidence sur les finances des collectivités locales. Comment les communes arriveront-elles à faire face aux dépenses résultant de la suppression des économies que leur procuraient les décrets-lois et à l'augmentation que vont subir les travaux nouveaux qu'elles auront à entreprendre ?

Ayant posé ces questions, le rapporteur du projet, M. Le Gorgeu, s'étonna que le gouvernement ait réclamé des pleins pouvoirs alors qu'il les combattait si vivement lorsqu'il était dans l'opposition.

On sait que les sénateurs sont presque tous maires et souvent maires de petites communes, c'est dire qu'à quelque parti qu'ils appartiennent, ils viennent défendre les finances communales et protester contre l'intrusion du pouvoir central dans la gestion financière des communes. M. Linyer réclama en faveur des petits propriétaires auxquels on a imposé une diminution de 10 comme rançon des sacrifices imposés à d'autres.

M. François Saint-Maur voudrait qu'on tint compte des charges de famille des fonctionnaires.

Et on entendit M. Clamamus communiste pousser ce cri d'inquiétude.

Les budgets supplémentaires

LES JOURS SE SUIVENT

PEINT DANS LA RUE Il y avait hier sur la place du Palais-Bourbon, qui est une charmante estampe de Paris, il y avait un peintre. Non point un peintre en bâtiment et ce peintre ne repeignait pas la statue de la République, laquelle est devenue un peu pâle, depuis quelques jours, bien qu'on lui ait mis du rouge aux joues. Non, ce peintre peignait un tableau. Il avait installe son chevalet sur le trottoir. Et là, debout, sa palette déployée, il travaillait à reproduire l'entrée de la rue de Bourgogne vue de biais. Au premier plan, le store rose et crème du restaurant-marchand de vins, situé à l'angle de la place et de la rue; au second plan, l'immeuble d'un hôtel contigti de la maison descendit Stendhal lors de son arrivée à Paris, le cœur rempli d'imaginations, et l'imagination débordante de cœur. Le peintre, un grand jeune homme blond, indifférent à la chaleur, d'une touche alerte écrasait sur .sa toile de vives couleurs. Un enfant s'était arrêté, une ouvrière, un chien (un chien qui n'appartenait à aucun de nous, mais les chiens ont aussi leur curiosité). Et le jeune homme blond continuait de peindre, comme si nous n'avions pas été quelques badauds à le regarder, comme s'il n'avait pas eu derrière son dos la Chambre des députés, des automobiles entraient avec des chauffeurs à cocarde. Ce peintre m'a enchanté..l'apprécie les gens qui aiment leur métier et l'accomplissent avec un sympathique entêtement quelle que soit la nuance du jour. Il y en a toujours eu et, grâce au ciel, il y en aura toujours. Je ne pense pas seulement à David, qui, pendant la Révolution, s'installait dans la rue et prenait croquis des charrettes (ce dont il aurait pu d'ailleurs se dispenser) et qui, en

prison à son tour, au Luxembourg, signait les dessins qu'il faisait « David faciebat in vinculis », je pense à tant de gens qui se protègent instinctivement des secousses de la vie par une application quotidienne à ce qui est leur raison d'être. Le drame coiiteniporain réside, en partie, évidemment dajis la dureté machinale de certains métiers. Le film de Chaplin Les Temps modernes était prémonitoire à sa manière, et les livres de M. Georges Duhamel aussi. Les censeurs qui disaient de M. Georges Duhamel qu'il réagissait devant le machinisme comme un petit bourgeois français ne se rendaient pas compte qu'ils lui adressaient un compliment. Car cette réaction était, à vrai dire, celle de l'antique artisan qui aime le métier et frémit de le voir altéré.

Heureux le peintre qui se place devant un paysage et peut le confesser en oubliant, en ignorant ce qui se passe alentour. Nous tous qui avons une tâche à accomplir, manuelle, intellectuelle ou de quelque nature qu'elle soit, demeurons lui fidèles avec un amour d'autant plus accru qu'elle peut être menacée. Ce jeune homme m'a paru exemplaire. 17 juin 1936. Peint dans la rue, pourra-t-il signer, ce qui est (en attendant) un progrès sur la prison de David. G uer mantes.

vont être votés. Mais où trouver les moyens financiers ?

Hélas il n'y aura pas que les communes qui seront embarrassées de trouver des moyens financiers. M. Vincent Auriol répondit. Il remercia la commission des finances de sa bienveillance et annonça que le gouvernement acceptait l'addition proposée par elle. On sait que la commission a décidé de fixer au 31 octobre la date à laquelle expirera l'autorisation accordée de prendre des décrets d'application.

Le ministre des Finances annonça qu'il allait faire sans plus attendre le bilan de la situation financière. Pour le présent, il se bornera à traiter la question de l'aménagement des décrets-lois et à répondre aux questions soulevées. Il promit de s'intéresser aux petits propriétaires, d'aider les communes pour la convertibilité de leurs emprunts. Enfin, il demanda crédit pour le retour à la situation antérieure des communes un brutal retour, en arrière pouvant les mettre dans l'embarras.

(Suite page 4, colonne 2)

.00

LES « MILICES » DES LIGUES

vont être dissoutes La décision sera prise au Conseil de cabinet de ce matin

Le Conseil de cabinet fixé pour aujourd'hui 10 heures à l'hôtel Matignon pourra-t-il avoir lieu en raison de la séance de ce matin au Sénat ? Officiellement, hier, au début de la soirée, cette délibération gouvernementale était maintenue. On annonçait qu'elle serait peut-être écourtée du fait que M. Vincent Auriol représenterait le ministère au Sénat et qu'il se trouverait ainsi dans l'impossibilité d'exposer à ses collègues du Cabinet le bilan financier de la précédente législature.

En l'absence du ministre des finances, le Conseil sera-t-il également à même de discuter de façon utile le projet de réforme des statuts de la Banque de France et le projet de nationalisation des industries de guerre ? Il ne resterait plus à l'ordre du jour que l'examen des décrets préparés par le ministre de l'Intérieur, en accord avec le garde des Sceaux, et concernant la suppression des « milices » formées dans certains groupements. Ces décrets, pris conformément à la loi du mois de janvier dernier sur la dissolution des ligues, doivent être délibérés en Conseil des ministres. Aussi, dans le cas où le Conseil de cabinet pourra se réunir ce matin pour la mise au point des textes des deux décrets, un Conseil des ministres aura lieu au début de l'après-midi à l'Elysée.

UN TOUR D'HORIZON INQUIETANT LES NATIONS EUROPÉENNES DEVANT LA CRISE

IN TÉRIEURE FRANÇAISE

L'affaire du 7 mars a été un coup dur pour la France. Notre position en Europe s'en est trouvée ébranlée. Mais pourquoi se le dissimuler ? les événements de la semaine dernière ont constitué un coup plus dur encore. L'absence apparente de toute autorité pendant les premiers jours de juin ces usines, ces magasins occupés ces drapeaux rouges qui surgissaient ici et là ces autos aux fanions écarlates qui traversaient Paris comme des trombes; ces hôtels qui se vidaient de leurs voyageurs, tout cela a créé au dehors une impression déplorable. D'autant plus que l'on exagère et que l'on dramatise toujours de> loin. On n'a pas compris, à l'étranger, ce qu'il pouvait y avoir de simple et d'humain dans ce mouvement social et quelle bonne foi incontestable ruisselait des masses elles-mêmes. On n'a pas vu qu'il s'agissait, de la part de ces masses, durement atteintes par la crise, de demander des améliorations de vie qui, dans bien des cas, étaient justifiées. Non, ce que l'étranger a retenu, c'est que le gouvernement avait été débordé et qu'il s'était fait lui-même le propre ouvrier de ce débordement. Ce qu'il a vu encore, c'est que gouvernement et majorité étaient menés tambour battant par l'aile marchante communiste.

LA LEVÉE des sanctions est approuvée par le cabinet britannique M. Eden l'annoncera

aujourd'hui

à la Chambre des Communes (De notre correspondant particulier, par téléphone.)

Londres, 17 juin. M. Antony Eden annoncera demain, sans la moindre équivoque, que le maintien des sanctions aggraverait l'état d'agitation dans lequel se trouve l'Europe et que le gouvernement britannique est en faveur de leur levée immédiate. Les grandes lignes de son discours ont été approuvées ce matin, au cours de la séance de Cabinet. Aucune opposition ne s'est élevée contre cette décision.

Les raisons de la décision

'Y'

Le raisonnement que tiennent les Anglais est le suivant les sanctions étaient dirigées contre un agresseur elles pouvaient se révéler un moyen de parer à la guerre mais aujourd'hui les opérations sont terminées et aucune pression ne peut être faite contre le peuple victorieux. La savante machine est brisée il vaut mieux l'admettre, plutôt que de s'enfoncer vers la débâcle.

Londres est en froid

avec Berlin

M. Eden fera demain des allusions très précises à l'Allemagne. La mau- I vaise volonté du Reich et, si j'ose dire, son impolitesse à ne pas avoir répondu dans un délai normal au questionnaire britannique, a montré au Cabinet anglais à quel point le projet de la Grande-Bretagne était affaibli et qu'il était temps de repartir de l'avant.

On a pu croire quelque temps que l'échec de la S. D. N. allait entraîner un rapprochement vers l'Allemagne. On y songea à Londres un moment. Mais, bien au contraire, les rapports anglo-allemands ont été rarement plus froids qu'aujourd'hui et l'inquiétude qu'on éprouve au sujet de Berlin est justement l'une des causes de rapprochement avec l'Italie. Ce rapprochement sera lent et difficile. Mais l'on espère toujours ici qu'un délégué italien se joindra à la Conférence de Montreux et qu'il sera possible de préparer la négociation d'un pacte méditerranéen, qui serait signé dès octobre prochain.

Mais pourquoi le gouvernement britannique annonce-t-il pour demain une décision qui devrait être prise collectivement à Genève ? Il y a deux raisons L' « indiscrétion » de M. Neville Chamberlain obligea le gouvernement à se couvrir devant son opinion le plus vite possible et, à la demande de l'opposition, de faire une déclaration précise sur sa politique extérieure 2° il a paru au Cabinet que c'était la meilleure façon de ne pas se perdre à Genève dans des discussions sans fin et de gagner un temps précieux pour qu'une décision rapide soit prise et que l'on puisse examiner sans délai les moyens de réformer la S. D. N., c'està-dire d'entamer sur-le-champ la négociation de pactes régionaux qui ne sont, pour l'Angleterre, qu'un prétexte à s'éloigner le plus possible des affaires de l'Europe.

Gérard Boutelleau.

Par WLADIMIR D'ORMESSON

Et, en lisant tels discours qui ont été prononcés ces jours-ci, on se demande alors, hors de France, si ce qui s'est passé la semaine dernière est une crise sans lendemain ou simplement le début d'une série d'accidents qui conduiront on ne sait où.

Or, ce qui est grave, ce n'est pas seulement que de telles circonstances aient porté une atteinte à l'autorité que la France doit exercer en Europe, que la presse officieuse britannique puisse se permettre sur notre compte des appréciations comme celles du Daily Teleqraph avant-hier et du Daiïy Mail, hier, et que nous avons l'air, sur le plan international, de traîner misérablement à la remorque des autres. Ce qui est grave, c'est que l'on commence à se détourner de la France comme d'un malade contagieux. L'Angleterre s'y essaye. Son cas, d'ailleurs, est curieux et prouve, une fois de plus, ce qu'il v a d'inconséquent dans la politique britannique. Il ne fait aucun doute que nombre de dirigeants anglais ont souhaité en France l'avènement d'une formation très axée à gauche. Ils comptaient ainsi trouver, sur le plan idéologique, des appuis concrets. Mais quand l'Angleterre a vu la tournure que prenaient les choses chez nous, elle a aussitôt rectifié son

VERS LA FIN DES GREVES De nouveaux accords sont intervenus,

d'autres sont prochains Une solution en vue

dans le conflit

des grands magasins

Un accord est intervenu hier entre la Société d'encouragement et les jardiniers et hommes de piste des champs de course, entre les délégations ouvrière et patronale des Compagnies d'assurance, entre le syndicat des maîtres imprimeurs et les représentants ouvriers.

Un accord semble proche, comme on le verra plus loin, aux magasins du Louvre.

Un accord provisoire a mis fin à la grève du personnel de la Cité universitaire.

Les délégués de la chambre syndicale des industries techniques de la cinématographie et ceux du syndicat général des travailleurs de l'industrie du film sont.tombés d'accord sur les salaires minima et sur les pourcentages d'augmentation. Des points litigieux demeurent encore en suspens, mais on espère que le travail reprendra ce matin. Menace de grève

dans l'électricité

Les ouvriers de la C. P. D. E. se sont réunis hier après-midi. Après examen de la situation, ils ont enregistré que leurs revendications n'ont pas été prises en considération par l'administration de la Société. Ils ont décidé de demander à M. Roger Salengro. ministre de l'Intérieur, de les réunir aujourd'hui avec les délégués de la direction, manifestant l'intention de déclencher la grève s'ils n'obtenaient pas satisfaction. (Suite page 3, colonnes 5 et 6.)

UNE ENTREVUE aura-t-elle lieu entre Hitler

et le chancelier Schuschnigg ? (Lire l'article en troisième page) A TRAVERS LE COMMERCE PARISIEN DUREMENT FRAPPE SAUVERA-T-ON' AUSSI

L'INDUSTRIE DE LUXE? (Lire l'article en quatrième page) UN GRAND MATCH

DE BOXE A NEW-YORK JOE LOUIS

CONTRE SCHMELLING (Ce soir à 21 h. 45 heure américaine soit cette nuit à 2 h. 45 heure française)

(Lire les détails en rubrique sportive)

jugement. Aujourd'hui, ce qui prime tout, dans les cercles officiels d'outre-Manche, c'est la crainte que la flambée socialocommuniste française ne gagne un jour la Grande-Bretagne et n'ait des répercussions dans les colonies. Aussi le « reflexe intérieur » anglais l'emporte-t-il aujourd'hui sur le « reflexe extérieur ». La Grande-Bretagne, éternel balancier, qui se méfiait hier du pro-italianisme français, se méfie à présent de notre pro-communisme et considère l'Italie avec des yeux tout différents.

En Belgique, où nos actions ne sont guère brillantes depuis quelque temps (le pacte franco-soviétique, l'affaire du 7 mars, y sont pour beaucoup), les journées parisiennes du début de juin ont produit une impression détestable. Et cela d'autant plus que le mouvement gréviste, à peine apaisé chez nous, s'est aussitôt propagé en Belgique. J'ai déjà entendu des amis belges me dire que ce qui se passait chez eux (et qui menace de ruiner l'expérience van Zeeland et de jeter la Belgique dans une nouvelle impasse) était entièrement de notre faute et que l'absence d'autorité gouvernementale en France pour couper court à ces incidents en était responsable. JSuite page 3, colonne 1.J»,

CHEOlsTIQUE

SUR LE TAS par 3Vt-A.XJI=tIC:E: T=>OJSnSTArsr de l'Académie française.

Dimanche dernier, à la campagne aux environs de Paris, chez de braves gens, j'ai causé avec une jeu- ne femme employée dans un grand magasin de la capitale et qui avait obtenu la permission, ce jour-là, de venir voir son enfant chez ses grands parents. Elle m'a raconté qu'elle était enfermée depuis dix jours avec des centaines de camarades, qu'elle ne pouvait sortir que le soir pour aller coucher chez elle que, chaque matin, elle était obligée de se faire porter « rentrante », etc., etc.

On sait que nos rêves les plus bizarres ne sont le plus souvent qu'une interprétation déraisonnable de la réalité. Pour avoir causé avec cette jeune femme de la grève sur le tas, j'ai fait, la nuit suivante, ce rêve étrange.

Nos députés étaient en greve. un îe savait pas comment la chose était urivée. Après une séance qui s'était déroulée dans le plus grand ;alme, une douzaine de personnages. entrés on ne sait comment, veius on ne sait d'où, avaient circulé parmi les représentants du peuple, ^lissajit dans l'oreille des meilleurs îomme un mot de désordre, avec un léger accent étranger. Aussitôt toutes les issues avaient été fermées tous les députés étaient prisonniers, y compris les modérés auxquels, est-il besoin de le dire ? on n'avait pas demandé leur avis. Cependant, le public qui durant la séance garnissait les tribunes, avait pu sortir. Mais qui étaient ces hommes au léger accent étranger à qui tout le monde obéissait ainsi? Personne ne le savait. M. Léon Blum lui-même l'ignorait, M. Maurice Thorez gardait le silence, et le visage de M. Edouard Herriot trahissait son inquiétude. Il y avait de quoi. Ces étrangers n'avaient-ils pas ordonné aux députés d'exiger la semaine de quarante heures, quinze jours de congés payés et une augmentation de salaire ? En vain, les parlementaires les plus habiles avaient essayé de parlementer avec les meneurs. « Mais nous avons déjà tout cela, expliquaient de vieux radi-

caux. Quinze jours de congé Vous voulez rire, quand nous avons trois mois, quelquefois quatre, sans compter les absences fréquentes sans motif, et ces chères séances du matin où des lois importantes sont parfois discutées devant vingt-trois collègues et votées par trois cent vingt-trois voix II est vrai, poursuivaient-ils, que tous ces temps-ci nous travaillons plus de quarante heures par semaine. (Oh oui, soupirait M. Léon Blum, dont les traits étaient un peu tirés) mais ce n'est qu'un moment à passer, les beaux jours reviendront. Non, si nous avions des revendications à formuler, ce serait plutôt quant à l'indemnité qui est maigre, on vous l'accorde. Mais à qui demander de l'augmentation ? Au patron ? Lequel ? Nous sommes les patrons nous sommes nos propres maîtres. Nous la voter nous-mêmes, cette cette augmentation ? Nous croyons qu'en ce moment il vaut mieux n'en point parler. Le peuple souverain, par la volonté de qui nous som.mes ici, nous jugerait mal. Vous voyez bien que nous n'avons rien à réclamer. Alors, laissez nous sortir. » Vous êtes ici par la volonté du peuple, disaient les étrangers, vous n'en sortirez que par notre bon plaisir. »

Les heures passaient le ministre préposé aux loisirs de la nation pouvait à loisir faire des études sur la façon dont des hommes assemblés tâchent à se distraire. A la buvette, on ne pouvait consommer que de la bière et des sirops. Ordre des étrangers. Quelques-uns du Front commun jouaient à la belote quelques conservateurs jouaient au bridge ou faisaient des mots croisés. Distractions artistiques ? Un fin diseur voulut réciter La Grève des forgerons. Il n'avait pas dit quinze vers qu'on le fit taire. On trouvait cette forme de grève démodée. Un honorable, qui était vénérable dans une grande loge de province, eut plus de succès en chantant un air d'un vieil opéra-comique, Le Maçon, qu'il avait entendu dans son enfance, chanter par son grand-père Du courage,

A l'ouvrage

Les amis sont toujours là.

De vieux députés qui, pendant les législatures précédentes, s'étaient montrés hostiles au vote des femmes et à leur égibilité, regrettaient amèrement leur antiféminisme.

S'il y avait eu là des femmes, on aurait pu danser, comme dans les grands magasins.

Les heures passaient les portes

étaient toujours fermées. Devant l'intransigeance des étrangers, quelques socialistes, ainsi privés de toute liberté républicaine, commencaient à chuchoter entre eux « Nous n'avons pas voulu cela nous sommes débordés. » Et, bientôt, tous répétaient sur l'air des lampions « Débordés, débordés, débordés »

Cette clameur imaginaire me réveilla.

Maurice Donnay,

de l'Académie française.

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LA BOURSE DÉCOURAGÉE

Depuis trois mois, le marché des valeurs a subi des pertes énormes. A l'exception de deux ou trois séances, il ne s'est pas abandonné à la panique. Mais sa résistance diminue presque de jour en jour. Comme il continue d'exister un découvert appréciable à la hausse, la position de la Bourse ne laisse pas de devenir préoccupante.

Ce qui l'affaiblit, c'est d'abord la situation générale. C'est ensuite l'inconcevable contradiction d'une politique, dont le seul résultat actuel est d'additionner tous les inconvénients d'une déflation sans espoir et d'une inflation sans issue. Avant très peu de jours, les faits mettront fin à ce paradoxe insupportable. L'important est que, dans l'intervalle, le découragement ne gagne pas, au point d'être irrésistible.

D'où proviennent les ventes qui, en l'absence de tout achat, pèsent si lourdement sur la cote '?

Il y a lieu de faire état, pour une part, du dénouement des opérations à la hausse sur les Rentes et, dans une moindre proportion, sur les valeurs françaises. Dans ces liquidations onéreuses, la crainte d'un avenir pire que le présent joue d'ailleurs peu de rôle. Mais le prix exorbitant de l'argent rend l'attente elle-même trop coûteuse.

Les ordres de l'épargne, bien qu'ils ne soient pas considérables, ne sont pas négligeables. En certains cas, le porteur est dans l'obligation impérieuse de se procurer tout de suite, et n'importe comment, des disponibilités. Plus souvent, c'est la peur qui fait entendre ses mauvais conseils.

Pratiquement, le choix est entre une émigration complète et lointaine des biens et des personnes, et la lutte sur place pour les intérêts, indissociables par définition, de la communauté nationale et des individus. La morale mise de côté, chacune des deux décisions possibles souffre d'être discutée. Ce qui est certainement absurde, et impossible, c'est d'avoir la prétention de jouer, à la fois, sur les deux tableaux.

F.-F. Legueu.

UN REFUS de la Suisse à M. Jouhaux

Il devait participer

à une manifestation

syndicale à Genève

les autorités fédérales

s'y opposent

Un incident révélateur s'est produit hier à Genève. Le département fédéral de justice et police a, sur la proposition du parquet fédéral, refusé à M. Jouhaux le droit de participer à la manifestation qu'avait organisée à Genève l'Union des syndicats à l'occasion de nos grèves. Cette décision fut prise « pour des raisons de sécurité et de neutralité du pays, la participation d'étrangers comme orateurs à des manifestations politiques sur le territoire suisse, et relatives à des questions de politique intérieure d'autres pays étant jugée indésirable.

M. Jouhaux opposa que la mesure prise contre lui « n'était pas justifiable » car il n'avait dessein que « d'informer objectivement ses camarades suisses sur la situation en France et cela pour écarter de fausses interprétations ».

La qualité des intentions de M. Jouhaux n'est pas visée et ce n'est pas ainsi que se présente le débat. Qu'il soit permis d'y voir une conséquence encore une de la période d'agitation qui étiole notre pays. Cette agitation nous porte à l'extérieur un préjudice dont on enregistre quotidiennement la trace dans la presse des autres Etats ou dans des décisions auxquelles la France, la France de la tranquillité et de l'ordre, n'était pas habituée. La Suisse, dont on connaît la vigilance à l'égard du communisme, entend ne pas laisser importer, sous quelque forme que. ce soit, le désordre. Elle est juge de ses moyens de protection.

Une manifestation se déroulerait sur notre territoire, à Annemasse, mercredi, afia de donner corps à la protestation de milieux syndicalistes suisses. Des paroles imprudentes n'arrangeraient rien. Que l'occasion ne soit pas fournie d'en prononcer Une dépèche de Varsovie arrivée cette nuit à Paris prouve que les idées au pouvoir en France ne sont pas appréciées en Pologne plus qu'en Suisse.

Gaétan Sanvoisin. •̃•


Les Echos

te socialisme et tes Lettres. MM. Léon Blum et Morizet échangeaient quelques propos, hier, avant la séance du Sénat. Ils parlaient avec quelque animation et ceux qui s'approchèrent purent recueillir le mot « Père-Lachaise ». On crut qu'ils évoquaient le souvenir de ce dimanche récent où ils assistèrent l'un près de l'autre au défilé du Mur des fédérés. Mais non. M. Morizet. qui est un balzacien fervent, et qui vient d'être élu membre du Comité supérieur d'aménagement 'de la région parisienne. rappelait au président du Conseil qu'il avait été le seul parlementaire présent à la dernière commémoration, au Père-Lachaise, de la mort de Balzac.

Défense de trop observer.

1 Des savants français se sont rendus en U. R. S. S. afin d'observer l'éclipsé de soleil qui sera spécialement visible, vendredi prochain, de/Sibérie. L'un d'eux vient d'écrira aux siens que sa plus grande surprise lui fut procurée jusqu'ici par la douane soviétique, laquelle fit ouvrir sans dissimuler ses soupçons les bagages et même les caisses contenant les appa:reils de nos compatriotes. Ceux-ci manifestèrent leur étonnement Nous voulons nous assurer, fit un fonctionnaire rouge, que vous ne venez pas observer autre chose que

le soleil..

--Les Soviets ne redoutent rien tant, en effet, pour les observations faites chez eux, que la rigueur mathématique.- Surtout en Sibérie.

Montreux n'existe pas.

Aussi surprenant que cela puisse paraître, la localité de Montreux, où va se tenir la conférence des détroits, n'existe point administrativement.

En effet, la station balnéaire du lac de Genève est composée de trois petites communes qui sont Le Châtelard, Les Planches et Veytaux. Il n'en reste pas moins vrai que, -du seul point de vue. diplomatique. Montreux existe.

f

Les conférences de « Femina ». Dans le tableau des conférences de Femina au Salon de la Beauté, une erreur et une omission se sont produites. La conférence d'Elizabeth Arden annoncée pour le 27 juin aura lieu le lundi 29 et c'est Mme Arsentiria, la grande artiste, qui, le 27, fera pour la première fois une conférence. Le sujet de cette causerie illustrée par le mouvement, et qui sera un événement très parisien, est :« Le langage des lignes ».

A l'Opéra.

On se rappelle que la direction de l'Opéra a fait des récentes représentations de Gisèle (ou Giselle, selon l'orthographe choisie par la maison) une épreuve publique pour les danseuses « grands sujets » les mieux douées. La dernière des trois concurrentes, Mlle Dynalix, a affronté la rampe, l'autre soir, dans ce rôle périlleux et, tant par ses qualités de grâce que de technique, y a remporté le plus brillant succès. Les amateurs de danse d'école peuvent être tranquilles l'avenir du ballet de l'Opéra ne laisse aucune inquiétude. > t

L'inutilité des défenses.

Le mur du musée Rodin qui donne sur le boulevard des Invalides est couvert d'affiches. Et au-dessus on peut lire en gros caractères: « Affichage interdit >.

conseiller municipal, M. de Puy- maigre s'en est étonné et a signale le fait à la police municipale. Et on lui a fait cette réponse stupéfiante, prodigieuse « Rien à faire, car la partie du mur où l'affichage est interdit a été concédée à une société de publicité. >

T 11

ingéniosité.

Le jockey Rochetti, distancé dans les courses d'ânes parce que sa monture s'était trop longtemps attardée devant une haie pourtant bien modeste, s'exclamait à l'arrivée -Pourquoi l'année prochaine ne pas faire des haies en chardon comestible ? Nos ânes, pourraient manger l'obstacle.

Galanterie.

Au cours de la journée hippique des artistes, hier, au Tremblay, plusieurs des jolies concurrentes du Tournoi des cavalières furent désar- çonnées fort rudement par leurs montures. •; j Pressé d'apporter à la foule des impressions humoristiques, le speaker s'approcha du micro

Les concurrentes qui viennent de tomber sont mesdemoiselles. Alors le président de la Société de< sport de France lui tapa doucement sur l'épaule

–Je vous en prie, ne dites pas leurs noms.

Et nul ne saura quelles sont les trois blondes-artistes qui se retrouvèrent. ébahies, sur 1 herbe grasse de la piste.

Le Masque de Fer.

0 -0 Poo

Ea fûÉrrièe

ta Flamme du Souvenir

A 18 b. 30, à l'Arc de Triomphe Association nationale des croix de guerre. Conférences

21 li aux Ambassadeurs: « Où va la France »,-par M. Paul Reynaud.

Réunions:

Réunions^. 30, avenue de la Belle-Gabrielle, au bols de Vincennes Visite de l'institut national d'agronomie coloniale, par le génie

frança15'.

20 h. 30, 24, Saint-Victor Grande manifestation familiale (Ecole, Famille, Patrie), sous la présidence du général Weyg-and.

Expositions 15 h., 293, avenue Daumesnil rétrospective Octave Moullot (vernissage). 83 Faubourg-Samt-Honoré Cent ans tte théâtre. (Clôture le 15 Juillet). Au Grand-Palais Le Salon.

Au Petit-Palais Gros. ses amis et

ses élèves.

A l'Orangerie des Tuileries Cézanne. 37, boulevard Jourdan Groupe des Beaux-Arts de la Cité universitaire. A l'Ecole nationale des Beaux-Arts Artistes anciens combattants.

5, boulevard Montmartre Exposition artisanale.

128, Faubourg-Saint-Honore: Portraits français de 1400 à 1U00. (Clôture le

30 7uAi):

Au Musée des Arts décoratifs, 107, rue de Rivoli: La vigne et le vin dans l'art. A Saint-Denis, 4, place de la Léflon-d'Honnour Exposition J.-B. Clément ,<L'&près-inldi).

37, avenue de Friedland Œuvres réoMtei lie .William Malherbe. (Clôture le

,1. Juin).

-i"llï, avenue des Champs-Elysées Art et artisanat de La Bouée ».

Les courses

^«=f-A.ii fieurss Long-champ.

l^M W I E gfcMI N1WE Et- MONDAIN E

AUJOURD'HUI 1, Mariages. 14 heures' Mlle Jacqueline Mlrabaud et le baron Christian de Waldrier de Freudsteln (Eglise de l'Etoile). Réceptions. 16 h. 30 Mme Albert Sevenc..

Bienfaisance. 14 h. Fête de ,bienfal-,sance pour les •« Petits Pâlots » au grand' air (Tour Eiffel)'.

Cercles. 21 h. Dîner de gala et fête artistique dans les jardins â 22 h. 45 (Cercle interallié).

Deuils. 9'n. Obsèques de Mme Paul' Santar (Saint-Pierre du Gros-Calllou). 11 h. Obsèques de Mme Albert Mulot (Notre-Dame de Grâce de-Passy). 11 h.: Obsèques de M. Léon Clairin (Saint-Germain des Près).

