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Titre : L'Humanité : journal socialiste quotidien

Auteur : Parti communiste français. Auteur du texte

Éditeur : L'Humanité (Paris)

Éditeur : L'HumanitéL'Humanité (Saint-Denis)

Date d'édition : 1923-10-28

Contributeur : Jaurès, Jean (1859-1914). Directeur de publication

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb327877302

Notice du catalogue : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb327877302/date

Type : texte

Type : publication en série imprimée

Langue : français

Format : Nombre total de vues : 63335

Description : 28 octobre 1923

Description : 1923/10/28 (Numéro 7244).

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k400929p

Source : Bibliothèque nationale de France

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 15/10/2007

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des Seigneurs du Rail

La Compagnie du P.-L.-M. a voué une haine mortelle a Midol.' Non contente de l'avoir fait condamner par un con- seil de puene, puis de l'avoir fait pour- suivre par -une kyrIelle de tribunaux, elle l'a traqué en Suisse, le faisant rien-' voyer de tous les emplois qu'il réussis- D'où vient cette haine ? les violentes ni. par des. attaques personnelles contre les seigneur^ du rail. Il les a outragés beaucoup plus fortement par l'exemple de sa vie. Il les a fait trembler par ses qualités d'organisateur, par les résultats de tout genre obtenus à A sa sortie 'de l'école des Arts et Mé!tiers, 1 ingénieur Midol entre comme étiqueté « marnais » mécanicien, non pour des raisons techniques mais parce quil traite en camarade son chauffeur e, qu'il le tutoie. La bourgeoisie. ne 'coin-' prend pas qu un élève des grandes écoles dédaigne des devenir chej: de dépôt. Elle n'accepte pas qu'un fils d'ouvrier restegratitude tent Quand un tel homme ne se contente pas de donner un aussi mauvais exemple et qu'il prend en main l'organisatiôn syndicale de- sa corporation, il ac- complit alors une véritable trahison. Cette trahison', Midol n a -cessé deda commettre. La division régnait chez les les mécaniciens;avaient leur fédération particulière sans eux imposd'avoir, une puissante fédéytion des cheminots. Midol travaille la fusion'; il y pousse de toutes ses

Comme avocat et comme ami do Midol j'allume que <etuici n .1, en toutes circons-, tances di? sa vie, jamais agi que,dans lintérêt: de ses camarades, et qu'il est bien au-dessus des calomnies d'aclv ei saires de ses idées hjiu n'ont pas 1 honneur de le connaître. Il aurait été'facile a ictor M'éric de se renseigner auprès de ceux qui ont vécu les heuîes les plus ditficiles de Midol et de sa fa:¡nille, 'auprès' de ceux qui continuent a partager leur ailgoise. Il ne l'a pas tait, tant pu, poui lin Les travailleurs do Dijon reunis au Cirque, samedi 20 octobre, au nomme de 3 000 envilon, ont d'rfUleuib lait justice de toutes les calomnies répandues sur le compte de Midol, {l'on qu'elles viennent et aifirmé sur son nom ,leur volonté d'amnistie totale et d emanupã tion humaine 1 espeie bien que dimanche, s'élevant audessus de toutes questions de tendances, les travailleurs de la Santé et de Charonne feront sûr la candidature Lucien Midol triompher ûne lois de plps la cause de l'amnistie totale \euillez agréer, eitojcn secrétaire, l'assuTanee de mes sentiments les meilleurs. \rthur 'va.chtr, Uocat i la cour d appel <ie Dijon Concilier !?i»neral i\o lu Côte d'Or,

Voir la suite de la candidature Midol en deuxième page.

La libération des camarades communistes italiens Mussolini n a pas osé maintenir on puson sout. pietexte de procès ultérieurs, les camarades .acquittés' par les juges (le la conpctionneïle do Rome, qui ont déclare que uni dans 1 action du P. Ç. italien/ne justifiait les poursuites. Nous avons reçu de ÎSordiga ce télégramme envoyé hier de Rome a 18 11. 30.: » Au nom des camarades acquittés délivrés, ciements pour la solidarité internationale et de saluer les victimes politiques de tous les pay.s. « BORDIG\. » Lire dans nolie numéro de demain • La Tentation

par André MARTY

d'elles une seule fédération embrassant toutes les catégories de leur personnel. .Unions 'de syndicats de cheminots gros- sir leurs eltectifs et poursuivre une action dont Midol est le secrétaire, les dépasse toutes par le nombre des Cet homme silencieux et modeste," ar- un surp'renant animateur. Son réseau frappe le premier coup contre les compagnies et leur donne i'jiqui fait un tel départ en février 1920 que les cheminots de touscés,' bien lances.

