Stromates, dont il est. malheureux qu'il n'existe pas un seul manuscrit dans nos bibliothèques. Voici le texte du passage que j'ai traduit, d'après l'édition de Potter, regardée comme la, meilleure. Je ferai seulement un léger changement dans la ponctuation; j'y joins la version latine de Potter (i), à laquelle je ne ferai que les changemens. nécessaires pour rendre le sens littéral du texte.
(t) t~ronMta, V, § g, p. '.<')5–;68o et smv., dans l'édition de Potter. On trouvera !e même passage dans l'édition de Paris, t6~[, pag.,555 'et 556. Mais la version latine y commet une faute grossière au commencement, en écrivant Jam~erô qui <7ocentMra& ~Egyp<tM, printum ~utWem docent o'gy~tMrum /t!erarum T'Mm ac rattoneTn, au lieu de Jam vero qui docentur ab ~EgypttM primùm quidem discunt, etc. C'est une des corrections très-justes de Potter.