11 heures, Obsèques' de M. Athanase Vagliano (Eglise grecque, rue Gorges-Blzet).

DANS LES AMBASSADES

̃ S. Exc. l'ambassadeur de France 1 près le Saint-Siège et Mme CharlesRoux viennent de donner, au palais Taverna, un grand dîner auquel assistaient S. Em. le cardinal Maglione, S. Em. le cardinal Binèt, S. Exe. Mgr Legouaze, arche- vêque de Port-au-Prince; S. Exc. Mgr Tardini, de la secrétairerie d'Etat le R. P. Gillet, maître général des Dominicains LL. EExc. Mgr Boudinhon, Mgr Julien, Mgr Fontenelle, Mgr Vidal,' Mgr Cesarini, Mgr Leprètre, le R. P. Frey, .les principales personnalités religieuses de Rome, ainsi que M. Emile Mâle; de l'Académie française; le général Parito, le commandant Delarosière, etc..

S. Exc. l'ambassadeur du Japon et Mme Sato viennent de donner, eh l'hôtel dé l'ambassade, un dîner auquel étaient invités

S. Exe. l'ambassadeur de Pologne et Mme de Chlapowska, Mme et Mlle Sùad Davaz, le ministre et Mme Piétri, :1e général et Mme Nollet, le général Gouraud, l'amiral et Mme Durand-Viel, la comtesse d'Esclaibes d'Hust, le général et Mme Brissaud-Desmaillet, le général et Mme Chardigny, M. Dulignier, M. et Mme Relié Fould, M. Girod de l'Ain, M. Mitant.

S. Exc. M. H. Laraque vient d'être nommé envoyé extraordinaire et ministre plénipotentiaire d'Haïti à Rome. Entré à l'Ecole navale de Brest (Borda) en 1898, il en sortit en 1900 et partit pour Haïti, où il fonda une école de la marine. Consul à Sheffield, puis conseiller à la légation de Francs, M. H. Laraque a été désigné comme envoyé extraordinaire et ministre plénipotentiaire d'Haïti près le Quirinal. Il vient de partir pour Rome, où il présentera ses lettres de créance le 21 juin à S. M. le Roi d'Italie.

S. Exc. M. Laraque est accompagné par la doctoresse'H. Laraque M. Ernesto de Aguirre Ugarte, de la légation de la République Argentine, vient d'arriver à Paris.

.:•:̃'•̃,̃̃

DANS LE- MONDh

Mme Dussaud vient de donner une élégante réception. Reconnu

S. Exc. M. Oldenburg, ministre de Danemark S. Exc. M. Klimas, ministre de Lithuanie Mme de Souza Dantas, Mme Wellington Koo, Mme Cesiano, Mme Bachke, S. Exc. l'ambassadeur de France et la comtesse de Peretti de La Rocca, princesse de Ligne, née La Rochefoucauld duchesse de Cryssol, duchesse de La Force, duchesse de Bisaccia, duchesse de Mortemart," duchesse de La Roche-Guyon, princesse M. de Ligne, duchesse de Plaisance, née La Rochefoucauld; princesse Octave et princesse Marie de Broglie, duchesse. et princesse de Bauffremont, duchesse de La Mothe-Houdancourt, duchesse de Duras, princesse dé La Tour d'AuvergneLauraguais, duchesse de Plaisance, née Haussonvifle ;i princesse dcSùa Toùé d'AitvergneLauraguais, née Wagram princesse de Robech, dû'chés|ç* jie 'Cadayal,' princesse de Scey-Montbélia'rd, princesse François de Polignac, due de PaJignac, comtesse < A.- de Chabrillan, princesse A. Galitzine, duchesse de Premio Real, duc de Montmorency Comtesse E. et Mlle de Bonneval, princesse VVolkonsky, comtesse de Bruce, comtesse de Durfort, comtesse H. de Merode, comtesse L. de Clermont-Tonnerre, comtesse de Fels, comtesse H. de Mortemart, comtesse L. de Rohan-Chabot, comtesse de Caumont La Force, comtesse Brossaud de Juigné, comtesse E. de Bruce, vicomtesse de Noailles, comtesse de Clermont-Tonnerre, née Rohan'; Mlles de Luçay, comtesse de Montesquiou-Fezensac, marquise de Nicolay; comte et comtesse B. de-Gontaut-Biron, comtesse J. de Pange, comtesse G. de Bagneux, comtesse de Jumilhac, marquise de Monteynard, princesse Narischkine, comtesse G. de Gontaut-Biron, comte et comtesse de Savigny de Moncorps, marquise de Villehermose, née TalleyrandPérigord comtesse H. de Castellane, marquise de La Moussaye, comtesse des Roys, Mme Chiappe

Comtesse de Puymaigre, née Harcourt marquise de Venevelles, comtesse de La Tour du Pin-Chambly, comtesse de Vallombrosa, baronne de "Vaulgrenant, comtesse de Guichen, comtesse F. de Sabl'an-Pontevès, comtesse Jean d'Andigné, Mme Lescouvé, comtesse O'Gorman, comtesse G. Niel, comtesse M. de Lévls-Mirepoix, Mme Langeron, marquise de Chaum'ont-Quitry, M. et Mme Lara, baronne de Ràvlgnan, Mme Lucien Romier, marquis et marquise d'Auray de Saint-Pois, baron et baronne de Foùcaucourt, vicomtesse de Villiers-Terràge, comtesse de Villechalze, comtesse d'Yanville, comtesse Goethais, Mme Lassou, comtesse de La Laurencie, Mme Archdeacon, comtesse d'Arjuzon, marquis et marquise de Sayve, comtesse G. de Villoutreys, Mme Guernier Comtesse J. de Chanibrun, comte et comtesse' de Ligniville, baronne G. Reille, comtesse Allard du Chollet, princesse de Mésagne, M; et Mme de Fay d'Athies, comtesse de Villeneuve-Flayosc, née Montebello; comte et comtesse de Bertier de Sauvigny, vicom-

LA JOURNÉE HIPPIQUE DES ARTISTES AU TREMBLAY

Selon le rite immuable et charmant, la Journée Hippique des Artistes a vu se succéder hier au Tremblay, à l'issue d'une très belle réunion de la Société de Sport de France, les épreuves de trot et de galop pour artistes « hommes et dames et de course d'ânes pour « fines cravaches ». On y a même ajouté, cette année, une course de dromadaires qui obtint un succès triomphal. La fête s'est 'ouverte par un concours d'élégance féminine en automobile toilettes, carrosseries et sourires fleuris dans lequel Mlle Christiane Delyne

Les plus célèbres artistes de nos scènes* parisiennes ont prêté, hier, leur concours à cette fête qui obtint un brillant succès. Voici deux numéros qui furent particulièrement 1 applaudis à gauche, la course des dromadaires a droite, l'arrivée du steeple-chase d'ânes montes par nos jockeys les plus connus.

S. Ëxc. M. Jesse t Straus, ambassadeur des États-Unis (à gauche), a inaugure, hier, au château de Versailles, une plaque à la mémoire des 2.000 soLdats et marins français morts aux Etats-Ums pendant la guerre de l'Indépendance. Le général Gouraud (à droite) assistait à cette manifestation danutie franco-•̃̃'̃• amérScaine. >

tesse de Fëuelon; "comtesse de Sesmaisons, Mme de Fougères, vicomtesse Benoist d'A'zy,' vicomtesse de Buysieulx, Mme G. Bonnefous, Mme Bàudon de Môny, marquise de' Canisy, Mme tegueu, marquise de Rochemonteix, comte et comtesse de Walscli-Serrant, marquise de Mqussac, comtesse, dé Saint-Blanquat, comtesse de Rougé; M. et Mme P. Sabotier d'Espeyran, comtesse et Mlle de Waziers, Mme Chrissoveloni, comtesse de Vergennes, baronne de La Bastide, M, et Mme LambertDavid, comtesse L. de Villeneuve-Esclapon, Mme Tronchin, marquise de Ranst de SaintBrisson, M. et Mme Renaud'de La Templerie, baronne de Mandell d'Ecosse, Mme Labo.uchère, M. et Mme E. Bricon Comtesse de Lpisne* baronne de Berrijs, marquise du Drèsnay, comtesse de Lasteyrie, Mme Levée, baron et baronne B. de SainteSuzanne', Mme Chauvelot, vicomtesse d'Alton, Mme M. Pascal, Mme Bâtes Batcheller, Mlle B. de \'illeneu**e(-F.layosc. comtesse de Leusse, vicomtesse de Pitray, Mme Binet-Valmer, Mme Coppens de Fontenay, M. et Mme G. de Villers, Mlle de Téinçey, comtesse de Saint- Martin, Mrs E. Paul. M. et Mme, de Ritter d'Urendôrf, Mlle de Nion, prince Charles de Broglie, marquis de Caumont Là Force, baron Tossizza^ M. André de Fouquières, comté deSayve, comte de Causans, comte du Douët de Graville, M. J. Naville, M. Gonzalez de Andia, baron Sautereau, MM. Edmond Hesse, Penàrd, Pringûé, Courtet, Siniossoglu, etc., etc.

Le dîner. qui devait avoir lieu aujourd'hui jeudi 18 juin chez M. et Mme Jean Làmbiotte est décommandé.

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BIENFAISANCE

Le comité de l'Office central, des œuvres de bienfaisance (présidente, Mme A. Achille-Fould) organise, pour le mardi 23 juin, de dix-huit à vingt et une heures, un « Vins de,France » dans les beaux salons du Ritz. On dansera.

Entrée 20 francs, donnant droit à la première consommation et au buffet. Car.tes chez la marquise de Rochemonteix, 182, boulevard Haussmann, et à l'hôtel Ritz, place Vendôme. Au profit de l'Institut catholique, et sous la présidence de S; Em. le cardinal Baudf illàrt, R, P: 'Sàhsôn fera à la salle Pleyel, le lundi 22 juin, à vingt et jihe heures; une conférence « De l'inquiétude de Chopin à'iafoKde César Franck ».

Au cours de la conférence, exécution de divers morceaux de Chopin, Schumann, Beethoven, César Franck, par Lucie Caffaret, André Pernet, de l'Opéra; Henriette Baudouin, soliste des Concerts Lamoureux; Guy Bouchaux,la schola de l'Institut grégorien, sous la direction de M. A. Le Guennant.

Places de 10 à 50 francs. Location à la salle Pleyel.

te « Bal d'une'Nuit d'été », donné hier soir au George-V, sous les auspices de « The Junior Guild of thé American Cathedral Church », a été un grand succès. Plus de cinq cents personnes y assistaient..

A la table d'honneur se trouvaient S. Exc. l'ambassadeur des Etats-Unis et Mrs J.-I. Straus; Mme Frederick W. Beekman, présidente de l'Association, et Dean Beekman; Mme Paul Dupuy, princesse Margaret Boncompagni, Mrs John R. Drexel, M. et Mrs George Blumenthal, M. J. Ridgely Carter, Mrs W. Hude Neilson'et M. André; de Fouquières. i ̃ '̃; Aux autres tables Mrs Tarn Mac Grew, Mme A.-E., L'abouchère comtesse de Périgny, colonel et Mme W. Littauer, Mrs Frederick Martens, Mrs Lewis Clark, le juge et Mrs Eliot Watrous, Mrs Demme Douglas, comtesse Pierre de Viel-Castel, comtesse de Jumilhac, Mrs Culmore, comtesse de Marenches, comte et comtesse Paul Kotzebue, Mrs H.-H. Haigh, Mrs William S. Davenport, Mrs William Hen-

s'adjugea la première place devant Renée Champeaux.

M. Jean Mercure remporta le prix du Président de la République 1.000 mètres ligne droite pour artistes hommes avec toute la célérité que l'on pouvait attendre du messager d'un dieu. Un jury présidé par-Tramel et soucieux de ne faire nulle peine, même légère, à d'aussi gracieuses amazones, classa ex œquo dans le concours des cavalières, Mlles Germaine Briére, Nadine Maillet et Monna Païva. Il, n'y eut aucune' réclamation.'

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shaw, M. et Mrs Wade Miller, Mme Claude Barrelet de Ricou, Mrs Léon Wenger, M. et Mrs Lacy Kastner, M. et Mrs D. Hally Smith, M. et Mrs Moïse Erstein, M. et Mrs Ed. Ziegler, docteur et Mrs Ortion, Mrs Lestrade Brown, M. S. Picklïey Tuck,1 marquise del Serra Fiasçhi, comte de "Villcle, M. Louis Neff.

Au profit de l'œuvre des Enfants d'artistes, reconnue d'utilité publique, auront lieu, en l'hôtel de la marquise de Saint-Paul, 3, rue Nitot, présidente, deux intéressantes conférences.

La première, fixée au mardi 23 juin, à dix-huit heures, sera faite par M. Octave. Aubry, sur « Napoléon, sa famille et ses amis ».

La seconde conférence sera de M. Claude Farrèré, de l'Académie française, .qui parlera du « Japon ancien et moderne », le vendredi 26 juin, à dix-huit heures.

La place 25 francs; pour les deux conférences 40 francs, donnant droit aux loteries d'ouvrages dédicacés, tirées à l'issue de ces conférences. On trouve

Sé^Hiriiqùb^ Pottier !dota# të^taftiaU

avec M. André Hédé Haiiy a été béni jhi'ér»- en l'église Saint-Pierre de y- ̃•'̃̃• Chaillot.

̃̃ (Phot. Vorys.)

iiiiiiiiiiiiiiiimuiiiiiiitiiiiHiniiiiiiiiiiiiiiiiiiiiHiiiiiiiiiiiuiiiiiw des places chez la marquise de SaintPaul, 3, rue Nitot. et à l'œuvre des Enfants d'artistes, 37, rue Boissy-d'Anglas (cité du Retiro).

Reconnu au bridge donné mardi soir, au George-V, au bénéfice de l'œuvre des Petites Préservées, sous le haut patronage de S. M. la Reine Amélie de Portugal

Duchesse de Chaulnes, prinéesse A. de Caraman-Chimay, princesse A. Galitzine, marquise de Laborde, comte et comtesse de Chabrillan, Mme F. Piétri, princesse de Robech, comtesse de Caumont La Force, princesse E. de Croy, marquise de Blacas, comtesse de La Salle,, comtesse. Lepic, comtesse Duhesme, comtesse de Boisgelin, princesse Guy de Faucigny-Lucinge, comtesse de Ganuy, princesse de Moritholon, comtesse de Ségur-Lamoignon, Mme Vcsnitch, princesse P. de Croy, marquise de Llano, comtesse de Dampierre, baronne de Villiers-Terrage, comtesse de Rostang, vicomtesse d'Origny, comtesse de Périgny, comtesse de Saint-Léon, Mme Paul Dupuy, Mme Porgcs, comte et comtesse de San Just di Teulada, marquise d'Arcangues, Mme H. Patenôtre, comtesse d'Etchegoyen, comtesse de Pracomtal, marquise de Blacas, comtesse de Jumilhac, marquise de Polignac, baronne de Neuflize, comtesse Sala, lady Davis, Mme Legrand, comte F. de Jouvencel, comtesse de Leusse, Mme M. Goudchaux, Mme Brocheton, Mme Raoul Duval, baronne d'Eichthol, M. et Mme Raffalbvich, Mme van Hfcukeloni, Mme Otto H. Fuirth, Mme H. Gwynne, Mme E. Alsop.

Le jockey Rochetti passa le premier le poteau dans le concours, des dromadaires, mais reconnut avec une élégance toute sportive qu'il devait sa victoire à la vigueur exceptionnelle des hommes de peine qui halaicnt sa monture bien plus qu'à l'agilité de sa cravache. Il gagna néanmoins nettement, d'une courte bosse.

Le trot attelé se termina au galop, mais il n'en fut pas moins prisé par le public. Simone Zidner, accompagnée d'un» driver anonyme, mais courageux,

CERCLES

Des tournois de polo exceptionnels, dont plusieurs sont intégrés dans les Fêtes de Paris, vont être donnés. sur le grand terrain du Polo de Bagatelle. D'abord le gala sportif organisé avec l'Intransigeant. Samedi 20 juin, à dixsept heures, Coupe Boisgelin les quatre meilleurs officiers de cavalerie contre officiers de cavalerie des réserves. Trois musiques militaires de l'air, de la flotte, la nouba des tirailleurs, défileront avant et après le match.

Trois autres journées sont réservées à des rencontres entre sélections argentine et parisienne, à l'occasion de la coupe offerte par la princesse Alexandre de Grèce, dimanche 21 juin de la Coupe de France, samedi 27 juin; de la Coupe internationale, le dimanche 28 juin. Tous ces tournois auront lieu à dix-sept heures trente.

Les Parisiens se doivent de montrer aux Argentins, les favoris des Jeux olympiques, qu'ils savent apprécier leur renommée sportive, comme le font les Londoniens, à l'égard des joueurs des Etats-Unis en ce moment, et avec quelle ferveur, puisque la recette du premier match Etats-Unis-Angleterre, le mardi 9 juin, a dépassé largement le million.

NAISSANCES

Le capitaine de Berterèohe de Menditte et madame; née de Bivort de La Saudée, sont heureux de faire part de la naissance de leur fille Marie-Madeleine. Pau, le 14 juin.

M. Jacques Monnier et madame, née Jacqueline Duseigneur, sont heureux d'annoncer la naissance de leur fille .Marier-Christine. 10-juin. On annonce la naissance

De Claude Bbuchet dé Beauregàrd.de Jac,T 'ques Dewatre, d'Olivier d'Ambières, de Daiiiel Boisseau, de Patrice Gavois, de' Louis t'Hoite; de Bernard Pinet.

Jf' •'•'̃'

FIANCAILLES

On annonce les fiançailles de Mlle Germaine Lapostolle, fille du capitainé Lapostolle, mort au champ d'honneur, et de madame, née Roche, avec M. André Roy, fils du commandant et de madame, née Chandèze.

On nous prie d'annoncer les fiançailles de Mlle Claude Roussel avec M. André Hubin.

Le colonel Brun, directeur du Courrier du Maroc à Fès, et madame, née Fressinet de Bellanger, nous font part des fiançailles de deux de leurs fils, M. Jacques Brun, géomètre expert à Fès, avec Mlle Jacqueline Halmagrand, fille de M. Pierre Halmagrand et de madame, née Mainguet, et M. Olivier Brun, attaché aux affaires indigènes de Taza, avec Mlle Elisabeth Le Forestier de Quillien, fille de M. Joseph Le Forestier de Quillien et de madame, née Coubin, demeurant à. Daoulas (Finistère).

On annonce les fiançailles de Mlle Lœtitia Antomarchi, fille de M. Jean Antomarchi et de madame, née de Salas, avec M. Edward Lurton-Burke, fils de M. H. W. Lurton-Burke, chevalier' de la Légion d'honneur, et de madame, née Boyron.

triompha sur les 1.600 mètres et se vit attribuer le Prix, du Ministère de l'Agriculture.

Enfin, après avoir renversé force obstacles, l'âne 'monté par DufoTez gagna devant le grisou de Brierre et la foule s'en fut, ravie, après avoir laissé une magnifique recette au Dispensaire du Spectacle, dont le foudateur, Maurice Chevalier, fut lui-même vigoureusement acclama et chanta avec sa générosité ebutumière deux chansons tout entières devant le micro.

MARIAGES

̃ En l'église Saint-Pierre de Ghaillot était célébré hier le mariage de Mlle Monique Pottier avec M. André' HédéHaüy.

Les témoins de la mariée étaient M. Roger Pottier et le commandant Revon, croix de guerre, chevalier de la Légion d'honneur; ceux du marié M. André Gardelle, croix de guerre, et M. Henri Truchard.

De jeunes enfants suivaient les mariés Alain et Yves Truchard, Guy Dallery, Monique Gardelle, Jean Gardelle, Christiane Gardelle, Christian Lefebvre. Le service d'honneur était assuré par Mlles Janine Prudhomme, Michelle Hédé-Haiiy, Noëlle Marchand, Jacqueline Pottier, Annette Malard et Renée- Thérèse Paget.

En l'église Saint-Pierre de Chaillot, le R. P. Dagnaud a béni, lundi, le mariage de Mlle Josefina Garcia Yrigoyen del Valle, fille de M. Garcia Yrigoyen, ancien président de la Chambre des députés du Pérou, décédé, et de madame, née del Valle, avec M. Romain Vuillaume, fils de M. Edmond Vuillaume, ancien directeur général de banque et consul de France à Lausanne, chevalier de la Légion d'honneur, et de madame, née Beyer.

Les témoins étaient, pour la mariée S. Exc. le ministre du Pérou près la S.D'.N. Ugarteche et le baron Duroy de Bruignac, représentant de M. Manzanilla, envoyé extraordinaire et ministre plénipotentiaire en Italie, ancien président du conseil; ceux du marié M. Jean Vuillaume, chevalier de la Légion d'honneur, croix de guerre, et le commandant Emile Rumeau, officier de la Légion d'honneur, et M. Edmundo de La Fuente, conseiller de légation, officier de la Légion d'honneur, représentant le général Benavides, président de la République du Pérou.

Le service d'honneur était assuré par Mlles Colette et Odile, Vuillaume, qui portaient de très jolies robes d'organdi bengale avec applications de broderies blanches.

Le mariage de Mlle Marie-Louise Commassous, fille de M. et Mme Pierre Commassous, avec M. Guy Godlewski, externe des hôpitaux de Paris, fils du docteur Henri Godlewski, du Conseil supérieur de l'hygiène de France, chevalier de la Légion d'honneur, croix de guerre, et de*Mme Henri Godlewski, a été béni mardi, en l'église Notre-Dame d'Auteuil. Les témoins étaient, pour la mariée Mme Chiappe, chevalier de la Légion d'honneur, et.M. Fromant, officier de la Légion d'honneur pour le marié M. Carnot, membre de l'Académie de médecine, officier de la Légion d'honneur, et le professeur Richet, médecin des hôpitaux, chevalier de la Légion d'honneur, croix de guerre.

Une charmante réception réunit ensuite les amis des deux familles.

DEUILS

M. Jules Leggand, ancien maire de Lorient, ancien bâtonnier de l'ordre des avocats de cette ville, a succombé à l'âge de soixante-quatorze ans. Nous apprenons la mort du capitaine de vaisseau André Huré, officier de la Légion d'honneur, croix de guerre, décédé à Vaucresson.

i ±- On annonce la mort de la baronne

~F~. ` L~ $réu~ née Làù'sies; ,'direetrice-

rÉ:'L. Brauïti'née Lausies/ directrice-

fondatrice du Parthénon.

Nous apprenons la mort de Mme Joseph Guichard, survenue le 16 juin dans sa soixante-quinzième année. Elle était la mère de Mme René Pénot, décédée de la marquise de Chalain, de Mme de Roquancourt-Kéravel et de la comtesse Marcel Treuille. Les obsèques seront célébrées, demain vendredi, en l'église de Saint-Berthevin (Mayenne). Le docteur Henri Dausset, chef du service central de physiothérapie de l'Hôtel-Dieu, et ses enfants, nous prient d'annoncer la mort de Mme Henri Dausset, survenue le 8 juin. Les obsèques ont été célébrées dans l'intimité. Nous avons le regret d'apprendre la mort de notre confrère M. Albert Loustalan, administrateur délégué du « Patriote des PyTénées à Pau. Nous rappelons que les obsèques de M. Athanase Vagliano auront lieu aujourd'hui, à onze heures, en l'église grecque (7, rue Georges-Bizet). Nous apprenons la mort de M. Adrien Ragot, officier de la Légion d'honneur, survenue le 12 juin 1936 au château de Saint-Caprais. L'inhumation provisoire a eu lieu le 15 juin à l'Union (Haute-Garonne) dans un caveau de famille. De la part de Mme Adrien Ragot, de M. et Mme Jean Ragot et leurs enfants.

On annonce la mort, à l'âge de

Marie Dubas, Villabella, parurent également entre les différentes épreuves. Marsac et Saint-Granier rivalisèrent d'esprit et de verve dans la présentation des différents numéros. Des mannequins ravissants firent applaudir des robes semées de fleurs printanières dont André de Fouquières dit fort justement qu'elles étaient « l'optimisme des temps.qui viennent ».

Les gros nuages noirs allèrent mourir ailleurs.

Georges Ravon.

Élégances A L'ENSEIGNE )

des champs et des flots ̃ Jamais autant que cette année la mode n'a su aussi judicieusement associer le confort à l'élégance et permettre aux femmes d'ajouter à la beauté mouvante d'un corps sans entraves la grâce d'un ajustement parfaitement adapté. Pour la mer, en plus des indispensables maillots, dont la variété est telle que nous reviendrons sur la question, il faut emporter des shorts, des robes de plage qui ont, cette saison, définitivement détrôné le pyjama, destiné seulement au bateau et au yachting, et des costumes de toile et de lainage en trois pièces jupe, culotte et veste interchangeables selon les besoins.

Les shorts les plus nouveaux sont confectionnés en foulard, cotonnades, jersey à pois ou à minuscules dessins maritimes, et comportent un corsage boutonné en avant sous un petit col comme une blouse chemisier, et une culotte ornée de gros plis en avant ou entièrement plissée comme une jupe de soldat écossais. Quelques-uns sont taillés avec des culottes bouffantes à la cycliste, arrêtées par un élastique à mi-mollet, mais cette forme est rarement seyante aux silhouettes latines, à jambes assez courtes et tasse beaucoup la ligne du corps.

Les robes de plage, imprimees ae lextes littéraires, de grosses fleurs ou de pastilles, se nouent souvent autour de la taille comme un tablier de jardinier et sont pourvues de bretelles que Ion peut attacher à volonté autour du cou ou dans le dos, afin de laisser le hale s'étendre uniformément sur le décolleté. Un petit boléro ou une vareuse les complètent et permettent de les porter en ville comme un tailleur.

Pour la campagne, les ensembles aux coloris chantants, jaune, rouge, vert, se composent aussi toujours de variations autour du thème tailleur, dominante de la mode actuelle.' Les costumes à jaquettes très courtes que, l'on peut porter avec des blouses légères, des gilets bains de soleil ou un corsage de même étoffe que la jupe s'accompagnent d'un serre-tête semblable, de sandales et de gants assortis, et les robes blan~ches se complètent par un jeu d'accessoires vifs et variés qui les transforment à volonté.

Comtesse de S,

~t~««~<«~

MADELEINE VIONNET 50, avenue Montaigne soldera les 19 et 20 juin, de 9 heures à midi des modèles de robes, manteaux et lingeries « Paiement strictement au comptant. n

cinquante-sept ans, de Me Francisque Thibaut, bâtonnier de l'ordre des avocats d'Alger, chevalier de la Légion d'honneur.

On annonce la mort, survenue à Buenos-Aires, de M. Horacio Bustos Moron, père de M. Alfredo Bustos, très connu dans la société brésilienne. On nous prie d'annoncer la mort de M. Léon Depret, pieusement décédé en son domicile le 14 juin. Il avait épousé Mlle Delasalle et était le père de Mme de Peyerimhoff de Fontenelle. Selon la volonté du défunt, les obsèques ont eu lieu dans la plus stricte intimité. Cet avis tiendra lieu de faire-part. Nous apprenons la mort de Mme Conrad Kickert, femme du peintre hollandais si attaché à la France.

On annonce la !rhoït •" ."̃• De Mme 'Pierre Robert, à Versailles'; de M. Achille PaJleur,.à Trélon (Nord); du docteur Alfred Monsseaux, à Paris; de M. Alfred G. de Glehn, à Mulhouse; de' Mme Marcel Perrot, née Lesne, à Lyon.

Valfleury.

PETIT CARNET

S Jérôme, 140, Fg-St-Honoré, solde manteaux de voyage, ensembles de plein été en imprimé, deux pièces en toile, en piqué, shorts et robes bain de soleil depuis 250 francs.

S Lise Verneuil» 31, rue d'Amsterdam, solde avant inventaire et pendant quatre jours seulement, avec de très gros sacrifices de prix, robes et manteaux, valeur 400 à 800 francs, soldés de 75 à 125 fr. S Le célèbre coiffeur Antoine, désireux de s'adapter aux circonstances actuelles, a décidé d'appliquer des prix spéciaux le matin à neuf heures. Shampooing, 12 fr. Coupe, 15 fr. Ondulation ou mise en plis, 15 fr. Manucure, 8 fr.

Antoine, 5, Rue Cambon, Paris. S De War, 18, rue Jean-Goujon, Pour la première fois et pendant quelques jours, solde ses modèles d'été en tricot entièrement à la main.

S Claire Beaulieu, 59, rue La Boétie. Soldes annuels avant inventaire, pendant 3 jours seulement. Robes et manteaux, valeur 400 fr. à 600 fr., soldés 75 à 125 francs.

t

S Gabrielle Virgona, en sa villa, 6, rue de la Source, Paris (16e), installe et décore appartements. Papiers peints, tissus et ameublement. Tél.: Aut. 59-02. Smart.

LA SAISON HORS PARIS VICHY

Parmi les personnalités récemment arrivées à Vichy, citons

Prince de Merode Westerloo, comte de Teba, le ministre plénipotentiaire à Rome et Mme Heymans, M. et Mme Taluenca, M. Rudolf de Goldschmidt Rothschild, Mrs Bal-, lard Smith, M. J.-M. van Bosse, M. et Mme Leclercq, M. David K. Hall, M. et Mme Byron Dellaporta, M. et Mrs Gaxton, M. Dcspons, M. Brettauer, Mme Mallarmé, Mme Xavier Vallat, Mme Francis de Croisset, comtesse de Blois, marquise de Bouvard, vicomte d'Origny, comte V. de Duras, vicomte des Courtils, général et Mme Bonnier, général Sautel, colonel et Mme Mignot, le contrôleur général de la Banque de France et Mme Roulleau, Mme M.-H. Durand-Dassicr, le directeur de l'Institut français de Riga et Mme Segrestc, M et Mme Gaspar-Baltar, M. et Mme Junod, M Ernest Gaubert, M. Carlier d'Oreigne, M des Gaytes, docteur et Mme Chapon, M. André Dubois, M. Denoyer, M. Alcide Cabiro, etc.

