à leur lumière totale, exprimée par t unité, ou bien ie rapport du fegment éclairé, qui feroit infenfible dans une édipfe, à la furj&ce du difque représentée auffi par l'unité.
S. ~3. M. Memer a trouvé, pour la valeur du fegment infënnble, la fraction 0,00880, & j'ai trouvé 0,00/03. Il femble d'abord que cette différence doive être attribuée à l'effet de la différence des vues; cependant on a vu que fur ma lunette &: fur celle de M. de Saron, il n'y avoit point de différence ~ënfible. II femble, à l'égard du téiefcope Grégorien, que la vue de M.Memer demande plus de lumière que la mienne, puifqu'if iui faut un plus grand fegment pour diftinguer le Satellite; mais on verra plus bas qu'a l'égard du télefcope Newtonien, j'ai trouve un fegment plus grand que le fien d'où je conclus, jusqu'à ce que ce point (oit plus éclairci, que cette légère différence peut être regardée comme l'erreur inévitable dans les obfervations, &: que pour avoir l'effet du téiefcope Grégorien, it faut prendre un milieu entre les deux déterminations.
Ce milieu fera à peu-près o,ooS~
§. n~ Maintenant, pour comparer l'effet de ce téiefcope à la lunette de M. de Saron & à la mienne, -it faut calculer la valeur du fegment infenfible dans ces deux lunettes. On la trouvera par les deux analogies fui van tes
(~F (3)~ ï =0,01363.
(~o)~ (3)~ i == 0,00362.
de forte que le rapport du téiefcope Grégorien de M. Meflier à
1 1 d, d r.' o,ooBG~
ma lunette achromatique de 5 pieds, fera exprimé par -°~°–
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c'eft-à-dire que fi l'on veut trouver le Segment infenfible qui aura lieu pour un moment quelconque, il faudra calculer rivant' les méthodes expliquées, le fegment qui auroit lieu pour ma lunette & le multiplier par la fraction précédente.
Le rapport de ce télefcope à la lunette de M. de Saron, fera
ee~t de "°~ c'eû-à-dire que toutes choies ega!es d'ai!!eurs,
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