DÉTERMINATION GÉNÉRALE D E
z~r DES j~ <9~jr ~!7~~ P~jR L E CW<9C D~ jL~ Par M. l'Abbé Bos sur.
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TES s machines qui ont pour force mouvante fanion d'un .1–~ Huide, font ordi)iairement conduites par des roues '~rnies d'ailes ou de pots qui tournent en vertu du choc de i'eau contre ies ailes ou du poids de i'eau reçLie continuellement d:'ns les pots, quelquefois en vertu de ces deux causes réunies. Les roues de la première efpèce ont l'avantage de pouvoir prendre ieau par-deuous, & n'exigent pas, comme les autres, que le courant ait beaucoup de chute; elles font d'un fiéquent ufage dans la pratique.
M. Parent a trouvé, dans les Mémoire! de l'Académie pour l'année 17o4, qu'en fubiiitua~t à toutes les ailes qui teçoivent le choc d'un fluide une furface plane de même étendue, frappée perpendiculairement par ie fluide, le centre d'impreflion de cette furface doit prendre ie tiers de ia vîtetie du courant, pour que l'effet de la machine foit un w~/?~w. Cette théorie a été adoptée par tous les Mécaniciens ou du moins on ne s'eft pas mis en peine d'en examiner !es principes. Elle eft cependant dérec~ueufc; la <ubn:Itution propose et) précaire & inexacte. Pour réfoudre le Problème avec toute la précinon qu'H admet, il faut conndérer féparément i'impuinon du rLiide contre chaque aile, & prendre enfuite la femme de toutes ces impulfious. Je me propole ici de donner cette ablution génër&ie.