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VOIR EN PAGE 6

AUTOUR 1; DE LA MODE

LES avis concernant les naissances, fiançailles, mariages (avec ou sans

photographie). deuils, etc. sont reçus 14, Rond-Point des Champs-Elysées (Elys. 9S-31 à 98-38) et à l'Office spécial de Publicité, 29, boulevard des Italiens. Tél.: Richelieu 69-31


un TOUR D'HORIZON INQUIETANT Les nations européennes aevani la crise

nationale française

(Suite dé la première page)

Je ne parle pas de la Pologne. Au lendemain du 7 mars, l'opinion polonaise avait été tellement frappée par le coup allemand que la situation intérieure polonaise faillit s'en trouver retournée. Il aurait fallu bien peu de choses il aurait' simplement fallu que la France ne se laissât pas aller à ses faiblesses électorales pour que la Pologne revînt à une plus saine appréciation de son alliance avec nous. Aujourd'hui, ceux qui ont fondé leur politique sur la conviction que la France allait en s'affaiblissant déclarent, en rica- nant qu'ils ne s'étaient pas trompés. Et l'opinion risque maintenant de les suivre, d'autant plus qu'il s'est produit certains mouvements communistes en Pologne et que les « colonels » sont plus résolus que jamais à les étran-

gler.

Dans la Petite-Entente, ce qui domine, c'est l'angoisse. Angoisse de tous ceux qui y sont nos amis éprouvés et ont bâti sur nous leur politique. sourd triomphe de ceux qui, pour telle et telle raison, regardent maintenant de l'autre côté. C'es un fait qu'en Roumanie, il y a un travail hitlérien intense et que sa force est exclusivement faite de notre glissement vers l'extrême gauche. C'est un autre fait qu'en Yougoslavie qui n'a pas renoué avec les Soviets l'influence française (depuis l'assassinat de Marseille et les lenteurs du procès d'Aix) ne grandit pas, au contraire, et que l'Allemagne, qui y exerce une action économique et culturelle intense, en profite. Récemment, un ami à moi voyageait en Yougoslavie dans un compartiment, populaire. Des Yougoslaves discutaient devant lui sans se douter qu'il était Français, mais qu'il comprenait leur dialecte. Et ces Yougoslaves disaient « Que voulez-vous, l'ordre et la force sont du côté allemand. » Voilà ce qui se murmure, ce qui se répand ici et là. Et je ne parle pas des autres pays, Hollande, Suisse, Hongrie, que sais-je, où tout ce qui touche de près ou de loin au « communisme » est haï. Quant à la malheureuse Autriche, dont la sauvegarde dépend exclusivement d'une France forte; centre de liaison entre l'Italie et la Petite-Entente, elle n'aura bientôt plus d'autre issue, si notre carence se prolonge, que devenir le^rlrait d'union entre le fascisme et, le ria£ipnal-socialisme ou qu'à se laisser tomber dans les bras de Hitler.

Voilà les constatations qu'il faut faire, au lieu de se gargariser de phrases creuses. On dira qu'elles sont exagérées. Ce n'est pas vrai, elles sont plutôt au-dessous de la vérité. On dira que les propos des ambassadeurs, des ministres étrangers à Paris ne reflètent pas un tel état d'esprit. C'est qu'il y a ce qu'ils disent à nos personnages officiels et ce qu'ils* écrivent à leurs gouvernements. On dira, enfin. que ces vérités ne doivent pas être écrites. Pourquoi ? Le peuple français, qui est un brave peuple, et un grand peuple, mais un étourdi, et qui ignore totalement les effets que ses moindres caprices exercent à l'étranger, doit-il être considéré comme un enfant ou comme un malade ? C'est précisément parce que je sais qu'il n'est ni un enfant ni un malade que je voudrais qu'il se rendît conipte à quoi les airs qu'il se donne l'exposent. La réalité est que, pendant les premiers jours de juin, tous ceux qui, à des titres divers, ont donné l'impression que la France traversait une crise révolutionnaire ont travaillé, à pleines mains, pour Hitler. Ils ont follement accru les positions hitlériennes en Europe. Or, ni l'Europe ni la paix ne sont en état de supporter impunément de tels bouleversements d'impondérables. Quand donc les Français comprendront-ils que ce sont les impondérables qui mènent le monde ?

Je dis ces choses, je le Jure, sans aucune arrière-pensée partisane. Quand on vit, penché sur les phénomènes extérieurs, on n'est ni « de droite » ni « de gauche », on est simplement Français. Il y a beau temps, du reste, que ces étiquettes me semblent ridicules. Longtemps aussi que j'aspire de toutes mes forces à un renouvellement et à un renouvellement hardi de la politique intérieure française. Mais sur le terrain national t lilafs sur le terrain'national Mais sur le terrain national Et cela non seulement parce que j'aime mon pays, mais parce que j'aime l'Europe, que je crois en elle et que je sais qu'une France puissante, une France sûre d'ellemême lui est indispensable. Sans l'autorité de la France l'Europe deviendrait une jungle atroce. Oi% le terrain national, c'est l'ordre. C'est la sécurité publique. C'est la liberté de tous. C'est l'autorité d'un gouvernement qui gouverne. Rien de tout cela n'est sérieusement en péril chez nous, je k sais. Mais il faut que- les Français se ressaisissent et que la France, surprise par des collusions intolerables et par un « rousseauisme insensé, ne permette plus que jamais ce qui ;s'est passé il y a huit jours puisse se reproduire. Il faut que l'Europe sache haut. et bien net que la France tricolore la seule qui existe n'est nullement disposée à faiblir.

Wladimlç d'Ormosspn,

LES GREVES REVOLUTIONNAIRES PRENNENT, EN BELGIQUE, UNE EXTENSION INQUIETANTE

~Dea tnddenes oioienes ont édaté à Liége

Des incidents violents ont éclaté à Liège où la force armée a dû rétablir !'ordre

(De notre correspondant particulier, par téléphoney.

Bruxelles, 17 juin. A Liège, où la nuit avait été calme, il y avait, ce matin, de l'agitation aux alentours des grands magasins. Des charrettes de lait et de livraison ont été renversées, mais l'arrivée des autos mitrailleuses de la gendarmerie a fait impression sur la foule. Il y a eu un moment de forte émotion à la nouvelle qu'une bande de grévistes avait pris d'assaut un banc d'épreuve où se trouvaient des munitions et des armes. Une rapide opération de police, appuyée par la gendarmerie, a rétabli l'ordre. °

Le bourgmestre a dû interdire la circulation des bicyclettes, des piquets de grévistes ayant, hier, employé ce moyen de transport à travers la ville pour transmettre des mots d'ordre.

Au cours de la nuit, les rues n'ont pas été éclairées, ni au gaz ni à l'électricité. Un groupe dé grévistes, qui voulait envahir les locaux d'un journal liégeois, a été dispersé par une charge de gendarmerie montée.

A Gand, le mouvement de grève s'amplifie dans l'industrie textile et menace de s'étendre à d'autres industries. Dans le Hainaut aussi, le mouvement s'accentue. Dans le bassin du centre, sur 11.340 mineurs, 10.500 se sont mis en grève, et sur 9.800 métallurgistes 9.400 ont abandonné les ateliers.

La région de Charleroi est menacée d'être privée de gaz et d'électricité. Les verriers sont en grève et les commerçants de la ville de Charleroi fermeront boutique vendredi en témoignage de solidarité avec les grévistes.

En ce qui concerne Anvers, on espère

Les négociations franco-syriennes pour la conclusion d'un pacte d'alliance menacent d'être longues

Elles durent depuis 1926.

Des négociations sont actuellement en cours, à Paris, en vue de la conclusion d'un pacte d'alliance et d'amitié entre la Syrie et la France, première étape vers l'admission de la Syrie à la Société des Nations, mesure qui aura sans doute lieu en même temps que l'admission du Lib;tn, les deux Etats étant aujourd'hui sous mandat français. Les négociations relatives à la Syrie ne sont pas récentes. Elles remontent à 1926. Sans vouloir retracer ici les étapes de ces pourparlers, rappelons qu'au mois de mars dernier, un projet de traité nous fut soumis, qui établissait le principe que «les droits politiques dont bénéficieraient les Syriens ne seraient pas inférieurs aux droits reconnus par l'Angleterre à l'Irak ». A vrai dire, cette assimilation prêtait quelque peu à la çj^tique, l'Irak étant, en grande, majorité, arabe, alors que la Syrie

compte d'importantes minorîtés ethni-

ques et religieuses. Il fut décidé, en mai dernier, qu'une' réunion des délégués syriens du Bloc national aurait lieu à Paris, pour exa-

Une entrevue aura-t-elle lieu

entre Hitler et le Chancelier Schuschnigg ?

Prague, 17 juin. Les Lidove Noviny rapportent un bruit qui a couru hier dans les couloirs de la Chambre des députés, selon lequel une entrevue aurait lieu prochainement entre le chancelier Schuschnigg et M. Hitler. M. Mussolini, qui serait désireux de conclure un accord avec l'Allemagne au sujet de l'Autriche, aurait donné son approbation à cette rencontre.

M. Schuschnigg aurait le désir de conclure avec M. Hitler un « modus vivendi garantissant, d'une part, l'indépendance de l'Autriche et lui accordant, d'autre part, des avantages économiques.

On considère à Prague cette information comme vraisemblable. Elle semble prouver que M. Mussolini aurait l'intention de reprendre divers points du plan qu'il avait établi en 1932, suivant lequel, après la concîusion d'un accord relatif à l'Autriche, l'Allemagne obtiendrait d'avoir les mains libres à l'Est et l'Italie d'avoir toute liberté dans les Balkans.

LA CONFERENCE

DES ETATS-MAJORS DE LA PETITE-ENTENTE EST TERMINEE.

Bucarest, 17 juin. foufirence des chefs d'états-majors roumain, tchécoslovaque et yougoslave a terminé ses travaux ce soir.

Hier a eu lieu, au château royal de Bucarest, sous la présidence du roi Carol, une coni'érencp de deux heures à laquelle assistaient MM. Tataresco et Tir tulesco.. Le iparnnl « Universul » constate que sur toutes les questions intéressant les trois pays de la Petite-Entente le plus complet accord a été réalisé sans aucune difficulté.

Le docteur Schacht arrive à 'Budapest

Budapest, 17 juin. Le docteur Schacht, ministre de l'Economie -allemande et président de la Reichsbani, est arrivé à Budapest en avion, venant de Sofia. Il a été reçu par M. Bela Imredi, président de la Banque nationale de Hongrie et par un représentant du président du Conseil.

Le docteur Schacht restera deux jours à Budapest pour conclure notamment un nouvel accord de paiements ger- mano-hongrois.

»

300.000 SOLDATS

ET 1.000 AVIONS

SOVIETIQUES

SE RAPPROCHERAIENT DE LA FRONTIERE MONGOLE Varsouie,. 17 juin. D'après des informations venant d'Irkoutsk, les armées du maréchal Blücher, stationnées à l'est d'Irkoutsk, se seraient déplacées selon un plan d'ensemble de façon à approcher de la frontière mougoile. Il s'agit d'une masse d'environ trois cent mille hommes avec plus de mille avions.

toujours arriver à un accord, mais les pourparlers spnt lents, v

Ouvriers et patrons

chez le premier ministre Les représentants des industriels -et 1 des syndicats ouvriers se sont réunis cet ( après-midi dans le cabinet de M. Van Zeeland. Ouvriers et patrons ont donné 1 des explications sur le conflit au Pre- mier ministre qui, d'une demi-heure, a reçu chaque groupe séparément. Au cours de leur exposé, les représentants des organismes patronaux se sont déclarés d'accord quant au principe du salaire minimum, mais ils ne croient pas que celui-ci puisse être fixé uniformément dans toutes les: industries. Ils pensent que le taux minimum devrait être fixé par des commissions paritaires. Ils reconnaissent le principe du congé payé, mais estiment également que la durée de ce congé ne peut être uniforme, elle devrait varier selon l'âge du bénéficiaire et la durée de ses servicés dans l'établissement qui l'emploie.

Les patrons ne contestent pas le principe de la liberté syndicale. Ils reconnaissent aux ouvriers le droit de s'affi- lier aux syndicats de leur -choix, mais ils revendiquent pour l'industrie le droit d'occuper du personnel non syndiqué. Enfin, ils se déclarent d'accord au sujet de la semaine de quarante heures, mais en commençant à l'appliquer dans les industries insalubres. En ce qui concerne les autres industries, il conviendrait de procéder par étapes.

Armand Fluche.

r

miner, avec les ministres français de la défense nationale, les questions militaires, navales et aériennes posées par l'organisation de la sécurité intérieure et extérieure de la Syrie. Ce sont les questions de cet ordre qui font l'objet des négociations en cours.

Il s'agit de savoir les formes qui seront adoptées, dans l'intérêt de l'alliance franco-syrienne, pour le stationnement des troupes françaises de sécurité, les camps d'aviation, etc. L'on ne peut guère espérer de solution rapide au problème syrien, qui traversera encore quelques laborieuses étapes d'abord la conclusion du traité franco-syrien, en cours de négociations; ensuite, sa ratification par un Parlement syrien régulièrement élu et par un gouvernement qui en sera l'émanation enfin, l'approbation de ce traité par la commission des mandats 'de la Société des nations.

Ce n'est qu'après cette triple procédure que pourront être posées, à. Gernève, les candidatures de la Syrie et du Liban.

Par cet accord, le Reich et l'Italie se garantiraient enfin assistance politique et diplomatique.

De Vienne, on souligne les efforts que M. von Papen déploie dans ce sens

Les rumeurs concernant une entrevue entre le chancelier Hitler et le chancelier Schuschnigg sont pour le moins prématurées. `

Des informations puisées à la meilleure source n'en permettent pas moins de conclure que M. von Papen, ministre du Reich à Vienne, déploie en ce sens tous ses efforts, mais qu'il n'est pas encore arrivé à un accord de principe.

Les bases de l'accord préconisé par M. von Papen prévoient en premier lieu la participation de nazis autrichiens indiqués par Berlin au gouvernement de Vienne.

ACTUALITES

INTERNATIONALES

ALLEMAGNE. Le Fiihrer.Chancelier a offert un.grand dîner en l'honneur de la comtesse Ciano, épouse du ministre italien des affaires étrangères, qui séjourne depuis une quinzaine de jours à Berlin. On assure comme certaine, malgré les démentis italiens, la venue du comte Ciano à Berliti. M. Heinrich Himmler, chef de la Gestapo et commandant en chef des milices noires nationales-socialistes, vient d'être nommé, par décret du Führerchancelier, chef de la police allemande dans tout le Reich ̃ BELGIQUE. A-la suite d'une réunion, tenue par ̃ le- conseil directeur'du mouvement rexiste, il' à été décidé à l'unanimité que M. Degrelle devait prendre la, tête de l'opposition rexiste à la Chambre. Un député élu de la liste rexiste de Bruxelles démissionnera et M. Degrelle, premier suppléant, le remplacera.

GB.ANDE-BR'ETAGNE. En réponse à une question du député travailliste Fletcher, M. Eden a déclaré aux. Communes qu'aucune décision n'avait encore été prise sur le point de savoir si le titre d' « Empereur d'Abyssinie » devait être, reconnu au roi d'Italie. Les conversations navales anglosoviétiques en vue de la conclusion d'un accord bilatéral sur le traité tripartite signé à Londres, le 25 mars dernier, en- tre ta France, la Grande-Bretagne- et les Etats-Unis, ont repris au Foreign Office. PALESTINE. Une patrouille automobiliste britannique a essuyé te feu de maraudeurs arabes sur la route de Jaffa. Elle a riposté tuant un arabe et en blessant plusieurs.

Quinze agitateurs ont été exilés à Sarafand, camp de concentration situé sur la route de Jérusalem à Jaffa. Des Arabes ont attaqué une petite colonie juive près de Haïfa. Les assaillants ont été repoussés d coups de fusil par la police palestinienne et un détachement de troupes britanniques

UN RESUME DU PROGRAMME

DE M VINCENT AURIOL

1 1

Déclarations

du ministre des finances Sous la signature de M. Joseph Dubois, la Tribune des Nations publie une interview de M. Vincent Auriol, ministre dés finances dont" les déclarations constituent une sorte de préface à l'exposé -financier qu'il compte faire à la' Chambre.

Pas de dévaluation

Le ministre des finances s'y affirme une fois de plus foncièrement hostile à la dévaluation, la France, pas plus que la Belgique, ne possédant 1 entende- ment et l'éducation monétaire des grands pays anglo-saxons qui subissent, sans réactions émotives, les adaptations portant sur leurs devises. >

Quant à l'inflation contrôlée, ces pays de liberté ne sont pas préparés à subir le régime des dictatures.

Ranimation économique Par contre, estime M. Vincent Auriol, une expérience est possilyle, qui sauvegarde les habitudes et les préférences du peuple français. « Vingt-cinq milliards de billets, vingt milliards d'or manquent en effet au circuit économique. Lanimation économique qui doit les réincorporer n'est possible qu'avec une certaine hausse des prix intérieurs. La hausse de ces prix reconstitue des marges de profit parce que la hausse des salaires n'absorbe pas à elle seule, et loin de là, la totalité de l'avance. » Le ministre attend, en particulier, de cette avance des prix les plus-values fiscales permettant l'exercice d'une dédétente quant aux .impôts et la possibilité d'une utilisation d'une concentration du crédit qui résolve enfin l'anomalie des taux d'intérêts.

« Plus que jamais, dit plus loin M. Vincent Auriol, le sort du franc est aujourd'hui dans les dispositions de pes nsagers c'est présentement une ques- tion de substance et de bonne volonté, Qu'il y ait substance cela n'est pas douteux qu'il y ait mauvaise volonté, cela reste encore à démontrer puisque, dans la crise, il n'a jamais été offert au pays une occasion et un motif économiques de confiance.

Détente fiscale

Cette confiance, le nouveau gouvernement compte l'obtenir grâce à l'expé- rience qu'il va entreprendre et qui re- pose essentiellement sur les principes suivants hausse des prix, mars avec détente ̃ fiscale dans le plus bref délai possible et salaires aptes à constituer un pouvoir d'achat suffisant.

Quant au décalage, conclut le ministre dés finances, qui est susceptible de se produire entre les effets pénibles de la. hausse des prix et les effets utiles de cette hausse, « il s'agit, en fait d'une période de trois mois dont une inflation de secours doit faire les frais »;

•'

A L'HOTEL DE VILLE

ON A FÂÏTDANSER LES MILLIONS HIER AU CONSEIL GENERAL

C'était- hier la dernière séance de Ta session extraordinaire elle le fut jusqu'au bout du Conseil général de la Seine.

L'assemblée a tout d'abord voté 500.000 francs, comme le Conseil municipal, pour les familles nécessiteuses des grévistes, et M. Armand Massard a renouvelé sa protestation de l'autre jour où il demandait que toutes les familles nécessiteuses du département bénéficiassent de l'allocation.

Puis on aborda la discussion du mémoire préfectoral sur l'assimilation du personnel de la S. T. C. R. P. au personnel de la préfecture de la. Seine et différents avantages. La dépense est évaluée à 21.725.000 francs que l'on tirera d'un emprunt gagé par 85 centièmes de centime additionnel, c'est-à-dire de la poche des contribuables.

M. Armand Massard. et avec lui plusieurs des ses collègues, notamment MM. Victor Constant, Contenot, Crussaire, Dailly, Béquet, a estime que les infortunés « redevables auxquels on demande des efforts financiers vraiment excessifs, pourraient être dispensés de celui-ci et il a demandé que les ressources nécessaires aux réformes proposées, par un mémoire dont il n'a pas eu connaissance, soient obtenues par des économies.

Le préfet de la Seine, après les interventions de MM. Pinelli, Michaux, Henri Béquet, est venu déclarer que les revendications présentées' étaient justifiées et qu'il convenait de lui donner satisfaction par esprit d'apaisement. M. Fiancette, sans nier la justesse de l'observation de M. Massard, que l'on agissait sous la menace de grève, se, prononça en faveur dés mesures tout en reconnaissant que la semaine de quarante heures entraînera une réforme administrative générale et complète et que, dès la session d'octobre, il faudra trouver des solutions à tous les problèmes qui se posent avec une acuité grandissante. On n'échappera pas aux difficultés économiques et le rapporteur général du budget départemental a évalué à plusieurs centaines de millions la répercussion de la réforme sur l'ensemble des budgets de Paris et du département de la Seine.

En attendant, la proposition de M. Armand Massard et de ses collègues a été repoussée par 92 voix contre 31, et les conclusions préfectorales ont été votées.

UN VIOLENT INCIDENT Au cours' dé la séance du conseil général, hier, M. Darquier de Pellepoix avait présenté et développé une motion par laquelle il demandait l'annulation des nationalisations effectuées depuis le 11 novembre 1918 et l'établissement d'un statut réglementant pour les israélites le droit de -vote, l'éligibilité et l'accession aux fonctions publiques.

Pendant cet expose, le conseiller du dix-septième fut à maintes reprises violemment interrompu et des paroles très vives s'échangèrent entre l'orateur et les interrupteurs.

Aussi est-ce dans le bruit, au milieu d'une vive agitation que le préfet de la Seine prononça la clôture de la session et que le président leva la séance. Les conseillers quittèrent la salle. Dans le vestiaire qui précède la 'salle de travail, M. Hirsch, l'un de ceux qui s'étaient montrés l'es plus ardents dans le débat, et, M. Darquier de Pellepoix se rejoignirent et un échange de voies de fait se produisit immédiatement, auquel d'autres élus d'extrême-gauche vinrent prendre part.

On eut beaucoup de peine à séparer les antagonistes; qui, l'un et l'autre, portent les traces de leur vivacité.

La participation de la Suisse à l'Exposition de 1937

Berne, 17 juin. Le Conseil national a approuvé un arrêté accordant au Conseil fédéral un crédit de 600,000 fr. suisses pour la participation de la Suisse à l'Exposition internationale de Paris en 1937.-

VERS LA FIN DES GREVES

(Suite-de la- première page)

Il ne s'agirait d'ailleurs que d'une grève de principe.: seuls tes releveurs de compteurs, les comptables et les employes de service intérieur cesseraient le travail, tandis que les ouvriers des génératrices continueraient à assurer la fourniture normale du courant, ̃

Délégations reçues

par les ministres

Le sous-secrétaire d'Etat à la présidence du Conseil a reçu hier une délégation des syndicats de voyageurs et représentants de commerce, qui demandent le vote immédiat de leur, statut professionnel, puis celle de la Confédération des travailleurs intellectuels. Sous son patronage un comité comprenant les délégués de tous les syndij cats d'hôteliers, restaurateurs, limonadiers! débitants de vins et tabacs, liquoristes, vient d'être constitué afin d'établir la convention collective pour ces corporations, susceptible de garantir « le calme et la liberté » dans le travail.

Le ministre des P. T. T. a reçu la Fédération, des syndicats professionnels des postes à laquelle il a donné son accord sur les revendications exposées. M. Jean Zay, ministre de l'Education nationale, a reçu la délégation des députés communistes membres de la Commission de l'enseignement, avec laquelle il s'est entretenu de la situation de certaines catégories de fonctionnaires, ainsi que des théâtres subventionnés.

UNE MISE AU POINT du groupement d'études des grands magasins

Le groupement d'études des grands magasins a publié avant-hier une note à laquelle fait suite ce texte important qui a été affiché hier soir sur les murs de Paris

« Que proposent les grands magasins dans le douloureux conflit en cours ? Le grand public l'ignore; le-personnel des grands magasins, sans contact avec ses directeurs, le sait mal.

Les grands magasins doivent la vérité au public, qui s'étonne de l'oecupation prolongée des magasins unx employés, désireux de faire cesser une situation illégale et de reprendre le travail.

Dès le premier jour des négociations au ministère de l'Intérieur, les grands magasins ont accepté -toutes les stipulations de l'accord du 7 juin passé entre la Confédération Générale du Travail et la Confédération Générale de la Production, qui porte les signatures de MM. Blum et Jouhaux.

Ils ont accepté le contrat collectif le libre exercice du droit syndical les délégués d'employés et d'ouvriers l'absence de sanctions pour faits de grève. ̃ Ils proposent pour tous les employés sans exception, des minima de salaires qui en aucun cas ne seraient inférieurs I (à 21 ans) 1

Pour les employés ou vendeurs, à 1.100 fr. par mois pour les employées ou vendeuses, à 900 fr. par mois pour les garçons et livreurs, à 1.000 fr. par mois pour les femmes des services de nettoyage, à 800 fr. par mois et. en plus, des augmentations pour tous les salaires compris entre ces salaires minima et 1.500 fr. par mois.

En d'autres termes, dans un grand magasin, pas un homme de plus de 21 ans ne gagnera moins de 1.000 fr. par mois pas une femme de_plus>de' 21 ans ne gagnera moins de 800 fr. parmojs.

Quant aux salaires minima des vendeurs et employés (1.100 fr. pour les hommes, 900 fi, pour les femmes), ils sont comparables à ceux que M. Vincent-Auriol, ministre des Finances, a fixés dans un arbitrage récent. Des minima de salaires correspondants sont prévus pour les employés de 17 à 21 ans.

A ces salaires minima continueront bien entendu à s'ajouter tous les avantages dont bénéficie déjà le personnel (allocations familiales, réduction de prix pour ses achats, congés payés, etc.)

Où est dans tout cela 1' intransi- geance patronale » ?

Au public, au personnel de juger. Le groupement, des grands .magasins. » Un accord serait conclu aujourd'hui

aux Magasins du Louvre

Le ministre de l'intérieur a réuni hier après-midi, dans son cabinet, les représentants de l'administration et du personnel des Magasins du Louvre. Les deux délégations reconnurent «u'unc entente sur tous les points en litige semblait possible. Elle interviendra sans doute officiellement aujour*d'hui.

Ajoutons que M. Salengro a décidé de réunir demain les deux délégations, ouvrière et patronale, des autres-grands magasins.

L'attitude de l'Eglise

à l'égard des « occupations » Ori sait que M. Armand Lanote, conseiller municipal de Paris, directeur des Etablissements Allez Frères, avait écrit à S. Em. le cardinal Verdier pour lui signaler ce fait paradoxal que des membres des syndicats chrétiens, suivant en cela les syndicats cégétistes, occupaient leurs locaux de travail, allant ainsi à l'encontre des enseignements de l'Eglise. Le cardinal Verdier vient de faire savoir à M. Armand Lanote que les syndicats chrétiens avaient donné l'ordre à leurs adhérents, même avant les accords des patrons et des ouvriers, de ne prendre aucune part- aux actes que le conseiller du Mail avait dénoncés. En conséquence, il apparaît donc très nettement que tout syndiqué chrétien qui continuerait à « occuper » ne le fait qu'au mépris des directives du cardinal Verdier.

Ajoutons que les établissements Allez frères ont établi un accord avec les deux tiers du personnel, mais, l'autre tiers poursuivant l'occupation, la vente aura lieu 1 84 rue Chanoinesse.

Une question

de M. Fernand-Laurent M. Fernand-Laurent vient d'informer le préfet de police qu'il lui posera une question sur les conditions dans'lesquelles, avec son autorisation, une réunion de propagande cégétiste a été récemment tenue dans un local de la préfecture de police.

Tragique répercussion des grèves -un patron orfèvre se donne ta mort

A sqn domicile, .17,. rue de Cléry, M. Lambin, 60 ans, orfèvre, s'est donné la mort à l'aide du gaz d'éclairage. Dans une' lettre adressée au commissaire de police du quartier, l'orfèvre déclarait que se trouvant par -suite de la grève de son personnel dans une situation difficile et ne pouvant plus faire face à sa signature, il préférait mettre fin à ses jours.

A chaque sortie, le gréviste emportait des marchandises Un employé des, grands magasins du Printemps, Pierre Especel, demandait fréquemment au piquet de grève la permission de sortir. Chaque fois, il emportait un petit paquet. Ses absences répétées inquiétèrent ses camarades et on

s'aperçut que diverses marchandises disparaissaient. Des inspecteurs de police judiciaire chargés de sa surveillance l'arrêtèrent au moment où il déposait dans un café un paquet renfermant des articles dérobés au rayon d orfèvrerie. Une perquisition à son domicile, 85, rue des Poissonniers, a fait découvrir divers objets dont il a refusé d'indiquer la provenance. Il a été mis à la disposition du Parquet.

EN PROVINCE

Finistère. Le personnel des entreprises de charbon de Brest a repris le

travail.

Charente. Dans l'impossibilité de faire face aux nouvelle revendications 4 ouvrières, deux usines de Foniafic vien- nent de fermer leurs portes sans espoir j de 1% rouvrir. Cent ouvriers sont ainsi ivduits au chômage.

Haute-Garonne. Quatre grands magasins de Toulouse ont rouvert leurs portes.

Var. La grève des Forges et Chan- tiers de la Seyne est terminée. Rhône. A Lyon, des automobilistes du 14° train des équipages ont aidé au déchargement des primeurs sur ies mar- chés.'

Aujourd'hui, à 16 heures, arrêt dans le bâtiment.

Doubs. A Besançon, deux usines d'horlogerie ont été occupées par les ouvriers.

Cùie-d'Or. A Dijon, terrassiers, plombiers, couvreurs se sont mis en grève.

Moselle. Les mineurs de la Moselle sont en grève.

Loire. A Saint-Etienne, patrons et cégétistes ont signé un accord Matignon. Pas-de-Calais. A Boulogne, le trafic du port de pèche et le commerce de marée ont été rétablis.

Il n'est pas question v

à* une conversion forcée des rentes

Le ministre des finances oppose un démenti formel aux bruits de conversion forcée des rentes répandus hier. Il met en garde l'opinion contre les fausses nouvelles répandues sur les intentions du gouvernement.

*9>

L'EXODE DE L'OR

Cherbourg, 17 juin. A bord du paquebot Quèen-Mary on a embarqué 295 caisses d'or, représentant une Valeur de e 0 250 millions de francs expédiés aux banques américaines.

