prr~aMf!t<~ des rénexions fur cette règle, font l'objet de la première partie de ce Mémoire.
Elles fe bornent à obferver que la méthode adoptée pour évaluer les avantages ou les figues, n'en donne pas la valeur réelle, mais feulement une valeur moyenne; & que dans les cas où cette valeur moyenne peut être fubfUtuée à la valeur réelle, la règle établie donne la fëuie bonne méthode~ de prendre cette valeur moyenne, puisque cette règle procure la plus grat~dé égalité poffible entre les deux valeurs qu'ort prend l'une pour l'autre; & que toute autre règle introduirait Meceflairement une grande inégalité. e
Il ne le préfente donc que deux exceptions la première,, iorfque l'espèce d'égalité que la règle établit, fe trouve~ r &it par la nature des queftions, foit par des circonfiancesétrangères, être absolument illufoire; la féconde, ioriqu'it ne peut y avon' lieu de fubH.ituer la valeur moyenne à la valeur réelle,
Ces réflexions peuvent fervir à réîoudre les dimcuités qui ~ë font élevées contre la vérité & la généralité de cette règle. La féconde partie de ce Mémoire traite de l'application du calcul à la probabilité qu'un arrangement régulier en. dû à une intention de le produire, &. l'on y examine cette queûion dans plufieurs hypothèfes, comme celle où tous les Siemens font affujettis à ia. même régularité, où une partie feulement des élémens y eu: foumife, où l'on n'en connoit pas la totalité, où ils font en partie dBpoïcs luivant une loi ~éceSaire, où enfin l'on obferve à la fois dans la fomme totale des élémens, din~érente: combinai~ns qui paroident an.ttOB€er des mtentions contraires..