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commencement de i'Éciipfe au coucher du Soleil, & in fin au lever de cet afu-e, eft ~tué dans la mer glaciale, fous une latitude de 8 28", avec une longitude occidentale de ï 6p~ 4.7' 3 8"; c'eft-à-dire. dans une partie de notre globe entièrement inconnue. Remarque ~r propriété des courbes dillumination. (114..) Si ion jette ies yeux fur la table du 7 il e~ aifé de voir que les courbes d'illumination font (uiceptibles d'une efpèce de ~M~, je m'explique. Si l'on parcourt les dinerentes longitudes correfpondantes aux branches qui appartiennent à la fin de Œtipte au coucher du Soleil, & au commencement de i Ecupis au lever de cet afire; il eft bien évident que les longitudes, après avoir décru )u(qua une certaine latitude, recommencent à croître & j-éciproquement Le point de la courbe où fe fait ie paffage de i'accfoinemênt de ia longitude au décroiuëment de cette même quantité, & réciproquement, ett donc un véntau.e ~M~?/H:/w géométrique que je dois déterminer.
fii<) Les équations démontrées dans cet ouvrage donneront facilement ia folution de ce Problème. It eu Mbie en effet Qu'il ne s'agit que de déterminer le ~~w des longitudes correspondantes aux dinérentes branches de la courbe d'illumination. Soit
y la différenc-e en iongitude entre le lieu qui compte midi à r~ de la conjondion, & celui qui, fous un parallèle donne obferve le commencement ou la fin de i'Ec!ipfe au ic.er ou au coucher du Soleil.
w l'arc fcmi-diurne du parallèle.
l'angle horaire qui mefure le temps écoule depuis la conjon~~otl jusqu'à i'ini~nt du phénomène,
J'ai démontré qu'en générai
== M
la fuppofition de == o, donne donc pour condition du Problème, ~M == o.
Voyez le parallèle boréal de o~ pour les branches qui appartiennent à la fin de l'Éclipfe au coucher dt~eii, & le paraUe~auftrai de i i pour
/j3 == o.
les branches qui appartiennent au commencement de FEciipfe au lever de .cetafh'e.