M. Flandin va mieux

Les médecins soignant M. P.-E. Flandin ont publié le bulletin de santé suivant

« Le président Flandin, complètement rétabli des suites de l'opération qu'il a subie il y a dix jours, a quitté la maison de santé.

» Deux mois de convalescence lui seront nécessaires pour achever la,consolidation de sa fracture. »

Signé Professeur Leriche; docteur Ch. Flandin; docteur René Dumas: docteur Marmonteil.

-»» ̃

Interdiction d'étalages

et terrasses rue de la, Paix et place Vendôme

he- Bulletin municipal officiel public un arrêté décidant que la présence d'étalages ou de terrasses ne pouvant que nuire à l'esthétique de la rue de la Paix et de la place Vendôme, il ne peut être concédé aucun étalage ni aucune terrasse rue de la Paix et place Vendôme.

«_»

Le navire échoué sur les côtes des îles Bahama

est-il vraiment le « Girl Pat » ? Londres, 17 juin. Ainsi qu'il a été annoncé, un petit navire, qu'on croit être le Girl Pat, a été découvert par des pêcheurs des Antilles, désemparé sur les côtes des îles Bahama. A son bord étaient les cadavres de trois Européens. Aucune trace de l'équipage, aucun numéro d'immatriculation.

Comme le bateau avait quitté Douvres avec cinq hommes, on se demande ce qu'ont pu devenir les deux manquants, si toutefois il s'agit bien du Girl Pat, ce qui n'est pas encore certain.

La municipalité de Fez

se prononce

contre les modes modernes Casabl anca, 17 juin. A la suite de réclamations, de quelques vieux Marocains, la municipalité de Fez a rappelé aux femmes indigènes l'obligation de porter le « haïk », manteau de laine Manche qui les recouvre entièrement, et les babouches noires au lieu des babouches brodées. ̃* Les jeunes Marocains protestent ayee véhémence contre cette mesure.

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A San Francisco, un éléphant tue un gardien du Zoo

San Francisco,n juin. Excité par la chaleur, un éléphant du Zoo de San Francisco est parvenu à s'échapper de sa cage et s'est, rué sur son gardien qu'il a tué sur le coup. Aux barissements furieux poussés par l'animal, une panique s'est produite parmi les visiteurs du Zoo.

L'explosion de Tallinn a fait soixante victimes

Tallinn, 17 juin. L'explosion qui s'est produite à Tallinu (Esthonie) a causé soixante victimes. La plupart des l cadavres n'ont pu être identifiés»

NOUVELLES

DIVERSES Une bagarre sur la Canebiëré Marseille, 17 juin. -.Cet après-midi* une trentaine de jeunes gens appartenant au mouvement Croix de feu s étant formés en cortège remontaient la Canebière en chantant. Ils se heurtèrent à des éléments travaillistes.

II en résultat quelques bousculades sans gravité et les manifestants des deux camps se dispersèrent d'eux-mêmes. Le meurtrier de M. Mac Farlan Moore s'est donné la mort Trenlon (New-Jersey), 17 juin. L'individu qui était soupçonné du meurtre de lingénieur Mac Farlan Moore s'est donné la mort au moment ou les policiers s'apprêtaient à l'interroger. Il s'agit d'un ingénieur électricien nommé Jeun-Philip Gebhardt, qui fut interné quelque temps dans un asile d'aliénés. Le château du prince Axel de Danemark est ravagé

par un incendie'

Copenhague, 17 juin. Le château que le prince Axel de Danemark, coui sin du roi Christian, possède près de la capitale danoise, a. été partiellement dértruit par un incendie. L'alarme fut donnée par les deux jeunes filles du prince. Malgré la promptitude des secours, les flammes ont fait des ravages considérables.

EN QUELQUES LIGNES PARIS. M. Lucien Broner, 30'ans, employé à la Bourse, demeurant 61, rue de Lyon, qui passait rue Vivienne, a été frappé, de congestion provoquée par chaleur. On l'a transporté à Bichat. BANLIEUE. Avenue de la République, à Ivry-sur-Scine, l'automobile de Ma Montagné, huissier, a renversé M. Emile Dupré, chef de musique du 1<" régiment d'infanterie coloniale, qui a été admis à l'hôpital d'Ivry.

MAINE-ET-LOIRE. Un avion militaire s'est écrasé dans une prairie, au lieudit l'Orchère, commune de Chaude-fond-sur-Layon près d'Angers les deux aviateurs qui se trouvaient à bord ont été" tués.

Croisière de propagande v en Grèce

Il convient de signaler la belle croisière en Dalmatie, Albanie et Grèce organisée par le Comité de, propagande française à l'étranger et le Cercle Universitaire avec l'appui du. gouvernement yougoslave.

Du 8 au 21 septembre Venise, la Riviera dalmate, l'Albanie, Corfou, Olympie, Delphes, Corinthe, Athènes. Prix de Paris à Paris sur bateau spécial de croisière excursions comprises 1.550 francs pour étudiants 1.160 fr. VOYAGES EN AUTOCAR PULLMANN organisés de juin à septembre

Suisse et lacs italiens, 5 jours. 490 fr.fBelgique et Hollande, 7 jours, 675 fr. Tour de Suisse. 8 jours, -775 fr. Suisse et Dolomites, 12 jours, 1.080 fr. Europe Centrale, 16 jours, 1.480 fr. Tour d'Italie, 19 jours, 1.750 fr. Tour d'Espagne, 19 jours, 1.680 fr.

Ces prix s'entendent de Paris à Paris, fous frais compris

Etant donné les conditions très avanta-» gcuscsvdc ces voyages, dont les prix s'en' tendent de Paris à Paris tous frais compris, s'inscrire rapidement au Comité de. Propagande Française- l'Etranger, 112, boulevard Haussmann, tél. Europe 39-96.

V I G H Y Les Hôtels CARI/rON, THERMAL _*T RADIO sont ouvert»,

A NOS ABONNES

Pour éviter toute interruption dans leur service, nous prions ceux de nos abonnés dont l'abonnement se termine le 30 de ce mois de bien vouloir ne pas attendre le dernier jour pour nous adresser le montant du renouvellement.

La date d'échéance est indiquée sur la bande d'envoi.

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VOIR' EN PAGE 5

la toute dernière création de rc o d a k:

De grandes manoeuvres ont prouvé que la côte

bretonne est bien défendue Saint-Brieuc, 17 juin. Afin, approuver la valeur des dispositifs de sécurité, les ministères de la Guerre et de la Marine avaient prescrit, récemment, que plusieurs avisos, chargés de soldats du 2e colonial de Brest, représentant une importante force navale et transportant une armée ennemie, tenteraient de* forcer le littoral des Côtes-du-Nord, entre Erquy et Saint-Quay-Portrieux, et de s'emparer d'ouvrages d'art, nécessaires à la défense nationale.

Les manœuvres se sont terminées eo matin les troupes du parti kaki (ennemi) ont réussi à débarquer, mais ont été théoriquement anéanties peu après. Mouvements de bâtiments ` Deuxième escadre. La deuxième division de ligne, le groupe des contre-torpilleurs, le ravitailleur >le sous-marins JulesVerne, le torpilleur Bourrasque sont arrivés t Dunkerque le sous-marins Surcouf a quitté Lorient.

Le contre-torpilleur Le Triomphant, venant de Casablanca, est arrivé à Alger. L'aviso colonial Savorgnan-de-Brazza «st arrivé à Papeete.

Les sous-marins Minerve et Iris, venant de Lorient Vénus, venant de Brest,, sont arrivés à Cherbourg le sous-mains L'Es? poit a quitté Palmires à destination .do Toulon»


LE CARDINAL TISSERANT v

reçoit aujourd'hui le chapeau

Par GEORGES GOYAU,

'•'̃ de l'Académie française

l'Association j>pùr Le développement dès études supérieures dans le clecgéAqui se fondait il y a un quart de siècle, se. sent, ces jours-ci, mise à fhûiiiieur Mgr Eugène Tisserant, qui reeojt la pourpre cardinalice, eut jadis, comme jeune étudiant ecclésiastique, des liens intellectuels avec cette Association. Même allégresse, même' iierté, dans un autre groupement,^ d'un- caractère tout différent, dans cette- petite phalange d'anciens combattants français .domicilies à Rome, qui se souvient que le nouveau cardinal fut un soldat et un officier de la grande, guerre, qu'il înenta le ruban rouge; et qu'il est demeuré fidèle à la camaraderie de ses anciens compagnons d'armes.

Lorrain d'origine, son expérience des recherches de' bibliothèque, ses connaissances de polyglotte qui 1 ont rendu maître de douze langues, le rattachent à la lignée des grands prélats humanistes un Etienne Borgia, collectionneur, au dix-huitième sièclé. de nombreux manuscrits coptes unAngelo Mai, qui découvrait, dans la première moitié du dix-neuvième siècle, la République de Cicéron un Meizôfante, qui parlait couramment trente-huit idiomes un Pitra, notre compatriote, expert en hymnograptiïe et dans l'histoire des liturgies. II ne comptait encore que vingtquatre printemps lorsque, en 1908, il devenait, au séminaire romain de l'Apollinaire, professeur d'assyrien. Sa culture érudite était authentiquement française il l'avait parachevée dans cette Ecole biblique de Jérusalem, que 'dirigent nos Dominicains.

Bientôt il avait son pupitre à laBibliothèque Vaticane, au milieu des rayons des manuscrits orientadx, comme « écrivain adjoint ». Les écrivains » de la Vaticane (scrittori) s'occupent beaucoup moins, actuellement, de faire besogne de copistes, à l'imitation de leurs devanciers, que d'établir les catalogues de ce riche dépôt de bonne heure, le futur cardinal Tisserant se fit, par ce genre de travaux, et par ses publications de textes, un nom dans la science. Et cette réputation même le prédestine jouer tôt ou tard un rôle d'élite dans la Congrégation pour les Eglises orientales.

Tout en même temps, il se classait comme un technicien du métier de bibliothécaire. iPie XI, qui; comme préfet de la Vaticane, avait autrefois pu l'apprécier, le chargeait en 1927 de faire connaître dans le Nouveau Monde les méthodes employées en cette bibliothèque pour la conservation des manuscrits il le nommait n 1930 pro-préfet il le chargeait en 1934 d'inaugurer l'école des bibliothécaires, qui bientôt devait compter une trentaine d'eleves il le déléguait en mai 1935 au congrès înternational des Jjiliothèques, qui se tenait à Madrid.

•f. tvv;

On-. comprenait, en écoutant le docte et pittoresque rapport de Mgr Tisserant, pourquoi la Vaticane avait cessé d'être prêteuse depuis plus de trois cents ans. Il racontait, d'après les vieux registres de prêts, comment les emprunteurs de manuscrits, au quinzième siècle, avaient parfois négligé de les restituer comment, vers 1500 on leur avait imposé de verser un cautionnement, qui consistait en un plat d'argent, ou bien en quelque autre volume mais comment SixteQuint, fatigué de certaines négligences et de certaines infidélités, stipu a qu'à l'avenir rien ne sortirait de la Bibliothèque Vaticane sans une autorisation signée de la main même du Pape et comment il voulut que cette décision fût gravée sur le marbre en ce style lapidaire qui condense et perpétue, sur les bords du Tibre, la volonté des Papes après celle des Césars. Mais qu'importait que la Vaticane gardât jalousement ses trésors ? Mgr Tisserant faisait observer que l'usage des photographies dites «hoir sur blanc » rendait généralement autant de services que la consultation des originaux et les perfeëtionnements techniques dont la Vaticane donnait à cet egard l'exemple lui permettaient d'unir à une scrupuleuse vigilance, à un ponctuel esprit de conservation, la plus cordiale générosité d'accueil. _1.C!1. 1 n

Six mois après avoir grauue uc pourpre S. Em. le cardinal BaudrilIart, recteur de l'Institut catholique de Paris, Pie XI introduit dans le Sacré-Collège un autre Français, disciple de ce même Institut; on dirait qu'à deux reprises, coup sur coup, il a voulu donner à la science religieuse française un témoignage d'auguste estfrae la France sentira tout le prix d'un tel acte, et confondra dans sa reconnaissance le Pape qui en fut l'auteur et les prélats qui. surent s en rendre dignes. Georges Goyau, ` de l'Açadémie française.

ÏA VIE RELIGIEUSE Un communiqué

Jde S. Em. le cardinal Verdier archevêque de Paris

Le cardinal archevêque demande au Cleraé et aux fidèles de célébrer avec une particulière ferveur la fête du Sacré-Cœur, le vendredi 19 min. Dans le sanctuaire national de Montmartre, les offices auront un éclat exceptionnel. Le cardinal officiera pontificalement à la g*and'mcsse de 10 heures et. le son, après les vêpres solennelles qui seront chantées à 15 heures, il bénira avec le Saint-Sacrement la Ville de Paris. Les circonstances où nous nous truvons exigent.de chaque fidèle une prière ardente au Cœur de Jésus qui aime .particulièrement la France. Que dans toutes nos églises et chapelles cette journée soit une journée de prières ininterrompues pour demander à Dieu la. concorde et la paix sociale dans la justice et la charité.

UELECTIQN D'AUCCIO Chargée de la vérification des opérations électorales de la circonsenp. tion d'Ajiiccio (Corse), où M- Jean Chiappe. fut proclamé élu, la cinquième souscommission du deuxième bureau a décidé de provoquer une assemblée plénière du bureau demain, pour lui sou. mettre le résultat de ses travaux et lui demander des directives au sujet des mesures d'investigation qui pourraient -lui paraître opportunes.

Les'projets sociaux

devant le Sénat

(Suite de la première page)'

A main levée, ensuite, on adopte le projet.

La question des anciens combattants ne donna lieu à aucune discussion. M. Thoumyre réclama en faveur des anciens combattants autre chose que la modeste réforme proposée par le gouvernement.

Les congés payés

M. Thoumyre, rapporteur du projet sur les congés payes, déclara que la réforme était bonne et équitable et que sur le principe tout le monde était d'accord.

Toutefois, il ne faut pas se dissimuler que la mesure aggravera la situation de notre commerce d'exportation et accroitra le déficit de notre balance commerciale. II faudra laisser aux intéressés, pour la date d'octroi des congés, les plus grandes latitudes possibles. M. Léon Blum promit que les décrets tiendront compte des »écessités de fractionnement en évitant tes formules trop rigoureuses.

M,: Damecour s'inquiéta de la situation faite aux agriculteurs qui, obligés de paver du personnel de remplacement, auront des frais doubles à supporter. M. Donon demanda qu'on laissât employeurs et employés s'entendre directement.

Le président du Conseil assura qu u en serait ainsi.

Et les domestiques ? q

Le ministre du Travail déclara que le Syndicat des gens de maison serait chargé de régler la question.

Mafs il n'existe pas de syndicat en province, fait remarquer M. François Saint-Màur.

Dans ce cas, répliqua -M. Lebas, nous procéderons à une enquête Un. amendement de M. Coucoureux, réclamant un règlement pour chaque dé-

partement, fut repoussé, par 185' voix

coutra 113. fut. l'CPQUSSe,p.aI,'18, VOI:¡

contre 113.

Le contrat collectif '1

̃ M. Bender, rapporteur du projet sur le contrat collectif, demanda au Sénat devoter le texte qui lui était proposé, car il est un élément de paix sociale. Sans doute, déclara M. Lefas, mais il faut qu'il ne prenne pas la forme d'un diktat politique imposé, mais demeure un accord librement consenti.

Même préoccupation chez M. Chaumié, qui ne voudrait pas qu'on aboutisse .à une dictature pTJVrjère et à une dictature patronale, ni qu'on en arrive « à confier les intérêts des ouvriers et des patrons, qui sont habitués à collaborer, la mam dans la main, à des états-majors souvent sans troupes ». Et le sénateur du Lot-et-Garonne ajouta

« Nous devons nous garder de ces états-majors qui, pour tenir en haleine leurs troupes,' ont besoin d'agitation et de bulletins de victoire. »

La discussion générale fut close et on passa à l'ensemble des articles. Le deuxième alinéa de l'article 31 du Code du travail donna lieu à une longue discussion. Il est dit dans cet alinéa que la commission mixte chargée de la conclusion d'une convention de travail est composée des représentants des organisations les plus représentatives de la branche d'industrie, etc.

M. Coty demanda la suppression des in,QXs les' plllS* t, h,:<; *-| r.i *>:i\tj'

il considère ooinme une erreur d'at-

tacher la qualité représentative d?un syndicat atf. nombre de ses inçmbres; Ce que le ministre du Travail nous demande, dit-il, c'est de consacrer le monopole de la C. G. T.

Le président du Conseil intervint pour répliquer qu'en démocratie, c'est la majorité qui fait la loi.

L'amendement de M. Coty fut repoussé par 189 voix contre 108. L'ensemble de l'article fut ensuite adopté et la séance fut levée.

On continuera ce matin à 9 h. 30 l'examen du projet sur le contrat collectif, puis on discutera la semaine de 40 heures.

INFORMATIONS POLITIQUES Le renouvellement

des commissions

de la Chambre

A la commission des finances Les réunions constitutives des commissions de la Chambre se sont poursuivies hier.

il. Jammy, Schmidt (rad.-soc.) a été nommé rapporteur général du budget à la commission des finances, en remplacement de M. Léon Baréty. M. René Brunet (S.F.I.O.) a été nommé rapporteur général adjoint.

En outre, la commission des finances a désigné 34 rapporteurs des budgets particuliers, dont une douzaine échoient a des modérés. Ce sont:

Services d'Alsace-Lorraine: JJ. de Lasteyrie; services judiciaires M. Bonnevay services pénitentiaires M. Schuiman mariije militaire M. Candace enseignement technique M. Petsche commerce M. de Tinguy du Pauët; colonies M. Paul Reynaud chemins de fer d'Alsace-Lorraine: M. Schuman monnaies et médailles: M. Bardoul Légion d'honneur M. d'Audiffret Pasquier Ecole centrale: M. Denals P. T. T. (2e section): M. Morane; Afrique du Nord: M. Serda.

Des communistes sont nommés rapporteurs des budgets de l'éducation nationale, des beaux-arts, du travail, de l'éducation physique et de l'imprimerie nationale.

L'ostracisme du Front

populaire

L'ostracisme du Front populaire, qui sévit pour écarter la minorité de toutes les présidences de commissions, a donné lieu, hier encore, à des incidents. A la marine militaire, les communistes présentaient André Marty qui ne possède pour présider cette commission que des titres discutables. M,. Pinelli éleva une protestation, au nom de tous les nationaux, et posa sa candidature. M. Marty ne fut pas élu.

A la commission d'Alsace-Lorraine, le premier tour de scrutin pour la présidence donna égalité de -voix à M, Schuman, président sortant, et au socialiste Voirin. L'ancienneté devait trancher l'élection. La commission crut devoir procéder à un second tour et M. Voirin fut proclamé élu à une voix de majorité. M. Schuman et la minorité protestèrent en quittant la salle contre l'irrégularité du second tour. P. C. Le rétablissement de la direction générale des services

d'Alsace et de Lorraine Un projet de Joi tendant à rétablir la direction générale des services d'Alsace et de Lorraine a été déposé par le gouvernement sur le bureau de la Chambre. Cette direction générale avait été supprimée par décret^oi en date du 30 octobre dernier, par mesure d'économies et pour « favoriser progressivement la fusion des services généraux des départements recouvrés et des anciens départements ».

L'ancien directeur général, M. Valot, conseiller d'Etat, sera replacé à la .tête de ces services.

A TRAVERS LE COMMERCE PARISIEN i DUREMENT FRAÏ'ÊÊ 1'

SAUVERA-T-ON AUSSI LTOÙSTRIE DE LUXE ?

Partout nous recueillons la même plainte partout s'expriment le même découragement, la même angoisse «Le 'mouvement d'affaires de mai, juin, juillet et août, qui s'annonçait sous d'assez favorables auspices, représentait pour nous le dernier espoir, non de réaliser des bénéfices, mais de faire face à nos lourdes charges, et d'éviter le renvoi d'un personnel, employés et petits ouvriers, dont les heures de travail avaient déjà dû être réduites. Pour eux, ce serait la misère.

» Mais que faire? Notre chiffre d'affaires, qui avait fléchi au lendemain des élections,, est tombé presque à néant depuis, la grève. »

Pour telle grande maison de couture, le chiffre de vente journalier est passé de 50.000 francs à 30.000, puis à 2.000 à peine.

Chez ce magasinier de la rue.SaintHonoré, on n'enregistre guère que des annulations de commandes, faites par de riches étrangères qui ont repris le bateau. « Il est des heures, nous dit-il, où la rue, Saint-Honoré ressemble à une calme rue dé Provence! »

Partout des clients importants et fidèles étaient annoncés par la commission. Ils ont renoncé même à venir à Paris. D'autres, il est vrai, dans la crainte d'une hausse prochaine, se pressent de commander et de se faire livrer leurs commandes.

Mais de quels lendemains désastreux cette prospérité fictive ne sera-t-elle aas suivie ?

On a déjà annoncé la fermeture de la maison Chanel. Beaucoup d'autres maisons, grandes, moyennes ou petites, ne cachent pas qu:elles ne peuvent plus attendre les jours meilleurs, et parlent de fermer leurs portes dès la fin du mois. v !.̃̃

La dispersion

d'une main-d'œuvre d'élite « Non seulement nous ne formons plus d'apprentis, nous avait dit M. Vuitton, mais nos. meilleures ouvrières spécialisées ont dû choisir d'autres métiers. » '̃̃'̃̃

« Une des raisons du prestige de nos maisons de décoration à l'étranger, nous précise M. Leleu, décorateur, est la qualité inégalable de notre main-d'œuvre. » Or, malgré les efforts que nous

L'ART

ET LA CURIOSITE A L'HOTEL DROUOT

La Bibliothèque Louis Barthou a produit 6 million. SZO.OOQ fr. L'a splendide collection de feu Louis Barthou est aujourd'hui entièrement dispersée et son ex-libris enrichit de multiples bibliothèques. La vacation ultime, qui eut lieu hier, était dirigée par Mes G. Albinet et Etienne Ader, assîâtés de MM. Auguste Blaiaôti' et fils 1 elle offrait quelques'" documents ;T" W •fois'iprécieux et émouvants, parmi les- quels onze lettres autographe». 4? Ait thur Rimbaud à sa mère et a sa soeur Isabelle, épîtres désespérées datées de l'hôpital de la Conception à Marseille, et précédant de quelques semaines la mort du poète. Ce dossier, d'un intérêt inestimable, fut adjugé 16.000 francs à Mme Davis.

Citons encore un manuscrit de Mme de Noailles La Grèce, ma terre mater- nelle, 1.380 francs; une lettre auto^graphe de Racine à sa sa'ur Marie, 5.500 francs Une lettre de Mme de Sévigné, 2.350 francs trois lettres de Voltaire, 3.000 francs, et deux pages 1 autograpbes de Wagner esquisse mu- sicale inédite pour la Mort de Siegfried, 11.500 francs. Cette dernière séance totalisa 90.000 francs.

La collection du marquis

José de La Pena

Dans les salles 7 et 8 réunies pour cette dispersion superbe, dont la première séance eut lieu hier, par les soins de Me Alph. Bellier, assisté de MM. Vandermeersch et Tournet, ce der.nier pour la première fois expertisant dans une grande vente, les céramiques anciennes de ila Chine dont il est grand spécialiste, un public nombreux et fort élégant se disputa des pièces de choix, parmi lesquelles Deux Chimères d'époque Yung-Tching, firent fr.000 francs deux grues en porcelaine blanclie, époque Kien-Ming, 11.000 francs -deux coqs, même époque, 8.000 francs deux faucons en porcelaine décorée,, 7,90,0 fr. et un petit paravent Coiomandel, 4,900 francs.

Collection de M. L, U-% Me Edmond Petit, assisté de MM. Leman, Léonardon et Terrissé, coramen. çait cette très intéressante dispersion, à la salle I. Il obtint parmi les bois sculptés 3.550 francs pour un groupe: Vierge debout portant l'Enfant Jésus 4.000 francs pour deux grandes statuet.tes La Vierge et Saint Jean 4.650 fr. pour un groupe Saint Pierre guérissant des malades et 4.100 francs pour une petite statuette Sainte femme debout. La vente continue aujourd'hui. Succession de M. et de Mlle X. Achevant cette vente, en compagnie de Guillaume et Dillée, M" René Audap a noté 1.200 francs pour deux fauteuils d'époque Régence 1.650 fr. pour une tapisserie d'Aubusson du xviii'. 3.600 francs pour douze chaises d'époque Louis XV et 2.000 francs pour un bureau dos d'âne, d'époque Louis XV.

Maurice Monda.

DEUX INTERESSANTESVACATIONS

Me René Audap les dirigera toutes deux. La première, comportant des meubles, objets d'art et des armes anciennes, aura lieu le mardi 23 juin, après exposition la veille, à la salle 11, avec l'assistance de MM. Fôury, Guillaume et Dillée. La seconde, consacrée à de beaux bijoux (chaîne d'huissier brillants, bague et barrette brillants, argenterie vermeil d'Odiot), aura lieu, à la salle 8, le jeudi 25, après exposition la veille, avec l'assistance de MM, Reinach et Cfyarraud.

Ventes d'aujourd'hui

HOTEL DROUOT. Salles n"' 7 et 8 réunies. Vente. Collection du marquis José de la Pena y Perez de Guz*man el Bueno. Dessins et gravures. Objets d'art et d'ameublement Me Ai,ph. Beu-isn MM, Rousseau et Aneel, experts.

HOTEL DROUOT. Salle n' 11. Vente. Succession' de Urne la pria'cesse G. née Van Rensimer (3e vente). Objets d'art et d'ameublement, prjhci»^paiement du.xvjii" siècle. Sièges et meu£jcs, m M*« Raymond Ouoabd et Paui, Motel MM. Rousseau, Lamy, Allain et Robinsol».

HOTEL DROUOT. Salle n" 12. ~r Vente- Objets d'art d'Extrême-Orient. ̃M* Etienne Ader M. Portier.

avons faits pour nous adapter à la crise, notre situation est désespérée. L'Exposition de 1937, elle-même, nous apparait bien lointaine.

» Les commandes, que le coup de force allemand du 7 mars avaient fortement ralenties, ont été arrêtées brutalement par les récents événements. » D'autre part, comment supporter une augmentation des prix de revient de trente pour cent, alors que le Tendement net de nos affaires, et dans lès meilleures années, atteint rarement huit à dix pour cent?

» Faudra-t-il laisser se disperser cette main-d^ceuvre d'élite qui a été formée par plusieurs générations d'artisanat ? » Pourtant, croyez-moi, cette éventualité est l'affaire de quelques semaines. » Une détresse sans remède MM. Lebianc-Barbedienne, président de la Fédération des Métiers d'Art, et Fouquet-Lapar, président honoraire de la Chambre syndicale de la bijouterie, joaillerie, orfèvrerie, nous expriment le même souci:

Notre main-d'œuvre est comprise, en partie d'ouvriers attachés à notre maison, en partie de « façonniers » travaillant en ateliers familiaux. Ces derniers sont considérés par la loi comme de petits patrons. Ils n'out pas le droit de s'inscrire au chômage. Leur détresse sera sans remède. »

< II faut réagir ï

Non seulement les: événements se sont chargés: ̃ d'anéantir ^l'espoir qu'avaient fait naître l'amélioration des conditions mondiales et les efforts heureusement tentés par notre haut commissariat du Tourisme pour ramener à Paris la clientèle étrangère* mais une campagne de jausses nouvelles acliève actuellement de détourner de notre pays les quelques touristes qui n'avaient pas renoncé à venir y séjourner: il importe de faire cesser au plus tôt ces campagnes. M. Massin, nous l'avons vu, réclamait un abaissement massif des impôts qui frappent le commerce de luxe. L'accord, sur ce point, est unanime.

Certains ont suggéré la création, a l'usage dès étrangers et à l'instar «e l'Allemagne et deTItalie, d'une monnaie spéciale.

e Mais cet expédient, pense M. Paul David, est le signe des nations en état de décadence économique. »

Beaucoup de ceux qui sont frappes, nous le savons, entendent réagir énergiquement, et envisagent des solutions qui n'excluent ni'le courage, «i une large compréhension de la situation présente et venir.

Qu'its nous écrivent.'

Le Figaro se fera un devoir d'ouvrir ses colonnes à leurs suggestions. Ce qui est certain, c'est que le temps presse. Beaucoup de nos" industries de luxe, dont l'existence était déjà précaire, n'auront pas la force de supporter le nouveau choc qui leur est imposé. Leur écroulement aurait sa répercussion sur l'économie nationale tout entière. Leur salut nécessite peut-être 'déjà de très .Urgentes ̃" mesures de sauvegarde.

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EMUE DARD Le Général

Choderlos de Laclos Un des « Lanceurs » de

̃ ^.4o,oluH^n.\ française

Un volumje 20 frs Librairie Académique Perrin

LA CURE AMOUREUSE Les intrigues légères, rapides et passionnées qui se nouent et se brisent dans les villes d'eaux. La vie frémissante de ceux qui les fréquentent c'est tout cela que G. Réval a raconté dans ce livre où' de nombreux habitués des stations thermales se reconnattront. (Les Ecrivains Associés, éditeurs. Un vol., 12 francs).

Vente sur .çpnyers, de saisie et s. baisse âe m. à prix, Palaja Paris, le mercredi § juillet 1936, à 14 h., en un seul lot s

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d'autrui, sb.:S, Païis 10 et 13, In»»- Cœur-

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RADIO

Jeudi 18 juin

20 k., MIDLAND REGIONAL Concert choral et orchestral relayé de Covenlry Cathédrale (direction A. Boull) Réjouis-toi dans le Seigneur, 0 Jérusalem XPurcelf) Symphonie en ré (Brahms) Ave Atque Voie (Stanlord) Pour tous tes Saints (Williams) 20 A. 30, TOUR EIFFEL Concert avec Mme Pradier, pianiste Fantaisie chromatique et jugue d (Bach) Varintions sur Lison dormait (ttexart) v Pavane (Enesco) Clairières à minuit (LaeXmU rault) Mouvements frcpétuels et Toccata (Pou- p lenc). f 20 h. 30, PARIS P. T. T. Moineau, opérette f en trois actes de Duvernois et P. Wolff, musique de Louis Beydts Orchestre et chœurs sous la di- r rection de Vaûleur.

