foit dans la marche du calcul, on n'a que des équations raci!es à
vériner, en y exécutant les opérations Indiquées; voilà fon caractère
pmticuiier: c'en: aux Géomètres à apprécier fes avantages.
I. On demande les valeurs générâtes les plus fimpies qui puisent
~tisfaire concurremment à une Equation d'un degré déterminé.
11. Dévefoppons d'abord, par un exempie, l'état de cette
queuion.
x2 -t- x -t- ==: (x
eft une équation identique, &. par conféquent la condition
A'~ –t– -+- <~ === o,
eft (atisraiteen faifàut x == a, ou x == .b mais
~+.~=0,
z 'z
eft aunr une équation identique, indépendamment de l'extraction de la racine indiquée; d'où il iuit que fi ion n'avoit -pas connu
cette quantité & quon eut vouiu
exprimer qu'on !a cherchoit, Ja fuppofant on eut dû avoir A-~ -+- -+- ah === o.
'Or II eft: vifible que cette expreiïjon T/ -+- 2 <? qui ngni~e la quantité dont le carré eïï: –t– eft une expreiïïon ambiguë, puiïque -+- 2 & e(t indir~eremment !e carré d'autant ide quantités r qu'il y a de nombres qui fatisrbnt à !à condition ~= i. Voifà donc deux manières d'enviïager l'équation -+- H– ==: o.;
comme équation du Second degré, &: alors l'inconnue y repréfente une quantité ambiguë comme produit de deux racteurs du .premier degré., ators c'en: t'équation qui eu: ambiguë, &: i'inconnue y en: fufceptible de deux valeurs qui ne le font point. S'il étoit Hmp!ement queftion de réfbudre t'équation –t– -t- == o,
H faudroit choIHr le dernier point de vue mais fi l'on en demande