au point djnterfedion apparente des deux lignes, eft la
normale à la furface courbe.
Pour toutes les furfaces de révofution, les deux
Surfaces des centres de moindre & de plus grande courbure,
ont toujours leurs équations diûindes; de plus, l'une
toujours réduite à taxe même de rotation, & l'autre eu tou-
jours une féconde furrace de révolution qui a même axe &
dont la génératrice e. la développée plane de la génératrice
de la première. Cela po~ il eft évident que de quelque
point qu'un oeil conndère cette dernière furface de révolu-
ion ia ligne de contour apparent de cette furface paroit
toujours coupée perpendiculairement par l'axe de ro~iou
prolongé s'il eft néceuaire.
XXX.
Si du fommet Q d'un des angles d'un parallélogramme Fig. ? mène fuivant une quelconque une
droite ~jufquà la rencontre du coté prolongé s'if
eanecenaire, & que du ~met deiang~~cn~
une perpendiculaire fur cette droite, Ia!re du parallélo-
gramme fera égale à (~ x ~~clo
XXXI.
Étant menées fl.r une Mce courbe quelconque deux
courbes conduit vos de moindre courbure, & ueuTco~~
confccutivesde plus grande courbure, courbes qui fe cou-
perontneceuairement toutes quatre à angfes droits trouver
~é'ét .T des ~angulaires l'expre~on de
l'élément de fa furface compris entre les quatre courbes.
Soient comme précédemment,~ ==
& ~i- ~iesdi~t~
prendre & ~conde de l'équation donnée de la furface
courbe. On fait que l'aire d'un élément quelconque d'une
furface courbe eK égale au produit de faprojedi~n.e
plan des x & y par la quantité i
nommant, pour un in.ant, .re de ~~e~n