20 h. 45, RADIO-PARIS Concert sym-tkanique f' par l'Orchestre National sous la direction de D.-E. Ibghelbreeht Symphonie (Lazari) Tei/attc, pour violon et orchestre (Ravel) Maseppa (Liszt) e Ouverture de Pelyeucte (Dukas). ̃

ORCHESTRE `

20 h., BRUXELLES FRANÇAIS Œuvres <fe Mendelssohn, Beethoven, Lisst, Granadoe, Brusset- 1 mans, Wangeritiée. }

20 h. 30, LYON' P. T. T. Concert sous la di-. rection de J. Witkowski (Œuvres de Chausson, Ri- I vel, Witkowski, Franck. Chabrier). 1 21 li SUISSE ROMANDE Concert choral. 21 h. 20, LUXEMBOURG Concert avec le 1 violoncelliste J. Serres Concerto pour violon- 1 celle et orchestre (Dvorak) Quatrième Sympho- nie (Brahms), 1

22 h. 10, BUDAPEST Orchestre de l'Opéra. é 22 h. 20, NATIONAL ANGLAIS Orchestre 1 de la B. B. C.

MUSIQUE DE CHAMBRE ET 80LI 1 9 h. 30, RADIO-PARIS Orgue. 14 h. 30, POSTE COLONIAL Œuvres de Mo- t zart, Ferroud, Saint-Saëns, Poulenc. t

15 h., RADIO-PARIS Pièces pour piano de j Schubert. t

18 h., PARIS P. T. T. Concert d'orgue. 18 h. 30, NATIONAL ANGLAIS Musique t spirituelle. t

19 h. 51, POSTE PARISIEN i Wiener et ] Doucet

20 h., RADIO-PARIS Mélodies.

20 h. 10, SUISSE ROMANDE Œuvres de Max Reger pour orgue. OPERA 19 h. 30, PRAGUE Fra Diavolo (Aubér). 20 h. 10, RENNES-BRETAGNE L'Opéra- Comique Cyrano de Bergerac (Alfano). 20 h. 10, LANGENBERG Rigoletto (Verdi). 20 h. 45, ROME Haîka (Moniusiko). 24 h., STUTTGART-MUHLACKER Fragments d'opéras allemands,

THEATRE

17 h., RADIO-PARIS Dédain contre dédain, 3 actes de A. Moreto (1650).

20 h. 30, STRASBOURG La Comédie-Fraij.çaise La souriante Madame Beudet (D. Amiel) et A Obey). avec MM. Lafon, Bacqué, Le Marchand, Màrtînelli et Mtaes Bretty, Fabêr, SuHy, Barjac, Brou, Sophie Arnoult (G. Nigond), avec M1. Escande et Mmes Bretty et Faber.

20 h. 30, MARSEILLE L'Odéon la Ca- inotte (Labiche).

20 h. 30, TOULOUSE-PYRENEES Nationale 6 (J.-J. Bernard) Les Honnêtes femmes (H. Bac. que).

21 h. 30. POSTE PARISIEN Tête de mort, enquête policière réalisée par M. Diamant-Berger.

Vendredi 19 juin

Les projets du nouveau ministre des P. T. T. qu'il a confiés à M. Warnod réjouiront les auditeurs musiciens et particulièrement les fervents de l'école française des xvu" et xvm» siècles. Une semaine Rameau, quelle aubaine Suggérons d'emploi fréquent du clavecin, instrument radiogénique par excellence on souhaite par exemple un cycle Couperin où l'on pourrait faire entendre intégralement les quatre livres. Et combien d'autres musiciens dont les œuvres sont mal connues, les Marchand, les Chambonnières, les Le Bègue et toute la dynastie des Couperin Ce soir, le clavecin est à Stuttgart. P.-D. T.

20 h. 30, PARIS P. T. T. Emission fêdénte La Comédie-Française ..̃ Madame Caverlet, pièce en quatre actes de E. Augicr, présentation par E. Sée, avec MM. Monteaux, Lajon, Weber, Escande, Debucourt et Mmes Ventura, Gabarre.

21 h; 10. STyXTGART-MUBi.ACKBR .'•#«-

S'QtS 'tK'wwlfc &ncfennè si vrio Mur viole' dlAMga

gambverlttwcm' ($.rteVicV) 7 frilude 'tn"WwF

neur La Triomphante, pour clawrin dRmtteauî-jLes Grâces incomparables Le Tic-Toc-Ckac ,{Cjniperin) Fartita pour .viole d'amwr* et <*«W- fin (Pettddy Sonate en ut majeur pour titube et clavecin (Haendel).

22 A. POSTE PARISIEN t Théâtre- ndhphonique Valse d Automne, pièce en un acte de :Luce Laurand, réalisatimt A. Allchaut. `

22 h. 20, NATIONAL ANGLAIS Musiw

DE LA ̃ \Z3h

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aHROrSIQUE DU Dr G. L,IËVKE

LA VIE, PHENOMENE ELECTRIQUE

J'entends dire autour de moi IJpndothéraple ? Question de mode aujourd'hui vous avez trouvé cela, demain vous trouverez autre chose.

Je voudrais, avant d'aller plus loin, révéler à mes lecteurs les raisons qui font que l'emploi de l'Ondothérapie en médecine n'est pas une question de mode, mais bien une question fondamentale. Je le ferai le plus simplement possible. écartant volontairement les locutions et les mots scientifiques, avec le seul désir d'être clair, et 1 espoir de convaincre.

Les travaux des plus grands physiciens de notre temps, depuis d'Arsonval jusqu'à M. et Mme Jolliot-Curie, en passant par les Langevin, les Curie, les P errin et tant d'autres, ne permettent plus de douter que l'électricité est la base même dé la vie.

Les atomes dont est formé le corps humain sont chargés, dans une propor- tion définie d'électricité positive et négative. C'est de cet équilibre entre les deux lettres d'électricité que résulte 'état de santé. Vient-il à se modifier soit par prédominance de l'élément posittf, ou par prédominance de l'état négatif. et c'est la maladie. Cela est si vrai que toute rupture de cet équilibre entraîne dans nos humeurs les modifications mesurables par des procédés analytiques, (c'est le fameux PH. bien connu des médecins). Traiter la maladie, c'est donc s'efforcer de ramener à la normale l'équilibre électrique rompu.

f "i

Pour atteindre ce but et, suivant les jrogrès de la technique qui mettaient ;ntre leurs mains des moyens de plus :n plus perfectionnés, les médecins utilisèrent d'abord la galvanisation (courant continu de piles), la faradisation [courant alternatif), puis l'électricité statique. Ces différentes méthodes, qui prétendaient, pour quelques-unes, introduire dans l'organisme un apport [l'énergie électrique très discutable, firent place, après les travaux de d'Arsonval, à la diathermie d'abord, puis, enfin, aux ondes courtes.

C'est alors que le miracle commence. Sans contact, sans danger, sans aucune douleur, les ondes courtes, en permettant de placer les malades dans un champ oscillant, réalisèrent un véritable bain électrique qui allait bientôt se révéler comme le plus puissant régulateur, le plus efficace rééquilibreur de l'organisme.

Agissant sur les organes eux-mêmes, les ondes courtes allaient devenir le grand réorganisateur, le policier idéal, qui remet chacun à sa place et ramène 1 ordre dans la maison.

contemporaine Jonas, oratorio de L. Berkeley (Soli, chœur et orchestre de la B. B. C. sous la direction de Clàrence Rayboult).

22 h. 45, RADIO-PARIS: Concert de nuit, direction Gaillard La Dame Blanche, ouverture (Boteldieu) Symphonie Oxford (Haydn) Minuetto (Bolzoni) Suite pour cordes (Bach) Petite Suite (Debussy) Scènes humoristiques (Léortard) Pastorale (Hannegger) Sérénade Uacob) Air de Danse (Delibes) Danse des bouffons (Rimski-Kortakoy)).

ORCHESTRE

17 h., PARIS JP. T. T., puis RADIO-PARIS Concert.

19 h., BRESLAU Concert choral.

20 h., LONDRES REGIONAL Musique religieuse anglaise.

20 h., MIDLAND REGIONAL CEuvres chorale» de Byrd, Eccard, Wesley, Bach, Parry, Wood, Tschaikowski, Bairstow, Uarke.

20 h, 10 HAMBOURG Symphonie en mi mineur (Dvorak),

21 h., VARSOVIE Concert sous la direction

deRkeibà'g Œujjres^de Yivatdi; soytowjcz, Mo-

%lù h. 10, KŒNIGSWUSTERHAUSEN Soirée Beethoven.

21 h. 30, LONDRES REGIONAL t Symphonie en la mineur (Raff).

22 h.'20. VIENNE 9- Symphonie (Beethoven). MUSIQUE DE CHAMBRE ET SOLI 14, h. 30, POSTE COLONIAL Concert avec Mme Girard, cantatrice, et Y. Le Marc'Hadour.

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Et de fait, les résultats, dépassèrent toute, espérance. Successivement, les maladies des articulations et des osr rhumatismes, arthrites, entorses, les maladies des nerfs, névralgies, sciatiques, les maladies de la circulation, hypertension, angine de poitrine, varices, hémorroïdes, les maladies des femmes, salpingites, ovarites; métrites, les maladies de la peau, furoncles, anthrax, guérirent dans des proportions jusqu'alors inconnues. Enfin, le grand mystère des glandes endocrines s'éclaira d'un jour nouveau. Des adultes déficients avant l'âge, des enfants que l'insuffisance de leurs glandes retardaient à la fois dans leur développement physique et intellectuel, regagnèrent en quelques mois le terrain perdu.

Ces résultats, qui' peuvent paraître, mystérieux, s'expliquent de la façon la plus simple et la plus logique. Ils ne sont pas dus seulement au fait que nous possédons maintenant des énergies jusqu'alors insoupçonnées, mais aussi, et surtout, au fait que nous pouvons dorénavant atteindre directement des organes jusque-là inaccessibles à toute thérapeutique physique inoffensive. C'est ainsi que les ondes courtes bien dirigées peuvent, sans le moindre danger, agir sur la moelle osseuse et le liquide céphalo-rachidien. Mieux encore, un spécialiste averti peut, en sélectionnant les fréquences, agir séparément sur tel ou tel organe, et doser exactement le médicament électrique suivant l'action qu'il en attend.

Comment s'étonner, dès lors, des résultats que tous les jours j'obtiens à l'Ondorium Français ? Comment mettre en doute le témoignage des malades eux-mêmes qui me demandent, à titre purement humanitaire, de publier leurs observations ? Seuls quelques obstinés continueront peut-être à fermer les yeux ? La poussée irrésistible dé la vérité se chargera bientôt de faire tomber leur bandeau. J'espère simplement que ceux qui souffrent ne paieront pas trop cher l'obstination intéressée de mes detracteurs. C'est le souhait que, très sincèrement, je forme pour les malades. Docteur G. Lièvre,

ancien chef du Laboratoire

de radiologie de la Faculté,

à l'hôpital Beaujon.

N.-B. Les médecins et les malades que cette question intéresse recevront franco, sur simple demande adressée à l'Ondorium Français, 28, rue de Villejust, Paris (16e), l'ouvrage du docteur Lièvre sur « les Ondes qui guérissent ».

16 h., RADIO-PARIS Œuvres de Mozart, Ibert, Roussel.

18 h. 30, NATIONAL ANGLAIS Concert spirituel.

20 h., RADIO-PARIS Chansons populaires de la Saintonge.

20 h. 30, TOUR EIFFEL Œuvres de Schubert, Lekeu, Busser, d'Indy, Ropartz, Ibert. Szymanowski.

22 -h., BUDAPEST Trio de pianos.

22 h. 30, KŒNIGSWUSTERHAUSEN Sonate pour flûte (J.-S. Bach).

22 h. 30, LUXEMBOURG Sonate pour viqloncelle et piano (Pfitzner).

OPERA

20 h. 25, STRASBOURG L'Opéra Le Coq d'Or (Rimsky-Korsakow) L'Amour Sorcier (Fajl.a). VARIETES

11 h., RADIO-PARIS Concert.

20 h. 17, POSTE PARISIEN <t Sous la lampe ».

20 h. 45, RADIO-PARIS L'Amour Masqué, opérette en 3 actes, musique de Messager. LA PAROLE

18 h. 3tf, POSTE PARISIEN U. demi-ijïure de .la 'femme, avec Mme Colette.

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Ce soir 18 juin, à 16'heures, au Studio des P. T. T., Mlle Pierrette Lys interprétera quelques œuvres humoristiques du compositeur René Qui.gnard, dont l'esprit musical fin et caustique a si bien su harmoniser La Fontaine.

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-̃'̃̃qOURRŒR- DES LETTRES

lES LIVRES NOUVEAUX US CONQUISTADORES "̃'̃j'L\. par Maurice Noury

M. Maurice. Noury dédie son livre .Les Conquistadores (Tallandier, éditeur) à « tous ceux qui demandent au roman de les aider à s'évader par les chemins du rêve, loin des banalités, des mesquineries et des cruautés quotidiennes ». S'il réussit à nous entraîner, en effet, loin des banalités et des mesquineries, M. Maurice Noury ne nous conduit pas pour autant dans des régions où règnent la paix et la douceur de vivre.

Ses Conquistadores ont pour ambition, de conquérir, en faire don à Charles-Quint de l'or en si grande quantité que non seulement il sera possible d'en forger d'innombrables épées et couleuvrines, mais même de le lancer tondu et bouillant sur les ennemis de l'Empire.

Leur chef François Pizarre, pourvu de parchemins délivrés par l'Empereur, et lui donnant le commandement de l'expédition, entreprend de partir pour Panama d'où il compte aller explorer le Pérou, où chaque pierre est une pépite. Des chevaliers, des moines, des hommes d'équipages au nombre de plusieurs centaines l'accompagnent. Les passagers conquistadores passent par des alternatives d'espoir et de désespoir, auxquelles l'arrivée au Pérôu ne .met pas fin. Les pouvoirs occultes continuent leur action. Des sorts sont jetés, des embuscades tendues. ̃lia desunion.se met. dans le camp des conquistadores. A maintes reprises, la charmante idylle qui s'est nouée entre Diego et la jeune Maria de San José embarquée en cachette, semble compromise et à jamais brisée. Grâce au bon génie, il n'en sera rien, elle sortira définitivement victorieuse de ces luttes dramatiques.

Roman, en somme, plein de vie et de pittoresque. P. L.

Lettres de Prosper Mérimée à Mme de Beaulaincoart

1866-1870

(Calniann-Lévy, éditeurs)

<M. Maurice Pàrturier s'acquiert de nouveaux droits à notre reconnaissance en publiant, aujourd'hui, ces quelque quatre-vingts lettres que Mérimée adressa au cours des quatre dernières années de sa vie à la fille aînée du niaréchftl de Castillane.

Dans son introduction, M, Parturier note que lorsque la correspondance gè~nérale de Mérimée, classée, expliquée, annotée, aura été publiée, on découvrira le vrai visage 4e auteur du Théâtre de Clara GazuV.

La remarque vaut déjà pour cette série de lettres, qui nous montrent Un Mérimée, déjà touché par la maladie nui devait l'emporter, mats aussi attentif h ce qui concerne ses amis, aux préoccupations générales et particulières de cëtix dont il-est éloigné, que fidèle k ses opinions politiques et littéraires, et t ^oubliant pris 4ftS obligation.».. de rses~ chargés. Le ton prinie-^SÙHet' *de, cette correls. potidancé est bien' tait pour nous .charmer et nous faire mesurer cëqùi sépare notre époque, qui ne connaît plus la lente douceur de vivre, et celle. disons des crinolines. Mérimée, de -Cannes et de Nice, où il séjourne pour sa santé, s'intéresse à toua les familiers laissés à Paris, aux uns 'et aux autres qui gravitent autour de l'Empereur et de l'Impératrice. Il est au courant de tout, et personne ne vient à Nice et environs sans le-voir. H s'exprime librement à leur sujet, et la confiance est assez absolue pour qu'il passe tour à tour du grave. au. plaisant les potins parisiens alternent avec des jugements sur Bismarck, le roi de Prusse, le Pape, M. Thiers. Achille Fould,_ Gârjbaldi, ou les événements de la politique, soit étrangère, soit française.

Une question se pose qui était donc cette correspondante, avec qui l'auteur de Cunnçn se montre si; entièrement luimême ? M. Maurice Parturier a pris son de nous renseigner sur elle dans son Introduction. H retrace en quelques pages sa vie, son double veuvage et situe la place exacte qu'ellu a tenue dans les sentiments de Mérimée. Comment a-t-on pu ïajrerà celui-ci le reproche d'égoïsroe et de sécheresse, déjà démenti par ses lettres à une Inconnue? -z Sa correspondance avec Mme de Beaulaincourt donne au contraire la mesure exacte de la délicatesse de cet épicurien nombre de billets annoncent l'envoi de fleurs, choisies sinon cueillies par lui-même, -et qui servaient de modèles à celle que Marcel Proust a con>. Due au début de ce siècle et dont il.a fixé les traits, dans Le Côté7 de Guermantes. sous le nom de la marquise de

Vitleparisis.

v A. T. B.

Courrier des Arts Les Prix Blumenthal

Les Prix Blumenthal, d'une valeur de 20,000 francs, ont été décernés hier pour la peinture à MM. Jules CavaiUes et Xitutree.

&f. Jules Cavailles est un artiste de

JuJIes Cavailles/ lauréat du Prix Blumenthal, par Lui-même.

grande valeur. La couleur et la lumière sont les deux éléments qui, pour lui, comptent le plus. Chacune.de ses toiles est comme une symphonie colorée orchestrée avec une grande sûreté et Un goût très sûr, et la lumière joue son rôle. Le choix de ce lauréat est particulièrement heureux.

Lautrec est un tout jeune peintre. Il a à peine vingt-cinq ans. Une exposition qu'il fit dernièrement dans une petite galerie de Montparnasse montra la richesse de dons qu'il pourra, grâce au Prix,, développer libremeat

THEATRE Mme Argentina

dans L'Amour sorcier » à l'Opéra 1

La. reprise de L'Amour sorcier, de Manuel de Falla, qui' aura lieu demain soir ou théâtre de l'Opéra, par Mme Argentina et la compagnie de bal- let espagnole qu'elle a recrutée pour réaliser ce projet, en tête de laquelle s'inscrivent le fameux danseur Vicente Escudero et notre mime réputé Georges Wague, est un événement artistique qui retient particulièrement l'attention en cette fin de saison parisienne* Seule,, en effet, Mme Argentina' possède le secret la véritable version établie pour elle lorsqu'elle créa ce prestigieux ballet, au théâtre Beriza, en 1926, Elle le travailla alors dans les moindres détails avec de Falla lui-même, qui en

Mme Argentina et M. Escudero dans « L'Amour sorcier ».

conduisit au pupitre les représentations. L'Amour sorcier n'est pas, à vrai dire, un ballet ordinaire, mais un scénario féerique qui évoque dans une atmosphère pittoresque riche de couleurs, caractérisée par un mélange tfès curieux de fantastique et de réalité, les superstitions touchant au paganisme des gitanes'andalouses un ballet pantomime qui va permettre au tempérament des deux plus grands danseurs. espagnols, Mme Argentina et M. Vicente Escudero, qui auront en la personne de Georges Wague un remarquable partenaire, de se manifester sous un aspect tout fait nouveau et particulièrement évocateur, dans un décor de M. Gustavo Bacarisas. Les soli seront chantés par Mlle Schenneberg, de l'Opéra, l'exécution musicale de la partition de de Falla étant confiée pour la circonstance au maître Paul Paray. A.

Argentina à l'Opéra.

Demain soir, pour le premier des spectacles de danse espagnole de Mme Argentina et de sa compagnie de ballets espagnols, à 11 heures L'Amour Sorcier de Manuel de Falla, sous la direction de M. Paul Parey, dans le décor et les costumes de M. Gustavo Bacarisas. Soliste du chant, Mlle Schenneberg. On commencera à 8 h. 30 par la reprise du Coq d'Or de Rimsky-Korsakow, pour la rentrée de la réputée cantatrice, avec Ja distribution qui a été publiée.

PROGRAMME DES THEATRES

THEATRES EN MATINEE v

COMEDIE-FRANÇAISE (Richelieu 22-70), à 2 li. :.Nicomède, de Corneille (MM. Alexan- dre, Jean Hervé, Chambreuil; Mmes Del-! vair, Véra Korène, Henriette Barreau, etc.) La Bonne Mère, de Florign (MM. Pierre; Bertin, Le Goff, Echourin, Mmes -Berlue-; Bovy, Madeleine Renaud, Jane Faber). ODEON (Danton 58-13), à 2 h. 30 Le Misanthrope (M5f. Raymond-Girard, Lucien Pascal, Chamarat, Guy Parzy; Mmes Eva Reynal, Jeanne Marges, 'Odette Brianue). La partie de chasse de Henri IV (MM. Paul Amiot, Darras, Baconnet, Lucien BryDnne; Mmes Suzanne Courtal, Madeleine Romani, Paulette "Marinier, etc.) Même spectacle qu'en soirée

Deux-Masques, 3 h.; Gymnase, 3 h. Nouveautés, 3 h.; Palais-Royal, 3 h.; PorteSuint-Martip, 2 1». 30.

EN. SOIREE:

OPERA (Opéra 59-59), relâché.

Demain L'Amour Sorcier Le Coq d'Or. COMEDIE-FRANÇAISE (Richelieu 22-70), à 8 h. 45 L'Ane de Buridan. comédie de Robert de Fiers et G.-A. de Caillavet (MM. Ledoux, Pierre Bertin, Escande, de' Rigoult Mmes Madeleine Renaud, Irène Brillant, Henriette Barreau, Marcelle Gabarre, etc.) ̃

Demain, Le Chant du Berceau; Le Voyage à Biarritz.

OPEK ATOMIQUE (Richelieu 72-00), à S h.: Werther (M. Giuseppe Lugo, Mlle Stabelli, Mlle Jane Rolland; MM. Lanzone. Mortujier). Orchestre M. E; Cohen. On commencera, pai; Vieux Garçons. (Mlle Second!, MM. Rousseau, Baldous, Couret, etc.)..Orcliesti'e •: AJ. E. Picheran.i: Vit, Demain Carmen.

ODEON (Danton 58-13), à 9 h. La Fleur d'Qranffer, de MM. André' Birabcau et Gèorkes Dolley" (MM. André Wasldy, Roger Claîr^al, Baconnet; Mmes Paulette Marinier, Blanclie Dars, Suzanne Courtal, Re- née Simonut, etc.)

Demaiu La Fleur d'Oranger.

ATHENEE (Opéra 82-23), à 8 h. ,45 La Scintillante, de M. Jules Romains (Mlle J, Neels, Romain Bouquet, Adam Bogar, Maurice Castel, etc.) L'Ecole des femmes (MM. Louis Jouvet, Bertheau, Romain Bouquet, Maurice Castel, Mmes Madeleine Ozeray, Raymone).

MADELEINE (Anjou 07-09), à 9 h. 25 Mon père avait raison, de M. Sacha Guitry. (MM. Sacha Guitry, Gaston Dubosc, Paul Bernard; Mmes Jacqueline Delubac, Betty Dausmond, Pauline Carton, etc.) MATHURINS (Cie Pitoëff) (Anjou 90-00), à 8 h. 45 Tu ne m'échapperas jamais!, de M. Pierre Sabatier. (MM. Pitoëff, R. Dagand, Louis Salou; Mmes Ludmilia Pitoëff, Alice Dufrène, Nora Sylvère, Madeleine Milhaud, etc.)

MICHEL (Anjou 35-02), à 9 heures Trois. «ix._ neuj. de M. Michel Duran. (MM. André Luguet, Jean ^Vall, Blancard; Mmes Suzy Prim, Monthal et Meg Lemonnier).

Feuilleton du « Figaro» du 18 Juin

LE YACHT MYSTÉRIEUX

CHAPITRE XL

La gageure

(Suite) .̃'

Ils eurent immédiatement la "solution de l'énigme d'un côté de la table était assis lord Furbcr, de J'autre M. Septimius Sutherland, et, manifestement, la foule connaissait l'identité des deux personnages. Mais la solu.tion, si en un sens elle résolvait l'énigme, ne faisait dans un autre qu'épaissir Je mystère. Car millionclaires 'et financiers distingués ne s'abaissent jamais à l'enfantillage de la roulette. Ils jouent au baccara. ou nejouent à -rient- --̃ .-•̃-•

Concours du Conservatoire

VIOLONCELLE

Journée intéressante, par -l'exécution plus que par la lecture. D?une maniere générale, les jeunes filles, plus nombreuses (dix-sept sur vingtsix concurrents), ont été aussi, àde rares exceptions près, les plus remarquables. Cinq lauréats à distinguer M. Theurer, excellent instrumentiste, lecteur sans aucune défaillance M. Albin, qui n'a que quinze ans et révèle une jolie nature de virtuose Mlle Demonceau, sa contemporaine, dont la lecture a été éclatante et le jeu est plein de charme 'Mlle IJeuclin, de qui les quinze printemps sont déjà riches d'élegante et brillante virtuosité; Mlle Moroney, qui a vu sa jeune autorité, sa technique solide et ses qualités de musicienne récompensées par tm premier prix.

Le morceau de concours, parfaitement choisi, était le finale du Concerto de M. C.-M. Widor la lecture à vue était de M. Eugène Bigot. Le jury, composé de MM. Henri Rabaud, président André Bloch, Marcel Tournier, Joseph Salmon, Pollain, Maurice Maréchal, André Lévy, Etienne Pasquier, Marchesini et Jean Chantavoine, secrétaire, a décerné les récompenses suivantes Premiers prix M. Theurer* Mlle Moroney, Mlle Magnan, M. Albin, Mlle Ganuza, M. Sarrazin.

Seconds prix Mlles Paul, Flachot, Castel Çoupigny.

Premirs accessits Mlles Demonceau, Heuclin, Billard, Quellier, M. Labadie,

Seconds accessits M. Becker, Mlle Darguier de Saint-Vaulry,/M. Loewenguth, Miles Laux et Corné.

Le concours d'aujourd'hui VIOLON (femmes)

Morceau de concours Premier mouvement du Premier Concerto de Paganini.

Candidates Mlles Bikelas, Petit, Chariudet, Marcadet, Plazonich, Borde, d'Astier de La Vigerie, Artopoulps, Ibos, Altouniari, Charmasson, Jeanne, Martinet, Ghallet, Sorbets, Demo<nceau (Ghislaine), Guignard, Delanoue, Chapel, Blum (Lise), Rossi, Vincent. Huyghues de Beaufond.

A la Comédie-Française. M. Debucourt paraîtra pour la première fois à la Comédie-Française, le lundi 22, dans le rôle de Valère de L'Avare, avec MM. Denis d'Inès, Jean Webér, Pierre Dux, Dorival, Chambreuil, Echourin, Balpétré, Bonlfas Mmes Andrée de Chàuveron, Nizan, Irène Brillant, Roussel. On commencera par Les rivaux d'eux-mimeS. La 20V Famille.

Avec les Pantins Cassés de Georges Waner, à la Gaifé-Montparnasse, à partir du B juin, le théâtre d'avant-garde L'Elan (Hugues Lambert, directeur) jouera une pièce gaie en un acte il" André JUvollet La 201° famille.

Po@ r For

TOUT EST JOLI AUX FOLIESBERGERE w

MICHODIERE {Rlch. 95-23), à 9 h. Bichon, de M. Jean Letraz. (Victor Boucher, Marcel Vallée, Asselin, Tarride Mmes Marguerite Deval, Jeane Loury, S. Moret, Clara Tambour. Katie Varley). »

PALAIS-ROYAL (Rich. 84-29), à 9 heures Elle attendait eà!, de M. J. Guitton. (Duvallès, Denise Grey, Christiane Delyne, Paul Faivre, André Bervil, Pierre DarteuU, Champeaux, Ebstein).

PORTE SAINT MARTIN (Nord -.37-53), à 8 h. 40 L'Enlèvement au Sérail (MM. Ch. Friarit, J. Monet, Vieuille, Villabella; Mmes Emma Huart, Ritter Ciampi). Direction de M. Reynaldo Hahn.

AMBASSADEURS, relâche.

ANTOINE, à 9 heures Faites ça pour moi! ARTS, à 9 h. 15 Les Innocentes.

CAPUCINES, à 9 h. La R. 0. S. S. 2 MASQUES (25, rue Fontaine), à 9 h. 20 Le Club des Gangsters.

ETOILE, À 9 heures Dame Nature. GYMNASE (Prov. 16-15), à 9 h. Le Cœur. iHUMODR, à 9 h. L'Heure H.

NOUVEAUTES, 8 h. 45: Tout va très bien. NOUVELLE CÔMEDIEv:> Interlude,! de LuV cien Dairil et Gabriel Emme.

ŒUVRE, !l:Ii. Don Juan ou La Solitude. RENAISSANCE, 8.'h. 45 Ça Ta. j'ai com

pris.

-ST-GEORGES,' à 9 b. La- Femme en fleur. ̃VARIETES, 9 h. Les Ballets Jooss Le Fils prodigue », « 'La Table verte », Un Bal à Vienne ».

MUSIC-HALLS

,0 CHANSONNIERS,

•Même spectacle qu'en soirée

A.B.C., 3 h.; Alcazar, 3 h.; Casino de P»*is, 3 h,; Empire, 3 h.

A. B. C., 3 h. et 9 h. Marie Dubas, Michel Simon* Maurlcet.i ̃̃ ALCAZAR. 9 h.: Viv* la femme!, revue. (Cécile Sorel).

CASINO DE PARIS, 9 h, Plaisirs 4e P»ri», (O'Dett, Joan Warner).

