Voy.anc.
Mém. t. F7,
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d Ibid.
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Mém.i6pp,
Mém. 1~8.
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TES grands & fréquens niveitemens qui ont été exécuté; en France depuis un uecie, ont fi bien fait connoître la necenité de rendre cette opération plus fûre & plus facile, que les plus céièbres'Mathématiciens ont tourné, comme à i'envi, leurs vues vers la perfection des niveaux, & en ont propofé diverfes connrudions, toutes très-ingénieur. Ces niveaux peuvent, en générai, être compris fous deux clanes, ceux de la première font fondés fur ia propriété qu'ont les corps pékans de tendre à descendre, fuivant une ligne perpendiculaire à l'horizon; fous cette ciane fe rangent les ~niveaux de M/'Picard a, Hughens Roëmer & piufieurs autres dont iiferoit trop long de parier ici. Ceux. déjà féconde ont pour principe la tendance qu'ont ies~~u~es à mettre toujours leur furface parallèle à ceiie du globe; &: cette dernière ciafÏe comprendjes niveaux de M." de la Hire, Couplet & de Parcieux le niveau à bune d'air, perfedionné par M. de Chézy & celui qui n'eft compote que d'un tuyau de fër-bianc recourbé par les deux bouts auxquels font maftiqués deux tubes on fioles de verre, à travers iefquei~ on voit les deux fuperficies de la liqueur mite dans ie tuyau, par iefqueUes on bornoie; on"non?rne ordinairement ce dernier, yw~M~w~_ou
(a) Ce Mémoire auroit du paroître dans ie volume de 17~~ r ayant été lu à l'Aûembiée publique du i;z Novembre de cette année/ ¡ mais l'Auteur n'a pas cru .le devoir
~Ibid.
Sav.Etr.
82 MEMOIRES DE L'ACADEMIE ROYALE
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Par M. DE FoucHY.
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publier avant que de s'être afruré, en faifant confb'uire un de ces inftrumens & en opérant par fon moyen, que les avantages en etcient réels.