Midol serait furieux si nous lui attribuions le mérite d'avoii, lui seul, poité à ce degré de vigueur PUnion du P.-L.-M. Il nous dirait Et les autres militants, du réseau ? Et la foule des petits militants locaux ? Et la masse des cheminots ? Il aurait raison, mais nous n'avons plus tort de dire que son rôle a été essentiel en bon mécanicien, ce secrétaire a mis son organisation si bien à point qu'au jour de l'action 'tous les ressorts ont fonctionné admirablement v C'est pour cela, pour tout, cela, que de chemnis.de fer. Mais c'est pour cela toute la classe ouvrière et qu'aujourCharonne et de

Un appel des Cheminots Nous avons On nous excu-seia de ne pomoir iesjpubliâi! blée Reneiale le \eudredi 26 octobre, Bourse. du Travail' écœures de "la cunp-agne de on leur camarade iMulel,* membre du sjndicat de Dijon, vouent ati meris public le -citoyen Mène et son .torchon. se sepaient aux cris de « Amnistie !̃ AmnisN'oublions pas l'ordre du,jour; du. sy:u- seau du,,Nard,, qui montre .que les ehenu- die le geste des ouvmeis de Charonne et de la Saute. Les ch-eminots de Tergmer, réunis en as- semblée générale le 2N' octobre font appel au\ électeurs de Charonne1 et de la' Sarite pour faire. bloc sur le nom die Midol candidat de'.l'Amnistie.:

--une ouvrlere vient d'a\on lieu e. Giaiilhet. Des ter contie les menaces du gouvetneinwit réactionnaire. Voici Je \ote qu'elles nous communifjueut Le> organisations suivantes ,:1': C G T C G T. U., A R. A. C Libre pensée, P<itti b F 1 O, Piiiti & F I C, de braulhet estiment que dans les heures teniMeb que muei^e le proletanat allemand, et dont dépend la Re\olulion mondiale, limite 'proletdiienik» doit etie a >a base de tout Hlle-j loin leuis Jes.paioles de Barbu^sp en justice, etavertis&ent du I51oc 4Natit)nal que dans les heures giaveo qui "vont sui- mi, ellei sauront maintenir limite indispen- sable potit la lutte, de classe. Llles incitent toute la. classe ouvrière de Giaulhot a ^enir piotester le 11 novembie chement condamnes pai le pameruement, de dictature capitaliste et militariste espagnol, et aussi pour affirmer notre volonté île paix contre' la sueire A. R. A C, Russières C. G T Mérou; S. F. I. O., Péhsson C G T U.,

de démissionner

que>, sériées et appuyées de chilfre-s qui l'opération de la Ruhr, dont il faut rappeler les éléments es=;entieK. D'aboid le chai bon pietcxte de donner a Ja dernier ».. lement Pomcaré, flaïupvié de son Le Tiocquer; a. fait peidre au pays de ce chei des sommes conniderable», mais encore re présente à plusieurs centaines de milLe député de Seine-et-Oise insiste cruelgouvernement Poincaré a refuse dé soumettre 'la question de la capacité de payement de l'Allemagne a, un comité d'ex- perts. Aujourd'hui il déeLuie a'ecepter la réunion de ce comité et il prend cette déla décomposition et a, la mine. traint de se contredire de la manière la plus» lamentable II s'aperçoit de l'ônor- vie de désastre. Il accepte, dans son dociers anglo-saxons qu il repoussait avec oigueil il y a quelques mois. A la suite de la piovocatioQ mihtaiie de la Ruhr, en Allemaciale. En brisant la puissance économiallemande, il a amené dans les centres industriels d outre-Rhin une famine nérale et des conditions 'de vie telles que les conflits de classe ne peuvent plus 'avoir d autre issue que la guene crvile. grands ournaux, .le mensonge officiel partout répandu, Ies ordies du jour enthou- siastes des organismes politigues bourgeois, fout cela a pu longtemps faire illu- sion aux yeux des ignorants. Mais dans commence a y voir clair. Poincaré s'est montré, l'agent la plus essentiel de dé- j sorganisation du capitalisme mtematio- nal. Aux bourgeois gouvernants 'anglais qui lui signalaient le péril de sa, politiqu'ils aient à se mêler de leurs aifanes cinq cent dix jours de ;la cuminelle expérience il cède aux Bntanniques aux teur les conseils et les avis. Désormais, api es cette première concession obligée, cul présent ne peut plus .le s>au\er. H est île grand responsable des événements dont 1 Europe, demain, va être a nouveau le ce, me dit, le chapeau à ia main, ce petit monsieur rase de frais et serré dans lin pardessus impecje me permets de vous en soumettre que!dues-uns. Voici, le Péc^é de ''la Veuve, conte de mystère et d amour. Il s'agit d'une veuve de rguerre séduite- par un policier qui croit reconnaître en elfe une ancienne espionne et lui propose le mariage afan de. Ce genre ne -ous plaît pas ? Préférezvous un conte iléger (Exploration dans la poche droite) ? Une minute de grâce. Ah j'ai ce qu'il rien I C est dommage, mon cher confrère, c'est dommage. Désirez-vous un conte' sentimental poche, gauche). Larmes d'or. .est l'histoire d'une jri_ne fille noble qui s'éprend teur insinue entre deux qu il aime une.. vous faites la moue Je regret- te, ,!non cher confrère, je, regrette. Mais au fait,que duliez-vous d'un conte réaliste, d'une tranche de- vie, à la Maupassant, à la Mirbeau, la Zola ? (Exploration dans la poche intérieure droite du parJe le tiens ̃ Bibi le désossé, étude de mœurs :les deux premières lignes. C'est vécu, taillé dans la chair « Ventres rapprochés, ils dansaient une jàva nouvellefluyes troublaient les yeux des consommateurs Sou- dain, Poil-de Brique s'arrêta. Il venait d'aper Le milieu vous indispose, je ie sens. Voulez-vous lanthropique (Explor?t.on dans la poche gauche du veston), ohilo "l'uoue, scientifique, lyrique, préhistorique;? A votre disposition. J'ai li.. ment un conte de ce que vous venez de me dire. G. Chennevière.