DEUX-ANE3, 9 9 h. La Kermesse ironiqn», de R. Souplex et Jean Marsac.

EMPIRE (Etoile 40-00), à 9 h. Music-hall' cirque. Boulicot et Reeordler. Attractions. FOLIES-BERGERE. à 9 h. Folies d'Amour, de MM. Hermitte et Géo Charley, production Paul Deval.

PERCHOIR, à 9 heures Votons THEATRE DE DIX-HEUREg, à 22 heures Martini Sans -vous presser, revue, LUNE-ROUSSE, à 9 h. Dorin. La rerue. LUNA-PARK Tous les jours, matinée ej( soirée, attractions, dancing,

Théâtres ayant effectué leur clôture annuelle

Atelier, Bouffas. Pari»leni. Châtelet, Comédie des Ch. -Elysée», Gsîté.Lyriqne, «d^Gaignol. Montparnasse, Petit-Monde, Théâtre de Paris, Théâtre des Champs-Elysées, Pigalle, Sarah-Bernhardt, Trianon, Le Lido, ViensColombier,, Cirque d'Hiver.

Pas. un des spectateurs si, passionnés ne pouvait deviner pourquoi ces deux gros joueurs avaient oublié- ce qu'ils devaient à leur rang de plqutocrates au point de descendre au niveau de la boule qui tourne sur les trente six numéros. L'explication était pourtant simple M. Sutherland ignorait les principes du baccara, car dans sa jeunesse son éducation avait été négligée.

A une extrémité de la table le croupier n'était guère occuper tandis qu'à> l'autre son collègue car c'est là que jouaient le baron et Septimius avait plus à faire qu'il ne pouvait, d'où des retards dans le lancement dp la boule. A ce bout-là, les numéros étaient abondamment couverts de plaques, représentant les plus grosses sommes, que les deux Crésus jetaient négligemment, rapidement et sans aucune méthode. Les spectateurs, suivant leur habitude, auraient volontiers misé avec le baron, mais son déplorable manque de système rendait la chose presque impossible. S'il ne cessait pas de gagner, comme il le faisait, ce n'était dû à aucune habileté de sa part, mais ce que le sort avait décidé de récompenser la témé- rité. Si Septimius perdait sans arrêt, Jdl n'avait que ce qu'il méritait.

(65)

CINEMA NOUVELLES DE LONDRES Charles Laughton inauguré tes nouveaux studios

de Denham avec, Rembrandt Nous, avons 'fait, part, en sjSn temps, de la création prés de Lottdres" d'une véritable cité du cinéma. Les nouveaux studios, qui comptent parmi les plus spacieux et les plus modernes eu monde, ont été inaugurés cette semaine par leur animateur, M. Alexandre Korda, qui vient de donner le premier tour de manivelle d'un film intitulé Rembrandt*, et dans lequel Charles Laughton incarnera le peintre célèbre. Ce 'film est le premier d'une série de six que se propose de réaliser la London Film au cours de la saison prochaine. Il convient, d'ailleurs d'ajouter que vingt autres productions seront mises en chantier à Denham au cours de l'année 103(5-1937,

Rembrandt sera mis en scène par M. Alexandre Korda lui-même, qui avait délaissé son art depuis quelque temps pour se consacrer à l'organisation- de Denham. Nous verrons Rembrandt an cours d'une période de sa vie qui s'étend de trente-cinq à soixante .ans, et la création de Charles Laughton montrera, une fois de plus,. le talent de composition qui est le, propre de cet artiste. Avant d'entreprendre la création du personnage de Rembrandt, Charles Laughton a tenu à se pénétrer de l'atmosphère dans laquelle avait évolué son héros.

Il a vécu à Amsterdam, visitant musées, expositions qui reflètent la personnalité de l'artiste. Il a tenn à contempler les paysages -flamands; et, pour mieux s'identifier au physique du peintre, il a laissé pousser sa barbe et sa moustache. N. A.

ECHOS DE THEATRE

Aujourd'hui

Concours du Conservatoire, te mâtin à 9 heures :• Violon (femmes). DATES RETENUES

Mardi 23 juin

Salle des Fêtes du « Journal » Les Autres, de M. E. Xau (première). Jeudi 25 juin

Salle des Fêtes du « Journal » Théâtre National d'Essat Un soir une 'iéesse féerie en 3 actes et 5 tableaux, le M. Claude VJrJot, musique de P.-A.

Wolff.

« Notre Opéra » Académie

enfantine

donnera' représentation aux grandes Personnes demain à, 21 h. Salle d'Iéna Cartes d'Invitation à l'entrée,

LA GRANERO 0 donnera à l'Onéra-Cqmique, le 22 Juin en soirée, Un Récital de Danses Espagnolee, au cours duquel elle évoquera les pages les plus colorées de Granados, Turlna, Ciuerrero, Laparra, Chabrler, Orejon, Rodrigo, Mafats et Sa guitariste Carlos Montoyn, qui prêtera son

concours.

PORTE SAINT-MARTIN*. 2 DERNIERS.GALAS DES ARTISTES LYRI(TUES ASSOCIES. Aujourd'hui & 2 h. 30 dernière* matinées populaires à prix réduits. L'ENLEVEMENT AU SERAIL el LE DIRECTEUR DE THEATRE. (4 à 24 fr.). 8 h. 40,1 deryatè,rc~ soirée,, SI JIFT.4~IS

A S h. 40, dernière soirée, SI J'ETAIS

ROI.

Trois théâtres populaires ? Le bruit court que trois grandes scènes parisiennes, le théâtre Sarah-Bernhardt, la Gïuté et l'Opéra-Comique, seraient consacres à de grands spectacles populaires, l'Opéra restant sett' théâtre lyrique.

M. Gabriel Boissy se demande avec raison, dans Comœdiài pourquoi on semble oublier le théâtre des Champs-Elysées, qui ne sert plus à rien, encore qu,'il soit le plus beau, et le_plus moderne de .nos grands théâtre).

Séance plénière

à la Comédie-Française La commission d'étude de la Comédie-Française présentera le résultat de ses travaux aux artistes de la Maison. M. Emile Fabre. n'assistant pas à la réunion, celle-ci ne sera pas une assemblée générale, mais une séance plénière.

,Ce rapport, s'il est adopté par l'assemblée, sera aussitôt transmis au ministre de l'éducation nationale qui, nous l'avons dit, en prendra connaissance avant de prendre une décision au sujet des nouveaux statuts revus par le Conseil d'Etat.

Le banquet Segond-Weber

,1.

Rappelons que les anïis -de Mme SegondWeier, .sociétaire honoraire de la ComédieFrançaisç> pour fêter sa promotion d'officier dans l'ordre de la Légion d'honneur, se réuniront lundi prochain 22 juin, à midi trente, en un déjeuner, au Pavillon Dauphine (Bols de Boulogne), sous la présidence de M. Georges Huismau. directeur général des beaux-ans.

MUSIQUE Solle Chopin. aujourd'hui, 17 h. 30. Mme Croisa, MM. Roussel, Doyen.

CONFERENCES GRANDES COJJÉEREIVCES

DES AMBASSADEURS

Ce soir, à 9 heures « va la Franc» » conférence par JI. Pau_l ^cynaud.

Le baron était agité et semblait mécontent, Septimius conservait un calme merveilleux.- A un moment, le baron misa le maximum sur le zéro et Septimius couvrit, de; plaques la moitié des numéros. Le zéro sortit. D'un, seul mouvement de son râteau, le croupier ramassa une fortune sur les numéros et en, poussa la moitié vers le baron. Celui-ci remit le maxi. mu m sur le zéro, et le résultat fut le même.

Cré nom de D. murmura le stupéfiant baron, tandis que l'assistance frémissait à la vue de ce spectacle sans précédent.

Prêtez-moi encore cent mille, je vous prie, demanda Septimius d'un ton aimable et placide. Cela fera trois cent cinquante mille, n'est-ce pas? Le baron, dans un silence lugubre, passa une grosse pile de plaques au croupier qui les remit à Septimius, et celui-ci, après les avoir comptées avec la rapide précision d'un caissier de banque, continua à jouer. Mais à cet instant il perdit son grand calme, ses yeux étincelèrent, il agita la main il avait vu miss Harriet Perkins. La placidité de son ex.pression avait fait place à l'extase. Il perdait, perdait avec ravissement. Les spectateurs commencèrent à

< "Brownie" boîte est devenu

Pour mMXjkTS le "Brownie" boîte est devenu

Brownie >x/4# r

Un film policier

A l'Aubert-Palace, le film Inspecteur Greg entre dans sa quatrième semaine d'exclusivité. Réalisé par Maurice de Canongè, d'après la pièce d'Alfred Gragnon, Inspecteur Greg est un film bâti sur une Intrigue policière mais d'un genre différent de ceux que nous envoie \a production étrangère, En effet, l'intérêt 4'enest pas soutenu par des bagarres violentes ou- des poursuites éperdues,. mais bien par l'évolution de la pensée- de> celui qui, patiemment; arrive à. pçroer- l'énigme qui lui est soumise, .énigme que les spectateurs, s'identifient avec le principal protago^niste, cherchant, eux aussi, à découvrir.

Impérial Pathê

Voici près de deux mois que, pour la première fois, l'on présentait à l'Impérial Pathé un programme de cinéma en relief réalisé d'après les magnifiques travaux du savant Louis Lumière. C'était une date dans l'histoire du cinéma, comme l'avait été, voici quelques années, l'avènement du « Parlant ». Une ère nouvelle dans l'évolution du septième art s'ouvrait à ceux qui travaillent sans cesse à son amélioration. Depuis sept semaines, l'Impérial Pathé connait la même affluence et le succès remporté par cette nouvelle forme du cinématographe ne se trouve nullement diminué par la longueur de cette exclusivité.

Ce spectacle doit être vu par tous ceux qui ne veulent ignorer les efforts et les admirables résultats obtenus par la science française.

« 27, rue de la Paix »

Après Jules Berry, Jean Galland et Louis Jouvet viennent à leur tour d'être engagés pour 27, rue de la Paix, film dont Richard Pottier, assisté de Pierre Prevert, donnera le premier tour de manivelle dans les premiers jours de juillet.

Œuvre de mystère, dont l'action dra-,matique n'est pas dénuée d'un certain mystère 27, rue de la Paix bénéficiera d'un dialogue spirituel et mordant, signé par Carlo Rim.

Le prochain fllm dans lequel Barbara Stanvyck paraîtra sera Uarry tlie Glrl, Gaie, pétillante, vivace, miss Stanvyck a souvent fait preuve d'un talent exceptionnel pour la comédie romantique. El)c joue le rôle d'un modèle ravissant, avec Gène Raymond et Robert Young comme partenaires. AU CLUB CINEMATOGRAPHIQUE 32 Jeudi 18 Juin, 81 h. « LE CLUB CINEMATOGRAPHIQUE 32 ». (Salle F. I. F. 33, Avenue dés Champs-Elysées) présentera le film si discuté d'Edmond T. GREVILLE.

« REMOUS » »

soupçonner qu'il était fou. Comment ces pauvres gens auraient-ils deviné qu'il goûtait -pour la première fois l'enivrante sensation d'une parfaite insouciance sous les yeux d'une femme pour lui sans pareille. Pendant quelques minutes, il avait été sidéré par l'importance et la rapidité de ses pertes il n'était pas loin d'avoir laissé sur la table un demi-million de francs. Mais il avait bientôt retrouvé son aplomb. Un demi-million de francs faisaient moins de quatre mille livres, et, encore qu'à peine millionnaire, il avait bien le moyen de gaspiller quatre mille livres une fois dans sa vie pour goûter une ivresse, une félicité sans exemple il se sentait vraiment vivre. Il regarda sa montre.

Il est trente-trois, dit-il au baron à travers la table.

Ils avaient convenu de jouer jusqu'à minuit et demi.

Et c'est rudement heureux, grogna l'autre en rassemblant ses innombrables plaques et en s'éloignant. ̃ Changez-moi ça, dit-il à l'Honorable Luke dès qu'il l'aperçut dans la foule.

Les plaisirs de la soirée étaient à peu près terminés restait pourtant l'agréable surexcitation des potins

LISTE ALPHABETIQUE DES FILMS DE LA SEMAINE

L'Appel du sitence: Colisée. L'Argent: Marignaii. Carmen blonde: Etoile. Le Cœur dispose: Gaumont. Club de Fem.mes Madeleine. Capitaine Janvier: Balzac. Désir: Marbeuf. Les deux Favoris: Max-Linder. L'Extravagant: ChampsElysëes. Ils étaient trois: Lord-Byron. Little Lord Fauntleroy: Aveiiuc. Mari. Brothers: Olympia. > Meurtre dans la' *na- rine: Studio Hollywood. Mexico allers et retour;Agriculteurs, –ri.. La Musique vient par ici: Mogador. Le Rêve de sa vie: Paramount. Suivez la flotte: Le Paris. Symphonie burlesque: Victor-Hugo. Souris bleue: Rex. Splendor: Bonaparte. Vedette hongroise: Ermitage.

PROGRAMME DES CINÉMAS

STUDIOS

STUDIO DES ACACIAS By Candlelight. STUDIO PARNASSE (Danton 86-67) Tonnerre sur le Mexique, Le Chemin de la vie. Perm. de 2 h. 45 à 19 h.; soir., 21 h. 15. STUDIO BERTRAND Peter Ibbetson. STUDIO UNIVERSEL Les Petites Alliées. (Métro Opéra).

STUDIO DE L'ETOILE: Carmen blonde. Permanent de. 14 h. 30 à 19 h. Soirée, 21 h. STUDIO 28, 3 h., 5 h., 9 h. Klondikc Annie (V. Mac Laglen, Maë West).

STUDIO-HOLLYWOOD Meurtre dans la marine.

MONTMARTRE OPERA BOULEVARDS AGRICULTEURS Mexico. et retour (Barbara Stanwyek, Robert Young).

OMNIA-CINE-INFORMATIONS Cette Vieille Canaille.

AUBERT-PALACE (34, bd des Italiens) Inspecteur Grey. (Métro Opéra).

CINE-OPERA (av. Opéra) Topaze (Nouvelle version). Perm. de 14 à 20 h.; soir., 21 h.

CAMEO Les Révoltas du « Bounty ». CINE-VI VIENNE: David Copperfield. EDOUARD-VU Impétueuso jeunesse. Passe à 14 h. 15, 17 h. 10, 21 h. 50 et 24 h. GAUMONT.PALACE (pi. Clichy) Le Cœur dispose.

IMPERIAL L'Ami de Monsieur.

MADELEINE-CINEMA (boulev. Madeleine) Le Club des Femmes,

MARIVAUX (10, bd des Italiens) Les Ma. rins de Cronstadt. Perm. de midi à 1 h. 30 du matin.

MAX-LINDER: Les deux Favoris. Perm. de 14 h. à 23 h. 40.

MOULIN-ROUGE relâche.

MOGADOR La Musique vient par ici. Permanent de 2 à 7 h,; soir., 9 h.

OLYMPIA Les Marx Brothers dans Une Nuit à l'Opéra.

PARAMOUNT Le Rêve, de sa vie. Perm. de 13 h. à 1 heure du matin.

PEREIRE-PALACE La Symphonie inachevée.

REX (1, bd Poissonnière): La Souris bleue. Perm. de midi à 2 heures du matin. 1

CABARETS, DANCINGS

MONTE-CRISTO (Trinité 42-31) Orchestre tzigane Zarou-Codolban.

CHEZ SUZY SOLIDOR (La Vie parisienne) (Richelieu 97-86). 12, rue Sainte-Anne. TABARIN La Joie de vivre. Attractions.

échangés. Les joueurs n'étaient pas encore à dix mètres de la table que les « renseignés affirmaient qu'à leur avis et ils avaient suivi la partie de près M. Sutherland n'était pas loin d'avoir perdu un million de francs et que lord Furber en avait gagné autant, peut-être plus. Etant tous Anglo-Saxons, ils auraient pu énoncer la somme en livres ou en dollars, mais ils s'en gardaient, parce que cela les aurait privés d'employer le mot magique de « million», qui était un miel pour leur langue. Ils se faisaient aussi remarquer mutuellement que, si M. Sutherland n'avait pas joué, lord Furber aurait fait sauter la banque, et que par conséquent la présence du premier était regrettable. Quel drame ils avaient manqué un millionnaire faisant sauter la banque

•>– Combien avez-vous là, Sep ? demanda le baron en s'arrêtant pour indiquer la méchante pile de plaques que celui-ci tenait dans une main. Deux mille dix, répondit-il sans avoir à vérifier.

Donnez-moi les deux mille, voulez-vous ? Nous compterons après. Et prenant les plaques, le baron retourna à là table. Une douzaine de curieux le suivirent, persuadés qu'ils

FILMS RECOMMANDES Exclusivités PATHE 1 MARIGNASJ

UNE GUEULE EN OR

d'Yves Miraiule

avec Lucien Baronx

ij' ..̃;•̃•̃. IMPERIAL SEMAINE

LE CINEMA EN RELIEÏ d'après Louis Lumière'

LE HELDER Fantôme à vendre. Perm. d* 1 h. 30 à minuit.

RIVE GAUCHE

LE RASPAIL: Tanzmusik. 14 h. 30 à 19 h.; soirée, 21 h. 15.

BONAPARTE Splendor (Miliam Hopklns, Joël Mu Créa).

PAGODE Les Révoltés du « Bounty ». PANTHEON: Frontière. Perm. de 14 'h. 20. h. 30; soirée, 21 h.

CHAMPS-ELYSEES ETOILE L'AVENUE, 5, rue du Colisée Little Lord Fauntleroy. Perm. de 2 h. 30 à 19 h. Soirée, 21 h. 15.

BALZAC Capitaine Janvier (Deux séances l'après-midi). Soirée, 21 h. 15. COLISEE (33, avenue des Champs-Elysées) L'Appet du Silence. Passe à 14 h. 20, 17 h., 22 h. (Jlétro Marbeuf).

COURCELLES Les Révoltés du Bounty. CINEMA DES CHAMPS-ELYSEES (US, avt• nue des Champs-Elysées). (Tél. 61-70) L'Extravagant. 14 h. 30, 16 h.» 30; soirée, 21 h. 15.

ONE-PARIS-SOIR La presse filmée. Chat.lot fait une cure.

ELYSEES-ACTUALITES. Perm. de 12 h. à 21 h. Actualités.

ERMITAGE' Vedette hongroise. Perm; de 13 h. 30 â 24 heures. ̃̃̃

LE PARIS Suivez la Flotte. Permi. de 2 h. 30 il 1 h. du matin.

MIRACLES-LORD-BYRON Ils étaient trois. Perm. de 2 h. 30 à 19 h. Soir., 21 h. 15. MARIGNY Les Temps modernes, de Charlle Chaplin. Passe à 14 h. 45, 16 b. 45, 18 heures 55, 21 h. 40, 23 h. 45.

MARBEUF Marlène Dletrich dans Désir. Passe de 14 h. 45 à 19 h. Soirée, 21 h. 15. MARIGNAN (27, C.h.-Elysées) Une Gueule en or. De 2 à 19 h. Soirée, 21 h.

VICTOR-HUGO Symphonie burlesque. Perm. jeudi, samedi et dim., dé 14 h. a 20 h.; soirée: 21 h.

WASHINGTON Féerie de femmes. Sam- bline;.

LA CORNE D'OR (Lina d'Acos'a) Serena. ders Six. AU FLORIAN (71, Chumps-EIysées). (Ely. sées 14-70), Dîners et soupers dansants.

allaient constater le fatal résultat du hasard pour un gagnant fabuleux et grisé qui se figurait qu'il pourrait ajouter encore un peu à son bénéfice. Lord Furber tendit les deux mille francs au croupier en chef de la table. ;•̃ Changez ceci, dit-il, et partagez la somme entre vous tous. r Merci beaucoup, milord, dit le croupier, dont le visage, jusque-là fatigué, s'épanouit.

C'est moi, il me semble, qui aurais dû me charger de la gratification, dit gaiement Septimius, et ceux qui l'entendirent furent confirmés dans leur opinion cet homme était complètement. fou.

Tiens, voici le comte Veruda l murmura M. Sutherland. Et, en effet, le comte s'avançait avec l'air de supériorité d'un homme qui sait le fin mot d'une plaisanterie qu'il est seul à pouvoir goûter.

Arnold Bennett. (Traduit de l'anglait par Mauricb Rêmon.)

(A suivre.)


SPA

(Belgique)

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Au cours de la séance d'hier, après quelques « considérations relatives à rélevage, sur la famille et l'individu », présentées par M. Corbière, l'assemblée écouta deux courtes notes de membres correspondants lues par M. A. DemoIon.

M. Bretignière, membre de la Compagnie, a exposé quelques vues intéressantes sur la situation agricole. Il souligna la conséquence inévitable de la hausse des salaires rui-aux un relèvement des prix des, produits de la terre, ce qui entraînera une augmentation du coût de la vie. Comment v remédier ? M. Bretignière pense que l'effort devra porter sur les intermédiaires individuels et collectifs. Mais il ne cache pas que c'est là un problème fort'délicat, dont la so-' lution, dans les conjonctures présentes. peut avoir des répercussions Hat-:tendues. il. l'li.

La participation des colonies à; l'Exposition de 1937

:M. Hemry Bérenger, ambassadeur;de France, sénateur de la Guadeloupe, pré-

sident de la commission d'organisation

de la section de la France d'outre-mer â l'Exposition de 1037, a prononcé, hier, au poste Radio-colonial, une allocution précisant les conditions dans lesquelles les colonies françaises participeront à la manifestation de l'année prochaine. Il a dit notamment

« La France d'outre-mer à l'Exposition de 1937 présentera essentiellement la vie artisanale dans nos colonies, pays de protectorat et pays sous mandat. Il s'agit de transposer, sur le plan colonial,, ce que le plan métropolitain réaisera pour l'ensemble de ses provinces, et, somme toute, d'élargir le centre régional aux dimensions de la planète. » On sait que l'emplacement réserve aux colonies est l'Ile aux Cygnes. « L'emploi de cette île, à proximité et a la suite du centre régional dont elle doit-être le prolongement, permettra de donner à l'exposition de la France d'oiitre-mer, une présentation pittoresque, puisque l'on y disposera de quatre façades deux sur l'eau, deux sur l'allée centrale. On y accédera par trois portes principales une sur le pont de Passy, une sur le pont de Grenelle, une sous le pont du chemin de fer. En ou-

tre, on pourra y aborder de. deux côtés1

par le fleuve. ».

DANS LA MARINE

Mutations

Destination à donner aux officiers dont les noms suivent

Capitaines de vaisseau. Celliler, commandement de l'aéronautique maritime de la > région Danbé, commandement du cuirassé Provence Nouvel de La Flèche, commandement du croiseur Duguay-Trouin. Capitaines de frégate. Dillard, eiat-major de la escadre de Br.lot, sous-chef d'état-major des forces maritimes de* la Méditerranée à Paris Quedee, croiseur Emilc-Bcrtin Adam, cuirassé rovence Hamel, Jcannc-d'Arc Besinea-u, état-major de la 2' région maritime à Brest; de La Forest-Divpmie, provisoirement direction du port à Lorient.

Capitaines de corvette. lluyneau de Saint-Georges, groupe mobile d'artillerie de côte et de D. C. A. à Montebourg (Manche) l'erier, centre militaire de la marine à Paris Delplanquc, 4e escadrille de sousmarins à Brest Mando, cuirassé Bretagne de La Fourniere, croiseur Primauyuet. Lieutenants de vaisseau. > Douenel, contre-torpilleur Lion Pinczon du Set, Ecole navale Cabanier, Surcouf Dalle, centre d'expériences de Saint-Raphaël Assier de l'ompignan, ministère de la marine (étatmajor général 2e bureau Pinson, service central hydrographique à Paris Jouanin, ministère de la marine (état-major particulier du ministre) Lacroix, groupe des bâtiments en réserve à Brégaillon Liabeuf, Monniot, B., A. M. de Rochefort Colas des Francs, B. A. M. Saint-Raphaël Duval, (i E. P. A. de Saint-Raphaël Videau, Ahjértc Hud, pétrolier Garonne. Bedos, croiseur Colbert Corfnjat, Ferran, porte-

avions Béurn .Paquier, Corellou, E. G. A. M. d'Orly Porcher, B: A. M. de SaintMandrier Launay, Jeanson,. croiseur Marseillaise Brard, croiseur Montcalm' Fournet, commandement de-la canonnière fluviale Balny aux F. N. E.tO.

Enseignes de vaisseau de premier? classe. Vietlard, Rigault-de-Genouilly Paul, de Roux, B. A. M. de Berre Daubian-Dèlisle, Bertin, B. A. M. de Cherbourg Xegrix deLa Salle, B. A. M. de Karouba Lutnereau, B. A. M. de Saint-Raphaël Delhias, Commandant-Tcste Lorenzi^ B. A1. M. d'Hyères Lainez, C. E. P. A. de Saint-Raphafl Lignac, service des transmissions de la qualrieme région maritime à Bizcrte Javouhey, aviso Les Eparges, à Toulon GasnlerDuparc, officier d'ordonnance 'du cohtreamiral commandant la marine en:Algérie Enseignes de vaisseau de première classe de réserve. Combier, B. A. M." de Bcrre Rey, école de pilotage à Istres.

Ingénieur mécanicien principal; Gallon, ministère de la marine (inspection générale des machines)

Ingénieurs mécaniciens de premlére classe.' Avenard, ministère de la barine (inspection des combustibles) Lqronc.he, ministère de la marine (service, technique des machines) Le Puth, contrc-torpillèuT Mogador. à Lorient Quère, contre-torpilleur L'Audacieux Koch, croiseur Suffrew; Allanou, cuirassé Bretagne."

Officier des équipages, de la flotte. Tanguy, du port de Cherbourg, officier de deuxième classe mécanicien en service: à la défense littorale à Cherbourg, désigné pour le groupe mobile d'artillerie de côfeet de D. C. A. à Montebourg (Manche), prendra ses Jonctions le 24 août 1936.

-̃ÇA^LA;11'.

jt M." Chàùtemps,' ministre d'Etat,^ a

présidéihier .mâtîn«le déjeuner organisé par: le groupe Waldeck-Rousseau en l'honneur denses membres élus députés. M. Eotut, président, du ..groupe, a prononcé un -intéressant discours. M. Chautemps a inVité les républicains à apporter rieur concours a rexpériènee que poursuit le cabinet.

jl Hier après-midi eut lieu, dans la salle franco-américaine' au château de Versailles, sous ;la, présidence ^de-' MM- Jésse I. Straus,. ambassadeur, des -Etats-. Unis, et Huisinaiï,' directeur des Beaux- Arts, l'inauguration' de la plaque de marbre offerte: par sM. Warrington Dawson, attaché .spécial à l'ambassade dés Etats-Unis.'a la mémoire des 2.U2 Français morts aux Etats-Unis en combattant -p'o'ilr.; 1-indépiend'ance américaine. i -• -̃- <St L'Institut colonial français vient de tenir son assemblée générale, sous la présidence, de. l'amiral Làcaze, ancien ministre.

L'assemblée a décerné ses prix Ctiarles;Deloncle à.Mme Jacobet à M.Bracq, instituteurs primaires.

Elle a ensuite ratifié la' nomination de deux nouveaux membres du comité de direction, MM.. Jacobson, président de la Société des ingénieurs civils de France, et Pierre Xyaùtey.

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Ces capelines se font actuellement en paille fine, en paille d'Italie de ton naturel, en tulle double et en feutres de coloris pastels. Leurs calottes sont très basses et.souvent agrémentées de petits plis formant des dessins de losanges et de carrés ou dincrustations de tissus en triangles ou en arabesques. Les bords, très importants, sont très mouvementés soit, qu'ils s'inclinent sur. les yeux et sur la. nuque à la mode de l'impératrice Eugénie, soit qu'ils se relèvent sur un côté découvrant tout le profil, depuis la racine des cheveux, soit qu'ils se retroussent régulièrement tout autour comme un grand breton. De toutes façons, la i ligne très étudiée de leurs bords ondulants est destinée à souligner le regard, la nuque, le, cou ou la courbe douce d'une joue. De'mêmô que les capelines, les chapeaux à bords droits de style espagnol grands canotiers, formes plates, chapeaux à calottes carrées sont également très prisés. Leurs garnitures sont le plus souvent faites en rubans de toutes sortes formant des nœuds 'droits empesés sur le devant ou l'arrière du chapeau, tandis que les courbes suaves des capelines s'accommodent de bouquets de fleurs mélangées, de piquets d'iris ou d'orchidées posés en-, hauteur sur l'avant, de torsades de velours, d'ailes de plumages irii descents. ou'.de papillons et de feuillages, subtilement mélangés entre eux. z.

Accompagnant des robes et des ensembles clairs ou imprimés, ces grandes coiffures forment un cadre flatteur pour les chevelures et les sourires féminins, et parent les Jardins1 ensoleillés de leurs ombrelles qui ̃̃ concurrencent celles des parterres.

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Horizontalement. I. Image, groiesquë, diffofrije, "quand elle est observée d'un certain point. Il. Ancienne danse espagnole lente et grave Averse soudaine. •̃ III. Avance Oraison. IV. Qualité de ce qui est irritant au goût Attraction foraine. V. Mets délicats Appeler sur soi. VI. Mouche dangereuse. VII. Crochet Deux' lettres de a Tyrol » Personnage d'élite. VIII. Pronom Riras à demi. IX..En matière de Prénom féminin. X. Violacées. XI. Regarda avec dédain 'Abréviation d'un titre religieux Note. ̃ ̃• Verticalement 1. Logement ;composé' de plusieurs pièces. 2. Plantes à fleurs blanches ou- jaunes. 3. Pluies subites Lettn» grecque. i. Esp ecc iOffle. de i' Amé-

Capelines

et chapeaux à bords Le soleil enfin réapparu, et une certaine détente sur le terrain politique, nous ont permis d'admirer dimanche, a Chantilly, la floraison tardive, niais charmante, descape:Unes et des chapeaux à grands bords si seyants aux visages' féminins.

