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~y TROUVE DES PLANTES.
Par M. FùUGEROUX DE BONDAROY. LE Caraïbes de i'Me <te Dominique, connoinent fous le nom de ~Mw~ ~~7/ un ïnMe ~)r lequel on trouve t attachée une plante qui y végète; on a remarqué cette même ~ngutanté la Chine, on t'y a appetée de pareil ~uts d'Hiftoire naturelle contâtes, étoient dignes, fans doute, de l'attention des Phyficiens qui s'en font occupés.
M. de Reaumur ~j- l'Académie, f~ nous a fait coHnoitre la plante-ver des Chinois; M." ~at&n & Hill, dans les 7~7/ ~p~Z,7/ page -?Z~' ont parié des mouches végétantes des Caraïbes enfin M. Needham, dans des notes qui} vient d'ajouter à ïa. traduction de l'Ouvrage de M. l'abbé Spa!anzam fur les découvertes microscopiques voit dans ces ~Z?/?~w~ une preuve du panagc & du changement du genre animai au végéta!, & réciproquement du végétât à l'animal. Mon deSein n'eu: point d'examiner fi cette mutation eft prouvée de façon à ne laiffer aucun doute, & la décompontion d'un corps peut produire, en fe développant, des êtres vivans; je me borne ici à ajouter des observations à celles qui ont déjà été données concernant les plantes qui végètent fur des inSectes: peut-être quea
(a) Nouvelles Recherches fur les découvertes microfcopiques & la génération des corps -organifes, ouvrage traduit de l'Italien de M. t'abbe SpaianzanI, Pro~fJeurde Phi!o(oph!e à Modène, avec des Notes. Par M.
Needham, <! Zc/t.7)'M/ à Paris, cA~ Z,<ïfom~~ ~<
(~ Par plantes animales, j'entends feulement des plantes qui végètent fur des animaux.
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'769.
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