Fev.
178~.
j~ppz~Tvr
Au Mémoire /K SaintMartin de 7~.2.
Par M. LE MONNIER.
T'AI vu clairement par ce qui a été dit à la dernière J AuemHëe, qu'on ntétoit pas adez au fait du travail que les Afironomes ont entrepria fur nos rëfractions horizontales t At~
J'ai rendu compte cependant dans un de nos Mémoires
de 1780, & qui eft déjà imprimé, de ce que nous avons
fait en France depuis l'an 107' fur les rén-adions d'hiver
& d'été; on y voit d'abord que les François ont (euis~ décidé la quen:ion & les limites des rén-actions~orixontaiesT~ celles des grandes & exceutves chaieurs n'étoient que de 30 minutes à 1,800 fecondes & celles de nos plus grands ~{, ~i-oids à la fin de Janvier, ont été reconnues s'accroître au moins de o minutes i'Angteterre n'a nen_~roduit pour
les réfracHons d'hiver.
Ainu le rapport des ré~'acUons horizontaksjerott_donc~
ici dans nos zones tempérées, comme à ou bien comme
6 à t0; c'eft-à-dlre_que par analogie (îi on peut admettre
ce genre d'analogie &- dont je vais rendre compte), en
admettant ta plus petite rén-action horizontale dans la partie
la plus échauffée de i'atmofphère lunaire, de 6 fécondes, &
la plus grande de 10 iëcondes, le cône d'ombre de i'en: à
i'ouËiUeroi~rétré :i par les rén-adions, & ~eton ie rapport
de t2. ffcondes à 2.0 fecondes puifque les rayons du Soleil
v éprouvent une double rén-acHon horizontale.
4 Venons maintenant à quelques eûais pour approfondir une
conjecture pubiiée en 171 par M." de Louviiie & HaUei,
fur i'inégatité des ettets de ees'rëTractions dans le temps des
Ëciip~es tutoies: j'ai déjà rendu compte, en proJuiiant le