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Titre : L'Humanité : journal socialiste quotidien

Auteur : Parti communiste français. Auteur du texte

Éditeur : L'Humanité (Paris)

Éditeur : L'HumanitéL'Humanité (Saint-Denis)

Date d'édition : 1939-05-26

Contributeur : Jaurès, Jean (1859-1914). Directeur de publication

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb327877302

Notice du catalogue : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb327877302/date

Type : texte

Type : publication en série imprimée

Langue : français

Format : Nombre total de vues : 63335

Description : 26 mai 1939

Description : 1939/05/26 (Numéro 14766).

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k4078218

Source : Bibliothèque nationale de France

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 15/10/2007

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La meilleure

garantie

MM. Daladier et Chamberlain sont d'avis que ta paix peut attendre. Un journal officieux, Paris-Midi d'hier, annonce que le pacte anglo-francosoviétique ne saurait être signé avant le 5 juin, c'est-à-dire que, dans le meilleur des cas, il ne s'écoulerait pas moins de douze- jours d'ici à la conclusion de la coalition de la paix. M. Chamberlain a adopté, nous dit-on, le principe de l'accord. Mais on ajoute « Adoption résignée, d'ailleurs, et qui se défend de toute hâte II reste encore, a déclaré hier le Premier, certains autres problèmes à résoudre. »

Traduisons en style clair non seulement les atermoiements continuent, mais aussi les manœuvres antisoviétiques. Et cela au moment où Hitler, par le pacte d'acier a;-ec c Mussolini, a porté au maximum de l'automatisme son instrument d'agression, où il « reprend exactement face à Varsovie la guerre des incidents qu'il mena contre Prague l'an dernier », selon les propres paroles des admirateurs de la politique de Paris et de Londres.

Singulière politique, qui encourage l'agresseur en renvoyant aux calendes grecques la_ seule mesure capable, dans l'état âctuel de l'Europe et du monde, d'épargner aux peuples les affres de la guerre

Les peuples ne. veulent pas d'une « adoption résignée ». Les peuples se demandent quels peuvent bien être ces « autres problèmes » dont la considération est assez puissante sur l'esprit de M. Chamberlain et de ses dignes amis parisiens pour les dé- terminer à hésiter sur le seul grand problème, à compromettre, .jusqu'au bout, la cause de la paix

Ce n'est pas par l'effet d'un hasard que le candidat de M. Chamberlain vient d'être écrasé à Lon- dres dans l'élection législative par- tielle de Kensington, jusqu'ici fief conservateur, en perdant cinq mille voix sur le scrutin de 1935. Et ce n'est pas non plus un hasard que cet accueil enthousiaste, cette diffusion au rythme de 40.000 exemplaires par jour, réservés par notre peuple à l'appel que Maurice Thorc; \p.r.zctt il y huit jours, de la tribune du < Comité central du Parti communiste, j à l'union des Français contre l'agres- seur fasciste ainsi qu'à l'unité d'ac- j tion de la classe ouvrière internationale.

Comment avoir confiance dans ceux qui s'efforcent de saboter jus- < qu'au bout la cause de la paix? Le salut des peuples est en eux- mêmes. Et dans cette oeuvre de sa- < lut, un rôle essentiel revient à la classe ouvrière. Conférence ouvriers internationale, unité d'action mon- < diale des prolétaires ces grandes ) propositions, adressées le ler mai par l'internationale communiste à la Deuxième Internatiohâle et à la Fédération syndicale internationale, constituent la base solide de Pœu- vre de paix.

Benoît Frachon n'avait que trop raison de le dite dimanche au con- grès des syndicats des Alpes-Mari- times « Dans cette œuvre diffi- cile, nous continuerons à avoir des désillusions, si la classe ouvrière, si ses organisations internationales ne s'unissent pas, si à côté des gou- vernements nous ne savons pas réa- jliser une puissance ouvrière qui exerce en permanence sur eux la pression indispensable. » j Georges COCNIOT.

