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Titre : Biographie universelle, ou Dictionnaire historique contenant la nécrologie des hommes célèbres de tous les pays. 2. CHA-GER / par une société de gens de lettres, sous la dir. de M. Weiss,...

Éditeur : Furne (Paris)

Date d'édition : 1841

Contributeur : Weiss, Charles (1779-1866). Éditeur scientifique

Sujet : Dictionnaires biographiques

Notice d'ensemble : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb316340573

Type : monographie imprimée

Langue : français

Format : 6 vol. ; gr. in-8

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k36707c

Source : Bibliothèque nationale de France

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 15/10/2007

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été comparé à Bélisaire, auquel il est inférieur sous le rapport du styte, m )is qu'il surpasse par la solidité des raisonnements. L'abbé Duval-Pyrau a aussi publ. les Éloges histor. de Nicolas Satttgren (Francfort-sur-le-illein 1778, in-t) et de Jonas Atstromer(Ber)in, 178!t, in-8).

DUVAU ( AUGUSTE ), botaniste, né à Tours le H janvier t77[,émigra et parcourut l'Allemagne jusqu'en 1802. C'est alors qu'il publia la <rad«c<. des Nouveatix di'a/ofyttM des dieux de Wictand, 1796, et de <? ~Mro&totit/tfc, o:t f~rt de prolonger la vie, d'Hufeland, )798,2 vol. in-8. Précepteur du jeune Perrégaux, il le guida dans ses voyages en Suisse, passa l'année 1804 à Genève, rentra définitivement dans sa patrie l'année suivante, et vint s'étaBtir près de Tours, d'où M. Monnier, qui avait étésondiscipteaWehnar, l'appela en )8<0.))our être attaché au. cabinet de Bonaparte. Duvun fut depuis secrétaire-génér. de l'intendance des bâtint. jusqu'en 1350, et mourut en 185t. dans sa terre de la Farinière. On doit à cet écrivain un gr. nombre de ~entot'res sur l'hist. naturelle, sur la botanique en particutier, la plupart des Notices sur les sav. allemands. et plus. articles concernant les botanistes dans la Biographie univ. de M. Michaud. DUV AUCEL CHARLES), astronome, né à Paris en 175~, mort à Évreux .en t820, correspond, de l'Institut, apend.-ptus. années exécuté les cartes des éc)ipses pour ta connaissanct; des temps, et composéplus. ~e)H. demat/tent. et physique, insérés dans le t. V des ~Uc'nt. présentés à l'acad. des sciences, Paris, 17G8, in-4.

DUVAUCEL ( ALFRED), voyageur.naturaliste é)ève et gendre du cétébreCuvier, servit avec distinction da.ns l'armée française el partit en 1818, comme naturaliste du roi, pour Calcutta, contrée qu'il expira de concert avec M. Diard. De précieuses collections, fruit de ses recherches dans différ. parties de l'Inde, vinrent enri'h~r le Muséum pendant les années 1820 et 182t. Duvaucel avait résolu de visiter le Naup~ut mais les événem politiques le contraignirent à bornt'r ses excursions, les années suiv., sur le territoire de Benares ef, de Katmt'ndos. Il poursuivait ses infatigables jechcrcttes an millell de périls inouïs, lorsqu'il fut atteint d'une fièvre des bois au Sytbet, dont il avait franchi les frontières pour visiter la caverne d~ Bhunava où nul Européen n'avait encore pénétré. Victime de son zèle, il ne fit dèslors que traîner une vie languissante et termina sa carrière à Madras en 182't,à5t ans. On trouve dans la ~fep?<e eMC~/c<oped.. tom. X, sa savante Descript. de ht ca~eroe de Co.<sya, et tom. XXI, des extr. de ses lettres. Une notice a été consacrée à Duvaucel dans le Jo)f)'Ka!us)a<Me (mai 182a ). DUVAHRE (JACQUES), poète dramat., né en 1698 à Crest, petite ville du Rauphiné, vint fort jeune à Paris, y connut Boissy qui lui donna le gf'ùtdfi théâtre; mais sachant concilier ce goût avec les soins de sa fortune, obtint un brevet d'officier de cavalerie, tit la guerre en Italie et fut ~tesséala bataille de Parme. Retiré du serviceen