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LB FIGARO JEUDI 18 JUIN 1 936

ÇÏB FIGARO ECONOMIQUE ET FINANCIER

Avec des échanges assez réduits,

L'EFFRITEMEÎTT 1DJJ MARCHÉ SE POURSUIT Lourdeur des grandes séries de Rentes" et notamment du 4 1925. Un communiqué du Ministère des Finances. Le décret- du, 6 juin et le droit de réquisition du' gouvernement.

ASSEMBLÉES

GÉNÉRALES;

BANQUE OTTOMANE

L'ass'emblée générale annuelle s'est tenue à Londres.le 16 juin 1936, sous la présidence du "général l'honorable sir Herbert A. Lawrence, assisté, en quallté de scrutateurs, des représentants des deux plus forts actionnaires, M. Charles Couture, pour la Banque de Paris et des Pays-Bas, et M. André Artonne, pour le Crédit Foncier d'Algérie et de Tunisie. M. Ihsan Rifat Koral, commissaire du gouvernement turc auprès' de banque, assistait à la réunion. 154.451 actions étaient présentes ou représentées. En retraçant, comme il en a l'habitude, l'évolution économique des différents pays' du Proche-Orient où s'étend l'activité de l'établissement et des ses filiales, le président a constaté dans s'on allocution que les efforts' de réadaptation s'étaient poursuivis un peu partout en 1935, avec d'indéniables résultats dans la plupart des' cas, mais que le mauvais fonctionnement des clearings tendait à fausser la direction des courants commerciaux et à nuire gravement aux facultés, de transfert de cette partie de l'Europe. Il a montré, en particulier, comment l'Allemagne, en les surpayant au moyen d'une monnaie non transférable, en était venue à accaparer jusqu'à 40 des exportations turques, tandis que s'amenuisaieilt sans cesse les échanges avec la Franco et l'Angleterre c'est à cet état de choses qu'ont essayé de remédier, les négociateurs du récent accord franco-turc sur la dette extérieure.

Quant au bilan de la Banque, il présente peu de différence sur les précédents et se caractérise par son habituelle liquidité. Après les amortissements d'usage. les comptes de l'exercice font ressortir, avec le report antérieur, un montant disponible de 104.783 livres sterling.

Sur la proposition du Comité général, l'assemblée a voté la répartition d'un dividende de 3 shillings par action, qui absorbera, au total, 75.000 livres sterling, et laissera un report à nouveau de 29.783 livres sterling; il sera mis en paiement le 22 juin, contre remise du coupon n° 67.

L'assemblée a ensuite réélu, comme membres du Comité général, le baron Hottinguer, le général l'honorable sir Herbert A. Lawrence et le comte Frédéric PUletWill, dont les mandats venaient cette année à expiration.

qageant enveis fa C. G. T. à en faire usage pour réquisitionner et pour faire fonctionner au besoin) après expulsion de leurs, propriétaires et dirigeants, un certain nombre d'usines et de services, rla responsabilité du gouverneme.it paraîtrait gravement engagée. Il aurait, en effet, accép'té de détourner sinon, de; leur texte littéral, du moins, d'une façon, certaine, de leur espiùtv le^ lois .régissant le droit de réquisition militaire .et seule la- prompte résignation des groupements. patronaux à accepter les conditions >de la, C. G. T. l'auraient dispensé d'ajouter de son chef cette. illégalité celle qu'il reconnait avoir laissé commettre.. Cette hypothèse est trop grave pour que l'on s'y arrête et malgré les déclarations de M. Jouhaux, an s'aBstiendrait même de l'envisager, si elle n'avait pas son importance par les singulières illusions ét les vues d'avenir qu'une pareille interprétation de la loi de 1&77 fait1 naître dans les milieux syndicaux. •»̃̃̃

.Voici maintenant que M. Jouhaux déclare à ses troupes que le droit de réquisition, tel que l'entend le gouvernement, est et reste une arme pour obliger, les patrons à en passer par toutes les exigences de la C. G. T. On s'étonnerait que le gouvernement, ayant fait de la C. & T. un organe semi-officiel, coupât court à ce malentendu périlleux et ne fit pas savoir clairement.

si superflue que cette mise au point pût paiuitic en d'autres circonstances qu'il n'a jamais songé et qu'il-ne^songerà jamais à faire du droit de réquisition un emploi que la loi n'admet pas.

© Londres était mieux orienté hier. Les fonds britanniques gagnent des fractions. Grâce aux avis favorables de VVair Street, les internationales entrai- nents^a-vec elles les' industrielles locales. t'étrilles irréguliers. Mines d'or très soutenues.

© Métal Exchange assez calme. Cuivre standard + 1/8, plomb + 1/16, zinc 1/4, étain 1/2. L'argent métal cède 1/16.

© New-York est irrégulier. Pendant la séance, la cote est soutenue. Cependant, vers la clôture, certains compartiments sont plus lourds et l'on termine sur une note d'irrégularité. Total des transactions 1.220.000.

© On s'attend généralement à ce que les deux Chambres américaines se mettent d'accord pour voter un compromis s au sujet de la réforme fiscale demandée par le président Roosevelt. Après quoi, le Congrès pourra se séparer.

© La production américaine d'énergie électrique a accusé, la semaine dernière, une augmentation de 14,2 p. 100 par rapport à la semaine correspondante d'il y a un an, contre une augmentation de 12,8 p. 100 la semaine précédente. © La semaine dernière, les recettes budgétaires britanniques se sont élevées à 7,159,311 livres et les dépenses à 12,673,493 livres, contre respectivement 9,542,990 et 10,290,408 livres pendant la semaine correspondante de 1935. Depuis le début de l'année financière, l'excédent des dépenses sur lés recettes atteint 66,595,155 livres, contre 54,470,509 livres pour la période correspondante de l'année 1935-1936.

© L'effritement de, la: cote se poursuit dans un marché sans affaires, mais surtout sans acheteurs. Le sentiment de réserve de la Bourse s'est trouve aççeu-; tué hier par l'imprèssloïn que dè,s :îlots de résistance importants pourraient se matérialiser au Sénat contre la politique du gouvernement. "Enfin, -on attend toujours, avec quelque anxiété, ries déclarations de M. Vincent-Àuriol sur tes procédés qu'entend employer le gouver' nement pour soulager l'économie nationale, que risquent d'accabler les relèvements de salaires effectués récemment. La Bourse a accueilli favorablement la note suivante communiquée par le ministère des finances

Des bruits ont été colportés au sujet d'une conversion forcée des rentes et reproduits par certains journaux.

Le ministre des finances oppose le démenti le plus formel à ces rumeurs tendancieuses et met en garde l'opinion contre toutes les fausses nouvelles trop complaisamment répandues sur les intentions du gouvernement.

© Néanmoins, si le 3 continue à montrer une résistance relative, les autres séries cèdent encore de 50 cen. times à 2 points entiers. Les Valeurs du Trésor sont touchées dans des proportions analogues.

© Aux valeurs à revenu variable, on note quelques reculs importants parmi les industrielles françaises ̃ valeurs d'électricité, produits chimiques et métallurgiques. Les internationales sont très calmes. A signaler seulement quelque animation aux valeurs hollandaises. © Parlant du décret du 6 juin dernier pris par le gouvernement, lui donnant, en vertu des lois de 1877 et 1935, le droit de réquisition, le « Bulletin quotidien » de la S. E. I. E. écrit S'il fallait conclure de là que le gouvernement a pris son décret du 6 juin en s'en-

LES CHANGES

Légère détente sur la livre La livre revient â 76,45 contre 76,55. Il est difficile d'établir si cette détente correspond à un ralentissement des demandes de devises étrangères ou si elle est le résultat d'une intervention plus active du fonds d'égalisation britanniquëSy^:

:̃• Los autres monnaies sont .inchangées. îÀ, terme les reports sont un peu détendus à un mois, sur la- lrvre> et sur le, dollar, mais un peu plus. tendus à trois mois.

Les charges des contribuables La Fédération des contribuables a adressé au président du Conseil une lettre dans laquelle elle dit notamment

« Si la situation économique s'aggrave au -point de faire disparaître la matière imposable, les contribuables devront, comme la classe ouvrière, rechercher les moyens d'obtenir le succès de leurs revendications justifiées. »

NEW-YORK irrégùlier

PARIS Y

PRINCIPALES FLUCTUAI-IONS

LONDRES ferme `

"ÛÎTcmbÔ CISt I Dern. Il- v., FURS Clôt. I Oern.

VALEURS 1 ClOl coun (I~VhLEURS-.Ip C.IÕt. loern.

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ÛbhB du Trésor Saint-Gobain. 426 4 XU 0/0 33 1 667 Air Liquide. 1.412 4 0/0 J4 »,» î°38 Quilmès ;M7:

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-Foncier de France. 1240 ,[,tstritbA[Me(eMt92< 377.. 372 Rosario à PnertoBelgrn.o. 80.75. ARC EN BANQUE

I gXiïï. «:: 'S5:: i5S1'^cieDSl921 S:: Sïïîi«t35î5ÎEîî!) *• »•• TERME

société Generale.1 ';50 800.. Algerle.3 /01 1902. 312. Tunlslens (chemins de for) 38~. 384., TER

Société Géïéîa'e 750.. 800.. fSwnelsM-l'MÏ 256.. 256.. Tram, de l'Indo-CWne cap «» 510 405. 393-

Rente Foncière 304.. 302 T^njs 3 1902-190? 276.. 270.. Magasins Génér.. de Paris »« 2090 Mationale d'Egypte 3410 34g

Suez. 19900 50 Tun~s.3/o 1.902.1907. 216.. 613 Eaux (Camp. Générales des 2090.. 2090.. Albl. 405.~ 344Q.

Sues 19900. 9950. iSïrieiViM!™ 621.. 613.. Eaux (ûomp. Générales des) "30 i«| Barc(!lon:1 Tractim ,161.. 154

S~(partd.f.ndatenr)..19250. 16400. ~i'9MnawM100LM70. Eaax (Cam p Générales des 383.. 383 Brakpan. 21S.. 2t5M

Suez (part de fondateur).. 18250. 6400. ™e'maBne'l924,Dawcs 100 L 2870 Eau* oVIjia» 383 •• 3S3;- Brakpan 218.. 215.50

Snex(civile(ciaaièmâ)..4g2A,.4070" Angleterre 2 /f) 6741.. 6760.. Vittel. 264 Brakpan.1,·. 218.. 21550

S.ei (civue) (cin^ème, 4020.. 0,0.. | 6,4i 6,6o.; ?_ Tgu. | Sdge: S:: &ÏÏ

EsL. 530.- 520.. Argontln5!~ 1907.1514. Vichy (Etah1. the;naii, 1520.. 1470 ~ru~y 132.. 12ÚO

E t. 530 520 Argentin 5 g~ 1907. 1514 Vichy f£tabt, tbermal). gg5 B60 Cambodge. 212 î0g'S0

I,t 530.. 520.. "sentln | « ™ 15i6 Eaux élect. Indo-Chine, ?°J •• ™» •• canadian Eagle 6, 67 50

Lyon 625.. 627 ,3.~M5.i9m< 4175 »* «1355 147g CaMtchoacs(FfMcc.)ord. 67 9550

S S:: S:: «^îfs™»^ ,îi!5 ,00:: %ZS?Ê^ «: | £32ïïS2LTv! OS S 3S50

Midi 680.. 673 5 XV" \934 ,15.. 700.. Algeri.une Eclairage 182 178.. CaoutchoaMact-V. 36e 5G 355

Nord .650.. 673 370.. EdtMt. ~59g °'°"ctartered. 119 ..lis..

S^ns SS:: S:: gf«V5'lllili:: ÎS:: ÎS:: ^S^éXimimii. | | g^SSÎ: îS:: ÎS::

Sauta.Fé(Ci'¡r.Ch.ferProv.) 61S-. 616.. 're!1909(F.rMmhNM).. 1lf 141. Electricité deMarseH)e.S10. 50. cityDeep. 139.. 136..

Sa.ta-Fe(C..fr.Ch.ferPr.T.)340.. 330.. ;S~tMS: 1435..1470. Elactricité de Strasbourg. 1118 1076 Cettmbia. 71.. les 50

SgSSffiSÏSSffir^ «:: S:: £îîîS;Elffl-1îS:: SSSJAKS?!: « » S: SSfa^ J"

Parisienne Industrie 258.. 238.. S,Se MviiéVile 1498 •• 4S8 Energie du Maroc «, 31 Daggafontein ^,714. 719..

Tram. deSanghai. 256 490 Egyptep~lVilegiee. 1498.. 149g EnergieduMaroc.1COS.. 1005. CrownMlues.1201.. 1220..

Tram de Sanghaî 496.. 490.. H!iti5°'191O 492.. 494.. Energie du Rhin »»•• 31 •• De BeerE ordinaire 6M.i64S..

Eaux et E~lnirage Lyon 1000 980.. Hait! 5 1910. 492.. 690 Energie gud-0aest 8G.. 31.. Dnggafontein. ~648 7\9.. ··

EaÛx et Eclairage (Lyon).. 1000.. 980.. £ocV«<; W10 675.. 690.. Energie Sud-Ouest ·· 631.. 595.. pré,érence 1376. 1363

Distr. Parisien. d'Electric 700.. 67, powne 7V 1927. 1570,. 1699.. Est-Lumière ."»•• Durban Deep ̃ -24' -«2

Bi.tr.ParisiM.d'Ehctric. 700.. 442 S~1927 1670,.1699 Est~Lumiére.205.. 205 "1 preference. 1376 .i369.. ··

Electricité de Paris 454.. 442.. J^Sal 3 5< 1" sér é >300 1S10 Forces Mot. Agout «4.. ̃ ̃ East Geduld ,.168 763 Electricité de la Seine. 254 50 251.. R0Oman c 4 1922 Bon. ,0.. 69 50 50 Haut-Rhin. »g •• •*» •̃ Eastern. M: '|7 Electricité et Gaz du Kord. 294.. 275.. M n^jéeî IT 80.. 80.. duRhone Ilï .»|| Eost Rand 265 263 50

Electricité (C" Générale d') 903 885 ??} iJb y~ 395' 396 de la Truyere. J" ̃ ?" ̃ Equateur 133 .'te 50

EuerglO Littoral Méditerr. 9P5 aB6 7 ~929. 395 997 de Truyere, 180 180 Equatour 265 50

Energie Littoral Méditerr' 522.. 492.. 7 ff 0/ j^i 180.. 177.. -do la Vienne.. -"»-•' -"° •• Franco Wyominï -a»''» 20î^

EnergieElect.Hord·France 35g ·. Sani~réà7nergie fi97~ ~6A5 Franco Wpam(ag. 106,: 20SC,

Enerlie Elect. Kord-France 350 •. 350.. SaBta.pé 5 1910 1931 820.. 810.. Havraise d'Energie Elect.. 697.. 685.. GeneraI Mlni 402 410..

N?rd,Lumière 680.. 660 5 5" 1910. 820 ~~810 Havraise d'Energie Blact:. 7DO:, 68S.. Franoo W~nmin8' 402 410

Mord-Lumière sans Fil 630.. 660 |JJJJ S «1913 11S'1B.. ̃ Hïdro Bectnque Auvergne .™- Goidfie,ds 338 340.

Télégraphie sans Fil 380 S81 Serbe 5 f9lS. ,115·f93:. ~HydtaBleotriçaeAuŸergno Goldfields. 338 k. 340 ..o

Télégraphie sans Fil 380.. 3«1 •• I Suisse 1903 «60 2160.. IndochinoiSe Ôectr. (cap.). •̃ Gula Kalumpong 103 50 102..

Thomson-Houston 122.. 120.. ÏÎÏV,™«k Marocaine SistribKtion. 5h.™ Hotchkiss 785.. 19a..

Union d'Electricité. 345.. 321 OBLIGATIONS ;HantatAe:d`8clalra G e. 'SiG .1' Hotchkiss fii 50 795

™l?ad*El«otriciié.. 345.. 324.. 0BL1GATI0SS nantaise d'Eclairage. jg Huanchaca 6160 6050,

DollfusMieg 3650 18713% .322.. 328.. ouest Parisien. 5J™ ="J Hydro-Cère 46.. 46 50

For.AAciér.duHordetEst 2gg,. 251.. fB754"(, 42D·· ~.429·· Prénéenned'EnerféElec ~T~w· ~720.. Hydro-Cère · 46 5~

For.* Acier du Mord et Est 280.. 251.. 1875 4»!; 420.. 420.. Pyrénéenne d>EnerSie Elec..™ ,20 JohailIlestarg 315 313 g

Schneider (Creusot) 860.. 840.. 1876 4% 411.. 412;. Radio-France iu-- •• Langlaagte «5.. 112 50

TréhletleselLam.duHavTe 4fi1.. 421.. 189223à% 205.. -202.. R~di,France 277 75 Langlaagte.i: 115·· 112~50

TrénieriesetLam.duHavre 461.. 421.. 1892 2»% M5.. 202. 285" landon Tin ord 26 15 20 25

Courrières 163.. 151.. 1894-1896 2 203.. 203.. Secteur Rive Gauche •• ,̃:• Mam Reef 277.. 383..

Lens. 245.. 227.. 18982°/ ,'°, ~4J" 241" Secteur Rive Gauche I~I.l:ondonTmord.2675 .2625

Uns 245.. 227.. » 1898 2% 243 241 Sud-Lumière prier :"î •• :°9 VI Malacca, ord 104.. 102..

Vic?ignes et Nœux. 336.. 302 é 189g 2 j %ét.. ·· 225" 229 Sud-Lumière prior"105.. 1SSD~I M lac.a, 104 ioz 5g

ïicoignes et Nteux 336.. 302.. g 1899 2 Met 225.. 228. jouissance. >*g ̃• ̃• Mexican Eagle OU ord 93 75 94 50

B0léo6 67.. 66.. g 1904 2 K Met. 241.. 232.. Téléphones 'JK S" Michelin (part) 670.. 667..

Sickei:: 620.603.. 1910 2?| Met. 217.. 210.. versaiUaiseTram.etDisti; •»̃ «2 Minière des Grands Lacs.. «1 •̃ 460..

Penarroya 139.. 125.. §1910 3% 208.. 210.. Dollfus^Mieg 3"° v 3|?5 •• Moteurs Gnome 435.. 431..

Peaarroya. 139 -125 p 1810 S 96. 208 'DOlltus=Mieg. Moteurs Gabme. 438 431

Ind. et Corn, des Pétroles.. 76 15.. 1912 3% 231.. 23».. industries Textiles, (Gi«) ..g?"igS" Mozambique 31.. 28 50

Kuhlmann 457.. 436.. S 1928 5% 694.. 6|5 industrie Textile. Vi'" "••̃ Karaguta Tin 42 25 4150

Phosphates de Gafsa 413.. 401.. rf 19294«% 690 682.. Perenchies |7J-- *"•• nationale Viscose 277 •̃ 275 50

Prod: chim. d'Alais Froge 1016 99! > 1930 4 690 681 centrale d'Eclairage(Lebon) ̃ »» ̃ Padang 226 220

Proa; cbim. d'Alais Froges'1016.. 998.. 1930 4 o~ o. 690" 681" Perenchie. 1,9.. 179.. Narnguta Tin. 42 25 4150

Rhône-Poulenc 731.. 705.. 1930 4 Lots 640.. 636.. continentale du Gaz. ™! •̃ 1M" Pernod 1205.. 1185..

Salat·GObain. f099 1g71 19314%i. 648.. 633.. ~Praèç.d'Eclafra e arGae~~ 793. Pernod 2M..218.

Saint-Gobain 1091.. 1071.. 19314% 1. 648.. 633.. Franc. d'Eclairage par. Oaz. '°| phosphates de Constantine 230.. 218. ·.

Chargeurs Réunis 194.. 191.. 4 Fortiflcations 69, 590.. GazdeTaris u" phosphates Tunisiens 5125 51.. AirLiquide 752.. ,48.. vd.Paris 1932 lots 656 645.. é è B'ectro-Métal 301 •̃ 314" Pointe à Pitre. 133-5 133

Brasserie Quilmès 2520 2615 1934 5 lof s 586.. 780.. Acétylène s Blectro Betai. Mo a98 Randtontein 235.. 28150

Caoutchoacsdal'lodockine. 255 242 19:H 5 ~2 "~o lo~s 786. 78Q Ac~tY"lene & B!ectro-~eta1.: 301 314.. Pointe à Pitre. 133~,501133..

Caoutchoucs de l'Indochine. 255.. 242.. coa. 18,9 260. 51, 620.. Acl" dlMichèvilié"" 375-- 375 •• Band Mines 749 JS3

Citroen B 342.. 329.. Fane.1879 3- 540 535 ,t,r»aStîr1iiïi.1oipê 4!4 390 Roand Antelape 152 5 15150

CamptearsàGU.i418., 1§28.. Com.18B03ô. 505.. 501" ,A~I:ACbentiersdelaLsira~4=W'-3~ Roand,9atelap=.1.·. 1523Ô f5t5g

Compteurs à Gaz 14,3 1428 corn. 1880 3 505.. 502.. AteV.niS'rddelaFrancB 3«.. 31, Shell Transport 405 407..

Font 41.. 4125 3 Fonc. 1883 3% 232.. 232.. 230.. rr,S*i°rÀt»iSaZïïr« ~10.. de 55, 542.. Springs Mines «2 50 171..

1885 260% 256.. 261. '^î,S"8jitS"hïMa 900 910 Snb Higel 999.. 990..

Peugeot. 418.. i08.. 1885 2~ 296~ 261. Ch~u~lers de¡;ain~Nazaire 557.. 542.. Springs Mines. 17250 171..

Peugeot 418.. 406.. g com. 1891 3 236.. 235.. £^11L°^0BIae°try SOS..495.. TanSanyika 56 50 56

Ramnerie» ot Sucreries Say 484.. 475.. g -1892 2 60% -281.. 288 Eil ÏV1ÎS- r"Huta Banko'và 81 •• 86.. Tharsis 203 200 80 Terres Rouges 205.. 201.. S Fonc. 1895 2 80 293.. ̃̃288. For. s Acier Hâta BanRova 252. ,Townshys (3(,uth African). ,58 73 59..

Union Européenne $858 3 com~ 1899 2 60 21 'l Marine et Homéa 252 245 T wnshys (South Africaii). 58 72 59

Dnion Européenne 388.. 388.. g Com. 1899 2 60 215.. 211. Mamo Hcme0 305.. 290 Transvaal Land 212 50 203. Est3% 323.. 313.. ronc. 19033%. C 293.294.. ïS™,0" IVeV (Fichant î 555.. 625.. Tubize 66 25 65 25

Lyon 3% Fusion nouT 283.. 272 g Com. 1906 ,3 g. 273.. -270.. Me^'r^ete %^l 1225..1210 Union Corporation 717 712

Mldi39, 290.. 280:: om.I906,3?. 273"270_ ,Meltorranee(FOrg.c~nnt.)55~ `" 1210 Tublze. 66.5 6525

Midi3^ 290.. 280.. tut 18093& 148.. 146.. LS ASn Ch. de 610 653 -Minière Haut Katangapr. 1527 1515

,Nord3%anclenne. 290 312 ¡:¡ FOAC.I909c3'9J" 148.. 146.F.Belge,JrIa,t.Ch.defer..122.1210.unioncorporntlon. 1527 IM~

Mord 3% ancienne 316.. 312.. g com: 1912 3, 143. 140.. 5SKrïeiîïià'diF.'rYi!i*ri 5S0-- «5 •̃ Haut cap. 1502.. 1500.. 0rléans3% 330.. 311.. B Fonc. 1913 3 282.. 282 5K5'eIif.Vr:îSi,(S Ï476 .1 1400' vieille Montagne 913.. 895

294 289 °, %étanx (Ci- Fèançaisa): j475. l4gg Vins et Spiritueux 152 151 50

Ouest 3% nouveau 294.. 289.. g -1913 4%.?: 402., 402.. ?.SÎÏ tfàibral V '365 •̃ &a ̃ Vins et Spiritueux 152.. 15150 Allemagno5}i%30Pl.Young 287.. 282.. g Emp.. 1926 7 819.. 510,. Sî"™,cf. 5êfnoaV' ?«0 3280 =West Rand .140 50 138..

Belge Extr. 5 1934 1010 1014 Com. 1927 7 461 465 SSSm.™ dn Toii« «os ̃̃ "00 West Springs. 165 166

Russe Consol.l»et2° séries 15.. 1550 g Com. 1930 4 630.. 615.. gS'if'^lSchamhâuit 302 ̃ 165..166.. Serbie 4 amortissab. 1895 103.. 104.. g Com. 1931.4% 645.. 636.. SrSHoulîlèreHarts «2 153. CQMP.TANT

Titre 7 l~ 72. 172 Com. ~~0 840.G43. DomhTOwa(HOnillérejparte~l2~. 153.. ~,CQIpHTpUT.

BaoqucNatiou.duMexique Si4 1 fam. 1951-93 4 640.. 643.. DO,mJ>row.a(Houll1ere)parts \.2.. 501~'· CQ.M2TANT ~~1~ ·· 195

Banque Ottomane. 319 811 Emp. 1922 4 636.. fii4 Montrambert et la, Beraud. 850 501. 200 195

crédit Foncier Egyptien.. 2890:: Sil Emp. 1933 5 660.. 655 Anlohe (Mines d~ i20 800 Roubaisiéniie declairage 200.. 1380

tor Egyptien 290 20080 Emp.19345 ço. SOO.. 795.. 795 Anzin Aepard, ,390.. 4e 1150..

Wagons,Llts ord. 40 200 50 Bons fr 69 485.. 469, Bardin. Re.ara, Couche. 1190..1150..

CeutralMinlng.19\4.1960 'loue l00fr.I888, 6825 ::70:. Carmaux. 486~ 460 de la Pro..dence. 6575..6550..

Geduld. 1944 875" Alsaee-LorralDe 51 21 605 592 Dourges 486.. 1g1." ~'eladZ Aomana. '32 50 291..

central Mining 1944.. i960.. AiHce-I.orraioe 5 1921. 605 ,592.. JS" Y. ̃*» ̃> ̃& ̃̃ ÎSeîêî DJe""sa cap 1175 1165

Geduld 8,6.. 87b.. SJÎ1921. 226.. 225.. ostriMrart 715-- 739'- nnSta pt Mesloula 465 435

«?»*«»«̃" "»•̃ Jg" 6^1933. 21 658. ^Sïu.isie'wmnïum): «» /• «» •• ^l^itu^ ."Y. liS Y. 1451 Y.

5 1999.658 ,11 Arie·Tnnigie (Omaivm t3~ S3S0 Ouasta et Mealoula. 465 435

Ris-Tinto. 959 "65" Est 6% es 873.. g 1306," 12S0.. Talrs do Lueenac 1480 1451

Asste Horvé ienne ) 76B Este382 B81 979 .HOr. (Mines de) ) ord. ·· 17fi0 2700 Hydro·GarburesdeSt·Deeis 255. 263.·

K'^rvègienneV SS:: S:: « f. g. S ^™J?mi 2665::2^ SïSSuresdest-DeEis Sg îS"

Azote (Norvégienne) ~769 765 499' Boa 301.. ..GuergotLr soi. ~~665.. 61~ 9~9 933

Pétrofina. 3Z6 822 2 273.. 271.. ,Guergournct. 665," 61~ Hydro:Carbure.de5t-Denis 255. 263..

R~~<d.~ .1 S:: déàina ~E~~ 959, 939..

î5ïfc<B«:a:: JS:: z îïfe:a:: Hïy. SS'îfâSi^1»: ZgSgggXïï h y Si y

Portu Su ese de Tabacos. 415" 303 Et~t 5%1933. 660:: 6'3" ~Françeise des Petroles.) '~16D-2§7.. Viscose FranÇaise. 4925

Sncr~·AAamneried'Bgypfe 916,. 42g.. Lyon 8 1855. 306' 288" LilIeBonnlOresColomb.(lus) ,260. 247.. Brasserie Comète act. 5000 4925..

aSffla&aaSiu S:: S:: ]»«»:»:: S;: S£'«:S-| SE&SlVteS: T,S::2Î?S::

COMPTANT' 6% '350" M6 Pecbelbronn, ,290.. gg5:" Brasserie c~mete aet. anc. 170 170

comptant = :te:S:: g:: -BïïgîîSSSîinSS^r? ̃£ *Çj :SïS!rfT-i^> S:: ÎS:

COMPTANT = ~~921: 649:: '989.. 10OO,)¡::t~;0(Tàba~ 590.. 591..

FONDS D'ÉTAT 5 io~ 1g33 fi6's ·. ~.649 Engrale dLuhy 89 50 -9g 50 patls°° (Tabacs) f8T 185

fohdsd'état w l ^YYYYYY ^Y tÏY ^£tâiiïï^£?.4V&ii*ilM°™Mi m m-

3°· :midi 6, 335~ 331.. du Nord de la France 2890 2720

3'i5~,mortiss~ble_ ,'1105 6590 5:°~·: 906.. 301e:: GlacesduNord.delaFra~ce28DO.. 525 ,n. It,.(Offenstadt) 187..185..

3.,t.to Amortlssable. 9U7Q 4 '0" 287 :291 1taliSalnte-Th&rese. <529.. 1T50..

ilpKfc^i;n z W=yyyyy s:- Si; sasS;;ÉiSi;l:;3^s^«ii:

4i AmoM3tea11e. 64 5-° l933. 6!;6" fi4D Le Ripolin, jouis. 1750..1750..

4%1918. 6480 6475 Nord8%iénleF.uo': 420" Saint-Gnbin,Cbnuny. 1090- 1075. 'CHANGES

4 f918. 698g ~8475 Hard 6 féye F. i20 i20 Scie Artificielle ( Cmet ) 1606 181B

5 1920 Amortissable 85 05 83 SC 8 série E. 416" 416 Selo Artificiel1e (Givet) IG05 1615

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41925 (change garanti). 70 23 68 604série D. 947 35f g~ins de Midi 408 39g.