·

UREEN4'PÀCE:

Pour )'un!on des pays pacjfiques contre les agresseurs Pour l'unité d'action

internationale

ipiocès-verbal du Bureau politiquë du. Parti communiste français)

UN, deux, trois quatre, CINQ Tout le monde.. sera d'accord là-dessus il en est du UN pour cent » de la taxe d'armement, comme des fameux cinq sous quotidiens que les décrets-lois de novembre devaient coûter à chaque français. C'est une table de multiplication qu'il faut pour juger des effets véritables de eètte politique financière qui par ailleurs entretient la division dans le pays.

Tous ceux qui sont au courant de la question et des commerçants nous ont répété ce que ncus- disaient hier les dirigeants de ia coopérative « La Famille Nouvelle » savent qu'il faut compter pour la viande par exemple 4 et parfois 5 stades entre le producteur et le consommateur de l'éleveur au ramasseur, du ramasseur au marchand de bestiaux en gros, du marchand au chevillard, du chevillard au boucher, du boucher au client, cela fait 5 pour cent, soit 0,75 à un franc sur un kilog de viande vendu une moyenne, de 20 francs

Même affaire pour les légumes secs, ou à peu près le producteur, le ramasseur, le grossiste, le détaillant, le client.

Pour le vin, u taut compter trois ou quatre intermédiaires, cela se concrétise par une hausse exactement fixée à douze centimes pour un litre de vin, hausse que la plupart des grandes maisons ont a tout hasard et pour ne pas y perdre, « arrondies » quinze.

Il est vrai qu'ils parleront des frais généraux, avec la bénédiction de M. Paul Reynaud. apologiste, du profit, et décidemeat, grand homme de finance 1.

Pierre MARS.

Par la faute

J ¥ F qui annonce CI C LéOïlwVGS de nouveaux délais C f CI €> M CL il S qui tolère les pires

MOLOTOV,

président du Conseil des Commissaires du Peuple, et. commissaire aux Affaires étrangères

| MARCHANDS DE MORT LENTE | Louis LYON et huit complices | comparaissent en correctionnelle | Dix audiences sont prévues pour ce procès | am.a qui a commencé hier

111.1 De gauche à droite LYON, PERETTI et, VAFIADIS

Hier ont commencé devant la 10° Chambre, correctionnelle présidée par M. Gilbert, les débuts de l'affaire Lyon et Cie que nous avons exposée il y a deux jours.

Au ban/- des accusés ils, sont trois Louis-Tltéodore Lyon, au physique d'homme d'affaires. assez spécales ;,1 l'inquiétai; Pemtti, grand, la figure '1 bouffie, et v, a /iacis,aux yeux vifs, le visage bam. d'une moustache noire. On sait que les quatre autres sont prévenus

FûXSYfYtl4ririri~4irw.wwwwww~w~wwwww~w~~wwwww~w

l'accord anglo

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la Us&J dlli/ & C& &l| &&C

sur la jase de l'égalité 0

et de la réciprocité

n'est toujours pas conclu

Le Conseil supréme de l'U.R.S.S. a commencé ses travaux hier En 3e page nos informations et l'article de Gabriel PERI.

libres. Nous verrons tout à l'heure arriver le maigre de Toledo, châtelain en Dordogne Mlle Girard, l'amie du louche PeretU, Mile Moreau, l'amie du Grec Vafiadis, et'enfin René Thomas, neveu de Lyon.

Deux autres inculpés, sont à l'étranger Carlos Bacula et Victoria Salti, son amie; le premier étant en Suisse, la deuxième, en Angleterre.

(SUITE EN 2' PAGE. 2' COLONNE.)