1759, il se livra entièrem. aux lettres, fut admis dans la société de la duchesse du Maine, et se fit connaitre comme bel esprit. Sur la fin de sa vie il se retira dans sa ville natale. En 1770 il mourut à Lyon, où était venu se faire guérir de la cataracte. Le (aux Savant, OM <moMr précepteur, comédie en S actes de Duvaure, fait partie du Réper<OM'e, 5° ordre. !t donna au Théâtre-!ta)ien en 1756 )'/n!Hfy!M(t<~M, comédie en vers et en prose qui n'a pas été impr. On dit qu'il a laissé MSs. deux autres coméd. et un 7!ecMe<< de poésies. DUVENEDE (MAM van ), peintre, né à Bruges vers 167t, visita jeune t'UaHe, où il étudia sous Carte Maratte de retour dans sa ville natale, s'y fit une réputat. par ses tableaux d'église, et mourut en 1729. On regarde comme ses chefs-d'œuvre une S<e .C<«M'e en~OMree de jeunes filles <y'ft lui detn«ttdeft< l'habit de son ordre, et un MtMftyre de S< /<(tttfeK<.

DUVEKD)ER(ANTO!rfE), seigneur de Vauprivas, né à Montbrison en ISM, mort à Duerne en i600, a laissé un très gr. nombre d'ouvr., parmi lesq. on distingue la Prosographie, ou Descrtp~'OKsdes per~oKHa~estKS«y)tes. Lyon ,-1875, in-!t, Paris, 1605, 5 vol. in-fol. Les Dtperse~ leçons SM!'(\ celles de P. ~ess~e, Lyon, 1S76, in-8; Paris, 1S85, ii) 16. La Bibliothèque contenant le catalogue de tous les auteurs qui ont écrit ou trad en français, etc., etc., Lyon, 1S8S, in-fol., réimpr. avec celle de Lacroix du Maine par )es soins de Rigotey de Juvigny 1772, 6 vol. in 4- –DovEMHER ( Ctaude), fils du précéd., poète et critique médiocre, né vers f1i66, mort en 1CM, a laissé plus. ouvr. les principe sont Disc. ( en vers ) contre ceux qui, par les grandes coK~'OKcttOtM des p<aKe<es, qui se doivent faire, û)t< voulu prédire la /t~ dMmomde devoir lors advenir, 1S85, in-8. 7~ Kt~orespeMe omnes am<~Mos~o!<ss!tKMtM cenStOMesetcorrecttOMes, 1S89, in- 1609, in-~t. DUVERDIER (GtLBERT-SAULMER), historiog. de France, mort à l'hôpital detaSatpétrière en 1686, a publ. un gr. nombre d'ouvr. historiques oubliés depuis tong-temps; mais on recherche encore ses composit. d'un autre genre, entre autres le RoMtam des roM<aKS,OM<tt CoHc<MS!OMde<H)a.ù~dM Chevalier du Soleil et autres r<MMtMtS de chevalerie, 1626, 7 vol. 'in-8, très rare. -Les ~MMMtsj'a<oM.r, ou le Roman des clames 1651, in-8. La Bergère amoureuse, oit les véritables ~Mtours d'~c/'a!t<e et de Daphnine, 1621, in-8. DUVERGIER ( le cotune) ), né au château de Kernault, près de Quimperlé (Finistère) en 1790 chez son grand-père, ancien officier de la marine, débuta au service dans les dragons de la garde par la campagne d'Austertitz; sa bravoure lui mérita de l'avancent. Depuis la révotut. de juillet, Duvergier, s'attachant à la cause de don Pedro, qui allait en Portugal pour détrôner don Migue), eut un bras emporté à une sortie de Porto, et succomba à l'amputation en 1855. Don Pedro l'avait nommé marécbat-de-camp. DtJVERGtER DE HAURANNE, membre de !a