<)-+-c-)- Or, quelque ~bit le Dgnë de ces fondions <t cites font de ngnes différens nous aurons leur produit négatif. Donc !a prôpofce aura autant de racines pofitives, réelles, inégales ou égales en nombre impair, que 'l'on pourra avoir de fois
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V I. H fera aife d'après les conditions connues pour fes racines égales & les racines imaginaires composées qui donnent des racines négatives dans l'équation en A\ d'avoir une femblable formule pour tous les cas.
VII. Maintenant, les formules pourront être regardées comme au/H complettes qu'aucune autre qui contiendra des foix, telles ~> o, M étant une fonction des coëmciens. En effet tout ce qu'on peut exiger d'une femblable loi, c'efl que ayant n équations entre les n coëfficiens de la proporcc,.qui ne.défignént ici que des rapports, on ait !a condition fans avoir réfolu ces équations.
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J'Ai cru devoir juflifier ici !e jugemént que j'ai pottc des Principes de M. d'Alembert & de M. Fontaine. Les voici l'un & l'autre. Principe de ~7M~ tel donné en ~Z~' Soient A B, C, &c. les' corps qui compétent un fyftème, quetconque, & fuppofons qu'on !eurait imprime ies mouvemens a, &c. 'qu'ils foient forcés de changer à caufe de leur action mutuelle en ~4 C. ]t eft ciair qu'on peut regarder le mouvement imprimé ad corps A comme compofë du mouvement A qu'il a pris, & d'un autre mouvement a; qu'on peut de même regarder les mouvemens b & c, comme compoics des mouvemens B & C & x~ &c. d'où il fuit que le mouvement des corps A, B, C, &c. auroit été le même, fi au lieu de leur imprimer ïes mouvemens a, c, &c. on leur eut donné à la fois ces doubles impulfions A & & /3, C &~x;'or, par la fuppofition les corps ~4, B, C, &c. ont pris d'eux-mêmes les mouvemens ABC, &c. Donc, les mouvemens «, x, &c. doivent être tels qu'ils ne dérangènt rien dans les mouvemens A B C, &c. c'eïf-à-dire, que fi les corps n'avoient /~v.. K