à 20 h. 3< grande salle de la Mutualité, rue Saint-Victor, Paris (5a) Métro Maubert-Mutualité

Assemblée d'information réservée aux membres des bureaux de cellules, comités de sections et comités régionaux des cinq régions du Parti Communiste sur les travaux et décisions de la dernière session du Comité central des 19 et 20 mai, à Ivry Rapporteur: MâlirîCe THOREZ | secrétaire général du Parti communiste français député de la Seine

Les secrétaires de sections, de cellules locales et d'entreprises, sont priés -de passer immédiatement au siège des régions pour retirer les cartes donnant droit d'accès à L'assemblée.

= campagnes contre l'URSS

»r .ji^ A occasion, des

BklitlPI' fêtes de la Penre-

^^T^ B Polpincher a fait

"8, "1& ,"& Polpincher a fait

–»»»–- •" I paraître au minis- ` tère des Finances une note il indique que les fonctionnaires auront congé du samedi 27 midi au, lundi 29 mai inclus et il ajoute, magnanime a les auxiliaires seront payés l'après-midi du samedi ».

Il ne manquerait plus que ça, qu'ils ne soient pas payés

M. Polpincher sait très bien que les fonctionnaires s'offrent à eux-mêmes la semaine anglaise puisqu'ils font 3/4 d'heure de travail de plus par jour pour § en bénéficier Pour ce qui est du diman- = che 28 et du lundi 29, c'est la loi du 13 juillet 1906 qui est généreuse et non § notre Vide-gousset national i Une fois de plus, il fait semblant de i donner quelque chose pour faire oublier i sa mauvaise habitude de « prendre ». | Et puis c'est pour lui une occasion nou- = velle de tenter de dresser l'opinion pu- i blique contre le lampiste. Jolie besogne | d'unité française 1 § Une question Où M. Reynaud le | budgétivore1 passera-t-il les fêtes f Toujours sur le yatch de Vermorel à = Bandol? = PEPIN. i

̃ -T- *T* T>-T- 'T»*T*T*'r^»*l**I**«i^r1*r*t*»T*r^Jl»»*1l*»r'J*P' *•*

!l!7a~-D~3~

Le 26 mai La Noblesse annonce qu'elle renonce à ses privilèges en matière d'impôts, mais elle ne cède pas quant* ô la vérification des pouvoirs en commun elle rompt les .pourparlers, avec le Tiers Etat.

APRÈS LE NAUFRAGE DU "SQUALUS'

LA MORT VAINCUE TRENTE- TROIS FOIS A 73 MÈTRES DE FOND

DANS SON DOMAINE, L'OCÉAN

New-York, 25 mai. Les opérations de sauvetage des marins d u submersible Squalus, que l'Amérique entière suivait angoissée, ont permis de ramener à la surface 33 membres de l'équipage du bâtiment accidenté. On doit, malheureusement déplorer la mort de 26 marins demeurés dans la partie du bâtiment qui a etc envahie vui1- les eaux.

Ce qu'est la cloche de sauvetage

C'est à1 la cloche de plongée, utilsée par les sauveteurs du navire spécial 'Falcon, que les 33 rescapés doivent d'être encore en vie. Lorsque la. bouée rouge, signal de détresse, fut découverte flottant sur l'eau, au large de l'île White, une liaison téléphonique fut établie par l'intermédiaire du fil de cette bouée. Mais, peu après, la houle causa la rupture du fil et l'on n'eut plus d'autre moyen de communication que les coups frappés contre la coque.

Lorsque le bateau de sauvetage Falcon arriva sur les lieux, de puissants moyens furent mis en œuvre pour arracher l'équipage à sa prison d'acier.

C'est la première fois que le nouveau dispositif de sauvetage constitué par la cloche de plongée a été utilisé et les milieux de l'amirautéaméricaine se montrent très satisfaits.

La cloche de plongée est un cylindre en acier pouvant résister à de très fortes pressions et, par conséquent, descendre en mer \à de grandes profondeurs. A sa. partie inférieure, qui est'conique, une ouverture circulaire 's'adapte, exactement sur une. autre ouverture prévue à cet effet sur les sous-marins américains. (SUITE 2" PAGE, f COL.)

|ê\ ASt A^RRAS, écume. PenIFvylS sez donc, les dénio|J II cratiés pourraient être mises à l'abri dé la

domination de Hitler, qui « repousse et s'efforce de se préserver du bolchevisme, LUI » « Cet accord anglo-franco-spviëtique est négocié par une poignée d'imbéciles et de fripons, de gâteux et de traîtres !»