'7 (s owniejs rff' S aie et de Thuunge répondent par: la qtuif aux provocations Le Vorwaerts félicite la yotice qui ma'ssacie les ouviieis de' Hambourg. La police' allemande tup vingt ouoiiers A Witten, tes, Uoupes fiançaises inLa Haute-Commission intei alliée, ieeovriaitinil la République L'ultimatum de Berlin à Zeigner nous parvient ce soir à minuit une nouvelle tout pai ticulièrement giave qui ïisque de changer en 48 heures, la face des L'agence Wolff commumque officiellement que le gouvernement du Reich a invite le srouvernement saxon à démissionnei immédiatement, à, cause de l'attitude puse par les ministres communistes. Stiesemann déclare qu'il ne peut reconnaître L" piesident Zeigner doit se retirer im- dans la journée de demain. Au cas où la réponse du gouvernement saxon ne serait pas satisfaisante, Stresemann déclare qu'il prendra les mesures nécessaires pour asbu- &a décision.

Une dépêche; venant de GhemniU confirme pleinement notre information. >ou3 ignorons encore quelle attitude 'adaptera le cabinet .saxon mais nous pen- sons ;qu'il 'est, Joil pou probable qu'il se Ainsi. la ,grande coalition a complètement el'que le cabinet de Munich a posé comme tions avec Je gouvernement de Berlin Ja dissolution du cabinet saxon. iLa situation s'est rapidement aggravée. Ptiesemann et ses ministresornles veulent la lutte. Dans les conditions présentes et avec l'état d'esprit actuel de la classe ouvrière, la, giève générale Cette nouvelle nous fait également comprendre l'article de ce matin du Yonvaerts contre le gouvernement 'saxon. La socialdémocratie désemparée tiahit ouvertement Les ministres social-démocrates de Stresemann se diessent contre la Saxe ouvrière. Ce sera domain la scission dans le^aiti social-démocrate. P. F. La classe ouvrière tout entière derrière les communistes 27 octobre. classe ouvrière allemande est a bout de patience Partout, dans les mes, dans les usines, on entend « II taut en finir une fuis- pour toutes ». La volonté de lutte du pioletaiiat allemand est merveilleuse. La manière seulement dont les ouvrieis de héroïque. De plus en plus, toute la classe et de larges couches de la population comprennent qu il n'y a plus qu'un gouvernement' ouvrier 'qui puisse les, sauple île la Russie soviétique venant au secouiâ de 'la 'Saxe .rouge a fait réfléchir beaucoup de gens et ptouve que seul le pwlu travail aux oul'iniliience du parti communiste ̃ eioissc dans des proportions énorme-. Des cenet des milliers d'ouvriers socialdemocraies. voire même des fonctionnaire- et des secrétaires de sections du parti sole parti communi'-te. La liste des adhésion* grandit chaque jour. Dans la social-démocratie, par contre, c'est de chaos et la désorganisation complète. Le tirage du Vonvaerts diminue chaque jour et le* ouvriers cherchent par lous les moyens Se procurer les tracts communiste- qui remplacent la Rote Fahnr. visé est a l'agome. Son effondrement n'esf plus éloigné. Le Yonvaerts vient maintenant d'entreprendre une nouvelle caimpa'gne contre les communistes, et ce matin il a ouvert le feu contre le gouvernement ouvrier -saxon. Cela, signifie clairement que la droite social-démocrate veut en finir avec Zeigner.

