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Notice complète:

Titre : Histoire de l'Académie royale des sciences ... avec les mémoires de mathématique & de physique... tirez des registres de cette Académie

Auteur : Académie des sciences (France). Auteur du texte

Éditeur : J. Boudot (Paris)

Éditeur : Imprimerie royaleImprimerie royale (Paris)

Éditeur : Imprimerie de Du PontImprimerie de Du Pont (Paris)

Date d'édition : 1771

Contributeur : Fontenelle, Bernard de (1657-1757). Directeur de publication

Contributeur : Mairan, Jean-Jacques Dortous de (1678-1771). Directeur de publication

Contributeur : Grandjean de Fouchy, Jean Paul (1707-1788). Directeur de publication

Contributeur : Condorcet, Jean-Antoine-Nicolas de Caritat marquis de (1743-1794). Directeur de publication

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32786820s

Notice du catalogue : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb32786820s/date

Type : texte

Type : publication en série imprimée

Langue : français

Format : Nombre total de vues : 74922

Description : 1771

Description : 1771.

Description : Collection numérique : Collections de l’École nationale des ponts et chaussées

Description : Collection numérique : Thématique : mathématiques, mécanique, sciences naturelles

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k35697

Source : Archives de l'Académie des sciences

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 15/10/2007

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Le poids de l'attirail des pompes n'étant foutenu dans cette machine que par un contrepoids de~ force .médiocre, il feroit peut-être poffible de faire fur cet. article une économie de force un peu plus confidérable que dans les deux machines précédentes. On penfe qu'au moyen du nouvel.avantage qu&la puinance acquerroit par-là, fur. la ïén~ance, on pourroit porter ~ufqu'à 1~0 pouces la quantité d'eau que -la pompe.à feu des fbffës d'Anzain pourroit été ver à une hauteur de i pieds.

H réfulte des relevés des comptes rendus aux Entrepreneurs de la mine, que cette machine consomme en vingt-quatre heures de travail consécutif, vingt mesures de charbon de la pefanteur de .2~0 livres chacune, ce qui fait au total ~.600 livres poids de marc on vient de voir que le produit de la machine pouvoit être porté à 1~.0 pouces des Fontainiers; d'où H fuit que la confommation de charbon de terre pour chaque pouce, fera de près de ~j livres en vingt quatre heures.

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S'H n'y avoit aucune perte de force dans la machine à feu l'effet qu'on devroit naturellement en attendre feroit de fouiever à chaque coup de pinon une colonne. d'eau de même bafe que le cylindre, & de i pieds & demi de hauteur; mais un grand nombre de caufes concourent à détruite une partie de cet effet .1.° le vide n'eft jamais absolu dans le cylindre, de forte que jamais le pifton n'eft chaffe par le poids total de l'atmosphère; 2." une partie de la puinance eft employée à fbulever le poids de l'attirail des pompes, & il en réfulte une perte égale dans la quantité pondérique de l'eau élevée par la machine; les frottemens & l'inertie. de toutes les parties., l'étranglement des corps de pompes à l'endroit des fbupapes, font autant de caufes qui détruilent encore une partie de la force;-enfin il eft néceHaire de laiffer dans la pompe a feu un'avantage anez confidérable à la puinance fur la réftftance, autrement les variations de pefanteur qui furviennent: dans la pefanteur de l'atmofphçre., réduji-oient fbuvent la machine à l'jmponibilité d'aller.