En conclusion « Le jour où, par quelque faveur de notre destin, ils seront conduits au peloton d'exécution, rien ne sera plus, nécessaire que de,les coiffer du bonnet d'âne, avec l'écriteàu Aliborons ? Non. Assassins !»

Moralité le « fusillëur » fusillé.

Bailby, moins salé, ajoute aussi son filetde vinaigre Des chefs ? Ah! ̃ Parlezrmoi de Franco, « une production exceptionnelle « Oii encore, de Salazar, « un grand homme y. Mais les chefs politiques de la France? «Hélas! il faudrait en avoir pour en parler. » Bref, comme fe dit encore en langage académique V ex-porte-parole des prétendants au trône « On fait trop d'honneur à un Français qui s'entend avec les Soviets quand on lui attribue l'esprit de l'âne ou la propreté du pourceau !» n Toute une offensive nazie est à nouveau déclenchée.

Montigny, porte-parole de Caillaux celui-ci de tout temps l'allié de la clique réactionnaire et guerrière de Berlin a reçu l'ordre de s'exhiber à nouveau. Comme son patron, on sait qu'il débite les drogues hitlériennes à l'usage externe comme à l'usage interne. Au dedans anticommunisme, grande pénitence, lutte féroce contre les lois sociales et surtout contre la retraite aux vieux. Au dehors rupture du pacte francosoviétique, abandon de la Pologne, liberté à Hitler de s'étendre en Eutope orientale pour mieux nous déUorer après.

Quant au P. S. F. du comte de La Rocque, marquis de Séverac, prêt à cousiner avec tous les défaitistes où qu'ils se trouvent, il présente, dans son petit journal, le front, de la paix comme « l'encerclément n de cette pauvre A Ilemagne hitlérienne, si paisible entre deux égorgements.

Il est vrai que le colonel sait toujours solliciter les' suggestions dû-

La cloche de plongée a permis de sauve:- tous tes survivants. Les 26 autres matelots, qui se trouvaient à l'arrière du submersible, ont péri.

Pendant plusieurs heures, les neuf derniers rescapés ont été immobilisés à 45 mètres de profondeur; à 45 mètres du salut, le câble de la cloche s'étant coincé.

L'intérieur de la cloche de plongée utilisée avec succès dans le sauvetage dramatique des marins du « Squalus ».' La cloche est dotée du téléphone et de la T.S. F. Malgré ses dimensions exiguës elle a pu, contenir, et sauver, -sept hommes à la fois

ment enveloppées. Son plus fidèle lieutenant proposait ces jours-ci à nos amis « Cessez d'attaquer Franco et'nous cesserons d'attaquer le pacte avec l'Union soviétique. » Autrement dit « Consentez à trahir avec nous la sécurité française au sud et nous daignerons atténuer notre trahison de la sécurité française à l'est »

Ce n est pas, que je sache, l'habitude de l'Union soviétique et ce n'est pas non plus la nôtre, de' traiter 'ainsi des maquignonnages politiques.

Seuls les alliés de Hitler peuVent s'opposer au pacte. Tant pis pour ceux qui, tout en proclamant leur désir de défendre la patrie, ont recherché leur appui.