Le mouvement gréviste s'étend partout

En Thuringe

lJtnlin, 27 octobie. {Hiinuuuli). Par sa campagne, le Yoiwaerts s'est disqualides'journaux communistes, presque tous supprimés, le prolétariat entend les mots lancés par le Parti, communiste. Dans toute la Saxe et la Th imn.se maintenant, If1 pmietauat ne fait plus qu'un bloc Le mouvement giéviste qm a éclaté on Saxe et en 'Ihurmge s'étend rapidement. l'rt Ihurnige, le commandant a il pas tallu davantage ipoui que la. 'grève générale soit immédiatement proclamée ce matin. Paitout social-démocrates et communistes de Tlmimçe forment des comiHier à Gotha, la conférence des conseils d' entreprises &'est prononcée pour la gie\e

ont adhère au mouvement. ËirSake ete proclamée ].es délégations douvuei-) venant de nombreuses localités de &a\e sont arrivées a Dresde poui demander au gouvernement ouvrier.' sa\on de pjqclamer lui-même la dictature militane. tionnai! es du gouvernement saxon et de Ja police -,i\onne on' ete opeiees aujourd'hui pai le général Mullei La grève des mineurs saxons s'étend également. VOIR LA SUITE DE NOS INFORMATIONS Le Matin, ,qui sait tout, annonçait hier que les élections législatives au premier dimanche d avril 1024. Renseignements pris, la consultation électorale n'aurait lieu que Je 27 avul. battu- dans son syndicat section départementale en assemblée générale. L'ordLe du jour appelait 'la discussion -des diverses motions cl oi tentation syndicale pifi- l' assem- dit liaynaud, pour U motion de la majorité Piylaùd timent Rajnaud fut dtisit,ric comme délégué au Congies;con1é/leiat Aijoirtoh= au'ime mouon fut, unanimement votée affamant le de-sir de tous de maintenir que soient les Le Comité Générât pour V\mnistic, compose de-b1 groupements suivants Comité de Comité Goldshî/ marquée par province pies 'de cinquante meetings sont organises (t on la page).

Pour protéger lts valets d\i loi d'Espa- chei le pioletaiiat de crier sa volonté de de M. Pomcdie a ete toute une partie de Pans en état de siège 1 ne vi iitalile «uni e de fiics et de gaules municipaux 3 a. (> 000 envnon a -été mobilisée auroui de 1 ambassade d'Espa.x eom us nombreux a l'appel d< s organisation-, iévolutioinianes( se) fcont heuites 'ces: chiens de garde fidèhi.ga.iies. La piolehtatjon pnpulam\ que Je gouvernePimio de Vavera, a diniche hier a etoutfer, ne son est pas moins foitenient affamée. du cnnie, seiont iiagt's den tenu compte.

Des flies et encore des flics Dès d'eux heuics d( lapies-midi les far- ces pohoieies £p" concentrent place de

Le Congres nal Elle -a J Klvsee MM. les ils caid. {été 'M Russie ceite ttagique expérience irtent pour-les' lutirs pays. pjo- liinte dans tous les'povs et, dans -la soltda- uonalo blanche, en nale longe leur visite, des propos qui font tiouvcr pâles ses déclarations d'Evieux «i Vous êtes les partisan^, pre.uve vivante du, travail, de la<discjpline, de lp, ténacité. Vous voulez ,que la propuété, c'e«t -à-dne d'être partout respectée, parce que, )de -plus en plus, à ceux qui la mentent. digne les gouverne- ments qui ont conscience de leur devoir et de leur mission. » les propriétaires d'immeubles, preuve vivante' du travail, il lallait un- renégat du socialisme pour .trouver ceTle-là Pour tout le monde, le commun de-, comme les plus éminents économistes,, ils sont -les plus caractérises- des ^parasites. Quel d'empocher les loveis. Le= «^preuves vivantes du -travail » ban- quetteront cet apiès-midi 1 hôtel Co-mi- mspnée en organisant h leur bénéfice une belle sérénade./ L'Internationale des de' combat est'en<ce moment leunie a Paih. Fiance et de tous jiays. '• lanes figurent (oijeis. la com- des Locataue<> de la Seine convie tous les cune grande dm a lieu ou font «" queuletonno » les piopi u tau es wtefna-

la pl'ace dit Tioiadero Même ccjncentiation place Victoi Hugo el le long de toutes les avenues et mes adjacente"5 Jamais nous avons assiste a un tel déploiement de loi ce^ de police. Tous les coinmiss'uies de police des an mulis-einenls de l'ans sont la

tio du secteuj cl une joule inaccoutumée Ouvnei\ en hahif' et, en casquette clos ancien1' 'Des deux vagues successaes de !iicic dehlaient i diaCille' instant les abords 11 '.est' impassible