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SOUS LE PATRONAGE DU FIGARO A la suite de la suppression du Concours d'Elégance Automobile de Paris, le Concours de Deauville sera une manifestation i de tout premier plan

Le « Figaro d'accord avec le comité des Fêtes de Deauville organise pour le 14 juillet prochain le concours d'élégance automobile qui a lieu chaque année dans cette station.

Par suite de la suppression du concours d'élégance de Paris, le concours de Deauville prend une importance de premier ordre.

D'autre part, cette année, le 14 juillet est un mardi, ce qui entraîne un congé de quatre jours. On prévoit donc pendant cette période une affluence considérable. L'époque est ainsi particulièrement propice et l'on, peut dès mainte-

NOUVELLES AERIENNES

L'avion moyen de locomotion.le plus sûr. On dit plaisamment qu'il existe trois formes de tromperie le mensonge simple, le parjure et. la statistique.

Toutefois, lorsqu'on ment scientifiquement par statistique, il faut au moins y trouver un intérêt certain.

Ce ne peut être le cas de l'Union nationale ̃ les associations de tourisme lorsqu'elle indique, pour 1935, la proportion des accidents enregistrés par ses services de secours par catégories d'usagers.

Le tableau suivant est assez explicite Autos (51,46 0/0), Cycles (20,86 0/0), motos (11,38 0/0), piétons (7,15 0/0) divers (2,8 0/0).

Les accidents d'avions ne figurent à cette échelle que pour 0,02 0/0. Le plus sûr, et de loin, de tous les modes de transport, est donc l'avion.

Signalons, à l'appui de cette statistique, qu'au cours de'la même année 1935 la Compagnie Air France a parcouru 9.981.504 kilomètres et transporté 68.985 passagers sans un seul accident.

L'aviation commerciale

L'hydravion d'Air-France quadrimoteur Hispano-Suiza Ville de Santiago-duChili, a quitté Natal hier à 5 h. 20 pour Dakar, avec le courrier de l'Amérioue du Sud.

La Compagnie Air France a transporté, au départ et à l'arrivée du Bourget, pendant la période du lor au 10 juin 1936, y compris les lignes en pool 1.979 passagers, 29.588 kilos de bagages, 24:451 kilos de fret, 4.502 kilos de poste, nécessitant la mise en service de 281 avions.

Le personnel navigant de la Compagnie Air France compte actuellement vingt pilotes, radios nu radios-mécaniciens, ayant effectué plus d'un million de .kilomètres sur les lignes commerciales françaises. Ce sont les chefs pilotes Gaston Durmon et Gaston Génin les pilotes chefs d'escale René Charpentier, Frantisek Cermak (Tché-

Nouvelles de tous les sports ESCRIME. Michel Pecheux et Henri Dulieux sont, actuellement, les seuls désignés pour l'équipe olympique d'épée qui représentera la France aux Jeux Olympiques de Berlin. Les quatre dernières places seront attribuées après de nouvelles épreuves fixées au 27 et 28 Juin, et auxquelles prendront part Brethons,Buchard,Cattiau, Coutrot, Raffali, Schmeti, Wolff et Womser. Disputé à la salle d'armes de la Préfecture de police, sous la présidence de M. Léon Thicbaut, le championnat de France' de sabre a été -gagné par M. Cramain devant le capitaine Fauré. M. Baris'ien. etc. AVIRON. Aux régates de Lucerne, le Tchèque Zavrel a gagné l'épreuve de skiff, battant Rul'li, Marquarclt et Studach. dans t'ordre. .»̃̃ NATATION. La championne olympique Hazol Cunningham ,a traversé le Lac Salé, accomplissant les' 17 kll. 600 de la traversée en 7 h. 10 m. 30 sec.

FOOTBALL. La Fédération française de football a décidé d'attribuer la grande médaille fédérale au F. C. de Sète et au R C de Paris, qui ont respectivement, en 1 93.I et 1936, réalisé le double exploit d'être vainqueurs de la Coupe de France et champions de France professionnels'. TIR. Au Cercle Hoche et d'Anjou. Résultats de la première poule handicap au pistolet automatique 1. M. Berkès (M. Maxime Kahn)); 3. M. Lambert.

FOOTBALL

Modifications

aux règles du jeu

L'International Board vient de se réunir en Ecosse et d'apporter certaines modifications aux règles du jeu de football. La plus importante est celle-ci

LOI 7. La remise en jeu aux six mélres ne pourra plus être faite en passant le ballon au gardien de but, mais devra l'être par un coup de pied de dégagement qui devra, obligatoirement, faire dépasser au ballon la surface de réparation il en sera de même pour les coups francs pour fautes commises par un adversaire dans la surface de réparation dont le ballon devra toujours dépasser les limites. Dans le cas contraire, la remise en jeu ou le coup franc serait à recommencer.

Les nouvelles règles entreront en vigueur dès la saison prochaine.

Joë Louis doit vaincre, ce soir, Max Schmelling et se qualifier pour disputer le titre de champion du monde avec Jimmy Braddock Le combat aura lieu à New-York à 21 h. 45 (heure américaine) soit à 2 h. 45, demain vendredi (heure française)

Le noir américain Joe Louis rencontrera ce soir à New-York, à 21 h. 45 (heure d'Amérique), soit vendredi matin 2 h. 45 (heure française), l'Allemand

Max Schmelling et sa femme, l'actrice Annie Ondra.

Max Schmelling, ex-champion du monde.

Le vainqueur sera oppose au champion du monde Jimmy Braddock. L'entraînement des deux boxeurs s'est poursuivi pendant plusieurs semaines sous l'œil attentif des journalistes amé-

nant prévoir pour cette manifestation un très gros succès.

La plupart des grands constructeurs et des carrossiers dont les voitures par suite des grèves récentes n'ont pas pu être prêtes pour le concours de Paris, ne manqueront certainement pas de participer au concours de Deauville, l'une des plus importantes manifestations du genre.

Les engagements des carrossiers, des constructeurs et individuels peuvent être envoyés, dès maintenant, au « Figaro », 14, rond-point des ChampsElysées, Paris (8e).

coslovaque), Léon Antoine, Pierre Burello, Charles Corsin, Emile Darnaud, André Dubourdieu, Félix Dufour, Lucien Gambade, Henri Guillaumet, Jean Lauhié, Frantisek lehky (Tchécoslovaque), Jean Rugammer, Jean Sladek (Tchécoslovaque) les radiosmécaniciens Louis Agnus, Daniel Jacométy les radios Robert Cattelin, Louis Gauthé (décédé). ·

La Compagnie Air France tient h mettre à l'honneur et à distinguer, par un insigne spécial ceux de ses pilotes ou radios ayant franchi le cap du million de kilomètres. C'est, en effet, le nombre de kilomètres parcourus et non le nombre d'heures de vol qui servent de critère. En effet, en raison de la très grande vitesse des avions français, cette dernière base de comparaison ne pouvait être choisie elle n'aurait nullement correspondu au travail fourni en vol par ce personnel d'élite.

L'aviation légère

Sous la présidence de Carpentier, des « Mouettes Versaillaises >, une réunion des délégués des commissions techniques des clubs appartenant à l'Aile tendue, fédération populaire des sports Qéronautiques, a été tenue pour l'organisation d'un comité technique dont la création avait été décidée par le bureau fédéral le 23 mai dernier. Les délégués des clubs présents se sont mis d'accord pour que ce comité technique soit composé de quatre commissions D'études et de fabrication du matériel 2° De contrôle du matériel 3° De documentation D'organisation de vol. Un bureau a été élu qui, sous la présidence de Roland Claudel, est composé de représentants des différentes commissions auxquels sont adjoints'Thomas et Jolly. Les commissions sont ainsi composées Etudes et fabrication Jarlaud, Bataille, Thomas Claudel, Pinet, Dolly, Maurice Contrôle du matériel Carpentier, Somi, Berteaux Documentation Ligogne, Bochef Organisation de vol Jacques André, Tabuis, Nebout, Géo André, Dupiol.

L'aviation militaire

Les 12 Amiot 143, bimoteur Gnome K. 14, qui avaient quitté Toulouse-Francazals mardi matin 16 juin, à 10 h. 30, ont dû s'arrêter à Barcelone, ayant été gênés par un temps très mauvais (horizon bouché et rafales de vent violentes), spécialement dans la région de Carcassonne et de Perthus. Cette demi-étape s'était effectuée dans un vol impeccable, en formation serrée, malgré des circonstances défavorables à la navigation et au pilotage.

Dans la journée, les 12 Amiot 143 ralliaient Los Alcazaros. Hier matin, le premier groupe de six avions prenait le départ à 8 h. 30 de Los Alcazares pour Meknès. Le second groupe décollait peu après. Le premier groupe a atterri à Meknès à 12 h. 40.

LA SAISON A VICHY Sur le stand du tir aux pigeons, la grande semaine se poursuit au milieu d'une nombreuse et élégante assistance. Un lot Important des meilleurs tireurs internationaux se dispute les nombreux prix répartis dans chaque épreuve.

Sur les links du golf règne également une grande activité. La Coupe du Prince de Hesse (handicap limité) a été brillamment remportée par M. J. Gettiug, battant M. W. Neat, 2-1.

Les 21 et 22 juin auront lieu les rencontres du tournoi international d'escrime organise par le Sporting Club de Vichy avec la participation de nombreux tireurs de marque. Enfin, notons pour le 23 juin l'ouverture du concours hippique, qui marque chaque année ce qu'on est convenu d'appeler le début de « la grande saison ».

Signalons, avant de terminer, que le lundi 15 juin a eu lieu l'inauguration de Ja ligne postale « Air Bleu » en présence de nombreuses personnalités.

Les semaines se suivent la nouvelle éclipsant l'autre c'est la saison de Vichy. Au tir aux pigeons

Prix de la Grande Grille, 1 pigeon à 27 mètres. 1. Deloy, Berjonneau, Strassburger, J. Lurkin et J. Cavroy 7 sur 7. Prix Eugène Doyen, 1 pigeon à 27 mètres. 1. Thirouin, Deloy, W. Warren et docteur de Rauw 11 sur 11 5. de Lamaze. 10 sur 11 6. Nésa, 7 sur 8 S. Berjonneau, 8 sur 9 8. J. Lurkin et comte V. de Durat 6 sur 7.

Poules gagnées par J. Lurkin, Miot, Larranaga, docteur Caix, de Lama«e, Ducroçq, Vacher, comte V. de Durat, Guyet, Ardid, Berjonneau, Nésa, J. Cavroy.

Caractéristiques physiques des deux boxeurs

MAX SCHMELLING (Allemand)

Age 30 ans Taille 1 m. 85 Poids 88k. 500 Poitrine développée.. 1m. 12 Envergure 1m. 87 Biceps 37 cm. 5

Boxe comme professionnel depuis 1924

ricains, qui ont noté, avec force détails, toutes les phases des séances.

Une publicité énorme a été faite à cette rencontre dont le succès doit dépasser celui des précédents matches de ce genre.

Joe Louis,

meilleur que jamais

Les chances de Joe Louis, nous l'avons dit hier, apparaissent excellentes. C'est J'avis de son manager Blackburn, qui a déclaré

J'estime que Louis est actuellement meillellr qu'il y a quelques mois lorsqu'il battit Max Baer. Sa forme est de vingt pour cent supérieure, sa rapidité d'exécution et son efficacité plus grande que jamais.

Je prétends que Louis peut faire aussi bien que Dempsey en 1918 devant Fred Fulton qu'il vainquit en 19 secondes.

Les intentions de Joe Louis, aux dernières nouvelles et contrairement aux

LA COUPE DE PARIS Engagez-vous dans cette épreuve qui sera disputée les 25, 26 et 27 juin, au Lys Pour la Coupe de Paris, international double amateurs-professionnels, rappelons que la clôture des engagements est fixé à demain soir 19 Juin.

Ouvert à tous Joueurs de golf membres d'nu golf reconnu par la F. F. G. en France ou à l'étranger.

Match play, 15 trous.

Droit d'entrée 50 francs par Joueur amateur et 20 francs par professionnel. Les engagements devront parvenir à M. Alain Bernard, « Le Figaro », 14, rondpoint des Champs-Elysées, accompagné du droit d'engagement.

Prix Des coupes seront offertes par « Le Figaro aux deux équipes finalistes. Une somme de 5.000 francs sera répartie entre les quatre professionnels les mieux classés.

L'activité sur les links Au Golf de Chantilly

Coupe Esmond. Finale sur 36 trous. M. Caron b. R. Jacob, 7 et 6.

Prix de Diane. 1. Mme Decugis (3) 73; 2. Mme M. Cahen (28) 74 3. Mme P.-P. Munier (+1) 77 4. Mme A. Thibaud (12) 78 5 Mme J.-A. Barton (3) 80, Mme H. Marquisan (6) 80 7. Mlle J. Fleury (17) 81; 8 le C. de Rothschild (5) 81 9. Mme de Vilmorin (28) 82 10. Mlle E. Sargent (l/> 86, Mme Lhomme (12) 86 12. Mlle Yv. Kapferer (3) 88.

Ont également pris part à l'épreuve baronne Prisse, Mme H. Weinstein, Mme C. Sebline.

Aujourd'hui, en match play. Mme P.-P. Munier c. Mme Decugis, Mme A. Thibaud c. Mme Cahen.

Les autres joueuses disputeront un medal play sur 18 trous.

Meilleur score brut Mme P.-P. Munier, 76 (gagne sur les neuf derniers sur Mme Decugis).

Au Golf de Fourqueux

Médaille dames. 1. Mlle Lesieur (28) 71; 2. Mme Compère (18) 72, Mme Goldschmidt (24) 72, Mme Thesmar (20) 72 5. Mme Piat (18) 73 6. Mme R. Ducas (24) 76 7 Mme Logeais (15) 78, Mme Bouillet (20) 78 9. Mme Aumont (26) 79.

Ont également pris part à l'épreuve Mme Doyé, Mme Domange, Mme Gautrat, Mme Morin, Mme Spitzer, Mme Wideman. A l'American C. C.

Samedi prochain 20 juin aura lieu la garden party annuelle, réservée aux membres du club.

Au programme natation, golf. tennis, bridge et danse.

Au Golf Bordelais

Barrage du Prix J. Fort, 18 trous, hand. Mlle S. Blanchy (27) 67 Mme A. Johnston (12) 80.

Prix oert par Mme R. Samazeuilh (eclec- tique). Meilleur score brut 1. J. Ferrièrc, c, 73 2. J. Fort, 80 3. Mme Blanchard, 82; 4. Loreilhe, 85 5. Mlle Darrieux, 86 6. M. Darrieux, 89 7. Mlle A. Calvet, 116. Meilleur score net Mme Blanchard, 62 J. Ferrière, 62, en barrage.

Viennent ensuite J. Fort, 64 Loreilhe, 69 M. Darrieux, 72 Mlle Darrieux, lo Mlle A. Calvet, 79. 79.

Coupe du Printemps, offerte par M. Gom- baud. 18 trous, match play hand (éliminatoires). Premier tour M. Darrieux b. P. Varon, 6-5 Bardsley b. Sitton, 1 up. Deuxième tour A. Le Quellec b. R. Calvet, 2 up J. Maxwell b. Blanchard, 3-2 Ph. Saige b. Fort M. Darrieux b. Coutant, w.-o. Bardsley b. Ferrière, 1 up Guestier b. W. Maxwell, w.-o. ̃; J. Varon b. M. Boujart, w.-o. P. du Vivier b. H. Çastex, 6-5.

1 Troisième tour A. Lé yuellec a. J. Maxwell, 3-2 PH. Saige b. Darrieux, 6-5 Barsley b. Guestier, w.-o. J. Varon b. F. du Vivier, 2-6.

Quatrième tour Ph. Saige b. A. Le Quel; lec, 2-1 J. Varon b. Bardsley. 6-5. Finale Ph. Saige b. J. Varon, 5-4. Finale du Prix offeït par Mme F. Blanchard. Premier tour Mme et M. J. Maxwell b. Mme Momus-F. du Vivier, 5-4 Mme et M. Blanchard b. Mlle S. Blanchy- Y. Le Quellec, 3-2.

Finale Mme et M. Blanchard b. Mme et M. J. Maxwell, 4-2.

Prix de Consolation offert par M. J. Ferrière, mixte foursome, 18 trous match play hand., greensomes. Premier tour Mlle K. Van der Lande-Bd Blanchy b. Mme DognyG. Rozsè, 6-5 Mme Guestier-J. Fort b. Mme Johnston-R. Le Quellec, 1 up. (Finale Mlle K. Van der Lande-Bd Blanchy b. Mme Guestier-J. Fort, 2 up. Prix offert par M. Jacques Léglise. Eclectic medal play handicap

Dames. Mme Blanchard (7) 67, A. Johnston (6) 70, Mlle Darrieux (3) 70, Mlle A. Van der Lande (14) 74, Mmes J. Maxwell (13) 75, Coutant (4) 75, Samazeuilh (8) 77, P. Blanchy (14) 83, Mlle K. Van der Lande (15) 85, Mlle A. Calvet (16) 92.

Messieurs. A. Le Quellec (6) 59, R. Calvet (12) 64, Ferrière (5) 65, F. du Vivier (5) 66, B. Blanchy (14) 66, Gombaud (9) 67, R Bayle (13) 67, Loreilhe (8) 67, P. Darrieux (4) 68, A. Chauvot (1) 68, P. Varon (12) 69, P. Blanchard (9) 69, J. Maxwell (3) 70, M. Darrieux (8) 71, G. Rozès (14) 71, SaintPaul (11) 73.

Prix offert par M. Saint-Paul. 4 balles medal play handicap ·

Messieurs. A. Le Quellec-J. Fort (9) 60; B. Calvet-P. Darrieux (9) 60, en barrage.

UN GRAND MATCH DE BOXE

JOE LOUIS

(Américain)

Age 22 ans Taille. 1 m. 86 Poids 91 kilos Poitrine développée.. 1m. 08 Envergure 1 m. 90 Biceps 37 cm. 5

· 7

tloxe comme professionnel depuis 1934

précédentes déclarations, seraient donc de ne pas faire traîner le combat. Max Schmelling peut-il

causer une surprise ?

Max Schmelling, est-il besoin de le souligner, prétend s'opposer à ces prétentions. Son manager déclare que Max peut fort bien causer une surprise. Sa mobilité, sa science de l'esquive, a-t-il dit, sont de précieux atouts pour lui.

Joe Louis pourra difficilement l'atteindre et je prétends même qu'il ne lui attrapera pas le menton. Il lui faudra « travailler » <m corps et son efficacité ici est loin d'être aussi grande. Avantage à Joe Louis

Les déclarations de l'un et l'autre managers sont conformes à celles que peuvent faire des hommes également intéressés.

Sportivement et en supposant que cela se passe sportivement Joe Louis

AU HASARD DES RENCONTRES

GOLF

EN HAUSSE. Jean de Letraz, l'auteur de Bichon et de Tren-

te et Quarante, se taille un succès sur Un autre théâtre d'opérations. Le joueur numéro Un des Ecrivains sportifs accomplit des prouesses au tennis. Dimanche, au Tournoi de Ville-d'Avray, il a, en compagnie de Mme Guesno, elle-même non classée, éliminé un double mixte où Mme Goronilchenko épaulait l'acteur André Roanne. En simple, il a réglé, 6-1, 6-1, Jnc-

ques Lemaire, joueur

Jean de Letraz ctassé à 5/6. il attend maintenant, pâle (bien

que bronzé) mais résolu, la prochaine rencontre de simple, Qui peut lui ouvrir l'accès des tours suivants, et aussi celui, plus convoité, de la seconde. série française. BRISEURS DE GREVES A propos de greve, les mauvaises langues assurent que si les ouvriers de la métallurgie ont recommencé à travailler, c'est que Fredo Gardoni, le fameux accordéoniste barde attitré du Tour de France, avait commence â allcr leur jouer, sur « le tas », la chanson officielle de la grande épreuve. Ils ont préféré se remettre au travail tout de suite. Dans son genre. c'est une bonne note pour Fredo.

CURE DE REPOS. Le Tour de France

souffrira certainesanctionnisles qui le ,ment des repi'ésailles Driveront de toute l'éguipe italienne. Pour les connaisseurs, il recèlera cependant un élément d'intérêt 'naccoutumé on surveillera avec passion la façon dont se coniportera le père de la course, Henri Desgrange. Il suivra l'épreuve entre le premier et le deuxième temps d'une opération chirurgicale délicate nui ne s'effectue

jtunais d'tut seul

io'up.'s'ii vafusqu^au H. Desgrange bout, ce sera sûre-

ment la plus belle performance d'une « course » fertile en N exploits » moins significatifs, bien que plus tapageurs. AH PASSER DANS LA RESERVE Courir le Tour de

France est l'ambition de tous les pédaleurs de France et de Navarre. Le nouveau champion de France, Le Grevés, rêve, lui, de ne pas le courir. Il voudrait se réser- ver pour le Championnat du monde Son parcours facile et très rapide lui conviendrait à merveille, Alais oit a besoin de lui pour que ses victoires au sprint rapportent de l'argent aux coureurs de l'é-

ccf -1

quipe ae trance ci u

Le Grèves courra quoi qu'il en

ait dit. En Italie, une

Fédération autoritaire prescrit à ses meilleurs champions, aux Guerra, Olmo, di Pacco, de se ménager en une de la grande épreuve officielle. De telles mesures seraient déplacées en France, pays de la liberté. De la liberté. dirigée, pense Le Grevés, à qui on ne laisse pus celle de rester inactif. GOSIER D'INGRES. Paul Maye, qui comptait parmi les favoris du Championnat de France cycliste, ne La pas terminé. Il n'en a pas mains été -retenu pour faire partie de l'équipe tricolore dans le Tour de France. Maye, qui n'est professionnel qm depuis le début de la sais'olu possède un talent de vocaliste qu'il prétend mé-

LA VOILE

La Coupe de France Après les quatre premières épreuves de sélection disputées au Havre pour la désignation du champion chargé de détendre les couleurs françaises, les membres du jurv délégué par le Yacht Club de France va "faire un rapport en faveur du voilier FA –II

Les épreuve.s de la Coupe de France seront courues à Cowes, les 18 juillet et jours suivants.

SPORT SCOLAIRE

La journée des relais à Colombes

Le Racing Club, de France organise aujourd'hui à 15 heures, au Stade de Colombes, la « Journée des Relais », prévue au calendrier de l'Académie. Au programme 400 mètres (6 coureurs) Cadets » nés en 1922-1923.

500 mètres (6 coureurs) « Minimes » nés en 1920-1921.

500 mètres (5 coureurs) Scolaires et Juniors.

Relais omnium 400, 300, 200, 100. Engagements sur place.

doit fournir le vainqueur du match. Nous n'irons pas jusqu'à dire qu'il doit gagner en quelques secondes, mais nous pensons qu'il gagnera avant la limite.

Joe Louis et sa femme

Dans le cas contraire, ce serait à désespérer de ce brillant athlète, jeune, en pleine force, dont la qualité athlétique est actuellement supérieure à relie de son adversaire, ainsi que le démontrent amplement les tableaux que nous publions en tête de cet article. .4. L.

connu. Pour le divulguer, il a l'intention d'affronter le jugement des foules à la prochaine séance de Radio-Crochet.

S'il se distingue, ce sera une satisfaction. et aussi un appréciable appoint financier. Tout le monde ne peut pas, comme l'international de hockey sur glace Charleg Ml- chaélis, gagner le gros lot av, Sweepstake. REPRESAILLES INVENTIVES. La grève des caddies a provoqué sur les links une certaine émotion. Les tarifs qu'exigeaient ces auxiliaires devenaient si peu en rapport avec le service rendu que nombre de golfeurs, pour protester, épaulèrent eux-mêmes sacs et clubs. L'un d'eux, William Beamish, l'ingénieux président de la Fédération française de bobsleigh. mil an point, en un tournemain, un chariot qui, ressemblant à une porte-parapluie roulant, lui évita de porter son attirail. A l'heure où nous écrivons, nous ne savons pas ce que l'appareil a rendu aux essais, ni si les caddies, pris de remords, ne se sont pas jetés sous les roues du véhicule, comme font, aux Indes, les fanatiques de Siva. LA METHODE MENTALE. Rencontré, accompagné de son

superbe chien, Eugène Huat, l'un des rares boxeurs dont l'aspect donne à croire que le métier enrichit son homme, Huat. qui a failli enlever nettement détache lu classique épreuve cycliste des « treize à la douzai- ne » a. pour l'instant, délaissé les salles. Je m'entraîne moralement », nous a-t-il déclaré. Après tout, pourquoi pas ? Il est notoire qu'il il y

a quelques années il

n acquts le punch Eugène Huat rien qu'en le voulant.

peut-être la forme lui viendra-t-elle, elle aussi, en usant de la méthode Couè. PELLIZZA EST CONTENT. La grande ambition de Pellizza était d'aller à Wimbledon. Jusqu'au dernier moment il trembla de n'être pas désigné par le comité technique et interrogeait chacun anxieusement « Croyez-vous qu' « ils » vont m'y envoyer ? »

Depuis que c'est chose faite, le jeune Palols arbore un air réjoui, en soupirant « Ah j'aurai bien voulu 'aller à Wimbledon »

UN CHAMPION INCONNU. A la suite de la défaite de la France devant la Yougoslavie, de nombreux spectateurs écrivirent à la Fédération pour lui indiquer les moyens de triompher l'année prochaine. Parmi toutes les suggestions aimablement conseillées aux dirigeants, retenons celleci

« Vous cherchez un champion ? J'en connais un. Le voici suit ie nom d'un jeune e avocat et l'indication du petit club dans lequel il joue.

» Que M. Brugnon prenne sa raquette et aille un jour jouer avec lui, il se rendra compte de ses possibilités. Apec un peu d'entraînement, ajoute très sérieusement le correspondant, il sera un des meilleurs joueurs de France. »

Quel est donc ce phénomène inconnu, cette perle rare, que personne, sauf une, ne soupçonne ?

Existe-t-il vraiment, ou n'est-ce qu'une vaste fumisterie ?

La Fédération enquête. sans espoir. Jock.

RÉDUCTIONS

IMPORTANTES REDUCTIONS sur les Chemins de Fer Fédéraux autrichiens, après un séjour de 7 jours 60 ou 80 pour le voyage de retour (même sous forme de voyage circulaire passant par Vienne). 30 pour d'autres voyages à l'intérieur de l'Autriche.

COURRIERS A POSTER AMERIQUE DU NORD

POUR NEW-YORK Washington (dép. du Havre le 18, arr. le 25) Paris (dép. du Havre le 19, arr. le 2G) Hamburg (dep. de Cherbourg le 19. arr. le 26).

DEPARTS DES TRAINS Washington, le 1S à 10 h. Paris, le 19, à 10 h. Hamburg, le 19, à 14 h. 14.

AMERIQUE DU SUD

POUR RIO-DE-JANEIRO et BUENOSAIRES Highland-Patriot (dép. de Boulogne POUR le LES ANTILLES Cuba (dép. du Havre le 25 juin).

AFRIQUE-MADAGASCAR

POUR COTE OCCIDENTALE D'AFRIQUE Jamaïque (dép. de Bordeaux le 27 juin).

POUR MADAGASCAR, LA REUNION Ville-de-Tamatave (départ de Marseille le

24 juin).

POUR ALEXANDRIE ET BEYROUTH z Champollion (dép. de Marseille le 26 juin). EXTREME-ORIENT

POUR L'INDOCHINE Aramis (dép. de Marseille le 26 juin).

POUR INDOCHINE, CHINE ET JAPON Aramis (dép. de Marseille le 26 juin).

~M<~M~M~<M~M~

TENNIS

Bons débuts de Pellizza en Angleterre

Avant de s'engager dans la grande épreuve de WlmWedon, les jeunes joueurs francais' se font la main au Tournoi du Qneen's Club de Londres, dont les courts d'herbe sont à peu près semblables à ceux de Wimbledon.

Au premier tour du simple, P. Pellizza, très à son aise sur le terrain rapide a éli- miné l'Anglais' Collins par 8-6, 6-2. En revanche, J. Jamain s'est fait battre après une belle défense par le Tchécoslovaque Hecht par 1-6, 6-0, 7-5.

Dans le simple dames, Mlle Goldschmidt s'est inclinée devant miss' Reen par 7-5, 3-6, 6-2; tandis qu'en double mixte, Mme Mathieu et Pétra passaient le premier tour aux dépens de miss Hardwick-Mac Pbil, battus par 6-3, 8-6,

LES COURSES

AU TREMBLAY 1

Mannlicher,

Zem Zem, Pimentai

Les Prix du Sweepstake et la Fête des Artistes avaient attire, pour un mercredi. la foule maximum sur le ravissant hippodrome du Tremblay. On n'avait que l'embarras du choix en ce qui concerne ce que l'on est convenu d'appeler « les élégances ». Mais le bonheur veut que ce chanitre-là ne soit pas de notre ressort.

Mannlicher, dans sa catégorie et dans le Prix Le Sancy, a vengé son camarade Petit Jean et fait triompher avec "une belle aisance les couleurs de M. Esmond. 11 a battu Fitenoor, qui vient, et Passeport, qui s'en va, à moins que ce soit son jockey habitue) qui manque de puissance uour un cheval aussi froid.

S'en vont également Blue Beat. Monarkie et'Ambrose Light. Zem Zem et Le Duc en ont profite pour s'adjuger les deux premières places du Prix Paul de Pourtalès. Zem Zem est certainement en réels progrès.

Le 5e Prix du Sweepstake, handicap de 2.800 mètres, a mis à nouveau en relief la qualité de l'apprenti Mather, qui a le sens inné de la tactique. Il a piloté le vainqueur Pimentai, d'ailleurs bien place au poids, avec la précision d'un véritable jockey. Il a semblé, par contre, que le jockey Bridgland, pourtant un de nos meilleurs, s'était rapproché un peu tôt et un peu vite avec Amontilado. >£'est-ce cas. Bridgland ? J. Trarleux.

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