Qui ne voit que cet appui a été accordé seulement pour faire chan-

*STÀUMEMS>I

'$tX 1*7 tt s ~y~ d ^&K ~s

Les étudiants de Moscou passent leur journée de loisirs dans ta maison de repos du beai> Parc central de f'ire se ie

rlEJR{l)E~ '.<lET; c~oc~~o~~

1^1 niens Dans l'esprit des enne-' mis de notre parti,- cïe.sl devenu l'expression courante d'une haine qui s'exaspère à mesure que l'expérience ddnne raison à l'analyse et à la tactique communistes Nous ne sommes que des staliniens, lit-oji dans les petits écrits de nos esprits, forts. C'est-à-dire, d'après eux, de ïpauvres suiveurs d'un méchant satrape oriental Nous avons abdiqué entre ses mains! Et comme le chef de la nouvelle Russie n'est qu'un, tsar comme les autres, assoiffé de domination, les communistes français ont renoncé en adhérant. à .leur Internationale à toute liberté, voire à toute dignité. •' >

On répand cette fable inepte dans la grande presse des deux cent familles, dans les libelles foisonnante de leurs valets de plume et aussi IiliUs! dans certaine littérature'de prétendus dirigeants, dévoyés du prolé-

tariat. '»̃̃̃̃'̃

Staliniens 1 Oui nous sommes de ceux qui veulent juger .objectivement des hommes et des choses' r Et nous j t'hésitons pas à reconnaître la grande supériorité de Staline sur l'ensém-

Pooi la retraite

des vieex

Marcel Cachin et Clamamus interpellent au Sénat

les ministres du Travail et des Finances

HIER, A LA CHAMBRE Nouveau torpillage

de la représentation proportionnelle

(Voir notre information en 2= page.)

L'U. R. S. S.

force principale de paix ° « .Les gouvernements de Londres et de Paris ont dû se tourner vers l'Union soviétique. Ils auraient voulu toutefois obtenir de l'Etat prolétarien des assurances et des garanties sans s'engager eux-mêmes à la réciprocité. Or, Union soviétique entend très naturellement être placée sur le plan de l'égalité absalue avec ses associés éventuels « Quel ami de la paix, quel démocrate sincère pourrait ne pas approuver entièrement la position de l'Union soviétique. Plus d'un Français pense d'ailleurs qu'en définitive ce n'est pas l'Union soviétique qui a besoin de nous, mais bien, nous qui avons besoin de l'Union soviétique. » ̃

Ces lignes sont extraites du discours de Maurice THOREZ au Comité Central d'Ivry.: Pour la Paix Pour le progrès Pour la République FRANÇAIS, UNISSEZ-VOUS .1~

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à cliaque Français

à ce jour

170.280 exemplaires vendus

En vente au C.D.L.P., 25, rue d'Al- sace, Paris (X"). C. C. P.: 1719-67

Suzanne KOHN

s'est envolée pour Madagascar Orly, 25 mai. L'aviatrice française Suzanne Kohn, qui avait dû remettre son départ en raison des conditions atmosphériques défavorables, a quitté l'aérodrome d'Orly ce matin à 6 h. 55.' Se rendant à Madagascar, elle est arrivée à Marignane à 10 heures. Elle a repris son vol à 12 heures, en direction d'Alger, où elle est arrivée cet aprèsmidi à 16 ii 40.

Suzanne Kohn fera ensuite escale à Reggan et Gao.

Le voyage de retour s'effectuera, par l'Egypte, la Syrie et la Tripolitaine.

ter le gouvernement en politique ex- térieure et pour en obtenir à l'inté- rieur des mesures de classe contre le peuple ? •̃:

Pour leur complaire, on a désor~ ̃: ganisé la production. Un patron comme M. Emile Roche le recon- naît. M; Gïgnoux lui-même avoue que « l'économie française, n'a pas, dans son ensemble, fait son redressement »; ..̃̃:̃̃̃.̃ >:

Allons Un sursaut du pays. Union de la démocratie pour une ppr I litique nationale de sécurité, de juslice et de sacrifices, pour tous.! Et avant tout, frères socialistes, devant ce péril du fascisme qui, vous le voyez bien, est le même au dehors et au dedans, unité de la classe ouvrière de France, exemple pour la nécessaire unité internationale

|MajréeTGACBn|i

pilotis, sommes donc'' des stelV