/M. déterminer les de T~rr~, par la durée de leur le difque du J<?/~7, ~y~~ (102.) L'équation du j~. 700, ordonnée par rapport a~peut faire conclure, avec beaucoup de précinonje diamètre de Vénus ou de Mercure, par h durée de leur entrée fur fe difque du bokd.ou de leur fbrtie du difque de cet a~re, iur-tout fi ion a obfervé avec exactitude cette entrée ou cette Sortie, ji eH dair en effet que le diamètre de ces planètes eft éga! à la quantité dont la diflance des centres a varié pendant ie temps de leur entrée ou f"Y?~' que l'équation 700 apprend à connoître. it dt lupernu d'avertir qu'il faut avoir égard aux altérations que les caufès phyuques peuvent apporter. Suppofons en er~t que les rayons folaires s'inHéchi~nt en panant dans l'atmosphère de Vénus comme dans cette hypothèse ie premier contact eft ouferve plus tard, & le fécond contact eft obfervé p!us tôt qu'ils n arrivent véntabiement; j} dt bien évident que les durées totales de i entrée ou de la Sortie font altérées d'une manière quelconque. On conclurait donc, par cette méthode, un diamètre plus petit que ne l'eit celui de ia planète. Quoique je fois éloigné de rien aïKrmer fur cette hypothèfe cette remarque eit importante pour juger fainement du degré d'exactitude de ces détermmat.oNs délicates. Je reM~rquerai que lors du panage de Venus du 3 Juin 1769, les durées observées de ientrée & de la forue de cette planète, ont été, en génaa), plus courtes que les dur. es calculées. Cette différence vient-eife des obier valions! doitelle être attribuée à quelque caufepbyfique ou àqueiqu'incertitude dans les eiémens! ceu ce que je n'entreprendrai pas de décider. (~03.) Appliquons le calcul à i'Écnpfe du i.Avril 17 64, cherchons quel a dû être, à Londres, vers o~ du matin ie temps employé par le centre de la Lune, à s'approcher de 3" de degré, du centre du Soleil. Je tuppoie (aind qu'il efi aifé de le confiater par des calculs entièrement fèmblables à ceux du ) que l'on avoit pour cet initant