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Titre : Chroniques de J. Froissart. T. 1, 1 (1307-1340) / publiées pour la Société de l'histoire de France par Siméon Luce [puis d'autres...]

Auteur : Froissart, Jean (1337?-1410?). Auteur du texte

Éditeur : Vve J. Renouard (Paris)

Éditeur : [puis] H. Laurens (Paris)

Date d'édition : 1869-1899

Contributeur : Luce, Siméon (1833-1892). Éditeur scientifique

Contributeur : Raynaud, Gaston (1850-1911). Éditeur scientifique

Notice d'ensemble : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34019025n

Type : monographie imprimée

Langue : français

Format : 13 vol. ; (24 cm)

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Description : Appartient à l’ensemble documentaire : GTextes1

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k406141h

Source : Bibliothèque nationale de France

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 15/10/2007

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brai se plaint amèrement au roi de France, le vainqueur retourne en Brabant où il reçoit les félicitations du roi d'Angleterre. P. 154 à 156, 444 à 447.

CHAPITRE XXVm.

1339. SIÉGE DE CAMBHAI PAR RDOUAUD IU ET SES ALLIÉS

(SS 75 à 77).

Édouard III, dont les forces réunies à celles de ses alliés s'élèvent à vingt mille hommes, quitte Malines' et vient à Bruxelles parler au duc de Brabant. Le roi anglais et les seigneurs allemands entrent seuls dans la ville; l'armée reste campée hors des murs. Sommé une dernière fois par les confédérés, le duc de Brabant promet de les rejoindre devant Cambrai à la tête de douze cents heaumes et de vingt mille hommes des villes de son duché. De Bruxelles, Édouard III va coucher à Nivelles puis il se rend à Mons où il passe deux jours en compagnie du jeune comte et de Jean de Hainaut. On est au mois de septembre, et l'on a partout fait la moisson. L'armée anglo-allemande se répand dans les villages de la marche de Valenciennes où elle trouve vivres en abondance. Les Anglais consentent à payer ce qu'ils prennent; quant aux Allemands, ils ont l'habitude d'être, à moins qu'on ne leur force la main, d'assez mauvais payeurs. P. 158, 159, 448 et 449.

Après avoir couché la veille et dîné au prieuré de Saint-Saulve, à une demi-lieue de Valenciennes, Édouard III fait son entrée dans cette ville par la porte Montoise au milieu d'un imposant cortége de seigneurs anglais et allemands, tandis que son armée prend le chemin d'ÏIaspres et va camper sur les bords de la rivière d'Escaillon. Le comte Guillaume, escorté de son oncle, des seigneurs d'Enghien» de Fagnolles, de Verchain et de Havré, conduit par la main le roi anglais jusqu'à l'hôtel appelé la Salle, décoré pour la circonstance avec une magnificence vraiment royale. An moment où le cortége monte les degrés du perron de cet hôtel, t'évoque de Lincoln somme à haute voix et par trois fois, au nom de son maître, Guillaume d'Auxonne, évêque de 1. Première rédaction. Vilvorde.